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E2 dossier EPS 61 - RELAIS 2C1 en autonomie avec iPad

1. Je suis p n tr de la grandeur de l acte d enseigner et d duquer C es pour moi une activit sociale primordiale des plus profond ment humaines 3voies de prise en compte des repr sentations 1 diff rences filles gar ons gt rapport au corps diff rent C LOUVEAU A DAVISSE Sports cole soci t la part des femmes 1991 les gar ons ont un r au corps centr sur le potentiel d action la force le dynamisme alors que les filles s duction minceur gr ce Cette diff rence tend s amenuiser effet m dias L enseignant d EPS homme femme doit tre conscient que les APSA st charg es de significations selon les sexes G COMBAZ EPS la mixit opinions et souhaits des l ves EPS n 231 1991 plaide pr un fcmt alternatif de la mixit et de la non mixit en fonction des APSA 2 influence du milieu social L extr me diffusion des APSA semble gommer le poids des d terminismes soc m me si certaines pratiques sont encore symboliquement charg es Notion d acculturation prise en compte par l enseignant pr d passer les d terminismes soc et leur offrir de nouveaux possibles 3 Coix des APSA en fonction des p riodes de vie Classe de 5 me marqu es par un fort d veloppement des besoins de communication de contestation et de centration sur soi les 3C Classification des APSA essentielles car elle permet de faire des choix PARLEBAS relation avec l environnement ressou
2. l ve qui s investit dans des situations de d sir et d int r t construit un rapport l objet positif Le but reformul par l l ve inductive du d clenchement de la finalisation et de l organisation des actions JF CHATILLON 1992 D une ann e Construire la r gle Rep res sur les valeurs Structuration des contenus pour renforcer les sentiment d comp tence pour s engager ici et ailleurs et plus tard L valuation en g n ral formative diagnostiquer et prescription fine en rapport avec les prestations d tous les l ves formatrice outil d apprentissage acc s par l l ve aux crit res d valuation L valuation comme facteur de transformation 2 pistes pr l organisation de l enseignement 1 une valuation inductrice de CE appropri s en fixant par avance les crit res de l valuation identifications des acquisitions n cessaires conditions que l l ve doit int grer pr r ussir la mani re de permettre ces acquisitions rapport au savoir et mani re d apprendre 2 l evaluation induit une mise en activit des l ves les proc dures d valuation doivent tre connues de tous en d but de cycle une strat gie par rapport l outil d valuation ou ds ses propres apprentissages EPS cognitiviste on apprend mieux quand on comprend ce que l on fait Les VALEURS de la REPUBLIQUE libert galit fraternit faire int grer des va
3. tre de faire de penser de se mouvoir ne peut tre transposer didactiquement Attention que la didactique ne se fasse pas autrement du sens de l activit P GOIRAND Entr e dans l activit les motifs d agir Le rapport au savoir doit tre successivement envisag en ext riorit il permet de comprendre les autres et en int riorit il permet de se comprendre Croise r la logique de l APSA et celle d l l ve OBSERVER initialement ce qui oriente l l ve Centrer l observation sur 2 types d facteurs V LAMOTTE contenus vous avez dit conetus EPS n 293 2002 1 la caract ristique dominante ds l organisation d la motricit de l l ve affective cognitive ou motrice CF aussi G BUI XUAN Une mod lisation du proc s p da in Enseigner l EPS AFRAPS 1994 5 tapes ds le curriculum conatif motionnelle fonctionnelle technique contextuelle et expertise 2 les crit res qui organisent l acte moteur sp cifique la discipline EXPLIQUER les raisons qui pr sident cette motricit Hypoth ses explicatives identifier obstacle et hi rarchiser des explications Cf exemple P 251 Si le maquignonnage aide le sp cialiste on ne peut se contenter de ce type de connaissance TECHNIQUE solution efficace un probl me Mise en oeuvre de moyens en vue d obtenir u r sultat pr d termin Techniques en EPS sont des productions adaptatives d l ves leur permettant au travers d
4. elle lui permet d infirmer ou confirmer des aspects valoris s d lui m me comp tence courage f minit masculinit 2 la valeur d int r t intrins que plaisir li e son accomplissement Li la mani re plus qu au but 3 la valeur d utilit extrins que gains futurs mat rielles reconnaissance sociale progr s n cessit de se sentir comp tent et autod termin 4 le cout per u de la tache temporel effort int grit Optimisation du d calage tops important induit une diminution d l expectation de succ s Trop faible il va provoquer une baisse de la valeur de la tache Lim difficult d e gestion chez chaque l ve Un l ve en TT de 4 me qui renvoi au centre ainsi pour g rer un service qui arrive vite en CD et RV il va devoir passer d une motricit organis e autour de l axe proximal fixation de l paule et du coude une motricit distale rel chement progressif des articulations Faire des efforts Chainon qui relie apprentissage et motivation augmentation de l activit que le sujet est susceptible d effectuer pour vaincre une tache M DURAND in Effort et acquisition des habilet s motrices in JPF PF YT 1991 ce qui pousse l l ve faire des efforts pour apprendre lorsqu il n y est pas contraint c es la volont de se sentir comp tent DD L effort 2000 souligne le lien entre effort et difficult per ue Pour A KULKA 1972 l effort es
5. est leur identification et leur r gulation qui st fondamentales et non la mise en uvre tjs utopique d une planification ou d une r gulation rationnelle La r flexion en action SCHON 1983 ou l improvisation planifi e TOCHON 1993 cit par M DURAND Recherche en enseignement des professeurs d EPS Dossier EPS n 28 1996 L ECHEC SCOLAIRE combien de jeunes quittent le syst me scolaire sans qualifications Quelle r ussite scolaire acc s tous aux comp tences et connaissances Quelle r ussite en terme d panouissement personnelle et au sein d un groupe Quelle r ussite sociale c d la capacit s adapter et s ins rer dans un environnement nouveau AS Club etc Lacune au niveau de la lecture et criture d s l cole primaire La d scolarisation ou le d crochage scolaire Rep rage de l l ve par rapport une norme donn e JC FORQUIN L approche sociologique de la r ussite et de l chec scolaire Revue de l INRP n 59 60 1982 L institution tol re bcp plus le timide que l agit Pourquoi cet chec scolaire B CHARLOT et coll Ecole et savoir ds les banlieues et ailleurs 1992 La th orie du capital humain id ologie du don Sociologues reproduction P BOURDIEU Et JC PASSERON LA reporduction1970 enfants des diff rentes CSP se trouve une distance in gale de la culture scolaire La th orie du handicap socioculturel Le th ories de la singular
6. actes moteurs significatifs de s extraire d une motricit spontan e C AMADE ESCOT Question in Techniques sportives et EP Dossier EPS n 19 1994 Technique comme produit Il ne s agit pas de transmettre le geste juste mais de faire merger les solutions les plus efficace partir de ce que sait d j faire l l ve Technique comme processus Initier les l ves une activit d productions de technique GOIRAND 1985 C est l activit de l l ve qui est technique la techniques est ds le sujet et son activit non ds l objet qu il produit 1980 R GARASSINO La technique maudite EPS n 164 Aspect ultime de l activit du joueur J METZLER nourrir le pr sent avec le pass EPS n 269 1998 Quand les ressources du sujet ou les contraintes de l environnement t se modifient se cr ent le conditions pour une volution de la production technique D BOUTHIER L EPS et son rapport aux techniques Spirales N 8 1995epr sentations sociales des activit s Plaisir effort int r t EMOTION r action affective d forte intensit qui implique une exp rience subjective et des manifestations somatiques visc rales J HOUSSAYE Questions p dagogiques 1999 Dim physiologique et cognitive diff rence d r actions face une m me situation motion l ve le niveau d activation motivation Stimulant d l apprentissage Seuil motionnel optimal selon les l ves Constru
7. et d l aider surmonter ses difficult s Elle ne diff rencie pas l acteur du d cideur Elle vise rendre l apprenant gestionnaire de la r gulation de l appss en lui permettant de construire un mod le personnel d action G NUNZIATI E doit organiser enseignement pr permettre une appropriation par l l ve des CR et Cr alisation une autogestion des erreurs et une maitrise ds outils d anticipation et d d cision SREUR on de l appss en lui permettant de construire un mod le personnel d action G NUNZIATI E doit organiser enseignement pr permettre une appropriation par l l ve des CR et Cr alisation une autogestion des erreurs et une maitrise des outils d anticipation et d d cision S BRAU ANTONY comment donner du sens aux apprentissages EPS n 232 19991 d finit 3 tapes identification des savoirs acqu rir verbalisation des difficult s et identification s des r gles d action auto valuation autonomie et m tacognition ERREUR statut positif et didactique M FAYOL la logique de l erreur Sciences 3humaines n 36 1994 types d erreur celles li es aux connaissances sur les objets et les faits celles li es l utilisation des r gles celles li es la mise en oeuvre et la gestion des connaissances La gestion de l erreur peut engendrer une r gression momentan ment qui peut poser des probl mes d investissement JP ASTOLFI L erreur un outil pour ensei
8. Former la citoyennet oui et pour tous EPS n 275 1999 Quelle mani re d aborder la culture choix d APSA et modes d entr e la mani r d acc der la culture diff renciation organisation et la mani re de vivre la culture place d chacun Ne pas chercher construire un sport asexu car le corps n est pas asexu donc qu est ce qui pourrait bloquer les pratique ACCULTURATION respecte les diff rences d chacun tout en donnant tous une place reconnue Coh rence des le ons entre elles au sein de l unit de formation Coh rence au sein de la le on envisager les simplifications et les complexifications DEVOLUTION G BROUSSEAU 1998 est le processus par lequel l enseignant parvient placer l l ve face au savoir sans que ce dernier ressente d attentes ext rieurs Il n y v ritablement apprentissage que si l l ve peut r inventer le savoir ce glissement doit s effectuer avec l accord d l l ve cl du processus sous contr le d e l enseignant qui devient alors un m diateur vers un savoir qu il sait ne pas pouvoir donner auquel les l ves seraient incapable d acc der de leur propre mouvement JP ASTOLFI L cole pour apprendre 1992 PROJET DE CLASSE HETEROGENEITE tenir compte des styles d apprentissage les styles cognitifs fa on de comprendre de raisonner d utiliser l info et de r soudre les probl mes Propres chacun Le but
9. Sp cificit fran aise Formation des jeunes officiels Continuit d l EPS mais baisse des licenci s surtout filles Quels probl mes activit s supports qui accrochent les l ves repr sentation cr dible chez les jeunes leurs motifs d agir loisirs initiation probl me de l investissement en acte reconnue par tous Quelle position vis vis EPS et du sport EPS Enseignement obligatoire compl mentaire de d termination Option facultative EPS adapt e Cours le matin sport l apr s midi Pour diff rencier la didactique il faut apprendre bien observer Programmation des APSA limite les installations A partir de la culture sportive des repr sentations soc des l ves ou des effets recherch s Au carrefour des 3axes Forme scolaire de pratique d une APSA Situation de r f rence et d valuation ou de certification Choisir et construire les savoirs permettre leur appropriation d velopper le rapport au savoir Didactique g n rale optimisation de la transmission des contenus centr s sur les objectifs l valuation et didactique d une discipline Diff rence entre savoirs acquis par exp rience contenus l ments socialement existants et connaissances savoirs th oriques Ensemble des transformations que l cole fait subir aux savoirs et plus globalement aux pratiques pour les rendre enseignables P PERRENOUD 1994 Le d veloppement de mani re d
10. du nombre d l ves Penser aux incivilit s au climat Ce sont des comportements d expression comme les autres pour P KARLI EPS interroge EPS n 210 1988 Notion de souffrance de victime qui vit l agression L cole locomotive du quartier Y MILLION Enseigner l EPS da une ZEP Toulouse EPS n 274 1998 N cessit d avoir une quipe soud e un projet tablissement b ton une sociologie de la violence l cole est d abord une sociologie de l exclusion E DEBARBEIUX l a haine l cole le nouvel observateur 20 janvier 1999 JY ROCHEX la violence l cole Ecole et lien social 1994 identifie par rapport au Rapport la loi la violence l cole la violence l gard de l cole a quoi sert l cole et la violence de l cole sentiment d e pi ge L SARAZIN plaide en 1999 l valuation en EP est elle une violence EPS n 275 1999 La violence n est pas une fatalit Elle est un d fi B CHARLOT La danse pour le pti gars des quartiers c est une violence norme Colloque SNEP Ce qui s apprend en EPS 1996 VIOLENCE DELINQUAN CE Il n y a pas d effort r el c d engageant la personne ds sa globalit sans un int r t pour les objets E CLAPEREDE la motivation en contexte scolaire est un tat dynamique qui a ses origines ds les perspectives qu un l ve a de lui m me et de son environnement et qui l incite choisir une acti
11. exploit e par ce dernier VO2 max Intervention combin e des 3 processus d s le d but d l effort CF tableau 32 p 237 VO2 max augmente r guli rement avec l ge jusqu 18 ans pour gar ons et 14 ans pour les filles Valeur plus imp chez le gar ons Mais rapport au poids VO2 max constante chez gar ons et d croit chez les filles cause de l augmentation du tissu adipeux au moment de l adolescence OXYGENE INDISPENSABLE La conso d O2 VO2 augmente d s le d but d l exercice puis atteint un plateau VO2 max cette valeur correspond la capacit max du m tabolisme a robie c d la quantit max que les muscles peuvent consommer Elle varie avec l ge et l entrainement Annoter qu entre le d but de l exo et la phase d quilibre le sujet d pense plus d nergie que son m tabolisme a robie lui en a fournit compl ment apport par AA et AL Ce diff rentiel correspond la dette d 02 que le sujet va devoir rembourser la fin de l exo on observe ainsi une quantit d O2 sup rieure la valeur de repos de repos Pour r tablir les stock initiaux de glycog ne et de transformer le lactate en pyruvate pour le consommer ensuite ds le cycle de Krebs PMA puissance m ca d velopp e au moment o est atteint VO2 max assimilable VMA ds les courses peut toutefois diff rer entre individus ayant une m me VO2 max notamment cause de la technique Le seuil ana robie pertinent comme c
12. justice et l quit ainsi que le respect et l autorit CHOMAGE Lien entre savoirs et citoyennet Instruire duquer Toute politique ducative s enracine dans une id ologie LM LEGRAND Les politiques de l ducation Que sais je n 2396 1994 Projet et mise en oeuvre Le regard de la philosophie de l ducation G MIALARET P dagogie g n rale PARIS PUF 1991 qu il ne peut y avoir d ducation sans philosophie c d sans r flexion et connaissance de son action La philo de l ducation d cline en 3 Q axiologique a t on le droit et le devoir d duquer ontologique quels sens donner aux finalit s aux m thodes aux contenus pist mologique qui s adresse t on quel contexte temporel et sur quoi intervient on L ducation c est l action d une culture sur une nature J ULMANN Sur quelques probl mes concernant l EP EPS n 81 1996 O REBOUL La philo de l ducation Que sais je n 2441 1994 la fin de l ducation est de permettre chacun d accomplir sa nature au sein d une culture qui soit vraiment humaine Une ducation r ussie est celle qui donne envie et les moyens de la poursuivre O REBOUL Qu est ce qu apprendre 1980 Combien de jeunes quittent l cole sans dipl me S FREUD consid rait l enseignement comme un m tier impossible car on peut tre sr d une succ s insuffisant dans la mesure o le trava
13. l EPS AFRAPS 1989 L cole d veloppe 4 types de culture scripturaire rationalit artistique et corporelle M DEVELAY EPS discipline scolaire Contre pied n 1 1997 Question du transfert 2 me objectif le patrimoine culturel la voie d une cologie scolaire qui int gre acculturation et d veloppement personnel nous semble exploitable EPS Am lioration du corps et de ses pouvoirs 1er objectif La motricit objet 1er de l EPS capacit s et ressources analyse des CE dans une triple logique culturelle logique de l activit et d veloppementale sollicitation et d veloppement des ressources 3 OBJECTIFS Le d veloppement et la mobilisation des ressources individuelles favorisant l enrichissement de la motricit L ducation la sant et la gestion de la vie physique et sociale L acc s au patrimoine de la culture physique et sportive Une finalit L EPS a pour finalit de former un citoyen cultiv lucide autonome physiquement et socialement duqu BO coll ge Ao t 2008 Projet EPS 4 caract ristiques du projet p da c est un outil pens comme un ensemble articul d objectifs et de moyens destin s les r aliser M MALGLAIVE La formation altern e des formateurs Revue fran aise de p da n 30 1975 c est un outil collectif c est un outil collectif et unique c est une r ponse originale une situation unique Mais des fois ce n est
14. l ve et la face subjective de l exp rience scolaire li aux mobiles d apprendre des l ves Un syst me d rapport au monde SENS lutte contre chec scolaire exclusion violence pa nac e aux maux Entretenir l activit JPF Motivation et perf sportives in rencontres chercheurs praticiens Dossier EPS n 35 1997 d finit la motivation comme le produit de la confiance en soi par la valeur de la tache Confiance en soi plus important image qu a l l ve de ses capacit s plus important que ses capacit s m me 3 variables influe sur confiance en soi 1 L interpr tation des r sultats ant rieurs 3 dimensions dim de causalit de stabilit de contr labilit ressenti par le sujet degr de g n ralit globale ou sp cifique l impuissance apprise les optimiste et pessimistes attribuer cause interne en cas d r ussite et causes externes en cas d checs 2 les croyances d efficacit personnelle appr ciation de ses moyens et estimation du contexte St de comp tence estime d soi 3 les croyances sur la difficult de la tache perception anticip e de ressources n cessit e par la tache Importance sur le nombre d l ves susceptibles de la r ussir La valeur de la tache D termine la probabilit d tre choisie par un individu Attrait qu elle repr sente JPF en d gage 4 composante 1 la valeur d atteinte importance que le sujet accorde la tache parce qu
15. leur apporter conseil et soutiens personnalis s avec le souci de les rendre acteurs de leur progression Circulaire du 23 mai 1997 mission du prof Projet d tablissement Avantage politique cr dibilit de la discipline p dagogique planification et r gulation d l enseignement et personnel enseignant au centre des d cisions et solidaire des autres adaptabilit de la discipline Dans un EPLE L AS offre ce niveau des occasions concr tes d organisation et d prise de d cision CONTRAT DIDACTIQUE et PEDAGOGIQUE 1 Effet pygmalion les croyances en EPS 5 sortes DURAND et J RIFF in relation p da et appss en EPS effets des croyances de maitres et l ves ion JPF P FLEURANCE et Y TOUCHARD Appss mot r le des repr sentations 1991 2 l effet topaze on gomme les connaissances vis es Ex de la dict e moutons Ss 3 L effet Jourdain Moli re l enseignant admet de reconna tre une connaissance savante dans les comportements de r ponses des l ves 4 l effet boomerang traduit l effet contraire aux attentes Diff rence entre contrat social et contrat didactique Le 1er est r soudre prioritairement Rapport de compl mentarit entre l ves et enseignant plut t que hi rarchiser ECHEC moyenne nationale Le mauvais l ve incarne le miroir bris obligeant l enseignant faire le deuil de sa bonne image F LABRIDY NI banalisation ni dramatisation in M thodologie et d didactique e
16. memes sujets qui r ussissent en d but et en fin d appss 1 modif meme minime de la tache transforme les aptitudes sollicit es ex hteur de poutre La pbK appss Emt appdre consiste pr l l ve se confronter ou r agir ou s adapter en fn des th ories l Env mais cette confrontaO n est possible que si l E lui autorise le met en sc ne c est l E qui apprend l l ve APPRENDRE Apprendre c est r ussir et comprendre pour PIAGET Apprentissage est un processus actif d adaptation J PAILLARD R actif et pr dictif deux modes de gestion de la motricit 1990 c d qu apprendre consiste mobiliser autrement ces ressources face une tache qu on ne sait pas r soudre L OBSTACLE l objectif principal de formation se trouve dans l obstacle franchir et non dans la t che r aliser P MEIRIEU Guide m thodo pour l laboration d une situation probl me Apprendre oui mais comment 1988 Obstacles de 3 natures diff rentes pist mologique constitutif de la tache elle m me ontog n tique li aux potentialit s d l individu ou didactique qui rel ve du choix des actions La tache n est qu un habillage de l obstacle L obstacle est invisible JP ASTOLFI 1992 envisage 3 degr s dans le traitement didactique des obstacles 1 le rep rage prise de conscience des l ves de leur propre mode d fonctionnement 2_ la fissuration remise en
17. organisation successives notamment lorsqu on envisage les apprentissages ds des situations complexes APSA Le processus d appss est un processus vertical faisant progresser le d butant travers diff rents niveaux d habilet s D un niveau l autre il n y a pas simplement changement quantitatif mais des restructurations qualitatives l volution est donc discontinue R organisation des ressources concerne ce qu il y a faire Le probl me est donc bien de faire voluer les repr sentations Nous n en sortirons pas sans cette vidence c est l l ve qui apprend et lui seul Il faut partir de l l ve de son v cu ses besoins et int r ts et lui fournir pour les d passer P MEIRIEU L cole mode d emploi 1990 De l aptitude la performance motrice l aptitude potentiel de l indU JP FAMOSE et M DURAND Aptitudes et perf mot 88 Eds Revue EPS d f l aptitude comme des carat ristiques indUL stables cstes ind pendantes et inchang es par la tache r alis e Elles st en gde partie g n tique et se dvpent en se ciant durant l enfance et l dolescence ss l effet de al maturation et de l exo Ils distinguent aptitudes cognitives psychomot et physiques E A FLEISHMAN et W E HEMPEL 55 ont montrer que les aptitudes sollicit es varient selon les momts de l appss les aptitudes cognitives s effacent dvt les aptitudes mot ce qui fait que ce ne st pas les
18. ou de coh rence histoire personnelle Dim d autonomie Dim d action c est par l engagement l action sur le objets que je me construis Dim de valeur ce que je fais est valoris par autrui et par mes propres yeux S manciper de sa famille se diff rencier par le travail LE sens imaginaire La beaut la mort le danger la libert la peur de l eau Epist mologie de la didactique E VELLAS donner du sens aux savoirs l cole pas si simple in construire ses savoirs construire sa citoyennet 1996 donne 3 pistes 1 d velopper la vari t de sens Faire saisir le sens reliant les savoirs envisager le sens ds une perspective intrins que et extrins que sens de l objet lui m me et le multiples sens que peut prendre le savoir ds la soci t Ds cette perspective l enseignant doit pouvoir remplir 3 fonctions 1 rotique d sir du savoir didactique permettre l appropriation du savoir mancipatrice permet chacun d voluer B CHARLOT Li au rapport au savoir e relation de sens et donc de valeur entre un individu ou un groupe et les processus ou les produits du savoir Raison d accroche au savoir et au rapport l instituions relation de sens et dc de valeur entre Un individu et l cole comme lieu ensemble d situations et d personnes Reconna tre une utilit en l cole JY ROCHEX e sens d fini comme un rapport entre la face objective de l activit d l
19. qu une r ponse une exigence institutionnelle c est un outil collectif unique et volutif son volutivit est fondamentale pour conserver son utilit et sa pertinence Le projet p da comme facteur de transformation Il doit viser plusieurs finalit s Clarifier et sp cifier les objectifs R flexion politique Qui veut on former 3 param tres pour choisir les obj l analyse des l ves caract ristiques de l tablissement les textes qui organisent l cole et la discipline D finir les modalit s d organisation A partir des obj mais aussi des ressources et contraintes mat rielles humaines et institutionnelles on peut faire d autres choix Pr ciser les acquisitions attendues Les penser en termes d apprentissage et non de cycles Evaluer les diff rentes tapes du projet p da Pour qu il demeure l outil principal d organisation p da et didactique de l enseignement de la discipline au service de la transformation des l ves EPS en ad quation avec cette triple intention former par la pratique des APSA un citoyen cultiv instruire lucide autonome former et responsable duquer de la conduite de sa vie corporelle prog lyc e 2000 D une discipline On retrouve chez J P CALLEDE Dire et ou faire Colloque de Limoges EPS et citoyennet 1997 ces 3 axes travers l ducation individuelle apprentissage des r gles la communication l ments de la culture et
20. question de la repr sentation pour aboutir a une d stabilisation conceptuelle attention d stabilisation affective 3 le franchissement phase de reconstruction fonction d tayage d volue l enseignant est essentielle Attention aux activit s d ploy e qui permette de r ussir sans apprendre P MEIRIEU 1990 Transformation le sujet se trouve dans l impossibilit avec les ressources dont il dispose de faire face aux contraintes que lui impose la tache Conflit sociocognitif pour faire merger de nouvelles repr sentations LIMITES d magogie sociale ou diff renciation l extr me LIMITES ces ont bien souvent les contraintes mat rielles et les affinit s des enseignants qui pr sident aux choix de celle ci TOUTEFOIS LES TEXTES SONT PLUS AMBITIEUX LES 5 CP Plaisir tat motionnel agr able r ponse affective positive Impact d e l aventure collective J BIROUSTE l l ve prouve d autant plus de plaisir qu il a d t tonner et s y prendre plusieurs reprises pr r aliser la tache Le r le du coll ge est aussi de faire en sorte que les l ves soient heureux d apprendre Le coll ge des ann es 2000 Suppl ment BO n 23 1996 L THOMAS Dossier EPS n 29 1996 l heure d EPS n a peut tre pas assez d temps pour apprendre apprendre mais elle peut apprendre le bonheur d agir Orienter le climat de classe vers la maitrise Subjectivit du plaisir propre ch
21. rapport difficult objective ressources disponible chez l l ve DD et P DURET lexique th matique en STAPS 1995 3 subjective DD correspond aux repr sentations du sujet l valuation qu il r alise des demandes de la tache JPF affine en disant cette valuation pr c de la perf et d termine son investissement par rapport ce qu ils pense de ces possibilit travers les perf des camarades Renvoi la quantit d effort consentie Lien entre motivation et difficult JW ATKINSON 1957 courbe en forme de U invers Position nuanc e par A KUKLA 1978 car difficult per ue gale la perception de ses possibilit s entrainera une repr sentation des efforts fournir perception de son habilet perso LE SPORT MONDIAL Repr sentativit de la France au niveau de l Europe et de la plan te Le sport en France Pratiques sociales de r f rence Organisation du monde sportif minist re UFOLEP Nouvel age du sport massification f minisation pratiques non institutionnalis es A ERHENBERG Le culte de la perf 1991 le sport est sorti du sport Il est devenu un tat d esprit un mode formation du lien social On pratique pr la perf l hygi ne le bien tre le plaisir les sensations UNSS AS fragilisation des AS notamment celles des lyc es nombre de licenci es filles Un projet national 1996 Pratique d APSA et apprentissage de la vie associative
22. sociales authenticit sens et points de rep res dans la pratique Permet la comparaison permet tous de s engager et fait merger les probl mes UTILITE DE LA REPETITION temps de pause entre les essais Pratique al atoire mois efficace que pratique st r otyp e pendant la phase d acquisition mais plus efficace en termes d apprentissage LE FEED BACK l ment indispensable ds l acquisition des mouvements on distingue 1 la connaissance du r sultat qui est l effet visible de l action les infos en retour sont compar es aux cons quences sensorielles attendues Et 2 la connaissance de la performance qui est en relation avec les op rations mises en oeuvre pr atteindre le but Mais attention ne pas exc der la capacit du sujet Etablir une relation de cause effet entre l intention et l action 3 aspects diff rents l a nature du FB le d lai du FB la quantit du FB attention accoutumance Dans une SA Sa construction influe fondamentalement sur le processus d apprentissage Respecter un l ve c est tre rigoureux avec lui dans la pr sentation des savoirs et l organisation des SA P MEIRIEU SNEP infos n324 1999 P GOIRAND Contre pied 1999 la citoyennet se construit au c ur des SA pratiquer un sport n a jamais permis de d velopper la citoyennet Travail de l enseignant de ces valeurs dans le processus d acquisition par les l ves L
23. tre acqu rir les instruments de la compr hension apprendre faire pour pouvoir agir sur son environnement apprendre vivre ensemble afin de coop rer et de participer avec les autres et apprendre tre panouissement dans la complexit de ses expressions et engagement D une soci t LE CITOYEN la LOI UN PROF AVANT TOUT une PERSONNE Il existe un effet enseignant ds la r ussite des l ves L attitude de l E est un l mt cl ds l efficacit de la le on d EPS Corr lation entre la personnalit de l E et l quilibre motif des l ves L attitude de l E comme l ment fondamental ds la transformation des l ves est notamment soulign e par P IRLINGER M METOUDI J VIVES La bonne p da EPS n 180 1989 Ils mettent en relief l autorit faire preuve de clart et de pr cision ds la communication et l aisance l assurance de l E le dynamisme le rayonnement d signe le ma tre qui d tient une certaine potentialit de s duction la pr sence la pr sentation et la disponibilit vis vis des l ves ont une imp pr leur repr sentation P GOIRAND Obstacles la formation pour les l ves et les enseignants EPS n 245 1994 identifie 3 obstacles enseignants pist mologique modes d pens e didactiques conception trop techniciste et psychologiques remise en cause de la comp tence professionnelle et de l mage de soi 1 rer qualit la
24. A propos du d veloppement organique et foncier l cole Dossier EPS n 29 1996 DEVELOPPEMENT ENERGETIQUE Les possibilit s motrices de chaque individu sont li es des caract ristiques neuromusculaire et nerg tiques qu on nomme qualit s physiques l illustration de l utilisation rationnelle qu un individu fait de ses aptitudes motrices peu volutives et individuelles et des habilet s qu il a d velopp es lors d son apprentissage M PRADET Les qualit s physiques et leur entrainement m thodique in MH BROUSSE B DURING JM LE CHEVALIER et M PRADET Energie et conduites motrices INSEP 1989 Dans le cadre de notre enseignement nous nous limiterons Force vitesse endurance et processus de production d nergie musculaire qui permet l expression de ces qualit s on aurait pu rajouter souplesse adresse quilibre et coordination selon les auteurs CF WEINECK 83 La force musculaire correspond la facult de s opposer ou vaincre une r sistance ext rieure D pend de la masse musculaire et de la structure du muscle nb et type de fibres du syst me neuro musculaire unit s motrices synchronisation de ces unit s et de facteurs li s l tirement reflexe myotatique de contraction suite un tirement bref Types d contraction excentrique concentrique isom trique et pliom trique excentrique puis rapidement concentrique D cliner en Force maximale force vitesse quan
25. Elle peut porter sur des modes d entr e des progressions ou des valuations Mais question de l quit P dagogie diff renci e J A MEARD P da diff renci e et h t rog n it des attitudes en EPS EPS n 241 1991 distingue 3 niveaux de diff renciation elles st lud es d mixage on s int resse aux progr s et aux obj de chq l ve ens de taches par niveau les facteurs motionnels et relationnels constituent les leviers de la participation et de la progression des l ves prestation des sous gr au profit de la prestation de chacun Attention R ussite non d magogique car elle doit tre le fruit d un apprentissage La p da diff renci e a pour souci permanent de faire atteindre un minimum tous et un maximum chacun JA MEARD P dagogie diff renci e et h t rog n it des attitudes EPS n 241 1993 la structure de la le on d EPS n cessite la participation et la construction des diff rentes r gles pr que l activit puisse fonctionner et transmettre des valeurs On cherchera la variabilit des SA Car apprendre c est s adapter JJ TEMPRADO Apprentissage moteur quelques donn es actuelles EPS n 267 1997 note que le type de pratique mass e ou distribu e influence principalement la performance que l apprentissage Tache analytique ou globale D une le on Le r le des pairs Ils favorisent l mergence des m canismes qui conduisent l
26. PROJET LOI DE d centralisation En Europe Un HUMAIN ET 6 Milliards d autres ERRARE HUMANUM EST De nombreux pays luttent actuellement contre l chec scolaire OR la r alit r siste cette lutte contre l exclusion des savoirs d une partie de la population Une exclusion qui pourtant emp che un tre humain d exercer pleinement n ses droits et devoirs de citoyen lt E VELLAS Donner du sens aux savoirs l cole pas si simple 1996 En ad quation avec la n cessit de former un individu adaptable LO 89 Id ologie et politique d un discours sur l ducation dimension axiologique humaniste pr que enfants auto finalise leur travail psychologique l individu est perfectible sociologique survie identitaire d un group social donn dimension ontologique la loi d orientation les missions de l enseignant traduisent les orientations du syst me ducatif dimension pist mologique a qui s adresse t on ds quelles conditions On rejoint le discours de la Ligue Internationale de l Education Nouvelle pour qui l ducation consiste favoriser le d veloppement aussi possible que complet des aptitudes de chaque personne la fois comme individu et comme membre d une soci t r gie par la solidarit CHOMAGE VIOLENCE Le rapport l UNESCO de J DELORS l ducation un tr sor est cach dedans 1996 distingue 4 piliers l ducation apprendre conna
27. S L cole pr pare t elle les adultes e demain bien g rer leur vie physique Dossier EPS n 22 1996Connaissance CONTENUS Prise en compte des dimensions culturelles anthropologie choisis en s appuyant sur l organisation motrice dominante de l l ve pist mologie et doivent tre pr sent de mani re engager l l ve dans une activit d production de technique dim psychologique Connaissances acqu rir PJP FAMOSE les recherches actuelles sur l apprentissage moteur In recherche et pratique des PAS Dossier EPS n 28 1996 proc durales si alors d claratives connaissance des th ories et objets strat giques exercer un degr de contr le sur son action selon M DURAND Apprentissage strat gies d recherche et optimisation de la perf In JP FAMOSE Cognition et perf INSEP 1993 affectives motions Sentiment d comp tence li au plaisir ressenti les habilet s motrices progr s obtenus que par r p tition Projet de l enseignant P dagogie du projet Permettre l l ve de se fixer soi m me un but des cons quence motivationnelles sentiment d libert et donc d plaisir DD et G GARSAULT apprentissage et utilit sociale que pourrait on apprendre ne EPS Dossier EPS n 29 1996 le plaisir li a un sentiment d autod termination lors des choix et des conditions de l action P GOIRAND LE projet d el l ve Spirales n 7 1994 l
28. a r ussite J BEAUDICHON M VERBA et F WINNYKAMEN Interactions sociales et acquisitions de connaissance chez l enfant Revue internationale de psychologie sociale n 1 1988 recensent l imitation le conflit sociocognitif la conduite parall le le tutorat la coop ration On retrouve tjs un tps d action un tps de concertation et un tps de r gulation La remise en cause des repr sentations est plus facilit e entre l ves de niveau de comp tence proche Certains plaident pour la dissym trie des comp tences F D ARRIPE LONGUEVILLE contribution l identification de processus cognitifs et de m canismes interactifs impliqu s lors d l acquisition en dyade d une habilet motrice complexe Th se de doctorat 1998 Limite ne d bouche pas tjs sur r flexion et peut g n rer effet inverse la m diation des autres n a de sens que de se permettre l exercice d pouvoirs nouveaux que chacun se d couvre O BASSIS Se construire ds le savoir 1998 Combiner les diff rentes formes de groupement importance de la qualit des relations entre les l ves pour progresser et oser Ils peuvent jouer un r le de FB D SIEDENTOP remarque que le succ s augmente mesure que le nombre de personnes diminue ds un groupe d apprentissage F D ARRIPE influence variable selon l habilet motrice valuation formatrice partir de crit res identifi s par l l ve lui permettre de r guler son apprentissage
29. actions soient au service d une pens e lib ratrice Permet l enseignant d avoir acc s aux repr sentations des l ves et de saisir les ventuels obstacles Climat de classe Groupe affinitaire Sentiment de s curit REPRESENTATION FONCTIONNELLE DES ELEVES interpr tation ou reformulation que se fait l l ve d un certain nombre d l ments d une tache et qui d clenche et guide le mouvement lien avec l apprentissage JP FAMOSE Apps moteur et r solutions d probl mes In JP FAMOSE P FLEURANCE et Y TOUCHARD L appss mot r le des repr sentations 1991 Les sujets exp riment s st plus sensible au caract re instable d une situation et la n cessit de garder une attitude adaptative Le d butant poss de un arbre des d cisions dont le nombre d ramifications est faible D BOUTHIER propose 4 phases pour construire d nouvelles repr sentations Contribution la transformation des repr sentations fonctionnelles des l ves en EPS L EPS ce qui s enseigne aujourd hui SNEP 1989 1 Une phase motivationnelle sens de la pratique 2 une phase de pr sentation des infos qui vt permettre au sujet d laborer un projet d action coh rent une phase d exp rimentation de ces hypo afin de les valider et les int rioriser 4 une phase d valuation de l action des r gles d action Exemple 2 contre 1 en Basket B haviorisme on apprend une solution LE PB fixe l
30. acun SITUATION Probl me P MEIRIEU Guide m thodologique pour l laboration d une situation probl me Cahiers p dagogiques n 262 1988 Int r t d l l ve mobilis par une nigme plac en situation de construction de ses connaissances on y respecte le cheminement d chacun sans renoncer aux objectifs communs on y int gre un travail m tacognitif mettant en rapport r sultats et proc dures mises en ouvre on s y construit autant qu on construit le savoir on s y construit autonome Activit de r solution de probl me passe le plus souvent par une phase de pr sentation des infos essentielles laquelle succ de une phase d exp rimentation Le processus se termine par une phase d institutionnalisation C AMADE ESCOT diff renciation des contenus en EPS in Diff rencier la p da en EPS Dossier EPS n 7 1991 activit cognitive de traitement de l information une alternative d cisionnelle et un d calage optimal SA triple perspective f gestion fine du d calage entre ressources l ves et contraintes de la tache d une sollicitation guid e par les pairs tout en veillant conserver l investissement LE BUT appara t comme un l ment cl l apprentissage JS BRUNER le d veloppement d l enfant savoir faire et savoir dire 1983 l intention est la repr sentation du but atteindre elle pr c de le savoir faire Distinction entre but prescrit et le
31. age optimal et diff renci e adapt e chacun pour d velopper les ressources de l l ve tout apprentissage provient d une transformation des conceptions initiales de l l ve A GIORDAN Les conceptions de l apprenant un tremplin pour l apprentissage 1996 Les mod les th oriques de l apprentissage moteur B havioriste cognitif sociocognitif Constructiviste cologique La pbK apprentissage d veloppement 2 hypos l volution la transfo du sujet est li e son dvpmt le sujet tait pr t ou son apprentissage sollicitation sp cifique et appropri e La pbK appss contr le moteur 4 gds courants concernant l appss li s la nature du lien sujet Env la concepO b havioriste l appss est le r sultat d 1 r acO l Env cognitiviste appss r sultat d 1 acO volontaire sur l env constructiviste appss est le fruit d 1 r organisation des Cns ant cologique appss r sultat d 1 adapO l Env Mod les qui int grent ces diff rentes dimensions st de en d actualit CULTURE Essence d une activit sens profond l activit c d aux repr sentations imaginaires symboliques ou r elles qui peuvent se d velopper et que l l ve doit pouvoir investir athl tisme se confronter la pesanteur Logique interne motricit g n r e par le syst me d r gles de l activit telle qu elle existe culturellement Athl produ
32. alitative un simple encouragement l attitude de l enseignant joue un r le important dans l apprentissage scolaire dans la mesure ou elle cr e un climat affectif indispensable l investissement du sujet NoO de contraint associ celle de ressources K NEWELL 86 en identifie 3 types qui vt d terminer l actT du sujet propres l organisme Envi sp la tache avoir une bonne condition physique c est disposer d un r servoir d nergie suffisant pour accomplir ses activit s quotidiennes sans accumuler la fatigue JF MARINI Condition physique in LE sport loisir 1985 LA vitesse facult d effectuer des actions motrices provoquant un d placement du corps ou d une de ses parties avec la plus grande rapidit possible pendant de courtes p riodes de tps ne faisant pas intervenir les notions de fatigue M PRADET la pr paration physique 1996 Insep VM ZATSIORSKI 1966 en distingue 3 formes vitesse de r action Phase d accroissement de la vitesse fonction de la force explosive importance de la sollicitation qualitative et quantitative des fibre rapides la fr quence gestuelle ou vitesse d ex cution capacit r aliser le mvt requis ds le tps le plus bref VR et VE progressent d mani re tr s nette entre 5 et 12 ans pour atteindre valeur max vers 13 et 15 ans Le d veloppent de la force contribue am liorer le tps d mouvement P riodes favorables au d veloppement des capa
33. but effectif peut tre source d erreur N cessit de clarifier le BUT atteindre S assurer que les l ves l ont compris Le but d clenche mais guide aussi JF CHATILLON Probl mes th oriques pos s par l analyse des conduites sensori motrices complexes 1985 Importance de la perception de la difficult du but par l l ve qui influe sur son investissement Diff rence entre tache morphocin tique production d une forme corporelle et t l ocin tique objectif spatialement rep r Pr cision du but appropriation plus efficace des CE en jeu JPF Apps mot et diff de la tache 1990 le but sp cifie au pratiquant l tat ou la condition atteindre comme r sultat d l activit RA SCHMIDT le but est fondamental car il organise l int gralit des phases de perception et de prise de d cision de la r ponse motrice Ce qui est appris ce n est pas le mouvement lui m me mais sa repr sentation La perception du but est l l ment cl de la transformation des repr sentations et que le sujet agit plus par rapport un but per u qu objectif travailler partir des repr sentations pour travailler en partir JP ASTOLFI 1997 Construire en interaction l apprentissage ne peut avoir lieu que si confront un probl me l l ve ne dispose pas dans son r pertoire des r ponses permettant d y faire face La construction d une nouvelle r ponse ne peut avoir lieu que si l
34. celle d autrui N cessit d une ad quation entre le comportement de l individu et le milieu ds lequel il volue Cr er un Habitus sant P BOURDIEU L habitus est un syst me de dispositions inn es et durables qui int gre ttes les exp s pass es et qui fonctionne chaque moment comme une matrice de perception d appr ciation et d action Elle explique les motifs de pratique des l ves Organisation de la vie physique d finit par les crit res qui permettent de pratiquer une APSA envie de pratiquer confiance en soi s curit et l entretien de la vie physique par ce qui permet la poursuite de la pratique habitudes de pratique bien tre physique et psychologique Comment prouver par les faits l l ve l int r t de pratiquer d entretenir sa sant 3 me objectif sant GSVP Interd pendance des notions de responsabilit solidarit autonomie et citoyennet qui se nourrissent mutuellement passer d une conception passive de la responsabilit de la s cu une conception active c d une conception bas e sur l anticipation la pr paration aux v nements futurs m thodo sur soi entrainement s curit relaxation mais r troactions difficiles transmettre dans cet apprentissage COGERINO 3gestion de la vie physique EPS n 251 1995 la sant en EPS se justifie par un bien tre physiques psychologique personnel travers une connaissance plus appr
35. cit s physiques Evolution des capacit s physiques avec l ge diff rence entre ge civil et ge biologique Impossible d affirmer pr cis ment les moments cl s Facteurs g n tiques d terminent grandement certaines capacit s VO2 max puissance musculaire l entrainement ne permet qu une augmentation de VO2 max de 15 254 Par contre la PMA peut tre grandement am lior e gr ce une mobilisation diff rente des ressources la force maximal peut voluer d mani re importante augmentation du nombre de myofibrilles et am lioration du potentiel ana robie P dagogie Syst me de relation d influence et de guidage utilis s par l enseignant pour favoriser l appropriation des savoirs Traitement didactique Etude des processus d laboration et d acquisition et de transmission des savoirs et savoir faire d une discipline A HEBRARD SENS L endurance Possibilit de soutenir pendant une longue dur e une activit plus ou moins intense Sous tendue par les processus a robie de production d nergie Diff rents types locale ou g n rale en fonction muscles mis en jeu sp cifique ou g n rale li e ou non une APSA statique ou dynamique selon la forme du mouvement courte moyenne ou d longue dur e inf 2min comprise entre 2 et 7 minutes sup rieur 8minutes L endurance est la fois un facteur de performance et de sant E VAN PRAAGH et L LEGER
36. corps B BLOOM et sa p dagogie d maitrise les aptitudes initiales d terminent le temps d apprentissage et non pas le niveau terminal Pour une r ussite du gd nb Les d rives de l valuation R DHELLEMMES L EPS mise en Q par l valuation in M thodo et didq de l EPS Dossier AFRAPS n 5 1988 instrumentaliste l valuation se substitue l Emt objectiviste on ne peut pas valuer ts les obj intellectualiste apog e des connaissances d claratives analyste valuer une prestation identique de multiples points de vue P MEIRIEU L cole mode d emploi 1990 l enjeu du m tier est de faire apprendre plut t que d enseigner L ducation est par excellence projet mais un projet aux fins lointaines minimum 10 ann es de scolarit obligatoire l ducation ne s enseigne pas proprement parler mais pour duquer quelqu un il est n cessaire de lui proposer divers apprentissages A HEBRARD a toutes fins utiles Dossier EPS n 29 1996 Les deux probl mes essentiels sont de g rer culture scolaire et culture juv nile selon F DUBET Ecole la question du sens 1997 La seule voie envisageable est celle de la discrimination positive o la communication doit avoir une place centrale L enseignant est capable d identifier et d analyser les difficult s d apprentissage des l ves de tirer le meilleur parti de leur r ussite et de
37. e D donne son ballon au NPB contourne D puis r cup re son ballon pour aller tirer Limite le probl me du rapport de force n est jamais pos Cognitif On apprend choisir le PB doit identifier le contexte et la nature du rapport de force avec D pour choisir la meilleure d cision Limite la confrontation une difficult ne garantit la bonne r ponse Sociocognitif la r solution du 2c1 se fait par orientation mat rialisation communication int riorisation et r flexion du mod le d action Limite l E peut il identifier tous les param tres de la base d orientation concernant t le rapport de force et les g rer pour tous Constructiviste on multiplie les passages en faisant varier les param tres d placement du partenaire de D temps d action temps d r flexivit afin de se d centrer du seul r sultat au profit des moyens mis en oeuvre quel d calage optimal Ecologique le milieu structure la r ponse essai erreur est on capable d organiser suffisamment le milieu pour qu il induise le bonnes r ponses Le mod le constructiviste social et interactif P JONNAERT et C VANDER BORGHT Cr er les conditions d apprentissages Bruxelles 1999 Construire JP FAMOSE Vers une th orie de l enseignement des habilet s motrices i n M LAURENT et P THERME L enfant par son corps 1987 la construction de savoirs faire moteurs n ob it pas une logique lin aire et s effectue par r
38. enseignant intervient dans une situation pour faire merger chez l l ve une nouvelle r gle qui est ainsi bien construite par les apprenants le savoir est construit par des l ves acteurs de leurs actes A DUNY Projet et citoyennet LA r gle devient vidente et manifeste car elle permet le jeu et son bon fonctionnement JAM ET SB montrent ainsi que si on arrive modifier le rapport de l l ve un groupe de r gles on modifie de mani re plus large le rapport qu il entretien avec les autres groupes d r gles 2l ves de 6 mes C est un ternel chantier car les r gles sont multiples DECALAGE OPTIMAL lorsque les infos fournies par la tache peuvent tre assimil es par les l ves mais font surgir en m me temps des contractions et de des conflits qui sollicitent un d passement de son mode de fonctionnement actuel L ALLAL Strat gies d valuation formative in l valuation formative dans un enseignement diff renci 1979 Son r glage est bien souvent exp rimental 1 r duire l incertitude spatiale temporelle ou v nementielle faire varier la complexit perceptive d prise d d cision de l acte moteur de la tache en relation avec le feedback quantit et qualit Exemple en TT JJ TEMPRADO ET C SEVE Prise d d cision et sports d balle in rencontres chercheurs praticiens Dossier EPS n 35 1997 faire varier le nombre d alternatives possibles la pression tempore
39. est pr l enseignant de rendre plus m diatique les infos acqu rir en adaptant es communications aux l ves JP ASTOLFI 1993 in d pendant du champ contexte affectif et social de l appss visuel auditif restitue le savoir en se racontant le d roulement ou en s en figurant les l ments r flexif impulsif diff rer pu pas la r ponse centration balayage centration sur 1 ou plusieurs l ments simultan ment accentuation galisation recherche diff rence ou ne retient que les l ments g n raux production consommation attitude engag e ou reproduit Dans une classe Souvent mixte L ge le degr d expertise et le type de tache explique les variations ds les diff rentes tapes du TI Stades d apprentissage verbal associatif automatique Ce ne sont pas les m mes l ves qui r ussissent en d but et en fin d apprentissage Au cours de l apprentissage on g re mieux ses ressources nerg tiques et informationnelles Progr s r sident dans une utilisation plus efficace Ne pas exc der les capacit s d perception des l ves ds la construction d une SA r p ter une tache de difficult max n entraine aucun progr s Les enfants sont de la difficult s int grer de infos provenant de diverses modalit s sensorielles en un ensemble ayant une signification DIFFICULTE DE LA TACHE JP FAMOSE Apprentissage moteur et difficult de la tache 1990 1 objective 2 relative
40. gner 1997 il arrive m me que ce qu on appelle l erreur ne soit en r alit qu apparence et cache en r alit un progr s en cours d obtention Et pour les l ves difficiles P LEFEVRE EPS les classes difficiles EPS n 248 1994 souligne qu il n existe pas une p da particuli re pr ces classes c est la m me qui doit tre cependant mieux d finie mieux adapt e et mieux appliqu e lt En EPS les comportement s instrumentaux au sein de l action de nature physique pousser bousculer et les tricheries Les comportements r actifs en dehors du contexte d une action de jeu de nature verbale crier et de nature physique bousculer frapper un adv P GOIRAND Sport violence et EPS Contre pied n 4 1999 montre que la violence n est pas un exc s d prise de risque mais le contraire L cole doit offrir l l ve un autre risque que celui d chouer Selon M CLEMENT et P LORCA violence scolaire et enseignement l EPS a t elle un r le jouer EPS n 267 1997 se centre sur l analyse d e APSA et son traitement didactique pour minimiser les comportements violents L id e forte est que le contenus peuvent devenir disciplinant A DAVISE Question du sens Confrontation au r le d arbitre par exemple De la loi comme entrave la loi comme moyen pour jouer Voir stat scolaires Importance de la personnalit du chef d tablissement ou
41. il n est jamais fini On retrouve ces dimensions ducatives travers les missions de l enseignant former d veloppement des aptitudes et capacit s duquer valeurs et instruire connaissances et comp tences Du syst me ducatif J A MEARD et S BERTONE L l ve qui ne veut pas apprendre en EPS EPS n 259 1996 distingue 3 tapes de l anomie absence de r gles l h t ronomie ob issance avec contr le ext l auto r gulation reconnaissance de la n cessit de la r gle l autonomie n gociation de la r gle Cette perspective relativise le concept de projet de l l ve but rep res r ussite obstacles L autonomie peut se d clinent sur des aspects affectifs intellectuels psychologiques et relationnels La citoyennet solidarit et responsabilit A ETCHEGOYEN Des libert s sous influence 1997 distingue la civilit apprentissage de la socialisation du vivre ensemble le civisme c d les valeurs telles que solidarit honn tet respect d autrui et la citoyennet prise de responsabilit d cision Le praticien r flexif La comp tence pro de l E proc de de son exp et surtout de l exp r fl chie c d d une action mise texte M DURAND et G ARZEL 1996 Le but est de comprendre que les incidents critiques v nement jug n gatif qui intervient ds la situation d Emt qu ils soient didactiques ou p da st in vitables et que c
42. ire SA attractives viables ne remettent pas en cause son image son estime d soi et exploitables aux yeux des l ves Un l ve Projet de l l ve se fixer et ou identifier le but et faire le pari qu il peut utiliser des rep res lui permettant de se positionner d analyser ses r ussites et ses difficult s pour progresser vers l objectif Potentialit s relatives aux dimensions biologiques processus a robie relationnelles positionnement par rapport autrui motrices coordination informationnelles traitement de l info psychologiques motivation et m thodo gestion de l effort Ressources P DURET et DD Lexique STAPS 1991 ensemble des outils dont dispose un sujet pour satisfaire au x exigences des taches auxquelles il est confront de l ve bio m ca bio nerg tiques bio informationnelles bio affectives JP FAMOSE1983 LE SENTIMENT DE COMPETENCE influe fortement sur ces repr sentations JPF R le des repr sentations cognitives de la difficult de la tache et de l habilet du sujet dans l apprentissage moteur et la difficult a apprendre in JPF P FLEURANE Y TOUCHARD L appss moteur r le des repr sentations 1991 Montre ainsi que l investissement des sujets d pend troitement de leur d sir pr server leur propre estime de soi ainsi que la satisfaction du sentiment de comp tence Il faut augmenter la signification subjective de
43. ire une perf pr raccourcir le tps largir l espace ou se confronter des adversaires signifie que le chrono le m tre l adv doivent tjs tre pr sent Le probl me fondamental MERAND 1985 probl me auquel doit tjs tre confront l l ve LA CULTURE SPORTIVE est VARIEE MULTIPLE ET MOUVANTE Analyse anthropologique des pratiques pour s ouvrir aux nouvelles pratiques mais en s assurant de l acc s ce qui donne sens cette pratique Eviter la d magogie Diff rence entre pratique de loisir amusement et l effort voulu par l cole Pratique souvent individuelle donc n cessit de socialisation Ad quation EPS et r alit culturelle n cessaire Mais travail sur les repr sentation sociales d veloppement de la notion d effort en lien avec le plaisir et incorporation des valeurs ducatives AS espace d pratique original visant offrir aux l ves les conditions d un v ritable attrait source d expression et par l de citoyennet en acte M DURAND chronom tre et surv tement 2001 Je crois profond ment que certaines formes de pratiques sportives sont sources de joie et d plaisir Elles sont galement l occasion de se d passer et d affirmer des principes mes yeux essentiels comme le respect d autrui et l authenticit Elles offrent galement l opportunit d exp rimenter ou d acqu rir des valeurs d galit d entraide de coop ration et de convivialit
44. it ou de l exp rience scolaire la relation entre origine sociale et r ussite scolaire n est pas u Ne fatalit mais un ph nom ne complexe qui volue B CHARLOT le sens des tudes ne va plus de soi on va l cole pr apprendre est d pass L El ve en chec rejettent le syst me pr pr server leur estime d soi Retrouvons une culture r publicaine socle commun valuation quelle logique scolaire R le et caract ristiques de l valuation 5 fonctions R BEGARRA obj buts et finalit s de l valuation INRP 1980 communiquer l valu d o la n cessit d un code d crire rendre compte l aide de crit res de la situation et de son volution comprendre en multipliant les infos pr voir vis e prospective gr ce une attitude dynamique de l enseignant d cider faire un choix par rapport aux obj fix s et aux observations r alis es Interdisciplinarit Toute les disciplines participent aux finalit s du SE duquer instruire Transmettre des m thodes de travail LO 89 D velopper la personnalit lever niveau de formation ins rer l l ve dans la vie sociale exercer sa citoyennet 3 types de rapport entre EPS et aux autres disciplines identit objectifs communs compl mentarit s SVT effort hygi ne arts imaginaire musique ducation civique l histoire aux TICE Originalit le support
45. l ve se trouve en situation d chec Soul ve 3 probl mes 1 celui du sens m me de l apprentissage 2 Celui de la pertinence de l apprentissage ZPD L ALLAL d calage optimal 3 celui de la motivation l apprentissage attention la dur e d l chec l habilet ce que le sujet peut r aliser D f par B KNAPP 77 comme tant la capacit produire un r sultat pr d termin avec un max de certitudes et un cout nerg tique min Taxonomies d habT nbreuses J PAILLARD distingue les topocin ses mvts finalis s par l atteinte d 1 obj spatial et morphocin ses mvts projet s ds l espace en fn d 1 modL int E C POULTON place les habT sur un continuum d ouvert ferm en fn de l incertiutde spatiale et temporL La perf c est l acualisaO hic et nunc de l habT JP FAMOSE la d f comme le r sultat de l activiT percu mesur et valu Ms la perf comportmt En cela il n est pas forc mt li l expertise Aptitude Apprentissage habilet Entrainement Performance Mat rialisation efficace pour guider efficacement Plaidoyer pr une utilisation scolaire d APSA culturelles Choix par rapport aux l ves contexte local go t suppos progr s potentiels quilibr en fonction du type de relation aux effets recherch s Traitement de l activit que va en faire l enseignant L O 89 il s agit d instaurer une v ri
46. la tache et confronter le sujet des objectifs r f renc s lui m me de mani re d velopper une vis e de progr s personnel les syst mes d valuer voluent avec l ge S HARTER 1978 physique pour els enfants sociales pour les ados et cognitives pour les adultes repr sentation que se fait l l ve de ses possibilit s de r aliser une tache ou non li difficult per ue et l interpr tation de ses r sultats le succ s qu un individu conna t ds une situation s accompagne d affects positifs de plaisir d un sentiment de comp tence qui en retour vont accroitre ou au moins pr server sa motivation l gard de la tache qu il vient d accomplir M DURAND 1987itant S HARTER 1978 D veloppement des ressources nerg tiques min 3 s ances hebdomadaires d une dur e de 30min avec une intensit sup rieure VO2 max pour l a robie BAR OR M decine du sport chez l enfant 1987 D veloppement des ressources cognitives ducation la prise d infos pertinentes et la prise de d cisions importance d l activit du sujet et de la r p tition afin que les r gulations puissent se mettre ne place D veloppement des ressources affectives d veloppement de la pers v rance du go t l effort Meilleure mobilisation et peut tre d veloppement non calculable mais surtout entretien Cr er les conditions d une mobilisation affective plaisir effective d cal
47. la participation A DAVISSE 1997 il faut construire des contenus disciplinaires disciplinant Enseignant est l artisan de la r ussite de tous et de chacun Si r ussir c est transformer un comportement qui chouait cela suppose l acceptation par le sujet de l id e m me de transformation susceptible d engendrer dans un 1er tps un chec L enseignant devra cr er les conditions d un vouloir investissement affectif plaisir r ussir d un pouvoir contraintes des taches d calage optimal r ussir et d un savoir rendre conscient des outils utilis s r ussir ECHEC EN EPS 1 l avualtion porte encore sur des aptitudes 2 ne pas trop fonder l EPS sur ces capacit s d abstractions d compr hension 3 le rapport au corps 4 in galit des sexes L l ve qui choue c est celui n a pas acquis ds les tps pr vus les savoirs que l institution ds les programmes pr voyait qu il apprenne V ISAMBERT JAMATI quelques rappels de l mergence d l chec scolaire comme probl me social dans les milieux p da fran ais 1985 Probl me d int gration de la loi P MEIRIEU Etablir une valuation faisable fiable validit des relev s et fid le valu ce qu on a enseign A HEBRARD l EP ds l cole In EP scolaire personne et soci t 1997 l EPS est bien une discipline scolaire en ce sens qu elle transforme fa onne utilise des fins d ducation les prati
48. leurs intention commune ttes les disciplines Pour faire comprendre aux l ves la port e des valeurs qui st la base de nos institutions Missions du prof L attitude le comportement l investissement l enthousiasme sont autant d l ments qui font que l on enseigne aussi et avt tout ce que l on est Ce qui me para t fondamental ce qui vraiment m int resse c est le r le ducatif des profs de gym comme on dit Le prof de gym est aussi prof de qqchose d autre il est aussi ducateur et ds l enseignement actuel il est l un des rares peut tre le seul d cloisonner sa discipline aborder l enseignement sous l angle d une ducation totale et c est ce qui m int resse en EPS O REBOUL EPS n 229 1991 LA mixit permettre tous d acc der une culture commune ce qui ne signifie pas forc ment co pratiquer Exemple en gym l acrobatie pour les gar ons et l esth tique pour les filles L galit en gym c est bien d amener faire vivre tous le d fi et l l gance Attitude r flexive de l l ve Etienne et coll Le projet de l l ve 1992 Pas d apprentissage sans connaissance du r sultat C GEROGE Apprendre par l action 1983 D un cycle JA MEARD ET S BERTONE l l ve qui ne veut pas apprendre en EPS EPS n 259 Distingue 5 types d r gles institutionnelles du jeu sportif r gle groupale r gles d appren
49. lle la pr cision requise la proximit de la r ponse requise par rapport aux coups pr f rentiels du joueur 2 Focaliser l attention de l l ve sur les stimuli pertinents progr s viennent ds la mani re dt les infos st pr lev es Cf FAMOSE et la trace bleue en ski Le d calage peut tre de nature nerg tique informationnelle et affectif Acad mie de Lyon J L UBALDI Enseigner l EPS en milieu difficile Dossier EPS n 40 1998 d gage 7 principes fondateurs pr intervenir en ZEP respecter la culture de l APS ritualiser la pratique organiser la K du r sultat avec des indic concrets d valuation diff rencier le travail permettre la r ussite de tous donner du sens aux apprentissages favoriser l autonomie Rapport au corps de l vitement la confrontation Construction individuelle subjective fruit d l exp rience d e histoire individuelle Motif d agir cause rationnelle et mobile d agir cause affective M DEVELAY Pour une p da du sens Spirales n 4 1992 combine la notion de d sir pulsion et d int r t b n fices Dimension tr s personnelle chaque acteur a u Ne th orie de ce qui le fait courir Il faut faire du savoir avec du d sir et du d sir avec u savoir P MEIRIEU 1995 apprendre oui mais comment Notion de sens articul e avec celle de rapport l apprendre logique appr hend e dans une perceptive intellectuelle affective relationnelle iden
50. mplissement volont d montrer que l on poss des qualit s culturellement d sirables Volont de t moigner d une maitrise de la tache recherche d approbation des autres Li parfois au besoin d affrontement montrer qu on est comp tent ou ne pas para tre ridicule JPF Buts de comp tition recherche de sup riorit ou de maitrise buts d apprentissage li s la notion de progr s Buts varient selon le sexe et l ge DURAND observe que la motivation est plus forte en situation de comp tition que de maitrise L amusement finalit le plaisir comment justifier le plaisir de mani re institutionnelle DD et S PEREZ Le plaisir per u ds la pratique des APS STAPS n 45 1998 l entr e en pratique et la pers v rance long terme reposent sur des d terminants distincts le principal facteur sous tendant l adh sion prolong e une pratique est le sentiment de plaisir que cette derni re procure aux individus L affiliation et peur du rejet d autrui Ado cherche se singulariser et s identifier Faire partie d une quipe et viser de performances collectives lev es M DUARNAD ds l enfant et le sport 1987 Le d sir mim tique on d sir ce que l autre d sire La SR trait d union entre pratiques sociales et pratiques scolaires J MARSENACH EPS quel enseignement 1991 la d finit comme un ensemble de conditions permettant aux pratiquants de se situer par rapport aux pratiques
51. ofondie de soi une meilleure estime de soi un aspect relationnel aspect pr ventif et s curitaire Mobilisation pertinente des ressources ds la perspective d leur entretien voire de leur am lioration Rep res pour ailleurs et plus tard tablir lien entre sa pratique et les sentiments qu il ressent notamment plaisir de pratiquer gout d l effort et panouissement personnel Comp tences mobilisation des ressources G LEBOTERF De la comp tence essai sur un attracteur trange 1994 et connaissances incorpor es savoirs et conscientis es CP et CMS Ex en natation Travailler sous forme de contrat atteindre les savoir nager 3 enseignants pr 2 classes gr de niveaux motivation PRO JET et POST JET Dans un cursus D DELIGNIERES et C GARSAULt Apprentissage et utilit sociale que pourrait on apprendre en EPS Dossier EPS n 29 1996 plaident pour la formation d une citoyennet sportive sur 5 plans viser la gestion de la s cu ds les pratiques risque la gestion de son capital sant au travers de la pratique des APS la gestion de ses apprentissages et de Sa pr paration la pratique une formation la gestion collective de projets une formation la conso clair e et critique du spectacle sportif Les routines F V TOCHON L enseignant expert 1993 d f les routines comme des plans int rioris s par l exp automatis s qui guident l action ds une direction la favo
52. pliquer et ne pas forcement conscients des buts qui les animent la r ussite est facteur de motivation mais a condition qu elle est de la valeur pr le sujet la construction des SSA avec d calage optimal l objectif doit tre pens en terme d contr le par et pr l apprenant enfin l encouragement l environnement humain doit tre favorable Strat gies d protection JPF 1997 Auto handicap se pr parer des excuses qui s viront en cas d checs Le pessimisme d fensif faible confiance en soi se donne des faible chances de r ussir pour se r parer un chec potentiel L auto affirmation recherche d autres bases positives que la comp tence sportive d l activit par exemple la dim relationnelle L autopromotion accorde une faible importance aux domaines o l on se sent d ficient et inversement Les attributions self serve s attribue une responsabilit personnelle qd il y a r ussite et rejette tte responsabilit en cas d chec Enqu te INSERM diff rence de pratiques ext rieures entre filles et gar ons au coll ge et lyc e et lyc e pro La paye des femmes et des hommes diff rentes Idem diff rence de licenci s filles et gar ons UNSS avec un net recul avec l ge Au BAC les moyennes sont aussi diff rentes En mati re de sport tre champion n est videmment pas donn tout le monde Mais tre sportif citoyen est peut tre la port e de tous PJ DOULAT et R NE
53. ques sociales auxquelles elle pr pare Il est couramment admis que la pratique physique a des effets b n fiques sur la sant L accroissement de la min ralisation osseuse la r duction du risque cardio vasculaire la limitation de graisse dans le corps le renforcement de la ceinture abdominale la diminution de la tension art rielle l am lioration du fonctionnement cardio respiratoire etc mais aussi des facteurs plus larges telles que l estime de soi un meilleur contr le motionnel un rel chement mental etc La maladie l ob sit la d pression Contexte marqu par une diminution du tps de travail volutions des styles de vie s dentarit hygi ne de vie prolongation de la dur e de vie et les loisirs SANTE bien tre physique social et mental Conception dynamique de la sant JP KORALSZTEIN la sant l preuve du sport 1986 en insistant sur l panouissement du sujet El ve Futur consommateur pratiquant spectateur de loisirs sportifs Quelle statistiques de pratiquant Evolue t il en club ou associations La vie physique sant s curit et autonomie Dans une perspective ducative J EISENBEIS et Y TOUCHARD L ducation la s cu Eds EPS 1995 expliquent il s agit de viser l appropriation par les l ves de C leur permettant ds le cadre de l cole l ext rieur de l cole et plus tard ds leur vie d adulte de g rer leur s cu et
54. rable ss requ rir une analyse approfondie du contexte Elles st fond es sur des images mentales anticipatrices limite Les routines gt co d cisionnelle Mais exp rience ne rime pas forc ment avec expertise Brevet CAP BEP BAC PRO BAC Sanctionner homologuer le niveau atteint Attention aux contenus formalis s et d contextualis s qui ont une part importante dans l chec scolaire J MARSENANCH EPS Quel enseignement 1991 Brevet des coll ges 1987 3 APS dont une au moins bar me 2 3 valuation des conduites motrices perf et habilet et 1 3 l valuation des connaissances pratiques l investissement et aux progr s Evaluation des connaissances postulat cognitiviste selon lequel on apprend mieux quand on comprend ce que l on fait LIMITES G COMBAZ a prouv que plus les preuves d EPS s alignaient sur celles des autres disciplines et plus on reproduisaient les in galit s qui existait ailleurs Ces dimensions A R S et C se transmettent travers les processus d acquisitions des savoirs par les l ves sans jamais etre sur de leur appropriation stable et durable c est pendant les moments cl s de la vie que s enracine dans la personnalit les sch mas de pens e et d actions qui guideront les comportements du futur adulte Le gout l indiff rence ou le d gout pour les exercices du corps se fa onnent en partie pendant les cours d EPS B PARI
55. rces sollicit es dimension psychologiques et motionnelles preuve performance comp tition B JEU 1977 sens social de l action Pourquoi pr parer la le on C est faire le pari d augmenter son efficacit lors de l intervention face aux l ves Peut on planifier une intervention alors que par d finition il convient de s adapter en permanence La planification ds une perspective d anticipation pr s adapter plus facilement pdt la phase d interaction Mais il existe une multitude de param tres SOLLICITER LA VERBALISATION dans une perspective socioconstructiviste l l ve apprend mieux apr s avoir identifier consciemment les m canismes qui conduisent la r ussite D DERIAZ B POUSSIN JF GREHAIGNE le d bat d id e EPS n 273 1998 N cessite une palette d analyse multidimensionnelle L RIA Comprendre pour r ussir en EPS In A quoi sert l EP Dossier EPS n 29 1996 DD Apprentissage moteur et verbalisation Echanges et controverses n 4 1992 consid re la verbalisation comme un moyen fort pour aider l l ve se r guler pour mieux se transformer Attention ne pas trop parler non plus B BODA l EPS une discipline fondamentales pour enrichir le patrimoine culturel en construire une intelligibilit et participer la construction de la citoyennet Dossier EPS n 29 1996 il ne convient pas que les l ves pensent sans agir mais bien que leurs
56. rit re d entrainement seuil marqu par une l vation brutale de la Lactat mie participation accrue de la glycolyse ana robie se rapproche de la PMA avec l entrainement Ainsi ce seuil lactique qui peut tre estim 4 milli moles par lite est atteint 70 chez le d butant et 90 chez l marathonien Relation entre FC VO2 max et Lactat mie Quelque soit le crit re utilis c est l entrainement proche du seuil aux limites du syst me qui provoque des modifications physiologiques significatives Progr s ds le d veloppement des capacit s physiques semblent clairement li s la croissance la maturation et une sollicitation pertinente il faut n anmoins mentionner le propose de WEINECK Manuel d entrainement 1983 mais aucune v rifications rigoureuses de ses avances Cf P 239 P 242 ANAEROBIE LACTIQUE resynth se gr ce la d gradation des glucides partir du glucose ou de sa forme de r serve le glycog ne en acide lactique Transformation effectu e ds la cellule mais sans oxyg ne met 5 6 secondes pour atteindre son intensit max Mais l accumulation d acide lactique provoque une acidification qui va limiter la contraction musculaire Moins puissant AA mais assure l essentiel de la resynth se d ATP d s 10 sec 3min d effort capacit Concentration glycog ne et capacit d utilisation plus faible chez l enfant Enfant utilisent plus rapidement leur proces
57. sus a robie que l adulte production moins importante de lactates et dc tps de remboursement de la dette d O2 plus rapide
58. t croissant en fonction de la difficult per ue mais chute brutalement lorsque l obstacle devient insurmontable JPF et P SARRAZIN et F CURY But motivationnel habilet per ue et s lection au niveau de difficult d une voie en escalade STAPS n 38 1995 ce sont les l ves qui se fixent de buts d maitrise qui font le plus d effort et s engagent le plus lg tps Attention aux faux semblants auto handicap limit les efforts Engagement dans l effort sous entend un lien affectif JA MEARD Donner aux l ves le gout d l effort 2000 pour leur donner c gout cela passe par un projet individuel d fini en collaboration avec l l ve 5 pistes associer l effort aux motions Stimuler l effort d chacun par un travail de groupe Valoriser l effort par rapport la perf introduire l effort progressivement Donne le gout de l effort en suscitant un projet ATTIUDE ENSEIGNAT face aux l ves faible et d motiv s R VIAU la motivation in Eduquer et former SH 2001 l enseignant peut leur exprimer sa confiance en leur capacit d r ussir viter de cr er des situations comp titives ds lesquelles ils ne peuvent que perdre viter de les r primander devant les autres leur donner autant d attention qu aux bons l ves d montrer de l enthousiasme leur enseigner et de l int r t d leur r ussite JF DORTIER Peut on motiver autrui SH n 92 1999 les individus ont plusieurs motifs pour s im
59. t la persistance de l action Entre pulsions d sirs et besoins l approche psychanalytique d sir est une satisfaction psychique A MASLOW hi rarchise les besoins physiologiques puis s curit mat rielle d affection les besoins cognitifs esth tiques et enfin le d sir d r alisation de soi chaque besoin ne peut tre assouvi que lorsque les besoins d l tage inf rieur ont t satisfaits impact de l environnement d terminant dans l expression des pulsions d sirs et besoins L approche cognitiviste J NUTTIN th orie de la motivation humaine 1980 un comportement motiv est un comportement significatif o l environnement est la notion significative telle qu il est construite par le sujet Ce sujet qui agit sur le monde se pose des buts fait des projets qu il essaie de r aliser B CHARLOT in E BAUTIER JY ROCHEX in Ecole et savoir dans les banlieues et ailleurs 1992 par le de mobilisation int rieur et motivation ext rieure La dissonance cognitive La nouveaut la surprise la complexit et le conflit sont les 4 sources de dissonance d gag dans la th orie de DE BERLYNE 1970 Zone optimale d activation chez chaque individu Volont de r duire la dissonance ou la recherche d un certain niveau de dissonance JL GOUJU Didactique et motivation Revue EPS n 241 1993 propose un cycle d endurance qui exploite les 4 dimensions pr c dentes L approche sociale Besoin d acco
60. table p da du contrat Engagement contractuel dt le contenu et le terme st n goci s entre l enseignant et l l ve Comment faire un projet d avenir si l on est tenaill par son pass VASSILEFF J la p da du projet en formation jeunes et adultes Lyon Chronique sociale 1988 LA METACOGNITION correspond la connaissance que l individu poss de de sa propre mani re d apprendre Pour J BERBAUM Apprendre apprendre SH HS n 12 1996 tout l int r t est d apprendre comment s y prendre pr acqu rir des savoirs nouveaux Donner aux l ves les r els pouvoirs de se transformer B NOEL La m tacognition 1991 distingue 3 tapes le processus mental qui est la conscience qu a le sujet des activit s cognitives qu il effectue ou de leur pdt le jugement exprim ou non par le sujet sur son activit cognitive ou sur le pdt mental de cette activit la d cision que peut prendre le sujet de modifier ou non ses activit s cognitives ou leur pdt L enseignant peut utiliser ces pistes partir de verbalisations sur ces 3 aspects LIMITE M me si i ces travaux sont remis en cause cela ne veut pas dire qu ils soient inutiles Construire en interaction sociale amp la dynamique entre les l ves reproduction imitation conflit sociocognitif tutorat Sont de moyens pour am liorer la r ponse d l l ve 2 la relation p da E l ve D clinable d une r gulation qu
61. tissage r gles d s curit Evaluation formative quoi observer et comment l interpr ter Puis comment r guler ds la perspective d un tremplin pour d bloquer les d marches d appss et enfin comment permettre aux l ves de g rer affectivement leurs erreurs G NOIZET et CAVERNI JP Psychologie d l valuation scolaire 1978 son principe consiste compte tenu d un objectif pr alablement choisi et d un programme d apprentissage pr alablement tabli v rifier si l l ve progresse e s approche de l objectif Adapter son action aux diff rence individuelles des l ves ALLAL 1979 identifie 3 tapes un recueil d infos avec utilisation de crit res l interpr tation de ces infos en analysant comportement des l ves une r gulation par adaptation des activit s d enseignement e d apprentissage Qu est ce qui structure la r ponse visible de l l ve R DHELEMMES AEEPS 1996 CF exemple P 257 Le point de d part d l apprentissage ce sont de r els probl mes qui doivent faire violence l l ve en lui donnant conna tre son ignorance PLATON D HERRERO Passion ovale 1990 Toi qui est toujours en qu te de ta place l cole ne copie pas les as de la p dagogie d laboratoire T es le plus fort car avec toi les enfants rien s clatent ils transpirent Fais les jouer je t en supplie du jeu encore du jeu C est dur d tre enfant en ville
62. tit de force pendant un tps donn e ou puissance et force endurance capacit maintenir la force pendant un tps important Augmentation r guli re jusqu 12 ans puis tr s rapide jusqu 18 ans o elle se stabilise filles plus pr coces stabilise vers 14ans ANAEROBIE ALACTIQUE d s le d but ans oxyg ne CP et ADP Puissance importante mais capacit limit e Ne produit pas d acide lactique Augmente de 7 15 ans avec valeurs plus imp chez les gar ons LA PRODUCTION D ENERGIE toutes les qualit s ne sont rien sans mes m canismes qui autorisent leur fonctionnement L ATP est ainsi la seule mol cule chimique que les prot ines contractiles des cellules musculaires peuvent convertir en en nergie m canique Muscle est un transformateur d nergie chimique en m canique mais les r serves st faible Il faut dc resynth tiser cette mol cule Les 3 processus m tabolisme vont alors entre simultan ment en jeu d s le d but d un effort AEROBIE d gradation compl te des glucides et lipides si n cessaire avec utilisation d oxyg ne qui va fournir l nergie La possibilit de resynth se est tr s importante car r serves importantes d une part et le produits de d gradation CO2 et eau sont facilement limin s Assure l essentiel de la resynth se d s 2 3 min d effort Mais ce m canisme d pend troitement de la quantit d O2 pouvant tre apport e au muscle et pouvant tre
63. titaire ou imaginaire Le travail sur le sens est long et d licat car il se fait souvent au niveau d l image de soi Elargir le chp des possibles en EPS Sens utilitaire ou intellectuel toute le on doit tre une r ponse J DEWEY P MEIRIEU L cole mode d emploi 1990 indique qu un apprentissage peut trouver du sens 3 niveaux 1 finalis par l amont r pond a une question que se pose l l ve ou par l aval Probl me des PSR 2 au niveau symbolique li des enjeux pros ou fonctionnel 3 en r f rence des pratiques extra scolaires JY ROCHEX 1994 le sens et la valeur attribu s au savoir constituent l un des aspects majeurs de la r ussite Le sens motionnel A DAVISSE et C LOUVEAU Sports cole et soci t la part des femmes 1991 ce ne sont pas les savoirs maitris s qui importent mais l ensemble des motions et sensations qui conduisent l envie de les reproduire N cessaire construction d plaisir avec les PASA DD et CG Le sens relationnel cohabitation Des l ves au sein d une classe qu ils n ont pas choisis et qu ils doivent passer 6 ou 8h ensemble Gestion de la dynamique d groupe Le sens identitaire Comment remobiliser l l ve en qu te de reconstruction identitaire P TAP Identit individuelle et personnalisation 1986 dimension de tps tre qqun c est construire un pass valoriser le pr sent et s inscrire ds le futur Dim d originalit
64. vit et s y engager afin d atteindre un but R VIAU La motivation en contexte scolaire 1994 il n y a pas d exp rience plus puissante pour un l ve que d r ussir sous le regard des autres quelque chose dont il ne se croyait pas capable Il se construit ou se reconstruit une image plus satisfaisante de lui m me et de ses comp tences A HEBRARD 1993 EXPECTATION VALENCE probabilit s d atteindre l objectif Le d clenchement de l action est li la repr sentation du but ainsi qu aux chances qu il pense avoir de r ussir la tache Notion de difficult per ue 5DDet JPF perception de la difficult et nature de la tache Sciences et motricit n 23 1994 JPF r le des valences et des expectations ds la perf motrice in JPF Cognition et perf INSEP 1993 le niveau de difficult de la tache est certainement le plus important facteur influent la valence de la perf Chances estim es par rapport la n notion d habilet per ue ou plus largement d estime d soi Il souligne que les individus haute habilet per ue pr sentent la caract ristique de pr f rer les taches qui leur proposent un challenge d o des perf meilleures R VALLERAND et E THILL introduction la psychologie de la motivation 1993 le concept de MOTIVATION repr sente le construit hypoth tique utilis afin de d crire les forces internes et ou externes produisant le d clenchement la direction l intensit e

E2 dossier EPS 61 - RELAIS 2C1 en autonomie avec iPad

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