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1. me National d Arts Plastiques DNAP et le Dipl me National Sup rieur d Expression Plastique DNSEP Master Trois options de formation sont propos s l option Design Graphique l option Art avec ses deux mentions Corps Espaces et Formes Langages l option Communication avec ses deux mentions Interm dias et Editions Depuis octobre 2011 les 300 tudiants de l sam Caen Cherbourg tudient sur l un des deux sites g ographiques de l tablissement les locaux d enseignement et de recherche d un b timent neuf qui a ouvert ses portes en octobre 2009 sur la presqu le portuaire de Caen les locaux d enseignement et de recherche enti rement r habilit s qui ont ouvert leurs portes en octobre 2011 dans l ancien h pital maritime de Cherbourg rebaptis Espace Ren Lebas 14 L sam Caen Cherbourg Les quipements de ces deux sites offrent aux tudiants des conditions de vie et de travail exceptionnelles ateliers techniques encadr s par une quipe de techniciens sp cialis s ateliers c ramique moulage modelage bois fer mat riaux composites lithographie s rigraphie gravure imprimerie dessin peinture papiers tissus photographie son vid o informatique et multim dias interactivit etc ateliers des tudiants permettant chacun d entre eux de disposer d un espace de travail adapt au sein de l cole afin d y concevoir et r aliser2. photo Olivier Cablat Mardi 1 d cembre 2015 Vertige horizontal Samuel Richardot artiste 5 sam Caen Cherbourg Il s agit de revenir sur la place du document dans un processus d accrochage en particulier celle des photographies de vues d expositions Les archives d expositions sont souvent utilis es pour appuyer et prouver par l image la qualit de remise en espace d une proposition curatoriale devenue historique Mais ce ph nom ne est surtout li l essor de l histoire des expositions telle que ce domaine d tudes s affirme aujourd hui au croisement de la programmation institutionnelle et de la recherche scientifique L histoire de l art s crit souvent sur les cimaises des mus es R mi Parcollet vit et travaille Paris Il effectue depuis de nombreuses ann es des recherches minutieuses et clectiques sur la photographie de vue d exposition Avec les artistes Aur lien Mole et Christophe Lemaitre il cr en 2010 la revue Postdocument publication consacr e la photographie d uvre d art en situation d exposition Samuel Richardot est n en 1982 dipl m en 2006 de l cole Nationale Sup rieure des Beaux Arts de Paris samuel Richardot se penche sur la construction de la peinture sur ses formes ses gestes ses expressions et ses implications Les tableaux qui en sortent ne sont pas simplement du d constructivisme Il s agit d un lyrisme analytique qui touche par sa sensualit
3. qu il n y para t la vie de tous les jours L criture limage et la mati re de lalangue Z015 Mardi 13 octobre 2015 Ensemble non mono chrome r hauss par t tes d l phants dont une avec poutre mobile Bernard Quesniaux artiste Bernard Quesniaux Paysage de neige mais en t 2008 Aluminium et r sine 149x 102x50 cm Photo Marc Domage Collection Frac Basse Normandie Mardi 17 novembre 2015 From his corructive mund Sur les m chines sic joyciennes Adrien Malcor correcteur et artiste Teddy Van Den Abeele Machine 2013 7 sam Caen Cherbourg La peinture de Bernard Quesniaux a merg sur la sc ne artistique fran aise au milieu des ann es 80 Ses uvres m lent figure humaine l ments figuratifs et abstraction coh rence et incoh rence s duction et r pulsion L artiste fait preuve d un humour certain par l vocation d un univers parfois surr aliste et l adjonction de titres non moins inattendus Le travail du support papiers maroufl s sur panneaux de bois puis griff s a conf r cette uvre une sp cificit qui longtemps a sign les productions de l artiste Progressivement cette peinture s est d gag e des aplats pour dans un processus d interrogation devenir des excroissances par l utilisation de mousses expans es Le constant renouvellement de l artiste ainsi que le foisonnement de ses recherches plastiques manifestent une perp tuel
4. une autre tout la fois un objet se tenant secr tement dans un autre Ainsi malades parce qu elles s hybrident se multiplient empruntant des formes d j la rev tant la peau d autres images p n trant un contexte qui les pr c de ou qui leur est simultan l occasion de ce s minaire seront convoqu es des strat gies diverses selon qu elles interrogent l endroit o elles se tiennent ou les modes op ratoires qui leur sont associ s cela travers les questions du collage de la peinture prolong e dans l espace les conventions de la forme de l exposition la question des appareils de m diation de l art et ses r cits autoris s la mise en crise des dispositifs qui accueillent les oeuvres Il s agira de prendre en compte ce qui semble p riph rique aux oeuvres les objets environnants insignifiants d apparences mais qui en constitueraient la figure m me Ce qui se r v le en jeu c est la fa on dont les oeuvres peuvent affirmer leur pr sence dans la consid ration de ce qui les entoure et leur incidence dans le d cor une situation des formes en de de leur puissance grim es sourdes mais leviers crans malades 2015 Mardi 6 octobre 2015 Photofresco R mi Parcollet historien de l art Vue de l exposition Un laboratoire des premi re fois Les collections de la Soci t Fran aise de Photographie Mus e d partemental Arles antique Rencontre d Arles 2012
5. Ces titres dans le d sordre renvoient une s lection d ditions d velopp es depuis une dizaine d ann es du poster au multiple de l objet l ephemera Ils voquent une situation une action en cours ou venir un objet modifi une conjoncture ou un tat particulier C est la meilleure introduction pour pr senter cette conf rence rencontre o je questionnerai la nature des ditions leur place c t des autres pratiques leur conomie de production leur circulation L dition est ici un espace de libert o cohabitent sans r serve sous des formes multiples des auto ditions et des projets r alis s pour r pondre une invitation Laugmentation la diminution le principe de mesure les allers retours de l image au volume quels que soient leurs diff rents enjeux sont le d nominateur commun de ces ditions Elles invitent souvent des manipulations possibles au del du simple assemblage et portent en elles bien qu il s agisse principalement de papier une bonne dose d interactivit analogique Jean Jacques Dumont est artiste professeur l cole sup rieure d art de Lorraine Metz et co fondateur du Bureau du dessin www jeanjacques dumont org Tic Tac 2014 dition Frac Lorraine 2014 impression offset quadri recto verso sur papier 220 gr 500 ex 21x 14 8 cm chaque mode d emploi FR GB imprim sur bandeau en papier Mardi 8 d cembre 2015 Lire en levant la t te Chri
6. Conf rences publiques esam c2 fr Photo Justine Viard Visuel Justine Haelthers Mouth to mouth 2015 f on Les mardis 18h OI erel Ces sam Caen Cherbourg site de Caen auditorium 17 cours Caffarelli 14000 Caen Retransmission en visioconf rence sur le site de Cherbourg publiques Les Conf rences publiques explorent entre octobre et d cembre 2015 quatre th matiques propos es par les s minaires d initiation la recherche des quatre mentions d tudes du cycle master de l sam Caen Cherbourg crans malades mention Corps Espaces L criture limage et la mati re de lalangue mention Formes Langages crans expos s 2 mention Int rm dias et L art de se projeter mention ditions Ces conf rences qui mobilisent de multiples praticiens et th oriciens issus de tous les milieux de la cr ation contemporaine s adressent aux publics d amateurs d tudiants d enseignants et de chercheurs Elles concernent en somme tous les publics motiv s par une vision p dagogique de l art contemporain Introduction 2016 61 rue de l Abbaye 50100 Cherbourg Octeville Enee NDIS Mardi 6 octobre 2015 Photofresco R mi Parcollet historien de l art Mardi 13 octobre 2015 Ensemble non monochrome mais r hauss par t tes d l phant dont une avec poutre mobile Bernard Quesnidaux artiste Mardi 27 octobre 2015 De
7. Marguerite Duras Erik Bullot est cin aste et th oricien Son dernier film La R volution de l alphabet 2014 est consacr la r forme de l alphabet en Turquie Il a publi r cemment Renversements 2 Paris Paris Exp rimental 2013 et Sortir du cin ma Histoire virtuelle des relations de l art et du cin ma Gen ve Mamco 2013 Il enseigne le cin ma l cole nationale sup rieure d art de Bourges et dirige le post dipl me Document et art contemporain l cole europ enne sup rieure de l image Poitiers Angoul me Autoportrait Lewis Carroll 4 L art de se projeter Mention Editions option Communication Coordination Thierry Weyd Le s minaire de la mention Editions portera cette ann e sur la notion de projection La projection est une criture un processus mettant en rapport un geste projeter et une surface pour accueillir ce geste A M Christin De ce processus r sulte un objet r ification qui est commune l uvre d art et la marchandise Cet objet rayonne et d finit l aura de l uvre que W Benjamin d crivait comme une singuli re trame d espace et de temps l unique apparition d un lointain aussi proche soit il Que l objet soit le dessin sur la paroi rupestre un film projet au cin ma une composition sur une page une sculpture dans un espace la projection d signe un certain rapport anthropologique au temps et l espace On pourrait alors d signer c
8. e Julie Laisney Responsable de la communication et de l action culturelle 02 14 37 25 15 06 08 63 79 28 jlaisney esam c2 fr Conception graphique Nathan Latour Novo sam Caen Cherbourg Cr dit photos Mich le Gottstein p 15 Michael Quemener p 15 16 Informations pratiques Site de Caen 17 cours Caffarelli L cole est situ e sur la presqu le portuaire de Caen 10 minutes pied du centre ville En train L cole est situ e 700 m tres de la gare SNCF En bus Ligne 10 15 33 arr t sam Ligne 20 arr t Rond point de l Orne 300 m tres de l cole Lignes 1 3 6 11 et 26 arr t Gare SNCF 700 m tres de l cole Ligne 7 et 21 arr t Place du 36 me RI 750 m tres de l cole En tram Arr t Quai de Juillet 600 m tres de l cole v lo Station V ol n 22 Rond point de l Orne 300 m tres de l cole En automobile P riph rique Nord sortie n 2 Caen ZA Montalivet SNCF site de Cherbourg 6l rue de l Abbaye L cole est situ e dans le site de l ancien Hopital Maritime de Cherbourg Octeville rebaptis Espace Ren Lebas en face de l Arsenal En train L cole est situ e environ 3 km de la gare SNCF A la sortie de la gare prendre la direction Equeurdreville En bus Lignes 3 et 5 arr t H pital Maritime En automobile Acc s par la rue de l Abbaye En venant de Cherbo
9. e rapport selon la distinction linguistique entre l axe synchronique et l axe diachronique telle uvre suppose une synchronicit de l attention le cin ma l v nement live la performance telle autre est rendue diachronique par la reproductibilit un enregistrement une estampe un livre qui permet de r p ter et de diff rer la lecture La projection comme l dition joue de ces espaces temps selon la vitesse rapide et globale des r seaux issus de la fusion de l informatique de l audiovisuel et des t l communications ou celle plus lente et locale de l imprim Nous interrogerons alors les modalit s de rayonnement de l art o l artiste est un diteur un projectionniste un performer un metteur dont le travail consiste cultiver son adresse au public Ce qui suppose de comprendre la nature de l uvre le m dium ses potentialit s de d placement le m dia et sa temporalit son rayonnement L art de se projeter 2DIS Mardi 24 novembre 2015 Plus ou moins Jean Jacques Dumont artiste 11 sam Caen Cherbourg C est possible Splish Bulletin blanc Tic Tac Pulse Le flux au m tre Micro paye Linfini en cours d effacement Pic et D pic Tout vu vaporation N e le Good bye Une t l commande pour rien Le nord le sud Spongiaire Effacement programm Au dessous Indiscipline City blister Placebo Essuyer C est tr s bien Ricochets Mais qu est ce que c est
10. e sonore et avec une approche critique sensible et transversale partir de l analyse des projets et des uvres de cin astes vid astes et plasticiens seront tudi s les rapports conceptuels plastiques critiques m ta critiques narratifs entre le son et l image l cran L cran comme lieu des sons Lieu tant une notion symbolique il ne se r duit pas au contenu des images n est pas non plus l espace mat riel de l cran il est chose mentale cosa mentale Des sons Le son est du point de vue de la localisation dans un rapport constamment instable par rapport l image de sorte que l on peut dire que le son au cin ma est ce qui cherche son lieu Michel Chion Par la description et l analyse d un corpus d uvres appuy es sur des ouvrages th oriques et critiques nous pourrons cerner quelques notions et d finitions des dynamiques entre l image et le son l cran et les organiser en r pertoire outil m thodologique pour les recherches des tudiants crans expos s 2 2015 Mardi 27 octobre 2015 Des crans expos s l exposition des crans Fran oise Parfait Professeur des Universit s en arts et m dias Avi Mograbi The Details installation 2015 Maison des M tallos Mardi 3 novembre 2015 La voix de son ma tre rik Bullot cin aste et th oricien 9 sam Caen Cherbourg La g n ralisa
11. istophe Gallois est depuis 2007 curateur responsable des expositions temporaires au Mudam Luxembourg Outre The Space of Words et L Image papillon il y a organis plusieurs expositions collectives d envergure comme Out of Sync Les Paradoxes du temps et de nombreuses expositions monographiques avec des artistes tels que Guillaume Leblon John Stezaker Sanja Ivekovic et Thea Djordjadze Il crit r guli rement pour des catalogues d exposition et des monographies d artiste W G Sebald Die Ringe des Saturn Eichborn Francfort surle Main 1995 p 340 341 Photo Aur lien Mole 2015 5 L sam Caen Cherbourg L cole sup rieure d arts amp m dias de Caen Cherbourg est un tablissement public de coop ration culturelle plac sous la tutelle conjointe de la Communaut d agglom ration Caen la mer la Ville de Cherbourg Octeville l tat et la R gion Basse Normandie Elle est n e de la fusion devenue effective au 1 juillet 2011 de l cole sup rieure d arts amp m dias de Caen et de l cole sup rieure des Beaux arts de Cherbourg Octeville tablissement public d enseignement sup rieur l sam Caen Cherbourg forme des cr ateurs dans les champs disciplinaires de l art de la communication et du graphisme Les tudes organis es en semestres pr parent en trois ou cing ans aux trois dipl mes officiellement habilit s par l tat le Dipl me National des Arts et Techniques DNAT le Dipl
12. le remise en cause des pratiques acquises Tout au long de ces ann es le dessin reste un fil conducteur cette uvre o absurdit et apparente idiotie masquent une profonde pens e qui remet sans cesse en cause le vocabulaire de la peinture Source Galerie Alain Gutharc Le mot corruption est un mot riche culturellement charg Il a entre autres sens un sens linguistique la corruption d un mot d un nom c est son alt ration phon tique dans l histoire de la langue Exemple dans Proust Balbec est la corruption de Dalbec L crivain irlandais James Joyce 1882 1941 avec Finnegans Wake paru en 1939 a mis en sc ne comme une histoire du monde la corruption de sa langue maternelle l anglais Ses mot valises translinguistiques il les appelait mots ferment s c est dire corrompus Parmi ceux l page 300 le mot corructive corrective corrupt qui condense comme souvent dans Finnegans Wake deux notions antinomiques ici la corruption et la correction Adrien Malcor est correcteur et artiste Pour clairer la pens e joycienne du corructif il jettera un pont entre les deux livres mondes joyciens Le correcteur avant de devenir un personnage de Finnegans Wake appara t au travail dans l imprimerie du septi me pisode de Ulysses 1922 au milieu des bruits de m choires des linotypes Car non seulement les machines parlent chez Joyce mais elles mangent elles mangent les mots comme no
13. perspicace aux profondeurs de l image peinte Ce qui m int resse dit Samuel Richardot devant ses tableaux dans l espace de l association In extenso Clermont Ferrand c est la structure de la peinture que je consid re comme la structure d une langue En regardant les toiles les plus r centes on dirait que l artiste d sormais install en Auvergne sa r gion natale cherche tablir une v ritable grammaire des formes de la peinture Distanci s et analytiques ces tableaux d clinent diff rentes techniques peinture la bombe fluide lisse au pochoir gestuelle et remplissent ainsi l espace de la toile avec un mouvement qui d sormais nous parle aussi de profondeur Source TK 21 La Revue 2 L criture limage et la mati re de lalangue Mention Formes Langages option Art Coordination Alexandre Rolla Les probl mes que pose l invention d un nouveau langage sont tonnants L int r t pour le langage si dominant dans l art moderne n est pas un int r t pour la s mantique en soi c est un int r t continu dans la fabrication du langage quel que soit le m dium Robert Motherwell 1965 lettre Frank O Hara Ce s minaire propose d explorer toutes les sp cificit s et les particularit s d velopp es par chacun pour construire sa langue contenues dans le concept lacanien de lalangue babilles onomatop es glossolalies tat du langage avant la fixation du
14. s crans expos s l exposition des crans Preneoise Parini professeur des Universit s en arts et m dias Mardi 3 novembre 2015 La voix de son maitre Erik Bullot cineasie et ineconcien sam Caen Cherbourg Mardi 17 novembre 2015 From his corructive mund Sur les machines sic joyciennes Adrien Malcor correcteur et artiste Mardi 24 novembre 2015 Plus ou moins Jean Jacques Dumont artiste Mardi 1 diecembre 2015 Vertige horizontal Samuel Richardot artiste Mardi 8 d cembre 2015 Lire en levant la t te Christophe Gallois curateur Ecrans malades Mention Corps Espaces option Art Coordination Cl ment Rodzielski Selon la formulation d un ventuel r el malade des crans il pourrait tre envisag que malades ces crans puissent se r v ler p les d une part confondus et faibles d autre part Faibles c est dire des formes t nues fatigu es d intensit s basses rong es retenues la limite de leur effacement de leur commencement des formes anonymes conomes mineures des formes de seconde main Mais aussi apparaissant confondues cach es masqu es elles se tiennent la jonction de diff rents usages Sur le mod le du Feu p le de Nabokov qui ench sse diff rents r gimes d nonciation montrant un commentaire qui exc de sa fonction de commentaire elles se pr sentent pour une chose et
15. sens expression idiosyncrasique du je le style et jeux avec les mots ou du moins avec la pure possibilit du langage Par extension parcourir les prolif rations de ces ph nom nes dans les diff rentes formes de l expression la parole l criture ainsi que dans les v hicules et transmetteurs de ces langages les mots les images les objets De la po sie action la peinture de la photographie la sculpture du th tre la litt rature du cin ma la bande dessin e embrasser les singularit s de ce qui est propre chacun Ainsi il sera question de l criture dans ses diff rentes potentialit s de la fiction telle que l interroge Yannick Liron la disparition chez Enrique Vila Matas de limage comme amas trace coulure pr iconique ant repr santative etc de lamati re autour de la notion de patmot chez Christophe Tarkos ou le devenir objet des mots dans la pratique de Marcel Broodthaers et comment le po me le livre va jusqu se transformer en sculpture Pense b te 1964 de lapeinture des similitudes de sa structure avec celle d un langage chez Cy Twombly ou Walter Swennen Envisager enfin les jeux qui r gissent l infini des possibles dans les articulations et voir comment de l criture de lalangue limage ou lamati re de lalangue les recherches et les exp rimentations des territoires de la cr ation rejoignent plus souvent
16. ses projets personnels biblioth ques sur chacun des deux sites proposant un fonds de r f rence dans le domaine de l art de son histoire et de ses th ories auditorium et galerie d exposition o sont propos s des conf rences expositions spectacles concerts etc qui permettent aux tudiants d tre immerg s dans un riche environnement culturel qui nourrit leurs propres cr ations et recherches En amont des cursus de l enseignement sup rieur l sam Caen Cherbourg a ouvert la rentr e 2012 2013 sur son site cherbourgeois une classe pr paratoire publique aux concours d entr e des coles sup rieures d art la premi re en Normandie En aval de ces cursus elle a cr en 2012 une unit de recherche le Laboratoire de l art amp de l eau En plus de ses activit s p dagogiques et scientifiques l sam Caen Cherbourg propose des ateliers et des stages d initiation la pratique artistique destin s aux enfants et aux adultes ainsi que des v nements culturels ouverts tous 2015 15 Site de Caen 17 cours Caffarelli 14000 Caen Site de Cherbourg 61 rue de l Abbaye 50100 Cherbourg Octeville sam Caen Cherbourg Informations Pratiques cole sup rieure darts amp m dias de Caen Cherbourg t l phone 33 0 2 14 37 25 00 t l copie 33 0 2 14 37 25 OI info esam c2 fr www esam cz2 fr Pr sident Marc Pottier Directeur Eric Lengereau Contact press
17. stophe Gallois commissaire d exposition 12 L art de se projeter Ne vous est il jamais arriv lisant un livre de vous arr ter sans cesse dans votre lecture non par d sint r t mais au contraire par afflux d id es d excitations d associations En un mot ne vous est il jamais arriv de lire en levant la t te Roland Barthes Lire la lecture A partir de r flexions sur la pratique de la lecture propos es par des crivains tels que Roland Barthes et Jean Christophe Bailly cette conf rence s int ressera aux liens qui peuvent exister entre l espace du livre et l espace d exposition Elle s articulera plus pr cis ment autour de deux expositions collectives pr sent es au Mudam Luxembourg en 2009 et 2013 Empruntant son titre un ouvrage de Jacques Ranci re la premi re The Space of Words rassemblait des uvres dans lesquelles s op rent diff rents types d cart entre langage et espace La seconde intitul e L Image papillon avait pour point de d part les r cits de l auteur allemand W G Sebald et abordait les relations chaque fois singuli res qui se tissent inextricablement entre l image et la m moire Toutes deux chacune sa mani re s attachaient mettre au jour des passages entre ces deux espaces de potentialit que sont le livre et l exposition Dipl m de l universit de Rennes 2 et du MA Curating Contemporary Art du Royal College of Art Londres Chr
18. tion du traitement num rique des images et ses sons fait parfois oublier que les images et les sons ont besoin d un support et donc d un espace pour appara tre A partir de quelques uvres expos es r cemment nous tenterons une actualit des pratiques de l cran mettant en jeu des techniques anciennes photographie et cin ma et plus contemporaines traitement num rique des images et des sons ordinateur Fran oise Parfait est Professeur des Universit s en arts et m dias Paris 1 Panth on Sorbonne Artiste Elle a publi de nombreux textes sur la vid o et les images temporelles et leur r ception Vid o un art contemporain Regard 2001 Collection nouveaux m dias installations Centre Pompidou Mus e national d art moderne 2006 David Claerbout The shape of time Centre Pompidou 2008 Elle est membre fondateur du collectif suspended spaces 2007 Source Slash Paris Parfois les cin astes parlent dans leurs films Comme acteurs mais aussi comme commentateurs voire bonimenteurs On connait d sormais les voix devenues c l bres de Godard Duras Truffaut ou Welles Quel est le statut de cette voix qui semble la fois confirmer l autorit tout en incarnant une forme de dissociation entre pr sence et absence mise en sc ne et retrait de l auteur Est elle une signature Ces questions seront voqu es travers des extraits de films de Sacha Guitry Orson Welles Jean Luc Godard Jackie Raynal et
19. urg faire demi tour au carrefour de l h tel des imp ts 2015 17 Abbaye aux Dames Conseil R gional Site de Caen sam Caen Cherbourg
20. us mangeons les n tres et elles mangent les morts les m chent les dig rent les corrompent Ce sera une initiation aux bases onomatop iques de la po tique joycienne dont les composantes mdchinistes peuvent tre rapproch es mais aussi distingu es du bruitisme futuriste N est il pas toujours plus urgent en effet d apprendre lalangue des machines 3 Ecrans expos s 2 Mention Interm dias option Communication Coordination Simonetta Cargioli La premi re dition du s minaire crans expos s en 2014 2015 s est construite autour d une r flexion sur la notion de projection consid r e la fois comme dispositif mat riel et physique d terminant les relations sp cifiques du public aux images via les crans et comme dispositif mental et ensemble des dynamiques psychiques orientant le d sir d images du spectateur sur le seuil entre visible et invisible Le s minaire a t un espace critique o travers le cin ma exp rimental les installations vid o et les pratiques num riques nous avons pu observer l volution des notions d cran et de cadre et tudier la possibilit de nouvelles d finitions la fois de l cran et des postures de son utilisateur Pour l ann e universitaire 2015 2016 le s minaire intitul crans expos s 2 poursuivra la r flexion sur les notions de projection et d cran aux sens physique et psychique dans une perspectiv
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