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Tribune des Verts no.10, novembre 2006
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1. 47 Alter Ekolo l cologie politique mobilis e D mocratie pratique 6 pratique s de la d mocratie 62 Contre les id ologies 7 de lt guerre des civilisations 64 Le double endiguement 8 du 1 1516 7 see users D Libert La cit 9 Diversiteti an EE 00 Oui au rassemblement des COLOTISTES 44 7108 Pour une participation structurelle des responsables r gionaux aux CNIR 70 Pour le mandat unique MAINTENANT eos eee etre eee ll Introduction des scrutins pr f rentiels dans nos pratiques Du r f rendum au pr f rendum 72 Si l actualit la rendait souhaitable une primaire pour d signer le candidat unique de la gauche et des cologistes au premier tour de la pr sidentielle Seeler Eege EE R former enfin notre fonctionnement EE E VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 t OS u Q 15 Num ro 10 nouvelle s rie de la saga originelle Q mon Imposer l cologie de transformation Vertes r formes 16 en jouant sur les alliances sauche 51 Pour un parti politique plus utile or 5 Les valeurs cl des Verts 19 MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES L 7 premi re partie 76 L abolition des ch timents corporels en France Les valeurs cl des Verts 1 un imp ratif pour les droits des enfants 57 18 seconde parti
2. 5 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 9 COMMUNICATIONS 2004 2006 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF Il a t demand 2 500 signes de bilan chaque membre du Coll ge ex cutif Certain e s ont lt un peu d pass gt et fourni des textes lt un peu plus longs gt d o un effet de disproportion entre les papiers NDLR Danielle Auroi D l gu e l Europe et aux politiques r gionales O est le bilan d un nouveau poste du Coll ge ex cutif que Je vous pr sente ici Ce poste pour des europ ens convaincus comme Les Verts se justifiait d autant plus qu en 2002 s tait cr e Rome le Parti Vert Europ en premier parti de son esp ce dans l Union europ enne Ma tache 2 donc t de mettre en place en un peu moins de 2 ans les articulations n cessaires entre plusieurs instances nationales et europ ennes en compl mentarit avec les taches nationales et les implications internationales et alter mondialistes en charge d autres membres du CE Cette mise en r seau s est faite dans un contexte politique extr me ment charg commen ant par la gestion de la campagne sur le Trait constitutionnel europ en Moment particuli rement difficile puisque si dans sa majorit le parti s tait prononc par r f rendum pour un oui ce TCE une forte minorit du parti a fait publiquement cam pagne contre ce projet de trait Difficile donc de rendre notre ligne politique lisible l ext rieur Tat
3. R Mutualisation des exp riences Un intranet efficace enrichi avec archives et moteur de recherche Penser un planning colo de forums f tes journ es Des lieux verts de rencontres vacances d tente s mi naires S Communication des Verts En interne relancer l ancienne Tribune trimestrielle d expression des sensibilit s groupes de travail initiatives innovantes Promouvoir l utilisation du Service de Listes Vertes En externe un Vert mensuel qui s adresse vraiment notre lectorat Articuler le site Web national avec Vert Citron Vert Grain Vert Offrir aux adh rents une plateforme de blogs R sister nous m mes au conditionnement mass m diatique que par ailleurs nous r prouvons Forger une complicit avec les m dias alternatifs r gionaux saty riques ou th matiques T Mise en valeur des acquis et comp tences Les pratiques d puisement de d va lorisation et d exclusion doivent 13 46_OF AG06 aqxp 12 10 06 15 36 Page 45 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE _ POUR DES VERTS UTILES LA D MOCRATIE COLOGIQUE cesser Il faut au contraire permettre chacun de se r aliser afin de pr pa rer toute une nouvelle g n ration assumer la mont e en puissance de notre parti U Imbrication dans la soci t civile Favoriser de nouvelles formes d acti vit militante partir de groupes de base ouverts ou sectoriels ou
4. L Assembl e g n rale ordinaire L Assembl e g n rale AG ordinaire des Verts est l instance souveraine du mouve ment o se d cide son orientation poli tique Le Conseil national interr gional CNIR et le Coll ge ex cutif CE doi vent appliquer ses d cisions LAG ordi naire se r unit une fois tous les deux ans et se d roule en deux phases une pre mi re phase dite Assembl e d centrali s e rassemble cette ann e le 12 novembre sous forme d une assembl e par r gion l ensemble des adh rent e s en droit de voter le m me jour sur le m me ordre du jour La seconde phase est le rassemblement en un lieu unique en l occurrence Bordeaux les 2 et 3 d cembre d une assembl e dite Assembl e f d rale compos e de d l gu e s d sign e s lors de la premi re phase d centralis e L Assembl e f d rale lit la part renouvelable des membres du Conseil statutaire CS les Commissaires financiers et les adh rent e s repr sentant la part nationale du CNIR Le Conseil national interr gional Le Conseil national interr gional CNIR est lu pour deux ans Il est compos de 120 membres titulaires et de 120 membres suppl ants Trois quarts d entre eux sont lus par les Assembl es g n rales r gionales un quart par l Assembl e f d rale Le CNIR est l instance dirigeante de la structure nationale des Verts entre deux Assembl es g n
5. Nous ET OUVERTS redonnerons la parole toutes celles et ceux pour qui la politique est dis cr dit e Les l gislatives Il ne peut y avoir d accord lectoral au moins 50 circonscriptions r ser v es dont 25 gagnables sans un accord programmatique exigeant multilat ral avec les partis de gauche qui le souhaitent comprenant Par r t de l EPR la sortie du nucl aire un plan contre effet de serre la hausse des minima sociaux et une r forme institu tionnelle instaurant la propor tionnelle afin de peser sur les poli tiques publiques Une AG extraordinaire devra ratifier ce double accord Si ces conditions ne sont pas r unies les Verts auront des candidats dans les 577 circonscrip tions En cas d accord politique et de victoire de la gauche et des Verts une participation gouvernementale pas sera par un accord d ex cutif de coresponsabilit et sera valid e par un CNIR exceptionnel au lende main de la pr sidentielle Nous devrons tre pr ts quitter le gouver nement si l accord n est pas respect comme dans toutes les collectivit s territoriales ville d partement r gion Les municipales Troisi me temps de la s quence lec torale les municipales sont un moment fondamental pour affirmer notre autonomie selon la strat gie d finie Reims Elles seront coor donn es nationalement avec la mise en place de conventions th matiques et la mutualisation du mat riel de camp
6. construire un parti r seau et f d rer un p le de l cologie de transfor mation institut d cologie politique solidarit verte avec les faucheurs les prisonniers ou otages colos dans le monde agence de presse verte Banlieue verte f te et salon de l cologie poli tique 2 La pr paration des municipales travers l organisation d une Conf rence nationale des groupes locaux pour une alternative verte qui soit co organis avec des groupes de citoyens voulant cons truire des listes alternatives Les munici pales sont une occasion saisir pour les Verts de r ussir le pari de l ouverture la soci t 6 Face l immobilisme nous devons r inventer les verts comme un parti d intervention d innovation poli tique ancr e dans l action populaire Un parti qui fasse clater sa bulle Nord Pas de Calais Seris Nicole ILDF Domergue manuel Douidi Otman Mas Kyra Fran oise Lemaire Jean Pierre Lemaire Gilles Coronado Sergio Farbiaz patrick Pauron Charlotte Benguetaib Redon Nadia De beauvoir f rd ric Joyeux benjamin Lafont Jean Perrin Evelyne Jurjevic J r me Desessard Jean Dereume Selma Mosis Sampil Nocca Olivier Essadi Khalid Basse Normandie Taugourdeau Simon 310 NY SIWNOS NON 531 31 9002 THVNITIO T IVAINAO AATANASSY e SLHAHA SAA HN TI 71 e 01 N LATA 79 84 _AG06 qxp VERT 10 LA TRIBUNE DES VERTS ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006
7. Alsace Haute Normandie Nehling Herrade Stephanie Tranchard Pays de Loire Arlette Mouseau Aquitaine Languedoc Roussillon Patricia Voroilhon Roselyne Bahler Rh ne Alpes Mich le Bret 37 42 OE AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 35 Page 40 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 40 OUVRIR R FORMER RASSEMBLER LES VERTS Antoinette GILLET Pierre GILLET Hubert GUYET Jean Roger LOUP S bastien MAIRE Sylvie MEYER Isabelle NOUVELLON Marine RONZANT Gerard ROY Claude STEVENOT Corinne TISSIER HAUTE NORMANDIE Laurent BADREAU Sylvain BIGAUD Michel COLETTA Pierre DIEULAFAIT Jean Claude DUJARDIN Michel FLAMBARD Jean Pierre GIROD Alain JAUNET V ronique JULLIEN Anne KOZLOWSKI Malka KREIZEL DEBLED Fr d ric LAMBLIN Nathalie MAINE Stephane MARTOT Francois Marie MICHAUX Cyrille MOREAU Daniel MOUSSET Thierry QUENNEHEN Claude TALEB Laurence TRANCHARD ILE DE FRANCE Isabelle AGIER CABANES Mobamed AMAR Alain AMEDRO Aline ARCHIMBAUD Jacques ARCHIMBAUD Dani le AUFFRAY Jean Fran ois BAILLON David BELLIARD Fr d ric BENHAIM Rachida BENHAOUZTI St phane EM BERNARD Albert BISCHEROUR Michel BOCK Michelle BOCK Cecile BOUDEREAUX Laurent BOUDEREAUX Abdel Krim BOURAKBA Herv BOURDIN Bruno CANEPA Patrick CHAIMOVITICH Dominique CLOAREC Franck CONTAT Ginette CONTRASTIN Jean COUTHU
8. HAUTE NORMANDIE David CORMAND Alexis DECK Gilles EUZENAT Eric GRAVIER G rard LEVILLAIN Claire LUTZ Martine ROUZAUD Fr d ric WEISZ ILE DE FRANCE Jean CALVET Jo l CHENAIS Michel DUMITRESCUI Romeo DUMITRESCUI Michel GALLIMARD Mich le GASPALOU Jean Baptiste LOBEL Fernande OLIVEIRA 6 LANGUEDOC ROUSSILLON Alain ALBERT Lina ANGLES Blaise APICELLA Catherine APICELLA Marie BACCAGLIONI Ren BACCAGLIONI Georges BAEZA Maryse BAEZA Thierry BAEZA Olivier BARRIERE Yves BASTIDE Jean Thomas BEAUGIER R mi BEAUGIER Ren BECERRA Alain BENEZECH Annie BENEZECH Aime BERMOND Elisabeth BERMOND Lordin BEZZOUH Jean Claude BIAU Jean Philippe BIAU Magalie BIAU Nadia BIAU Angelique BLASQUEZ Louis BLASQUEZ Consuelo BOULIECH Francis BOULIECH Jacky BOULIECH C cile BOURGUET Daniel BOURGUET Sandra BOURGUET Zina BOURGUET Jean Pierre BRUDIEUX Alain CAMBON Christophe CAMBON Philippe CAMBON Simone CAMBON Emmanuel CARGOL Arlette CAUMEL Yves CAUMEL Calia CAURET Sylvain CHIARAVIGLIO Ghislain DAVID Serge DEFEND Isabelle DOUSSOT Laurent DUPONT Raymond ESCAMILLA Chantal ESTADIEU Bernard FARGIER Jean Paul FOURNOL Henri FRICOU Bernard GARCIA Daisy GARCIA Marie Th r se GARCIN Edwige GAREL Jean Pierre GARRIGUES Andr GAVEN Andr e GAVEN Christine GAVEN Philippe GAVEN Eric GELEDAN Angelo 29 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA
9. VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 60 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 60 L AUTONOMIE CONTRACTUELLE MODE D EMPLOI 2007 a motion ponctuelle adopt e par EXPOSE des MOTIFS l Assembl e F d rale en 2002 et L mise en oeuvre avec succ s dans plusieurs r gions en 2004 a t bien int gr e par le mouvement pour les scrutins semi proportionnels r gionales municipales mais l vidence demande tre pr cis e pour les scrutins uninominaux qui nous attendent en 2007 pr sidentielle et l gislati ves et 2008 cantonales et s natoriales L exemple de Paris permet de donner une illustration concr te de sa mise en oeuvre donne un mode d emploi et un exemple suivre En 2001 deux listes ind pendantes se pr sentent aux lecteurs en annon ant une m me volont de travail en commun Les contacts ant rieurs ont permis de d termi ner les axes d un programme commun et les pierres d achoppement Au soir du premier tour les d l gu s des deux listes se retrouvent pour pr ciser la r partition sur les listes communes du second tour se partager les responsabilit s assumer dans la future majorit et peaufi ner le programme en fonction du rapport de forces d cid par les lecteurs Les engagements de chacun des partenaires sont clairs pr cis et crits Conclusion cette fusion op r e dans de bonnes condit
10. les resp r g par leur pratique continuelle de la gestion du parti au niveau r gional connaissent bien les cueils qu une d cision peut ren contrer dans son application qu ils soient freins mat riels ressources militantes n cessaires ou temps d organisation et de r action Il ne s agit pas de se substituer au r le poli tique des d l gu s au CNIR mais bien d y joindre en temps r el le souci compl men taire d application concr te des d cisions En ce sens la simple possibilit de prendre la parole permettrait d clairer les r flexions des d l gu s au CNIR voix consultative pr conis e par le cabinet d audit Cette participation aura videmment un co t Mais les d cisions non appliqu es les erreurs d organisation les gaspillages r cur 5 rents nous co tent aussi tr s cher sur les plans financier et politique La d pense ne concernera au maximum que les resp r g qui ne seront pas d j Cnirien ne s L enjeu est d importance Nous d fendons que l articulation recherch e permettra au parti dans son ensemble de gagner en effi cacit et de faire de substantielles cono mies organisationnelles Notre cr dit poli tique devrait ainsi s en trouver renforc Motion Pour la prochaine mandature le Coll ge Ex cutif invitera les responsables r gionaux participer aux CNIR Ils recevront les textes pr paratoires au m me titre que les Cnirien ne s Ils n auront qu
11. Certaines pr conisations sont d j appli qu es 4 5 r unions par an des responsa bles r gionaux sous la conduite du Coll ge Ex cutif liste r serv e aux resp r g orien t e sur op rationnel une salari e du si ge sp cifiquement affect e la relation avec les r gions Les responsables r gionaux y changent des bonnes pratiques des outils mutualisent leurs savoirs et comp tences les r gions riches aidant celles plus d munies Depuis plus d un an ces changes ont t conduits dans l int r t du collectif quelques soient les tendances auxquelles appartiennent les responsables r gionaux Le souci d efficacit d organisation avec terme des gains de temps d nergie humaine et donc de pr sence politique n a pas rencontr la suspicion habituelle ment v cue entre courants On en voit d j les effets positifs en particulier pour la formation l organisation des AG de cir conscription le projet de r forme des sta tuts les campagnes littoral et nergie Et pour demain Avec un souci identique d efficacit dans l op rationnel la participation des respon sables r gionaux aux CNIR aura 2 avan tages principaux une meilleure mise en uvre des d cisions du CNIR du fait que les resp r g com prendront mieux le cheminement de la d cision et en auront une connaissance imm diate une pr vention des difficult s ventuelles d application des d cisions
12. Ecole Marius Groult 36 rue Paul Eluard quartier belle toile Montivilliers 76 ILE DE FRANCE PACI Palais des Arts et des Congr s 25 av Victor Cresson 92130 Issy les Moulineaux LANGUEDOC ROUSSILLON Salle Rabelais Esplanade Charles de Gaulle 27 boulevard Sarail 34 000 Montpellier LIMOUSIN Maison des associations Route de la Souterraine 23400 Bourganeuf LORRAINE Centre socioculturel Hartmann 59 avenue du G n ral de Gaulle 54340 Pompey NORD PAS DE CALAIS Espace communal Mouchonni res Rue Jude Blanckaert 59113 Seclin PAYS DE LA LOIRE Centre d Accueil du Lac de Maine Lac de Maine Angers PICARDIE Mairie de Montdidier POITOU CHARENTES Salle municipale 79500 Saint L ger de la Martini re RH NE ALPES Centre social de Malissol place de la Ferme Vienne 38 SAVOIE Salle Edelweiss Centre de de secours 73290 LA MOTTE SERVOLEX R UNION TOUR DE MIR 36 ter route du Moufia au coin de la rue du B arn 97490 Sainte Clotilde GUADELOUPE 36 rue Achile Ren Boisneuf Place Gerty Archim de 97111 Morne leau GUYANE Kourou sur le camp co touristique Cariacou 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 5 S LOCALEMENT BIENVENUE EN AQUITAINE BIENVENUE BORDEAUX En Aquitaine Aquitaine est connue et appr ci e pour son patrimoine co logique exceptionnel Parc naturel des Landes de Gascogne Golfe de Gasconne Parc nati
13. Eric PIQUET CORSE Chantal RIBEREAU FRANCHE COMT Herve ARNOUX Patrick BOURQUE Michel CHARAUD Denis FRESARD HAUTE NORMANDIE Serge BOURGEAUX Pascal RIGAUD Daniel THIEULEUX ILE DE FRANCE Djamal ATHARI Anne Claire BAC HEI Dominique BALMES Brigitte BASSET THOURY Roman BEREZA Sylvie BERLINE BOULEAU Christiane BERNARD V ronique BILLAND Jean Luc BILLARD Emilie BLAIS Fabrice BLATS Luc BLANCHARD Laurence BONZANI Hamid BOUDAA Jean Marie BOUGUEN G raldine BO ER Yvonne BRANCHEREAU Jean Marc BREGEAULT David BRESSON Pierre BRET Christian BRETT Jean Marc BRULE Georges BUISSET Maxime CABAT Guiseppe CANGEMI Syrine CATAHIER L onide CELINI H l ne CHABERT Mathias CHAPLAIN Yves COCHET Mouctar CONTE Philippe DAGUENET Martial DAVID Mireille DE SMET Sylvain DE SMET Luc DEGEORGES Isabelle DELAUNAY Robert DEMAILLE Marc DENIS Emmanuel DETTON Jean DEY Marie Pierre DIGARD Roland DINNER Pierre Fran ois DIVIER G rard DOUBLET Marie H l ne DRIOT Jacques DUBAE LE Jean Fran ois DUCASSE Jean Fran ois DUMAS Marib DURGEAT Dominique DUSSART Bruno DUVAL G rard ERIPRET Jacques EXBALIN Jeanne EAIVRE Fr d ric FAVERION Serge FAYOLLE Lucien FERRIER Aur lie FILIPPETTI Alain Marie GERMAIN C cile GILBERT Fran oise GRIVEAU Loic GRIVEAU Laurent GUIGNON Elisabeth HAMILTON Guy HENAFE Michel HENRY Bernard HERON Alain JEAN JOSEPH Niki KAMPOUR PARASCHOS C line
14. Le PRG sou ha itait une n gociation trois PRG PS Verts mais a conclu un 11 9002 TAIVNIQAO HIVAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e OI N LAAA 01_14 intro AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 29 Page 12 COMMUNICATIONS 12 2004 2006 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF accord bilat ral avec le PS avant l t Nous continuons d avancer avec R gions et Peuples Solidaires Le point dur a t la n gociation avec le PS les propositions des deux partis ne convergent aucunement ce jour ni d un point de vue quantitatif puisque nos interlocuteurs nous proposent au mieux une vingtaine de circonscriptions ni d un point de vue qualitatif puisque quasiment aucune des circonscriptions o nous revendiquons une candidature verte implantation locale particu li re forte visibilit du de la candidatE potentielLE lutte locale forte n a pu tre retenue par notre partenaire La n gociation programmatique est en cours avec le PS Elle a galement avanc avec le PRG sur quelques points Elle se situe dans un dialogue par ailleurs assez permanent avec RPS Pour pr parer et tenir les divers rendez vous politiques nous avons travaill avec le CE d une part mais aussi avec la Commission Permanente lectorale Compos e de fa on proportionnelle sur la base des r sultats de l Assembl e F d rale de 2004 elle est consti tu e de 21 membres auxquel
15. PROVENCE ALPES C TE D AZUR Pierre AUBRY Christophe MADROLLE Marianne MOUKOMEL CLARTE RHONES ALPES Jean David ABEL Dominique ALLAIN Pierre HEMON Maurice MOREL Patricio SILVA GUADELOUPE Marie Line PIRBAKAS GROEVIUS 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 75 e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES VERTES R FORMES POUR UN PARTI POLITIQUE t on encore le droit de dire que la A naissance d un nouveau parti de l cologie politique un parti soci t est une obligation pour les Verts Les Verts ont besoin de construire une nouvelle culture d organisation qui passe par une r forme profonde de leurs statuts et de leurs r glements qui y font obstacles Il est temps d engager une grande r forme Ce sera la rupture entre lavant et l apr s pour la naissance du Nouveau Parti Vert NPV 1 Une nouvelle culture de vie politique collective et utile Les Verts doivent apprendre vivre collec tivement et utilement L articulation est devenu encore plus contradictoire entre les gauches lt antilib rales gt la gauche lt sociale d mocrate et la mouvance environne mentale La coexistence entre les d marches qui constituent le socle de notre parti doit se r aliser malgr les contradictions fortes en apparence mais compl mentaires Les Verts doivent tre un parti diff rent pour concilier la r volution et le r formisme mou l anticapitalisme et l alter mondia lisme l alliance majoritai
16. c CARIOU Isabelle GUIROUS MORIN Alice LE ROY Zine Edine MJATI Olivier NOCCA LANGUEDOC ROUSSILLON Michelle CAPIEU LORRAINE Jocelyne PRUDHON MIDI PYREN ES Chrystel CHATAIGNER Michel LATTUGA NORD PAS DE CALAIS Georges HUART PROVENCE ALPES COTE D AZUR Lyane ALLIBERT Amar ASSAS Otmane AZIZ Bernadette DUPOUY Sandrine FIGUIE Philippe GARDIOL Jean Eudes JOFFRIN Christian LAUJAC Benoist MAGNAT Jean Fran ois PERRIMOND Franck PINI Mich le PONCET RAMADE Henry RUBINO RHONES ALPES Jean Pierre MEYER 57 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THIVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL 71 e 01 N LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 58 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 58 APPEL REFERENDUM POUR LA REFONDATION es signataires proposent l AG de Bordeaux de d cembre 2006 d ins crire l ordre du jour du futur Coll ge Ex cutif la r alisation d un referen dum de r forme des statuts et du R glement Int rieur qui devra avoir lieu au plus tard en septembre 2007 apr s concertations Ce referendum devra modifier dans les sta tuts les de vote article 18 pour que ceux ci ne puissent tre modifi s que par une AG ordinaire extraordinaire ou un referendum et ce la majorit de 60 des exprim s sauf il y a plus de 50 de blancs ou d abstention lors du vote D
17. de Kiev la proposition d une Europe sans OGM en plein champ et celui d Helsinki la proposition d un forum europ en sur la sant Permettre une telle interface avec le parti vert europ en demandant mon sens un travail encore plus partag j a pu obtenir la cr ation d une commission Europe Ses premiers actes ont t s de participer activement la r daction de la partie Europe du programme pour les l gislatives de 2007 et de r diger les amendements qui ont paru n cessaires la charte du parti vert europ en et au texte le futur de Europe gt qui sera au c ur des d bats du congr s Je pense donc avoir permis au sujet Europe de prendre la place qu il m rite dans nos r flexions Je crois que d avoir syst matiser des ate liers et des pl ni res sur ce th me aux journ es d t a fait partie des actions que j ai pu mener bien Certes la tache n est pas achev e mais il me semble que les th ma tiques europ ennes sont d sormais bien en place dans notre fonctio nement Mais afin de rendre op rationnelles nos propositions ce travail de concertation 2 galement abouti la confection d une douzaine de propositions de lois sur des th mes divers tels que l nergie le handicap la sant la coop ration solidaire ou l agriculture biolo gique C est donc avec une besace bien remplie que nous aborderons les discussions avec nos partenaires politiques et c est l aune de son cont
18. en disposer prudemment et d faire tous les d p ts que nous avons cr s tout en d veloppant des conomies soutenables qui ne d pendent pas d une expansion continue pour leur survie Nous devons contrecarrer les logiques de court termes en nous assurant que le d veloppement conomique les nouvelles technologies et les politiques fiscales sont responsables vis vis des g n rations futures qui h riteront des r sultats de nos actions Notre ultime objectif n est pas simplement de survivre mais galement de partager des vies qui valent d tre v cues Nous pensons que la qualit de nos vies individuelles est enri chie par la qualit de la vie des autres Nous encourageons tout un chacun consid rer la dignit et la valeur intrin s que de toute vie et de prendre le temps de comprendre et d appr cier eux m mes leur communaut et la resplendissante beaut de ce monde BOURGOGNE Farid GHEHIOUECHE Andr ROUX Charlotte SEITZ BRETAGNE Jean Marie GOATER Philippe LADAME Yann MASSON CENTRE Dominique BRANCHER Alain VIZET ILE DE FRANCE Antoine BIARDEAU Philippe GANDILLON Pascale GIRARD Viviane MEILHAC Guy PECHEU Eduardo RODRIGUEZ Thierry SEGAUD Vincent SIMONACCI MIDI PYRENEES R mi PEYRAUD Odile VERDURE LABEILLE PROVENCE ALPES COTE D AZUR Marcel MEAUFRONT RHONES ALPES Daniel FRANCOIS B atrice MUNTLAK S bastien NAAR MOLHO Philippe NAMIAS GUADELOUPE Jean L
19. engagement clair et pr cis sur len semble de ces points les Verts ne participe ront pas un gouvernement Si les Verts participent un gouverne ment ils s en retireront si dans un d lai de six mois ces mesures ne sont pas prises ou engag es de mani re irr versible CENTRE Roukya ATTEYE Claudie BORDJAH REY Christophe BOULANGER Patricia DANGUXY Gilles DEGUET Jean DELAVERGNE Monique DESBOIS Gilles ENGELS Charles FOURNIER Philippe GARDELLE Philippe GEIGER Francis GONTHIER Florent GROSPART Monique LAJONCHERE Mohamed LASLA Denise LENTAR Roland LENTAR Abderrahmane MARZOUXT Jean Marie ROBIN Marie ROBIN Marie Claire ROBIN Arnaud TERY Alix TERY VERBE Fran ois THIOLLET Mathilde THOMASSIN Marie Fran oise VALTRID 61 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL VI e 01 N LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 62 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 62 D MOCRATIE PRATIQUE DE LA DEMOCRATIE Faisons des Verts un creuset de la d mocratie sengagement m fiance cynis me sentiment d impuissance La crise d mocratique de notre soci t est pingl e dans de nombreux textes Verts Cette prise de conscience ne nous est pas unique Des chercheurs d cideurs et grou pements de la soci t civile inventent et exp rimentent des prati
20. haut risque Quel autre objectif plus urgent avons nous pour suivre pour ce prochain congr s que de doter le parti d une majorit stable et d une direction r solue mettre tous les moyens humains et mat riels au service des ch ances lectorales d cisives qui vont se succ der du ler janvier 2007 au 31 mars 2008 Quand au bout du compte aurons nous le courage de faire face aux n gociations avec le PS et de dire quelles sont nos priorit s o sont nos points de non retour et les compro mis possibles Or les choses ne se pr sentent pas du tout de la fa on responsable que l on serait en droit d attendre de nos cadres nationaux Bien qu une large majorit dans le parti s accorde sur la n cessit de refondre en urgence nos statuts la RPI pi tine Bien que les primaires aient fait appara tre autour des candidatures de premier tour d Yves COCHET de C cile DUFLOT et de Dominique VOYNET de larges convergences poli tiques autour des th mes communs de l cologie politique les lt logiques gt inter nes poussent la multiplication des motions Bien que l opinion publique soit de plus en plus consciente des urgences environnementales et alors que les tribunes lectorales vont nous per mettre de rassembler autour de nos can didat es les citoyen nes les plus convaincu es de passer enfin des bonnes paroles aux actes forts nous en sommes rejouer encore et toujours cette m me com die narcis
21. membres en tout chacun un suppl ant DES VERTS Parlement Europ en Assembl e Natio nale et S nat Des repr sentants des com missions soit le responsable soit d sign s par lui seront int gr s comme auditeurs dans le bureau national du CNIR en fonction de l ordre du jour de chaque s ance En tout tat de cause les droits de vote des non Cniriens ne pourront exc der 25 ou 30 des pr sents Cette instance interm diaire paritaire par blocs de deux serait nomm e la propor tionnelle des Cniriens mais avec une liste de 25 attribu e la motion arriv e en t te les autres si ges au plus fort reste Le bureau du CNIR Pr sident e deux Vice Pr sident e s et un Secr taire lu parmi les membres du Bureau National sera constitu apr s attribution d un si ge la liste majoritaire la proportionnelle et la plus forte moyenne e Cette instance Bureau National se r unira pour pr parer les s ances du CNIR pour faire lien avec les militants commissions lus CE mais aussi avec les partis et associations cologistes le PVE et les autres Partis Verts Lordre du jour en sera fix par le bureau du CNIR tant pour les s ances pl ni res que celles du bureau national Le CE pourra inscrire des motions ou d clarations l ordre du jour e Ce bureau national ne peut prendre de d cision engageant une modification des fondamentaux des Verts Le mode de d signation du Col
22. occasion la Russie de sortir du d clin La perspective d une prochaine d pl tion de nombreux gisements concen trant les ressources dans une poign e de pays rend la d pendance nerg tique encore plus dangereuse avec comme seule perspective un d clin irr m diable de la production p troli re mondiale le peak oil En clair les producteurs reprennent le pouvoir et pour longtemps En France la crise pousse la d pense en 2006 pr s de 50 milliards d opour importer du p trole et du gaz une somme qui est quivalente 1 million d emplois maintenus La relance de la ma trise de P nergie est une n cessit d veloppement des renouvelables r habilitation thermique du patrimoine ancien et elle constituera un atout conomique et un moteur d em plois 2 La hausse du prix des nergies aura le plus fort impact sur les transports Les acteurs de ce secteur sourds aux avertisse ments sont frapp s de plein fouet cons tructeurs automobiles dans le rouge chute des ventes concurrence japonaise difficul t s des entreprises de transport routier de marchandises populations rurales p nali s es Une r orientation de la politique des transports s impose sachant que les modifications de parts modales seront tr s lentes bouger ENERGIE 2007 3 Les changements climatiques domine ront aussi la prochaine pr sidence La p riode vis e par le Protocole de Kyoto s ouvre au ler janvi
23. ou par crit les Verts Aquitaine 13 rue du Chai des Farines 33000 Bordeaux De leur c t pour tre publi es avec la convocation du CNIR des 16 et 17 d cembre les candidatures au CE devront tre envoy es au Secr tariat national par courriel cnir lesverts fr ou par crit avant le 17 novembre midi Eee APPEL CANDIDATURE A LA FONCTION DE COMMISSAIRE FINANCIER CF Rapport du Commissaire Financier tuts a t clarifi lors du Congr s de Reims Il s agit d as surer le respect du dispositif de contr le interne du Parti Quels sont les objectifs de contr le interne et en quoi consiste ce dispositif Pour prot ger les int r ts du Parti il faut assurer La conformit aux lois et aux r glements la non conformit peut conduire par exemple la perte d un financement public ou d un temps de parole la t l vision lors d une campagne lectorale La bonne gestion financi re fond e sur le processus de pr vision des engagements de d pense et de recettes La production et la diffusion des informations financi res fiables permettant d viter de d celer et de corriger des erreurs et des omissions e r le du Commissaire Financier non pr cis dans les sta Lobjectif des travaux du commissaire est d examiner le fonction nement et d mettre des avis et des suggestions pour l am liorer En raison des d ficits pr vus les retards dans les reversements des lus o
24. par le social lib ralisme Il faut au contraire cons truire les conditions d un r qui librage anti lib ral gauche Voil le d fi que nous voulons rele ver Quel que soit le r sultat final cette mobilisation unitaire la pr si dentielle aura permis des avanc es colos qui serviront peser sur le parti dominant gauche Comment transformer la soci t Les Verts veulent transformer profond ment la soci t o ils vivent Nous devons promouvoir l cologie politique dans toute la soci t et pas seulement dans les milieux militants Nous avons une coute dans les classes moyennes Nous n avons pas le droit d abandonner les classes populaires leur sort Elles sont aujourd hui victimes non seulement du ch mage et des salai res de mis re mais aussi du racisme et des discriminations l embau che Elles sont les plus atteintes par la pr carisation lib rale elles sont les premi res souffrir de la d gra dation des conditions environne mentales et leur identit sociale est m me m pris e Les Verts veulent affronter les enjeux mondiaux Le changement climatique renforce les in galit s plan taires met en p ril la s curit alimentaire et la sant de millions de personnes menace de disparition des millions de kilom t res carr s de terres inondables ou insulaires condamnant des popula tions enti res migrer Lutter contre la mondialisation cono mique c est aussi con
25. pour quoi les fran ais pour qui rien n est impossi ble ny parviendraient ils pas Alors que selon un Sondage 50 des per sonnes se disent favorables des primaires ouvertes tous les Fran ais et organis es en dehors des partis politiques pour d signer les candidats la pr sidentielle Le mouvement a choisi de pr senter une candidate au premier tour de la pr siden tielle Si nous regrettons que le d bat n ait pu avoir lieu que par le biais d une candidature individuelle en faveur de la primaire nous avons pris acte d un r sultat qui nous prive d un vrai d bat sur ces primaires qui vont le sens de nos valeurs qu il s agisse d une cri tique de l lection pr sidentielle d une d mocratie participative grande chelle et d une demande de repr sentation proportio nelle Cependant nous pensons que les circonstan ces politiques peuvent mettre au premier plan de l actualit ce d bat sur la primaire dans les prochaines semaines sous l effet conjugu d une multiplication des candida tures de l effritement de la candidate favro rite des sondages et du maintien un niveau plus lev qu il y a 5 ans des intentions de vote en faveur du candidat du Front National Nous pouvons tr s bien voir le PS reprendre la proposition de primaire faite en d but d ann e avec plus d insistance Nous souhaitons donc qu une proc dure claire soit pr vue dans ce cas d une r vision de la d ci sion de pr
26. restauration et d veloppement des services publics promotion du tiers secteur pour relocaliser l conomie diviser par quatre la consomma tion nerg tique diviser par deux l em preinte cologique et diviser par deux la double journ e de travail des femmes et res taurer les solidarit s primaires dans les ban lieues d favoris es Un nouveau CDI pour tous tripartite entre le salari l entrepreneur et une tierce partie publique qui garantira en dernier ressort le droit l emploi salari consacr par la Constitution perfectionnera l ancien et garantira la continuit du salaire et la forma tion le long de la vie active L radication du ch mage sera planifi e sur les deux prochaines mandatures 10 ans par une r duction du temps de travail salari gr ce des formes de mutualisation s articu lant avec le tiers secteur 35 heures dans les petits et moyennes entreprises dans les deux premi res ann es et 32 heures avant la fin de la deuxi me mandature La revalorisation des salaires fera l objet de n gociations collectives annuelles Le but sera d augmenter la part des salaires dans la valeur ajout e de 10 en 10 ans Le droit collectif s imposera aux entreprises indivi duelles De m me sera planifi e la mont e progres sive d une garantie de ressources substan tielle inconditionnelle et universelle per mettant de d connecter progressivement un revenu social d existence RSE de l emploi sala
27. ses r ves sa dimension affective son aspiration l art la culture la beaut sa sensi bilit sa spiritualit Tout ce qui fait son humanit Nous sommes toutes et tous attach s aux valeurs de solidarit et d huma nisme mais la mani re dont la Gauche traditionnelle comme l Extr me Gauche entendent r pondre ces enjeux ne nous satis fait pas Pour nous les solidarit s doivent tre mises en place au travers du prisme d un d veloppement soutenable qui envisage et anticipe les cons quences environnementales de nos choix Si l augmentation des revenus pour les plus modestes est l gitime la recherche aveugle de l lt augmenta tion des richesses n a pas de sens sur une plan te dont les ressources sont limit es C est pourquoi nous militons pour une juste r partition des ressources Le terme de res sources recouvrant la fois les res 5 sources naturelles les biens mat riels dont nul ne nie la n cessit avec des conditions de sobri t et les biens immat riels culture loisir convivia lit Cela implique la remise en question de la nature de nos consommations Nous souhaitons ce titre que le d bat sur la D croissance soit pos lors des ch ances 2007 Remplacer le pouvoir d achat gt par le lt pouvoir de vivre Nous proposons que soient choisies quelques grandes priorit s qui seront d velopp es par notre candidate la P
28. ANNATAHL VTI o 01 oN LATA 27 30 _OC AG06 qxp 12 10 06 15 32 Page 30 S u MOTIONS D ORIENTATION STRATEGIQUE gt 5 VERTS ET FORTS FOREVER z PRIM VERT L AUTONOMIE ET LE CONTRAT Mi E gt lt EU GIORDANO Jean Baptiste NORD PAS DE CALAIS GIORDANO Marie GIORDANO Jean Marie ALLAIN Dominique Marie Pierre GIORDANO Andr e ISSELE GOUDARD Pierre GOUDARD Gina HOFFMAN Jim HOFFMAN POITOU CHARENTES Willy HOFFMAN Alain JULLIAN Madeleine CLAUSTRE NAHON s Fran ois LABERTRANDE Maguy Jean Michel NAHON LABERTRANDE H l ne LABRUNA Jeanne LARDAT PROVENCE ALPES 8 Olivier LAURENT Andr e C TE D AZUR LAVERGNE Daniel LE FLEM Simone ABAUZIT George Linda LE FLEM Lucette LLASSAT AUTHEMAN Anne Marie Ren LLASSAT Robert LLASSAT BISTAGNE Elisabeth BOLLET Monserrat LOUPY Simone LOUPY Jean Pierre FOUQUET Anne Marie gt Andr e LUBRANO Sabine GESRET Francis ISNARDON MANNA Jacques MARADEI G rard MELCHIOR Luce Huguette MATHIEU Val rie MELCHIOR Marie MOLINA Lisa z MAUREL Paul MAUZAC Didier MOURLOT Michel MOURLOT MOLINA Marie Claude MOLINA A cha MUNIGA Ang lique Raymond MOLINA Thierry MUNIGA Fran ois MUNIGA MOLINA Josette MONTAGNE Jacques MUNIGA Touria NEFNAE x Francis NARDONE Maryse Jean Fran ois PERRIMOND Franck NARDONE G rard NAUDIN PINI Louis PONCET Mich le gt Gilbert PEDOUSSAUT Corinne PONCET RAMADE Guy PENALVER Manuel PEN
29. Antoine Maurice M P Andr Mazaingue TDF Muriel Padovani Lorioux LI Silvain Pastor LR Marie Christine Petit Beloin Auvergne Christophe Rossignol Centre Corinne Rufet IDF St phane Sitbon Gomez DE Julien Zloch RA JLOA NV SIWNOS NON 531 31 9002 THIVNIQAO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAHA SAA ANATIAL 71 e 01 oN LATA pour une cologie AU C ur des politiques publiques pour une soci t de pleine activit pour les m mes droits sur tout le territoire pour redonner du sens au projet europ en pour une alternative la mondialisation n olib rale TOUS LES MOIS LISEZ vertcontact lesverts fr pour recevoir gracieusement CIN ST L COLOGIE Les Verts R daction e mensue le prochain num ro qui annonce la couleur
30. Claire DUVAL Jocelyne LE BOULICAUT Dominique RAMARD CENTRE Roland LENIAR Christophe ROSSIGNOL HAUTE NORMANDIE Beno t FENAULT Victoria SELWYN ILE DE FRANCE G raldine CHALENCON C cile DUFLOT J r me GLEIZES Alain LECLERC Pierre MINNAERT Antoine ROLLAND Corinne RUFET LORRAINE Brigitte LEBLAN MIDI PYRENEES Brigitte BROZIO PAYS DE LA LOIRE Alexis BRAUD Yves OLLIVIER PROVENCE ALPES COTE D AZUR Simon IMBER T VIER RHONES ALPES Yann MONGABURU DOMEJEAN B atrice MUNTLAK Philippe NAMIAS Muttiah YOGANANTHAN 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 73 e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES SI L ACTUALIT LA RENDAIT SOUHAITABLE UNE PRIMAIRE POUR D SIGNER LE CANDIDAT UNIQUE DE LA GAUCHE ET DES COLOGISTES AU PREMIER TOUR DE LA PR SIDENTIELLE ET DES L GISLATIVES i l actualit la rendait souhaitable S une primaire pour d signer le candi dat unique de la gauche et des colo gistes au premier tour de la pr sidentielle et des l gislatives EXPOSE DES MOTIFS Primaire l italienne mode d emploi La primaire en Italie a t exp riment e la premi re fois en 2004 dans la r gion des Pouilles Bari elle a permis la coalition ainsi form e de gagner la r gion Elle a ensuite t tendue l ensemble de l Italie l automne 2005 L o les organisa teurs attendaient entre 500 000 et 1 million de personnes il y a eu 4 2 millions d lec teurs se d placer Tous les
31. Conflit isra lo palestinien la demande de l Association France Palestine Solidarit R glement de l affaire Ginette Skandrani R ception au CE et au CNIR de la d l gu g n rale de la Palestine Rapport au CNIR sr la situaton au Moyen orient organisation de deux colloques sur le Kurdistan Afrique Organisation de la pleini re sur l Afrique aux journ es d t suivi de l action au Togo intervention Lom en tant que repr sentant des Verts suivi c te d Ivoire RDC campagne pour la Mireille Ferri Secr taire nationale adjointe d l gu e aux lections aux lus et aux institutions essentiel de l activit li e la fonction lections lus institutions gt s est centr sur la pr paration des n gocia tions avec les partenaires politiques en vue de la d fini tion d un accord lectoral volet indissociable de l accord program matique galement en cours de n gociation Ces deux d marches simultan es et parall les fondent en effet le projet d accord poli la situation et surtout sur les propositions concr tes que nous avions pour r soudre le probl me de la d construction des navires pollu s Apr s mon premier mandat au Coll ge ex cutif charg e de l organi sation interne o l on se prend parfois douter de l utilit de son r le ces deux derni res ann es tourn es vers l ext rieur m ont permis de recevoir exp riences et t moignages Cela a renforc ce de
32. DE CALAIS Vincent BOCQUET Martine SURIN 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Carnet La presse Er Fes malade imaginaire La presse crite va mal La presse mais le constat SE est trompeur Maginaire o La presse crite va mal Eric Marquis mais le constat est trompeur Les Carnets de l Info octobre 2006 102 p 8 90 euros ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAHA SAA ANNATAHL VTI o 01 oN LATA Erratum Tribune 1306 16 10 06 16 56 Page 1 ERRATUM Ci dessous la liste compl te des signatures de la motion ponctuelle n 11 page 70 Pour une participation Franche Comt Pays de la Loire structurelle des responsables Philippe Chatelain Bertrand Blazy Escarinchou r gionaux aux CNIR Hubert Guyet H l ne Bouchoux Bernard Lachambre Christophe Cardet Jean Jacques Mettetal Gary Johan Aquitaine Isabelle Nouvellon Sylvie Granger Jean Marc Ferrari G rard Roy Michel Narioo Cl ment Rossignol Marie Claire Thomas Didier Queraud Alsace Guyane Picardie Yann Wehrling Philippe Menard Delphine Schwindenhammer Auvergne Haute Normandie Poitou Charentes Daniel Rondepierre Stephanie Tranchard Chantal Nocquet Basse Normandie le de France Rh ne Alpes Micka l Marie Suzanne Auger Maryse Oudiaoudi Bourgogne Languedoc Roussillon R union Philipp
33. Marie Dominique GIOVACCHINI Sylvette GRILLET Fran ois HAMY Gael HEMERY Mari Luz HERNANDEZ NICAISE David IBANEZ Catherine LEVRAUD Olivier LOUIS Guy MARIMOT Murielle MARIMOT NICOLLET Philippe MUSSI Ghislain NICAISE Djnina OUHARZOUNE Guilhem PLANE Christian RAYNAUD Sylvie REUBRECHT Andr e REVERSAT Annick TAJAN Jeannine THIEMONGE HOCQUAUX RH NES ALPES Eric ARNOU Marine ARNO U Odile ARNOU DUFLOT H l ne BLANCHARD Georges BOTTEX Robert BRUSSEAU Roland COMTE Paul COSTE Rapha l FAURE G rard FILIZET 11 Didier JOUVE Maurice LE CALVEZ Jean Marc LECULIER Fran ois LOUVET Thierry MANCEAU Bernadette MOURGUES Jean Claude MOURGUES Nicolas RETOUR Bernadette ROBERT WYSS V ronique Anne SCHLOTTER Etienne TETE SAVOIE Nicole GUILHAUDIN R UNION Bertrand BAREIGTS Alain CORNUT Vincent DEFAUD Jean ERPELDINGER Jean Pierre ESPERET Baptiste SIMON Isabelle URBAN GUYANE Philippe BORE Fran ois RESKI 25 310 NV SIWNOS 531 3 9002 THVNITIO TIVAJNJ HTISWSSSV e SLHAA SAA ANATIAL 71 e 01 oN LATA 21 26_OB AG06 qxp 12 10 06 15 31 Page 26 F MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr TEXTES SOUMIS AU VOTE Enfants Le d veloppement durable petits pas Catherine Stern ill P n lope Paicheler Actes Sud Junior 2006 69
34. Mireille ROY E BECHET Nicolas HELARY Yann Fr d ric DA COSTA SOARES Cyril Patricio SILVA Jean Louis TESTUD HELARY Christian JAMES Jean DI MEO Saida EL MOKADEM Jos Louis THERY Gr goire 5 Pierre LE LAY Jean Philippe Nadia ELKHALFI Franck EMON VIALLETON Philippe gt MAGNEN Gilles MAHE Anne OLIVIER FEUILLERAT Sandra VIALLETON Luc VOITURIER Marie MARCHAND Jean Michel GANE Serge GIACOPELLI H l ne MARCHAND Jean luc GOMIS Catherine GUEMGUEM SAVOIE MARIONNEAU Arlette Abdallah Ali HASSANE Nadia Bernard BACHASSON Thierry MOUSSEAU Patrick NAIZAIN HASSANI Youssef HASSANI BILLET Nicole BILLET LAFOND Michel NARIOO Didier NAUDON Aliocha IORDANOFE Arinna LATZ Mich le BRET Catherine CHOTIN Fabienne NEVEU Dominique Denis LEBIODA Robert St phane CURIOZ Patrick NORVAL Didier QUERAUD LINDECKERT Pascale LORENZO DUCHEZ Marc DUMOUTET Fran ois SIMON Paul Ga l SIMON Francine MAHDJOUBI Mourad Anne HUGUET Bernard JUILLET Loic SIMONET Jacques TESTARD MAHDJOUBI Youcef Jean Louis MOLIE Pierre PERRET Isabelle VERDON Marie Jeanne MAHDJOUBI Philippe MAZEL Pierre VIGUIE VERNAGEAU BAZIN HAKIM MENACER Nadia MENACER Marie Christine GUADELOUPE PICARDIE MERCIER Maxime MIHIERE Marie Josephine AKO Jean Luc Sylvie BERTOLI Arnaud CARON Abida MOHAMED Elamine AMIENS Nice CAMBRONNE Philippe FICHAUX Bruno MOHAMED Kamal MOHAMED Wilfiid CAMBRONNE Raymond GUILLEMIN Marie Christine Marianne MOUKOMEL CLAR
35. REMBERT MANTELET Lionel ROUCAN 6 BASSE NORMANDIE Annie ANNE Antoine ASTRUC Daniel BOSQUET Samia CHEHAB Pascal GILOIRE B atrice GOSSET Johann GUERARD Julien HERMILLY Jean Marc JOLY Rudy L ORPHELIN Benoit LAMY Nicole LANDRE Christophe LANGLOIS Aur lie LEVASSEUR Assani MARI H l ne MARIE Micka l MARIE Blandine MASSOT Sabine MICHAUX Virginie MOREAU Jonathan MORICE Pascal POISSON Yannick SOUBIEN Jean Luc VERET BOURGOGNE Christine DURNERIN Philippe HERVIEU BRETAGNE Jacques CAPLAT B atrice CHASLE Catherine DEBROISE Jacqueline GOUELOU CAPLAT Daniel LE BIGOT Isabelle METAYER CENTRE Antony BIKTALO Serge BIKTALO Sylvie BURGUNDER Florence DOUCET Christian FEUILLET Jean Philippe GRAND Alain PENNETIER Dominique RONCERAY CHAMPAGNE ARDENNES Patrick BOURLON G rard CROUZET Pascal FLANDRIN Raymond JOANNESSE Gerard JOLY St phane JOLY Jacques SAUX Thierry WIPPLER Mireille WOJNAROWSKI FRANCHE COMT Dominique ALAUZET Eric ALAUZET Pascal BLAIN Marc BORNECK Daniele BOURGON Marie Agn s CHALUMEAUX Philippe CHATELAIN G rard CHOUQUER Adrien DUCROT 39 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL 71 o 01 N LATA ERRATUM Ci dessous les signatures manquantes de la motion d orientotion E pages 39 41 Ouvrir r former ras Guadeloupe Midi Pyr n es sembler les Verts Muguette Laurencius Hachemi Fouzia Michel Geoffre
36. ROSSIGNOL Emmanuel STOLL HAUTE NORMANDIE Jean Pierre LANCRY ILE DE FRANCE Nathalie ALONSO Lydia AMARA Marie Th r se ATALLAH Jacques AUBARD Elsa BASTIDE Djilaili BECHAR Emilio BELIZON Christian BERTOLA Lazare BIAKA Ahmed BOUZID Zeina BOUZID Bernard CHAPPELLIER Olivier CHAPPELLIER Ali CHARAE Didier DELPEYROU Mathieu DELPRAT Pierre DOERLER Hani FEGHALI Claudette FYOT Jos LOPEZ Zine Edine MJATI Joseph MAZIJI Florent MOUILLERAC Albert PEIRANO Marie Fran oise PORCHE Vanessa PRUDON Thierry PUISY Yassin REZZOGUI Alain RIBIER Mehmet ULKER POITOU CHARENTES Jacques MARET ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITHIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e 01 oN LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 76 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 76 u congr s de Reims 2004 le r seau Pour des Verts utiles avait d j pr sent Les 10 valeurs cl projet de charte commune tous les Verts comme contribution Nous les soumettons cette fois comme motion ponctuelle afin que si elle est adopt e Les Verts d cident de s approprier col lectivement et individuellement Les valeurs cl des Verts pr sent es plus bas pour les utiliser de mani re exp ri mentale comme une charte de princi pes contraignants engageant tous les Verts afin de guider notre fonctionne
37. agir et dans l int r t de tous Au regard du mandat donn Reims et compte tenu du fonctionnement struc turel complexe de notre parti le bilan que je peux pr senter rem plit les objectifs que je m tais fix s dont voici quelques exemples l apaisement qui a lib r les nergies pour parler de nos id es l a m lioration de la communication interne et externe l organisation des conventions les initiatives publiques de tous ordres dans un nombre in gal par le pass le lancement d une campagne d adh sion un fonctionnement plus efficace du si ge national etc Je n oublie pas ma part d auto critique et la critique collective des militants indispensables pour avancer Pour cela je vous donne rendez vous sur un blog http parler verts typepad fr cr tout sp cialement pour d battre avec tous les militants pour d tailler mon bilan pour changer et r pondre aux questions sans tabous et aussi pour esquisser un programme d action pour les deux pro chaines ann es Je suis s r que notre parti saura l issue de cette AG garder stabi lit et continuit 13 9002 TAIVNIQAO HIVAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL VTI e OI oN LAAA 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 COMMUNICATIONS 15 29 Page 14 S 2004 2006 VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 14 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF Toufik Zarrougui Tr sorier national adh sions Il y a
38. alors que les Etats continuent de s in g nier d manteler leurs moyens d interven tion tout en refusant de faire de l nergie une comp tence europ enne r elle Il faut donner la priorit des politiques de long terme Ce qui importe c est non seulement si ces cinq questions seront abord es lors de P lec tion pr sidentielle mais surtout de savoir si la personne qui sera lue en mai sy sera pr par e Seule la clart de ses engagements lui donnera un vrai mandat pour agir et r duire l inqui tante vuln rabilit de notre pays Non seulement les Verts ont eu raison tr s t t sur ces questions mais nos propositions vont au c ur du sujet Il reste cependant souvent les pr ciser et donner les moyens nos lus ou nos candidats de montrer que les Verts sont porteurs de 5 solutions pour les prochaines d cennies La pr sente motion demande au mouve ment de d gager les moyens n cessaires l organisation d une convention nergie en janvier prochain ainsi que les moyens d change n cessaires entre militants experts et lus sur ce th me animation perma nente et moyens de campagnes ALSACE Mathieu FICHTER Yann WEHRLING AQUITAINE G rard CHAUSSET Alain MALLET AUVERGNE Danielle AUROI Fran ois CIESIELSKT Odile VIGNAL BASSE NORMANDIE Micka l MARIE BOURGOGNE Jean Michel PEYRAUD BRETAGNE Jacques CAPLAT Haude LE GUEN CENTRE Dominique RONCERAY CHAMPAGNE
39. bre prochain dans votre Assembl e g n rale nationale d centralis e voir le lieu dans ce num ro Ces moments sont des temps forts de notre parti Ils doivent nous permettre de montrer tous combien nous sommes capables de d bat tre sereinement de nos orientations Il ne me semble pas n cessaire de rappeler chacun que nous devons tout faire pour que l image que nous avons donn e de nous lors de pr c dentes Assembl es g n rales ne se reproduise pas cette ann e Les lections l gislatives et pr sidentielles sont tr s proches et de leur issue d pend Pave nir des id es pour lesquelles nous nous battons collectivement De leur issue d pendra gale ment le devenir de notre parti pour les 5 pro chaines ann es M me si les commentaires ext rieurs sur le nombre important de motions d orientation aura tendance dire l inverse il ne tient qu nous de d montrer collectivement que de cette forte volont de d bat mergeront construction et maturit Que cette Assembl e g n rale soit utile nos campagnes pr sidentielles et l gislatives Qu elle leur donne lan et dynamique Bons d bats YANN WEHRLING secr taire national 5 9002 TAIVNIQAO HIVAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e OI oN LAAA ERRATUM Ci dessous adresse des AG PROVENCE ALPES C TE D AZUR page 4 PROVENCE ALPES COTE D AZUR 12 et 19 novembre 2006 Centre des Congr s 14 boulevard Carnot 13
40. continuit Ma d marche s est toujours inscrite dans la continuit il n y a eu ni rupture ni big bang ni remises en cause trop facile des pr d cesseurs En ce sens j ai suivi l h ritage les tr soriers pr c dents Aline Archimbault et Dominique Issel pour ne citer que les deux que j ai connus La confiance Un climat de confiance et de responsabilit tait pr sent d s la pr paration du budget au sein du CE et par les votes successifs du L quipe Confiance est aussi due l quipe comptabilit et adh sion commencer et ce m tait pas vident les relations entre un nou veau tr sorier national et un ancien m tamorphos en directeur financier Le pari tait audacieux il aurait pu chouer La greffe a fonc tionn aid e plus particuli rement par Nathalie Rozen et G raldine Journeux Voil pourquoi le bilan d un tr sorier ne peut pas tre un bilan personnel Ce sens du collectif nous l avons maintenu et accentu la veille d ch ances lectorales importantes o tous les moyens ont t mise en uvre pour minimiser le risque mais aussi pourquoi pas maximiser les gains politiques et financiers Attribution du nombre de membres du Conseil national interr gional 3 4 r gional D l gu e s calcul e s sur le nombre d adh rents jour au 10 09 2006 R GION ADH RENTS CNIRIENS D L GU S ALSACE EE DOS RENE e 14 PPP 4002 SE 2y E
41. dans notre pays L cologie politique a choisi de s al lier la gauche mais elle n est pas r ductible un courant de la gauche traditionnelle elle exprime une autre vision de la transformation L identit de la gauche repose sur la question sociale et la redistribution des richesses l cologie politique revi site ces questions les rapports sociaux sont ins parables de la fa on dont on produit de ce qu on produit et de ce que lon compte et par cons quent des rapports avec la nature Comme la nature ignore les fronti res humaines tout l difice de la gouvernance mondiale doit tre repens En commen ant en Europe nous r affirmons notre attachement 6 largissement de l Union y compris la Turquie et son approfondisse ment la remise en chantier du projet constitutionnel la relance de politiques communes que seules interdisent les go smes nationaux et les protectionnismes plus ou moins avou s Nous r affirmons notre volont de paix de non violence 6 Des Verts pour un accord solide gauche Dans lopinion monte une double aspiration faire barrage Sarkozy et renouveler profond ment le per sonnel politique Pour que ce barrage soit solide et pour que ce renouvellement ne soit pas formel nous agissons publique ment pour un accord de l gislature et de gouvernement entre la gauche et les cologistes Le p le de radicalit qui refus
42. dans un d lais de 6 mois apr s la date d adoption de la motion selon la Eat d crite au D 2 entre les diff rentes propositions d po s es au bureau du CNIR 4 semaines avant la r union Lorsqu un projet de referendum est publi par le secr tariat national afin d obtenir le compl ment de signatures n cessaires au lancement d un r f rendum d initiative militante et qu un projet alternatif r unis sant X des adh rents est d pos au secr tariat national dans un d lai de Y jours apr s la publication du projet initial le secr tariat national ne peut lancer la proc dure r f rendaire sur la demande initiale 5 moins de 7 semaines apr s publication de Pappel signatures compl mentaires du projet alternatif D s que le projet de r f rendum initial a atteint le nombre de signatures n cessaire ou l issue de la p riode d attente si les signatures ont t obtenues moins de Z semaines apr s publication de l appel signature du projet alternatif l ensemble des propositions ayant atteint le nombre n cessaire de signataires sont propos es en m me temps aux adh rents Si plus d une proposition a re u le nombre de signatures n cessaire litem lt aucune de ces proposi tions est ajout la liste des choix et un vote pr f rentiel selon les dispositions sui vantes est Organis Porteur Alexis Braud AQUITAINE Xavier LHOMME AUVERGNE Daniel RONDEPIERRE BRETAGNE
43. de l actualit la pr sence dans les manifestations et les d l gations la participation aux missions radiophoniques t l visuelles et puis des contacts r gu liers avec la presse C est la fois souple et chronophage Ce volet je l ai rempli avec le sentiment qu il faudrait faire mieux Les invitations la t l ne sont pas l gion mais ont exist deux fois le journal de 13h de France 2 pour le d bat plusieurs fois C est dans l air Canal France 3 et M6 aussi et puis heureuse ment que le c ble existe C cile Duflot Porte parole national communication externe Porter la parole mission la fois tellement vaste et si subtile J ai t lue porte parole en janvier 2005 un mois apr s l Assembl e g n rale dans un contexte politique particulier pour les Verts une synth se vot e 92 et pour la premi re fois dans l histoire des Verts seulement deux porte parole Porte parole mais aussi membre du Coll ge ex cutif car il y a en fait deux mandats celui de porter la parole du parti l ext rieur et de r pondre aux sollicitations diverses celui aussi au m me titre que 12 autres personnes de participer l ex cutif et de contri buer prendre des d cisions qui engagent notre mouvement Mes premiers pas de porte parole ont t Lorient pour lt accueillir et naturellement les deux pl ni res aux journ es d t sur la s cu rit professionnelle et sur l
44. des civili sations constituent une menace pour la coh sion sociale en France et pour la d mocratie et la paix dans le monde Les mouvements de la deuxi me partie du XX si cle mouvement de lib ration des peuples colonis s et mouvements cologis tes libertaires et d mocratiques 1968 ont t instrumentalis s ou trahis mais la fin de la guerre froide avait laiss esp rer voir se concr tiser leurs aspirations Malheureusement ces esp rances sont contredites par l h g monie id ologique de l ultra lib ralisme et l h g monie politique Etats Unienne L id ologie de lt guerre des civilisations vient conforter cette h g mo nie la justifiant au nom de la d fense de la libert et des valeurs occidentale contre un ennemi global potentiel ou d clar Aujourd hui lIslam comme religion et comme culture des populations des princi pales zones de tension du monde est rig en matrice de cet ennemi global Chez les musulmans certains d veloppent la m me logique en rigeant les crois s ou l Occident lt jud o chr tien gt en ennemi global Il ne s agit pas seulement d oppo sants farouches l Occident comme Al Qaida et les salafistes radicaux mais aussi de composantes du syst me mondial de domination comme le r gime saoudien Il en r sulte l instrumentalisation g n rale des conflits existants Les causes cono miques sociales politiques ou historiques de ceux ci
45. en a constat les effets Nous nous sommes content s du discours sans le mettre en oeuvre C est toujours l cologie de transformation qui devrait nous guider Refusons de choisir entre soumission au PS environnementalistes de droite ou repli sur soi Le parti est bloqu et nous devons sortir de cette situation Encourager les adh rents militer et mutuali ser leurs id es et pratiques afin d in nover tre de nouveau consid r s comme des partenaires utiles par les mouvements que nous c toyons Rester un parti pluraliste avec de nouvelles pratiques de la prise de d cision d mocratique pour rempla cer les d rives des d bats actuels 51 54 _OH AG06 qxp 12 10 06 15 44 Page 53 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE ALTER EKOLO L COLOGIE POLITIQUE MOBILIS E IMPOSER L COLOGIE DE TRANSFORMATION EN JOUANT SUR LES ALLIANCES GAUCHE structur s par les courants Respecter les r gles de non cumul interne et externe et mettre celles et ceux qui les suivent en valeur Nous devrons galement construire le parti Vert europ en y favoriser le d bat politique international dans le respect des langues y porter la contradiction anti lib rale Changer les Verts c est leur donner des raisons de vivre et de r ussir Gagnant gagnant Bordeaux ne doit pas tre le congr s du repli sur soi mais du renouveau de la volont politique Verte Battre la droite chapper l h g monie du PS Rom
46. et les l gislatives Nous souhaitons qu il y ait une candida ture unique de l cologie politique avec une pr f rence pour une d marche du type lt primaires de l cologie politique gt mais sans exclusive La mise en uvre de celle ci pourrait tre facilit e par la mise en place d accord lec toraux aux l gislatives avec les formations cologistes qui accepteraient de participer avec nous au rassemblement des cologis tes Nous souhaitons que les Verts puissent n gocier des places suppl mentaires gagna bles pour permettre cet accord lectoral 5 KSE Ge commune des cologistes pour l instauration d une dose significative de proportionnelle aux l gislatives Il s agit d obtenir l organisation d un r f rendum constitutionnel juste apr s l lec tion Pr sidentielle instituant une dose significative de repr sentation la propor tionnelle pour l lection des d put s sur le mod le allemand avec mise en uvre imm diate pour les lections l gislatives qui suivront la Pr sidentielle L objectif est de permettre une autonomie minimale pour la repr sentation parlementaire de P cologie politique et d viter une relation de vassalit vis vis d un grand parti Vous pouvez poursuivre avec nous le dia logue en vous inscrivant la liste de discus sion ouverte aux non verts http listes lesverts fr wws info ecologie ensemble Th mes d battus Ouest ce qu tre cologist
47. et les orientations retenues engageront les Verts pour les deux ann es qui viennent Placer l cologie au c ur des Verts Rassembler les cologistes au sein d un seul parti Remettre le parti la hauteur des enjeux 1 Placer l cologie au c ur des Verts et les Verts au c ur de l cologie La crise cologique a d pass le stade des menaces et des seuls chocs sani taires pourtant d j lourds pollu tions de l eau de Pair et des sols Ses cons quences conomiques et socia les commencent perturber les conditions de vie de millions de per sonnes C est une crise multiforme perceptible aussi bien dans les alt ra tions du climat dans la rar faction ou l puisement de ressources irrem pla ables p trole minerais eau que dans le d clin de la biodiversit d forestation disparition des esp 065 Cela remet radicalement en cause le mod le conomique productiviste qui a prosp r jusqu alors Un exem ple frappant est donn par la crise que provoque dans un contexte d urbanisme tal et de priorit la route l augmentation du prix des carburants sur des secteurs d activit s entiers et leurs salari s Aucune politique publique ne peut plus faire l impasse sur les cons quen ces de cette crise cologique Force est de constater que malgr le verdissement des discours droite et gauche demeurent prisonni res d une vision classique de la croi
48. eu le soucis de faire parvenir tous des outils p dagogiques sur l Europe et ses enjeux Au bout du compte notre parti ne s est pas d chir sur ce difficile pisode et nous pouvons tous ensemble aujourd hui travailler la relance d un processus europ en tel que nous Verts d sirons le porter C est cette question qui animera principalement le 2 me congr s du Parti Vert Europ en qui se tiendra Gen ve dans quelques jours Ce le premier dossier labor avec l aide de lt SINOPLE struc ture qui assure l interface entre le travail des eurod put s verts fran ais et le parti Anne Marie Billiottet D l gu e au programme aux commissions et aux Journ es d t es 3 attributions qui me furent d volues au sein de ce Coll ge Ex cutif celles de centraliser suivre et impulser le travail de co laboration de notre projet 2007 fut incontestablement la plus lourde En mars 2005 ont t mis en place de nombreux lt chantiers de P cologie politique pilot s par des groupes associant membres du CE du CNIR et des commissions Chacun d eux permit d affiner et d actualiser notre programme de 2004 et surtout de confronter nos propositions aux attentes de nos partenaires associatifs syndi caux et professionnels au cours de rencontres en particulier aux JE de Grenoble et de conventions 7 de janvier juin Processus dont les tapes ont pu tre suivies en interne travers les rapports de ces group
49. faut tre vigilant quant au maniement des r gles de d mocratie au risque de la pervertir en moyen de sanction et d exclusion Car la d mocratie n est pas seulement l expression d une majorit et d une opposition c est aussi le respect de la diversit sociologique S en d barrasser ou ne pas assumer son r le d opposition au del de sa propre diversit devient la meilleure occasion de faire le lit d une cer taine dictature Nous pouvons comprendre qu un employeur choisisse son employ qu un bailleur ses locataires or lorsque ce sont toujours les m mes qui l on refuse nous sommes en droit de nous demander pour quoi Il est vrai que ces attitudes ne concernent ni le cas isol d un individu ni les Verts en particulier Nous constatons donc qu il s agit bien de m canismes de blocage qui in fine renvoient malgr elles les lt victimes gt s interroger sur la question des discrimi nations et du vivre ensemble Ce sont ces attitudes qui g n rent des regroupements de cadres lt issus de l immi gration souhaitant rompre avec ces st r otypes autant stigmatisants qu humi liants pour seulement affirmer une adh sion aux valeurs partag es Ce sont ces attitudes qui cr ent des scis sions au sein des groupes humains oppo sants ainsi des individus aux autres sur la base de crit res ethniques ou culturels Ce sont ces attitudes qui produisent la frustration le repli i
50. histoire d une id e politique Corey Robin Armand Colin 2006 366 p 26 euros Femmes en politique Catherine Achin et Sandrine L v que Rep res La D couverte 2006 122 p 8 50 euros Lextr me gauche plurielle entre d mocratie radicale et r volution Philippe Raynaud Cevipof Autrement 2006 201 p 17 euros La d mocratie histoire d une id ologie Luciano Canfora Faire l Europe Seuil 2006 482 p 24 euros Les goulags de la d mocratie r flexions et entretiens Angela Davis Au Diable Vauvert 2006 157 p 15 euros Trait de d magogie appliqu e Sarkozy la r cidive et nous Serge Portelli Michalon 2006 138 p 12 euros VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 HISTOIRE D UNE ID E POLITIQUE ARMAND COLIN 36 37 42 OE AG06 qxp 12 10 06 15 35 Page 37 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE OUVRIR R FORMER RASSEMBLER LES VERTS a politique se fait d sormais dans un monde anxiog ne Les tensions internationales la guerre pour des ressources nerg tiques plus rares les premi res mani festations du choc climatique l h g monie d sastreuse des Etats Unis la contre menace terroriste l enlisement d une Union europ enne affaiblie l impuissance des Etats combler les in galit s m me en partie tout entretient la peur le repli sur soi le besoin de r assurance Ainsi le d calage entre les discours politiq
51. ir la violence non la loi Rappelons que la France est signataire de la convention des Nations Unies sur les droits de l enfant alors que cette convention exige des Etats qu ils prot gent les enfants contre toutes formes de violence physique et mentale de la part des adultes qui en ont la garde Rappelons galement que 14 pays euro p ens ont introduit dans leur l gislation l interdiction explicite de tout ch timents corporels des enfants qu attend la France pour les suivre Une des valeurs centrales des Verts est la non violence La non violence ne signifie pas bien au contraire que l on peut laisser la force craser l autonomie et la dignit du faible ou du vuln rable Les Verts s engagent casser l acceptation sociale et juridique des ch timents corpo rels sur les enfants en France en Europe et dans le Monde Ils s engagent d poser une proposition de loi interdisant tous les ch timents corporels l gard des enfants et augmenter la prise de conscience par des campagnes de sensi bilisation du public afin de promouvoir des formes positives non violentes d du cation des enfants et de participer aux manifestations suivantes avec les associa tions le 30 avril lt journ e contre la fess e gt et le 20 novembre journ e des droits des enfants BOURGOGNE Jean Michel PEYRAUD Pierrick VAUGON CENTRE Willy PROUST ILE DE FRANCE Francine BAVAY V ronique BILLAND Lo
52. l ducation et la recherche la sant le handicap les services publics en g n ral sont aussi des soli darit s concr tes europ enne et altermondialiste L cologie est sans fronti res Ainsi en 2009 nous souhaitons l lection d une Constituante qui permettra de fonder une Europe de paix f d rale Par ailleurs refusant le pillage des pays pauvres leur transformation en poubelles des pays riches nous sou tiendrons le Sud riche de sa diversit de populations de cultures tout en respectant sa qu te de d mocratie La politique est l affaire de toutes et tous Notre cologie implique une d mo cratie vivante l image de la diver sit de la France R habiliter la poli tique c est lutter contre les discriminations r nover les pratiques et r former les institutions A condi tion aussi de restaurer la confiance en particulier des classes populaires dans leur capacit d cider de leur sort Faisons de l universalisme une r alit et non une simple id e e Autonomes et ouverts dans nos combats Depuis le s isme du 21 avril des r pliques ont travers la soci t TCE meutes des banlieues CPE Poser les conditions d une v ritable alternative pour battre la droite sans permettre son retour d s 2012 n ces site de tirer dans les actes les le ons de l chec du gouvernement Jospin Clarification et confrontation Nous avons vocation tre les repr sentants
53. l id e dune Constituante seul moyen d mocra tique acceptable pour refonder les institutions europ ennes Il est plus que temps d affronter tous ensemble les institutions de Maastricht Nice qui verrouillent l Europe dans une situation d conomie de march non contr l e par une Europe politique paralys e D velopper un partenariat Nord Sud qui favorise la paix les changes quitables l galit sociale et envi ronnementale Nous devons aug menter le budget fran ais de l aide au d veloppement et exiger le contr le parlementaire de la politique afri caine de la France 5 L cologie exige un parti vert fort une augmentation significative des adh rents par la simplification des proc dures d adh sion et l adh sion nationale 15 euros une attention particuli re la pr sence et l acc s aux responsabilit s des populations minoris es dans le parti f minisation rajeunissement largissement de notre base sociale et ouverture aux minorit s visibles Apr s un d bat interne sur la RPI adoption par un r f rendum militant avant mars 2007 31 36_OD AG06 axp 12 10 06 15 34 Page 33 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE AUDACES UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD 6 L cologie l avenir de la gauche Pour construire un rapport de force au sein de la gauche il faut Favoriser l autonomie des Verts aux lect
54. le calendrier parlementaire Energie Charte de l environnement OGM cette liste n est pas exhaustive D Quand l occasion dest pr sent e j ai pu r aliser quelques bons coups m diatiques entre autres Les Verts se baignent dans la Seine dans le cadre de la journ e mondiale de l eau mars 2005 titre du journal de 20h sur FR2 D et lt Hommage aux victimes du nucl aire gt l occasion des 20 ans de Tchernobyl avril 2006 passage sur TF1 journal de 13h Trois campagnes ont t mises en uvre au niveau national le projet europ en Reach sur la r glementation des substances chimiques en collaboration avec Marie Anne Isler d put e euro p enne et Sinople Yann Wehrling Secr taire national our commencer ce bilan j ai envie de vous faire part d une anecdote qui l introduira avec le sourire j ai parcouru toutes les r gions l invitation de groupes locaux d asso ciations ou d instances r gionales Invariablement au moment de se quitter les gens me disaient avec un air pein bon courage gt J en souriais mais l vidence cela me prouvait que l image de nos sph res nationales tait sacr ment d grad e assimil e un ter rible panier de crabes C est largement la raison pour laquelle je crois que l apaisement que notre parti a connu depuis deux ans est fondamental Il doit tre poursuivi car il pr figure une matu rit sans laquelle aucun d veloppemen
55. leur bulle Ils s int ressent de plus en plus leurs propres querelles internes obs d s par la lutte des places le contr le des mandats et des cartes la gestion de leur propre calendrier Ce comportement a un co t politique Le parti est devenu inaudible Il marche contre courant de la r alit Tandis que le plus grand mouvement social CPE depuis le mai 68 embrase la France les Verts s puisent dans une campagne interne pr sidentielle trangement d ca l e Lorsque tous les autres mouvements d signent leur candidat les Verts entra vent le d marrage de leur propre candi date en organisant un congr s qui aurait pu se tenir apr s la phase lectorale puisque les d cisions essentielles candi dat vert aux pr sidentielles autonomie aux municipales et l gislatives rapports avec le PS ont t fix es Reims et que le CNIR a refus tout d bat strat gique visant tenir compte de la nouvelle r alit issue du 29 mai et de la pr candi dature de Jos Bov Ce d calage perma nent renvoie l image d un parti tourn vers lui m me un parti tautiste au sens o il r p te des tautologies en boucle et qu il n entend plus la soci t Ce repli sur soi et sur la gestion de la marque verte sur le logo f tichis e comme une fin en soi ne permet pas aux Verts de s inscrire dans l espace de la soci t mobilis e Trois sc narios sont d s lors possibles Soit l on ne change rien
56. missions le CNIR doit avoir les moyens de vrai ment tre le Parlement Vert les com missions th matiques doivent tre reconnues et renforc es Croire aux Verts L herbe n est pas plus verte ailleurs Nous avons des talents et des comp tences Valorisons les Nous entendons trop souvent des commentaires y compris dans nos rangs qui nuisent aux Verts Soyons conscients que les discours d faitistes sur notre tat contribuent nos renoncements Renoncement porter une analyse lucide sur l tat de la plan te renoncement d fendre la radicalit des solutions que nous savons n cessaires pour am liorer les choses renoncement nous ouvrir aux autres forces cologistes renon cement pratiquer la politique autre ment renoncement assumer de fa on autonome le paradigme colo giste L autonomie contractuelle n est pas synonyme de renoncement ou de vassalisation mais synonyme d auto nomie tout court quand le contrat propos n est pas bon Notre Congr s ne doit pas tre per u comme une ch ance risques mais comme une occasion de grandir et de nous affirmer pour tre attractifs et convaincants Nous sommes convaincus de nos forces et de notre capacit agir Construisons ensemble l cologie du 21 me si cle Existons Verts ALSACE Marie Madeleine BRAUD Marc TOURNIER BOURGOGNE Genevi ve GIRAULT BRETAGNE Marc MILLOT Alain UGUEN CORSE Jean Paul QUENTIN
57. ou int gristes s ajoute la violence l gitime des tats que cela soit en Russie en Irak ou pour r primer la r volte des banlieues en France Nous entrons dans un cycle de violence auto entretenue de surcro t aliment par la d sagr gation sociale Cette r gulation violente justifie r troac tivement des gouvernements autoritaires Une balkanisation culturelle du monde Au nom d une pr tendue guerre des civi lisations des politiques internationales s gr gatives aux d clinaisons locales s im posent et diffusent des discours mani ch ens r ducteurs en pr textant de textes religieux de soi disant d termi nants sociaux pour ne pas dire eth niques La reconnaissance de la pluralit des identit s est d tourn e pour des assi gnations et des enfermements identitai res Alors que l humanit est le fruit de m langes culturels successifs certains d cr tent une nouvelle forme de fin de l histoire en figeant les civilisations Tout mouvement d mancipation se fait avec les personnes et non malgr elle quel que soit leur niveau d ali nation Fran oise Alamartine LR Robert Bordin PACA Alexis Braud PdL G raldine Chalencon DE Cyril Cogn ras LD C cile Duflot IDE Benoit Fenault HN Guillaume Fillon DE Jean Michel Gambier IDF J r me Gleizes IDE Guillaume Grima HN Claire Grover IDF Nicolas Gueret IDF Brigitte Leblan Lorraine Alain Leclerc IDF Elise Lowy BN
58. priorit des politiques globales aboutissant des r sultats partag s par le plus grand nombre Alors que se d veloppent les incidents climatiques et que le mal logement devient une r alit de plus en plus massive notre pays a besoin d une politique volontariste couplant lutte contre l effet de serre et reconstitution du lien social Cette bataille du contenu nous la m nerons aussi longtemps qu il le faudra devant l opinion publique c est une AG extraordinaire ou un r f rendum militant qu il reviendra en temps utile de d cider finalement Des Verts unis et ouverts Les Verts doivent r pondre toute initiative pour la tenue d Assises de l cologie politique pour faire entrer dans le d bat public de l ann e pro chaine quelques grandes proposi tions d actions mener dans la man dature 2007 2012 La question se pose en terme de convergence sur toute la s quence lectorale et non de ralliement ou de fusion Ces assises devront tre ouvertes aux associations mouvements et person nalit s actives sur le terrain de l envi ronnement aux r seaux de l conomie sociale et solidaire de solidarit avec le Sud de d fense des droits des tran gers de lutte contre la pr carit et pau vret aux syndicalistes de la reconver sion cologique aux mouvements r gionalistes et de consommateurs Au del Les Verts doivent chercher construire les plus larges ch
59. que sa croyance est la v rit Ainsi les lois d mocratiques ne sont respect es que dans la mesure o elles lui conviennent Car la seule loi qui compte c est celle de sa per ception de son dogme lt Le croyant sait qu il croit l int griste croit qu il sait gt Faire alliance avec un int grisme particulier emp che totalement de lutter contre les autres Le paradigme universaliste dispara t avec la la cit et il ne reste que la posture du Choc des Civilisations Les int grismes ont pour point commun de r futer totalement les id aux universalistes la promotion de l galit des droits entre tous les tres humains Leurs repr sentants n ont pour cesse de critiquer les droits de l hu main la la cit le f minisme le rationalisme Ils le font de multiples mani res en mettant en avant le relativisme culturel en inventant de nouvelles lt la cit s gt en faisant croire qu il y aurait des f minismes qui trouveraient leur source dans les religions en expliquant comme en Inde que les sciences seraient de nature culturelle ou nationale ou comme aux Etats Unis que l volution des esp ces n existe pas Nous devons nous d barrasser de cette pos ture ang lique bas e sur la culpabilit colo niale adopt e par certainNEs altermondia listes et qui consiste croire que nous pourrions faire un bout de chemin avec les int gristes Outre que c est ignorer totale ment les projets tota
60. rales dont il applique les d cisions Le Coll ge ex cutif Le Conseil national interr gional qui s est r uni les 16 et 17 septembre der niers a d fini le nombre de membres du prochain Coll ge ex cutif 15 per sonnes cette ann e contre 13 avant et d fini leurs fonctions Un appel candi dature au CE est lanc dans cette Tribune des Verts cf pages 8 et 9 Les membres des Verts peuvent proposer leur candidature avec une profession de foi qui devra tre accompagn e de cinq signatures de soutien d adh rent e s si elles sont adress es au Secr tariat natio nal avant le 17 novembre midi ces professions de foi seront envoy es aux membres d sign s du nouveau CNIR avec le document de convocation Le Coll ge des 21 Au cours de l Assembl e f d rale les repr sentant e s des motions d orienta tions d signent la proportionnelle de leur score au premier tour de PAG d centralis e un Coll ge des repr sen tants de 21 personnes issues du CNIR dit le Coll ge des 21 charg es d labo rer des propositions de composition de CE Le CNIR des 16 et 17 d cembre votera ces propositions de fa on contra dictoire et apr s chaque vote liminera la proposition qui recevra le moins de choix c est ce que l on appelle le prin cipe des chaises musicales Il n a que cette fonction Le Conseil statutaire Le Conseil statutaire se compose de huit membres renou
61. re des exp riences et des pra tiques sociales des parcours et r flexions non relay s et des animateurs non repr sent s dans les espaces institution nels et sein m me des Verts Notre zone veut tre un espace lib r et convergent de temps de pratiques d imagination une base d appui fond e sur des valeurs coop ratives d inventivit et de convivia lit qui chappent la lutte des places en pratique chez les Verts Nous agirons en ce sens d s cet automne par la com m moration du ler anniversaire de la r volte des banlieues et en 2007 par le lancement d une semaine anticoloniale La r volte des banlieues l automne 2005 a t le moment fondateur de la ZEP Ce soul vement a exprim la crise de repr sentation d une partie de plus en plus massive de la population par rapport aux appareils traditionnels mais aussi le refus de la stigmatisation des 6 classes populaires et de la jeunesse trans form es en parias et consid r es comme des classes dangereuses Ce refus avait d j marqu la confrontation id olo gique sur le voile o au nom de la d fense de la la cit nombreux gauche avaient soutenu une loi consacrant le racisme institutionnalis envers une partie de la population Nous interpelle galement l volution des partis verts en Europe marqu e par la domination de la bobocratie d un lectoralisme sans autre objectif que sa propre reproduction d une tec
62. remettre l cologie au coeur des Verts Bretagne retirer Christophe KERGOSIEN qui n a pas sign cette motion d orientation 21 26 _OB AG06 qxp 12 10 06 15 31 Page 23 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE URGENCE ECOLO REMETTRE L COLOGIE AU C UR DES VERTS Lanc e il y a 4 ans la R forme parti cipative interne est une montagne qui a accouch d une souris faute de volont politique Nous ne pouvons plus nous contenter de r formettes C est bien d une refondation de Por ganisation dont nous avons besoin Le CE sera directement mandat pour proposer une r forme interne des statuts par referendum avec pour axes prioritaires Favoriser l adh sion de nouveaux publics par une politique d accueil et des structures plus simples Une meilleure d finition du r le des instances un CNIR concentr sur des points strat giques et poli tiques majeurs un ex cutif en capa cit d assurer son r le de direction et d animation sans tre l otage des cou rants Harmoniser le fonctionnement des commissions R former la f d ration d lus pour qu elle soit transparente et dyna mique pour mieux les associer la vie du mouvement Se doter d une grille de cumuls la fois exigeante et applicable Ferme sur ses priorit s Urgence Ecolo sera ouvert au dialogue avec tous pour constituer une majorit stable sur la base d orientations clai res Nous ne souhaito
63. riph rie des villes de renouer avec le mouvement altermon dialiste les syndicats les associations de jeunes des quartiers Ce choix est devant nous Nous ne pouvons le r gler par lin vention d un gadget politique travers l organisation d Assises d Etats g n raux de l cologie ou de Forums mais par le d bat entre ces trois orientations qui ont des cons quences en termes de partena riat privil gi d implantation d axes programmatiques Pour leur part les militants qui soutiennent la motion EP ont choisi la voie des convergences soli daires et populaires se tournent r solu ment vers la soci t et proposent 1 La continuation de l organisation de la co laboration travers des comi t s de suivi des engagements de la gauche apr s 2007 la coproduction de loi avec les secteurs du mouvement social qui proposent des alternatives concr tes 2 Le d veloppement de coalitions majoritaires sur l urgence environnemen tale climat OGM pesticides trans port d mocratique la 6eme R pu blique la votation citoyenne ou sociales 6 CONTRIBUTIONS AU D BAT RTT s curit sociale professionnelle revenu garanti travers des campagnes cibl es 3 Le renforcement de l engage ment des verts au sein des Forums sociaux locaux la participation aux col lectifs unitaires au sein des r seaux li s au mouvement social RESF 4 La cr ation d outils sp cifiques visant
64. s individuelles et collectives des propri taires vis vis de l air et de l eau r former les droits de propri t intellec tuelle en tirant les le ons des exp riences des logiciels libres des droits d auteur et des chercheurs scientifiques des transforma tions r centes du spectacle vivant intermit tents du spectacle La division par deux de la double journ e de travail des femmes et la restauration des solidarit s de base notamment dans les cit s la division par quatre de la consom mation nerg tique et la division par deux de l empreinte cologique s effectueront progressivement par la constitution d asso ciations locales d entraide f minine dans le cadre des formes juridiques existantes de l conomie sociale et solidaire r gies de quar tier associations 1901 SCOP SCIC etc Les pouvoirs publics aideront la cr ation de quasi monnaies locales non th saurisables et d di es mises et g r es par des agences quasi financi res Ces agences constitueront le bras s culier de la lt planification participative d centralis e gt d cid e par les structures d mocratiques locales et plus particuli rement les Conseils de d veloppement de pays et d agglom ra tion pr vus par la loi Voynet de juin 1999 pour orienter les investissements en euros dans le tiers secteur De nouvelles m thodes d estimation de la richesse globale seront mises au point au ser vice de cette planification
65. se nourrit d une id ologie coloniale jamais r sorb e L int riorisation de la logique de guerre lt eux gt contre lt nous gt provoque fantas mes censures et anath mes et d veloppe la b tise haineuse qui comme l poque de l affaire Dreyfus des ann es 30 ou de la guerre d Alg rie affaiblit toute la soci t dans sa dimension la que ouverte et d mocratique R sister cette emprise grandissante du mod le de guerre est imp ratif Les Verts en France comme en Europe ne doivent pas c der cette pression et doivent s ap puyer sur leurs exp riences et leurs acquis Contre les d rives communautaristes et ou la cardes cela passe pas la d fense de la soci t s cularis e et la que qui respecte la libert de croyance selon l esprit et la lettre de la loi de 1905 et de la d cla ration europ enne des droits de l Homme d fend la libert d expression de tous et le respect d chacun Rompant avec la rh torique et la pratique de la war on terror cela passe par la r af firmation de la lutte pour la justice et la d mocratie la rupture avec le deux poids deux mesures notamment au Proche Orient la d mystification d un suppos ennemi global terroriste international justifiant toutes les politiques liberticides condition du combat effectif contre les pra tiques terroristes r elles attaques d lib r es contre des civils qu elles soient le
66. sont occult s au profit de la dynamique binaire d mocratie contre ter rorisme libert contre obscurantisme vertu contre vice Ainsi est occult e l occu pation qui explique la perp tuation du conflit isra lo palestinien et justifi l enl vement de d put s palestiniens d mocrati quement lu au nom de la lutte contre le terrorisme Ainsi la lutte pour la d mocra tie dans des pays comme la Syrie le Tunisie ou l Egypte est assimil par les r gimes une faiblesse vis vis de l islamisme radical et les d mocrates sont r prim s avec lac quiescement tacite de l Occident Cette logique s tend aux affaires int rieures des d mocraties Georges W Bush l gitime la violation des conventions de Gen ve l encontre des prisonniers et remet en causes des libert s fondamentales des citoyens am ricains eux m mes L Europe et la France ne sont pas exemptes La stigmatisation des musulmans est orches tr e par des vagues d islamophobie m dia tique et politique au Danemark ou aux Pays Bas etc ce qui sym triquement favorise la radicalisation de certains musul mans jusqu la d rive terroriste En France confront s aux probl mes de discrimina tions sociales et ethniques nombreux sont ceux qui adoptent les arguments de la guerre de civilisation comme on Pa vu par exemple de Charlie Hebdo jusqu la tri bune de l Assembl e Nationale lors de la crise de novembre 2005 Une logique qui
67. sur les motions et cherchent les alin as ou les fins de phrases quant elles sont projet es sur l cran La gestion des amendements r dig s par les cniriens a t am lior e en liaison avec l un e des deux secr taires de s ance mise disposition d un photocopieur imprimante et d un r tro projecteur Le d bat a t facilit par la projection sur cran des textes discut s en s ance Il faudra pr voir terme une modernisation du dispositif en cr ant un serveur pour g rer les amendements pour les projeter directe ment sur cran de salle d s qu ils seront identifi s par le Pr sident de s ance Celui aura la liste des amendements et d cidera de la projec tion de l amendement L information aux cniriens Une modification des modalit s de d p t des textes a t vot e par le CNIR sur proposition du Bureau Les motions diverses doivent d s ormais avoir l avis favorable de la Commission laquelle son th me se rattache Les motions d urgence sont aujourd hui des d clarations concernant une actualit nouvelle Un guide d information des cniriens a t cr Il est sur le site Ce guide constitue une boite ressources organisation du Co gestion des textes modalit s de vote r le du Bureau Toutes les d cisions vot es par le Cnir sont disponibles sur le site Le trombinoscope est aussi disponible sur le site Une liste de discussion a t ouverte pour permettre aux cniriens de pr parer en
68. tenu Ljubljana Slov nie la conf rence des Etats d Europe et d Asie cen trale consacr e la lutte contre la violence faite aux enfants La France a brill par son absence Est ce que la France consid re que les enfants sont des mini personnes avec des mini droits gt et qu il ne faut pas lt agir maintenant pour leurs droits Dans notre pays les enfants sont la seule cat gorie d tre humains que l on peut impun ment frapper et humilier La France m re patrie des droits de l homme consid re toujours que l ducation paren tale appartient au domaine priv ainsi plus de 50 des fran ais disent donner souvent des fess es leurs enfants sondage Sofres 1999 Les enfants sont souvent consid r s comme la propri t des parents plus que comme des individus part enti re b n fi ciant de leurs propres droits dont la protec tion Les sanctions violentes et humiliantes inflig es par les parents sont tr s fr quen tes et elles ne sont pas sanctionn es par la loi Ses cons quences sur la sant sont extr mement graves les enfants battus sont plus malades ont plus d accidents et r agissent par la violence sur soi alcoo lisme toxicomanie et par de la violence sur leurs propres enfants Selon Emmanuel Todd la banalisation de la violence depuis l enfance fait accepter la violence d Etat la violence d un syst me politique parce qu elle cr e lhabitude d o b
69. une voix consultative Le budget pr visionnel devra pr voir cette participation ALSACE Yann WEHRLING AQUITAINE Cl ment ROSSIGNOL AUVERGNE Daniel RONDEPIERRE BRETAGNE Michel ROLLAND CENTRE Olivier MASSON CHAMPAGNE ARDENNES G rard CROUZET FRANCHE COMTE Philippe CHATELAIN Hubert GUYET Bernard LACHAMBRE Jean Jacques METTETAL Isabelle NOUVELLON Gerard ROY Marie Claire THOMAS HAUTE NORMANDIE St phanie TRANCHARD LIMOUSIN Roger NORMAND NORD PAS DE CALAIS Bernard DESPIERRE PAYS DE LA LOIRE Johan GARRY Didier QUERAUD PICARDIE Delphine SCHWINDENHAMMER RHONES ALPES Maryse OUDJAOUDI GUYANE Philippe MENARD 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 71 e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES POUR LE MANDAT UNIQUE a d mocratie fran aise est mori bonde abstentionnisme croissant d mocratie de moins en moins repr sentative avec peu de femmes lues seulement 12 l Assembl e nationale soit l avant derni re place dans l Europe des 25 peu de jeunes peu ou pas de diversit sociologique et culturelle un cumul des mandats rig en sport national un pouvoir qui reste tr s largement jacobin alors que les r centes pseudos lois de d centralisation ont surtout transf r des charges sur les collectivit s locales un scru tin majoritaire qui aboutit des assembl es qui ne refl tent en rien la diversit de la soci t Face cette situation les Verts ont des pro p
70. vitalit du mouvement et l initiative militante C est un outil puissant de changements accept par tous En savoir plus visitez www preferendum info L assembl e n rale des Verts d cide d ins rer A dans l article XVII de PAI D 1 D s lors qu un corps lectoral doit trancher entre plus de deux options alternatives l organe qui organise le vote est encourag choisir la proc dure de vote pr f rentiel Borda modifi d crite dans le D 2 D 2 Le scrutin pr f rentiel Borda modifi est organis en un seul tour Chaque votant dispose d un bulletin de vote sur lequel il classe par ordre d croissant de pr f rence tout ou partie des N options qui lui sont propos es Soit n le nombre d options class es parmi les N propos es Le premier choix d un bulletin apportera n points l option concern e le second choix n 1 points le troisi me choix n 2 points etc Dans tous les cas le dernier choix apportera un point les options non retenues n apportant aucun point Il est proc d au d compte et l addition des points L option qui a le total le plus important est l option d clar e choisie En cas d galit parfaite l option qui a le plus souvent t class e en t te emporte En cas de nouvelle galit on tudie le classe ment relatif au rang suivant B la fin de l article XV de PAI Les chiffres X et Z seront d termin s par le CNIR
71. voulu respecter infiniment dans mon expression publique les positions adopt es par les Verts J ai eu cette conscience que je sais que beaucoup partagent d avoir t lue pour assumer ce r le particulier en notre nom tous de porter un message collectif R le qui se joue dans un univers m diatique et politique complexe plus habitu aux figures videntes de notre parti C est tr s gratifiant la plupart du temps parfois complexe autant que nous le sommes parfois plus difficile lorsque la militante doit oublier un 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 11 COMMUNICATIONS 2004 2006 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF peu mais c est cette r gle qui nous permet d tre compris comme exprimant une volont collective Le quotidien des porte parole c est aussi d crire des communiqu s annonce d une prise de position ou r action un v nement rappel des positions Vertes Cela n cessite de s appuyer sur tout le travail d j r alis par les Verts de s adapter d tre r actif et parfois inventif de trouver les formules et les images qui int resseront les journalistes et qui parleront l ensemble des citoyens J ai souvent constat gr ce cela notre richesse collective J ai le sou venir par exemple du Cl menceau sur lequel nos sp cialistes Verts de la question des d chets et des questions maritimes mont permis d exprimer une position claire et originale la fois sur le scandale
72. 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 Le mensuel qui annonce la couleur 15 29 Page 1 num ro 10 nouvelle s rie 747 pisode de la saga originelle Novembre 2006 leuro 12 novembre 2006 ASSEMBL ES G N RALES D CENTRALIS ES EN R GION Voir les adresses page 5 2 et 3 d cembre 2006 ASSEMBL E F D RALE DE BORDEAUX Bordeaux Cite Mondiale Centre de Congr s 18 parvis des Chartrons 33080 Bordeaux 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 2 S BONNE LECTURE AU SOMMAIRE DE CE NUM RO Une AG pour construire et m rir Ordres Bienvenue a Bondeagx 22e semer E a Les Verts comment a marche Appela candidatures ees 2 Bilan du Coll ge execute 8 MOTIONS D ORIENTATION STRATEGIQUE EP Ecologie populaire A Une nergie nouvelle pour l ouverture et laitransformations Eee Urgence Ecolo Remettre l cologie au c ur des Verts 21 Verts et forts forever Prim Vert l autonomie et le contrat 27 Audaces Un autre monde est possible mais il est dans celui ci Eluard 31 Ouvrir r former rassembler LES VERS PR ee EE Pour des Verts utiles la d mocratie cologique conviviale 43 L cologie l espoir en actes pour des Verts autonomes radicaux et ouverts
73. 100 Aix en Provence 01_14 intro AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 RENDEZ VOUS 12 10 06 15 29 Page 4 S ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 ORDRES DU JOUR Les adresses des Assembl es d centralis es ASSEMBL E D CENTRALIS E AD EN R GION Dimanche 12 novembre 2006 E EE 007 2000 EE EE ee IS HUE eege Accueil v rification des mandats Pr sentation des motions d orientation et d bat Vote des motions d orientation constitution des listes de d l gu e s Pr sentation des listes de d l gu e s l Assembl e f d rale Vote sur les listes de d l gu e s Pr sentation des motions ponctuelles et vote Cl ture de l Assembl e g n rale d centralis e ASSEMBL E F D RALE AF DE BORDEAUX Samedi 2 d cembre 2006 Dh LON LE ann AS SEE Accueil v rification et validation des d l gations R union des d l gu s par motions puis d jeuner S ance d ouverture Accueil par les Verts d Aquitaine Rapport d activit du Coll ge ex cutif pr sent par le Secr taire national Pr sentation des r sultats des AG d centralis es Rapport financier propos par le Tr sorier et les Commissaires financiers Heure limite de d p t des ventuelles motions de synth se Heure limite de d p t des candidatures au Conseil statutaire et aux postes de Commissaires financiers Pr sentation des
74. 2004 2006 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF En interne force est de constater que les groupes de travail programmatiques ont t en ce qui me concerne grands consom mateurs d nergie et de temps chaque mandature a ses imp ra tifs mais ils ont permis de r aliser un document programmatique dont nous pouvons tre fiers et de cr er du lien diff rents niveaux J ai ainsi pu constater qu il tait tout fait possible mais en doutais je de travailler en quipe sur des sujets de fond et avec un objectif commun sans qu interf rent d autres consid ra tions Je tiens d ailleurs remercier ici toutes celles et tous ceux St phane Poli D l gu l environnement la sant aux transports l agriculture et la mer nvironnement sant agriculture transports mer sans oublier l nergie et l am nagement du territoire Cet inventaire la Pr vert montre l tendue de la d l gation dont j ai eu la lourde charge pendant deux ans Si les premiers mois furent synonymes d enthousiasme les probl mes organisa tionnels r currents pas de salari environnement probl mes de mise jour des fichiers documentation p rim e m ont rendu la tache difficile D autant plus difficile que nous avons d faire face une v ritable politique de r gression de la part des gouvernements Raffarin et Villepin Le suivi de l actualit a t particuli rement charg tout comme
75. 5 46 Page 77 6 Economies bas es sur les communaut s locales Nous reconnaissons qu il est essentiel de cr er un syst me conomique adaptable et soutenable capable de cr er des emplois et de fournir un niveau de vie d cent pour chacun tout en maintenant un quilibre cologique sain Un syst me conomique performant offrira un travail charg de sens et digne tout en assurant un revenu qui refl te la valeur r elle du travail d une per sonne Les communaut s locales doivent tendre un d veloppement conomique qui assure protection de l environnement et droits des travailleurs largisse la partici pation des citoyens dans l organisation et l am lioration de notre qualit de vie Nous soutenons les entreprises ind pen dantes et les grandes compagnies qui sont socialement responsables ainsi que les coop ratives et les entreprises publiques qui utilisent les ressources et les distribuent par des moyens d mocratiques et partici patifs 7 F minisme Nous avons h rit s d un syst me social bas sur la domination masculine sur les politiques et l conomie Nous appelons au remplacement de la culture de la domina tion et du contr le par des moyens plus coop ratifs d interaction qui respectent les diff rences d opinion et de genres Les valeurs humaines comme l galit des sexes la responsabilit interpersonnelle et l honn tet doivent tre d velopp es ainsi que la conscience morale Nous
76. ALVER TEYCHENEY Michelle Anne H l ne PERET Ren PERET Jean TEYCHENEY Murat TOK Fatima Claude PIETRASANTA Yves UTARD PIETRASANTA Michel PIEYRE Bruno PRIEZ Michel RH NES ALPES PUYJALINET Marie Rose Elisabeth LACROIX Marie Odile RAMOND G rard RIGAL David NOVELLI RODRIGUEZ Fr d rique RODRIGUEZ Saturnin SAVOIE RODRIGUEZ Mariano ROMERO Nicole HUGON Mireille ROMERO Regis ROMERO Jacques ROYERE Yvette ROYERE Jeanne SAMBUCO St phane SANCHEZ Ampare STAINER Ir ne THOMAS Huguette VILLEGAS 30 31 36_OD AG06 axp 12 10 06 15 34 Page 31 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE AUDACES UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD a s quence lectorale qui s ouvre des pr sidentielles de 2007 aux europ ennes de 2009 se pr sente comme une des plus difficiles que les Verts auront affronter L atomisation de la soci t les coups terribles ass n s par la droite le pi ti nement des n gociations internatio nales pour sauver la plan te la para lysie de l Europe l ombre du 21 avril la fascination r pulsion qu inspire Sarkozy tout semble conspirer contre notre projet fond sur l espoir d un monde plus juste plus solidaire d un peuple l autre d une g n ration l autre Nos liens avec les mouvements sociaux sans papiers OGM CPE notre capacit conduire des poli tiques alternatives locales municipa les ou r gionales notre
77. AND Catherine BONY Emmanuelle CHALEAT Thierry CHASTAGNER Pascal CHIRAT Anne DE BEAUMONT Bruno DELOIRE Daniel DEMURCIA Annie FREMAUX Christine GARNIER Moncef KDHIR Jean Paul LHUILLIER Pierre MERIAUX Jacques MINNAERT Jean MINNAERT Yann MONGABURU DOMEJEAN B atrice MUNTLAK Philippe NAMIAS Danielle PERSICO Pierre RIGUET Olivier SANDT Satchidanand SEETHANEN Marie SERVE Marie TROUSSELLE Muttiah YOGANANTHAN Sophie YOGANANTHAN Yamini YOGANANTHAN Marie Laure ZAMORA julien ZLOCH R UNION Thierry DENYS Joseph claude POTHIN Marie C cile SEIGLE VATTE 51 54 _OH AG06 qxp 12 10 06 15 44 Page 51 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE ALTER EKOLO L COLOGIE POLITIQUE MOBILIS E IMPOSER L COLOGIE DE TRANSFORMATION EN JOUANT SUR LES ALLIANCES GAUCHE eaucoup d entre nous mobi lis s lors du formidable d bat constitutionnel euro p en ont dans la foul e d cid de construire un r seau europ en pour l cologie de transformation Nous nous sommes ensuite battus en vain pour avoir un vrai d bat strat gique interne sur la pr sidentielle et les l gislatives Nous continuons nous mobiliser pour un candidat unitaire anti lib ral cologiste et alter mondialiste Jos Bov Nous nous impliquons dans les collectifs pour que cette campagne unitaire advienne Alors il faudra un r f rendum d initiative militante Alors que la pertinence des questions pos es par les cologis
78. ARDENNES St phane JOLY HAUTE NORMANDIE Jean Pierre GIROD Annie LEROY ILE DE FRANCE Mathilde ALLUCHON Denis BAUPIN Mathias CHAPLAIN Jo l CHENAIS Yves COCHET Marc DENIS Jean Luc DUMESNIL Patrice GOHIER Stephen KERCKHOVE Jean luc MANCEAU Pierre PARREAUX Barbara POMPILI CARREZ Pierre RADANNE LANGUEDOC ROUSSILLON Jean Claude BIAU LIMOUSIN Alain DORANGE MIDI PYR N ES Pierre LABEYRIE NORD PAS DE CALAIS Antoine BONDUELLE Lise DALEUX Paolo Serge LOPES PAYS DE LA LOIRE Pascale CHIRON Anne VALIN PICARDIE Emilie THEROUIN POITOU CHARENTES Odette BRACH Patrick FONTANAUD PROVENCE ALPES C TE D AZUR Denis LEBIODA Robert LINDECKERT RHONES ALPES Jean David ABEL SAVOIE Michel MOMMESSIN 79 84 6 AG06 qxp 12 10 06 15 56 Page 79 F CONTRIBUTIONS AU D BAT 310 NV SIWNOS NON 531 31 CONTRIBUTIONS 9002 THVNITIO TIVAAJNJ HTISWSSSV e SLHAA SAA ANATIAL 71 o 01 oN LATA QU EST CE QUE LA ZONE ENCORE UN COUP POUR RIEN 82 D ECOLOGIE POPULAIRE 80 QUELQUES ELEMENTS LA BULLE scene NN d Ce does tue 81 SUR LA PERIODE 83 79 5 79 84 _AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 TEXTES NON SOUMI 5 AU VOTE CONTRIBUTIONS AU D BAT 80 12 10 06 15 56 Page 80 e QU EST CE QUE LA ZONE D COLOGIE POPULAIRE n spectre hante le monde de l environnemental
79. Anne Isabelle RAVILY Marie RAVILY Kevin RECLUS Marc ROBERT Fabrice ROGER Adel SAHARI Moises SAMPIL Eros SANA Guillaume SECRETIN Jo l SEGUIN Hicham SHAIB Issam SHAIB Mohammed SIK Fouad SMOUNI Jacques STAMBOULI Myl ne STAMBOULI G rard TRAINOIR Demba TRAORE Yvon TREGOAT Michel VERSTEGEN Adil YADA Djibril Demba YONGANE Mohamed ZERKOUN Hamid ZERKOUNE Khalid ZOUHAIR LANGUEDOC ROUSSILLON Fran oise ALAMARTINE Jean CHARPENTIER Jacqueline GAUTHIER Alain GROGNOU Colette LEBRIS Georges LEBRIS Jo l MEUNIER Marie MEUNIER Lydia MORLOT Jean Charles TADDEI Kristina WAGNER Linda ZREHEN LORRAINE Serge BILLON Jorge Enrigue BOCANEGRA Maurice DIEUDONNE Michel LORANGE Boris MAXANT Philippe PONCELET Hubert PREVOTEAU MIDI PYR N ES Georges CAZELLES Dani lle CHARLES Michel CHARLES Fr d ric LIEVY Nazy PAYSOKHAN Jocelyne SARRAILH Fabien SEGUIER NORD PAS DE CALAIS Youssef DAHMAJ Samuel DUHAMEL Mostafa GHEZAL Christian LAZAOUT Julien LECAILLE Kelvin MOILITONDO LOKABA Ali RAHNI Yamina RAHNI Fr d ric SARKIS Nicole SERIS PAYS DE LA LOIRE Jean Paul DECLERCQ Patricia GALLERNEAU Augustin GROSDOY Fr d ric LEFEVRE Eric WOLF POITOU CHARENTES Olivier GAILLARD PROVENCE ALPES C TE D AZUR Amar ASSAS Anne Marie BILLIOTTET Erik BONNAUD Elvire DEBUTTE Isabelle DROGUE GROSSET St phane GRANGIER Simon IMBERT VIER Val rie MESSAGER Matthieu OLIVIER Jean Yves PETI
80. CRATIE COLOGIQUE F L COLOGIE L ESPOIR EN ACTES POUR DES VERTS AUTONOMES RADICAUX ET OUVERTS ALTER EKOLO L ECOLOGIE POLITIQUE MOBILISEE IMPOSER L ECOLOGIE DE TRANSFORMATION EN JOUANT SUR LES ALLIANCES GAUCHE 5 15 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO IVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNAITAHL 71 01 oN LATA 15 20 _OA AG06 qxp 12 10 06 15 30 Page 16 o EN VENTE LA LIBRAIRIE CODIF 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Agendas et calendriers Agenda de l environnement 2007 Emmanuelle Figueras et Christel Leca Delachaux et Niestl 16 95 Agenda utile pour un d veloppement durable Yann Arthus Bertrand Ed de la Martini re 15 Corto Maltese Calendrier 2007 12 dessins de Hugo Pratt 12 50 L agenda du jardinier bio 2007 muret bassin et autres am nagements cologiques Terre Vivante 160 p 12 Montagnes du monde Agenda 2007 Jean Marc Porte Arthaud 15 Terre sauvage Agenda 2007 Parcs nationaux de France Milan 15 VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 du jardini et son cale ndrier lunaires 16 15 20 01 1006 op 12 10 06 15 30 Page 17 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE EP ECOLOGIE POPULAIRE UNE ENERGIE NOUVELLE POUR L OUVERTURE ET LA TRANSFORMATION cologie pol
81. DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 41 Page 50 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 50 L COLOGIE L ESPOIR EN ACTES POUR DES VERTS AUTONOMES RADICAUX Dominique CARRE G raldine CHALENCON Etienne CHARRON Paul CHOCHEPRAT Adrien DELASSUS Beno t DUCASSE C cile DUFLOT Patrice FAUQUEMBERG Jean FLEURY Yves FREMION Jean Michel GAMBIER Sylvain GAREL Jean Pierre GIRAULT J r me GLELZES El Mehdi GUADI Nicolas GUERET Fran oise HOFFET Benjamin HUBERT Bachir KERROUMI Ga lle LE JEUNE Andr LEBRETON Alain LECLERC Marc LIPINSKT Zine Edine MTATI Renaud MANDEL Pascal MAROTTE Claire MARTIN GOUSSET Arthur MASSART Andr MAZAINGUE Philippe MIAS Pierre MINNAERT Daniel MOSMANT Edith NAVE Catherine NAVIAUX Herv PERARD Renaud PERSILLON Yann PERSILLON Patrick PETITJEAN GUY PHILIPPON Am lie PIEGAY Jean Vincent PLACE S bastien REINIER Denis REMOND Agn s RICO Olga RICO Pascal RIGAUX Marie Jeanne ROPERT Sylvain ROS Corinne RUFET Hadrien SAIAG Alexandre SAIDI Aziza SA DI Alain SALMON Stephane SITBON Pierre STOEBER Martine TA EB Pierre TOULOUSE Jean Luc TOULY Jean louis TREBIER Christian TRIVIDIC Joel VINCENT St phane VON GASTROW Maklouf YEHMI LANGUEDOC ROUSSILLON Jean Louis ATTARD Marie Claude BENSON David BIRR Peter BIRR Natacha BOUTEILLER Michelle CAPIEU Carole DAVILA Olivier DAVILA Pierre DOMEJEAN Gilles FAVIER Fran
82. E Gilles DEGUET Abderrahmane MARZOUKI HAUTE NORMANDIE David CORMAND Guillaume GRIMA Thierry LECERE Victoria SELWYN ILE DE FRANCE Pascal AUDRY Jean Jacob BICEP Martine BILLARD Jacques BOUTAULT Yves CHAGNEAU Yves CONTASSOT Jean Pierre DACHEUX Fr d ric L H DE 5 BEAUVOIR Helder DE OLIVEIRA V ronique DUBARRY Janine DURANTON Edwige FADEIEFE Corine FAUGERON Danielle FOURNIER Jean Michel GAMBIER Fabienne GIBOUDEAUX Thomas GIRY Fran oise HOFFET C cilia JOXE Nabila KERAMANE Jacqueline LAGOUTTE Jean charles LALLEMAND Alice LE ROY Alain LECLERC Gilles LEMAIRE Marc LIPINSKI Fran ois LONGERINAS Bernard LOUR Lucia MARTINI Kyra Fran oise MAS Jean Paul MAUREL Patricia MILLOT Christophe NAJDOVSKI Catherine NAVIAUX S bastien REINIER Denis REMOND Serge RIVRET Eva SAS Stephane SIT BON Myl ne STAMBOULI Pierre STOEBER Valentin TEIXEIRA Michel VERSTEGEN LANGUEDOC ROUSSILLON Fran oise ALAMARTINE Marie Claude BENSON Genevieve THIEBAUT Linda ZREHEN LORRAINE Jorge Enrique BOCANEGRA Philippe PONCELET MIDI PYREN ES Antoine MAURICE Nazy PAYSOKHAN Didier Claude ROD Bernard YVERT NORD PAS DE CALAIS Nicole SERIS PAYS DE LA LOIRE Marie Elisabeth ALLAIRE Bernard CROZEL Marc DELIGNY Augustin GROSDOY Eric WOLE POITOU CHARENTES Michele LEMAITRE PROVENCE ALPES C TE D AZUR Anne Marie BILLIOTTET Erik BONNAUD Elvire DEBUTTE Bernard DERBEZ Patrick GARNON Simon I
83. Ferri Mireille AUVERGNE Auroi Dani le ALSACE Sonzogni Djamila AQUITAINE Vincent B renice 79 84 _AG06 qxp 12 10 06 15 56 Page 83 e CONTRIBUTIONS AU D BAT QUELQUES L MENTS SUR LA P RIODE Des crises cologiques irr versibles vec la hausse de l mission du 602 de la densit humaine la dispersion des substances chi miques la sixi me extinction des esp ces nous atteignons les seuils irr versi bles des changements cologiques d r glements climatiques pid mies de cancer ou autres r duction de la biodi versit Nous devons non seulement limiter les effets de ces changements mais aussi r pondre leurs cons quences tant sociales qu environnementales Une question nerg tique pr minente L minence du pic d Hubert l ancien net du parc nucl aire et la question de son renouvellement la mont e des besoins nerg tiques des puissances mergentes la croissance nerg tivore am ricaine transforment la question nerg tique en question politique et g o politique de la politique trang re des tats Unis celle de la Chine en passant par les conflits au Soudan au Tchad au Nigeria Un nouveau capitalisme Le capitalisme industriel dispara t pour un capitalisme cognitif comme source principale de production de plus value L exploitation des ressources cognitives individuelles cr ativit relation affects devient la source principale de cr ati
84. I Patrice POLLET MIDI PYR N ES Catherine LENGLET Marc SARACINO NORD PAS DE CALAIS Jocelyn DUHAMEL Pierre HOUSEZ PICARDIE Christophe PORQUIER POITOU CHARENTES Gilbert CAROFE Bernard FERRIER Philippe KEENT ZEIL Jacques MARET Gilles TOUBLANC RHONES ALPES Eric ARNOU ERRATUM Motion ponctuelle 3 page 59 L arc en ciel aux L gis latives 2007 Ile de France Serge MAROLLEAU n a pas sign cette motion appara t suite une erreur technique 55 78 P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 59 MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES L ARC EN CIEL AUX L GISLATIVES 2007 ette motion fait suite un fait r el Un militant de PACA n a pas t lu au CAD suite l AG 2005 alors qu il y avait des postes vacants Le motif invoqu semble tre que sa candidature au poste de d l gu aux lections cachait une strat gie Pour eux il n est concevable de s inscrire dans la d fense de l int r t g n ral au service du collectif Ne pas tre lu un poste b n vole dans un parti rel ve d une d cision d mocratique nous expliquent ceux qui la prennent mais comment est elle v cue par ceux qui la subissent outre le fait qu ils sont tenus de la respecter Outre que cet acte prive quelqu un d un engagement b n vole il r v le l tat d esprit soup onneux et m fiant dans le parti Il est temps de se poser des questions quant au regard port sur l autre C est pourquoi il
85. ISES 06600000 0 ISERE 25 1 Basse Normandie J80 Er ie 12 Bourgogne EE EE 11 EEN EE e 22 9244 21 Champagne EE E 5 ET ER ME 3 Franche Comt 15 Haute Normandie 140 10 Ile de France 2202 ee DORE A 127 Languedoc 3 Jose re EE 6 Lorraine me EE 7 Midi Pyr n es 2223 A 24 Nord Pas de Calais 458 30 Pays de la Loire 6193 T 6 40 06 UE 8 Poitou Charentes 2285 15 PAGAY OS ADRIAN ES EN PRE Prat 47 Rh ne Alpes LEE 4 SET Rene IR as R union eee ee DIVERS lt 2 Guadeloupe DIR En a H G yane EPP n nam ler re 2 Totaur s na 8 203 n Uer 540 15 20 _OA AG06 qxp 15 30 12 10 06 Page 15 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE ORIENTATIONS POSSIBLES EP ECOLOGIE POPULAIRE UNE ENERGIE NOUVELLE POUR L OUVERTURE ET LA TRANSFORMATION URGENCE ECOLO REMETTRE L ECOLOGIE AU C UR DES VERTS VERTS ET FORTS FOREVER PRIM VERT L AUTONOMIE ET LE CONTRAT AUDACES UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD OUVRIR R FORMER RASSEMBLER LES VERTS POUR DES VERTS UTILES LA D MO
86. Jean David ABEL Dominique BEAUMERT Fran ois BILLET Jean Aline ABBURA Sabine ABOUDOU ALLAIN Fatima ASQUEL Jean Marc BONHOMME Emmanuelle Christiane ACHE ARI Nassabia Michel BAILLY Jean Philippe 3 BOUCHAUD H l ne AHAMADA Sa d AHAMADA BAYON Fran oise BESNARD E BOUCHOUX Nadine BRUCHER Zaliata AHAMADA Akoub ALI Ourdia BON WARDIA Pierre Jean Marie BRUNEAU Jean Luc Bacri ALI Small ALI Mohamed ALI BOUQUET Jean Fran ois COLIN BRUNET Olivier BULARD SAID Eric ASTIER Marie C cile Philippe CROUZET Pierre 3 Christophe BULTEL Christelle ASTIER Maurice ATTIAS Nad ge DIVIANI Jean Jacques GIBAUD z CARDET Christophe CARDET AUDOUCET B Toufik BADECHE Guylaine GOUZOU TESTUD Bertrand CARON Guillaume Sa doumamadou BARRY Dalila Catherine HERBERTZ Chantal X CHOCTEAU Catherine BENAMAR Kader BENAMAR KERLAN Jackie LAVIGNE Daniel s CHOQUET Yves CHOQUET Sarah Karina BENAMAR Alain LE BRET Micha l LEIBMAN lt Jacques COCHY Patrick COTREL BOS Marie Christine BOUCHEZ Olivier LONGEON Nicole Christian DAMENSTEIN Fran ois Julie BOYER Florence CALISTI LUQUET Patrice MABARI Krystine S DE BUCH Pascale DEBORD Muriel CANOVAS Fr d rique MASSARD Jo l MAZALAIGUE Christine DELABYE Gilles CHARTRAND Renaud CLARTE Maurice MOREL Patrick ODIARD DENIGOT Bernard GARNIER Dominigue CLAVERIES Jennifer Anne PARTENSKY Jean Claude 2 Claudine GOICHON Nicole GUY CRAVERO H l ne D ORTOLI RAY G rard RIVORY
87. Jean Val ry THORAVAL Jean Val ry THORAVAL Marie H l ne TORRELL Yvon VENTADOUX Toufik ZARROUGUI 33 310 NY SIWNOS 531 3 9002 THIVNIQAO TIVAJNJ IJTAWASSY e SLHAA SAA ANATIAL 71 o 01 oN LATA 31 36 05 1606 op TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 34 Page 34 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE AUDACES UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD AUVERGNE Vincent BESSAT Clarissa CARRILLO BESSAT BOURGOGNE Philippe DELVALEE JEAN Michel MANQUAT BRETAGNE Jeannick DELTOUR CENTRE Abdelaziz BAHADDOU Ahmed BAHADDOU Asma BAHADDOU Achmi BENBELKACEM Yusuf CELIK Youssef EL HASSANI Tayeb EL MANKOUCH Youssef EL HASSANI Karim LAANAYA Josette MADROLLE Xavier MADROLLE Younous OUZAANIK Khalid QASEM Idriss QUERROUANI MOULAY Idriss QUERROUANI MOULAY Richard THIBAULT Murat ULKU CORSE Serge GUARDIOLA FRANCHE COMT Fran oise PRESSE HAUTE NORMANDIE Thierry LECERE ILE DE FRANCE Catherine ALFARROBA Pierre ALFARROBA Nathalie ALONSO Lydia AMARA P dro AMARAL Marie Th r se ATALLAH Jacques AUBARD Nicole AZZARO Guillaume BAK Violette BARANDA Elsa BASTIDE Denis BAUPIN Emilio BEL GON Hac ne BELLOU Jean F lix BERNARD Lazare BIAKA Marie Claire BOUNON Khadija BOURCART Ahmed BOUZID Fr d ric BRUN Catherine CALMET REBERIO UX Marie France CARMAGNAT Be
88. KERSPERN Sylvain KERSPERN Marc KORENBAIJZER Farid KOURDI Fr d ric LABARTHE Florence LAMBLIN Anne LE BOT Colette LECUYER Yves LEJEUNE Jean Pierre LEMERCIER Alain LENOIR Alain MATHIOUDARKTS Sandrine MEES Jean Jacques MERCIER Yann MOREAU Philippe NICOL Jos NIETO Julie NOUVION Mich le ORCEL Claudine PARAYRE Antoine PARODI CORTES Eleonore PAYS Antoine PELLOUX Julie PELLOUX Roger PELLOUX Florian PESCHELT Michel POIRIER St phane POLI Barbara POMPILI Maria PORTUGAL Jean Paul RADIX Fernand REAL Laurent RECASSA Eug ne REINBERGER Nathalie RIGAUX Emmanuel RODRIGUEZ V ronique ROURE 6 Michel ROUYER Bernard ROZE Pierre SAADE Laurent SAINTE FARE GARNOT Hoda SALIBY Philippe SALVI Mounir SATOURI C cile SENAUX Martine SENDILLON Bernard SIMON Jean Louis SIMONIN Agn s SINAI Aldjia SOUANEE Pierrette STEPHAN LETONDOR Laurent THIBAULT Jean Marc TSEVERY Mich le TSEVERY Philippe VICHERAT Marc WURHAFT Jean Louis ZENTELIN Arlette ZILBERG Alexandre PASCHE LANGUEDOC ROUSSILLON Maryse ARDITI Jean Luc AVON Ali BENDRISS Pascale BENOIT Claude BLOCH Christian BOUSQUET Micheline CARBONNELL Jean CHANOSS Bruno CHICHIGNOUD Albert CORMARY Fabienne CORMARY Jean COUPIAC Guillaume DE LAMERIE Christiane DE NIORT Philippe DESCROIX Georges ELIAS Jean Fran_ois GERMAIN Ghislaine GUIRADO Josiane HOGRAINDLEUR Jacques LEBECEL Michel LECLERC H l ne MAUBON Julien MAUBO
89. KOU Bernard LAPORTE Soumya LAQHITA Michel LENTHERIC 5 Annick LLEVOT Mustapha MAJDOUT Jean Claude MANCIONE Jacqueline MARKOVIC Loic MARTINEZ Nicole MOSCHETTI STAMM Jacques OLIVA Artee PANRAY Christine PLECIS Emmanuel REYNAUD Jean Louis ROUMEGAS Pierre SABAT Gerard SAEZ Catherine SANT LIMOUSIN Laurence GUEDET Jean Luc GUERINEAU Natacha JACQUIN LORRAINE Sylvain MARTINEZ MIDI PYR N ES Roger AUDRA Jean Michel BESSE Jacques BLOY Brigitte BROZIO Karl Heinz BROZIO Elis e BRUGAROLAS Catherine BRUNET Jean Louis CALMETTES Alain CAZENAVE PIARROT Ghali CHOUARFIA St phane COPPEY Gilles DADOU Emmanuel DAUPLE Nicole DEDEBAT Fran oise DEDIEU CASTIES Arlette DUBALEN Catherine DUBUISSON R gis EDART Michel GEOFFRE Xavier GIL Charles GUILLOU Fouzia HACHEMI Henri LOURDOU Thierry MALAGANNE Olivier MARTIN Catherine MORZELLE Hugues MOURGUE Evelyne NYBELEN Bernard PASTOUREL Louisa REBAL Pierre REDONNET Thibault RENAUDIN Alain RIGOUT Max SANTAELLA Marc SARACINO Georgette SAUVAIRE Josette SUBRA GERAUD Jean Luc TORRECILLAS Ren Marc WILLEMOT NORD PAS DE CALAIS Vincent BOCQUET Marcel LEFEVRE Paolo Serge LOPES 37 42 OE AG06 qxp 12 10 06 15 35 Page 41 MOTIONS D ORIENTATION STRATEGIQUE gt lt m OUVRIR REFORMER RASSEMBLER LES VERTS gt lt O m PAYS DE LA LOIRE PROVENCE ALPES RH NES ALPES Patrick BAZIN Fran ois C TE D AZUR
90. LATA 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Revues La montagne entre protection et conqu te La revue durable 21 t 2006 70 p 9 euros La crise de l eau LEcologiste 19 t 2006 66 p 6 euros Le revenu social garanti en ligne de mire Ecorev 23 t 2006 88 p 6 20 105 Vies et mort du tiers monde Mani res de voir 87 98 p 7 euros 67 BEE 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 68 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES OUI AU RASSEMBLEMENT ans le prolongement de l appel au rassemblement des cologistes consultable l adresse suivante http alphavert net article php3 id_arti cle 409 et du succ s de la pl ni re des journ es d t nous souhaitons vous donner la possibilit en votant ce texte d exprimer votre volont que les Verts soient au c ur d une dynamique de ras semblement des cologistes Pourquoi faire L cologie politique n occupe plus aujour d hui le devant de la sc ne alors que les cons quences de la crise cologique sont de plus en plus manifestes et qu il y a urgence transformer le syst me conomique avant qu il ne d truise encore plus l environne ment et ne rel gue une part importante de l h
91. LOGISTES ce qui nous s pare des partis productivis tes Pensons par exemple au projet de relance du nucl aire qui fait l unanimit du PS l UMP en passant par le PC ou PUDE Plut t que de continuer perdre notre temps dans des combats lectoraux fratri cides aux cons quences financi res et d i mage n gatives pour nos interventions militantes nous pensons qu il est possible de travailler ensemble avec la perspective de rechercher et d aboutir le cas ch ant une unification des organisations Il ne s agit pas de cr er un parti de l colo gie politique qui nierait la diversit exis tante mais de promouvoir les synergies possibles entre nous qui permettent chacun de participer une strat gie gagnante pour tous Comment Nous proposons les actions suivantes Assises de l cologie politique Nous demandons que les assises de l colo gie politique d cid es par le CNIR soient co organis es par les Verts et les autres organisations cologistes Elles seraient ouvertes aux partis cologistes aux associa tions aux penseurs de l cologie aux citoyens cologistes Ces assises doivent permettre de produire une plate forme programmatique et de faire des proposi tions concr tes argument es et chiffr es sur une dizaine de th mes au maximum Cette manifestation pourrait en amont tre pr par e par des r unions d partementales Accords lectoraux pour la pr sidentielle
92. Les verts estimant que tout va bien deviennent une sous tendance externe du PS g rant un peu la mani re du PRG leur stock de places Ils attendent la multiplication des lus par le biais des municipales en tant soumis au bon vouloir des grands fr res socialistes Nul besoin de faire grandir le parti Restons dans notre bulle Le cocooning politique fait office de strat gie Soit les Verts tentent de r unir la grande famille cologiste de Cap 21 et quelques grandes personnalit s S LA BULLE comme Hulot Ils passent d une strat gie du ni ni de l poque Waechter une strat gie du et et et avec la droite et avec la gauche un peu la mani re des partis Verts de l est europ en ou de l volution des Gr enen allemands Cette d rive va au centre droit et renforce le caract re environnementaliste des Verts Il sagit de s duire la base lectorale des classes moyennes des grandes villes tent e par un nouveau centrisme repeint en vert Soit les Verts restent au c ur de la gauche r elle en y impulsant un d bat sur l antiproductivisme et l antidis crimination en luttant contre l h g mo nie du PS par un r quilibrage de la gauche et notre participation la dyna mique du mouvement social et par un regroupement d un p le de l cologie de transformation Cela nous oblige nous tourner vers les classes populaires de nous implanter dans les quartiers et les cit s de la p
93. MBERT VIER Robert LINDECKERT Jeanne MEUNIER RHONES ALPES Didier LE BER Danielle PERSICO Bernard PINO Julien ZLOCH SAVOIE Henri MARINIERE 71 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL VI o 01 oN LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 72 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 72 INTRODUCTION DES SCRUTINS PR F RENTIELS DANS NOS PRATIQUES DU R F RENDUM AU PR F RENDUM atelier de Coutance sur les votes pr f rentiels a montr comment le mode de scrutin influait sur le r sultat et comment les votes binaires ou majoritaires n taient pas les meilleurs garants d une bonne d cision une d ci sion applicable et accept e par le plus grand nombre Les scrutins pr f rentiels sont des outils utilis s dans certains pays pour d signer les parlementaires ils tiennent compte de la complexit des choix que rien n oblige r duire des alternatives simplificatrices Les modes de prises de d cision ne se limi tent pas au vote majoritaire ou aux chai ses musicales Les votes pr f rentiels aboutissent des d cisions franches au terme d un processus se d roulant en un seul tour Ce sont des scrutins qui g n rent peu de violence car ils ne culpabilisent pas les tenants d options jug es minoritaires Les scrutins pr f rentiels privil gie
94. N Laurent MAYOUX Philippe PANCRACE Olivier PARRA Patrice POLLET Catherine RIBO Christine STHEMER Jean Luc THIBAULT Pomme TRIBOULET Patrick VALETTE Marc VENTURA LIMOUSIN Vincent BROUSSE Yves CARON Lucien COINDEAU Aude COURIVAUD Alain DORANGE HAYAT LOTFI Paul MANDONNAUD Denis MARTINIE Jean Claude SIMIOT Patrick VARACHAUD 21 26 _OB AG06 qxp 12 10 06 15 31 Page 25 F MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE URGENCE ECOLO REMETTRE L COLOGIE AU C UR DES VERTS LORRAINE Pierre ACHOUR Armand BEMER Mich le CHIAJESE Roger CHTAJESE Ren DARBOIS Marc DAVID Pascal DIDIER Marguerite GRUNWALD Juliette HAMONIC Marie Anne ISLER BEGUIN Daniel LEFORT Bernard LEGENDRE Marc LEPRETRE Marie Th r se MELARD Elane ROMANI St phanie WAX MIDI PYR N ES Marie R gine BARDOUX Mich le BLEUSE Michel CAU Pierre COURJAULT RADE Guillaume CROS Marie France DE TRUCHIS Patrick DELERUYELLE Jean Pierre DELFAU Anne Marie DELSOL Jean DOUBOVETZKY Nicole DURUP MATHEZ Philippe GOIRAND Jean Pierre IZARD Alain JEAN Henri JORNET Alexandre JURADO Fran oise MATRICON Dominique QUEIJA Alain RIVIERE Claude ROUFFIGNAC Philippe SABATIER Michel SEROU Brigitte SIGUIER Annie TEYSSIE Jos Daniel VICENTE GERALDO NORD PAS DE CALAIS Laurent BERNIER Djamila BOUSSAD MEDKOUR Jocelyn DUHAMEL Pierre HOUSEZ Florence LECOCQ Daniel LUDWIKOWSKT Martine SURIN PAYS DE LA LOIRE Marie H l ne AUBERT M
95. NAGER Marie Claude MONESTIER Bernard NEEL Jean Bernard NOVION Jacques PAPON Daniele PATOU Itziar PINAT Nicole RIOU Andr ROSSARD Elisabeth SANDILLON Yves SANDILLON REZER Isabelle SARTRE MANCINT Jean yves WEGNER AUVERGNE Philippe LE PONT Nicole MULLER GASTON Pierre POMMAREL Laurent SINTUREL BASSE NORMANDIE Christian LEREVEREND BOURGOGNE Patrice CHATEAU Jean Michel DELAGNEAU Jean Pierre DELASPRE Sandrine DUBOURG Jean Louis HIVERNAT Eric LICHTFOUSE St phanie MODDE Yves SABARD BRETAGNE Jean AUGEREAU Antoine BEUGNARD Christian BUCHER Anne CHERADAME Gis le CITHAREL C line COCHET Philippe DHAUSSY Marie Ange HAQUETTE Christophe KERGOSLEN Yann Fanch KERNEIS Nicole LE GALL Jean MASSE Jean Louis MERRIEN B ryl MERRIEN GOUAISLIN Andr MOISAN Patrick PROVAUTLT 23 310 NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAANJ AATANASSY e SLHAA SAA HN 03211 VTI e 01 oN LATA 21 26 _OB AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 31 Page 24 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE URGENCE ECOLO REMETTRE L COLOGIE AU C UR DES VERTS CENTRE Alain CHESNOT Chantal COMBREDET Nicole COMBREDET Nadia EL ADRAOUT Pascal JODON Jean Luc JOHANNET Michel KERDAL Katia LEDOUARIN Thierry MARTINAGE Jean Marie MENGIN Dominique REMY Agn s THIBAL CHAMPAGNE ARDENNES Pascal HOUPLON Marie Ange PETIT
96. NGUEDOC ROUSSILLON Jean Luc FAUCHE Philippe GARDIOL lt Fran oise ALAMARTINE Marie Claude Simon IMBERT VIER H liane BENSON Michelle CAPIEU David _ LONGERE z DUMAS David GOURBEAULT RH NES ALPES LORRAINE Nadim GHODBANE Didier LE BER Brigitte LEBLAN Philippe LECLERCQ Micha l LEIBMAN 5 MIDI PYR N ES R UNION 3 Brigitte BROZIO Nazy PAYSOKHAN Denis FRITZEN Jean Marc S Jean Charles SUTRA TAGLIAFERRI z NORD PAS DE CALAIS Xavier POUPART Nicole SERIS Renaud S SILVESTRI Andr VANDERLYNDEN s PAYS DE LA LOIRE Alexis BRAUD St phane LE SOLLIEC A Jean Philippe PARMANTIER gt S 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr International L Etat du monde 2007 dir Bertrand Badie et B atrice Didiot La D couverte 2006 430 p 25 euros Le Petit Alter dictionnaire altermondialiste Attac Mille et une nuits 2006 394 p 20 euros L Etat de la plan te 2006 gros plan sur la Chine et l Inde Institut Worldwatch pr face l dition fran aise Laurence Tubiana 2006 277 p 19 euros 63 5 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 64 MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 64 CONTRE LES ID OLOGIES DE GUERRE DES CIVILISATIONS es id ologies de lt guerre
97. OMIE CONTRACTUELLE MODE D EMPLOI 2007 5 LES CONDITIONS D UNE PARTICIPATION DES VERTS UN GOUVERNEMENT DE GAUCHE 6 D MOCRATIE PRATIQUE PRATIQUE S DE LA D MOCRATIE 7 CONTRE LES ID OLOGIES DE GUERRE DES CIVILISATIONS 8 LE DOUBLE ENDIGUEMENT DU CAPITALISME 9 LIBERT LA CIT DIVERSIT 10 OUI AU RASSEMBLEMENT DES COLOGISTES 11 POUR UNE PARTICIPATION STRUCTURELLE DES RESPONSABLES R GIONAUX AUX CNIR S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 19 TH MATIQUES 12 POUR LE MANDAT UNIQUE MAINTENANT 71 13 INTRODUCTION DES SCRUTINS PR F RENTIELS DANS NOS PRATIQUES DU R F RENDUM AU PR F RENDUM 72 14 SI L ACTUALIT LA RENDAIT SOUHAITABLE UNE PRIMAIRE POUR D SIGNER LE CANDIDAT UNIQUE DE LA GAUCHE ET DES COLOGISTES AU PREMIER TOUR DE LA PR SIDENTIELLE ET DES L GISLATIVES 73 15 R FORMER ENFIN NOTRE FONCTIONNEMENT INTERNE 74 16 VERTES R FORMES POUR UN PARTI POLITIQUE PLUS UTILE 75 17 LES VALEURS CL DES VERTS PREMI RE PARTIE 76 18 LES VALEURS CL DES VERTS SECONDE PARTIE 77 19 ENERGIE 2007 78 55 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL 71 e 01 oN LATA 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 56 F EN VENTE LA LIBRAIRIE ECODIF 247 r
98. ORGES Isabelle DELAUNAY Fran ois DELCOMBRE Robert DEMAILLE G rard DOUBLET Bruno DUVAL Jeanne FAIVRE Lino FERREIRA Lucien FERRIER Pascale GIRARD Patrice GOHIER Laurent GUIGNON Michel HENRY Fran oise HOFFET Didier IDJADI Farimah IDJADI Alain JEAN JOSEPH Mireille KUKAWKA Philippe LANGLET Colette LECUYER Elisabeth LOICHOT Pierre MATHON Elisabeth MOUCHART Jeannine OTTE Jean Marc PASQUET Christiane PESCI Michel PESCI Dominique PLOTEAU Michel POIRIER St phane DOLL Nicolas ROSSIGNOL 55 78 3 AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 67 MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES LIBERT LA CIT DIVERSIT ILOA NY SIWNOS S31X31 Adrien SAUMIER Martine SENDILLON RHONES ALPES Pierrette STEPHAN LETONDOR Jean David ABEL Eric ARNOU Mich le Christine VINAS WALFISCH H l ne BONNETON Olivier BOURET Georges ZANIER Jean Louis ZENTELIN Arlette CHICH Nicole JAILLET Edith ZILBERG JOURNET Bruno JOUX Chantal LANGUEDOC ROUSSILLON KERLAN Maurice LE CALVEZ Jean Maryse ARDITI Jean Claude BIAU Paul LHUILLIER Georges MAGNIER MIDI PYR N ES Maurice MOREL Dominic MUNARI Marc SARACINO B atrice MUNTLAK Patrick ODIARD NORD PAS DE CALAIS Damien SOUS Marie TROUSSELLE Jocelyn DUHAMEL PAYS DE LA LOIRE Marie H l ne AUBERT Frantz DESPREZ Jean Luc VARIGAULT POITOU CHARENTES Christian COUILLAUD PROVENCE ALPES C TE D AZUR Pierre AUBRY 9002 THVNITIO H IV3ITNIIS AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL VI e 01 N
99. Pour peser et permettre cette radicalit nous devons f d rer dans un m me Mouvement les ner gies militantes qui partagent le m me constat et les m mes solutions que les n tres Exister Verts Trois principales strat gies existent chez les Verts ceux pour qui les Verts doivent s al lier durablement avec le Parti Socialiste ceux pour qui nous avons vocation converger vers une Gauche radi cale d autres comme nous pour qui l Autonomie contractuelle est la fa on de conjuguer la sp cificit du paradigme cologiste avec la recher che de contrats pour tre en situation de modifier les politiques publiques Pour nous l urgence est de d finir une orientation claire qui puisse tre comprise par nos lecteurs lors des ch ances de 2007 Pour les Municipales l autonomie contrac tuelle se d cline par des listes autono mes de premier tour avec fusion sur une base quitable au plan program matique et au plan des responsabili t s avec nos partenaires de Gauche Pour la Pr sidentielle il est clair que notre repr sentante est Dominique Voynet Rompre avec la logique de la 5 R publique La 5 R publique sur value le r le du Pr sident Le changement de calendrier encourage le vote utile et accro t la bipolarisation Ne pas contester ces r gles du jeu c est se r soudre remplacer une majorit bleu horizon par une majo rit rose bonbon C est se r soudre une colog
100. RANSFORMATION d un ni me changement de direc tion ou de la sempiternelle r affirma tion de l identit cologiste l organi sation du parti doit tre capable d organiser des d bats strat giques et traduire un basculement des prio rit s dans l action s ouvrir aux classes populaires en zones urbaine et rurale faire aux militantEs issuEs de ces milieux une large place dans le parti tant aux postes de responsabilit interne que dans les mandats lectifs d velopper un rapport de co labo ration permanent avec la soci t tre capable d accueillir dans le parti les animateurs de mouvements sociaux garantir d s ces lections la parit et la diversit socio culturelle des luEs En Europe comme en France le choix entre cologie d accompagne ment et cologie de transformation est l ordre du jour Notre congr s doit en tre un moment fondateur C est l occasion pour la gauche verte de se rassembler AQUITAINE Anne Marie DECLERCQ Isabelle GUYOT Pascal Jean LABROUSSE Marc LASAYGUES Dominique REFFAY Marc SIMON BASSE NORMANDIE Alain GRUENA S Josiane LOWY Christian PREBOIS Simon TAUGOURDEAU Rapha l YEM BRETAGNE Constance RODRIGUE KEELEY CENTRE Aziz BIAZZANE Mohamed BOUGAFER Marie Fran oise DUTHU Hassan FIRDAOUSS ZOUHEIR HABIBALLAH Mamadou KANE Roger LEDOUX CHAMPAGNE ARDENNES Philippe LENICE HAUTE NORMANDIE Jean Michel BEREGOVOY V ron
101. RES Emmanuel CUFFINI Sophie DEFFARGE Fran ois DELCOMBRE Marie DELHOMMEAU Denis DELRIEU Jean Marc DENJEAN Diana DUNNINGHAM CHAPOTIN Patrick FRANJOU Marilyn GAUBERT Patrice GOHIER Matthieu GOURY Fr d ric GRADWOHIL Jeannine GUILLEMOT P n lope KOMITES Julie LAERNOES Bernard LAPONCHE Dominique LARREY Jean Patrick LE DUC Philippe LEBEAU Henri LEBLANC Laure LECHATELLIER Elisabeth LOICHOT Eric MACE Gilles MARTIN Pierre MATHON Jean Louis MAYER Laurence MERMET Richard MERRA Guillaume MOOG Anne Laure NADLER Olivier PAGES Pierre PARREAUX Jean Marc PASQUET Patrick PLANQUE Eve POULETEAU Dominique POUSSOU Alexis PROKOPIEV Raymond PRONIER Pierre RADANNE C cile RANGUIN St phane REIJNEN Christophe RIEUZE Nathalie RIVAS Marie Anne ROBERT KERBAT Philippe ROBERT KERBRAT Jean Claude ROGER Adrien SAUMIER Didier SEGAL SAUREL Carole TAIEB Bruno TARRAUD Fr d rique TARRIDE Laurent TAUPIN Jean Luc TERREYRE Elisabeth THEVIN Henri TIRARD T n TRAN Pierre VALPREDA Michel VAMPOUILLE Pierre VOLTA H l ne ZANIER LANGUEDOC ROUSSILLON Maria ABD RABI Marcel ARANDA Josa ATTIGUI C cile BALESTIER Mahfoud BENALI Abdel aziz BENGARAA G rard BERLAN Florence BON Isabelle BONAT Mich le COMPS Mina CULOMA Yves DE FRANQUEVILLE Ren e DESCH Nabil DIFAI Michel DUMAS Christian DUPRAZ Fabrice FERNANDEZ Fr d ric GOULET Zohra HAMAM J r mie IORDANOFE Sylvain IORDANOFE Brahim KOU
102. RIER CENTRE Rachid ATTEYE Roukya ATTEYE Abdellah BOUIKELFIDEN Thierry BROCHERIOU David CHOLLET Magali DAIGMORTE Caroline DEFORGE Emmanuelle DERUY Yannick DOLEANS Nino Anne 5 DUPIEUX Philippe DUPIEUX Gilles ENGELS Sammy ENGRAMER Claude EPINEAU Thierry GERMAIN Jimmy HUSSON Christian LABES Fran ois LAFOURCADE Mohamed LASLA Emilie LAVAL Denise LENTAR Roland LENTAR Laurent LERICHE Abderrahmane MARZOUXKI Olivier MASSON Alain PACHET Paul PLOUGONVEN Isabelle PLUYAUD Christophe ROSSIGNOL Pierette ROSSIGNOL Arnaud TERY C line TOURNERIE Hasan YILDIZ CHAMPAGNE ARDENNES Patricia AUBERTIN Philippe DEBEIRE Herv MURGIER CORSE Marie Antoinette FAUCONNIER Jean GRAZIANT Francine TRAMONI FRANCHE COMT Anne MAIRET Herv PRAT HAUTE NORMANDIE Sebastien BONAY Yannick BOURREL Martine FAUCHARD Beno t FENAULT Jacqueline FIHEY Alain GOFFI Catherine GOMBERT Guillaume GRIMA Jean Yves GUYOMARCH Jos KAZADI Celine MARTINEAU Yannick POTEL Victoria SELWYN ILE DE FRANCE Rod ric AARSSE Laurent AUDOUIN Pascal AUDRY Suzanne AUGER Marcel AZRA Nadine BENKEMOUN Patrick BENKEMOUN Sa d BERRAHAL Jean Jacob BICEP Jean Fran ois BLET M lanie BODIN Guy BONNEAU Bruno BOSSARD Yvonne BROCHARD ROLAND 49 310 NY SIWNOS 531 3 9002 THVNITIO TIVAJNJ HTISWSSSV e SLHAA SAA ANATIAL 71 e 01 N LATA 47 50_OG AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE
103. S S31X31 9002 THVNITAIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL VI e 01 oN LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 66 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 66 ouloir que chacunE puisse vivre selon ses propres choix culturels spirituels sexuels quelles que soient son origine ses croyances d fendre le droit l exercice de ces choix souvent contre une culture majoritaire qui r siste est un combat que nous partageons tou Es C est un des fondamentaux des Verts celui de l autonomie de la personne Mais certains choix ne sont pas acceptables ceux qui s opposent l mancipation P galit au libre choix des autres Nous ne sommes pas dans une vision mani ch enne de la soci t Les pratiques obscu rantistes ne sont pas d fendables m me si leurs auteurEs sont des victimes par ailleurs victimes actuelles des rapports Nord Sud ou plus anciennes de la colonisation ou de l esclavage Justifier ces pratiques est une atti tude d infantilisation et de d responsabilisa tion et finalement de racisme Car il ny a pas de lt peuple opprim gt ou lt victime gt par nature L histoire moderne nous montre suffisamment souvent que les r les peuvent inverser si les conditions de pouvoir le permettent Parfois nous disons par un raccourci de lan gage que nous les Verts d fendons l
104. T Jean Louis PEYRON Oc ane SPINELLI Mich le VILLON RH NES ALPES Mich le BONNETON R mi GIAVELLI B atrice JANTAUD Fran ois NUTCHEY G rald PERRIER H l ne DI ANE Michel WILSON SAVOIE Alain COULOMBEL Laurent MOCCOZET GUYANE Issaka CISSE Philippe MENARD Brigitte RENE CORAIL Denis RENE CORAIL 21 26_OB AG06 axp 12 10 06 15 31 Page 21 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE URGENCE ECOLO REMETTRE L COLOGIE AU C UR DES VERTS u moment o les id es que nous d fendons depuis Ren Dumont passent dans l opi nion et dans les media les Verts eux m mes s en d tournent comme s il s agissait d une maladie honteuse Nous n avons pas nous mortifier d avoir eu raison de sonner l alerte Aujourd hui une majorit culturelle constate les ravages de notre soci t de surconsommation pr dation des ressources r chauffement climatique saccage de la nature impact sanitaire des pollutions maladies de civilisa tion et nouvelles pand mies Affirmons avec courage le paradigme cologique qui nous d finit et nous diff rencie des autres formations politiques Affirmons notre sp cifi cit pour que le cr dit de sympathie dont b n ficie l cologie dans l opi nion se traduise enfin sur le plan lectoral Nous allons tous uvrer la r ussite de la campagne de Dominique Voynet candidate des Verts la pr sidentielle Pour autant les enjeux de PAG sont distincts
105. T Serge RIVET PROVENCE ALPES COTE D AZUR Robert BORDIN RHONES ALPES Jean Baptiste DURAND Elisabeth LACROIX Jean Louis MASSET Marie Odile NOVELLI Richard OLIVIER Alexandre RAFALOVITCH C cile VIALLON REUNION Jean Pierre ESPERET 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 61 e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES LES CONDITIONS D UNE PARTICIPATION DES VERTS A UN GOUVERNEMENT DE GAUCHE Expos des motifs Ly 4 des incontournables pour une I participation des Verts un gou vernement de nombreux textes comme la synth se de Reims l ont d j act et chaque motion d orientation y revient peu ou prou Cependant nous savons que lorsque les d cisions devront se prendre SE ment rapidement un texte de cadrage clair sera n cessaire Cette motion ponctuelle n puise pas l ensemble des conditions qui devront tre analys es le moment venu mais cherche rassembler les conditions pro ammatiques qui font consensus chez s Verts Son but est d envoyer un message fort par une AG d orientation nos ven tuels partenaires et surtout nos lec teurs Motion Les Verts ne participeront un gouverne ment que s il est en rupture nette avec les orientations lib rales productivistes et autoritaires Cette rupture doit se manifes ter au minimum par les mesures suivantes qui doivent tre toutes mises en oeuvre Ecologie Un programme de sortie du nucl aire incluant un programme de sobri
106. TE CORNELIE Gabrielle Lucette GUILLEMIN Gilles MOREAU Faouzia NAHOUZIA Jean NAYA DEVONIN MAGNE Harry Olivier TOUPIOL R mi NAYA Thierry PAGNIEN DURIMEL Albert MAGLOIRE Laurent PERALLAT Eric Patrick PIRBAKAS Marie Line POITOU CHARENTES REININGI Herv RICHARD PIRBAKAS GROEVIUS Philippe Yves BRION Alain BUCHERIE COCHET Brigitte ROSSO RIBERE R gine TITE Jocelyne Jean COLLON Nicole DELPIT RICHETTO Idris SAID Said TRAVENTHAL HATCHI Philippe Sandrine GAILLARD Jo lle Mohamed SAID TOURQUI Jacky VERDOL Marion VINDEX LAPORTE MAUDIRE Laurent SALIM Aela SCHULLER GUILLO RATAT Fran ois RIEDEL Serge Nicolas SIMON Syndie SIMON RIVET Joseph UZZO Nelly ZERBIB 41 6 37 42 OE AG06 qxp 12 10 06 15 35 Page 42 EN VENTE LA LIBRAIRIE ECODIF VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 42 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Zoom Peut on faire l conomie de l environnement Cosmopolitiques num ro 13 octobre 2006 18 euros Quatre si cles de capitalisme ont conduit la plan te vers sa plus grave crise environnementale pour vivre comme un habitant des pays riches qui symbolisent la r ussite conomique il fau drait 4 terres Notre mode de vie occidental n est donc pas g n ralisable Or c est bien lui qui attire les deux milliards de C
107. TEXTES NON SOUMIS AU VOTE CONTRIBUTIONS AU D BAT 82 12 10 06 15 56 Page 82 e ENCORE UN COUP POUR RIEN a synth se de Reims s est r v l e inop rante con ue au d part pour reconduire le front des anti Rassembler la motion majoritaire d pourvue de coh rence politique s est dilu e dans une fausse unanimit qui n a pu d gager que l incantation l autono mie et l adoration de la proportionnelle comme ses plus petits d nominateurs communs Malgr les efforts d objectivit et la dou ceur du nouveau Secr taire National le CE sest vite trouv confront la r alit d une fracture que le r f rendum sur le TCE a manifest e dans toute sa profon deur Cette fois l il ne s agissait plus de tactique lectorale mais bien de d sac cords de fond que le jeu d mocratique n a pas suffi r soudre d s lors que cer tain es des tenants du non refusaient la discipline du r f rendum interne La gu rilla men e inlassablement autour de la candidature fant me de Jos Bov a entretenu la confusion alors m me que la direction s effor ait courageusement de donner vie aux primaires Enfin notre candidate la Pr sidentielle fut proclam e apr s les affres du d pouillement mais les rancunes du pass et les calculs pour lavenir risquent maintenant de miner sa campagne en la privant de la mobilisation des nergies qui lui sont n cessaires pour affronter un premier tour
108. VNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL VI o 01 oN LATA 51 54 _OH AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 44 Page 52 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 52 ALTER EKOLO L COLOGIE POLITIQUE MOBILIS E IMPOSER L COLOGIE DE TRANSFORMATION ENJOUANT SUR LES ALLIANCES GAUCHE En essayant de trouver une r ponse au 29 mai au 21 avril la dyna mique unitaire instaure une autre fa on de faire de la politique qui pri vil gie le d bat la r ponse aux atten tes des citoyens la concurrence marketing r gul e par la loi lecto rale Bonne nouvelle Les Verts ont leur place dans cette dynamique Et c est la seule mani re de mobiliser les abstentionnistes pour que 2007 ne soit pas un triste remake de 2002 Les Verts veulent leur autonomie strat gique il faut la construire L autonomie des Verts passe par la proportionnelle mais on ne peut pas se contenter de changer la loi lecto rale Car sans nouvelle Constitution pas question de r ver de diversit de repr sentation pas question de citoyennet de r sidence pas ques tion d galit face au droit de vote pas question de r elle lutte contre les discriminations Le changement de Constitution n est pas au programme du PS Il faut lui imposer Le programme du PS est clairement social lib ral Il est hors de question de participer un gouvernement domin
109. X Bruno COCAIGN V ronique COCAIGN Marine COCAIGIN Micha la DARMON Yamna DJARROUM Yamina EL KADI Nicole ESPOSITO LEMASSON Claude Alain FALZON Khadija FARINA Nathalie FONT R mi GAECHTER Alexandra GOMES Farida GRABSI Christ le GROSHANY Nadege GUIBRETEAU Nadia KHELOUFI Sofien KHELOUFI Mustapha LABIDI Nadia LABIDI Samira LALAOUNA Mohamed LAQHILA Claude LECLERE Jean Luc LEMASSON Jean Fran ois LUCAS Christophe MADROLLE S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE AUDACES Brigitte MARCO Sandrina MARTINS Rachid MAZOUZ C cile MOLL Jean Francois PADOVANI Marine PISAPIA Nelly PRONOST Marion RAMADE Jean RIESENMEY Pascal ROUSSEAU Mich le RUBIROLA Herv SCHMIDT Lionel SEGARRA Daniel SEIDENBINDER Pierre Yves SEIDENBINDER Luc SEMERIVA Pierre SEMERIVA Roselyne SEMERIVA Herv TALRICH Jacques VASSILEFE Yasmina ZERDOUM Karima ZIANIT AZIZ RH NES ALPES Salima BENHAFED Gilles BUNA Nadia CHOUATI Marina GIROD DE LAIN Pierre HEMON Pierre KERMEN Brigitte MONTIGNOT Raymonde PONCET Loic ROBERT Elvan UCA Sehar YILDIRIM 35 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL 71 e 01 oN LATA 31 36 _OD AG06 qxp 12 10 06 15 34 Page 36 o EN VENTE LA LIBRAIRIE CODIF 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Politique La peur
110. agne Lan ant des dynamiques citoyennes porteuses de transforma tion sociale elles s incarneront dans 5 des listes Vertes et ouvertes dans au minimum toutes les villes de plus de 50 000 habitants Un nouveau d part pour Les Verts Parit f d ralisme proportionnelle convivialit non violence partage des responsabilit s lectives autant de principes fondateurs qui doivent guider un mouvement pour attirer vers lui des citoyens exasp r s par les dysfonctionnements de la R publique A cet gard nous devons tre le labo ratoire des r formes pr n es pour la soci t mise en place du mandat unique mode de fonctionnement non pr sidentialiste respect des minorit s La r flexion engag e travers la RPI doit enfin aboutir la n cessaire r forme des statuts Nos valeurs ne peuvent pas tre sacrifi es une normalisation du parti Le nombre des adh rents ne suffit pas faire la force d un parti mais il y contribue Nous sommes trop peu pour p renniser nos pr sences dans les institutions et sur le terrain Nous devons d velopper une culture d ad h sion en offrant celles et ceux qui partagent nos grandes orientations crois Es ici et l un lieu propice aux d bats d id es Faisons preuve de volontarisme pour que les Verts soient divers l image de la soci t avec la garantie d acc s partag aux responsabilit s et d une politique ambitieuse de formation de
111. ahjouba BELKALA Rachid BELKALA Christian CHENU H l ne CHIRON Emmanuel CLEDER Frantz DESPREZ Blandine DESPREZ MOUCHARD Christine DISSON RABIN Laurent EVAIN Fabrice EYMON Bernard FEBVRE Johan GARRY Samuel GONTHIER Catherine GOUHIER Ren e GOUHIER Dominique HERIVEAU Jacques HERIVEAU Richard HUBERT Romain LANGLET Fran ois Xavier LEBLOND Colette MEELDIK Mich le MIANT Boujemaa NEMMICH Franck PLAZANET Thierry PRADIER Anne RAIMBAULT St phane RAIMBAULT Jean No l ROGHE Jean Claude ROUFFETEAU Bertrand SALQUAIN Silvain TRAYNARD Elisabeth TRILLON Jean Luc VARIGAUTLT Jean Pierre VILLETTE Jean Paul XHAARD PICARDIE Youssef AMARA Philippe BOCQUET Jo l CAVILLON Bernard CHRISTOPHE Pascal DACHEUX Luc DELACOTE Franck DELATTRE Val rie DELATTRE Sylvain DEMILLY Christiane DUPART Thierry LEMAIRE Isabelle MAUPIN Maud MENAGER LEMAIRE Frank MONCOMBLE Martial MOUQUERON Christophe PORQUIER Dominique RAGOT Jean Pierre TETU Emilie THEROUIN Jean Fran ois VASSEUR Gerard VIEUBLED POITOU CHARENTES Michel ADAM Sophie ADAM BOUVYER Maxime BLANCHET Gilbert CAROFE Christian COUILLAUD Jean Michel ESCLOUPIER Bernard FERRIER Laurent FREBOEUE Jean Fran ois FREYDOZ Nicole KENTZEL Jacques MARET Patrick PICAUD Gril POUCLET PROVENCE ALPES C TE D AZUR Elise BELTRAME Jean Marie BONACHERA Suzanne 5 BONACHERA Jean Marie DALMAS Jo lle FAGUER Julien FAURE Sandrine FLEURY
112. andir les Verts Nous avons l obligation de le r ussir la veille de campagnes lectorales qui doivent tous nous mobiliser Des choix strat giques seront abor d s et tranch s sereinement Si notre projet politique est singulier il doit aussi s adresser l ensemble de la soci t Que ce congr s soit celui de la concr tisation et de la maturit NO L MAM RE d put de la Gironde Programme convivial D ner de sp cialit s du Sud Ouest le samedi soir dans un salon panoramique de la Cit Mondiale une des meilleures vues sur le Vieux Bordeaux et sur les rives de la Garonne D gustations de vins biologiques de pro ducteurs locaux Pour toute information compl mentaire Contact Fabrice Floch Tel 08 71 17 40 47 prix d un appel local Fax 05 56 79 11 24 insu portable 06 33 71 28 63 Mel congres2006 lesverts fr Site www congres2006 lesverts fr 9002 TAIVNIQAO HIVAAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL VTI e OI N LAAA 01_14 intro AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 29 DANS LES TEXTES Page 6 S STATUTS LES VERTS COMMENT CA MARCHE 12 NOVEMBRE 2006 ASSEMBL E D CENTRALIS E 2 ET 3 D CEMBRE ASSEMBL E F D RALE oil revenu le temps des choix sur l orientation politiques du mouvement ses strat gies et tactiques lectorales le temps du renou vellement de nos instances internes
113. anges avec les milliers de citoyens qui chaque jour exp rimentent et inventent dans les marges du pr sent les outils et les usages d un avenir durable 38 Des Verts populaires Personne parmi les Verts ne souhaite voir cologie r duite une pr occu pation des classes moyennes urbaines dipl m es D velopper les Verts c est les mettre en dialogue avec les groupes sociaux les plus loign s de la politique D abord parce que les plus pauvres paient le plus lourdement la facture de la d gradation environnementale Ensuite parce que dans les r sistances et les innovations de ceux den bas se mod le le monde de demain les immigr s en lutte la banlieue qui brasse les populations la jeunesse qui aspire autonomie les cr ateurs d activit qui recomposent le lien entre revenu et travail les militants des circuits courts tous disent la v rit d une civilisation qui se cher che et peut s inventer Nous avons vocation b tir le mouve ment d une nouvelle promesse g n ra tionnelle Entre l annonce des cata strophes et le rien n est possible il y a place pour le discours d un autre chemin pour celles et ceux qui enjam beront la totalit de ce si cle qui ver ront leur existence travers e par deux mutations majeures le changement climatique et la crise nerg tique Le projet vert doit permettre chacun de r ussir sa vie avec les mots les images les cadres d action
114. ans le R glement int rieur Les modalit s de vote devront tre modifi es pour devenir confor mes celles des votes r publicains avec cependant un am nagement qui tienne compte des abstentions notamment si les exprim s oui et non sont moins nomb reux que le total des blancs et abstentions sans compter les NPPV Cette r gle de vote sera g n ralis e tous les votes du parti dans toutes ses instances sauf dans le cas des votes au CE et au bureau du CNIR o les votes devront prendre en compte les abstention dans le calcul de la majorit majorit absolue des oui Seuls les votes lors des changements d or dre statutaire pendant les AG F d rales ou Extraordinaires et lors des referendums comme pour les lections au Conseil Statutaire le vote qualifi au sein de PAG et du CNIR est de 60 Le fonctionnement des ins tances du Parti doivent tre am lior es notamment dans le cadre des liens entre le CE qui doit devenir un vrai ex cutif dans lequel la minorit ne peut avoir de possibilit de blocage ou d expression contraire la majorit expri m e par le parti lors de ses d cisions prises en Assembl es G n rales Dans ce but le mode d lection du CNIR restant inchang e Une structure interm diaire entre le CNIR et le CE sera mise en place Cette structure com prendrait environ un quart du CNIR 25 membres auxquels seraient adjoints des repr sentants des lus nationaux par six
115. ante de la population de sa jeunesse et de ses banlieues Face la crise et la mont e des communautarismes Les Verts entendent promouvoir l pa nouissement des individus dans une soci t ouverte et non vio lente La la cit respectueuse des convictions de chacun et l galit femmes hommes sont des valeurs incontournables qui organisent Part du vivre ensemble et restent le meilleur rempart contre les discriminations LEtat nation n est plus l chelon per tinent Les Verts doivent tre en pointe d une Union europ enne exemplaire sur l agriculture le social les transports En mati re cono mique une plus grande sobri t dans les consommations permettra une juste r partition des ressources Linternalisation des co ts environne mentaux favorise les circuits courts 21 310 NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL 71 e 01 N LATA 21 26_OB AG06 axp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 31 Page 22 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 22 URGENCE ECOLO REMETTRE L COLOGIE AU C UR DES VERTS la relocalisation de certaines activit s par le rench rissement du transport est une opportunit pour nos cono mies et pour la cr ation d emplois de qualit L Urgence colo c est plaider pour la d croissance de l empreinte cologique et pour la reconver si
116. arie XAMBEU St phanie YORMAZ Charles REMY MIDI PYR N ES Brigitte DESVEAUX Jean Paul RUSSIER NORD PAS DE CALAIS Beno t BERTHE Katia BITTNER Fabienne BOURON Vincent BOUTRY Denis BUHAGIAR R gine CALZTA Jean Fran ois CARON G rard CHAVY Claude COCHARD Christine DEGRUGILLIER Bernard DESPIERRE Pascal MULLIE Didier PIRSON Cyrille PRADAL Zahia RAHNI Herv RUBIN Madjouline SBAI Philippe TOSTAIN Jean Luc VANDEKERCKOVE Daniel VINCENT Naceira VINCENT Sadek VINCENT Thierry WILLAEY PAYS DE LA LOIRE Mouloud ABDELKAFI Elhadi AZZI Ali BENAKLI Joseph BONNET Jean CAROTT Marie Christine CHAINAIS H l ne COMBE Ronan DANTEC B atrice DELASALLE Fr d ric RATOUIT POITOU CHARENTES Didier BERTIN Gabriel DELICOURT Natalie GANDAIS RIOLLET Denise SABOURIN PROVENCE ALPES C TE D AZUR Achoura ADDA BOUD ELLAL Sihem ADDA BOUD ELLAI 64 Eddine AGGOUN Fatima AGGOUN Fay al ATTALAH 31 36 _OD AG06 qxp 12 10 06 15 34 Page 35 UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD Karim ATTALAH Ziane ATTALAH Pierre AUBRY SORAYA AUNAY Mourad AZIZ Otmane AZIZ Ali BADECHE Khelil BADECHE S bastien BARLES Fabienne BARRERE ELLUL Jean Luc BENNAHMIAS Sofiane BENSAAD Mohamed BENSAADA Souad BENSAADA Zakaria BENSAADA Bernard BOSSA Chistine BOUARD Djamel BOUCHIKHI Jo lle BOULAY Loic CAUVIN Sarah jane CAUVIN Florence CHALIER Bruno CHIAMBRETTO Alain CHOUZENOU
117. ations issues de la justice environnementale de la non violence et de la th ologie de la lib ration L cologie populaire de la ZEP repose sur les trois id es force suivantes 1 Replacer le peuple et son action au centre de l action politique est une prio rit Sans la mise en mouvement de la force historique des pauvres de cette pla n te il n y a pas de lutte cons quente contre la rel gation l exclusion la s gr gation et la marginalisation sociales Mettre un terme l apartheid social est l enjeu majeur de la p riode 2 L cologie populaire est une gauche anti discrimination anti productiviste et anti capitaliste La lutte contre la fracture coloniale est un axe central de la recom position politique Cet enjeu est interna tional car la promotion de la guerre de civilisation par Bush s exporte jusque dans nos cit s 3 Il wy a pas de s paration entre les luttes contre les in galit s sociales et environnementales Les unes alimentant les autres et r sultant d une m me logique g n rale L cologie populaire est absente des instances vertes Des militants confron t s depuis plusieurs ann es cette carence ont d cid de constituer un courant politique d id es et d action externe et interne aux Verts qui agira au del de l AG des motions et des sensibi lit s existantes pour favoriser la structu ration de l cologie populaire La ZEP est une zone parce qu elle agglom
118. auche regrouper l cologie de transformation faire merger une gauche anti lib rale anti productiviste anti discrimination Les Verts ne doivent plus se com porter en forteresse assi g e Nous proposons une d marche qui fixe comme priorit de regrouper l en semble des partisans de l cologie de transformation Verts Alternatifs altermondialistes objecteurs de crois sance militant e s de l ducation populaire de banlieues r gionalistes Avec les environnementalistes des actions ponctuelles sont possibles mais nous refusons toute alliance politique avec les cologistes de droite Les r sultats du TCE comme les mobilisations contre le CPE ont montr l existence d une majorit antilib rale gauche et dans l lecto rat vert qui cherche un d bouch politique Nous devons porter nos positions cologistes anti productivistes et anti discrimination c ur de la gauche anti lib rale notamment dans les Collectifs unitaires et les FSL C est l une des conditions pour faire ainsi bouger les lignes gauche la r quilibrer et pour sortir d un t te t te avec le PS Battre la droite en 2007 2008 et consolider le camp de l cologie altermondialiste Dans l imm diat la priorit est de battre une droite s curitaire ultra lib rale qui avec Sarkozy s alignera sur la politique ext rieure de Bush Pour cela confront une gauche o se m lent social
119. aux questions de soci t libert s culture ducation et jeunesse a d l gation pour laquelle j ai t mandat e sur ces deux ann es recouvre un domaine tr s trop vaste Jai consi d r cette fonction comme devant s inscrire l interne dans un travail d quipe quelle que soit l instance concern e et l externe comme un levier de la co laboration Je me suis efforc e d assurer la pr sence et l implication des Verts aupr s de nos divers partenaires sur tous les champs relevant de cette d l gation en fonction de l actualit des priorit s politiques tion gt a t effectu e sur la base de l analyse des r sultats des diff rentes lections depuis 1997 compl t e par les commentaires et informations diverses collect es aupr s des instances r gionales Nous avons ainsi travaill avec chaque r gion lors des Journ es d Et de 2005 et de 2006 ainsi qu au cours de diverses r unions nationales o les secr taires r gionaux et responsables aux lections taient convi s aux c t s des membres de la CPE La D l gation de n gociation compos e de 9 membres et sur la m me base proportionnelle a pr par et particip toutes les ren contres dans son format int gral ou partiel mais toujours respec tant la repr sentation de toutes les sensibilit s Concernant le suivi des lus le travail effectu s est majoritaire ment port sur le suivi des travaux des lus r gionaux et la par
120. bitieux plus pr occup de sauver la plan te que de querelles internes Voil pourquoi apr s avoir tout fait pour viter l miettement des cou rants nous appellerons lors de PAG la constitution d une tr s large majorit pour piloter les Verts Nous pouvons compter et peser sur l avenir si nous le voulons Pour tout contact Michel Bock bockm wanadoo fr ALSACE Kalima ARBOUCHE Andr e BUCHMANN Marie Dominique DREYSSE Jacques FERNIQUE Laurent FRITZ Mich le GARTNER Christophe HARTMANN Jean Jacques HEITZ Alain JUND Dominique KERN Maurice SCHAEFFER Jacky WALCH Yann WEHRLING AQUITAINE Benoist AULANIER Jean Fran ois BERTHOU Martine BISAUTA Ga tan BRIZARD G rald BRUN Andr CAZETIEN G rard CHAUSSET Fran oise COME Laure CURVALE Fr d ric DANJON Monique DE MARCO Nathalie DELEST Daniele DUCHATEAU Daniel DURQUETY Philippe ETCHEVERRY Yves FREYSSINIER Jean HARISTOY Daniel HEGOBURU Hugues LABERGERIE Marie LAFFAILLE Catherine LAFON Jean Luc LAMOUREUX Philippe LARIDAN Jeanne LASSARTESSE Jean Marc LASSUS Benat LAXAGUE Claire LE LANN Jean LISSAR Jean Fran ois MOREAU Patrick NOUGUES Nathalie PARO X Marie PICARD FELICES Jean Claude PRADELS J rome PROVOST Jean Michel SEGRETIN Dominique VAILLANT Pierre VEDRENNE Marie Jeanne VEDRINE Txomin VOUILLAT Mich le YOU AUVERGNE Danielle AUROI Anne BABIAN LHERMET Michel COSTE Herv MANTELET Martine
121. ble que la compr hension de nos statuts et de nos modes de vivre ensemble soient r serv e aux seuls initi s adh rents de longue date et ou familiers des jeux internes C est aussi pour tre plus forts et plus nomb reux pour accueillir de nouveaux militants et nous rendre collectivement disponibles INTERNE leur faire toute la place qu ils pourront prendre que nous avons besoin de r forme Les changements ici propos s devront donc apr s concertation au sein des Verts tre traduits en modifications statutaires que nous proposons de soumettre au vote des adh rents par r f rendum dans le cou rant de l ann e 2007 instauration du vote la majorit simple avec prise en compte du vote blanc exception faite des d cisions relatives des modifications statutaires qui restent la majorit qualifi e simplification du mode d lection du Coll ge ex cutif avec instauration d une r elle prime majoritaire qui permette de stabiliser une quipe ex cutive soud e solide et coh rente disposant de r els moyens de gouvernance et d animation du mouvement clarification des missions dudit Coll ge ex cutif qui ne doit plus tre le champ clos de la reconduction permanente des divergences d assembl e g n rale mais un v ritable ex cutif charg de mettre en uvre le mandat confi par l AG et pr cis par le CNIR entre chaque AG renforcement du r le d laboration et d o
122. ce et de communication interne est une priorit dans un parti dont les moyens humains et techniques restent limit s Il faut esp rer que la campagne pr si dentielle permettra dans la dur e de cr er des outils efficaces sim ples utiliser par les adh rents et renforcement notre efficacit pour que nos moyens militants notre temps soient sur le terrain au service de la promotion de nos id es Je ne peux que regretter de ne pas avoir pu poursuivre la mise en uvre de ces projets et des sollicitations tout en m impliquant galement dans ce qui relevait de l ensemble du CE pr sence voire implication directe lors de manifestations caract re national participation aux n go ciations programmatiques et lectorales Jai eu parfois le senti ment d uvrer pour lobtention d une microscopique goutte d eau si on s en tient aux effets r els je citerais pour exemple les efforts entrepris en concertation avec le collectif concern pour mettre en avant la n cessaire ratification par la France de la charte internationale pour les droits des migrants p tition lanc e aupr s des lus conf rence de presse avec peu de retomb es m diatiques malgr la pr sence de nombre de nos parlementaires tout en sachant que ces pas de fourmis font partie d un tout et permettent d avancer dans un contexte politique particuli rement difficile 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 13 COMMUNICATIONS
123. citoyens qui signaient un engagement soutenir le candi dat sortant de la primaire pouvaient y parti ciper en s acquittant en outre d un don de 1 euro minimum Les lections l gislatives en Italie ont eu lieu le 9 avril et ont permis la coalition Unione 11 partis de catholiques centre gauche communistes verts emmen e par Romano Prodi de vaincre Berlusconi C est la partici pation massive la primaire qui a donn Prodi l autorite pour parler au nom de tous avec une grande force et a permis de gagner de peu Il est probable que sans la dyna mique cr e par la primaire Berlusconi qui n a recul devant rien pour se maintenir au pouvoir aurait gagn Depuis la coalition a pass sans encombre l obstacle que repr sentaient les lections municipales conservant ais ment ses mairies de Rome Turin et Naples et progressant Milan m me si la Maison des libert s CDL de Silvio Berlusconi conserve son bastion Les lections municipales partielles qui concernaient 1 261 localit s italiennes et quelque 20 millions d lecteurs consti tuaient le premier test d envergure apr s les l gislatives extr mement serr es d avril qui ont port l Unione de Prodi au pouvoir Berlusconi voulait faire de ce scrutin la base de sa reconqu te La revanche a chou crivait l ditorialiste du quotidien de gauche La Repubblica Cette dynamique que les italiens ont r ussie mettre en oeuvre victorieusement
124. de Patrick Farbiaz D l gu l international l altermondialisation et l Outre mer Bilan de la d l gation alter inter outre mer 1 A l international e Suivi des rencontres avec les partis Verts et d mocratiques com muniqu s communs avec de nombreux partis au total plus d une centaine de rencontres Cr ation du secteur des Verts fran ais l Etranger motion vot e au CNIR de novembre 2005 visant l organisation d un secteur des Verts fran ais l tranger suite aux lections en Asie et en Europe entr e de 2 membres des Verts dans l Assembl e des fran ais l tranger cr ation d une section des lus fran ais de l tranger et d une liste de discussion e Animation du Groupe de travail GT8 Production d une proposi tion de loi sur la coop ration solidaire co labor e avec les ONG fran aises et de migrants de coop ration organisation de la conven tion verte sur l aide publique au d veloppement Am rique Latine Organisation de la Conf rence internationale des partis Verts pour la lib ration d Ingrid B tancourt participa tion au forum mondial de l eau avec r union des militants boliviens argentins urugayens et lancement d une campane internationale contre Suez Organisation d une conf rence de presse l Assembl e nationale avec Evo Morales rencontr en Boliuvie durant sa campa gne pr sidentielle e Moyen Orient R daction d une brochure de formation lt les Verts et le
125. de la r forme Il y a pourtant loin visiblement des enga gements leur traduction en faits Malgr la bonne volont vidente de beaucoup de responsables Verts au plan national et r gional la r forme ma pour le moment accouch que de diagnostics s v res certes largement partag s mais dont les conclu sions peinent venir Le constat est pour tant clair nos statuts sont devenus inadap t s et quelques r cents pisodes de notre vie commune nous le rappellent cruelle ment Il est donc temps d aller plus loin Aussi les signataires de la pr sente motion ponc tuelle proposent ils de s en remettre l Assembl e g n rale lui proposant de r af firmer clairement au del des d bats d o rientation et de strat gies un certain nombre de principes simples de change ment Ces principes devront guider le travail de r forme des statuts qu il ne s agit ni de r crire ni de compliquer plus encore mais de simplifier Deux objectifs majeurs devront notamment inspirer les travaux l efficacit il s agit d am liorer nos outils et nos r gles de fonctionnement non pour elles m mes mais pour que l action mili tante en soit facilit e Les proc dures de fonctionnement ne valent que pour ce qu elles permettent de construire d agir et d amplifier l action En ce sens elles ont vocation tre si n cessaire discut es et r vis es la lisibilit il n est plus possi
126. dentitaire et qui excluent Ce sont ces attitudes que d noncent cer tains mouvements tels avec lesquels sur le papier nous sommes toutes et tous d ac cord Reste les actes Y compris chez les Verts dont la philosophie est bien d avoir une repr sentativit l image de la soci t A la lecture de ce texte il est possible de penser que ceux qui ne sont pas contents gen aillent gt en somme lt la France tu Pai mes ou tu la quittes gt est ce pas 2 Ab si les choses taient aussi simples Changer de parti politique n est pas chan ger de cr merie Car l engagement person nel se construit sur un choix id ologique Cet engagement est ax sur le social marqu par des valeurs de solidarit atta ch aux services publics m me si la libert d entreprendre se respecte Cet engage ment est pour une conomie qui met l Homme au centre des pr occupations dans un esprit d mocratique comme dans les associations ou les coop ratives sans craser toutefois l craser Cet engagement partage et d fend l id e que l on ne doit pas sacrifier notre plan te et Pavenir de nos enfants pour des int r ts conomiques et financiers court terme En conclusion nous ne sommes pas des trangeREs nous sommes des citoyenNEs avec une histoire commune mais non reconnue attach Es aux id es et valeurs cologistes et populaires Car ce n est ni avec ces attitudes ni avec des mots que nous gu riro
127. des domai nes per us comme nos champs de comp tence privil gi s nucl aire nergies renouvelables transports biodiversit R orienter l cologie vers l cologie populaire Le risque d une d rive social lib rale voire centriste est pr sent li nos strat gies d alliances mais aussi la sociologie de notre parti et de notre lectorat constitu de classes moyen nes fort capital culturel 5 Parce que la transformation sociale ne se fera qu avec la participation des classes populaires nous proposons de faire de la r appropriation de la poli tique par celles et ceux qui en sont le plus loign e s un axe d terminant Faire le choix de l cologie populaire cest opter pour le d passement du capi talisme par la reconversion de la pro duction dans un sens non producti viste la relocalisation de l activit la redistribution des richesses et du temps la ma trise collective des biens communs la transformation des rap ports au travail prioriser la lutte contre la pauvret et la pr carit s curisation des par cours et pour la justice sociale et environnementale faire d cro tre l empreinte colo gique gr ce la division par quatre de la consommation de l nergie lutter contre toutes les discrimina tions et se battre pour l galit effec tive des droits L mancipation des populations discrimin es ne peut se faire qu avec leur participati
128. devrions nous rappeler que le processus qui d ter mine nos d cisions et nos actes est aussi important que de parvenir nos fins 8 Respect de la diversit Nous croyons qu il est important de valori ser la diversit culturelle ethnique raciale sexuelle religieuse et spirituelle et de pro mouvoir le d veloppement de relations respectueuses entre ces composantes Nous croyons que les nombreux et vari s l ments de la soci t devraient se refl ter dans nos organisations et leurs lieux de d cision et nous soutenons l arriv e aux responsabilit s de ceux qui ont tradition nellement t exclus des r les dirigeants Nous reconnaissons et encourageons le respect pour les autres formes de vie et la pr servation de la biodiversit e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES LES VALEURS CL DES VERTS SECONDE PARTIE 9 Responsabilit personnelle et globale Nous encourageons les individus agir pour am liorer leur bien tre personnel et dans le m me temps l quilibre cologique et l harmonie sociale Nous cherchons nous associer avec les personnes et les orga nisations sur la plan te qui oeuvrent pour la paix la d mocratie la justice cono mique et la sant de la plan te 10 Soucis du futur et soutenabilit Nos actions et nos politiques devraient tre motiv s par des objectifs long terme Nous cherchons prot ger les ressources naturelles pr cieuses encore disponibles
129. e 7 Appel r f rendum Energie 2 pour la refondation des Verts 58 19 GM GN L arc en ciel 3 aux l gislatives 2007 59 4 CONTRIBUTIONS AU DEBAT L autonomie contractuelle Qu est ce que la zone d cologie populaire 80 4 mode d emplo 2007 m m 60 eka le ee 258 Les conditions d une participation des Verts Encore un coup pour rien 82 5 un gouvernement de gauche 61 Quelques l ments sur la p riode 189 y b a e I Ge Je m abonne z Jerejoinsles Verts gt gt Mensuel et suppl ments dit par les Verts Nom Pr nom Abonnement individuel unan 20 euros N rue Tarif sp cial adh rent des Verts un an 15 euros I i Abonnement institutionnel unan 60 euros Code postal Ville Ch meurs tudiants Q un an 10 euros T l Fax Abonnement de soutien Gun an partir de 50 euros RE A RE Profession Les nom pr nom et adresse de nos abonn e s sont communiqu s nos services internes et aux organismes li s contractuellement avec Vert sauf opposition motiv e Dans ce cas lacommunication sera limit e au service de l abonnement Les infos pourront faire l objet d un droit d acc s et de rectificatif dans le cadre l gal Coupon renvoyer ne pas envoyer d argent vous recevrez sous peu un courrier les Verts service adh sions 247 rue du Faubourg Saint Marti
130. e Quelles sont nos valeurs communes Comment organiser concr tement les conditions d un rassem blement des cologistes ALSACE Jean BRAUD Marie Madeleine BRAUD Philippe CARBIENER Lila MEGAT Hugues STOECKEL BRETAGNE Philippe LADAME CENTRE Nicole BOUILLY CHAMPAGNE ARDENNES Eric PIQUET HAUTE NORMANDIE David CORMAND Alexis DECK ILE DE FRANCE Franck BARRAUD Alain BERNIER Gabriel BISIAUX Eric BOISSEAU Laurence BONZANI Christian BRETT L onide CELINI Mireille DE SMET Sylvain DE SMET Dominique DEBOISE Robert DEMAILLE Marc DENIS Jacques DUBAELE Bruno DUVAL Jeanne 55 78 5 _AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 69 o MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES OUI AU RASSEMBLEMENT DES ECOLOGISTES FAIVRE Laurent GUIGNON Elisabeth PAYS DE LA LOIRE HAMILTON Bernard HERON Alain Frantz DESPREZ Fabrice EYMON JARA Colette LECUYER Michel Catherine GOUHIER Thierry PRADIER POIRIER Maria PORTUGAL Nathalie Silvain TRAYNARD Jean Luc RIGAUX Michel ROUYER Simone VARIGAULT SAGUEZ Philippe SALVI Laurent POITOU CHARENTES THIBAULT Philippe VIC HERAT Arlette Michel ADAM ZILBERG PROVENCE ALPES LANGUEDOC ROUSSILLON COTE D AZUR Maryse ARDITI Patrice POLLET Xavier COROMINES Fran ois HAMY LIMOUSIN Jean Michel LIPAODE Pascale HAYAT LOTFI VAILLANT MIDI PYREN ES RHONES ALPES Marie R gine BARDOUX Henri Georges BOTTEX Alexandre JORNET Alexandre JURADO Pierre RAFALOVITCH Nicolas RETOUR LABEYRIE NORD PAS
131. e de se salir les mains dans l exercice des responsabilit s et dont les pr oc cupations cologistes sont incertai nes ne correspond pas cette orien tation Les premi res discussions avec le Parti socialiste n ont cependant pas abouti Les incontournables d un accord sont connus au plan lectoral un groupe parlementaire Vert au plan programmatique un projet de loi sur la proportionnelle la r orientation forte des politiques en mati re d nergies opposition au nucl aire pas d EPR promotion massive des co nomies d nergie et des nergies renouvelables propres en mati re de fiscalit cologique de transports pas un kilom tre d autoroutes en plus de reconversion industrielle d agriculture Stop Ogm r forme des aides de d chets moratoire inci n rateurs de sant de lutte contre la pr carit et les in galit s de 6 me R publique d asile et d immigration de rapports Nord Sud une r forme de l Ecole de la police de la justice de nouvelles avanc es contre les dis criminations pour les droits des femmes 37 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL VTI o 01 oN LATA 37 42 OE AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 35 Page 38 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE OUVRIR R FORMER RASSEMBLER LES VERTS Il s agit de donner la
132. e Hervieu Michel Cornuet Jean Erpeldinger Bretagne Limousin Michel Rolland Roger Normand Pour respecter la r gle qui est Centre Midi Pyr n es de ne pas signer plus de trois Olivier Masson Guillaume Cros motions ponctuelles Micka l Marie retire sa signature de la motion Champagne Ardennes Nord Pas de Calais Appel r f rendum pour G rard Crouzet Bernard Despierre la refondation des Verts 5 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 70 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 70 POUR UNE PARTICIPATION STRUCTURELLE DES RESPONSABLES REGION AUX Pr ambule n 2002 un cabinet sp cialis a EB men un Audit Participatif Interne Ses nombreux entretiens avec des acteurs nationaux r gionaux et locaux ont d bouch sur un rapport tr s dense communiqu au parti Certains passages voquent des dysfonc tionnements internes qui freinent l effica cit collective des Verts Ainsi les observa teurs ont not des difficult s d articulation national r gional Dans les faits peu de d l gu s r gionaux du CNIR font redescendre l information du CNIR vers leur r gion le travail b n vole effectu en r gions est insuffisam ment reconnu Une faible application voire non applica tion de beaucoup de d cisions du CNIR par l impossibilit pratique d assurer un suivi une i
133. e au d fi environnemental Serge Latouche professeur m rite l Universit de Paris XI lt Le changement de cap ne se fera pas sans douleur Jean Pierre Berlan directeur de recherche l INRA Lettre ouverte aux agriculteurs progressistes qui s appr tent semer du mais transg nique En libraire compter du 17 octobre 2006 En vente galement chez Ecodif au 01 53 19 53 19 ou sur www cosmopolitiques fr 13 46_OF AG06 aqxp 12 10 06 15 36 Page 43 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE _ POUR DES VERTS UTILES LA D MOCRATIE COLOGIQUE otion d orientation pro pos e par le r seau Pour des Verts utiles PVU seul s tre oppos la Synth se de Reims A Nous sommes tous d accord Pour gagner du temps disons que nous souscrivons aux longues analy ses pr liminaires qui reprenant les grandes th ses du parti font l ordi naire des motions d orientation par lesquelles vous tes somm s de vous ranger dans un camp B R duire l impact cologique en am liorant la qualit de vie Sans agiter les peurs et rejetant toute cologie autoritaire nous voulons convaincre qu une franche d crois sance de l impact cologique de nos modes de vie actuels peut et doit se faire en augmentant le confort de vie culturel psychique social affectif environnemental dau moins 90 des habitants de la plan te C Synth se de Reims la maison br le Les V
134. e l alter nance nous exigerons l abrogation les lois Sarkozy et Perben 1 et 2 ainsi que la r gularisation de tous les sans papiers Nous devrons travailler avec le parti vert europ en et le groupe parlementaire vert europ en pour inverser la tendance la res triction des libert s qui gagne toute l Europe 2 L cologie une radicalit efficace Nous devons en finir avec les incan tations sans lendemain notre radica lit doit tre en mesure de se confronter la r alit pour la trans former dans les faits que ce soit en agissant sur les politiques publiques ou lorsque les autres moyens d mo cratiques sont entrav s par la d s ob issance civile De la politique des d placements de Paris Lille Nantes au mariage de B gles de la d mocratie participative L Ile Saint Denis au fauchage des OGM la radicalit men e localement et assum e politiquement fait plus voluer la soci t que bien des incan tations r volutionnaires Chaque fois nous mettons nos adversaires voire nos partenaires en difficult et les obligeons voluer Nous devons engager des politiques publiques partir des exp riences et des r ussites de nos lus locaux et r gionaux Quand des choix techniques tels que les OGM engagent l avenir dune soci t c est aux citoyens d en d cider et non aux lobbies Nous proposons que le Parlement revoit dans un sens plus d mocratique et participatif le
135. e num ro de la Tribune des Verts la convocation notre Assembl e g n rale nationale Rendez vous traditionnel de notre parti il nous reviendra de d finir nos orientations g n rales pour les deux prochaines ann es La prochaine mandature aura la t che de mener bien nos campagnes lectorales nationales au cours du premier semestre 2007 pr sidentielle fin avril et d but mai l gislatives en juin puis les tr s nombreuses campagnes des lec tions municipales du premier semestre 2008 c t de cette mission principale il nous faudra aussi poursuivre notre action nationale pour faire entendre et renforcer nos id es dans ce qu elles ont de plus riche Notre projet est singulier Seuls les Verts d ploient une vision long terme d clin e par tape sur le court et le moyen terme Souvent en rupture avec bien des id es dominantes nous faire entendre nous demande plus de courage et de d termination que n importe quel autre parti Enfin sans l oublier car nous le souhaitons tous nous aurons apporter de nouvelles am liorations notre fonctionnement interne afin d tre mieux m me de promouvoir nos id es Sur ces 3 chantiers vous pourrez lire des propo sitions et des orientations dans les motions ponctuelles et les motions d orientations qui sont soumises votre lecture et votre appr cia tion Il vous reviendra de vous prononcer sur chacun de ses textes lors d un vote le 12 novem
136. e peut passer sous silence la question du cumul des mandats En effet lorsqu un e lu e a deux mandats ce sera toujours au d triment d autres per MAINTENANT sonnes qui ne peuvent exercer un mandat femmes jeunes personnes issues de cat gories sociales d favoris es personnes issues de l immigration etc Les Verts qui ont t des pr curseurs dans bien des domaines depuis leur cr ation ne peuvent rester sur une position d accepta tion d un cumul m me limit deux mandats Partisans d un profond changement des institutions nous ne pouvons laisser de c t une partie importante de la r forme de celles ci alors que les autres formations politiques longtemps la tra ne sur le sujet commencent aujourd hui prendre aujourd hui conscience des d rives du cumul des mandats Le mandat unique c est la meilleure garan tie que chaque lu e se consacrera pleine ment l exercice de son mandat au service de ses concitoyen ne s Motion L Assembl e G n rale des Verts est favora ble au mandat unique pour les lu e s L agr ment int rieur Article XVI A grille des mandats lectifs est modifi et n autorise aucun cumul de mandat externe responsabilit s en dehors des Verts AQUITAINE Marc LASAYGUES Xavier LHOMME Marc SIMON AUVERGNE Eliane BROUSSE Nicole ROUAIRE BASSE NORMANDIE Elise LOWY Christian PREBOIS BOURGOGNE Claude BOURGADE BRETAGNE G rard BORVON CENTR
137. e r glement int rieur A cot du Conseil Statutaire qui est un juge il y a d sormais la CNPRC qui est un m diateur La CNPRC peut tre saisie par tout Vert d un conflit ou d un risque de conflit interne de quelque niveau que ce soit de quelque domaine que ce soit qui porte en lui le risque d une atteinte aux int r ts collectifs des Verts Quand le conflit a un caract re local la commission r gionale de pr vention des conflits concern e doit en avoir t pr alablement saisie La CNPRC apr s tude du conflit propose une modalit non violente de pr vention ou de r solution qui pour tre mise en uvre demande l accord des parties La CNPRC uvre cet accord La CNPRC n a pas de pouvoir coercitif ce qui est logique avec sa nature elle dispose par contre d un important pouvoir d information La CNPRC fait un rapport annuel sur la conflictualit chez les Verts Elle propose aussi des plans de formation pour les Verts elle peut proposer une motion au CNIR par l interm diaire du C est le CNIR qui d signe les 12 membres de la CNPRC 6 femmes 6 hommes pour des mandats de 4 ans 6 des 12 pre miers lus verront leur mandat ramen deux ans pour permettre une rotation tous les deux ans Tout adh rent Vert ayant au moins 3 ans d anciennet peut d poser sa candidature au Secr tariat National des Verts Le statut de membre de la CNPRC est incom patible avec tout mandat national interne des V
138. e un des enjeux des pro chaines municipales ALSACE Dominique HUMBERT Eric SCHULTZ Cl o SCHWEITZER Djamila SONZOGNI AQUITAINE Cyndie AFONSO Jean Michel ARDOUIN Fatima BATIKHI Nourdine BATIKHI Fatima BATIKHY Alexane BAURES Patricia BAURES Christophe BEDIN Abderrahman BEKRAOUL Laurent BENI Lionel BENICHOU Bruno BEZIADE Andr BONIFACE Lionel BROSSEAU Marie Claude BUISSON Lisa CALVET Xavier CANTAT Thierry CAPDEVIELLE Bernard CAUSSE Philippe CAZENAVE Martine CHEVAUCHERIE Patrick CONCHEZ St phane DENJEAN Roger DULOUT Martine 5 ETCHEGOIN Michel ETIENNE Patricia FENOCCHIO Oscar FERREIRA Alain FERRIERE Mounia FERRIERE Fabrice FLOCH Maria De Fatima GARNET Virginie GARNIER Cl ment GODAME BANGOU Antoinette GUHL Mickael GYORS Fr d ric INIZAN Alfred KAMAYENWODE Narcisse KAMAYENWODE Selim KANCAL 44 KOURA Ginette LABARTHE Pascal LABERDESQUE Bernard LACLAU LACROUTS Marc LAMARCHE Sophie LAMARCHE Alexandre LESBACHES Wilfrid Alain LIYOT Ahmed MAAMOR Pierre MACIA No l MAMERE Fabrice MATHIVET Christian MERLETTE Jean michel MEYRE Gilles MONVILLE Carla Maria MORETRA MARINHEIRO Christiane NADAU Joanna PUECH Rose Marie RAMOS C lestin RANGBA Jennifer RAVASSON Gilles REY Nathalie RICHARD Cl ment ROSSIGNOL Viviane ROUYANTI Antoine SCHREIBER Peggy SENECAL Anicet SOPI Emmanuel STOLL Raymonde STOLL J rome TEISSEIRE Josette TEISSEIRE Louis TEISSEIRE
139. elle GUIROUS MORIN Ibrahim HAMIDOU ALI Hamed HANNACHI Rachida JDNOUR 19 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO H IV3IHNIIS AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e 01 oN LATA ERRATUM Ci dessous les signatures manquantes de la motion d orientotion A pages 19 20 EP Ecologie populaire Une nergie nouvelle pour l ouverture et la transformation Ile de France Martine Billard 15 20 01 1006 op TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 30 Page 20 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 20 EP ECOLOGIE POPULAIRE UNE ENERGIE NOUVELLE POUR L OUVERTURE ET LA TRANSFORMATION C cilia JOXE Benjamin JOYEUX Jerome JURJEVIC Karim KARA ALLAL Jean LAFONT Annie LAHMER Nadia LAKRIB Nasser LAKRIB jean charles LALLEMAND Anne LE STRAT Bernadette LEGOUGE Gilles LEMAIRE Jean Pierre LEMAIRE Nasserdine LEMOUNES Marie Genevi ve LENTAIGNE Wajdi LIMAN Sylvain LOISON Fran ois LONGERINAS Hamilton LOPES DOS SANTOS Alain LORENTE Anicet Frederic MABOUANA BOUNGOU Nicolas MAGERE Raoul MARMOZ Georges MARTORY Kyra Fran oise MAS Philippe MAUCLERE Rostom MESLI Akila MOUHOUB Jenny Cleve MOUSSOUNDA Donatien MPIKA Claude MUNNIER Mansour NASRI Eric NEYER Olivier NOCCA Hanako NSONGA Mohamed OUBAJJIT Mossaab OUERTATANI Elisabeth PAGNAC Isabelle PEREIRA Claire PETIT Jacques PICARD Giovanni PRETE Fabrice RAMARD
140. entations pr alables ce r seau s est organis pour atteindre un premier palier d objectifs via le d p t de motions nationales d orientations G la d mocratie cologique Notre pr c dente motion reprenait le projet de F lix Guattari en 92 d un parti laboratoire d une vraie d mocra tie cologique en prise avec Pensem ble des segments culturels et sociaux qui composent notre soci t et qui aspirent un avenir digne et serein pour tout ce qui vit sur terre De ce 5 texte nous souhaitons retrouver le souffle dans l ensemble de nos actions y compris institutionnelles H conviviale Apr s avoir ranim en interne le d bat quoi doivent servir les Verts nous pr cisons ce que pour rait tre une d mocratie participative cologique par la notion de convi te 7 eege D vialit h rit e d Ivan Illich Une soci t qui limiterait la puissance de ses outils en de du seuil o ceux ci empi tent in vitablement sur les facult s autonomes des gens m rite rait d tre appel e conviviale I Les valeurs cl A Reims nous les avions publi es comme contribution Nous les sou mettons cette fois comme motion ponctuelle pages 76 77 L objectif tant de commencer les utiliser de mani re exp rimentale comme une charte engageant tous les adh rents verts de principes cl qui doivent guider notre fonctionnement nos engagements et no
141. enu que nous devrons tudier la possibilit d un ventuel accord Le deuxi me volet de ma d l gation touchait l organisation des journ es d t La responsabilit du suivi de ses tapes et de la confection du budget qui m incombait a t alourdie par la d cision prise Tan dernier de ne plus confier l organisation g n rale des JE une salari e du si ge mais un ou des salari e s ext rieur e s bas e s Paris et ou en r gion La difficult de la surveillance de l quili bre du budget et de la coh rence de l ensemble en est accrue Mais de l avis de tous Grenoble et Coutances furent des succ s et n ont jamais drain autant de monde Enfin les commissions enfant pauvre de mon activit je mai pu qu assurer quelques r unions et faire voter au CNIR un ajuste ment de leur nombre leurs comp tences ainsi que des disposi tions financi res facilitant leur fonctionnement 9002 TAIVNIQAO AIVAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e OI oN LAAA 01_14 intro AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 29 Page 10 COMMUNICATIONS 10 2004 2006 BILAN DU COLLEGE EX CUTIF Michel Bock D l gu l conomie et au social u terme de mon mandat au Coll ge ex cutif d l gu T conomie et au social me semble naturel de livrer au mouvement mon bilan pour ces deux derni res ann es Nous avons engag le chantie
142. er 2008 pour se clore le 31 d cembre 2012 La n gociation sur les objectifs et les m canismes pour la p riode suivante s ouvre Comme l actuel locataire du bureau ovale n a pas infl chi sa position m me apr s le drame de La Nouvelle Orl ans il faudra attendre son d part fin 2008 pour voir la n gociation entrer dans le vif du sujet Or sans les Etats Unis pas d engagement envisageable de la Chine et de l Inde La prochaine n gociation sera tr s dure et marquera fortement la sc ne diplomatique Le d bat sera aliment la fois par des aler tes des scientifiques prochain rapport du GIEC IPCC durant l ann e 2007 et un contexte dramatique avec des accidents climatiques extr mes 4 Les centrales charbon et nucl aires command es apr s le 1er choc p trolier seront en fin de vie autour de 2020 Le prochain mandat sera celui des choix quant aux priorit s de remplacement ma trise de l nergie nergies renouvela bles hydrocarbures et nucl aire Le d bat sur la production lectrique est donc incontournable afin de mettre en place les capacit s industrielles quelle que soit lop tion retenue Or il n y a encore ni d bat ni r flexion prospective d entrepris 5 Les pays europ ens sont engag s dans la d r gulation du secteur de l nergie Li aux prix bas de l nergie ce mouvement inter vient compl tement contretemps Il faut donner la priorit des politiques de long terme
143. ert Europ en et suivie conjointement avec Dani le Auroi d l gu e l Europe Sur le plan international j ai eu l honneur de repr senter les Verts fran ais au forum des nergies alternatives organis par les colo gistes russes l occasion du contre G8 de Saint Petersbourg Pour la pr paration du projet de 2007 j ai d animer 4 groupes de travail sur les 9 qu il y avait au d part nergie transports agriculture protection de la nature et sant Je ne reviendrai pas non plus sur les d bats et pl ni res auxquels Tat eu l occasion de participer ou d animer Dans le cadre des n gociations pour 2007 les nombreuses s ances auxquelles j ai assist avec la vieille gauche productiviste gt mont montr quel point ses positions taient fort loign es des n tres Ces deux ann es pass es ont t l occasion de tisser des liens privi l gi s avec les acteurs du monde associatif et syndical J insiste par ticuli rement sur ce point pour la tr s grande majorit d entre eux les Verts demeurent un interlocuteur privil gi Leur attente est tr s grande notre gard alors ne les d cevons pas soit elle s rode progressivement par les grains de sable politiques et structurels plac s dans notre organisation N anmoins ce cons tat partag maintenant plus largement pourra permettre enfin une r forme des structures nationales au courant de l ann e 2007 Malgr cela j ai pu
144. erts mais pas avec un mandat interne r gional ou infra Deux membres de la CNPRC ont ainsi t lus Patrice Pollet er Guillaine Jeannot Pag s Il reste encore 10 membres de la CNPRC lire 5 hommes et 5 femmes Le CE appelle tous les adh rents Verts int ress s par la r solution non violente des conflits faire acte de candidature un prochain CNIR prochain CNIR 28 29 octobre 2006 Envoyer CV et lettre de candidature Murielle Le Baccon email cnir lesverts fr Pour tout renseignement compl mentaire sur la CNPRC contac ter Patrice Pollet patricehelio pollet laposte net 5 9002 TAIVNIQAO HIVAINAO HAIINASSY e SLHAA SAA ANNATAL 71 e OI oN LAAA 01_14 intro AG06 qxp VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 29 Page 8 EN PRATIQUE S APPEL A CANDIDATURE Conser Srarurame APPEL CANDIDATURE AU CONSEIL STATUTAIRE CS 015 de l assembl e f d rale de Bordeaux devront tre lus deux femmes et deux hommes pour un mandat de 4 ann es et 1 homme pour deux ans Les candidatures peuvent tre adress es au plus tard le 20 novem bre midi pour publication ou tre d pos es sur les lieux de l Assembl e f d rale Bordeaux Il convient par ailleurs de pr ciser que les candidats devront imp rativement disposer de la disponibilit n cessaire pour assurer l instruction des dossiers participer une s ance mensuelle de d lib r
145. erts sont aujourd hui dans une extr me faiblesse CNIR et Coll ge Ex cutif semblent noy s dans la politique pareille ou pire incapa bles de porter haut un point de vue vert perdant le contact avec lim mense masse des acteurs du mouve ment social des cologistes du quoti dien qui emplissent biocoops salons de modes de vie alternatifs AMAPs etc Nous n avons jamais t aussi bas dans les intentions de vote nos finances exsangues compromettent la p rennit du parti notre organisa tion est inadapt e aux exigences de la CONVIVIALE r alit comme aux d sirs des mili tants et des lus qui se sentent aban donn s leur sort D Des dirigeants qui doivent prendre du recul L quipe dirigeante somme toute peu renouvel e depuis 1993 en motions sempiternellement recom pos es aura pourtant essay toutes les postures gauchisme radical de la pr sidentielle 95 puis extr me r alisme pro PS durant l exp rience gouvernementale puis retour vers la gauche radicale enfin tous unis derri re leur plus petit d nomina teur commun r mois E Fin d un cycle Il est temps de mobiliser une nou velle g n ration d organisateurs poli tiques verts F Pour des Verts Utiles Le r seau PVU rassemble des colo gistes qui se sont sentis minoritaires sous toutes les majorit s r centes qui ont gouvern les Verts Apr s quelques ann es d exp rim
146. es minorit s Bien entendu ce n est pas la minorit en tant qu entit juridique que nous d fendons mais bien le droit indivi duel de chacune et chacun s approprier Phistoire et la culture minoritaire C est fon damentalement diff rent nous ne sommes ni nationalistes ni jacobins Soutenir les minorit s dans leur essence ouvre la voie aux communautarismes Cette confusion id ologique peut conduire faire alliance avec des int gristes simplement parce qu ils se font les porte parole des peu ples opprim s et de leur religion ou parce qu ils lt luttent contre l imp rialisme am ri cain gt C est une erreur tragique qui serait fatale nos combats mancipateurs une autre poque l aveuglement de certainEs les avait conduits soutenir les Khmers Rouges En effet l ennemiE de mon ennemiE n est pas forc ment mon amiE Nous luttons contre Bush et le syst me politico militaire am ricain cause de sa vision g ostrat pique du monde de sa volont de d r guler les conomies pour son profit exclusif et de s approprier les ressources naturelles de toute la plan te Nous ne luttons pas contre son LIBERT LA CIT DIVERSIT syst me d mocratique Nous comptons m me sur les EtatsunienNEs d mocrates pour l utiliser et faire voluer la politique de leur pays Les int grismes sont des syst mes totalitaires tous les int grismes L int griste est celui qui consid re
147. es aux CNIR de mars et juin les ateliers et pl ni res des JE et le journal Vert d avril dernier Le document final contient nos propositions pour la prochaine mandature et au del c est un projet et pas seulement un pro gramme d clin es autour des exigences suivantes mettre l colo gie au c ur des politiques publiques assurer l galit de droits entre tout e s sur tout le territoire aller vers une soci t de pleine activit et de revenu d cent pour tout e s et changer de R publique Peu peu nous am liorons cette interface et actuellement avec le responsable de Sinople j assiste tous les mois la coordination des eurod put s ce qui permet de conna tre les sujets prioritaires pour eux Les notes de Sinople li es aux dossiers d actualit de l Union europ enne en sont la trace la plus vidente Articuler le travail entre le parti le groupe des Verts au parlement europ en le parti vert europ en m a paru demander d abord une connaissance et une prise en charge collective des ces sujets Aussi j ai tenu avoir un moment Europe chaque CNIR pour permettre nos repr sentants tous de s emparer syst matiquement des dossiers europ ens den d battre et de voter syst matiquement toutes les r solutions que nos d l gu s au PVE devaient porter Ainsi pour la premi re fois c est le CNIR qui a lu ces d l gu s et non le CE comme pr c demment C est ainsi que nous avons port au conseil
148. es pr carit s ont nourri notre projet Contre les attaques frontales du gouvernement nous avons t pr sents dans les mouvements sociaux en participant d s le d but au collectif pour le d veloppement et la d fense des services publics qui s est constitu Gu ret Pierrette Bidon Creuse et Jean Yves Le Turdu Charente ont particip et port les proposi tions des Verts dans le collectif Nous avons t galement pr sents dans les manifestations natio nales et r gionales pour la d fense des 35 heures partie prenante dans la lutte importante et unitaire contre le CPE avec les jeunes Verts et Fac Verte Au niveau europ en avec l aide de Sinople nous sommes mobilis s pour le retraitde la directive Bolkenstein et nous participons au r seau europ en sur les services publics Ce bilan a t surtout collectif et j esp re qui ne sera qu une tape d une d marche qui sera poursuivi par le prochain CE et auquel l ensemble des Verts donnera collectivement sens Au contact de No l Mam re j avais compris les contraintes le temps court la n cessit de formule pour faire passer une id e la rapidit dans la r action la disponibilit dont il faut faire preuve avec les journalistes pour ne pas tre maltrait J avais au d part un peu de chance car rien ne pr pare devenir porte parole des Verts Une fois lu c est la d brouille Depuis le congr s Reims nous ne sommes que deux L organisation th mat
149. et assister chaque CNIR Le Conseil statutaire ne peut comporter plus de deux membres issus de la m me r gion Les r gions Pays de Loire Aquitaine Loraine Midi Pyr n es ont d j un poste Pour tre membre du Conseil statutaire il faut tre adh rent des Verts depuis au moins deux ans NES el on BUREAU DU CNIR BDC GE hue du Bureau du Cnir lu au CNIR de mars 2005 les membres du Bureau ont constat que le Bureau m avait pas d installation en terme de localisation pi ce de logistique t l phone micro Depuis la direction du parti malgr les relances successives du Bureau n a pas pris la d cision d affecter un local ferm En d pit de cette situation difficile pour la gestion quotidienne et la pr paration des CNIR le Bureau a impuls des r formes pour am liorer la vie parlementaire des cniriens Le Bureau a engag une r forme de la gestion u CNIR a deux niveaux Le fonctionnement Les pr sidences de s ance ont t tenues par un membre du CE assist d un ou deux membres du Bureau du CNIR Ce dispositif a montr ses limites Il conviendrait lavenir que la pr sidence soit assur e par le Bureau Un secr tariat de s ance a t cr pour compl ter la logistique assistance apport e pour la gestion du travail de s ance d bats projection des motions et des amendements Les textes ont tre num rot s pour viter que les cniriens perdent du temps au moment du travail
150. f d rations Guadeloupe Guyane R union et des militants de l outre mer en m tropole chaque CNIR organisation d ateliers outre mer aux Journ es d t laboration de la partie outre mer du programme Rencontre avec les Verts la R union et Mayotte en mai 2005 aide la constitution du Forum Social de Mayotte rap port sur l environnement Mayotte cr ation d un site internet des Verts Mayotte Constitution du Comit pour la d mocratie en Polyn sie communiqu commun avec les verts N o Cal donie Interventions en soutien l action des Verts Guyane d fense des maisons squatt s soutien la lutte contre la mine d or de Cambior 4 Paix et d sarmement Proposition de loi sur la non violence et l Intervention civile de paix en co laboration avec le MAN organisation d un Forum sur la D fense Coutances tique global que le CE devait pr figurer avant validation par Assembl e F d rale prochaine Comme Tat d j pu l exposer devant le CNIR les n gociations lectorales sont actuellement interrompues aucune base d accord satisfaisante n ayant pu tre d gag e avant l t La d l gation de n gociation a rencontr nos diff rents partenaires politiques Avec le Parti Communiste il a t clairement pos que nous ne pourrions envisager d accord lectoral pour les lections l gislatives puisque ce parti souhaite uniquement s allier au sein d un regroupement proche des comit s du 29 mai
151. fait d Etats Isra l Etats Unis Russie Alg rie de milices politiques arm s ou de bandes de tueurs Al Qaida La d fense du droit international et son d veloppement notamment la Cour p nale internationale sont au c ur de cette probl matique La r forme de l ONU la red finition d une politique europ enne et fran aise de d fense s inscrivent dans cette dynamique En France il faut d velopper la r sistance aux stigmatisations haineuses aux discri minations fond es sur l appartenance r elle ou suppos e un groupe ethnique cultu rel ou religieux Les Verts doivent y contri buer en ce qui les concerne et apporter tout leur soutien aux groupes et mouve ments qui sur le terrain combattent ces fractures envenim es chaque jour par la logique de la guerre des civilisations BASSE NORMANDIE Simon TAUGOURDEAU CENTRE Marie Fran oise DUTHU ILE DE FRANCE Sergio Pablo CORONADO Fr d ric L H DE BEAUVOIR Manuel DOMERGUE Bernard DREANO Patrick FARBIAZ Mathieu GLAYMANN Benjamin JOYEUX Jerome JURJEVIC Nabila KERAMANE Gilles LEMAIRE Wajdi LIMAN Evelyne PERRIN Eros SANA NORD PAS DE CALAIS Youssef DAHMA Christian LAZAOUI Julien LECAILLE Brigitte PERSSON Ali RAHNI Fr d ric SARKIS Renaud SILVESTRI 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 65 capitalisme financier mondialis sur trois fronts s curisation de l emploi salari l int rieur de l conomie de march
152. harmonie avec la Nature partager quitablement les ressources entre Nord et Sud et tre solidaire des g n rations futures Tout le monde chez les Verts pense que l Ecologie est Gauche puis qu elle pr ne une transformation de notre soci t et qu elle ne peut cog rer avec la Droite Nous refusons de nous r signer ce que les lt lois de l conomie gt vot es par personne s imposent nous et prennent le pas sur les choix d mo cratiques des citoyens Mais nous ne nous trompons pas de radicalit Notre radicalit n est pas d Extr me Gauche elle est colo giste la diff rence des pens es lib rales et marxistes l cologie politique ne croit pas que le progr s technique et conomique puisse lui seul assu rer le d veloppement harmonieux de nos soci t s Pour les cologistes l opportunit d une production doit tre soumise la question de son uti lit quelle soit sociale environne mentale culturelle et pas seulement au fait qu elle rencontre des besoins solvables Il faut donc proc der la reconversion cologique de l cono mie Pour une politique sociale soutenable Nous r futons une vision du monde qui r duirait l tre humain n tre qu un simple rouage de l conomie r duit au r le de producteur ou de consommateur L cologie politique consid re l individu dans sa globalit un tre dou de raison et d motivit avec sa part d irrationalit
153. hinois et d Indiens en train de rejoindre le march mondial du travail et de la consommation Pour sortir de cette impasse il nous faudra n gocier notre mode de vie Cette n gociation de fera l chelle nationale selon des compromis propres chaque soci t L enjeu de l emploi et la capa cit des mouvements sociaux et environnementaliste laborer des solutions communes y seront d terminants Mais la n gociation se jouera galement au niveau international o il faudra bien trouver les voies de la construction d un consensus qui r partisse quitablement les efforts four nir entre tous les pays Ce num ro nous conduit sur les chemins pratiquer pour r orienter radicalement nos modes de production en respectant les exigences d mocratiques des exp riences locales aux n gociations internationales sur le changement climatique Il s agit bien d inventer les politiques radicales qui ne perdent pas de vue les imp ratifs globaux r duction par quatre des missions de gaz effet de serre d croissance de l empreinte cologique tout en s attachant trouver les compromis sociaux qui fa onneront les volutions pacifiques vers un nouveau mode de vivre ensemble Avec notamment les contributions de Denis Clerc fondateur d Alrernatives Economiques conomistes et cologistes les passeurs et les radicaux Elizabeth Economy Asia studies at the Council on foreig relations in New York City La Chine fac
154. hnocratie verte qui cherche dans les normes dic t es par les institutions la seule et unique voie de r formes r elles du sys t me Cette strat gie nous m ne droit la constitution d un nouveau centrisme symbolis par Corinne Lepage Cap 21 sur les questions sociales les discrimina tions sur l analyse du Moyen Orient ou de la mondialisation apporte les r pon ses traditionnelles de la droite lib rale ou de Bayrou Cette cologie d accompa gnement souhait e par de nombreux Verts est un simple repl trage du syst me tentant de panser les plaies de la mon dialisation sans rien changer au cours des choses C est pourquoi la ZEP appelle en votant massivement pour la Motion EP construire au del des diff rences un p le de r sistance de l cologie de trans formation r unissant celles et ceux qui estiment que l cologie politique carac t re anti capitaliste et anti discrimina tions est la r ponse politique la crise de l humanit De Beauvoir Fr d ric Benguetaib Redon Nadia Glaymann Mathieu Cheikh Rouhou Amel Dereume Selma Domergue Manuel Douidi Otman Duthu Fran oise Farbiaz Patrick Lecaille Julien Liman Wajdi Joyeux Benjamin Jurj vic J r me Pauron Charlotte Perrin Evelyne Sampil Mosis Sana Eros Sarkis Fr d ric Secr tin Guillaume Taugourdeau Simon 79 84 _AG06 qxp 12 10 06 15 56 Page 81 es Verts depuis de longues ann es se sont enferm s dans
155. ie de notre parti la veille d ch ances lec torales majeures qui doivent marquer un tournant politique dans notre pays n est pas anodin C est dans cette ville qu une liste verte autonome a d pass la barre de 10 des suffrages au premier tour de municipales partielles le 8 octobre der nier Par ailleurs Bordeaux le pays de Jacques Ellul 1912 1994 pr curseur de l cologie politique p re de la c l bre et tr s juste formule Penser globalement agir localement est aussi celui de son ami d enfance Bernard Charbonneau 1910 1996 auteur d une autre maxime tout aussi pertinente On ne peut poursuivre un d veloppement infini dans un monde fini Les 2 et 3 d cembre nous d battrons et nous opterons pour des orientations politiques et pour une quipe d anima tion qui conduiront les Verts pour les 2 ans venir Le Congr s de Bordeaux doit tre aussi et surtout un moment fort d affirmation de l cologie politique comme seul projet capable r pondre aux d fis de notre poque Puissent ces 2 jours participer la prosp rit des Verts les faire grandir et que le d bat soit serein convivial et constructif Au plaisir de vous voir Bordeaux CL MENT ROSSIGNOL pr sident des Verts Aquitaine L AF C T PRATIQUE Cit mondiale du Vin L Assembl e F d rale des Verts se tiendra du ler au 3 d cembre la Cit Mondiale du Vin Parvis des Chartrons Bordeau
156. ie d accompagnement faute d avoir les moyens de peser par un bon accord et par un groupe par lementaire pendant la dur e du quinquennat Pr voir aujourd hui pour le deuxi me tour au nom du d siste ment r publicain un appel voter PS pour battre la Droite c est nous inscrire dans une Ecologie de renon cement Le PS sera confort dans sa convic tion qu il lui suffit de quelques verro teries pour s attacher le vote des indig nes Verts une ou deux d ci sions symboliques et quelques stra pontins pour les chefs de case Le meilleur moyen d obtenir au final un accord correct avec nos partenai res Cest de marquer aujourd hui une rupture avec des n gociations h ri t es de l histoire de l Union de la Gauche L acceptation de ces m tho des 2 montr que cela produisait une satellisation de tous les partenaires du PS Un bon accord sinon rien Pour 2007 aucun accord lectoral ne saurait tre conclu sans la garantie d un groupe parlementaire et un accord programmatique exigeant le tout valid par une consultation des adh rents En tant que d mocrates 5 nous sommes conscients que nous devrons accepter un compromis sur le plan programmatique Des points sont essentiels pas EPR moratoire OGM fiscalit cologique plan climat politique de la Nature r forme des institutions proportion nelle Notre participation un Gouvernement sera conditionn e l application de ce
157. ier et Jean Viar Ed de l Aube 2005 10 90 euros L conomie solidaire prendre sa vie en main Jacques Prades et Bernadette Costa Prades Les Essentiels Milan 2005 65 p 5 5 euros La Goutte d Or quartier de France la mixit au quotidien Maurice Goldring Autrement 2006 186 p 17 euros Parias urbains Lo c Wacquant La D couverte 332 2006 36 p 23 euros Quartier nord Fran ois Ruffin Fayard 2006 517 p 22 euros La naissance du monde moderne 1780 1914 C A Bayly Le Monde diplomatique Les Editions de l Atelier 2006 606 p 30 euros Ikea un mod le d monter Olivier Bailly Denis Lambert et Jean Marc Caudron Ed Luc Pire Oxfam 2006 109 p 15 euros A NAISSANCE DU MONDE MODERNE 1780 1914 VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 MARC POTTIER TR JEAN VIARD LE 725 3 D Ikea un mod l e d monter Olivier d i RE ef Jean Mart Caudron A DIALOGUE el d auteurs LE Guer ei eebe AE mn 47 50_OG AG06 qxp 12 10 06 15 41 Page 47 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE L COLOGIE L ESPOIR EN ACTES POUR DES VERTS AUTONOMES RADICAUX epuis 25 ans Les Verts lanceurs d alertes d fen dent une cologie de la n cessit Il est urgent de proposer une cologie de lespoir Nous devons r affirmer l cologie politique comme alternative au pro d
158. ierre MEYER Michel PRIMEL Patrick REDOUTE Michel DUBOIS Christian MIZONY Chantal NAY Paule Annette RIMBERT Val rie DUCROQUET Christine REGINATO Benoit SEROT Jean ROBILLIARD STREBELLE FAUCHE Jean Luc FAUCHE Jean Fran ois SINTES Pierre Renaud SILVESTRI Didier SPECQ luc FERNANDEZ Sandrine THIOLLIERE Sylvie ULRICH Lisette SUDIC Marie Line FIGUIE Philippe GARDIOL Guy THEOPHILE Andr GAY PARA Fouad GHAZOUANE SAVOIE VANDERLYNDEN Monique Rabia GHAZOUANE Seloua Pierre GABLIN Martine LEGER VANOVERBEKE GHAZOUANE Christopher Patrick LEMETTRE Gilles GIBERT Genevi ve GIBERT MAISTRE Guy NACHON Nicole PAYS DE LA LOIRE Violette GORODNITCHENKO NACHON Odette PINCK Ren Paul BURET Jean pierre MEVEL Christian Georges GOUPIL Fr d ric PINCK Robert TALBOT Pierre MICHEL Jean Philippe GRAILLET Jacques GRANIER z PARMANTIER Yannick Amina HAMED BEY Olivier REUNION PELLERIN Annie SICARD HIDREAU Jean Eudes JOFFRIN Benjamin COUDRIET Denis Abdelali KABBAJ Dominique FRITZEN Jean Marc PICARDIE KABBAJ Abdelhakim LACHHAR TAGLIAFERRI Michel FONTAINE Claudine LECURU R gis LECURU Jacquotte PICHON Yves POTIN Marie Jeanne POTIN VINCHON G rard RACINNE 54 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 55 1 L ABOLITION DES CH TIMENTS CORPORELS EN FRANCE UN IMP RATIF POUR LES DROITS DES ENFANTS 2 APPEL REFERENDUM POUR LA REFONDATION DES VERTS 3 L ARC EN CIEL AUX L GISLATIVES 2007 4 L AUTON
159. ille BARREAU Annie MANTSOUNGA Prisca 8 TELLIER Fran ois PAUMIER BATZENSCHLAGER Claude MANTSOUNGA MOULARY 8 Bernard PUJOL Fran ois REY BEAUJARD Rafik BEN HAJ Pascal MARQUES Alfred Ghislain Bertrand SOUX Jean Charles AMINA Armelle BERTRAND MASSALA Dorfet Savary SUTRA Robert VIDAL CHATARD Marcel Elmer MBOUALA Marcel MEAUFRONT BOUKAMBOU David Gr goire NGUIRIKA MBOUALA NORD PAS DE CALAIS BOURGUIN Doris BOURQUIN Marie Fran oise NGUIRIKA Vincent BECU Philippe BERNARD Alain BUFFIERE Denis CAREL MBOUALA Kim Hanb NGUYEN Patrice BESNARD Michel Antoine Muriel CATALA Jo lle Michel REMY Pierre REMY Jean CALLENS Jean Paul CARDON CAVERSAZIO Luc CHESNEL Michel SERVANT Josyane Elise S Christophe CHAUVEAU Daniel Pierre CHONE Salim CHOUANA SICARD Paul TOUZE 3 COMPERE Robert DE VEYLDER Sandrine CIOSSA Fran oise k Jean Luc DELIERRE Christian COHEN Jean Claude COLIN RHONES ALPES s FLEJSZEROWICZ Georges VALY COPOIS Jean Louis COSSA Jacques BONNET Jean Claude HUART Pierre LAPERELLE Gino COSTANTINO Louise CHAUSSE Alain CHETAILLE N Pascale LEROY MIELLET Virginie CROVETTI Gabriel CUOCO Patrick CHR TIEN Nadim gt MARION POTY Dani le Michel CUOCO Georges CURTIS GHODBANE Sandrine MULLET Max PAPYLE Marie V ronique CURTIS Roland LAMBRECHT Sylvain Fran oise PEENAERT Brigitte DELAGNEAU Vincent LAMBRECHT Didier LE BER PERSSON Xavier POUPART Yvon DELAHAYE Jacques DEVILLE Jean P
160. ions dans le droit fil de la motion de Reims Nouer des accords lectoraux li s aux accords programmatiques Dans les conditions d un accord politique doivent figurer Une sortie progressive du nucl aire abandon de PEPR ferme ture de centrales dans la mandature L arr t imm diat des OGM en plein champ jusqu preuve de leur innocuit et loi d amnistie pour les faucheurs Des mesures concr tes et coercitives de lutte contre le r chauffement cli matique transports publics circu lations douces bridage des moteurs ferroviaire pour le fret efficacit nerg tique dans l habitat d velop pement des carburants bio aides massives aux conomies d nergie Un minist re d Etat pour le droit des femmes et des minorit s avec comme objectif de renforcer la parit la repr sentation de tous et de toutes et la lutte contre les violences li es au genre racistes et homophobes L eau comme service public Une citoyennet pleine et enti re pour tout tes les r sident es en France L instauration imm diate d une roportionnelle corrective Palle prop mande et plus largement d une 6 me R publique qui renforce les r gions la d mocratie parlementaire et la d mocratie participative Une loi cadre pour le tiers secteur garantissant son financement et son autonomie Une charte pour la ville durable logement social foncier d mocra tie comm
161. ions permet la gauche et aux cologistes d emporter une mairie qui est droite depuis des lustres L quipe ainsi form e se met au travail dans un bon esprit et lorsqu arrivent les discussions sur les candidatures aux l gisla tives les Verts obtiennent 3 circonscrip tions sur les 21 de la capitale Conclusion les Verts emportent 2 si ges sur les 3 et le PS en gagne un suppl mentaire MORALITE l AC cela fait gagner tout le monde MOTION adopt e en 2002 L Assembl e g n rale des Verts consid re que D Autonomie Contractuelle dite AC dans le texte adopt e comme strat gie en 1995 demande l exp rience tre d finie avec plus de pr cision dans ses modalit s d appli cation L accord lectoral la strat gie de l AC consiste rechercher des accords de gestion avec des partis de gauche sur la base d une double exigence un accord program matique et une r partition proportionnelle des responsabilit s Lorsqu il n y a pas de Contrat l AC consiste se pr senter de mani re autonome et ne pas donner de consigne de vote au second tour En ce sens la strat gie de l AC est en rupture avec la tra dition de d sistement r publicain gauche En effet le succ s de la strat gie d AC exige un rapport de force appuy sur un militan tisme de terrain qui n existerait pas si les voix des cologistes pouvaient tre consid r es comme automatiquement acquises nos partenaires nous deviendrions de
162. ique BEREGOVOY Herv BOUDZOUMOU J rome BOURLET Jean Luc CHAVANIEUX Abdoulaziz DEM Jerome DESCHAMPS Nathalie DEVIN Yann DEVIN Christophe DUBOC Isabelle DUCELIER DESCHAMPS Didier GARANT Catherine GOODE Benoit LECLERC Fran oise LESCONNEC Jocelyne LEVAUFRE Fr d ric QUILLET Marie christine SAILLARD David VERGEON 5 ILE DE FRANCE Azzedine ABDESSAMAD Laurence ABEILLE Mathilde ALLUCHON Joao ALVARO Ismael ATES Kamel BACHA Karima BENDRISS Sa da BENHAMED Sidi Mohamed BENLAHCEN Farid BENSLIMANI Catherine BERNARD St phane BERNARD Romain BIESSY Antoine BILLIOTTET Jacky BOISARD Lahbib BOUALI Alima BOUMEDIENE THIERY Michel BOURGAIN Jacques BOUTAULT Marc BRISY Philippe BUSCH Lo c CARIOU Jean Fran ois CASSANT Amel CHEIKH ROUHOU Maril CHOLLET Yves CONTASSOT Natacha CORONADO Sergio Guido CORONADO Sergio Pablo CORONADO Suzanne D HERMIES Rachid DCHIMI Fr d ric L H DE BEAUVOIR Helder DE OLIVEIRA Selma DEREUME Hamid DEROUICHE Jean DESESSARD Pierre DOERLER Manuel DOMERGUE Housseyni DOUCOURE Malika DOUIDI Otman DOUIDI Bernard DREANO V ronique DUBARRY Janine DURANTON H lya DURSIN Oktay DURSIN Yasin DURSIN Mohammed EDAHMANT Khalid ESSADI Patrick FARBIAZ R mi FARGEAS Na ma FETTAL Charles FORNIER Danielle FOURNIER Fran oise GALLAND Nordine GAROUABJI Christiane GILLMANN Mathieu GLAYMANN S verine GOUDIGUEN Claire GROVER Francine GUILLAUME Isab
163. ique qui pr va lait n est plus la coordinatrice des porte parole non plus on est tenu de savoir r agir sur tout et c est impossible On est souvent seul devoir formuler une r action sur une situa tion impr vue sur laquelle rien n a t crit dans le programme et qui fait d bat J ai consid r que mon obligation tait de r agir en essayant de tenir compte de nos principes et de notre orienta tion du travail des commissions Pratiquer la politique de l autru che pour viter les critiques n a jamais t mon attitude Et il y a aussi Vert notre publication dont les porte parole sont devenus les responsables On se perfectionne avec le temps on anticipe mais on ne rattrape pas l essentiel ce ne sont jamais des porte parole qui font exister vraiment le mouvement c est son orientation sa pratique mili tante en phase avec une soci t sans cesse en mouvement avec des attentes et des revendications Pour un bilan plus d taill voir le site des Verts et repeindre un bateau de soja OGM pouss e litt ralement devant les cameras par les copains Verts Ce saut dans le grand bain sans formation particuli re ma permis d apprendre vite r pondre aux exigences des m dias Ma fonction m a ensuite conduite partout en France pour soutenir les militants ayant arr t s des convois de d chets nucl aires aux rencontres des lus r gionaux Verts des proc s OGM aux manifs contre le CPE J ai toujours
164. isation galopante nos objectifs de r duction du temps de travail seront entendus condition de formuler des proposi tions concr tes sur le revenu d exis tence sur le partage des emplois sur la red finition de nos besoins et de nos priorit s d veloppement de l conomie sociale et solidaire en parti culier de l aide aux personnes de Pa griculture bio extensive d un tiers secteur fort Accomplir tout cela c est tre s rs de ce que nous sommes savoir que nous n aurons jamais raison seuls mais que nous ne devons rien c der sur l essentiel Nous ne devons pas nous isoler mais rester exigeants sur nos partenariats ventuels Penser notre ouverture aux autres acteurs sociaux laborer des proposi tions concr tes et savoir valuer leur mise en oeuvre c est finalement penser un agenda 21 pour les Verts 5 Six orientations pour changer aujourd hui Nous avons labor collectivement avec les acteurs sociaux un pro gramme pour changer le monde nous en retenons six axes forts 1 L cologie un humanisme Les urgences environnementales sociales et soci tales sont indissocia bles et repr sentent une m me prio rit pour l cologie politique La crise environnementale sans pr c dent dont souffre notre plan te ne peut tre consid r e isol ment Elle ne trouvera de r ponse juste qu condi tion de prendre en consid ration ses effets directs sur l quilibre de n
165. isme et du d veloppement durable celui de l cologie populaire Malgr la formalisation du d veloppe ment durable en 92 Rio par les repr sentants des ONG et des gouverne ments la pantalonnade de Johannesburg a soulign l impuissance des ma tres de ce monde engager la moindre r forme structurelle pouvant mettre en danger les profits des multinationales Menant une recolonisation brutale du monde accompagn e d une marchandisation violente tous azimuts ils ont ouvert une quatri me guerre mondiale contre les pauvres et d velopp un v ritable apar theid plan taire Des sans terres d Am rique Latine aux paysans chinois des intouchables de l Inde aux bidonvilles d Afrique en pas sant par nos banlieues cette guerre sociale l chelle mondiale est dirig e contre les mouvements sociaux paysans ou urbains revendiquant l galit des droits luttant pour le contr le des res sources naturelles et des biens com muns pour le droit la terre pour P mancipation des peuples autochtones Au Nord la r volte des sans droits premi res victimes des maladies environ nementales amiantes air saturnisme cancer a impos l mergence d une co logie populaire bousculant ainsi les valeurs de la gauche traditionnelle et de la technocratie verte Cette cologie trouve ses racines dans le v cu et la pratique r els de ces mouve ments Elle s appuie sur des r flexions et des exp riment
166. itique a d pass le stade du t moignage des d nonciations et de la mise en alerte Faire entendre nos r pon ses suppose de cesser de voguer au gr des opportunit s lectorales et de construire un outil efficace ouvert et militant au service d une strat gie de transformation Un constat alarmant Les Verts ont rat trois rendez vous majeurs avec les classes populaires et la jeunesse lors du r f rendum du 29 mai sur le TCE de la r volte des ban lieues et du printemps anti CPE Ils n ont pas su en tirer les le ons Inaudible incapable de cr er un rap port de forces avec le PS faute d an crage dans la soci t notre parti navi gue vue tent par une alliance politique avec des environnementalis tes de droite qui pr cipiterait une d rive centriste observable l chelle europ enne Il est urgent de r orienter notre strat gie et notre action en affir mant le choix de l cologie populaire La France conna t aujourd hui une triple crise crise sociale durable crise du mod le r publicain d int gration crise institutionnelle et de la repr sentation qui produisent l exasp ration et la fragilisation de la soci t mais aussi son d sir de se d fendre et de s emparer des ques tions qui la concernent Si la politique s loigne des citoyens c est le fait d un syst me politique aux institutions ferm es Il ny a pas un d sint r t pour le politique le d bat citoyen l
167. l ge ex cu tif doit tre simplifi pour que celui ci devienne un v ritable ex cutif le lt Bureau National gt devenant l instance de d bat r actif le CNIR reprenant ainsi son vrai r le d orientation politique du parti en dehors des Assembl es G n rales Il faut ainsi pr voir une lection directe des mem bres les plus en vue du CE e L lection directe par l Assembl e F d rale d une liste paritaire de un e secr taire national e et de deux Porte Parole issue de la motion majoritaire c est dire ayant au moins recueilli 50 des suffrages e Le CNIR lira une liste de quatre six personnes pr sent e par le la secr taire lu e pour que le CE comprenne outre le SN et les 2 PP d j lus en Congr s au moins un secr tariat aux lections et aux lus une d l gation la comm campa gnes et actions interne un tr sorier une d l gation au fonctionnement du si ge national et des r gions Les si ges paritaires par blocs de deux seront attribu s pour vingt cinq pour cent la motion majoritaire de l Assembl e F d rale et la proportionnelle la plus forte moyenne pour les autres BASSE NORMANDIE Julien HERMILLY Micka l MARIE ILE DE FRANCE Philippe BUSCH Marc DENIS Jeanne FAIVRE Patrick FRANJOU Patrice GOHIER Guy HASCOET Michel HENRY Fran oise HOFFET Colette LECUYER Albert PEIRANO Maria PORTUGAL Arlette ZILBERG LANGUEDOC ROUSSILLON Maryse ARDIT
168. les augmenta tion des taux d incarc ration et externe externalisation de l asile milita risation du contr le de immigration de nos soci t s Pire des pays exclus de la soci t globalis e de la consommation Somalie r gion des grands lacs N pal implosent Un projet europ en essouffl depuis la chute du mur de Berlin L UE a laiss l Allemagne se r unifier seul La r unification mon taire a permis indirectement une croissance euro p enne mais au d triment de l Allemagne qui a mis plus d une d cen nie pour se renflouer Au nom de la libert des march s PUE a peu facilit la r unification Des transferts financiers auraient pu aider les pays de l Est rat traper ceux de l Ouest comme lors de l entr e de l Espagne du Portugal la sortie du fascisme LUE en pr f rant mettre en place l Acte unique et les trai t s de Maastricht Amsterdam a permis le retour de la guerre en Europe avec limplosion de la Yougoslavie pourtant en meilleure sant conomique que les pays d Europe de l Est De plus des r gi mes post fascistes ont pu s installer Autriche Italie Pologne et la droite 5 extr me s incruste durablement dans les paysages politiques nationaux Une r gulation violente des rapports sociaux Les r gulations violentes se g n ralisent tant l chelle individuelle que natio nale A ces violences parfois anomiques ou sous contr le de groupes maffieux
169. lib ralisme et pro ductivisme l cologie politique doit faire entendre sa voix dans l lection pr sidentielle et se faire l cho des aspirations altermondialistes Jos Bov soutenu par les Verts aurait pu en tre le meilleur porte parole D ailleurs si sa candidature se r ali sait sous peine de se retrouver en dehors de la r alit les Verts devraient poser d mocratiquement la question du maintien de leur strat gie pr sidentielle Nous ne voulons pas d une gauche plurielle II soumise au PS Pour viter cette impasse des conditions sont n cessaires Il faut obtenir des engagements clairs sur des points cl s notamment sur la sortie du nucl aire la proportionnelle les lois s curitaires et liberticides les OGM les salaires la r gularisation des sans papiers le droit de vote et d ligibi lit des trangers et la 6 me R publique Ces exigences traduisent les urgences environnementales sociales et d mocratiques et la volont de rompre avec les logiques lib rales et productivistes A d faut nous refuserons de participer un gouvernement Entre 1997 et 2002 le PS refus la mise en place de la proportionnelle Alors qu aujourd hui le PS pr f re 5 nous donner des strapontins au gou vernement nous pensons que le poids de l cologie politique dans la soci t doit se traduire par un groupe parlementaire vert Notre volont de battre la droite doit s acc
170. limit s une action etc adapt es aux parti cularit s r gionales qui permettent l ensemble des acteurs sociaux et cul turels et chacunE de s inscrire dans l action des Verts V Violence L appr hender lucidement la vio lence est un fait les recettes s curitai res ne peuvent que l aggraver nous de d montrer que c est la nature m me de notre organisation sociale qui est hyper violente lutte de tous contre tous in galit s asservissement du reste de la plan te pillage des res sources et du vivant prolif ration nucl aire et qu il faut revoir de mani re radicale notre mode de vie comme en interne notre fa on d tre Verts W Une implication europ enne et mondiale Reprendre et d velopper les exp riences men es par la Commission Transnationale de 96 2001 et aban donn es depuis notamment soutien aux vrais d fenseurs d un rapport pacifi entre l humain et la plan te celles type Paris Munich changes transnationaux entre groupes locaux CONVIVIALE X Ethique de responsabilit Reconstruire notre cr dibilit sur une v ritable coh rence entre nos objec tifs affich s et les pratiques r elles de nos lu s d l gu s membres et groupes Y Forum 2007 Sans tarder pr parer le Forum d au tomne 2007 pr vu par les statuts pour y faire le bilan des pr sidentielle et l gislatives et pr parer les munici pales et celui des exp rimentation
171. lit qu est ce qu tre colo giste d croissance convivia lit d mocratie cologique Si notre score Reims fut aussi ridi cule que celui de R Dumont en 74 1 36 notre soft power capacit influencer d autres corps politiques a t manifeste sur l en semble des tendances internes et pr sent galement au del de notre parti L Rassemblement de tous les cologistes L tat actuel de la repr sentation co logiste en politique exige un nouveau rassemblement de tous les cologis tes Les sympathisants de Rahbi Latouche ou Bov ceux de Hulot Lepage Arthus Bertrand de Silence l L cologiste La D croissance etc ont un socle commun qui pourrait leur permettre de s allier durable ment M Pr sidentielle Priv s d un forum fin 2005 pour tant n cessaire et statutaire nous nous sommes engag s de la pire mani re dans le pi ge pr sidentiel Il faudra faire avec en essayant d obte nir le meilleur r sultat possible tout CONVIVIALE en restant attentifs aux volutions du paysage politique et capables si n cessaire de se rallier une meilleure opportunit N L gislatives L tat actuel du paysage politique et de notre cr dibilit au niveau natio nal obligera sans doute pr senter des candidats vertEs autonomes par tout o nous en serons capables sauf acc l ration inattendue du processus de Ra
172. litaires de ces derniers nous pouvons faire le constat que ce sont des groupes avec qui nous ne partageons rien en dehors du constat facile de dysfonctionne ment de la soci t et des discriminations de toutes sortes Car leurs solutions sont l oppos des n tres fractionner la soci t promouvoir un mul ticulturalisme institutionnel l anglo saxonne d l guer au religieux et au priv les politiques publiques refuser l mancipation des femmes au nom d une pr tendue culture diff rente ou 5 plus subtil promouvoir une mancipation diff rente revendiquer un d lit de blasph me et justifier la violence face la libert d expres sion nier le droit l expression de l orientation sexuelle et finalement toute expression d une libert individuelle Face ces choix liberticides les Verts doi vent pour garantir leurs revendications soci tales proposer une alternative porteuse de paix et du vivre ensemble une soci t transculturelle qui s enrichit de la diversit sans diversifier les droits selon les origines et les communaut s ALSACE Hugues STOECKEL AUVERGNE Jacques BLAIZE BRETAGNE Jocelyne LE BOULICAUT CENTRE Dominique RON ERAN FRANCHE COMT Gerard ROY ILE DE FRANCE Marie Th r se ATALLAH Franck BARRAUD V ronique BIL LAND Albert BISCHEROUR Laurence BONZANT Jo l CHENAIS Florence DE MASSOL DE REBETZ Luc DEGE
173. ment nos engagements et nous aider r gler nos A Apr s 1 3 ans de d bat et d utilisa tion concr te de cette charte comme socle commun tous les Verts garant de leur confiance et respect mutuels Les valeurs cl des Verts seront de nouveau pr sent es aux adh rentEs soit lors d un forum soit lors d une AGN afin quil jugent en connaissance de cause al faut les inclure d finitive ment modifi es ou non dans nos sta tuts LES VALEURS CLE 1 D mocratie de base Chaque tre humain m rite d exprimer son opinion sur les d cisions qui affectent sa vie aucun ne doit tre soumis la volont d une autre personne D s lors nous travaillerons augmenter la participa tion publique tous les niveaux de gouver nement et assurer que nos repr sentants lus rendent des comptes ceux qui les ont lus Nous travaillerons aussi la cr ation de nouveaux types d organisations poli tiques qui permettront de renforcer la par ticipation d mocratique en incluant direc tement les citoyens dans les processus de prise de d cisions 2 Sagesse cologique Les soci t s humaines doivent se d velop per avec la compr hension que nous sommes partie int grante de la nature et non s par s de la nature Nous devons maintenir un quilibre cologique et vivre cologiquement avec les ressources limit es de nos communaut s et de notre plan te Nous soutenons un projet de soci t dura ble qui
174. motions d orientation et ou synth ses et d bat Vote ventuel sur les motions de synth se PAUSE Pr sentation des candidatures au Conseil statutaire et aux postes de Commissaires financiers Votes Dimanche 3 d cembre 2006 Kl LE ee 13h Heure limite de d p t des listes au 1 4 national du CNIR D bat de politique g n rale Pr sentation des listes au 1 4 national du Cnir Votes Proclamation des r sultats r union du Coll ge des 21 Cl ture de l Assembl e f d rale 5 ALSACE Cercle Saint Martin rue du Mar chal Joffre 68000 Colmar AQUITAINE Auberge de jeunesse 8 rue Chiquito de Cambo 64200 Biarritz tel 08 71 17 40 47 fax 05 56 79 11 24 por 06 33 71 28 63 AUVERGNE Clermont Ferrand Salle Bien Assis rue Bien Assis pr s du cimeti re BASSE NORMANDIE Salle des Fetes Segrie Fontaine T l Bruno Bertolli 06 87 85 24 00 BOURGOGNE Salle du Prieur Saint Martin Bd Mar chal Leclerc 71 400 Autun Saint Pantal on BRETAGNE Le domaine Cr nihulel 56480 Silfiac 02 97 27 64 22 CENTRE Auberge du Ciran 45 240 M nestreau en Vilette 02 38 76 96 02 CHAMPAGNE ARDENNE Salle municipale de la Mairie Annexe de la Neuvillette Avenue Nationale La Neuvillette Reims CORSE Aiacciu Ajaccio R sidence Les Amandiers bt A1 rdc avenue Biancamaria 20000 Ajaccio FRANCHE COMT Salle Battant 48 rue Battant 25000 Besan on HAUTE NORMANDIE
175. mpossibilit pratique dans la plupart des r gions de pr parer collective ment le CNIR en CAR d lais trop courts Beaucoup de d l gu s du CNIR ne repr sentent pas prioritairement leur r gion plut t une logique individuelle ou de ten dance Pour am liorer le fonctionnement du mouvement le cabinet proposait 9 chan tiers prioritaires dont les responsables r gionaux sont galement convi s avec voix consultative aux r uni ons du Conseil F d ral CNIR refond Ceci mat rialise le lien plus fort entre che lons national et r gional Les responsables r gionaux forment un r el r seau tirer profit des nouvelles technolo gies de l information et de la communica tion qui est anim par le la secr taire national e Une r union formelle et r gu li re mensuelle bimensuelle des responsables r gionaux est convi e de pair par le la secr taire national e et par le la pr sident e du Conseil F d ral Le rapport pose aussi quelques questions politiques pr alables Le diagnostic met clairement en vidence un foss entre le discours r gionaliste f d ra liste des Verts et leurs r alisations concr tes en termes de d veloppement organisationnel et politique l chelon r gional quelques exceptions pr s Les Verts sont ils pr ts se donner les moyens structurellement de traduire leurs discours dans les faits AUX CNIR Qu en est il aujourd hui
176. mps largissement du bureau du CNIR ou cr ation d un Bureau national association ce bureau titre consultatif des repr sentants des lus nationaux et des secr taires r gionaux implication des membres du CNIR dans des commissions th matiques pr paratoires des s ances pl ni res largissement du r le des groupes locaux 37 42 OE AG06 qxp 12 10 06 15 35 Page 39 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE OUVRIR R FORMER RASSEMBLER LES VERTS Des Verts qui sont un plus Les Verts disposent aujourd hui de vrais atouts Leurs militants sont actifs dans les luttes et dans les mou vances des propositions alternatives concr tes Leurs lus conduisent des politiques lourdes La qualification des militants s est accrue Le travail des commissions la volont de co laborer le projet vert avec les acteurs sociaux ont permis d avancer Enfin les Verts ont Dominique Voynet comme candidate l lection pr sidentielle Beaucoup d entre nous l avons soutenue lors de la pri maire et se sont reconnus dans le ton le style les contenus qu elle a propos s aux Verts Reconnue audible et d termin e elle sera dans cette campagne une des voix de notre mouvement dans toute sa diversit Elle aura besoin de notre soutien pour faire entendre nos id es veiller l attention de tous l utilit et l urgence de nos propo sitions Notre pays a besoin d un parti colo giste am
177. n 75010 Paris T l 01 53 19 53 19 courriel adhesions lesverts fr Not iasi a iaaa PEROM aiiora iiim y R daction 247 rue du Faubourg Saint Martin N E RE tas dal non sa nakuq maa do nat ee a E aaa L OURS 75010 Paris T l phone 01 53 19 53 19 Codepostal IEN fax 01 53 19 03 93 courriel vertcontact lesverts fr internet t l Ek http www lesverts fr Directeur de publication Yann Wehrling Coupon renvoyer avec votre r glement par ch que bancaire ou pos tal exclusivement Vert service abonnements BP 90 75961 Paris Cedex 20 T l 01 43 66 16 05 fax 01 43 66 78 60 aJe choisis de m abonner par pr l vement automatique Je recevrai sous peu un courrier Les textes sign s engagent leurs auteurs novembre 2006 747 pisode Directeurs de r daction Sergio Coronado et C cile Duflot R dactrice en chef G raldine Bo er Secr tariat de r daction mise en page GB Imprimerie Presse Pluriel Paris T l 01 43 66 71 53 Tirage 12 500 ex CPPAP n 0108 P11487 ISSN 0298 8089 Comit de r daction Luc Bastard Luc Blanchard Dominique Deboise Manuel Domergue Fanny Carmagnat Ont aussi collabor ce num ro Aldo Battaglia G raldine Journeux Muriel Lebacon Serge Marolleau Cyril Ondet Toufik Zarrougui 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 3 S EDITORIAL UNE AG POUR D BATTRE UNE AG POUR CONSTRUIRE ET M RIR ous trouverez dans c
178. n totale du parti autour de la campagne de Dominique Voynet l gale de celle qui a permis le succ s de la campagne de No l Mam re convocation des assises de l cologie sans exclusive aux fins de d gager des priorit s programmatiques communes pour la pr sidentielle ouverture imm diate des n gociations sur les l gislatives avec la volont d abou tir un accord pluriel convocation d une Assembl e G n rale Extraordinaire la rentr e de septembre 2007 pour voter la r forme des statuts dans un sens qui permette la constitu tion de majorit s solidaires autonomie des organisations locales pour d cider des strat gies d alliance pour les municipales et les cantonales Nous apporterons nos voix toute motion et tout e candidat e au Secr tariat National qui manifesteront la volont de s unir sur l essentiel dans la clart et la dur e PACA Ahamada Sa d Aubry Pierre Bennahmias Jean Luc Barles S bastien Bensaada Mohamed Boulay Jo lle Cocaign Bruno Darmon Mica la Di Meo Cyril Falzon Claude Grabsci Salim Laghila Mohamed Lambert Fran ois Michel Latz Arinna Leclere Claude Madrolle Christophe Mazel Philippe Mercier Marie Christine Moukomel Marianne Naya Jean Perallat Laurent Plane Guilhem Pont Bernard Raynaud Christian Riesenmey Jean Rubirola Mich le Semeriva Pierre Schuller Guillo Aela IDF Bernard Jean Felix Boudereaux Laurent Candelier Catherine
179. ns des maux qui gangr nent notre soci t dans laquelle nous sommes pour certains consid r s par un lu de Gauche comme des sous hommes La discrimination positive ou les quotas ne sont pas les solutions adapt es Seul le volontarisme politique appara t comme un moyen de faire voluer la soci t com mencer par les Verts qui doivent permettre l lection d au moins un ou une Verte issuE des anciennes colonies parmi les d put Es nouvellement luEs Cette motion n a d autres objectifs que d unir toutes les volont s au del de tous les clivages pour l application effective de la motion arc en ciel propre aux cologis tes afin de saluer demain aux l gislatives 2007 l lection de parlementaires Verts tendant une plus juste repr sentativit de la r alit de notre soci t Gap le 4 octobre 2006 Amar ASSAS Verts PACA CENTRE Marie Fran oise DUTHU ILE DE FRANCE Mathilde ALLUCHON Selma DEREUME Manuel DOMERGUE Otman DOUIDI Mathieu GLAYMANN Benjamin JOYEUX Jerome JURJEVIC Nabila KERAMANE Wajdi LIMAN Serge MAROLLEAU Marie SAMPIL Eros SANA Guillaume SECRETIN Mohammed SIK LANGUEDOC ROUSSILLON Pierre Yves DACHEUX NORD PAS DE CALAIS Fr d ric SARKTS PROVENCE ALPES COTE D AZUR Aicha ASSAS Amar ASSAS Val rie MESSAGER 59 310 NY SIWNOS S31X31 9002 THIVNITIO TIVAINJ HTISWSSSV e SLHAA SAA ANATIAL 71 o 01 oN LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE
180. ns pas que PAG se crispe sur des personnes nous voulons uvrer renforcer les Verts afin qu ils soient audibles cr dibles efficaces utiles Contact urgence ecolo ouvaton org ALSACE Germaine BARRO S Tarik BECEREN Liliane BENDER EL HASSAN Thierry BETZ Gabrielle BURGMANN Wilhelm BURGMANN Jean Christophe CAPELIER Philippe CARBIENER Emilie DISS JOUBERT Virginie FERNANDEZ Richard HAMM Yves HAUSS Jean Yves HODE Jean Paul KAUFFMANN Vincent KAYSER Michel LECOMTE Marie LOTZ Charlotte MANDEL Suzanne MASSE Oum ria MEDDAH Lila MEGAT Fr d ric MEYER Georges MEYER Anita MULLER Didier NACH BRAND Virginie OTT Mary PARDOE Line PERRIER Mich le PETER Alexandra PUPOVAC Sidi SIDIBE Hugues STOECKEL Annie STOLL Henri STOLL Samir TINE Jean VALLON AQUITAINE Fabienne ARNOLD Etiennette BARALE Dominique BAUDE Bertrand BLAZY ESCARINCHOU Alice BONDUELLE Pascal BOURGOIS Fr d ric CAMINO Philippe CAMOU Chantal COLOCOLOFE Michel COLOCOLOFE Jenofa CUISSET Michel DAVERAT Jean Paul DUCHON Jean Pierre DUFOUR Marie Claire DUPOUY Robert DUPUCH Jean Marc FERRARI Sylvie FERRARI Anne marie FREMOND Alain GIRARDI 5 Mireille GUENEE Simone GUILHEMJOUAN Angelika HERMANN Dominique HOFFMANN DUFOUR Jean JEANTET David LAMOUREUX Marie Th r se LAPOUBLADE Jean Claude LASSERE Bernard LAUGA Jean Herv LE BARS Elisabeth LONGCHAMBON Fran ois MADIN Claude MENAGER Nicole ME
181. nt t examin s Un travail important a t r alis par plu sieurs tr soriers r gionaux D autres r gions ont commenc des travaux qui sont compl ter notamment pour les informations concernant les lus d partementaux et des lus des villes Les pro bl mes mis en vidence n ont pas t tous r solus Une r solution vot e par le CNIR qui requiert l attestation pr alable des tr soriers et secr taires r gionaux et le cas ch ant du tr sorier national a permis de renforcer le processus de recouvre ment Un probl me particulier s est pos au sujet d un contentieux avec un ancien membre de la direction Un projet de rapport fond sur les l ments obtenus aupr s de la direction r gionale concer n e a t d pos au Secr tariat National en Septembre M YOGANANTHAN commissaire financier Casa DE L ET DE Zossen DES Cu APPEL CANDIDATURES LA COMMISSION NATIONALE DE PR VENTION ET DE R SOLUTION DES CONFLITS CNPRC L e CNIR des 16 et 17 septembre dernier a lanc un appel candidatures pour la CNPRC pour que cette commission puisse rapidement commencer travailler La CNPRC a t cr e fin 2004 pour mettre en uvre des m tho des non violentes de r solution des conflits entre Verts et diffuser la formation et l information sur ces m thodes l int rieur du parti C est une innovation importante coh rente avec nos valeurs fondamentales int gr e dans notr
182. nt la prise en compte de toutes les options pro pos es ils n incitent pas la caricature et aux anath mes l exclusion ils sont pro ches de nos valeurs Diff rents groupes infra r gionaux utilisent d j les scrutins pr f rentiels cette motion a pour objet de promouvoir leur usage dans le mouvement Il est choisi de privil gier la m thode Borda modifi car c est celle qui favorise le plus la recherche de consensus et la cons truction collective de d cision qui limite au maximum les effets pervers de tout mode de scrutin et qui permet dans tous les cas de trancher Avec les votes pr f rentiels les Verts exp ri mentent pour eux m mes ce qu ils souhai tent proposer la soci t une organisation pacifi e au b n fice de chacun et de la col lectivit Cette motion vise aussi r former la pro c dure du r f rendum d initiative mili tante Lorsqu un groupe propose au mou vement un r f rendum les adh rents ne peuvent pas amender le projet ils doivent simplement se prononcer sur ce qui leur est propos Cette occasion de consulter les militants pourrait pourtant tre saisie pour enrichir collectivement le choix Cette motion pose le cadre g n rale d une modi fication de proc dure dont les d tails seront fix s par le CNIR afin de laisser ouverte la discussion Ce dispositif permet de faire mieux vivre la d mocratie participative interne et donne plus de chances d expression la
183. o RAKEDJIAN Alain ROCH David ROUSSEAU Marc SAGETAT G rard SAUZET Roland SMOLAR Fran ois SOLTIC Roger Pierre SORET Michel THEIL Fran ois WOLE LANGUEDOC ROUSSILLON Pierre Yves DACHEUX Benoit GARREC Corinne PASQUET Pascal PEUCH Jacques PEYROT Jean Marc PHILIBERT Thibault PHILIBERT LIMOUSIN Daniel DESMAISONS Delphine KREUSLER LANDRE LORRAINE Nelly BLAQUE Monteserrat BURGER Pierre CHRISTOPHE Marie H l ne JEANDIN Evelyne LECLERCQ Philippe LECLERCQ Dominique MAUVAIS Jean luc MAZZILLI Claude NOEL Claude PETITDIDIER Jocelyne PRUDHON Oscar SCROCCARO 53 310 NV SIWNOS 531 3 9002 THVNITIO TIVAAINJ IJTAWASSY e SLHAA SAA ANATIAL 71 e 01 N LATA 51 54 _OH AG06 qxp 12 10 06 15 44 Page 54 u MOTIONS D ORIENTATION STRATEGIQUE 0 gt 3 P ALTER EKOLO L ECOLOGIE POLITIQUE MOBILISEE z IMPOSER L ECOLOGIE DE TRANSF ORMATI ON EN JOUANT SUR LES ALLIANCES A GAUCHE N N E X MIDI PYR N ES POITOU CHARENTES Christian LAUJAC Isabelle Fr d ric ALAJARIN Guy BAQUE Michele LEMAITRE LELIEVRE Richard LOIRET Chrystel CHATAIGNER Sophie H liane LONGERE Benoist HUBERT RIGON Michel PROVENCE ALPES MAGNAT Chantal LATTUGA Dominique LIOT Jean C TE D AZUR MALAUSSENA Elodie S Jacques MARTINEZ Jean Claude Mohamed ABUKAR Olivier MALAUSSENA Bernard Thierry MARTY Pierre NO L Yves AGULLO Pascal AROD Samira MANTSOUNGA Ernest ORTEGA Josiane PATENTREGER AROD Mire
184. ois FERRAND Christian GARLENC David GOURBEAULT Martial ET OUVERTS JOURDAN Gabriele LANKES Arnaud PAPIN Silvain PASTOR Andr PIZIO Anne Marie QUENISSET Genevieve THIEBAUT Didier VEYRON LIMOUSIN Nicolas BERTHON Pierrette BIDON Cyril COGNERAS Bertrand DAVIOT Ghislaine JEANNOT PAGES Michel LE ROUX Philippe MARECHAL Dominique NORMAND Roger NORMAND Murriel PADOVANI LORIOUX Colette TEILLOUT LORRAINE Brigitte LEBLAN MIDI PYR N ES Marie Pierre BES V ronique GALINIER Catherine GREZE Nicolas MAIGNE Antoine MAURICE Didier Claude ROD Dominique SUTRA Bernard YVERT NORD PAS DE CALAIS Laura ALLAERT Abdellaziz AREZKT Marie Pierre BRESSON Ronald CHARBAUT Dominique COLICHE Bernard DE VEYLDER Fran ois DUCROQUET Christophe GRAS Benoit GUITTET Yannick LAVENNE Jean Pierre MISPELON Christian ROUANET C line SCAVENNEC Slimane TIR PAYS DE LA LOIRE Alexis BRAUD Jean Michel BRAUD Alban CORMERAIS Bernard CROZEL Patricia DUPRE CORMERAIS Jean Christophe GAVALLET Ga l LE CORROLLER Yves OLLIVIER Michel PERRIER PICARDIE Benoit ABOT Max LELEU 6 POITOU CHARENTES Odette BRACH Veronique MASSONNEAU Chantal NOCQUET Robert ROCHAUD PROVENCE ALPES C TE D AZUR Marie Christine BORDIN Robert BORDIN Didier CHEREL Bernard DERBEZ Patrick GARNON Fran ois LABANDE Marie Paule LOLO Michel OLIVIER RH NES ALPES Henri BALMAIN Bruno BARRIQUAND Olivier BERTR
185. ompagner d une lisibilit et une cr dibilit politiques fortes aupr s de notre lectorat Ainsi nous proposerons la cr ation de Comit s citoyens de suivi de l ac tion gouvernementale qui permet tront de s assurer du respect des engagements pris Au lendemain des l gislatives les Verts proposeront des rencontres d centralis es puis nationales de l cologie et de la d mocratie locale permettant la construction de convergences solidaires avec de nom breuses forces sociales Cette nouvelle strat gie rendra notre action plus coh rente et donc plus cr dible Elle nous aidera mener des listes autonomes ouvertes lors des prochaines lections municipales qui seront le moment fort de notre redressement Privil gier l ouverture du parti Effectifs stagnants lectorat volatile institutionnalisation absence de stra t gie claire loignement des couches populaires fonctionnement bureau cratique et inefficace notre parti est en crise Cette crise n est pas seule ment due une mauvaise gouver nance ou des statuts inadapt s Elle est le produit d une culture verte nombriliste privil giant les enjeux internes o il s agit de trancher d a bord un d bat entre soi pour ensuite s adresser la population Plut t que 15 20 01 1006 op 12 10 06 15 30 Page 19 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE EP ECOLOGIE POPULAIRE UNE ENERGIE NOUVELLE POUR L OUVERTURE ET LA T
186. on cologique de l conomie en particulier les cr ations d emplois dans les cofili res le commerce quitable l conomie sociale et soli daire Mettons en valeur l action des lus verts qui font preuve d innova tion aux niveaux europ en r gional et local 2 Rassembler les cologistes Les Verts doivent favoriser la diffu sion des id es et pratiques cologistes dans la soci t comme parti en entretenant des relations soutenues avec des forma tions et personnalit s qui partagent leurs objectifs avec leurs lus dans les politiques publiques pour favoriser l mergence de corps interm diaires L cologie politique doit tre forte et rassembl e Il faut r unir individus et groupes au sein d un m me parti Les Verts ont la responsabilit de proposer des Assises de l cologie ouvertes toutes celles et ceux qui se battent pour la plan te sans exclusive mais en tant clair sur les objectifs atteindre s unir pour plus d efficacit dans la diversit L mergence de personnalit s qui veulent r orienter les politiques est une chance A nous de faire en sorte qu elles soient compl mentaires avec le r seau militant et lu de l cologie politique que les Verts construisent depuis plus de 20 ans 3 Un parti la hauteur des enjeux La synth se de Reims a marqu une volont d quilibre entre des textes proposant des orientations diff ren tes Il en est
187. on en inventant un nouveau vivre ensem ble respectueux de la libert de cons cience et de la diversit des individus de leurs histoires de leurs cultures lutter pour les droits des femmes contre le temps partiel impos et pour une loi cadre contre les violen ces lutter contre les relents du colonia lisme en France et au niveau interna tional Fran afrique recolonisation du monde sous h g monie US notamment par les principes et les m thodes de la non violence et Pin tervention civile de paix s investir dans le mouvement alter mondialiste en s inscrivant dans le cadre des forums sociaux comme alter europ en en demandant que le Parlement europ en lu en en 2009 soit constituant 17 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAHA SAA ANATIAL VTI o 01 oN LATA 15 20 _OA AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 30 Page 18 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 18 EP ECOLOGIE POPULAIRE UNE ENERGIE NOUVELLE POUR L OUVERTURE ET LA TRANSFORMATION d velopper des sph res d autono mie d j mergentes de l conomie sociale et solidaire d mocratiser les institutions poli tiques mandat unique proportion nelle vote des r sidents trangers parit repr sentativit sociolo gique d velopper les outils de d mocratie participative Pour r quilibrer la g
188. on de valeur et non la seule exploi tation de la force de travail Il y a une nouvelle division du travail avec une externalisation vers le Sud des activit s intensives en travail peu qualifi et une sp cialisation du Nord dans les activit s cr atives intellectuelles relationnelles Des in galit s internationales et nationales aggrav es La fin du compromis fordien d une r partition quitable de la valeur ajout e la fin de la guerre froide o chaque bloc devait r duire les tensions sociales pour viter des coups d tat la constitution d une classe sociale globalis e fort pou voir d achat et consommation homo g ne ont aggrav les in galit s Nord Sud mais surtout intra nationales Dans les pays mergents Chine Br sil Afrique du Sud une classe sociale favoris e se cr e peu distincte de celle du Nord Avec la globalisation publicitaire nous assistons une globalisation des d sirs consum ristes et une g n ralisation homog n isation de la soci t de consommation Hausse des tensions sociales et soci t s sous contr le Les crises cologiques touchent prioritai rement les plus pauvres La s cheresse la mont e des eaux poussent l migra tion ainsi que les images d un occident moderne Face cela il y a une discipli narisation interne mont e des pouvoirs de police et de justice remplacement du wealthfare par le workfare criminalisa tion des d viances socia
189. onal des Pyr n es c te landaise elle s illustre malheu reusement aussi par des projets relevant d une autre poque d une politique pro ductiviste et nergivore autoroutes Bordeaux Pau et trans Navarraise contournement autoroutier de Bordeaux usine bio thanol base de ma s du Lacq laser MegaJoule barrage de Charlas L Aquitaine souffre galement de d s quilibres territoriaux croissants D un c t se d veloppent des territoires lt d ex cellence conomique o la densit de population ne cesse de cro tre Libourne Bordeaux Arcachon c te Basque met tant en danger les espaces naturels prot g s De l autre c t coexistent des territoires ruraux et urbains quartiers en rel gation en d crochement o s accu mulent les handicaps d sertification vieillissement ch mage LAquitaine l image de notre pays est donc confront e une triple urgence envi ronnementale sociale et d mocratique Avec un enjeu majeur de soci t savoir que les in galit s cologiques s ajoutent toujours aux in galit s socio conomiques Le congr s Bordeaux pr s avoir organis la soir e nationale de Soutien des Faucheurs Volontaires d OCM et les tats G n reux des Banlieues au printemps dernier les verts Aquitaine re oivent l Assembl e F d rale des Verts cette fin d automne Le choix de Bordeaux ville d accueil du Congr s 2006 tape importante de la v
190. ors du r f rendum et les mobilisations autour de RESF en sont la preuve Au niveau international l hyperpuis sance am ricaine pr tend apporter la d mocratie et le d veloppement par la guerre en mettant en uvre la doctrine du choc des civilisations Afghanistan Irak Palestine et Liban autant d checs pour une politique qui d veloppe un apartheid social entre zones riches et pauvres au Nord et au Sud Les crises environnementales li es l exploitation sans limites des res sources de la plan te atteignent d s ormais un seuil de non retour changement climatique hausse du prix de l nergie destruction de la biodiversit catastrophique pour l existence m me de l humanit Les premi res victimes sont les classes populaires ouvriers victimes de a miante quartiers et zones rurales soumis aux pollutions et au bruit aux risques naturels et industriels aux maladies cancer saturnismes la mal bouffe pays du Sud dont les ressources sont pill es par les soci t s multinationales et transform s en poubelle du Nord Crises sociales avec aggravation du ch mage et de la pr carit et crises environnementales sont les deux faces d une m me r alit nourrissant l mergence de mouvements sociaux et d un mouve ment altermondialiste expressions de la r sistance au capitalisme Il est temps de relever ces d fis et d influencer durablement les poli tiques publiques au del
191. os soci t s en terme social conomique et d mocratique Nous devons travailler Renouveler le pacte r publicain pour passer de l galit de droit P galit de fait Promouvoir une soci t multicultu relle qui respecte la diversit des modes de vie des identit s et des religions dans le cadre dune la cit ouverte Ni int grismes religieux ni sectarisme r publicain Combattre toutes les discrimina tions de genre d ge d orientation sexuelle territoriales ethniques en co laboration avec les acteurs de ces combats eux m mes Lutter contre l ins curit sociale et les injustices environnementales qui frappent d abord les plus d munis L cologie politique est un outil d mancipation contre toutes les formes d in galit s Des mesures significati 31 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL VTI o 01 oN LATA 31 36_OD AG06 axp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 34 Page 32 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 32 AUDACES UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE MAIS IL EST DANS CELUI CI ELUARD ves devront tre prises notamment contre la flexibilit le d mant le ment des retraites et des 35 heures qui restent consolider Rompre la logique du tout s curi taire en r tablissant les libert s publiques Dans le cadre d
192. ositions pour une Vle R publique dans laquelle les institutions seraient profond ment modifi es et d mocratis es de nou veaux modes de scrutins pour une meilleure repr sentation de la soci t notamment par le Parlement avec l ins cription de la proportionnelle dans la Constitution changer de Constitution en instaurant un r gime parlementaire primo minist riel et en finir avec le pr sidentia lisme et l irresponsabilit pr sidentielle limiter deux les mandats cons cutifs exer c s par un e m me titulaire limiter cinq ans la dur e de tous les mandats lectifs tablir une v ritable parit hommes femmes aussi bien sur les listes que sur les t tes de listes les postes d adjoint e s et de vice pr sident e s dans les collectivit s loca les de ministres d velopper la d mocratie participative tous les niveaux Bien s r ces mesures doivent aller de pair avec un statut de l lu e une indemnisa tion juste une vraie protection sociale et la garantie de pouvoir r int grer son emploi l issue de son mandat Dans leur programme les Verts proposent galement de limiter le cumul des man dats Le CNIR de juin 2006 qui a valid le pro gramme a confirm cette orientation En effet qui peut croire qu une personne peut se consacrer pleinement deux man dats lectifs Le mandat unique doit tre la r gle d s maintenant et une refonte compl te et imp rative de nos institutions n
193. ots comptent en politique Si Les Verts doivent se doter d un ex cutif lisible et moins nombreux que l actuel col l ge ex cutif caract ris par une plus grande clart dans les fonctions de ses membres et tre investi d une l gitimit interne plus forte A ce titre un Bureau national est cr devenant l organe de direction du parti Le la secr taire national e sera lu e par le congr s avec un programme une majorit qualifi e Il elle forme avec six autres verts le BN Le Conseil f d ral se substituera au Cnir avec le qualificatif f d ral indiquant plus clairement encore l option politique et organisationnelle des Verts Son sa pr sident e du CF est aid e par un Bureau C est bien s r le Pr sident et non le BN qui tablit l ordre du jour du CF en concertation avec le BN L Assembl e g n rale ou congr s des Verts devient l Assembl e f d rale symbolisant l orientation r gionaliste des Verts Les secr taires r gionaux verront leurs comp tences renforcer Les commissions permanentes seront rat tach es au Conseil F d ral Elles pourront appel des experts ext rieurs 3 Une nouvelle organisation du fonctionnement des Verts Une Charte de l thique sera mise en place Le droit des minorit s sera respect Les Verts doivent se doter de services logis tiques d outils performants dans les domaines de la gestion de la documenta tion de l a
194. p 12 euros Et toi tu es fran ais ou tranger la nationalit la nation et l identit Autrement junior 2005 47 p 7 95 euros Le grand livre des activit s nature Fleurus 2006 194 p 15 euros Jardine bio cest rigolo Eric Pr dine Terre Vivante 68 p 18 euros VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 Catherine Stern LE D VELOPPEMENT DURABLE PETITS PAS Illustrations de P n lape Paicheler 26 27 30 _OC AG06 qxp 12 10 06 15 32 Page 27 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE VERTS ET FORTS FOREVER PRIM VERT AUTONOMIE ET LE CONTRAT es citoyens sont de plus en plus sensibles aux enjeux environnementaux Ils sont de plus en plus conscients de l ur gence agir Pourtant les Verts qui sont porteurs de ces enjeux ne sont pas choisis par les lecteurs A force de coller au discours de la Gauche radicale et d accompagner les politiques de la Gauche tradition nelle renoncer pratiquer la poli tique autrement nous perdons notre attractivit Il faut que cela change L cologie politique une force politique part enti re Notre constat est simple le mode de d veloppement de nos soci t s occi dentales n est pas g n ralisable Nous pensons au contraire que les pays riches doivent montrer l exemple en revoyant leur mod le de d veloppe ment et en apprenant vivre autre ment consommer moins mais mieux vivre en
195. participative d centralis e g n ralis e Ce plan sera financ par un meilleur partage des gains de productivit d pla ant de 10 le partage de la valeur ajout e notamment gr ce l instauration d un taux d imposition pro gressif des b n fices de toutes les entreprises Ces gains seront affect s de mani re gale la s curisation de l emploi salari la diminution des 10 du temps de travail salari et une augmentation de 10 du pouvoir d achat des salari s 5 la restauration et au d veloppement des services publics la promotion du tiers secteur plus sp cialement pour le ravaudage du tissu social dans les banlieues d favoris es et l manci pation des femmes HAUTE NORMANDIE Guillaume BLAVETTE ILE DE FRANCE Francine BAVAY Francis BENNE Catherine BERNARD Jean BORSENBERGER J r me DESQUILBET Bernard GUIBERT Gilles LEMAIRE Corinne SAVARY Fran ois SOLTIC Michel THEIL LANGUEDOC ROUSSILLON Fran oise ALAMARTINE Pierre Yves DACHEUX Pascal PEUCH Jean Marc PHILIBERT Linda ZREHEN LORRAINE Philippe LECLERCQ MIDI PYR N ES Fran ois PAUMIER Jean Charles SUTRA NORD PAS DE CALAIS Andr VANDERLYNDEN PAYS DE LA LOIRE Jean Philippe PARMANTIER PROVENCE ALPES C TE D AZUR H liane LONGERE RHONES ALPES Nadim GHODBANE Didier LE BER Micha l LEIBMAN Jean Pierre MEYER REUNION Fran oise HAMEL Jean Marc TAGLIAFERRI 65 ILOA NY SIWNO
196. politiques l gitimes de Pen semble de la mouvance cologiste des militants de la protection de la faune et de la flore de la d crois sance de l conomie sociale et soli daire D centralis es les Assises de l cologie politique d marreront apr s la pr sidentielle A oppos d un v nement m diatique ponc tuel elles r affirmeront sur la dur e la globalit de l cologie politique oppos e la fois au n olib ralisme et au productivisme Nous devons poursuivre la clarifica tion et la confrontation avec les asso ciations syndicats partis avec les quels nous avons des convergences mais aussi des divergences comme nous l avons fait sur la privatisation d EDE o nous avons d fendu un service public de l nergie non nucl aire Dans tous nos combats nous devons porter nos valeurs co logistes et notre volont d agir dans les institutions Co laboration Sortir du nucl aire d fendre la bio diversit une nouvelle politique de l immigration et de l accueil pro mouvoir un tiers secteur alternatif au 47 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL V I e 01 oN LATA 47 50_OG AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 41 Page 48 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 48 L COLOGIE L ESPOIR EN ACTES POUR DES VERTS AUTONOMES RADICAUX secteur concurren
197. pre avec les slo gans faciles Renouer avec la t nacit militante Changer la Constitution R enchanter la soci t Un programme pour deux ann es des Verts et plus http lesverts alter ekolo info jerome desquilbet org ALSACE Daniel PAPAIL Michel WEISSENBACHER AQUITAINE Olivier GERON Ren LASSALLE AUVERGNE Dominique BLONDEAU Mich le BOUGET Fran ois CIESIELSKT Dominique DELVINCOURT Katherine DESCHERE Jean Michel DUCLOS Jean Claude GUILLOU Jean Louis LELEU BASSE NORMANDIE Alain BERTIN Michel LE MOUX Fran ois MAILLARD BOURGOGNE Pierrick VAUGON BRETAGNE Armand BARTH Michel BLIN Jean Jacques FAURE G rard GUEN Jean Yves LE HOUEZEC Catherine LE TREOU Jean Pierre MACE Gilles MARECHAL Yves SAUVAGE CENTRE G rard BRETEAUX Willy PROUST CHAMPAGNE ARDENNES Lorenzo VITALE FRANCHE COMT Jean Louis PERRARD Louis PINSARD 6 ILE DE FRANCE Francine BAVAY Francis BENNE Francis BIGUEREAU Xavier BLOT Jean BORSENBERGER R gis BRASSEUR Armand BUESSARD No l BURCH Daniel BURETTE Jean Pierre CHANE ALUNE Monique CICCODICOLA Jean Pierre DACHEUX Carmelina DE PABLO J r me DESQUILBET Madeleine ESTRYN BEHAR Nicole FRYDMAN Boris GABRIELS Jean Michel GOGNET Ziad GOUDJIL Bernard GUIBERT Erik HEDREUL Fabienne LAURENT C drick LENGLET Dominique LUANG PRASEUTH Philippe MIRZAYAN Gilles MONSILLON Marie Catherine POIRIER Jean Paul PONTOIZEAU Brun
198. projet tourn vers la venir elle doit r volutionner son rap port au mod le actuel de d veloppe ment L anti productivisme qui se fonde sur une d croissance de l em preinte cologique trouve ainsi sa v ritable identit politique et les Verts avec L cologie politique doit fonder une nouvelle vision du Monde La question commence se poser dans la soci t La mobilisation citoyenne la recher che d unit est l qui peut faire vo luer les militants et les partis de la gauche anti lib rale qui sont encore trop enferm s dans leurs certitudes ou habitudes productivistes C est la condition sine qua non pour faire bouger toute la gauche en emp chant le PS de se cacher derri re ses alli s historiques pour ne rien faire dans une r signation sociale lib rale l or dre de la mondialisation conomique gaspilleuse de nos vies et de notre environnement La perspective d une campagne com mune unitaire est l espoir d un r quilibrage gauche La conver gence de citoyens et d adh rents de partis mobilis s pourrait permettre de cr er la dynamique n cessaire un bon score anti lib ral pour autant que cette dynamique soit incarn e par un candidat qui inscrive le d bat politique pr sidentiel en France dans le contexte mondial Mais c est le pari que les Verts Alter Ekolo font tout en travaillant sa r ussite par un engagement tous les niveaux 51 310 NY SIWNOS S31X31 9002 TH
199. que de travail en commun n e des batailles contre la d molition sociale la guerre en Irak le r chauffement climatique des initiatives locales de forums sociaux m lant militants d associa tions de syndicats de partis poli tiques a perdur Elle cr e une situa tion politique in dite dont les Verts se d sint ressent trop la rencontre d associations et de partis dans les m mes structures Nous voulons plus de Verts investis dans les r seaux d action unitaire hier Collectifs du 29 mai aujourd hui Collec tifs d initiative unitaire et popu laire gt demain Les Verts veulent tre acteurs ils doivent arr ter de se comporter en spectateurs Les Verts vont ils continuer regar der passer les trains des mobilisations populaires Nous disons vouloir co laborer avec la soci t civile Avec ceux qui de fait ne nous retrouvent pas l o nous devrions tre leurs c t s Notre congr s va se tenir un moment o il ne faut pas se le cacher agir en cologistes mobilis s pour faire gagner la gauche en 2007 comporte un certain nombre de risques Nous ne pensons pas qu il faille attendre d tre certains de tout ma triser pour assumer nos responsa 5 bilit s car les citoyens nous repro cheraient encore nos h sitations avec raison Les Verts sont gauche ils doi vent tre le moteur de son renou veau Si la gauche veut r ellement mettre en chantier un
200. quelque chose de surr aliste pour un tr sorier de faire son propre bilan D autant plus que l ordre alphab tique ne favorise gu re l attention apr s la lecture je suppose assidue des 12 bilans pr c dents Le bilan le moins personnel est sans doute celui du tr sorier tant il est vrai que le budget qu il g re est avant tout un budget d battu et vot par l ensemble du parti Que lui reste t il alors Tenir un discours empreint d une profonde r flexion sur les finan ces en jonglant entre la minimisation des co ts et l optimisation des r sultats Pas tr s captivant Choisir la facilit pr senter une colonne d bit une colonne cr dit pour arriver bien videmment un bilan quilibr Puisqu il faut sacrifier la liste des points marquants pr sentation plus p dagogique d coupage par grande famille suivi analytique pour plus de lisibilit nouvelle gestion des adh sions avec les r gions migration informatique progressive concer tations r guli res avec les tr soriers secr taires r gionaux la com mission finance prise en compte de d penses exceptionnelles provisions r int gration de r gions dans la consolidation Vienne PACA Cette liste pourrait continuer mais comme beaucoup d analystes financiers d aujourd hui at envie de maacher d autres le ments Ceux qui font la richesse d une organisation et qui ne sont pas toujours inscrites au bilan La
201. ques visant insuf fler une nouvelle vie au contrat d mocra tique Tout comme Les Verts ils revendi quent la d mocratie participative la fois comme objectif une d mocratie plus r elle et comme m thode des outils pour pallier les carences de la d mocratie repr sentative Parmi les partis politiques fran ais Les Verts sont parmi ceux qui se pr occupent le plus de la faillite d mocratique En interne nous ten tons de nous mettre en conformit avec nos propositions non cumul parit proportion nelle vote des r sidents trangers Cela ne suffit pas veiller l envie de participer la mise en oeuvre de ces propositions dans la sph re publique tarde venir et les hic proc duraux des Verts ont plut t tendance mettre en lumi re nos insuffisances qu rap peler notre souci de d mocratie interne Contribuons faire rena tre l envie de par ticiper la prise de d cision politique Faisons des Verts un creuset de la d mocra tie Facilitons l exp rimentation et quand elle a d j lieu tirage au sort budgets par ticipatifs r solution de conflits par la m diation diffusons ces exp riences afin d encourager le brassage des id es et l apprentissage par la pratique en interne comme avec des organisations et personnes ext rieures aux Verts Une premi re piste les syst mes de vote consensuels Pour faire suite la r flexion engag e aux Journ es d t Coutances no
202. r conomie et social pour notre programme que j ai anim en compagnie de Pascal Canfin Cet exercice mairait pu aller son terme sans l engagement important de la commission conomie anim e d abord par Bernard Guibert puis par Pascal Canfin et Luc Bastard et aussi avec l clairage par lementaire de Martine Billard Nous avons galent dans le cadre de la co laboration rencontr les syndicats CGT CFDT UNSA CFTC SUD A Deux conventions l une sur l conomie social et solidaire Nantes anim e par Jean Philippe Magnen et une autre Lille sur les services publics anim e par Pascal Canfin et Claude Coquelle Sergio Coronado Porte parole national communication externe ne fois l lection pass e on se rend vite l vidence la parole des Verts est port e autant par nos parlementai res nos anciens ministres parfois m me nos anciens porte parole que par les porte parole en fonction Le fonctionnement m diatique de la politique a une logique inverse celle affich e par Verts elle privil gie la reconnaissance institutionnelle et la l gitimit lectorale la dur e dans le paysage politique est un atout Et puis porte parole ce sont d abord les figures impos es Les communiqu s que les Verts voudraient longs et argument s comme un programme de gouvernement et que les journalistes ne reprennent pas car ils les pr f rent courts clairs et concrets en phase avec un suivi pr cis et quotidien
203. r formisme radical prouvent que nous sommes la fois un parti de lutte et de gouver nement et que nous pouvons relever ce d fi Le score de la pr sidentielle sera celui de tous les Verts nous en serons toutes et tous comptables nous devons soutenir activement notre candidate pour mener une campagne ouverte et audacieuse Il est cependant indispensable de d connecter les enjeux du congr s de ceux de la campagne pr siden tielle un congr s c est le choix dune orientation politique claire de r formes et d quipespour les porter pendant 2 ans M me si la synth se de Reims a permis l apaisement elle n tait qu une tape et ma pu d gager des lignes politiques lisibles Des r voltes urbaines de l automne 2005 qui ont montr la difficult de la France int grer la diversit sociale et culturelle qui marque ses banlieues et ses quartiers rel gu s la crise nerg tique nous sommes aujourd hui confront s deux ques tions majeures et intimement li es la crise sociale et la crise environne mentale La gravit et la r p tition de ces v nements ne permettent plus de les consid rer comme des crises mais comme les l ments visibles dune mutation profonde Notre responsabilit aujourd hui nest donc plus d alerter sur les causes ou les effets mais de construire les r ponses en terme de protection de la plan te et des individus Face au ch mage et la pr car
204. r sidentielle et nos candidats aux L gislatives sur le th me du Pouvoir de vivre une plan te pour tous protection de l environnement et de la biodiversit conomie et partage des ressources am nagement cologique du terri toire lutte contre le r chauffement climatique une activit pour tous un revenu social en contrepartie d une activit reconnue un habitat pour tous un effort massif en faveur du logement social et d conomies d nergies et d eau des moyens de d placement pour tous d veloppement des alternatives au tout voiture et au tout camion une v ritable politique de coop ra tion Nord Sud coop ration d cen tralis e sans laquelle il n est pas de s curit possible 27 310 NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO IVAINAIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL 71 o 01 N LATA 27 30 _OC AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 32 Page 28 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 28 VERTS ET FORTS FOREVER PRIM VERT L AUTONOMIE ET LE CONTRAT Rassembler les cologistes Notre priorit est l environnement car sa pr servation et sa restauration sont la condition du maintien de la vie sur notre plan te Il n y a pas de priorit plus pr gnante Pour pr ve nir et gu rir les destructions environ nementales nous d fendons un projet de transformation radicale de la Soci t
205. r sult un ex cutif affai bli au fonctionnement chaotique sans ligne politique Certains de ses membres ont nourri des initiatives contre les d cisions des Verts TCE pr sidentielle avec des appels r cur rents rejoindre la n buleuse de la gauche radicale Cette fragilisation a port pr judice notre cr dibilit et donc notre autonomie Les n go ciations sur les l gislatives n ont pu tre men es efficacement L autonomie contractuelle est la seule strat gie politique durable Notre autonomie politique passe par notre ind pendance de parole de projet de d cision Or sans la pro portionnelle il n existe ni parit effec tive ni repr sentation de la diversit de la soci t ni ind pendance vis vis des autres formations politiques En 2007 les Verts veulent un contrat gagnant gagnant pour faire gagner l cologie au sein d une gauche renouvel e Cela implique la signa ture d engagements pr cis sur des points incontournables refus de l EPR interdiction des OGM en plein champ proportionnelle Palle mande la loi devra tre d pos e durant cette l gislature et vot e dans les 6 premiers mois de la suivante Pour les l gislatives un accord lec toral bas sur un syst me mixte per mettra de pr senter d s le premier 5 tour des candidats verts autonomes et des candidats d union des verts et de la gauche avec pour objectif d ob tenir un groupe parlemen
206. ralis e d cide 1 de ne pas poursuivre les discussions pro grammatiques et lectorales avec le Parti Socialiste 2 de pr senter des candidat e s sur toutes les circonscriptions 3 de ne donner aucune consigne de vote au second tour de la pr sidentielle et des l gislatives l exclusion d ventuels appels faire barrage au Front National ou des candidats ant rieurement condamn s pour Corruption L Assembl e F d rale mandate le CNIR pour proposer par r f rendum aux adh rent e s d ventuelles nouvelles proposi 5 tions allant dans le sens d une prise en compte par nos partenaires d une volont de commerce politique quitable AQUITAINE Dominique REFFAY AUVERGNE Olivier CLAVAUD BOURGOGNE Christophe BOUDET Genevi ve GIRAULT BRETAGNE Didier CHAPELLON Roland DEBUYSSCHER Roger GUILLOPE Elisabeth HASCOET Philippe LAPORTE Jean Pierre LE BARS Yves LEVREL Jean MASSE Marc MILLOT Fr d ric MULHAUSER Dominique RAMARD Dominique TOURET Alain UGUEN CENTRE Dominique BRANCHER HAUTE NORMANDIE David CORMAND Alain DURAND Martine ROUZAUD ILE DE FRANCE Mich le GASPALOU Jean Baptiste LOBEL Christian SCHACH LANGUEDOC ROUSSILLON Jean Claude BIAU Laurent DUPONT Fran ois FERRAND Silvain PASTOR LORRAINE Mich le CHIAJESE Roger CHIAJESE NORD PAS DE CALAIS Nasser ACHOUR Jean Marie ALLAIN Dominique ISSELE POITOU CHARENTES Madeleine CLAUSTRE NAHON Laurent RATA
207. rchivage et d un pool Nouvelles technologies de l information et de la com munication L chelon r gional devrait tre renforc en infrastructure et en logistique Les conditions de succ s d une r forme Les porteurs de cette motion ponctuelle demandent tous les porteurs des motions d orientation les futurs majoritaires et minoritaires issus de l AG de d cembre 5 2006 de s engager sur la proc dure de r forme et sur un calendrier pr cis sur les 6 premiers mois de l ann e 2007 Sur proposition du CE la Commission nationale de la R forme sera lue et man dat e par le CNIR Une premi re d signation des instances nouvelle mouture par les militants pourra se faire l automne 2007 Le d fi fondamental pour Les Verts ce n est pas de lt mettre un frein l immobi lisme Les Verts sont tout sauf immobiles Ils bougent m me beaucoup Le probl me est qu ils d pensent norm ment d nergie bouger mais en ordre dispers et dans des directions diverses et vari es comme des lectrons autour de leur noyau qui se neutralisent mutuellement Les Verts selon eux devaient continuer se mettre en mouvement mais dor navant dans la m me direction 1 Comme c est le cas aujourd hui avec le CE Cette r gle actuelle art 4 11 de l agr ment int rieur contribue entre autres choses vider le CNIR actuel de sa substance AQUITAINE Narcisse KRAMAYENWODE Cl ment
208. re avec le parti socialiste pour porter l utopie cologiste et solidaire Une nouvelle gauche est cons truire Lenjeu est clair Le projet cologiste est forc ment fait d interactions de tensions contra dictoires qui peuvent tre f condes si nous savons les g rer ensemble Cette d marche suppose des consensus r affirmer sur les objectifs strat giques des tensions g rer entre la soci t et les institutions la r forme progressive et la n cessaire radicalit des arti culations trouver entre l environnement P conomique et le social des compl mentarit s et des quilibres trouver et des modes de fonctionnement de d cision et d interven tion renouvel s C est pourquoi revoir la configuration du parti impose Tout cela suppose la cons truction d une nouvelle culture commune d organisation de communication d infor mation et de formation militante et de d cision d un parti soci t 2 Vers un nouveau parti vert Une simple r forme ne r soudra pas elle seule les probl mes des Verts Une r forme n a de sens que si elle permet aux PLUS UTILE Verts de mieux fonctionner d mocratie efficacit convivialit La nouvelle struc ture doit tre reconnue l gitime par une tr s large proportion des Verts Les Verts doivent donner un signe tr s fort marquant une rupture entre lavant et Pa pr s r forme pour rendre la r forme lisible politiquement car les m
209. ri pour aboutir une articulation har monieuse du droit l emploi salari et de celui la peine activit Il sera cr un v ritable service public de l emploi de l insertion et de la formation Les moyens de contr le inspection du tra vail notamment seront renforc s Priorit sera donn e au sauvetage de l h pital public de la pr vention sanitaire de l cole publique des universit s et de la recherche Les services publics seront prot g s de la concurrence Leur charte sera d finie en fonction de l galit de tous et notamment de l galit d acc s Les biens publics environnementaux de l eau des d chets de l nergie des cono mies d nergie des transports notamment des transports publics urbains seront l faut endiguer les d bordements du e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES LE DOUBLE ENDIGUEMENT DU CAPITALISME d privatis s Leur gestion pourra tre confi e soit des services publics soit des entreprises sans but lucratif du tiers secteur Le droit de propri t fonci re et les imp ts fonciers correspondants seront r form s pour permettre de lutter contre la sp cula tion immobili re en ville et pour diminuer l empreinte cologique en milieu rural On lancera des d bats publics conf rences de consensus sous l gide du Parlement pour r former le statut de la propri t fonci re en envisageant la socialisation des sols red finir les responsabilit
210. rientation politique du CNIR auquel seront associ s au moins titre consulta tif les secr taires et ou pr sidents r gio naux cr ation d une instance interm diaire entre le CNIR et le Coll ge ex cutif ou largissement des comp tences de la com position et des moyens du Bureau du CNIR aux travaux duquel pourront tre associ s ponctuellement ou non les d l gu s des lus nationaux et europ ens des groupes Verts dans les conseils r gionaux des structures r gionales Vertes et des com missions th matiques nationales L adoption de la pr sente motion par l Assembl e g n rale constituera pour le Coll ge ex cutif lu Bordeaux la feuille de route de la r forme ALSACE Jacques FERNIQUE AQUITAINE Monique DE MARCO AUVERGNE Danielle AUROI BASSE NORMANDIE Rudy L ORPHELIN Micka l MARIE BRETAGNE Jacques CAPLAT Jacqueline GOUELOU CAPLAT CENTRE Dominique RONCERAY CHAMPAGNE ARDENNES St phane JOLY Thierry WIPPLER HAUTE NORMANDIE Claude TALEB ILE DE FRANCE Isabelle AGIER CABANES Christophe BONAZZI Laurent BOUDEREAUX Patrick CHAIMOVITCH Franck CONTAT Patrick FRANJOU Elisabeth LOICHOT LANGUEDOC ROUSSILLON Mich le COMPS Sylvain IORDANOFE Jacqueline MARKOVIC Emmanuel REYNAUD Jean Louis ROUMEGAS LIMOUSIN Laurence GUEDET Jean Luc GUERINEAU Natacha JACQUIN PAYS DE LA LOIRE Pascale DEBORD PICARDIE Christophe PORQUIER POITOU CHARENTES Jacques MARET
211. rnard CHAPPELLIER Olivier CHAPPELLIER Ali CHARAE Naji CHARAE Francine COMTE SEGRESTA Jean Fran ois CORIOLLE Florence DE MASSOL DE REBETZ Colette DELAIRAT Mathieu DELPRAT Mahamadou DIABY Khadra DIDI R da DIDI Denis DROUHET Chantal DUCHENE Jean Luc DUMESNIT Ren DUTREY Mireille FERRI Sarah FEUILLETTE LEGALL Guillaume FILLON Fran ois Xavier FLORES Nicolas FOURMONT Alain FOURNIER Marie Claude FOURNIER Claudette FYOT Bruno GARNERONE David GREAU Dalila HAMADACHE Mila HAMADACHE Muriel HAUCHEMAILLE Mika l HIRSCH Bernard JOMIER Bertrand JULLIEN St phane JUNG G rald KAUFFER Nabila KERAMANE Rachel KHAN Freddy KLAUK Xavier KNOWLES Fabrice LACOMBE Anick LAGNEAU Antoine LAGNEAU Ali LAHLOV R gis LANG David LE PABIC St phanie LEGER S bastien LEPLAIDEUR Dan LERT Alain LIPIETZ Jean Yves LOISELAY Jos LOPEZ Olivier LOWCZYK Luz LUCENA Serge MAROLLEAU Renaud MARTIN Pierre Yves MAUGARD Joseph MAZIJI S bastien MERIC Dominique MERLE Julien MOCCOZET Florent MOUILLERAC Luc NGUYEN VAN THUY Eric ORIOT Albert PEIRANO Jean Bernard PEYRONEL Marie Fran oise PORCHE Vanessa PRUDON Thierry PUISY Georges PUTEGNAT Olivier RAYNAL Yassin REZZOGUI Christophe RIBET Emmanuelle RIVIER Franck Georges ROLLAND Damien ROMANET Za a SAHRAOUI 6 Stephane SEBERT MONTELS Pierre SERNE Aur lie SOLANS Yann SOLANS Claire SOUAILLE Anne SOUYRIS Mehmet ULKER Francis VALETTE Anne M
212. s les exigences de notre si cle Des Verts organis s tout simplement Ce dont les Verts ont besoin une 7 7 7 7 quipe ex cutive resserr e soud e et l gitime un CNIR retrouvant son 5 r le d laboration et de contr le politiques des commissions recon nues des lus locaux et r gionaux 7 7 7 1 cout s des comp tences militantes valoris es Les courants et les groupes de pres sion internes ne sont forts que parce que l ex cutif et le parlement verts sont faibles Il est temps de r interroger la r gle de la proportionnelle int grale dans la d signation du Coll ge ex cutif Au lieu d inciter au rassemblement elle donne une prime chaque sous cha pelle elle pousse se compter au d triment de l int r t commun Il est temps de faire respecter l obli gation d mocratique elle passe par le respect des d cisions prises Le respect des droits des minorit s ne signifie pas la possibilit de saboter une d cision de la majorit Il est temps enfin de construire notre mouvement par en bas c est dire de donner plus de poids tous les groupes locaux et de simplifier lad h sion Nous proposons donc que nos sta tuts soient revus l automne 2007 autour de quelques propositions sim ples par exemple instauration du vote la majorit de 50 une sauf pour les changements statutaires cr ation d un secr tariat ex cutif plein te
213. s sance conomique Les politiques actuelles ne savent r pondre la crise que par une fuite en avant vers plus de technicit et d artificialisation OGM nucl aire faisant fi des risques qu elles accumulent sur les g n rations futures Malheureusement y compris au sein des Verts l urgence cologique est parfois minimis e par crainte d ef frayer l opinion et de ne pas r pon dre aux questions sociales Pourtant les Verts sont l origine de nombreu ses id es novatrices transversales nouveaux indicateurs de richesse distinction entre revenu et travail innovation p dagogique Nous n avons rien gagn les mettre en sommeil au profit des revendications 5 traditionnelles d une gauche fran aise encore marqu e par l tatisme et une vision marxiste des rapports sociaux Le seul effet en a t le brouillage de notre message Il est de la responsabilit des Verts de pointer ces probl mes qui sont ceux du XXI me si cle et de proposer sans attendre des r ponses politiques L empreinte cologique de nos soci t s croit dans des proportions insoutenables alors m me que l in dice de d veloppement humain des pays pauvres stagne ou r gresse La mondialisation non contr l e boule verse autant les politiques de r gula tion sociale que les cosyst mes Notre mod le de d veloppement pr dateur pour la plan te est incapa ble d emp cher la pr carisation d une part croiss
214. s de fonctionnement Z Congr s des Verts 2008 D montrons que ces propositions peuvent tre d ici 2008 la base d une remotivation et d un nouvel lan tant n cessaires Site www pourdesvertsutiles info Contact verts utiles noos fr Mandataire Pascale Girard 06 30 13 50 51 AQUITAINE Xavier LHOMME Anne Marie PETIT BOURGOGNE Farid GHEHIOU ECHE Andr ROUX Charlotte SEITZ BRETAGNE Philippe LADAME Jean Philippe SAP CENTRE Dominique BRANCHER Alain VIZET CORSE H l ne BABIN HAUTE NORMANDIE Guillaume BLAVETTE ILE DE FRANCE Johane ALLOUCH SCHALLER Chantal ASCOET Antoine BIARDEAU Monique CARDOT Yann FABIEN Philippe GANDILLON Pascale GIRARD Viviane MEILHAC Guy PECHEU Eduardo RODRIGUEZ Thierry SEGAUD Vincent SIMONACCI LANGUEDOC ROUSSILLON Pierre CASADEVALL MIDI PYR N ES R mi PEYRAUD Odile VERDURE LABEILLE RH NES ALPES Daniel FRANCOIS S bastien NAAR MOLHO SAVOIE Luc ANSELME GUADELOUPE Jean Luc MAILLOT 45 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAINAIO AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL VI e 01 oN LATA 43 46 OF AG06 qxp 12 10 06 15 36 Page 46 o EN VENTE LA LIBRAIRIE ECODIF 247 rue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr TEXTES SOUMIS AU VOTE Soci t Dialogue sur nos origines des champs des provinces et d ailleurs Marc Pott
215. s d incarner l espoir d un autre futur dans lequel les rapports sociaux seront profond ment modifi s Nous devons convaincre de transformer notre d mocratie actuelle produc trice de comp tition et d exclusion par des modes participatifs coop ra tifs et respectueux de la plan te Quand les autres forces politiques renoncent il revient aux Verts de faire preuve de cr ativit pour mont rer la possibilit d une autre soci t Notre conviction pourra tre parta g e si elle vit au travers d utopies concr tes de solutions politiques la fois r fl chies et radicales Sa cr dibi lit est ce prix ET OUVERTS AQUITAINE Bertrand GAUFRYAU Dominique MATHIEU VERITE Annick MINNAERT Marc SEVE AUVERGNE Paulette AGNESA Beno t BEAUCHAMP Philippe BERTRAND Jacques BLAIZE Mathieu BOSSART Eliane BROUSSE Jean CHAMBEAU St phanie DUBREUIL Chantal GIRODEAU H l ne LEVET Annick MARECHAL MAUCHIEN Jean MERCIER Marie Christine PETIT BELOUIN Yves REVERSEAU Daniel RONDEPIERRE Nicole ROUAIRE Jean Paul VARIN Odile VIGNAL BOURGOGNE Christophe BOUDET Claude BOURGADE Christian GERMAIN Jean Michel PEYRAUD Philippe SCHMITT Wilfrid SEJEAU BRETAGNE Xavier BARON G rard BORVON Youenn CREACH Ang lique DU BOISGUEHENNEUC Jean Marie GOATER Didier IBAGNE Tudi KERNALEGENN Lars KIIL NIELSEN Nicole KTIL NIELSEN Jocelyne LE BOULICAUT Lucienne ROGEAU Michel ROLLAND Mathieu THEU
216. s engagements dans les 6 premiers mois En cas de non application nous sortirons du Gouvernement Prenant acte de l chec des n gocia tions actuelles pr parons des candi datures vertes autonomes dans les 577 circonscriptions Pour un fonctionnement participatif Si la lt Synth se de Reims gt a t dif ficile mettre en uvre nous saluons le travail du Secr taire National Yann Wehrling qui a contribu pacifier et rassembler notre mouvement Nous regrettons que tout le monde n ait pas jou le jeu Un Parti politique sert principale ment cr er de la pens e former des militants informer les citoyens et g rer des enjeux de pouvoir Nous mettons de plus en plus d nergie dans la gestion de ces derniers et de moins en moins dans le travail poli tique Si des changements statutaires majeurs pour aider notre Parti devenir plus efficace sont n cessaires nous devons aussi r fl chir nos comportements et nos pratiques Les Verts doivent s appliquer eux m mes l exigence participative qu ils pr nent pour la Soci t C est le sens du travail de la RPI qu il faut maintenant appliquer 27 30 _OC AG06 qxp 12 10 06 15 32 Page 29 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE VERTS ET FORTS FOREVER PRIM VERT AUTONOMIE ET LE CONTRAT Pour autant trois am nagements essentiels doivent tre effectu s l ex cutif des Verts doit tre renforc pour qu il puisse accomplir ses
217. s militants Pour r ussir voluer vers un fonc tionnement respectueux des r gles dont nous nous dotons collective ment coh rent avec ce que nous souhaitons pour la soci t en terme de d mocratie participative une 47 50_OG AG06 qxp 12 10 06 15 41 Page 49 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE L COLOGIE L ESPOIR EN ACTES POUR DES VERTS AUTONOMES RADICAUX Constituante Verte sera organi s e lors d une AG extraordinaire convoqu e trois mois apr s les municipales Elle aura pour mandat de red finir des r gles pr cises et les moyens efficaces de les appliquer renforcer le lien commissions CNIR r former les modes d lection et la composition du CE et du CS mieux d finir le rapport lus militants limi ter les cumuls d indemnit s renfor cer le fonctionnement interr gional utiliser le vote pr f rentiel Donner aux jeunes aux femmes aux victimes de discriminations la place l gitime qui est la leur r pondre aux attentes citoyennes anticiper les crises venir pour les emp cher tout en proposant des modes de vie o le bien tre ensemble remplacera le consommer plus r inventer un projet europ en exaltant les t ches sont multiples mais la feuille de route est claire Ce sera le 3e temps de l cologie politique La pertinence du message cologiste et notre volont de modi fier les politiques publiques sont reconnues Il nous appartient d sor mai
218. s nous donnons parit Nous proposons d organiser un scrutin postal des nouveaux CNIRien ne s titulai res et suppl ant e s entre l Assembl e F d rale de d cembre 2006 et le premier CNIR du mandat 2006 2008 Cela requiert un petit budget pour le mat riel de vote et l aide du CE actuel pour l orga nisation Nous vous invitons donc voter cette motion et nous rejoindre pour de nouvelles explorations d mocratiques Voir aussi http www preferendum info AQUITAINE Xavier LHOMME AUVERGNE Daniel RONDEPIERRE BRETAGNE Claire DUVAL Philippe LADAME Jocelyne LE BOULICAUT Dominique RAMARD CENTRE David CHOLLET Gilles DEGUET Denise LENTAR Roland LENIAR Fran ois THIOLLET CORSE Jean GRAZIANI HAUTE NORMANDIE Guillaume BLAVETTE Beno t FENAULT Guillaume GRIMA Jean Pierre LANCRY Victoria SELWYN ILE DE FRANCE Francine BAVAY Jean BORSENBERGER G raldine CHALENCON Albano CORDEIRO Philippe DAGUENET Helder DE OLIVEIRA J r me DESQUILBET C cile DUFLOT J r me GLELZES Bernard GUIBERT Alain LECLERC Fran ois LONGERINAS Dominique LUANG PRASEUTH Pierre Edouard MAUREL Patricia MILLOT Daniel MOSMANT Antoine ROLLAND 55 78 3 AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 63 MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES X m D MOCRATIE PRATIQUE PRATIQUE S s DE LA DEMOCRATIE gt c lt O _ m Corinne RUFET Eva SAS Stephane PROVENCE ALPES SITBON Fran ois SOLTIC COTE D AZUR LA
219. s proc dures des conf rences de citoyens et du d bat public Nous devons renforcer la participa tion de tou tes les citoyen nes l la boration de leur destin collectif y compris dans l entreprise avec un volontarisme politique sp cifique aupr s des plus exclu es 3 L cologie au c ur de l conomie il est prioritaire de mettre en oeuvre des politiques alternatives qui s opposent aux logiques du productivisme Favoriser l innovation et la recher che au service de l int r t g n ral R orienter la politique nerg tique en d cidant dune sortie progressive du nucl aire Engager une politique fiscale inci tative pour r pondre aux nouveaux besoins n s des contraintes environ nementales co redevance sur le transport routier de marchandises Lancer un grand plan ferroviaire europ en incluant le transport com bin et financ par l euro vignette D velopper de nouvelles activit s et renforcer la responsabilit sociale et environnementale des entreprises des collectivit s et des autres acteurs publics Ces mutations conomiques ne doivent pas se confondre avec la d croissance 5 Produire moins et plus quitable c est donner un autre contenu la crois sance 4 L cologie une nouvelle solidarit plan taire D fendre une nouvelle Constitu tion europ enne socle dune Europe de la solidarit et du d veloppement durable en reprenant
220. s se rajoutent 4 membres du CE elle est pilot e par la SNA charg e des lections Ses r unions ont permis de d gager le vivier des 60 circonscriptions gagnables que nous avons pr sent es au PS comme base d accord Cette lt s lec Maud Leli vre Membre du coll ge ex cutif d l gu e la communication interne la formation et l accueil des adh rents de janvier 2004 juin 2006 Penser l avenir Communiquer vert s le d but du mandat j ai choisi de donner la priorit aux outils lectroniques G rer les Verts c est aussi donner l exemple en diminuant le co t financier et envi ronnemental d une institution Avec la pr cieuse collaboration des salari s et des militants int res s s par les nouvelles technologies nous avons modernis en dou ceur le site internet des Verts En cr ant un espace priv accessible par un mot de passe aux adh rents nous avons pu mettre en ligne en temps r el des tracts des outils de campagne ou simplement un partage d information Le site a progressivement volu pour donner une image plus moderne plus dynamique des Verts pour tre plus accueillant et simple utiliser Donner plus de moyens aussi au niveau local tait aussi un objec tif aujourd hui chaque structure commission groupe local m me courant peut cr er de fa on s re et sous le nom de domaine des Verts un liste de discussion ou d information Dominique Normand D l gu e
221. semble leurs textes et de les diffuser Une modification des modalit s de fonctionnement du Bureau est indispensable pour permettre une meilleure coordination avec les commissions et les cniriens ALBERT PEIRANO LAURENCE GUEDET FRANCK CONTAT ET NICOLE SERIS C L APPEL CANDIDATURE AU COLL GE EX CUTIF CE Le Conseil national interr gional des Verts r uni Paris les 16 amp 17 septembre a ratifi la Composition du Coll ge ex cutif 2007 2008 suivante Un e secr taire national e Un e Secr taire national adjoint e l organisation du parti l organisation du si ge et la r forme interne Deux porte parole galement en charge de la communication externe Un e tr sorier e national e galement en charge des adh sions Un e d l gu e aux lections aux lus amp aux institutions Un e d l gu e la communication interne et la formation Un e d l gu e aux r gions Un e d l gu l nergie et aux transports Un e d l gu aux campagnes amp actions aux Journ es d t et aux commissions Un e d l gu aux questions europ ennes Un e d l gu aux questions internationales aux DOM TOM et l altermondialisation Un e d l gu l environnement la sant la mer l agriculture Un e d l gu la culture la jeunesse aux libert s ducation Un e d l gu aux questions conomiques et sociales
222. senter une candidate au premier tour de la pr sidentielle Motion l Assembl e F d rale d centralis e d cide que si le cas d une nouvelle demande de pri maire par nos partenaires se pr sente un r f rendum sera organis par le CE et que les motions seront invit es faire valoir leur point de vue dans le document exp di aux adh rents l Assembl e F d rale d centralis e souhaite que dans ce cas le ou la candidate unique soit celui ou celle de la gauche et des colo gistes pour viter de laisser le label cologiste un e ventuelle autre candidate que cette primaire s accompagne d une r partition des circonscriptions sur la base du r sultat du premier tour de la primaire que cette primaire offre la possibilit aux citoyen ne s y participant de voter sur les grandes orientations programmatiques du quinquennat R partition des si ges la proportionnelle sur la base du r sultat du premier tour des l gislatives de 2002 dans l hypoth se de 350 si ges pour la majorit Voix Gauche Ecologistes PEES nirun 1216178 4 82 12 84 soit 45 d put s e EE 6086599 24 11 64 26 soit 225 d put s PRG 388891 1 54 4 10 soit 14 d put s Div gauche 275553 1 09 2 90 soit 10 d put s Verts 1138222 4 51 12 soit 42 d put s P le R p 299897 1 19 3 16 soit 11d put s R gionalistes 66240 0 26 0 69 soit 2 d p
223. simples satellites l AC suppose respect mutuel et exclut qu un parti politique soit d pendant de l autre ou soumis l autre Nous devons donc annoncer notre volont d accords programmatiques et d une juste r partition des candidatures aux l gislati ves Nous devons dans le m me temps nous pr parer compter sur nos propres forces tout en recherchant avec d autres r giona listes f d ralistes motiv es des partena riats Et nous devons imp rativement faire entendre nos partenaires que refus de contrat de leur part entra nera refus du soutien du n tre et donc des candidat e s sur toutes les circonscriptions en 2007 et que nos ventuels partenaires devront se d brouiller sans notre soutien au second tour Car il en est de l AC comme de la force de frappe dans l esprit de ses d fen seurs elle est inutile si on annonce qu on ne s en servira pas Nous devons aussi tre pr ts assumer les cons quences de l auto nomie financi rement et en nombre d lu e s si les conditions r elles d un bon accord ne sont pas r unies La construction dura ble de l cologie politique est ce prix compl ment de motion pour 2007 8 b En l absence d accords politiques permet tant une r partition quitable des circons criptions et d une volont politique de nos partenaires d un accord respectueux de notre identit et de notre capacit peser dans le d bat l Assembl e F d rale d cen t
224. sique de la qu te des sou tiens individuels et des alliances de cir constance Pendant que la croisi re samuse la base s impatiente Localement nos lu es locaux et r gionaux sont la pointe de l innovation et de l exp rimentation ainsi que le dernier s minaire de CEDIS Coutances l a montr Elles ils sont reconnues par la soci t civile et les par tenaires politiques pour leur cr ativit et leur courage politiques Abandonn es par leur parti qui se d consid re par ses fractionnements internes et sa paralysie publique ils elles finiront par consti tuer une classe de notables sensibles au d bauchage Quant aux militant es ils elles finiront pas se r signer consacrer leurs forces aux associations auxquelles elles ils adh rent plut t qu une orga nisation incapable de donner une tra duction politique leurs revendications Le moment est venu de dire les choses sans d tour la proportionnelle a t con ue pour permettre aux minorit s de trouver une juste repr sentation dans les organes l gislatifs CNIR et organes r gionaux et infra pas pour inciter des clans se partager les d pouilles de ex cutif Notre initia tive vise d passer les faux clivages id o logiques et les vraies rivalit s de person nes et provoquer un mouvement d opinion suffisamment cons quent pour inciter les courants s accorder sur des priorit s de bon sens 5 mobilisatio
225. ssemblement des Ecolos ou dynamique unitaire de la gauche anti lib rale compatible avec l colo gie ou nouveau 21 avril 0 Pr parer les ch ances suivantes Appliquons les statuts utilisons les prochains Forum et Congr s natio naux pour envisager globalement tirer les bilans tape par tape com biner et pr parer de mani re cologi quement coh rente les municipales cantonales s natoriales europ en nes r gionales P Un parti laboratoire Cessons de tripatouiller les statuts vers toujours plus de contr le et de centralisme Imaginons et exp ri mentons des r gles et des m thodes qui favorisent la transparence le plu ralisme la tol rance mutuelle la convivialit notre implantation pro fonde dans la soci t toutes condi tions l indispensable f minisation du parti Constituons un lieu d ac cueil et d appui toutes les initiatives sociales de culture et de recherche dans les domaines de la vie urbaine de l ducation de la sant des m dias alternatifs Dans le cadre de ce texte nous ne pouvons d tailler vous trouverez des 5 l ments plus pr cis sur www pour desvertsutiles info Quelques pistes Q Exp rimenter d autres fonctionnements Mettre en place des protocoles de prise de d cision collective Int grer les apports des scrutins de type pr f rentiel Contre les d signations par d gommage imaginer coll ges genr s tirage au sort
226. struire la mon dialisation culturelle et institution nelle tout en promouvant la relocalisation des activit s des servi ces publics renouvel s et sous contr le d mocratique ainsi que l conomie solidaire Les forums sociaux mondiaux sont des rendez vous importants Les Verts mondiaux doivent se construire en synergie avec ces forums plut t que de s isoler Les rapports Nord Sud sont aujourd hui inscrits dans tous nos territoires nous devons agir vite 5 Les Verts veulent construire l Europe Nous voulons une v ritable Consti tution europ enne qui ne traite pas du contenu des politiques mais seu lement des valeurs des droits humains fondamentaux et des r gles du jeu d mocratique Nous voulons une Constitution qui reconnaisse la primaut du principe d int r t g n ral sur le droit de la concurrence nous voulons une Constitution qui reconnaisse la primaut du principe de pr caution contre la gabegie pro ductiviste Nous voulons des institu tions qui r pondent aux crit res d mocratiques de base s paration des pouvoirs publicit des d lib ra tions et des d cisions un parlement qui ait le pouvoir de l gif rer Nous voulons une assembl e consti tuante Ce que nous voulons pour l Europe nous le voulons aussi pour notre pays Les Verts un parti innovant ou rentier Il faut choisir Les Verts d oivent Reims Les Verts ont choisi l cologie de transformation Qui
227. t ner g tique un plan pour r duire les d place ments contraints et red ployer les finance ments pr vus pour les autoroutes au transport ferroviaire le d veloppement des nergies renouvelables et l arr t de PEPR L arr t de toute culture d OGM par un vote du parlement d clarant la France r gion sans OGM et la r orientation des politiques agricoles vers une agriculture biologique et paysanne Justice sociale Le rel vement significatif des minimas SOCIAUX Des mesures contre les temps partiels impos s et l abrogation des mesures de pr carisation CNE La reprise de la r duction du temps de tra vail Une r forme fiscale comprenant le r tablis sement au minimum au niveau de Tan 2000 de la progressivit de l imp t sur le revenu Une loi cadre sur l conomie sociale et soli daire garantissant son financement et son autonomie D mocratie L instauration d un r gime parlementaire primo minist riel L lection dau moins la moiti du parle ment la proportionnelle L abrogation des lois liberticides modifica tion du CESEDA pr vention de la d linquance Une citoyennet pleine et enti re pour tous les r sidents Alternative la mondialisation n o lib rale L action pour transformer le FMI la BM et POMC en agences de PONU le retrait unilat ral du G8 et le gel de PAGCS Une loi d orientation et de programmation pour une coop ration solidaire Faute d
228. t de notre parti et de nos id es ne sera possible C est apais et unis que nous affronterons les ch ances politiques de 2007 et 2008 et que nous cr erons l coute pour le projet des Verts Cet apaisement le nombre de motions d pos es pour cette AG en t moigne n est malheureusement pas un acquis De fait notre fonctionnement tr s objectivement ne favorise pas l unit l action et la prise de d cision L nergie de chacun aussi forte avec qui j ai ainsi pu travailler de fa on constructive et qui ont contribu faire avancer d bats et id es au sein de notre parti dans l int r t collectif Malgr un certain puisement et des difficult s concilier ce mandat avec vie personnelle et implications locales je garderais pour ces raisons ainsi que pour la vari t et la richesse des rencont res et changes en externe le souvenir d une exp rience forte qui me permettra sans doute d tre plus efficiente pour le parti d au tres niveaux notre opposition au nucl aire avec notamment deux grands ras semblements Bar le Duc contre le site de Bure et Cherbourg contre PEPR La forte mobilisation des Verts a contribu au succ s de ces deux v nements Le choix symbolique du d partement de la Manche Coutances pour les journ es d t de 2006 s est inscrit dans cette d marche et a t un succ s la lutte contre le changement climatique campagne lanc e par le Parti V
229. taire vert Au second tour de la pr sidentielle le soutien au candidat de gauche sera conditionn par sa capacit int g rer le projet de l cologie politique dans son programme Les Verts d fendront la cr ation d un vice premier ministre charg du d veloppement durable ce qui modifiera la r partition trop sectori s e verticale et incoh rente des comp tences des minist res actuels Ces r formes institutionnelles seront les premi res tapes vers la 6e R publique celle d une France f d rale dans une Europe f d rale avec un authentique r gime parlementaire Les conditions d une participation au gouvernement devront tre valu es celle ci ne sera pas automatique Si les conditions politiques d un accord ne sont pas r unies les Verts pren dront seuls leurs responsabilit s devant les lecteurs Concernant les lections municipa les les Verts mettront tout en uvre pour favoriser des listes autonomes dans toutes les grandes villes 50 000 0 Pour un parti plus cologiste d mocratique et ouvert Refonder les Verts La structure des Verts con ue en 1984 dans un contexte diff rent est bout de souffle D o une paralysie grandis sante et des conflits proc duriers inces sants donnant de nous une image d plorable faisant fuir bon nombre d adh rents et de sympathisants ERRATUM Signature retirer de la motion d orientotion B page 23 Urgence Ecolo
230. tes s impose la faiblesse des r ponses politiques et pratiques cr ve l cran Il y a urgence participer activement aux dyna miques et la cr ation des rapports de force qui permettront d atteindre les objectifs que Les Verts se sont fix s depuis longtemps Les Verts ne peuvent pas toujours remettre plus tard rester simples observateurs ou commentateurs ext rieurs se conten ter d incantations Nous ne voulons pas que Les Verts deviennent une sensibilit environ nementale du PS Nous voulons imposer l cologie politique par un nouveau rapport de forces gauche Seuls Les Verts sont capables de le faire Ils doivent gagner une autono mie f conde pour toute la gauche et s appuyer sur la dynamique nouvelle des collectifs unitaires citoyens mobilis s cologistes f ministes objecteurs de croissance Alternatifs militants des Verts du PS du PC de la LCR afin d orienter l anti lib ra lisme vers l anti productivisme et imposer une 6 R publique Comment d placer le centre de gravit gauche Le paysage gauche a chang Le d bat constitutionnel europ en l a prouv les citoyens s int ressent la politique quand la question pos e semble pertinente Ce d bat a laiss des traces lectorales par la victoire du non qui d montre que l anti lib ralisme peut tre majoritaire gauche mais aussi organisation nelles les collectifs ont surv cu et de nouveaux se cr ent Cette logi
231. tici pation d sormais aux CA de l ARE plus rarement des lus des Conseils G n raux avec une intervention conjointe aupr s de PADE et d une coordination avec la FEE dont le CA s est renou vel et diversifi lors de sa derni re Assembl e G n rale Une pr paration de conventions municipales est en cours suite aux pre miers changes lors des JE de Grenoble et en lien avec les structures d lus Verts des grandes villes La plus grande r ussite reste sans doute la cr ation et l utilisation r guli re de Vert Electro Vert Contact dans son ancienne formule si cher aux adh rents avait v cu Nos moyens financiers ne per mettaient pas d en faire une publication r guli re Vert Electro a rempli son r le y compris dans les p riodes plus difficiles de recomptage et autres al as de la campagne interne Pr parer lavenir en accueillant et formant des cadres et des adh rents tait galement une des missions qui ont t les miennes Dans la poursuite du programme que j avais initi sous le pr c demment mandat j ai organis de nouvelles sessions de formation destin s aux adh rents Si les lus peuvent b n ficier facilement de formation c est prioritairement pour les autres militants qu il faut travailler Chacun doit pouvoir y avoir acc s pour accompagner son militantisme et aider son acc s vers d autres responsabilit s internes et externes si il le souhaite Poursuivre ce travail de mise en coh ren
232. tiel basculer d une soci t s curitaire une soci t conviviale lutter contre les violences de genre laborer un nouveau com promis social d senclaver les zones rurales et les quartiers d sh rit s passer d une politique de soins une v ritable politique de sant entrer dans la VIe R publique relancer PEurope autant de chantiers pour lesquels convergences et partenariats g om trie variable permettront de d finir des strat gies pour chaque objectif politique Ouverture Au del de la s quence lectorale nous devons construire une autono mie ouverte s appuyant sur un par tenariat privil gi avec les mouve ments autonomistes particuli rement R amp PS et la gauche associative Cherbourg Cachan Calais lors de fauchages aux c t s des ch meurs des pr caires des convergences existent nous de renforcer durablement ces coop ra tions Ni Linkspartei l allemande ni alliance droite avec CAP 21 nous voulons un vrai mouvement de l cologie politique et aux lections La pr sidentielle Une candidature verte pour porter nos id es nos propositions expliquer la radicalit et la sp cificit de l co logie f d rer les initiatives alternati ves ducation populaire logiciels libres AMAP ESS des engage ments citoyens pour les droits humains les circulations douces les zones prot g es contre l amiante les incin rateurs les autoroutes
233. treFPM adjoint Ministre de WXMinistre de XAMinistre de YLMinistre de Z V 1 Le score par candidat par poste est calcul selon le syst me Borda modifi syst me de points qui incite exprimer l ensemble de ses pr f rences 2 Les candidat e s les plus popu laires sont consid r e s comme lu e s mais ne sont pas encore d sign e s un poste sp cifique 3 Une nouvelle matrice est labo r e qui classe les candidat e s et les postes par ordre de popularit elle montre la somme des scores de chaque candidat e sur chaque poste 4 Les candidat e s sont d sign e s par ordre de popularit selon les sommes des scores les plus lev s de chaque candi dat e sur chaque poste Le vote matriciel pr sente plusieurs avan tages En ce qui nous concerne il cr erait un lien fort entre assembl e et ex cutif et renforcerait le r le du CNIR dans l attribution des postes e comme toute lection directe bulletin secret il garantirait la libert de vote limi tant le r le des courants et encourageant un d bat ouvert et transparent 5 il encouragerait les votants r fl chir des compromis favorisant les candidatures acceptables par le plus grand nombre il permettrait des candidatures lt hors courants Il nous semble judicieux d organiser une simulation afin de peser les effets de ce type de scrutin et les ventuels ajustement faire pour int grer les contraintes que nou
234. uation de faiblesse Nous ferons la promotion des m thodes non violentes pour nous opposer aux pra tiques et aux politiques que nous d sap prouvons et nous agirons en faveur d une paix durable des personnes des commu naut s et du monde 5 D centralisation La concentration des richesses et des pou voirs contribue l injustice conomique et sociale la destruction environnementale et la militarisation D s lors nous recher chons une restructuration des institutions sociales conomiques et politiques pour sortir d un syst me sous le contr le et au b n fice de quelques puissants et voluer vers un syst me d mocratique moins bureaucratique Les processus de prise de d cision devront autant que possible reve nir au niveau individuel et local tout en s assurant que les droits civils sont garantis pour tous les citoyens BOURGOGNE Farid GHEHIOUECHE Andr ROUX Charlotte SEITZ BRETAGNE Jean Marie GOATER Philippe LADAME Yann MASSON CENTRE Dominique BRANCHER Alain VIZET ILE DE FRANCE Antoine BIARDEAU Philippe GANDILLON Pascale GIRARD Viviane MEILHAC Guy PECHEU Eduardo RODRIGUEZ Thierry SEGAUD Vincent SIMONACCI MIDI PYR N ES R mi PEYRAUD Odile VERDURE LABEILLE PROVENCE ALPES COTE D AZUR Marcel MEAUFRONT RHONES ALPES Daniel FRANCOIS B atrice MUNTLAK S bastien NAAR MOLHO Philippe NAMIAS GUADELOUPE Jean Luc MAILLOT 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 1
235. uc MAILLOT 77 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANATIAL 71 e 01 oN LATA ERRATUM Ci dessous signature manquante la motion ponctuelle th matique 19 page 78 Energie 2007 Bretagne Christophe KERGOSIEN 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 78 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 78 a prochaine ch ance politique se pr sente dans un contexte totale ment diff rent des pr c dentes Jusqu pr sent la question cologique a t r duite dans le d bat des pr occupa tions certes de plus en plus reconnues mais non urgentes Toujours le d bat politique s est resserr sur conomique le social et l institutionnel 01 le calendrier du prochain quinquennat est le plus charg en nergie depuis l mer gence de l cologie politique dans les ann es 70 Cinq dossiers majeurs vont mettre l nergie et le climat sur lagenda 1 La crise p troli re La demande mon diale de p trole a rattrap l offre les prix se sont envol s Les p troliers priv s et les tats producteurs donnent la priorit leur r mun ration plut t qu l investissement Ajoutons l instabilit du Moyen Orient les inerties de l industrie elle m me 10 ans entre l investissement et la production Le gaz naturel s est align sur le p trole ce qui donne l
236. uctivisme et au lib ralisme Nous devons r pondre aux citoyenNEs d sempar Es qui votent sans espoir pour les extr mes Ni caution verte de la social d mo cratie ni b quille de l extr me gauche l cologie politique invente un chemin singulier rouvre le champ des possibles Car le diagnostic est pos les cosys t mes s puisent la biodiversit dispara t le changement climatique s acc l re Contre le mod le produc tiviste dominant et les exigences insens es des plus riches l cologie politique s impose Dans la conti nuit de la motion de Reims nous r affirmons le paradigme cologiste l autonomie l cologie de transfor mation Forts de leur exp rience du ter rain et des institutions Les Verts sont attendus pour reconstruire espoir A nous de r pondre pr sents Notre cologie est radicale Lutte contre l effet de serre sortie du nucl aire d croissance de notre empreinte cologique refus des OGM autant de d cisions pour lesquelles tout retard aggrave les p rils ET OUVERTS f ministe sociale et populaire Les d g ts du capitalisme frappent d abord les cat gories sociales les plus fragiles Nous sommes engag Es aux c t s des sans papiers des sans loge ment des sans emploi et les seuls tenir compte de l interd pendance des probl mes environnementaux et sociaux Les luttes que nous menons pour l eau l nergie les droits des femmes
237. ue du Fbg St Martin 75010 PARIS M tro Louis Blanc Jaur s Gare de l est T l 01 53 19 53 20 Fax 01 53 19 03 93 mail ecodif lesverts fr Politique La peur histoire d une id e politique Corey Robin Armand Colin 2006 366 p 26 euros Femmes en politique Catherine Achin et Sandrine L v que Rep res La D couverte 2006 122 p 8 50 euros Lextr me gauche plurielle entre d mocratie radicale et r volution Philippe Raynaud Cevipof Autrement 2006 201 p 17 euros La d mocratie histoire d une id ologie Luciano Canfora Faire l Europe Seuil 2006 482 p 24 euros Les goulags de la d mocratie r flexions et entretiens Angela Davis Au Diable Vauvert 2006 157 p 15 euros Trait de d magogie appliqu e Sarkozy la r cidive et nous Serge Portelli Michalon 2006 138 p 12 euros VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 HISTOIRE D UNE ID E POLITIQUE ARMAND COLIN 56 ERRATUM Ci dessous les signatures manquantes de la motion poctuelle 1 page 57 L abolition des ch timents corporels en France un imp ratif pour les droits des enfants Provence Alpes C te d Azur Vol rie Messoger porteuse de la motion 55 78_P_AG06 qxp 12 10 06 15 46 Page 57 e MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES ABOLITION DES CH TIMENTS CORPORELS EN FRANCE UN IMP RATIF POUR LES DROITS DES ENFANTS es 5 6 7 juillet 2005 s est
238. ues et les perceptions de nos concitoyens s est accru fortement Les conditions de vie d une partie de la population et l rosion des anciens cadres de l action collective favorisent les d rives communautaristes et indi vidualistes A la demande de nouvelles s curit s collectives et d un recul de la vio lence la droite r pond depuis cinq ans par la fuite en avant lib rale conservatrice et autoritaire Lanceurs d alerte nous avons d nonc les impasses du producti visme du capitalisme sans entrave d une droite qui veut la revanche d un simple repl trage de ce qui a fait faillite Il nous appartient de passer de Pan nonce de la crise la promesse de mutation Les Verts doivent proposer les changements indiquer les tapes L lection pr sidentielle ouvrira un cycle qui d cidera des investisse ments strat giques du futur nergie transports s curit sociale sant recherche et redistribuera tous les leviers d action publique De notre score sera d duit en large partie le potentiel des Verts pour toute la s quence Notre AG doit donc donner un signal public de clarification d unit et de mobilisation Des Verts autonomes On entend dire que l cologie serait l affaire de tous les partis et par cons quent d aucun ou un enjeu r serv aux sp cialistes de l envi ronnement il faut r affirmer au contraire le r le essentiel d un courant politique cologiste
239. umanit vers une vie mis rable La Pr sidentielle se pr sente pour nous comme tr s difficile car l appel au vote utile et la multiplication de candidatures risquent de peser lourdement Il y a dix ans les Verts avaient engag avec divers partenaires AREV CES PE un processus de rassemblement qui a abouti la fusion de ces organisations Divers mou vements se r clamant de l cologie poli tique coexistent toujours aujourd hui ou sont apparus depuis Il y a lieu de r activer et de mener son terme dans la coh rence mais sans priori ce processus de rassem blement Cette t che d int r t g n ral nous incombe en grande partie Elle est de notre responsabilit vis vis des milliers de citoyens nes qui quotidiennement au sein de diverses associations locales ou nationa les luttent sur le terrain innovent mais d sesp rent de ne pas avoir de relais suffi sants dans les institutions pour r orienter les politiques publiques Avec qui Sachons le reconna tre les Verts ne sont pas les seuls cologistes en France On trouve d autres cologistes dans des partis ou dans la soci t civile Les principales associations de protection de l environne ment sont d sormais regroup es dans l Alliance pour la Plan te Au del de cette biodiversit des struc tures des id es ou des approches nous estimons que ce qui nous diff rencie les uns des autres est malgr tout moindre que DES CO
240. us aider r gler nos conflits pour ensuite l inclure modifi e ou non dans nos statuts J quoi doivent servir les Verts Les Verts doivent tre un parti utile aux citoyenNESs leur permettant de s impliquer concr tement dans la mise en place des politiques qui r gissent leur vie en mettant leur disposition les outils ad quats afin d amener notre pays et la commu naut internationale adopter des politiques justes et durables L objectif premier de tout luE vert est d obtenir aux citoyenNes toutes les facilit s possibles pour acc der toutes les informations qui affectent 43 ILOA NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO IVAINAIIO AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL VI e 01 N LATA 43 46 _OF AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 36 Page 44 S MOTIONS D ORIENTATION STRAT GIQUE 44 _ POUR DES VERTS UTILES LA D MOCRATIE COLOGIQUE leur vie afin qu ils puissent prendre conscience des multiples ali nations de notre soci t se mobiliser pour s en lib rer et exercer leur pouvoir de contr le et de proposition tous les niveaux de leur choix K Un pouvoir doux Depuis 2004 les initiatives de PVU seule opposition la Synth se de Reims ont particip r habiliter au sein du parti des probl matiques et concepts fondateurs tomb s dans l oubli tels thique de responsa bi
241. us vous pro posons une premi re piste celle des syst mes de vote consensuels et notamment pr f rentiels L id e du consensus n est pas de trouver un moyen de forcer tout le monde tre d ac cord Les techniques de vote concern es visent identifier la volont g n rale et conduire le d bat en vitant les positions tactiques Dans ce type de d bat le dissen sus contribue clairer les options mais ne PRATIQUE S polarise pas car le processus de vote incite admettre la l gitimit de plusieurs points de vue et permet au plus grand nombre possi ble de participant e s de se retrouver dans le r sultat Exp rimentons un nouveau mode de d signation Nous vous demandons de permettre une simulation d lection directe du coll ge ex cutif des Verts par le nouveau CNIR selon un vote matriciel proc dure de vote pr f rentiel d velopp e par Peter Emerson Vert d Irlande du Nord sur la base des travaux de Charles de Borda 1733 1799 Ce scrutin est utilis lorsqu une assembl e souhaite lire quelques personnes issues de ses rangs un nombre gal de postes Tout membre souhaitant se pr senter est ligible tout poste Chaque membre de l assembl e vote en exprimant l importance relative qu il ou elle accorde telle attribution de poste Comme dans l exemple suivant on ne peut mettre qu un nom sur chaque ligne et chaque colonne Pr f rences Poste le2e3e4eSeGePremier minis
242. ut s Total 9471580 AUVERGNE Olivier CLAVAUD BOURGOGNE Genevi ve GIRAULT BRETAGNE Roland DEBUYSSCHER Roger GUILLOPE Philippe LAPORTE Jean Pierre LE BARS Yves LEVREL Jean MASSE Marc MILLOT Fr d ric MULHAUSER Dominique TOURET Alain UGUEN HAUTE NORMANDIE Alain DURAND Martine ROUZAUD ILE DE FRANCE Jean Baptiste LOBEL Christian SCHACH LANGUEDOC ROUSSILLON Fran ois FERRAND NORD PAS DE CALAIS Nasser ACHOUR Jean Marie ALLAIN Dominique ISSELE POITOU CHARENTES Madeleine CLAUSTRE NAHON Laurent RATAT Serge RIVET RHONES ALPES Jean Baptiste DURAND Elisabeth LACROIX Alexandre RAFALOVITCH C cile VIALLON REUNION Jean Pierre ESPERET 73 310 NY SIWNOS S31X31 9002 THVNITIO TIVAJNJ AATANASSY e SLHAA SAA ANNATAHL 71 o 01 N LATA 55 78_P_AG06 qxp TEXTES SOUMIS AU VOTE VERT N 10 LA TRIBUNE DES VERTS e ASSEMBL E G N RALE ORDINAIRE 2006 12 10 06 15 46 Page 74 S MOTIONS PONCTUELLES TH MATIQUES 74 R FORMER ENFIN NOTRE FONCTIONNEMENT epuis quatre ans et la publication D de l Audit participatif interne APT la r forme de notre fonc tionnement dont chacun admet pourtant volontiers la pleine n cessit est en panne Des propositions nombreuses ont pour tant t labor es Et cette assembl e g n rale comme la pr c dente on cons tate dans plusieurs des motions d orienta tion soumises au vote des adh rents la r af firmation du principe
243. utilise les ressources de telle LES VALEURS CL DES VERTS PREMI RE PARTIE mani re que les g n rations futures en b n ficieront et ne souffriront pas des pra tiques de notre g n ration A cette fin nous devons avoir des pratiques agricoles qui r g n rent les sols voluer vers un usage efficace et conome de l nergie et vivre de mani re respecter l int grit des syst mes naturels 3 Justice sociale et galit des opportunit s Toutes les personnes ont des droits et doi vent avoir l opportunit de b n ficier qui tablement des ressources produites par la soci t et notre environnement Nous devons en conscience confronter nos prop res opinions nos organisations et toute la soci t aux barri res importantes que repr sentent le racisme et l oppression de classes le sexisme et l h t rosexisme 1 gisme et le handicap qui emp chent un traitement quitable et une justice gale sous le regard de la loi 4 Non violence Il est essentiel que nous d veloppions des alternatives concr tes nos pratiques cou rantes de la violence tous les niveaux de la famille la rue jusqu aux nations et au monde Nous travaillerons la d militari sation de nos soci t s et l limination des armes de destruction massive sans pour autant tre na fs sur les intentions des autres gouvernements Nous reconnaissons le besoin d auto d fense et de d fense de ceux qui sont en sit
244. vel s par moiti tous les deux ans par l Assembl e f d rale au scrutin uninominal majoritaire pour 5 tre membre du CS il faut tre membre des Verts depuis au moins deux ans et ne d tenir aucun autre mandat interne dans la structure nationale du mouvement LAG de Bordeaux lira donc deux femmes et deux hommes Les commissaires financiers L Assembl e f d rale de Bordeaux lit parmi les adh rent e s deux commissai res financiers dont le r le est le contr le financier des Verts Ceux ci pr sentent un rapport sp cial l AG Enfin quelques chiffres Le calcul du nombre de d l gu e s qui seront lus lors de l Assembl e g n rale d centralis e du 12 novembre pour repr senter les Verts l Assembl e f d rale de Bordeaux les 2 et 3 d cembre a t r alis partir du Nombre Vert calcul en fonction du nombre d adh rent e s jour de cotisation le 10 sep tembre 2006 Pr cision ce sont bien les Assembl es g n rales r gionales et pas les Assembl es g n rales d centralis es qui lisent les trois quart du CNIR 90 membres le quart restant tant lu l Assembl e f d rale 30 membres 01_14 intro AG06 qxp 12 10 06 15 29 Page 7 S EN PRATIQUE APPEL CANDIDATURE Pour tre publi es dans un document de s ance les candidatures devront tre envoy es avant le 20 novembre 12h par courriel congres2006 lesverts fr
245. voir qui est aussi un plaisir ne pas d cevoir celles et ceux qui n ayant pas le temps ou l envie de s engager placent pourtant leur confiance et leur espoir dans les id es que nous portons veulent croire que nous pouvons changer la vie C est pour elles pour eux avec elles et avec eux que nous devons continuer petits matins apr s petits matins lib ration de Claude Yabanda communiqu s commun avec l oppo sition tchadienne la f d ration des partis verts africains Asie Rencontre clandestine avec les Verts Chinois Shanga et P kin rencontre avec les ONG d environnements chinoises A l interne des Verts gestion du Fonds de solidarit internationale avec attribution de subventions aux Verts de la RDC du Burkina de la Colombie participation r guli re au bureau de la Commission transnationale Intervention dans une formation l internationale de la r gion Ile de France 2 Altermondialisation Organisation d une Convention Verte sur la mondialisation en lien avec la Commission conomie et la Commission transnationale Participation l ensemble des assembl es pr paratoires des forums sociaux europ ens d Ath nes Organisation et animation Ath nes d un atelier pour la cr ation d un Forum Social de l cologie Repr sentation des Verts au Forum social Mondial Bamako et Caracas 3 Secteur Outre mer R unions r guli res du secteur outre mer r unissant les repr sentants des
246. x Organis e par les Verts Aquitaine vous serez accueillis partir du vendredi ler d cembre en fin d apr s midi La Cit Mondiale est situ e au c ur du quartier historique de Bordeaux en bord de Garonne deux pas du Grand Th tre et de la place des Quinconces o se situe la fameuse colonne des Girondins La Cit e est situ e 40mm de marche de la gare ou 20mm en tramway videmment des bicy clettes seront en location H bergement Afin de diminuer l avance financi re faite par les d l gu Es les frais d h bergement 2 nui t es et 2 petits d jeuners sont pris en charge par les Verts aucune avance ne sera n ces saire Cependant les frais de transport et de restauration seront comme l accoutum e avanc s par les d l gu s 5 N sommes tr s fiers et heu reux d accueillir le congr s dans notre r gion Il arrive un moment tr s particulier de la vie des Verts un moment o notre pays est confront une double urgence cologique et sociale et o les citoyens doutent de la capa cit des partis politiques r ellement changer l ordre des choses Un congr s c est un moment de d bats d changes et de choix sur des orientations de fond Le nombre et la pluralit des motions en pr sence prouvent la richesse et la diversit de notre parti Mais ce congr s se doit d tre un congr s d apaisement d ouverture qui posera les bases solides pour faire gr
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