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1. ds J EDF plat un dispositif difficilement ma tris par leurs structures financement pour des salari s n intervenant finalement pas pour le compte d EDF disparit s de co ts factur s par les SSTI rep rage des DATR A et B d faillant etc EDF a ainsi aujourd hui affich son d sir de traiter avec un maximum SSTI sur des bases tarifaires communes et propose cet effet une convention type de prise en charge Les premiers SSTI concern s par le renouvellement de leur convention et le Cisme avaient ainsi rencontr plu sieurs reprises les repr sentants d EDF en charge du dossier afin de tracer les grandes lignes de cette nouvelle convention susceptible d tre sign e par une majorit de Services Agence nationale d am lioration des conditions de travail Parution Anact la qualit des services la personne tion en 2060 8 millions de Fran ais auront 80 ans et plus et la question de la prise en charge des per sonnes d pendantes le secteur des Services la personne se devra d adap ter son offre la demande croissante for au vieillissement de la popula En s appuyant sur pr s de 800 inter ventions r alis es par ses soins dans le secteur de l aide domicile le r seau Anact Aract Agences nationale et r gionales pour l am lioration des condi tions de travail anticipe le d fi qualitatif et quantitatif qui se pr sente aux ser vices la personne
2. n conclusion si les textes ne d finissent pas la notion d affec tation durable ou le fait de ne pas se rendre habituellement au sein d un tablissement les SSTI de proximit devraient s attacher v rifier au mini mum l adresse du site de travail du sa lari loign et celle du SSTI principal Il pourrait aussi tre utile de questionner l entreprise afin de s assurer que la sur veillance m dicale dudit salari est par ticuli rement compliqu e mettre en uvre du fait de la distance entre le lieu de travail et le SSTI principal En tout tat de cause la r glementation reste impr cise laissant de facto la place une certaine subjectivit mi Les Risques Psychosociaux Guide pour le m decin du travail ISQUES SY 2 7 10 61017 15 lt e18 1 24 2010 LE M DECIN DU TRAVAIL RE 5 Editions DOC S www editions docis com Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 LE M INFORMATIONS JURIDIQUES Examens compl mentaires et exposition aux agents chimiques dangereux Le financement est la charge des SSTI e d cret n 2014 798 du 11 juil let 2014 introduit une modifica tion r glementaire s agissant de la prise en charge des exa mens compl mentaires effectu s pour les salari s expos s des agents chimiques dangereux Celle ci s inscrit dans la continuit des modifications qui avaient t int gr es par la r forme de 2011 2012 Rappelons qu avan
3. ER Informations mensuelles oC Editorial Apr s la diffusion au printemps du bilan interm diaire de la r forme tabli par la Direction G n rale du Travail et de ses constats appelant des ajustements r glementaires ni l Etat ni les partenaires sociaux n ont indiqu leur souhait que soient prises des mesures en cons quence dans l imm diat La s ance inaugurale du Congr s de Lille la r union pl ni re du COCT le 30 juin 2014 ou encore la Grande Conf rence sociale de d but juillet n ont en effet pas permis de constater une prise en compte des r alit s de terrain pour la bonne r alisation des missions des SSTI en s curit juridique Les lettres adress es par le Cisme aux Ministres ou aux partenaires sociaux n ont pas produit d effets tangibles ce jour Dans la situation des SSTI confront s l inad quation des objectifs et des ressources depuis de longues ann es maintenant cette inaction est de plus en plus incompr hensible et source de difficult s croissantes pour l ensemble du dispositif Le Cisme est donc appel se positionner dans ce contexte pour envisager l avenir Il a sembl indispensable son conseil d administration de formaliser ses r flexions sur des sujets cl s qui conditionnent l avenir du fonctionnement des SSTI Des propositions pour des ajustements r glementaires les modalit s de gouvernance des Services leur repr sentation les modes de cotisat
4. tre d ment identifi e la per sonne dont il mane et qu il soit tabli et conserv dans des conditions de nature a en garantir l int grit l article R 4624 47 du Code du travail issue du d cret n 2014 798 du 11 juillet 2074 autorise d sormais la transmission de la fiche m dicale d aptitude a l em ployeur par tout moyen conf rant une date cer celte transmission La nouvelle r daction de taine peut s effectuer par voies de transmission classiques telles que les courriers recomman d s avec accus de r cep ton ou remises contre d charge mais galement par t l copies ou par voie num rique Cet article pose les conditions pour qu un document lectronique ait une valeur juridique la valeur d un original gt identifier la personne qui commu nique le document lectronique courriel PDF gt la conservation dans son tat d mission Deux proc d s informatiques per mettent d assurer et de remplir ces conditions 1 La signature lectronique permet l identification de la personne com muniquant le document 2 Le coffre fort remplit la condition de conservation et de non modification du document Il faut alors faire appel une entreprise tiers nomm e tiers de confiance Il convient de pr ciser que les pho tocopies de documents originaux sont accept s condition de conser ver l original sous r serve de faire l objet de v rification
5. afin de faire du lieu de travail un lieu de promotion et de pr servation de la sant Pour ce faire le document propose no tamment de s appuyer sur l exp rience collective des acteurs du travail en ma ti re de pr vention des risques profes sionnels et d largir les actions de ces derniers la prise en compte de patho logies d origines non professionnelles La feuille de route conclut ainsi que pour mieux articuler politique de sant et Sant au travail e troisi me plan Compte personnel de pr vention de la p nibilit Report partiel du dispositif C3P 2016 e Premier Ministre a annonc d but juillet une mise en place progressive du dispositif C3P chelonnant la prise en compte des facteurs de p nibilit sur 2015 et 2016 Dans le prolongement de la promulga tion de la loi du 20 janvier 2014 relative l avenir et la justice du syst me de retraites un compte personnel de pr vention de la p nibilit dit C3P a t instaur afin de consigner les p riodes d exposition des salari s concern s un ou plusieurs facteurs de p nibilit et leurs droits aff rents Dans l attente d une pr sentation des d crets encore non parus ce jour l ex cutif a propos le report partiel du dispositif C3P Ainsi sur les 10 facteurs de p nibili t prendre en compte dans le calcul quatre entreraient en vigueur au 1 jan vier 2015 travail de nuit travail r p tit
6. lections professionnelles ar ticles 13 17 C trav nouveaux ar ticles L 2314 5 L 2314 10 L 2323 7 3 L 2324 8 et L 2324 12 La transmis sion du proc s verbal de carence dans les 15 jours l inspecteur de tra vail par l employeur subsiste mais peut tre effectu e d sormais par tout moyen gt En outre l obligation de transmis sion automatique de l accord pr lec toral l inspection du travail en cas de modification du nombre et de la compo sition des coll ges lectoraux dispara t D sormais l employeur devra le faire uniquement lorsque l Inspection du tra vail en fait la demande il P riode d essai une sanction en cas de non respect du d lai de pr venance li e l essai La loi n 2008 596 du 25 juin 2008 portant modernisation du travail a ins taur un d lai de pr venance en cas de rupture du contrat de travail pendant la p riode d essai sans pour autant pr voir de sanction en cas de non respect de ce d lai Il convient de rappeler en effet que pendant l essai le contrat de travail peut tre librement rompu par le sala ri ou par l employeur sans qu il soit besoin de motiver cette rupture et sans indemnit L employeur et le salari doivent toutefois respecter un d lai de pr venance instaur par la loi du 25 juin 2008 Ainsi si la rupture du contrat en cours ou au terme de la p riode d essai inter vient l initiative de l employeur il doit r
7. sultat concernant leur obligation g n rale de s curit la mu tualisation du seul suivi de l tat de sant au sein d un SSTI n est qu un des outils la disposition de l employeur pour res pecter cette obligation au m me titre que la formation l information les Pro tections individuelles etc R duire cette obligation g n rale de s curit lun de ses aspects que constitue la Sant au travail est en cons quence une erreur factuelle et ju ridique En dernier lieu on indiquera si besoin tait que le conseil en pr vention ou m dical ne peut par essence n tre qu une obligation de moyens comme toute activit de conseil Au regard de ce qui pr c de gageons que le Service pourra faire entendre ces arguments dans le cadre de la proc dure d appel Dossier suivre donc E Journ e d tude Cisme du 18 septembre Une matin e technique consacr e aux nouveaux d crets e 18 septembre prochain le Cisme tiendra une journ e d tude dont la matin e technique sera d di e l ana lyse juridique des r cents textes venant impacter l organisation des Services de Sant au travail L ordre du jour de cette matin e technique sera le suivant Application des d crets du 11 juillet 2014 modalit s de transmission de la fiche d aptitude contestation des avis rapport d activit du m decin du tra vail CMT examens compl mentaires accords commission de contr le agr
8. une autre vision du travail en quipe M Olivier FOLLIOT Responsable D partement Pr vention Conseil IPRP AIST 39 Dole Les quipes Sant travail 7 ans apr s bilan et perspectives au travers de la mise en place du projet de Service Dr Martine MAGNE M decin coordonnateur AHI 33 Bordeaux Projet de Service et responsabilit s Me Virginie PERINETTI Avocate la Cour Charg e de mission CISME Paris Coop ration Services de Saut au Travail Interentreprises OPP BTP un volet du projet de Service Intervenant d finir T moignages de salari s d entreprises Synth se Dr Corinne LETHEUX Discours de cl ture Cl ture des Journ es Bars Journ es Sant Travail du CISME M INFORMATIONS M DICO TECHNIQUES Parmi les 28 de SSTI dont les per sonnels n utilisent pas encore les Th saurus Harmonis s pr s de 43 ont planifi leur incorporation leur logi ciel m tier en 2014 ou en 2015 Enfin 71 des Services qui n ont pas encore mis en place les Th saurus ont entam une r flexion pour les impl menter court ou moyen terme Ainsi les SSTI r ticents l utilisation des Th saurus Harmonis s semblent d apr s ces pre miers r sultats tr s minoritaires Toutefois l analyse des premiers r sultats de cette tude montre que tous les SSTI ne disposent pas des der ni res versions des Th saurus Har monis s En effet la majorit des Ser vices utilis
9. 2 2 Classification des produits noirs 3 CONDITIONS D EXPOSITION TOXIQUE LORS DE L UTILISATION DES BITUMES 4 EFFETS SUR LA SANTE LIES A L EXPOSITION AUX BITUMES ET FUMEES DE BITUMES 4 1 Effets toxiques COUT E mnt 4 2 Effets toxiques long Er e mn i BRECLEMENTATIOR Sn nets 6 MESURES ET EVALUATION DES RISQ 6 1 Evaluation de l expo Valeurs de r on de res Action Scientifique en Milieu de Travail Groupe ASMT Toxicologie Pags 119 M Milieu de Travail ASMT Toxico logie vient de r diger un Dossier Toxicologique destination des pr ven teurs des Services intitul Bitumes produits routiers et d tanch it d sormais accessible en libre acc s sur le site Internet du Cisme Les bitumes et les produits routiers ou liants bitumeux sont notamment mis en uvre dans la construction et l entretien des routes ainsi que pour tanch ifier les toitures Les missions produites lorsque ces produits sont chauff s peuvent contenir des agents chimiques dangereux susceptibles d engendrer chez les salari s expos s des effets parfois graves sur la sant Ce Dossier Toxicologique pr sente les compositions chimiques des fum es de bitumes et la classification des produits noirs Il rappelle la l gislation en vigueur et met en avant les conditions d exposition toxique li es l utilisation des bitumes pouvant induire des effets toxique
10. Grande Ins tance que le litige a t tranch ce en d faveur du Service demandeur En effet aux termes de la d cision en cause les juges consulaires d boutent le Service de toutes ses pr tentions et retiennent qu ils r sultent des articles L 4621 1 et L 4622 1 du Code du travail que les employeurs de droit priv sont tenus d organiser les services de san t au travail dans le respect des dispo sitions subs quentes du code peine de sanctions p nales pr vues l article L 4745 1 du Code du travail Que l article L 4622 2 du Code du travail autorise l employeur a d l guer cette t che a un groupement ou orga nisme distinct charge pour ce dernier d ex cuter sa mission dans les m mes conditions et sous les m mes sanctions que l employeur dans cette hypoth se l article L 4622 8 du Code du travail dispose que les missions sont assur es par une quipe pluridisciplinaire com prenant des m decins du travail des IPRP et des infirmiers Attendu qui est de jurisprudence constante que l interd pendance des obligations r ciproques r sultant dun contrat synallagmatique permet a l une des parties de ne pas ex cuter son obligation lorsque l autre n ex cute pas la Sienne Qu en l esp ce alors m me que les obligations des parties taient r ciproques et interd pendantes l A a manifestement failli ses obligations en n ex cutant pas les oblig
11. de conf rences invit es et de communications orales au cours de ces deux jours d changes et de r flexion Vous pouvez d ores et d j vous ins crire ainsi que les personnels de vos Services via le bulletin d inscription qui vous a t adress ou en le t l char geant dans la partie adh rents de notre site Internet Apr s le succ s rencontr en 2013 gageons que gr ce vous la 51 dition des Journ es Sant Travail sera encore plus riche et r v latrice du foisonnement d initiatives d velopp es dans les projets de Ser vices de vos associations our comprendre changer et par tager sur la mise en uvre de vos projets de Service rendez vous donc les mardi 21 et mercredi 22 octobre 2014 au Grand H tel Paris Nous vous attendons nombreux m De l utilisation des Th saurus Harmonis s Premiers r sultats de l tat des lieux de l impl mentation des Th saurus e Conseil d Administration du Cisme a mandat en 2009 la Commission Syst mes d Infor mation CSI afin de d gager une r flexion et des propositions quant l am lioration de la communicabilit et l efficience des Syst mes d information pr sents dans les SSTI La CSI a ainsi travaill au choix de Th saurus Harmonis s ainsi qu la mise en place d un syst me permettant de colliger ces donn es harmonis es et de rendre lisibles la situation et l ac tion des Services Apr s les premiers r sultat
12. de la Commission de concer tation aff r e au dispositif Commis sion de Virville sont toujours consul tables sur le site travail emploi gouv ou dans les compl ments de lecture des Informations Mensuelles sur le site du Cisme E ES Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 E ACTUALIT PROFESSIONNELLE Suivi des salari s expos s aux rayonnements ionisants Nouvelle convention de prise en charge EDF EDF propose une convention type de prise en charge du surco t des salari s DATR Directement Affect s aux Travaux sous Rayonnements l intention des SSTI pr voyant un montant forfaitaire de suivi individuel par salari fixe quelle que soit la cat gorie d exposition A ou B ans la perspective du grand ca ie maintenance et s curi sation du parc nucl aire fran ais qui am nera au probable doublement du nombre de salari s d entreprises ex t rieures intervenant sur les centrales EDF a affich son d sir d harmoniser progressivement sa prise en charge du surco t du suivi des salari s interve nants sur ses sites nucl aires Dans ce cadre EDF avait souhait sa voir si les SSTI taient en mesure d ab sorber cet afflux dans les prochaines ann es et revoir les conventions qu elle avait sign es avec les Services pour prendre en charge le surco t li au suivi des salari s expos s aux rayonnements ionisants intervenant sur leurs cen trales Son intention tait de remettre
13. de la Rosi re Paris 15 20 octobre 2014 Cisme Journ e d tude Grand H tel Paris 2 21 et 22 octobre 2014 Cisme 51 Journ es Sant Travail Grand H tel Paris 2 16 Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014
14. donn es d mat rialis es droits de lec ture et d criture extraction mais aussi par celle des serveurs physiques o ces donn es sont stock es droits d acc s aux diff rentes zones tanch i t des salles etc Certains Services ici le PST 14 ont pu choisir de faire faire un audit couvrant les infrastructures les r seaux les postes de travail ce afin de b n ficier d un regard ext rieur et sans complaisance quant la s curit de leurs syst mes l identification des faiblesses du syst me et des risques de s curi t constituant la premi re tape Outre les outils de s curit r glementaires et techniques logiciels mots de passe la s curisation des syst mes d informa tion passe galement par les pratiques des utilisateurs La question de la s cu rit se pense par l entr e technique mais doit galement se pencher sur l aspect humain et organisationnel du syst me d information qui pr sente plu sieurs risques piratage par t l phone ou mail La mise en place de nou veaux outils ou de nouveaux protocoles doit g n rer une politique communica tion voire si besoin une formation des acteurs ces outils Familiariser les uti lisateurs aux syst mes d information et leur d montrer l existence d une s curi sation efficace permet aussi d instaurer une certaine confiance en l outil quand des r ticences existent encore rensei gnement du Dossier M dical en Sant Travail
15. du Cisme article par article en vous rendant sur le site Cisme org rubrique Espace adh rents gt Appliquer la r forme La matin e technique du 18 septembre prochain sera consacr e en grande partie l application de ces textes m plus sur le site WW cisme org ACTUALIT PROFESSIONNELLE iCollaborateur m decin Page 2 Protocole Tutorat Page 3 D cision d un Tribunal de Commerce gt gt Grande conf rence sociale pour l emploi 2014 Page 4 Une feuille de route vers une articulation entre politique de sant et Sant au travail gt Suivi des salari s expos s aux rayonnements ionisants Page 5 Nouvelle convention de prise en charge VIE DES R GIONS gt Ateliers du Cisme Pages 6 7 Restitution des Ateliers de Lyon M DICO TECHNIQUE gt gt 51 Journ es Sant Travail du Cisme Page 8 Programme disponible et inscriptions ouvertes gt De l utilisation des Th saurus Harmonis s Pages 8 9 Premiers r sultats de l tat des lieux de l impl mentation des Th saurus gt Rapport IGAS Page 10 Interactions entre Sant au travail et Sant publique iPrise en charge d un salari atteint par le virus Ebola Page 12 Des recommandations applicables par les professionnels de Sant du SSTI gt Transmission des avis d aptitude l employeur Page 13 Les nouvelles modalit s gt gt Simplicitation et adaptation du droit du travail Page 14 Ordonnance du 26 juin 2014
16. gt Travailleurs loign s Page 15 Application du d cret du 24 avril 2014 gt Examens compl mentaires et exposition aux agents chimiques dangereux Page 16 Le financement est la charge des SST N oubliez pas RAPPORT DE BRANCHE DATE LIMITE DE R PONSE AUX ENQU TES LE 30 09 2014 V MOUVEMENTS E ACTUALIT PROFESSIONNELLE 14 Mme Laurence Eudeline est la nouvelle directrice du Ser vice Santravir et prend la suite de Mme Elena Colbianu cette derni re ayant pris la direction de l AHIRP Pau 64 31 Suite au d part de son pr d cesseur M Daniel Menet le Professeur Michel Carton a t lu Pr sident titre tempo raire de l ASTIA Association de Sant au Travail Interentreprises et de l Artisanat Toulouse 35 Le Service AIMT de Rennes devient AST 35 Asso ciation Sant Travail 35 51 M Philippe Denoyer a pris la suite de Mme Val rie Vol Fresne la direction de AM TER d Epernay Cette derni re poursuit ses fonctions de direc trice au sein du Service Reims Sant Travail 65 Le SIST des Hautes Pyr n es de Tarbes accueille un nouveau pr sident en la personne de M Frank Toulouse 80 Mme Francine Lemonnier prend la direction de l ASMIS succ dant M Fran ois Dese rable qui a fait valoir ses droits la retraite CNAMTS Dominique Martin quitte ses fonctions de directeur des risques professionnels de la Caisse nationale d Assurance mal
17. n ficiaires du principe de l immunit civile lequel permet la substitution du Service em ployeur voire de son assureur s agis sant de toute r paration due dans le cas d une faute ventuelle de l un des sala ri s pr cit s Il est ce titre utile de rappeler ici que les Services doivent veiller lac tualisation de leurs garanties assuran tielles au fur et mesure de l volution des modalit s de r alisation de leur mission On ajoutera par ailleurs que le texte r glementaire visant explicitement les comp tences et l exp rience du colla borateur m decin le protocole voqu par le Code du travail pourra tre dif f rent en pratique d un tuteur un autre ou d un collaborateur m decin un autre en fonction de leur profil De la m me mani re ledit protocole d faut d tre volutif sera suivi par autant de protocoles que le tuteur le jugera utile au regard de l acquisition dans le temps de formation des comp tences et de l exp rience du collaborateur m decin En d autres termes il ne devrait y avoir de protocole type en la mati re puisque par d finition un tel acte m di cal demeure d une part de la seule ap pr ciation du m decin du travail concer n et d autre part conditionn par les diff rences de chaque situation pra tique Ceci pos dans le cadre des moyens que les Services employeurs mettent disposition de leurs m decins du travail sa
18. prise peut d sormais adh rer plu sieurs SSTI de proximit dans un m me d partement contrairement ce que pr voyait la circulaire du 5 f vrier 2007 relative l application de la sant au travail destination des salari s et des sites loign s Lors de la demande d adh sion lem ployeur doit fournir La liste des travailleurs concern s dont ceux relevant d une surveillance m dicale renforc e L adresse du site ou des sites suivre La fiche d entreprise pr vue l article R 4624 37 Les coordonn es du service de sant au travail principal et des m decins du travail comp tents Ainsi l adresse du lieu de travail des salari s loign s permet au SSTI de proximit r ceptionnant la demande d adh sion de v rifier qu il est bien comp tent pour organiser la surveil lance m dicale du salari Par ailleurs Extension d accords collectifs de branche ES du 20 juin 2013 portant r vision partielle de la Convention collective nationale des Services de sant au travail interentreprises a t tendu par arr t du 26 juin 2014 JO du 5 juillet 2014 Sont rendues obligatoires pour tous les employeurs et tous les salari s compris dans le champ d application de cette Convention les dispositions de cet accord du 20 juin 2013 Toutefois l arr t pr cise que l article 11 4 relatif l assistant de service social est tendu sous r serve des dispositions de l art
19. sitions professionnelles auxquelles un salari est expos ces matrices consti tuent une aide au rep rage des expo sitions li es un salari et pourront terme tre utilis es pour des tudes plus grande chelle Certains risques professionnels ef fets diff r s avec parfois des latences longues pourront tre mieux tudi s Par ailleurs une surveillance l chelle de la population exige de s int resser l ensemble des emplois susceptibles d avoir t exerc s Pour toutes ces raisons le groupe ASMT Fiches M dico Profession nelles est appel poursuivre son tra vail d laboration de matrices pour de nouvelles professions et assurera une veille annuelle de ces MEEP prenant en compte les volutions r glementaires et scientifiques ainsi que les remont es des utilisateurs e nouvelles matrices sont actuel lement en cours d laboration et seront prochainement adress es aux diteurs de logiciels m AFOMETRA Assistant e Technique en Sant Au Travail niveau Ill formation en sant au travail a commission nationale de la certification professionnelle a propos un avis favorable la demande formul e par l Afometra au Ministre charg de la forma tion professionnelle d enregistrement au RNCP R pertoire National des Certifica tions Professionnelles pour le titre de Assistant e technique en Sant au travail code s NSF 315r et 331r pour une dur e de 4 ans Le ministr
20. tre simplifi et voluer sur une approche davantage pid mio logique Une fois son contenu revu son informatisation en vue d une ex ploitation simplifi e mais effective m riterait d tre nouveau envisag e e Recommandation 6 Les donn es sur la Sant au travail m riteraient d tre structur es et optimis es et de S inscrire dans le cadre d une politique globale d am lioration des connais sances sur la Sant au travail Recommandation 7 Dans le cadre des actions de sensibilisation et de mobilisation des acteurs pr vues par les assises nationales figu rant dans le plan cancer un accent particulier doit tre mis sur la sensi bilisation des dirigeants des cadres de proximit et du collectif de travail e Recommandation 11 La mission recommande de faire conna tre les pratiques innovantes qui contribuent a identifier les besoins des per sonnes et accompagner les malades dans leurs d marches afin de favori ser leur d veloppement m 107 Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 Deuxi me livraison de MEEP aux diteurs de logiciels Des matrices partag es nationalement pour plus de 200 m tiers pr s un premier envoi en mars 2014 de nouvelles MEEP Ma trices Emploi Expositions Po tentielles ont t adress es au mois de juillet dernier aux diteurs de logiciels Ainsi les MEEP de plus de 200 professions sont d ores et d j en cours d impl mentation dans
21. adie des travailleurs sala ri s pour prendre la direction de l Agence nationale de s curit du m dicament ANSM Les Informations Mensuelles paraissent 11 fois par an Editeur Cisme 10 rue de la Rosi re 75015 Paris T l 01 53 95 38 51 Fax 01 53 95 38 48 Site www cisme org Email info cisme org ISSN 2104 5208 Responsable de la publication Martial BRUN R daction Martial BRUN Julie DECOTTIGNIES Fran oise JACQUET Corinne LETHEUX Anne Sophie LOICQ Constance PASCREAU Virginie PERINETTI B ata TEKIELSKA Robert TINEL Herv TURPIN Assistants Agn s DEMIRDJIAN S bastien DUPERY Patricia MARSEGLIA Maquettiste Elodie CAYOL Collaborateur m decin Protocole Tutorat Dans les suites de la parution des d crets n 2014 798 et 2004 799 du 11 juillet 2014 ajoutant notamment des dispositions relatives au collaborateur m decin l encadrement de ce dernier par protocoles questionne our m moire on rappellera les dispositions du nouvel article R 4623 25 1 du Code du travail Le collaborateur m decin remplit les missions que lui confie le m decin du travail qui l encadre dans le cadre du protocole crit pr vu par l article R 4623 14 et valid par ce dernier en fonction des comp tences et de l exp rience qu il a acquises Ce protocole d finit les examens pr vus la section 2 du chapitre IV du pr sent titre auxquels le collaborateur m decin peut proc der Dans ce c
22. age la charge de l employeur sim plification concernant les obligations de transmission de documents l Adminis tration fixation des r gles applicables la rupture du contrat pendant la p riode d essai en l absence du respect par l employeur du d lai de pr venance I Les obligations en mati re d affi chage et de transmission des docu ments sont simplifi es Les obligations d affichage destin es l information des salari s et des orga nisations syndicales s assouplissent D sormais dans les cas vis s par lor donnance l employeur pourra s acquit ter de cette obligation par tout moyen ce qui permettra notamment la trans mission des informations par voie nu m rique mail intranet etc En effet le titre 1 de l ordonnance re groupe les simplifications concernant les obligations d affichage Il est pr vu de remplacer certaines d entre elles qui apparaissent non pertinentes et trop restrictives par une obligation d infor mation par tout moyen qui offre plus de souplesse l employeur et des garanties quivalentes ou sup rieures aux salari s en termes de droit l information Ainsi l obligation d affichage dispara t au profit d une information des salari s par tout moyen s agissant gt des sanctions p nales encou rues en cas de discrimination de har c lement moral ou sexuel articles 1 3 C trav nouveaux articles L 1142 6 L 1152 4 L 1153 5 gt dup
23. ant les missions auxiliaires sp cifiques d un poste d IPRP un autre La constitution des fiches de poste est par nature intiment li e celle des quipes pluridisciplinaires en elle m me et est ce titre une aide au m decin animateur de l quipe lui per mettant de conna tre et de coordonner les missions de ses quipiers La r daction de la fiche de poste va vers la recherche d un quilibre entre d finir clairement les contours et limites des postes et permettre une certaine lati tude ne pas enfermer le salari dans sa fiche de poste Au del de son utili sation en interne elle permet aussi de poser les bases d une communication destination des adh rents de r fl chir la fa on dont leur seront pr sent s les nouveaux m tiers les nouveaux inter venants avec qui ils travaillent d sor mais AST IPRP La s curisation des syst mes d information Tra abilit des donn es bases de donn es requ tables exploitation de donn es collectives Interop rabilit les possibilit s offertes par les sys t mes d informations et les besoins de ces nouvelles possibilit s vont crois sant mais posent de fait plus que jamais la question de leur s curisation par ail leurs encadr e par un solide contexte r glementaire Les Services PST 14 AST 74 et Age metra sont ainsi venus exposer leur gestion de la s curit informatique qui passe la fois par la s curisation des
24. as les avis pr vus l article R 4624 54 sont pris par le m decin du travail sur le rapport du collaborateur m decin Au regard des premi res interroga tions suscit es par ce texte on indique ra les l ments suivants En premier lieu l exercice m dical et personnel du m decin du travail tu teur ou non le laisse seul d cideur et r dacteur des protocoles n cessaires la r alisation de sa mission au sein d un Service de sant au travail Cette d cision et sa formalisation sont en cons quence des actes m dicaux qui rel vent de sa comp tence m dicale au m me titre que la prescription d un examen compl mentaire par exemple En second lieu la bonne r alisation de ce qui est protocolis incombe en revanche au collaborateur m decin tout autant qu l infirmier s agissant des actes infirmiers sur protocoles m dicaux ou encore au laboratoire dans le cas d une analyse biologique deman d e par prescription Le protocole m dical ou la prescription sont donc deux formes de d cisions m dicales dont l objet rel ve de la comp tence d un autre professionnel En troisi me lieu on soulignera que le m decin du travail tuteur ou non plus sur le site WW cisme org comme le collaborateur m decin ou encore l infirmier de l quipe amen s exercer sur protocole sont tous des salari s du Service Partant dans le cadre de l exercice de leurs missions respectives ils demeurent b
25. ations mises sa charge par d l gation de la soci t T l Que l employeur a en mati re de s curit au travail une obligation de r sul tat l gard de ses salari s et que cette obligation de r sultat est transmise l association qui a re u d l gation de l employeur vis vis de ses salari s C En r sum on rel vera d abord que cette d cision assimile le contrat d ad h sion un SSTI par une entreprise un contrat de droit commun alors qu il s en distingue Ensuite on observera que les m mes magistrats consid rent tort que les SSTI ont une obligation de r sultat en mati re de pr vention ce qui n est nullement le cas En effet en premier lieu on souligne ra que le droit associatif est un r gime juridique part enti re qui oblige tout adh rent accepter des r gles statu taires mais lui permet de participer aux d cisions prises au nom de la struc ture ladh rent est bien cod cideur en contrepartie d une cotisation globale laquelle est d terminante et ind pen dante des contreparties individualis es En second lieu on rappellera que des juridictions civiles pr c demment sai sies ont d j consid r que les Services avaient une obligation de moyens dans la r alisation de leur mission voir en ce sens l article des IM n 24 F vrier 2014 sur la d cision de la Mayenne pp 6 8 Ainsi si les employeurs ont bien une obligation de r
26. classe 12 soit le seuil d acc s l ar ticle 4 bis sous r serve de l accord de l AGIRC Lors de sa s ance du 12 f vrier 2014 la Commission Administrative Paritaire de l Agirc ne s est pas prononc e sur le dossier des classifications pr sent par la branche Sant Travail au motif qu elle avait besoin d informations com pl mentaires cf art p 16 des IM d Avril 2014 Les informations demand es par l Agric ont depuis t transmises par la branche Depuis f vrier 2014 la Commission Administrative de l Agirc a perdu la d l gation de pouvoir qui lui avait t accord e par le Conseil de l Agirc de puis 1987 pour traiter les dossiers des seuils d acc s aux articles 4 4bis et 36 lorsqu une branche modifie ses classi fications Dor navant cette Commission Ad ministrative instruit seulement les dos siers et transmet ensuite ses proposi tions au Conseil de l Agirc qui d cide Cette nouvelle proc dure est entr e en vigueur l occasion de la Commission Administrative paritaire du 20 juin 2014 avec des d cisions prises ensuite par le CA du 25 juin L Agirc n a pas souhait mettre le dos sier de la Sant au travail l ordre du jour de cette Commission du 20 juin Le dossier de la branche ne sera donc tu di que le 25 septembre 2014 avec une d cision prise par le CA de l Agirc d Oc tobre 2014 n attendant comme il l a t crit dans l article d avril 2014 des In formations M
27. dans un ouvrage intitul La qualit des services la personne le travail au c ur de l inno vation organisationnelle R dig par Nadia Rahou sociologue du travail et charg e de mission l Anact ce document se veut renouve ler l approche de la qualit dans les Ser vices la personne ce en mettant l or ganisation du travail au c ur du projet de d veloppement du secteur Le secteur des services la per sonne et de l aide domicile compte aujourd hui deux millions de salari s et un potentiel de recrutement de 650 000 personnes sur la prochaine d cennie mais n en est pas moins sinistr et l ac croissement de la demande pourrait im pacter la qualit et l attractivit des em plois associ s L ouvrage propose ainsi une approche analytique du travail et de son organi sation dans le secteur des services la personne qualit des services rendus et qualit des conditions de travail et d emploi tant directement li es brochure La qualit des services la personne peut tre comman d e sur le site internet de l Anact www anact fr m Cette convention type est pr sent stabilis e et tient compte pour l essen tiel de l analyse des charges et des modalit s de fonctionnement tablie par les Services Elle pr voit notam ment un montant forfaitaire de suivi individuel par salari de 350 euros HT quelle que soit la cat gorie d exposition A ou B Sur cette ba
28. dispositif d intervention en cas de situations traumatog nes en entreprises Mme Charlotte BESSON Psychologue du travail AMIEM Vannes Pause Une d marche innovante Rendez vous collectif de Sant au travail Dr F licette FRUIT M decin du travail AMI Sant au Travail Evreux Pr vention du risque CMR mise en uvre du projet de Service par l quipe Sant travail en faveur des plombiers chauffagistes Dr Pierre LOTTHE M decin du travail ASMIS Amiens Une cellule m dico psychologique au travail en SSTI Mme Priscilla MARTIN Psychologue du travail ADESTI Mont Saint Aignan Horaires d cal s apprentis sommeil Dr Dominique DAURES M decin du travail AMIEM Vannes Fin des communications sure Journ es Sant Travail du CISME Mise en uvre op rationnelle du projet de Service PR PROGRAMME EE E E Mercredi 22 octobre 2014 Matin 8h30 me 3 Accueil session 8h45 12h15 Cons quences sur l organisation des SSTI premi re partie Pr sidents de s ance Dr Patricia MALADRY et Mme Anne BERNARD 8h45 9h15 9h25 9h45 10h05 10h25 10h55 11h15 11h35 11h55 12h15 Conf rence invit e Titre d finir Pr Fran ois HUBAULT Professeur d Ergonomie et d Ecologie Humaine Universit Paris 1 Panth on Sorbonne Paris Discussion Dynamique de progr s M Bernard GA SSET Directeur G n ral ACMS Suresnes Proje
29. e comme lieu de promotion de la Sant Aujourd hui selon ce rapport la pr vention primaire des maladies cardio vasculaires est essentiellement ax e sur les facteurs de risque non profes sionnels ce qui justifierait une pr ven tion collective englobant l ensemble des facteurs Les diff rents interlocuteurs auditionn s par les auteurs du rapport dont le Cisme mettent en avant la n cessit d anticiper les risques et d avoir une approche globale de la question Afin de r pondre aux questions soule v es la publication de l IGAS d veloppe une argumentation en trois grandes parties une premi re consacr e aux liens entre les situations de travail et les facteurs de risque cardiovasculaire une seconde sur les d marches de pr vention et de promotion de la Sant et une derni re proposant un certain nombre d orientations pour repenser les jeux d acteurs et mieux articuler Sant Publique et Sant au Travail Les facteurs de risque cardiovascu laires en rapport avec les situations de travail Le rapport confirme ce que les pro fessionnels et en particulier les m de cins du travail affirment savoir que l environnement professionnel et plus particuli rement les agents chimiques benzoapyr ne monoxyde de carbone antimoine arsenic mercure plomb les contraintes physiques li es au travail efforts physiques intenses bruit froid chaleur pollution les contraintes organisationnell
30. e Lille Elle a en outre suivi une formation en toxicologie au CNAM en 2011 Par ailleurs depuis quelques mois le groupe ASMT Ergonomie s est lar gi avec l arriv e de Monsieur Christophe Leviel ergonome et charg de pr ven tion lui aussi P le Sant Travail M tropole Nord de ces nouvelles arri v es le Cisme adresse ses remer ciements aux Services qui favorisent le partage de connaissance et la pro duction d outils et de documents l at tention des professionnels des SSTI en permettant leur personnel de participer aux travaux des groupes ASMT m Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 M INFORMATIONS JURIDIQUES Transmission des avis d aptitude l employeur Les nouvelles modalit s t 2014 est marqu par une ten dance de modernisation et de sim plification du droit du travail Une s rie de dispositions visant sim plifier certaines r gles notamment en mati re de transmission de documents l Administration et d affichage ont t prises par voie d ordonnance n 2014 699 du 26 juin 2014 portant simplifica tion et adaptation du droit du travail infra Les d crets n 2014 798 et n 2014 799 du 11 juillet 2014 portant diverses dispositions relatives l organisation de la m decine du travail ont suivi cette tendance Le mode de transmission de la fiche m dicale d aptitude par le m decin du travail l employeur a t pr cis express ment par l
31. e S I une aide pr cieuse la mise en uvre du projet de Service com 2 Mme Pascale ROCHEDY Directrice CMSM Paris 10h15 Le syst me d information au service du projet de Service et du CPOM com 5 Il si Caen 10h35 Pause 11h05 Pr vention des TMS MS dans les entreprises de moins de 50 salari s com 11 Dr Olivier PALMIERI M decin du travail ASMT 65 Tarbes 11h25 Mieux vivre la r forme gr ce un projet de Service et son plan d action com 13 Dr Jean DELHOSTAL M decin du travail coordinateur Sud Manche SISTM 50 Pont sous Avranches 11h45 Le projet de Service comme outil de fusion com 16 Mme Delphine GRUAZ Animatrice DPS AST 74 Annecy 12h05 De l utilit d EVREST dans les projets de Service com 18 Dr Marie Claire BARDOUILLET M decin du travail Membre de l EPNE EVREST MT 71 Chalon sur Sa ne 12h25 D jeuner PUS Journ es Sant Travail du CISME En effet sur les 103 SSTI r pondants les Th saurus Harmonis s ont t im pl ment s pour tout ou partie dans 72 des cas De plus pr s d un Service sur deux dispose actuellement de l ensemble des Th saurus Harmonis s Etat des lieux de l impl mentation des Th saurus Harmonis s 71 a SSTI ayant impl ment tout ou partie des Th saurus STTI ayant planifi l impl mentation en 2015 SSTI ne disposant pas des Th saurus amp STTI ayant planifi l impl mentation en 2014 am
32. e a act l enregistrement de ce titre au RNCP par l arr t publi au JO du 3 juillet 2014 enregistrement pour 4 ans au niveau Ill avec effet du 28 mars 2011 au 03 juillet 2018 Cette certification professionnelle peut tre acces sible par la VAE Validation des Acquis de l Exp rience L Afometra certificateur remet aux titulaires un parchemin conforme La certification professionnelle atteste d une qualification c est dire de capaci t s r aliser des activit s professionnelles dans le cadre de plusieurs situations de travail des degr s de responsabilit s d finis dans un r f rentiel Le RNCP www cncp gouv fr contribue faciliter l acc s l emploi la gestion des ressources humaines et la mobilit professionnelle E INFORMATIONS M DICO TECHNIQUES L BR VE Groupe ASMT Toxicologie Un document sur les risques toxiques des bitumes BITUMES PRODUITS ROUTIERS ET D ETANCHEITE RISQUES TOXIQUES HYDROCARBURES AROMATIQUES POLYCYCLIQUES HAP Mai 2014 J ASMT Toxicologie Dossier toxicologique SOMMAIRE 1 D FINITIONS aniani 1 1 Pour les travaux roi utiers on distingue 1 2 Pour les travaux d tanch it de couverture on utilise 1 3 Pour les autres travaux d tanch it on utilise ssussssssvrssrss seror one see serres 2 COMPOSITION DES FUMEES DE BITUMES CLASSIFICATION 2 1 Compos ion ties Andes de DAUMIBE nes
33. ement de la d marche et un support dans l laboration du pro jet de Service amenant les SSTI se pencher sur les diff rents aspects cl s de leur activit de leur gouvernance la participation du Service la politique r gionale de Sant au travail en pas sant par la gestion des syst mes d in formation la politique de ressources hu maines ou encore le suivi des actions mises en place Inscrite sur le long terme la D marche de progr s en Sant Travail a n cessit dans la majorit des Services parta geant leur exp rience un travail conduit en mode projet sur diff rentes tapes tenant compte du calendrier et des moyens disposition Parmi les outils utilis s on retiendra la mise en place de logiciels qualit et ou de bases do cumentaires partag s avec l ensemble des acteurs du Service et une large dif fusion des proc dures et protocoles du Service comme des comptes rendus et autres supports d informations La cir culation de l information et surtout la motivation des acteurs constituent en effet des l ments primordiaux dans le d ploiement de la DPST et les t moi gnages des participants se sont rejoints sur le besoin d un engagement marqu de la direction d un animateur qui sache communiquer d un sens donn la d marche et d une visibilit de ses b n fices court comme long terme Par essence la DPST n cessite la mobili sation de chaque membre du Service perme
34. ensuelles il est deman d tous les SSTI pour tous les per sonnels positionn s en classe 12 de les maintenir dans le r gime de retraite des employ s Arrco et le r gime de pr voyance des employ s m un ou plusieurs examens Sp ciali s s compl mentaires auxquels le m decin du travail proc de ou fait proc der Ces examens sont pris en charge dans les conditions pr vues l article R 4624 26 ou s il s agit d un salari agricole l ar ticle R 717 20 du Code rural et de la p che maritime On retiendra que seuls les examens compl mentaires r alis s pour les agents de la fonction publique hospita li re et ceux effectu s dans le cadre de l article R 4426 6 concernant les vac cinations et l immunisation restent la charge de l employeur A les SSTI ont pour la plupart mutualis les co ts en les int grant la cotisation m E AGENDA 17 septembre 2014 Cisme Conseil d administration 10 rue de la Rosi re Paris 15 18 septembre 2014 Cisme Journ e d tude Salon Hoche 9 avenue Hoche Paris 15 24 amp 25 septembre 2014 Cisme Commission Paritaire Nationale de Branche 10 rue de la Rosi re Paris 15 Du 1 au 3 octobre 2014 SELF Soci t d Ergonomie de Langue Fran aise Congr s Ergonomie et D veloppement pour tous Espace Congr s La Rochelle 15 amp 16 octobre 2014 Cisme Commission Paritaire Nationale de Branche 10 rue
35. ent la Version 1 2012 des Th saurus et quelques SSTI ont encore dans leur logiciel la version 0 2011 Ainsi partir des informations recueil lies le Cisme a pu dresser une carto graphie du taux d impl mentation des Th saurus Harmonis s Bien qu encore parcellaire elle permet de visualiser la dynamique en marche et d appr hender des r alit s r gionales L tude de l impl mentation des Th saurus Harmonis s montre des diff rences significatives d utilisation sui vant les Th saurus En effet titre d exemple pr s de 70 des Services utilisent la NAF 2003 pour coder les secteurs d activit et plus de 60 la PCS ESE 2003 pour renseigner les professions L utilisation de la CIM 10 pour nommer les effets sur la Sant s est galement g n ralis e puisque pr s de 65 des Carte de l impl mentation des Th saurus Harmonis s F ES professionnels des SSTI l utilisent au quotidien L impl mentation des Th saurus Har monis s de l Action en Milieu de travail AMT des Vaccins et des Examens Compl mentaires est effective dans pr s d un Service sur deux Enfin les Th saurus Harmonis s de la Pr vention et des Expositions Pro fessionnelles sont actuellement com parativement moins utilis s mais sont galement en g n ral les derniers avoir t impl ment s par les diteurs de logiciels La faible impl mentation Bilan de l impl mentation des Th saurus Harmo
36. es dur es du travail excessives travail post in tensit du travail sont des facteurs aggravants dans la survenue de mala dies cardiovasculaires De plus l asso ciation et la simultan it de l exposition ces diff rents facteurs augmentent le risque de survenue des pathologies car diovasculaires Les d marches de pr vention et de promotion de la Sant Le rapport de l IGAS met en avant le fait que les maladies cardiovasculaires ne sont pas au c ur des politiques nationales de pr vention qui leur pr f rent les TMS les RPS ou encore les CMR En outre les auteurs formulent un tat des lieux des difficult s pour mettre en uvre des d marches de pr vention des risques cardiovasculaire et une promotion de la Sant dans les entre prises scepticisme vis vis de ces actions probl mes li s la d mographie des m decins du travail visite orient e sur la question de l ap titude augmentation des contrats de courte dur e et clatement des lieux de travail Les propositions d orientation d articulation entre Sant au Travail et Sant Publique Cette publication met en exergue un certain nombre de points qui pourraient d apr s les auteurs permettre un d ve loppement de la promotion de la Sant Le rapport propose notamment d inclure un cardiologue au personnel des SSTI de faire intervenir un ergonome pour am nager les postes de travail et d en visager des adaptat
37. es ont t prises par les autorit s fran aises Ainsi la Direc tion G n rale de la Sant DGS pr co nise des recommandations concernant la prise en charge de cas suspects de maladie virus Ebola par les profes sionnels de Sant et les tablissements de Sant qui pourraient tre appliqu es par les Services de Sant au travail en cas de pr sence d un salari revenant depuis moins de 21 jours d un des pays pr c demment cit s et pr sentant une fi vre sup rieure 38 5 Aspects cliniques du virus Ebola Le virus Ebola se transmet l homme partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans la population par Pour en savoir plus transmission interhumaine par contact direct avec le sang les tissus ou les li quides biologiques de personnes infec t es La dur e d incubation du virus va rie de 2 21 jours La maladie virus Ebola est une mala die virale aig e avec un taux de l tali t pouvant atteindre les 90 se carac t risant le plus souvent par l apparition brutale d une forte fi vre sup rieure 38 9 un syndrome pseudo grip pal fi vre myalgies arthralgies et une profonde asth nie psychomotrice Plusieurs signes cliniques cutan o muqueux conjonctivite exanth me maculeux ou maculo papuleux dyspha gie et digestifs diarrh e vomissements se manifestent en trois ou quatre jours La phase terminale de l infection est marqu e par des signes neurologiq
38. es textes dans le sens de la simplification la remise en main propres tant rempla c e par tout moyen conf rant une date certaine La nouvelle r daction de l article R 4624 47 du Code du travail issue du d cret n 2014 798 du 11 juillet 2014 autorise d sormais la transmission de la fiche m dicale d aptitude em ployeur par tout moyen conf rant une date certaine Cette r daction a le m rite de lever toutes les incertitudes quant aux modes de transmission de la fiche m dicale d aptitude l employeur En effet cette transmission peut s effectuer par voies de transmission classiques telles que les courriers recommand s avec accus de r ception ou remises contre d charge mais galement par t l co pies ou par voie num rique condi tion d en conserver un exemplaire en original pour pouvoir le pr senter tout moment sur demande l inspec teur du travail et du m decin inspecteur du travail Ces nouvelles dispositions vont donc dans le sens de la simplification et de l adaptation du droit du travail pr vues par l ordonnance du 26 juin 2014 Valeur juridique des documents envoy s en num rique Il n est pas inutile de rappeler a va leur juridique d un mail et d un docu ment envoy par voie num rique L article 1316 1 du Code civil pr voit que crit sous forme lectronique est admis en preuve au m me titre que l crit sur support papier Sous r serve que puisse
39. especter un d lai de pr venance fix par l article L 1221 25 du Code du tra vail comme suit e vingt quatre heures en de de 8 jours de pr sence e quarante huit heures entre 8 jours et 1 mois de pr sence e deux semaines apr s 1 mois de pr sence un mois apr s 3 mois de pr sence En application de l article L 1221 26 du Code du travail lorsque la rupture du contrat pendant la p riode d essai intervient l initiative du salari celui ci doit respecter un d lai de pr venance de quarante huit heures ce d lai tant ramen vingt quatre heures si sa dur e dans l entreprise est inf rieure huit jours L ordonnance du 26 juin 2014 en son titre 111 comble ce vide juridique modi fiant l article L 1221 25 du Code du tra vail en pr cisant que l employeur de vra verser au salari sauf faute grave de ce dernier une indemnit compen satrice gale au montant des salaires et avantages correspondant la dur e manquante du d lai de pr venance indemnit compensatrice de cong s pay s comprise cf art 19 C r gle conforme ce qu avait pr conis la Cour de cassation dans son rapport pour l ann e 2012 s curise la proc dure tant pour l em ployeur que pour le salari m Ka Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 M INFORMATIONS JURIDIQUES Travailleurs loign s Application du d cret du 24 avril 2014 es SSTI sont sollicit s par les en
40. fin quelques incoh rences juri diques C est notamment le cas des dispositions relatives la visite de pr reprise l issue de laquelle il n est plus juri diquement n cessaire d tablir une fiche d aptitude On constatera galement une volont de mettre les textes r glementaires en conformit avec la d cision du Conseil d Etat qui avait annul des dispositions au motif qu elles auraient d faire l objet d un d cret en Conseil d Etat et non d un d cret simple En proc dant une renum rotation des articles passage de D R les articles relatifs la fiche d entreprise au rapport annuel d activit du m decin du travail et au dossier m dical r apparaissent Enfin on soulignera de nouvelles dispositions s agissant du statut du collaborateur m decin voir article en page 2 M me si certaines questions d ordre juridique subsistent la question qui pr occupait les SSTI sur la r daction des avis d aptitude est tranch e Les avis doivent tre pris par le m decin du travail sur le rapport du collaborateur m decin ceci s ajoutent une limitation du nombre de d l gu s de m decins la CMT un renforcement de la protection du m decin du travail en cas de licenciement une modification de la surveillance m dicale renforc e une augmentation de la prise en charge des examens compl mentaires par les SSTI pur plus de pr cisions nous vous invitons prendre connaissance de l analyse
41. gique virale FHV a virus Ebola Point de situation au 29 juillet 2014 http www diplomatie gouv fr fr conseils aux voyageurs infos pratiques 20973 article virus ebola guinee forestiere Les stup fiants et l entreprise Zoom sur la cocaine travers l angle du deuxi me produit illicite le plus consomm en France la cocaine cette brochure apporte des r ponses sur les risques professionnels et les responsabilit s li s la consommation de produits illicites en entreprise Elle int gre en outre les nouvelles r f rences incontour nables sur le risque addiction en entreprise telles que les recom mandations pour la pratique clinique relative au d pistage et la gestion du m susage de substances psychoac tives en milieu professionnel tablies par la Soci t Fran aise d Alcoologie et la Soci t Fran aise de m decine du ere Editions DOC S www editions docis com Zoom sur la coca ne ditions DOCIS Groupes ASMT De nouveaux membres dans les groupes Ergonomie et Toxicologie e groupe ASMT Action Scienti fique en Milieu de Travail Toxi cologie accueille un nouveau membre le Docteur Virginie Dieu en poste P le Sant Travail M tropole Nord Lille en toxicolo gie aux c t s du Docteur Bernard Fontaine et qui lui succ dera au sein de ce Service son d part en retraite Le Docteur Dieu est m decin du tra vail et praticien attach au centre anti poison d
42. icle D 4622 15 du Code du travail Pour m moire aux termes de l article D 4622 15 du Code du travail Le service de sant au travail interentreprises est constitu sous la forme d un organisme a but non lucratif dot de la personna lit civile et de l autonomie financi re Lorsqu il comprend un service social du travail ce dernier est anim par un assistant social du travail ou par un conseiller du travail L assistant social du travail est un assistant social dipl m d Etat ayant acquis un dipl me quivalent celui de conseiller du travail Er du 26 f vrier 2014 l accord relatif l indemnisation des frais de d placement et des frais de repas a t tendu par arr t du 26 juillet 2014 JO du 5 ao t 2014 m les coordonn es du SSTI principal per mettent au SSTI de proximit de s as surer que le salari loign exerce bien dans un lieu se trouvant dans un autre d partement que celui de l tablissement auquel il est habituellement rattach En outre il est rappel dans la notice explicative du d cret du 24 avril 2014 que le principe consiste bien pour l em ployeur remplir ses obligations en sant au travail avec un seul Service de sant au travail soit en organisant le d placement des salari s soit celui du m decin du travail d faut le grand loignement entre le lieu de travail ef le service de sant au travail peut justifier un suivi de broximit
43. if travail post travail en milieu hyperbare La prise en compte des 6 autres manutentions manuelles de charges agents chimiques dangereux ne de viendrait effective qu partir de l ann e 2016 pour l emploi 7 et 8 juit 214 sant au travail examinera comment renforcer la concr tisation de PANI sur la qualit de vie au travail Il int grera des actions de promotion de la sant visant compl ter les actions de pr vention d j engag es et permettant d am liorer et de pr server l tat de sant des travailleurs Sur cette base la loi de sant pourra le cas ch ant int grer des dispositions relatives la prise en compte de la promotion de la san t par les acteurs du monde du travail et a la place de la m decine du travail dans les parcours de soins Le soutien aux actions de promotion de la sant sur le lieu de travail figurera parmi les missions du futur Institut national pour la pr vention la veille et l intervention en sant publique int gralit du document est re trouver sur le site travail emploi gouv ou sur le site du Cisme en com pl ment de lecture de ce num ro m Il s agit de laisser un temps suppl mentaire aux entreprises pour int grer le dispositif assez complexe La nou velle phase de concertation venir de vrait se pencher sur l aspect juridique du dispositif pe la parution des d crets origi nellement annonc s en juillet les travaux
44. informatis par exemple Les changes ont galement rappel que le syst me d information n est pas r ductible au syst me informatique et qu il convient d int grer des protocoles et des outils de s curisation des docu ments physiques papiers Les diff rents supports de donn es posent par ailleurs la question de l archivage com ment garantir la p rennit des donn es 50 ans lorsqu il est impossible de sa voir aujourd hui quels formats informa tiques seront toujours en usage quels supports clefs usb disques pourront toujours tre lus Si la s curisation des syst mes d in formation n cessite des moyens tech niques du simple verrou au cloisonne ment de donn es sur serveurs elle ne saurait se passer de la mise en place d une culture de la s curisation et pour ce faire d une mise en confiance des acteurs si le sens des r gles est lisible pourquoi une donn e doit tre int gr e dans un logiciel et non gard e sur un poste de travail elles seront d autant mieux appliqu es Il s agit l encore de trouver un qui libre et de d finir les r gles de s curit en fonction des besoins de la sensibi lit des donn es trop de s curit pour rait g ner le travail Il faut donc mettre en place une s curisation adapt e au risque r el une fois celui ci objective ment identifi po plus de pr cisions sur les m thodes et interventions des dif f rents Services leurs support
45. ion reprenant notam ment les observations et les pistes de progr s tir es du bilan interm diaire de la r forme r alis par les Services prio risation des visites m dicales aptitude m dicale A l issue des diff rentes tables rondes de cette grande conf rence sociale 2014 une feuille de route pr sent consultable a t tablie Les feuilles de route des pr c dentes ditions avaient notamment d gag des pistes pour l ANI du 11 janvier 2013 ou encore la loi relative la s curisation de l em ploi du 14 juin 2013 Cette nouvelle feuille de route pose comme priorit s la croissance l emploi et revient en particulier sur l insertion et le maintien durable dans l emploi On note ainsi au rang des pistes pour le maintien en emploi des seniors Faciliter l acc s la formation des salari s au del de 45 ans Valoriser la transmission des comp tences entre autres travers la Gestion Pr vision nelle des emplois et des Com p tences Aider les TPE et PME am lio rer la qualit de vie de leurs sala ri s Seniors Poser le maintien en emploi des seniors comme un des axes prio ritaires du nouveau Plan Sant au Travail Au del du sujet du maintien en em ploi que l on compte parmi les missions d volues aux SSTI la feuille de route expose une volont de r novation du Syst me de sant et d une meilleure articulation entre politique de sant et Sant au travail
46. ions les syst mes d information la communication la convention collective et une GPEC de branche ou bien encore l action g n rale du Cisme alimenteront des travaux en cette fin d ann e Leurs r sultats seront pr sent s aux SSTI et leurs associations r gionales Il s agit ainsi de proposer un cadre praticable pour les Services comme pour leurs entreprises adh rentes Le moment venu la mobilisation de chaque SSTI comptera pour la promotion de ces propositions et esp rons le pour leur mise en uvre Bonne rentr e tous Serge Lesimple Pr sident Organisation des Services de sant au travail Publication de nouveaux d crets ubli s au JO du 13 juillet 2014 les d crets n 2014 D et 2014 799 du 11 juillet 2014 reviennent notam ment sur les dispositions relatives la m decine du travail et l organisation des SSTI pr c demment annu l es par le Conseil d Etat Ils ajoutent aussi de nouvelles dispositions On citera par exemple celles relatives la transmission des fiches d aptitude Celles ci peuvent d sormais tre transmises l employeur par tout moyen lui conf rant une date certaine laissant ainsi une place la voie lectronique voir article en page 13 de ce num ro Dans un esprit de simplification les contestations des avis d aptitude peuvent galement tre transmises par tout moyen Au del des nouvelles dispositions les d crets corrigent certains oublis et mettent
47. ions collectives Par ailleurs le reclassement et le maintien en emploi des salari s d cla r s inaptes posent des difficult s qui pourraient tre surmont es d apr s IGAS par la mise en place d une poli tique de gestion des carri res et d am nagement des parcours professionnels Pour ce faire il conviendrait de sensibi liser les cadres dirigeants et l ensemble des managers afin de passer d une logique d obligation une logique de conviction Les recommandations de l IGAS Le rapport de l IGAS propose tout au long de la publication treize recomman dations dont sept concernent directe ment la Sant au Travail et les SSTI e Recommandation 1 Le caract re multfactoriel des maladies cardio vasculaires et l existence de facteurs li s l environnement profession nel justifient la prise en compte des maladies cardiovasculaires dans le cadre des d marches de pr vention des risques professionnels men es en entreprise e Recommandation 2 Les d marches de pr vention en Sant publique sup posent la prise en compte de l ensemble des facteurs de risque y compris ceux li s l environnement professionnel e Recommandation 4 Le futur Plan National Sant Travail doit compor ter parmi les th matiques abord es la pr vention des maladies cardio vasculaires e Recommandation 5 La mission estime que le contenu du rapport d activit des m decins du travail pourrait
48. lan de sauvegarde de l emploi PSE dans une entreprise d pourvue de comit d entreprise ou de d l gu s du personnel article 5 et de la valida tion ou de l homologation de ce plan par l autorit administrative article 6 C trav nouveaux articles L 1233 49 et L 1233 57 4 gt d organisation des lections pro fessionnelles articles 7 12 notam ment en ce qui concerne l information des salari s sur l organisation de ces lections l information des organisa tions syndicales de la tenue des lec tions et de l invitation de celle ci n go cier le protocole pr lectoral diffusion du proc s verbal de carence C trav nouveaux articles L 2314 2 L 2314 3 L 2314 5 L 2324 3 L 2324 4 L 2324 8 gt de la publicit des postes dispo nibles dans le cadre de la priorit de r embauchage applicable aux licen ciements conomiques l obligation d affichage pr vue par l art L 1233 45 al 2 du Code du travail a t sup prim e apparaissant comme superflue dans la mesure o l obligation d infor mation individuelle des salari s concer n s et des repr sentants du personnel subsiste article 4 gt L obligation de transmission des documents l Administration pr vue par le titre II de l ordonnance est ga lement simplifi e et remplac e par une communication sur demande de l auto rit administrative ou par une mise disposition concernant les documents li s aux
49. lari s outre les formations au tutorat possibles la facilitation de cette mission pourra galement se faire par la participation des groupes de pairs sur le sujet ou autres cadres d changes de pratiques m dicales naturellement e Cisme pour sa part assure ra galement ce r le afin de per mettre l identification de toutes bonnes pratiques utiles en la mati re m Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 E ACTUALIT PROFESSIONNELLE D cision d un Tribunal de Commerce Un SSTI ayant attrait une entreprise adh rente en paiement de ses cotisations devant un Tribunal de Commerce se heurte un jugement particuli rement d favorable tant dans sa solution que dans sa motivation n l esp ce dans les suites d une premi re d marche ten dant l obtention judiciaire du paiement des cotisations dues par l un de ses adh rents depuis 2011 le contentieux a t port par le Service concern devant le Tribunal de com merce de sa juridiction Pour m moire on indiquera que la ju ridiction consulaire d une part est com pos e de magistrats non professionnels lus par et parmi des commer ants et dirigeants d entreprises et d autre part est comp tente pour statuer sur les li tiges entre commer ants ou entre un commer ant et un non commer ant si ce dernier en fait le choix Le Service ayant ici pris cette option c est donc par le Tribunal de Commerce et non par le Tribunal de
50. les dif f rentes solutions logicielles utilis es dans les Services Afin d valuer les expositions pro fessionnelles et de les mettre en rela tion avec les donn es de Sant et ce l chelle populationnelle il est n cessaire que les quipes Sant Tra vail puissent disposer d outils fiables et simples d utilisation Dans cet objectif et face l absence de matrices emploi expositions communes l ensemble des acteurs de la Sant au travail le Cisme a entrepris la demande de ses adh rents via le groupe ASMT Action Scientifique en Milieu de Travail Fiches M dico Professionnelles l laboration des MEEP partir des fiches valid es et reconnues du site amp WWwWw fmpcisme org Les MEEP donnent la correspondance entre les intitul s d emploi et leur s code s PCS ESE et une liste d expo sitions professionnelles potentielles re group es en fonction des classes d ex positions du Th saurus des Expositions Professionnelles Elles sont labor es de mani re tre les plus exhaustives AFOMETRA 4 Enregistrement du titre possible et suffisamment pr cises pour permettre de diff rencier les contribu tions sp cifiques des diff rents dangers L utilisation de ces MEEP permettra de rep rer les situations professionnelles risque et d ainsi participer aux choix de politiques de pr vention adapt es Ainsi partir d un recueil relativement simple par le renseignement des expo
51. ment m decin PAE Collaborateur m decin contrat de tra vail avenant tuteur position du Cisme sur l laboration des protocoles res ponsabilit des acteurs SMR Application du d cret du 24 avril 2014 relatif l application des dispositions relatives la sant au travail des tra vailleurs loign s Les mesures phares de l ordonnance de simplification du droit et de la loi du 4 ao t 2014 sur l galit r elle entre les femmes et les hommes apr s midi consistera en une r union d information revenant de mani re plus large sur les questions d actualit s Le bulletin de participation peut tre t l charg sur le site du Cisme dans l espace adh rents Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 M ACTUALIT PROFESSIONNELLE plus sur le site WwWw cisme org Grande conf rence sociale pour l emploi 2014 Une feuille de route vers une articulation entre politique de sant et Sant au travail Elabor e l issue des deux jours de tenue de la Grande Conf rence sociale des 7 et 8 juillet 2014 la feuille de route aborde notamment le maintien en emploi et l articulation de la politique de sant avec celle de la Sant au travail a 3 grande conf rence sociale pour l emploi s est tenue les 7 et 8 juillet 2014 au Conseil cono mique social et environnemen tal Le Cisme avait cette occasion et la demande du Ministre du travail pro duit une contribut
52. nement au changement Le changement g n re une certaine ins curit que la lisibilit de la d marche permet d anticiper Certains SSTI ont ainsi mis en place des espaces de r flexion et d changes entre les acteurs r unions de Service s minaires parfois en pr sence de sp cialistes ou de cabinets ext rieurs d autres ont produit des supports de communication internes destination des quipes Flash info brochures le choix de la strat gie de communication participative informative d pendant souvent de la taille et de l organisation du Service L coute des acteurs permet aussi de faire remonter leur regard sur le diagnostic leurs solutions Si certains Services partent du volon tariat pour impliquer les membres des quipes les participants de l atelier s ac cordent dire que cela ne suffit pas au long terme et finit par cr er des lots d exp rimentation isol s mais durables quand il s agit d amener l ensemble du Service bouger en m me temps Il faut alors permettre aux l ments lea ders du changement d aider les autres s adapter tutorat accompagnement Tout exercice r glementaire soit il le projet de Service constitue alors ici une opportunit de d gager les objec tifs les nouveaux axes de travail et la fa on dont l activit du SSTI va se struc turer sur les ann es venir et peut donc s av rer de m me que la DPST un v ritable outil d accompagnement au cha
53. ngement son laboration impli quant l ensemble des quipes Il permet aussi de repositionner le Service dans son environnement adh rents parte naires institutionnels dont l implication dans le changement est indispensable Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 M VIE DES R GIONS La capacit de chacun se position ner au sein de la structure joue gale ment un r le crucial l volution passe par l analyse du besoin et l ad quation des comp tences des uns et des autres ce besoin et l activit du Service Il s av re alors plus pertinent de d finir les r les des acteurs non tant partir de la d finition du m tier que sais je faire de chacun mais de ce qu ils peuvent apporter que puis je faire dans ce cadre donn au regard du terrain du paysage le besoin des ad h rents qui s offre au Service Les fiches de poste de l quipe pluridisciplinaire Le changement de structuration de l activit et la cr ation des quipes plu ridisciplinaires est sans doute l un des plus significatifs pour les SSTI Eta blies dans le cadre de ce d ploiement de la pluridisciplinarit les fiches de poste constituent un outil de manage ment RH et doivent permettre chacun de se reconna tre dans l organigramme de se positionner vis vis des autres membres de l quipe Id alement son laboration consti tue donc une traduction de la r ponse l analyse du besoin en terme
54. nis s Secteurs d activit NAF 2008 Professions PCS ESE 2003 Effets sur la Sant CIM 10 Action en Milieu de Travail Examens compl mentaires Vaccins Pr vention Expositions professionnelles l L 60 8 39 2 69 8 39 2 60 8 35 4 646 51 0 49 0 50 5 49 5 51 0 490 63 4 36 6 non Houi Taux d incorporation des Th saurus Harmonis s Entre 67 et 100 Entre 31 et 66 Entre 0 et 33 nc de ces deux Th saurus peut s expli quer par le relatif d calage temporel pris dans les travaux du groupe h ber g ANSES en charge de l labora tion du Th saurus des Expositions Pro fessionnelles et par la livraison en 2012 d une version incompl te ne disposant pas des sous parties consacr es aux lieux et locaux de travail ainsi qu aux quipements outils machines et en gins de travail Les premiers r sultats de l tat des lieux de l impl mentation des Th sau rus Harmonis s initi par la Commis sion Syst mes d Information attestent que l utilisation des Th saurus Harmoni s s est aujourd hui devenue une r alit dans une grande majorit des Services En effet plus de 70 des SSTI poss dent dans leurs solutions logicielles tout ou partie des huit Th saurus Harmonis s recomman d s Ces premiers r sultats sont encourageants m me s ils doivent tre temp r s puisque les don n es ne sont pas con
55. nues pour l ensemble des 260 SSTI adh rents du Cisme F cons quence la Commis sion Syst mes d Information va poursuivre son travail de col lecte des informations aupr s des SSTI afin de pouvoir disposer de donn es plus exhaustives mi j N 30 40 50 60 70 80 Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 E M INFORMATIONS M DICO TECHNIQUES Rapport de l IGAS Interactions entre Sant au travail et Sant publique pr s un premier rapport intitul Interactions entre Sant et Tra vai publi en juin 2013 PIGAS Inspection G n rale des Affaires So ciales a poursuivi son travail sur le sujet au travers d un nouveau rapport traitant de l articulation entre Sant au Travail et Sant Publique ce travers l exemple des maladies cardiovasculaires Ce rapport Articulation entre Sant au travail et Sant publique une il lustration au travers des maladies cardiovasculaires a pour ambition d apporter des l ments de r ponses aux points suivants e Comment mieux anticiper et analyser les risques li s au travail pour les pr ve nir notamment ceux li s de nouvelles formes d organisation du travail e Comment am liorer la dynamique d articulation entre Sant au Travail Sant Publique et Sant Environne mentale e Quelles pistes concr tes pourraient favoriser le maintien dans l emploi des salari s malades L entreprise peut elle jouer un r l
56. ode et contenu La s curisation des syst mes d in formation La D marche de progr s en Sant Travail Ce premier Atelier s est ouvert par les pr sentations de 3 SSTI chacun en gag sur un calendrier propre dans la D marche de progr s en Sant travail Le CMSM Paris le France d tenteur du niveau Amexist Il depuis juin 2014 ainsi que le GEST 05 Gap Hautes Alpes et l ASMIS Amiens Somme Services pilotes du nouvel outil d va luation Amexist sont revenus sur leurs parcours DPST respectifs depuis leur engagement dans la d marche Historiquement la DPST est n e d une volont de la profession de cr er son propre dispositif d valua tion Un label professionnel a ainsi t con u cette occasion Amexist d riv d AMEC SIST AMElioration Continue en SSTI et l valuation est assur e par un professionnel d AFNOR Certifi cation D marche d accompagnement la DPST ne constitue pas tant une fina lit en soi qu une aide la r alisation des missions du Service et c est ainsi que l ont exploit e les 3 SSTI les dif f rentes tapes de la d marche rejoi gnant leurs objectifs r aliser une ana lyse du besoin des adh rents prioriser les actions au regard de ces besoins laborer le projet de Service Les 22 crit res prendre en compte au sein du Service composant aujourd hui la nouvelle grille d valuation tous niveaux confondus ont ainsi constitu un guide dans le d ploi
57. oins de 50 salari s Dr Olivier PALMIERI M decin du travail ASMT 65 Tarbes Le syst me d information une aide pr cieuse la mise en uvre du projet de Service Mme Marie BRUET ng nieure HSE CMSM Paris Le syst me d information au service du projet de Service et du CPOM M Lo c CAVELLEC Pr sident PST 14 Caen D jeuner Rare Journ es Sant Travail du CISME Mise en uvre op rationnelle du projet de Service PR PROGRAMME W E E E Mardi 21 octobre 2014 Apr s midi me 2 session 14h00 17h50 Impact du projet de Service sur la Sant au travail dans les entreprises Pr sidents de s ance Pr Yves ROQUELAURE et Dr Bernard FONTAINE 14h00 14h30 14h40 15h00 15h20 15h40 16h00 16h30 16h50 17h10 17h30 17h50 Conf rence invit e Travail et promotion de la Sant Pr Fran oise JABOT D partement de sciences humaines sociales et des comportements de Sant EHESP Rennes Discussion Priorisation de l action en entreprise un projet pluridisciplinaire Dr Alain GAGNY M decin du travail GMSI 84 Carpentras Projet de Service pr vention articulation aveclles cadres de r f rence r glementaires M Christian CAIL Conseiller pr vention CMIE Paris Un projet pluridisciplinaire intersecteurs les tablissements de soins Dr Martine TRIMBACH M decin du travail ACMS Suresnes Mise en place d un
58. p STTI ayant entam une r flexion Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 51 Journ es Sant Travail du CISME Mise en uvre op rationnelle du projet de Service Mardi 21 et Mercredi 22 octobre 2014 LE GRAND H TEL 2 rue Scribe 75009 PARIS PR PROGRAMME H EH M Mardi 21 octobre 2014 Matin 8h35 9h00 Accueil Introduction Pr sident du CISME M Serge LESIMPLE Directeur G n ral du CISME M Martial BRUN M decin Conseil du CISME Dr Corinne LETHEUX 1 session 9h15 12h25 Le projet de Service comme outil de progr s Pr sidents de s ance Pr Genevi ve ABADIA BENOIST et M Thibault FOUCART 9h15 9h45 9h55 10h15 10h35 11h05 11h25 11h45 12h05 12h25 Conf rence invit e Le projet de Service outil d volution de la Sant au travail Pr Jean Pierre BOUTINET Professeur Em rite Centre de Recherche de l Institut de Psychologie et Sociologie Appliqu e U C O Angers Discussion Le projet de Service un outil volutif de progr s Dr Jean DELHOSTAL M decin du travail coordinateur Sud Manche SISTM 50 Pont sous Avranches De l utilit d EVREST dans les projets de Service Dr Marie Claire BARDOUILLET M decin du travail Membre de l EPNE EVREST MT 71 Chalon sur Sa ne Pause Le projet de Service comme outil de fusion M Benoit DEKERLE Directeur AST 74 Annecy Pr vention des TMS MS dans les entreprises de m
59. que peut faire l objet d une cer tification Validit de la copie lectronique d un courrier Les juges doivent v rifier si cette co pie en est la reproduction fid le et du rable si l auteur peut tre d ment iden li et si cet crit lectronique a t tabli et conserv dans des conditions de nature en garantir l int grit c est dire qu il est concr tement impossible de pouvoir modifier le document num rique Cass soc civ 2 4 d c 2008 n 07 17 622 Sans signature lectronique garan tissant identit du signataire et int grit du message le courriel n a pas plus de valeur juridique qu une lettre anonyme faite de collages de caract res d cou p s dans les journaux Cass soc n 09 68 555 civ 1 30 sept 2010 est donc d sormais possible de scanner une fiche m dicale d apti tude sign e par le m decin du travail et de l envoyer par voie num rique l em ployeur dans les conditions ci dessus expos es E Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 MH INFORMATIONS JURIDIQUES Simplification et adaptation du droit du travail Ordonnance du 26 juin 2014 ordonnance n 2014 699 du 26 juin 2014 publi e au JO du 27 juin 2014 portant simplification et adaptation du droit du tra vail comporte une s rie de dispositions visant simplifier et adapter certaines r gles figurant dans le Code du travail simplification des obligations d affi ch
60. s Un document photocopi doit tre soumis un exa men attentif avant de pouvoir tre ac cept comme une copie authentique dun original d autant quil existe des moyens technologiques modernes pou vant tre employ s pour contrefaire des documents ou les alt rer CEDH Timurtas c Turquie 13 juin 2000 Dans ce cas en application de l article 1316 3 du Code civil l crit sur sup port lectronique a la m me force probante que l crit sur support pa D finition et conditions de validit de la signature lectronique Lorsqu elle est lectronique la signature consiste en l usage d un proc d fiable d identifi cation garantissant son lien avec l acte auquel elle s attache La fiabilit de ce proc d est pr sum e jusqu preuve du contraire lorsque la signature lectronique est cr e l identit du signataire assur e et l int grit de lacte garantie dans des conditions fix es par d cret en Conseil d Etat C civ art 1316 4 Il s agit du d cret n 2001 272 du 30 mars 2001 qui pr voit d ailleurs qu un dispositif s curis de cr ation de signature lectronique doit garantir par des moyens techniques et des proc dures appropri es que les donn es de cr ation ne peuvent tre tablies plus d une fois et que leur confidentialit est toujours assur e que cette signa ture est prot g e de toute falsification Un dispositif de v rification de signature lectroni
61. s de com p tences la fiche de poste n a pas pour finalit de d crire un m tier mais bien de d finir les missions et la place du poste donn au sein de la structure en ad qua tion avec les autres postes et les besoins Quatre services ont ici pr sent leur approche dans l laboration des fiches de poste Sant au travail en Cornouailles AISMT 13 Alpes Sant Travail et le SST 01 Les diff rents in tervenants et participants ont construit leurs quipes sur la base de leurs or ganisations respectives mais aussi de la nouvelle classification aboutissant des m tiers rep res r currents d un Service l autre m decin du travail secr taire m dicale infirmi re en Sant Travail Selon les SSTI la r daction des fiches peut se faire de fa on pluridisci plinaire la validation d finitive tant la pr rogative de la CMT ou par le d parte ment Ressources Humaines apr s un re cueil d information sur le poste de travail Parmi les contenus list s on notera la finalit du poste au sein du SSTI les activit s les comp tences les condi tions d exercice l organigramme la place du poste et les interfaces au sein de l organisation les moyens dispo sition Certaines terminologies m tiers recouvrant des r alit s plus larges IPRP les fiches de postes peuvent parfois tre individualis es ou int grer une trame de d part identique des fiches de t ches suppl mentaires d cri v
62. s de pr sentations peuvent tre consult s sur le site du Cisme Les prochaines ren contres auront lieu au Grand H tel Paris le 4 d cembre 2014 m plus sur le site ww cisme org Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 M INFORMATIONS M DICO TECHNIQUES 514 mes Journ es Sant Travail du Cisme Pr programme disponible et inscriptions ouvertes e Cisme aura le plaisir de vous accueillir les 21 et 22 octobre prochains pour ses 51 Jour n es Sant Travail qui se d rouleront Paris au Grand H tel sur le th me de la Mise en place op ra tionnelle du projet de Service Le pr programme adress au d but du mois de septembre dans les Ser vices voir le 4 pages d tachable au centre de ce num ro illustre le mou vement initi par la mise en place des projets de Service des SSTI et permet d appr hender les cons quences pra tiques en termes d organisation d in teraction de r sultats et de progr s engendr es par leur d ploiement En effet l volution du fonctionnement des SSTI avec l laboration et la mise en uvre de projets de Service permet d tablir des priorit s d actions moti v es et lisibles men es en quipes plu ridisciplinaires Le projet de Service comme outil de progr s son impact sur la Sant au travail dans les entreprises ou encore ses cons quences sur l organisation des SSTI sont autant de sujets appe l s tre d velopp s partir
63. s obte nus sur ces objectifs le CA du Cisme a mandat la CSI pour accompagner les SSTI dans la mise en uvre des Th saurus Harmonis s et faciliter leur uti lisation A ce titre la Commission a initi un tat des lieux de l impl mentation des huit Th saurus Harmonis s retenus dans les logiciels utilis s par les SSTI Elle a demand ses membres de col lecter ces informations aupr s des Ser vices de leur r gion Des r ponses utilisables pour jau ger de l impl mentation des Th saurus Harmonis s ont ainsi t obtenues pour 103 Services On note une dynamique de l adoption de ces Th saurus obser vable dans la quasi totalit des r gions pour lesquelles les donn es ont t ob tenues PIE 2 51 Journ es Sant Travail du CISME C Mise en uvre op rationnelle du projet de Service Mardi 21 et mercredi 22 octobre 2014 LE GRAND H TEL 2 rue Scribe 75009 PARIS PR PROGRAMME H W EX Mardi 21 octobre 2014 Matin 8h35 Accueil 9h00 Introduction Pr sident du CISME M Serge LESIMPLE Directeur G n ral du CISME M Martial BRUN M decin Conseil du CISME Dr Corinne LETHEUX 1 session 9h15 12h25 Le projet de Service comme outil de progr s Pr sidents de s ance XXXXXXXXX et XXXXXXXXX 9h15 Conf rence invit e Titre d finir Pr Jean Pierre BOUTINET Professeur de Philosophie et de Sciences Sociales Universit de Clermont Ferrand 9h45 Di 9h55 L
64. s sur la sant court et long terme L valuation des risques implique l tude des fiches de donn es de s curit et des conditions d pandage de mani re en d duire les compos s mesurer et analyser En effet actuellement l volution des produits noirs mis en uvre dans les travaux routiers am ne r examiner la pertinence des traceurs classiquement utilis s Ainsi ce document pr sente les valuations de l exposition et de l impr gnation en donnant les valeurs de r f rences prendre en compte nfin il liste les principales actions de pr vention collective et individuelle destination des salari s expos s aux produits routiers et d tan ch it et les substitutions pouvant tre mises en uvre E groupe Action Scientifique en Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 ER Les stup fiants et l entreprise M INFORMATIONS M DICO TECHNIQUES Prise en charge d un salari atteint par le virus Ebola Des recommandations applicables par les professionnels de Sant du SSTI epuis le d but de l ann e 2014 une r surgence de cas de ma lades atteints par le virus Ebo la a t observ e dans quatre pays d Afrique de l Ouest la Guin e le Lib ria la Sierra L one et le Nig ria Face la progression significative de la maladie en Afrique et au risque d impor tation potentielle par des personnes en provenance des pays touch s par l pi d mie des mesur
65. se EDF souhaite engager une trajectoire de r sorption des anciens march s anticipant ainsi l ch ance des conventions en cours Il appartiendra donc chaque Service de consid rer cette nouvelle proposition d EDF au regard de sa situation particu li re et dans le cadre de son autonomie financi re EDF comme les SSTI ont fi nalement t guid s par la recherche de la meilleure prise en charge pour les salari s intervenant sur les sites nu cl aires et par la simplification de l or ganisation administrative nouvelle convention peut tre consult e dans les compl ments de lecture des IM sur le site Cisme org m plus sur le site WWw cisme org Agir sur andet Informations Mensuelles Cisme Septembre 2014 ES E VIE DES R GIONS Ateliers du Cisme Restitution des Ateliers de Lyon La troisi me dition 2014 des Ateliers du Cisme s est tenue Lyon le 3 juillet dernier pour le quart Sud Est rassemblant pr s de 80 participants directeurs mais aussi responsables informatique responsables qualit m decins infirmi res chefs de projet fonctionnel et responsables administratifs ors de cette 3 tape Lyon les Aie du Cisme se sont d clin s sur les th mes suivants La D marche de Progr s Accompagnement au changement du r glementaire au projet de Ser vice quels moyens mis en uvre Les fiches de poste de l quipe plu ridisciplinaire m th
66. t de Service strat gie de pr ventionet organisation Quels enjeux pour un SSTI Dr Beno t MAUGUY Directeur Pr vention Objectif Sant Travail Saint Germain en Laye Projet de Service du diagnostic l action accompagnement du changement Mme Sophie GUILBERT Responsable communication P le Sant Travail M tropole Nord Lille Pause Le projet de Service AST 62 59 mode d emploi Mme Laura DELELIGNE Charg e de projets AST 62 59 Arras Mise en place de l quipe pluridisciplinaire Mme Abyga lle COGNAUT Toxicologue industriel Ardennes Sant Travail Charleville M zi res Kit m tier restauration fil rouge d une nouvelle approche m tier pluridisciplinaire Mme Claudine MAZZIOTTA Directrice PST 66 Cabestany Une cellule pid miologique pour construire des indicateurs chiffr s pertinents en Sant au Travail Dr Florian TONE M decin du travail Responsable Service Epid miologie P le Sant Travail M tropole Nord Lille D jeuner Bars Journ es Sant Travail du CISME Mise en uvre op rationnelle du projet de Service PR PROGRAMME E EE M Mercredi 22 octobre 2014 Apr s midi 4 session 13h45 16h30 Cons quence sur l organisation des SSTI deuxi me partie Pr sidents de s ance Pr Jean Fran ois GEHANNO et M Nicolas BORQUET 13h45 14h05 14h25 14h45 15h05 15h45 16h00 16h30 Le projet de Service
67. t la r forme de 2011 l article R 4624 6 du Code du travail mettait la charge des examens compl mentaires soit la charge de l employeur soit la charge du service de sant interentreprises Les d crets du 30 janvier 2012 avaient modifi cette r daction en pr cisant que les examens compl mentaires taient la charge du Service de sant au travail interentreprises AGIRC ARRCO Toutefois ce principe souffrait de quelques exceptions et notamment de celle relative au suivi des salari s expo s s aux agents chimiques dangereux ACD En effet la charge des examens com pl mentaires pratiqu s pour les salari s expos s aux agents chimiques dange reux pour la sant incombait en appli cation de l article R 4412 45 du Code du travail l employeur Le d cret du 11 juillet 2014 modifie la r daction de l article R 4412 45 en fai sant peser sur les SSTI le financement des examens compl mentaires Nouvel article R 4412 45 L examen m dical pratiqu com prend un examen clinique g n ral et selon la nature de l exposition Seuil d acc s dans la branche Sant Travail au r gime de retraite et de pr voyance des cadres pour le personnel assimil cadre d cision quant au seuil d acc s l article 4 bis de la Convention col lective de retraite et de pr voyance des cadres a report Octobre 2014 sa L accord de r vision partielle de la CCN du 20 Juin 2013 a propos que la
68. treprises souhaitant adh rer un Service de sant au travail de proximit pour leurs salari s loign s Mais l application du d cret n 2014 423 du 24 avril 2014 relatif l application des dispositions relatives la sant au travail des travailleurs loign s soul ve une question impor tante partir de quand une entreprise peut consid rer que son salari est loign Selon quels crit res le SSTI de proxi mit doit il se baser pour accepter la demande d adh sion La loi pr cise que les travailleurs loi gn s sont d finis comme ceux qui ex cutent habituellement leur contrat de travail dans un d partement diff rent de celui o se trouve l tablissement qui les emploie C trav art L 4625 1 L employeur peut adh rer un SST de proximit pour ses travailleurs loign s Soit parce que l affectation de ces travailleurs en dehors de l tablisse ment qui les emploie est durable Soit parce que ces travailleurs ne se rendent pas habituellement au sein dudit tablissement C trav art D 4625 26 Par ailleurs le comit d entreprise doit tre inform et consult quant ce re cours un ou plusieurs SST Mais que faut il entendre par durable Quelques mois ann es La m me question se pose pour les sa lari s qui ne se rendent pas habituelle ment au sein dudit tablissement Une fois par mois Pr cisons tout d abord qu une entre
69. ttant par ailleurs de s assurer la coh rence des diff rentes politiques qui structurent le SSTI RH immobilier CMT formation Au del d outils pratiques c est donc sur un engagement clair de la direc tion une bonne communication interne et une solide mobilisation des acteurs que repose le succ s de la DPST et par voie de cons quence des diff rents objectifs qu elle permet d atteindre Ces besoins de f d rer les quipes et de communiquer sur les directions prises par le Service sont de m me essentiels l accompagnement au changement L accompagnement au changement Le contexte de la r forme g n re dans les SSTI de nombreux changements de paradigmes ce sur une p riode relati vement resserr e nouvelles logiques organisations missions Les Services doivent en effet passer d une logique r glementaire syst matique et prescrite une logique d analyse et de priorisa tion en fonction des besoins Comment d s lors transformer une culture long temps rest e statique en l espace de quelques ann es Les Services intervenants cet ate lier PAST Grand Lyon l AIPALS et l AMIEM se sont rejoints sur limpor tance d un projet port par la Direction posant l expression d une volont forte motivation construction d une vision commune et la transparence de la d marche pourquoi changer comment pour r pondre quelles nouvelles r a lit s comme principes directeurs de l accompag
70. ues d enc pha lite et des signes h morragiques Recommandations en termes de mesures d hygi ne et d isolement La prise en charge d un salari sus pect d tre atteint par cette pathologie n cessite de respecter les pr cautions standardis es d hygi ne et de se prot ger des contacts avec le sang les tissus ou les liquides biologiques Dans le cadre de cette prise en charge il est galement recommand de mettre en place des mesures barri res en iso lant le salari des autres personnes et en lui fournissant un masque chirurgical Recommandations en termes de prise en charge de transport de d hospitalisation Apr s l isolement du salari il convient de prendre contact avec le SAMU Centre 15 qui en lien avec l Agence R gionale de Sant ARS et l Insti tut de Veille Sanitaire InVS condui ront une valuation pid miologique pour exclure ou confirmer une possible contamination Si l infection par le virus Ebola est ju g e comme possible le SAMU pren dra alors en charge le salari qui sera orient vers l tablissement de sant de r f rence ESR d sign pour accueil lir sp cifiquement ce type de patient en fonction de son tat de sant m http www sante gouv fr epidemie d ebola en afrique de l ouest le point sur les mesures des autorites sanitaires htmil http www invs sante fr Dossiers thematiques Maladies infectieuses Fievre hemorragique virale FHV a virus Ebola Fievre hemorra

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