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1990.1 - ssm.lu

1. DISCUSSION Une sensibilisation des responsables des Centres de Dialyse du Luxembourg l gard des probl mes potentiels et effectifs provo qu s par l aluminium en h modialyse est le r sultat concret de l ex cution de cette R solution Communautaire La comparaison des taux d aluminium s rique d termin s en 1987 et 1988 tous Centres de Dialyse confondus indique que si d un c t il a t possible de r duire rapidement les al mies tr s l v es d un autre c t la distribution statistique des al mies inf rieures approx 60 g l est rest e relativement constante I faut souligner que le taux s rique en aluminium d une personne en bonne sant non expos e est g n ralement inf rieur 10 g l L installation de syst mes de traitement d eau par osmose inverse de m me que l utilisation judicieuse des m dicaments phosphate binder ont permis de r duire nettement les charges s riques en alumi nium des patients dialys s En 1988 73 des patients pr sentent des al mies inf rieures au taux de tol rabilit 60 g AI fix par la R solution ce qui correspond une augmentation de 12 par rapport 1987 6 des patients pr sentent des taux su p rieurs 100 ug AI I par rapport 10 en 1987 ce taux doit entrainer une surveillance m dicale accrue L utilit d une telle R solu tion Communautaire est donc double d une part elle permet d am liorer la qualit des soins
2. La production d anticorps contre au moins un antig ne streptococcique extra cellulaire est une condition sine qua non l apparition d un RAA La persistance de l organisme dans l h te est d une impor tance critique pour le d veloppement du 69 RAA peut tre plus importante que la quan tite d anticorps La frequence variable selon l ge est fonction de la fr quence des infections streptococciques L ge influ ence galement la symptomatologie du RAA arthrites relativement plus fr quentes chez les plus g s etc etc Dans la polyarthrite les virus vaccinaux des enfants r infectent ils les m res lors des vaccinations ll faut nous int resser videmment aussi aux propri t s des poxvirus en g n ral et du vacciniavirus en particulier Dans le trait de HAAGEN nous trouvons lors d infec tions exp rimentales chez l animal les cor puscules manquent dans les cellules osseu ses cartilagineuses et musculaires Pourquoi justement dans ces tissus qui nous int ressent Le virus s y trouverait il sous une forme d bris antig niques diffi cile mettre en vidence Le virus y r siste rait il moins bien ells ont t retrouv s dans des cellules conjonctives aussi bien qu endoth liales et pith liales certains poss dent m me un tropisme marqu pour le m soderme par passages successifs artificiels sur divers h tes on peut provoquer
3. taux d aluminium s rique des patients de deux centres de dialyse 5 Comparaison des y Figure A osmose inverse et B en 1987 21 PLENDIL UNE NOUVELLE GENERATION D ANTIHYPERTENSEURS Plendil est un anta dilate de facon s le influence negatives tolerance et sare traitement d un larg monoth rapie qu e goniste du calcium d une nouvelle g n ration qui ctive les vaisseaux sanguins p riph riques sans ur la contractilit cardiaque Gr ce son excellente marquable s curit d emploi Plendil convient au e ventail de patients hypertendus aussi bien en n association avec d autres antihypertenseurs prise par jour E go endl f original research by ducta Cardiovascular ASTRA A pro A case control study of cigarette smoking and lung cancer in Luxembourg G A T MAHON M A DICATO F RIES R MULLER J SAND G SCHEIFFER D HANSEN KOENIG C MARGUE to whom correspondence should be adressed Centre Hospitalier 4 rue E Barbl L 1210 Luxembourg Bull Soc Sci Med p 23 N 1 1990 INTRODUCTION A total of 3907 deaths were recorded in Luxembourg in 1988 in a total population of 370000 Anon 1989 Of these deaths one quarter 994 3907 were due to cancer The respiratory system i e trachea bronchus and lung was by far the commonest site of fatal cancer found in 221 cases The association between cigarette smoking and lung can cer was first reported by Doll
4. 10 mg de k tans nne 13 8 mg de tartrate de k lans rine A 49 945 par ampoule de 2 mi 5 mg mi 50 mg de k tans rine 69 mg de tartrate de k tans nne R 49 945 par ampoule de 10 m 5 mg ml Formes voles d administration et conditionnements Comprim s pour administration orale Compnm s 20 mg emballage alv ol de 28 ou 56 comprim s Comprim s 40 mg emballage alv ol de 28 ou 56 com prim s secables Ampoules pour injection intraveineuse ou intramusculaire Boite de 5 ampoules de 2 ml Boite de 5 ampoules de 10 ml Indications 1 Admini Stration chronique Sufrexal est ndiqu dans le traitement chronique chez l adulte de l hypertension essentielle et r nale l g re mod r e ou grave en monoth rapie Qu en association avec des diur tiques ou des B bloquants 2 Administration aigu Sutrexalestindiqu dans le traitement aigu de l hypertension telle que l hypertension per et postop ratoire la pr clampsie etc Sufrexal convient au traitement de l hypertension chez tous les patients y compris les patients g s les patients avec insuffisance cardiaque diab te sucr asthme ou troubles c rculatorres p riph ri ques Posologie et mode d emplol 1 Traitement oral La dose initiale est de 20 mg deux lois par jour aussi bien en monoth rapie qu en association avec d autres anthypertensifs Sufrexal exerce son activit progressivement de sorte que la baisse maximale de tension art rielle
5. 35 ears or am P arr me Comme les autres fibrates le ciprofibrate inhibe la synth se des lipoprot ines du type VLDL et acc l re leur catabolisme Le taux de LDL est galement r duit sous ce traite ment par diminution de la concentration en VLDL Enfin le ciprofibrate inhibe la Syn th se du cholest rol mais cette inhibition ne s accompagne pas d une accumulation compensatoire de pr curseurs ath rog nes du cholest rol PATIENTS ET METHODES 113 patients hypercholest rol miques furent recrut s par 17 m decins g n ralistes ou sp cialistes dans l ensemble du pays Pour chaque patient un questionnaire fut rempli par le m decin avant la mise en route du traitement par le ciprofibrate Les questions portaient sur les ant c dents personnels ou familiaux de mala dies cardiovasculaires sur l usage ou non du tabac l existence ou non de surpoids d une hypertension art rielle d un diab te d une hyperuric mie sur le degr d activit physique sur la consommation ou non de certains aliments comme les sucres simp les le beurre ou les graisses animales ainsi que l alcool Les donn es du laboratoire cholest rol total triglyc rides HDL cholest rol permet taient de classer les hyperlipid mies en forme mixte avec cholest rol et triglyc rides lev s ou en hypercholest rol mies pures Le ciprofibrate a t administr pendant deux mois la dose de 100 mg jour en une prise unique oral
6. 1986 79 413 418 3 BARNES P J BASBAUM C B NADEL J A Autoradiographic localization of auto nomic receptors in airway smooth muscle Am Rev Respir Dis 1983 127 758 762 4 BARNES PJ The third nervous system in the lung physiology and clinical perspectives Thorax 1984 39 561 567 57 5 BARNES P J DIXON C M S The effect of inhaled vasoactive intesti nal peptide on bronchial reactivity to histamine in humans Am Rev Respir Dis 1984 130 162 166 6 BARNES PJ Airway inflammation and autonomic control Eur J Respir Dis 1986 69 Suppl 147 80 87 7 BARNES P J PALMER J B D Non adrenergic bronchodilatation Bull Eur Physiopathol Respir 1986 22 Suppl 7 153 161 8 BARNES P J Neural control of human airways in health and disease Am Rev Respir Dis 1986 134 1289 1314 9 BARNES P J Neuropeptides in the lung localization function and pathophysiologic implica tions J Allerg Clin Immunol 1987 79 285 295 10 BARNES P J Autonomic control of airway function in asthma Chest 1987 91 45 S 48 S 11 BARROWCLIFFE M P MORICE A JONES J G SEVER P S Pulmonary clearance of vasoactive inte stinal peptide Thorax 1986 41 88 93 12 BARTFAI T Presynaptic aspects of the coexistence of classical neurotransmitters and tides pep ao In Pharmacol Sci 1985 6 331 4 13 BUCK S H BURCHER E The tachykinins a fam
7. 5 ans ne d passant pas 1 0 de ce qui pr c de on note que les types et II RA et RA S sont de meilleur pronostic et d volution moins fr quente en leucose aigu En ce qui concerne les moyens th rapeutiques on distingue les chimioth rapies et les agents inducteurs de diff renciation A Chimioth rapies Les chimioth rapies aplasiantes antileuc miques comprenant les anthracyclines et AEn p sont av r es peu efficaces avec des r missions br ves dans 2096 des cas pour les a Sen monoth rapies par l hydroxyur e la 6 mercaptopurine le busulfan et autres ont pu i besoins transfusionnels temporairement mais leur impact sur la survie est nul 1 B Agents inducteurs de la diff renciation ARA C faible dose 5 25 mg m iour Les doses faibles en ARA C se soni av r es peu efficaces 15 20 des r ponses a r missions br ves Par contre la toxicit m dullaire est forte avec aggravation m ar de preexistantes et un taux de complications fatales de l ordre de 20 Le r le differen l ARA C in vivo est mis en doute par certains Les acides r tinoiques sont capables d induire in vitro une diff renciation Sur g ae leuc miques D apr s des tudes randomis es il n existe pas de diff rence quant tion h matologique et la Survie entre les groupes de contr le et les patients les os La S Azacitidine et la vitamine D3 tous deux capables d induire une diff renciation sont en cours d investigation pour les
8. res which may be found in refrigerators 6 C or above Fortunately in most foods where it is present as a contaminant it oc curs at very low bacterial counts and is killed by adequate cooking However for some soft cheeses soft riped cheeses such as the brie camembert and blue vein types the situation is different because the method of preparation may allow Listeria to multiply High counts of Listeria 10 per gram or more have been found in samples of several varieties of cheeses and in a significant number of cases listeriosis has been asso ciated with eating heavily contaminated soft cheese In January 89 Belgian Newspapers dis closed informations about alimentary con trols showing high listeria contamination of several brands of camembert cheeses Du ring the subsequent period February to April 89 we observed two cases of Listerio sis with high epidemiological evidence of food related illness due to the consumption of contaminated camembert CLINICAL REPORTS Case one In February 89 a 68 year old woman followed for chronic lymphatic leukemia entered our department for high fever and stupor A lumbar puncture disclosed Listeria meningitis the patient was treated Success fully with Ampicillin and Amikacin and at recovery revealed to have eaten a well riped camembert 3 weeks earlier the camembert brand name corresponded to one of those disclosed by the Belgian Newspapers as being highly contaminated Ou
9. sation de l infection apr s inoculation des muqueuses nasales et orales l infection a rog ne par contre d clenchait une pneu monie et une g n ralisation sans exanth me Sur la membrane chorioallantoide in fect e la glycolyse fut trouv e augment e Il est possible de cultiver le virus sur ou en pr sence de nombreux autres microorga nismes levures staphylocoques B subtilis sp roplastes d E coli bact ries L myco plasmes Nous apprenons encore dans HAAGEN que diverses substances chimiques peuvent inactiver le virus certains quinol iques de synthese l acide hyaluronique la bile des acides biliaires presque toutes les purines des compos s thiols des cytostatiques et que la dexametasone faibles doses aug mente la production de foyers sur la mem brane chorioallantoide tandis que des doses fortes inhibent le d veloppement du vi rus Je cite dessein les extraits qui doivent faire tiquer le rhumatologue Avouons que les coincidences se multiplient un point tel qu elles ne devraient plus relever du ha sard Alors ce que le processus rhumatoide vise liminer ou circonscrire avec plus ou moins de bonheur ne serait ce pas le virus vaccinal ou ses d bris dans divers tissus dont le cartilage et l os sous chon dral o il ne cause en r gle g n rale pas trop de d g ts en raison de son agressivit r duite et de la r action immunitaire nor male Dans
10. sur le fait que les cystad nolymphomes sont pluri focaux dans une glande dans 4 des cas Ceci est aussi vrai pour les tumeurs mixtes I faut toujours avoir pr sent l esprit que les interventions sur les parotides d j op r es sont grev es d un risque tr s impor tant de blessure de ce nerf Les cystad nolymphomes apparaissent aussi de fa on bilat rale dans 7 5 des cas 1 ceci est vrai pour notre deuxi me obser vation Enfin Seifert et Miehlke ont remarqu que ces cystad nolymphomes taient associ s dans 396 des cas des tumeurs mixtes des tumeurs muco pidermoides des carcino mes ou encore des Iymphomes Ceci rend l examen interne tr s important de m me qu une surveillance post op ratoire qui s impose toujours Plus r cemment le terme d ad nome lym phoide a t propos pour qualifier ces tumeurs et rendre compte du r le particulier du tissu lymphoide dans la glande parotide 6 1 SEIFERT MIEHLKE Speicheldr senkrankheiten Thieme Verlag 1984 2 THACKRAY SOBIN Histological typing of salivary gland tum ors Org Mond de la Sant Gen ve 1972 3 JOHN CONLEY Salivary glands and the facial nerve Thieme Stuttgart 1975 4 MIEHLKE Chirurgie der Nerven Meine Gesichts punkte Arch Oto Rhino Laryngol 231 1981 464 5 GUERRIER YVES Trait de technique chirurgicale ORL et cervico faciale Masson 1980 6 DUTHY Eric Oed me lympho de de la parotide Etude d une s rie r cen
11. 19 20 21 22 23 SHABERG D WEIBERG L DE URRUTIA J R LACORTE W S Cysticercosis cerebri evolution of cen tral nervous system involvement as vi sualized by computed tomography Computed Tomography 4 261 266 1980 SALAZAR A SOTELO J MARTINEZ H ESCOBEDO F Differential diagnosis between ventricu litis and fourth ventricle cyst in neuro cysticercosis J Neurosurg 59 660 663 1983 STERN W E Neurosurgical considerations of cysti cercosis of the central nervous system J Neurosurg 55 382 389 1981 SOTELO J MARIN C Hydrocephalus secondary to cysticer cotic arachnoiditis A long term follow up review of 92 cases J Neurosurg 66 686 689 1987 SUSS R A MARAVILLA K R THOMPSON J MR Imaging of intracranial cysticerco sis Comparison with CT and anatomo pathological features AJNR 7 235 242 1986 24 25 26 27 TORREALBA G DEL VILLAR S TAGLE P ARRIAGADA P KASE C S Cysticercosis of the central nervous sy stem clinical and therapeutic conside rations J Neurol Neurosurg Psychiatry 47 784 790 1984 VAN DELLEN J R McKEOWN C P Praziquantel Pyrazinoisoquinolone in active cerebral cysticercosis Neurosurgery 22 92 96 1988 VASCONCELOS D CRUZ SEGURA H MATEOS GOMEZ H ZENETO ALANIS G Selective indications for the use of Pra ziquantel in the treatment of brain cysti cercosis J Neurol Neurosurg Psychiatry 50 383 388 1987 ZEE Ch SEGALL H
12. MILLER C FONG Y TEAL J HIESHIMA G AHMADI J HALLIS J Unusual neuroradiological features of intracranial cysticercosis Radiology 137 397 407 1980 49 d Ma aL LL CORVATON Source exog ne directe de l EDRF NO EDRF Endothelium Derive d Relaxing Factor 2B cremate res on ll THFRABEL Pharma Recherche ee depuis 1885 t prod 1aceutique belge depu R le des neuropeptides dans l asthme M UNDERNER F PATTE Service de Pneumologie Professeur F PATTE H pital de LA MEET C H R U de POI B P 577 F 86021 POITIERS Cedex Tir s part Docteur M UNDERNER l adresse ci dessus Bull Soc Sci M d p 51 N 1 1990 R SUM Le syst me nerveux autonome comporte c t des sys temes sympathique et parasympathique un troisieme systeme non adrenergique non cholinergique appel NANC Les m diateurs de ce systeme sont des neurotransmetteurs de nature peptidique les neuropeptides Le systeme NANC poss de deux composantes l une bronchodilatatrice et l autre bronchoconstrictrice Le systeme relaxant bronchique appel systeme inhibiteur non adr nergique a comme neurotransmetteurs le VIP va soactive intestinal peptide le peptide histidine isoleucine PHI et le peptide histidine m thionine PHM qui d rivent d un pr curseur commun le pr pro VIP Le PHM est le peptide d crit chez l homme et le PHI dans cert
13. Viruskrankheiten des Menschen Das Vacciniavirus kommt auch als Ursache der Arthritis in Frage CHAT TERJEE 1960 COCHRAN u a 1963 DO STAL und LORENZ 1966 SILBY u a 1965 teilten einen Fall von monartikul rer Arthri tis p v mit Virusnachweis in der Synovial fl ssigkeit mit s auch J Paed 1965 EH RENGUT 1966 berichtete ber eine Synovitis des H ftgelenkes bei zwei lteren Erstimpf lingen 11 Tage p v die schnell wieder ab heilte Nach HERRLICH u a 1965 wird in manchen F llen von Knochen und Gelenk erkrankungen wegen des zu gro en Zeitab standes der Zusammenhang zwischen vor ausgegangener Pockenschutzimpfung nicht mehr erkannt Bei chronischer Polyarthritis kann nach Wiederimpfung eine Verschlech terung beobachtet werden LAMACHE u a 1956 1962 Ehrengut 1966 stellte nach Imp fung eines 70j hrigen mit chronischer Ar thritis bei dem 14 Tage zuvor eine Hydrocor tisonbehandlung abgesetzt worden war eine gut abheilende Vaccinia fest HERR LICH u a 1965 beobachteten einen der selte nen F lle von Rheumatismus nach Pocken Schutzimpfung bei einem 12j hrigen M d chen Nach Wiederimpfung mit Pustelreak tion trat eine m ige Schmerzhaftigkeit im rechten Schulter und Kniegebiet unter leichter Temperaturerh hung auf die nach Aspirinbehandlung schnell abklang EH RENGUT 1957 beobachtete nach Wieder impfung mit Pustelreaktion 9 Tage p v einen rheumatischen Schub Zur Frage ob eine Pocken
14. alcalose m tabolique ni reten tissement clinique ont t observ es chez des patients particuli rement expos s Mode d emploi et posologie A prendre de pr f rence en une seule prise le matin La posologie usuelle est de 50 mg par Jour Soit une g lule Certaines hypertensions peu vent n cessiter une posologie plus lev e 100 mg par jour soit deux g lules II est conseill de ne pas d passer la posologie de 200 mg par jour Co t du traitement journalier 4 07 F Tableau A A M M 328 747 9 1986 Mis sur le mar ch en 1988 Prix 122 20 F S H P 30 g lules Rem Sec Soc 70 Collect Pour une information plus d taill e consulter la fiche signal tique ou le dictionnaire Vidal cicl tanine 50 mg IPSEN Institut de P r Oduits de Synth se et d Extraction Naturelle 30 rue Cambronne 75737 Paris Cedex 15 T l 1 47 34 10 95 sejye p TA xneeje sa noujuen 1e III BINDJUBA AI ejnoujueA sp 9 erejnoujueA ejut e1s y aiyde1Boinouquen q je eg san iy Se18199199 B1JU SeJiejnpou suoneoiio eo je eJr noujueA eulgjs s np uoneje ig WAL amp 18 sany 47 48 ABAD J M FERNADEZ J BOLLAR A GELABERT M MOSTALA A GARCIA ALLUT A Brain cysticercosis treated with Prazi quantel Report of 6 cases Acta Neurochir Wien 93 88 91 1988 APUZZO M L J DOBKIN W R ZEE C S CHAN J C GIANOTTAS WEISS M H Surgical consider
15. bu t rent en janvier 1987 Les cinq Centres de Dialyse du Luxembourg sont inclus dans cette valuation les chantillons ont t obtenus conform ment aux recommanda tions de la r solution communautaire pr mentionn e 338 d terminations d RL nium s rique sont effectu es en 1987 contre 307 en 1988 La fig 2 permet de comparer les distributions des taux d aluminium da que de 1987 et de 1988 tous centres confon dus En 1987 les al mies variaient de 5 310 ug Al l en 1988 aucun taux nn 150 ug Al I n a t trouve les patien th rapie de ch lation ne SO dans cette valuation nt pas repris Pourcentage d al mies aux valeurs cl s de la r solution communautaire 1987 1988 inf 10 4g AV 8 2 inf 60 g Al l de i PA inf 100 ug AVM nix 16097 inf 200 ug Al l 2 La fig 3 repr sente un diagramme des fr quences cumul es 1987 1988 i A 8 ug l 10 percentile 849 25 nie 15 g l 17 mg l 50 percentile m diane 35 g l 75 percentile en 3 i H 90 percentile den 150101 100 percentile 3 La fig 4 montre les variations des al amp mies de trois patients suivis pendant pres de deux ans 4 La fig 5 alemies de 1987 montre que les patients qui frequentent un Centre de Dialyse quip d une installation d osmose inverse pour la pr paration de l eau A pr sentent des charges s riques en alumi nium nettement moins lev es que ceux trait s dans un autre Centre B
16. et 200 ug L 15 RESOLUTION COMMUNAUTAIRE Apres plusieurs ann es de concertation et de preparation 4 le Conseil des Commu naut s Europ ennes a publi en juin 1986 une R solution 5 relative la protection des patients en dialyse par une r duction maximale de l exposition l aluminium Le Conseil invite les Etats Membres prendre toutes les dispositions n cessaires l ex cution de cette R solution et se confor mer aux limites pr conis es relatives aux teneurs en aluminium de la solution de dia lyse p riton ale 15 ug L de la solution d h mofiltration 10 ug L et de la solution dilu e pour h modialyse 30 ug L L eau utilis e pour les dilutions des concentr s doit r pondre la Directive 80 778 CEE Les limites suivantes ont t retenues afin de permettre une appr ciation de l exposi tion l aluminium des patients h modia lys s une al mie sup rieure 60 ug L est consid rer comme augmentation exces sive de la charge corporelle un taux sup rieur 100 ug L doit donner lieu un renforcement de la surveillance m dicale du patient le taux de 200 ug L ne devra pas tre d pass Une surveillance trimestrielle du patient par un dosage de l aluminium s rique est recommand e Le seuil de d tection des m thodes analytiques est fix 10 ug L VALIDATION ANALYTIQUE Afin d harmoniser les proc d s analyti ques et d assurer la fiabilit et
17. forme intra ventricu laire sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg Revue de la Litt rature Discussion SUMMARY i he first case of neuro This paper reports t zase tierces ventricular localization disco vered in Luxembourg Review of the literature Discussion 01 ISKEDYL Vaso r gulateur c r bral jour N B Ne pas Isk iniectable 3 6 amp jour N B le pas tan gere Te d avec les solutes cal PAR sine base 6 25 mg Dihydroergocristine 3 se ai excipient q s p amp de 2 5 ml sn poules de 2 5 ml Tableau C Visa m m Isk dyl gouttes 90 120 gouttes jour e p n Raubasine base 0 800 g Dihydroergocristine thane sulfonate 0 100 g excipient q s p 100 ml de solution Flacon de 30 ml Tableau C A M M 305 425 5 Indications Des vertiges aux comas vasculaires troubles li s l insuffisance circulatoire c r brale d ficits sensitivo moteurs Laboratoires Pierre Fabre Fimex 125 rue de la Faisanderie 75116 Paris Distributeur POU r le Grand Duch du Luxembourg Prophac Luxembourg T l 48 24 82 D livrance sur prescription m dicale PROPHAC Howald 5 Rangw L 2412 Howald T l phone 48 24 82 Forme et presentation Gelules ivoire et corail sous plaquettes thermofor mees Boite de 30 Composition Chlorhydrate de cicletanine 50 mg p gelu le 1 5 g p boite Excipient lactose talc q s p 1 g lule de 90 mg Tuniq
18. notamment les fibres C En cas de stimulation ces fibres bloquent par un r flexe d axone la lib ration de certains neuro m diateurs locaux encore appel s neuropeptides action broncho dilatatrice non adr nergiques soit s cr tent d autres neuropeptides action broncho constrictive non cholinergique R cemment l absence de s cr tion d un facteur rel chant pour les muscles epithelial relaxing factor du la destruction des cellules pith liales par les cellules osinophiles est invoqu comme jouant un r le dans l asthme La publication que nous pr sentent UN DERNER et PATTE dans ce num ro est une excellente revue dans le domaine fort com plexe des neuropeptides et du r le du syst me NANC non adr nergique non choli nergique dans l asthme Les actions ambi valentes et polyvalentes des diff rents neuro m diateurs locaux qui a c t de leur action soit broncho dilatatrice soit broncho constrictrice ont en plus des effets tr s puis sants de vasodilatation d hypers cr tion mais aussi de multiplication de diff rentia tion sur les fibroblastes et les lymphocytes sont pr cis es la lumi re des connaissan ces les plus r centes en la mati re Il ne fait gu re de doute que les neuropeptides sont impliqu s dans l asthme comme nous le rappelle une r cente publication sur la di minution du V I P vasoactive intestinal pep tide broncho dilatateur chez une s rie de patients asthmatiques
19. p 9 N 1 1990 Le traitement des fractures de l odontoide reste encore tr s controvers Les diff rentes statistiques concernant les r sul tats du traitement conservateur font tat de taux de pseudar throses aux alentours de 3096 2 La menace des risques neurologiques secondaires a pouss certains auteurs pr coniser un traitement chirurgical d embl e De nombreu ses techniques ont t propos es lagage des arcs post rieurs C1 C2 arthrod se occipito cervicale vissage des sur faces articulaires utilisation du mat riel de KNODT ost osyn these par voie transbuccale Quelle que soit la voie d abord utilis e l arthrod se entra ne un blocage articulaire C1 C2 avec ses limitations fonctionnelles connues Cherchant une bonne stabilisation tout en pr servant la mobilit optimale de la zone charni re nous nous sommes orient s vers la technique de vissage direct de l odontoide par voie ant ro lat rale propos e par BOHLER et ROY CA MILLE 4 10 Nous proposons de rapporter la technique du vissage direct de l odontoide par voie antero laterale pr sterno cl ido mastoidienne et nos r flexions concernant ses avantages et ses indications TECHNIQUE CHIRURGICALE Le patient est install en d cubitus dorsal En cas de fracture avec d placement une traction cr nienne avec trier de Crutchfield permettant les manoeuvres de r duction sera mise en place La t te est en hyperextension et la bouche mainte
20. pid miologique de l hypercholest rol mie au Grand Duch de Luxembourg Camembert Listeria and the immunocompromised patient Cysticercose du quatri me ventricule R le des neuropeptides dans l asthme Le cystad nolymphome de la parotide Lettre l diteur Le virus vaccinal et l arthrite rhumatoide Recommandations officielles concernant les vaccinations contre le t tanos la dipht rie et la coqueluche Livres et p riodiques amp 9 o9 9 oo o9 o9 9 o9 o 9 on no o o o a a 9 9 o o o3 a s o o o o on on F Hentges P T Dang et al G Hansen ecc t n9 n G A T Mahon et al S Meyer et al G Michel A Bouckaert F Ries et al G Sandt et al M Underner F Patte M Wagener P Hemmer Minist re de la Sant Luxembourg 9 15 23 29 45 Nomenclature des Laboratoires et Firmes ayant annonc dans le pr sent volume Astra Nobelpharma Boehringer Ingelheim Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois Heumann Integral S A Luxembourg Intecopharm Diadal Madaus Troponwerke Roier annonce Frusamil Laboratoires IPSEN S A ICI Pharma Janssen Pharmaceutica Mathis Prost Luxembourg Dolorgiet Pharmaceuticals Merck Sharp amp Dohme Milupa S A Philips S A Luxembourg Prophac S A Luxembourg Boehringer Fabre Merrell Schwarz Pharma Salvia Werk GmbH Therabel Pharma Laboratoires Upjohn Will Pharma Z
21. s Ilfaudra envisager l interruption du traitement avec ta lovas tatine chez tout patient ayant un facteur de risque au d veloppement d une Insuffisanco Gomyolyse tel que Infection aigu hypotension interven tion chirurgicale majeure traumatismo troubles m taboliques tror eriniens ou lectrolytiques s v res et convulsions non con On dovra conseiller aux patients de rapporter le lus vito ae des TOURS nn une donsibilt ou 9n es do malaisos ou de fi vre x Oo acbeerve Ona lors des tudes cliniques une incidence lev e d anomalies du cristallin avant administration de lovastatine aux codes ee fois des augmentations ot tre dues la nature y de l examen la lampe fente Des 431 patients examin s la tampo fonte durant le traitement la fovastatine 34 ent des opacit s lors de i examen final 5 15 mois apr s le d but du traitement qui n taient pas pr sentes avant traitement inversement 45 patients pr sentaiont des opacit s lors do l examen avanttraite ment et no les avaient plus lors de l examon final OPACITES DU CRISTALLIN Nombre de Ayant Nouvelles Opacit s Examen final Patients ns Opaci disparues 431 147 34 1 34 45 136 31 8 Ces donn es ne sont pas suggestives d un offet ind sirable do la fovastatine sur le cristallin humain N anmoins vu la pr valence lev e au cours des tudes d anomalies du cristallin chez les po ana ceux qui rri untraitement dl
22. t d montr l administration simultan e de m dicaments antrmflammatorres non st roides pourrait th oriquement diminuer l effet antihypertensit de Sulrexal Pour viter l administration de Sufrexal en cas d hypokali me il faut s Sufrexal est associ un diur tique toujours inclure un diur tique d pargne polassique dans le Sch ma th rapeutique que ce soi ou non avec un autre diur tique Sufrexal ne peut ators tre associ un diur tique timinant le potassium que s un diur tique d par gne potassique est nclus en m me temps dans te sch ma th rapeutique En cas d utilisation chronique de corticoides et de faxatifs il est conseill de contr ler r guli rement le taux de potassium dans le sang BIBLIOGRAPHIE ANDERSON L D D ALONZO R T Fractures of the odontoid process of the Axis J BONE Jt Surg 1974 56A 1663 1674 APUZZO M L J HEIDEN J S WEISS M H ACKERSON T T HARVEY J P KUZKE T Acute fracture of the odontoid process an analysis of 45 cases J Neurosurg 1978 48 85 91 AUTRICQUE A LESOIN F VILLETTE L FRANZ K JOMIN M Vissage de l odontoide par abord an t rieur intermaxillo hyoidien r tropha ryng Neurochirurgie 1987 33 156 160 BOHLER J Anterior stabilisation for acute fractures and non unions of the dens J BONE Jt Surg 1982 1 64A 18 28 BORNE G M BEDOU G PINAUDEAU M Treatment of pedicular fractures of the axis A clinical study and screw f
23. ticence des parti sans du traitement conservateur L installa tion op ratoire en d cubitus dorsal avec la t te en hyperextension facilite le contr le respiratoire ce qui est particulierement im portant en cas de l sions thoraciques asso ci es C est une intervention relativement simple pour un op rateur habitu aborder le rachis cervical par voie ant ro lat rale D autres avantages qui sont non n gligea bles l absence de tout d labrement muscu laire de la nuque l hospitalisation br ve En outre le port d une minerve mousse de 2 semaines constitue galement un grand avantage par rapport aux autres techniques et au traitement conservateur qui necessi tent le port d une minerve dure d au moins 3 mois Parmi les inconv nients de cette techni que le vissage direct de l odontoide est contre indiqu en cas de rupture du liga ment vert bral commun post rieur mise en vidence par les radiographies avec epreu ves dynamiques ou le scanner Une distance entre la face post rieure de l arc de l atlas et le bord ant rieur de l odontoide d passant 3 mm est en faveur d une rupture ligamen taire Dans ce cas un lacage C1 C2 avec ou sans greffe est indiqu Les fractures com plexes odontoido corpor ales d bord frac turaire vers l avant et le bas dans le corps vert bral de C2 repr sentent une contre in dication relative Ce type de fracture peut compromettre la solidit du vissage S Quant la questi
24. uam l ann e groupe do chiffres indiq DELIVRANCE OA sera uniquement d livr sur prescription Le m dicale DERNIERE MISE AJOUR DE LA NOTICE SCIENTIFIQUE 14 03 89 ark of Merck amp Co Inc Rahway New Registered Trade PC MVC T B 0388 L d une hypercholest rol mie De toutes facons le traitement de ce type d hyperlipi d mie est essentiellement di t tique 7 pa tients n ont pu tre class s dans un de ces types d hyperlipid mies Le taux de choles terol le plus lev constat tait de 480 mg dl Dans une derni re partie de cette tude pid miologique nous avons tent d tudier les facteurs nutritionnels en rapport avec l hypercholest rol mie Cette tude est net tement plus subjective et ne permet que de retrouver certaines tendances qui confir ment l pid miologie g n rale connue des hyperlipid mies Ainsi nous avons retrouv dans les hyper lipid mies mixtes 47 patients sur 63 qui disent consommer r guli rement de l alcool une dose quivalente au moins 500 ml de vin jour ce qui fait 74 6 du total des patients Nous avons pu confirmer une rela tion statistiquement significative entre la consommation d alcool et une hypertrigly c rid mie de m me qu entre un surpoids et un taux lev de triglyc rides ce qui con firme que dans ce type d hyperlipid mie les conseils di t tiques sont essentiels Il apparait aussi que sur l chantillon total 72 patients sur 1
25. 37 75 In vitro la stimulation lectrique des bronches humaines provoque une contraction puis une relaxation muscu laire Cette derni re est inhib e par la t tro dotoxine et non par le Propranolol La t tro dotoxine bloque ja conduction axonale et 52 emp che la lib ration de neurom diateurs au niveau des terminaisons nerveuses Le neurom diateur en cause n est pas la nor adr naline puisque le propranolol n inhibe pas la relaxation observ e Initialement BURNSTOCK avait mis I hy poth se que l ATP tait le neurom diateur de ce syst me En 1972 il d montra que l ATP lib r par les fibres nerveuses puri nergiques du tube digestif inhibait forte ment la motricit colique 14 Par contre le r le de l ATP et des m diateurs purinergi ques au niveau pulmonaire reste impr cis Plusieurs tudes utilisant des antagonistes comme la quinidine ou des inhibiteurs du recaptage de l ATP comme le dipyridamole ont abouti des r sultats contradictoires 7 36 37 Il en est de m me pour les tudes concernant l ad nosine m tabolite de l ATP au niveau synaptique Les neurotransmetteurs du syst me inhi biteur non adr nergique semblent tre prin cipalement des neuropeptides l heure ac tuelle 58 Le VIP vasoactive intestinal pep tide le PHI peptide histidine isoleucine et le PHM peptide histidine m thionine sont les principaux neuropeptides de ce syst me Ces diff rents peptides pr
26. Cancer ar Congress in Galway Ireland in Sep 1989 GAT M REFERENCES ADENA M A and WILSON S R E demde Generalised Linear Models In Zn nies The cal Research Case Cantrol Stu Intstat Foundation Sydney ANON 1989 Causes de D c s 1988 Sant Luxembourg ANON 1988 Nm Le Tabac dans la Soci t a Institut Luxembourgeois T ciales et d Etudes de Marche ANON 1987 BEN ll Se en of Cr updating of IARC Monographs ee 42 Supplement 7 Internationa gency Research on Cancer Lyon ANON 1985 Tobacco Smoking dieat T tional Agency for Research o inistere de la Luxembourgeoise echerches So Luxembourg graph 38 Interna Cancer Lyon AXELSON O ANDERSSON K DESAI G FA GERLUND B J KARLSSON C and WING REN G 1988 Indoor radon exposure and active and pas sive smoking in relation to the occurance of lung cancer Scandinavian Journali of Work and Environmental Health 14 286 292 BAKER R J and NELDER J A 1978 The GLIM System Release 3 General Linear Interactive Modelling Numerical Algorithms Group Oxford BRESLOW N E and DAY N E 1980 Statistical Methods in Cancer Research Vo lume 1 The Analysis of Case Control Stu dies International Agency for Research on Cancer Lyon CRAWFORD W A 1988 On the health effects of environmental to bacco smoke Archives of Environmental Health 43 34 37 DOLL R and HILL A B 1950 Smoking and carcinoma of the lung A preli min
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28. H OT E p eowneeconesoscotnnesanscus concchoccsanccoscowege T so po o 100 80 PREIS EER minis ee ER e H n eeescssecccoscdpreceooceserecctesece re e eher e dE MES Mt ano sonscnsodonsosssessssmshoense rmonncmctencmenessnssese H tete eue eene nne eden ee enm N se eos Qo co RR RR s nantannnnue C RR RR 4 r tt qae e esses eee COLE H D t H Py L FH H 1 fone AE E ERN des n nunune i PEER E E EE enemronmenssssimensessssssrens a jessamsene casnessbtescetsccensesenboscremesesencee A LH 1 dounovse deavcce RE ER RME ER ER D 3 eeeeaeceeoseactbecccoseccacscoctaneeseoceseceosbesesesecne sese esee eo case senden eoe cvsosepee DA dd p T encsontonsnnannensensdisenmesensenenmedsessssse nun ee Ada ences dessen desauee tj jee secco eso 0909049000990 99000009 N o 9722 2 9490900992209 1 E RR RR eee eae peru PERLE A s EET EPEE masecaceseocogesotoase snonnandpansennnnunnnetnnnn 1 ccce cecum oscenece000eocooeocanscencsboce7eostenecoocheeseesecocecneqensececs tese tosdecosese oe sen eecenespocwnes ena seneporeces a aaa T 1 1 9999490000022 bo0900509 mooe poccce e eposoce p eeececceseonses
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32. den Schutzfaktor HDL Cholesterin e senkt Gesamt Cholesterin und Triglyceride ESTE M SI Shd TET Zusammensetzung 1 Retarddragee Cedur retard enth lt 400 mg Bezafibrat 1 Drag e Cedur enth lt 200 mg Bezafibrat Indikatio nen Alle Formen von Fettstoffwechselstorungen die durch Ern hrungs und Verhaltensver nderungen oder Behandlung einer even tuell bestehenden Grundkrankheit nicht ausreichend Kontraindikationen Eingeschr nkte Nierenfunk tion Cedur retard bei Serumkreatininwerten ab 1 6 mg dl Cedur bei Werten ber 6 mg dl Lebererkrankungen mit Ausnahme der Fett leber Gallenblasenerkrankungen mit und ohne Cholelithiasis Gravidit t Laktationsperiode Be Kindern sollte die Indikation f r eine Behandlung mit Cedur retard oder Cedur besonders streng gestellt werden Nebenwirkungen Gelegentlich meist passagere gastrointestinale St rungen In einzelnen F llen ist ber allergische Reaktionen Kopfschmerzen Potenzst rungen Haarausfall Trans aminasenanstiege und Myotoxizit t mit Muskelschw che oder schmerzen in der Extremit tenmuskulatur mit und ohne gleichzeitige CPK Erh hungen und ber leichte Abnahmen von H moglobin und der Leukozytenzahl berichtet worden Bei Patienten mit Niereninsuffizienz k nnen Anstiege des Kreatininspiegels und bei Nichtbeachten der Dosierungsrichtlinien durch Kumulation myotoxische Nebenwirkungen Rhab dnung Cedur retard OP mit 30 und 100 Retarddragees domyolyse auftreten F r die Veror
33. des modifi cations persistantes des propri t s biologi ques du virus par exemple son tropisme ainsi par des inoculations intrac r brales chez le lapin on a obtenu un vacciniavirus neurotrope avant la g n ralisation par une seconde vir mie le virus se multiplie dans le syst me r ticulo endoth lial surtout dans le foie et la moelle osseuse les poxvirus peuvent d clencher une prolif ra tion cellulaire la vaccination cutan e du lapin entra ne une hyperphlogistie pa rall le la r action allergique retard e contre l antig ne vaccinal Heilmeyer 1965 le virus peut survivre tr s longtemps en dehors de l organisme Que savons nous de la diffusion du virus dans la nature en dehors des h tes affect s d une maladie apparente Le virus inactiv par la chaleur peut tre r activ le ph nom ne d homor activation s observe parmi tous les poxvirus ind pen damment de leur degr de parent d apr s FENNER et WOODROOFE 1960 m me une h t ror activation de poxvirus par des virus trangers ce groupe psitta cose laryngotrach ite infectieuse herp s grippe Murraytal Fieber Rickettsies tait 70 possible le virus est r sistant aux bas ses temp ratures l irradiation solaire de m me que l irradiation UV et l irradiation ionisante entraine une inactivation rapide du virus Si le virus circule c est donc apparem ment en mi
34. du ciprofibrate celle du traite ment ant rieur dans 8896 des cas ce traitement tait un autre fibrate dans 4 cas les r sines seules ou associ es aux fibrates L efficacit du ciprofibrate a t consid r e comme sup rieure dans 7496 37 des cas egale dans 20 des cas et in ferieure dans 6 des cas 3 Chez 38 patients on a pu comparer la tol rance au ciprofibrate celle au traite ment ant rieur Dans 3696 des cas la tol rance au ciprofibrate tait sup rieure Elle tait gale dans 60 des cas in f rieure dans 3 des cas 4 Au total 14 effets secondaires ont t enregistr s soit 13 2 II s agissait 7 fois de troubles digestifs 6 effets mod r s et 1 g nant ayant entrain l arr t du traite ment 2 fois d allergie et ou ryth me 2 fois de vertige et ou asth nie et 3 fois de c phal es 5 Les effets biologiques du traitement sont r sum s dans les tableaux 2 4 qui montrent respectivement la distribution des mesures avant traitement et la dif f rence avec sa signification statistique DISCUSSION l ressort assez clairement du tableau 4 que certaines concentrations sont significa tivement modifi es par le traitement Il s agit du cholest rol dont la concentration moy enne se r duit de 20 des triglyc rides 30 des LDL 20 et du glucose 4 cette derni re modification tant par ailleurs d pourvue de pertinence clinique Il aurait sans doute t intere
35. et nn L aercsci duseur de Duet RUND a ne peut tre ouvert avec 50u Essig POUNG n expose a des temperatures supeneues 50 Pr sentation ee Ne avec emt aut buccal conte Ur pate pue 1300 doses Validit 4 ane ant 30 ma de fenoterol Formule Bt Sey tery B sape mu iti ttopasmono Bong uf mprormid ti hydras 0012 1435 ERS er 4 nydroxybenzyli aethyl amino aethanoi hydrobromid 00958 rn tnoleas Monofluorotrichlofo methan Difluorodichloromethan 9 Sorb paethan as pro 15 ml 300 bouttees dosees n v Boehringer Ingelheim s a Avenue Ariane 16 1200 Bruxelles T l 02 773 33 11 1 M j i BRONCHO PNEUMOPATHIE OBSTRUCTIVE CHRONIQUE DE LA DECOMPENSATION AU RETOUR A DOMICILE Expansion Scientifique Frangaise 1989 R Muller Esch Alzette Que l on ne se m prenne pas sur le titre de cette publica tion il ne s agit pas d un ouvrage de r f rence sur les broncho pneumopathies chroniques obstructives BPCO mais d une monographie de la soci t de r animation de langue fran aise reprenant les rapports et les communica tions pr sent es lors d une r union de cette soci t en mai 1989 Les articles concernent pour une moiti les BPCO pour l autre moiti la dysplasie broncho pulmonaire DBP de l en fant par cette entit nosologique dont la d finition ne fait pas l unanimit on entend l ensemble des problemes respira toires persistants chez les nouveau n s ayant
36. il n est cependant pas clair si ces variations sont causales ou secondaires voire accessoires Nos attitudes th rapeutiques actuelles sont guid es par le savoir que les crises asthmatiques aigu s ne sont pas tellement des accidents uniques sans pass et sans lendemain mais plut t la traduction mo mentan ment exag r e d une hyperr acti vit bronchique permanente li e une infil tration cellulaire et une inflammation bron chique chroniques Le traitement de la crise asthmatique aigu pour laquelle les b ta mim tiques restent les m dicaments de choix sera obligatoirement doubl d un trai tement plus prolonge visant r duire l in flammation bronchique chronique sous ja cente et l hyperr activit bronchique asso ci e C est par leur activit remarquable sur l inflammation bronchique et l hyperr acti vit asp cifique que les corticoides moder nes en a rosol ont fourni le progr s th ra peutique le plus important des derniers temps Les ann es venir nous apprendront si les connaissances nouvelles en mati re de neuropeptides seront suivies de l utilisa tion clinique d agonistes ou d antagonistes des diff rents neuropeptides m dicaments qui viendraient largir le clavier th rapeuti que de l asthme bronchique surtout en ce qui concerne les composantes inflammatoi res et d hyperr activit asp cifique REFERENCES 1 CARTIER A et al Allergen induced increase in bronchial responsive
37. l histamine Des tudes compl mentaires sont n cessaires car le VIP administr en a rosol est rapi dement m tabolis au niveau de l pith lium bronchique comme l a montr BARROWCLIFFE 11 Le m tabolisme local du VIP est plus important chez l asthmatique en rai son de l inflammation de la mu queuse qui augmente l activit des enzymes d gradant le VIP Effets de l administration intraveineuse de VIP DIAMOND 28 a montr que le VIP inject par voie intraveineuse I V inhibe la bronchoconstriction pro voqu e par la s rotonine chez le chat Cette relaxation du muscle lisse bronchique est ind pendante du m tabolisme des prostaglandi nes ou de l activation des r cepteurs b ta adr nergiques Chez l homme MORICE 52 53 tu diant les effets de l injection V de VIP chez l asthmatique a observ une bronchodilatation survenant 15 minutes apr s l injection et un effet protecteur vis vis de la broncho constriction provoqu par l hista mine Par voie I V le VIP est cepen dant nettement moins bronchodila tateur que le salbutamol Une cer taine prudence s impose toutefois pour interpr ter ces r sultats car l administration de VIP par inhala tion ou par voie I V ne reproduit pas exactement les effets de ce neuro m diateur au niveau des r cepteurs en raison de son m tabolisme local apr s lib ration neuroendocrine 55 59 2 Effets vasculaires du VIP Le VIP est u
38. le syst me h matopoi tique en entier Raskind en 1984 6 a montr chez un patient atteint d une MDS et h t rozygote pour la glucose 6 phosphate d shy drogenase G 6PD que les rythrocytes les plaquettes les neutrophiles et les cellules nucl es m dullaires exprimaient tous un seul et m me isoenzyme G 6PD L anomalie cellulaire des MDS semble se situer au niveau de la cellule souche pluri 29 potente En effet la presentation clinique habituelle des MDS est celle d un patient ge 50 ans pr sentant une p nie isol e d une des trois lign es ou plus fr quemment une pancytop nie mod r e associ e ou non une monocytose relative Les causes clini ques d insuffisance m dullaire sont exclues et le m dullogramme est toujours normo ou hypercellulaire avec des degr s variables mais constants de dysmorphisme Par d fi nition sont exclues des MDS les moelles hypocellulaires avec ou sans foyer blastique ainsi que les leucoses aigu s hypocellu laires L o la moelle a t examin e par une r sonance magn tique nucl aire tout nous laisse croire que la distribution g ogra phique de la moelle est tout fait diff rente des donn es classiques de la litt rature un certain nombre de patients pr sentant en r sonance magn tique des foyers franche ment aplasiques 19 II CRITERES MORPHOLOGIQUES A La dys rythropoi se comprend des si d roblastes dont on d finit trois types type I pr sence de
39. le tissu conjonctif l acide hya luronique omnipr sent l inactive mais ne l limine pas A la faveur de reinfections r p t es surtout familiales peuvent se pro duire dans certains cas des booster ef fects dans d autres cas des d sensibilisa tions ou paralysies immunitaires s lecti ves T moins les r actions immunes varia bles et complexes de l arthrite rhumatoide Ces r actions n ont pas n cessairement une ressemblance avec la r action s rologique ou cellulaire antivaccinale normale qui peut ne pas tre perturb e Que faire Partir la recherche de virus ou de d bris viraux dans le cartilage et l os sous chondral et ne pas se laisser arr ter par le fait probable qu on trouvera les m mes particules dans l arthrose par ex emple ou dans les articulations normales qui ont manifestement un m canisme de d fense ou de tol rance diff rent Paul Hemmer Luxembourg 71 72 VACCINATION TETANOS DIPHTERIE COQUELUCHE CHEZ L ENFANT PRIMOVACCINATION 2 3 MOIS IERE INJECTION DITEPER 3 5 MOIS 2EME INJECTION DITEPER 4 6 MOIS 3EME INJECTION DITEPER INTERVALLE ENTRE DEUX INJECTIONS 4 8 SEMAINES INJECTIONS DE RAPPEL 18 24 MOIS 4E INJECTION DITEPER ou TD si FORTE REACTION A PER 5 6ANS SE INJECTION TD ou Td si FORTE REACTION A D 15 16 ANS 6E INJECTION TD ou Td REMARQUES 1 L ESPACEMENT DES INJECTIONS D UN PROGRAMME COMPLET 3 INJECTIONS PLUS 1 RAPPEL NE FAIT QUE RETARDER L I
40. mixte cholest rol total sup rieur 250 mg dl et triglyc rides sup rieurs ou gaux 1 50 mg dl et 43 patients avec nal a l mie pure taux de cholest rol to al su p rieur 250 mg dl et taux de triglyc rides inf rieur 150 mg dl II n y avait pas de type IV c est dire d hypertriglyc rid mie pure Puisque les patients taient recrut s partir 36 31 8 16 32 30 60 26 19 38 27 54 13 26 10 20 18 36 m Da me U S Femmes 20 31 796 35 55 596 22 12 19 96 26 41 296 24 38 96 5 7 896 5 7 9 65 57 5 48 31 27 4 53 46 9 37 32 7 15 13 2 23 20 3 Mevacor lovastatine MSD maintenant vous pouvez agir de facon d cisive sur un cholest rol trop lev lorsque le r gime s est av r insuffisant L information d taill e concernant les indications contre indications et pr cautions se trouve dans la notice scientifique ci contre S g SN a 3 9 S amp Registered trademark of Merck amp Co Inc Rahway N J U S A DENOMINATION MEVACOR MEVACOR lovastatinum MSD lovastatinum MSD mes 20mg comprim s 40mg TITULAIRE D ENREGISTREMENT MERCK SHARP amp DOHME BY Chauss e de Waterloo 1135 1180 BRUXELLES TEL 02 37342 11 COMPOSITION Lovastatinum 20 mg Lactosum Maydis amyl progel Cot tulos microcr Magnesii stearas far a ee Indi otinum E132
41. montr plus r cemment l existence d un syst me inhibiteur non adr nergique et d un syst me excitateur non cholinergique regroup s sous le terme de systeme NANC non adr nergique non choli nergique Les m diateurs de ce syst me sont des neuropeptides avec comme chefs de files le VIP vasoactive intestinal peptide pour le syst me inhibiteur non adr nergique et la substance P pour le syst me excitateur non cholinergique Les neuropeptides participent la r gula tion de nombreux ph nom nes intervenant au niveau de la muqueuse bronchique et dont on connait l importance dans l asthme contraction du muscle lisse bronchique to nus vasomoteur activit mucociliaire ph nom nes s cr toires et inflammatoires LE SYST ME INHIBITEUR NON ADR NERGIQUE Si l existence de r cepteurs b ta adr nergiques au niveau des fibres musculaires lisses bronchiques est certaine en revan che leur innervation directe par des fibres nerveuses sympathiques n a jamais t d montr e chez l homme Une innervation sympathique existe cependant au niveau des vaisseaux sanguins et des glandes bron chiques sous muqueuses 6 8 10 45 46 Ainsi le syst me inhibiteur non adr nergique est probablement le Seul l ment nerveux relaxant directement le muscle bronchique chez l homme A la suite des travaux de RICHARDSON 71 plusieurs tudes ont confirm l exi Stence du syst me inhibiteur non adr nergi que 4 7 23
42. of 46 lung cancer cases only 1 was a lifetime nonsmoker and the others were current smokers or ex smokers Of 625 controls as many as 282 were lifetime non smokers Thus there was a strong positive association between lung cancer and smo king and the overall odds ratio relative risk was found to be 36 99 Analysis I df Deviance Amount smoked Age start Ea ES Supra E ES ES Nationality Housebold size 4 309 os Region 4 6 86 Table 2 Four analyses of log likelihood ratios Analysis Il Analysis III Analysis IV df Deviance df Deviance df Deviance 7 The analyses of log likelihood ratios are shown in Table 2 It is clear that there is a strong positive association between lung cancer and amount smoked and a strong positive effect of age among the smokers No difference was apparent between the sexes within age and smoking level Risk was lower for medium term and long term ex smokers than for current smokers anc 25 recent ex smokers and no case was a long term ex smoker There was no significant effect of age on starting to smoke The effect of profession excluding pen sioners was almost significant but no signi ficant effect was found for income region nationality household size or level of stu dies However interpretation of these ex planatory variables was complicated by data sparseness and by correlations amongst the variables DISCUSSION The strong effect
43. par le programme contre r sistance progressive 75 La conclusion de ce travail est 1 les r sultats excellents et bons sont de 93 pour la m thode op ratoire utilis e et le type d immobilisation 30 ou 70 de flexion ne permet d influencer ce r sultat au bout de 28 mois de traitement bien que du point de vue morphom trique l amyotro phie quadricipitale est moindre pour une immobilisation 70 que pour celle de 30 et que le programme isokin tique a permis pour ce groupe une reprise de l activit l g rement plus rapide L instabilit ligamentaire r siduelle au bout de 28 mois n est pas influenc e par 76 l un des deux programmes de r habilitation qui aboutissent tous les deux des r sultats similaires L am lioration de l instabilit pr op ra toire est de 6696 en post op ratoire en com paraison par rapport l tat pr op ratoire Pour expliquer ce fait l auteur met I hy poth se que c est la perte de la fonction des m chanor cepteurs se situant au niveau du ligament crois ant rieur qui serait respon sable de cet tat r siduel L EPAULE DOULOUREUSE CHIRURGICALE n 33 Cahiers d enseignement de la SOFCOT Expansion Scientifique Francaise 1988 L Schuman Luxembourg Les chapitres du pr sent ouvrage dit en 1988 traitent l anatomie fonctionnelle de l articulation scapulo hum rale et des articulations connexes des m thodes d exploration de celle ci dont in exten
44. patients atteints de MDS 14 Le GM CSF recombinant granulocyte macrophage colony stimulating aupr s de 8 patients Les r sultats furent favorables avec am lioration nota leucop nie 16 reste voir quel est le pouvoir stimulateur sur les cellu l acc l ration possible de la maladie Un nouveau produit d riv administr par voie orale es Les r sultats pr liminaires disposer des r sultats comp factor a t valu ble de la thrombo les tumorales et uvoir tre des antracyclines l idarubicine qui a l avantage de plasies t actuellement en investigation dans les MDS n gt diis DOUT sont encourageants II faudra probablement en aratifs sur la survie des patients traites 32 L h t rogreffe de moelle est jusqu ce jour le seul traitement curatif possible la greffe de moelle devrait tre envisag e pour tout patient de moins de 50 ans o un donneur HLA compatible est disponible 18 En conclusion en analysant les tudes randomis es on peut affirmer qu aucune mesure th rapeutique ne s est montr e sup rieure quant la survie aux mesures purement palliatives c est dire transfusions en culots sanguins et traitement des infections La transfusion plaquettaire n est conseill e qu en pr sence d h morragies actives vu le rendement m diocre long terme par la survenue rapide d anticorps anti plaquettes lors de transfusions r p titives Des donneurs HLA identiques ou proches sont pr f ra
45. pr sent la naissance une maladie des membranes hyalines trait e par ventilation contr l e Les diff rents chapitres de cet ouvrage revoient en d tail cette pathologie n onatale en commengant par un rappel de la croissance pulmonaire normale et patho logique en passant par la physiopathologie la symptomato logie les aspects hemodynamiques fonctionnels respiratoi res et endoscopiques et bien s r les modalit s th rapeuti ques une large place est r serv e l oxyg noth rapie au long cours et la ventilation domicile des enfants atteints de formes graves de DBP pathologie dont l incidence est estim e 10 20 des enfants trait s par ventilation m cani que la naissance En ce qui concerne muscles respiratoires e les changes gazeux de fa namiques la nutrition des les BPCO les sujets concernent les t leur dysfonctionnement voquent on sommaire les aspects h mody BPCO les m dicaments employ s dans la d compensation aigu L encore une large place est faite l oxyg noth rapie au long cours domicile et ade nouvelles modalit s de ventilation m canique non invasive comme la ventilation au masque sans oublier la classique ventilation domicile par trach otomie dont les r sultats chez les malades atteints de BPCO sont beaucoup moins ladies neuro musculaires stables et probants que dans les ma les d formations thoraciques p ex Ainsi cette monographie apporte des compl m
46. que Conley 3 et Miehlke 4 identifient la chirurgie de la portion extrap treuse du nerf facial I s agit d une chirurgie tr s particuli re bien codifi e par Guerrier 5 Le premier pas consistera toujours re chercher le nerf facial entre sa sortie du trou stylo mastoidien et son entr e dans la paro tide Les points de rep re sont constitu s par le conduit auditif externe cartilagineux et Son pointer il s agit d un processus digitiforme montrant le nerf facial qui se trouve 7 5 mm environ en avant et en dedans 5 la rainure du digastrique dans le prolon gement de laquelle se trouve le trou stylo mastoidien la suture tympano mastoidienne Apr s rep rage du tronc du nerf facial la dissection se poursuivra jusqu la division de ce nerf en deux branches la branche temporo faciale et la branche cervico fa ciale Que la tumeur soit sus ou infra fa ciale la dissection du nerf facial et de tous ses rameaux classiquement rameau tempo ral zygomatique buccal mandibulaire et cervical devra se poursuivre jusqu la p ri ph rie de la glande Cette chirurgie peut se compliquer du fait de la taille de la tumeur rendant le rep rage du nerf facial difficile ou encore de l exi stence de nombreuses variantes anatomi ques de division du nerf facial L indication de la parotidectomie totale r section du lobe superficiel et profond de la parotide s par s par le nerf facial repose
47. signer 77 Mises part les l sions de la coiffe des rotateurs du muscle biceps des instabilit s l auteur d crit de facon d taill e les diff rents probl mes neurologiques sp cifi ques les syndromes neuro vasculaires et les probl mes vasculaires art riels et vei neux tout en pr cisant les gestes th rapeu tiques salvateurs sp cifiques Le Professeur COFIELD Mayo Clinic Ro chester USA traite le chapitre des l sions de la coiffe des rotateurs en pr cisant les techniques op ratoires mises part les techniques par greffe compl mentaire et par l analyse des r sultats obtenus la valeur sp cifique de ces dernieres L auteur r f re galement sur les checs de r paration de la coiffe des rotateurs et le traitement applique par la suite avec les r sultats personnels obtenus Les l sions d g n ratives de la coiffe des rotateurs sont expos es avec un recul d une exp rience sur 10 ans par le Profes seur APOIL dont la recherche d un proc d simple et fiable de r paration des grandes ruptures a abouti la technique du lambeau de deltoide Le chapitre quelques r flexions sur le traitement chirurgical des l sions de la coiffe des rotateurs de l paule expos 78 par le docteur PATTE et le Professeur GOU TALLIER reproduit en fait une exp rience couvrant 25 ans de chirurgie de la coiffe des rotateurs dont les d buts ont t effectu s par le Professeur DEBEYRE II s agi
48. u of m a RON dans les troubles de 1 Composition Vincamine Retard 30 mg Indications Insuffisance c r brale c r brale Troubles vascul optique Migraines C phal es Vertiges Contre indications Grossesse Effets secondaires Rares cas de naus es rougeurs de la face Pr cautions Ne pas croquer les microgranules Posologie g lule matin et soir Isch mie aires de la r gion et D livr sur ordonnance m dicale aq memoire Will Pharma uxembourg rue d Anvers 35 Luxembourg Ville distribution 87 88 inum Serum alum 80 normal Al serum level 70 Q limit of normality for HD Q N fiauanbaa 40 tolerability limit 30 87 88 EN 20 SN Sy E NS SA BERR SSS RENTE RSs ERE RQ SIE SOs SSZ Sz Gcc Sic SSI Sil Sol Ss Sri Sei Sel Sth sol S6 S8 SZ S9 SS Sp Sg 19 Figure 2 Al in HD patient serum means of grouped values in ug l r 2 egvseseel Pere ere rrr ery A EET EE ger PETRA lens MUN TIE TERE EEEN H H i i E H edere reo d casos Pe 99099 90209 9990000000 0me o2 L LLLI 949e9900299002 5009909979992 DS COUT ES eecescsessseeobesctesesens cese MM esesspesesse r A P 4 EE EE 9920499409909 00029000909224 ceccopesece eccdesce SL doce i i LI f 4e boo D SR does
49. varian sion du nerf facial L examen histologit d nolymphome papi r action inflammatoire 3 Madame F S ne sulter pour une masse ancienne ayant augme Quelques mois Dans note une intervention tique La parotidecton 25 2 87 permet de dis Position r trofaciale confirme le diagnost phome 4 Monsieur R P i consulter pour une p gulo maxillaire basse Dans l enfance on note 64 g de 60 ans diab ti st envoy pour une ulo maxillaire gauche 1 r cente L examen iormal la fonction du schographie cervicale an chog ne bien li ne est sans particula iie totale pratiqu e le ouver une tumeur du parotide Les suites les confirme la pr sence ome ou tumeur de g de 57 ans est faction norme de la roite d apparition tr s rrogatoire permet de depuis environ 2 ans iarotidienne ayant en jours grossi jusqu ne mandarine Cette ement sensible la it r nitente L examen me l existence d une liquidienne Le nerf amen interne montre n infarctus La paroti atiqu e le 8 7 88 ren le fait que la tumeur re prend son point de ofond et qu on est en e anatomique de divi jue montre un cysta laire remani avec intense e en 1930 vient con parotidienne gauche nt de volume depuis les ant c dents on pour torticolis spas lie totale pratiqu e le quer une tumeur en examen histologique ic de cystadenolym g de 57 ans vient tite tumeur sous an asse2 superficielle l
50. 0 2 mg C est a dire une bouff e L ipratropium est un bronchospasmolytique effet parasympathicolytique qui inhibe la bronchoconstuction r flexe induite par le vague contrairement a l atropine l ipratropium n agit pas au niveau du systeme nerveux central du fait de la pr sence dans sa structure chimique d un groupement ammonium quaternaire Par inhalation une tres faible dose suffit pour relacher la muscula ture bronchique la dose unitaire d livr e par l aerosol doseur d Atrovent est de 0 02 mg et la dose tecommandee en 1 fois est de 0 04 mg une tele dose n induit pas d effets secondaires syst miques de type anticholinergique tels que s cheresse buccale ou troubles de l accommodation visuelle par ailleurs elle est sans influence sur la s cr tion bronchique et la fonction mucocihaire D autre part lorsqu on en accroitles doses l ipratropium dispose encore d une marge de s curit particulierement tendue Le Duovent associe le fenotero et l ipratropium Gr ce leur mode d action diff rent chacun des composants exerce un effet compl mentaire En pathologie bronchique i en resulte un elargissement du spectre therapeu tique de la m dication et une diminution du taux de non repondeu s chacune des composantes En effet le bronchospasme peut tre influence Quel qu en soit le m canisme sympathique ou para sympathique allergique ou non La pr sence de fencteroi se traduit par une entr e en action immediate de l e
51. 1 5 granulations type II 5 10 granulations type III multiples granulations formant en microscopie lectronique un an neau autour du noyau Les granulations correspondent des inclusions ferriques intra mitochondriales Par ailleurs on re trouve des corps de Howell Jolly des cel lules pluri nucl es et une basophilie in tense B La dysm gacaryocytopoi se fait apparai tre des m gacaryocytes de petite taille ou et multi nucl s Plus rarement le nombre ab solu est diminu Dans le sang p riph rique une anisocytose plaquettaire des plaquettes geantes et des inclusions granuleuses denses sont courantes C La dysgranulocytose donne classique ment l anomalie de pseudo Pelger Huet c est dire une hypogranulation et hypo Segmentation des neutrophiles avec densifi cation importante de la chromatine En cas de monocytose absolue des cellules hy brides entre monocytes et my locytes les paramy loblastes sont mises en vidence par des colorations enzymatiques specifi ques D L histologie sur la biopsie osseuse per met de juger du degr de fibrose m dullaire plus fr quemment associ e aux MDS secon daires Des amas de pr curseurs blastiques 30 anormaux intra m dullaires ont une valeur pronostique quant la survie des patients 5 L imagerie par r sonance magn tique semble donner des donn es compl men taires qui dans des s ries plus importantes devront trouver leur place dans la desc
52. 13 consomment r guli re ment du beurre et 82 113 mod r ment ou fr quemment de la charcuterie ou des abats et que 62 patients consomment de 2 6 oeufs semaine et 8 en consomment plus de 6 semaine Enfin 97 113 consomment de fa on mod r e ou fr quente des sucres simples COMMENTAIRES II apparait de cette tude que sur cet chantillon de 113 patients hypercholes t rol miques repr sentatif car recrut dans tout le pays par des m decins g n ralistes et sp cialistes il y a plus d hyperlipid mies mixtes donc des types llb que d hypercho lest rol mies pures type lla On peut ad mettre qu il y a relativement peu de formes familiales h t ro ou homozygotes car on n a retrouv que 31 896 d ant c dents fami liaux et le taux de cholest rol le plus lev tait de 480 mg dl Nous avons retrouv un e facteurs de risque associes variant 3 2 pour le diab te 6196 pour la sedentarite En moyenne 33 5 des patients un facteur de risque as avaient au moins U soci soit plus du tiers des patients taux d entre 1 57 5 des patients avaient eu des ant c dents personnels de maladies cardiovas culaires ce qui tait probablement une des causes de recrutement dans l tude Pour ce qui est des facteurs alimentaires ou du mode de vie les faits sont plus diffi ciles analyser Pour les patients avec hy perlipid mie mixte 74 6 consomment r guli rement de l alcool ce qui influence da
53. Ann Int Med 74 1 1971 RICHARD J L DUCIMETIERE P BONNAUD G CLAUDE J R LELLOUCH J SCHWARTZ D et DI MATTEO J Incidence et valuation du risque de ma ladie coronarienne l tude prospective parisienne Arch Mal Coeur 70 531 1977 LIPID RESEARCH CLINICS PROGRAM The Lipid Research Clinics Coronary Pri mary Prevention Trial Results 1 Reduc tion in incidence of coronary heart di sease J A M A 251 351 1984 39 Es d B Z o B MILUPA LES MENUS PLAISIRS QUI ME FONT GRANDIR Pour l alimentation des b b s Milupa est le sp cialiste Si vous souhaitez en savoir plus contactez Milupa au 02 721 20 10 Pour le Grand Duch de Luxembourg Mr H Milbert Hiel 12 6834 Biwer Tel 713 87 milupa TOLLAAN 79 81 B 1940 ST STEVENS WOLUWE Camembert Listeria and the immunocompromised patient F RIES M DICATO R HEMMER F ARENDT 1 Department of Haematology Oncology 2 Department of Infectious Diseases Centre hospitalier Luxembourg Division de l Inspection Sanitaire Lab Nat Sante Luxembourg o on presented at n Hematological s in Brussels Communicati the 5th Belgia Society Congres 1990 Bull Soc Sci Med p 41 N 1 1990 ABSTRACT Listeriosis is a rare but well known infectious complication in pregnant women and immunocompromised patients Epi demiological studies have shown an association between listerios
54. Anstalispackungen Anstaltspackung A Luxembourg bourgeois s Stand Mai 1978 Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxem De l influence des pollens sur le comportement des allergiques A TRULUDAN terf nadine L anti histaminique non s datif action rapide VLC ai 3 404 Merrell Dow B y i m E m Ms p A Causes de d c s survie en vie LANL h morr infect autres mois en I RA 32 38 11 15 21 15 II RAS 76 60 5 5 5 25 Ill RAEB 10 5 16 28 8 44 4 IV CMML 22 61 13 0 13 13 V RAEB t 5 9 55 18 18 0 Les facteurs d favorables au moment du diagnostic furent le type de MDS pourcentage de blastes les cytop nies associ es et les anomalies caryotypiques 8 Tricot et al ont d velopp un mod le reprenant les diff rentes volutions de 46 patients 12 13 A 48 maladie stable pourcentage de blastes constant et faible un tiers pr sentant des anomalies chromosomiales mais pas de changements en cours d volution B 28 progression tr s rapide vers une leucose aigu apr s une volution plus ou moins longue stable tous pr sentent des anomalies caryotypiques nouvelles C 24 progression lente et augmentation progressive du pourcentage de blastes aucun changement caryotypique volution progressive vers la leucose VI POSSIBILIT S TH RAPEUTIQUES R SULTATS Les MDS sont des maladies fatales avec une survie
55. BULLETIN de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Erleichterung f r den Leber Patienten 000000 7 mu in der verbesserten J 420 mg Darreichungsform es sind viele Seit der Einf hrung von Legalon 70 Drag klinische Arbeiten publiziert worden in denen die anti hepatotoxische Wirkung von Legalon best tigt und untermauert wird Dar ber hinaus wurde die Tages dosis von 6 Dragees Legalon 70 420 rng Silymazin als optimal erkannt 9 140 Um die Einnahme zu erleichtern steht jetzt Legalon gi als Kapsel zur Verf gung d h der Patient nimmt Jetz i nur 3xt glich 1 Kapsel A ist frei von egalon wird sehr gut vertragen nd nicht b ekannt S Legalon 140 O5 he Leberfunktion bei akuten und chronischen Erkrankungen der Leber Zusammensetzung 1 Kaps Lega Onischen Hepatitiden wi iH ML bap 60 mg Silibinin in 200 mg Extr Fruct Cardu mariae Indikationen Als Adjuvans pei akuten und y itleber medikamentose aggressive und persistierende Hepatitiden Leberzirrhose toxisch metabolische Leberschaden z B Fe K sel Legalon 14 r chweren F llen 3 x taglich 1 Kapsel Legalon 0 Ursach i en Vergiftungen Strahlenbelastung Dosierung Soweit nicht anders verordnet in S Handelsformen Legalon 140 O P mit 60 Kapseln d Apothekenverk uflich adaus AG D 5000 K ln 91 Vertretung f r Luxemburg Integral S A BULLETIN de la Soci t des Sciences M
56. Cedur OP mit 50 und 100 Dragees Rezeptpflichtig B PROPHAC OEHRINGER ipee g MANNHEIM L 2412 Howald T l 482482 E E E bstance active mononitrate 5 Composition 1 comprim contient 20 mg resp 40 mg de la subst 4 FREE d isosorbide Indications Traitement d entretien de la cardiopathie coronarienne reventon de la cardiopathie coronarienne des crises d angine de poitrine m me lors du sta f d Traitement subs quent de l infarctus du myocarde r ed en de avec des pressions de remplissage basses hypotension art rielle prono we tat ilo d oc En cas de grossesse le m dicament ne doit tre administr que Sur prescription ormelle du m de cin Effets secondaires Occasionnellem de t te passagers peuvent apparaitre comme on l observe avec tous les d riv s nitr s Il est conseill de commencer avec une posolo gie progressive et de poursuivre le traitement avec pers v rance afin d viter l apparition de ces ise du m dicament V il peut se produire c phal es resp de les supprimer Lors de la premi re pri E i e resp un collapsus circulatoire Pour le traitement ent des maux une chute de la tension art riell de besoi d entretien on administre 1 comprim 3 fois par jour apr s les repas En cas C esoin on peut aussi augmenter les doses Remarque En cas d emploi simultan d antihypertenseurs l effet de ceux ci peut tre renforc La consommation simultan e d alcool peut pr
57. MENTEE on DERNIERE INJECTION DATANT DE NON 1 SEULE DOSE PLUS DE 5 ANS oul DOCUMENT TION oul DATANT DE PLUS DE 10 ANS SMISSIBLES YGIENE SECTION DES MALADIES TRAN MAI 1989 CONSEIL SUPERIEUR D H 73 v z X wu gt e us Q lt z PROFESSIONAL SYSTEMS 4 rue des Joncs Z l Howald T l 49 61 11 GO PRO SYSTEMES MEDICAUX Avant de vouloir aider quelqu un il faut tre s r de ne pas lui nuire Si qualit gale vous pouvez visualiser l int rieur du corps humain en limitant l emploi des rayons X cela vaut mieux pour la sant du patient Tout en am liorant continuellement les appareils rayons X Philips pousse le d veloppement d alternatives Le diagnostic ultrasons a t un premier pas l imagerie par r sonance magn tique le pas suivant dans le d veloppement de techniques de diagnostic encore plus s res pour le patient PHILIPS Livres CHRONIC ANTERIOR CRUCIATE LIGAMENT TEAR Knee function and knee extensor muscle size morphology and function before and after surgical reconstruction Auteur Lars Gunnar Elmqvist But de l ouvrage these pr sent e l Universit UMEA Suede 1988 JSSN 0346 6612 pages 137 L Schuman Luxembourg Ce travail prospectif m thodique fort bien document du point de vue scientifique se situe dans le cadre du traitement op ratoire de la l sion du ligament crois ant rieur et de la rec
58. MMUNITE COMPLETE SANS NUIRE A SA QUALITE A CONDITION DE S ECHELONNER SUR UNE PERIODE DE 2 ANS IL N Y A DONC PAS LIEU DE MULTIPLIER LES INJECTIONS EN CAS DE DEPASSEMENT DU DELAI HABITUEL CHEZ UN NOURRISSON 2 TOUTE INJECTION DE RAPPEL CHEZ L ENFANT DOIT LE PROTEGER CONTRE LE TETANOS ET LA DIPHTERIE IL FAUT DONC EN FONCTION DE LA TOLERANCE UTILISER L ASSOCIATION TD ou Td 3 MARCHE A SUIVRE EN CAS DE PLAIE 3 1 LAVER DESINFECTER ET DEBRIDER AU BESOIN CHIRURGICALEMENT 3 2 VERIFIER L ETAT D IMMUNITE SE FIER AU SEUL CARNET DE VACCINATION 3 3 EN PRATIQUE ETAT IMMUNITAIR SERUM ANTI TETANOS VACCIN TD Td PAS DE VACCINATION ou adi oul NON DOCUMENTEE 3 DOSES VACCINATION INCOMPLETE cui 1 SEULE DOSE VACCINATION CORRECTE DOCUMENTEE NON NON DERNIERE INJECTION DATANT DE MOINS DE 5 ANS VACCINATION CORRECTE DOCUMENTEE KON e DERNIERE INJECTION DATANT DE 1 SEULE DOSE PLUS DE CINQ ANS VACCINATION DE BASE CORRECTE our oui DOCUMENTEE DERNIERE INJECTION 1 SEULE DOSE DATANT DE PLUS DE 10 ANS CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE SECTION DES MALADIES TRANSMISSIBLES 1989 VACCINATION TETANOS DIPHTERIE CHEZ L ADULTE ADULTE NON VACCINE lere INJECTION 2eme INJECTION 30 60 JOURS APRES LA lere INJECTION 3eme INJECTION 6 12 MOIS APRES LA 2eme INJECTION RAPPEL TOUS LES 10 ANS APRES LA DERNIERE INJECTION ADULTE VACCINE ANTERIEUREMENT RAPPEL TOUS LES 10 ANS UNE SEULE INJECTION DE Td REMARQUES IMPORTANTES 1 VACCINER SIMULTANEMENT C
59. NESIN Die Magnesiumtherapie bei erh htem Bedarf z B im Berufsstre Zusammenselzung 1 Titels enth lt Ma 8 mg Anwendungsgebiete Bei allen Fol ene liche bererregbarkeit Schreckhaftigkeit Krampine igus d und gnesium hydrogenphosphoricum 265 0 mg Magnesium citricum 66 0 mg Acidum citricum Igefuhl angst gnesium Mangels z B Gleichgewichtsstorungen Schwinde rlichen Muskulatur Kopfschmerz Einschlafen derGliedma en Madaus AG D 5000 Koln 91 gs Cysticercose du quatrieme ventricule G SANDT L BEISSEL A ROILGEN Service de Neurochirurgie Centre Hospitalier L 1210 Luxembourg 2 Ophtalmologie Clinique d Eich L 1460 Luxembourg Buli Soc Sci M d p 45 N 1 1990 La cysticercose est due au d veloppement chez l homme de la forme larvaire du Taenia solium Le syst me nerveux central peut tre atteint par la maladie et dans ce cas le parasite se localise dans le parenchyme c r bral les espaces sous arachnoidiens les ventricules et plus rarement la moelle 14 Parmi les localisations intraventriculaires celle du IV ventricule est la plus fr quente 2 10 14 Notre observation fait partie de ce groupe Cette maladie parasitaire est particu lierement rare dans nos r gions et ce ne sont que des cas isol s qui sont publi s OBSERVATION Pablo J V R n en 1960 en Espagne habite le Luxembourg depuis 1972 mais fait chaque ann e un s jour d environ un mois dans son pays n
60. ONTRE TETANOS ET DIPTHERTE 2 UTILISER CHEZ L ADULTE UNE DOSE NORMALE DE VACCIN ANTI TETANOS ET UNE DOSE ADULTE DOSE REDUITE d DE VACCIN ANTI DIPHTERIE Ta 3 SI LE SCHEMA DE VACCINATION EST INTERROMPU DEPUIS MOINS DE 20 ANS IL SUFFIT DE RECOMMENCER AVEC L INJECTION MANQUANTE INUTILE DE RECOMMENCER DES LE DEBUT EXEMPLE lere INJECTION MAI 1974 2eme INJECTION JUIN 1974 LE PATIENT EST REVU EN CONSULTATION EN 1988 IL SUFFIT DE FAIRE UNE INJECTION QUI EST A CONSIDERER COMME LA Seme ET ENSUITE UN RAPPEL TOUS LES 10 ANS 4 LA GROSSESSE ET LES ETATS DE DEFICIENCE IMMUNITAIRE NE SONT PAS DES CONTRE INDICATIONS POUR LA VACCINATION TETANOS DIPHTERIE 5 CHAQUE INJECTION EST NOTEE DANS UN CARNET DE VACCINATION ET CERTIFIEE PAR LA DUQUEL ELLE EST SIGNATURE DU MEDECIN QUI LA PRATIQUE OU SOUS LA RESPONSABILITE PRATIQUEE 0 c 6 LES VACCINS SONT STOCKES ENTRE 4 8 7 CONTROLER LE CARNET DE VACCINATION FAIT PARTIE DE LA VISITE MEDICALE DE ROUTINE 8 MARCHE A SUIVRE EN CAS DE PLAIE 8 1 LAVAGE DESINFECTION ET EVENTUEL DEBRIDEMENT CHIRURGICAL DE LA PLAIE 8 2 VACCINATION ANTERIEURE CORRECTE SE FIER UNIQUEMENT AU CARNET DE VACCINATION 8 3 EN PRATIQUE ETAT IMMUNITAIRE SERUM ANTI TETANOS VACCIN Td PAS DE VACCINATION 3 DOSES OU NON DOCUMUMENTEE oul VACCIN INCOMPLETE MOINS DE 3 DOSES oul 1 SEULE DOSE VACCINATION CORRECTE DOCUMENTEE NON DERNIERE INJECTION DATANT DE NON MOINS DE 5 ANS VACCINATION CORRECTE DOCU
61. a lovastatine doive un examen avant ou peu apr s le d but du traitement La slips po rieurs sera d termin e individuel un t effectu d tudes efficacit r a l innocuit du m dicament chez Penan en Hypercholestsrol mtie familiale homozygote Chez tes sentant cette affection rare qu est r rn Le MEVACOR n a qu un etfot hypotrigtyc rid miant mod r et nost pas indiqu lorsquo mio est l anoma lie majeure c d dans les hyperlip mies do typo 1 IV et V GROSSESSE ET LACTATION rossesse Lo MEVACOR est contre Indiqu pendant la grossosso L ath rosci roso est un us chroniquo ct l arr t de process m dicaments moe au cours do la grossesso n a que pou d impact sur l etfot d un traitement au long cours d une hyper cholest rot mio primaire De plus le cholest rol ot d autres pro duits d riv s du cholest rol sont des facteurs essentiels au d veloppement t tel y compris la dos st roides et des membranes cellulaires En mison do l activit dos inhibiteurs de la HMG CoA r ductaso telles quo le MEVACOR sur la synth se du cholost rol et potentiellement d autres mol cules d pendant de la blosynth so du cholest rol io MEVACOR peut provoquer dos dommages au foetus lorqu il ast administr une temmo encointo inya de donn es concomentl utilisation du MEVACOR chez ta fomno enceinte voir Contro indications Le MEVACOR no sera administr chez les femmes en 90 da que silo risque do grossesse est p
62. aie yv UNG v 4 i pressiva Mor j vondin kann b oR werden Die Aufnahme von Digoxin aus dem Darm Kal de pressive IVi Oar oxydase Hemmern Symp athikomime tka und Cime tidin kann bet je k k t est et mindert die Aufnahme von Paracetamol und verschiedene Antibiotika 7 9 Tetracycline t SIR FE 1 iT for N ml T tan 50 ml Tropi 1 zd Trynlar Darreichungsformen und PackhungsgroBen Gastro Packung mit 20 Tabletten 50 Tablette ar blette 0n i iroph 00r pft 5 f f i TT Te 6 ph E y mit t lt eln 20 Retard 5 Zapfchen fur Kinder 5 Zapfchen fur Erwachsene 5 Ampullen Gastrosil retard Packung mit tardkapseln 20 Rt kapseln 50 Retardkapseln Gast etard m Packung mit 10 Retardkapseln Packung mit 20 Retardkapseln Fach jn 50 Retardka seln Anstaltspackunger HEUMANN PHARMA GMBH amp CO D 8500 NURNBERG ind id Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourgeois S A Luxembourg HEUMANN PHARMA Schafft schnell wieder Schmerzfreiheit und Beweglichkeit _ e Der Wirkstoff von Dolgit Creme Ibuprofen dringt direkt in den Schmerzherd e Sp rbare Schmerzlinderung schon nach 15 Minuten Bitte fordern Sie unsere wissenschaftliche Dokumentation an LE Dolgit Creme Zusammensetzung 100 g Dolgit Creme enthalten 5 g Ibuprofen i dungsgebiete Zur auBerlichen oder bel o rera haften Gelenkerkrankungen Arthrosen entz ndlichen rheumatischen Erkrankungen der Gelenke s ule Schwellung
63. aines esp ces animales Le VIP rel che le muscle lisse bronchique est vasodilatateur et exerce des effets cellulaires au niveau des phagocytes des lymphocytes et des mastocytes Il existe l chelon cellulaire des r cepteurs pour le VIP L autre composante appel e syst me excitateur non choli nergique a comme neurom diateurs des tachykinines sub stance P neurokinines A et B neuropeptide K et CGRP calcitonin gene related peptide La substance P est bron choconstrictrice augmente la s cr tion de mucus est vasodi latatrice et exerce aussi des effets cellulaires sur les lympho cytes et les phagocytes Les tachykinines agissent par l in term diaire de r cepteurs dont on connait 3 types NK1 NK2 et NK3 D autres neuropeptides ont t isol s galanine neuropep tide Y bomb sine gastrin releasing peptide enk phalines et katacalcine La coexistence au niveau pr et post synaptique de m dia teurs classiques noradr naline ac tylcholine et de neuro 51 F peptides conduit la notion de cotransmis sion et rend plus complexe la notion de transmission de l influx nerveux La mise au point de substances agonistes ou antagonistes des neuropeptides laisse entrevoir des perspectives th rapeutiques nouvelles dans le traitement de l asthme INTRODUCTION Le r le du syst me nerveux autonome sympathique et parasympathique au niveau broncho pulmonaire est connu depuis long temps Il a t d
64. alum lacca q s pro tabl compr Lovastatinum 40 mg Lactosum Maydis amyl pregel Cet lutas microcr Magnesii stearas Butylhydroxyanisolurn Indi gotinum E132 alum tacca Quinoleini flavus E 104 alum tacca q s pro tabl compr una FORMES VOIES D ADMINISTRATION ET CONDITION NEMENT Conpames s cables 20mgde lavastatine MSD oi nistration par voie orala emballage de 28 comprim s Comprim s s cables 40 mg de lovastatine MSD pour admi nistration par voie orale emballage do 28 comprim s INDICATIONS De Les hypercholest roi mies difficiles traiter pour lesquelles un traitement di t tique a un effet insuffisant POSOLOGIE ET MODE D EMPLOI Le patient rocovra un r gime hypocholest rol miant standard avant de recevoir du MEVACOR et poursuivra ce r gime au cours du traitement par MEVACOR Posologie chez l adulte selon tes cas habituellement 20 60 mg administr s en une fois te soir La dose initiale habituelle est de 20mg jour en une prise au cours du ropas du soir Le MEVACOR administr uno fois par jour au cours du repas dusoir s est av r plus efficace que l administration d uno doso identique au cours du repas matinal pout tre en raison du fait quete cholest rol est essentiellement synth tis pendant ta nuit Les adaptations Sin cossaire se foront intor valles do 4 semainos minimum jusqu uno doso maximale de BO mg jour en une prise avec lo repas du soir ou en deux prise
65. and Hill 1950 and Wynder and Graham 1950 This association has subsequently been con firmed in many studies both case control and cohort and in many populations Despite the overall agreement there is much variation in the detailed results from one population to another Tobacco smoking and cancer have been extensively reviewed by the International Agency for Research on Cancer Anon 1985 Doll and Peto 1981 have reviewed the known causes of cancer Tobacco smoking has been established as a human carcinogenic circumstance for the following sites mouth pharynx larynx lung oesophagus and bladder These au thors concluded that about 3096 of cancer deaths in the USA were attributable to tobacco The primary aim of the present study was to measure some basic relationships between smoking and lung cancer in the context of public health How might the number of lung cancer deaths develop if more women start smoking What if smokers start younger What can be expected from cam paigns to stop smoking MATERIALS AND METHODS In a case control study the two groups of subjects should be comparable to each other and representative of a wider population The gathering of records on cases is usually 23 straightforward almost by definition the ca ses are seen by a member of the medical profession Much discussion on the design of case control studies concerns the choice of the controls to meet the criteria of com parability and r
66. ar de nombreuses tudes pid miologiques Par contre la corr lation entre chole st rol des HDL et troubles cardiovasculaires isch miques est n gative plus le cholest rol des HDL est lev moins les complications ath roscl reuses sont fr quentes D autre part des tudes de pr vention montrent une dimi nution du risque si le cholest rol LDL diminue la plus importante d entre elles celle des Lipid Research Clinics a montr que pour une diminution du cholest rol total de 1 le risque coronarien diminue de 2 Au moment de la commercialisation au Luxembourg d un nouveau d riv du clofibrate le ciprofibrate HYPERLIPEN nous avons entrepris avec l aide de 16 m decins luxembour geois une tude comportant deux volets un volet pid miolo gique tentant d tablir certaines donn es sur une population de patients consultants pour hypercholest rol mie et un volet th rapeutique testant l efficacit de cette m dication Le ciprofibrate est un fibrate comportant un radical dichlo rocyclopropyle Des exp riences pratiqu es chez l animal et chez le volontaire sain montrent que ce produit est bien tol r en administration chronique Il est d pourvu d effets mutag ne ou carcinog ne Sa demi vie plasmatique chez l homme est de 17 heures C est surtout cette caract ristique qui lui donne une place particuliere dans la th rapeutique puisqu il suffit d une prise par jour pour le traitement de l hyperlipid mie
67. ary report British Medical Journal ii 739 748 DOLL R and PETO R 1981 The Causes of Cancer Oxford Medical Pu blications FONTHAM E T H PICKLE L W HAENSZEL W CORREA P LIN Y and FALK R T 1988 Dietary vitamins A and C and lung cancer risk in Louisiana Cancer 62 2267 2273 HOLST P A KROMHOUT D and BRAND D 1988 For debate pet birds as an independent risk factor for lung cancer British Medical Jour nal 297 1319 1321 HORWITZ R I SMALDONE L F and VIS COLI C M 1988 An ecogenetic hypothesis for lung cancer in women Archives of Internal Medicine 148 2609 2612 BERLA K 1987 Lung cancer from passive smoking hypo thesis or convincing evidence International Archives of Occupational and Environmen tal Health 59 421 427 WYNDER E L and GRAHAM E A 1950 Tobacco smoking as a possible etiologic factor in bronchiogenic carcinoma A study of six hundred and eighty four proved cases Journal of the American Medical Associa tion 143 329 336 27 Rantudil mz eClard mm ETC mz Mess de IR 1 m i P r Wenn der Schmerz im Vordergrund steht Rantudil forte Wenn die chronischen Beschwerden dominieren Rantudil retard Zusammensetzung 1 Kapsel Rantudil enth lt 30 mg Acemetacin 1 Kapsel Rantudil forte enth lt 60 mg Acemetacin 1 Kapsel R j a HA ere tacin Indikationen Chronischer Gelenkrheumatismus Psoriasis Arthritis a
68. atal Peu de signes cliniques orientent vers la neurocysticercose jusqu en 1980 c phal es hyper motivit tremblement troubles impr cis de la vision La d couverte de la maladie est fortuite un examen du fond d oeil effectu apr s un traumatisme cr nien peu s v re d couvre un important oed me de stase avec h morragie r tinienne L examen neurologique reste n gatif La TDM quelques calcifications nodulaires diffuses importante dilatation du syst me ventriculaire fig 1 et 2 discr te empreinte au niveau du IV ventricule La ventriculographie met en vidence une masse arrondie amputant la partie inf rieure du IV ventricule fig 3a et b Une formation kystique d aspect jaun tre sans attache aux parois du IV ventricule est enlev e le 11 12 1980 45 L examen histologique formation kys tique contenant un cysticercus cellulosae larve du Taenia solium Les suites post op ratoires sont sans par ticularit s Le patient peut reprendre son activit professionnelle au mois d avril 1981 et ne pr sente aucune s quelle neurologi que de la cysticercose intra ventriculaire DISCUSSION Cette observation constitue le premier cas de cysticercose du Syst me nerveux ou neu rocysticercose r pertori au Luxembourg La maladie est exceptionnelle dans nos r gions et ce ne sont que des cas isol s qui sont publi s 3 8 11 17 II S agit en g n ral de patients originaires ou ayant fait un s jour
69. ations in treatment of intraventricular Cysticercosis An analy sis of 45 cases J Neurosurg 60 400 407 1984 BORNE G ARNOUD B BEDOU G ARESU P J La cysticercose c r brale A propos de 2 cas d infestation intraparenchyma teuse diss min e Neurochirurgie 24 129 132 1978 CARBAJAL J R PALACIOS E AZAR KIA B CHURCHILL R Radiology of cysticercosis of the cen tral nervous system including compu ted tomography Radiology 125 127 131 1977 COLLI B O MARTELLI N ASSIRATI J A MACHADO H R VERGUEIRO FORJAZ S E Results of surgical treatment of neuro cysticercosis in 69 cases J Neurosurg 65 309 315 1986 CORONA T PASCOE D GONZALES BARRANCO D ABAD P LANDA L ESTANOL D Anticysticercus antibodies in serum and cerebrospinal fluid in patients with cerebral cysticercosis J Neurol Neurosurg Psychiatry 47 784 790 1984 DEL BRUTTO O H GUEVARA J SOTELO J Intrasellar Cysticercosis J Neurosurg 69 58 60 1988 DUPLESSIS E DORWLING CARTERD VIDAILL PIETTE J Ch PHILIPPON J Me Neurocysticercose intraventriculaire A propos de 3 observations Neurochirurgie 34 275 279 1988 ESTANOL B CORANA T ABAD P A pronostic classification of cerebral Cysticercosis therapeutic implications J Neurol Neurosur Psychi 49 1131 1134 1986 ee 10 11 12 13 14 15 16 17 18 FABIANI A TORTA R TREBIBI F Cysticercosis of the fourth ventricle Arch Suisses de
70. avec absence de freination la dexam thasone et une faible concentration de la m latonine dans le s rum et dans l urine Ces modifications ont t retrouv es galement chez les patients d pressifs Il s agit d une tude rigoureu r sultats permettent de croire idiopathiques et les syndromes d pressif m canismes pathog niques communs confirmer que l un est une variante de l autre u Ce livre domin par la clart malgr la E des probl mes pos s int ressera tous ceux que leur sik am ne au contact de la douleur et de la maladie au sens large C est dire en fait qu il s adresse tous les m decins se et bien document e dont les que les syndromes douloureux s ont au moins certains sans pouvoir toutefois 94 8S 8p euoudaje HHNOAWIXNI V S NHVHdOO3LNI x ws TDDB 3I9VWUYHd N3 IN3IN3AISPTTOX3 NANIA ylimdo 0681 q p D Z4 9p UOPIWE P 49 seauuomnosjes 8 01P9 ap SLq e oj ounjeu uaw Janus uoneiedsid eun 53 jue 89 mow panyu anbrinodvaay yu3u1331ea3 II 55 Mein Kl ul E e cc w nsch ich auch Ihren Lipidpatienten Eskimos haben einen vorbildlich gesunden Fett stoffwechsel Cholesterin und Triglyceridwerte sind niedrig der Schutzfaktor HDL Cholesterin ist beneidens wert hoch F r die Pr vention der koronaren Herzkrankheit ist diese Konstellation von gr ter Bedeutung 4 Cedur retard e erh ht deutlich
71. binds tion ven Wichtig Nahrungsbestandteilen und Arzneimitteln Eisen haltige Tetrazykline Chenodesoxychols ure haltige e meiden Dieses Ron ibo wer Nierenfunktionsst rungen ist eine hochdosierte Daueranwendung ber 6 Beutel bzw 12 Tabletten pro Tog zu ve ilnahimacimStr sem annay bei bestimmungsgem em Gebrauch das Reaktionsverm gen soweit ver ndern da die F higkeit zur vente D sierund und ri pacer oder zy Bedienen von Maschinen beeintr chtigt wird Dies gilt in verstarktem MaBe im Zusammenwirken mit Alkoho X E nn due er Anwendung B S ure und Magenbeschwerden 3mal taglich 1 2 Stunden nach den Mahlzeiten sowie zus tzlich vor dem e se v ds Jel zwischenzeit i auftretenden Magenbeschwerden den Inhalt eines Einzelbeutels einnehmen bzw 1 2 Tabletten zerkauen und mit oder ohne Fl ssigkeit schlucke Darreichungsformen und Packungsgr en Packung mit 20 Einzelbeuteln Gel Packung mit 50 Einzelbeuteln Gel Packung mit 20 Tabletten Packun i i nn g mit 50 Tabletten Pack t 100 Tabletten 22 HEUMANN PHARMA GMBH amp CO D 8500 N RNBERG ji man Stand Januar 1986 E M Litt rature et chantillons Comptoir Pharmaceutique Luxembourneois S A Luxembourg HEUMA PHARMA x Fractures de l odontoide ost osynth se par vissage direct Dr P T DANG Dr A ROILGEN Dr J P MAILLIET Service de Neurochirurgie CHL Service de Chirurgie H pital de Dudelange Bull Soc Sci M d
72. bles VII R F RENCES 1 10 BENNET J M Classification of myelo dysplasic syndromes Clinics in Hae mat 1986 15 909 924 BOTTOMLEY SS Sideroblastic anemia Clinics in Haemat 1982 11 389 409 TRICOT G MECUCCI C VAN DEN BERGHE H Annotation evolution of MDS British J of Haemat 1986 63 609 614 WEISDORF D J OKEN M M JOHNSON G J et al Auer rod positive MDS Am J of Haemat 1981 11 397 402 SULTAN C SIGAUX F IMBERT M et al Acute myelodysplasia with myelofi brosis British J of Haemat 1981 57 781 787 RASKIND W H TIRUMALI N JACOB SON R et al Evidence for multistep pathogenesis of a MDS Blood 1981 57 781 787 KOEFFLER H P GOLDIE D W Human preleukemia Ann Int Med 1980 93 347 353 VAN DEN BERGHE H VERMOELEN K MECUCCI C et al The 5q anomaly Cancer Genet Cytogenet 1985 17 189 255 BENITEZ J CARBONELLI F FAYOS J S et al Karyotypic evolution in pa tients with MDS Cancer Genet Cytoge net 1985 16 157 187 KERE J RUUTU T DE LA CHAPELLE A Monozomy 7 in MDS N Eng J Med 1987 316 499 503 11 12 13 14 15 16 17 18 19 MUFTI G J STEVENS J R OSCIER D G et al MDS a scoring system with pro gnostic significance British J of Hae mat 1985 59 425 433 TRICOT G BOOGAERTS M A DE WOLF PERTERS C et al MDS diffe rent evolution pattern on based se
73. bzw Entz ndung der gelenknahen Weichteile Schultersteife Kreuzschmer schu Sport und Unfallverletzungen wie Prellungen Verstauchungen Zerrungen Gegenanzeigen it gegen ber Ibuprofen oder anderen Stoffen des gleichen Wirkmechanismus NF Auf werden Im letzten Drittel der Dolgit Creme Direkt Penetration in die Tiefe epe r3 TEM rm DOLORGIET PA S Pia AR e a AUTOEVALUATION EN REANIMATION ET MEDECINE D URGENCE Soci t de R animation de langue frangaise Ch Harf Luxembourg Ce manuel d auto valuation a t labor sous la direction de la commission scientifique de la SRLF ll s adresse non seulement aux m decins en cours de formation mais aussi aux m decins r animateurs confirm s de toutes disciplines Dans cet ouvrage 12 chapitres concer nent s par ment Arr t cardiorespiratoire Pathologie accidentelle Cardiologie Appareil digestif H matologie H mostase Pathologie infectieuse N phrologie Nutrition Pharmacologie Pathologie respiratoire Toxicologie Dans chaque chapitre sont s lectionn s les sujets d actua surtout ayant fait objet de mises au point r centes avec une implication pratique sur le traitement Pour la pathologie infectieuse par exemple les questions concernent la l gio nellose la maladie de Lyme l endocardite sur valve proth ti que diff rentes modalit s d antibioth rapie Ces questions sont formul es selon le mode du choix mul
74. chaque composant s mide sont les suivantes eee diialiques au onvient de surveiller la kaliemie car une carence 7 i a sensibilit du c ur la digitale potaseique a ugmente veiller attentivement les concentrations Plasmatiques vet um car l excr tion tubulaire du lithium est inhib e par ce diur tique os nti nflammatoires non steroidiens peuvent diminuer l activit de nombreux 7 Mes a isque d insuffisance r nale u diur tiques et eon du warfarin peut tre augment par d placement de sa liaison i war aux prot ines plasmatique r la clairance r nale du furos mide _ iep lan des effets myorelaxants de la tubocarine peut tre provoqu e par le furos mide ffeis antihypertenseurs des autres agents antihyper Le furos mide reno potension s v re avec les inhibiteurs de l enzyme de tenseurs e engiotensine Un ajustement cons quent de la posologie peut tre c n cessaire peut potentialiser la toxicit des antibiotiques n phrotoxiques et ou Lefu ototoxiques 2 amiloride sont les suivantes Les interactions propres A a les diur tiques d pargne potassique sont Contre n s avec l amiloride en raison du risque d hyperkali mie s v re qu une telle pen i iner association pourait ia digoxine a t d crite sous la forme d une suppression de Une et inolrope positif de la digoxine par l amiloride utilisation da machines Conduite d Teu pape ue FRUSAMIL ait un effet quelconque sur la c
75. crude cook carefully all meat particularly poul try neal to at least 70 C precooked and refrigerated food before consumption CONCLUSION Our two case reports provide further evi dence on the epidemiological relationship between alimentary contamination with li steria and outbreak of human listeriosis in the immunodepressed patient The recom mendations formulated by our State Depart ment of Health should help our health care professionals to give alimentary advice to people at risk in order to avoid further occurence of this potentially fatal disease REFERENCES 1 BOJSEN M LLER J Human Listeriosis diagnostic epider miological and clinical studies Acta Pathol Microbiol Scand Suppl 1972 229 1 157 SCHLECH W F Ill LARIGUE P M BORTOLUSSI R A et al Epidemic listeriosis evidence for trans mission by food N Engl J Med 1983 308 203 6 FLEMING D W COCHI S L MAC DONALD K L et al Pasteurized milk as a vehicle of infec tion in an outbreak of listeriosis N Engl J Med 1985 312 404 7 LINNAN M J MASCOLA L LOU X D et al Epidemic listeriosis with Mexican style cheese N Engl J Med 1988 319 823 8 SCHWARTZ B CIESIELSKI C A BROOME C V Association of sporadic listeriosis with consumption of uncooked hot dogs and undercooked chicken Lancet 1988 ii 770 82 Listeriosis in Switzerland Bull de l Office Fed Sant Publ 1988 3 28 29 43 BIOMAG
76. dans la P ninsule Iberique o la mala die reste plus fr quente Des r gions de grande end micit persistent en Am rique Latine o la neurocysticercose est particu lierement r pandue au Mexique 11 Elle se manifeste en g n ral par une symptomatologie d hypertension intracr nienne d installation progressive ou aigu 5 14 18 Au niveau du Syst me ventricu laire la larve forme un kyste qui peut ob struer l coulement du LCR 5 10 14 16 La migration peut m me entra ner une ob Struction brutale entra nant le d c s du pa tient Dans d autres cas l hydroc phalie est due une r action inflammatoire au niveau des m ninges secondaires la lib ration de toxines lors du d c s de la larve 20 22 Le diagnostic de la neurocysticercose est g n ralement fait par l enqu te neuroradio logique Les radiographies du cr ne mon trent des calcifications arrondies dans envi ron 10 des cas 5 14 La tomodensitom trie d couvre facilement l hydroc phalie 4 19 27 et les localisations intraparenchyma teuses alors que les kystes intra ventriculai res ne sont pas toujours nettement visua lis s leur densit tant identique celle du LCR L LR M Imagerie par R sonance Magn tique a actuellement Supplante les proc d s neuroradiologiques classiques 23 telles la ventriculographie ou la tomo densitom trie 13 Le diagnostic de la Cysti 46 cercose a galement b n fici au cou
77. derung A tuhlbeschaffenheit und der Stuhlfre ON Verstopfung sind insbesondere er er Poslerung m glich Trigastril 75 Gel en P ydroxibenzoes ureester als Kon Pu 9 ot Bel Personen die gegen as empfindlich sind k nnen aller gis t eaktionen ausgel st werden Wech ie ungen mit anderen Mitteln Triga Stril sollte nicht zeitgleich mit anderen Arznei HEUMANN PHARMA GMBH amp CO N RNBERG astril mitteln z B Tetracyclinen Digoxin Desoxy chols urederivaten eisenhaltigen Pr para ten Cimetidinderivaten eingenommen wer den da deren Resorption beeinflu t werden kann Deshalb sollten andere Arzneimittel in ein bis zweist ndigem Abstand zu Trigastril eingenommen werden Darreichungsformen und Packungsgr Ben Trigastril 75 Gel Packung mit 20 Beu teln Gel DM 18 25 Packung mit 50 Beuteln Gel DM 39 90 Packung mit 200 ml Gel DM 18 25 Packung mit 2x200ml Gel DM 31 75 Trigastril 50Granulat Packung mit 20 Beuteln Granulat DM 15 95 Packung mit 50 Beuteln Granulat DM 34 70 Trigastril Tabletten Packung mit 20 Tabletten DM 8 70 Packung mit 50 Tablet ten DM 19 60 Packung mit 100 Tabletten DM 34 25 Anstaltspackungen Stand Februar 1987 Trigastril HEUMANN PHARMA L aluminium en h modialyse Gilbert HANSEN Ing nieur chef de service j Laboratoire National de Sant Luxembourg Bull Soc Sci M d p 15 N 1 1990 Ex cution d une R solution Communautaire relativ
78. dicales du Grand Duch de Luxembourg Fond en 1864 N 1 1990 Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg Publi sous la direction du Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Section des Sciences M dicales de l Institut Grand Ducal Conseil d Administration de la Soci t des Sciences M dicales Pr sident Prof H Metz Secr taire G n ral Dr M Schroeder Membres Dr A Betz Prof M A Dicato Dr D Hansen Koenig Dr G Kayser Dr R Koppes M P Hippert Dr G Theves Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales Administration et Publicit Dr M Schroeder Secr taire G n ral 72 rue de Schoenfels L 8151 Bridel R daction Prof M A Dicato R dacteur en chef Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbl Luxembourg Dr D Hansen Koenig r dacteur adjoint Ministere de la Sant 22 rue Goethe Luxembourg Le Bulletin de la Soci t des Sciences M dicales du Grand Duch de Luxembourg publie des articles en fran ais en allemand et en anglais Les auteurs sont pri s de remettre leurs manuscrits dactylographi s en double ou triple interligne et en deux exemp en chef Les r f rences class es par ordre alphab tique doivent comporter dans l ordre 1 c le nom du journal a Le nom des auteurs et les initiales de leurs pr noms b le titre du travai d le tome e la premi re page de l article f l ann e de parution Pour le
79. e cet chantillon de pa tients Par des m thodes statistiques test du chi carr et test t de Student des corr lations Tableau 1 Donn es Ant c dents familiaux Ant c dents personnels dont angor infarctus Tabagisme gt 21 Pq jour Surpoids Hypertension art riel Diab te Uric mie lev e 36 Homme ont t tudi es entre certains facteurs pi d miologiques ou alimentaires et J hyper cholest rolemie ou l hypertriglyc rid mie Pour l tude de l efficacit du ciprofibrate le test t de Student a t utilis 1 ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE RESULTATS Le groupe des 113 patients comportait 63 femmes et 50 hommes l ge moyen de l chantillon tait de 56 2 ans avec des ex tr mes de 35 et 73 ans et un cart type de 9 ans Certaines donn es cliniques sont r su m es dans le tableau 1 On voit donc par exemple que 27 con somment au moins un paquet de cigarettes jour avec une consommation modale de 40 cigarettes jour Le poids moyen de l ensem ble de l chantillon tait de 75 kg avec un cart type de 12 kg L exc s de porn atteig nait 9 kg en moyenne avec un cart type de 16 kg ui concerne l activit physique i ad dd 29 50 hommes et 2o ammes sont s dentaires soit au total 61 de l en semble du groupe Les examens de laboratoire ont permis d identifier le type d hyperlipid mie L ana lyse des r sultats a permis de nn 63 patients sur les 113 avec hyperlipid mie
80. e la protection des patients en dialyse par une r duction maxi male de l exposition l aluminium Bilan de deux ann es de surveillance p riodique INTRODUCTION En 1972 A C Alfrey 1 d crit un syndrome fr quemment relev chez des patients h modialys s apr s un d but de maladie caract ris par une dysphasie et une dyspraxie ce syndrome volue en quelques mois vers une d mence pro gressive globale irr versible appel e dialysis dementia ou dialysis encephalopathy Ce ne fut qu en 1976 que le m me auteur 2 d montrait une augmentation significative des taux d aluminium dans la mati re grise de patients h modialys s d c d s L aluminium est ult rieurement incrimin dans certaines for mes d ost odystrophies r sistantes aux traitements la vita mine D Ces sympt mes ne se manifestent g n ralement que plusieurs ann es apr s le d but de dialyse Une troite corr lation a t mise en vidence entre la teneur en aluminium de certains bains de dialyse et l inci dence pid miologique des sympt mes d crits Parkinson 3 a mesur des taux d aluminium s rique al mies allant de 65 ug L 359 ug L chez 18 patients h modia lys s atteints d ost omalacie Des al mies variant entre 90 ug L et 486 ug L ont t d termin es chez 17 patients atteints d une enc phalopathie Une inactivation du m tabolisme os seux a t mise en vidence pour des al mies entre 60 ug L
81. e r activit mesur e par rhinoma nom trie post rieure est plus importante chez les patients atopiques 3 Effets cellulaires de la substance P La S P stimule la phagocytose des macro phages de souris et des polynucl aires neutrophiles humains et augmente la pro duction des radicaux libres de l oxyg ne des leucotri nes C4 et D4 et de thrombo xane B2 par les macrophages p riton aux de cobaye 62 64 PAYAN 64 a montr que la substance P augmentait in vitro la prolif ration des lymphocytes T humains par l inter mediaire de r cepteurs pour ce peptide En revanche les lymphocytes B n ont pas de r cepteurs pour la S P La S P favorise la lib ration d histamine in vitro partir des mastocytes p rito n aux de rat comme l a montr DEVIL LIER 24 Cependant les basophiles hu mains y sont insensibles 2 L effet hista minolib rateur de la S P a galement t d montr chez l homme au niveau de la peau 26 31 i ec Enfin la S P favorise la prolif ration des fibroblastes et des cellules musculaires lisses 9 27 II Les neurokinines A et B et le neuropeptide K i tachykinines ont t isol es ee ne P etait connue dopul longtemps Il s agit de la irre Ua NKA de la neurokinine B nn 2 neuropeptide K NPK 42 43 La NKA et le NPK seraient pr sents dans les m mes neurones sensitifs alors que la NKB serait absente de ces terminaisons nerveu se
82. eboenesqo90ono02b90090000909000000090090009990999999 COLIS don RR RR Li a H e e L esecvopocooce densonee does gonsee pesccec mr eessececccecdeseeacesseooessdecee tee ecoceeb esee oeste sene e enses re es nun H e 9200990042009 0 09009 909000 0000909009 9299299 ek i i i i IIS ess e ec opener ecce T W eec9900e90o4oc00 2599 000999990 0992209909900 90 pr Smesnunsnnnsanatarnmnnanennunnnbonssunnonanneohonennnnunnunnudennnnsnsunnnnsnfsonunssnunuunnn eene Eee cc sv H we eesecebeccooescscotese doses fi one reomannenetsnsesenensmnse 999999922209 de fPH Eel A H LOT TS eposouse E E S H lt 1 999 2 990922 esceoooononescbeseeees o gnn H i i E RR ec Ya LH H D Jan eot eese tone tee de 000co2e oque coconceccocesdeccococasanenecdesecaneosose et eso N occccedenccce Li i Li i 1 a L o Q N cumulated frequency 87 88 20 180 200 80 100 120 140 160 Figure 3 serum aluminium in g l 60 40 20 300 275 250 225 200 175 Iso 125 100 75 50 25 Al in ug l mots 3338388 5333383 m Figure 4 Variations individuelles de l aluminium serique sur deux ans 350 300 250 200 Al in ug l 150 100 50 0 Ss o 10 20 30 40 50
83. ement par la suite en particulier chez ies patients quiont une anomalie des tests h patiques et ou consomment des quantit s importan seront rapidement contr l es et si leur augmentation persiste ou pro gresse le traitement sera arr t Comme c estle cas avec d autres h patique U serai ne h patique volutive est une contro indication l usage du MEVA COR voir Contro indications Effets su niveau des Des l vations mod r os ct transitoires des taux de cr ctine phosphokinase CPK ont 616 fr quemment rencontr es chez e es ain trek cing Deere ont t6 aucune f CU ue lem lovastatino associ es au traitomont se sont pr sent s dans de rares tre envisag e chez tout patient so diffuses de douleurs musculaires et ou pr sentant uno l vation marqu e des CPK 10 fois la limite sup rieuro do ta normale Chez les patients ayant subi une transplan tation cardiaque et qui rocevaient un traitement Immunosup presseur comprenant de ta cyclosporine en m mo temps que de la lovastatine on a rapport des s v res ayant entra n socondairement une insuffisance r nale aigu Le tral tement par la lovastatino sera arr t en cas d l vation marqu o des CPK et un traitement ad quat sera instaur La plupart des patients ayant d velopp une myopathio taient sous traitement immunosuppresseur comprenant de la cyclosporin recevalent en m me temps untraitament au gem rozilourecevalent delan
84. en Verstauchungen Traumon Gel Zusammensetzung 1 g Gel enth lt 100 mg Etofenamat Indikationen Sportverletzungen wie Prellungen Verstauchungen 2 errungen Weichteilrheumatismus Lumbago Ischialgie Tendovaginitis Bursitis Weichteilaffektionen bei Arthrosen und indikati indlichkei Etofenamat Ines pondylosen Kont berempfindlichkeit gegen Elofenamat Flufenamins ure andere nichtsteroidale Entz ndungshemmer und Poe ol Schwangerschaft Stillzeit S uglinge und Kleinkinder Nebenwirk 5 selten allergische Hautreaktionen die sere Selten Hautr tungen bzw sehr BE 3 sich nach Ab 1 m L TRO Handelsformen Traumon Gel 40 g Traumon Gel 0 ice pie Apothekenpflichtig Stand Januar 1990 f r Luxembourg Integral S A 5 Rue Christophe Plantin Telephone 48 56 56 PON ARZNEIMITTEL Une tude pid miologique de l hypercholest rol mie au Grand Duch de Luxembourg G MICHEL et A BOUCKAERT D partement d Endocrinolo gie Centre Hospitaller 4 rue E Barbl L 1210 Luxembourg Service de Math matiques Appliqu es Universit Catholique de Louvain 72 av E Mourier B 1200 Bruxelles Bull Soc Sci M d p 35 _ N 1 1990 L hypercholest rol mie est consid r e actuellement comme le premier facteur de risque de l ath roscl rose coro narienne La corr lation entre cholest rol et surtout chole sterol des LDL et complications cardiovasculaires isch mi ques est positive et d montr e p
85. en dialyse et d autre part elle contri bue au perfectionnement analytique et une harmonisation des r sultats d analyse gr ce aux programmes de contr le de qua lit institu s sur le plan communautaire BIBLIOGRAPHIE 1 Syndrome of dyspraxia and multifocal seizures associated with chronic hemo dialysis Alfrey Ac et al Trans Am Soc Artif Organs 18 257 261 1972 2 The dialysis encephalopathy syndrome possible aluminium intoxication Alfrey Ac et al New Eng J Med 294 184 188 1976 3 Fracturing dialysis osteodistrophy and dialysis encephalopathy an epidemiolo gic survey Parkinson et al Lancet 1979 1 406 409 4 CEC IUPAC International Workshop on Biological Monitoring in the Prevention of Aluminium Toxicity in Man Luxem bourg June 1982 5 R solution du Conseil des Commu naut s Europ ennes du 16 juin 1986 rela tive la protection des patients en dia lyse par une r duction maximale de l ex position l aluminium O J of the European Communities C 184 23 July 1986 17 18 Laboratoire National de Sante Laboratoire National de Sante Centre Elements Trace Poitiers SFBC 10 0 3971 1 1547X R 1 00 O 2 4 6 8 10 Mean Al in umol l all values Robens Institute Quality Control Program 0 2 3 4 Median Al in umol l all values Figure 1 Validation analytique par contr le de qualit externe hemorroides r nal Pommade Suppos
86. en perfusion rapide 3 mg par minute jusqu ce que la tension art nelle sot maitris e avec un maximum de 30 mg la dose max male par 24 heures est de 150 mg perfusion injection en bolus L effet th rapeutique est g n ralement obtenu une deux minutes apr s admi n strauon de ta dose intraveneuse adapt e L ellet d une administration mtra veineuse unique est le plus souvent de courte dur e 30 60 minutes et peut tre entretenu par une perfusion de 2 6 mg par heure 35 100 ug par minute On ne peut proc der une perlusion qu apr s une injection pr alable bolus b vole intra musculaire 10 mg 2 ml r p ter si n cessaire apr s 15 30 minutes avec un maximum de 30 mg Contre indications II n y a pas do contre indications con nues Effets ind sirables Au d but du traitement une sensation de vide dans la t te peut survenir chez certains patients te plus souvent jeunes Cet effet secon daire est peu prononc il apparail 1 2 heures apr s l administration ei dispara t le Plus souvent spontan ment apr s quelques jours quand on poursuit le traitement Occasionnellement de ta c phal e des vertiges do la fatigue de la s cheresse de la bouche et de l intol rance gastrique ont t mentionn s Ces effets secondaires ont Cependant galement t observ s chez des patients sous placebo dans des tudes avec contr le placebo Chez quelques patients une formation d d me pendant le t
87. endo administration concomitanto d une dose unique de MEVACOR et do Der tes patients pr sentant uno hypercholest rol mio l administration conjointe de MEVACOR ot do digaxine s we r e sans effet sur les concentrations plasmatiques do digoxi concomitants une Mos tudes cliniques le MEVACOR a t utilis des m me temps quo des b ta bloquarss d desinhibiteurs dufiux c k esotdosantFinflammztoiros non st roidi ique ld Indication en faveur d intoractions ind sirables cliniquement significatives CONDUITE D UN VEHICULS ET UTILISATION DE MACHINES j pas voir dos Intorf ronces avec cas activit s SURDOSAGE sales soront adopt os et lafonctionh pa tique sera survoillde nadoda rie de lovanitids Gina volonta 820 ss pr senter d otfots ind sirables clini allant jusqu 200M9 is dan E ra t Heise oy aucun patiente avane hi ig sp cifiques et tous les patients ont r cup rt een Aer La doso maximale prise tait ng e deu de 20mg 1029 exp rience aucun traitement sp cifique Jusqu DENN am MEVADOR ne peut tro rocommand du surdosage connu sita lovastatine ot ses m ta bey day tomes chez f tre humain CONSERVATION ro ambianto 15 25 C ot l abri d har en Girocte tatumi re ou l humidit u tabiit voir emballage jvido 2 groupes de chittres lepro lo mois partir duquel fo m dicament est const mier indiquant rim et co d s o ter jour de ce mois te 2i me d r comme p
88. ents d information int ressants aux pneumologues aux p diatres et aux r animateurs en parti culier dans une op tique n onatologique 81 PATIENTS WITH IDIOPATHIC PAIN SYNDROMES A clinical biochemical and neuroendocrinological study Par B la G L Almay Ed UMEA University Medical Dissertations P T Dang Luxembourg 82 Les syndromes douloureux idiopathiques terme propos en 1982 par WILLIAMS et SPITZER d signant les douleurs chroni ques sans l sions organiques videntes sont ils une variante du syndrome d pressif C est la question pr cise abord e dans ce travail Dans la premiere partie de ce livre l auteur entreprend une large revue de la litt rature de ces dix derni res ann es sur ces deux syndromes L homog n it et la validit du concept de douleur idiopathique sont discut es La deuxi me partie du livre se compose d une s rie d tudes r alis e par l auteur et ses collaborateurs Les aspects clini ques biochimiques et endocrinologiques sont abord s Ainsi B la G L Almay nous montre que chez les patients souffrant de douleur idiopathique la fr quence des symp t mes d pressifs est lev e en particulier les troubles de la m moire et la difficult de concentration Sur le plan biologi que il existe une diminution des m tabolites de la serotonine 5 HIAA dans le LCR ainsi que l activit enzymatique de la monoamine oxydase MAO plaquettaire une hypercortisol mie
89. epresentativity Comparability is largely assured by mat ching at least at the group level For lung cancer matching by sex and agegroup is believed to be sufficient If controls are matched too closely to cases on many varia bles then there is the danger that important risk factors will be found not to be signifi cant Representativity of the control group is best assured by drawing a random sample from a well defined population CONTROLS The Ligue Luxembourgeoise contre le Cancer commissioned a sample survey on tobacco use and attitudes in the general population of Luxembourg The survey was conducted from November 1987 to January 1988 by the Institut Luxembourgeois de Recherches Sociales et d Etudes de Marche Anon 1988 The topics examined in the survey inclu ded the proportion of smokers number of cigarettes smoked age of starting and eventually giving up smoking main reason for giving up smoking attitudes towards restrictions on tobacco advertising and atti tudes towards restrictions on smoking in public places The persons interviewed were classified according to age sex smoker vs nonsmoker nationality educational level profession monthly income region of resi dence and size of household The sample was made up of 1005 persons aged 15 to 74 and chosen to be representa tive of the population of Luxembourg Of these persons 625 were aged 35 or more and they comprised the main control group T
90. est atteinte apr s 2 3 mors Certaines personnes ont besoin d une dose double On ne peut doubler la dose qu apr s 2 semaines au plus t t si la dose initiale n a pas eu d eftet Si apr s 2 3 mois de monotherap e par Sufrexal la tenson art nelle n est pas compl tement ma rs e une association avec d autres ant hypertensifs tels que diur tiques ou B bloquants peut renforcer l effet anthypertensi de Sufrexal Sufrexal peut tre pr s pendant les repas ou en dehors de ceux ci e Des doses de plus de 40 mg par prise sont d con Seiler Elles n augmentent pas l effet ant hypertens f de Sufrexal et sont moins bien lol r es Les patients g s et les patents avec insuffisance r nale peuvent tre trar t s par les doses normales de Sufrexal Chez les patients ayant une nsuflisance h patocellulaire grave une dose sup rieure 2 x 20 mg par jour est d conseilier Sufrexal n est pas limin par l h modiatyse Le traitement par Sufrexal ne doi pas tre interrompu en cas d intervention chirurgicale 2 Traitement parent ral La dose th rapeutique normale doi tre d termin e individuellement el peut varer Chez les adultes de 5 30 mg par administration a voie intraveineuse soit en in jection unique on peut injecter jusque 5 mg 1 ml en une fois en 10 sec Si n ces sare l administration peut tre r p t e avec chaque fos un intervalle de quelques minutes jusqu un maximum de 30 mg sot
91. estinaux i i constipation peuvent en Gast naus es vomissements diarrh es ou Des r actions Cutan es sont possibles rares complications peuvent entra ner des risque i 2 i s de troubles psychiques muneurs anomalies des tests de la fonction h patique de l ototoxicit YS i ment une d pression m dullaire peut se produire n cessitant un arr t du e rigueur et une adaptation de la posologie diur tique s rique gt 5 3 mmol litre nale aigu et insuffisance r nale chronique clairance de cr atinine li i Bien que r duit par l association du furos mide l amiloride un risque d hyperka li mie n est pas exclure surtout en cas d insuffisance r nale mide peut rendre manifeste un diab te u Les patients souffrant d hypertrophie prostatique ou de troubles de la miction pr sentent un risque accru de d veloppement d une r tention urinaire aigu au un traitement par diur tiques FRUSAMIL peut augmenter l uric mie avec risque de d clenchement d une crise aigu de goutte ite l utiisat i nguines ont t rapport es dans de rares cas suite l utilisation du ufos mide De m me quelques cas d atteinte h patique et de paresth sie ont t rapport s Pr cautions particuli res ivis et il convient i it s avec ce m dicament doivent tre r guli rement Suivis et il convien ah UE Pr EN la kali mie ainsi que l quilibre hydro tectrolytique ceci ir une d shydrata
92. et le GRP ga strin releasing peptide mis en vidence par UDDMAN 76 qui est consid r comme l quivalent de la bomb sine chez les mam mif res Enfin des enk phalines et la kata calcine ont t isol es au niveau pulmonaire 61 COEXISTENCE DE NEUROTRANSMETTEURS CLASSIQUES ET PEPTIDIQUES La pr sence de plusieurs neurotransmet teurs dans un m me neurone est actuelle ment reconnue En fonction de la cat gorie de neurotransmetteurs au niveau pr synap tique on peut individualiser 4 types de neu rones 1 Des neurones contenant des neuro Peptides d rivant d un pr curseur com mun substance P et neurokinine A 2 Des neurones contenant des neuro peptides cod s par des g nes diff rents chol cystokinine et Somatostatine 56 3 Des neurones contenant des neurotrans metteurs classiques et des neuropeptides ac tylcholine et VIP ou noradr naline et NPY 4 Des neurones contenant plusieurs neuro transmetteurs classiques ac tylcholine et s rotonine BARTFAI 12 a montr que selon la fr quence de stimulation nerveuse la pro portion des diff rents neurom diateurs lib r s pouvait varier de fa on importante Ainsi l ac tylcholine peut tre lib r e seule ou avec le VIP Ce ph nom ne est modul selon que les neurotransmetteurs sont stockes ou non dans les m mes v sicules pr synaptiques D autre part dans le cas d une cotrans mission un neuiotransmetteur peut r g
93. existence de paroti dites r currentes L examen interne retrouve seulement une hypertension bien quilibr e Une parotidectomie lat rale est effectu e le 9 9 87 permettant l ex r se d une tumeur d aspect kystique correspondant l examen anatomo pathologique un cystad nolym phome papillaire DISCUSSION Dans notre s rie portant sur 2 ans 3096 des parotidectomies correspondaient un cystad nolymphome Parmi les autres tu meurs de la r gion parotidienne op r es on retrouve 4 tumeurs mixtes adenomes PLEIOMORPHES un cylindrome un pi th lioma pidermoide ayant infiltr la paro tide un angiome veineux une parotidite chronique 2 kystes branchiaux abc d s et une localisation parotidienne de maladie de Hodgkin Pour Seifert 1 15 des tumeurs pi th liales de la parotide sont des cystad no lymphomes Il s agit de tumeurs le plus sou vent bien limit es touchant de pr f rence le p le inf rieur de la parotide LE DIAGNOSTIC Le diagnostic positif repose sur la palpa tion d une tum faction bien limit e assez mobile partiellement fluctuante La pharyn goscopie doit toujours rechercher un bom bement pharyng orientant plut t vers une tumeur en Iceberg La palpation cervicale recherchera des ad nopathies associ es Une atteinte du nerf facial orientera toujours vers une tu meur maligne La sialographie montre le plus souvent une zone muette bien limit e caract ris e par un
94. ffer atepeter eventuellement apres 5 minutes L inhalation a ine telle dose peut etre pratiquee a intervalles ae ee moyennes on fis depasseta pas une dose totale de no cu BSUMEES Peparties sur 24 heures Comme dose d entretien noyenne ZN adm n strerg 1 sa 2 Douttees 3 a 4 fors pat Jour Lauminstration aus entarts ge tera sous la surveiance dun adulte Mode d emploi 1 fnlever le ca HE n 26 i i e Capuchon de protection de Lembout plastique gne abpated yc r SChemap us 3 e mpltot 5 Prengtel ane May avant chaque eme Ducis appbatei entre qeu Aoigts Lindex sur le tond de la cartouche en aluminium ette pre i 25 p role nos DOUCE sun empont Lalleche del etiquette estainsidingee 4 xpiter a tong rn re Dlastiaue aver ies levres voir schema i iter tae dz 2d 2 ae i ed ee le plus profondement possible fout en exer ant une SMS SAIE Ter Fonda y a liberation d une bouffee aerosol Ren num de Capparen n Yo 7 Retrerlembogt B Remate le apuchon d Retenir ta respiration quelques secondes de la bouche puis expirer lentement stechen au duliQuide Aussifaut opacite du flacon ne met toletle i Jape peut sie on Dr rme de ntt e cupar Das de untr l le de las l e un i A la presence Des quil parait y NIS T Ced 7 de fos Lemboutbuccaldggits 3 Zune nane de Z rete Npeut tre ucc Oitette conser artat etat de propre i Setve dans un parfait ce l eau Claire reto ye fac d ment a les a CISCO Au Chaude savo use
95. ffet bronchodilatateur qui apparaitrait plus lentement sous ipratropium seu La dur e de l effet th rapeutique var e entre 4 et B heures en fonction du degr de s v rit des bronchospasmes Des tudes de pharmacologie animale des 2 drogues dans l association est de l iprattopium L a tosol doseur de Duovent dehvre par bouffee 0 040 mg d ipratropium Ainsi l adjonction d ipratroprum au fe du dosage du fenoterol habituellement admis tou d un effet th rapeutique au moins equivalent ll en resulte aussi une diminution de la fr quence et de lin secondaires du fenaterol ont montre que Ie rapport optimal 25 pout le fenoterol et de Tpos 0 100 mg de fenoterol et noterot permet une reduction de moitie ten garant ssantie maintien tensite des effets Indications 3 Traitement ou pr vention du bronchospasme dans les Dronchopneumapa thies obstfuctives telles que l asthme bronchique la bronchite chronique l emphyseme pulmonaire les pneumoconioses Pr traitement ouverture des voies respiratoires avant inhalation d aem sois d ant b otigues de mucolytiques de corticosteroides de cromogly cate disodique ou de d nv s de la theophylline Contre indications Thyr otoxicose Stenose hypertrophique idiopathique subaortique Hypertrophie prostatique Pr cautions particuli res ber On utilisera te Duovent avec prudence dans ies affections cardiaques accom pagnees de tachycardie ou de tachyaryinmies On evitera la pre
96. he sample was drawn in two stages Firstly a Systematic selection of communes was made All 19 communes with more than 4000 inhabitants were included and 1 in 4 of the remaining smaller communes was included Secondly people were chosen at random within the selected communes on the basis of the electoral register and regis ter of foreigners The number chosen in each commune was proportional to its po pulation Proportionally four times more in 24 dividuals were chosen in each of the small communes to reestablish the composition of people living in communes of different sizes Controls were interviewed at home by non medical interviewers CASES The Soci t Luxembourgeoise de Can c rologie organised a survey of lung cancer patients from August 1988 until June 1989 Questionnaires the same as those used in the population survey were distributed to participating physicians and filled in by pa tients The 46 patients who replied thus comprised the case group It is unclear how far these patients are representative of the perhaps 200 cases per year in Luxembourg The cases were interviewed by doctors or ancillary staff in a clinical setting ANALYSIS The analysis of data from case control studies has been discussed by Breslow and Day 1980 Data were analysed using the GLIM program Baker and Nelder 1978 Adena and Wilson 1982 Several log linear models were fitted and goodness of fit was assessed by the log likeli
97. herche du meilleur programme kin sith rapique post op ratoire La technique op ratoire utilis e est celle de Marshall 1969 reconstruction intra articulaire avec un lambeau ten dineux rotulien non renforc par un ligament artificiel Le nombre de patients examin s trait s et r examin s 28 mois post op ratoires est de 29 r partis en 2 sous groupes avec immobilisation soit 30 de flexion du genou soit 70 de flexion du genou et ceci pendant 6 semaines post op ra toires avec 2 programmes diff rents de r habilitation physi que Le but fondamental de ce travail minemment scientifique a t d examiner en pr op et post op 1 La fonction des muscles extenseurs et fl chisseurs du genou au moyen d une tude morphom trique par le scanner la fonction contractile musculaire au moyen de l lectro myographie et en rapport avec les exercices isokin tiques l tat histologique du muscle vaste externe en pr op et apr s 6 semaines d immobilisation et selon les diff rentes positions c est dire 30 ou 70 de flexion du genou puis ult rieurement apr s que les deux programmes de r ducation kin sith rapique fonctionnelle diff rents aient t r alis s 4 d valuer le travail musculaire du muscle quadriceps sous les points de vue travail optimum endurance maximale relation fatigabilit endurance par deux programmes kin sith rapiques diff rents 1 par le travail isokin tique et 2
98. herpes simplex vi rus dans deux cas le cytom galovirus dans un cas le virus de la rub ole plusieurs fois 68 le virus de la variole d autres virus n ont pas encore t d montr s dans le tissu des arthrites qu ils provoquent pourtant le virus des oreillons certains alphavirus cer tains parvovirus l Epstein Barr virus le virus Coxsackie le virus Echo les ad novi rus Le tropisme apparemment si faible du virus vaccinal pour l articulation com par celui des autres virus nous parait donc assez fort dans le contexte des autres arthrites virales Il faut se demander aussi s il a t regard au bon endroit Parmi les tissus articulaires la synoviale et le liquide synovial ne sont peut tre pas les plus propices la d cou verte du virus Le cartilage peut mettre l abri un germe en mal de tol rance mais le cartilage n est g n ralement pas examin La m me r flexion peut s appliquer l os voisin et aux ganglions lymphatiques qui drainent l articulation En 1939 GORDON a observ chez le lapin infect de vaccine par voie intraveineuse de la monarthrite de la polyarthrite de la fibrosite et retrouv le virus vaccinal dans les ganglions voisins des articulations touch es Le virus de la variole cousin biologique et attrape anti g nique du virus vaccinal provoque chez 0 25 0 50 des malades atteints de va riole une arthrite qui est tr s diff rente des autres arthr
99. hood ratio de viance statistic Four such analyses were carried out i All controls aged 35 or more and all cases were included The explanatory varia bles were age sex amount smoked pa pn starting to smoke nationality a iona level monthly income region of residence and size of household There were 46 cases and 625 controls This was the general ana lysis ii The cases and con ae and ex smokers The ex n variables were age Sex amount Re age on starting to smoke and i a since stopping smoking Regar ee ping smoking three categories w Lena nised current smokers and recen eue kers medium term ex smokers i g term ex smokers The categories are d dr in Table 1 There were 45 cases an controls iii As many as 15 controls did not reply monthly income An an out excluding these non r were 39 cases and 476 con sis trols were limited to planatory of cases and 2496 of to the question on alysis was carried esponders There trols in the analy iv Regarding profession 46 of cases and 56 of controls recorded themselves as pensioners with no details of their previous occupation Furthermore the pensioner group is closely confounded with age An analysis was carried out excluding this group and there remained 25 cases and 273 controls Table1 Definition of categories 1 current smokers and recent ex smokers 2 medium term ex smokers 3 long term ex smokers RESULTS Overall out
100. hritis and Allied Conditions La pauvret et le surpeuplement le taux de transmission de la pharyngite streptococ cique est inversement proportionnel la distance entre les lits des soldats risquant une infection et les lits des soldats d j infect s Des contacts interpersonnels multiples peuvent mener une pid mie non seulement parce qu ils accroissent le risque de contagion mais aussi parce que des transferts en s rie de patient patient peuvent conduire la s lection des mutants streptococciques qui produisent le plus de prot ine M et pour cette raison r sistent mieux la phagocytose Des passages successifs peuvent gale ment modifier le tropisme du virus vaccinal De petites pid mies de vaccine par h t ro inoculation ont t observ es de m me des cas voluant sans ruption de m me des cas voluant comme des rhumes des bron chites des angines des pneumonies La malnutrition prot ique du rat le rend moins r sistant aux infections streptococci ques le taux de manifestation d un RAA apr s une pid mie de pharyngite exsuda tive streptococcique est d environ 3 Le taux maximum d AR rapport dans une r gion est de 3 galement Heinola en Finlande l AR est plus grave chez les meres de familles nombreuses dans les fa milles avec difficult s mat rielles moindre r sistance de l individu ou plus grand risque d infection et de r infection
101. iacins acide nicotinique aux doses hypotip miantes Dans des tudes cliniques environ 30 des patients sous traitementimmunosuppresseur comprenant dola Cyclosporine ont d velopp une myopathie dans l ann e suivant Je d but du traitement la lovastatine tes valeurs correspondan tes pour le traitement concomitant au gemfibrozil et ta niacino Stant qtiae ei den 2 noro me ph nom ne se produit avec l emp concomitant do la lovastatine et d autres fibrates C est la raison pour laquelle fautconsid rer soigneusement les risques et tes b n fices del emploi concomitant de la lovastatine et de produits erleben a oudo Nacion A dos doses hypo Chez six patients ayant subi une transplantation cardiaque et qui recevaient un traitement en de la cyciosporina en m me temps que de ta lovastatine la dose de 20 mg jour la nne des taux plasmatiques des m taboli m ve jovestatine tait 4 fois plus rl sy ie Ce groupe la r ponse th rapeutique eisen portoni llement plus importante compte tenu de la Etant donn qu il existo apparemment une relation entre I augmentation des taux plasmatiques des m tabolites actifs d ri v s de la lovastatine et la myopathie la posologie journali re des patients sous ne d passora pas 20 mg Jour ven oe t Mode d Emploi Cette posologie les b n fices et les risques do V emploi do ta lovastatine chez des patients sous traitement ds immu Rosuppresseur devront soigneusement tre valu
102. ibrate has shown a 2096 decrease of total cholesterol and a 32 decrease of triglycerides No serious ad verse events were reported Tableau 2 DISTRIBUTION DES VALEURS AVANT TRAITEMENT Cholest rol Triglyc rides 324 6 38 HDL cholest rol pone a r 224 484 yc mie 102 875 Cr atinine 1 0 Acide urique pes SGOT en 11 847 14 922 Ecart Type Effectif 43 632 111 319 40 806 36 966 25 103 0 272 0 177 5 645 8 544 Tableau 3 DISTRIBUTION DES VALEURS APRES TRAITEMENT Cholesterol Triglyc rides HDL cholest rol LDL Glyc mie Cr atinine Acide urique SGOT SGPT Tableau 4 DISTRIBUTION DES DIFFERENCES DE VALEUR SOUS TRAITEMENT 64 3208 58 5094 4 8101 Cholest rol Triglyc rides HDL cholesterol LDL 47 7419 4 4854 0 0131 0 0054 0 0357 0 8202 Glyc mie Cr atinine Acide urique SGOT SGPT risk of coronary heart disease The Fra ES REFERENC mingham Study 1 KANNEL W B J CASTELLI W P GARRISON R J WILSON P W F ABBOT R D KALOUSPIAN S KANNEL W B Incidence of coronary heart disease and lipoprotein cholesterol levels The Fra mingham Study TATA 256 2835 1986 CASTELLI W P DOYLE J T RDON T et al mE ves cholesterol and other lipids in coro nary heart disease Circulation 55 767 1977 CASTELLI W P Mc NAMARA P M et GORDON T I lipoproteins and the Serum cholestero
103. il i y of peptides with a brood of receptors pep ae nds In Pharmacol Sci 1986 7 65 14 BURNSTOCK G Purinergic nerves Pharmacol Rev 1972 24 509 581 15 CASTAIRS J R BARNES P J Visualization of vas l Oactive intesti peptide receptors in Stinal hu i pig lung man and guinea J Pharmacol Ex 249 255 P Ther 1986 239 58 16 CHANG M M LEEMAN S E 17 18 19 20 21 22 23 24 Isolation of a sialagogic peptide from bovine hypothalamus tissue and its characterization as substance P J Biol Chem 1970 245 4784 4790 CHEUNG A POLAK J M BAUER F E CADIEUX A CHRISTOFIDES N D SPRINGALL D P BLOOM S R Distribution of galanin immunoreacti vity in the respiratory tract of pig gui nea pig rat and dog Thorax 1985 40 889 896 CHRISTOFIDES N D YIANGOU Y PIPER P J GHATEI M A SCHEPPARD M N TATEMOKO K POLAK J M BLOOM S R Distribution of PHI in the mammalian respiratory tract and some aspects of its pharmacology J Endocrinol Metabol 1984 115 1958 1963 COLES S J SAID S I REID L M Inhibition by vasoactive intestinal pep tide of glycoconjugate and lysozyme secretion by human airways in vitro Am Rev Respir Dis 1981 124 531 536 COLES S J NEILL K H REID L M Potent stimulation of glycoprotein se cretion in canine trachea by substance P J Appl Physiol 1984 57 1323 1327 COX C P LERNER M R WELLS J
104. ion prolong e Chez l homme la SP a in vitro un effet bronchoconstricteur En re vanche son administration en a rosol n en traine pas de bronchoconstriction 33 TWOIGSW H3ON3TIVHO RIT gt PER VES EE T x QUEM NEM C V CMS h E a NA forte x RSN 20 a d IE ge 1 x b NI jj 8 Y S eu Z saJiojeoqe 1 jn ouay nof 99 9 enuuoo ounony suojgarpuj o41uo 62eBnj osoJneure p seposide sep uorueA eJd 19 8604 J94 63jU0p 19 xnonbjJ8A 89299jn sanbjydo SANOI sejoejoredns soyqoydoquiozy enbniqerudisod euioJpu S enbjuo u9 osnoujoA eougs nsuj j op sourgjduiAS soJ n9 19 SEWED eenbipjAeJD sepjouiouiou 18 92 8A BOONINSUD SOOLBA SOP SGUJQDCD 19 S1no nOg SUOJUIIPU euuojuj oJ EIEINIGBA O WHYIS p SOULO SANY so JE senbijoqui0 uj0JOItU Seposd9 So JeNUgHB p JusyewuJad Bugs np senbj6bojo9ys senbiisi 9198389 891 JNS 8610449 808 Wed ONB p cenbjioqarp sejyjedouNgs sop UONN OAY 2 u9 8 Op juoureje69 Jewued se jude2 sep eriqeeuuod ej Jo 92ugisis9J BI INS 83048 ses Jed 810 J LOINIOUEA JUEWENEN np uondn J01UJ SUN JUOANOS 1U91 69029U ND guoj9991J 99 Egug no souiQuiAI sojBeuds Ap so1202d0191u8 sojsA9 OND sojjor erdeJ9ulO paJ 9 Y SOANNIFEUOD SOJ BpUODOS SUOJ 2894 SB JONUPNL P jouued 93110 u0jnJ0U8A xn8nb 18A 88199n Je SISNONDJJBVA setup sanbjudoJ SEJNO sedurgJ2 s nojnop end 19 souigiduJ S s81 ng GOP 01189 jo SWYPE op uoj onpeJ BJ ANS 9 0 UOS 18d enbiuos
105. is and alimentary contamination by listeria of a variety of foodstuff including soft riped cheeses We describe two case reports of listeria meningitis with high evidence of food related illness due to the consumption of contaminated ca membert These observations urged our State Department of Health to formulate a communication about alimentary liste riosis at the intent of all health care professionals including recommendations for patients at risk KEY WORDS Listeriosis camembert immunocompromised patient INTRODUCTION Listeriosis is a rare but well known infectious complication in pregnant women neonates and immunocompromised pa tients Several sporadic as well as epidemic observations have shown a relationship between listeriosis and consump tion of milk soft and riped cheeses uncooked and under cooked meat as well as coleslaw and various salads 5 amp The disease is due to Listeria monocytogenes a gram posi tive bacterium and the fatality rate is high in neonates and the immunocompromised with occurence of sepsis meningitis and cerebritis Compared to most other bacteria causing food related illness listeria is widely distributed in our environment and some exposure to it is unavoidable at any time the preva 41 N lence is 5 in the gut of the population without any apparent ill effects unlike most other bacteria listeria has the unusual pro perty of being able to multiply at temperatu
106. is plus im portant que la relaxation induite in vitro par l isopr naline sur des bronches humai nes 57 Le VIP augmente le transport d eau travers l pith lium bronchique et parti cipe la r gulation de l puration mucoci liaire 54 M stimule galement les s cr tions des glandes sous muqueuses La s cr tion de mucus est augment e chez l animal 65 78 mais le VIP inhibe la s cr tion des macromol cules sur des pr parations isol es de bronches humaines 19 a Les r cepteurs pour le VIP Chez l homme les r cepteurs pour le VIP pr dominent au niveau des grosses bron ches 15 Ils sont retrouv s dans les mus cles lisses les glandes sous muqueuses les vaisseaux et l pith lium bronchique Dans les petites bronches on observe galement quelques r cepteurs au niveau de l pi th lium 15 b Effets du VIP selon la voie d administra tion in vivo an de linhalation de VIP COX 21 a montr que l inhalation de VIP pr venait la bronchoconstric tion induite par l histamine chez le cobaye Cet effet a galement t retrouv chez le chien lors des tests de provocation ca et la ndine F 2 alpna Raai les a rosols de VIP ne semblent pas avoir d effets b n fi ques chez l asthmatique contraire ment aux a rosols de b ta 2 adr nergiques Cependant BARNES et DIXON 5 ont montr l effet protec teur du VIP chez 6 patients asthmati ques lors des tests de provocation a
107. isse de la tension s accompagne malheureusement souvent d une baisse de l irrigation Ce qui n est pas une bonne chose Surtout lorsque les vaisseaux sanguins ont un certain ge D sormais il existe une solution le blocage de la s rotonine 2 p riph rique ou simplement blocage Sz L excitation par la s rotonine des r cepteurs S p riph riques augmente la r sistance p riph rique et favorise l agr gation plaquettaire L inhibition par un antagoniste S des m mes r cepteurs diminue la r sistance p riph rique et arr te l agr gation plaquetlaire La baisse de tension ne s accompagnera donc plus d une baisse de l irrigation laquelle sera au contraire intensifi e Et c est une bonne chose Surtout pour des vaisseaux qui ne sont plus tout jeunes 1 comprim 20 mg 2 x par jour ANTAGONISTE S PERIPHERIQUE apr s 2 semaines au plus t t la dose peut ventuellement TT ney nn tre port e 1 comprim 40 mg 2 x par jour Sufrexai 28 et 56 comprim s 20 mg de k tans rine a 28 et 56 comprim s 40 mg de k tans rine Meg MAL rain Res vase _ 47 SE ann n c3 PHARMACEUTICA la grandeur dans la recherche 2340 Beerse BF 88 2710 360614 4PH 1983 Sufrexal Compesition Comprim s 20 mg de k tans nine 27 6 mg de tartrate de k tan S rine R 49 945 par comprim 40 mg de k tans rine 55 2 mg de tartrate de k lans rine R 49 945 par compr m amp Ampoules
108. ites virales Elles r sultent d une ost ite virale DE SEZE Sur le plan de la pathologie compar e la recherche de similitudes entre l arthrite rhumatoide chez l homme et la vaccine chez l animal bovin on peut retrouver dans l an cienne description de la vaccine par HE RING Specielle Pathologie und Therapie f r Thier rzte 1858 les curieuses coinci dences suivantes la pr dilection pour le sexe f minin pour les tranches d ge moy ennes de la vie pour les animaux stress s et particulierement pour la p riode qui suit la mise bas coincidences curieuses mais non probantes ll existe des complications communes a l arthrite rhumato de et la vaccination anti variolique la k ratite la conjonctivite l iri docyclite la vascularite la pericardite la n phrite co ncidences curieuses mais non probantes Dans le chapitre des complications de la vaccination antivariolique nous trouvons apr s l ost omy lite vaccinale une foule de donn es sur le virus vaccinal et ses arthrites Echinacin Dr Madaus st rkt die Abwehrbereitschaft des K rpers e Infektionen der Harnwege Pilzinfek tionen Herpes bei geschw chter Abwehr e Infektionsanf llig keit e Anf lligkeit gegen e chronischen Infek zn fen Erk ltung k rippe tionen der oberen PP Luftwege der Bron chien Da hilft die ge laeln Sie sich ein Hier hilft die vorbeugende zielte StoBtherapie So wie der zusammengeroll
109. itoires triamcinolonacetonide et lidocaine HCI Indications H morro des externes et internes ecz ma anal prurit anal traitements pr et postop ratoires Propri t s Le triAnal en suppositoi des douleurs h amp morroida prurit de la r gion anale Le triAnal h te la r gression de la douleur des d mangeaisons et des ph no m nes inflammatoires st indiqu pour le traitement res et en pommade e our les inflammations et le les aigu s ainsi que p Mode d emplol Suivant la gravit du cas de pommade jour sur la pa En cas d h morro des internes toires Afin de permettre une in joints l emballage des SuP 1 suppositoire 1 2 fois jour ou 2 4 applications e irrit e ou sur les h morroides externes rtie cutan situ es profond amp ment on utilisera les supposi troduction hygi nique de ceux ci 10 doigtiers sont positoires seulement Contre Indications Processus tuberculeux de la r gion anale Pr sentations Pommade 1x20g Suppositoires 1 10 suppositoires Formula Pommade Triamcinolon acetonid 0 25 mg Lidocain hydrochlorid 50 mg Paraffin liq Polyethylen q s ad 1g Triamcinolon acetonid 0 5 mg Lidocain hydrochlorid 50 mg Suppositoires P Adeps synth posit uno D livr sur ordonnance m dicale d rog n 42 615 Adeps solidus q s pro sup NW Pharma uxembourg Rue d Anvers 35 Luxembourg Vil G D Luxembourg en Tel 48 83 60
110. ixation technique J Neurosurg 1984 60 88 93 DUNN M E SELJES KOG E L Experience in the management of odontoid injuries an analysis of 128 cases Neurosurgery 8 1986 306 310 10 11 HADLEY M N BROWNER C SONNTAG V K H Axis fractures A comprehensive review of management and treatment in 107 cases Neurosurgery 17 1985 281 290 HADLEY M N BROWNER C M SHIH SING LIU VOLKER K H SONNTAG New subtype of acute odontoid fractu res Type Il A Neurosurgery 22 1988 nr 1 67 71 LAINE E DELANDSCHEER J M JOMIN M Indications et possibilit s de la voie transbucco pharyng e Neurochirurgie 23 1977 249 314 ROY CAMILLE R SAILLANT G JUDET T BOTTON G MICHEL G El ments de pronostic des fractures de l odontoide Revue de chirurgie orthop dique 1980 66 183 186 SCHIESS R J DE SAUSSURE R L ROBERTSON J T Choice of treatment of odontoid fractu res J Neurosurg 1982 57 496 499 13 Trig das zytoprotektive Antazidum regeneriert und stabilisiert die Mukosa Barriere bei Reizmagen Gastritis LI Erosionen L Ulzera Trigastril 75 Gel Trigastril 50 Granulat Triga stril Tabletten Zusammensetzung Triga stril 75 Gel 10m 4 1Beutel bzw 1Einzeldosis 11 87 g enthalten Aluminiumhydroxidgel 7752 mg 4 969 mg Aluminiumoxid Magne siumhydroxid 350 mg Calciumcarbonat 300 mg Trigastril 50 Granulat 1 Beutel 3 1g Granulat enth
111. ktivierte Arthrose Spondylarthrose ch und Suus at Gelenke Muskeln Sehnen und Schleimbeutel Chronische Lumbago Ischialgie posttraumatische postoperative ichtsteroidale Entz nd x i ere nichts gegen Acemetacin Acetylsalicyls ure Indometacin und and alti hung arztli Sorgf ltige Uberwac ngerdarmgeschw r ausgenommen unter strenger ieri peo ie Venu ark erh htem Blutdruck Schwangerschaft Stillzeit und Kinde unter Beeintr chtigung rku i hmerzen oder Schwindelgef hl selten Augenflimmern vor berge ndo en Darm Geschwire ktionen sehr selten pektangin se Beschw ea bei ae wie Leberfunktionsst rungen u U mit Gelbsucht Dieses Ar Nee oder zum a Ka sein m gen so weit ver ndern da die F higkeit zur aktiven Teilnahme am AE ntudil Kapseln 50 Rantudi i Y ird verst rkt im Zusammenwirken mit Alkohol Handelsformen 20 i rd Kapseln Tropon Arzneimitte 90 Rantudil forte Kapseln 20 Rantudil retard Kapseln 50 Rantudil reta F r Luxembourg Integral S A 5 Rue Christophe Plantin T l phone 48 56 56 rezeptpflichtig il retard enth lt 90 mg Aceme al Entz ndungen der Vorausgegangenes oder bestehendes Magen oder Zw lffi bei schwerer Leber Nieren oder Herzinsuffizienz bzw st Magen Darm St rungen Sind m glich gelegentlich Kopfsc verm gens Ohrenklingen M digkeit allergische Rea z T mit Blutungen so Gebrauch das Reaktionsver schinen beeintr chtigt wi 20 Rantudil forte Kapsel
112. la comparabi lit des r sultats d analyse au sein de la CE deux programmes de contr le de qualit ont t institu s sur initiative de la Commis Sion des Communaut s Europ ennes DG V Luxembourg en 1986 Les laboratoires sp cialis s ont t invit s participer aux programmes mensuels suivants Trace Element Quality Assessment Scheme Robens Institute Guildford University of Surrey England Worldwide Interlaboratory Quality Control Program Centre de dosages des l ments trace H pital Jean Bernard Poitiers France Les dosages d aluminium sont effectu s au Laboratoire National de Sant par spec 16 trophotom trie d absorption atomique utili sant l effet ZEEMANN pour la compensation de l absorption non sp cifique et la plate forme de L VOV pour l atomisation de l chantillon dilu La calibration est bas e sur une m thode d ajouts dos s afin d limi ner les effets de matrice organique Les corr lations obtenues fig 1 ont permis de valider les dosages effectu s au LNS L alu minium tant un l ment ubiquitaire le ris que de contamination de l chantillon est un probl me bien connu un proc d stan dardis de prelevement et de transport a t recommand aux Centres de Dialyse tube sous vide BD 606526 for trace elements acheminement rapide du tube au laboratoire en position verticale d cantation par nos soins RESULTATS 1 Les surveillances p riodiques d
113. laryngol 1983 96 479 484 MORICE A UNWIN R SEVER P S Vasoactive intestinal peptide causes bronchodilatation and protects against histamine induced bronchoconstriction in asthmatic subjects Lancet 1983 2 1225 1227 MORICE A H SEVER P S The effect of intravenous VIP following cholinergic blockade Thorax 1985 40 714 NATHANSON WIDDICOMBE J H BARNES P J Effects of vasoactive peptide across dog tracheal epithelium J Appl Physiol 1983 55 1844 1848 PALMER J B D CUSS F M C WARREN J B BARNES P J Effect of infused vasoactive intestinal peptide in normal subjects Thorax 1985 40 714 PALMER J P D CUSS F M C MULDERRY P K GHATEI M A BLOOM S R BARNES P J Calcitonin gene related peptide is a potent constrictor of human airway smooth muscle Thorax 1985 40 713 PALMER J B CUSS F M BARNES P J The effects of vasoactive intestinal pep tide on human airway smooth muscle in vitro Clin Sci 1985 68 58P PALMER J B D CUSS F M C BARNES P J Sensory neuropeptides and human air way function Am Rev Respir Dis 1986 133 239 PALMER J B D CUSS F M C WARREN J B BLANK M BLOOM S R BARNES PJ m Effect of infused vasoactive intestinal peptide on airway function in normal subjects Thorax 1986 41 663 666 PALMER J B D CUSS F M C MULDERRY P K GHATEI M A SPRINGALL D R CADIEUX A BLOOM S R POLAK J M BARNES P J Calci
114. lieu urbain et dans un climat froid et peu ensoleill que ses chances de survie sont les plus grandes en dehors de l h te Ses chances de r infestation et de passages successifs d h te h te seraient les plus grandes l o la densit de popula tion est la plus grande Les voies d infesta tion privil gi es seraient alors probablement non pas cutan es mais respiratoires et dige stives sup rieures Les lapins infect s par voie nasale pr sentaient un catarrhe nasal aigu les s cr tions contenaient le virus l inflamma tion s tendait aux conjonctives le virus se retrouvait dans les ganglions cervicaux et plus tard dans le sang les lapins in fect s par inhalation pr sentaient une l g re affection respiratoire pour r ussir une in fection respiratoire il suffisait apparemment d un peu plus d une particule infectieuse l extension de l infection se faisait par les ganglions r gionaux suivie de la g n ralisa tion par voie sanguine le virus a t retrouv dans les leucocytes Les souris infec t es par voie intranasale pr sentaient un rhume la transmission de l infection par les s cr tions de nez nez r ussissait de facon r guli re apr s 3 4 jours se d veloppaient les signes macroscopiques d une pneumo nie les souris infect es par voie intranasale passaient le virus apparemment par voie a rienne aux souris saines de la m me cage Les singes ne faisaient pas de g n rali
115. loi FRUMASIL ne doit pas tre administr chez l enfant en dessous de 14 ans Adultes Les comprim s sont prendre le matin Oed me La dose de d part est de 1 comprim par jour La posologie peut tre augment e 2 comprim s par jour jusqu l obtention de la diur se souhait e Une fois celle ci obtenue il Convient pour le traitement d entretien de ramener dans la mesure du possible ta posologie 1 comprim par jour Hypertension La dose usuelle est de 1 comprim par jour En cas de n cessit cette dose peut tre augment e 2 comprim s ar jour Chez les patients g s la prudence sera d devra se faire en fonction de la r ponse Contre indictions Hyperkati mie potassium Insuffisance Surr nalienne Insuffisance r 25 mi min Anurie 7 Affection r nale progressive s v re D s quilibre lectrolytique Etat de deshydratation ou de choc Etat pr comateux accompagnant une cirrhose Hypovol mie 7 Frise concomitante de suppt men i iur ti potassium pp ts potassiques ou de diur tiques d pargne du TWhersensibilit connue au furos mide et l amiloride USAMIL est contre indiqu chez 1 N enfant son innocuit Al die naps indiqu it l gard de ce groupe 7 S pauents diab tiques doivent faire l objet d une surveillance particuti re en raison du risque important d hyperkali mie dans ce groupe P Elfets ind sirables es malaises troubles gastro int
116. lt Aluminiumhydroxidgel 1214 5mg 2 646mg Aluminiumoxid Magne siumhydroxid 233 mg Calciumcarbonat 200 mg Trigastril Tabletten 1 Tablette enth lt Alu miniumhydroxidgel 607 mg 323 mg Alu miniumoxid Magnesiumhydroxid 117 mg Calciumcarbonat 100 mg Anwendungs gebiete Magenschleimhautentz ndungen Magen und Zw lffingerdarmgeschw re Ulcus ventriculi et duodeni sowie Entz n dungen der Speiser hre durch R ckflu von Mageninhalt Reflux sophagitis vorallem im Zusammenhang mit Beschwerden wie V l legef hl Sodbrennen saurem Aufsto en und Schmerzen Magenbeschwerden durch Di tfehler und Medikamente Trigastril 75 Gel Stre ulkusprophylaxe Gegenanzei gen und Anwendungsbeschr nkungen Hypercalc mie Hypermagnes mie Hin weis Bei schweren Nierenfunktionsst run gen ist die Anwendung von t glich mehrals 12 inze dosen 120 ml Trigastril 75 Gel 18 Beuteln Trigastril Granulat bzw 42 mg Magnesiumhydroxid entsprechend 36 Triga stril Tabletten zu vermeiden Nebenwirkun gen Trigastril kann den PH Wert des Urins ice rm was insbesondere bei Patien enmit Nierensteinen Calciumphosphatstei nen wichtig ist Bei Patienten mit einge schrankter Nierenfunktion kann es zu einer Erhohung des Aluminium und Magnesium Spiegels im Serum kommen Eine hohe pa sue ber einen l ngeren Zeitraum Ku einer St rung des S ure Basen i En tes Alkalisierung f hren Trigastril A und Trigastril 50 Granulat n
117. me ner veux central et des tissus p riph riques 60 Il est vasodilatateur et potentialise les effets vasculaires de la S P In vitro le CGRP pro voque une contraction des pr parations de bronches humaines comme l a montr PAL MER 56 LES AUTRES NEUROPEPTIDES D autres neuropeptides ont t retrouv s dans le tissu pulmonaire chez l animal mais 55 ne aussi chez l homme lis sont localis s dans les fibres nerveuses ou dans les cellules neuroendocrines tableau 1 Les neuropeptides des fibres nerveuses CHEUNG 17 a isol la galanine peptide de 29 acides amin s dans les voies respi ratoires de cobaye de rat de chien et de porc le neuropeptide Y NPY ou neuropeptide tyrosine a t d crit par SHEPPARD 73 ll s agit d un peptide de 36 acides amin s pr sent dans beaucoup de tissus chez les mammif res Le NPY est retrouv en grande quantit dans l adventice des vais seaux pulmonaires et dans le muscle lisse bronchique Sa distribution est voisine de celle des fibres nerveuses sympathiques et le NPY est probablement lib r en m me temps que la noradr naline 48 Son activit est essentiellement vascu laire enfin la chol cystokinine CCK et la so matostatine sont pr sentes en faible quantit au niveau des voies a riennes 61 2 Les neuropeptides des cellules neuroendocrines Il faut citer la bomb sine qui est broncho constrictrice fortes doses
118. n Les Syndromes Myelodysplasiques S MEYER F RIES et M DICATO Departement d h matologle canc rotogle Centre Hospitalier de Luxembourg L 1210 Luxembourg Bull Soc Sci M d p 29 N 1 1990 1 INTRODUCTION Compar s aux leuc mies aigu s les criteres morphologi ques et cliniques des syndromes myelodysplasiques MDS sont nettement moins bien reconnus et acceptes Durant les trente derni res ann es des d sordres hematologiques divers ont t d crits dont un nombre variable volue en leucose aigu La terminologie appliqu e est disparate anemie sid roblastique an mie r fractaire avec sans exces de blastes syndrome pr leuc mique Le dernier terme est certainement peu approprie car il ne peut tre attribu que r trospectivement au moment de la phase leuc mique dont on sait aujourd hui qu elle n est ni n ces saire ni constante au cours de l volution naturelle de ces pathologies 1 7 Durant les ann es 70 et 80 la FAB French American British cooperative group a revu un nombre important de cas afin de d finir des crit res morphologiques pour la classification des syndromes my lodysplasiques Dans cette classification furent exclus les an mies sid roblastiques cong nitales les MDS secondaires induits par des subs tances cytostatiques et toxiques INH alcool et les MDS associ s des d ficits vitaminiques vit B12 et acide folique 27 Les MDS atteignent
119. n vasodilatateur puissant Il rel che in vitro des pr parations d art res pulmonaires chez les bovins et dans l esp ce humaine 35 La vasodilatation n cessite des doses de VIP moindres que celles n cessaires l obtention d une bron chodilatation 3 Effets cellulaires du VIP Les polynucl aires et les monocytes con tiennent du VIP mais aussi de la substance P et de la somatostatine 27 62 Les lymphocytes humains ont des r cep teurs pour le VIP Le VIP stimule la prolif ra 53 en tion de lymphocytes murins et augmente la production d IgM La production d IgA sem ble diminu e 62 Enfin le VIP inhibe la lib ration d hista mine par les mastocytes en pr sence de l antigene sur des fragments pulmonaires 77 lll Le PHI et le PHM Le peptide histidine isoleucine PHI a t isol en 1981 par TATEMOKO 74 partir de l intestin de porc Il s agit d un peptide de 27 acides amin s dont 5096 sont communs avec le VIP poss dant une histidine en posi tion N terminale et une isoleucine en posi tion C terminale Le PHI a t retrouv dans le tissu pulmonaire chez le cobaye le rat et le chat La distribution du PHI au niveau bronchique et pulmonaire a t bien tudi e par CHRISTOFIDES 18 et LUNDBERG 50 Dans l ensemble la distribution du PHI est comparable celle du VIP bien que les fibres nerveuses contenant du PHI soient nombreuses la partie p riph rique du pou m
120. nahme vi lt sil nut bei strena Net NEN Gastrosil nu bei strenger dikationsstellung emnehmer desPrapa f r mpteim Gesichts Hals x C k or K und Schulterbereich auftreten Diese n Gelegentlich kann es zu Unruhe on f Viz N A A fare ANUT fort zum tion von Akineton We KnollAG Angaben des Herst lors beachten bringt die Krampfersche ungens t zum i j z Prolaktinsi vale im Serum Milchabsonderung und Brustdrusen zustanden Mudigkeit Schwindel Kopischmerzer tarkter Darmtatigkeit Erhohung des Frolastn iegels im serur d eru un d J R Y y P rte Darmiatit x p kurzer Zeit BerLangzettar nduna kan Zi schwellung kommen Nach Absetzen von Gastrosil verschwinden diest Nebenwirkunger vollstandig innerhalb Kurzt 4 beiLangzen i e innes Zu von ast HH V NIT 4 R nens randern daB die yake t zur Menstruationsstorungen kommen Gastrosil kann auch beibestimmung gema t m Gebrauch das N jt MS dah die F alugsen zu MUN bend cu is Dy Y tom M immenvyitkc vit Alkohol aktiven Teilnahme am Stra enverkehr oder zum Bedienen von Maschmen bet ntrachtigt wird Dies giltin verstarktem n Zusammenwirken mit Alkohc aen mit R Sle E ear Neuroleptika zentral ur peripher dampfende Arzneimitt zB Phenothiazin i it anderen Mitteln Bei gleichzeitiger Einnahme von ye t 4 kt kramnfart nen die Wirkung von Gastrosil einschranken Lit kung von trizyklischen Anti Kramptartiige Beschwerden auftreten Anticholinergika Konnt
121. ness to histamine relationship to the late asthmatic response and change in airway caliber J Allergy Clin Immunol 1982 70 170 177 2 FRIGAS E GLEICH G J The Eosinophil and the pathophysiology of Asthma J Allergy Clin Immunol 1986 77 527 537 OLLENSHAW S et al Absence of immunoreactive vaso active intestinal polypeptide in tissue from the lungs of patients with asthma N Engl J Med 1989 320 1244 1248 BARNES P J Drug therapy A new approach to the treatment of asthma N Engl J Med 1989 321 1517 1527 Alle magen Soest j 0 Ci 5 Zusammensetzung Gel 10 g 1 Beutel enthalten Butinolinphosphat 0 002 g Aluminiumhydroxid Gel 12 9 er Ze oliumenrg nat 0 6 g Tabletten 1 Tablette enth lt Butinolinphosphat 0 002 g Aluminiumhydroxid Trockengel 50 e Stahl een A a sera 0 3 g Indikationen Krampf und S ureschmerzen bei Gastritis Duodenitis Ulcus ventriculi et duodeni gt dung each en eschwerd durch Di tfehler und Medikamente Kontraindikationen Engwinkelglaukom Prostataadenom mit Res gr Eid nen chosen im Berei des Magen Darm Kanals Tachyarrhythmie Megacolon Nebenwirkungen Mundtrockenheit Abna me Gai cleichreiliner Gobe ion Hautr tun Akkomodationsst rungen Glaukomausl sung Tachykardie Miktionsbeschwerden Wechselwirkungen x Re kann di Reso VENT Amantad Chinidin oder trizyklischen Antidepressiva kann die Wirkung von Butinolinphosphat verst rkt sein Das pios slbi nm
122. ntraction du muscle lisse bronchique et dans la r gulation des ph nom nes inflammatoires au niveau de la muqueuse bronchique La mise au point d agonistes et d antagonistes de ces mo l cules permettra peut tre une nouvelle ap proche th rapeutique de l asthme ncipaux peptides isol s du Tableau I Pri tissu pulmonaire D apres PALMER et BAR NES 61 1 Peptides isol s des fibres nerveuses Vasoactive intestinal peptide VIP Peptide histidine isoleucine PHI Peptide histidine m thionine PHM Substance P SP Calcitonin gene related peptide CGRP Neurokinine A NKA Neurokinine B NKB Neuropeptide Y NPY Galanine Cholecystokinine CCK Somatostatine 2 Peptides isol s des cellules neuroendo crines Calcitonin gene related peptide CGRP Bomb sine Gastrin releasing peptide GRP Enk phaline Katacalcine Remerciements Nous remercions Madame R CHARLES pour son travail dactylographique BIBLIOGRAPHIE 1 ADVENIER C BIDET D FLOCH A RENIER A Contribution of prostaglandins and tromboxanes to the adenosine and ATP induced contraction of guinea pigs isolated trachea Br J Pharmacol 1982 77 39 44 2 ALI H LUNG K B P PEARCE F L HAYES N A FOREMAN J C Comparison of the histamine releasing action of substance P on mast cells and basophils from different species and tissues Int Arch Allergy Appl Immunol
123. nue ouverte par un cale radio transparent Deux ampli ficateurs de brillance l un de face et l autre de profil centr s sur C1 C2 permettent un contr le radioscopique continu L approche de la face ant rieure de C2 C3 se r alise selon la technique de Cloward entre le paquet vas culaire du cou en dehors et l axe a ro dige stif en dedans Petite incision m diane avec ruginage limit du ligament commun vert bral ant rieur en regard du disque C2 C3 puis forage au moteur lent dans l axe de l odontoide tout en vitant de d passer la corticale du sommet de l odontoide Les 3 premiers mm sont largis la fraise afin de pouvoir loger la t te de la vis Nous utilisons la vis AO spongieux qui permet un effet de rappel des fragments permettant ainsi une meilleure fusion Le port d une minerve mousse est prescrit pour deux semaines noter que dans nos 2 cas op r s par cette technique aucune ligature art rielle n a t n cessaire et aucune l sion nerveuse n a t observ e OBSERVATIONS Observation 1 Monsieur S J 52 ans victime d un acci dent de voiture fracture de la base de l o dontoide sans d placement volet costal droite avec pneumothorax intervention le 5 1 89 Suites post op ratoires simples Sor tie le 16 1 89 avec minerve mousse Excel lent r sultat anatomique et fonctionnel Observation 2 Madame D A 64 ans victime d un acci dent de voiture fracture de l odontoide avec trai
124. oge parotidienne kyste d origine bran chiale ad nopathies m tastatiques etc 3 les tumeurs d velopp es partir des structures situ es en dehors de la loge parotidienne angiomes lipomes tumeurs glomiques Le premier groupe de tumeurs renferme des tumeurs b nignes a les tumeurs mixtes ou ad nomes PLEIOMORPHES b les tumeurs monomorphes parmi lesquelles le cysta d nolymphome l oncocytome et les tumeurs malignes parmi lesquelles les cancers parotidiens les cylindromes Le cystad nolymphome papillaire encore appel tumeur de WHARTIN est une tumeur d aspect kystique entour e d une fine capsule dont l origine serait ductale 63 OBSERVATIONS 1 Monsieur B J que et tabagique c tum faction sous ang indolore d apparitio ORL est par ailleurs nerf facial intacte L montre une tumeur mit e L examen intei rit s La parotidecton 1 7 88 permet de retr p le inf rieur de la op ratoires sont simp L examen histologiqu d un cystad nolympt Whartin 2 Monsieur S R adress pour une tum r gion parotidienne d r cente En fait l inte confirmer l existence d une petite tumeur l espace de quelques atteindre la taille d i tum faction est l g palpation partielleme chographique confit tumeur partiellement facial est intact L ex un tat s quellaire d u dectomie totale est pr due tr s difficile par largement inflammato d part dans le lobe p pr sence d une
125. on Chez l homme ITOH 38 a isol un peptide voisin le peptide histidine m thio nine PHM qui poss de galement 27 aci des amin s avec une m thionine en position C terminale Comme le VIP le PHI et le PHM sont bronchodilatateurs in vitro sur des pr para tions de bronches humaines L effet vasodi latateur est cependant moindre que celui obtenu avec le VIP 50 LE SYSTEME EXCITATEUR NON CHOLINERGIQUE Il existe chez l homme c t du Syst me parasympathique m diation cholinergi que un syst me bronchoconstricteur non cholinergique qui a pour neurom diateurs des tachykinines dont le chef de file est la Substance P 41 En effet la stimulation lectrique in vitro de bronches de cobaye peut entra ner une bronchoconstriction inhib e par la t trodo toxine et non par l atropine Chez l homme LUNDBERG 49 a pu obtenir le m me r sul tat in vitro Cette bronchoconstriction atro pine r sistante est inhib e par des antagoni stes de la substance P ou Par un pr traite ment des pr parations bronchiques par la capsaicine qui provoque la d g n rescence 54 des terminaisons nerveuses sensitives af f rentes 32 Les neurom diateurs en cause appartien nent la famille des tachykinines substan ces capables de contracter des pr parations de cobaye plus rapidement que la bradyki nine A LES TACHYKININES Les principales tachykinines intervenant comme neurotransmetteurs du sy
126. on de la possibilit du risque de n crose de l odontoide par intro duction de la vis nous pensons qu il n en est rien De nombreux travaux anatomiques ont montr que l odontoide est largement vascularis non seulement partir du tissu spongieux du corps de l odonto de mais galement par son sommet et ses bords lat raux CONCLUSION Nos resultats cliniques et anatomiques nous incitent penser que le vissage direct de l odontoide du fait d un acte chirurgical peu invasif et d un respect fonctionnel opti mal constitue le traitement de pr dilection des fractures de l odontoide Ses indications pourraient tre tendues tous les types de fractures de l odontoide sans l sion liga mentaire associ e RESUM Nouvelle technique du traitement chirurgi cal des fractures de l odontoide Ost osyn these par vissage direct Pr sentation de 2 cas Discussion SUMMARY New technique in surgical treatment of odontoid process fractures osteosynthesis with a direct screw fixation Discussion Tir s part Dr DANG PHUOC Trung Service de neurochirurgie Centre Hospitalier de Luxembourg 4 rue Barbie L 1210 LUXEMBOURG Grand Duch de Luxembourg 11 ut En Eee ide Radiographies standard face et profil Vissage direct de l odonto 12 L APPROCHE SAINE de l hypertension art rielle lorsque les vaisseaux sanguins ne sont plus de la premi re jeunesse Cela ne va pas de soi car une ba
127. ond Mont s llmektionsi ing 1Ampulle 2 ml enthe clopram d 20 mg Polidocanol 20 mq 1Zapfchenfurkinder er Vietock 10 mg Metoclopramidhydrochlond Gasti si 50 Injektionslosung 1 Ampulle 10 mg enthalt 50 mg Metock tam dhydrochloric 1strosil retard 1 Retard kapsel enthalt 31 6 mg Metoclopramidhydrochlorid Mor shydrat gt 30 mg Metocle pramidhydrochlorid Ga te apseler thalt 15 8 mg Metoclopramidhydrochlond Mon hivdiat a 15 ma Metoclopramidhyd chlorid Indikationen Gastrosil Gastros retard Gastrosil retard mite Motilitats storungen im oberer Magen Darm Bereich z B be Refluxkrar kheit Magenschle mhautentzundung Sodbren Zur unterstutzender npa matischen f nerkrankungen Schadel DZW etzunger Im ndErbrechenbeiLeber u dem Schluckauf ist nTheral Behandlung bei Mage und Zwollfingerdarmgeschwure i 1 l rosil retard mite dia versuch angezeigt Zusatz ind Patienten mit e trapyram dalmotor st semangel nicht mit strosil Tropf krankheiten Migrane medikamentenbedir gte belkeit ianhalter betische Gastroparese Kontraindikationen Phaochromozy Storungen wird Gastrosil nicht emi fohlen Patienten mit Sorbit Fructose Ep eptikernt se 1 6 Diphos rvon 8 14 Jahren Schwangere ur d sulle k rhaib einrigerStunden ab iv Injen tom prolactinabha Mutter soliten lt 0 Y behandeln Saugl nge und Kleinkinder sind von der Behandlung mit Gast ND nach E n
128. onduite n S 5 de v hicules et l utilisation de machines Surdosege hypovol mie par d shydratation des troubles lectrolyti En cas de surdosage de y tat de choc peuvent tre observ s Dr NYP siste en une compensation des pertes hydriques et une correction d idesequilibre lectrolytique et notamment l hyperkali mie convie t de faire vomir le patient el d op rer un lavage gastrique II convien traitement symptomatique et un traitement de soutien En cas de manifestation d hyperkali mie appliquer tes mesures propres abaisser le potassium s rique Coneenver au frais 8 15 C ou au r frig rateur 2 89 C l abri de la lumi re et de l humidit u PA M n est indiqu e sur l emballage en regard du sig Stabilit La date de sigle d signent le mois premier jour et l ann e partir desquels le produit Sera p rim D livrance Prescription m dicale Derni re mise jour de la notice juillet 1988 La tomodensitom trie et la r sonance magn tique ne sont indiqu es qu en cas de grosse tumeur d histologie priori suspecte pour rechercher une infiltration de la base du cr ne ou une extension para pharyng e La biopsie est certainement contre indi qu e vu le risque important de blessure du nerf facial Les adh rences dues une telle biopsie rendraient aussi une ventuelle chi rurgie tr s difficile CONCLUSION Le traitement de choix est constitu par la parotidectomie totale
129. oviennent d ail leurs d un pr curseur commun le pr pro VIP I Le pr pro VIP Le pr pro VIP poss de les s quences d acides amin s du PHM et du VIP s par s par une dizaine d acides amin s Le clivage enzymatique aboutit des mol cules dif f rentes selon les tissus Ainsi dans le pou mon l intestin et le syst me nerveux central le clivage du pr pro VIP donne trois com pos s le PHM 27 acides amin s le VIP et un peptide interm diaire de 10 acides amin s En revanche au niveau de la mu ueuse nasale et de l estomac deux mo vers sont form es le VIP et le PHM de haut poids mol culaire constitu de PHM ayant conserv les acides amin s du peptide interm diaire II Le VIP Vasoactive Intestinal Peptide En 1970 SAID isole de l intestin du porc une substance vasoactive le vasoactive in testinal peptide VIP Chez I homme le VIP est retrouv dans le tissu pulmonaire les terminaisons nerveuses et les cellules gan glionnaires Il existe des fibres nerveuses contenant du VIP dans le muscle lisse bron chique les glandes s ro muqueuses les ar t res et les veines Le nombre de fibres contenant du VIP est important dans la tra ch e et les grosses bronches alors qu il est faible dans les bronchioles terminales Ces fibres sont absentes au niveau des parois alv olaires 27 1 Effets bronchiques du VIP Le VIP est bronchorelaxant Cet effet sur le muscle bronchique est dix fo
130. ovoquer une hypo tension art rielle et ainsi une diminution de la facult de r action Pour la prescription elantan 20 50 et 100 comprim s elantan 40 50 SCHWARZ PH ARMA Sur prescription m dicale et 100 comprim s Sch z warz Pharma GmbH Mittelstra e 11 13 D 4019 Monheim PROP a HAC HOWALD 5 Rangw L 2412 HOWALD T l 48 24 82 COR aa Vi rea
131. pations and occu pational exposures have been associated with lung cancer aflatoxins aluminium pro duction arsenic and arsenic compounds asbestos bis chloromethyl ether hexava lent chromium compounds coal gasifica 26 tion coal tar pitches coal tars coke produc tion haematite mining with radon expo sure iron and steel founding sulphur mu Stard gas nickel and nickel compounds soot talc with asbestiform fibres and vinyl chloride Other risk factors for lung cancer in addi tion to those considered in the present study and the occupational exposures listed above include side stream tobacco smoke reviews Crawford 1988 berla 1987 MOPP and other chemotherapy with alkyla ting agents Anon 1987 home radon expo sure Axelson et al 1988 and pet birds Holst et al 1988 A familial tendency for lung cancer has been reported Horwitz et al 1988 Consumption of fruit and vegeta bles rich in vitamin C and carotene may have a protective effect Fontham et al 1988 Despite the progress in the epidemiology of lung cancer and the current activity in the field it is clear that many questions remain to be answered in further studies We are grateful to the Ligue ns geoise contre le Cancer for providing Ae data of the normal controls and to the Recherche sur le Cancer et les Maladies Sang Luxembourg for a grant PEDE The study has been presented at SS European Association for
132. perr activit bronchique g n ralis e caract ris e par une r action de broncho constriction exag r e aussi bien des stimuli sp cifiques allergiques auparavant non efficaces qu une r action de broncho constriction de nombreux sti muli non sp cifiques tels que le dioxide de soufre l air froid l effort ou des m dica ments comme les b tabloquants Cette hy perr activit bronchique asp cifique sou vent aggrav e par des infections virales in tercurrentes est un des marqueurs essen tiels de l asthme chronique Dans les asth mes s v res instables cette hyperr activit bronchique asp cifique extr me est le fac teur majeur de la gravit pronostique Les m canismes pr cis en cause dans la genese de cette hyperr activit bronchique ne sont pas tablis Cependant elle volue parall lement au degr d inflammation et d infiltration cellulaire des muqueuses bron chiques Certains m diateurs comme le P A F platelet activating factor s cr t par de nombreuses cellules inflammatoires mais aussi les cellules osinophiles qu il appelle et qui liberent des mol cules tr s toxiques comme le M B P major basic prot ein se sont r v l s tre des facteurs tr s importants dans l induction de l hyperr acti vit bronchique vraisemblablement par de struction de l pith lium bronchique et la mise nu des terminaisons nerveuses de certaines fibres sensitives du syst me choli nergique
133. ptide in the cat Am Rev Respir Dis 1983 128 827 832 DION S DRAPEAU G RHALEB N E D ORLEANS JUSTE P REGOLI D Receptors for substance P and neuroki nins Correlation between binding and biological activities Eur J Pharmacol 1987 138 125 128 EULER U S V GADDUM J H An unidentified depressor substanc certain tissue extracts J physiol London 1931 72 74 87 FOREMAN J C JORDAN C C DEHME P RENNER H Structure activity relationship for some substance P related peptide that cause wheal and flare reaction in human skin J Physiol 1983 335 449 465 FULLER R W DIXON C M S BARNES P J The acute fall in a man following C capsaicin Am Rev Respir Dis Part 2 A 235 FULLER R W DIXON C M S MAXWELL D BARNES P J Effect of inhaled and intravenous sub stance P on human airway function Thorax 1985 40 714 e in irway conductance in fiber stimulation by 1984 129 N 4 34 35 36 37 38 39 40 41 42 FULLER R W DIXON C M S CUSS F M C BARNES P J In vivo and in vitro assessment of brady kinin induced bronchoconstriction in humans Am Rev Respir Dis 1986 133 N 4 Part 2 A 91 GREENBERG B RHODEN K BARNES P J Characteristics of VIP and PHI relaxa tion of bovine and human pulmonary artery Thorax 1985 40 715 IRVING C G MARTIN J R MACKLEM P T Non purinergic nature and efficacity of non
134. quen tial morphological and cytogenetic in vestigations British J of Haemat 1985 59 659 670 TRICOT G Pronostic factors in MDS British J of Haemat 1985 60 19 32 KOEFFLER H P HIRZI R ITRI L et al s 25 DIHYDRO D3 in vivo and in vitro effects on human preleukemic cells Cancer Treat Rep 69 1399 1407 KOEFFLER H P HEITZAN D MER TELSMANN R et al Randomised study of 13 cis retinoic acid versus placebo in MDS Blood in press VADHAN RAY S KEATING M LEMAIS TRE A et al Effects of recombinant human granulocyte macrophage colony stimulating factor in MDS N Engl J Med 1987 317 1545 1552 ARMITAGE JO DICK F R NEEDLEMAN S W et al Effect of chemotherapy for MDS Cancer Treat Rep 1981 65 601 605 APPELBAUM FR STORB R RAM BERG R E et al Treatment of preleuke mic syndromes with marrow transplan tation Blood 1987 69 92 96 DICATO M KURDZIEL J C DONDELIN GER R RIES F Magnetic Resonance Imaging in Myelodysplasic Syndromes in press 33 Traumon Therapieprinzipien 3 xerfolgreich gegen stumpfe Traumen Traumon Traumon Traumon Eis Strom Tape Konzentrierte Wirksamkeit Schnelle Resorptionen Moderne Verbandtechnik Weniger Verletzungs von Erg ssen und f r stumpfe Traumen Komplikationen Begrenzung H matomen durch be Schneller Symptom R ck des Gewebeschadens schleunigte Penetration gang Kurze Therapiedauer Bei Prellungen Zerrung
135. r observa tion was transmitted to the state division of sanitary inspection Case two In April 89 a 59 year old was admitted to our hospita of hepatic coma Lumbar cirrhotic patient I fora suspicion 42 Contribution of the national division for sanitary inspection and State department of Health Briefly after our first clinical report the national division of sanitary inspection per formed bacteriological controls of several varieties of soft riped cheeses at different places in the country One sample of the incremented camembert was shown to con tain massive amounts of Listeria monocyto genes as well as other micro organisms like E Coli These observations as well as an earlier advertisement of the British Department of Health and Social Security on Listeriosis and food February 89 urged our State De partment of Health to formulate a communi cation concerning alimentary listeriosis The letter from October 89 at the intent of all health care professionals in Luxem bourg provided a brief description of liste riosis with special emphasis on people at risk pregnant women and immunodepres sed patients including cancer patients cirrhotics patients on immunosuppressive therapy Recommendations for those persons at risk were formulated as follows avoid crude milk soft riped cheeses ca membert brie raw meat and seafood rinse carefully fruit and vegetables parti cularly salads to be eaten
136. raitement par Sufrexal a t signal e Sufrexal est bien tol r surtout par les patients g s Les param tres biochimiques et h matologiques ne sont pas influenc s n ga tivement lors d un traitement prolong par Sufrexal Bien qu on n ait pas rapport de r actions h patiques au cours d un traitement par Sultexal de pareilles r actions Sont possibles avec tout m dicament qui est m tabolis dans le fore L hypotension y compris l hypotension orthostatique est tr s rare Chez quelques patients pr dispos s notamment sous diur tiques liminant le potassium sous antarythmiques allongeant l espace OT ou pr sentant un bloc aurculo ventrculare du 2e ou 3e degr des arythmies ventriculaites r versibles de type torsade de pointes ont t constat es lors d un traitement oral chronique par Sufrexal Interactlons Interactions d sir es Les tudes des associations de Sufrexal des diur tiques et des bloquants mettent en vidence une activit antihypertensive additionnelle Interactions ind sirables Lorsque des antiacides sont utilis s simultan ment l ab sorption de Sufrexal peut tre diminu e C est pourquoi il est recommand de pren dre les antiacides ventuels 1 2 heures apr s Sulrexal vow aussi rubrique Pr Cautions particuli tes Jusqu pr sent on n a pas constat d interactions avec les anticoagulants les hypogiyc miants ou les d riv s de la digdaline Bien que cela n ait pas
137. ratiquement nul Siuno tollo patients devait devenir enceinte au cours d un traita ment pas MEVACOR co m dicament sera imm diatement arr t oton expliquera ta patiente les dangers potentiels encourus par fe foetus Onignoro silo MEVACOR est excr t dans lo tait da famme Etant donn quo de nombreux m dicaments sont excr t s dans le lait do femme et en raison do la possibilit d effets ind sirables raves r sultant du MEVACOR chez l enfant nourri au soin les diced du MEVACOR n allaiteront pas teur enfant voir o cena INTERACTIONS nosuppresscurs brazil niscino acido nicotini FERN een Pr cautions Jed sir ai Effets musculaires coumariniques Berna la doit rie et les anticoagulants coumariniques sont administr s concomitammant lo temps de prothrombine peut augmenter chez certains patients Choz ies PANNES pronari des anticoagulants letemps de sora renee do commencer lo traitemont la lovastatino et par la su ta aux intervalles habituellement rocommand s dans lo traiteme pationts sous anticoagulants coumariniques amtipyrine ostio modelo utilis pourles m dicamenta m ta bolis s par le syst mo juo microsomal Dee uo lo syst me cytochrome P450 Etant donn quo u va aucun effet sur les caract ristiques pharmacocin igues l antipyrino on ne s attend pas des interactions avoc d autres m dicaments via co m canisme Propranolol lontalres sains on EL pas NE macoci pharmacodynamique Cir mont tivo
138. refoulement des canalicules intrapa rotidiens englobant partiellement la zone muette A la scintigraphie les cystad nolympho mes donnent classiquement une accumula tion importante du Techn cium au niveau de la tumeur jusqu pr sent cependant nous n avons pas l habitude de cet examen L chographie permet de diff rencier ces tumeurs des tumeurs solides de voir le plus souvent des limites bien pr cises cet ex amen est rendu parfois tr s difficile du fait de la saillie de la branche ascendante de la mandibule NOTICE SCIENTIFIQUE D nomination o FRUSAMIL furos mide amiloride Titulaire d enregistrement S A RORER N V place du Champ de Mars 2 bte 16 1050 Bruxelles Composition 1 comprim contient Furos mid 40 mg Amilorid hydrochlorid 5 mg Lactos Amyl maydis Cellulos microcristal Natrii carboxymethylamylum Sunset lut E 110 Talc Silic oxyd colloid Magnes stearas Forme voie d administration et conditionnement Comprim s s cables Boites de 28 et 56 comprim s Propri t s FRUSAMIL est une medication diur tique associant les propri t s diur tiques du furos mide et les effets d pargne potassique de l amiloride L action salidiur tique de furos mide s exerce principalement au niveau de la branche ascendante de l anse de Henl par inhibition de la r absorption tubulaire des ions chtore et sodium Ilen r sulte une limination hydrosod e rapide et inten
139. rip tion des syndromes my lodysplasiques E Le pourcentage en blastes au niveau m dullaire il est difficilement appr ciable en cas d ythroblastose marqu e diagnos tic diff rentiel entre leuc mie non lympho blastique aigu M6 et MDS I CLASSIFICATION DES SYNDROMES MYELODYSPLASIQUES Type I An mie r fractaire RA Le terme r fractaire a t attribu jadis des an mies ne r agissant ni des sup pl ments ferriques ni aux apports en vita mine B12 et ou acide folique D apr s des s ries r centes 9196 des patients atteints pr sentent une leucop nie 3 900 et une thrombop nie 130 000 associees ces deux criteres ne sont cependant pas pris en consid ration La moelle est hypercellulaire les sid roblastes rares les blastes peu nom breux 5 pour la moelle 1 en peri ph rie La dys rythropoi se est pr sente Type ll An mie r fractaire avec sid ro blastes RA S Le nombre de sideroblastes medullaires d passe 1596 des cellules nucl es la pr sentation en amas n est pas rare Les leuco et thrombop nies associ es sont net tement plus rares environ 1296 des patients Les types et II ont des taux de ferritine lev s Type Ill An mie r fractaire avec exc s de blastes RAEB Les blastes inclus les promy locytes re pr sentant entre 5 et 20 des cellules de la moelle restent rares 5 dans le sang La dysmyelopoiese est marqu e les pancyto p nies co
140. rmes ubiquitaires il y en mais un germe devenu ubiquitaire par la main de l homme depuis bient t deux si cles c est le virus vaccinal L arthrite rhumatoide serait elle aussi une affection moderne dont l incidence ne se serait d velopp e que depuis deux si cles parall lement la vaccination de plus en plus g n ralis e La premi re vaccination antivariolique eut lieu en 1796 JENNER La premiere description de l arthrite rhumatoide est celle d Au guste LANDR BEAUVAIS dans sa th se sur la goutte asth nique primitive en 1800 Si les Anciens d avant 1800 ne d crivirent pas cette maladie si typique et si facile recon 67 naitre c est qu elle devait tre rare Rare comme la vaccine C est une id e que M F KAHN avait signal e en 1979 et que B AMOR avait discut e avec les rhumatolo gues luxembourgeois en 1984 La conclu sion provisoire 1 le virus vaccinal est un virus si gros que s il tait pr sent dans les tissus rhumatoides il y a longtemps qu il y aurait t vu 2 il n y a pas de r action immunologique particuli re au virus vacci nal dans l arthrite rhumatoide Ces deux arguments ne sont pas mortels pour I hy poth se Si l hypoth se tait vraie l arthrite rhuma toide devrait se rar fier petit petit parall lement la r cession du virus vaccinal Ce serait un argument pid miologique pro bant Mais combien plus satisfaisante serait la d couverte du r le du vi
141. rs des derni res ann es des progr s des examens biologiques les techniques de fixation de compl ment sont actuellement abandon n es au profit de la technique ELISA 6 9 plus performante Le traitement de la cysticercose intra ven triculaire reste neurochirurgical 2 11 12 13 14 18 21 Le kyste du Ive ventricule est en g n ral isol et son ex r se est relative ment ais e Comme dans notre cas I hy droc phalie r gresse apr s ex r se du ky ste mais dans les dilatations ventriculaires dues des l sions inflammatoires pendy maires ou arachnoidiennes une d rivation interne doit tre mise en place Le traitement m dical a t longtemps d cevant mais depuis quelques ann es des r sultats plus favorables sont obtenus par le Praziquantel un anthelmenthique 11 18 26 Ce traitement s adresse aux formes in tra c r brales diss min es mais n a pas d effet sur les kystes intra ventriculaires ou l ablation chirurgicale reste imp rative 18 En conclusion notre observation de neu rocysticercose attire l attention sur une ma ladie rare dans nos r gions mais dont il faut voquer le diagnostic devant un tableau d hypertension intracr nienne chez un pa tient originaire ou venant d une r gion d end mie Les kystes doivent tre enlev s chirurgicalement tant donn le risque d hydroc phalie chronique ou aigu R SUM Pr sentation du premier cas r pertori de neurocysticercose
142. rtaine taient flatulence diarrh e constipa tion naus es dyspepsie c phal es ruptions cutan es ot valent uno incidenca d Ghats id mann ago de CO uno incidence d effets si i egale ou rn D autres effets secondaires observ s chez 0 5 1006 des patients consistaient en fatigue prurit bouche s che insomnie troubles du sommeil et Ni esie Une neuropathie p riph rique a t observ e chez un patient mais une relation de cause effet avec MEVACOR n est pas certaine Les potentiels voqu s visuels des mesures de con duction ecu et lectromyographie chez plus do 30 patients sous ACOR n ont amp pport aucun ment en faveur d un effet neurotoxique EXAMENS BIOLOGIQUES Unoaugmentationnette et PRECAUTIONS PARTICU Effets au nivesu du fole CERES Dans des tudes Cliniques une l vation transaminases plus de 3 ois la limite lee sup rieure de la normale 4 DUT du traitement au MEVACOR e om Ppagnait nid ict re ni d aucun autro st ne Ou br dis ee a une hypersensibiins Une biopsie hapa focale et undecespatientset a montr uno Parmicespatients certains i on cay ss bo la fonction Cv rpm avam ms u niveau Consommaient des quantit s importantes d alcool raison dung augus na tadt iamompuoeandidan paten quiasubiunebiopsie h patique te taux destransamina c gress rn jusqu taux ant rieur au traitement Pr mar pl sas D na do 12 premiers mois de traitement par MEVACOR et r guli r
143. rus vaccinal dans l arthrite rhumatoide avant sa disparition Il n est pas question de discuter ici les m canismes par lesquels les virus sont ca pables de provoquer des arthrites m me chroniques les chapitres 11 18 du livre d ESPINOZA le font amplement De m me le Chapitre de Nathan J ZVAIFLER dans Ar thritis and Allied Conditions II s agit ici uniquement de rappeler quelques raisons de ne pas n gliger l hypoth se vaccinale Le virus vaccinal ne poss de apparem ment pas de tropisme bien prononc pour les articulations la complication ost o arti culaire surviendrait dans moins de 1 des vaccinations NITZKIN J L ANDERSON L SKAGGS J W et al Complications of small pox vaccination in Kentucky in 1968 J Ky Med Assoc 69 184 190 1971 En 1969 HOLTZMAN C M consacre une publication l arthrite postvaccinale Postvaccination Arthritis N Eng J Med 280 111 112 1969 En 1965 SILBY H M FARBER R O CON NEL C J ASHER J and MARINE EJ Acute monarticular arthritis after vaccina tion Ann Int Med 62 347 350 1965 pub lient un cas En 1949 SEWALL S Vaccinia osteomyelitis Report of a case with isolation of the vaccinia virus Bull Hosp Joint Dis 10 59 63 1949 avait isol le virus vaccinal de l ost omy lyte postvaccinale ll faut se rappeler ici que si parmi les virus qui provoquent des arthrites certains ont t d montr s dans des synoviales ou les liquides synoviaux l
144. s Chez l homme les tudes immunohisto chimiques r v lent que la NKA est pr sente dans les fibres nerveuses contenant de la SP Les tachykinines sont de puissants agents constricteurs in vitro sur des pr parations de muscles lisses de trach e bronches inte stin vessie aorte et carotide La NKA est 100 fois plus active que la S P et la NKB Ceci a t retrouv galement in vitro sur des pr parations de bronches humaines Par contre la NKB ne provoque pas de bronchoconstriction sur ces m mes pr pa rations JOOS 40 a observ chez les asth matiques une bronchoconstriction im m diate provoqu e par la NKA Les neurokinines sont aussi des agents vasodilatateurs en particulier la NKA et le NPK B LES R CEPTEURS AUX TACHYKININES li existe 3 types diff rents de r cepteurs pour les tachykinines les r cepteurs NK 1 NK 2 et NK 3 Chaque r cepteur a des affi nit s diff rentes pour chaque tachykinine Ainsi le r cepteur NK 1 poss de une plus grande affinit pour la S P le NK 2 pour la NKA et le NK 3 pour la NKB 3 13 29 70 Dans les bronches on note une pr domi nance des r cepteurs de type NK 2 chez le cobaye On peut penser qu il en est de m me chez l homme tant donn que la NKA est beaucoup plus active que la S P et la NKB sur les bronches humaines 27 C LE CALCITONIN GENE RELATED PEPTIDE CGRP Le CGRP est un peptide de 37 acides amin s retrouv au niveau du syst
145. s aveclerepas du matin et du soir Les prises biquotidionnes sont l g rement plus efficaces que la prise quotidienne unique Pour les patients prenant desimmunosuppresseurs en m mo temps qua la lovastatino la dese maximale rocommand e est do 20mg jour voir Pr cautions particuli res Effets musculaires La posologie de MEVACOR sera diminu e sita valour de LOL cholest rol devient inf rieure 75 mg 100 m1 1 94mmol L ou si te La vi s rique total devient inf rieur 140 mg 100m 36 mmol L Traitement concomitant MEVACOR est efficace utilis seul ou en association avoc dos ch lateurs des acides biliaires Posologie dans l insuffisance r nale Etant donn que le MEVACOR ne subit pas d excr tion r nale significative il ne devrait pas tre n cessaire do modifier la poso logie chez les patients on insuffisance r nale CONTRE INDICATIONS Hypersensibitit l un des composants do ce produit Maladie h patique votutivo ou persistance inexpliqu e do trans aminases lev es aan et lactation voir galement les paragraphes sp ci ues EFFETS INDESIRABLES Lo MEVACOR ast g n ralement bien tol r la plupart des effets ind sirables taient pou s v res et de nature transitoire Au cours des tudes cliniques contr l es les effets ind si rabies survenant une fr quence de ptus do 1 96 et pour lesquels la responsabilit du m dicament tait consid r e comme possi ble probable ou ce
146. s citations d ouvrages une r f rence comportera dans l ordre outre les norhs des auteurs et le titre du livre a la ville b l ann e de parution c le nom de la maison d dition laires au r dacteur nt succints et si possible suivis d un ll est recommand aux auteurs que les articles soie pat consultant sp cialiste r sum en anglais Tous les articles seront lus par le r dacteur et un vis sp cial les opinions exprim es ne Sciences M dicales The Bulletin is published two or three times per year and accepts articles In nn German and English The authors are invited to submit the original COPY anda Se ue Gas spaced to the editor The references in alphabetical order should conform o yle of the Index Medicus Surname and initials of authors title of article name of journal volume number Les articles n engagent que leurs signataires et saufa refl tent pas n cessairement la position de la Soci t des first page and year b i membe All the articles which should be succint are reviewed by the editor ange Donme editorial board 5 Luxembour Copyright 1990 by Societe des Sciences Medicales du Grand Duche de g Sommaire Editorial Asthme hyperr activit bronchique neuropeptides Fractures de l odontoide ost osynth se par vissage direct L aluminium en h modialyse A case control study of cigarette smoking and lung cancer in Luxembourg Les syndromes my lodysplasiques Une tude
147. s of amount smoked age and giving up smoking are consistent with what has been found in other popula tions Anon 1985 There was no significant effect of sex Most of the cases were men but the higher frequency of lung cancer among men may be attributed to more men smoking than women and those men smo king more cigarettes than women There was no significant effect of age on starting to smoke These results if taken at face value have clear implications for public health The great risk of lung cancer among smokers is confirmed Women who smoke as much as men run as great a risk The tendency for more young women to smoke Anon 1988 may be expected to lead to more cancer mortality over the coming decades The fall in risk on stopping smoking is large If all smoking now ceased lung cancer mortality would fall to a low level in 10 to 15 years Many smokers have not succeeded in giving up smoking despite several attempts It is not known whether a reduction in the amount smoked by such persons would lead to a significant reduction in risk The effect of profession excluding pen Sioners was almost Significant and there Was a somewhat higher proportion of un Skilled labourers among cases than among controls The International Agency for Rese arch on Cancer Anon 1987 has reviewed many exposures and circumstances and concluded that for 49 of them there was sufficient evidence of carcinogenicity in man The following occu
148. schutzimpfung bzw das Vacciniavi rus eine seit Jahren bestehende rheuma toide Arthritis aktualisieren oder ein Rezidiv ausl sen kann gibt EHRENGUT 1970 an da ein enger Zusammenhang zwischen Impfung und Manifestation einer derartigen Arthritis beobachtet worden ist sowie da nach der Impfung mit einer Verschlechte rung des derzeitigen Zustandes gerechnet werden mu A d faut d tre probantes ces coinciden ces et analogies sont troublantes et doivent veiller les soup ons ll est possible d accumuler d autres argu ments indirects en faveur de l tiologie in fectieuse de l arthrite rhumatoide C est ce que fait Nathan J ZVAIFLER in Arthritis and Allied Conditions Je ne cite que la conclu sion il apparait dans l tat actuel des re cherches que la maladie ou les maladies que nous appelons arthrite rhumatoide se r v lera due l exposition de certains indivi dus poss dant une constitution g n tique particuli re un agent infectieux La mala die pourrait r sulter d une r ponse immuni taire inappropri e un agent ubiqui taire II est galement int ressant de tirer des parall les avec une maladie postinfectieuse articulaire dont on connait le germe le rhu matisme articulaire aigu Dans cette maladie on observe de curieux ph nom nes qui peu vent fournir des points de d part des r flexions sur l arthrite rhumato de Les ci tations proviennent d Angelo TARANTA in Art
149. scription simultan e d autres substances sympathicomimetiaques Utilisation au cours de la grossesse Bien qu aucun effet deletere ne soit appatu chez animal on Ad A cipe d administrer le Duovent durant les trois premiers Ma s de la gfossesse Au couts de la p tiode precedant imm diatement l accouchement ul conuient de tenit compte du fait que le fenoterol exerce galement un effettocalytraue Effets secondaires A gt Auges Au dosage tecammange on ny constate du excephannellement des eftets secondaires Qe type 5 rmpathicsmimetique ef pratiquement aucun ettet secontiate de Nature anticholinergique A dose eleven Du Chez des patents presentant ne sensibilite particuli re aux S mpathicomimetigues on pouta observer des tremblements digitaux des palpitations cu de l agitation l Rarement on Vot Sutzenmit a titre de reaction tocale une secheresse buccale OU n cas de projection dans les jeux des troubles moderes etreversibles de l acco nm5dation asyelie D Surdosage et antidote En cas d intoxication par une dose Massive les Sympt mes principaux de sur dosage sont essentiellement ge caractere sympathicomm tique On admi nistteta des tors en tant qu anat Seeha ie une substance b ta lytique Dans ce Cas faut fOutetcss prendre on consideration reventuahte dune aggravation de i obstt chion bronchique chez des patents souffrant d une atfecton bronchospastique ze Posologie Adultes et entants au Jessus de 6 ans 1 bou
150. se Cette augmentation de la concentration de sodium a galement pour effet d augmenter l excr tion potassique au niveau du tubule contourn distal o cet ion est chang contre une partie du sodium en exc s L action diur tique d pargne potassique de l amiloride s exerce directement au niveau du tubule contourn distal du n phron en inhibant l change d ions de Sodium et de potassium et donc en augmentant l g rement l effet natriur tique tout en pargnant le potassium La biodisponibilit orate du furos mide est de l ordre de 60 Sa liaison aux prot ines plasmatiques est sup rieure 9595 La demie vie plasmatique du turos mide est de l ordre de 0 5 1 heure Son activit se maintient pendant 4 6 heures l excr tion r nale s effectue sous forme inchang e ainsi que sous forme glucoroconjugu e La biodisponibilit orale de l amiloride est de l ordre de 25 et sa demi vie plasmatique de l ordre de 5 10 heures Son activit qui se manifeste dans les 4 heures qui suivent son administration se maintient pendant 12 24 heures Il est limin sous for i me inchang e par voie r nale et par voie h patique dans des proportions similaires l association de ces deux principes actifs teile qu elle se pr sente dans te m dicament FRUSAMIL ne modifie pas les caract ristiques pharmacocin tiques de l un et l autre de ces composants Indications Oed mes 7 Hypertension Posologie et mode d emp
151. sible les pargneurs potas siques peuvent tre utilis s en cas d hypokali mie cf Effets ind sirables Association deconseillee f noxedil lidofla zine pr nylamine vincamine risque de survenue de tor sades de pointes Utiliser des susbstances ne pr sentant pas l inconv nient d entrainer des torsades de pointes en cas d hypokali mie Association faisant l objet de pr cautions d emploi Antiarythmiques donnant des torsades de pointes l hypokali mie est un facteur favorisant l apparition de torsades de pointes au m me titre qu une bradycardie et un espace QT long pr existant Pr venir l hypokali mie et au besoin la corriger surveiller l espace QT en cas de torsades ne pas administrer d antiarythmique mais pratiquer un entrainement lectrosystolique Autres hypokali miants amphot ricine B voie I V gluco et min ralocorti coides par voie g n rale t tracosactide laxatifs stimulants risque major d hypokali mie par effet additif Diur tiques hyperkali miants l association rationnelle utile pour certains patients n exclut pas la survenue d hypokali mie ou en particulier chez l insuffisant r nal et le diab tique d hyperkali mie Digitaliques effets toxiques des digitaliques favoris s par l hypokali mie Surveiller la kali mie l E C G et s il y a lieu reconsid rer le traite ment Effets ind sirables On a signal asth nie polla kiurie Des hypokali mies sans
152. so la valeur de l arthroscopie explora trice et ses possibilit s th rapeutiques Suivent d s lors les expos s de technique op ratoire L paule rhumatismale est trait e comme une entit part s m iologique m dicale avec Ses indications op ratoires sp ciales Un chapitre concernant la r ducation fonctionnelle la fois de l paule douloureuse simple et de la conduite sp cifi que post op ratoire pour les diff rentes techniques op ratoi res utilis es avec une abondante et pr cise documentation iconographique cl ture ce 33 cahier d enseignement de la SOFCOT Les auteurs qui traitent les diff rents chapitres sont de renomm e internationale Bien plus l ouvrage repr sente une mise au point d actualit des l ments cliniques radiolo giques scannographiques arthroscopiques et de technique op ratoire dans le cadre de l tude des instabilit s de l paule chapitre trait par Chr GERBER de l Universit de Berne comportant en cons quence les l ments th rapeuti ques qui en d coulent Les probl mes pos s par l paule douloureuse chronique du sportif sont trait s par le Profes seur MANSAT de Toulouse qui en fait une analyse clinique pr cise minutieuse et qui cite les moyens d exploration pour les pr ciser au plus haut degr afin de permettre une th rapie appropri e permettant de maintenir l activit sportive car sinon c est l abandon pur et simple auquel le sportif aura se r
153. spezifisch behandeln Urospasmon Hohe Erregerempfindlichkeit bei geringem Risiko daher auch bei Banalinfekten einsetzbar EURER UIT Urospasmon Urospasmon sine besonders geeignet zur besonders angezeigt sal s Behandlung des schmerz chronischen Infekt un haften Infekts zur Langzeittherapie fog tten in der Uro ionen Akute und chronische Harnwegintektonen Pyelonephritis zur Inleklionsprophylane bei diagnostischen und un mm ofurantorn a Kontraindikationen Ein rani n Ol gurie Anune Urame Miete arr Storan dem und zusatzi teche onen gren Fieberschube Exanthem Cholestase pulmonale Reakt an Anam en Paraesthesie DELI Hinweise Um die erforderhche laghche Harnmenge von 1 51 2u gewahrleisien ist es zweckmaflig eine Datcnipulengsiharapie md SOLUBITEN information umsertig durchzuluhren das kein Hesamethylentelramin enthalt Weitere Informationen enthalten die wissenschaltin Urospasmon Urospasmon sine Urospasmon sine pro infantibus UL WIRD DO LN And DEE z usammense trung Zusammensetzung Zusammensetzung 1 Tablette Nitrofurantoin 50 mg Sulfad az n UMANN an HE 1 Kapsel Nitrofurantoin 50 mg Sullad az n TKapse Nitroluranlon 12 5 mg 5u Arzneimittel 150 mg Phenazopyridin 50 mg 150mg 37 5 mg Handelsformen Handelstormen Handelsform NEL F 20 Tabletten m 20 Kapseln cD 50 Kapseln ne N RNBERG 50 Tabletten 50 Kapsein Eee kun Anstaltspackungen
154. ssant de disposer d un groupe t moin pour valuer leur juste valeur les consid rations d effica cit mises par les patients et leurs m de cins cependant il y a peu de doute que l accueil de ce produit a t favorable dans les deux cas et qu il y a une majorit pour estimer que son utilisation apporte une am lioration sur le plan th rapeutique par rapp ort aux m dications ant rieures Notons enfin que les effets secondaires observ s dans cette tude principalement d ordre digestif semblent des plus mod r s Nous remercions les m decins suivants d avoir bien voulu collaborer cette tude M Oussard R Schneider R Friederici G Ries I Spitters J Beissel L Birmann R Nosbaum C Pesch E Rauchs A Svatos M Walenta R Wirion J Bormes M Schmit J P Kremer Nous remercions galement M P Reckel de son aide SUMMARY Epidemiology of hypercholesterolemia in the Grand Duchy of Luxembourg was stu died by the mean of a questionnaire filled out by 17 physicians 113 patients 50 men and 63 women were recruited 43 patients had an isolated hypercholesterolemia type lla and 63 patients had a type lib Analysis of associated risk factors showed large va riations 13 296 of patients had diabetes 61 were sedentary However 33 5 of patients had at least one associated risk factor The nutritionnal assessment showed the well known dietary errors A two month s treat ment with ciprof
155. st me ex citateur non cholinergique sont la substance P les neurokinines A et B le neuropeptide K et le CGRP calcitonin gene related pep tide I La substance P S P EULER et GADDUM 30 avaient isol en 1931 partir du cerveau et de l intestin du cheval une substance Partie purifi Pega i cteur en pa le nom de substance P En 1970 CHANG et LEEMAN 16 ont isol de hypothalamus de boeuf un und capeptide et ont d montr son homologie avec la substance P La substance P S P est retrouv e dans le cerveau et la moelle ou elle interviendrait dans la transmission des sensations doulou reuses Elle est galement pr sente au ni veau des terminaisons nerveuses sensitives amy liniques fibres C et peu my linis es fibres A delta Dans le poumon il existe des fibres ner veuses contenant de la S P pr s des fibres musculaires lisses dans les terminaisons sensitives des r cepteurs Virritation irri tant receptors situes sous les Jonctions ser r es des cellules pith liales et enfin dans l adventice des vaisseaux pulmonaires et bronchiques Les fibres contenant de la SP sont pr sentes d une extr mit l autre des voies a riennes mais sont plus nombreuses au niveau de la trach e et des grosses bron ches 1 Effets bronchiques de la substance P In vitro la S P provoque la contraction de la trach e du cobaye En a rosol elle en traine chez le cobaye une bronchoconstric t
156. stance P in the lower respiratory tract of the rabbit and not of man Thorax 1983 38 531 536 LAITINEN A Ultrastructural organisation of intraepi thelial nerves in the human airway tract Thorax 1985 40 488 492 LAITINEN L A LAITINEN A Innervation of airway smooth muscle Am Rev Respir Dis 1987 136 N 4 Part 2 S 38 S 42 LAZARUS S C BASBAUM C B BARNES P J GOLD W M Mapping of vasoactive intestinal pep tide VIP receptors using cyclic AMP c AMP immunocytochemistry Am Rev Respir Dis 1983 127 N 4 Part 2 274 LUNDBERG J M TERENIUS L HOKFELT T Neuropeptide Y NPY like immunore activity in peripheral noradrenergic neurons and effects of NPY on sympa thetic function Acta physiol Scand 1982 116 477 480 LUNDBERG J M MARTLING C R SARIA A Substance P and capsaicin induced contraction of human bronchi Acta physiol Scand 1983 119 49 53 LUNDBERG J M FAHRENKRUNG J HOKFELT T MARTLING C R LARSSON O TATEMOKO K ANGGARD A Coexistence of peptide HI PHI and VIP IN nerves regulating blood flow and bronchial Smooth muscle tone in va rious mammals including man Peptides 1984 5 593 606 LUNDBLAD L SARIA A LUNDBERG J M ANGGARD A Increased vascular permeability rat na sal mucosa induced by substance P 52 53 54 55 56 57 58 59 60 and stimulation of capsaicin sensitive trigeminal neurons Acta Oto
157. t galement annonc une autre voie par leurs propri t s chimiotactiques puissantes sur les polynu cl aires neutrophiles et osinophiles En effet bien d autres m diateurs chimiotactiques sont lib r s par les mastocytes au cours de la r action allergique dite imm diate et appellent vers les bronches des bataillons d osinophiles de neutrophi les de macrophages et de lymphocytes cellules elles m mes de nouveau capables de lib rer secondairement sur place des m diateurs tropisme cellulaire entre autre des lympho kines On s est rendu compte que la r action asthmatique imm diate qui survient de quel ques minutes une demi heure apr s le contact allergique d clenchant est souvent second e 6 12 heures plus tard d une nouvelle crise asthmatique plus s v re et plus durable encore Cette r action retard e fait suite l infiltration cellulaire au niveau des muqueuses bronchiques et s accom pagne d une nouvelle lib ration de certains m diateurs et cela sans nouveau contact allergique Ainsi la r action imm diate es sentiellement broncho constrictrice est sui vie d une r action secondaire cellulaire in flammatoire En cas d expositions allergi ques r p t es m me des doses inflaclini ques on aboutit progressivement une in flammation et une infiltration cellulaire bronchique chroniques Une autre constatation capitale est que la phase inflammatoire cellulaire secondaire va de pair une hy
158. t oblique vers l avant et le bas dans corps vert bral de C2 et l ger d placement an t rieur fracture de la 6 c te gauche avec contusion pulmonaire Mise en place d une traction avec trier de Crutchfield Interven tion le 10 2 89 Excellent r sultat neurologi que et fonctionnel DISCUSSION Les probl mes pos s par les fractures de l odontoide sont actuellement bien connus De nombreuses tudes exp rimentales et cliniques ont t r alis es Le pronostic ap parait diff rent en fonction du type de la l sion La classification la plus utilis e est celle d ANDERSON 1 bas e sur la hauteur du trait de fracture alors que ROY CAMILLE 10 pense que le pronostic est plut t li la direction du trait de fracture et de la stabi lite Quoiqu il en soit les avis restent par tag s en ce qui concerne le choix du traite ment 10 Comme la plupart des auteurs qui les premiers ont rapport cette technique le vissage direct de l odontoide nous apparait comme la technique qui donne les meilleurs r sultats 3 5 Agissant directement sur les fragments fracturaires elle permet une con tention en position anatomique optimale donc meilleure chance de consolidation Son plus grand avantage est repr sent par la pr servation d une mobilit normale de la charni re cervico occipitale li e au non re cours une arthrod se C1 C2 des techni ques propos es ant rieurement et une des raisons principales de r
159. t sans aucun doute de l exp rience la plus vaste avec une tude tres d taill e sur les r sultats obtenus dans les diff rents groupes l sion nels et ceci par rapport aux id es tiologi ques voluant au fil des ann es Un int ressant chapitre covronne cet ex pos en d crivant les limites des tentatives de r paration chapitre qui expose n an moins les r cents proc d s envisages Le Professeur FOURNIER expose les aspects m dicaux de l paule rhumatis male avec une parfaite iconographie et le Professeur MANSAT compl te par les indi cations chirurgicales ce m me chapitre qui est trait comme une entit part Cet ouvrage repr sente une valeur la fois encyclop dique et d actualit ce qui en fait comme l indique Charles S NEER II le Pr sident de l association am ricaine pour la chirurgie de l paule et du coude en septembre 1988 un must pour tous ceux appel s s occuper du probl me de l paule douloureuse chirurgicale Gastrosil lt gt Tropfen Gastrosil 5O Injektionsi sung Gastrosil Ampullen Gastrosil Z pfchen f r Kinder und Erwachsene Gastrosil Tabletten Gastrosil retard Kapseln neu Gastrosil retard mite Kapseln gt 10 mg Metoclopramidhydrochlorid 1 ml Losung Zusammensetzung Gastros l 1 Tablette enthalt Metoc AA fur Erwachsene enthalt Meto 17 Tropfen enthalt Metoclopram dh t A i1 2 5 67 ma M pramid 10 mg Polidocano drochl
160. te Behandlung TS Were mit Echinacin Igel seine Stacheln nach allen r Madaus Dr Madaus Seiten ausstreckt um sich gegen eine Gefahr zu sch tzen so besch tzt Sie Echinacin Dr Madaus Diese Pflanze stimuliert und verbessert das Immunsystem Echinacin Dr Madaus wird aus dem Press Saft der frisch bl henden Igelkopf Pflanze Echinacin Echinacea purpurea gewonnen Es hat sich gezeigt da die besonders schonende Verar beitung der Pflanze im Frisch zustand so wie dies bei Echinacin Dr Madaus angewen a a FE en LA LE det wird zu einem Pr parat f hrt mit dem groBe Heil 3 er i erfolge erzielt werden k nnen F RBEN 4 chinacin a k D Zusammensetzung ER 3 Banmansetzung gt 1 Ampas ESS SM Echinacin a ea 1 Ampulle Echinacin zu 2 ml enth lt 0 1 9 ur A x Sehnen ic Pre saft aus Herba recens Echinaceae A o eene 1262 Ba m 3 Fe Pr paraten y Y purpureae 1 E oe or 100 g Echinacin Liquidum enthalten 800 g io Pre saft aus Herba recens Echinaceae A Be purpureae Y 100 g Echinacin Salbe enthallen 160 9 A Pre saft aus Herba recens Echinaceae purpurea i I nicht ange en n Korbblutler Vertretung Integ ral S A wendet werden bei bekannter Allergie gege itle L 2339 Luxemburg Echinacin Dr Madaus ist Tropfen f r Madaus AG D 5000 K ln 91 Tropfen nat rliche Abwehrkraft die auch E von Kindern eingenommen werden kann Apothekenpflichtig In Eugen HAAGEN
161. te de 38 observa tions Th se Lyon 1988 65 Anat I u em 7e AJE ANE n O 25 ur Crt 2 OT LAL je 20 ma T5 me 7 79 lables ICI Pharma Schaessestraat 15 9120 Destelbergen 091 56 02 11 Lettre l diteur Le virus vaccinal et l arthrite rhumatoide Bull Soc Sci M d p 67 N 1 1990 Cher Confrere Le virus vaccinal est sorti de la sc ne pid miologique apr s avoir jou le r le que nous lui connaissons celui de vaccin vainqueur de la variole Est ce tout Peut tre Le virus vaccinal a t suspect de jouer un r le d terminant dans la gen se de l arthrite rhumatoide Dans une enqu te il faut en effet suspecter tout le monde m me les bienfaiteurs Or dans le livre r cent de Luis ESPINOZA Infections in Rheumatic Disease Grune and Stratton 1988 le virus vacci nal chappe cette suspicion Si Espinoza parle peu des rapports de la vaccine et de l arthrite rhumatoide c est qu il n y a pas eu de travaux r cents sur la question Raison suffisante pour y revenir Si l arthrite rhumatoide a une tiologie infectieuse le germe en cause doit tre un germe ubiquitaire la maladie tant r pandue peu pr s galement sur tout le globe II est entendu en outre que le terrain toujours important devrait jouer un r le particulierement important dans ce cas tant donn que la maladie ne se d veloppe que dans 1 3 6 de la population Des ge
162. tion excessive PRUSAMIL doit tre administr avec la plus grande prudence chez les patients ag s et chez ceux pr sentant des risques d obstruction des voies urinaires ou des troubles pouvant entra ner des d sordres lectrolytiques jents digitalis s tes Une attention particuli re est galement requise pour les patients digitalis s insuffisants r naux les insuffisants h patiques les diab tiques et les patients ayant des ant c dents de goutte ni ire d arr ter te traitement i n es rash prurit il est n cessaire d arr ter te traitement i convient de Surveiller i t matopolese par des examens p riodiques pendant le traitement les diab ti ire d augmenter les doses d hypoglyc miants chez les ques Deen les Smnpernatreme d hyponatr mie d hypochlor mie et d augmentation de l azot rie existent en cas de diur se prononc e surtout chez les patients gravement malades Il convient donc de surveiller troitement les lectrolytes i 1 les patients sanguins et I ae suffisante cardiaque chez des patients du 3 age peut ta ment mener une diminution de la clairance de la cr atinine 20 ml min ceci contre indique l utilisation du FRUSAMIL d taut ae suffisantes FRUSAMIL ne sera pas administr pendant la grossesse et la lactation Interactions Inn i it les ri d hypokali mi i de au furos mide r duit tes risques yp mie FRU SA ML mide I Convient cependant de tenir compte des interactions propres
163. tiple et sont suivies d un commentaire faisant le point du sujet donn avec 2 3 r f rences bibliographiques Les critiques que l on peut faire sont le caract re un peu trop pi ge de certaines questions mais aussi que quelques lit 79 references bibliographiques concernent des journaux et brochures fran aises pas tou jours accessibles au praticien tranger Dans l ensemble ce manuel est des plus int ressants tr s amusant lire on est vite pris au jeu des questions et les commentai res sont des plus instructifs La lecture de 80 ce petit manuel peut donc tre recom mand e tout m decin s occupant d tats d urgence de toutes disciplines qu il s a gisse de SAMU d anesth sie de cardiologie ou de m decine interne Il est actuellement propos pour 117 FF BRONCHODILATAT ION EQUILIBREE Duovent fenoterol 4 ipratropium le bronchodilatateur double action Composition Une bouff e contient 0 1 mg de bromh ydrate de fenoterol et 004 mg de bromure d ipratropium Propri t s Le fenotero est un bronchospasmolytique puissant stimulant les recepteurs b ta 2 adr nergiques ll agit s lectivement au niveau de la musculature bron chique et ut nne Ses effets card o vascula res sont taibtes De ptus le teno tero stimule le transport mucociliaite et exerce un effet antiallergique En inhalation par a rosoi doseur Berotec i la dose unitaire recommandee est de
164. tive intestinal pep tide on smooth muscle tone and mucus secretion from the ferret trachea Br J Pharmacol 1987 91 139 148 61 Kompetent f r die klinische Ern hrung Salvia Infusionen Das moderne Konzept f r die parenterale Versorgung Ihrer Patienten e Praxisgerechte Ern hrungsregime e Individuelle Kombinations m glichkeiten e Umfassendes Programm Salvia Di tetica Das komplette Programm f r Ihre enterale Ern hrungs therapie Innovative Produkte Vollwertige Ern hrung e Sichere Anwendungs technik Ihre speziellen Fragen beant ir gern worten wir 9 Bitte schreiben Sie uns Salvia Werk GmbH D 6650 Homburg Saar Le cystad nolymphome de la parotide M WAGENER Service ORL Clinique Ste Marie Esch sur Alzette Bull Soc Sci M d p 63 N 1 1990 INTRODUCTION 8096 des tumeurs des glandes salivaires touchent la paro tide 10 la glande sous maxillaire 1 la glande sublinguale et 9 les glandes salivaires accessoires voile du palais joue l vres 1 tumeur sur 5 est une tumeur maligne alors que pr s de la moiti des tumeurs de la glande sous maxillaire sont malignes 90 des tumeurs de la glande sublinguale sont malignes DEFINITION La classification anatomo pathologique de l OMS 2 dif f rencie 1 les tumeurs d velopp es partir de la parotide elle m me 2 les tumeurs d velopp es partir des structures non glan dulaires de la l
165. tivement 6596 pr sentent une MDS de type ou Il La deletion 5q q13 q33 est la plus fr quente 75 des cas 8 Les analyses r centes ont permis de locali ser au bras q du chromosome 5 les g nes codant pour GM CSF IL 3 multi CSF 11 4 CSF 1 et le r cepteur CSF 1 Les g nes codant pour l rythropoi tine et le facteur chimiotactique des neutrophiles se locali sent au chromosome 7 10 Tableau r capitulatif blastes blastes 44 w Type sang moelle sid roblastes monocytes dyspoi se I RA 1 5 15 normal II RA S 196 5926 1596 normal IN RAEB 5 5 20 variable normal IV CMML 1 1 20 variable augmente V RAEB t 5 10 20 30 variable variable DEED EE E Tableau Il en Alterations uniques les plus frequentes n__n 5 8 del 5q del 5 9413 q33 12p del 7q ipa del 11q te Li nomalies chromosomiales en soi ne semble pas interf rer avec la survie tients mais bien pour l volution en leucose aigu 9 Les anomalies etrouv es pour des MDS induites post chimioth rapie sont souvent multi t int r ssent dans la moiti des cas les chromosomes 5 et 7 La pr sence d a m diane des pa chromosomiales r ples et complexes e Tic ET EVOLUTION NATURELLE DES MDS 141 patients atteints de MDS durant 4 132 mois l valuation a t l inclusion du dernier malade 11 V PRONOS MUFTI et al ont suivi effectu e 4 mois apres 31 Harnweginfekte kompromisslos und
166. tonin gene related peptide is loca lised to human airway nerves and pot 61 62 63 64 65 66 67 68 69 ently constricts human airway smooth muscle Thorax 1987 91 95 101 PALMER J B D BARNES P J Neuropeptides and airway smooth muscle function Am Rev Respir Dis 1987 N 4 Part 2 S 50 S 54 PAYAN D G LEVINE J D GOETZL E J Modulation of immunity and hypersen sitivity by sensory neuropeptides J Immunol 1984 132 4 1601 1604 PAYAN D G BREWSTER D R MISSIRIAN BASTIAN A GOETZL E J Substance P recognition by a subset of human T lymphocytes J Clin Invest 1984 74 1532 1539 PAYAN D G GOETZL E J Modulation of lymphocyte function sen sory neuropeptides J Immunol 1985 135 2 783s 786s PEATFIELD A C BARNES P J BRATCHER C NADEL J A DAVIS B Vasoactive intestinal peptide stimulates tracheal submucosal gland secretion in ferret Am Rev Respir Dis 1983 128 89 93 RAUFKHAN A BENGTSSON B LINDBERG S Influence of substance P on ciliary beat frequence in airway isolated prepara tion Eur J Pharmacol 1986 130 91 96 REGOLI D ESCHER E MIZRAHI J Substance P structure activity studies and the development of antagonists Pharmacology 1984 28 301 320 REGOLI D D ORLEANS JUSTE P ESCHER R MIZRAHI J Receptors for substance P I The phar macological preparations Eur J Pharmacol 1984 97 161 170 REGOLI
167. tude des relations structure activit tant au ni veau des neuropeptides que des substances antagonistes permettra peut tre d viter certains effets ind sirables observ s Des mol cules agissant au niveau des r cepteurs pour les tachykinines pourraient aussi constituer une perspective th rapeuti que d avenir 3 Mol cules modifiant 1a transmission au niveau synaptique La meilleure connaissance des ph no menes de transmission transmetteurs et co transmetteurs laisse esp rer la mise au point d agents pharmacologiques nouveaux utilisables au niveau du syst me nerveux mais aussi de l appareil respiratoire Quelles que soient les mol cules tudi es il faudra arriver modifier leur demi vie et leur biodisponibilit car les neuropeptides naturels ont des demi vies tr s courtes et une biodisponibilit m diocre De telles mo difications ont d j pu tre r alis es avec les analogues de la vasopressine et de la somatostatine On peut donc raisonnable ment esp rer d autres succ s avec des ago nistes ou antagonistes d autres neuropepti des CONCLUSION A c t des m diateurs classiques des SyS t mes sympathique et parasympathique on connait maintenant de nombreux media teurs du systeme non adrenergique non cholinergique les neuropeptides Neuro m diateurs classiques et neuropeptides co existent au niveau des terminaisons nerveu ses Les neuropeptides semblent Jouer un r le majeur dans la co
168. ue de la g lule g latine oxyde de titane oxyde de fer jaune rythrosine Propri t s Antihypertenseur d riv de la furopyridine La mol cule possede un effet salidiur tique plus marqu des posologies sup rieures ou gales 100 mg jour Elle poss de en plus une action vasculaire propre mise en vi dence en pharmacologie animale et en pharmacologie clinique Indication Hypertension art rielle essentielle Contre indications Insuffisances r nale et h patique s veres GROSSESSE Dans l esp ce humaine en l absence de donn es cliniques le risque n est pas connu Pr cautions d emploi Etant donn l action salidiur tique du produit la surveillance de la kali mie sera par ticulierement attentive chez les sujets en hypokali mie et chez les sujets sensibles ou pr dis pos s une hypokali mie Dans l insuffisance r nale il est conseill de ne pas prescri re le produit si la clairance de la cr atinine est inf rieure 30 ml mn 1 73 m ceci en raison des modifications de la distri bution de la mol cule dans l or ganisme engendr es par cette affection Une augmentation des apports liquidiens est recommand e en d but de traitement particulierement chez les sujets hyperuric miques Interactions m dica menteuses Synergie avec les autres antihypertenseurs l exception des autres diur tiques hypokali mants avec lesquels l association n est pas rationnelle Association pos
169. uler la lib ration de l autre L ac tylcholine in hibe la lib ration de VIP et inversement 12 Ces interactions entre neurotransmetteurs classiques et neuropeptides rendent plus complexe encore la notion de transmission de l influx nerveux PERSPECTIVES TH RAPEUTIQUES L existence de neurotransmetteurs pepti diques laisse entrevoir des perspectives th rapeutiques nouvelles Bien entendu les agonistes ou antagonistes des ee des sont pour l instant du dome de a recherche 67 69 On peut N matique ment distinguer plusieurs types de mol cu les mE 1 Mol cules modifiant le syst me inhibi teur non adr nergique La mise au point de mol cules d rivant du VIP ou stimulant les r cepteurs au VIP per mettra peut tre d obtenir des nn peutiques broncho dilatateurs 2 va de m me pour les substances d rivant du 2 Mol cules modifiant le syst me excita teur non cholinergique De la m me facon des Mages bron chodilatatrices pourraient t er a partir d antagonistes des tac N es e D tamment de la neurokinine de a stance P Cependant les me ac n ellement efficaces sur des preparations de isse bronchique sont galement hi muscle lisse a concer ls Alle r N xig dri que l activit histamino substance rs li e l extr mit N ter lib ratrice est surtout minale de la mol cule tandis que l extr mit C terminale intervient dans l activit bron choconstrictrice et vasodilatatrice L
170. urantes Type IV Leuc mie my lomonocy Fa eno nique CMML u L inclusion de cette pathologie t mo tiv e par la pr sence de tous les edu m dysmyelopoiese repris de iis ail leurs on note une monocytose meduf lre et p riph rique lysozyme s rique d bii d augment e le nombre de blastes e ria ble mais inf rieur 20 Ce type de MDS se rencontre plus frequemment chez des per sonnes jeunes Type V An mie r fractaire avec exces de blastes en transformation RA EB t Les criteres sont identiques pour les types I et Il mais le nombre de blastes sanguins d passe 5 10 et de blastes m dullaires 20 Des corps d Auer ont t d crits chez quelques patients le passage en leucose aigu est fr quent 4 IV Anomalies chromosomiales dans les MDS Chez des patients atteints de MDS pri maire des anomalies caryotypiques des cel lules m dullaires sont retrouv es dans 40 70 selon les s ries ceci est moins fr quent que dans les leuc mies aigu s non lympho blastiques LANL de novo 70 95 De plus les anomalies typiques des LANL savoir la t 15 17 de la LANL M3 la t 8 21 de la LANL M4 et la t 16 16 de la LANL M5 ne sont pas retrouv es Pour les MDS les modifications les plus fr quentes sont la deletion 5q 8 la del 7q et la trisomie 8 retrouv es isol es ou en association ta bleau Il Le syndrome 5q se retrouve chez des femmes g es de plus de 50 ans dont approxima
171. vantage les triglyc rides que le taux de cholest rol La majorit de tout le groupe consomme r guli rement des graisses ani males et des sucres d absorption rapide Enfin 6196 des patients sont consid r s comme s dentaires Les r sultats de cette tude pid miologi que font ressortir la n cessit de modifier en premier lieu l alimentation et le mode de vie de ces patients la n cessit d liminer les facteurs de risque associ s et la n ces sit pour les patients avec les hypercholes t rol mies les plus lev es d un traitement m dicamenteux efficace 2 ETUDE THERAPEUTIQUE RESULTATS Comme le montrent les tableaux 2 et 3 le cholest rol total moyen avant traitement tait de 324 6 43 mg dl et le taux de triglyc rides totaux de 198 64 111 mg dl Apr s deux mois de traitement le chol st rol moyen tait de 260 41 85 mg dl et les triglyc rides totaux 136 636 72 111 mg dl Les r sultats de deux mois de traitement de cet chantillon peuvent se r sumer comme suit 1 Evaluation finale par le patient sur 105 avis exprim s l activit du produit est consid r e comme tr s bonne dans 49 des cas bonne dans 30 moyenne dans 14 et nulle dans 6 En ce qui concerne la tol rance sur 106 avis exprim s celle ci est consid r e comme tr s bonne dans 77 des cas bonne dans 17 des cas moyenne dans 4 des cas et nulle dans 2 2 Chez 35 patients on a pu comparer l effi cacit
172. yd esnoeujoA aouesynsul j op xnajorpn quouo 83 un oju9892d0J 91 0 UO10U9A Ol BINSBA tunjjgujopue INS 1n9 29 0Jd 39440 un nb euigui ep So A90141 19 SOP 19 SOIADOQWOsY SOP uole69188 j ep JNOYGIYU I jaye un juotuo oB9 9JIUOUJ B 9110j UO NJOUSA SOUUDIUNO2 SOLLINDISBA UO 8JQ J9 D nO Ojd3J91j O DUJ 9 SJHNIHEUOH SIANO op enbjuo4u9 eenaujea e2usspjnsujp jUBJJJnos ejuoped xneJquiou ep ZOYI Ja xngjueuj19dxe sejopou sjusJ9jJIp JBC segJjuourop 919 quo 89191 do d 509 ol qeewed ej es auou Jo o2ueis S9J By ejueuOne juop S01 811 d89 sop 018d Bj INS J9 9 UOL 9279X0 GUOJ LOINIOUGA duo pe s bdjoxa Bur gos Bapjsojns jAyjeAxospAy g Quojyjeodwoeg eBuojo1d uawa un p uojdp2so1d ej 10100 19 9 910 U IQ 186 9110J UO La S P augmente la s cr tion de mucus Chez le chien COLES 20 a montr qu elle augmentait la s cr tion de glycoprot ines au niveau de la trach e Par contre la S P n a pas in vitro d effet sur la fr quence des battements ciliaires comme l a montr RAUFKHAN 66 2 Effets vasculaires de la substance P La S P augmente la perm abilit vascu laire et poss de une action vasodilatatrice tr s nette 27 Chez le rat LUNDBLAD 51 a montr qu apr s injection I V ou admini stration locale elle augmentait la perm abi lit vasculaire et provoquait un oed me au niveau de la muqueuse nasale Chez l homme DEVILLIER 25 a tudi la r acti vit nasale la S P administr e localement Cett
173. yma Galen Editorial ASTHME HYPERREACTIVITE BRONCHIQUE NEUROPEPTIDES Dr F HENTGES Departement d immuno Allergologie Centre Hospitalier de Luxembourg Bull Soc Sci M d p 5 N 1 1990 Depuis une vingtaine d ann es nos connaissances physio pathologiques de l asthme bronchique affection commune touchant plusieurs pour cent de la population g n rale se sont prodigieusement enrichies et profond ment modifi es au fur et mesure des progr s des recherches scientifiques dans ce domaine Les concepts physiologistes du d but consid rant l hyper vagotonie et le d ficit en r cepteurs b ta comme facteurs cl s dans la gen se de l asthme bronchique sont d pass s La d couverte de l immunoglobuline E dans les ann es 70 et le concept de la r action allergique classique de type I selon Gell et Coombs ont mis l accent sur le r le des mastocytes et de l histamine dans la r action imm diate de l asthme allergi que Ils ont surtout marqu le d but de l aire des investiga tions sur le r le des cellules inflammatoires et de leurs moyens de communication et d ex cution les m diateurs de l allergie et de l inflammation dans l asthme bronchique D abord les prostaglandines et les leukotri nes m diateurs secondairement lib r s par les mastocytes sont venues lar gir le sc nario par leurs propri t s broncho constrictrices parfois plus puissantes que l histamine concentration qui molaire mais elles on

1990.1 - ssm.lu

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