décontamination en endoscopie - Banque de données en santé
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1. s o var ee S e ds RE NS AAA A R ES E e AAA Re eee e gaa A e KO TE RE e e 8 ES ne a Pe r s ses A PES pay ENTI Jp TELE e A eee w etes DORE A ET TE EAR ss LA Ida DAS RTS n amarore a LE Ge y means DARAS Se de 6 A de ec Ak 6 de a e e e RADA AR Le PTI ie aii EEE EEE kd RR PEE zar seo onpas A aia es e De IR MERR a ERA Qe See A Q iae s pete xe 4e EN o pe ge do se a yo U so ye s Annah e amei oR q tAE e M S T alin WAR pre RIA 2 PLANS ed es me FLE TETE ra pe re Ars M aap W Jn e 09 En ee vi wO 0 pet 2 PP e A PALOS gt re Sa ec 98 e A gt ee y Ya CN I ao ae E TEO Pa O ve A EEE EE PRET PEER El 13 ym qn ES oO ee A o n L on y de 2 58 tQ ee A e CE ET a Die e a er k p 2 0 8 A des De ade 2 mn se t 8 mo e ERA TP VE NE o e 4 r PAS RAD EE 3d 4 pa RANT a porte Pe e ra S e A O me TD AS eus e e de A QUA A E A are do o e ANT a A DL pee QE amp a QE wt nes o e xaO ea Er m de A a pe CT FE SAR c eS pi as 2 Qe gt Ves eE e spe de Ton 9 de es de ah q AAA Que ee AN se Se A e AA a ta e DARLE ae daww e s re SA UE son Ve PA A en ee ES ee RE i gt A ds r Qs a Por y a De A e Fa pkar gt IEN att De a o PARAR ae aae ar My ds E 5d eee e eo CE vato Des a AR EN pe Ga sO ue lt Q Y Qe A a a ea 2 Ce E a 5 i ee ei ya De as ee hon dip 6 1 oeg DEA ru ie iR E E D o ona Ne wi e DD PS RE ER De mme Se ee mm2. Analyser les donn es afin de pouvoir interpr ter les r sultats et d terminer le pourcentage d infection taux d incidence Agir c est dire la prise de mesures pour limiter l extension de l infection faut galement mettre en route une enqu te pour d terminer les causes de infec tion On ne doit pas oublier l valuation qui permet de mesurer l efficacit des mesures mises en place 2 Fonctionnement de notre programme de surveillance 9 AR pa me PRET Pour mettre en place notre programme de surveil lance nous avons donc suivi la m thodologie que nous venons d exposer 2 1 Le recueil des donn es Nous avons tout simplement compt le nombre de malades 1 Ayant subi un examen endoscopique 2 Ayant t op r s en chirurgie endoscopique Nous avons pu profiter de la collaboration de infir mier pid miologiste du Centre Hospitalier d Arles qui nous a aid s pour faire ce recueil Deux sortes de recueils peuvent tre et ont t utilis s le recueil passif qui d pend de la d claration spontan e de l quipe m dicale le recueil actif c est l infirmier pid miologiste qui recueille syst matiquement les l ments pouvant tre en rapport avec une infection nosocomiale 6 Ibid pp 81 82 7 Op cit p 39 p 28 O A UA 7 8 A II AITTI HITES ITITIRA TEASA TTAR EI Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 IATA Nous employons le terme d infe
3. H pitaux de Paris 5 San id 1 La surveillance iaai 1 1 D abord qu est ce que la surveillance La surveillance est une observation continue et syst matique des infections acquises en milieu hospitalier de leur r partition et des conditions favorisant leur apparition ou leur disparition La surveillance est une des activit s des programmes de lutte contre l infection Elle fournit des donn es qui une fois analys es et interpr t es permettent le choix d actions de lutte contre l infection r ellement appropri es Pourquoi fa surveillance pour identifier les probl mes infectieux pour renforcer les mesures de lutte contre l infection pour soulever des hypoth ses de recherche pour valuer l efficacit des mesures des proc dures propos es 5 Surveillance des infections nosocomiales Guide m thodologi Le Assistance publique H pitaux de Paris 1 dition 4 pour fournir des informations pour le rapport d ac tivit m dicale CLIN et ainsi apporter des l ments d information n cessaires la d finition de politiques de sant hospitali res 6 1 2 La surveillance COMMENT La surveillance des infections comprend une d marche en trois tapes nosocomiales Observer les faits c est dire identifier les cas suspects d infection et en assurer avec certitude le diagnostic et la nature nosocomiale avant de collecter les donn es
4. auparavant Autant de raisonspour r duire la dur e de vie th orique du bain 9 ai 3 Pr cautions et conditions d utilisation Nous allons terminer en rappelant quelques pr cau tions et conseils pour l utilisation de ces produits utiliser pr t l emploi ou diluer lesinstruments d sinfecter doivent tre propres et d contamin s et s ch s veiller immerger totalement le mat riel sauf avis contraire du fabricant en liminant les bulles d air respecter le temps de trempage pr conis porter des gants chaque manipulation de bains rincer l eau st rile afin d viter les risques de re contamination repecter les dates de validit des produits ES gt 3 3 4 Les bacs de trempage so 8 is i Ne les oublions pas car ils sont un chainon important dans la cha ne de d contamination et d sinfection 9 APPERT L D sinfection en endoscopie C V magazine n 21 pp 6 7 134444 EPT ES pur HENAN E ger me gere a TLIAT OOTI e ATIA tti TA Ces bacs doivent avoir des paniers et des couver cles les acsde rin age doivent tre nettoy s et st rili s s en fin de journ e op ratoire lesbacsde d sinfection froid doivent tre net toy s et st rilis s chaque changement de bain de d sinfection ou apr s avoir vid le bac en cas de vi us connu les bacs doivent tre recouverts pendant
5. et peut avoir un fonctionnement manuel ou asservi la vid o asservissement par diaphragme ou lectroni que potentiom tre Suivant le fonctionnement de la lampe la source aura une temp rature de couleur donn e 3 200 ou 5 6007 La puissance lumineuse d une source se mesure sa sortie en Lux ou en Cand la La qualification en Watt n est que le reflet de la consommation et il ny a pas de parall lisme entre Watt et Lux Un autre l ment important est conna tre si l il s adapte aux clai rages modestes la vid o chirurgie supporte mal une baisse lumineuse m me minime En cons quence sources c bles et optiques doivent tre test s sur LESTISENSE SG GITT IE NTEUETeTRE ied 7 BAR Re Gi amp o D te mo mem z D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE cran La couleur rouge est une grande consomma trice de lumi re donc le creux d une main n est pas le reflet des qualit s d une optique dans une cavit op ratoire 2 Enfin il convient de garder l esprit que la plupart des probl mes de lumi re provient de petits d tails car dans la cha ne source c ble optique chaque approximation co te cher en moyenne 20 de perte lumineuse par mm d erreur au niveau des rac cords c ble optique c ble source c ble pi ce inter m diaire 2 1 4 Les capteurs ccd Nous voudrions citer les capteurs ccd o mini cam ra lectronique d port e devenus quasiment indis pensables
6. la m thode id ale ce qui eut t ambitieux du moins celle qui se rapprochait le plus de celle ci avec le maximum de crit res de s curit pour le pa tient le personnel et le mat riel de fiabilit et de va lidit Beaucoup de personnes taient sensibilis es par ce probl me outre les infirmi res de salle d op ration des infirmi res travaillant dans des services d endo scopie se sont jointes nous et ont d sir participer cette tude Nous avons choisi de travailler sur deux types d endo scopes les endoscopes rigides en mettant au point le nouveau protocole de d contamination au niveau du bloc op ratoire du Centre Hospitalier d Arles yatt logie Docteur HAUTEFORT IRA ESETI ETTA pa gaw AA les endoscopes souples avec la m me tude faite au niveau du service d endoscopie bronchopulmo naire du Centre hospitalier d Arles LES MOYENS Nous avons essay de d finir les moyens n cessaires la mise en place de cette recherche 1 11 Les moyens mat riels Nous avons sollicit et obtenu l aide mat rielle du Centre Hospitalier d Arles sur plusieurs points l autorisation du recherche au niveau Directeur d effectuer l tablissement cette de la possibilit d envoyer du courrier par le Centre Hospitalier ceci afin de correspondre avec des infir mi res d autres tablissements essentiellement pen dant la premi re tape du recueil d
7. la serin gue afin que le glutarald hyde solution alcaline 2 p n tre dans la lumi re de la gaine du dispositif de brossage et dans le canal interne A savoir La solution alcaline de glutarald hyde 2 est le d sinfectant de choix Les composants ph nol s les p roxydes les hypochlorites les iodophores alt rent les composants du bronchofibroscope Les temps d inactivation microbienne in vitro avec la solution alcaline de glutarald hyde sont de Pordre de 10 minutes pour le HIV 10 minutes pour le virus de l h patite B 30 40 minutes pour le Mycobact rium tuberculo sis plusieurs heures pour le myco bacterium Avium intracellulaire En r gle g n rale il est recommand de faire tremper le mat riel pendant 20 minutes dans une solution al caline de glutarald hyde 2 Ceci doit suffire pour un fibroscope bien nettoy 2 13 Rin age l eau st rile avec des gants st riles Certains utilisateurs pr conisent le rin age l alcool Il s che les fibroscopes il est donc un agent de rin cage qui peut tre utilis pour le tube d insertion et le canal op rateur MAIS il br le il ab me les ciments optiques la gaine les joints caoutchout s II p n tre faiblement dans la mati re organique les surfaces doivent tre d abord scrupuleusement nettoy es N B Ace moment l on passe les pinces biopsie pendant 10 minutes au bac ultra sons avec une so lut
8. viter la formation de bu e sur les optiques nous rin ons leau st rile ti de nous nous sommes aper us que la formation de bu e se fait surtout sur du mat riel froid L instrumentiste s che avec un linge st rile le mat riel chasse l eau des conduits Elle installe le mat riel d sinfect sur des champs st riles et secs Les instru ments sont pr ts pour tre utilis s imm diatement 1 4 La d contamination traitement du mat riel contamin Une fois l examen ou lacte chirurgical termin on proc de la d contamination des appareils souill s 1 Le trempage l endoscope est plong imm dia tement en salle d op ration dans un bac contenant le produit d contaminant nettoyant pendant un temps donn En fonction de la notice d utilisation nous laissons le produit agir pendant dix minutes Cette tape se fait en salle d op ration rapidement pour viter que les s cr tions et le sang ne s chent sur les gaines Le trempage dans ce produit d contaminant permet galement aux personnes qui vont nettoyer ce mat riel de travailler en toute s curit sans risque de contamination 2 Le nettoyage se fait l aide d un couvillon de brosses de seringues de compresses non tiss es sur les optiques pour viter les rayures sur les lentilles Les robinets sont actionn s d mont s si possible Pendant le nettoyage nous v rifions que l appareil soit en bon tat de marche TARRO
9. BONEKAT H W ANDREWS D SHI GEOKA J W Desinfection of the flexible fiber optic bronchoscope against Mycobacterium Tubercu losis and M GORDONAE Thorax 1984 oct 39 10 pp 785 788 England DAWSON D J ARMSTRONG J G BLACKLOCK ZM Mycobacterial Cross Contamination of Bronchoscopy Specimens American Revue respirato D senses 1982 Dec 126 6 pp 1095 1097 SA DONALDSON J C STOOP DR WILLIAMS S A Control of high density bacterial contami EIA sas ORAR TESTER TES Lee ere Tee x AAEE KE saaana attenant nn AE YIT kana Z ARAS inuna AZIE Lex MITIN CTE TITI Ter ee SERE I IIA TL Sru tr PRIE STEEL nornata SS EXS PR SERRE TERR ETES ET AIRE TOME EE EEE RRE D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE nation of the fiberoptic bronchoscope Chest 1977 Jul 72 1 pp 10 12 USA FOUQUET E Endoscopes digestifs protocole de nettoyage et d contamination Revue SOINS n 540 septembre 1990 pp 55 56 GIRARD R SKALLI M A HEDELIUS F et coll _ Les endoscopes digestifs enqu te sur leur entre tien entre deux examens Techniques hospitali res n 549 550 juin juillet 1991 pp 43 45 COETZ M L HEITZ A POTTECHER B Pro bl mes pos s par le mat riel thermosensible Exem ple les endoscopes Revue de l A D P H S O tome 11 n 2 pp 45 50 COLDSTEIN B ABBRUTYN E Pseudo out break of Bacillus Species related to fiberoptic b
10. naires de l amnioscopie dans lesquelles endoscope passe d une r gion naturellement colonis e flore nor male vers un site rigoureusement st rile qui peut parfois tre infect On peut citer un autre exemple o en cours d inter vention chirurgicale on peut tre amen faire une choledoscopie Dans ces deux situations l endosco pie n cessite des mesures rigoureuses d asepsie SLA LETE TS A ee ZISE ESSE ES E E MARA DETER Ao L Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 ESTI O A le risque infectieux est li des investigations agressives telles que la sphinct rotomie l ablation de calculs ou de nolvnes le traitement laser des st noses trach ales l videment de cellules ethmoidales Le risque majeur est ici li l auto infection les facteurs li s au terrain soit ils sont ind pen dants soit ils peuvent s ajouter aux risques qu on vient de citer chez les immuno d prim s les porteurs du virus de l h patite B ou du virus HIV etc Ces pa tients sont des r cepteurs privil gi s immuno d fi cients ou des contaminateurs potentiels h patite B ou HIV ou les deux la fois ll est donc indispensable de mettre en place un proto cole efficace et acceptable de d contamination net toyage d sinfection MISE EN PLACE D UN PROTOCOLE Ce nouveau protocole de d contamination et d sin fection du mat riel d endoscopie non autoclavable a donc t mi
11. qui s est av r e tr s importante et analyse de cette documentation Elaboration d un cadre conceptuel Mise en place d une nouvelle proc dure partir de la bibliographie des m thodes d j existantes et des r sultats de r union de travail avec un m decin micro biologiste et un infirmier pid miologiste valuation des nouvelles proc dures analyse des r sultats obtenus et programme de surveillance mis en place ainsi que la mise en vidence d un effet de halo L interpr tation des r sultats nos a amen s auto matiquement envisager les notions d efficacit par rapport au co t et la qualit des produits Conclusion de notre recherche Publication et diffusion cette derni re tape de la recherche est d j bien entam e Lors des 7 Journ es Nationales de formation organi s es par J UNAISO Lyon en mars 1990 le pro bl me de la d contamination et de la d sinfection du mat riel d endoscopie a t tr s souvent voqu Au travers des diff rentes discussions engag es il est apparu que personne n tait d accord sur le protocole adopter Chacun avait ses recettes et faisait sa petite cuisine Mais partir de quoi Et sur quelles bases Quelles exp riences ou quelles re commandations Tout semblait flou et vague ll nous a donc paru utile et m me indispensable d essayer de clarifier tout ce qui existait et sinon de mettre au point
12. rile apr s ouverture taient conserv s plusieurs jours pour usage ult rieur On a aussi voqu la contamination mycobact rienne des placards de rangement des endoscopes avec de la mousse ainsi que la contamination par les cou vilons de nettoyage 2 2 2 Les situations pid miologiques en endoscopie L encore nous reprenons la classification de ma dame CHALE avec 3 grandes cat gories de gestes 1 Les endoscopies aseptiques Lors de ces actes l asepsie doit tre rigoureuse tout au long de leurs d roulements Ce sont les arthrosco pies les coelioscopies les laparoscopies La seule voie de contamination est le passage travers la peau ces endoscopies n cessitent une asepsie rigou reusement chirurgicale 2 Les endoscopies toujours contamin es Ce sont les endoscopies effectu es en milieu naturel lement contamin comme les endoscopies digestives pulmonaires chez des patients sans risque particulier Dans ces cas la st rilit du mat riel n est pas n ces saire l important est de ne pas contaminer le patient avec des germes pathog nes ou potentiellement pa thog nes appartenant la flore du patient pr c dent 3 Les endoscopies interm diaires Elles sont difficiles cerner Nous distinguerons alors plusieurs cat gories de patients devant subir une en doscopie le risque infectieux est li au mode d introduction de l endoscope c est le cas des endoscopies uri
13. D abord leur choix Le choix d un d sinfectant par trempage en pratique hospitali re pour le mat riel m dico chirurgical non autoclavable et r utilisable doit tenir compte de plu sieurs facteurs la complexit du m canisme de d sinfection le large spectre des objectifs poursuivis la vari t des mat riaux traiter en milieu hospi talier la diversit des moyens mettre en uvre l apparition de micro organismes r sistants la diversit des produits sur le march en France on d nombrait il y a quelques ann es environ 50 fa bricants avec quelques centaines de produits Nous estimons que le choix d un produit doit se faire sur plusieurs crit res recueil de fiches techniques apport es par les industriels demande d chantillons sur les produits anciens et nouveaux qui seront test s par le personnel m dical et param dical Lors de ces tests il ne faudra pas n gliger les probl mes d allergies cutan es et il faudra en tenir compte Les crit res de choix d un d sinfectant peuvent se r sumer ainsi spectre d action aussi large que possible bact ries champignons spores virus 3 4 D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE la vitesse d action doit tre connue 10 20 mi nutes semblent tre un d lai raisonnable il doit tre peu ou pas toxique pour l homme et ne pas contenir de compos s trop facilement vola tiles pour viter toute
14. E o RES 9 w Be a Qe a DE T mapan a D EN e g y pS a e es ES RAA RES er MO em a A en 2e HAT age y Bone tas CNP ES re ER ES Le w MAP y ar A e AN Se me a 2 20 SA A a a A A OR 1 Rue mas D eo ET EU an ve DR On nn ae e a e LUE De NE ds Va rd Egu o n a a A D 53 e sn A A o PE S ou 9 DS rs Cece MAS e A ch o dl se A A Grues 4 A e a ts A A A D Ge 7e qe e e A O noar a D de gman O xa d PS e nd a sm se a Sea pe ne 46 Der Am 0 e rem pe don Be MX METRE e ee ES cum spg e amp D ARE a e de 4 3 DDO a Jo de De a wa ore Er PEA Ea A Re He a se P a o g e Peon RE w ae RSR o sag EM y ee A rr AO er Y a d e aT a PETS Rs de de a et mi 3 gt uy eg H et 20 A ER amp 4 Das a eo Ca e pe A Ae Nes p re ra A eir niar Y S ARI A a e Coa ONE DO a SA d bebe a per i da ae ey e He A 2 ed rs e A e Ds Du amp sas e s f et astres ts Dre e pa A a MD ue de AS PS ESTA e e mm gi w fo gt Le Wye Rd DEd D D R A de 58 e Mn rm ag doo 96 AE TELD 5 a PP 03 reas AD E Done QU a o AR Da in O e de wga E e Q LS T es nee e lt aa o US AIN AS es Qe A e OA ETO o Qnae E e DS E es di der Me Pet ge ee CNRS ere LL re os e D Do e D se AND e ne so al PEE E or a A ces E us AS ss e LS a slo de A Qe ns e se a Di pre mA mi james e 307 pee Qu Re re S he 299 e Y E SITES QE Re a Den TO He Lots jan a A A y ae worn e A RER a Re RE Y AO DES e AR yA mn we as 0 un ne S BO ae S ES CE AN 67 ne a e aan va
15. IE RA IO AT NA DE OD R TZ am vo gt o En DR OR a dE noman VA pl E D a mm RTS EL ae de pe de Ve Dot Des Os Da ai E ner MEE 0 0 dp 6 AR e an do y mbr e i p y ST u A pu gt ae a POMPES PE AS pS AS saasaa he 0 sakke rel 922 HARPER ARTE q de der saar RL en a AAA T ae a AAA DA OS E LE B De Ge ee RE AA am n e es iea nii nie A iig oa e ak r E ANDO pb a A e DRM SR e AN RENLTTTRTIAN ANTTET ESS AA ET TETE ocn AE a weeman me LE a A a Y A AA dico ha o A AS ee nes es coran vr RER RON ON TEST A o D A E ey aa TIRE ER he RME pr E a E O a a a a PE ML ata A MO Sr mnre E he Th APS DAPR a pp o o RA Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 gt SE rro Mae E E A A ED E LE p a 4 4 p as 5 ES Ce travail de recherche a t effectu par des infirmi res dipl m es de bloc op ratoire adh rentes l UNAISO Union Nationale des Associations d Infirmiers et Infirmi res de Salle d op ration des infirmi res travaillant en bloc op ratoire et des infirmi res travaillant dans des services d endo scopie adh rentes ARPES Association pour la Recherche en soins infirmiers la Pr vention et l Edu cation Sanitaire et naturellement des infirmi res dipl m es de bloc op ratoire adh rentes ces deux associations Ce travail a t pr sent pour la premi re fois lors du 93 Congr s de chirurgie organis Paris par l Associa tion Fra
16. agression de la peau et des mu queuses il doit tre d nu d inconv nients pour le mat riel c est dire il doit respecter les m taux les pein tures les thermo plastiques et certaines colles il doit avoir certaines propri t s physico chimi ques lui garantissant une certaine stabilit l absence d odeur d sagr able il doit tre facile de manipulation et peu co teux Tout ceci devrait permettre de mieux s rier la liste des produits et de poss der un dossier qui devrait tre pr sent et discut entre les services conomiques le pr sident du CLIN et les membres du CLIN les utilisateurs c est dire les endoscopistes et leur personnel laxi E 2 L efficacit des produits L valuation de l efficacit d un produit utilis comme d sinfectant n est pas une chose simple et facile L AFNOR s est pench e sur ce probl me et a tabli une s rie de nonnes permettant d tudier l action des produits sur les bact ries les virus les moisissures les levures et les spores Il faut savoir que les solutions base de glutarald hyde semblent tre les plus performantes En ce qui concerne les pr parations pour l tape de d contamination et de nettoyage il faut avoir un pro duit capable non seulement de provoquer le d colle ment des salissures mais aussi de limiter la prolif ra tion bact rienne et microbienne et de commencer abaisser le niveau
17. are tai Le ae D gje a pe e dos en e et ye f mere x nas AL ki De e pri fie po PE e Da de q do e 4 A Fa Pos qe 2 es 4 o E pa o OS e gt z adress agr SA Dour o al AATETTA EEIE Iet pa 24 TEETE E es A Le de Y PARTS e Es de 4 see P ia y be a de w pe A 96 e e to eh i janet PA D EE Huy e er pri e opie Aige Sa ds de E PR CPL Z 2 m D PAT 22 AA 2 AA pes te ali ce PR PET La ets A sn A mg pee aar ee BR ARE AO p mo A vogaa AA Ps a jo EEEE Ar we do 6 Mes a RE ES nd p dd de EW PERA JA 6x e o Ed el ewt ee 1 Sarre OTE E PNR PTE LE DS 3 aiii nT 06 e te AR s f ee aw paa em apg e e a de LL ap a w ai Le des Le pes e gt pa 2 A ma AS gp tosset Bi te ni A a Dent PTT A aa ME D a 45 2 N x o A po D ao o Qs si A e E Es EEE io o ed Loue a A EN Re de 5 y LES kadi qe OS i e 7 0 ps ge al RAS e e qe 3 e me E PERS do de he pra O Le e E CREER SE Dee POUR PE ET HAN E raort DDD aa anpe DA p st e O mn nd Ra er 2 a de e RAGE deta i e b gt ob a sw OSA ni per E 4 39 outs de e aget ps w p E o a q Dr ee il 3 gerai pipe AS AN RER pon 4 E Mo pt EPS t DO MT ee De 0 ee A D AE Ra em se w LA ak a wa DE de rt a z x 3 My d d T Ares 0 5 a A e PA T dd OT E E dd ce gt S 12h AS YA EE Ys ad e DIO se ubago RQ tb E pe ro PEI 9 2 220 00 a pT S 2 g FRA A E TT RAT a O een DD ee DT ue e LEA PET TER 0 BO a a e 40 5 e maje Fale pet PER LE E PTO E APS E re e ve
18. de contamination Cette pr para tion doit tre renouvel e fr quemment car elle re oit du mat riel sale Pour l tape de la d sinfection il faut un produit actif sur les bact ries y compris les formes sporul es les champignons et les virus Pour l utilisation de ces pr parations de solution d sinfectante il faut suivre les recommandations du fabricant respecter les temps de iia EPS RRREET TIRE E TT ESS LT ETETESERLEE TERRE 81 OIT ittasan i TERRE a ZEIA Eiana EEY tinaaa aia Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 er y se den om Tis ARTIST ELA A O AL pont WTITENNITILI contact du mat riel avec la solution les conditions d utilisation Cette solution peut tre conserv e pendant plusieurs jours condition de l tre dans de bonnes condi tions Parexemple la stabilit chimique la non alt ration des principes actifs est en g n ral de trente jours pour les pr parations de glutarald hyde en milieu ba sique elle est beaucoup plus longue pour les solu tions en milieu acide Il faut se fierauxrecommanda tions du fabricant Le plus int ressant est la stabilit d une solution dans les conditions pratiques d utilisation dans ce cas il faut penser l vaporation des principes actifs la dilution progressive de la solution chaque endoscope apporte quelques gouttes d eau du rin age pr c dent la pr sence de prot inessile mat riel a t mal employ
19. des mycobact riestelles que le BKet des mycobact ries atypiques Nous voyons donc que les infirmi res doivent tre at tentives aux risques que la n gligence l ignorance la AE EMEA TES IA A TT A A A A AZ Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 IETRETTABES ARES LEEPER S sirry pr cipitation ou le manque de temps peuvent faire su bir aux patients qui leur sont confi s L organisation du travail la rigueur la m thode la bonne information doivent nous apporter des solu tions pour que les actes d endoscopie soient effec tu s avec le maximum de s curit pour le patient 3 Nous devons consid rer les gestes d endoscopie hauts risques infectieux En effet on utilise le m me mat riel pour plusieurs pa tients mm des pathologies tr s diff rentes sont trait es et souvent dans la m me salle d endoscopie mm les techniques se font de plus en plus invasives 2 2 7 Les modes de transmission L endoscopie peut g n rer plusieurs modes de trans mission nous retrouvons 3 situations transmission de germes pathog nes de patient patient auto infection par un germe du patient bact ri mie l inoculation de bact ries opportunistes qui contaminaient le mat riel ex les germes hospita liers Les diff rentes causes de contamination par le mat riel d endoscopie peuvent tre class es en 3 cat go ries 4 1 Le plus souvent les respons
20. et de l ext rieur de lendoscope et de ses accessoires le parc du mat riel est limit pour des contraintes financi res le nombre d actes d endoscopie est sans cesse croissant Nous pensons que la proc dure mise en place assure une s curit et une efficacit optimales pour les pa tients Pour pallier l inconv nient majeur de ce proc d qui est le temps surtout lors des s ances d endoscopie but diagnostique qu il s agisse de fibroscopies gastri ques bronchiques urinaires nous avons essay d organiser au mieux le travail et nous pensons qu il est indispensable d agir sur d autres facteurs pour augmenter la s curit du patient 1 1 D abord il faut une pr paration locale soi gneuse pour les coloscopies en particulier mais aus si lasepsie de la peau et du champ op ratoire dans certains cas 1 2 Lors des s ances d endoscopies il faut veiller au choix dans l ordre de passage des patients lors de la programmation des examens essayer d avoir des donn es cliniques suffisantes tacher de remplir une fiche d s la prise de rendez vous pour pouvoir mettre en premier les malades fragiles et en dernier les por teurs connus BK germes hospitaliers h patite 1 3 II faut occuper le m decin endoscopiste pendant le temps n cessaire la d contamination et d sinfec tion entre deux examens par exemple lui faire dic ter ses compte rendus ou une lettre au m decin trai
21. le temps de trempage du mat riel surle couvercle du bac et surun de sesc t s il est indispensable de noter la date de pr paration du bain et sa date de p remption CONCLUSION Le d veloppement de l endoscopie diagnostique et th rapeutique associ la sensibilisation du public aux risques iatrog nes imposent d utiliser chaque fois que l on pratique des endoscopies une m thode rigoureuse de d contamination nettoyage et d sinfec tion du mat riel En effet lendoscopie peut g n rer plusieurs modes de contamination transmissions de germes de pa tients patients ou infection due une mauvaise ma nipulation du mat riel L endoscopiste doit tre aujourd hui exigeant nous dirons m me intransigeant quant la qualit de la d sinfection de son mat riel endoscopes acces soires instruments apr s chaque examen quel que soit le profil du patient Nous insistonssur le fait que ce traitement desappa reils doit tre effectu entre chaque patient quel qu il soit il doit donc y avoir desendoscopesrigoureuse ment d snfect s avant chaque acte Il existe des m thodes simples et peu on reuses pour pr venir les diff rentes infections ou surinfections Organiser le travail pour respecter le temps n ces saire la d sinfection tablir un protocole une proc dure pour guider les gestes de chaque personne du service choisir des produits sp cifiques adapt s
22. ll Le remy t a el Ear Y gt Es ar D A RuEe 2 O a e EPA lt A A LA pee a Re SS a RAN A ee e A A E A O gos er SAA eS e s gri tr Ad e 2 y AS O ar vs RA de ys s e eo PRET wt mi IA A PTS see ns He AA e Ba e es Le A w AR ROUE m a US ARE iw Mi da e E y Se p awas 8 qee QU eS Te ce o PRET Ls 4 s ET a De ve 2 o QD se f e e RSS a AT sm s as pan e e bl TE PERS wi r e MTS SEE RE De A e oiae a ve ANA E PA e A A a Par we PY gt a wii 03 r 7 s gt oe pS gt J a a eo a y 2 A a PRESA o RSR O ve AL A NA e gt i ia I AN GRR D sprega ma A E e A e Rs te DR pe D EE D a A RS RQ Re M D met Foo kw te di A a e ONS en epa ye e sy de TH sen de m y dd see o TA ST Deo pros EEN A o ve he R HET 4 LD oa ka Q Rae TT HN TEMES EA Li ACTES De pe AR A SCD zA eS o yte PAP HE 4 OE Ze ar la eye as ee qn A PE RS zi Y ra HO qe re AY Se a pe s e Or A r a a E a e TS p es PR je Armi 8 wani Sade 24 ail e ee adat Dido nar ar e A e qa d i Rsa Le o ap Dep zu e PA h D MO ue ae LRO O x ne ee la o D Age ee ae o a A a Ge EE o e D Aa o A PERLE au H s4 y 132 e S 6e 9 se ary Ge ri D 7 a ds de e de 108 fair ES ET arte EUTE re e UE 85 Qe A AA 2e 28 mi e da Ve PAS A ll 9 plo es ve A CA ae Saa a D se e sneg pae Ay ES Pa Uy Oy 5 de LE el eiet e F g Re DA TE A E x A SA e wD EA me E Y A eau rt pa sere to O pS de hed mie aa gen an e Fe A ai te je PRE a ra A _
23. pres AOS rete HYCREENLAESSS Be de fe y a 2 2 ta IIA sr ox SES PARLA don on me mm D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE 3 Le rin age est fait abondamment l eau du robi net dans tous les conduits 4 Le s chage doit tre soigneux avec un linge pro pre et l aide de l air comprim Cette phase de d contamination termin e on peut alors proc der soit une d sinfection pour une nouvelle utilisa tion wm SOit au stockage dans les bo tes ou tiroirs de ran gement Le s chage apr s d sinfection pour stockage sera beaucoup plus rigoureux minutieux pour viter la prolif ration ventuelle de germes pyocyanique en particulier dans la mousse protectrice proscrire L ensemble de ces op rations dure 15 20 minutes Nous allons maintenant tudier le protocole mis au point pour les endoscopies effectu es avec un fibro scope souple en prenant comme exemple le bron cho fibroscope 5 2 Mise en place d un nouveau protocole en endoscopie bronchopulmonaire OU COMMENT PR VENIR UNE CONTAMINA TION PAR BRONCHOSCOPIE 2 1 Les utilisateurs doivent porter des gants propres pour chaque cas les mains contamin es sont l ori gine de la plupart des infections nosocomiales Les plans de travail les bacs de lavage rin age doi vent tre lav s d sinfect s quotidiennement Dans la pi ce o Pon traite les bronchofibroscopes on doit respecter une cha ne de travail le mat ri
24. quelle tait notre prati que quotidienne Nous avons not les faits c est dire ce qui se passait vraiment sur le terrain Pour ce la nous avons effectu un relev chronologique de tous les gestes et pratiques avant pendant et apr s lacte endoscopique faits par les infirmi res les aides ou les op rateurs Ce relev a pu se faire lors de jour n es op ratoires par des personnes diff rentes et concernant plusieurs sp cialit s Cette tape a t faite galement dans plusieurs ta blissements en effet les infirmi res int ress es par le sujet nous ont communiqu leur pratique et les pro c dures employ es dans diff rents lieux d exercice pour d contaminer et d sinfecter le mat riel d endo scopie Nous les en remercions vivement et plus par ticuli rement Mesdames Evelyne CAPDEBOSCQ de Rochefort Sur Mer M France CORRE de Brest M Pierre DUPAMLOUP de Montereau et V ronique PUIG de Perpignan Nous avons analys les faits c est dire les diff rentes proc dures sans porter aucun jugement ni dans un sens ni dans lautre Ceci nous a permis de recueillir un certain nombre d informations qui nous ont t tr s utiles LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE Pour cette recherche documentaire nous nous sommes servies de toutes les sources d information dont nous pouvions disposer fl L La bibliographie PES Tr s vaste et tr s riche elle nous a surpris par le nom bre impressionnant d ar
25. s le premier jour de pr paration du bain au milieu de sa dur e d efficacit et en fin de temps d efficacit Mais nous n avons pas attach trop d importance ces r sultats n gatifs En effet les produits doivent tre neutralis s d s leur pr l vement et les conditions de leur mise en culture sont tr s particuli res Par contre si ces pr l vements taient revenus posi tifs nous y aurions attach de l importance et nous nous serions pos pas mal de questions 3 2 L eau de rin age Par contre sur les conseils du m decin microbiolo giste de notre tablissement nous avons effectu ces pr l vements sur l eau dite st rile dans laquelle nous rin ons les endoscopes apr s leur passage dans le bain d sinfectant et avant de s en resservir pour un autre patient Tous les pr l vements sont revenus n gatifs apr s mise en culture de 24 o 48 heures la r ponse nous est revenue st rile y L ensemble de ces r sultats c est dire le programme de surveillance des patients et les examens bact riolo giques r p t s nous ont confirm le bien fond de notre proc dure de d contamination d sinfection NOTIONS D EFFICACIT COUT 1 Le respect de toutes les r gles l mentaires d hy gi ne entra ne un choix difficile le temps accord la d sinfection est th orique ment incompressible efficacit des solutions nombre d tapes traitement de l int rieur
26. 5 280 3 ama sa hs SEELE ESEESE RATA Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 LITTLEY A H HONEYWELL KM et coll Cross contamination of bronchial washings letter B L J 1990 Dec 1 301 6763 p 1274 England METHA A C CURTIS P S et coll The high price of bronchoscopy Maintenance and repair of the flexible fiberoptic bronchoscope CHEST 1990 98 2 pp 448 454 POSTIC D LOISEAU MAROLLEAUM L GIM BERT J L Contamination d un bronchofibro scope par Pseudomonas Aeruginosa Nouvelle Presse M dicale 1978 f v 4 7 5 p 367 PRIGOGINE Th GLUPCZYNSKI Y et coll Mycobacterial cross contamination of bronchoscopy specimens J Hosp Infect 1988 jan 11 1 pp 93 95 Belgium Bruxelles PRUD HONC SCHRIVE 1 PLASSE J C D sin fectants tude de conformit aux normes AFNOR Techniques Hospitali res n 541 octobre 1990 pp 59 67 RICHARDSON AL ROTHBURN M W ROBERTS C Pseudo outbreak of Bacillum Species rela ted to fiberoptic bronchoscopy Letter J Hosp In fect 1986 7 2 pp 208 210 USA SCHATTNER T J More on glutarald hyde and Tuberculociolal activity infect control Hosp Epide miol 1990 Aug 11 8 pp 412 413 USA Maryland SCHEIDT A Persistant contamination of the flexible fiberbronchoscope following Disinfection in yer AU CIMAS CORRE AE R COR CODE R CERN QUO DU ROD BETO DD E DUDE T Aque
27. A GREEN PTS q Le LD e D D ES asa Ge Que pales S os o E SGY De O NL MERE ou yn lt D Die GUD De Era e Ere OS O ii BO IMG ASS OAE EREET A o px a Le tes y e xq PA A ed A e Le E ah Aa AA ess al A A Y A D LES 2 Dio TI ea aur RDS ea t IS T mis N T 7 4 y de An E e A DA Do A al 2 A Da EC De ae 6 RTE x ETT e mg UE Xx Pis AO w Vas fa ve e A ep vs z eat ER na ETA bi y ee vert me 2 40 OR Dogs SET aati OEE OS SN Ze D gt Dr AS ra Wed 0 Le E gt ss cen del ds Y AR QQ a OT As si Dead DAD e a eme p s wi de ro ei persas iro Q Host q res me E Er AD 4 Le QT 2 je e En RTE D X mes FD vie A 4 ema de e TL QE st ON Re Da Se et PE ER 20 4 sd ie Rees K gt A Ee Tara Bue e x dt A 4 AA A wia wg robe 2 qi Lors e ASMA Se De me O TA D PES Tew 4 ds A S i i a se Nr DRE e Drm E Des D Line ax AD A SpA a a VE ron EC ASi A PER De De PRESS ares OE LL e Le ne 40 E PON gt EN X sry e a e RTE A ral RDA D cm a DA La ET Qu ue me On w CR o DS e y e a O AA rest TD in U A DS A De e e OS Eg gt Or 8 AA IA GORE SVT DA r T aren a UNO a dr 6 A O AT a a Qo Dr A te e ELLE 20 powi s Otm A A DI DE ae O A E PS en PND DA a De E ee no 4 as e o Er e YTT Ar m OH e ewt ARA QE pe gt a JA EIRE PAPE e Ue ge Jr ON LS se ue ro AS ZA ns Dr En LD Dre Qu ar SOS ape e E ne 6 o LA Er ar an Sat w a TE Ei n e cry aert po 400 D SOLE De LE sn e PT pe PE RE A O ETS e A A At 5
28. S AA rd ESA es 2 gt 2D aL 2 gt jow PET A IAS e A de 2 A PES se te qe a pl de eros ES ASE po Al re Ne Dm Ex porer LS es AS MP OL Lx Ra paa Ea JA aa Pere PES PRD gt Son DIA rs DAPR AD w a De ee e Dan Qe sa rr t t en GO imasta e e PR o 0 ae eef A AO me ay de 56 do e ee ce mem mr es e Le aos A E es E AE o nr U e Pr EEE Te TE 26 ODO o a pe a 48 gt gt e vo man tee QD e LU on nie ERA PEN AE TONNES ENTER EN o DS 2 pag ak S e PERS TD e 5 e Qi at E ai o QE A 6 er De ms dE AE D ne S w E T a ge w e Os se Dro ny a e ws 5 sr OE 23 a SU Eur pan PAS Tru waat Ur Z m 2e A ae arr LA A a e e yo E 19 00 4 DE i aye si M ns en AAA o Se E a e A e ES yd re OY A D une 6 Liege e ATSA De aros Y A 0 D 49 o ape on mm t to ne BE Hed AN un ct Dogg na c PRET NA Ls a Dax p 22 garit yamie Ro De re es E ap De an gt Ds a pen rr t vas NET ES ve AS S MT TTIE a ATA O dr m et q ex ES A A 0 p y h Ay e AS 3 DORE a Te G re QD pa rU EL Sd se ES o a 2 e E TD A sie e ea EXT PO ES ee A a a D s Ave a ES QE Kw e EE D arer as esqy ss r3 U RE AM Dri TE ee x o A Yoi e O MS e EN Le es 5 de y De o ge SN Oe hs o a pm E ere i RD o D Ge m2 e O LL a ro e wpe o O 4 s n O gt aa RTTY r e DS a w lane ES a e A ts AD A de eZ a a gr EN Que AU o a o ANDY S a E e gt senansa t Y Srat apy Aram apana E Lg D TO e be me ex E o A iaw e te F 224 ne Der OS Gang m
29. ables sont les valves das piration soit elles n avaient pas t d mont es soit elles avaient t d mont es mais mal nettoy es des d bris organiques s accumulant dans les joints en caoutchouc ou alors le produit d sinfectant n avait pu tre en contact avec toute la surface interne et ex terne de la valve c est le cas pour les valves qui comprennent un syst me ressort qui garantit leur ex tension lorsqu on y ins re une seringue Ou encore ces valves comprenaient des pi ces alt r es Mauvais nettoyage ou nettoyage insuffisant Le mauvais nettoyage du fibroscope peut tre incrimi n lors de l utilisation de fibroscopes non immergea bles ou de fibroscopes dont la gaine le canal interne sont alt r s 3 D CHALE Directrice d cole d infirmi res de salle d op ra tion CMC Foch Suresnes a 4 D CHALE Revue INTERBLOC n 3 1988 pp 11 16 Se CIAL sr eee PERET z Rare PITO I YII E TETE ENTERPRISE Bi 73 ERRIN D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE 2 Mauvaise utilisation de agent d sinfectant Le choix du produit peut tre mis en cause Mais le plus souvent la dur e de trempage peut tre insuffisante Ou alors la dur e de validit du produit garantie par le fabricant na pas t respect e 3 La recontamination apr s d sinfection Ces recontaminations peuvent provenir de l eau de rin cage bact ries de l eau hospitali res de grands r cipients d eau st
30. c les probl mes infectieux rencontr s 134 1 Les endoscopes Nous tudierons successivement les endoscopes les c bles lumi re froide les sources de lumi re froide 1 1 Les endoscopes Un endoscope peut tre consid r comme une opti que m dicale Le dictionnaire Larousse en donne la d finition suivante L endoscope est un appareil optique muni d un dispo sitif d clairage destin tre introduit dans une cavi t de l organisme afin de l examiner Etymologi quement nous retrouvons les racines grec ques endos signifiant dedans et skopein exa miner L optique m dicale ou endoscope donc peut tre ri gide ou souple avec des diam tres des longueurs des vis es b quillages et des champs diff rents Les syst mes de transport d images les plus couramment utilis s sont les HOPKINS syst me d empilage de barrettes de quartz biconcaves m nageant donc des espaces a riens biconvexes jouant le r le de lentilles e Les HOPKINS sont utilisables pour des optiques ri gides de 2 7 mm environ 10 mm de diam tre et plus la SELFOC qui est une monofibre utilisable pour des optiques rigides de 1 mm 2 7 mm de diam tre l ACHROMAT pour usage industriel le FAISCEAU DE FIBRES pour endoscope souple fibroscope de 0 7 mm 13 mm et plus Les longueurs en fonction des utilisations peuvent varier de 20 cm 2 m tres environ pour les fibro scopes e
31. chaque Usage Ceci supposera l utilisation de mat riel adapt endo scopes totalement immergeables abondance de petits Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 TAME DR PR SPEERISEGI TARDE E PIDE E er ES FER a ns o mat riels place pour stocker et nettoyer les endo scopes dans des conditions satisfaisantes et recours du personnel infirmier sp cialis Nous pensons en effet qu il est indispensable d avoir du personnel sp cialis correctement form pour l application de cette proc dure comp tent et se te nant au courant de l volution des derni res tech niques La qualit des soins et la s curit des patients et du personnel sont ce prix l 133 Bibliographie LIVRES FORMARIER M POIRIER COUTANSAIS G litia tion la recherche en soins infirmiers Ed Lamarre Poinat Paris juin 1988 Surveillance des infections nosocomiales guide m thodologique Assistance Publique H pitaux de Paris 1984 ARTIC LES APPERT L D sinfection et endoscopes Re vue GV Magazine n 21 pp 6 7 BENSON W C Case Report Exposure to Glu tarald hyde J Soc Occup Med Scotland 1984 May 34 2 pp 63 64 BORNET H BOUTOVITCH S REY F La d contamination du mat riel endoscopique Precepta Medica n 5 pp 15 18 CHALE D Entretien des endoscopes et fibro scopes Revue INTERBLOC n 3 1988 pp 1 l 1 6 DAVIS D
32. ction nosoco miale car nous pensons qu il trouve bien ici sa d finition Une infection nosocomiale est une infec tion survenant au cours de l hospitalisation alors qu l admission du patient elle n tait ni pr sente ni en cours d incubation Le recueil actif se trouve tre une m thode pr f rable afin d assurer la continuit du recueil des informa tions 7 Sans entrer dans les d tails de toute notre m thodolo gie nous avons d termin les facteurs qui constituent les informations ponctuelles et qui peuvent attirer no tre attention sur des points particuliers Pour effectuer au mieux ce travail de d tection la premi re difficult a t d laborer un questionnaire type de recueil 2 2 Analyse des donn es Nous avons donc mis en place cette fiche de recueil et nous nous en sommes servis pour toute d claration d infection Pour analyser l volution des infections selon les se maines les mois nous avons compar le nombre de patients ayant subi une endoscopie diagnostique ou th rapeutique avec le nombre de patients ayant eu un probl me inflammatoire ou un probl me infec tieux Nous avons fait une premi re analyse sur 9 mois de septembre d cembre 1990 et de mars juillet 1991 Depuis la mise en place du nouveau protocole ce nombre est gal ZERO c est dire sur 153 cystoscopies 26 cystoscopies avec un geste op ratoire 213 r secti
33. douze heures ce mat riel tait st rile Apr s plusieurs r flexions au cours de r unions de travail de formation et de recherche au sein de notre tablissement avec l aide de l infirmier pid miolo giste et du m decin microbiologiste et gr ce aux tra vaux d infimi res de diff rentes r gions nous ayant communiqu leur m thode de d sinfection nous sommes amiv s faire une synth se ce qui nous a permis d laborer un protocole Nous avons pens qu il serait plus logique d en pr senter les diff rentes tapes de fa on chronologique lors du d roulement d une journ e op ratoire 1 1 La pr paration 1 Tout d abord l infimi re circulante se LAVE LES MAINS Puis elle prend les bacs de nettoyage et de trempage qui sont tousautoclav s les brosseset les couvillons sont galement autoclav s 2 Elle pr pare le bain d sinfectant dans un bac suffi samment grand pour contenir les endoscopes le pro duit d sinfectant peut tre pr t l emploi ou ce peut tre un produit diluer dans une solution activante Elle v rifie la date de p remption du produit qui peut aller de trois quatre semaines selon le fabricant 3 L infimi re sort de son tiroir de rangement ou de la bo te de stockage non st rile l endoscope 4 Elle v rifie son int grit s il s agit d un fibroscope souple on testera son tanch it l aide d un testeur d tanch it et de la lumi
34. du Centre Hospitalier d Arles Citons galement un chef de produits d une maison de mat riel m dico chirurgical qui gr ce son exp rience son savoir et ses fonctions a pu nous aider sur la composition des diff rents endoscopes Dans ce m me domaine un chirurgien ORL du Centre Hospi talier d Arles nous a fourni de pr cieuses donn es sur les diff rentes optiques La recherche documentaire sur la fabrication des en doscopes nous a permis de visiter un laboratoire de fabrication d endoscopes nous sommes rest es stu p faites de voir l atelier de r paration et aussi de voir tout ce qu on pouvait trouver l int rieur d un endo scope d mont en cours de r vision Nous voudrions profiter de cette partie biblio graphique pour apporter une pr cision Nous avons nous m mes beaucoup lu et retenu quelques pas sages que nous avons cru bon de citer dans leur int gralit Tous ces textes sont mentionn s et leur auteur cit en r f rence Nous aimerions qu il en soit de m me pour notre tude elle a t crite pour tre diffus e publi e et donc lue Si des passages sont repris nous souhaite rions que les auteurs citent leur source LE CADRE CONCEPTUEL Nous avons labor notre cadre conceptuel partir de deux grands axes les endoscopes d finition composition et leurs accessoires non autoclavables les notions de d contamination d sinfection st rilisation ave
35. du malade pour minimiser la charge bact rienne que l on va ensuite immerger dans le bac de d contamination Enfin les m decins travaillent avec des gants st riles _ Nous travaillons avec l infirmier pid miologiste afin d apprendre d pister et solutionner un ventuel probl me de contamination du mat riel Nous pratiquons des pr l vements et analyses sur Peau de rin age de nos fibroscopes CAER RE Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 EI EN AIDA TA RUN T TITI ON PTS ANNEE SN TT ERA OT NEO NS SNA MAA AI ITS TES NOTE ESS TL Nous avons repris quelques recettes en cas d appari tion de pyocyanique javelisation des tiroirs s chage au s che cheveux Pour les nouveaux fibroscopes livr s nous exigeons un mode d emploi ainsi qu un guide de nettoyage et d contamination des fibroscopes tanches Cette tude nous a donn l occasion de faire une synth se des connaissances actuelles sur les pro bl mes infectieux rencontr s en bronchoscopie et de pouvoir les transmettre aux l ves infirmi res des infirmi res hospitali res et extra hospita li res au congr s de l AFC Paris en octobre 1991 VALUATION Pour valuer ce nouveau protocole et mettre en vi dence les r sultats obtenus nous avons tabli un pro gramme de surveillance Pour cela nous nous sommes beaucoup aid s de la m thodologie conseil l e par lAssistance Publique
36. e donn es l utilisation du service de reprographie du Centre Hospitalier d Arles afin de pouvoir faire le nombre de photocopies n cessaires la possibilit de pouvoir faire cette recherche en partie sur notre temps de travail la collaboration du laboratoire de micro bact rio gr ce auquel nous avons pu faire effectuer les analyses bact riologiques de nos diff rents pr l vements i31 2 Les moyens en personnel Cette recherche tant un travail d quipe nous avons collabor essentiellement avec Madame Fran oise ROCHE infirmi re dipl m e de bloc op ratoire ayant une grande exp rience et connaissance de ce sujet pour la partie sur les endo scopes rigides Madame Mich le HERTIER infirmi re d endosco pie dans le service de pneumologie pour les endo scopes souples Monsieur le Docteur HAUTEFORT m decin microbiologiste au centre hospitalier d Arles qui nous a soutenues et conseil es Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 ESTRES g g ge pe eve oran ve 4 Monsieur Gilbert BERTORA infirmier pid miolo iste dipl m d hygi ne et d pid miologie hospita i res Universit d Aix Marseille _ Madame Monique FORMARIER dont nous nous sommes assur es l aide et les conseils pour toute la m thodologie de notre travail de recherche et qui nous a suivies pendant les diff rentes tapes de celui ci LA PROBLEMATIQUE Nous avons d abord observ
37. e important Beaucoup de sp cialit s m dico chirurgicales sont concern es gastro ent rologie pneumologie oto rhino laryngologie gyn cologie urologie orthop die chirurgie digestive maxillo faciale Les endoscopes posent un difficile probl me d hy gi ne hospitali re En effet si la st rilisation des ob jets m talliques et en inox est facile on ne peut pas dire la m me chose des objets chrom s des colles optiques des gaines de r sine synth tique des fibro scopes Les endoscopes sont des instruments d licats fragiles par la nature de leurs optiques et qui ne peu vent supporter n importe quelle d contamination d sinfection ou st rilisation Pourquoi l impossibilit de st riliser ce mat riel entre chaque intervention favoriserait elle le premier pa tient au d triment du dernier D CISION D TUDIER LE PROBLEME Nous avons donc d cid d tudier ce probl me et d essayer de lui trouver des solutions La m thodologie utilis e a t la suivante D cision d tudier le probl me D finition des moyens n cessaires pour la mise en place de cette recherche 7 E E E ETE Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 LrnaTe mess due pie rta A EN ETS MNT TETAS EA gone a TASA IATA an a A Probl matique pour nous elle a consist ob server noter et analyser les faits ce qui se passait r ellement sur le terrain Recherche bibliographique
38. ee a Ma e et is PP T RSS CES ue EVA PROTEIN ET a A mes R bee pa A M ar ay Ok Rene ame ie eg a RE EE RO Ps LAS e aa ND A 1 yA Ed maaawa tn w henen abus D ar TE ne pie liska Monveerts te Es Re H at Y S brest A A AR r ER A A A A ns AA IO ps SE jew poes a e Dra tn EE did Rank ME de PTS Le qna de a de PORTE pe dev Pa reno e ES 42 6 pu purs ee A de mas bio Ana 2 nasa At o D me US om G pe EE so ee de a A TS LE En reet a PE 4 oi Es A va ye res e AS ETT SE e ae 4 i Me ae este CRE Le se ee Pres ae oh bre me a Poil y 1 re paretan w T ie ET 05 88 app A i D gt E ca a tre Quero riD 2 U E a DU AR eg A Ds pr Wa PRET a RTE e ESS ja AS A ie ce p e Ta agy OU ODD a se a a v p e do e e e 2 PES Ps ae A STEET Ga Dont VON o ES ah de Le vio Le Dee ue R e ph v amp QE e 4j ed gt a A RES de a he y ye re e nee ago pat n A e an 66 Re A 2 as mn De 30 MP se 2 m PTE Uy LD ve par Lu Med 9 D 2 e yaw ce 8 kipata ea en me a QT e 2 se Fe we Q o e PeR q pa A e 22 A w e de BO Les Pe gt Cell Le sn Mabe 0 QUe ee DE De 4 4 ES AO IA l ISS hred lee sees 2 KAPAS o de e PS wengie gy r aq dr q del conte ari me a de po a O de Cd e se et 4 E eb Dr E e ET D be OR mme r Al repas 7 0 i RawRAE e SS ee Tr ge o TE E ES a e rs A Y q q Mo PE MD ques b 3 PETE e Qro er gt A FE Da 8 mr aia AA gn ED 3 p y ANI A se e M2 LaS Ds EN HT firme ee M CC oi Eds E
39. el sale arrivant toujours du m me c t et le mat riel propre d sinfect tant entrepos en bout de cha ne 2 2 Sit t retir des voies a riennes du malade le bronchofibroscope doit tre essuy avec une compresse et on doit entreprendre un nettoyage par fait dans une solution d tergente neutre Un bon nettoyage d une dur e de 10 minutes d truit la quasi totalit des germes respiratoires pathog nes Le fait d augmenter le temps de d sinfection ne compense pas un nettoyage inad quat Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 TAI rra EvE TRIER EX R F TER ES Na ddr mm nn AE AA A LARARE SZA nA LILII EIIE EIR ESS SET EEE 2 3 Pendant ces 10 minutes on en profite pour net toyer la gaine externe du fibroscope immerg sur toute sa longueur laide d une compresse 2 4 On brosse les abouchements des valves d aspira tion et du canal op rateur 2 5 On brosse galement l optique l extr mit dis tale du bronchofibroscope 2 6 On couvillonne les embases du tube collecteur de la valve d aspiration du canal op rateur 2 7 On couvillonne son tour vigoureusement le canal op rateur sur toute sa longueur en fonction du mod le du fibroscope 2 8 On injecte en force la seringue environ 120 ml de la solution d tergente par toutes les embases on utilise ici un raccord de fortune afin de bien net toyer le conduit collecteur 2 9 On brosse minutieusement les val
40. ervenants du milieu endoscopique in firmi re de salle d op ration infirmi re d endoscopie services conomiques pharmaceutiques le CLIN du Centre Hospitalier peut tre le lieu de ce consen sus A 3 Deuxi me partie du programme de surveillance La seconde partie de ce programme a consist en des pr l vements r p t s des liquides d sinfectants de l eau de rin age Tous les pr l vements ont t effectu s de la m me mani re et de la fa on la plus aseptique possible afin d liminer toute cause d erreur provenant d une mau vaise manipulation L infirmi re qui doit effectuer le pr l vement pr pare une seringue st rile 50 ou 60 cc avec un embout conique et un flacon st rile pour recueillir le liquide Elle se lave les mains prend la seringue et avec celle ci agite le liquide pr lever afin d obtenir une homog nisation de celui ci sans risque de s dimenta Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 RER A ce ERES POR An i CTI LE TT NN NT EERO TETE RA TIRAIT RERE ona T TL END NT LES CAT EE AN ENT LIANT CT EN SAR STE LAON TERRE TEE ENST I TT ES tion des bact ries qui auraient pu rester au fond du r cipient Le liquide pr lev est imm diatement envoy au la boratoire de bact riologie et microbiologie pour ana lyse et mise en culture 3 1 Pour les liquides d sinfectants Tous nos pr l vements se sont r v l s n gatifs qu ils soient effectu
41. et de halo d une recherche L effet de halo r side dans les ph nom nes qui inter viennent pendant la dor e de la recherche ou qui r sultent de sa mise en application 3 1 Au niveau de bloc op ratoire Nous avons pu remarquer certains changements de comportements et dattitudes un lavage des mains beaucoup plus fr quent et soigneux de la part de tout le personnel du bloc in firmi res internes chirurgiens le port syst matique de gants pour manipuler le mat riel pendant les diff rentes phases de la d conta mination et d sinfection l utilisation de produits mieux adapt s un contr le plus r gulier du mat riel une tude puis une commande de bacs de trem page adapt s au mat riel le stockage du mat riel s est fait de mani re plus soigneuse et mieux adapt e celui ci un nettoyage plus approfondi comme nous l avons dit pr c demment la visite d un atelier de r parations de mat riel d endoscopie nous a laiss stup fait devant l tat de certains endoscopes d mon t s apr s un temps de r flexion l tude du mat riel et de ses composants a permis d envoyer au maximum les instruments la st rilisation par l autoclave aan LEA TEE AAA METET 4 4 4 se bd 5a Firma ts CR se D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE 3 2 Dans le service d endoscopies broncho pulmonaires Nous retrouvons sensiblement les m mes p
42. h no m nes mais il appara t int ressant de noter le chan gement de comportement des m decins endosco pistes qu ils soient hospitaliers ou extra hospitaliers temps partiel L tude a fait l objet de nombreuses concertations au niveau de l quipe infirmi res et m decins qui s est trouv e confront e une m thode de travail plus ri goureuse avec les contraintes qu elle impose notam ment probl me de temps pour les m decins endosco pistes L infirmi re responsable s est sentie plus motiv e et plus responsabilis e dans ses t ches en prenant conscience qu un probl me infectieux peut toujours survenir Les m decins de l quipe se sont eux aus si sentis tout fait concern s et ont m me partici p une enqu te r cente sur la d contamination du mat riel de bronchoscopie Nous avons donc a m lior notre fa on de travailler et actuellement outre le nouveau protocole nous avons not des changements Nous faisons maintenant autoclaver nos pinces biopsie Nous avons acquis des bacs de trempage autocla vables _ Nous d sinfectons les couvillons et mat riel de brossage apr s chaque bronchoscopie Nous avons en stock des valves d aspiration de re change permettant de changer imm diatement toute pi ce d fectueuse ou de les autoclaver Nous essuyons le fibroscope l aide d une compresse d s que celui ci est retir des voies a riennes
43. initialement utilis s dans un but d ensei gnement et de production vid o on s est vite rendu compte que l aide op ratoire devenait beaucoup plus performante lorsque l instrumentiste pouvait suivre sur un cran le d roulement de l intervention Ces ca m ras sont le plus souvent tanches et supportent donc une immersion Nous n oublierons pas les objectifs toujours tanches qui sont de deux types vision directe le chirurgien op re en regardant directement l cran coelio chirurgie orthop die vision partag e munis d un prisme qui permet au chirurgien d op rer en vision directe travers ob jectif tout en branchant une cam ra sur le c t 2 Ces diff rentes notions techniques nous ont t four nies par un chirurgien ORL du Centre Hospitalier d Arles et un chef de produits d une maison de mat riel m dico chirurgical t gt y Pess 2 Les notions de d contamination 2 1 D finitions Nous tenons rappeler quelques d finitions et prin cipes que tout le monde conna t mais qu il nous a sembl n cessaire de repr ciser Elles ont en grande par tie servi de base notre tude et nous ont guid de fa on judicieuse pour travailler et mettre en place une nouvelle proc dure de d contamination et d sinfection 2 Cours donn par Monsieur le Docteur ROUVIER chef de ser vice ORL au Centre Hospitalier d Arles ICA Recherche en soins infirmiers N 37 J
44. ion d contaminante et on les rince 2 14 Egouttage du fibroscope et de ses pi ces an nexes sur champ st rile On le s che soit avec des compresses st riles soit l air m dical comprim ces m thodes ne sont pas id ales Beaucoup mieux sont celles pratiqu es Marseille l H pital Sainte Marguerite au centre laser la m thode consistait passer le mat riel endoscopique pendant un quart d heure dans une tuve 40 2 15 Les accessoires pinces brosses sont empaque t s en vue d un passage lautoclave 2 16 Rangement du broncha fibroscope dans un champ st rile chang chaque fibroscopie dans son placard respectif 2 17 OU BIEN on repart pour une nouvelle fibro scopie indi 86 ETA O RT A O A I LS NUTT 7 6 PS A PE ELEMENTS IE LENS Recherche en soins infirmiers N 37 juin 1994 FER SR ka a E IEEE sarad l M kaana fI IES IPIALES POIS 7 7 IPP PEPE LITOVE TTT A aS E EPIA ATA nino EIRA kaa Pour la dur e de la proc dure entre deux fibrosco pies nous comptons environ 30 minutes Ce facteur temps est important car il d finit le rythme des rendez vous d endoscopies le nombre minimum de fibroscopies possibles dans une matin e ou une apr s midi pl fi 8 Mise en vidence d un effet de halo Avant de passer l valuation de la mise en place de ce nouveau protocole nous voudrions vous faire part de ce que l on appelle l eff
45. n aise de Chirurgie le mercredi 2 octobre 1991 La recherche a fait l objet d un expos le samedi 13 mai 1992 pendant les journ es nationales de for mation de l UNAISO organis es Arles 13 SOMMAIRE INTRODUCTION D CISION D TUDIER LE PROBL ME LES MOYENS LA PROBL MATIQUE LA REC HERCHE DOC UMENTAIRE LE CADRE CONCEPTUEL 1 Les endoscopes 2 Les notons de d coniamination MISE EN PLACE D UN PROTOCOLE L Au niveau du bloc op raiie 2 Au niveau du service d endoscopies bronchopul monaires 3 Mise en vidence d un effet de halo VALUATION 1 La surveillance 2 Fonctionnement de notre programme de surveil lance 3 Dewi me parie du programme de suveilance Lire partout infirmi re et infirmier ee 4 e 7 AU Carro ir ART TIA III RA dr III Ira 6 ed sirrrevrrreis Ens barros 54 PEL D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE NOTIONS D EFFICACIT COUT la qualit des produits Les bacs de tempage CONCLUSION ANNEXES Bibliographie INTRO DUC TION Depuis une vingtaine d ann es il est vident que l endoscopie a fait des pas de g ant et personne ne songerait mettre en doute ces progr s qui s appli quent aussi bien l endoscopie diagnostique qu l endoscopie th rapeutique C est une m thode d exa men ou et d intervention de plus en plus sophisti qu e avec le mat riel qui suit de plus en plus on reux un endoscope co te tr s cher ce qui implique un enjeu conomiqu
46. ons trans ur trales de vessie ou prostate 18 cholecystectomies sous c lioscopie 32 arthroscopies 78 hyst roscopies 24 hyst roscopies op ratoires 24 coelioscopies diagnostiques 3 5 coelioscopies chirurgicales 23 pleuroscopies avec talcage de pl vre 7 Op Cit p 39 p 28 reve dida sito se re SATA es TARA E ET ET NET EEE CP EEE A KIAL pra IO i EER 55 DIT ES a AA IA ez 2233 IE D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE aucun patient n a pr sent un probl me infectieux ou un incident inflammatoire Les crit res de diagnostic ont t la pratique selon les cas de CBU surveillance de plaies op ratoires courbe de temp rature 2 3 L action Dans le cas o nous aurions eu un probl me quel conque c est dire si nous avions d cel une infec tion ou une inflammation nous aurions agi de quelle mani re Nous aurions fait intervenir l infirmier pid miolo giste et le m decin microbiologiste afin d affirmer la nature nosocomiale de l infection _ Nous aurions r pertori ce probl me et nous en aurions tenu compte Apr s une action curative envers le patient et une action pr ventive c est dire pour nous cela aurait signifi de revoir notre protocole nous aurions fait une nouvelle valuation avec la m me m thodo logie Cette proc dure peut et doit tre r valu e r gu li rement dans le cadre d un consensus qui regroupe les diff rents int
47. ous Glutarald hyde letter Chest 1980 Aug 78 2 pp 352 353 USA SIECMAN IGRA Y et coll An outbreak of pulmonary pseudoinfection by Serratia Marces cens Journal of Hospital Infection 1985 6 pp 218 220 USA WHEELER P W LANCASTER D KAISER A B Bronchopulmonary cross colonization and infec tion related to Mycobacterial contamination of suc tion valves of bronchoscopes J Infect Dis 1989 May 159 5 pp 954 958 USA Nashville Tenessee WOODCROCK A CAMPBELL Bronchosco py and Infection Control The Lancet 1989 Jul 29 2 8657 pp 270 271 England Bulletin Epid miologique Hebdomadaire 1987 n 40 157 1 59 Pr vention de la transmission de infec tion VIH dans les lieux de soins et de laboratoire Compte rendu des XI s journ es de formation GIFE groupement des infirmi res pour la formation d en doscopie juin 1991 Hop E Herriot Lyon Service du Professeur LAMBERT Groupe de Travail de la soci t Britannique de Gas tro Ent rologie nettoyage et d sinfection du mat riel d endoscopie gastro intestinale recommandations provisoires 1988 pp 1 134 1 151 Circulaire DGS DM n 23 du 3 ao t 1989 relative la pr vention du virus de l immunod ficience humaine chez les personnels de sant ATT LEONE EL EONTT I LEE TT ELU ART TES NT ETES ANT LAI Tod 64 IA SLT AAA TIA Id Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994
48. r ge 4 ve LA O rl TS qu Pes os e e sg ee PS A o EL REA Te pa QA nn ee i A EE ds 0 ye qe DD A6 Qe blo want dde M ed 2 Le a O a a preme ie ve 37 Se a do 8 aan E Gertat Ta a a de iw bi E N e QA a care IA o ve D A7 wA a LS e e nee sn e ey 2 Ann PTE EE aan ee ZA 2 A aon W que AS 0 a o h e ao e De a re PA EEE ES Me armee QU ss A E Es Hs e nee ie At a A ss LE ay ws ta a ar gt sagrada y vr Mae ci AT O a 296 ee Deia A as a A DY e 27 met gt o OQ Pet A Res as Q gt da Ah mauw Ues i pe e REAL na o ss OA Le See de DY ane Oe Led mos E e Dev R rr e me 20 ex b me ue der Lee AS e ne e AE Eee Are marne pa peer ple mastit S e Dos re RE ce Le SRE D Dee SR PONTS FANS PAS es 6 0 e 4 er is pa S Sms a POS 0 A de E r A a t ae ge Dr O a mw amer ere va rl LL ER A ane RE ee ame ve Dar ne D ee SEE me NUE PER LS A St 3 s H sae e 26 30 PU o po qy mn Dr en Qt pa ne ee jr 2 dns SpE SS Da e de e qual e Did z Donea in a e T o SE D sem Ve EL se Qe FC On SFera ra LE uns pi AAA a x Fat Se Dr E ES e E SUR RS D Ns ER rt O As Fi ES 3 e 0D p ER huit 2 08 el D ed Qe e po DRE Sa o EA E k O Rire Le gege e yA a A o 0 OE lt a Ds e A y do a a e e gt r e Ex eS E daa Y q a q e ia reena Naeata e Y De a 408 SR US TA E a s ner mt a O RI RSR Eu A EA A AA REDES r erreren AA OEN pr D a e ge 2 LA vA STRA Fo RES a e o A e E YZ Tam y e ee WR Eeg y A er Y a UE e Er E a E EE a A
49. raction dans le corps mm tous les objets p n trant dans les cavit s st riles certains objets p n trant dans les cavit s non st riles les endoscopes par exemple Pour tre efficace le proc d de st rilisation doit in tervenir sur du mat riel propre De plus ce mat riel doit tre s ch et emball Bact ricide virucide fongicide sporicide Cestemes sont employ s pour d finirla lyse des dif f rents germes Ces effets sont obtenus par l action de diff rents produits d contaminant d sinfectant anti septiques et bien s r des m dicaments antimicro biens 22 Probl mes de l endoscopie La d contamination du mat riel d endoscopie est une n cessit imp rieuse Il n est plus acceptable d ac complir des actes d endoscopie diagnostique ou th rapeutique en faisant courir au patient le risque d une infection iatrog ne caus e parle manque de d contamination et de d sinfection d un endoscope ou d un de ses accessoires L endoscopie th rapeutique doit ob ir aux m mes nomes de rigueur que la chirurgie traditionnelle Et pourl endoscopie diagnostique la place pr pond rante prise au fil des ann es notamment aux d pens de la radiologie surtout dans l exploration digestive augmente le risque de voirappara tre descas rares peut tre maistoujoursregrettables de transmission de maladie virale ou bact rienne au cours d une ex ploration de routine La transmission du vi
50. re froide dans une cuvette pleine d eau Si celui ci laisse chapper des bulles d air on vitera de l utiliser Cette pr paration dure environ de 10 15 minutes Toutes ces mesures de pr paration prises l tape de d sinfection peut alors commencer 1 2 D sinfection 1 L infimi re immerge l endoscope dansla solution d sinfectante base de glutarald hyde ou de formal d hyde 2 A l aide d une seringue on fait circuler le produit dans tous les conduits et en actionnant les robinets Il existe galement des irrigateurs Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 Pr mem mm yr ERITREA 3 Le trempage dure alors 15 20 minutes en fonc tion du produit utilis fourni par P conomat de l ta blissement Toutes les manipulations dans cette solution se font avec des gants st riles et des lunettes de protection cause de la toxicit des produits qui pour tre effi caces nen sont pas moins tr s agressifs 1 3 Rin age Pendant le temps de trempage nous pr parons le rin age Nous pr f rons faire ce rin age sur la table d instruments recouverte de champs st riles L infir mi re circulante donne le bac st rile l instrumen tiste habill e st rilement et doublement gant e Celle ci sort du bain d sinfectant le mat riel et lim merge dans l eau st rile remplissant le bac de rin age afin de le rincer abondamment avec la seringue dans tous les conduits Pour
51. rgainage au silicone avec un surfa age des deux extr mit s ll est noter que certains c bles ne b n ficient pas du gainage acier dont la rigidit sup rieure celle des fibres permet de garantir cette rigi dit Il existe galement des c bles de lumi re cristaux li quides ou c bles de lumi re fluide dans ce cas la lumi re n est pas transmise par les fibres de verre mais par un liquide sp cial se trouvant dans le c ble C est une des raisons pour lesquelles ce type de c ble est un peu plus rigide et ne peut tre courb aussi fortement que les autres Par contre son avantage r side dans la transmission plus r guli re du spectre On Putilisera donc de pr f rence pour les prises de vue photo de cin ma et de TV endoscopique Quelle que soit sa nature le c ble de lumi re froide doit tre adapt llembase de la source et au raccord de l optique En ce qui concerne la st rilisation de ces c bles de lu mi re froide il s agit simplement d un probl me de fi bres qui peuvent tre autoclavables ou non Par contre les c bles cristaux liquides ne peuvent tre st rilis s ni la vapeur ni au gaz 1 3 Les sources lumi re froide Bien que n entrant pas dans le domaine de l tude ci tons les sources lumi re froide qui sont compos es de deux parties une lectronique et un c ble Nous venons d tudier le c ble L lectronique d pend de la lampe halog ne ou arc
52. ron choscopy Journal of Hospital Infection 1985 6 pp 194 200 USA HANSON P J COLLINS J V AIDS and the lung AIDS aprons and elbow grease preventing the nosocomial spread of human immuno deficiency vi rus and associated organisms Thorax 1989 oct 44 10 pp 778 783 England HANSON P J V JEFFRIES D et coll Infection control revisited Dilemma facing today s broncho scopists B M 1988 July 16 297 6642 pp 185 187 England HOFFMAN K K WEBER D RUTALA W A Pseudoepidemic of Rhodotorula rubra in patients un dergoing fiberoptic bronchoscopy Infect Control Hos pital Epidemiology 1989 Nov 10 11 pp 5 1 1 51 4 USA North Carolina KENNEDY M Pseudoepidemic of Rhodotorula ry bra in patients undergoing fiberoptic bronchoscopy Inf control Hosp Edpidemiol 1990 Jul 11 7 pp 334 336 KIRCKPATRICK M B BASS J B Quantitative bacterial cultures of broncho alveolar lavage fluids and protected brush catheter specimens from normal subjects J Hosp Infect Janv 1988 11 1 pp 93 95 USA LEC LERC P DEFENOYL O ROQUE D ORBCAS TEL O et coll Contamination des fibroscopes par les mycobact ries mythe ou r alit Ann Med Interne Paris 1985 136 6 pp 482 485 LEERS W D Disinfecting endoscopes how not to tansmit Mycobacterium Tubercolosis by broncho scopy Can Med Assoc 1980 Aug 23 123 4 pp 27
53. rus du SIDA ne fait que sensibili ser les malades le personnel m dical et para m dical un risque beaucoup plus ancien et peut tre aussi beaucoup plus r el celui des virus des h patites B C non A non B Quelques recherches dans la litt rature montrent que le risque infectieux en endo scopie est loin d tre n gligeable plusieurs tudes rapportent des surinfections provoqu es par des actes endoscopiques Cf bibliographie la fin de l tude Des bact ri mies streptocoques staphylocoques salmonelles par auto infection des infections virales telles que l h patite B et m me des contaminations par le BK sont d crites Lors de l tude bibliographique sur la fibroscopie bronchique nous avons retenu une douzaine de Cas de contamination infection crois es en rapport avec l acte bronchoscopique entre 1978 et 1991 Cf bibliographie la fin de l tude On considere qu il y a eu contamination crois e ou colonisation lorsqu on a isol plusieurs fois le m me geme dansles liquides de lavages bronchiques de plusieurs malades ayant subi cons cutivement une fi broscopie bronchique On dit qu il y a infection croi s e lorsque les malades contamin s ont pr sent des signes cliniques en rapport avec le germe contami nant ou que le geme en cause isol est un geme potentiel vrai ex BK h patite B Pami les gemmes contaminants nous avons retrou v le plus souvent du pyocyanique
54. s en place au niveau du bloc op ratoire et au niveau du service d endoscopies broncho pul monaires du Centre Hospitalier d Arles Ce changement de proc dure s est fait avec l accord de l infimier pid miologiste et sur les conseils du m decin micro biologiste Les op rateurs ont t inform s bien s r de ce chan gement Madame Fran oise ROCHE infimi re de bloc op ra toire dipl m e d tat s est charg e de la pr sentation du nouveau protocole au bloc op ratoire Dans le service d endoscopies bronchopulmonaires c est Madame Mich le HERTIER qui a travaill sur la mise au point des nouvelles proc dures et qui les ex posera ira 1 Mise en place AU protocole au niveau 23 Re 34 du bloc op ratoire Nous avonstous connu l poque o noustraitions ce mat riel de fa on sommaire nous le nettoyions avec un d tergent ordinaire le s chions et le stockions dans des bo tes contenant des pastilles de trioxym thyl ne ou quelques gouttes d aldhyl ne sur une compresse produits dont on ne pouvait pas contr ler we wy apom w y ve mw m a wx mare es mas 9 a meme ve an won age anean we a expo a me vg me w e LIOR we ve ay mm meme e iie a PE EL LAN TT ELEMENT I IN PEUT TL O OOOO TI LITE DT TITI LE NT IS ITR DPI ILES ENT SI ESAIT LTA NET TEL ET TEEN IL ES les param tres car on les ignorait Nous mettions ce mat riel au chaud sur le poupinel pendant quelques heures Et nous consid rons qu au bout de
55. t de 40 490 mm pour les optiques rigides Les angles de vis es ou b quillages vont varier de 0 directe 120 et les largeurs de champs vont varier de 60 140 Les bonnettes des optiques rigides partie o vient s appliquer l il pour regarder sont toutes aux m mes normes 32 mm de diam tre ce qui n est pas le casdes fibroscopes ou endoscopes souples Chaque optique poss de un raccord sp cifique pour adapter un c ble lumi re froide Les optiques sont donc constitu es en dehors des dif f rents syst mes de transports d images de fibre de verre transportant la lumi re et de support m tallique tube laiton et tube acier ainsi que de certaines colles qui servent au montage Les diff rentes natures de ces mat riaux utilis s ainsi que leurs diff rents coefficients de dilatation ne permettent pas aujour d hui de passer les optiques autoclave Les optiques dans le monde de la vid o endoscopie sont les mat riels les plus fragiles surtout dans les pe DE LENNOUET y AT EARONNTILESNONT TE LENS ST ENT APT LL O PVP a POZA OA PARO Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 taras Erdrpieritgisd nina mana e tits diam tres la fragilit augmente avec la diminu tion du diam tre et avec la longueur de l optique 1 2 Le c ble lumi re froide Le c ble lumi re froide est constitu d un ensemble de fibres de verre d une gaine m tallique ainsi que d un su
56. tant ll faut essayer d tre inventif et d avoir de l imagination 1 4 R fl chir l organisation du travail Si c est possible mais il faut tre r aliste il faudrait avoir plusieurs appareils ou plusieurs optiques ce serait l id al Mais quand on peut il faut veiller alterner les exa mens qui permettent de changer d appareil par exemple un adulte puis un enfant Si un endoscope co te cher essayons de multiplier le mat riel peu co teux pour ne pas avoir le r utiliser dans la m me matin e Ceci peut nous apporter un gain de temps consid rable 8 Il faut pouvoir le conditionner en pochette individuelle de la mani re dont il nous sera le plus pratique pour tre utilis par exemple trocarts raccords souples d insufflation tuyaux d irrigation c ble conducteur de lumi re froide ll en est de m me pour le mat riel de net toyage brosses couvillons 8 Op cit p 23 p 16 POLA AE AO PAE PAE 80 PA A EA A OS OPE LAA O a Lis Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 1 5 Nous pensons enfin qu il est important d avoir du personnel inform infirmi re de bloc op ratoire ou infirmi re d endoscopie L ensemble de ces techniques n cessite du personnel comp tent et entra n aux explorations et la mainte nance des endoscopes LA QUALIT DES PRODUITS De ces notions d efficacit nous voudrions dire quel ques mots sur les produits employ s 333 1
57. ticles publi s dans diverses re vues Nous avons essay d en lire le maximum PERRET TI TT PARITARIA veyas ankio E jee er vu ve te Ar A E EEE FIDA ARMADA a o x FTR REERARMER ES TOTEE 69 ire PARAR 234 33 ISRAEL ES Re Ie PDA HATE LE D CONTAMINATION EN ENDOSCOPIE 1 1 Les articles Plusieurs tudes ont d j t publi es sur le sujet trai t ici Nous les avons lues et nous avons cit dans la bibliographie de ce travail celles qui nous ont appor t le plus d informations susceptibles de nous aider 1 2 L historique de l endoscopie Cette bibliographie nous a permis d apporter des no tions sur l historique de lendoscopie Nous rappelle rons bri vement ici uniquement celle de l endosco pie broncho pulmonaire Tout commen a New York en 1847 lorsque Horace GREEN y passa le premier tube au travers de la bouche et du larynx jusqu la trach e Puis Chevalier JACKSON un pionnier de la pneumologie am ricaine utilisa pour la premi re fois cette m thode pour extraire les corps trangers En Europe c est KILLIAN un Hollandais qui effectua la premi re bronchoscopie en 1897 Le nettoyage tait r duit un simple rin age sous l eau froide et un s chage ext rieur l alcool Pen dant pr s d un si cle on a tent de mettre au point des m thodes de nettoyage plus hygi niques mais toujours controvers es Ce n est que r cemment en 1974 qu on a recommand en
58. tre deux patients de faire passer une solution savonneuse au travers du bronchoscope puis de le rincer l alcool 30 Entre temps en 1966 IKEDA a invent le broncho scope souple D s ce jour la fibroscopie bronchique a connu un v ritable essor et ceci a modifi l explo ration des affections broncho pulmonaires Toutefois alors que les conditions d hygi ne se sont bien am lior es depuis 1974 il persiste de nos jours des risques de contamination Plusieurs tudes de par le monde ont essay de les valuer et ont tent avec les comit s de contr le de l infection de d gager une strat gie pr ventive FH 2 Les t moins privil gi s Certaines personnes de par leurs connaissances tr s sp cialis es de par leur situation professionnelle sont des sources d informations pr cieuses 1 1 FORMARIER M POIRIER COUTANSAIS G Initiation la recherche en soins infirmiers Ed Lamarre Poinat Paris 1988 vargs IE a irie weasaggyyoryyyyvevysv Prat TES Pi MAREETELEA TER ITI EP UT Sn c Recherche en soins infirmiers N 37 Juin 1994 PROPRES LE Der PRIORI REPARA TIL E ORAR AIM emo proeza pre gum 3 xro rr ARTO EBRO a A AMI DA La RARA e O namAd Ric io camaro tic oda cad Dicc nan ar Eco RAEE IESITI ETTI aos a Comme nous l avons pr cis plus haut nous avons pu b n ficier de laide et des conseils d un m decin microbiologiste ainsi que de l infirmier pid miolo giste
59. uin 1994 ETS D contamination C est une op ration qui vise diminuer la population bact renne Elle d signe une diminution massive de germes d un mat riel sale souill dans le but de le ren dre suffisamment propre pour tre pr t subir efficace ment les proc dures de d snfection ou st rilisation Certains auteurs estiment que cette op ration corres pond une r duction de la population bact rienne d un facteur entre 1 04 et 1 05 Il faut signaler que pour les besoins de la mise en place de la marque de qualit des produitsd conta minants en particulier la marque NF la terminologie risque d tre modifi e la d contamination s appelle rait pr d sinfection avant nettoyage D sinfection C est l limination dirig e de germes destin e em p cher la transmission de micro organismes ind sira bles en alt rant leur structure ou leur m tabolisme Nous verrons un peu plus loin que la d sinfection doit tre obligatoirement pr c d e de la phase de d contamination nettoyage En effet d sinfecter un endoscope recouvert de d chets de mucosit s de mati res organiques serait une erreur sachant que les germes seront prot g s de l action du d sinfectant par les mati res prot iques St rilisation C est l limination compl te et d finitive de tout germe pathog ne ou non Son domaine d application englobe tous les objets p n trant par eff
60. ves d aspira tion d mont es ainsi que toutes les pinces biopsie si on en a utilis s et les brosses cytologiques A savoir Les machines ne lavent et ne d sinfectent pas mieux les broncho fibroscopes que la m thode manuelle mais elles ont des avantages elles lib rent le personnel de certaines t ches le personnel est moins expos au mat riel conta min et aux vapeurs de glutarald hyde condition que le syst me soit bien tanche ces vapeurs se r pandent moins dans l air ambiant Ces machines pr sentent aussi des inconv nients leur prix la n cessit de contr ler la machine elle m me afin de pr venir une contamination bact rienne des tuyaux d irrigation l endoscope doit toujours tre goutt son canal couvillonn manuellement avant d tre plac dans la machine 2 10 Apr s l tape du nettoyage on rince la serin gue au niveau de toutes les embases avec de l eau st rile de pr f rence car il peut y avoir des bact ries ubiquitaires dans l environnement susceptibles de contaminer l eau du robinet 2 11 On s che le mat riel pour viter toute dilution du produit d sinfectant 2 12 On immerge le broncho fibroscope ses valves ses accessoires les couvillons les brosses les pinces biopsie les mat riels pour pr l vements prot g s PATATE SANTE TER O ce du 48 SE a o sd EE dans la solution de d sinfectant On aspire
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