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N° 09 Avril 2002 3.23 Mo

1. y 3 TOR dh quation remarquable qui montre au prix de quelques tol rances d criture que les effets de la pression sont constants et ind pendants de la pression En effet g et R sont des constantes l quation diff rentielle de la r fraction au voisinage du sol ne d pend donc que du gradient de temp rature Or ce gradient devrait tre mesur avec une pr cision telle que m me des hommes de laboratoires de m trologie que sont les micro m t orologistes y ont renonc il n est donc pas question de passer outre ce qui limine toutes mesures de temp rature ou de pression On va dans un effet de circularit vertueux utiliser leurs r sultats avec d autant plus d assurance qu ils sont tir s des mesures de d viations de rayons lumineux qu on cherche estimer ce qui entre autre avantage vitera d avoir d finir ce qu est un gradient mesur de cette mani re Ce qui au demeurant n est pas facile car l air a une conductibilit calorifique tr s faible qui devrait interdire d voquer les valeurs qu on trouve qui ne sont que des moyennes entre les temp ratures des filets d air l ger ascendants et filets d air plus lourds qui descendent quelles moyennes On parle de temp ratures potentielles BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 I Traitons le cas le plus simple celui o le gradient de temp rature est constant avec la hauteur c est un ca
2. 3226 1998 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2000 LA R FRACTION ATMOSPH RIQUE AU VOISINAGE DU SOL Par Claude Million Claude Million wanadoo fr Site perso wanadoo fr Claude Million INTRODUCTION Dans la majorit des cas quand on veut appliquer une correction de r fraction on utilise une formule simpliste qui corrige la fois la r fraction dite normale et la correction dite de niveau apparent due la courbure de la terre 2 du genre de Ag A 15 Or il se trouve que la r fraction dite normale n est peut tre pas aussi courante qu on le croit ou que son appellation pourrait le laisser supposer dans certains pays elle serait m me exceptionnelle ou bien on ne l a jamais constat e du moins avec les valeurs que donne cette formule passe partout qui ne m ne nulle part On voudrait montrer la r alit au demeurant assez simple que recouvrent tous les crits qui se sont accumul s sur le sujet Pour notre part on avait d couvert l existence des corrections de r fraction non canoniques l occasion de la r daction d un m moire E S G T commenc en 1947 et soutenu en 1949 1 Devant l normit des anomalies constat es le mot n tait pas trop fort pour l poque on avait t amen v rifier toutes les observations de nombreuses fois sous tous les ciels et sous tous les climats et entrer en rapport avec tous ceux qui s int ressaient au ph nom ne On
3. 5 1976 J Saastamoinen Contributions to the Theorie of Atmospheric Refraction Bulletin G od sique N 105 106 107 6 1995 H Brys Theorische Grundlagen der Refraktion beim trigonometrischen Nivellement h chster Genauigkeit Allgemeine Vermessung Nahrichten N 2 1 h Dh Fih Dh Ih Dh In h Dh a Dh An Dh 1 3 h Dh 3 Gih Dh a pas as gt nia 1 Dh GO pp De 2 he DA BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2000 Hertz n 6 eometrigue Centre de Courbure local du Geoide BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 DZ T DZ C I Ab BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2002 2 0 7 0 97 AS f We lt x 0 41 Le EN Ne sa ES T e be i he 0 3 s Fig5a BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2002 2 h 4 20 ns ee ge E eee E E 2 3 4 Dh al 0 8 h A O A i os AN So La f 0 4 F En 0 2 Em E E a ee ars AE rs A 0 1 3 4 Fig 5 b BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 2 Fig5c BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 2 D PR RE E O A a pas o is _ 1 0 1 2 3 4 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Y h 0 6 UN Y Sa 0 6 an S i Es gt a 4 et O
4. IWMMM 3 Colorado USA F 1 303 492 2468 http cires colorado edu iwmmm 3 E nolin spectra colorado edu Dave Diner E did jord jpl nasa gov 10 14 June 2002 International Association of Geodesy Matera Prof Fernando Sanso UPDATED V Hotine Maruss Symposium on Mathematical ITALY P 39 02 2399 6504 7518 Geodesy F 39 02 2399 6530 http www iges polimi it IAG hotine html E fsanso ipmtf4 topo polim1 it E elena geo polimi it 11 13 June Third International Symposium on Remote Istanbul Prof Derya Maktav Sensing of Urban Areas TURKEY E dmaktav ins itu edu tr http www ins itu edu tr rsurban3 A Prof Filiz Sunar Erbek P 90 212 2853801 F 212 5737027 E fsunar ins itu edu tr Toronto Tammy Stein CANADA P 1 281 251 6067 24 28 June IEEE IGARSS 2002 F 1 281 251 6068 http ewh 1eee org soc grss igarss html E tstein phoenix net BULLETIN des SCIENCES GEOGRAPHIQUES AVRIL2000 OSOS 8 12 July 2002 Confirmed by Council 14 18 July 2002 NEW 15 16 Aug NEW Confirmed by Council 20 23 Aug 2002 Confirmed by Council 20 Aug 6 Sep 2 6 Sep Confirmed by Council 3 6 Sep NEW 9 13 Sep Confirmed by Council 11 13 Sep 2002 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 200 Telegeo 3 Intenational Symposium http lisi insa lyon fr laurini telegeo Nice Sophia Antipolid FRANCE Ottawa CANADA Joint International Symposium on GeoSpatial
5. lui deux cl s importantes qui nous permettent de le caract riser Structures caract ristiques en Rugueuse compression d axe E W et NW SE Pr sence particuli re Fracturation importante de dykes aux divers Rugueuse formes Granite circonscrit a Faible Importante Rugueuse faible radiom trie Est du hoggar central Tableau 2 Interpr tation des diff rentes unit s g ologiques cristallophyli nnes partir des donn es images de T M L une des caract ristiques importantes de ce faci s est la pr sence de structures particuli res dykes dont la forme de leur structure est variable Le deuxi me crit re r side dans sa valeur en terme de temp rature radiom trique lev e canal 6 du TM Sa limite g ologique dans les autres canaux du visible n est pas vidente L ensemble du Prot rozo que inf rieur gneiss et migmatites pr sente une tectonique calme et une tonalit encore plus claire donc des valeurs lev es Ce radio faci s m ta s diments indiff renci s est r pandu dans la partie Est du Hoggar polycyclique et se pr sente diff remment en terme de mode d affleurement Des structures caract ristiques en compression d axe Est Ouest et Nord Ouest_ Sud Est le caract risent Sa limite g ologique avec le granite syn orog nique est moins vidente dans le canal d infrarouge thermique mais l g rement apparente dans le canal 5 de T M 1 2 2 2 Le Hoggar oriental Le
6. pour qu une proc dure de changement de nom fut institu e Cette ordonnance fut modifi e et compl t e par la loi relative la commune du 07 04 1990 N 90 08 du 07 04 1990 relative la commune qui pr cise que la commune est la collectivit territoriale de base dot e de la personnalit morale et de l autonomie financi re qu elle a un territoire et un Nom le changement de nom d une commune les d signations sont d cid es par d cret pris sur rapport du ministre de l int rieur apr s avis du wali et sur proposition de l assembl e populaire communale Pour le nom de la wilaya il est fix par d cret pris sur rapport du ministre de l int rieur sur proposition de l assembl e populaire de wilaya et toute modification intervient dans les m mes formes Un autre texte relatif la d nomination de certains lieux et difices publics fut publi en 1977 Ce texte r glemente et met en place la proc dure suivre dans le cas des d nominations de lieux Un autre texte parue en 1981 et portant tablissement d un lexique national des noms de villes villages et 1 Voir liste en annexe autres lieux Les noms de villes et de villages ont t translitt r s en caract res latins en suivant le syst me de romanisation dit de Beyrouth 1972 amend l exemple de Constantine Qacentina Oran Wahran etc mais cette initiative assimil e tort ou raison une action d arabisation est vite tomb e d
7. tudie les sensibilit s aux modifications de l environnement de soixante cinq habitants d une commune rurale belge Des facteurs li s la modification la personne et aux relations entre la personne et le lieu sont analys s COMMENT TROUVER LE MEILLEUR NOM GEOGRAPHIQUE LES VOYAGEURS FRAN AIS ET LA QUESTION DE LA DENOMINATION DES ILES OCEANIENNES AU XIX SIECLE Par H lene Blais Les voyageurs francais dans le Pacifique au d but du XIX si cle en mission scientifique et commerciale entreprennent de pr ciser la cartographie des d couvreurs europ ens de l poque des Lumi res Dans cette entreprise la question des toponymes des les appara t comme un enjeu majeur tant du point de vue de l appropriation politique que de celui de la simple ma trise g ographique du territoire Le souci affirm de restituer les noms indig nes de trouver des termes ad quats pour d signer et identifier les les n est pas exempt de contradiction que cet article met au jour pour tenter d apporter un clairage sur la constitution et l identification d un vaste territoire insulaire UN GEOGRAPHE TRACEUR DE FRONTIERES EMMANUEL DE MARTONNE ET LA ROUMANIE Par Emmanuelle Boulineau Emmanuel de Martonne fut convi comme expert participer un Comit d tudes pour pr parer la Conf rence de la Paix de 1919 A travers son expertise des pays roumains on analyse les crit res et les outils g ographique mobilis
8. 1925 l U GG I comptait 31 pays membres En 2001 elle en compte 66 Au d but l Union chapeautait six sections G od sie S ismologie M t orologie Magn tisme et lectricit terrestre Oc anographie physique et Volcanologie Une septi me section Hydrologie Scientifique fut cr e en 1922 Le terme Section a t remplac par celui d Association lors de la cinqui me Assembl e g n rale tenue a Lisbonne en 1933 En 2001 I U G G I compte sept Associations internationales semi autonomes Les langues officielles de lU G G sont l anglais et le francais OBJECTIFS ET ACTIVITES DE L U G G L L U G G I est une organisation purement scientifique qui a t fond e afin de promouvoir et de coordonner les tudes sur les propri t s physiques chimiques et math matiques de la Terre et sur son environnement spatial Ces tudes concernent la forme de la Terre la nature de ses champs gravitationnel et magn tique la dynamique de la Terre en tant qu entit et de celle de ses composants la structure interne la composition et la tectonique de la Terre la formation des magmas la volcanologie et la gen se des roches le cycle hydrologique dont la neige et la glace la physique et la chimie des oc ans l atmosph re l ionosph re la magn tosph re et les relations Soleil Terre ainsi que les probl mes analogues propres la Lune et aux autres plan tes Les activit s de l U G G I comprennent l ob
9. Ce qui suppose qu on omet d crire des termes qui ne varient pas ou m me qui sont totalement inconnus On voudrait voquer au pr alable un cas pratique assez courant celui des stations dites totales Il s agit de stationner un point quelconque qui n a pas besoin d tre un point de canevas et de le rattacher des points du canevas en relevant ces points partir de la station totale En planim trie cette mani re de faire qui stup fie les anciens donne des r sultats excellents en revanche le rattachement en altim trie est rarement satisfaisant du moins au m me niveau de pr cision que la planim trie parce qu il ne b n ficie pas comme les points du canevas de vis es r ciproques presque simultan es EFFETS CONJUGU S DE LA TEMP RATURE ET DE LA PRESSION On va montrer que la r fraction atmosph rique n est due qu aux effets du gradient de temp rature les effets du gradient de pression restant constants On d rive d abord la formule de Descartes Snellius n sin i const sous forme logarithmique In sin i In n In const soit dn i tg i di e g i en remarquant que H 1 vientla relation de base 1 De la m me mani re on va chercher une relation physique entre l indice de r fraction de l air et sa temp rature ainsi que sa pression On laissera d lib r ment de c t les effets dus la teneur en eau de l air qui n interviennent que pou
10. DUNOD LES GRANDES EXPEDITIONS DU NATIONAL GEOGRAPHIC R dig es par des auteurs du National Geographic les Grandes Exp ditions du National Geographic proposent une r trospective de l activit des chercheurs soutenus par la National Geographic Society Sont retrac s les exploits des nombreux aventuriers scientifiques et autres qui pendant plus d un si cle ont incarn l me de la mission que s est donn es la Society Explorer le monde et tout ce qu il contient Les RANDES XPEDITIONS du NATIONAL GEOGRAPHIC LMUHDSEN COUSTEAU Mi ddr o Leger BALLAR PEART BINGHAM PECARD Beso GOODALL FOSSEY GLENN EARLE LEAKEY KiE Pii LE E T ed Citons l alpiniste Edmund Hillary l explorateur polaire Will Steger le Commandant Jacques Yves Cousteau ou encore Diane Fossey Charles Lindbergh et Bob Ballard La pr face est de Peter H Raven pr sident au sein de la Society du comit pour la recherche et l exploration Edition NATIONAL GEOGRAPHIC Tous ces ouvrages et p riodiques sont disponibles au niveau de la biblioth que de FI N C T BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 CALENDRIER DES MANIFESTATIONS SCIENTIFIQUES INTERNATIONALES CONTACT 4 7 May 2002 EuroMed 2002 conference Sharm El Sheikh R R Zahran NEW http www desline com eurromed2002 pdf EGYPT P 203 591 1152 0096 F 203 591 0720 4340 E zahranrr O Intouch com 21 24 May 2002 2 Symposium o
11. ce nombre de classes a t fix a priori afin de prendre suffisamment en compte la variabilit radiom trique de la zone Nous proc dons ensuite une calibration th matique de cette image class e A partir des zones d entrainement dont l occupation du sol est connue et de la connaissance g n rale de la r gion nous affectons aux 35 classes initiales un contenu th matique particulier Plan de sondage Une fois la classification r alis e nous mettons au point un plan de sondage ar olaire Pour cela nous localisons nos segments sur l image satellitale ainsi que sur la carte topographique et proc dons aux relev s sur terrain du contenu de ces segments avec leurs superficies Afin de d finir nos segments une grille est superpos e sur l image et l chantillon est ainsi obtenu en tirant au hasard K nombres compris entre 1 et 100 Cette m thode permet d obtenir un chantillon syst matique align de K r p titions La t l d tection avec des images satellitales de l ann e repr sente un atout important pour encadrer les r sultats de terrain obtenus travers le relev des segments Ceci signifie que les statistiques agricoles sont toujours finalement r alis es sur le terrain et que la t l d tection n est qu un appui pour rendre ces r sultats de terrain plus fiable au cours du temps L ensemble des segments th oriques qui couvre la totalit du territoire sert de base de sondage
12. de cr er un mod le num rique surfacique fid le de chaque original 68 x 48 cm reliefs 3 cm pour atteindre les objectifs suivants Valider un relev de pr cision par scanning sur un objet arch ologique Archiver une empreinte num rique des plaques Disposer d un mod le num rique en vue de futures reproductions chelle r duite R aliser des tudes sur objet virtuel Visualiser un objet virtuel 3D site Internet APPORT D UN SIG NOMADE POUR CARTOGRAPHIER LA VEGETATION NATURELLE DE L ILE DE LA REUNION Par H l ne Durand A la demande de la DIREN un projet de cartographie de la v g tation naturelle de l le a t lanc r cemment sur l le de la R union La premi re phase a consist d velopper des m thodes de spatialisation Des m thodes originales de r colte de donn es terrain couplant GPS et SIG nomade ont permis de r colter l information terrain dans de bonnes conditions sur les trois sites test retenus Les atouts de ces nouvelles m thodes sont largement d taill s Elles ont conduit renseigner rapidement la phase de photo interpr tation men e sur les ortho photographies APPLICATION A LA CARTOGRAPHIE D UN RESEAU Par Beno t Legeard et Richard Forest L objectif de cette communication est de pr senter un programme de g n ralisation cartographique vectorielle d velopp en amont d une application de SIG existante d di e a la cartographie et la gestion d un r
13. es en fonction de l coulement du temps Le temps est lui mesur avec une horloge atomique Les mesures de base ou brutes sont donc un couple de valeurs comportant le temps et la position de la masse test La valeur mesur e de g la pesanteur est obtenue en ajustant une parabole sur la trajectoire graphe de la position en fonction du temps Cette m thode pour mesurer g est absolue car sa d termination purement m trologique est en relation directe avec les talons de mesures du temps et de distance L talon de distance est donn par un laser helium n on HeNe faisant partie int grante de l interf rom tre Tandis que l talon de temps est assur par une horloge atomique rubidium Pour une description plus d taill e du gravim tre nous prions le lecteur de consulter le mode d emploi du gravimetre dont une copie est disponible l INCT Figure 2 Le gravim tre absolu FG5 111 la station de Tamanrasset 3 Protocole de mesures L assemblage du gravim tre FG5 prend entre 30 et 60 minutes suivant les circonstances Il faut compter deux heures avant que l lectronique n atteigne sa temp rature de fonctionnement optimale Une fois les diff rents r glages termin s les mesures peuvent commencer Le gravim tre est alors pilot par ordinateur La s quence de mesures est programm e par l op rateur BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 En g n ral l intervalle de temps entre deux mesures con
14. l s aux diff rents travaux r alis s dans la r gion Un document th matique sur le plan cartographique suivi d une interpr tation est ainsi propos Mots cl s In Azaoua fracturation donn es spectrales infrarouge thermique ABSTRACT The objective of this work consists in establishing the teleanalytic of the In Azaoua region to 1 500 000 by the means of the Thematic Mapper data of Landsats The land of survey characterizes it self by two very distinct geological wholes A sedimentary one essentially sandstone and the other cristallophylian So correlation between the collected spectral data by the different channels of the Thematic Mapper data with features of pre cambrian and primary formation rocks of the In Azaoua basin Central Southerner Hoggar was established Some homogeneous geological provinces have been characterized The thermal infrared data contribution was determining in the cartography of lithologic limits of these two wholes The support to criteria of identification indeed fundamental criteria of the photo interpretation spectral signature structure texture and the morphological aspect is fundamental The obtained results were correlated to the different works achieved in the region A thematic document on the cartographic plan follow up of an interpretation 1s proposed thus BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 20 L INTRODUCTION Les donn
15. la d finition de son propre programme et de soutenir les activit s de ses propres composantes Commissions et Comit s inter associations En raison de la nature interdisciplinaire des domaines trait s par les Associations internationales trois Commissions inter associations ont t cr es pour assister l Union et la communaut g ophysique internationale par la promotion de l tude de probl mes interdisciplinaires particuliers Ces organisations sont habilit es par le Comit directeur de l UG G L mener des recherches conjointes entre les Associations Les commissions inter associations font l objet d un examen et d un remaniement lors de chaque Assembl e g n rale de l U G G I En 2001 les trois Commissions cr dessous taient actives G ophysique math matique Mathematical Geophysics CMG Etude des profondeurs terrestres Study of the Earth s Deep Interior SEDI Commission sur les risques g ophysiques et le d veloppement durable Geophysical Risk and Sustainability GEORISK En outre deux ou plusieurs Associations internationales peuvent cr er et soutenir des groupes de travail conjoints charg s de sujets scientifiques sp cifiques Par l entremise de l UG G I des repr sentants d une Association internationale participent la direction de projets interdisciplinaires internationaux comme le ICSU Scientific Committee on the Lithosphere International Lithosphere Program SCL ILP La struc
16. qui serviront de liens avec les utilisateurs potentiels par la mise disposition de donn es logiciels proc dures En outre l AIG doit mettre en place un projet f d rateur intitul IGGOS Integrated Global Geodetic Observing System qui servira de r f rence aux travaux d velopp s par les autres institutions scientifiques internationales ICA ISPRS Commission for Developing Countries CDC La commission est compos e de MM Denizar Blitzkow Vice Pr sident de l AIG et Pr sident de la commission Br zil E Fonseca Br sil J Y Chen Chine C Merry Afrique du Sud S Kahlouche Alg rie J Manning Nouvelle Z lande et de absents Budapest J N Hernandez Venezuela et S Mahmoud Egypte Un rapport provisoire de la commission a t tabli et discut pour la pr sentation des principales activit s men es dans les pays du Sud Le projet de calcul de g oi de pour l Afrique a t voqu ainsi que la mise la disposition des donn es gravim triques par GETECH Universit de Leeds qui a autoris une utilisation sur place des donn es disponibles son niveau Projet AFREF Une r union informelle a t tenue par le pr sident de la commission 10 R seaux continentaux sur les perspectives de lancement du projet AFREF African Reference Frame N ont pris par cette r union que trois pays africains Alg rie Benahmed Daho Kahlouche Zeggai Benhamouda Ma
17. rateurs d ingr dients dangereux types d averses risque facteurs morphologiques de torrentialit terroirs expos s aux submersions Puis on tente de r pertorier et d analyser la r partition spatiale des crues meurtri res par sites par cours d eau par d partement tout en introduisant le crit re de gravit un v nement peut faire davantage de victimes qu une dizaine d autres Cette analyse se compl te par l approche dans le temps plusieurs pas p riodes critiques de l histoire phases de calme relatif r partition saisonni re des crues meurtri res heures de pr dilection de ces v nements dans le cycle journalier D s lors il n y avait qu un pas franchir pour tenter de cerner les circonstances dans lesquelles se nouent les drames humains et les cat gories sociales les plus victimes de ces al as DISCONTINUITE GEOGRAPHIQUE ET PARTICULARITES CLIMATIQUES EN BASSE NORMANDIE D termination des caract res climatiques d un secteur d pourvu de station m t orologique p renne en suisse Normande Par Olivier Cantat Laurent Brunet La prise en compte des facteurs g ographiques locaux permet de pr ciser le contour des transitions climatiques d termin es l chelle r gionale et sub r gionale L installation temporaire d une station m t orologique exp rimentale a mis ainsi en vidence une continentalisation des conditions atmosph riques dans la vall e de l Orne son passage en Suisse Normande
18. riques de donn es g ographiques Ce mod le permet un utilisateur d explorer ces cas d utilisations et de les r utiliser pour ncevoir sa propre application Ce mod le contient des m tadonn es sur les donn es des m tadonn es sur les traitements de donn es et d autres concepts d di s la description de contextes applicatifs Un prototype de ce syst me cod en java est galement pr sent BULLETIN des SCIENCES GFO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues GENERALISATION DE L ALGORITHME DE DOUGLAS ET PEUCKER POUR DES APPLICATIONS CARTOGRAPHIQUES Par Xavier BARILLOT Jean Fran ois HANGOUET Hakima KADRI DAHMANI Cette communication reprend les principes math matiques du fameux algorithme de Douglas et Peucker et montre que s il a t con u pour la g n ralisation du lin aire 1l est en fait applicable des ensembles d objets de g om trie quelconque E LA LETTRE DU CRAAG HELP TO SPECIFY USER NEEDS IN GEOGRAPHIC INFORMATION ON THE WEB Par Fr d ric HUBERT Avec le nombre croissant des sites Web g ographiques les utilisateurs novices ou experts ont de nouveaux besoins par rapport leur usage de l information g ographique sur le r seau Internet Ils ne peuvent pas toujours exprimer leurs besoins Cet article propose de r soudre ce probl me Ceci consiste ajouter plus d interactivit aux sites Web g ographiques en mtroduisant de nouveaux moyens de communication entre l
19. un quipement de mesures GPS de Leica Deux antennes GPS taient dispos es au sommet relay es par quatre antennes install es Combloux les Condamines Chamonix et Montroc Le mat riel utilis tait le capteur g od sique GPS500 de la toute derni re g n ration L itin raire du retour a t mesur pour tablir un profil en long de la voie normale qui fut ensuite offert la soci t des guides en remerciement de leur participation Le traitement des donn es est en cours l heure de ces lignes il prend en compte l paisseur de la neige et de la glace au sommet Cette mesure vient apr s celles d j faites par la firme pour d autres altitudes prestigieuses l Everest 8846 m le Kilimandjaro 5893 m le K2 8614 m et derni rement le mont Aconcagua 6962 m Leica Geosystems Parc du St Laurent 54 route de Sartrouville b t le Quebec 78232 Le Pecq Cedex www leicageosystems com The 2001 2002 Satellite Navigation Guide En novembre est paru le premier guide europ en et international de la navigation et du positionnement par satellite Cet outil de travail r pertorie l ensemble des comp tences de ce march au lendemain du Mondial NavSat qui s est tenu a Nice la mi novembre XXL Communication Mis rue Bartholdi 92100 Boulogne Billancourt T l 01 55 38 92 00 Fax 01 55 38 9209 E mail info navsat show com BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Infos G n rales Un
20. usage des bases de donn es dans les applications spatio temporelles exige la conservation de l historique des donn es lors des op rations de mise jour Le mod le conceptuel de la base de donn es doit int grer en plus des composantes de l espace x y z la composante temps t La conservation de l historique des donn es pose certains probl mes en particulier la complexit de la mod lisation la complexit des algorithmes de reconstitution des objets la gestion d un volume de donn es plus important qui croit avec la fr quence et l importance des mises jour Lors de la d finition des besoins il est tr s important de bien s lectionner les informations conserver dans l historique le volume de donn es et la complexit de la mod lisation d pendront de cela La conservation de l historique pr sente un autre avantage tout aussi important c est la possibilit de r g n rer en diff r l tat ant rieur de la BD en cas de pannes ou d erreurs D une mani re g n rale il existe deux mod les de conservation de l historique dans une base de donn es localis es mod le version mod le journal ABSTRACT Spatiotemporal applications represent an important part of the activities of the community of geographic sciences If in classic cartography it was possible by using maps in various dates the usage of spatial data bases as source of information does not very often allow answering
21. 130 120 110 100 Y C O 0 es 4 O D u OQ E Z ITRF2000 97 velocity errors mm y E ITRF2000 BITRF97 Number of Sites ul Figure 4 Histogrammes des positions et vitesses des stations ITRF2000 ITRF 97 Les champs de vitesses des stations de PITRF2000 Bien que l ITRF2000 ait t align sur le mod le NNR NUVEL 1A il est instructif de quantifier les vitesses r siduelles entre les deux La figure 5 illustre les diff rences de vitesses entre l ITRF2000 et NNR NUVEL 1A pour 49 des 50 sites choisis r partis sur 6 plaques tectoniques ayant au moins 4 sites Cette figure montre clairement des r sidus syst matiques par plaque entre les deux champs de vitesses comme par exemple entre les plaques Eurasie et Nord Am rique pour n en citer que ces deux Ce comportement r siduel sugg re qu il y a des diff rences significatives des vitesses relatives entre plaques entre l ITRF2000 et le mod le relatif NUVEL 1A Cette diff rence est globalement de l ordre de 3mm an Cependant ceci n alt re pas la qualit interne de PITRF2000 dans la mesure o le but de l alignement de PITRF2000 au mod le est de d finir uniquement l orientation diff rentielle de l ITRF2000 Par cons quent l utilisateur doit tre conscient que les p les de rotation pr dits par le mod le NNR NUVEL 1A ne sont pas gaux ceux qui pourraient tre estim s partir des vitesses ITRF2000 La figure 6 mo
22. 2002 UPDATED Confirmed by Council 7 11 Dec 2002 NEW Confirmed by Council The 10 ACM International Symposium on Advances in Geographic Information Systems ACM GIS 2002 Symposium of Commission I Joint meeting winth Pecora XV AARS Symposium ACRS 2002 Symposium of Commission VII The Council and Joint Meetings with Technical Commission Presidents McLean VA USA Denver Colorado USA Katmandu NEPAL Hyderabad INDIA Hyderabad INDIA CONTACT Shu Ching Chen P 1 305348 3480 F 1 305 348 3549 E ns Prof Stanley Morain President Com I E s Amy Budge P 1 505 277 3622 ext 231 F 1 505 277 3614 Prof Shunji Murai E President Dr Rangnath Navalgund P 91 79 676 88 62 F 91 79 676 27 2735 E Symposium Secretariat F 91 40 3878962 3878360 F 91 40 3877210 E isprst Lan Dowman ISPRS Secretary General E idowman O ge ucl ac uk Il est port la connaissance de nos chers chercheurs des sciences de la terre que le prochain num ro du Bulletin des Sciences G ographiques sera consacr la probl matique de l am nagement du territoire en Alg rie Ce num ro sera un espace de discussion de r flexion et d change consacr a l am nagement l enseignement des sciences g ographiques l environnement etc Dore et d j d minents g ographes ont mis le voa de contribuer ce num ro entre autres Mr Marc c te de l
23. 22 di M okhiAmanrasset 20 18 Longitude Figure 1 R partition g ographique des stations du r seau de gravim trie absolu d ordre z ro alg rien 2 Description du gravim tre absolu FG5 Le gravim tre absolu utilis lors de cette campagne est le FG5 111 de la National Science Fondation des Etats Unis Ce gravim tre bas Boulder est sous la responsabilit du Professeur Roger Bilham de l Universit de Colorado Boulder USA Les gravim tres absolus FGS sont construits par la firme Micro g Solutions Inc Boulder C est l unique compagnie au monde qui commercialise ce type d instrument Le gravimetre absolu FGS est un instrument la fois tr s pr cis et exact et transportable qui mesure la pesanteur c est dire l effet conjugu de l acc l ration de la pesanteur et de l acc l ration centrifuge due la rotation de la Terre Le principe de fonctionnement du FGS est relativement simple Gr ce un syst me m canique une masse test est soumise une chute libre sur une distance de 20 cm dans une chambre sous vide Un interf rom tre laser permet de mesurer tr s exactement la position de la masse test en acc l ration due la pesanteur durant sa chute libre De la mesure de la trajectoire de la masse test on peut calculer directement l acc l ration de l objet Durant la chute libre de la masse test l interf rom tre laser produit des franges d interf rence optiques Ces franges sont compt
24. Consciente des recommandations du Groupe des Experts des Nations Unies sur la normalisation des noms g ographiques elle a mis en place r cemment en 1998 une Commission Permanente Sp cialis e de Toponymie sous l gide du Conseil National de l Information G ographique Comprenant 12 membres experts entre linguistes g ographes cartographes historiens administrateur etc elle est charg e de proc der l valuation de l activit nationale en mati re de toponymie d mettre des avis et recommandations sur les principes g n raux les r gles et proc dures devant pr sider la normalisation des noms g ographiques leur orthographe et leur utilisation de proc der aux tudes visant l analyse des toponymes existants et recommander les mesures correctives n cessaires notamment par l adoption de toponymes nouveaux de susciter les travaux d tudes et de recherche dans le domaine de la toponymie se rapportant notamment l tablissement de bases de donn es d tablir des relations et proc der des changes avec les organismes nationaux et internationaux concern s par la toponymie La Commission a trac un programme de travail assez ambitieux en plus de ses r unions p riodiques elle a cet effet organis 03 ateliers r gionaux Oran Alger Constantine avec les responsables charg s au niveau local de la gestion de la toponymie ces rencontres qui constituent une premi re au nive
25. DS saca F a he 2 pi pin y AS Jp af 4 pp ee md SE A 1 O Ad 0 y gt 3 4 Dh Fig5e BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 O mb gt O Cal 3 NES A oe ee 0 5 D SLT to O 5 tf cn oro od i apo en ES e 44 ft fa pire D ee 1 O 1 2 3 4 Fiq 5f BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 e a i pS A LA Nos Sa AS e ES gt T E Me a H 4 E E e E fi 4 pa Eros ENS 1 0 1 2 3 4 Dh Fig 59 bee oct seed Sy ee tock aoe BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2002 X GESTION DE L HISTORIQUE DES DONNEES DANS LES BASES DE DONNEES LOCALISEES Par BENMOHAMED Mohamed Charg de Recherche Laboratoire de G omatique Centre National des Techniques Spatiales BP13 31200 ARZEW benmohamedm cnts dz RESUME Les applications spatio temporelles repr sentent une part importante des activit s de la communaut des sciences g ographiques Si en cartographie classique cela tait possible en utilisant les cartes diff rentes dates l usage des bases de donn es localis es comme source d information ne permet pas tr s souvent de r pondre ce besoin En effet la plupart des bases de donn es localis es sont b ties sur un mod le statique qui ne comporte que les donn es les plus r centes L
26. Depuis 1963 elles ont lieu tous les quatre ans Le Tableau n 3 indique les ann es et les localisations des Assembl es g n rales de l U G G I Au cours de ces Assembl es g n rales on adopte les politiques r gissant l U G G I et on d finit et coordonne les programmes n cessitant une participation internationale De plus on labore les plans d ex cution de ces programmes de recherche Les r sultats scientifiques des programmes en cours font l objet de discussions lors d un grand nombre de symposiums de r unions de commissions de groupes de travail ou de rencontres r unissant les scientifiques assistant aux Assembl es Le Conseil le Bureau et les Comit s de l U G G I L U G G I est dirig e par le Conseil de 1 U G G I lequel est r gi par les statuts et le r glement int rieur de l Union Le Conseil de l U G G I est compos des d l gu s accr dit s des pays membres Le Conseil de l U G G I se r unit lors de l Assembl e G n rale de l UG G I o il est proc d l lection des membres du Bureau de l U G G L et du Comit des finances de l U G G I Les membres du Conseil de l U G G I qui ont assist s la XXII Assembl e G n rale en 1999 seront pr sent s ci dessous Le Bureau de l U G G traite des affaires administratives entre les rencontres du Conseil Ses membres lus par le Conseil sont au nombre de sept quatre responsables Pr sident Vice pr sident Secr taire g n ral et Tr sor
27. Escales Internationales ont eu lieu en octobre et novembre Bruxelles Paris Gen ve Londres Alger Rome Rabat Beyrouth Manchester pour pr senter les innovations les produits les solutions La soci t r alise aujourd hui 50 des ventes de licences l export ses solutions s adaptent bien aux caract ristiques locales m me les plus fines GeoConcept est un outil des plus fiables pour la gestion des r seaux complexes des soci t s industrialis es 1l apporte par exemple une aide l optimisation des ressources en eau potable en Afrique du Nord et au Proche Orient Parmi les nouveaut s qui ont t pr sent es lors de ces escales signalons la nouvelle version GeoConcept 5 qui b n ficie d un moteur totalement r crit adapt la gestion des cartes et des bases de donn es les plus lourdes b n ficiant d une ergonomie accrue et d une meilleure compatibilit avec d autres outils de gestion de donn es Notons galement GeoConcept Pocket adapt e aux solutions mobiles sous Windows CE pour travailler sur de la cartographie ou du g omarketing en d placement et les technocartes qui en int grant des technologies ultraperformantes W M ou SmartLabel acqui rent une facilit et une qualit d exploitation in gal es et permettent de t l charger des cartes et de les redessiner la vol e GeoConcept E mail de Marie Alba marie alba geoconcept com BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVR
28. Figure 1 Exemple d image de l infrarouge thermique TM 6 de Landsat 5 de la r gion d In Azaoua Sc ne 191 45 du 30 septembre 1990 et 190 45 du 22 octobre 1989 Ainsi le canal de l infrarouge thermique IRT canal 6 de T M a permis la cartographie de la limite g ologique entre le domaine s dimentaire et le socle cristallophylien Cette limite correspond un contact anormal de type discordance Ce m me canal a permis de 0 de mettre en vidence correctement la diff rence de d nivel entre les affleurements du socle par rehaussement avantageux des aspects structuraux e de constater l impartialit des textures dans la diff renciation des faci s appartenant la couverture s dimentaire partie sud ouest du bassin d tude Ceci est vraisemblablement d au placage d sertique de la patine ferrugineuse En revanche la limite g ologique des formations Siluriennes en contact avec celles du D vonien est moins vidente mais p remptoire avec les affleurements du Carbonif re Ind pendamment du canal de T M5 les autres canaux du visible permettent une bonne d finition des contours g ologiques des unit s affleurantes Figure 2 Exemple d image de l infrarouge moyen TM 7 de Landsat 5 de la r gion d In Azaoua Sc ne 191 45 du 30 septembre 1990 et 190 45 du 22 octobre 1989 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 4 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 20 1
29. Hoggar oriental autre domaine caract ris par un fort contraste d un point de vue g ologique pr sente des unit s bien caract ristiques par leur lithologie leur volution tectonique et leur m tamorphisme tableau 3 Il s agira 1 de la s rie de Tirririne Est de la faille de 8 30 arkoses conglom rats et silts 2 du granite Panafricain pr coce de la zone Djanet Tafassasset 3 et des diorites Unit s G ologiques S ries de Tirririne Faible Plus ou moins Moyenne Pr sence vers le Nord de lignes importante particuli res apparentes bien distinctives Granite Panafriacain Plus ou moins Calme Lisse Formes caract ristiques pr coce importante Faible extension Tableau 3 Interpr tation des diff rentes unit s g ologiques du Hoggar oriental partir des donn es images de T M LEGEND C Quaterary Dune Quaternary E Carboniferous EM Devonten a Silurian EE Cambro Ordovicien E Syn Orogenic granite pr ma Middle Proterozoic amphibolite faci s Hoggar Central tm Lower Proterozoic Metasediment undifferenciated Arrechhoum series Djanet Tafassasset Zone Tirrne Chain E Tahagoart index ma line series Green schiste facies Echelle 1 2 352 564 EM Pan Africam early erante Diontes Ey Discordance ES Geological limit E Fault Figure 3 Carte t l analytique d In Azaoua partir des images de T M L analyse des crit res fondamentaux de la photo interpr tation a permi
30. L AIRE URBAINE DE MAMOUDZOU ET LES VILLAGES MAHORAIS Par Didier Benjamin Henry R Godard Depuis deux d cennies les structures conomiques et sociales de Mayotte subissent de profondes mutations L aire urbaine de Mamoudzou point d entr e des marchandises concentre les personnes les activit s et les investissements et domine l ensemble de l archipel devenu banlieue du p le urbain nord oriental Les flux convergent vers ce centre dont le pouvoir de diffusion et de redistribution vers les deux finisterres qui l encadrent reste limit LA VAGUE DEFERLANTE DE L IMMIGRATION Par Henry R Godard Armelle Kaufmant Depuis le milieu des ann es 1980 le flux d immigrants officiels et clandestins dont plus de 90 proviennent de la R publique f d rale islamique des Comores RFIC s est intensifi Pour les Comoriens des Anjouanais fuyant le d nuement pour la plupart l archipel fran ais est une planche de salut Pour les Fran ais de m tropole dont le nombre s accroit rapidement depuis les ann es 1980 ce territoire exotique offre des emp lois d encadrement LA CARTOGRAPHIE DES HABITATS TERRESTRES DU RESEAU NATURA 2000 EN BRETAGNE Par Marion Hardegen Fran oise Gourmelon Fr d ric Bioret sylvie Magnanon La directive europ enne Habitats Faune Flore 1992 pr voit pour les sites d int r t communautaire du futur r seau Natura 2000 la r alisation d inventaires et de cartographies standardis
31. MNT provient de la diff rence entre ces deux dates car la restitution du relief s effectue par corr lation des deux images entre elles o il s agit de mesurer les diff rences provenant uniquement des carts entre les angles de prise de vue ce qui est facilit par les conditions radiom triques identiques Or en l espace de quelques jours les conditions de prises de vue ne sont plus les m mes la lumi re a chang des champs ont pu tre labour s le paysage s est modifi Gr ce au HRS la ressemblance sera maximale entre les deux images car elles sont prises une minute et demie d intervalle Ce type d acquisition est d deux t lescopes un l avant et un l arri re et leur angle de vis e de 20 L emprise ainsi couverte en 3 minutes est de 600 x120 km On notera galement que Spot Image et l IGN ont cr un partenariat pour b tir sur le long terme une base de donn es 3D in dite constitu e de trois couches superposables un MNT et une orthoimage constitu s partir des donn es HRS mais galement partir d autres capteurs ainsi qu une couche d informations qui permettra en chaque point des deux couches pr c dentes de savoir quelles sont les sources de donn es origines et les traitements utilis s Cette base de donn es est baptis e GeobaselO Il semble que les futures donn es SPOT 5 soient vou es un grand avenir Nous aurons l occasion de revenir sur les diff rents produits
32. Toutefois ces mesures doivent tre en ad quation avec l outil utilis qui est la t l d tection En effet la r p titivit des prises de vues la r solution spatiale et la discrimination spectrale des images permettent l acquisition de l information spatio temporelle des surfaces cultiv es en temps opportun Actuellement des statistiques sont publi es mais les m thodes de collecte utilis es ne permettent pas d valuer la fiabilit de ces donn es Le syst me statistique Alg rien surtout en mati re de donn es agricoles et socio conomiques souffre des probl mes suivants Y La mauvaise qualit des donn es Y Leur manque d actualit en raison du long d lai qui s pare leur collecte de leur mise disposition finale Y Leurs co ts lev s par rapport leur utilit r duite Objectifs de l tude L objectif de cette tude est de mettre au point une m thodologie d inventaire agricole fiable dont les r sultats sont fournis en temps opportun En effet l laboration d une m thodologie qui s appuie sur la combinaison des donn es terrain et de t l d tection pour une meilleure statistique et une cartographie de l espace agricole constitue un objectif long terme d un syst me capable de Y Distinguer identifier et mesurer le plus rapidement possible et avec le maximum de pr cision les surfaces agricoles Y Evaluer les productions agricoles r alis es cette tache demande l estimation des surfa
33. Ulis les distributeurs vont tre int gr s au r seau de distribution Trimble Cette soci t se pr sente en France et dans le monde en position dominante sur les march s mergents de la topographie de la navigation automobile du guidage d engins de gestion de flotte et d infrastructures de communications Simultan ment Trimble pr sente un ensemble de solutions de contr le 3D d engins pour un contr le de nivellement sans jalon r sultat direct de la collaboration avec SpectraPrecision Il s agit du syst me de contr le de machine GPS SiteVision introduit sur le march en 1999 avec deux options le SiteVision Auto et la version antenne unique pour scrapeurs En placant le plan du site dans la cabine et en utilisant une technologie GPS de pr cision associant des informations de positionnement et de conception en temps r el ce syst me permet aux op rateurs d engins de r aliser avec pr cision des op rations de terrassement sans intervention ext rieure Dans SiteVision Auto le GPS est connect au syst me hydraulique de l engin la lame est automatiquement r gl e sur l l vation et la pente crois e exacte d o productivit am lior e et moindre usure du mat riel Avec l volution permanente de ce syst me SiteVision GPS Trimble offre une gamme de produits de terrassement totalement int gr e Trimble France ZA de Courtabauf Parc Hightec VI 9 av du Canada les Ulis 91966 Courtabauf Cedex
34. avec une pr cision de 5 al0 m Gilles TROISPOUX BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Bulletin du Comit Fran ais de Cartographie N 169 170 ROAD NETWORK GENERALIZATION A MULTI AGENT SYSTEM APPROACH Par C cile DUCHENE Mathieu BARRAULT Kelvin HAIRE Cet article introduit un mod le original bas sur une approche multi agents pour la g n ralisation automatique du r seau routier Les travaux pr sent s ont t r alis s dans le contexte du projet europ en AGENT ESPRIT 24939 L article insiste sur le besoin d une analyse g ographique multi niveaux Il montre comment l approche multiagents r pond aux exigences de la g n ralisation du r seau routier Des r sultats obtenus avec cette approche sont pr sent s et discut s ESPACE GEH LPM te ir APPE ONDE Morris de Lgr aghe EMMANUEL DE MARTONNE ET LA CARTOGRAPHIE ETHNOGRAPHIQUE DE L EUROPE CENTRALE 1917 1920 Par Gilles PALSKY Emmanuel de Martonne est connu comme l un des fondateurs de la g omorphologie et l un des principaux disciples de Paul Vidal de la Blache Mais il joua aussi le r le de g ographe expert au sein du Comit d tudes organisme fond par le d put Charles Benoist pour pr parer les r glements de paix de la premi re guerre mondiale et notamment les trac s de fronti res L expertise d E de Martonne s appuyait en particulier sur la comparaison et la construction de cart
35. avons r ussi observer 3 sets avant qu une panne lectronique ne survienne due aux temp ratures lev es La valeur moyenne est certainement proche de la valeur qui aurait t obtenue avec plus de sets voir la coh rence des valeurs des sets pour les autres stations Par contre la pr cision de 1 microgal sur 3 sets de mesures n est pas significative Une pr cision plus r aliste peut tre estim e en doublant voir triplant ce chiffre In Salah Pour cette station nous avons utilis le groupe lectrog ne et la climatisation La temp rature fut assez lev e de 20 27 degr s Celsius Les observations ont dur 14 heures Nous avons limin les sets 15 18 19 et 20 Cela a peu affect la valeur moyenne mais am liore la pr cision de 1 9 0 7 microgal La valeur anormale du 15 set correspond une variation brusque de la temp rature dans le local Tandis que les sets 18 20 correspondent une variation de la verticalit de l instrument Oran La station est situ e au sommet d une colline dominant la ville d Oran Au d but des mesures le ciel tait couvert 1l faisait froid et le vent tait violent Le temps s est progressivement am lior Ceci explique pourquoi les barres d erreur sont plus grandes en d but de la session d observations Un set de mesures aberrant a t limin L absence de mesures en milieu de session fut caus e par une d ficience dans l alimentation lectrique au
36. chacun de 05 sessions A Fine tuning Reference Frame Implementation B From E tv s to Satellite Gradiometry New Vistas in Measuring and Modeling the Earth s Gravity Field C Geometry and Beyond Using Global Navigation Satellite Systems GNSS in New Ways D Modeling Earth Processes and Global Change 2 Participation nationale Trois communications ont t pr sent es session poster lors de cette assembl e Elles ont port sur Geodetic lines transformations GPS Levelling and Nord Sahara Datum Comparison with Global Models A Zeggai S A Benahmed Daho S Kahlouche A N Nabed S Touam A Tool for an Adjustment of Combined GPS Levelling Geoid Networks S A Benahmed Daho Geodynamical Study of the North of Algeria ALGEONET Preliminary Results S Kahlouche S Touam B Gourine H Mouzaia A Saib A Abtout M Anzidei 3 Travaux annexes En marge des symposiums organis s diverses activit s ont t men es notamment Restructuration de PAIG Le comit de refonte des structures de l AIG a propos la suppression de l ancienne organisation sections commissions SOUS commissions groupes de travail services et son remplacement par 4 commissions Geodetic Reference Frame Gravity Field Earth Orientation and geodynamics et Positioning and applications dont le r le est essentiellement la recherche th orique et par les services g o de GPS
37. consid ration par les autres scientifiques et nombreuses sont les occasions de rencontres et de collaboration avec d autres participants de l U G G I Si la situation conomique d un pays ne lui permet pas l adh sion de plein droit l U G G I le statut de membre associ peut tre une tape vers l adh sion de plein droit Les cotisations qu un pays membre r gulier paye sont calcul es selon un bar me en fonction de la cat gorie Table 1 d fini par le Comit des finances de l U G G I Les cat gories refl tent la situation conomique du pays et asa participation aux Assembl es G n rales de l U G G I Les d tails figurent dans le titre III des statuts et le titre III du r glement int rieur de l U G G I Chaque cat gorie correspond un nombre d unit s permettant de calculer la cotisation En 2001 la valeur d une unit de cotisation tait de 1 400 dollars Le Comit des finances utilise un algorithme pour d terminer le montant de l unit Le Comit des finances examine galement la cat gorie d adh sion de chaque pays membre au moins une fois tous les quatre ans Tout d faut de paiement d une cotisation par un pays entra ne son passage dans une cat gorie particuli re de membres sans droit de vote dits observateurs Le d faut prolong de paiement des cotisations peut entra ner l expulsion d un pays de l U G G I BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 OS Compte Rendu Assembl e I
38. de deux graphes Le premier montre la dispersion des valeurs de g set par set par rapport la valeur moyenne Le second graphe montre l volution de la pr cision de la d termination de la pesanteur en fonction de la dur e des observations e Un second ensemble de deux graphes l un pour la temp rature l autre pour la pression e Un troisi me ensemble de deux paragraphes l un avec la lecture du voltage du signal 1f du laser permettant de d terminer la longueur d onde du laser l autre graphe donne la position du superspring Les valeurs optimales de la position du superspring sont comprises entre 50 et 50 millivolts Des valeurs comprises entre 150 et 150 millivolts restent acceptables e Une copie de la fiche d observation tablie durant les mesures Table 2 Param tres de la rotation de la Terre fournis par l IERS EARTH ROTATION PARAMETERS EOP IERS C 04 INTERNATIONAL EARTH ROTATION SERVICE FORMAT 2X A4 13 2X 15 2F9 6 F10 7 2X F10 7 2X 2F9 5 DK 2 DJS K DJS K DJs K K DI K K K K K K K K K K K K K ode DJs K K K K K K K K K K K K K K K Date MJD 0h UTC YEAR gt 2001 MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR MAR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR APR 10 51978 11 51979 12 51980 13 51981 14 51982 15 51983 16 51984 17 51985 18
39. des applications de valeur ajout e dans le domaine de l information g ographique en prenant des initiatives appropri es et en conduisant des op rations de partenariat Dans ce sens l Institut a lanc des actions pour d velopper et mettre au point des outils d aide d cision en partenariat avec des entreprises priv es outre Bionatics G o Vision Avenir International Visual Tour Magellan Ing nierie Siria Technologies mais aussi des entreprises publiques Ademe DCCCRF STBA ou des centres de recherche Cerma Cirad CSTB Bionatic 12 94250 Gentilly T l 01 49 69 1220 E mail info Obionatics com av Raspail Image avec le logiciel Orchestra de la mod lisation d un golf Exemple d un plan et de la mod lisation d une all e avec le logiciel Orchestra par l agence Alain Faragou Cartographie internationalisation et nouvelle version GeoConcept 5 GeoConcept cette soci t fran aise de logiciels SIG con oit d veloppe et commercialise des logiciels et des syst mes pour le traitement de l information cartographique avec comme principe l innovation en multipliant les solutions la d mocratisation des SIG applications Internet etc et recherche de l esth tique pour la beaut de l information cartographique mais aussi pour sa pr cision D j au tout premier plan des diteurs europ ens elle se tourne r solument vers Iinternationalisation Neuf tapes formant l dition 2001 des
40. des gr s du Cambro Ordovicien Unit II dans l Ahnet et le Mouydir Sahara Central Publ Serv G ol Alg rie Nlle s rie Bull n 38 p 7 37 In HALLALOUCHE D 1995 Etude de l alt ration du socle pr cambrien h p riph rie du bassin de Tin S ririne Hoggar sud Alg rie et min ralisation uranii res et thorif res associ es Th se pour le grade de docteur de l universit de rennes I mention sciences de la terre n d ordre 1329 universit de Rennes I France HALLALOUCHE D 1995 Etude de l alt ration du socle pr cambrien a la p riph rie du bassin de Tin S ririne Hoggar sud Alg rie et min ralisations uranif res et thorif res associ es Th se pour le grade de docteur de l universit de rennes I mention sciences de la terre n d ordre 1329 universit de Rennes I France HENRY C 1985 Cartographie g ologique et g omorphologique par t l d tection Application l tude structurale du SINAI et des abords des GOLFES DE SUEZ et D AQABA Th se pour le grade de docteur de 3 me cycle Universit Pierre et Marie Curie n d ordre 85 17 mention g ologie structurale pp 1 197 Paris 6 France MOKADDEM M 1980 Le bassin s dimentaire de Tin S ririne et ses min ralisations uranif res Hoggar ALGERIE Th se Doct 3 me cycle Paris Orsay 110p In HALLALOUCHE D 1995 Etude de l alt ration du socle pr cambrien a la p riph rie du bassin de Tin S ririne h
41. donn es est d ouverture des ensuite trait et les bases d un algorithme de fusion de donn es sont pos es Le but est l obtention de statistiques de vent sur une zone d int r t fix e partir de donn es haute r solution spatiale et temporelle INTEGRATION DES DONNEES MULTI SOURCES POUR L OBSERVATION ET LA GESTION DES PAYSAGES SAHARIENS CAS DES OASIS DE FATNASSA BECHRI SUD DE LA TUNISIE Par Khaled TALBI Mohamed TALBI Najet BENMANSOUR L tude objet de cet article s inscrit dans la n cessit pour la recherche scientifique d aider surveiller observer l tat ainsi que la dynamique de la d sertification et des ressources naturelles par l utilisation des nouvelles techniques d investigation et notamment la t l d tection Il s agit de contribuer l effort national tunisien de lutte contre la d sertification et de mettre la dis position des d cideurs une information pertinente et dans les d lais requis sur les ressources naturelles pour planifier des actions continues et homog nes dans le cadre d un d veloppement durable Gr ce l exploitation de donn es multi sources photographies a riennes de diff rentes dates images satellitales donn es auxiliaires et travail de terrain on se propose de suivre la dynamique spatiale de l occupation et de l exploitation des terres dans le sud ouest de la Tunisie travers l exemple des oasis sahariens de Fatnassa Bechri Ces oasis saharien
42. du D partement s curit et environnement de Total Exploration Production Jean Georges AUDOUSSET est ing nieur conseil en assurance qualit Edition MASSON BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 7 Livres DICTIONNAIRE TECHNIQUE FRAN AIS ANGLAIS Guy Malgorn Ce dictionnaire technique anglais fran ais couvre le vocabulaire courant des principaux domaines techniques automobile aviation chimie commerce moteurs diesel lectricit machine outil ath matiques m tallurgie industrie p troli re textile etc Il est destin tous les professionnels du monde technique ing nieurs techniciens enseignants traducteurs et interpr tes Edition DUNOD DICTIONNAIRE DE MECATRONIQUE ANGLAIS FRAN AIS La plupart des technologies actuelles sont issues de la p n tration croissante de l lectronique dans les m canismes et les syst mes de production Cette volution industrielle majeure concerne tant les biens d quipements machines composants syst mes de commandes que les m thodes de fabrication ing nierie de production informatique industrielle contr le qualit L association de la m canique et de l lectronique constitue ainsi un nouveau domaine la m catronique dont le champ tend m me int grer diverses technologies de l informatique industrielle Sage Dictionnaire ANGLAIS FRANCAIS de 4 mecatronique Cet ouvrage pr sente la
43. enti re L id e de base de l ITRE est de combiner les positions de stations et leur vitesses calcul es par diff rent centres d analyse en utilisant les observations des techniques spatiales telle que 1 interferom tne tr s longues lignes de base VLBI la t l m trie laser sur la Lune et sur satellite LLR SLR le Global Positioning System GPS et Doppler Orbitography Radiopositionning Integrated by Satellite DORIS La m thode de combinaison a prouv son efficacit de produire un rep re de r f rence global b n ficiant des qualit s des diff rentes techniques Depuis la premi re r alisation de VITRS lP ITRF88 9 autres versions de l ITRF ont t calcul s et publi es Des am liorations ont constamment t apport es dans la Strat gie d analyse pour aboutir une combinaison optimale de l ITRE Altamimi et al 1993 Boucher et Altamimi 1993 1996 Sillard et al 1998 Altamimi et al 2001 Etant donn la large utilisation de l ITRF dans les applications g od siques et g ophysiques le but de PITRF2000 est d avoir un rep re am lior en termes de qualit de r seau et de d finition L ITRF2000 refl te la qualit r elle des solutions individuelles des techniques de g od sie spatiale dans la mesure o ces solutions sont libres de toute contrainte externe L ITRF2000 comprend d une part les r seaux primaires VLBI SLR GPS et DORIS et d autre part des r seaux GPS r
44. faut tenir compte du gradient vertical et l quation du mouvement modifi e devient l quation d une trajectoire parabolique avec un terme cubique et quadratique dans le temps on suppose y le gradient vertical de la pesanteur connu Y a r 121 tix sont les 700 observations de temps et position durant la chute libre xo position initiale vo vitesse initiale et go valeur de la pesanteur la position initiale sont les trois param tres estim s Des 700 franges d interf rence seules les franges 30 630 sont r ellement utilis es pour calculer la trajectoire de la masse test Les premi res fanges sont limin es car elles sont perturb es lors de la mise en mouvement de la masse test Tandis que les derni res franges sont prises lors de la phase de d c l ration de la masse test et sont d s lors inutilisables Une fois la valeur de la pesanteur estim e a la position initiale il ne reste plus qu appliquer les corrections g ophysiques Nous verrons que la correction instrumentale est appliqu e en aval de la r solution de l quation du mouvement Deux remarques importantes x X Hy tit N a l Connaissant la valeur du gradient vertical on peut transf rer la valeur de la pesanteur de la position initiale qui se trouve environ 1 30 m du sol en appliquant un terme correctif qui est simplement la valeur du gradient vertical de la pesanteur multipli e par la diff rence de hauteur BULLETIN des S
45. granitoi des de type I Le granite de Tedesi est essentiellement m talumineux faiblement peralumineux 0 96 lt A CN K lt 1 08 indiquant une affinit granito de de type I Ce sont des granites calco alcalins Les spectres de REE montrent un enrichissement des LREE par rapport aux HREE Ils montrent galement de faibles teneurs en HFSE La contribution crustale dans la gen se des magmas est mise en vidence dans les courbes multi l ments par une anomalie n gative en Nb et Ti Les valeurs de O RT de ces granitoi des varient de 8 2 9 0 oet sugg rent une origine mantellique avec une participation crustale certaine de ces granites LES GISEMENTS ET INDICES DE MAGNETITE DE LA REGION DE BERRAHAL MASSIF DE L EDOUGH NORD EST ALGERIEN ENVIRONNEMENT GEOLOGIQUE ET DONNEES PETROGRAPHIQUES Par Bachir HENNI Bernard GUY Djamal Eddine A SSA et Daniel GARCIA La r gion de Berrahal massif m tamorphique de l Edough contient d anciens gisements et indices de fer sous forme de magn tite li s a des roches calco silicat es Les corps min ralis s sont stratiformes et encaiss s dans des schistes disth ne staurotide et grenat au voisinage de marbres L tude p trographique des corps min ralis s montre que le minerai se pr sente sous forme de trois fici s minerai carbonat Mc minerai interm diaire Mi minerai silicat Ms Les paragen ses observ es dans les corps min ralis s comprennent essentiellemen
46. gravimeter is given in the following chapter The protocol of measures is exposed in the chapter 4 The chapter 5 been deals with all corrections that have been applied to the raw data Finally the sixth and last chapter contains commentaries on stations as well as technical descriptive cards and other diagrams BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Latitude 1 Campagnes de mesures Les mesures furent tal es sur deux p riodes La premi re du 2 au 13 mars fut marqu e par un certain nombre d avatars li s au retard de l arriv e du mat riel Alger et ensuite des probl mes avec l ordinateur du gravim tre Seule la station de Tamanrasset fut r alis e durant cette premi re campagne La seconde campagne se d roula du 6 au 30 avril Celle ci fut un succ s complet Douze sites furent occup s dont la station fondamentale d Alger au CRAAG o des mesures furent effectu es deux reprises Nous avons aussi tabli une seconde station Alger afin de fournir une base d talonnage pour les gravim tres ressort La grande diff rence de g entre les deux stations d Alger et la pr cision du microgal fait de cette base d talonnage un outil pr cieux et unique sur tout le continent africain La Figure 1 montre la r partition g ographique des stations de gravim trie absolue du r seau d ordre z ro alg rien 38 36 Alger A 9 Constantine 34 A 32 Ghardaia 30 28 A A Adrar in Salah 26 24
47. hauteur d appareil h au dessus du sol ou de la v g tation au dessus de laquelle passe la vis e de 1 x di Ces fonctions se substituent aux termes constants de la formule 4 lorsque le gradient n est pas constant c est dire en pr sence de r fraction consid r e comme anormale Cette situation se rep re ais ment car dans ce cas et seulement dans ce cas les images deviennent mouvantes et instables dans le cas contraire c est la formule 4 qui s applique CONCLUSIONS Le seul moyen d appliquer ces formules dans le cas le plus courant o on est incapable de mesurer le gradient de temp rature est de tirer les valeurs des param tres KI et K2 des oscillations des images On a donn dans 3 un moyen d y parvenir sans grande difficult Le tout est de savoir si les praticiens voudront se plier aux l g res contraintes que cela implique on croit que le gain de pr cision vaut le petit effort qui consiste mesurer l longation maximum des images et la noter R f rences Bibliographiques 1 1949 C Million La r fraction en tach om trie l inversion de densit M moire en vue de l obtention du dipl me d ing nieur E S GT 2 1967 G H Schut Photogrammetric Refraction Photogrammetric Engineering 3 1971 C Million Les erreurs de r fraction dans la basse atmosph re G ometre N 1 Janvier 4 1973 F R Scarface Atmospheric Refraction Photogrammetric Engineering
48. la constitution d un fond documentaire riche qui sera mis la disposition des chercheurs Ces op rations constituent un pr alable pour une d marche s inscrivant dans une perspective de normalisation R f rences Bibliographiques Guide Toponymique de la France IGN Paris 1982 Guide Toponymique du Qu bec Gouvernement du Qu bec Commission de toponymie Montr al 1979 Atoui B Toponymie et espace en Alg rie imp EPA El Achour 1998 Bulletin des Sciences Toponymie N 5 Avril 1999 G ographiques Sp cial l ONU relative aux normalisation des noms Diff rentes publication de Conf rences sur la G ographiques 2 Dans le cadre du programme de recherche national une base de donn es toponymiques est entrain d tre mise en place al INCT Tous les toponymes figurant au 1 200 000 et au 1 1 000 000 ont t d j saisis soit plus de 40 000 toponymes Cette base comprenant plusieurs param tres servira non seulement aux chercheurs des diff rentes disciplines mais galement la cartographie au cadastre aux SIG etc BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 SI ANNEXE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES Loi N 84 07 du 04 02 1984 relative l organisation du territoire du pays Loi N 90 08 du 07 avril 1990 relative la Commune Loi N 90 09 du 07 avril 1990 relative la wilaya Loi N 91 16 du 14 01 1991 relative au Moudjahid et au Chahid Ord
49. le travail et qu un meilleur acc s des femmes l automobile ont contribu l augmentation des taux d activit f minins ainsi qu la progression des femmes l int rieur du march du travail entre 1977 et 1996 EFFET DE FRONTIERE ET INTERACTION SPATIALE LES MIGRATIONS ALTERNANTES ET LA FRONTIERE LINGUISTIQUE EN BELGIQUE Par Claire Dujardin Cet article a pour objectif de mettre en vidence et de quantifier l effet de la fronti re linguistique sur les sch mas de migrations alternantes entre arrondissements administratifs en Belgique gr ce l analyse des r sidus de mod les d interaction spatiale cartographie et indice de perm abilit Les r sultats de ces analyses indiquent un effet r ducteur de la fronti re linguistique sur la migration alternante et incitent une prise en compte de l appartenance r gionale dans la formulation des mod les d interaction spatiale appliqu s aux donn es belges LA RECHERCHE DE L ENVIRONNEMENT PERTINENT CONTRIBUTION A UNE GEOGRAPHIE DU SENSIBLE Par Serge Schmitz Quels sont les facteurs qui favorisent la sensibilit une modification de l environnement Les r ponses cette question int resseraient toutes les personnes qui agissent sur l environnement Des m thodes et des concepts sont cependant explorer avant qu une g ographie du sensible r ponde cette demande L article pr sente les apports m thodologiques et les r sultats d une recherche exploratoire qui
50. moment de l allumage de l clairage public en d but de soir e Nous avons alors d cid d utiliser le groupe lectrog ne La s rie compl te comporte 19 heures d observation La moins bonne pr cision 2 9 microgal est vraisemblablement due l emplacement de la station qui est expos e au vent et plus sensible aux effets de surcharge oc anique en raison de sa proximit de la mer Bechar Le soleil tait au rendez vous la station de B char ainsi qu un vent assez violent le premier jour des observations Le groupe lectrog ne fut utilis La temp rature dans le local fut maintenue autour des 23 degr s Celsius gr ce la climatisation On notera une quantit de poussi re assez importante dans la station Le premier groupe de 6 sets a t limin Les valeurs plus basses sont plus que vraisemblablement dues un mauvais ajustement de la verticalit du gravim tre qui fut rectifi e partir du PMS set Tindouf Le groupe lectrog ne et la climatisation furent tous deux indispensables Les temp ratures comprises entre 22 et 28 degr s Celsius furent lev es La station est tr s poussi reuse Nous avons limin les trois premiers sets en raison de la perte de verticalit du gravim tre Celle ci fut r ajust e partir du 4 set La pr cision atteinte apr s 15 heures d observations est de 2 microgal Bordj Badji Mokhtar Lors de l occupation de la station 1l a fait tr s chaud Nous a
51. par l influence de la teneur en eau des roches br ches ou alluvions au niveau de la faille observ e par exemple au printemps et inversement en t pouvant ainsi offrir un brusque contraste de r flectance D autre part l l vation solaire et son azimut de direction pourraient influencer la r ponse spectrale des affleurements et ceci par l clairement qu ils offrent sachant que ce dernier leur est troitement li Ainsi l efficacit de la t l d tection est fonction non seulement du choix des canaux des objets a d finir mais aussi de la qualit des affleurements de leur environnement et des parametres de prise de vue R f rences Bibliographiques BENHAMOUDA F 1989 Contribution de la t l d tection a la prospection mini re Cas d In Azaoua Hoggar central partie m ridionale Alg rie Th Magister C N T S H C R BIROT P CAPOT REY R et DRESCH J 1955 Recherches morphologiques dans le sahara central Travaux de l Institut des Recherches Sahariennes Alger t XIIL pp 13 75 In HALLALOUCHE D 1995 Etude de l alt ration du socle pr cambrien a la p riph rie du bassin de tin s ririne hoggar sud Alg rie et min ralisation uranif res et thorif res associ es Th se pour le grade de docteur de l universit de rennes I mention sciences de la terre n d ordre 1329 unversit de Rennes I France GARIEL O DE CHARPAL O et BENNACEF A 1968 Sur la s dimentation
52. paru dans le Bulletin des Sciences G ographiques N 5 du mois d avril 1999 page 24 29 et l article de Mr Atoui Brahim paru dans le m me bulletin Toponymie et colonisation fran aise en Alg rie page 34 42 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 200 GRAPHIE DES TOPONYMES La graphie des noms officiels est celle qui figure sur les textes officiels malheureusement des divergences d orthographes parfois importantes apparaissent entre les diff rents d crets promulgu s nous pouvons citer titre d exemple Diff rences d critures relev es sur les textes officiels D cret fixant la Composition la Consistance et les limites des communes N 84 365 du 01 12 1 D cret fixant les si gesdes Chefs lieux N 84 09 du 04 02 1984 Entre ces deux textes nous avons registr plus 600 cas Tableau N 1 L op rateur charg du compl tement Collecte des toponymes sur le terrain lequel prend l avis en principe des autorit s communales mais l absence d une politique nationale toponymique et le manque de directives claires en possession de l op rateur font que les noms port s sur les cartes dit es par l Institut National de Cartographie et de T l d tection comportent souvent des erreurs et ont eu pour cons quence la profusion de diff rentes critures pour un m me toponyme A titre d exemple rien que pour les g n riques
53. pour le tirage d un chantillon partir duquel nous pouvons relever les statistiques de surface G or f rencement des donn es pour l obtention de statistiques agricoles Du fait de la diversit des informations de base utilis es des erreurs et impr cisions de toute nature peuvent se manifester aux divers niveaux du syst me g or f renc Y La qualit du contenu de la stratification r alis e d pend d une part de la nomenclature et d autre part de l identification de l occupation des terres sur des images satellitaires redress es g om triquement Y La qualit radiom trique des images satellitales est essentielle pour atteindre de bonnes performances en classification La pr cision g ographique des images r sulte bien s r de la r solution spatiale du capteur et de la pr cision de la correction g om trique Y La structure des segments enqu t s est bipolaire avec une information vectorielle du trac des parcelles incluses dans le segment et une liste d attributs r f renc s aux parcelles image 4 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 3 Minimisation des erreurs de recalage Elle concerne l ad quation entre la position des segments tablis partir des documents d enqu te et leurs coordonn es dans les images satellitales redress es Le recalage g ographique des segments dans les images permet de r duire partiellement les erreurs qui auront pour r sultats une d gradat
54. que d objet v gt d Lire objet v D incr menter i i 1 1 lt i lt n Fin tant que Objet d d objet v Pour les deux approches versions les algorithmes de gestion de l historique sont relativement moins complexes mais la duplication des informations inchang es pose le probl me de la redondance des donn es et fortiori le volume des donn s qui augmente avec la cadence des mises Jour et la quantit d information trait e 4 Mod le Journal Plut t que de dupliquer les donn es s mantiques ou g om triques le principe de la conservation de l historique type journal dans la base de donn es consiste sauvegarder dans un journal toutes les op rations transactions effectu es sur l objet avant de remplacer l ancienne version de l objet par la nouvelle figure 3 Dans une structure type journal seules les derni res versions des objets sont d finies dans leur propre structure Les structures des anciennes versions sont reconstitu es en ex cutant les op rations dans le sens inverse Le m canisme de gestion des transactions longues dans une base de donn es historique s effectue sur le m me principe que les transactions courtes la diff rence fondamentale entre les deux est que les transactions courtes ne sont pas persistantes dans le temps contrairement aux transactions longues qui le doivent imp rativement Bases de Donn es Journal Transactions
55. re assez importante qui croit avec l importance de la mise jour A terme le volume des donn es peut d passer les 50 du volume initial de la BD Il est donc n cessaire d optimiser la fois la structure de donn es et les op rations particuli rement pour les bases de donn es de grande extension La mod lisation de l historique par la m thode des versions pr sente l avantage d tre intuitive donc relativement simple r aliser mais pr sente l inconv nient de dupliquer fortement les donn es La m thode journal permet en revanche de rem dier ce probl me mais la mod lisation est assez complexe mettre en vre On pourra ventuellement combiner les deux approches pour la fois r duire les redondances et simplifier les proc dures La recherche dans le domaine des bases de donn es localis es spatio temporelles est toujours tr s active R f rences Bibliographiques M BENMOHAMED 93 Etude des bases de donn es localis es de grande extension th se de doctorat IGN Universit Paris 7 G LANGRAN 89 time in Geographic information System Taylor amp Francis 2 type de transaction cr ation destruction modification transfert scission fusion arcs cr es chang s ou d truits attributs chang s etc BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2000 METHODOLOGIE DE COLLECTE DE STATISTIQUES AGRICOLES PAR TELEDETECTION Par D YOUSFI Centre National des Techniqu
56. s minaire consacr au satellite SPOT 5 organis conjointement par le CNES et SPOT IMAGE s est tenu a Toulouse les 27 et 28 novembre 2001 L objectif de ce s minaire tait de pr senter les performances de ce nouveau satellite qui sera mis en orbite au cours du premier semestre 2002 Ainsi SPOT 5 va d une part assurer la continuit du programme SPOT en conservant les principales caract ristiques de ses pr d cesseurs accessibilit param tres orbitaux bandes spectrales et d autre part offrir de nouvelles perspectives gr ce l am lioration de sa r solution 2 5 metres tout en conservant les caract ristiques de son champ large soit 60 x 60 km De plus il sera possible d acqu rir des couples st r oscopiques de mani re simultan e gr ce son nouveau proc d HRS haute r solution st r oscopique Ainsi le nouveau proc d appel Supermode doit offrir des images de r solution 2 50 m tres Il suit trois tapes bien distinctes bord du satellite est plac e une barrette de d tecteurs permettant pour la bande panchromatique de prendre une image de 5 m de r solution Sur le m me support se trouvent en fait deux lignes identiques double barrette comptant chacune 12000 photodiodes juxtapos es et d cal es d un demi pixel en ligne et en colonne Lorsque l on d sire utiliser le Supermode on programme le satellite pour qu il active les deux barrettes Chaque barrette g n re alors une image de 5
57. s des habitats naturels et semi naturels Faute de r f rencesg n rales la DIREN Bretagne a fait r aliser un cahier des charges pour l ensemble des acteurs impliqu s Cette d marche vise une harmonisation des m thodes utilis es dans l ensemble du r seau r gional Natura 2000 LA NOTION DE ZONE DE CONNEXION BIOLOGIQUE SON APPLICATION EN AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Par Philippe M nard Philippe Clergeau La notion de zone de connexion biologique a t d finie comme un espace fonctionnel d change biologique permettant le maintien des biodiversit s locales Nous avons test son int r t et son application dans le cas d un paysage complexe tr s fragment travers par un projet autoroutier LA DIFFUSION DU TOURISME DANS L ARCHIPEL COMORIEN Par Jean Christophe Gay Des consid rations politiques ont largement influenc la diffusion du tourisme dans l archipel comorien Sa balkanisation explique que deux les sont concern es par le tourisme en d pit d un flux r duit BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2002 7 Revue des Revues B ulletin du S erviceG ologique de l Alg rie Volume 13 N 1 LE GEANT DES KSOUR UN DINOSAURE SAUROPODE DANS LE JURASSIQUE MOYEN DE L OUEST DE L ALGERIE Par Faridai Mohammed Lei la Mami Larbi Mekahli Miloud Benhamou Boumedi ne Bouterfa Ali Kacemi et Sid Ali Ch rief La d couverte d un nouveau gisement de Dinosaures renfermant les osseme
58. seau Ce programme cr e automatiquement apr s g n ralisation des cartes lisibles de ce r seau une chelle quelconque comprise entre le 1 25 00 et le 1 1 000 00 partir de donn es digitalis es et renseign es au 1 25 00 Les donn es trait es proviennent de l application d di e et y sont visualis es apr s le processus de g n ralisation puis imprim es Ce travail s est appuy dans un premier temps sur l analyse des r gles de saisie en vigueur chez le producteur des donn es cartographiques Dans un deuxi me temps le d veloppement en C a n cessit la mise en place d algorithmes complexes avec comme contrainte majeure de ne jamais supprimer d objets g ographiques ni de donn es attributaires Ce projet a t conduit et r alis par Pacte Novation en collaboration avec ESRI France MODERNISATION DU SURVEY OF BANGLADESH UN PROJET DE IGN FRANCE INTERNATIONAL Par David Desbuisson Ing nieur ENSAIS Le Survey of Bangladesh est l administration Bangladaise en charge de la cartographie et de la g od sie Dans le cadre d un projet sur financement du gouvernement fran ais IGN France International a mis en place une cha ne de production de carte num rique au sein de l institution bangladaise Ce projet avait pour principal but d amener au Bangladesh des techniques modernes de cartographie et de transmettre un savoir faire aux techniciens et cadres du Survey of Bangladesh Centr sur la mis
59. secteur globalement frais et pluvieux Un double effet d abri a rologique est l origine de ce ph nom ne abri r gional sous le vent des collines de Normandie et local vall e Le but appliqu de cet article est d tablir une proc dure simple pour extraire d une base de donn es r gionale la station au comportement climatique le plus semblable dans un secteur d pourvu de stations m t orologiques p rennes BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues Bulletin Soci t jrancaise de yhotogramm trie et fl l d tection N 163 BULLETIN N 153 ru Cite n a es dr ATTE cr T Fi 4 y ie dr i 11 Evaluation Du Potentiel Eolien Offshore Par Radars Spatio Portes Vers Une Approche Multisource Par Nicolas FICHAUX et Thierry RANCHIN Dans le cadre du d veloppement de l exploitation de l nergie olienne en offshore une valuation pr cise et fid le de la ressource est cruciale pour l implantation de parcs oliens De nos jours cette valuation est faite par le biais de mesures discr tes qui sont ensuite extrapol es g n rant ainsi des cartes de vent globales Les conditions locales de vent ne sont alors pas exprim es Au cours de cet article est d crite une m thode permettant l obtention de cartes de vent haute r solution spatiale partir d images issues des capteurs RSO Radar Synth se satellites ERS Le probleme de la r p titivit des
60. technologie GPS instruments de pointe th odolite opto m canique niveau num rique mesures par satellites etc Cette partie offre un apprentissage direct de dessin assist par ordinateur DAO dont les outils et les exercices sont fournis sur le c d rom joint l ouvrage Cet ouvrage sans quivalent est avant tout destin aux professionnels topographes ou g om tres Il sera galement tr s utile aux enseignants et aux tudiants qui suivent une formation sp cialis e Edition Eyrolles Topographie et topom trie modernes Calculs Ce second tome de Topographie et topom trie modernes est consacr aux calculs topographiques tandis que le premier traite des techniques de mesure et de repr sentation eux deux ils constituent donc une r f rence sur la topographie Cet ouvrage con u comme un cours allant du niveau d butant jusqu celui du professionnel de la topographie couvre la plupart des enseignements des classes de BEP BTS et formations de niveau ing nieur Il propose un enseignement th orique largement tay de cas pratiques plus de 600 sch mas 150 photographies des exemples issus de sujets d examens mais aussi des cas r els et de nombreux exercices corrig s R solument tourn vers les techniques qui ont merg ces derni res ann es avec la formidable pouss e de l informatique il fait galement la part belle aux technologies les plus r centes de mesure et de communication sont no
61. this need Most part of the spatial data bases are built on a static model which contains only the most recent data The usage of data bases in spatiotemporal applications requires the conservation of the historic of data during the operations of update The conceptual model of the data base has to integrate both space components x y z and components time t The conservation of the historic of data puts certain problems in particular The complexity of the modelling The complexity of the algorithms of reconstruction of objects The management of a more important volume of data which believes with the frequency and the importance of updates During the definition of data bases it is very important to select information to be preserved in the historic the volume of data and the complexity of the modelling will depend on it The conservation of the historic presents another advantage so important it is the possibility of regenerating in recording the previous state of the BD in case of breakdowns or errors Generally there are two models of conservation of the historic in a spatial data base Model version Model journal BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 OS 1 Introduction En cartographie classique le simple fait de mettre jour une carte n cessite parfois la reprise de tous les documents et planches qui ont servi l laboration de cette carte cette op ration est donc lourde et co teuse En re
62. traite de toutes les corrections qui ont t appliqu es aux donn es brutes Enfin le sixi me et dernier chapitre contient des commentaires sur les stations ainsi que les fiches signal tiques techniques et autres graphiques INTRODUCTION During this year 2001 Algeria endowed itself of absolute gravimetry network of zero order It is a first on the African continent Indeed until now there was ever at a time a network of this ampleness and such a precision of the order of some microgals that is the order of 10 m s 2 In this report we don t treat the interest that represents the realization of an absolute gravimetry network This report is above all a technical report it has for goal to explain how we measure the weight and to describe the whole of treatments that undergoes observations to get the final values of the weight noted g All observations have been dealt with the software provided by the company Microphone g Solution Inc Manufacturing the used absolute gravimeter All treatments follow precisely the international conventions in use in the domain For information they are the same programs that are used at the time of absolute gravimeters inter comparison campaigns to the BIPM in Paris The first chapter described succinctly the progress of the two campaigns of absolute measures of the gravity in Algeria In the second chapter the reader will find final results condensed in only one table A description of the absolute
63. 04962 00609 04926 00632 04890 00638 04863 00638 04850 00614 04853 00580 04862 00547 04884 00490 04910 00428 04935 00383 04960 00394 04971 00478 04975 00572 04963 00654 04940 00691 04893 00701 04840 00695 04787 00684 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 0 5 2 Commentaires sur chaque station En chaque station le point de mesure au sol donn par la trace du point d impact du faisceau laser de l interf rometre a t soigneusement rep r par l quipe de l INCT qui nous a assist tout au long de la campagne de mesures Ci apr s nous commentons le d roulement des mesures ainsi que les r sultats obtenus station par station dans l ordre chronologique d occupation Tamanrasset La station est situ e dans l enceinte du CRAAG Elle est spacieuse On y a atteint une pr cision de 1 9 microgal avec une s rie de 20 heures d observations On observe une variation de la temp rature de plus de 5 degr s Celsius Les mesures furent arr t es la suite d une coupure de courant Aucun set d observation n a t rejet Alger La station est situ e dans une cave d un b timent sur le site du CRAAG Alger La station offre une tr s grande stabilit en temp rature La premi re session de mesure s tend sur 40 heures Les sets 24 et 41 ont t limin s sur base du graphe qui donne l volution de la pr cision cart type en fonct
64. 1 2 2 1 2 Interpr tation du domaine cristallophylien Trois ensembles g ologiques ont pu tre mis en vidence tableau 2 Il s agira 1 du granite y4 syn orog nique 2 du Prot rozoi que moyen pr2 faci s amphibolites 3 et du Prot rozo que inf rieur prl gneiss et migmatites Le caract re morpho structural et radiom trique que d gage le granite syn orog nique le met en vidence par rapport aux s ries qui l avoisinent C est une structure intens ment fractur e radiom trie faible tr s faible Unit s G ologiques Canal tranchant de l infrarouge thermique Domaine du Cristallin Elev e Importante Rugueuse TM6 en relation avec le domaine s dimentaire Prot rozoi que inf rieur Moyenne mais lev e dans le canal du TM6 dans sa partie Quest Prot rozoi que moyen S rie de l Aleksod Granite Syn orog nique calme au nord ouest et importante al Est Aussi l analyse des formes et du mode d affleurement en Voccurrence l anomalie structurale est souvent et suffisamment caract ristique pour tre directement associ e un ph nom ne g ologique particulier Ainsi l amas circonscrit intrusif texture moyennement fine et radiom trie faible permet de d limiter l ensemble de ce granite au sein m me du Prot rozo que inf rieur Est du Hoggar central Le Prot rozoi que moyen s rie de Aleksod dans la partie Nord Ouest pr sente quant
65. 14309 919 859 083 69 Par Rapport la plaque Nord Am ricaine x yet sont les composantes cart siennes des p les relatifs en radians par million d ann es et n sontrespectivement les p les de l ITRF2000 et NUVEL 1A en degr s par million d ann es N est la magnitude de la diff rence de vitesse en mm an sur la surface de la Terre BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Conclusion L ITRF2000 est de loin la version ITRF la plus tendue et la plus pr cise jamais r alis e Cette solution contient pr s de 800 stations r parties sur pr s de 500 sites La coh rence interne des solutions VLBI et SLR ont permit une d finition pr cise de l chelle et de l origine La stabilit long terme de l ITRF2000 valu e sur une dizaine d ann es est de l ordre de 4 mm en origine et de 0 5 ppb en chelle environ 3 mm sur la surface de la Terre R f rences Bibliographiques Altamimi Z C Boucher and P Sillard New Trends for the Realization of the International Terrestrial Reference System Adv Space Res 2001 Altamimi Z C Boucher and L Duhem The Worldwide Centimetric Terrestrial Reference Frame and its Associated Velocity Field Adv Space Res 13 11 151 11 160 1993 Argus D F and R G Gordon No Net Rotation Model of Current Plate Velocities Incorporating Plate Motion Model Nuvel 1 Geophys Res Lett 18 2038 2042 1991 Boucher C Terrestrial co
66. 1973 0129406 0126682 0123335 0118573 0112187 0104314 0095330 123683 126573 129568 132847 136300 139472 481063 480196 479315 478607 478059 471586 142289 476887 0085630 144919 476063 0075403 147395 475382 0065491 151086 153355 155747 157797 159635 161469 473657 472363 470968 469496 467920 466126 0040655 0033663 0028281 0022662 0015646 LOD 0015789 0016147 0015715 0013701 0010626 0008077 0006535 0005376 0004495 0004170 0004471 0005253 0006477 0007458 0008373 0009847 0010984 0011086 0010442 0009456 0008310 0007380 0006755 0007529 0009428 0011710 0013475 0014587 0014706 0013322 0010832 0008316 0006252 0004322 0002977 0002937 0003975 0005519 0007103 0008434 0009380 0010036 0010170 0009526 0008597 0008005 0007391 0006101 0005369 0006172 0007766 dPsi dEpsilon 05143 00390 05130 00378 05114 00383 05100 00394 05091 00418 05075 00452 05063 00484 05041 00511 05034 00521 05020 00525 05017 00514 05009 00500 05008 00476 05011 00464 05015 00449 05022 00449 05024 00456 05025 00478 05021 00503 05009 00527 04993 00557 04979 00572 04962 00580 04961 00582 04953 00579 04960 00565 04974 00541 04992 00522 05008 00508 05024 00501 05043 00510 05039 00523 05029 00558 05002 00581
67. 1998 portant cr ation de la Commission Permanente Sp cialis e de Toponyme du Conseil National de 1 Information G ographique C N I G BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 PRESENTATION DE L UNION GEODESIQUE ET GEOPHYSIQUE INTERNATIONALE U G G I HISTORIQUE L Union G od sique et G ophysique Internationale UG G I est un organisme international non gouvernemental but non lucratif fond Bruxelles E 28 juillet1919 L U G G I se consacre a l tude scientifique de la Terre et l utilisation au profit de la soci t des connaissances acquises gr ce cette tude L U G G I est l une des trois Unions scientifiques ayant particip en 1931 l Assembl e constitutive du Conseil International des Recherches connu aujourd hui sous le nom de Conseil international pour la science C LU S Le C LU S est un forum plan taire des scientifiques Il leur permet d changer des id es et des informations et de d finir des m thodes et proc dures normalis es dans tous les domaines de recherche L U G G I l une des 25 Unions scientifiques actuellement r unies dans le C LU S fournit son savoir faire concernant les tudes terrestres effectu es par les chercheurs dans ses Associations internationales et Commissions inter associations Les neuf premiers pays membres de l U G G I taient l Australie la Belgique le Canada la France l Italie le Japon le Portugal le Royaume Uni et les Etats Unis En
68. 27 8788 1292 F 86 27 8786 3229 E hlyshi O hp01 wtusm edu cn Prof Chen Jun President Comm ID E chenjunOnsdi gov cn Dr Jie JIANG P 86 10 68483218 F 86 10 68424101 E isprs nsdi gov cn Mr Xinhu CHEN P 86 1068424076 F 86 1068424101 E isprs2 Onsdi gov cn Dr Laaribi P 1 212 963 4996 F 1 212 963 3042 E laaribi un org President Prof Petros Patias P 30 31 99 61 16 F 30 31 99 61 28 E patiassOtopo auth gr Prof Alexandra Koussoulakou Com V Secretary P 30 31 99 61 38 F 30 31 99 61 28 E kusulaku eng auth gr Sheri Flanagan P 1 506 458 8533 F 1 506 459 3849 E caris2002 caris com Prof Dr Franz Leberl President comm IIT P 43 316 873 5011 F 43 316 873 5050 E leberl icg tu graz ac at E office icg tu graz ac at Local Organizing Committee E grass2002 ing unitn it CONTACT 16 18 Sep Symposium of Commission VI Sao Jos dos President Dr Tania Maria Sausen Confirmed by http www inpe br isprs events htm Campos P 55 12 345 68 62 Council http www commission6 isprs org BRAZIL F 55 12 345 68 70 E tania Itid inpe br 16 19 Sep 2002 Global Spatial Data Infrastructure Conference Budapest Karen Levoleger GSDI 6 Conference from global to local HUNGARY P 31 55 528 5746 http www eurogi org F 31 55 355 73 62 E eurogi euronet nl 17 20 Sep 2002 X Congress of Quantitative Metods Valladolid Jos Luis Garcia Cuesta NEW Geogra
69. 40 000 ans li es l obliquit de l axe terrestre BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues Bulletin du Centre International pour la Formation et les Echanges G ologiques N 33 34 UNE SOLUTION ORIGINALE POUR LE RENFORCEMENT DE L ALIMENTATION EN EAU POTABLE DES CENTRES URBAINS EN AFRIQUE SUB SAHARIENNE L EXEMPLE DE OUAGADOUGOU Par Jean Christophe KI Christian ZUNINO PANGE P riodiquement la ville de Ouagadougou Burkina Faso conna t des difficult s dans son approvisionnement en eau qui provient essentiellement de retenues des eaux de surface Pour alimenter les quartiers p riph riques de la ville mais galement pour fournir un compl ment d alimentation au r seau urbain une solution originale d exploitation et de gestion des eaux souterraines comprenant des postes d eau autonomes PEA et des postes d injection d eau PIE a t mise en place Ces syst mes enti rement automatis s sont con us et organis s pour une gestion durable de la nappe des prix de revient de l eau accessibles aux plus d munis Ainsi en p riode de p nurie les eaux souterraines fournissent jusqu 28 de la consommation totale de la ville En plus de l impact sur la satisfaction des besoins ce programme a g n r une conomie locale bas e sur la vente et le transport de l eau BIOSTRATIGRAPHIE DES FORAMINIFERES DU TOARCIEN DU MOYEN ATLAS CENTRAL MAROC Par Zohra BEJJAJI Mohamed BO
70. 45 K m g 9 81 m sec sec An 37282410 ce qui donne les r sultats suivants Alt Ai 27282410 radians Ae 13 6412107 P m tre Prenons le cas tr s simple de 400m Ai 0 0007 grade A 0 002183m Qu il faut retrancher ala courbure du g oi de qui dans le premier cas est de 0 0040 grade c est une des vertus du syst me m trique et de l CF e Af c est l cart g om trique de niveau apparent C tant la courbure du g o de en ce point Ag oF 0 012756m On retrouve en faisant la diff rence 0 012756 0 002183 K jrs Voisin de 1 cm 15 LA R ALIT Mais toutes ces valeurs normales sont dans les 10 ou 12 m tres pr s du sol tout fait exceptionnelles Lorsque le sol est chauff par le soleil par temps froid ou chaud peu importe on atteint des gradients sup rieurs au gradient d autoconvection En outre le gradient n est plus constant au voisinage du sol il varie suivant des lois qui ont t mises en vidence fin des ann es 50 d but des ann es 60 La courbure des rayons lumineux s inverse la correction de r fraction s ajoute celle de niveau apparent les erreurs qu on commet peuvent devenir consid rables l air froid d altitude plonge vers le sol l air chaud s l ve car les densit s faibles au sol fortes en altitude sont invers es et ne permettent plus l quilibre On avait cru en 1949 que dans ces conditions 1l tait un peu l g
71. 51986 x y S 033353 035554 037984 040873 043923 046453 048652 050981 053542 UT1 UTC S 485302 485400 485474 0419402 485678 486221 486416 486614 487061 487401 0451304 0435498 0404353 0392124 0383075 0375842 0369823 0364889 19 51987 056314 487772 0360633 20 51988 21 51989 22 51990 23 51991 24 51992 25 51993 26 51994 27 51995 28 51996 059065 061641 064428 067308 070228 073325 076386 1079220 081734 488383 488875 489132 0345774 489508 490042 490491 490853 491041 491081 0356371 0351550 0338565 0330897 0321929 0311375 0300162 0289394 29 51997 084076 491074 0279415 30 51998 086359 490816 0270525 088549 490353 0262726 090658 489730 0255580 0006841 31 51999 1 52000 2 52001 3 52002 4 52003 5 52004 6 52005 7 52006 8 52007 9 52008 10 52009 12 52011 13 52012 14 52013 15 52014 16 52015 17 52016 18 52017 19 52018 20 52019 21 52020 22 52021 23 52022 24 52023 149312 474669 0056572 0048482 25 52024 26 52025 27 52026 28 52027 29 52028 30 52029 092715 094777 097061 099236 101608 104310 106633 108447 110447 489164 488816 488221 487335 486686 486443 486234 485666 484715 0248769 0241767 0233465 0222820 0210161 0196172 0181380 0167122 0154966 11 52010 113019 483882 0145521 115915 483195 0138257 118582 482746 0132850 120995 48
72. 69 25 92 20 E mail ueeiv t online de Cette rubrique est r alis e en grande partie partir des informations parues dans XYZ et repris ici avec l aimable autorisation de la r daction BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Infos G n rales 4e g n ration pour les lasermetres DISTO Il y a douze ans LEICA GEOSYSTEMS proposait le premier laserm tre utilisant la technologie laser Aujourd hui la firme pr sente la quatri me g n ration de l instrument avec les DISTO lite le DISTO classic le DISTO pro et le DISTO Prola Une pr cision de 3mm 1 5mm pour des distances de 30 cm 100 m Simplicit rapidit pas de manipulations compliqu es possibilit de mesures de surfaces et de volumes La gamme a t largie pour mieux correspondre l ventail des besoins Le DISTO lite est petit avec un minimum de fonctionnalit s le DISTO classic poss de une m moire de 10 constantes et garde en m moire les 20 derni res mesures il utilise le th or me de Pythagore tr s utile pour les hauteurs de fa ades 1l a une fonction tracking qui permet de mesurer les distances les plus courtes ou les plus longues Mais la grande innovation de cette gamme se situe au niveau des DISTO pro et pro a qui proposent un clavier alphanum rique pour la codification des points avec galement une sortie RS232 pour transf rer les mesures vers un PC portable ou de bureau jusqu 800
73. Associations internationales tiennent leurs propres Assembl es scientifiques tous les quatre ans environ g n ralement deux ans avant la tenue de l Assembl e g n rale de l U G G I En 2001 six des sept Associations internationales ont tenu une Assembl e scientifique la derni re ayant tenu son assembl e ala fin de 2000 Lors des Assembl es scientifiques les Associations internationales parrainent des symposiums sur des sujets particuliers souvent en partenariat BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Pr sentation de U G GI Les g od siens et les g ophysiciens de tous les pays du monde sont invit s participer aux nombreux symposiums et ateliers des Associations internationales et des Assembl es g n rales de l U G G I Lors de ces rencontres les scientifiques ont l occasion de discuter de leurs m thodologies r sultats et hypoth ses respectifs et de planifier des projets de recherche en collaboration Les symposiums ont vocation s adresser tout particuli rement aux jeunes scientifiques des pays en voie de d veloppement L U G G I a pr vu un budget particulier pour assurer leur participation aux symposiums organis s sous l gide de l Union et de ses Associations Comme 1 U G G I les Associations internationales sont g r es par un Bureau et un Comit directeur dont les membres sont lus pendant leurs Assembl es g n rales Dans son domaine respectif chaque Association est responsable de
74. BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues XYZ N 89 Contr le Terrestre D un Lev Par Laser A Balayage H liport Aux Iles Marquises Par Quentin Gross Ing nieur ENSAIS Pour r pondre une commande de la Direction de l Equipement de Polyn sie Fran aise portant sur le lev d une bande de plus de 18 km de long une impl mentation du syst me Fli Map de lev par laser balayage h liport Airborne Laser Scanning ALS est propos e Le chantier est localis aux Marquises archipel loign aux les escarp es et couvertes d une v g tation dense C est une premi re sur un territoire fran ais et m rite ce titre un contr le La confrontation des donn es ALS un lev terrestre met en vidence les qualit s et faiblesses de la m thode et donne lieu un affinement du travail de filtrage des donn es brutes Le r sultat final permet d valuer la qualit globale des donn es et d envisager son utilisation future dans le contexte polyn sien en connaissance de cause NUMERISATION 3D DES 14 PLAQUES DU CHEMIN DE CROIX DE LORGUES Par David Faverge Cabinet Guy Perazio Quels sont les objectifs d une telle prestation La Ville de Lorgues 83 a r cemment confi la restauration des 14 plaques en fonte de son Chemin de croix au Centre Arch ologique du Var Parall lement aux travaux de restauration des m taux ces deux partenaires nous ont demand
75. CIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 2 Pour cette premi re campagne nous ne disposons pas encore au moment de la r daction de ce rapport des valeurs observ es du gradient vertical Celles ci s obtiennent en mesurant la diff rence de g entre le sol et 1 30 m au point o les mesures absolues ont t effectu es Nous avons donc utilis une valeur standard de 3 0 microgal cm et donn les valeurs absolues de la pesanteur 1 30 m du sol Une fois que le gradient vertical de g aura t mesur en chaque station nous fournirons les r sultats d finitifs avec ces nouveaux param tres 4 2 Correction instrumentale ou correction relativiste La position de la masse test en chute libre est mesur e par un interf rom tre laser En raison de la vitesse finie de la vitesse de la lumi re et du type d interf rom tre utilis il faut introduire une correction relativiste Celle ci provient du fait que la lumi re met un certain temps pour parcourir la distance variable entre la base de l interf rom tre et la masse test en chute libre Chaque temps correspondant une position x est retard par un temps x c o c est la vitesse de la lumi re Lorsque l on r sout l quation du mouvement on introduit le temps corrig de ce retard L amplitude de la correction est de l ordre de 11 microgal 4 3 Corrections g ophysiques 4 3 1 Mar es terrestres Les mouvements relatifs de la Lune et du Soleil par rapport la Terre provoque
76. Figure 3 Principe du journal 6 Ja date peut avoir deux natures a date d existence sur le terrain b date de mise jour dans la BD BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 20 La structure minimale du journal est Identifiant de l objet courant Type de transaction Date de transaction Q 2 e 2 5 Information sur les donn es modifi es L algorithme g n ral de recherche de l tat d un objet une date dest Lire tat courant d Si d gt d alors objet d tat courant d Sinon Tant que d lt d Lire journal d Calculer tat objet d D incr menter i i 1 1 lt i lt n Fin tant que Objet d tat objet d Fin si non Dans la structure journal seules les derni res versions des objets sont d finies dans leur propre structure la structure des versions ant rieures est reconstitu e par l ex cution de la transaction du journal Le fait de ne sauvegarder que les informations qui sont concern es par la transaction minimise les redondances l encombrement est donc moins important que dans le type version Cependant les tats ant rieurs des objets n tant pas sauvegard s dans leur propre structure les versions ant rieures sont donc reconstitu es par calcul les algorithmes de reconstitution sont assez complexes mettre en oeuvre Conclusion L inclusion de l historique dans une base de donn es fait augmenter son volume d une mani
77. HIQUES AVRIL 2002 T l d tection et G ologie du Hoggar Apport des Images Thematic Mapper de Landsat 5 la Cartographie G ologique 1 500 000 d In Azaoua Hoggar Central M ridional Ahmed Zine Eddine SAAD Attach de recherche Centre Nationale des Techniques Spatiales laboratoire de t l d tection Bp 13 Arzew 31200 Alg rie Tel 041 47 22 17 Fax 041 47 34 54 Email a_z_saad yahoo fr RESUME L objectif de ce travail consiste tablir la carte g ologique t l analytique de la r gion d In Azaoua 1 500 000 par le biais des donn es Thematic Mapper de Landsats Le terrain d tude se caract rise par deux ensembles g ologiques bien distincts L un s dimentaire essentiellement gr seux et l autre cristallophylien Ainsi une corr lation entre les donn es spectrales recueillies par les diff rents canaux du satellite Landsat5 Thematic Mapper avec les caract ristiques des roches des formations pr cambriennes et primaires du bassin d In Azaoua Hoggar Central M ridional fut tablie Des provinces g ologiques homog nes ont t caract ris es L apport des donn es infrarouge thermique a t d terminant dans la cartographie des limites lithologiques de ces deux ensembles Le concours aux crit res d identification voir crit res fondamentaux de la photo interpr tation signature spectrale structure texture et l aspect morphologique est fondamental Les r sultats obtenus ont t corr
78. I et 5 SLR La figure 2 montre le tr s bon accord entre les solutions SLR en termes d origine au niveau de 5mm sur les trois composantes X Y Z Les solutions GPS exhibent de larges diff rences et en particulier autour des axes X et Y La figure 3 montre l accord remarquable en termes d chelle des trois solutions VLBI D autre part la plus part des solutions SLR s accordent en chelle 1 ppb 107 pr s A fin d valuer la stabilit long terme de l ITRF2000 la dispersion ou erreur moyenne quadratique pond r e a t calcul e sur les diff rences d chelles et de translations des 3 solutions VLBI et 5 SLR qui on t utilis es dans la d finition de l ITRF2000 Les valeurs de dispersion sont donn es dans la Table 1 qui montre en terme d erreur moyenne quadratique pond r e que la stabilit de l ITRF2000 sur une dizaine d ann es est de l ordre de 4 mm en origine et 0 5 ppb en chelle quivalent un biais en vertical de l ordre de 3 mm EMO 000 Echelle f Fani 003 D2mmam O O eae TU oa o o ee Tammy CES Table 1 Stabilit long terme de l origine et de l chelle de VITRF2000 Evaluation de la qualit ITRF2000 La qualit de l ITRF2000 d pend des qualit s relatives des solutions individuelles ainsi que de la strat gie d analyse et de combinaison appliqu e ces solutions Un indicateur de qualit des solutions individuelles est l
79. IL 2002 Infos G n rales TRIMBLE 3300 DR nouvelle Station Totale L entreprise franchit un cap important en proposant l option Direct Reflex DR Cette technique permet d effectuer des mesures directes sans r flecteur et jusqu une distance de 100 m Les environnements dangereux comme les mines les carri res les parois rocheuses deviennent accessibles ainsi que les lev s de lignes lectriques les chauss es routi res les voies de chemin de fer m me en plein trafic Une m moire interne perfectionn e en fait un syst me autonome quip d un enregistreur de donn es aliment directement par une batterie int gr e Les mod les sont livr s en standard avec le module de transfert de donn es de Terramodet capable de r cup rer les donn es d observation et d affecter automatiquement des coordonn es 3D aux points d afficher les donn es graphiquement en utilisant les codes attribu s aux l ments et de proposer une interface vers des logiciels de DAO et de conception Se montant sur une canne avec contrefiches 1l est tr s portable et la mise en station est rapide En y adjoignant un prisme la plage de mesure peut s accro tre jusqu 3 000 m TRIMBLE distributeur exclusif des produits NIKON France Trimble devient distributeur exclusif en France de tous les produits topographiques et de positionnement Nikon niveaux th odolites et stations totales L quipe des ventes et du service Nikon va rejoindre Trimble aux
80. INCT BULLETIN DES SCIENCES GEOGRAPHIQUES Bulletin de VINCT Publication semestrielle de l Institut o National de Cartographie et de 2002 N 09 T l d tection INCT Alg rie Fond en Octobre 1997 N 10 Octobre 2002 ISSN 1112 3745 Responsable de la revue INCT Editeur Centre de la Documentation et Sommaire Contents Pages de la Conservation de Information G ographique INCT Alger Adresse Bulletin des Sciences G ographiques INCT 123 rue de Tripoli R seau de gravim trie absolue alg rien 03 Hussein Dey 16040 BP 430 Alger Par Dr Olivier FRANCIS Alg rie Els i e a ve e Le rep re international de r f rence terrestre ITRF 2000 10 021 47 00 29 Par Zuheir ALTAMIMI E mail inct99 mail wissal dz La r fraction atmosph rique au volsinage Gi SON ai Te MN ass 18 Publicit Par Claude MILLION INCT 20 Rue Abane Ramdane Alger Tel 02 Fa 92 60 Gestion de l historique des donn es dans les bases de donn es localis es 31 Fax 021 73 73 05 Par Mohamed BENMOHAMED Ou ANT Vertriebs GmbH Fuerstenrieder Str 166 81377 Munich Allemagne M thodologie de collecte de statistiques agricoles par t l d tection 35 Tel 0049 89 85929731 Par Djaafar YOUSFI Fax 0049 89 58929732 Tige ate e MAA 42 2 000 Exemplaires Apport des images Thematic Mapper de Landsat 5 la cartographie g ologique 1 500 000 d In Azaoua Hoggar Central M ridi
81. ION Au cours de cette ann e 2001 l Alg rie s est dot d un r seau gravim trique absolu d ordre z ro C est une premi re sur le continent africain En effet jusqu pr sent il ny a jamais eu un r seau la fois de cette ampleur et d une telle pr cision de l ordre de quelques microgals c est dire de l ordre de 10 m s 2 Dans ce rapport nous ne traitons pas de l int r t que repr sente la r alisation d un r seau de gravim tne absolue Ce rapport est avant tout un rapport technique Il a pour but d expliquer comment on mesure la pesanteur et de d crire l ensemble des traitements que subissent les observations pour obtenir les valeurs finales de la pesanteur not e g Toutes les observations ont t trait es avec le software fourni par la compagnie Micro g Solutions Inc Fabriquant du gravim tre absolu utilis Tous les traitements suivent la lettre les conventions internationales en usage dans le domaine A titre d information ce sont les m mes programmes qui sont utilis s lors des campagnes d intercomparaison de gravim tres absolus au BIPM Paris Le premier chapitre d crit succinctement le d roulement des deux campagnes de mesures absolues de la pesanteur en Alg rie Dans le second chapitre le lecteur trouvera les r sultats finaux condens s en une seule table Une description du gravim tre absolu est donn e dans le chapitre suivant Le protocole de mesures est expos dans le chapitre 4 Le chapitre 5
82. NGUET KHNAG KHENEG MAADAR MAADHER MAADER Tableau N 2 FAIDH FAID FEID FEJ FEIDJET FAJET FAIDJET GARN GREN GUERN GALTA GUELTA GUELT GOURBI GUERBI GUOURBI T GHABA GHABET GARAT GARET GHOURD GHROURD GHROUDS GATTAR GUETTAR GUETTATIR HANK HANNK MAD GHOURD RHOURDE CO lona GHAR RHAR Ei ST RIEM REDJEM DO om ROKBA ROKBET ROOKBA RE MM ESHAN SHAN SRAA SAD SED O l RE TAJNOUT TAGENOUT CU TApienour TAGHIT TARHIT CT or TADARTH TADDERT TADERT TACIFT TACAFT CT ass THENIET T NIET SAHANE SAHAB SAHIB DO emo ZAREZ Z REZ 1 G n rique Terme d signant le type d entit g ographique dont il s agit et conserve dans l usage courant le sens qu il a dans ce nom g ographique il est l l ment du toponyme qui identifie de mani re g n rale la nature de l entit g ographique d nomm e a l exemple de Oued Djebel Chaaba etc Comme on le constate ces textes s ils noncent les principes suivre lors des changements de d nomination ou d une nouvelle attribution de noms n en demeurent pas moins tr s vagues concernant la normalisation notamment l criture sous une forme d finitive d un m me toponyme ainsi que le choix du syst me de translitt ration appliquer LES ORGANES TOPONYMIQUES L Alg rie n a pas eu par le pass de structures administratives charg es de la gestion de la toponymie malgr les tentatives enregistr es et la
83. T l 01 69 18 63 30 Fax 01 69 18 63 27 Site trimble com D veloppement de la gamme VectorW orks La soci t CESYAM con oit et produit des logiciels CAO pour l architecture les urbanistes paysagistes d corateurs Parmi ses nouveaux produits VectorWorks distribu dans plus de 80 pays La version 9 en particulier comporte des fonctionnalit s int ressantes notamment des cotations associ es aux objets r actualis s automatiquement lors des modifications C t import export un nouveau filtre analyse intelligemment les fichiers convertir et il ny a plus de limite dans la taille des projets la pr cision des dessins et des zooms Ajoutons une nouvelle ergonomie et un correcteur d orthographe int gr en fran ais Une partie des d veloppements de ce logiciel a t consacr l augmentation des facult s de personnalisation facilitant la d clinaison du produit en versions sp cifiques Enfin il comporte une fonction de calcul de perspective partir des param tres d un appareil photo assurant la superposition dessin photo image Notons encore Vector Works Landmark une solution CAO paysagiste et urbaniste et Vector Works Spotlight pour les clairagistes th tre et spectacles CESYAM 25 27 rue de Tolbiac 75013 Paris T l 01 53 94 57 57 Fax OI 53 94 57 58 Site www cesyam fr E mail info cesyam fr BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 OSOS Infos G n rales S
84. Theory Processing and Applications Symposium of Commission IV 10 Spatial Data Handling 95 Annual CIG Conference 2002 http www geomatics2002 org Orlando Florida USA Sixth Multi Conference on Systemics Cybernetics and informatics SCI http www 11s org sc12002 http www Wisci org sc12002 International Workshop on Mobile and Internet GIS WG IV 2 II 1 1 5 11 6 http www geostar com cn wgweb Activities Symposium of Commission II Integrated System for Spatial Data Production Custodian and Decision Support http isprs2 nsdi gov cn http www commission2 isprs org Berlin GERMANY The Eighth United Nations conference on the Standardization of Geographical Names Symposium of Commission V http www erasmus er isprs index htm Seventh Annual CARIS Users Conference and Educational Sessions CARIS 2002 http www caris com caris2002 Norfolk VA USA Symposium of Commission III PCV 02 Photogrammetric Computer Vision 2002 http www icg tu graz ac at pcv02 Open source GIS GRASS users Conference 2002 http www ing unitn it grass Graz AUSTRIA Trento ITALY CONTACT Tullio Tanzi E Tullio Tanzi cindy cma fr Robert Laurini E laurini lisi insa lyon fr Tom Herbert P 1 613 224 9851 F 1 613 224 9577 E exdircig netrover com Admin CIG E admincigOnetrover com Prof Nagib Callaos P F 1 407 856 6274 E ncallaos Ocallaos com Miss Lite Shi P 86
85. UTAKIOUT et Sa d CHAKIRI Les d p ts toarciens du Moyen Atlas central g n ralement de type h mipl giques indiquent des conditions de plate forme et de bassin ils sont marneux et confin s dans les d pocentres calcaro marneux et condens s dans les d poaxes L tude micropal ontologique des foraminif res benthiques a permis de suivre l extension biostratigraphique des diff rentes esp ces rencontr es Quatre biozones sont tablies biozone Lingulina gr tenera et Marginulina gr Prima biozone Lenticulina obonensis mg P biozone Lenticulina pennensis mg M Ichtyolaria hauff Dentalina utriculata Citharina longuemari et spectre Lenticulina chicheryi biozone Lenticulina d orbignyi mg L et Nodosaria pulchra Les associations ou les esp ces indicatrices de pal oenvironnements particuliers sont soulign es Pour r pondre aux conditions des milieux de vie ces esp ces adoptent g n ralement des strat gies exprim es par des tendances morphologiques particuli res concernant entre autres la taille du test son aplatissement et son d roulement EFFICIENCE DE TROIS METHODES GEOPHYSIQUES D INVESTIGATION LATERALE DANS LA MISE EN EVIDENCE DE CONTACTS ENTRE DES FORMATIONS GEOLOGIQUES DU PROTEROZOIQUE INFERIEUR DU BURKINA FASO Par Youssouf KOUSSOUBE Alain N SAVADOGO Samuel NAKOLENDOUSSE et Pibgnina BAZIE Dans les zones de socle cristallin du Prot rozo que inf rieur Birimien du Burkina Faso les r se
86. Universit d Aix en Provence messieurs les professeurs Charad Salah Eddine et Larouk M El Hadi de l Universit de Constantine etc Tout chercheur souhaitant y contribuer devra transmettre son article au plus tard le 10 septembre 2002 la r daction du Bulletin l adresse indiqu e dans la page une BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002
87. a ainsi eu le privil ge d entrer en relation vers 1965 avec des physiciens australiens qui tudiaient la micro m t orologie en mesurant la d viation des rayons lumineux au voisinage du sol pour d terminer indirectement des gradients de temp rature car la mesure directe taient impossible du moins avec la pr cision d sir e le centi me de degr A l poque le sujet tudi tait l influence de la r fraction sur les mesures de distances en tach om trie car les r fractions anormales introduisaient des syst matismes importants 3 INTRODUCTION In the majority of cases when we want to apply a correction of refraction we use a simplistic formula that corrects at the same time the called normal refraction and the so called correction of obvious level owed to the curvature of the vi earth of the kindof Ag h 15 However it is that the so called normal refraction is not maybe as current as one believes it or that its appellation could let suppose it in certain countries it would be even exceptional or one never noted it at least with values that give this all purpose formula that leads anywhere One would want to show the reality incidentally enough simple that regains all writings that accumulated on the topic For our part we had discovered the existence of refraction corrections no canonical on occasion of the writing of one E S G T memory begun in 1947 and attended in 1949 1 In front the enor
88. ans l oubli et a t ouvertement contest e non seulement par le public int ress mais galement par certains d partements gouvernementaux qui ont estim qu elle tait injustifi e et arbitraire Ce texte fait obligation aux assembl es populaires communales d tudier et d arr ter de mani re pr cise la d nomination de tous les lieux poss dant d j un nom de revoir certaines d nominations non conformes nos traditions et de pr voir le cas ch ant une nouvelle d nomination adapt e aux sp cificit s locales que l usage de d nomination identique au niveau d une m me commune est interdit et que les noms doivent tre transcrits en caract res latins sur la base de la phon tique arabe Le d cret portant application de l article 49 de la loi N 91 16 du 14 09 1991 relative au Moudjahid et au Chahid n 93 96 du 05 04 1993 qui soumet toute nouvelle d nomination ou d baptisation de noms de chahid l autorisation pr alable du Minist re des anciens Moudjahidines En remarque ici que ce d cret ne concerne que les noms de martyrs Et enfin deux autres d cret relatifs la d nomination et la d baptisation des lieux et difices publiques et un autre arr t minist riel fixant les caract ristiques historiques de la plaque servant de support mat riel a toutes d nominations compl tent cette s rie de textes 2 Pour la p riode coloniale voir notamment l article de M Benramdane Farid
89. ation des objets r sultants Les objets invalid s subissent ensuite une proc dure de retouche La retouche est l op ration qui consiste modifier un objet identifi comme mal g n ralis d un point de vue cartographique afin de le rendre acceptable Enfin les informations extraites des phases pr c dentes sont int gr es un m canisme de r vision en vue de d terminer les modifications de la base de r gles de d cision entreprendre Ce rapport d crit la fois la proc dure g n rale de retouche et de validation l outil de validation des r sultats de l application d une base de r gles la proc dure de retouche utilis e et pour terminer le processus de r vision d velopp sous forme d un micro syst me d aide la d cision Le support d impl mentation pour l application au cas particulier d objets g ographiques de type arcs routiers est la plate forme PlaGe du laboratoire COGTT LA LETTRE DU CRAAG Le sommaire du septi me num ro de ce bulletin traite de plusieurs sujets entre autres e Le double maximum du soleil Le Nyiragongo en ruption 30 janvier 2002 Nouveau s isme en Turquie 3 F vrier 2002 Une com te brillante pour le printemps 2002 Le Soleil avale une boule de gaz 21 Novembre 2001 Le Grenat du manteau Ainsi qu un article sur les pluies et laves torrentielles exemple des crues torrentielles de Bab El Oued 10 novembre 2001 par Azzedine BOUDIAF Chercheur Associ au CRAAG
90. ations entre les segments recens s sur terrain peuvent tre expliqu es par l influence lin aire des donn es class es Nous pouvons gr ce la variance obtenue par la r gression calcul l efficacit de la t l d tection MEYER ROUX et al 87 Nous remarquons que cette efficacit de la t l d tection augmente avec l accroissement du coefficient de d termination 1 100 80 60 40 20 0 r2 Efficacit 0 036 0 084 0 16 0 25 0 36 0 49 0 64 0 81 0 98 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 A Dans notre cas le coefficient de d termination est de 0 848 ce qui nous donne une efficacit de 6 58 ceci nous permet d affirmer que l introduction de la t l d tection am liore les statistiques agricoles CONCLUSION GENERALE L agriculture doit s appuyer sur des statistiques agricoles fiables pour une mise en oeuvre optimale Cependant les statistiques actuelles ne r pondent pas aux besoins Il est donc n cessaire de tenter d am liorer ces donn es malheureusement peu utiles dans leur tat actuel L apport de la t l d tection dans l am lioration des statistiques agricoles en terme de superficies a t tudi sur la r gion d Oum El Bouaghi L accent a t mis sur la collecte des superficies cultiv es par les c r ales Les r sultats de cette tude nous ont permis de constater des impr cisions Afin d am liorer sensiblement les estimations le
91. atisfaction de Putilisateur et l obtention des r sultats et des performances escompt s En insistant sur l enjeu de la fiabilit humaine et de la s curit l ouvrage d veloppe les aspects pratiques d une m thode n cessaire la gestion d une telle conception de qualit l analyse fonctionnelle Cette ci se traduit par l laboration de documents de sp cification technique du besoin de description des fonctions d expression fonctionnelle de la qualit qui peuvent utiliser les outils qualitatifs existants AMDEC La pr cision la coh rence et l exhaustivit de ces documents d pendent de la confrontation des pr visions l exp rience de l analyse des r sultats de syst mes semblables celui r aliser ainsi que d un dialogue permanent entre tous les partenaires du projet Cette m thode qui permet d int grer pleinement le facteur humain la conception concerne les syst mes essentiels et complexes de l entreprise L expos est compl t de deux exemples l un relatif un grand chantier l autre la proc dure complexe essentielle pour un exploitant du permis de travail Ceux ci illustrent la diversit des outils utilis s et la n cessit d une d marche rigoureuse L ouvrage s adresse aux l ves ing nieurs et aux ing nieurs des bureaux d tudes Il int resse galement tous les cadres utilisateurs de syst mes industriels Jacques AZAMBRE est directeur
92. au national ont t ax es sur les probl mes de la toponymie sous ses diff rents aspects et la normalisation en particulier Elle a t galement co organisatrice de deux 02 autres rencontres l une tenue au CRASC sous le theme la Toponymie dans tous ses Etats et l autre avec le CNRPH sous le th me Toponymie M moire et Savoir En outre elle a consacr un num ro sp cial n 05 du Bulletin des Sciences G ographiques de I INCT la toponymie o d minents toponymistes alg riens et trangers y ont contribu entre autres M Henri DORION de Universit de Laval et M Herman Bell de l universit de Cambridge Dans son diagnostic la Commission a fait ressortir travers ses rapports d activit s les diff rentes carences constat es au niveau de la gestion du patrimoine toponymique alg rien par l inexistence de recueil ou inventaire toponymique l chelle nationale ainsi consid re t elle que la ma trise d une gestion rationnelle et normalis e de la toponymie nationale passe dans un premier temps par le recensement de toute la toponymie alg rienne contenue dans la cartographie nationale par la mise en place d une base de donn es et dans un deuxi me temps par la mise en place d un dispositif r glementaire nouveau et adapt avec les recommandations du groupe d experts des Nations Unies sur la normalisation des noms g ographiques d attribution et d criture des noms enfin par
93. avons relev sur les cartes topographiques diff rences suivantes Pour les noms de montagnes oueds sites touristiques et sites historiques ou autres ils doivent s effectuer dans le cadre des proc dures tablies par la r glementation en vigueur Mais en r alit cette r glementation est rest e tr s vague concernant cette cat gorie de noms les noms de ces entit s g ographiques n ont pour la plupart fait l objet d aucune d cision officielle Leurs graphies r sultent uniquement de l usage et les toponymes qui figurent sur les cartes dit es par l Institut de Cartographie et de T l d tection Organisme charg de la production des cartes topographiques r sulte du libre choix fait par celui ci Lors des lev s topographiques l orthographe et la signification de ces toponymes sont d termin s par 1 nous les Diff rence des critures des g n riques relev es sur les cartes topographiques a diff rentes chelles GENERIQUES AUTRES ECRITURES ADRAR ADRER ES E ARGOUB ARQOUB ACIF ASSIF DHALAA DALAAT DELAAT DHAHR DAHR DHARSAT DHARSET DARSET DAR DHAR DIAR DIAR DRAA DHRAA DHAYA HAMADA DJENEB DACHRA DECHRET DECHRAT D CHRET DJEBANA DJEBANET DJEBBANA DJAMAA DJEMAA DJEMA ANFIDAT ENNFIDET ENFIDET JEBANA H HAMEIDA HAMADET HAMEIDAT HAOUDH HAOUD HASSI HACI HOFRAT HAJRA HADJRA HADJRET HANCHIR HENNCHIR HENCHIR KOUBA KOUBBET KOUBET KOUBBA KHANGAT KHANGUET KHAN
94. ays industrialis s et _ r guli rement mis Jour Ses cartes et itin raires d taill s guident les internautes jusqu adresse pr cise dans le monde r el Disponible sur tous les appareils connect s Internet qu ils soient fixes ou nomades Andrew Lloyd amp Associates 33 01 56 54 07 00 Gilles Petitot gilles ala com Florence Puech_florence ala com Maporama 33 0 1 44 84 10 22 Libor Cerny E mail lcerny maporama com Site http www maporama com BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Infos G n rales Le SIG Mapinfo de CLARITAS La soci t est pionni re du g omarketing aux Etats Unis Elle est sp cialis e dans l acquisition le traitement et l analyse des donn es de consommation La base recense les habitudes de consommation de plus de 4 millions de foyers fran ais 10 millions de consommateurs Avec 400 000 utilisateurs dont 35 000 en France son SIG Mapinfo Professional est ce jour le SIG sur PC le plus largement diffus administrations et collectivit s locales banque et finance grande distribution t l coms industrie La version 6 5 de ce SIG apporte plus de 10 nouvelles fonctions autour de deux axes la r alisation de cartes esth tiques et percutantes et une cr ation de cartes et d objets cartographiques facilit s Les cartes prismatiques permettent de repr senter l information en 3D en conf rant chaque objet cartographique une haute
95. b 2 Les autres classes paraissent bien repr sent es avec des pourcentages de pixels bien class s variant entre 79 31 et 91 75 r partition classes R sult classif 100 115 45 80 97 110 92 108 747 Tableau 2 Matrice de confusion de la classification par maximum de vraicomhlanro A Paide de cette matrice nous calculons des statistiques de classification Tab 3 Y statistiques nous renseignent sur les classes qui ont t surestim es ainsi que celle qui ont t sous estim es par la classification Y de bien class nous donne le pourcentage de pixels bien class s par classe v signification th matique nous permet d avoir une id e sur la part de pixels affect s la classe en question par rapport au r sultat de la classification IMAGE 3 Image r sultat obtenue par classification automatique par parcelle 3 statistiques Statistiques de bien Signification Classes class th matique C r aliculture B R 101 01 73 74 73 00 C r aliculture F R 99 14 79 31 80 00 86 54 61 54 71 11 Tableau 3 Calculs issus de la matrice de confusion Le pourcentage global de pixels bien class s est de 81 71 ce qui repr sente un bon taux L valuation de ce r sultat a permis de constater un certain nombre d erreurs et d impr cisions confusions surestimations et sous estimations Bon nombre de ces probl mes sont dus au fait que les donn es
96. ces et la mesure des rendements v R aliser des mod les de pr vision de r coltes qui constitue le cas le plus d licat puisqu il exige une estimation pr coce des surfaces et une pr vision des rendements Dans le cadre de cette dude c est les deux premiers points qu il s agit de d velopper La m thodologie d velopp e dans le cadre de cette tude s articule autour des points suivants 1 la d termination d une strat gie d chantillonnage au sol par le biais d enqu tes ar olaires sur la base de segments g om triques 2 mise au point de techniques de pr traitements et de traitements d images HS CC corrections g om triques classifications indices de v g tation etc Intensit Hue and Saturation Intensit Teinte et Saturation Composition Color e Pour ce qui est des classifications et des indices de v g tation la combinaison d un certain nombre de traitements s impose En effet 1 s agit de masquer tout d abord tout ce qui est non agricole afin d viter les ambigui t s entre classes 3 constitution d une banque de donn es de la r gion d tude et mise au point d une base de donn es sur les segments sond s Cette tude devrait aboutir une estimation des superficies et des rendements des principales cultures Pr sentation de la zone d tude Nous avons travaill sur une zone autour de la ville de Ain Kercha qui se situe dans la Wilaya d Oum El Bouaghi La zone d t
97. cet ancien hivernage de tribus semi nomades la ville mod le du d veloppement bathiste Elle a ainsi t dot e de places de parade et de monuments c l brant les gloires locales de cette ancienne capitale abbasside Mais la r alisation la plus spectaculaire est un grand complexe de p lerinage chiite financ par l Etat iranien et d di des compagnons du Proph te morts au VII si cle Or cette construction est inachev e depuis 1994 Elle est en effet probl matique pour cette ville sunnite dans la mesure o elle a remplac des tombeaux qui taient l objet de pratiques cultuelles locales et qui constituaient des lieux essentiels de l identit citadine raqqoise La subversion de ces tombeaux a permis l Etat iranien d tendre le territoire des sites de p lerinage chiite en Syrie tout en offrant l Etat syrien un moyen d affirmer sa ma trise des lieux de m moire locaux Ils sont ainsi l objet de territorialit s conflictuelles LES CRUES MEURTRIERES DU ROUSSILLON AUX CEVENNES Par Jean Marc Antoine Bertrand Desailly Fran ois Gazelle M me si les crues en France m diterran enne ont fait l objet de nombreux crits un aspect restait aborder au travers d une approche g ographique celui des personnes qui perdent la vie lors de ces v nements Les auteurs prennent en compte tout ce qui a trait cette question directement ou de mani re induite En premier lieu sont pass s en revue les vecteurs naturels g n
98. de 1200 clients elle occupe d j une place pr pond rante en Europe dans l industrie du logiciel Ville de Paris CERN Electricit de Strasbourg Cadastre du Luxembourg Star Informatic Av du Pr Aily 24 4031 Angleur Belgique T l 04 36147 64 Fax 52 4 367 17 11 info star be http www star be Des logiciels SIG STAR pour le port Nantes Saint Nazaire Avec l exp rience acquise avec d autres ports autonomes fran ais Paris Rouen STAR INFORMATIC a r pondu aux demandes du port autonome de Nantes Saint Nazaire qui lui a confi la mission de migration de son ancien SIG tabli a l aide du logiciel PREFIX pour tre exploit avec les logiciels STAR En particulier une base de donn es de pr cision au 1 200 et 1 1 000 et de nombreuses informations foncieres seront int gralement reprises sous STAR Star Informatic le Th l mos 12 quai du commerce 69009 Lyon T l 04 72 53 13 30 Fax 04 72 53 08 61 E mail info star be Site www star be Certification Eurailing Lanc en 1998 par l Union des associations europ ennes d ing nieurs ferroviaires le titre EURAILING atteste de l aptitude des entreprises et des ing nieurs du monde ferroviaire effectuer des prestations de services r pondant aux exigences propres ce secteur d activit Ce titre a d ores et d j t d cern une bonne cinquantaine d ing nieurs ferroviaires allemands autrichiens danois fran ais grecs h
99. e 0 3 microgal mbar suivant les recommandations de l Association Internationale de G od sie R solution N 8 1983 P pression atmosph rique mesur e mbar P pression nominale au site qui se calcule suivant P 1013 25 1 0 006 oat 3 52559 Avec P pression nominale mbar hm altitude par rapport au niveau de la mer m 4 3 4 Mouvement du p le Le p le de rotation de la Terre n est pas fixe Il d crit un mouvement circulaire la surface de la Terre d une amplitude d une vingtaine de metres et de p riodes principalement journali res annuelles et de 430 jours P riode de Chandler En raison de ce mouvement la latitude d un point la surface de la Terre varie en fonction de la position du p le Cela entra ne une modification de l acc l ration centrifuge et donc de la pesanteur Les corrections ne d passent pas en g n ral plus de 5 microgals d pendant de la latitude du point consid r BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 La position du p le est d termin e pour chaque jour par l IERS International Earth Rotation Service par technique spatiale Les valeurs sont en libre acc s sur le site Web de l IERS La Table 2 reprend les valeurs des positions x et y du p le pour la p riode des campagnes de mesures absolues en Alg rie La formule de correction Wahr 1985 est donn e par dg 1 164 a 2 sin cos x cos y sin avec g correction pour le mouvement du p
100. e en place d une base de donn s cartographique ce projet fut galement l occasion de se lancer dans la production d une nouvelle carte de la capitale Dhaka BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues Annales de G ographie N 622 Annales 4 de G ographie A RSS COLIH LE SENS GEOGRAPHIQUE DES FETES Par Guy Di M o La f te contribue la construction permanente des territoires Elle leur conf re une forte lisibilit Elle constitue un espace temps de la vie sociale susceptible de favoriser la r gulation et l innovation des rapports entre les hommes C est un outil politique de contr le social Elle investit les lieux les associe et les int gre o ivrant ainsi la formation des repr sentations territoriales La f te attribue alors aux lieux un sens nouveau une valeur symbolique touchant parfois la sacralit Elle consolide l identit socio spatiale par une mise en sc ne des groupes sociaux qui facilite leur Auto identification et faconne leur rapport a l alt rit de l chelle locale celle du monde LES MAUSOLEES INVISIBLES RAQQA VILLE DE PELERINAGE CHIITE OU POLE ETATIQUE EN JAZIRA SYRIENNE Par Myriam Ababsa Promue centre administratif du front pionnier agricole du Nord Est syrien en 1974 la ville de Ragga a connu une tr s rapide croissance de sa population et a t l objet d op rations d urbanisme de grande ampleur visant faire de
101. e l historique des donn es dans la BD pose le probl me du volume de donn es qui croit avec la fr quence et l importance des mises jour Il est donc n cessaire de bien d finir d s le d part ce que l on doit conserver dans l historique La conservation de l historique permet galement de r g n rer en diff r l tat ant rieur de la BD en cas de probl mes d incoh rence des donn es dans la BD 2 Notion de temps Sous la pression norme des besoins des utilisateurs beaucoup de recherches ont t effectu es dans le domaine de la gestion du temps dans les bases de donn es g ographiques Contrairement la composante espace dont les valeurs sont finies la composante temps est infinie puisque la limite sup rieure est ind termin e composante composante espace temps situation carte tat s par par polylignes v nements e point ligne surface ann e jour unit pixel heure l ment A objet version de bases l ment j longueur surface dur e mesur position coordonn es date tat avant tat VOISINS objets adjacents apr s VOISINS temporels nombre de La im infini deux VOISINS Tableau analogie espace temps contigus objets voisins Par analogie aux requ tes spatiales o la restriction se fait sur les coordonn es point fen trage l acc s aux donn es temporelles se fait par restriction sur les attributs re
102. ectivement la caract risation de l tat hydrique et de l tat de la v g tation La synth se de l ensemble des r sultats ainsi que leurs confrontations avec d autres types de donn es au niveau national carte de stratification carte foresti re carte des p rim tres irrigu s ont permis de dresser des cartes de risques de d sertification selon cinq degr s tr s lev lev mod r e faible et stable Ces r sultats sont indispensables pour l identification des zones risques et l laboration des plans de suivi et de lutte contre la d sertification Monitoring and evaluation of desertification processes in the Fayyoum depression Egypt Par A GAD et A G ABDEL SAMIE Le Fayoum occupe une des grandes d pressions dans le d sert occidental de l Egypte il est localis environ 90 kilom tres au Sud Ouest du Caire entre les longitudes 30 et 31 05 Est et les latitudes 29 02 et 29 35 Nord La d pression est li e la vall e du Nil par le canal d eau du Bahr Youssef est reconnue par la pr sence du lac quarum au nord L tude des conditions des terres irrigu es a r v l des changement significatifs Les p rim tres moyenne et forte salinit son pass s la cat gorie de forte salinit Cependant une am lioration g n rale de la salinit des terres est apparue l augmentation du p rim tre des terres affect es par le sel pourrait tre attribu dans certaines zones aux p rim tres suppl m
103. elles Elle dispose d une technologie r volutionnaire nomm e AMAP et en particulier le logiciel AMAP ORCHESTRA qui fait appel a une expression du code g n tique des plantes Nous avons ainsi acc s des maquettes virtuellement vivantes simulant un projet dans l espace sur des ann es et selon les saisons Des solutions ont t d finies pour les professionnels de l animation 3D les architectes et les cr ateurs de jeux vid o les paysagistes et les urbanistes les bureaux d tudes et les am nageurs du territoire Il faut pour cela des donn es cartographiques faibles et d une grande pr cision ce que sont les informations issues de la base de donn es TOPO de l IGN D o une alliance de partenariat conclue entre l IGN et la soci t Bionatics pour la production de maquettes de paysages en 3D Les bases de donn es de l IGN sont des r f rentiels pr cis homog nes et mis Jour qui peuvent tres convertis facilement en maquettes virtuelles Bionatics s est fix e pour objectif de r volutionner les professions li es aux paysages et la pr servation de l environnement par l utilisation de ces maquettes num riques ce partenariat devrait l y aider avec succ s l IGN a cr un service am nagement environnement dont l objectif est li au rapport Lengagne la suite duquel un relev de d cisions minist rielles a t diffus en f vrier dernier Pr cisant que l IGN contribuera au d veloppement et l utilisation
104. entaires des terres cultiv es La diminution des terres productives dans de telles zones est due l urbanisation Des signes plus clairs de d sertification due la salinit ont t constat dans la zone Tamya qui n avait aucune terre de tr s forte salinit dans l tude ci dessus Les zones avec l alcali lib rent la surface alors que l existence de l alcalin dans les profondeurs a augment de presque 3 9 pli La raison principale de ces d couvertes est l efficacit des efforts d am lioration du sol l application du gypse et un drainage am lior L tude du changement des niveaux de la nappe d eau du sous sol a r v l une tendance naissante dans tous les secteurs irrigu s Les changements variables de la productivit du sol paraissent dans diff rentes zones cause des ph nom nes de d sertification le risque de la d sertification dans la zone cultivable d El Fayoum diminuer gr ce aux directives de la FAO UNEP L valuation du statut et du taux de d sertification permet de d finir l quilibre entre les volumes d eau entrants et sortants Plusieurs processus sont mis en ouvre permettant la diminution dans les imp ts des eaux d irrigation annuels sans n gliger l eau compl mentaire n cessaire aux sels des sols BULLETIN des SCIENCES GFO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Livres Topographie et topom trie modernes Techniques de mesure et de repr sentation RS Ce premier tome de T
105. er de parler de gradient de temp rature depuis les micro m t orologistes ne paraissent pas s en tre inqui t et tout le monde scientifique et technique a suivi En admettant que la temp rature pouvait subir des variations importantes autour d une moyenne bien tablie permettant de calculer un gradient aussi petit CORRECTION TOTALE Pour cumuler la correction g om trique de niveau apparent exclusivement due la courbure du g oi de et la correction de r fraction due la courbure positive ou n gative des rayons lumineux On se reportera la figure 3 onalarelation DZ DZ C f Ai 5 Dans laquelle les DZ repr sentent les distances z nithales mesur es aux points et B C est la courbure moyenne du g oi de entre A et B en ml 1 est la correction totale de r fraction avec son signe EFFETS DES VARIATIONS DU GRADIENT SUR UN SOL ECHAUFFE On a d j indiqu par quels moyens les micro m t orologistes ont r ussi d terminer les gradients de emp rature pr s du sol chauff On distinguera deux cas 1 La convection forc e en pr sence de vent un vent de Im sec suffit on a dt r H dh 7 C k h T p Cp chaleur sp cifique de l air pression constante k constante de Von Karman r force tractrice du vent sur le sol les autres termes ont d j t d finis et utilis s dt l dt l On crit cette relation 2_T K o T dh h dh 2 La convect
106. erreur moyenne quadratique pond r e EMQP calcul e pour chacune de ces solutions Les valeurs EMQP sont donn es dans la Table 2 indiquant un niveau de 2 5 mm en position et de 12 mm an en vitesse est atteint par la plus part des solutions utilis es Il est aussi int ressant de comparer l ITRF2000 par rapport l ITRF97 en termes D erreurs formelles illustr es dans la figure 4 la fois en positions et vitesses Ces erreurs formelles repr sentent non seulement la pr cision des positions et vitesses mais aussi l exactitude de la d finition de l ITRF2000 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 1987 1954 1996 1998 2000 SLR amp Multi Tech TY 1992 1994 1996 1998 2000 199 18 1006 1988 2000 SLR amp Multi Tech 14 1992 1994 1996 1998 2000 1992 1994 1996 1998 2000 1992 1994 1996 1998 2000 Figure 2 Variations des translations des solutions individuelles incluses TRES 1992 199 1996 1998 2000 1992 1994 1996 1998 2000 1992 1994 1996 1998 2000 Figure 3 Variations des chelles des solutions individuelles incluses dans l ITRF2000 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2000 K Technique Nombre de solutions EMOP en Position EMQP en vitesse mm mm an I Multi techniques GPS Regional Ds LB o DS 2 AAA Table 2 R sum des EMOP des solutions incluses dans l ITRF2000 ITRF2000 97 position errors at 1997 0 cm ITRF2000 E ITRF97 180 140 160 150 140
107. es ethnographiques Il d veloppa une r flexion th orique autour de ce th me en vue d am liorer la repr sentation de la mixit ethnique et des minorit s Il appliqua ses principes la Carte des pays o dominent les Roumains que le Service G ographique de l Arm e publia en 919 Dans ses notices propos de l Europe centrale E de Martonne revendiquait sa neutralit scientifique Pourtant travers sa carte et les choix graphiques qu il op rait il offrait une image biais e de la Nation roumaine largement inspir e par les conceptions de l Ecole fran aise de g ographie r gionale STRUCTURING AND ENRICHING METADATA TO ENABLE USERS ACCESS TO GEOGRAPHIC INFORMATION RESSOURCES Une structure de m tadonn es pour l acc s d utilisateurs l exploitation de donn es g ographiques Par B n dicte BUCHER L acc s des utilisateurs l exploitation des donn es g ographiques disponibles c est adire leur compr hension de comment d river de ces donn es des connaissances utiles dans les contextes applicatifs est un enjeu crucial et un probl me complexe Il renvoie aux notions de partage et de r utilisation de connaissances tudi es en acquisition des connaissances un champ de l Intelligence Artificielle IA Le travail pr sent dans cet article applique les principes tablis en IA au cas particulier de l information g ographique L approche consiste construire un mod le repr sentant des cas d utilisations g n
108. es internautes et leur machine la langue naturelle et les chantillons de cartes Nous proposons une aide aux utilisateurs pour sp cifier leurs besoins en information g ographique sur le Web D abord une revue sur les moyens actuels d acc s l information g ographique est r alis e ainsi qu une analyse des probl mes r currents Notre contribution est alors d finie combiner la langue naturelle et les chantillons Enfin nous pr sentons l architecture g n rale de notre syst me en nous focalisant sur l utilisation des chantillons dans le cadre d un dialogue homme machine en langue naturelle REVISION OF CARTOGRAPHIC GENERALISATION RULE BASES Par Sylvain BARD La recherche en g n ralisation cartographique l Institut G ographique National tudie une automatisation de cette m thode Ce document pr sente un processus de r vision d une base de connaissances effectu partir l analyse de retouches interactives et s inscrit dans un m canisme g n ral d acquisition de connaissances La r vision est une modification de la base de r gles initiale dans le but de la rendre la plus exacte possible en conservant la coh rence Dans notre contexte l objectif de ce m canisme est d obtenir de meilleures r gles de g n ralisation cartographique dans la base de r gles r vis e Notre approche consiste appliquer une base de r gles de d cision initiale des objets g ographiques puis op rer une valid
109. es Landsat thematic mapper par leur richesse en gamme spectrale et leur r solution au sol sont une source de donn e importante qui peuvent rem dier l absence d informations spectrales contenues dans une photographie a rienne Cependant la t l d tection a confirm son apport en g ologie de part sa vue synoptique pour l analyse des grandes unit s du paysage et sa richesse spectrale qui traduit les propri t s intrins ques des divers objets g ologiques Ceci a donn une impulsion nouvelle au d veloppement et la r solution des probl mes dans le domaine de la cartographie g ologique permettant ainsi de travailler des chelles petite et moyenne 1 500 0007 pour MSS jusqu l chelle du 1 100 000 pour TM L approche adopt e est fond e sur deux faisceaux de connaissances relevant des donn es th matiques g ologie et des donn es de t l d tection en l occurrence celles de Landsat TM L objectif principal est la cartographie g ologique du bassin d In Azaoua au 1 500 000 L apport de la photo interpr tation synth tique nos donn es images reste primordiale I 1 Objectif du travail Dans ce travail notre but est de mener une cartographie des diff rents affleurements g ologiques de la r gion d In Azaoua tout en faisant appel a la signature spectrale propre aux objets lithologiques de la r gion Cette tude imposera la consultation des travaux ant rieurs r alis s tant s
110. es Spatiales Bp13 Arzew RESUME Le d veloppement de l activit agricole n cessite un syst me d valuation p riodique fiable et performant constituant un instrument d observation coh rent sur l agriculture Cette pr sente tude devrait aboutir une estimation des superficies et des rendements des principales cultures Face cet objectif et devant l chec des m thodologies classiques de collecte statistique 1l a t fait appel la t l d tection satellitale L tude a t r alis e sur une r gion semi aride d Alg rie autour de la ville de Ain Kercha qui fait partie de la Wilaya d Oum El Bouaghi Les cultures de c r ales ont t plus sp cifiquement tudi es elles repr sentent les taux d occupation du domaine agricole les plus importants l chelle de la r gion Une m thodologie de traitement num rique d images a t d velopp e afin de discriminer les diff rentes esp ces cultiv es La stratification de la r gion en zones homog nes nous a permis d am liorer la pr cision des estimations Au niveau de la zone d tude la mise en place du plan de sondage a t r alis e et les diff rents param tres de son application ont t discut s Afin d am liorer sensiblement les estimations les r sultats des traitements des donn es satellitales ont t confront s aux r sultats des enqu tes de terrain au moyen d un estimateur de r gression La t l d tection a permis la const
111. es par les vibrations du climatiseur En raison de toutes ces perturbations les 3 derniers sets d observations ont d tre rejet s Nous obtenons une valeur finale avec 7 sets d une pr cision tr s acceptables de 1 6 microgal Constantine La station de Constantine est bien situ e m me le rocher Le local est propre spacieux et offre une bonne stabilit en temp rature Les mesures de g sont excellentes Sur les 9 heures d observation seulement un set doit tre rejet d une perturbation non identifi e La pr cision finale de 1 1 microgal est un r sultat excellent Conclusions Dans ce rapport technique nous donnons les r sultats du premier r seau de gravim trie absolue d ordre z ro de l Alg rie Nous avons r alis les mesures de la pesanteur en douze sites alg riens plus un site suppl mentaire Alger Les pr cisions sur la d termination de g obtenues sont en moyenne de l ordre de 1 5 microgal pour une dur e d occupation moyenne de plus de 14 heures Ces r sultats sont excellents et avec une pr cision conforme aux normes en vigueur en gravim trie absolue Toutes les observations brutes sont fournies sur Le CD Rom en annexe ainsi que le software n cessaire pour retraiter les mesures Tout le traitement des donn es y compris toutes les corrections appliqu es ainsi que les param tres utilis s est d crit dans le pr sent rapport En conclusion nous tenons exprimer notre reconnaissance
112. gionaux de densification Les donn e d entr e de l ITRF2000 Les solutions individuelles incluses dans la combinaison ITRF2000 contiennent des positions et vitesses de stations avec matrices de variance compl tes fournies en format SINEX 30 solutions ont ainsi t combin es 3 VLBI 1 LLR 7 SLR 6 GPS 2 DORIS 2 multrtechniques et 9 solutions r gionales GPS Ces solutions ont t estim es par les centres d analyse en introduisant l un des trois type de contraintes suivants Contraintes qu on peut facilement enlever les positions vitesses sont contraintes des valeurs externes avec une incertitude de l ordre de 10 m tres pour les positions et m tres an pour les vitesses Contraintes l ches les incertitudes des contraintes sont de l ordre d un metre pour les positions et 10 cm an pour les vitesses Contraintes minimales dont le seul but est de d finir le syst me de r f rence sous jacent en termes d origine chelle orientation et volution temporelle Les observations utilis es dans ces solutions couvrent une p riode de la vingtaine d ann es pour les techniques pionni res VLBI LLR SLR et une dizaine d ann es pour GPS et DORIS La figure 1 montre la r partition des sites de l ITRF2000 2 pote 4 Collocated techniques FO Figure 1 Le r seau primaire de l ITRF2000 En plus des solutions individuelles des techniques spatiales des rattachements locaux dans le
113. gricoles de la wilaya d Oum El Bouaghi par t l d tection Rapport de la phase I du contrat n 498 92 CNTS DSA d Oum El Bouaghi de Mai 1994 42 p HIEDERER et al 93 R Hiederer J C Favard D Guedes et M Sharman 1993 Estimating European crop surfaces from SPOT and Landsat TM data Pr sent au symposium International Operationalization of Remote Sensing du 19 au 23 avril 1993 ITC HOLLAND MEYER ROUX et al 87 J Meyer Roux R Sigman M Craig et M Ozga 1987 Cartographie et statistique en t l d tection Extrait du cahier de statistique agricole n 6 Nov Dec 1987 pp 9 14 SHARMAN et al 91 M Sharman et H Boissezon 1991 Action IV de l image aux statistiques Bilan op rationnel apr s deux ann es d estimations rapides des superficies et des rendements potentiels au niveau europ en Rapport concernant le projet pilote pour l application de la t l d tection aux statistiques agricoles ISPRA VA ITALIE WILMET et al 89 J Wilmet et al 1989 Am lioration des statistiques agricoles par t l d tection Rapport r alis au laboratoire de t l d tection et d analyse r gionale universit catholique de Louvain p 4 18 D YOUSFI 97 D Yousfi 1997 Approche m thodologique pour la statistique agricole partir des donn es satellitales Application la r gion d Oum El Bouaghi Th se de Magister CNTS Arzew 106 pages BULLETIN des SCIENCES GEO GRAP
114. i sont respectivement la translation le facteur d chelle et la matrice de rotation Les param tres point s repr sentent les d riv es par rapport au temps BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL2000 La d finition de l ITRF2000 En termes de d finition de syst me de r f rence VITRF2000 a les caract ristiques suivantes L chelle et sa d riv e sont d finies par une moyenne pond r e de celles des solutions VLBI et celles les plus en accord des solutions SLR Les translations et leurs vitesses sont d finies par celles des solutions SLR les plus en accord L orientation a t align e celle de l ITRF97 al poque 1997 0 et son volution temporelle a t align e celle du mod le g ophysique NNR NUVEL 1A Il faut noter que l orientation et sa d riv e ont t impl ment es sur une s lection de sites de grande qualit g od sique satisfaisant les crit res suivants Observ s en continue pendant au moins trois ans Situ s loin des fronti res des plaques tectoniques et des zones de d formation Les vitesses combin es doivent tre pr cises mieux que 3 mm an Les r sidus sur les vitesses doivent tre inf rieurs 3 mm an pour au moins 3 solutions diff rentes Bas e sur l analyse de l ITRF2000 la s lection des sites a t op r e suivant les crit res ci dessus fournissant 54 sites l int rieur des plaques tectoniques et 41 sites dans des zones de d for
115. ier et trois membres associ s Les membres du Bureau doivent provenir de pays membres dont les cotisations sont jour Le Comit directeur de l U G G I travaille en vue d atteindre les objectifs scientifiques de l Union et des Associations internationales gr ce une coordination et une d finition efficace des politiques g n rales Il regroupe les membres du Bureau de l U G G I le pr sident sortant de l Union et les pr sidents des Associations internationales Le Comit des finances de l U G G I traite des affaires budg taires avec le Tr sorier de lU G G I Il regroupe cinq personnes lues par le Conseil de l U G G L Les membres du Comit des finances ne peuvent tre membres n1 du Bureau de l U G G I ni du Comit directeur de l U G G I Les Associations internationales Les sept Associations internationales semi autonomes de l U G G I assument Chacune les responsabilit s relatives une s rie de sujets ou de th mes sp cifiques relevant des activit s g n rales de l Union Chaque Association poss de sa propre sous structure comme il sera expliqu ci dessous Les Associations internationales d finissent des normes de recherche et conviennent de d finitions et d algorithmes tels que le Manual of Seismological Observatory Practice ou le Guide for Magnetic Repeat Station Surveys Pour les sujets importants les r solutions doivent tre adopt es l unanimit Ils transmettent dans le cadre de leur miss
116. ifiques du tiers monde par exemple G od sie en Afrique Ressources hydrauliques etc L UG GJI co parraine galement la F d ration des Services d analyse des donn es astronomiques et g od siques FAGS Elle est un partenaire d autres Unions du CIUS par le biais des Commissions inter unions STRUCTURE De par leur nature m me les tudes g od siques et g ophysiques requi rent une importante coop ration internationale de m me qu une coordination efficace L U G G L heureusement compte 66pays membres Tableaul Les pays membres sont r partis dans le monde entier comme le montre le Tableau 2 Comit s nationaux La grande majorit des pays membres participent aux activit s de lU G G L travers leur Comit National de PU G G L mis en place par l Acad mie nationale ou une autre institution officielle du pays adh rant l Union il existe d autres m thodes d adh sion Chaque Comit national de l U G G L est repr sent aux Assembl es G n rales de l U G G I par un d l gu nomm par l entit adh rente BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Pr sentation de FU G GI Assembl es g n rales Les Assembl es g n rales de U G G I ont lieu tous les quatre ans et elles utilisent la num rotation romaine La prochaine Assembl e g n rale de l U G G I sera la XXIII 239 Elle se tiendra Sapporo au Japon en 2003 L U G G I tient des Assembl es G n rales depuis 1922
117. ion ducative les r sultats de leurs recherches la communaut scientifique internationale aux agences gouvernementales aux entreprises et au grand public Les sept Associations internationales sont les suivantes Association Internationale de G od sie AIG International Association of Geodesy TAG Association Internationale de d A ronomie AIGA International Association of Geomagnetism and Aeronomy IAGA G omagn tisme et Association Internationale des Sciences Hydrologiques AISH International Association of Hydrological Sciences IAHS Association Internationale de M t orologie et des Sciences de l Atmosph re AIMSA International Association of Meteorology and Atmospheric Sciences TAMAS Association Internationale des Sciences Physiques de l Oc an AISPO International Association of the Physical Sciences of the Ocean IAPSO Association Internationale de S ismologie et de Physique de l Int rieur de la Terre AISPIT International Association of Seismology and Physics of the Earth s Interior ASPED Association Internationale de Volcanologie et de Chimie de l int rieur de la Terre AIVCIT International Association of Volcanology and Chemistry of the Earth s Interior IA VCEI Les Associations internationales jouent galement un r le particulier en faisant b n ficier tous les pays du monde des derni res avanc es scientifiques gr ce a des rencontres des ateliers et des assembl es Les
118. ion de la dur e des observations En effet l cart type doit progressivement diminuer en fonction de la dur e des observations Si on observe un saut vers le haut de la courbe on peut suspecter que le set correspondant est anormal L limination de ces deux sets d observations n affecte que tr s peu la valeur moyenne de g On augmente l g rement la pr cision de g de 2 2 2 1 microgal La deuxi me session de mesures une semaine plus tard n a dur e que deux heures et demi On constate l accord presque parfait entre les valeurs de g Ceci est une d monstration de la stabilit du gravim tre FGS A la station de Bologhine nous n avons observ qu une heure et quarante minutes Les r sultats sont excellents Ghardaia C est une belle station de dimension id ale Les variations de la temp rature furent tr s importantes pr s de 8 degr s Celsius Nous avons d utiliser la climatisation La verticalit de l instrument est rest e tr s stable durant les 24 heures d observations Des arr ts intempestifs de l alimentation lectrique sont l origine des sets manquants Aucun set de mesure n a d tre limin A station exceptionnelle pr cision exceptionnelle de 1 1 microgal In Amenas Deux inconv nients majeurs cette station un vent fort et des temp ratures lev es approchant les 30 degr s Celsius Nous n avons pas pu descendre la temp rature dans le local et ce malgr l utilisation de la climatisation Nous
119. ion de la qualit finale de la r gression IMAGE 4 Superposition des segments sur l image L approche retenue pour l inventaire des cultures pai t l d tection passe par un certain nombre d tapes de traitements et de contr le En effet elle comporte quatre niveaux d informations qui sont la stratification les images satellitales Es segments ar olaires ainsi que les statistiques de terrain Les segments ar olaires sont superpos s sur les images satellitaires par le biais de la correction g om trique afin de limiter les erreurs dues la localisation de points de rep res Le croisement de la stratification avec les images satellitaires nous permet d aboutir de nouvelles strates sur celles ci nous choisissons des segments ar olaires Des classifications sont r alis es par la suite nous r alisons la matrice de confusion qui est une tape de controle Les r sultats de la classification sont par la suite compar s aux Statistiques de terrain par le biais d une r gression Enfin un indicateur est calcul afin de mesurer l efficacit de la t l d tection Estimateur de r gression Pour d terminer une superficie donn e par t l d tection nous d terminons une loi biunivoque d un ensemble classification par t l d tection v rit terrain Cette loi peut tre d termin e par la droite des moindres carr s En t l d tection nous nous contentons d estimer cette loi par un certai
120. ion libre c est dire sans vent dt H T 1 oser 23 ne MD ees dh F per gt ht BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 2 O H est la quantit de chaleur transport e par convection par unit de temps cette seconde formule est crite di l di T Arg Ou x th at Rappel di dn tgli A uh dh on va former la somme des d tout au long du rayon lumineux de la station au signal vis On a Dans la zone de convection forc e on a 1 Ae mea K gt dx ES 0A x i on note en effet que h h tg i ym int la hauteur au dessus du sol de la station x la distance du point courant l origine et h la hauteur du point courant au dessus du sol On note aussi ho Dh la hauteur du point vis au dessus du sol Les deux ph nom nes sont directement proportionnels H quantit d nergie chang e par unit de temps entre le sol et l air du sol vers lair Dans la zone de convection libre on proc de de la m me mani re avec les m mes notations pool y MD ge ES 0 A tai R i ue Ag T A PCA DAE On a respectivement n 1 AE Gh Dh Les fonctions F et G sont les r sultats des int grales ci dessus note 1 calcul s en fonction des deux param tres h hauteur de l instrument et Dh diff rence de hauteur positive ou n gative entre l instrument et le point vis La figure 5 donne les graphes de ces fonctions un graphe pour chaque
121. is e dans estimation des p les des rotations en un ajustement unique pr servant ainsi les corr lations entre les param tres Le mod le de mouvement des plaques tectonique issu de PITRF2000 En utilisant les six p les absolus de rotations des p les relatifs ont ensuite t calcul s par addition de vecteurs Les p les relatifs de rotation des plaques sont insensibles la d finition du syst me de r f rence Il est donc int ressant de comparer les p les d duits de l ITRF2000 a ceux pr dits par le mod le g ophysique voir Table 4 Table 4 P les relatifs des plaques tectoniques de l ITRF2000 Plaque m an EN CE Table 3 P les des rotations de 6 plaques tectoniques principale de PITRF2000 Cette Table montre que les diff rences entre les deux mod les se situent entre 0 03 et 0 08 par millions d ann es quivalent environs 1 7 mm an sur la surface de la Terre Comme le montre la Table 4 par rapport a la plaque Pacifique les vitesses ITRF2000 des autres plaques sont plus rapides que celles pr dites par le mod le g ophysique l exception de la plaque Australienne De plus les r sultats de l ITRF2000 montrent un mouvement relatif entre les plaques Eurasie et Nord Am rique plus rapide que celui du mod le g ophysique par environs 0 056 millions d ann es Paqe NY CR __ das Par rapport la plaque Pacifique AURA 63 118 79 215 001357 007126 0
122. itution d une base de sondage ar olaire pour les enqu tes de terrain Les m thodes test es se basent sur la combinaison des donn es satellitales avec des informations de terrain Les r sultats obtenus nous ont permis de constater un certain nombre d erreurs En effet l approche d velopp e nous a permis d aboutir un r sultat pour lequel la marge d erreurs sur l ensemble des segments chantillons est de 2 53 Vo Mots cl s Statistiques agricoles t l d tection estimation des superficies stratification plan de sondage base de sondage estimateur de r gression segment g or f rencement ABSTRACT The development of the agricultural activity requires a periodic assessment system which is reliable and effective and which constitutes a coherent observation instrument of the agriculture This present survey should lead to an evaluation of surfaces and main culture rendement Facing this objective and in front of the failure of the classic methodologies of statistical collection it has been resort to Remote sensing data The survey has been achieved on a semi arid region of Algeria around the city of Ain Kercha that makes part of the department of Oum El Bouaghi Cultivation of cereals was more specifically studied they represent rates of work of the most important agricultural domain to the level of the region A methodology of digital processing of images has been developed in order to discriminate the different cul
123. jets dn P d2 objets d2 P d1 objets d1 Figure 1 Principe des versions de partitions Transactions La structure minimale pour cette approche est Identifiant de la partition courante Liste des objets Date D de la version L algorithme g n ral de recherche de l tat d un objet une date dest Tant que d partition gt d Lire partition v D incr menter i i 1 1 lt i lt n Fin tant que Objet d objet partition v 3 2 Versions d objets Contrairement l approche pr c dente celle ci op re directement sur l objet et non sur toute la partition Chaque transaction T i cr ation modification effectu e la date D i sur un objet cr e un nouvelle version V 1 de cet objet la destruction met fin l existence de l objet la date courante figure 2 Cette approche offre moins de redondances que la premi re puisqu il y a moins de duplication des donn es les mod les sont cependant plus complexes r aliser Bases de Donn es Versions d objets V dn objet dn Transactions V d2 objet d2 V d1 objet d1 Figure 2 Principe des versions d obiets Pour cette approche la structure minimale est Objet version Identifiant de l objet courant Description de l objet Localisation de l objet Date Di de la version L algorithme g n ral de recherche de l tat d un objet une date dest Tant
124. la suite d terminer un seuil sur cette image de telle mani re ce que nous prenons en consid ration que les classes qui nous int ressent Cette classification a donn les r sultats suivants D Non clase 677258 64 59 i 3174 7 100 Tableau 1 R sultat de la classification par maximum de vraisemblance des canaux XS masaue NDVI La r gion masqu e repr sente 677 258 pixels de l image totale soit 64 59 Tab 1 Sur les 371318 pixels class s nous remarquons que 95 86 sont occup s par les deux classes de c r aliculture ce qui montre bien l aspect c r alier de la zone Les r sultats chiffr s de cette image nous montrons que la c r aliculture d une mani re g n rale a t bien repr sent e avec une superficie de 33 95 de l image r partie en deux classes C r aliculture bon rendement 5 00 et c r aliculture faible rendement 28 95 Notons que cette classification a donn de bons r sultats malgr le taux d erreur qui est de 1 46 Tab 1 Estimation de la classification Nous calculons l aide de la matrice de confusion le pourcentage de pixels bien class s ainsi que les statistiques de classification Nous remarquons que le pourcentage de pixels bien class s pour la classe c r aliculture bon rendement est de 73 74 tab 3 un certain nombre de pixels de cette classe se trouvent confondu avec les classes c r aliculture faible rendement et reboisement ta
125. le microgal vitesse angulaire de la rotation de la Terre radian seconde a rayon quatorial de l ellipso de de r f rence m latitude de la station longitude de la station xy coordonn es du p le suivant la convention de l IERS radian 5 Fiches techniques et graphiques 5 1 Description Pour chaque station un dossier complet est fourni dans la suite de ce rapport Il comprend e Une page de garde avec une photo de la station sauf pour les stations d Adrar et de Djanet pour lesquelles nous ne disposons pas de photos e Une fiche technique telle qu elle a t tablie par l Institut National de Cartographie et de T l d tection e Une fiche signal tique compl te en anglais sur les mesures absolues On y trouve toutes les coordonn es de la Station tous les param tres des corrections appliqu es ainsi que le r sultat final Pour toutes les stations une fiche est fournie pour l ensemble de tous les sets observ s Lorsque nous avons jug bon d liminer un ou plusieurs sets une seconde fiche est fournie avec les r sultats pour les sets retenus Ce sont les r sultats de cette derni re fiche qui sont consid r s comme r sultats d finitifs e Une table avec la valeur de la pesanteur set par set amsi que la valeur finale et l ensemble des param tres utilis s pour traiter les donn es Les fiches techniques sont tablies partir des informations contenues dans cette table e Un ensemble
126. les ann es 80 a profond ment am lior le positionnement sur la surface de la Terre Les incertitudes initialement d cim triques sont maintenant centim triques voire millim triques Il est cependant noter que chaque technique et chaque analyse de donn es d finie et r alise son propre SRT Par cons quent une multitude de r alisations peuvent exister ayant des syst matismes les unes par rapport aux autres Cet tat de fait a conduit l Union International de G od sie et de G ophysique UGGI et 1 Association International de G od sie AIG adopter un syst me unique appel le Syst me International de R f rence Terrestre ITRS pour toutes les applications des Sciences de la Terre Geodesist s Handbook Bulletin G od sique 1992 L TTRS est d fini par L origine est le centre des masses de la Terre enti re comprenant les oc ans et l atmosph re L unit de longueur est le m tre SI de sorte que l chelle est compatible avec le Temps Coordonn G ocentrique TCG en accord avec les r solutions de l Union Astronomique Internationale IAU et de r UGGI L orientation est compatible avec celle du Bureau International de l Heure BIH l poque de 1984 0 BULLETIN des SCIENCES GFO GRAPHIQUES AVRIL 2002 o o o o UO 1 L volution temporelle en orientation est assur e par une condition de no rotation globale par rapport aux mouvements tectoniques horizontaux sur la surface de la Terre
127. m de r solution Les deux images sont s par ment transmises au sol o elles sont archiv es telles quelles car elles sont alors exploitables en tant qu images 5 m Le traitement super mode commence alors au sol Dans un premier temps on entrelace ces deux grilles pour les positionner parfaitement entre elles afin qu elles s imbriquent avec exactement un demi pixel de d calage Ensuite par interpolation c est dire en inter calant des valeurs interm diaires on peut restituer les pixels manquants qui sont recalcul s gr ce la th orie de Shannon avec une bonne confiance Enfin on effectue un traitement dit de restauration enti rement automatique qui permet d obtenir une image d chantillonnage 2 5 m C est un processus tr s complexe destin rendre l image plus nette Pour donner un ordre d id e l chantillonnage d un seul pixel va n cessiter environ 800 op rations La possibilit d acqu rir des couples st r oscopiques de mani re simultan e apporte un r el progr s pour la restitution du relief et la fabrication de mod les num riques de terrain L acquisition de couples st r oscopiques Spot est r alis e par la programmation de deux images de la m me zone au sol prises sous deux angles diff rents Actuellement ces deux images sont issues de diff rents passages du ou des satellite s ce qui induit des carts de date parfois importants La principale difficult rencontr e dans la fabrication de
128. mages est faite partir de l analyse des caract ristiques morpho structurales radiom triques et texturales des diff rentes unit s g ologiques s dimentaires et cristallophyli nnes L exploitation conjointe des images optiques visible et proche infrarouge ainsi que celles du moyen et de l infrarouge thermique l chelle du 1 500 000 nous a permis d tablir un document photo g ologique Diff rentes limites de formations ont t caract ris es 11 2 2 Interpr tations spectrales IL 2 2 1 Le Hoggar central polycyclique 11 2 2 1 1 Interpr tation du domaine s dimentaire Diff rentes formations g ologiques de tonalit s diff rentes ont t caract ris es tableau 1 Unit s Tonalit Fracturation Texture Observation G ologiques Plus ou moins Calme mais Importante Domaine S dimentaire importante dans l unit du Cambro Ordovicien canal de l infrarouge ae TM6 limite parfaitement le contact anormal entre le socle et la couverture Fracturation importante au Cambro Ordovicien Moyenne Importante contact avec le socle cristallophylien Cosmo o cm Moyenne La limite g ologique avec le Moyenne Lisse Carbonif re est parfaite TM6 Ema La limite g ologique avec le D vonien est moins vidente dans le canal du TM6 Affleurement moins important Tableau 1 Caract risation des diff rentes unit s g ologiques s dimentaires partir des donn es images de T M
129. mation Parmi les 54 sites s lectionn s 50 seulement ont t utilis s dans l alignement au mod le NNR NUVEL 1A Les 4 autres sites ont des vitesses significativement diff rentes du mod le Les r sultats de l ITRF2000 Les r sultats de la combinaison globale ITRF2000 sont les positions des stations l poque 1997 0 et leur vitesses de d placement ainsi que les param tres de transformation entre les solutions individuelles et l ITRF2000 Les stations appartenant un m me site ont t contraintes avoir la m me vitesse Etant donn que l ITRF2000 combine des solutions ayant des contraintes minimales les param tres de rotation sont arbitraires Ce constat est galement applicable aux composantes des origines des solutions VLBI Par cons quent nous allons nous int resser aux chelles et origines des solutions satellitaires ainsi qu aux chelles des solutions VLBI Origines et chelles des solutions individuelles En s lectionnant l intervalle 1991 2000 comme tant la p riode commune des observations des solutions individuelles incluses dans l ITRF2000 la figure 2 montre les variations lin aires des translations des solutions SLR et GPS par rapport l origine ITRF2000 d finie par la moyenne de 5 solutions SLR La figure 3 illustre les variations lin aires des chelles des solutions VLBI SLR et GPS par rapport l chelle de l ITRF2000 d finie par la moyenne des 3 solutions VLB
130. mity of anomalies noted the word was not too strong for the time we had been brought to verify all observations numerous time under all skies and under all climates and to enter in report with all those that have an interest to the phenomenon We had the privilege to enter in relation toward 1965 with Australian physicists who studied the micro meteorology while measuring the luminous radius deviation to the proximity of soil to determine gradients of temperature indirectly because the direct measure was impossible at least with the wanted precision the hundredth of degree To the time the studied topic was the influence of the refraction on measures of distances in tacheometry because the anomalous refractions introduced important systematizes 3 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 LES STATIONS TOTALES Ce travail avait re u un accueil poli mais il arrivait de toute vidence trop tard on en tait aux mesures de distances lectroniques On avait ensuite perdu de vue son int r t pour le nivellement indirect On a vu appara tre r cemment des contributions sur ce sujet 6 on pense qu il tait possible de faire plus simple En effet quel int r t de faire appara tre dans des formules des termes dont on ne conna tra jamais la valeur et de perdre ainsi de vue l essentiel des termes qui varient et qu on dbit absolument conna tre C est pourquoi on fera un grand usage du signe qui signifie proportionnel
131. n Geodesy for Geotechnical Berlin Conference Office NEW and Structural Engineering GERMANY P 43 1 58801 12804 http www sc4 berlin2002 de vu F 43 1 58801 12894 E conf pop tuwien ac at 27 May 2 June European Conference on Computer Vision 2002 Copenhagen Secretariat 2002 http www itu dk events eccv02 DENMARK E ECCV congress consult com 30 May 1 June International Conference Saint Petersburg Dr Yuri P Seliverstov 2002 INTERCARTOS RUSSIA President of the Russian Gepgraphical Society E gis peterlink ru Professor Vladimir S Tikunov P 7 095 9391339 F 7 095 9328836 E Tikunov geogr msu su 1 3 June 2002 Geoinformatics 2002 Nanjing Dr Peng Gong Dr Ruiliang Pu NEW Remote Sensing and GIS for Global Change CHINA P 1 510 642 5170 Studies and Sustainable Development F 1 510 528 3468 643 5098 http www cnr berkeley edu cpgis E gong nature berkeley edu rpu nature berkeley edu CPGIS2002 hotmail com 4 7 June 2002 2002 Symposium amp General Assembly EARSeL Prague Mrs M Godefroy Symposium Geoinformation for European CZECH REP P 33 1 45 56 73 60 wide Integration F 33 1 45 56 73 61 Workshop Remote Sensing for Environmental E EARSeL meteo fr Modelling http www earsel org http www meteo fr http www uhul cz 10 12 June 2002 The Third International Workshop on Steamboat Anne Nolin Multiangular Measurements and Models Springs P 1 303 492 6508
132. n nombre de v rit s terrain et leurs classification associ e Les donn es class es sont d crites par un mod le lin aire suivant Y 0 9788 X 1 5896 o la variable X est la superficie obtenue par classification La superficie de l image enti re est de 44100 ha celle obtenue par classification pour la classe c r ales est de 14238 68 ha L estimation qui peut tre donn e a partir des donn es terrain est de l ordre de 15267 42 ha La diff rence entre le r sultat de la classification et l estimation obtenue partir des donn es terrain peut tre expliqu e par la confusion que nous avons constat entre les c r ales qui repr sentent un taux de couverture tr s faible et les sols nus N anmoins d une mani re globale nous pouvons constater que sur les 36 segments tir s la diff rence entre les donn es class es et les donn es terrain n est pas significative 2 53 La droite de r gression calcul e se pr sente comme suit Donn es terrain Ha Y 50 00 40 00 30 00 20 00 10 00 0 00 0 00 20 00 40 00 R sultats class s Ha Droite de r gression obtenue par croisement des donn es terrain et de t l d tection Notons que l interpr tation de la droite de r gression est li e Pimportance de la corr lation existant entre les donn es terrain et les donn es class es Dans notre cas le coefficient de d termination 12 vaut alors 0 848 ceci signifie que 84 8 des vari
133. nal Terrestrial Reference Frame ITRF The latest ITRF version namely ITRF2000 is presented in details highlighting the important geodetic and geophysical results Introduction Un des buts ultimes de la g od sie spatiale est estimation des positions des points ou d objets sur la surface de la Terre ou dans son environnement proche Cependant les positions de points ne sont ni observables ni des quantit s absolues Elles doivent donc tre exprim es par rapport une r f rence Nous appelons Syst me de R f rence Terrestre SRT un objet math matique satisfaisant une d finition id ale et dans lequel les positions de points seront exprim es N anmoins l acc s aux positions des points n cessite des moyens d observation permettant leur lien l objet math matique Nous appelons ainsi un Rep re de R f rence Terrestre RRT une mat rialisation physique du SRT utilisant les observations d duites des techniques de g od sie spatiale La distinction entre syst me et rep re est donc subtile car le premier est plut t invariable et inaccessible alors que le second est accessible et perfectible Les concepts g n raux relatifs aux syst mes et rep res de r f rence ont t discut s dans les ann es 80 dans les communaut s astronomique et g od sique Kovalevsky et al 1989 et sont largement d crits dans Boucher 2001 L utilisation des techniques de g od sie spatiale depuis
134. nes se sont d velopp es depuis l antiquit autour des sources et des foggaras dans le cadre d une organisation collective et d une gestion quilibr e des ressources Mais partir du d but des ann es 1980 et suite aux diff rentes transformations socio conomiques qu a connu la r gion on a vu appara tre et se d velopper une nouvelle exploitation des ressources notamment en eau bas e sur l initiative individuelle L IMAGERIE SPATIALE POUR LA MISE A JOUR CARTOGRAPHIQUE EN AFRIQUE UN CAS D ETUDE EN GUINEE CONAKRY Par Nicolas BAGHDADI Anne BOURGUIGNON Christine KING Jean Francois DESPRATS C dric PARENT amp Jean Louis FEYBESSE Cet article pr sente les r sultats d une tude sur le potentiel de diff rents capteurs radar et optique et leur compl mentarit pour la cartographie de l occupation du sol et la mise jour des cartes g ographiques en Afrique de l ouest Des images acquises par SIR C ERS et SPOT ont t analys es Les r sultats montrent que des donn es RSO en bande L sont plus appropri es que celles en bande C pour discriminer les divers objets cartographiques tudi s Cependant de meilleurs r sultats ont t obtenus dans le cas d une approche utilisant des donn es RSO multi date et particuli rement en combinant une image de saison s che avec une image de saison des pluies Les images ERS se sont av r es inad quates pour la cartographie Les r sultats obtenus partir de l image SPOT acq
135. nn es transform es dans la cartographie de ces sols la distribution des sols dans des emplacements diff rents des emplacements ayant servi pour le choix des sites dientrainement est significativement difficile La variation de pr cision des classifications suite une augmentation du nombre de transects consid r s a montr que l am lioration moyenne de pr cision tait tr s faible environ 10 quand un deuxi me transect a t consid r Quand un troisi me transect a t ajout une augmentation moyenne de la pr cision 20 a t obtenue Apport de l imagerie AVHRR NOAA dans le suivi de la d sertification au niveau national marocain Par A LEMSANNI Le pr sent article a pour objectif de pr senter une approche d velopp e pour l lude et l valuation du ph nom ne de la d sertification au niveau national en utilisant les capteurs de faible r solution spatiale tel AVIHRR de NOAA A cet effet certains param tres g ophysiques alb do AL indice de v g tation NDVI et temp rature de surface TS sont produits r guli rement et couvrent la p riode de 1987 1996 raison d une image par mois L tude des diff rences d images bas e sur l exploitation d un seul param tre en particulier l indice de v g tation permis de caract riser la dynamique spatio temporelle de l tat de la v g tation Les combinaisons de ces param tres deux deux en particulier AL TS et NDVI TS ont permis resp
136. ns Par contre il est toujours pr f rable de mesurer entre 10 et 24 heures afin de contr ler si l ensemble des corrections g ophysiques sont bien adapt es Ce qui fournit aussi une meilleure estimation de la pr cision r elle sur la d termination de la pesanteur 4 Traitement des donn es En fonctionnement le FGS effectue une mesure toutes les 10 secondes La chute libre se fait sur une distance de l ordre de 20 cm et dure environ 0 175 secondes Durant la chute libre en moyenne 400 000 franges d interf rence sont g n r es dont 700 sont enregistr es sur le disque dur de l ordinateur Ce nombre est un compromis entre la pr cision d sir e et surtout les moyens informatiques disponibles aujourd hui ne permettent pas encore de stocker l ensemble des 400 000 franges pour un grand nombre de mesures A chaque chute libre c est dire pour chaque mesure individuelle l quation du mouvement est invers e et l ensemble des corrections d crites ci apr s est appliqu 4 1 Equation du mouvement La valeur mesur e de la pesanteur est calcul e pour la position initiale de chaque chute Ceci doit tre pr cis car la chute libre se fait sur 20 cm La pesanteur varie donc d environ 60 microgal entre la position en d but et fin de chute en raison du gradient vertical de la pesanteur la surface de la Terre Etant donn que le FGS a une pr cision de l ordre du microgal nous ne pouvons plus consid rer g comme constant Il
137. nt ainsi interf rer les signatures spectrales ad quates des faci s lithologiques N anmoins certaines contours g ologiques des diff rents faci s ont pu tre mis en vidence La limite g ologique discordance ou contact anormal entre le domaine cristallophylien et les s ries s dimentaires est plus qu vidente canal 6 de l infrarouge thermique Ainsi certaines limites g ologiques ont pu tre trac es gr ce au spectre du visible et un degr moindre celui du canal T M 5 Des structures g ologiques ont pu tre limit es gr ce leur mode d affleurement cas du granite d ge panafricain pr coce L aspect texturo structural et morphologique permet aussi dans un certain cas une discrimination des classes quant celles ci pr sentent une m me plage de niveau de gris Cependant pour ce qui est de l exactitude des contours celui ci reste ou est plus ou moins al atoire Nous finirons par constater que l ad quation de la t l d tection notre tude g ologique d pend des caract ristiques spectrales spatiales et texturales du faci s recherch e La cartographie des formations lithologiques des formations g ologiques n tant pas aussi perceptible une approche ou confrontation multidate de nos donn es images serait souhaitable o les param tres d humidit de l l vation solaire et son azimut de direction sont prendre en compte Quant l humidit ceci s explique d une part
138. nt une variation de l amplitude et de la direction de la pesanteur la surface de la Terre Melchior 1983 Cette variation temporelle de la pesanteur est directement reli e aux positions de la Lune et du Soleil Il faut consid rer trois effets 1 l attraction directe des deux astres 2 la d formation lastique de la Terre 3 la redistribution de masse l int rieur de la Terre Nous utilisons pour calculer l effet gravim trique des mar es terrestres la sous routine fournie par Micro g Solutions Inc Cette sous routine calcule la position de Lune et du Soleil partir de formules analytiques Le potentiel g n rateur des mar es est ensuite d duit Un facteur gravim trique de 1 6 est alors utilis comme fonction de transfert entre le potentiel g n rateur des mar es et l effet gravim trique La pr cision est de l ordre du microgal limite de pr cision du FG5 Une copie du code FORTRAN gravtide for est fournie sur le CD Rom On y trouvera la liste des nombreux auteurs du code ainsi que les diverses modifications qui y ont t apport es 4 3 2 Surcharge oc anique Le flux et reflux des mar es oc aniques exercent une charge p riodique sur le fond des oc ans Cette charge provoque un signal gravim trique de m mes p riodicit s que les mar es terrestres L amplitude est de l ordre de l 15 microgal d pendant de la distance entre les oc ans et la station consid r e Les effets de surcharge oc anique s
139. nternationale de G od sie AIG G Y 2 7 Septembre 2001 BUDAPEST HONGRIE IUGG sn AOTAN Perspectives de la G od sie dans le nouveau Mill naire Vistas for Geodesy in the new millennium L assembl e scientifique de Association Internationale de G od sie apr s Rio de Janeiro en 1997 s est tenue du 2 au 7 septembre 2001 Budapest Durant cette assembl e laquelle ont particip 449 g od siens issus de 53 pays 126 pr sentations orales et 253 pr sentations en poster ont t enregistr es Lors de la c r monie d ouverture pr sid e par le Pr Sanso Pr sident de l AIG il a t fait mention de l atelier d Alger 2 me Atelier Nord Africain de G od sie et de la qualit des travaux men s en g od sie en Alg rie Au niveau international il y a lieu de relever la forte participation de l Allemagne 66 des USA 40 de la Chine 24 la Hongrie 25 le Canada et la Pologne 21 Italie 19 Pays Bas 18 Au niveau Africain l Alg rie avec 4 participants tait repr sent e devant l Egypte 3 le Maroc 2 et l Afrique du Sud 1 Des pays comme le Nigeria et la Tunisie avaient pr vu de participer mais n ont pas t pr sents Budapest BULLETIN des SCIENCES GFO GRAPHIQUES AVRIL 2002 5 Compte Rendu 1 Organisation du s minaire de AIG Le s minaire de Association Internationale de G od sie est organis en quatre symposium compos
140. ntre les diff rences des vitesses calcul es par les p les de rotation de l ITRF2000 d une part et le mod le NNR NUVEL 1A d autre part De plus un p le de rotation estim par l ITRF2000 d pend des sites choisis et du niveau de rigidit de la plaque en question alors que le mod le fourni toujours le m me p le pour n importe quel ensemble de sites de la plaque BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 iv ANTA AUST EURA NOAM PEFC SOAM STATIONS Figure 5 Diff rences des vitesses entre 1 ITRF2000 et le mod le NNR NUVEL IA pour 49 sites Figure 6 Diff rences des vitesses entre l ITRF2000 et le mod le NNR NUVEL IA calcul es partir de leurs p les de rotation respectifs BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 20 Afin d illustrer la discussion ci dessus nous avons utilis les vitesses ITRF2000 pour estimer les p les de rotation de 6 plaques donn es dans la table 3 Dans cette estimation les 49 sites ont t utilis s augment s d un site sur la plaque Antarctique et un autre sur la plaque Pacifique pour am liorer la g om trie des sites sur ces deux plaques Le mod le d observation utilis dans cette estimation est l quation suivante reliant le vecteur d Euler la vitesse du point X ayant X comme position et est situ sur la plaque p X xX La matrice de variance complete des vitesses des 51 sites extraite de celle de VITRF2000 a t util
141. nts d un Sauropode dans un niveau dont l ge est attribu au Dogger a t faite en octobre 2000 dans les monts des Ksour Les travaux sur le terrain ont permis de r colter d j 51 os et fragments d os d un m me animal pour les collections du Mus e de la G ologie et des Hydrocarbures de Sonatrach C est la premi re fois que les os d un squelette en connexion sont d couverts en Alg rie o jusqu pr sent des l ments isol s avaient t r colt s La richesse du site n cessitera plusieurs missions de fouille et des moyens techniques importants Cette note constitue un pr ambule un travail qui ne pourra tre complet qu apr s le d gagement total de l animal De m me l attribution du fossile un genre et une esp ce n est pas possible cette tape des fouilles TYPOLOGIE DES GRANITO DES DE TEDESI NORD OUEST DE TAMANRASSET HOGGAR CENTRAL ALGERIE Par Aziouz OUABADI Dans le Hoggar central les granito des panafricains de la r gion de Tamanrasset dont la mise en place est li e la collision continentale entre le Craton Ouest Africain et le Bouclier touareg se subdivisent en deux groupes I et S en fonction de crit res g ologiques et p trologiques Les relations de terrain la g ochimie des l ments majeurs traces REE et quelques donn es isotopiques de l oxyg ne ont t utilis es pour rattacher le massif granitique tardi tectonique de Tedesi NW de Tamanrasset au groupe des
142. offerts par SPOT 5 la liste est longue images orthoimages MNT et tout ceci dans diff rentes r solutions La pr cision du GPS va augmenter partir de 2003 Le syst me de positionnement am ricain GPS va tre compl t par de nouveaux satellites aux caract ristiques d mission am lior es Outre des capacit s militaires accrues les syst mes civils devraient b n ficier d une meilleure pr cision Depuis la lev e l an dernier du dispositif de d gradation volontaire du signal le GPS a vu sa pr cision s am liorer tr s nettement et devrait b n ficier de nouvelles am liorations d s 2003 avec le lancement de nouveaux satellites Block IIR M Ces nouveaux satellites devront offrir l ouverture d une nouvelle bande de fr quence aux usagers civils Elle aura pour cons quence de supprimer certains ph nom nes d interf rences et d augmenter encore la pr cision du positionnement Les satellites actuels mettent sur deux bandes L1 et L2 modul es par des codes pseudoal atoires code C A sur L1 et code P sur L1 et L2 Les futurs satellites devraient mettre un nouveau signal code L2C sur L2 afin de permettre de compenser certains ph nom nes de perturbation atmosph riques dans l ionosph re Il devrait en r sulter une pr cision am lior e 2 3 m Pour en profiter 1l faudra videmment disposer de r cepteurs bifr quence Les r cepteurs actuels monofr quence continueront de fonctionner sur la bande LI
143. oggar sud Alg rie et min ralisations uranif res et thorif res associ es Th se pour le grade de docteur de l universit de rennes I mention sciences de la terre n d ordre 1329 universit de Rennes I France SCANVIC J Y et PION J C 1993 Applications en g ologie de la t l d tection B R G M 36 p France BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 LES PRATIQUES DE NORMALISATION TOPONYMIQUES EN ALGERIE Par Brahim ATOUI S D aVINCT chef de projet Toponymie Alg rienne Bilan et perspectives PNR CRASC INTRODUCTION Cette contribution n a d autre ambition que de donner un aper u sommaire sur les pratiques de la normalisation de la toponymie alg rienne enregistr es ce Jour INTRODUCTION This contribution has no ambition other then giving a brief survey on practices of the normalization of the Algerian toponymy noted to date TEXTES REGLEMENTAIRES les premiers textes de l Alg rie ind pendante concernant la toponymie apparaissent avec ceux portant r organisation des communes la fin de l ann e 1963 ces textes comportent les noms officiels des communes en arabe avec leurs transcriptions en caract res latins Mais le premier d cret portant changement de nom de certaines communes ne parut qu en 1965 o 114 communes sur les 676 communes existantes re urent un nouveau nom Il faut attendre l ordonnance portant code de la commune n 67 24 du 18 01 1967
144. on qui supporte la publication sur Internet d informations d ing nierie de g o ing nierie et de donn es Raster Viecon Publisher est une application orient e serveur compl te capable de publier automatiquement les versions les plus jour de fichiers MicroStation et AutoCad ainsi que des donn es Raster Il permet aux entreprises de cr er et de g rer des sch mas d ing nierie des cartes et d autres donn es et images de g o ing nierie Son architecture technique lui permet de diffuser des images des clients au travers de connections modems sans affecter les vitesses d acc s et de navigation Aucun logiciel sp cifique n est n cessaire du c t client un simple navigateur Internet est requis Le fichier original n est pas transmis au client demandeur ainsi la s curit de l information est renforc e et le trafic sur le r seau est minimis L utilisateur peut visualiser distance des plans sans avoir besoin de disposer du logiciel CAO natif et il supporte l annotation de plans aux formats DGN MicroStation et AutoCad Bentley Systems France 424 92053 Paris La D fense T l 01 46 92 40 92 Fax 01 46 92 40 93 Site www bentley fr BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 5 Infos G n rales 4 Un march en expansion les maquettes de paysages en 3D C est Gentilly que si ge la soci t bionatics qui est leader mondial des technologies de mod lisation de plantes virtu
145. onal Par Ahmed Zine Eddine SAAD Comit de lecture Prof Toi Med El Hadi Les pratiques de normalisation toponymiques en Alg rie 48 Universit de Constantine Par Brahim ATOUI Prof Bendjelid Abed Universit d Oran Pr sentation de l Union G od sique et G ophysique International U G G D 52 Mr Kahlouche Salem Ma tre de recherche CNTS s nas Mr Atoui Brahim Compte rendu Assembl e Internationale de G od sie AIG 55 Docteur INCT 2 7 Septembre 2001 BUDAPEST HONGRIE Mr Kedjar Abou Bakr Par Salem KAHLOUCHE Docteur INCT Mr Iftene Tahar ns charg de recherche CNTS omano CATA seriais e pd ue us 57 Mr Trache Abdelhak Maitre de recherche CNTS RCE AAA 64 Mr Benmohamed Mohamed charg de recherche CNTS Mr Benhamouda Fethi A A 74 Magister INCT Mr Ayadi Abdelkrim o charg de recherche CRAAG Calendrier des Manifestations Scientifiques Internationales 78 COPYRIGHT 2002 Le Bulletin des Sciences G ographiques est index dans la 7 a See ponn rie pays Bibliographie Internationale G oabstracts et International extes nMustrations pnotos A a a E Bibliography of the Social sciences BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES Octobre2000 RESEAU DE GRAVIMETRIE ABSOLUE ALGERIEN Par Dr Olivier Francis 19 rue Josy Welter L 7256 Walferdange Grand duch de Luxembourg INTRODUCT
146. ongrois et suisses parmi lesquels on ne compte cependant qu un faible nombre de topographes Alors songez les rejoindre d autant que l univers ferroviaire et son march du travail S europ anis ent de plus en plus Les ing nieurs g om tres du secteur ferroviaire int ress s par cette certification sont invit s adresser leur demande soit au bureau national de certification au siege de l AFFT Paris soit au bureau central de certification au si ge de l U EEIV Francfort Les frais de certification s l vent actuellement 195 Le certificat peut tre demande par tous les ing nieurs g s d au moins 28 ans dipl m s d un tablissement d enseignement reconnu par l Etat pouvant justifier d une exp rience professionnelle de plusieurs ann es dans le secteur ferroviaire ayant acquis un savoir faire sp cifique dans un ou plusieurs domaines de l ing nierie ferroviaire disposant de connaissances approfondies et sp cifiques dans une langue trang re Pour tout renseignement adressez vous l un des organismes suivants AFFI Association ferroviaire fran aise des ing nieurs et cadres 12 rue Bixio F 75007 Paris Yvon Estell Dany Dupont Weider T l 06 80 05 38 97 Fax 01 47 05 52 49 Claude Emery T l 01 64 25 29 24 E mail clemry O aol com Union des associations europ ennes des ing nieurs ferroviaires UEEIV Kaiserstrasse 61 D 60329 Frankfurt am Main T l 0049 69 25 95 29 Fax 0049
147. onnance N 96 30 du 21 12 1996 modifiant et compl tant la Loi N 91 05 du 16 01 199 portant g n ralisation de l utilisation de la langue arabe D cret N 63 105 du 5 avril 1963 relatif aux hommages publics D cret N 77 40 du 19 f vrier 1977 relatif la d nomination de certains lieux et difices publics D cret N 81 86 du 07 03 1981 portant tablissement d un lexique national de pr noms D cret N 81 27 du 07 03 1981 portant tablissement d un lexique national des noms de villes villages et autres Lieux D cret N 81 28 du 07 03 1981 relatif a la transcription en langue nationale des noms patronymiques D cret N 84 365 du 01 12 1984 fixant la composition la consistance et les limites territoriales des communes D cret N 93 96 du 5 avril 1993 portant application de l article 49 de la Loi N 91 16 dit 14 septembre 1991 relative au Moudjahid et au Chahid D cret Pr sidentiel N 95 217 du 17 08 1995 compl tant les dispositions du D cret N 77 40 du 19 02 1977 relatif la d nomination de certains lieux et difices publics D cret Pr sidentiel N 97 104 du 05 04 1997 relatif la d nomination et la d baptisation des lieux et difices publics Arr t interminist riel du 04 02 1997 fixant les caract ristiques techniques de la plaque servant de support mat riel toutes d nominations ou d baptisations sur lieu de pose ainsi que son entretien Arr t minist riel du 06 10
148. ont calcul s suivant la m thode d crite dans le papier de Farrell 1972 Ces effets ont t calcul s avec nos propres programmes partir des fonctions de Green pour le mod le de Terre PREM et les cartes de mar e oc anique de Schwiderski 1980 voir Francis et Mazegga 1990 On obtient les amplitudes et les phases pour les 8 ondes diurnes et semi diurnes principales Les ondes longues p riodes n ont pas t consid r es En effet la pr cision des mod les de mar e oc anique pour les longues p riodes est insuffisante Les amplitudes et phases des effets de surcharge oc anique sont inclues dans la fiche technique de chaque station Nous fournissons aussi les fichiers sur le CD Rom qui sont compatibles avec le software permettant de rejouer les donn es leur extension est loa 4 3 3 Pression atmosph rique Les variations de la pression atmosph rique sont dues ala redistribution permanente des masses dans l atmosph re On doit donc consid rer une correction gravim trique pour les effets d attraction directe et de flexion de la cro te terrestre En gravim trie absolue il est convenu d utiliser la formule suivante pour corriger des effets de la pression atmosph rique Cp A Po Pn Avec C correction de la pression atmosph rique microgal A facteur d admittance de la pression atmosph rique La valeur d pend de chaque station et est comprise entre 0 30 et 0 42 microgal mbar Nous utilisons la valeur d
149. opographie et topom trie Topographie modernes est consacr aux el topom trie techniques de mesure et modernes aux dessins 1 topographiques tandis que le second traite des calculs topographiques A eux deux 1ls constituent donc une r f rence sur la topographie Cet ouvrage con u comme un cours allant du niveau d butant jusqu celui du professionnel de la topographie couvre la plupart des enseignements des classes de BEP BTS et formations de niveau ing nieur Il propose un enseignement th orique largement tay de cas pratiques plus de 600 sch mas 150 photographies des exemples issus de sujets d examens mais aussi des cas r els et de nombreux exercices corrig s R solument tourn vers les techniques qui ont merg ces derni res ann es avec la formidable pouss e de l informatique il fait galement la part belle aux technologies les plus r centes de mesure et de communication Sont notamment trait s Techniques de mesun et de repr sentation e lensemble des techniques angulaires et de distances instruments utilis s techniques et m thodes de mesures exploitation des r sultats par le calcul e les mesures de nivellement direct et indirect e les lev s de d tails et de report e les techniques d implantation profils et cubatures L ouvrage traite galement en d tail des derniers d veloppements technologiques moyens informatiques Qbasic AutoCad logiciels Ski de Leica
150. ordinate systems and frames in Encyclopedia of Astronomy and Astrophysics MacMillan 2001 Boucher C and Z Altamimi International Terrestrial Reference Frame GPS World 7 71 74 1996 Boucher C and Z Altamimi Towards an improved realization of the BIH terrestrial frame The MERIT COTES Report on Earth Rotation and Reference Frames Vol 2 edited by II Mueller OSU DGS Columbus Ohio USA 1985 Boucher C and Z Altamimi Development of a Conventional Terrestrial Reference Frame in Contributions of Space Geodesy to Geodynamics Earth Dynamics Geodyn Ser vol 24 edited by D E Smith amp D L Turcotte pp 89 97 AGU Washington D C 1993 Boucher C Current Intercomparisons Between CTS s in Reference Frames in Astronomy and Geophysics edited by Kovalevsky J Mueller I I and B Kolaczek 474 pp Kluwer Academic Publisher Dordrecht 1989 DeMets C R G Gordon D F Argus and S Stein Current plate motions J Geophys Res 101 425 478 1990 DeMets C R G Gordon D F Argus and S Stein Effect of recent revisions of the geomagnetic reversal timescale on estimates of current plate motions Geophys Res 21 20 2191 2194 1994 Kovalevsky J Mueller I I and B Kolaczek Eds Reference Frames in Astronomy and Geophysics 474 pp Kluwer Academic Publisher Dordrecht 1989 Sillard P Z Altamim and C Boucher The ITRF96 realization and its associated Velocity field 25 3223
151. phical Information Systems and Remote SPAIN P 34 983 423000 Ext 6585 Sensing F 34 983 423149 http la fyl i E Xcoloquio GMCSIGT fyl uva es dex htm 20 28 Sep 2002 The 27 General Assembly of ICSU amp Rio de Janeiro Maureen Brennan Associated Meetings BRAZIL P 33 1 4525 0329 http www icsu org information calendar html F 33 1 4288 9431 E maureen icsu org E secretariat icsu org 23 27 Sep 9 International Symposium on Remote Sensing Crete SPIE NEW Remote Sensing 2002 GREECE P 1 360 676 3290 Confirmed by http spie org conferences calls 02 rs F 1 360 647 1445 Council E spieOgeog buffalo edu 26 28 Sep Second International Conference on Geographic Boulder Max J Egenhofer NEW Information Science GIScience 2002 Colorado E max spatial maine edu http www giscience org USA David M Mark E dmark O geog buffalo edu 1 5 Oct Celebrating 50 Years of Geodetic Science Columbus Ohio Prof Chen Jun president Comm II Cosponsorship commission II USA E chenjun nsdi gov cn Confirmed by _ http geodesy ceegs ohio state edu 50 years Prof Ron L I Chair WG Il 1 Council P 1 614 292 6946 F 1 614 292 2957 E 11 282 osu edu 10 19 Oct 2002 IAF COSPAR World Space Congress Houston AIAA http www aiaa org wsc2002 USA P 1 703 264 7500 F 1 703 264 7551 E wsc2002 aiaa org 21 25 Oct VII international congress on Earth Sciences Santiago Col J E G Palacio
152. points accompagn s d un texte Sur un autre plan signalons que cette soci t a sign une des premi res la charte de la Chambre de Commerce Internationale qui pr voit le respect des normes internationales en mati re d environnement Leica Geosystems Parc du St Laurent 54 route de Sartrouville b timent le Qu bec 78232 Le Pecq Cedex T l 01 30 09 17 00 Fax 01 30 09 17 01 Site www leicageosystems com Positionnement par satellite THALES Navigation num ro 3 mondial La strat gie de d veloppement de THALES Navigation vise largir sa gamme de produits et mettre en ouvre de nouvelles applications de la technologie GPS et GNSS L acquisition par le groupe des soci t s Magellan Corporation et Navigation Solutions renforce ces positions en particulier en tant que membre de Galil o futur syst me europ en de navigation par satellite Thal s Navigation se positionne ainsi num ro 3 mondial dans ce cr neau THALES N ZAC de la Fleuriaye BP 433 44474 Carquefou T l 02 28 09 39 29 Fax 02 28 09 39 39 Site www thales navigation E mail com marie Laure pessinO dsnp mlr com 4 maporama la g ographie en ligne The Worid Pl a Un acc s aux plans des grandes villes du monde 635 000 villes de tous les continents souvent d taill es jusqu l chelle de la rue c est l offre de Maporama num ro Ide la couverture g ographique en ligne couvrant un milliard de personnes A A des p
153. pr sentant le temps Les restrictions temporelles sont le point temporel date fixe le fen trage temporel intervalle de date dur e Il existe deux mod les de conservation de l historique dans une base de donn es localis es La conservation des diff rentes versions de donn es chaque mise jour mod le type version La conservation de l historique des op rations effectu es lors de la mise jour type journal 3 Mod le version Il existe galement deux mani res de conserver l historique des donn es en utilisant l approche type version 3 1 Versions de BD partitions L espace g ographique tant d compos en plusieurs partitions cette m thode consiste cr er apr s chaque mise Jour une nouvelle version de la partition Cette m thode est donc un archivage complet d une partition g om trie et s mantique S1 la mod lisation des donn es et des op rateurs est relativement simple elle pr sente l inconv nient de multiplier consid rablement la redondance des donn es D Les valeurs prises par la composante spatiale sont comprises dans le rectangle englobant l emprise de la r gion couverte par la BD 2 La borne sup rieure de la composante temps n est pas ferm e elle est repr sent e par une date variable Date maintenant BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Bases de Donn es Versions de partitions P dn ob
154. que si la distribution des mesures est une fonction de Gauss Bien que cela n ait pas encore t prouv de mani re rigoureuse les erreurs de mesures instrumentales du FG5 suivent tr s vraisemblablement une distribution Gaussienne Cependant la pesanteur en un point donn n est pas constante En effet elle varie en fonction du temps sous l effet des mar es terrestres oc aniques de la pression atmosph rique en r sum sous l effet des variations des param tres environnementaux Il faut donc appliquer un certain nombre de corrections dites g ophysiques aux observations brutes afin d liminer la partie variable dans le temps de la pesanteur Or la distribution des erreurs des corrections g ophysiques n est pas Gaussienne Par exemple une erreur sur l amplitude des mar es engendre une distribution bimodale des erreurs en raison de la p riodicit des mar es C est pourquoi on pr f re choisir comme estimation de la pr cision des mesures absolues de la pesanteur l cart type d un ensemble de sets L erreur ansi estim e est toujours plus grande que l erreur calcul e en prenant l cart type de l ensemble des donn es divis par la racine carr du nombre total d observations Cette m thode a l avantage d tre plus r aliste En g n ral apr s quelques heures d observations on obtient d j une valeur moyenne de la pesanteur tr s stable c est dire qui ne variera que tr s peu si l on continue les observatio
155. r 5 dans les corrections On notera que n4l 2ep 3 avec la m me remarque que ci dessus on aurait h l c p avec c fonction de la longueur d onde de la lumi re et p densit de lair On a galement pour les gaz parfaits p RT avec p pression en pascals R constante des gaz parfaits en joules par tonne par K et T temp rature en K Rappelons que T CK 273 13 K t C par cons quent dT dt En d finitive n 12 0 Inn 1 In e In p In R In p do at dn n DE P P On voit agir en sens inverse les effets du gradient de pression et de celui du gradient de temp rature On doit traiter le cas de L angle d incidence 1 Selon les auteurs l talement des couches d gales densit s se fait suivant des plans horizontaux pour les effets de la pression ou selon des plans parall les la surface du terrain pour les effets des transferts de temp ratures entre le sol et lair On notera les altitudes z et les hauteurs au dessus du sol A On doit aussi par un artifice se d barrasser au plus vite du terme en tg i Pour cela on note que dans un cas fg 1 Az o a dans l autre fg i AR lou te i lt a on laissera le lecteur trouver les termes correctifs qui permettraient de traiter le cas des terrains tr s inclin s dans les cas o z est tr s diff rent de h On remarquera dp encore que f e dz Juation de Laplace p RT On a donc en d finitive d te i a
156. ra disponible le nouveau CD Rom navigation France de TELE ATLAS Ce syst me de navigation automobile embarqu int gre une cartographie compl te du territoire 3 204 communes et plans de villes d taill s tous les centres villes de plus de 20 000 habitants cartographi s par rue 100 du r seau routier interurbain dense informations topographiques et 25 000 points d int r t Le CD Rom de navigation France 2002 est compatible avec les syst mes premi re monte des constructeurs Audi Alfa Rom o Fiat Ford Honda Lancia Maserati Mercedes Nissan Porsche Seat Skoda Volkswagen et avec les syst mes Travel Pilote de Blaupunkt en seconde monte service clients TELE ATLAS T l 01 55 21 25 05 Fax 01 5521 25 06 E mail service center Site teleatlas com Le Mont Blanc 4810 40 m d altitude Les mouvements tectoniques qui affectent le massif alpin modifient en hausse d un millim tre annuel l altitude du roi des Alpes De son cot le mat riel pour mesurer cette altitude volue sans cesse Les 4807 m tres de nos manuels scolaires n est qu une approximation qui ne satisfait pas l esprit scientifique Aussi le 7 septembre dernier une exp dition s est mise en route pour effectuer de nouvelles mesures elle comprenait dix G ometres Experts men s par Pierre Bibollet pr sident de la Chambre des GE de Haute Savole deux ing nieurs de Leica Geosystems deux ing nieurs de l IGN et trois guides de haute montagne
157. roc Benaim Afrique du Sud C Merry et un repr sentant de l OACT K Bouchibi C Boucher Pdt Commission 10 A Moore IGS Torres EUREF et Sevilla ont aussi particip cette rencontre o les principaux points relatifs au projet ont t soulev s notamment la partition dans un premier temps du r seau en deux parties NAFREF pour l Afrique du nord et AFREF SA pour la partie Sud Les contraintes li es a l insuffisance des stations permanentes ont t voqu es notamment les volets maintenance et transfert en diff r des donn es GPS collect es Une cellule de communication dans l attente de l installation du comit de projet sera mise place pour faciliter la circulation de l information AFREF Mailing Par S Kahlouch CNTS Arzew BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Infos G n rales Apres l Europe Star Informatic au Moyen Orient Cet diteur europ en de logiciels SIG vient de conclure un partenariat strat gique avec la soci t saoudienne J AL Jassim Electronics pour la repr sentation de ses logiciels dans 15 pays du Moyen Orient dont l Iran l Egypte les pays du Golfe etc Cette perc e dans le monde arabe fait suite a l ancrage d j fort en Afrique du Nord chemins de fer alg riens et marocains Minist re alg rien de l am nagement du territoire etc La soci t belge poursuit ainsi sa politique d ouverture internationale par le biais d accords Avec plus
158. rves d eau souterraine sont li es aux zones de faiblesse failles filons contacts g ologiques Trois m thodes g ophysiques r sistivit lectrique bip le lectromagn tique MaxMin et V L F EM16 ont t conjointement utilis es pour valuer leur efficience dans l identification et la localisation pr cise du contact entre les granitoi des et les schistes volcano s dimentaires du bassin versant de Bidi d une part et d autre part entre schistes et amphibolites Ki belga dans la province du Yatenga Dans les cas tudi s le bip le lectromagn tique MaxMin en bobines horizontales fr quence de 3250 hertz avec une s paration des bobines de 100 m s est r v l tre le plus efficace BULLETIN des SCIENCES GFO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues GEO OBSERVATEUR Utility Of SPOT Multispectral Data For Mapping Soils In Arid Rangelands High Moulouya Morocco Par M NAIMI Cette recherche a t entreprise pour voir la faisabilit de d terminer des informations sur la distribution des sols dans une zone de parcours en utilisant les donn es multispectales SPOT et des donn es minimales de sols repr sent es par trois transects La comparaison entre transects individuels en utilisant les donn es primaires de SPOT et des donn es d riv es a montr que plus d un transect est n cessaire pour cartographier les types de sol de ce site les donn es primaires de SPOT sont aussi bonnes que les do
159. s cutives est de 10 secondes On effectue 100 mesures qui forment un set La moyenne et l cart type pour chaque set sont imm diatement calcul s et affich s l cran Il faut de l ordre de 17 minutes pour obtenir un set de 100 mesures avec un temps d chantillonnage de 10 secondes Afin de ne pas user inutilement les parties m caniques du gravim tre le set suivant est programm pour ne d marrer qu une heure apr s le set pr c dent Durant la campagne de mesures en Alg rie nous avons choisi d espacer les sets entre eux d une demi heure seulement et parfois 20 minutes afin de d augmenter le nombre de donn es Dans quelques rares stations une fois que le nombre de donn es obtenues fut suffisant nous sommes pass un set par heure La valeur finale de la pesanteur est calcul e en prenant la moyenne arithm tique de toutes les donn es tandis que la pr cision est donn e par l cart type des valeurs par set la valeur d un set est la moyenne de 100 mesures cons cutives En th orie la pr cision sur la moyenne de n mesures est l cart type de toutes les mesures divis es par racine carr e de n Dans le cas des mesures absolues l cart type des mesures sont de l ordre de 5 15 microgal suivant les Stations Cela signifie qu apr s 100 mesures environ 17 minutes d observations on atteint d j une pr cision de l ordre de 0 5 1 5 microgal Ceci ne correspond pas la r alit Car la th orie n est applicable
160. s extr mement fr quent quand les changes avec le sol ne se font que par conduction ou par convection forc e ou lorsque la vis e reste la m me hauteur au dessus du sol tout au long de son parcours n l Af e O y 1 ERA EA n Al ai F Ch pil On note T somme de toutes les d viations angulaires des rayons lumineux pendant leur parcours sur la distance 1 On note galement pf a qu on nomme gradient d autoconvection En effet une analyse dimensionnelle attentive montre que ce terme qui est une constante a la m me dimension qu un gradient de temp rature Lorsque ce gradient est atteint les rayons lumineux se propagent en ligne droite sans courbure l effet de la temp rature sur la r fraction compensant exactement celui de la pression 1l ne reste plus que la correction g om trique de niveau apparent due la courbure du g o de en ce lieu appliquer Voir les figures et 2 On note la somme des d viations lin aires rapport es la perpendiculaire de la vis e c est l erreur de niveau due la r fraction seule 4 Ag fa x di 0 ce stade on peut contr ler notre travail en donnant des valeurs num riques aux variables Pour cela on se rapportera au travail magistral de Saastamoinen 4 qui donne des valeurs standard pour trois zones on prendra celles de la zone temp r e On a notamment T 285 05 K soit 12 C n 1 280 87 10 A F 00342 Kim 0006
161. s http www igm cl CHILE P 56 2 460 68 14 6813 F 56 2 460 6878 E cct2002 igm cl 23 27 Oct SPIE s Third Internatonal Asia Pacific Hangzhou Kristi Kelso NEW Symposium on Remote Sensing of the CHINA P 1 360 676 3290 Cosponsorship Atmosphere Environment and Space F 1 360 647 1445 Confirmed by http www spie org E kristiO spie org Council 26 29 Oct 2002 Third International Symposium on Sustainable Prof Dr Derya Maktav Agro environmental Systems New P 90 212 2853808 Technologies and Applications F 90 212 5737027 http www agro narss org E dmaktav O ins tu edu tr BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 200 The 10 ACM International Symposium on McLean VA Shu Ching Chen Advances in Geographic Information Systems USA P 1 305348 3480 ACM GIS 2002 F 1 305 348 3549 http www cs fiu edu ACM GIS2002 E chens cs fiu edu 10 15 Nov 2002 Symposium of Commission I Denver Colorado Prof Stanley Morain Confirmed by Joint meeting winth Pecora XV President Com I Council http isprscommissioni unm edu s j E smorain spock unm edu m Amy Budge http www commissionl isprs org P 1 505 277 3622 ext 231 F 1 505 277 3614 E abudge O spock unm edu Tbr Nov 2002 AARS Symposium ACRS 2002 Katmandu Prof Shunji Murai NEPAL E chiwa shunji 1is u tokyo ac jp BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 10 15 Nov 2002 Confirmed by Council Tbr Nov 2002 3 6 Dec
162. s de diff rencier les unit s g ologiques cit es au pr alable La diff rence dans l interpr tation entre les formations de la s rie de Tirririne et du granite d age panafricain pr coce r side dans l analyse spectrale et structurale de ces deux ensembles Quant ce granite 1l r v le une tonalit relativement lev e Sa forme caract ristique et sa rupture radiom trique franche permettent de bien le d limiter par rapport son environnement Cette limite reste d finir dans les canaux du TMS et TM6 La s rie de Tirririne est identifi e par un radio faci s sombre et o l on note une pr sence de lignes structurales particuli rement bien apparentes au Nord et qui d ailleurs lui est distinctif Le troisi me ensemble identifi comme tant l unit de diorites pr sente une tonalit moyenne texture lisse Ce dernier affleure en bancs de directions nord est recoupant certaines formations de la s rie de Tirririne BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 HI CONCLUSION Dans un premier cas l tablissement de la carte g ologique t l analytique de la r gion d In Azaoua par les donn es LandsatS Thematic Mapper l chelle du 1 500 000 reste sommaire et ceci malgr la bonne r solution et la richesse en gamme spectrale qu offrent les radiom tres embarqu s Cela est peut tre d au plaquage de la patine d sertique ferrugineuse qui est caus par le foisonnement olien tenda
163. s et notamment la notion de r gion et la carte ethnique La prise en compte de cette expertise la Conf rence et le r le du g ographe dans les trac s frontaliers propos s sont ensuite nuanc s Enfin on s interroge sur l impact dans le d veloppement de la g ographie fran aise de l implication d Emmanuel de Martonne et d autres g ographes dans les circonstances particuli res de la guerre BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 CLERMONT FERRAND Par Christian Jamot L agglom ration clermontoise est m connue et dot e d une image fortement n gative Pourtant il s agit d une m tropole r gionale solide aux activit s polyvalentes qui cherche sa place dans le cadre d un grand Centre Est fran ais Ville de plaine ses probl mes de gouvernance sont avant tout humains intercommunalit transports quipements structurants etc En fait sa gestion manque surtout d ambition de quelque grand projet et n cessiterait une politique de communication dynamique LES LIEUX DU STADE MODELES ET MEDIAS GEOGRAPHIQUES Par Claude Mangin L tude de l organisation d un stade de football est non seulement r v latrice de ses propres logiques spatiales mais encore aux plus petites chelles de celles des soci t s dont 1l est un miroir Elle peut tre facilement mod lis e C est aussi un moyen d enseigner quelques fondements de la g ographie CENTRALISATION ET POLARISATION
164. s r sultats des traitements des donn es satellitaires ont t confront s aux r sultats des enqu tes de terrain au moyen d un estimateur de r gression En effet cette m thode nous a permis d aboutir un r sultat pour lequel la marge d erreurs sur l ensemble des segments chantillons est de 2 53 Le traitement des donn es satellitales combin au relev de terrain a permis le d veloppement d une m thodologie de suivi des superficies cultiv es La t l d tection satellitale est un outil appropri pour la cartographie du domaine agricole l chelle r gionale L estimation des superficies agricoles est fiable en revanche celle des rendements s av re d licate en l absence de mesure sur les segments La t l d tection permet galement la constitution d une base de sondage ar olaire pour des enqu tes de terrain La stratification de la r gion en zones homog nes am liore la pr cision des estimations Les perspectives de ce travail doivent d abord confirmer les r sultats obtenus concernant l estimateur de r gression et surtout s orienter vers l am lioration des proc dures op rationnelles de traitements Ceci se fera dans un souci de g n ralisation de cette approche des contextes agricoles diff rents R f rences Bibliographiques BENHAMOUDA et al 94 F Benhamouda A Hassani T Mostefaoui A Dif L Kebir Z Zebbar A Z Saad 1994 valuation des potentialit s a
165. s sites de colocation ont t introduis dans la combinaison globale de VPITRF2000 Ces rattachements sont essentiels pour faire le lien entre les diff rentes techniques de mesure L Analyse des donn es de l ITRF2000 Trois innovations majeures ont t impl ment es afin d am liorer la combinaison ITRF2000 La combinaison de solutions libres de toute contrainte externe mais pour lesquelles des contraintes minimales ont t appliqu es afin de d finir de la mani re la plus pr cise possible le syst me de r f rence en origine chelle orientation et volution temporelle L origine de l ITRF2000 est le centre des masses d finie par la technique SLR et pour une meilleure d finition de l volution temporelle en orientation celle ci a t tablie sur une s lection de sites g od siques de tr s grande qualit Les tapes suivantes ont t adopt es dans le calcul de PITRF2000 Remplacer les contraintes externes appliqu es par les centres d analyse par des contraintes minimales Propager les solutions individuelles aux poques de variance minimale Combiner les solutions ainsi obtenues en y ajoutant les rattachements dans les sites de colocation Le mod le de combinaison utilis dans le calcul de PITRF2000 est donn par l quation suivante X X t t 7 D X 4 R X t t T Di Xi R XI x SX T D x Re x O pour chaque solution individuelle s k Tk D et R
166. satellitales monodates pr sentent un fort niveau de confusion spectrale entre les diff rents types de couvert Une meilleure pr cision pourra tre obtenue avec une approche multitemporelle Ces impr cisions nous ont conduit tester une m thode de classification par parcelle fig 3 NDVI au Masque agglom ration sol nu e Images SPOT masqu es segmentation d images Classification non supervis e par parcelles nu es dynamiques Regroupement des classes Mission terrain zones d entrainements 10 classes Classes d occupation du sol Fig 3 Classification automatique Traitement par parcelle 5 hat ada a a Statistiques Marge classification Marge v rit terrain Pourcentage de bien class Case diagonale Marge v rit terrain l Signification th matique Case diagonale Marge r sultat de la classification Par rapport l approche pr c dente nous avons masqu les zones de sol nu et surfaces en eau afin de focaliser la suite des traitements sur les seules zones d int r t Fig 3 La phase suivante consiste segmenter l image afin d obtenir une image dans laquelle les r gions homog nes sont s par es par des contours continus Une classification automatique par nu es dynamiques est ensuite r alis e en prenant en compte les canaux XS de SPOT et l image segment e que l on vient de cr er Cette m thode proc de par it rations afin de cr er 35 classes
167. servation de la Terre par satellite et par d autres techniques de mise en place d instruments haute altitude Programmes de recherche interdisciplinaire L U G G I a inaugur et activement soutenu les efforts de collaboration qui ont permis de mettre en vre des programmes de recherche interdisciplinaire internationaux de grande valeur dont l Ann e g ophysique internationale 1957 1958 le Projet du manteau sup rieur 1964 1970 le Projet g odynamique 1972 1979 le Programme international de recherche atmosph rique 1967 1980 le Programme international d tude de la lithosph re 1981 le Programme mondial de recherches climatiques le Programme G osph re Biosph re et la D cennie internationale de pr vention des catastrophes naturelles Ces programmes ont servi de mod le de coop ration internationale et interdisciplinaire L une des contributions majeures de lU G G I a t la cr ation par l entremise du C LU S du syst me de la Banque de donn es mondiale qui a fourni aux chercheurs du monde entier l information recueillie dans le cadre de ces grands programmes et de la mettre la disposition des chercheurs du monde entier Recherche internationale en coop ration LU G G I collabore avec U N E S C O l tude des catastrophes naturelles Elle attache aussi une grande importance aux probl mes scientifiques des pays en voie de d veloppement en parrainant des activit s li es aux besoins scient
168. t s francophones cr e en 1988 sur l initiative de l Agence francophone pour l enseignement sup rieur et la recherche propose des ouvrages modernes r pondant prioritairement aux besoins des tudiants et chercheurs francophones et se composent de titres originaux paraissant r guli rement Leurs auteurs appartiennent conjointement aux pays du Sud et du Nord et rendent compte des r sultais de recherches et des tudes r centes entreprises en fran ais travers le monde Ils permettent cette collection pluridisciplinaire de couvrir progressivement l ensemble des enseignements universitaires en fran ais Enfin la vente un prix pr f rentiel les ouvrages destin s aux pays du Sud tient compte des exigences conomiques nationales et assure une diffusion adapt e aux pays francophones Edition ESTEM MAITRISER UNE CONCEPTION DE QUALITE Jacques AZAMBRE Jean Georges AUDOUSSET La fiabilit technique des syst mes industriels n a cess de s accro tre ces derni res ann es renfor ant encore la pr pond rance de la fiabilit humaine dans le domaine de la s curit Aussi est il aujourd hui indispensable et possible d obtenir et de ma triser une conception de qualit des syst mes Il s agit de r aliser une installation industrielle et d en instituer les r gles de fonctionnement et d exploitation en tenant comte de tous l ments techniques et humains qui concourent la s
169. t d autre part partir de l image composition color e Deux algorithmes de classification supervis e ont t test s maximum de vraisemblance et minimum de distance F1g 2 masque des agglom rations Images SPOT masqu es Classification supervis e par pixel va Donn es i maximum de vraisemblance et minimum de terrain distance ZONES d entramements image class e de l occupation du sol Figure 2 Classification supervis e traitement par pixel Les caract ristiques radiom triques des diff rentes cultures ont t d termin es partir de l analyse de l ensemble des parcelles d entra nement d finies pr c demment Nous avons choisi les chantillons les plus homog nes possible et rejet ceux qui pr sentent un cart type important afin d viter les risques de confusion Les r sultats obtenus La classification supervis e retenue et celle du maximum de vraisemblance des canaux XS avec un masque qui nous a permis d liminer tout ce qui n est pas v g tation dans notre r gion d tude En effet ce masque a t r alis par le biais d un indice de v g tation NDVI Cet indice nous a permis de masquer toute la partie non agricole ou la v g tation chlorophyllienne est absente voir image 1 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 20 Image 1 NDVI seuill e entre 140 180 Nous avons par
170. t magn tite olivine fayalite pyrox ne h denbergite calcite et grenat almandin L analyse des d formations de ces min raux montre qu ils ont subi les m mes effets du m tamorphisme que les roches encaissantes et qu ils sont ant rieurs au m tamorphisme Mn 2 LES PALEOSOLS DU MOSCOVO PERMIEN DU BASSIN DE BECHAR ALGERIE TEMOINS DES ETAPES DU COMBLEMENT D UN BASSIN SYNTECTO VARISQUE Par Ahmed NEDJARI et Jean DELFAUD Dans le bassin de B char un bassin d avant fosse varisque l volution delta que puis franchement continentale de la phase de comblement est jalonn e d importantes modifications p dog n tiques de type hydromorphe d velopp es sous climat tendance aride Dans une approche plurielle les pal osols sont abord s dans une optique g ologique d tude et assimil s des v nements dans l volution du bassin ce qui leur apportera une dimension g odynamique Ils pr sentent des aspects diff rents en fonction de la nature de la roche m re et de la dur e des ph nom nes Ces pal osols correspondent dans l volution du bassin des v nements qui cl turent des s quences d chelles diff rentes Une interpr tation montre que les cycles de 3 ordre sont l expression d un glacio eustatisme ayant pour origine des cycles astronomiques de 400 000 ans Berger 1983 l excentricit Les cycles de 2 ordre reproduiraient des cycles climatiques 100 000 ans induisant des d rives climatiques
171. t par parcelle Figure 1 Cette approche fait galement appel des donn es exog nes telles que statistiques agricoles donn es climatiques etc Donn es satellites Donn es auxiliaires Informations terrain statistiques agricoles haute r solution Classification Photointerpr tation Occupation du sol Figure 1 Approche m thodologique La classification tant importante nous avons d fini plusieurs strates l int rieur desquelles seront pris diff rents chantillons enqu ter Plusieurs crit res tels que le type de cultures rencontr la structure du parcellaire la localisation nous ont permis d tablir cette stratification qui nous a permis de d finir dans un premier temps 7 strates les zones c r ali res les zones maraicheres les parcours les sols nus les reboisements les for ts les agglom rations Afin d aboutir une classification optimale le traitement de l image s est effectu selon deux approches qui ont t compar es 3 C B R C r aliculture Bon Rendement 4 C F R C r aliculture Faible Rendement v Une approche dite supervis e classification par maximum de vraisemblance ou classification par minimum de distance v Une approche non supervis e nu e dynamique Pour la premi re approche la s lection des parcelles d entra nement s est faite d une part partir des informations recueillies sur le terrain e
172. tamment trait s e L tablissement et densification de canevas e Le rel vement recoupement intersection e Le cheminement point nodal en planim trie e La division de surfaces et le redressement de limites e Les droites et cercles intersections la d termination d un cercle e Les outils math matiques la th orie des erreurs les tol rances l gales e le calcul des volumes R l ouvrage traite galement ni en d tail des derniers Topographie d veloppements el lopom trie technologiques LS E Moyens informatiques modernes Nah ls Qbasic AutoCad logiciels D Ski de Leica technologie GPS instruments de pointe th odolite opto m canique niveau num rique mesures par satellites etc Cette partie offre un apprentissage direct de dessin assist par ordinateur DAO dont les outils et les exercices sont fournis sur le c d rom joint l ouvrage Cet ouvrage sans quivalent sur le march est avant tout destin aux professionnels topographes ou g om tres Il sera galement tr s utile aux enseignants et aux tudiants qui suivent une formation sp cialis e Edition Eyrolles BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Livres LA TELEDETECTION Perspective analytique Robert desjerdins UNIVERSIT S FRANCOPHONES a EN A Oo a UNIVERSITES ROBERT DESJARDINS La teledetection perspective analytique TOTES TEO La collection Universi
173. tivated species The stratification of the region in homogeneous zones permitted us to improve the precision of evaluations To the level of the survey zone the setting up of the sounding plan has been achieved and the different parameters of its application have been discussed In order to improve evaluations appreciably results of treatments data satellite have been confronted to results of grand investigations to the means of a regression estimator The teledetection permitted the constitution of an areolas sounding basis for investigations of land The tested methods base themselves on the combination of satellite data with grand information of land The obtained results permitted us to note a certain number of errors Indeed the developed approach permitted us to obtain a result for which the margin of errors on the whole of segments samples is 2 53 BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Probl matique L agriculture doit tre consid r e comme prioritaire parmi les politiques de d veloppement Or comment peut on formuler un plan d am nagement une politique de d veloppement sans conna tre les productions et besoins d une r gion il faut tablir un diagnostic avant d tablir un plan Plus que partout ailleurs les inventaires et les statistiques sont donc des outils de base pour nos d cideurs Les programmes de d veloppement agricole n cessitent des statistiques agricoles fiables et mises jour r guli rement
174. tous les acteurs alg riens qui nous ont aid et encourag tout au long des deux campagnes de mesures Nous avons partag ensemble un moment que l on peut qualifier d historique l tablissement du premier r seau de gravim trie absolue d ordre z ro d une pr cision du microgal sur le continent africain BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 O Le Rep re International de R f rence Terrestre ITRF2000 Zuheir Altamimi Institut G ographique National France ENSG LAREG 6 8 Avenue Blaise Pascal Cit Descartes Champs sur Marne 77455 Marne la Vall e France RESUME Le Service International de la Rotation Terrestre IERS est en charge de la r alisation des syst mes de r f rence c leste et terrestre ICRS et ITRS ainsi que la d termination des param tres d orientation de la Terre reliant ces deux syst mes Cet article est consacr l ITRS et sa r alisation appel e le Rep re International de R f rence Terrestre ITRF La derni re r alisation en date ITRF2000 est d crite en d tails mettant en lumi re les r sultats g od siques et g ophysiques importants ABSTRACT The International Earth Rotation Service IERS is in charge of the realization of the International Celestial and Terrestrial Reference Systems ICRS and ITRS as well as the determination of the Earth Orientation Parameters connecting the two systems This article focus on the ITRS and its realization called the Internatio
175. traduction des principaux termes et abr viations utilis s en m catronique Les 5 000 entr es recouvrent les multiples disciplines concern es m canique hydraulique pneumatique lectrom canique et lectronique ainsi que diverses notions li es l informatique Destin un large public de professionnels et d tudiants ce dictionnaire int ressera en particulier les ing nieurs traducteurs fabricants et utilisateurs de biens d quipements ainsi que les importateurs et exportateurs Laurent Sage sp cialiste de la robotisation et de l automatisation est dipl m de l Institut des sciences politiques de Paris et de l Institut sup rieur de commerce international Dunkerque ISCID Ancien responsable du secteur Productique Ing nierie du Centre fran ais du commerce ext rieur CFCE il est actuellement responsable export d une entreprise du secteur de la m tallurgie Edition MASSON BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 7 Livres DICTIONNAIRE TECHNIQUE ANGLAIS FRANCAIS Guy Malgorn Ce dictionnaire technique fran ais anglais couvre le vocabulaire courant des principaux domaines techniques automobile aviation chimie commerce moteurs diesel lectricit machine outil ath matiques m tallurgie industrie p troli re textile etc Il est destin tous les professionnels du monde technique ing nieurs techniciens enseignants traducteurs et interpr tes Edition
176. ture et les repr sentants de es projets particuliers seront pr sent s ci dessous FINANCES L U G G I collecte les cotisations annuelles pour financer les projets scientifiques inter unions les initiatives inter associations et les activit s administratives de lU G G I y compris les publications de l U G G I La moiti du revenu net de l U G G I pour l exercice pr c dent est remis aux Associations internationales qui peuvent d cider de l utilisation de ces fonds Le revenu de l Union provient des contributions annuelles des pays membres Les pays membres ont le choix entre le statut de membre r gulier ou de membre associ ne payant pas de cotisation Les pays membres peuvent envoyer un d l gu aux rencontres quadriennales du Conseil de l U G G I et voter sur les affaires administratives Les scientifiques des pays membres peuvent occuper un poste de responsabilit dans les Associations internationales et ils ont un droit de vote lors des s ances de travail Les membres associ s ne versent pas de cotisation n ont pas de droit de vote et leurs scientifiques ne peuvent pas occuper de poste de responsabilit Les scientifiques des pays membres associ s sont toutefois les bienvenus aux activit s scientifiques et sociales tenues lors de toutes les rencontres de l U G G I et des Associations internationales Les donn es scientifiques collect es et les recherches effectu es par les pays membres associ es sont prises en
177. ude est une zone de plaine dont l altitude moyenne est de 900 m tres entour e de djebels En effet la plaine occupent une surface d environs 80 de la surface de la Wilaya Les conditions G o cologique du territoire sont favorables dans l ensemble l agriculture Les r sultats de l tude climatique nous a permis de classer ce climat en tant que climat subd sertique att nu pr sentant une saison humide en hiver Nous nous limiterons aux statistiques des c r ales sur la r gion d tude vu qu elles repr sentent le th me majoritaire au niveau de la Wilaya les terres destin es la c r aliculture repr sentent 56 14 Benhamouda et Al 94 de la superficie de la Wilaya La connaissance du calendrier agricole du bl nous permet de faire un choix optimal des dates cl s d acquisition des images L analyse des diff rentes tapes et des stades rep res de la vie du bl nous a permis d identifier la phase ou l activit chlorophyllienne ainsi que la densit de recouvrement sont les plus importantes Nous remarquons que cette phase est le plein tallage elle s tend du 15 Mars au 15 Avril c est pour cette raison que les images acquises cette p riode sont sens es donner un maximum d informations concernant la c r aliculture Approche m thodologique retenue L approche retenue dans le cadre de cette tude s appuie sur les informations obtenues partir des donn es satellite SPOT ainsi q
178. ue sur les informations recueillies sur le terrain En effet une double d marche a t men e sur la r gion d tude partir des donn es satellitales Dans un premier temps un d coupage de l espace en grandes cat gories d occupation du sol t r alis Afin d optimiser cette stratification et de la rendre adaptable aux objectifs fix s tout en tenant compte des limites de la t l d tection nous avons opt pour la stratification Corine Land Cover qui a t l g rement modifi e selon les sp cificit s de notre pays La stratification que nous avons r alis e nous a permis d aboutir la nomenclature suivante BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Nomenclature retenue Stratification corine land cover 1 C B R Terres arables 2 C F R Terres arables 3 jach res Terres arables 4 Maraichages Systemes culturaux et Parcellaires complexes 5 Parcours sur sol nu Pelouses et paturages naturels 6 Sol nu V g tation clairsem e 7 Reboisement dense For ts de r sineux 8 Maquis V g tation scl rophylle 9 Agglom ration Tissu urbain continu L approche m thodologique retenue s appuie sur un travail de photo interpr tation d images pour la stratification de la r gion d tude en grandes unit s homog nes et sur des techniques de classification automatique soit par pixel classification par maximum de vraisemblance ou classification par minimum de distance soi
179. uise pendant la saison s che montrent la n cessit e donn es multi date pour une bonne mise jour cartographique Comme il est souvent difficile d obtenir des images optiques pendant la saison de pluies les capteurs radars en bande L et en multi polarisation peuvent tre la solution optimale La compl mentarit entre donn es optique et radar permet d am liorer les r sultats de la cartographie BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 Revue des Revues ESPACE GEOGRAPHIQUE LE Mobilit et accessibilit Leurs effets sur l insertion professionnelle des femmes Par Marie H l ne Vandersmissen Paul Villeneuve et Marius Th riault Au Qu bec comme dans la plupart des pays occidentaux la f minisation du march du travail a marqu les derni res d cennies Les nouvelles structures familiales impliquent que de plus en plus de femmes ont la charge financi re d une famille L cart salarial entre les hommes et les femmes justifie que l on s interroge sur la dimension g ographique des conditions qui affectent l acc s l emploi L objectif de cet article est d analyser les liens entre la mobilit spatiale des femmes l accessibilit g ographique des emplois et l insertion professionnelle des femmes au cours des vingt derni res ann es dans l agglom ration urbaine de Qu bec Les r sultats d montrent qu une meilleure accessibilit des emplois que de plus longs d placements vers
180. uite au premier Prix des G o D or d cern H l ne Durand Alis par un Jury de Journalistes au dernier G o venement une mission sur Arte pr sentera ce travail le dessous des cartes magazine g opolitique de Jean Christophe Victor aux cartes citoyens Le naufrage de l Erika Face au manque d information et de coordination des pouvoirs publics nationaux et territoriaux lors du naufrage de l Erika en d cembre 1999 des citoyens s organisent cr ent et diffusent des cartes sur Internet pour suivre voire anticiper la pollution du littoral Auteur Jean Christophe Victor R alisateur Fr d ric Lernoud Premi re diffusion sur Arte 22 12 2001 20 h 05 Deuxi me diffusion sur Arte 28 12 2001 vers 01 h 00 Coop ration conclue entre HP et IRIS pour les march s asiatiques Hewlett Packard est fournisseur de solutions et de services dans l informatique et l imagerie IRIS est leader international dans le domaine de la lecture automatique et la gestion documentaire Les deux soci t s annoncent un accord de licences et de coop ration IRIS va d velopper pour HP une nouvelle g n ration de technologies de reconnaissance de documents qui couvre les quatre principales langues asiatiques pour les incorporer dans les produits des deux soci t s IRIS 10 rue du Bosquet 1348 Louvain la Neuve Belgique www iristink com sc fr index htlm TELE ATLAS version 2002 du CD Rom France de navigation En janvier 2002 se
181. ur en fonction de la valeur de la variable num rique associ e Les Rasters Translucides combin s des cartes vecteurs la propri t translucide du Mapinfo Professionnel 6 5 permet son positionnement tous les niveaux d o une combinaison meilleure des cartes rasters et vecteurs Entre autres manipulations possibles la recherche et correction automatique d intersections d objets des trous et des recouvrements dans des polygones La cr ation de pictogrammes pour int grer des symboles sp cifiques La vue st r oscopique 3D Les documents cartographiques produits peuvent tre visualis s dynamiquement par le plus grand nombre au travers d un simple navigateur Internet CLARITAS T l 0158177318 Fax 015817 73 50 E mail mdedeyan claritas fr Le serveur viecon Publisher de Bentley Depuis sa cr ation en 1984 Bentley Systems est un pionnier technologique offrant une gamme de produits et de services pour la conception la r alisation l exploitation d infrastructures b timents routes usines voirie r seaux etc La soci t a annonc en juin dernier un accord avec RealityWave afin de distribuer les produits VizStream plate forme flexible et adaptable aux applications 3D sur Internet Elle s int gre dans les gammes de logiciels Bentley MicroStation et Viecon Bentley pr sente aujourd hui Viecon Publisher un serveur de publication d informations d ing nierie de nouvelle g n rati
182. ur le plan lithostratigraphique que sur le plan structural IL PARTIE APPLICATION IL 1 Aper u g ologique La r gion d tude appartient la feuille d Ass o Elle est limit e au Nord et au Sud par les latitudes 22 30 N et 20 30 N Quant l Ouest et l Est par les longitudes 6 30 E et 8 E Deux domaines appartenant au Hoggar central polycyclique diff rents tant par leur mode d affleurement que par leur composition lithologique viennent caract riser la g ologie de la zone d In Azaoua Un socle cristallin pr cambrien form par des formations d ge Prot rozoi que inf rieur Prl et moyen Pr2 compos g n ralement de m tas diments et de gneiss et d un granite syn orog nique 4 essentiellement rouges biotites Puis d une couverture s dimentaire tabulaire et discordante sur ce socle qui est compos e par des affleurements g ologiques de nature gr seuse et argilo gr seuse d ge pal ozo que unit d vonienne 11 2 Interpr tations des donn es satellitales 1 500 000 Donn es thematic mapper de Landsat5 Centre de scene 190 45 du 22 octobre 1989 et 191 45 du 30 septembre 1990 112 1 Introduction Les donn es utilis es quant cette tude sont les images thematic mapper Tous les canaux ont t exploit s et un degr plus le canal de l infrarouge thermique L interpr tation proprement dite confront e la documentation existante de nos donn es i
183. vanche ce processus pr sente l avantage de pr server toutes les anciennes planches de r daction Il est donc possible de r aliser des applications spatio temporelles en combinant les cartes diff rentes dates de mise Jour Le probl me s inverse pour les bases de donn es localis es en effet la mise jour des donn es est une op ration courante et tr s simple r aliser d truire d placer ou modifier la g om trie ou la s mantique d un objet ne pose priori aucun probl me en utilisant les logiciels SIG ou CAO DAO Une bonne partie de la rentabilit des bases de donn es est assur e justement gr ce la souplesse et la rapidit des op rations de mise jour Mais cette relative simplicit de l op ration de mise jour par rapport la cartographie classique cache un probl me bien plus complexe et toujours d actualit d ailleurs Une base de donn es quelle que soit sa nature et son degr de fid lit au terrain reste aveugle et muette par rapport des questions du type Qu est ce qu il y avait cette endroit telle date Quel changement a eu entre les dates DI et D2 dans la zone Z Pourtant ce sont des questions que l on se pose tr s fr quemment lorsqu on effectue des applications spatio temporelles Ces requ tes ne peuvent en effet trouver de r ponses dans la base de donn es que si le mod le int gre la conservation de l historique des donn es La conservation d
184. vons d attendre le soir tard avant de pouvoir commencer les mesures la climatisation ne parvenant pas faire descendre la temp rature suffisamment dans le local Le groupe lectrog ne fut utilis Notons aussi une quantit importante de poussi re dans le local La d t rioration des observations au milieu de la session de mesure fut caus e par une interf rence entre la climatisation et le laser du gravim tre absolu Nous avons d arr ter la climatisation apr s 5 heures de mesures Ceci explique l augmentation brusque de la temp rature en cours de session ainsi que la nette diminution des erreurs sur les sets et l am lioration de la qualit des mesures en fin de session Un set seulement de mesures a t limin BULLETIN des SCIENCES GEO GRAPHIQUES AVRIL 2002 On obtient une pr cision finale tr s bonne de 1 6 microgal avec 9 heures d observations Adrar Malgr les temp ratures lev es et la poussi re les mesures en cette station sont tr s bonnes Nous n avons limin aucun set d observations La climatisation ainsi que le groupe lectrog ne furent utilis s Djanet Au contraire de la station d Adrar la station de Djanet a pos beaucoup de probl mes Il y a fait tr s chaud au point qu il a fallu installer un climatiseur plus puissant fourni par les autorit s locales Cependant nous avons d arr ter la climatisation en raison des interf rences avec les mesures gravim triques caus

N° 09 Avril 2002 3.23 Mo

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