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045-054 RACINE & FORGET 12-01
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1. 514 495 6788 H pital Maisonneuve Rosemont Centre de jour de diab tologie T l 514 252 3856 T l c 514 252 3441 H pital du Sacr C ur Centre de jour pour diab tiques T l 514 338 2222 poste 2803 T l c 514 338 3113 H pital Sainte Justine Centre de jour pour diab tiques T l 514 345 4980 T l c 514 345 4604 R gion 07 Outaouais C H communautaire du Pontiac T l 819 647 2211 Telec 819 647 2799 C H de Maniwaki T l 819 449 2300 T l c 819 449 4941 C H des Vall es de l Outaouais Pavillon Gatineau Service d enseignement aux personnes diab tiques T l 819 561 8100 T l c 819 561 8587 C H des Vall es de l Outaouais Pavillon Hull Centre de jour pour diab tiques T l 819 595 6000 poste 5970 T l c 819 595 6093 C H Gatineau M morial T l 819 459 2343 T l c 819 459 3947 CLSC de la Petite Nation T l 819 983 7341 T l c 819 983 7708 CLSC Vall e de la Li vre T l 819 986 3359 poste 227 T l c 819 986 1236 R gion 08 Abitibi T miscamingue Centre de sant La Vall e de l Or T l 819 737 2243 T l c 819 737 3122 Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 Centre de sant Sainte Famille T l 819 622 2773 poste 4270 T l c 819 629 3257 Centre de sant T miscamingue Centre du diab te T l 819 627 33
2. Maria Chapdelaine Normandin Centre d enseignement pour diab tiques T l 418 274 1234 poste 348 T l c 418 274 6970 CLSC des Pr s Bleus Saint F licien e point de service Roberval T l 418 679 5270 T l c 418 679 1748 CLSC Le Norois T l 418 668 4563 T l c 418 668 2251 Complexe hospitalier de la Sagamie Pavillon Saint Vallier Centre d enseignement pour diab tiques T l 418 541 1234 poste 2557 T l c 418 541 1163 Region 03 Capitale nationale C H de Charlevoix Clinique du diabete T l 418 435 5150 T l c 418 435 3960 C H de La Malbaie Medecine de jour enseignement aux diab tiques T l 418 665 1700 poste 2117 T l c 418 665 1732 CHA H pital Enfant J sus Unit d enseignement et de traitement diab tique T l 418 649 5549 T l c 418 649 5944 CHA H pital Saint Sacrement Centre d enseignement pour diab tiques T l 418 682 7590 T l c 418 682 7552 CHUQ Pavillon CHUL Centre de jour pour diab tiques T l 418 654 2741 T l c 418 654 2792 CHUQ Pavillon H tel Dieu Clinique du diab te T l 418 691 5592 T l c 418 691 5331 CHUQ Pavillon Saint Fran ois d Assise Centre de jour pour diab tiques T l 418 525 4412 T l c 418 525 4354 H pital Laval T l 418 656 8711 poste 5708 T l 418 656 4761 CLSC Orl an
3. soit un niveau bith rapie orale a ensuite t introduite avec l ajout de glybu _ ride Diabeta dont la dose a t progressivement augmen Si les niveaux cibles individualis s t e jusqu 10 mg deux fois par jour Depuis trois mois Denis et correctement Linsuline est indispensable aux per sonnes atteintes du diab te de type 1 Celles qui souffrent du diab te de Beaucoup de patients souffrant du diab te de type 2 ne r pondent plus pour contr ler leur m tabolisme Ce ph nom ne est probablement d tique long terme Les patients atteints prend en plus 8 mg par jour de rosiglitazone Avandia a a ae aa li me Denis a rendez vous avec vous aujourd hui Vous consultez eux quatre mois il faut passer E P tape suivante de traitement indj ON dossier avant de le recevoir Qu allez vous lui sugg rer P prend ses m dicaments r guli rement pos e la figure 1 Le taux d chec des sulfonylur es est d environ 25 a 30 chez les personnes atteintes du diab te de type 2 et il augmente d en type 2 peuvent avoir besoin d insuline un stade ou l autre de la maladie Elles peuvent avoir besoin d une in sulinoth rapie temporaire pendant des p riodes de maladie ou de stress Denis a revu la di t tiste et il conti nue faire de l exercice mais il a re marqu que sa tol rance l effort a beaucoup diminu Son di
4. entourent l insu linoth rapie Le manque de connais sances est souvent un l ment qui cr e de la r sistance au passage lin sulinoth rapie tableau III Rep re Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 47 Tableau Il Indications de l insulinoth rapie m Etat hyperosmolaire m Diab te catabolique m Diab te de type 1 m Diab te de type 2 avec hyperglyc mie symptomatique de moyenne a grave m Diab te de type 2 d compens stress infection chirurgie corticoth rapie m Diab te de type 2 avec intol rance aux HGO m Diab te de type 2 avec chec de la di te associ e aux HGO a dose maximale m Diab te gestationnel non quilibr par la di te m Grossesse d sir e ou actuelle d une femme atteinte du diab te de type 2 Mythes sur l insuline Linsuline fait engraisser Le v ritable diab te c est quand tu es l insuline Tu risques de devenir d pendant de l insuline Si tu prends trop d insuline tu risques de faire des crises cardiaques Quand tu es l insuline ton diab te est plus grave Linsuline am ne les complications du diabete Si je ne suis pas trait avec de l insuline c est que je suis un peu diab tique Tu peux devenir aveugle avec le temps si tu prends de l insuline L insuline m ne au coma L insuline fait perdre le permis de conduire livrer comme message c est plut t que l insuline est une ex
5. motivation ainsi qu sa situation familiale sociale et financi re Le m decin doit de plus v rifier les limites du patient et ses dif ficult s potentielles face l insulino th rapie tableau IV Le patient demeure libre de refuser le traitement Le m decin tout en lui reconnaissant cette libert lui confir _ mera fermement sans quivoque son _ opinion professionnelle Il devra s as surer que le patient comprend bien les enjeux de sa d cision de fa on quelle soit la plus clair e possible Le m de _ cin doit rester disponible si le patient modifie ult rieurement sa d cision Sil entreprend une insulinoth ra pie le patient doit tre assur de la disponibilit du m decin Vensei gnement peut se faire au cabinet si le m decin peut disposer d une soixan taine de minutes Mais le m decin de famille pourrait aussi avoir besoin d orienter le patient vers une quipe multidisciplinaire qui lui enseignera les nouvelles connaissances et les nou velles techniques et l aidera chemi ner vers l acceptation de ce nouveau mode de traitement S L ANNONCE DU DIAGNOSTIC de comme l volution d un traitement diab te disponibles Si Pamorce de l insulinoth rapie devient incontournable le patient aura d j obtenu les bonnes informa tions qui l aideront l accepter plus a 4 Knight B Insul
6. ou sans il est acceptable d utiliser agents oraux en m me temps des agents oraux 1 4 injections Lorsque les autres moyens de d insuline par jour traitement ne donnent plus de r sultats il faut r ajuster les doses d insuline et intensifier l insulinoth rapie T nombre d injections ou ajouter des agents oraux Si les objectifs glyc miques personnalis s ne sont pas atteints en deux ou quatre mois il faut r valuer les interventions relatives au mode de vie afin d en maximiser les b n fices Source Lignes directrices de pratique clinique 1998 pour le traitement du diab te au Canada JAMC 1998 159 Suppl 8 suline Pour lui ce sera le signe que sa Ces fausses croyances peuvent ga La majorit des patients per oivent maladie a vraiment progress et il est lement d river d exp riences n gatives l insulinoth rapie comme une ag persuad que l insuline lui am nera v cues dans le pass gravation de la maladie Ce qu il faut toutes les complications que sa m re a connues notamment amputation de la jambe droite La majorit des patients per oivent l insulinoth rapie comme une aggravation de la maladie Ce qu il faut livrer comme message c est plut t que l insuline est une excellente fa on d quilibrer les glyc mies et que l hyperglyc mie prolong e en tra ne les complications qui elles diminuent la qualit et l esp rance de vie Plusieurs mythes
7. probablement plus difficile d accepter ce nouveau mode de traitement remplacer hormone de mani re re _ produire la s cr tion d insuline aussi _ fid lement que possible et ultime ment de ramener la normale les con centrations de glucose plasmatique de supprimer la c togen se et de main tenir la vitalit et la sant des patients plus tard sachant tr s bien qu ils ne font que retarder l ch ance atteints du diab te tableau II Quelles sont les barri res l insulinoth rapie _ L insulinoth rapie lorsqu elle de vient n cessaire demeure un objet de crainte et de r sistance pour beaucoup de patients diab tiques Le m decin ne sait pas toujours comment annon cer son patient que l insulinoth ra excellence Il se sent maladroit et ou n a peut tre pas les arguments n cessaires pour annoncer son patient qu il doit _ plique punitive Si vous ne faites pas attention vous devrez commencer a prendre de l insuline ou encore si vous ne prenez pas d insuline vous commencer un traitement l insu line Plusieurs m decins devraient tion afin de v rifier quelles sont les va qu ils transmettent leurs patients de puis qu ils les traitent pour le diab te Certains m decins vont m me jus qu retarder volontairement l amorce de l insulinoth rapie et d cident plu t t de rev rifier PHbA
8. qui peut prendre quel ques semaines dans certains cas Un autre argument permet d aider le patient accepter l insulinoth rapie l insuline am liore la ma trise de la glyc mie qui elle diminue ou retarde consid rablement les com plications du diab te Vessai Dia betes Control and Complications Trial DCCT pourra tre cit titre dexemple car cette tude d une du r e de 10 ans a clairement d montr que le traitement intensif du diab te Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 49 50 de type 1 par injections multiples avait r duit consid rablement lappa rition ou la progression des compli cations du diab te L tude UKPDS corrobore ces m mes donn es mais avec des patients atteints du diab te detype 2 Montrer les outils de traitement of ferts sur le march et au besoin faire la d monstration du mode d utilisa tion devraient faire partie int grante des modalit s d annonce du traite ment l insuline La vue d un stylo in jecteur ou d une seringue unidose avec une aiguille courte et fine permet tr s souvent au patient de d dramatiser Pinsulinoth rapie La prescription d insuline devrait tre adapt e aux objectifs glyc miques _ du patient son mode de vie son alimentation son ge son tat de sant g n ral sa
9. trois mois Les patients diab tiques doivent re cevoir les bonnes informations et ce d s que le diagnostic de diab te est pos L information doit tre donn e graduellement dans un langage simple et tre claire Les renseignements sur Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 la maladie les traitements et les com plications doivent tre transmis de fa con ce que le message soit peu pr s uniforme d un intervenant l autre Ils devront tre pr cis et honn tes Les propos mena ants ou punitifs doivent tre bannis du langage m dical Combien de fois utilise t on la r allez devenir aveugle ou vous vous re Quels sont les mythes ou les fausses croyances entourant Vinsulinoth rapie Denis vous a d j parl de sa crainte terrible de devoir recourir un jour l in formation continue Figure 1 Approche graduelle du traitement du diab te de type 2 Traitement non pharmacologique Modifications du mode de vie di te exercice de poids ducation Passer au niveau de traitement suivant Y Monotherapie avec un agent oral Si un moment donn le patient a une decompensation m tabolique hyperglyc mie symptomatique et c tose Passer au niveau de traitement suivant y Th rapie orale combin e Passer au niveau de traitement suivant Insuline au coucher Au d but d une insulinoth rapie avec
10. 1 92 Annexe suite Centres d enseignement pour diab tiques C H Angrignon Pavillon Verdun D partement d endocrinologie T l 514 362 1000 poste 2474 T l c 514 765 7306 CHUM Pavillon H tel Dieu Unit des soins ambulatoires Unit de jour de diab te T l 514 890 8000 poste 14658 T l c 514 412 7263 CHUM Pavillon Notre Dame Centre de jour pour diab tiques T l 514 890 8000 poste 26947 T l c 514 412 7767 CHUM Pavillon Saint Luc Clinique de m decine T l 514 890 8000 poste 35694 T l c 514 412 7350 CLSC NDG Montr al Ouest T l 514 485 1670 CLSC Verdun C te Saint Paul Clinique diab te T l 514 766 0546 poste 241 T l c 514 762 4139 CUSM H pital g n ral de Montr al Clinique du diab te T l 514 934 8335 g n ral T l 514 937 6011 poste 4212 infirmi re T l c 514 934 8361 CUSM H pital Royal Victoria Metabolic Day Center 514 842 1231 poste 5371 T l c 514 843 2838 Diab taide Association Diab te Qu bec T l 514 259 3422 1 800 361 3504 T l c 514 259 9286 H pital de Montr al pour enfants Clinique du diab te T l 514 934 4400 poste 2860 T l c 514 934 4364 H pital g n ral juif Clinique du diab te T l 514 340 8222 poste 5787 T l c 514 340 7529 H pital Jean Talon M decine de jour T l 514 495 6789 T l c
11. 8 di t tiste T l c 450 371 7454 CLSC de la Haute Yamaska Clinique du diab te T l 450 375 1442 poste 716 ou 211 T l c 450 375 6607 CLSC des Maskoutains Clinique du diab te T l 450 778 2572 poste 308 T l c 450 778 1899 CLSC La Ch naie T l 450 546 2572 T l c 450 546 0506 CLSC La Presqu le Centre d enseignement du diab te T l 450 455 6171 T l c 450 455 6192 CLSC CHSLD Champagnat de la Vall e des Forts Clinique de diab te T l 450 358 2572 poste 3522 T l c 450 349 0644 CLSC CHSLD La Vall e du Richelieu T l 450 536 2572 T l c 450 536 2055 H pital Barrie Memorial et CLSC Huntingdon Clinique de diab te T l 450 829 2321 poste 225 T l c 450 829 4329 H pital Charles LeMoyne Programme de diab te T l 450 466 5000 poste 2418 T l c 450 466 5036 H tel Dieu de Sorel Centre du diab te USACD T l 450 746 6183 T l c 450 746 6249 Kateri Memorial Hospital Diabetes Education Committee T l 450 638 3930 T l c 450 638 4634 R seau Sant Richelieu Yamaska Pavillon Saint Charles Centre sous r gional de diab te T l 450 771 3333 poste 3500 T l c 450 771 3501 Association du diab te de Brome Missisquoi T l 450 248 2224 informations sur les programmes T l 450 293 3622 et 450 266 3622 Ligne Info sant inscription T l
12. 85 T l c 819 627 3629 R seau de sant et de services sociaux des Aurores Bor ales T l 819 333 2311 poste 2504 T l c 819 333 2755 CLSC Le Partage des Eaux T l 819 762 8144 T l c 819 762 1057 CLSC Les Eskers T l 819 732 3271 T l c 819 732 3056 R gion 09 C te Nord Centre de sant CLSC des Sept Rivi res Programme d enseignement aux personnes diab tiques T l 418 766 2572 poste 3279 T l c 418 766 5229 C H r gional de Baie Comeau Clinique de diab te T l 418 589 3701 poste 2628 T l c 418 589 8530 C H r gional de Sept les Clinique d enseignement et de traitement pour personnes diab tiques M decine de jour T l 418 962 9761 poste 2816 T l c 418 962 7821 Centre de sant des Nord C tiers Pavillon Forestville T l 418 587 2212 T l c 418 587 2865 R gion 10 Nord du Qu bec Centre de sant Isle Dieu T l 819 739 2515 poste 264 T l c 819 739 4777 Centre de sant Lebel T l 819 755 4881 T l c 819 755 3779 Annexe suite Centres d enseignement pour diab tiques R gion 11 Gasp sie les de la Madeleine C H Baie des Chaleurs Clinique d enseignement pour diab tiques T l 418 759 3443 poste 2140 T l c 418 759 5890 CLSC des les Centre d enseignement du diab te T l 418 986 2572 T l c 418 986 4911 C H de Chan
13. ab te est mal quilibr Il re oit la th rapie orale maximale et l anamn se r v le qu il l puisement de la s cr tion pancr a Le D Michel Racine omnipraticien et du diab te de type 2 ayant un indice de l unit de m decine familiale de la Cit masse corporelle IMC inf rieur 25 et des sympt mes cataboliques _ lorsqu ils sont sous traitement avec des hypoglyc miants oraux HGO de vraient commencer prendre de lin suline plus rapidement sans n ces sairement attendre que deux ou trois antidiab tiques aient chou On es time ainsi que de 15 420 des adultes atteints du diab te de type 2 auront un diab te auto immun de survenue tar dive late onset autoimmune mediated la th rapie nutritionnelle ni aux agents oraux et ont besoin d insuline eux que chez les personnes atteintes du diab te de type 1 ils peuvent r pondre temporairement aux hypo glyc miants oraux mais il est toute _ fois pr f rable de les traiter insuline diabetes V puisement de la s cr tion pancr atique tant plus lent chez triser la glyc mie Rep re Si avec un r gime incluant une th rapie nutritionnelle appropri e de l exer cice et une th rapie orale dose maximale les objectifs de traitement n ont pas t atteints il faut alors amorcer une insulinoth rapie afin de mieux mai Le M deci
14. aissances Valeurs stacles ou des incitatifs lors de amorce de l insulinoth rapie Le m decin _ encouragera le patient venir accom pagn de son conjoint ou d un proche aux consultations m dicales ou aux s ances d enseignement L observance _ du traitement est accrue si le patient _ b n ficie d un r seau social Les as sociations d aide aux diab tiques jouent un r le important Elles leur permettent de se regrouper de sortir de leur isolement d actualiser leurs connaissances Elles ont aussi pour effet de maintenir ou de bonifier la motivation L amorce de l insulinoth rapie est _ incontestablement le moment le plus stressant de la vie d un diab tique Il en parle souvent comme d un chec ou d un deuil de sa sant De plus la peur des aiguilles vient souvent com pliquer l annonce du changement de traitement Lorsque le recours l insulinoth clair et en informer le patient sans la moindre h sitation L intervention de vra tre adapt e l individu dans sa dimension biopsychosociale Certaines personnes de par leurs traits de personnalit ont besoin d une _ approche dos e avec d autres il faut aborder la question de front et Pinter vention en plus d tre explicative de pour certains patients pr sentant des traits passifs agressifs ou vitants Les patients pr sentant ces traits de per s
15. bato A Bloise D Burla F Shirasaka K Kanno K Akimoto M Percep tion and utilization of social support in diabetic control Diabetes Res Clin Pract 1998 41 207 11 Coronel G Di Paolantonio T Personality variables and compliance with insulin ther apy in type 2 diabetic subjects Diabetic Nutritional Metabolism 2000 13 1 1 6 Feher MD Injection related anxiety in in sulin treated diabetes Diabetes Res Clin Pract 1999 46 239 46 tensive treatment of diabetes on the de Annexe Centres d enseignement pour diab tiques R gion 01 Bas Saint Laurent C H de Matane M decine de jour T l 418 562 3135 poste 2205 T l c 418 562 9374 C H r gional de Rimouski Clinique du diab te T l 418 724 8562 T l c 418 724 8420 C H r gional du Grand Portage M decine de jour T l 418 868 1010 poste 648 ou 649 T l c 418 868 1998 Centre mitissien de sant et de services communautaires T l 418 775 7261 poste 4148 T l c 418 775 7499 R seau sant Kamouraska Hopital Notre Dame de Fatima Unite de jour T l 418 856 3540 poste 217 T l c 418 856 3736 C H Notre Dame du Lac Centre de diab te T l 418 899 6751 R gion 02 Saguenay Lac Saint Jean Centre de sant Maria Chapdelaine Dolbeau Mistassini Centre d enseignement pour diab tiques T l 418 276 1234 poste 3188 T l c 418 239 2502 Centre de sant
16. c 450 248 3717 R gion 17 Centre du Qu bec 53 CLSC Drummond Centre d enseignement et de suivi pour diab tiques T l 819 474 2572 T l c 819 474 2828 CLSC Nicolet Yamaska Clinique du diab te T l 819 293 6789 T l c 819 293 2572 H tel Dieu d Arthabaska M decine de jour T l 819 357 2030 poste 2968 T l c 819 357 6052 Centres agr s Programme d agr ment des centres de diab te Le Comit de l agr ment de l ADQ pr sid par la D Nahla Aris Jilwan endocrinologue reconna t la qualit des services offerts aux personnes diab tiques Tous les centres d enseignement pour diab tiques peuvent soumettre leur candidature Source Association Diab te Qu bec 5635 rue Sherbrooke Est Montr al Qu bec HIN 1A2 T l 514 259 3422 ou 1 800 361 3504 T l c 514 259 9286 Site Internet www diabete qc ca Courriel info diabete qc ca Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 a Congres de formation m dicale continue FMOQ a a F vrier 2002 L endocrinologie Hotel Radisson Gouverneurs Qu bec Mars 2002 La sant des femmes reprise Palais des Congr s Montr al Avril 2002 La p diatrie Hotel Radisson Gouverneurs Qu bec Mai 2002 La pneumologie Palais des Congr s Montr al Juin 2002 La cardiologie Hotel Rimouski Rimouski Septembre 2002 La sant mentale H tel Ra
17. cellente fa on d quilibrer les glyc mies et que Phy Le M decin du Qu bec volume 36 num de son traitemen ceptation ou d adaptation risque de _ se faire plus facilement si approche _ est individualis e et si la situation est pr sent e de fa on constructive perglyc mie prolong e entra ne les complications qui elles diminuent la qualit et l esp rance de vie C est pour cette raison qu il est important que le patient se responsabilise et prenne en charge son traitement Le diab te est incontestablement une maladie qui exige une grande collaboration du patient Comment l annoncer La fa on d annoncer le diagnostic du diab te pourra tre d terminante et elle constituera l un des l ments importants qui influeront possible ment sur la perception de la maladie et Le processus d ac rapie devient incontournable le m decin de famille doit alors tre tr s pe Plusieurs tudes montrent que les attitudes les croyances et les valeurs influent sur la fa on dont le patient prendra en charge sa maladie et son traitement videmment les valeurs indivi duelles familiales culturelles et m me vra tre p remptoire et autoritaire religieuses peuvent constituer des ob ro 12 d cembre 2001 Encadre Pistes servant a guider l intervention m dicale Valider _ Croyances Conn
18. ception 12 juin 2001 aura pour r le d informer le patient sur les diff rents modes de traitement Mots cl s insulinoth rapie amorce du traite de cette maladie L chec des hypogly c miants oraux devra tre compris Bibliographie qui est devenu inefficace ou inad quat et non comme un chec person nel d culpabilisation Il faut insister sur les multitudes de traitements du 2 Genuth S Management of the adult onset Date d acceptation 2 novembre 2001 ment enseignement 1 Lignes directrices de pratique clinique 1998 pour le traitement du diab te au Canada JAMC 1998 159 Suppl 8 diabetic with sulfonylurea drug failure Endocrinol Metabolism Clin N Am juin 1992 21 2 351 70 3 Rowe R Advances in diabetes therapy Can J CME mars 2000 47 54 2 diabetes Can Diabetes septembre 1997 10 3 6 7 Funnell MM Scott JJ Grunberger G et al The influence of treatment modality and ethnicity on attitudes in type 2 diabetes Diabetes Care 2000 23 313 8 sage Le M decin du Qu bec ao t 1995 30 8 31 6 and personal characteristic of veterans at tending a diabetes education program Diabetes Educator 1999 25 727 37 8 Fukunishi I Horikawa N Yamazaki T qu il insiste sur les b n fices court et long terme de l insulinoth rapie Il aura au pr alable d gag des pistes qui lui permettront de faire valoir les 9 Gentili P Maldi
19. disson Gouverneurs Qu bec Octobre 2002 La dermatologie Hotel Wyndham Montreal Novembre 2002 L omnipratique d aujourd hui demain Montr al Decembre 2002 La g riatrie Hotel Wyndham Montreal Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 Summary Initiating insulin therapy As soon as diabetes is diagnosed the family physi cian is responsible for informing the patient of the various types of treat ment Failure of oral hypoglycaemics should be recognized as the culmina tion of a treatment which is no longer efficient or inadequate for the patient Emphasis must be placed on the multitude of treatments available for diabetes If beginning insulin therapy becomes unavoidable the patient will have al ready received the proper information to help him to accept the new treat ment The doctor should adopt an in dividualized approach In order to do so identifying the patient s knowledge his values and his beliefs will be the first factors to help the doctor announce the transition to insulin Whatever stategy is adopted it must be coordinated with the rest of the medical team The doctor should use arguments which will help the patient to accept insulin therapy It is imperative that he insist on the short and long term ben efits of the therapy He first identifies what will help him to sell the ad vantages of insulin treatment Dem onstrating the therapeutic to
20. dler Medecine de jour Diabete T l 418 689 2261 T l c 418 689 6131 Region 12 Chaudi re Appalaches C H Beauce Etchemin Clinique de diab te pour enfants et adolescents T l 418 228 2031 poste 2100 C H Beauce Etchemin Medecine de jour T l 418 228 2031 poste 7870 T l c 418 228 4952 C H de la r gion de l amiante Clinique pour diab tiques T l 418 338 7763 T l c 418 338 7762 H tel Dieu de L vis M decine de jour T l 418 835 7121 poste 3747 T l c 418 835 7104 H tel Dieu de Montmagny Centre d enseignement pour diab tiques T l 418 248 0630 poste 311 T l c 418 248 0820 R gion 13 Laval Cit de la Sant de Laval Centre du diab te T l 450 681 3355 T l c 450 681 2755 R gion 14 Lanaudi re Le Centre de diab te du CHLG T l 450 581 2411 T l c 450 581 8411 C H r gional de Lanaudi re Centre de jour de diab te T l 450 759 8222 poste 2232 T l c 450 759 6511 Region 15 Laurentides H tel Dieu de Saint J r me Clinique du diab te T l 450 431 8253 T l c 450 431 8210 R gion 16 Mont r gie C H Pierre Boucher Clinique du diab te M decine de jour T l 450 468 8111 poste 2441 T l c 450 468 8032 C H R S de Valleyfield Clinique du diab te T l 450 371 2811 rendez vous T l 450 371 9920 poste 205
21. in in the treatment of type facilement Le m decin devra adop ter une approche individualis e Pour 5 Fitgerald JT Gruppen LD Anderson RM et les croyances du patient sont les premiers l ments qui l aideront a annoncer le passage l insuline L la boration de strat gies adapt es fai 6 Audet J Diab te comment livrer le mes sant appel au r seau de soutien du pa tient fera aussi partie de la mission de 7 Via PS Salyer J Psychosocial self efficacy ce faire les connaissances les valeurs l quipe m dicale Le m decin utilisera des arguments susceptibles de faciliter l acceptation de l insulinoth rapie Il est important avantages du traitement l insuline Monter les outils th rapeuti ques et au besoin faire la d mons tration du mode d emploi s av rent un excellent moyen de d dramati 10 Zambanini A Newson R B Maisey M ser l insulinoth rapie L orientation du patient vers un 3 11 D C C T Research Group The effect of in quipe multidisciplinaire peut consti centre sp cialis en diab te dot d une Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 tuer un excellent moyen d aider le pa tient comprendre et accepter plus facilement l insulinoth rapie la liste _ des centres d enseignement pour dia b tiques du Qu bec est pr sent e en annexe _ diab te le m decin de famille Date de r
22. n du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 2001 Tableau Niveaux de ma trise glyc mique Hb glyqu e HbA de la limite sup rieure de l h moglobine glyqu e Glyc mie jeun ou avant le repas mmol L Niveau id al optimal sous optimal inad quat non diab tique cible une intervention une intervention normal peut tre requise est requise lt 100 lt 115 116 140 gt 140 3 8 6 1 4 7 7 1 10 gt 10 4 4 7 5 0 11 11 1 14 gt 14 Glyc mie 1 2h apr s le repas mmol L Source Lignes directrices de pratique clinique 1998 pour le traitement du diab te au Canada JMAC 1998 159 Suppl 8 Ces patients sont minces on retrouve un contexte auto immun et l absence d ant c dents familiaux de diab te de pie devient ce stade le traitement par type 204 Si avec un r gime incluant une _ th rapie nutritionnelle appropri e de l exercice et une th rapie orale dose maximale les objectifs de traitement n ont pas t atteints il faut alors amorcer une insulinoth rapie afin de peut tre faire une petite introspec mieux ma triser la glyc mie Linsulinoth rapie a pour but de 3 leurs les croyances et les connaissances trouverez en dialyse Cette fa on de faire cr e la peur qui risque d entrai ner son tour de la r sistance et si un jour le patient doit prendre de l insu line il lui sera fort
23. ne W CR TER Mil PF H MOGLOBINE GLYQUEE HbA donne la meilleure mesure in t gr e de l quilibre glyc mique pen dant les deux quatre mois pr c dant l analyse Le r sultat de cette analyse exemple 6 6 est divis par la valeur de la limite sup rieure de la normale fournie par le laboratoire exemple de 4 5 6 5 et donne un pourcentage permettant de situer le niveau de ma trise glyc mique du pa tient Ainsi un r sultat de 6 6 divis normale du laboratoire donne un optimal tableau D pour une personne souffrant du dia qu e dans la strat gie graduelle pro viron 5 10 par an par la suite Quand faut il amorcer l insulinoth rapie professeur adjoint de clinique exerce de la Sant de Laval M Guylaine Forget inf B Sc est adjointe au coor donnateur des programmes cardiovas culaire respiratoire diab te et imagerie m dicale au Centre hospitalier ambu latoire r gional de Laval L amorce de l insulinoth rapie comment l annoncer au patient par Michel Racine et Guylaine Forget Denis 47 ans est diab tique depuis 1988 Le dosage de HbA effectu il y a deux semaines indique 10 2 normale par 6 5 soit la limite sup rieure de la 4 5 6 5 Il a re u dans un premier temps 850 mg de metfor mine Glucophage trois fois par jour en monoth rapie Une pourcentage de 110
24. ols has proven to be an excellent means of de dramatizing the therapy Referring the patient to a specialized di abetic treatment centre staffed with a multidisciplinary team is another ex cellent way to assist the patient Key words insulin therapy initiation of therapy counseling velopment and progression of long term complications of insulin dependent diabetes mellitus N Engl J Med 1993 329 977 86 12 UKPDS group Intensive blood glucose control with sulphonylureas or insulin compared with conventional treatment and risk of complications in patients with type 2 diabetes UKPDS33 Lancet 1998 352 837 52
25. onnalit accepteront davantage Pin sulinoth rapie par d sir de se confor mer que par conviction personnelle La fa on dont est per u ce nouveau mode de traitement pourra m me in fluer sur Pobservance future du traite ment Il est donc important de prendre le temps de r pondre aux questions du patient de l encourager verbali ser ses craintes et de trouver des stra le meilleur traitement Afin d viter une trop forte anxi t le d lai entre la d cision et la premi re injection doit tre le plus court pos sible Si le patient entreprend une insulinoth rapie il doit tre bien in form et assur de la disponibilit du _ diab tique qui maintient un contr le t gies adapt es ses besoins m decin ou de l quipe soignante Il est en g n ral pr f rable d amor cer Pinsulinoth rapie sur une base am _ bulatoire car cette approche se veut moins dramatisante qu en milieu hos pitalier Lorsqu un traitement Pin suline est amorc il est important de valider et de compl ter les connais sances du patient sur les risques d hy poglyc mie ainsi que sur les mesures de pr vention et de traitement de celle ci Le m decin de famille qui suit un patient souffrant de diab te a d j des multitudes de sources d information Plusieurs l ments peuvent le guider dans l annonce de l amorce de l insu linoth rapie e
26. s Beauport Programme d enseignement pour la personne diab tique T l 418 663 2572 T l c 418 663 2263 CLSC Orl ans Beaupr Programme d enseignement pour la personne diab tique T l 418 827 5241 T l c 418 827 8846 CLSC La Source T l 418 849 2572 T l c 418 849 0661 R gion 04 Mauricie Carrefour de sant et services sociaux Secteur communautaire Clinique du diab te T l 819 523 4581 T l c 819 523 7742 C H r gional de Trois Rivi res Pavillon Saint Joseph Centre de jour du diab te T l 819 697 3333 poste 53479 T l c 819 372 3510 CLSC Centre de la Mauricie Centre de jour pour diab tiques T l 819 539 8371 T l c 819 539 9215 Centre de sant Odanak Centre de diab te 5 1 T l 450 568 6766 T l c 450 568 6717 Region 05 Estrie CHUS H tel Dieu Centre de jour r gional pour diab tiques T l 819 822 6771 T l c 819 822 6727 CHUS H pital Fleurimont Unit d enseignement et de traitement pour diab tiques T l 819 346 1110 poste 15144 T l c 819 829 3247 R gion 06 Montreal Centre de jour pour diabetiques du Lakeshore Tel 514 630 5337 T l c 514 630 2372 C H Angrignon Pavillon Lasalle Departement d endocrinologie Tel 514 362 1000 poste 1622 T l c 514 367 8635 Le M decin du Qu bec volume 36 num ro 12 d cembre 200
27. sement normal c est a dire l ge de depression Repere pa Tees Pour vendre une automobile par exemple il faut vanter ses m rites Pour r us sir faire accepter plus facilement l insulinoth rapie il faut utiliser des argu ments de vente Le patient diab tique qui maintient un contr le sous optimal des taux d HbA manifeste la plupart du temps des sympt mes associ s une hy perglyc mie La fatigue la polyurie et la polydipsie viennent tr s souvent dimi nuer sa qualit de vie et le patient en parle souvent comme d un handicap im portant dans son quotidien Certains patients diab tiques confondent bien souvent la l thargie qu engendre un diab te mal quilibr avec des sympt mes formation continue Tableau IV Contre indications relatives a l insulinoth rapie m Limites du patient arthrite troubles visuels etc m Comorbidit importante m Autocontr le refus ou impossible Linsuline permettra au patient d at t nuer ces sympt mes et de retrouver nergie perdue si insidieusement Insister sur les effets court terme reste un atout car les b n fices de l in sulinoth rapie se font souvent sentir _ d s les premi res injections d insuline Il faut toutefois avertir le patient que l insuline n est pas une panac e et qu il est aussi souvent n cessaire d ajuster la dose pour atteindre des glyc mies optimales ce
28. t la fa on de faire Lanamn se s av re un excellent moyen d explorer les connaissances les valeurs et les croyances du patient sur l insulinoth rapie La majorit des diab tiques ont dans leur famille un proche souffrant de cette maladie A partir des donn es transmises par le patient vous pouvez recueillir beau coup d informations et poursuivre Panamn se avec une question ouverte Par exemple Que connaissez vous de Pinsulinoth rapie La question ou _ verte permet au m decin d explorer le degr de connaissances les craintes ainsi que les valeurs du patient Il aura ainsi certaines pistes qui pourront le guider dans son intervention voir l encadr Comment convaincre un patient que l insulinoth rapie est Pour vendre une automobile par exemple il faut vanter ses m rites Pour r ussir faire accepter plus faci lement l insulinoth rapie il faut uti liser des arguments de vente Le patient sous optimal des taux d HbA mani feste la plupart du temps des symp tomes associ s a une hyperglyc mie La fatigue la polyurie et la polydipsie _ viennent tr s souvent diminuer sa qualit de vie et le patient en parle souvent comme d un handicap im portant dans son quotidien Certains patients diab tiques confondent bien souvent la l thargie qu engendre un _ diab te mal quilibr avec des symp tomes de d pression ou encore avec le vieillis
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