Home

Unicité 22 - Université de Neuchâtel

1. Au d tour de la page de deux manuscrits illustr s de Virgile Cours public Laure Chappuis Sandoz Se soigner se comprendre Le rapport soi et la question du sens face la maladie Colloque Prof Eliane Christen Gueissaz DATE LIEU Mercredi 10 d cembre de 17h15 18h15 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle R N 02 Jeudi 11 d cembre de 18h15 20h00 Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 aula principal RENSEIGNEMENTS UER des sciences de l Antiquit T l 032 718 17 85 Institut romand d herm neutique et syst matique Fbg de l H pital 41 t l 032 718 19 17
2. celle mise en place par d autres entit s parmi lesquelles le parc scientifique et technologique le PSTN nouvellement cr et port par les pouvoirs poli tiques Sur le plan f d ral des actions cibl es de valorisation ont galement d j cours ou sont en phase de montage telles par exemple les actions CTI Start up ou CREATE Switzerland Le rectorat a ainsi d cid de d finir les fonctions indispensables la r alisation par l Universit de sa mission de valorisation et de proposer la cr ation d une structure souple qui permette de remplir ces fonctions avec les moyens disponibles Il est galement sou ha table vu la taille de l Universit et la g n ralit de la question de la valo risation de permettre d associer d autres entit s cette action de valorisa tion Le Triangle de Transfert de Technologies un instrument au service des chercheurs L Universit de Neuch tel a d cid de mettre en place un outil au service de la communaut des chercheurs destin les appuyer dans les actions de valorisation des r sultats de leurs recherches L action principale pour l Universit consiste en la cr ation d un triangle de transfert de technolo gies T3 qui rassemble les comp tences n cessaires sur les plans scienti fique juridique et conomique Ce triangle est concr tis par un bureau constitu d experts des questions juridiques li es au transfert de technolo gies et de repr sentants des milieux sc
3. ne peut tre consid r comme une preuve du r chauffement climatique Ce qui est significatif c est l accumulation de ce type d extr mes Dans ce sens les conditions climatiques de cet t s ins crivent dans une parfaite coh rence avec la succession d hivers tr s doux de ces derni res d cennies Si l on consid re l ensemble de nos donn es la p riode de canicule que l on vient de conna tre est extr me mais pas vrai ment surprenante Propos recueillis par Colette Gremaud Service de presse et communication Et 2003 plus une goutte d eau dans le lit de la Tr me en Gruy re Photo M Rebetez 19 Facult des lettres et sciences humaines Denis Knoepfler Pierre Centlivres Fin juin les professeurs du prestigieux Coll ge de France ont lu le profes seur neuch telois d arch ologie classique et d histoire ancienne Denis Knoepfler 59 ans parmi les leurs il occupera d s 2004 une nouvelle chaire d enseignement et de recherche intitul e pigraphie et histoire des cit s grecques La nomination officielle interviendra cet automne 20 Denis Knoepfiler et Pierre Centlivres en bas deux neuch telois honor s par la France Depuis que le Coll ge de France a ouvert ses portes des chercheurs de nationalit trang re Denis Knoepfler est le premier Suisse obtenir une telle distinction qui ne soit pas bas e sur une invitation temporaire Cet hon neur donn un repr sentant d une discip
4. tudiant la Facult de droit de Neuch tel Quand on lui demande si ces deux carri res ne sont pas difficiles mener de concert Barea ne s tend pas sur la question Je connais des personnes qui l ont fait avec des sports beaucoup plus contraignants que le foot Le moins que l on puisse dire c est qu il n en fait pas un fromage Il est vrai que d autres avant lui ont r us si concilier sport et tudes univer sitaires Le jeune joueur cite par exemples le zurichois Berbig ancien gardien de Grasshoper devenu chi rurgien ou l actuel gardien de cette m me quipe ing nieur en g nie civil de l Ecole polytechnique f d ra le de Zurich Bigre Et dire qu il y a des esprits assez mal pensants pour imaginer les footeux incapables d utiliser leur t te autrement que pour marquer un but D j au tout d but de sa carri re footbalistique Gen ve Barea se sent attir par le droit C est cependant en sciences politiques qu il s inscrit peut tre un peu rebut par la r putation d tudes difficiles qu on attribue au droit Je n tais pas assez m r explique t il aujourd hui Apr s quelques t tonnements du c t des Hautes tudes internationales et de la sociologie apr s Servette et un bref passage au FC Lugano il embrasse trente ans les tudes qu il a toujours voulu faire en venant s tablir Neuch tel Une d cision qu il ne regrette surtout pas l heu re de cet entretien le jeune homme a r
5. e sur un syst me pyramidal avec le m decin au sommet qui ordonne les soins les infirmi res plus bas qui les ex cutent et le malade tout au fond qui les re oit Pour moi le malade reste acteur au milieu d une communaut qui l aide se soigner C est ce r seau social qui permet la personne d tre ce qu elle est qui lui permet aussi de se comprendre Peut on donner un sens la maladie C est un terrain mouvant sur lequel il faut rester tr s prudent Donner un sens la maladie en la pr sentant comme le salaire du p ch comme le signe que l homme qu elle atteint n est pas sur le bon chemin est un discours qu on ne peut pas tenir en th ologie mon sens Et pourtant toutes les glises ont une fois ou l autre succomb la tentation d utiliser cet argument pour accro tre leur emprise sur les gens Certains groupes fondamentalistes en font encore usage de nos jours 29 Facult de th ologie Pour moi chacun doit trouver son propre sens la maladie Ce n est peut tre pas tr s utile de se poser la question pour une simple grippe qui dispara tra en moins d une semaine bien qu il puisse d j s agir l d un petit branlement de nos fantasmes d invuln rabilit II en va autrement des maladies chroniques Si le patient parvient int grer la maladie vivre avec alors il lui trouvera un sens Certaines personnes n arrivent pas accepter qu elles sont malades Leur vie enti re est mise en susp
6. 60 sont des consommateurs sociaux dont le comportement n entra ne en principe pas de dommages ni pour eux m me ni pour la soci t Reste une frange relativement consid rable qui fait un usage abusif de l alcool soit 20 de la population de plus de 15 ans Une tude novatrice Ce sont les d penses engendr es par ces consommateurs abusifs et par les alcoolo d pendants que les auteurs de l tude ont cherch quantifier Pour Claude Jeanrenaud professeur d conomie publique l Institut de recherches conomiques et r gionales IRER mettre un chiffre sur ce genre de d penses donne une information sur la priorit que devrait occu per ce probl me dans la politique sanitaire suisse On se rend par exemple compte que les ressources investies dans la pr vention ne p sent pas lourd face aux co ts engendr s par l abus d alcool Car l tude le montre sans d tours l abus d alcool co te tr s cher la soci t Aux frais d hospitalisation et de r paration des dommages mat riels co ts directs s ajoutent d autres d penses beaucoup plus sournoises co ts indi rects comme les journ es de travail perdues ou le risque additionnel de ch mage Les conomistes ont fait preuve d innovation en incluant dans leur tude une autre cat gorie de frais les co ts humains Ils repr sentent la perte de la qualit de vie des personnes touch es directement ou indirectement par un probl me d alcool explique le prof
7. Peter Balsiger sait voir ce qui va bien Je regarde en arri re d un il tr s heureux exulte t il d une voix teint e d un l ger accent al manique qui rend la tournure encore plus jolie Ces vingt cinq derni res ann es pass es dans le milieu professionnel il les consid re comme le meilleur moment de sa vie Un bonheur qu il dit devoir en grande partie aux professeurs de l Institut de microtechnique IMT Je leur suis tr s reconnaissant notamment envers le professeur Fausto Pellandini C est une personne extraordinaire qui a su accorder sa confiance de jeunes cher cheurs et les aider prendre leur envol Car tr s vite Peter Balsiger manifeste son d sir de cr er Je suis un entrepre neur n se d finit il Apr s avoir mis au point le premier circuit int gr du laboratoire il faisait alors son travail de dipl me il poursuit ses recherches dans le m me sujet Son statut d assistant l am ne voyager et rencontrer Une puce si petite qu on peut l introduire dans des appareils auditifs beaucoup de monde Petit petit il rassemble les ressources n cessaires pour fonder un groupe de recherche rattach au laboratoire de l IMT J ai besoin de valider les id es par une r alisation concr te A mes yeux une id e couch e sur du papier ne suffit pas D abord on prouve que a fonctionne ensuite on publie Une vision pragmatique qui laisse peu de place la recherche fonda mentale La recher
8. clair dans son avenir il clate de rire Si je vous d voilais ma candidature ici Neuch tel je serais assassin par la pres se fran aise Une chose est s re qu elle que puisse tre sa fonction dans l avenir Michel Platini promet de continuer d fendre le jeu Il ne faut pas faire du foot pour le business mais pour le jeu Il faut donc r guler le football et ne pas le laisser se d velopper seulement sous la pression de l argent L argent justement Y en a t il trop dans le football Non r pond il si les clubs qui le d pensent ont les moyens de le d penser Je suis en revanche contre les trop gros salaires pour les clubs qui n en ont pas les moyens Pour lui l essentiel tient dans une reprise en main du football par ses insti tutions Ce n est pas tant les montants en jeu qui l inqui te que la propen sion de certains substituer les principes conomiques aux r gles du jeu Face aux dangers qui guettent le jeu seules les f d rations peuvent faire quelque chose Et mon engagement tient justement dans mon d sir d aider le football rester ce qu il est un jeu d abord et avant tout Dans un ce contexte du sport international en passe de devenir de plus en plus complexe et devant les menaces qui p sent sur le sport lorsque des int r ts financiers aussi importants sont en jeu Michel Platini est persuad que la formation dispens e cette troisi me vol e d tudiants en Management droit et science
9. coles le but final tant la f d ration de toutes les activit s acad miques en microtechnique de Suisse romande Le rectorat est heureux que cette convention portant avant tout sur la recherche ait pu tre sign e Elle remplace une convention datant de 1989 qui instituait une colla boration dans le domaine de l enseignement de la microtechnique et que l EPFL a d dite pour octobre 2004 Le rectorat est en effet convaincu que dans un domaine aussi important pour l Arc jurassien demandant des infrastruc tures aussi on reuses et soumis une volution aussi rapide une troite col laboration est n cessaire Mais le rectorat voit galement dans cette conven tion la confirmation du fait que l IMT est par la qualit de ses chercheurs un partenaire incontournable dans son domaine Il souhaite que la collaboration ainsi entam e contribue au renom de la place scientifique suisse Le rectorat souhaite une cordiale bienvenue au professeur Shea Il esp re qu il trouvera dans nos murs l atmosph re tonifiante n cessaire un jeune chercheur plein d enthousiasme et d id es mais aussi qu il d couvrira les beaut s et les tr sors apparents et cach s de notre r gion Hans Heinrich N geli Co recteur Un jeune professeur tourn vers l avenir Herbert Shea 32 ans est actuellement directeur du groupe de recherche sur la fiabilit des microsyst mes au Bell Laboratories de Lucent Technologies un institut de recherche qui a re u
10. continue en science conomique Le Service de formation continue de l Universit de Neuch tel lance cet automne un nouveau cours destin des personnes d sireuses d acqu rir des connaissances indispensables la compr hension et l analyse des questions conomiques Premi re romande la Formation continue de l Universit de Neuch tel lance un cours qui en cinq modules de 30 heures chacun permettra ses parti cipants personnes int ress es par les ph nom nes conomiques tels que la croissance la conjoncture le ch mage l inflation la globalisation les in galit s de revenu la concurrence les cartels etc ventuellement dans une optique de transition professionnelle de mieux appr hender les ques tions conomiques Cet enseignement de haut niveau sera dispens par des professeurs r put s de l Universit de Neuch tel Le module portant sur la macro conomie vise familiariser les partici pant e s avec les concepts de base de l analyse macro conomique tout en r servant une place privil gi e l tude de divers types de politique cono mique Le deuxi me module se situe sur le plan micro conomique Il s in t resse aux march s individuels et accorde une attention particuli re l analyse de divers types d intervention tatique Le cours consacr l co nomie suisse consiste en un survol la fois institutionnel et analytique des m canismes fondamentaux la r gissant La quatr
11. donn la chance de devenir responsable du pool informatique ainsi que de coacher divers mandats en marketing Qu est ce qui vous a motiv faire partie de cette association pr cis ment plut t que d une autre Je cherchais une association qui me permettrait de mettre enfin en pratique les connaissances trop souvent th oriques enseign es dans certaines facul t s de l Universit Ayant suivi mon cursus en sciences conomiques avec sp cialisation en management et marketing j avais un r el besoin de me plonger dans la vie r elle tout en poursuivant mes tudes Jeune consul ting tait l association r v e un soutien professoral la possibilit de par ticiper des mandats de travailler en quipe etc Ce pied dans le concret au cours de vos tudes vous a t il aid au moment o dipl me en poche il a t question de trouver un premier emploi C est certain La plupart des d partements des ressources humaines en tout cas dans les grandes soci t s attachent l heure actuelle beaucoup plus d importance aux exp riences professionnelles ou associatives stages b n volat etc ou encore aux s jours effectu s l tranger qu aux notes obtenues lors des examens Les entreprises veulent en effet des collabora teurs trices qui soient autonomes et efficients rapidement qui ont d j une fois ou l autre t confront s la vie professionnelle La Junior Entreprise constitue une action pratique com
12. entreprise de l Universit une plate forme vers le monde professionnel JEUNE Consulting la Junior entreprise de l Universit de Neuch tel vise depuis 12 ans la cr ation d un pont entre la th orie et la pra tique Forte de quelque 40 membres tudiants elle offre ses ser vices marketing comptabilit cr ation de sites Web conseil juri dique et publicitaire aux entreprises r gionales Rencontre avec une quipe motiv e y Quel est le moteur qui pousse des tudiant e s de l Universit s essayer la pratique tout en suivant leur cursus universitaire Le pr sident de la Junior entreprise Julien Rou che et ses deux acolytes Gabriel Kr henb hl et Marco Personeni ne tarissent pas de bonnes raisons se faire des amis l Universit cr er un r seau de connaissances constitu d entrepre neurs r gionaux mise en pratique de la th orie dispens e dans les cours exp rience professionnelle faire appara tre dans le CV ou encore en forme de clin d il gagner de l argent Car les couter on imagine bien que l exp rience acquise est le salaire le plus important de cette quipe Au comit sept personnes aid s de membres actifs s affairent dans des domaines tr s vari s la communication interne et externe prospection de clients potentiels lien avec les tudiants et m dias l administration l or ganisation du tournoi de tennis des doubles mixtes m lant entrepreneurs et tudia
13. essais comme Pasiones pasadas 1991 Vidas escritas 1992 ou Literatura y fantasma 1993 Vida del fan tasma 1995 En 1999 il publie Ser amado cuando falte un recueil d articles portant sur des th mes d actualit Parmi ses traductions il faut relever Tristam Shandy de Lawrence Sterne qui fut r compens par le Prix National de Traduction en 1979 Ses uvres sont traduites ou sont en voie de traduction en allemand fran ais anglais russe italien portugais cor en bulgare danois croate finlan dais grec hollandais hongrois h breux japonais polonais roumain norv gien tch que turc Contact Institut d espagnol t l 032 718 1866 e mail ana casas unine ch 21 L humour au c ur d un colloque scientifique Fi de la morosit de novembre L Institut d ethnologie se prendra sourire dans un cadre pourtant r put s rieux en effet le colloque Humour et joutes oratoires explorera les interactions dynamiques que constituent les jeux de mots les insultes ritualis es les plaisan teries les devinettes les piques politiques et autres traits d esprit Pour compl ter le tableau scientifique deux manifestations seront ouvertes au grand public histoire de penser et de rire de concert Gr ce l Institut d ethnologie et au Mus e d ethnographie de Neuch tel ce mois de novembre ne sera pas morose En effet du 27 au 29 novembre un colloque international et trois manifest
14. j tais s duit par le caract re convivial de cette Universit dont la taille me semble pr senter l heure d une restructuration du paysage universitaire non seulement des incon v nients mais aussi toute une s rie d avantages en mati re de contacts interdis ciplinaires de possibilit s d innover ou de l g ret administrative A ce propos envisagez vous de poursuivre depuis l int rieur du monde scientifique ce contact avec la cit et si oui de quelle mani re J ai une exp rience publique li e d une part mon activit genevoise la Fondation Braillard et ensuite Science et Cit et d autre part la r a lisation d une exposition pour Expo 02 Je pense que ces activit s citoyennes sont importantes dans un contexte o la science impose une r invention ou du moins une extension de la d mocratie Concr tement je compte apporter cette exp rience dans le cadre de mon enseignement comment par exemple exposer une recherche et poursuivre dans la mesure de mes moyens ces activit s travers des collaborations avec des mus es de Suisse romande en particulier travers le r seau romand Science et Cit et bien s r avec la Fondation Science et Cit Berne orga nisation de caf s scientifiques expositions conf rences publiques etc Sans recul que pensez vous de votre nouvel environnement urbain Neuch tel et acad mique la Facult l Institut Je ne reviens pas sur les vertus d
15. p tillent comme des bulles de Champagne der ri re ses lunettes de couleur vive Camilla Murgia licenci e en histoire de l art de l Universit de Neuch tel a en effet de quoi tre heureuse elle poursuit depuis cet automne son parcours scienti fique dans la prestigieuse institution britannique d Oxford Merton College gr ce la bourse rare une par an pour toute la Suisse qu elle a obtenue N e en Italie voici 26 ans Camilla Murgia et sa famille d m nagent rapi dement au Tessin o elle obtient sa maturit litt raire L Universit de Neuch tel s est impos e de fait puisque c est la seule institution suisse proposant parall lement l arch ologie classique et pr historique et l his toire de l art en Facult des lettres un ensemble qu elle trouve orient avec coh rence vers le classicisme qu elle ch rit Etudes proactives l IHAM Rapidement Camilla Murgia voit ses choix se pr ciser se ciseler au fur et mesure des projets pratiques auquel le professeur Pascal Griener direc teur de l Institut d histoire de l art et de mus ologie a t t fait de l impli quer l image du catalogage des collections du Mus e des Beaux Arts de La Chaux de Fonds et de la r daction de plusieurs notices d uvres L Institut fonctionne en effet sur le mode proactif les tudiants motiv s ont le loisir de se joindre des projets r els Fait remarquable vraisembla blement li cette mani re de travailler sur les que
16. recherche mobilisant l coute l observation la repr sentation et le cheminement dans le territoire Enfin je donnerai un cours s minaire portant sur les rapports entre la ville et le temps et enca drerai le travail de terrain des tudiants de g ographie humaine Mes projets de recherche vont s efforcer de prendre pour terrain d une part le proche la r gion neuch teloise et en particulier les rapports entre logiques locales et globales telles qu elles s expriment dans la vie quoti dienne de ses habitants Je commence d autre part m int resser aux dynamiques de transformation de villes du Sud dans lesquelles comme au Maroc par exemple des lites culturelles et conomiques du Nord jouent un r le aujourd hui croissant Dans les deux cas je m int resse ce qu on pourrait appeler une anthropologie de la globalisation Avez vous d j song des synergies possibles avec d autres instituts neu ch telois ou d autres universit s suisses voire trang res Les fronti res entre l ethnologie la sociologie la linguistique mais aussi l co nomie les sciences politiques et la g ographie humaine deviennent de plus en plus poreuses Par ailleurs j ai personnellement toujours d velopp par go t et parce que cela s imposait des recherches caract re interdisciplinaire J esp re donc parvenir d velopper chemin faisant des collaborations en mati re d en seignement de recherche mais aussi d expositions av
17. s Cependant je pense que ce travail d information doit s accompagner d une r flexion sur le contenu de nos enseignements l universit comme au lyc e S agissant des math matiques leur caract re exp rimental et ludique est souvent oubli On enseigne encore un peu trop les math matiques d une fa on dogmatique en oubliant que ces th ories sans failles sont le fruit d exp riences de constructions avort es et d erreurs grossi res L ouverture des math matiques vers d autres disciplines la physique bien s r mais aussi la biologie ou l conomie est aussi mon sens une exigence n cessaire dans le contexte actuel qui loin d appauvrir les math matiques viennent les enrichir et leur redonner une place essentielle au sein des autres sciences Sans recul que pensez vous de votre nouvel environnement urbain Neuch tel et acad mique la Facult l Institut Je n ai pour l instant pass que tr s peu de temps Neuch tel et l Institut mais ma premi re impression est plus qu excellente Les quelques heures pass es avec mes futurs coll gues et mes premi res promenades en ville m ont enthousiasm Propos recueillis par Virginie Borel Belize n avait jusqu ce jour fait l objet d aucun inventaire entomologique Mathieu Rapp a d sor mais combl cette lacune Rattach au groupe de recherche Plant Survival dirig par la professeure Martine Rahier le jeune biologiste a r colt et analy s pas moins
18. six prix Nobel Le jeune homme a galement obtenu un prix IBM de la recherche en 2000 et a t laur at du Gold Award de Bell Labs en 2002 Son entr e en fonc tion est fix e au 1er avril 2004 Il entend mettre en place un p le d excellence en microsyst mes ultra fiables dont les retomb es b n ficieront galement au domaine des applica tions terrestres 25 26 Mol cules de r sistance contre les maladies de la vigne Des scientifiques du P le de recherche national Survie des plantes en milieux naturels et agricoles ont isol plusieurs mol cules secr t es par la vigne pour lutter contre des maladies fongiques fort r pan dues la pourriture grise et le mildiou Les tannins contenus dans les p pins de raisin assurent la conservation du vin Ils sont galement connus pour avoir des effets positifs sur l organisme humain en contribuant la protection des parois art rielles gr ce leurs ver tus anti oxydantes Or voici que l on se penche sur une autre propri t de cette famille de mol cules chez la vigne la ligne de d fense qu elle constitue contre Botrytis cinerea des champignons vecteurs de la pourriture grise Des travaux men s l Universit de Neuch tel et la Station f d rale de recherches en production v g tale de Changins ont permis de comparer la production de tanins chez des vari t s sensibles Gamay et r sistantes Gamaret la pourriture grise Et ce diff rents st
19. tous les deux ans cg Premier emploi les al maniques favoris s Laurence Boegli et Sabina Schmidlin se sont pr t es main forte pour tudier la situation de l emploi des jeunes dipl m s ou licen ci s universitaires Ces deux collaboratrices de l OFS r pondent quelques questions Votre tude met en vidence d importantes diff rences suivant la r gion d o l on vient Sabina Schmidlin Notre tude prend en compte les donn es manant de la Suisse enti re La situation n est cependant pas la m me partout Nous avons par exemple constat que le passage vers le monde du tra vail se r v le beaucoup plus ardu en Suisse romande et en Suisse ita lienne qu en Suisse al manique Il y a diff rentes raisons cela Le mar ch du travail en Suisse romande r agit par exemple davantage aux variations conjoncturelles Mais nous avons aussi remarqu que les tu diants suisses al maniques exer aient plus souvent une activit profes sionnelle pendant leurs tudes que leurs confr res romandbs Or ce pre mier contact avec le monde du travail est tr s important Il est d mon tr que les nouveaux dipl m s sans aucune exp rience professionnelle sont davantage touch s par des conditions conomiques d favorables que les universitaires d j ancr s dans le march du travail Laurence Boegli gauche et Sabina Schmidlin ont tudi la situation de l emploi des jeunes dipl m s ou licenci s universitaire
20. tudiant e pour son m moire de licence ayant permis au la nouveau elle dipl m e de s impliquer dans la vie active conomique d une part et ayant t men pour le compte d une entreprise de la r gion neuch teloise d autre part 15 16 La Junior entreprise ouvre les portes du monde professionnel Christophe Mirabile pr sident de la Soci t des anciens de la Junior entreprise SAJE est aussi eLearning Manager chez Swisscom Mobile AG Berne Christophe Mirabile vous avez fait partie de la Junior entreprise de l Universit de Neuch tel Quel a t votre r le au sein de JEUNE Consulting Quand tait ce J ai rejoint la Junior entreprise apr s ma demi licence en 1998 J y ai r alis la premi re ann e cinq mandats quatre dans le domaine de l informatique et un en marketing En informatique j ai mis en place quatre sites Internet pour des entreprises de la r gion et form une partie de leurs collaborateurs pour qu ils puissent effectuer les mises jour de leur site de fa on autonome Deux exemples Clinical Plastic Products SA la Chaux de Fonds www cpps wiss ch et la menuiserie Vauthier Boudry www vauthier ch En marketing j ai co r alis une tude exploratoire mandat e par le rectorat de l Universit de Neuch tel qui souhaitait l poque conna tre les besoins en cr che au sein des tudiant e s et des collaborateurs trices de l Universit Ma seconde ann e dans l association m a
21. ussi la majorit de ses examens de premi re ann e Des entra nements tous les soirs Son emploi du temps n a rien d une sin cure Une semaine classique com porte un entra nement le lundi le jeudi et le vendredi deux le mardi un deux le mercredi et un match le samedi Le dimanche est jour de repos A cela s ajoutent bien s r les heures de cours Sur les bancs d uni le d fen seur xamaxien a rencontr beaucoup de fraternit Les autres tudiants sont tr s sympas ils me passent leurs notes de cours quand je ne peux pas venir Les profs aussi sont tr s disponibles toujours pr ts revenir sur une zone d ombre En venant s tablir Neuch tel Eddy Barea pensait pouvoir passer inaper u C est rat Quelques confr res fan de foot et deux ou trois articles de presse affichant sa bobine dans le journal ont suffi le sortir de l anonymat Certains professeurs de droit se r v lent d ailleurs d ardents supporters Alors Je qu il jouait encore au FC Servette Barea en avait d j rencontr un m tais bless et je devais suivre des cours de r ducation dans un cabinet de physioth rapie Un professeur de droit se faisait soigner dans le m me ta blissement Au fil des rencontres nous sommes li s d amiti et j ai encore aujourd hui des contacts avec lui C est quelqu un qui m a beaucoup motiv quand je lui ai dit vouloir entreprendre des tudes de droit Colette Gremaud Service de presse et comm
22. 003 From olefin to alkane chemistry via single site heterogeneous catalysts Colloque Dr Christophe Coperet L criture dans les papyrus magiques Cours publique Sarah Gaffino Se soigner se comprendre Le rapport soi et la question du sens face la maladie Colloque Prof Charles Henri Rapin DATE LIEU Du lundi 10 au mercredi 12 novembre de 10h15 17h00 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz Aula Mercredi 12 novembre 10h30 Institut de Chimie Av de Bellevaux 51 Petit Auditoire Mercredi 12 novembre de 17h15 18h15 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle R N 02 Jeudi 13 novembre de 18h15 20h00 Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 aula principal RENSEIGNEMENTS Institut de langues et litt ratures vivantes Espace Louis Agassiz 1 t l 032 718 19 42 Madame Casas Janices Institut de chimie Av Bellevaux 51 t l 032 718 24 00 Prof Ward UER des sciences de l Antiquit T l 032 718 17 85 Institut romand d herm neutique et syst matique Fbg de l H pital 41 t l 032 718 19 17 Semaine du 17 au 23 novembre 2003 MANIFESTATION Les micror acteurs pour la catalyse fondements et applications Colloque Dr Claude De Bellefon DATE LIEU Mercredi 19 novembre 10h30 Institut de Chimie Av de Bellevaux 51 Petit Auditoire RENSEIGNEMENTS Institut de chimie Av Belleva
23. N 22 Octobre 2003 De la recherche aux applications N L umi Un Cit t LT 4 gl w COR a Edito Etre et rester un esprit vivant Dans le cadre de son intervention en 1977 au congr s de Locarno le socio logue Edgar Morin rappelait les missions fondamentales de l Universit en ces termes Inoculer dans la soci t une culture qui n est pas faite pour les formes pro visoires ou ph m res du hic et nunc mais qui est pourtant faite pour aider les citoyens vivre leurs destins hic et nunc D fendre illustrer et promouvoir dans le monde social_et politique des valeurs intrins ques de la culture universitaire l autonomie de la conscien ce la probl matisation avec cette cons quence que la recherche doit demeurer ouverte et plurielle le primat de la v rit sur l utilit l thique de la connaissance Rester un esprit vivant Pour entretenir cette conscience vivante et vitale pour la conservation et la construction du savoir l Universit doit sans cesse se questionner et donc se r former Critiques ext rieures et contestations int rieures nourrissent une interrogation saine qui contribue aux r formes fond es des universit s Ainsi faut il se m fier d une aptitude au conservatisme st rile et fig tout en probl matisant syst matiquement les id es nouvelles et les exigences ext rieures Dans cette qu te incessante d un savoir en progr s il est indis
24. Vancouver Apr s mon doctorat soutenu en 1991 j ai men parall lement une activit de chercheur avec diff rents projets financ s notamment par le FNS d en seignant et de directeur de la Fondation Braillard Architectes Gen ve de 1994 2002 Pendant cette p riode j ai enseign l Universit de Lausanne l Universit de B le ainsi qu l EPFL et publi divers articles et ouvrages en Suisse et l tranger Int ress depuis longtemps l anthro pologie des sciences et la question de la d mocratie scientifique j ai choi si de travailler ensuite la Fondation Science et Cit afin de transformer cet int r t en action publique Entre ces deux postes j ai t visiting profes sor UCLA o j ai donn deux cours th matiques s inscrivant dans le domaine de la g ographie culturelle Quels sont vos projets d enseignement et de recherche au sein de la Facult des lettres et sciences humaines de l Universit de Neuch tel Il s agit bien de projets puisque j y travaille actuellement Je vais donner un cours d introduction la g ographie culturelle qui constitue le domaine qui ces vingt derni res ann es a connu dans ma discipline le d veloppe ment le plus important en termes de terrains d investigation de volumes de publication et de cr ation de nouvelles revues J enseignerai galement un cours de m thodes qualitatives visant initier les tudiants diff rentes mani res de faire de la
25. a confec tion des produits de l entreprise ont pu tre trouv s proximit de Neuch tel traitement de la c ramique assemblage hybride lectronique Des soci t s n es pour la plupart aux c t s de l industrie horlog re et donc exp riment es dans la fabrication et l assemblage de micro pi ces C est tellement plus simple de faire dix ou vingt minutes en voiture pour pouvoir discuter d un d tail souligne le directeur d entreprise Seyonic profite bien s r galement des contacts avec l IMT Seyonic emploie ce jour huit ing nieurs Ses clients sont principalement des fabricants d automates de laboratoires Son domaine d activit li l industrie pharmaceutique ou aux sciences de la vie est en pleine expan sion L entreprise a t elle choisi le bon moment pour se lancer dans la cour se Il n y a pas de bon ou mauvais moment r pond Marc Boillat Ce qui compte c est l enthousiasme des partenaires cg Seyonic est la pointe en mati re de dosage ultra pr cis Plut t start up ou spin off Si l anglicisme start up sert tr s souvent d signer une soci t anony me sa d finition n en demeure pas moins assez floue Elle englobe peu ou prou toute forme d entreprise Le terme tir du langage conomique ne fait l objet d aucune d finition juridique Ce qui n emp che pas le domaine des nouvelles technologies d en faire abondamment usage Un spin off se d finit heureusement de fa on plu
26. ades de maturation du raisin pleine fleur petit pois fermeture de la grappe v raison et ven danges La partie la plus d licate a consist fractionner ces cha nes de mol cules pour en d duire leur degr de polym risation exprimant la lon gueur et la complexit de la cha ne l aide d une m thode sp ciale de spectroscopie de masse d velopp e l Universit de Neuch tel Les tannins du Gamaret depuis la stade du petit pois jusqu aux vendanges pr sentent un degr de polym risation plus lev d un tiers que ceux du Gamay Cela signifie qu ils sont plus efficaces dans leur activit protectrice qui consiste inhiber l action d une enzyme produite par le champignon pathog ne C est cette enzyme qui participe au d veloppement de la maladie en oxydant les compos s ph noliques des tissus qu elle attaque comme le rappellent Roger Pezet chercheur en pathologie v g tale la Station f d ra le de Changins et Raffaele Tabacchi professeur de chimie l Universit de Neuch tel Directeurs de projet au sein du PRN Survie des plantes et princi paux auteurs de l tude ils en concluent que la r sistance B cinerea d pend non pas du nombre de champignons en latence dans le fruit mais surtout de la qualit des tannins pr sents dans les raisins ainsi que de leur effet inhibi teur sur les enzymes du parasite Dans une autre tude ces m mes auteurs et leurs collaborateurs se sont pench s sur un second
27. ass s Neuch tel qui devient un centre d examen officiel Le d fi que l Universit de Neuch tel et le Lyc e Jean Piaget rel vent aujourd hui est celui de s int grer dans ce syst me plan taire d enseignement et de certifications mis en place par le Goethe Institut rel ve Andr Feller directeur de ce nouveau centre d examen agr par Munich Philippe Gnaegi Andr Feller et Anton N f un trio motiv accueillir le centre d examen Goethe Institut A l heure de la globalisation il est important que les comp tences linguistiques puissent tre valu es de mani re quivalente et universelle Sur le march du travail il s agit de mettre en avant des qualit s linguistiques souligne le direc teur de l Ecole sup rieure de commerce Philippe Gnaegi Une certification internationale du type de celle du Goethe est un gage de qualit poursuit il Encourager la mobilit vers les pays germanophones Anton N f professeur l Institut d allemand de l Universit et suppl ant du directeur du centre se r jouit de cette nouvelle licence Si un tudiant ma trise les bases d une langue il peut ensuite y greffer des connaissances cul turelles ou litt raires Et de poursuivre Cette certification neutre et ext rieure aux institutions qui dispensent un enseignement linguistique est un encouragement d velopper l apprentissage de l allemand pratique Les tudiants de l Universit toutes facult s confondu
28. ations publiques auront pour th me l Humour et les joutes oratoires La rencontre scientifique r unira 16 chercheurs 10 docteurs et 6 doctorants recrut s suite un appel com munications Parmi eux un Am ricain un Malgache une Belge neuf Fran ais et quatre Suisses Nous allons traiter de 16 situations tr s diff rentes ayant comme trait commun l humour et le plaisir du verbe note Thierry Wendling sp cialiste des pratiques ludiques et organisateur du colloque qui se d roulera l Institut d ethnologie Ces communi cations donneront au public l occasion de faire un v ritable tour du monde l Ile Maurice la Martinique la Colombie l Amazonie Madagascar la Scandinavie l Inde du Sud les Etats Unis le Canada et l Europe seront au c ur des inter ventions pr vues C est un th me tr s riche qui m rite d tre davantage trait en ethnologie pr cise Thierry Wendling qui ajoute qu un linguiste et un historien des religions parti ciperont aussi au colloque Masque d une soci t d initiation Ibo Nigeria repr santant l homme blanc b k Photo A Germond 22 Rapprochement science et cit En collaboration avec le Mus e d ethnologie il a aussi t d cid de d ve lopper le lien entre la Science et la Cit en organisant deux manifestations exceptionnelles Le cin aste franco br silien C sar Paes pr sentera son film Saudade do Futuro 2000 consacr aux joutes po tiques br s
29. ch tel Photos couverture Seyonic SA Impression Imprimerie Actual SA Bienne ISSN 1424 5663 La recherche c est bien la valorisation des r sultats c est mieux encore La valorisation des r sultats de recherche obtenus l Universit ainsi que le transfert de technologies vers l industrie sont en plei ne r organisation La situation qui a pr valu par le pass tait bas e sur les contacts personnels entre les professeurs et quelques personnes cl s appuy s par un soutien juridique de l Universit donc essentiellement sur des initiatives individuelles des chercheurs coupl es des actions de sensibilisation la valo risation effectu es par divers acteurs li s la promotion cono mique cantonale Le remaniement des services de promotion co nomique ainsi que la nouvelle mission attribu e l Universit dans le domaine du transfert de technologies de m me que la volont de permettre un plus grand nombre de b n ficier des exp riences accumul es rendent n cessaire une action concr te et plus concert e de l Universit Dans le contexte actuel o la finalit des travaux de recherche est souvent mise en question l Universit se doit sans toutefois n gliger sa mission de recherche de base d galement contribuer d velopper une politique de valorisation qui facilite le transfert vers l conomie des r sultats de sa recherche appliqu e Une telle approche est ainsi compl mentaire
30. change l Universit retire les reve nus g n r s par le 10 des actions qu elle poss de dans l entreprise En pratique les proc d s de culture des champignons sont labor s au Laboratoire de microbiologie Mycotec se charge pour sa part de la pro duction industrielle Un pari pas si facile relever Farouches et insoumis les champignons ne poussent pas la baguette Il s agit pour l quipe de s lectionner les bonnes souches celles qui se laisseront apprivoiser et de comprendre les facteurs li s la nutrition du champignon Ensuite le substrat qui convient le mieux la fructification de l esp ce en question doit tre mis au point le fruit tant la partie comestible donc int ressante du cham pignon La composition du substrat fait partie des secrets de fabrication les mieux gard s de la start up Ils s utilisent en cosm tique Pour le moment la client le de la jeune entreprise se compose essentiel lement de grossistes et de restaurateurs Un restaurant genevois vient r guli rement s approvisionner raison de quelque 70 80 kilos par semaine Notre production est encore trop modeste pour aborder les grandes cha nes de distribution temp re Daniel Job Le scientifique s at tend d ailleurs rencontrer quelques difficult s pour imposer ce nouveau produit au grand public Il faudra changer les mentalit s ce n est jamais tr s facile Le champ d application des champignons est norme cosm tol
31. che fondamentale et la recherche orient e forme une symbiose l une ne va pas sans l autre La recherche fondamentale sert l hu manit elle contribue la sagesse universelle Mais l universit n a pas uni quement re u le mandat de faire de la recherche fondamentale Ce serait en faire un temple Non son r le est de trouver des connaissances et d en faire profiter le savoir faire g n ral lorsque c est possible Une puce petite mais costaude Ce credo Peter Balsiger l applique de fa on magistrale Le petit groupe qu il avait cr l IMT s est d velopp au del de toute promesse C tait un tel succ s que j ai pris la d cision de fonder une start up Dspfactory pour digital signal processing ou traitement de signal num rique voit le jour l galement le 16 novembre 2000 Aujourd hui elle emploie vingt sept per sonnes sur son site de Marin et une septantaine dans le monde Son chiffre d affaire d passe sans vergogne les vingt millions et la croissance attendue pour cette ann e devrait friser les 40 Le produit miracle responsable de cette mine resplendissante Une puce ultra miniaturis e extr mement fru gale en nergie Sa taille minuscule permet de l introduire dans de nom breux appareils comme des montres ou des appareils auditifs Autant dire que le champ d application est sans fin Une chose qui r jouit particuli rement Peter Balsiger c est l attitude ouver te et stimulante qu il a rencontr e
32. conscience pour pr server et conserver la maison du savoir Denis Mi ville Recteur sortant de charge Publicit ETS cris durs TED pansi LES FU patge ceranae lz Suisse notre S ge se teue LAUsante Hote Geerte en SHERRE remote 5 1952 et Phlip komne Intemetonsi pius da FI smokes durs tas ehes de Ladsinis More Alaa EIn Lie ampri aues gravde ot ceornants que Eee ON d agir de TON RSA EELE l gerd de s31 personnel si d s SGmmunaut s dans esgus kes cit roches Prihg Moris iit rnationgl prend Ees responsabilit s au saias Pour 69 savor Ds Sur note CSA LE Et ODA LS LA SL D NON isie not aie nee OPA A CR gt PHILIP MORRIS i IHTERNATIONA L Editorial Sous la loupe La recherche c est bien la valorisation des r sultats c est mieux encore Campus Rectorat int rimaire et nouveaux d canats Etudiantissimo La Junior entreprise de l Universit une plate forme vers le monde professionnel Forum de facult s Beau succ s pour la rel ve neuch teloise le parcours dor de Camilla Murgia Agenda Impressum UniCit Magazine de l Universit de Neuch tel n 22 octobre 2003 5100 exemplaires R daction Universit de Neuch tel Service de presse et communication Avenue du 1 Mars 26 CH 2000 Neuch tel Responsable de r daction Service de presse et communication Virginie Borel et Colette Gremaud Conception graphique Fred Wuthrich Yves Maumary Universit de Neu
33. d di s la rel ve les participants ces deux journ es prendront la direction du MIH pour une visite sur le terrain En effet la partie purement acad mique est ajout un th me li la recherche dans les mus es Nous souhaitons encourager les personnes travaillant dans les mus es participer notre colloque dont le sous titre n est autre que Th orie et pratique de l his toire de l art souligne Thomas Schmutz Nous souhaitons encourager les changes et montrer que l Universit n est pas une tour d ivoire poursuit il En effet si l histoire de l art attire un grand nombre d int ress s dans les universit s de Suisse cette branche entend galement se pr occuper des d bouch s et l un des principaux n est autre que le mus e ou la galerie d art vb Colloquium03 Th orie et pratique de l histoire de l art Vendredi et samedi 7 et 8 novembre 2003 Renseignements http www ikg unibe ch coll03 Canicule 2003 un v nement pas si surprenant Impossible de ne pas tomber sur le nom de Martine Rebetez si l on s int resse aux changements climatiques en Suisse Le livre qu elle vient de publier La Suisse se r chauffe est l un des ouvrages les plus vendus de la collection Le Savoir suisse Charg e de cours par l Institut de g ographie cette climatologue renomm e enseignera cet hiver Neuch tel le temps d un semestre Collaboratrice de l Institut f d ral de recherches sur la for
34. dans les locaux de l IMT Dans ses sou venirs personne n est jamais venu lui mettre des b tons dans les roues Il r gne un esprit neuch telois propice l initiative commente ce fonceur qui regrette toutefois qu on ne mette pas cette qualit encore plus en avant D apr s lui c est le manque de confiance en soi qui retient beau coup de jeunes se lancer dans la cr ation de leur propre entreprise Toute l nergie se d veloppe dans l esprit de l tre humain L homme doit avoir confiance dans son id e mais il doit aussi sentir que l environnement ne lui est pas hostile que personne ne lui barre le chemin Aux jeunes qui sor tent maintenant des gymnases ou des coles d ing nieurs Peter Balsiger tient plus ou moins ce discours Inscrivez vous Neuch tel le climat y est exceptionnel pour d velopper de nouvelles id es et devenir plus mature Allez y il y a du bonheur l dedans Colette Gremaud Service de presse et communication Des champignons hauts de gamme La start up Mycotec a choisi la difficult Les champignons qu elle produit sont difficiles faire pousser et donc rares sur le march Ces conditions ont cr une niche conomique que la jeune entre prise a tr s bien su exploiter La start up Mycotec produit des champignons Mais pas n importe les quels Nous nous concentrons sur des esp ces qu on ne trouve normale ment pas dans les magasins pr cise Daniel Job A la t te du groupe de mycolo
35. de 10 000 mouches Il a pour cela dis pos diff rents types de pi ges dans la jungle Son terrain de recherche se situait au c ur de la r serve naturelle de Shipstern tout au nord du Belize cg Plantes pollen et allergies le nouveau Cahier du Jardin botanique sort de presse Vous tes amateur de plantes ou allergique au pollen Le nouvel opus du Jardin botanique de la ville et de l Universit Plantes pol len et allergie vous est destin Fran ois Felber directeur du Jardin botanique de la ville et de l Universit s est lanc dans une folle aventure en proposant d diter un ouvrage sur la compr hension des allergies par les plantes En effet cette mati re requiert des connaissances en botanique en a robiologie et en m decine rarement r unies dans un seul livre R dig et dit par des sp cialistes des disciplines pr sen t es ce livre en quadrichromie de plus de 200 pages s articule autour de ces trois disciplines apr s une pr sentation des grands groupes v g taux de leur reproduction et de la dispersion du pollen le lecteur s initie aux m canismes des allergies polliniques alimentaires et de contact ainsi qu leur traitement L influence du mode de vie n est pas oubli Enfin l atlas publi dans la collec tion des Cahiers du Jardin pr sente 30 groupes de plantes r pandues ainsi que leur importance pour les allergies polliniques et alimentaires R dig de fa on accessible et richem
36. de pouvoir cr er une entreprise et en mesure donc bien l importance mon premier souci aujourd hui est de pouvoir donner cette chance d autres La mission de l Universit de Neuch tel dans le domaine du transfert de tech nologies a chang Une r gion de la taille de l Arc jurassien pourra t elle demeurer dans le peloton de t te des nations du savoir et du d veloppe ment conomique comme l a relev le Conseiller f d ral Joseph Deiss lors de la pause de la premi re pierre de Neode Je souscris la vision du Secr taire d Etat Charles Kleiber Je crois que la taille de l Universit de Neuch tel ne sera d fendable que si elle se sp ciali se Mais il faut le faire avec toute l nergie n cessaire Le but est de cr er un technop le des microtechniques en Suisse Quant aux tudiants le rayon nement d une telle perspective va les attirer I ne faut pas se tromper sur le discours je dis non l am ricanisation du syst me Tout n est pas purement mercantile et financier En dehors de la pro fitabilit on ne mange que dans une assiette la fois et il n y a que 24 heures dans une journ e Je suis donc le d fenseur d une attitude altruiste Je ne peux pas imaginer que mes coll gues qui construisent des entreprises aient un langage tr s diff rent Il s agit toutefois de fixer des r gles strictes pour transf rer les innovations acad miques L arc jurassien a le potentiel mais devra cravacher ferme pour le gar
37. de recherche au sein de la Facult des sciences de l Universit de Neuch tel Mon activit de recherche se situe l interface de plusieurs domaines des math matiques probabilit s th orie des syst mes dynamiques et se nour rit de probl mes rencontr s dans d autres disciplines mod lisation cono mique th orie des jeux biologie Aussi j envisage naturellement mon tra vail Neuch tel comme un travail en interaction Interaction bien s r avec mes coll gues de l Institut de math matiques mais aussi avec je l es p re des chercheurs d autres instituts neuch telois Mes ann es pass es dans l Universit fran aise et de fr quents s jours aux Etats Unis Berkeley notamment m ont permis de tisser des relations pri vil gi es avec plusieurs institutions fran aises et nord am ricaines J ai aussi quelques contacts avec des chercheurs tablis en Suisse l EPFL en particulier que ma pr sence ici va tr s certainement renforcer Vous succ dez au professeur Robert qui prend sa retraite Connaissez vous votre pr d cesseur Si oui entendez vous travailler dans une orientation scientifique similaire la sienne ou quelles sont vos perspectives Je ne connais pas particuli rement Alain Robert qui est analyste alors que Son travail au Belize lui vaut le prix Jeunes Chercheurs Mathieu Rapp tait parti faire son travail de dipl me en entomologie au Belize Il en ram ne trois esp ces de mouches
38. der en effet pendant un temps on a t un peu adul par l industrie du luxe et on est d sormais un peu blas Le fond est bon mais il faudrait un peu plus de r alisme La premi re pierre de Neode a t pos e en ao t par le Conseiller f d ral Joseph Deiss J ai constat les lacunes sur le r alisme de la gestion d une entreprise A votre avis quelles ont t les diff rences auxquelles les start ups qui ont vu le jour depuis la fin des ann es 80 dans le canton ont t confront es Neode sera t il une r ponse ces difficult s Par le pass cr er une entreprise demandait des comp tences tr s vastes et il fallait y croire dur comme fer les structures de financement le coaching pour la gestion des gens et des finances n existaient pas ce qui rendait l aboutissement de projets plus al atoire Parmi les nouveaux arriv s j ai constat les lacunes de certains sur le r alis me de la gestion la notion du temps c est dire de valoriser concr tement le fruit de la d marche scientifique n est pas claire dans la plupart des nou velles start ups Il se pose toutefois la question de savoir si le coaching sera utile dans tous les cas ou si certains resteront des assist s jamais Je n ai pas de r ponse Le parc tel que nous le concevons nous permettra de pallier cette connaissance universelle dont doit faire preuve l entrepreneur Quid des sciences humaines et sociales Le transfert de technologie
39. donneront le ton cette f te officielle de l Alma mater Une tribune libre sera offerte au directeur du Mus e d ethnographie Jacques La f te aux dipl m s Quant la f te aux nouveaux dipl m s elle se d roulera le 21 novembre 17 heures simultan ment en trois lieux de la ville Les facult s de droit et des sciences conomiques s accapareront le Temple du Bas celles des lettres et sciences humaines et de th ologie l Aula des Jeunes Rives alors que les sciences se d placeront la Cit universitaire pour c l brer sur des Hainard qui donnera une conf rence au titre pour le moins suggestif Que dire aujourd hui C est ce que vous tout le monde est le bienvenu sau rez samedi 1er novembre partir de 9h45 l Aula des Jeunes Rives de l Universit airs personnalis s et dans des ambiances renouvel es tous les nouveaux dipl m e s licenci e s docteur e s et autres certifi s Au total quelque 500 s sames seront d livr s lors d une journ e festive laquelle amis et familles sont les bienvenus vb Photo cg Un dipl me universitaire et pourtant pas d emploi Comment les jeunes dipl m s universitaires vivent ils leur passage la vie active Qui trouve du travail Qui n en trouve pas Une tude de l Office f d ral de la statistique d crit et analyse la situa tion de l emploi pour cette tranche de la population Pour s assurer un emploi sa sortie de l Universit le mieux
40. e la petitesse relative de l Universit de Neuch tel ni sur les qualit s de l quipe en place l Institut de g ographie Tr s franchement il s agit aussi pour moi de d couvrir un environnement que je d sire mieux conna tre et dans lequel je souhaite m inscrire part enti re car je ne pense pas que l on puisse faire un bon travail quel qu il soit en tant hors sol c est dire extrait du contexte dans lequel on l effectue Propos recueillis par Virginie Borel Service de presse et communication 23 24 E es sciences Facult Le caract re ludique des math matiques est souvent oubli La Facult des sciences accueille cet automne un nouveau professeur en math matiques Michel Bena m qui per oit son domaine d enseignement et de recherche comme un travail en inter action Pouvez vous nous donner les grandes lignes de votre parcours scientifique et pro fessionnel J ai soutenu ma th se de math matiques appliqu es l cole Nationale Sup rieure de l A ronautique et de l Espace de Toulouse en 1992 J ai ensui te pass deux ans dans le d partement de math matiques de l Universit de Californie Berkeley De 1994 1998 j ai t ma tre de conf rences l Universit Paul Sabatier de Toulouse depuis 1998 je suis professeur l Universit de Cergy Pontoise et depuis 2000 professeur charg de cours l cole Polytechnique France Quels sont vos projets d enseignement et
41. ec mes coll gues dans ces diff rentes disciplines Je dirai toutefois que l ethnologie et la sociologie consti tuent les deux disciplines les plus proches de la g ographie culturelle que j ai pratiqu jusqu ici Vous succ dez au professeur Chiffelle qui a pris sa retraite Connaissez vous votre pr d cesseur Si oui entendez vous travailler dans une orientation scien tifique similaire la sienne ou quelles sont vos perspectives Je connais bien s r le professeur Chiffelle qui a effectu un travail remar quable de b tisseur de l Institut de g ographie de Neuch tel Je partage son absence de dogmatisme son int r t pour des champs de recherche vari s et pour des m thodes qualitatives de recherche en g ographie humaine Mes terrains d investigation sont cependant un peu plus sp cialis s puisque je suis avant tout un sp cialiste des transformations urbaines et ne poss de pas ses comp tences en mati re d analyse de l espace rural Quelles sont les motivations qui vous ont encourag postuler Neuch tel et quitter de ce fait votre poste de directeur adjoint de la Fondation Science et Cit Je souhaitais tre un peu moins dans l action publique et trouver plus de temps d dier la recherche et la formation la mienne comprise Je connaissais par ailleurs l quipe de l Institut de g ographie dont j appr cie la fois le dynamisme et les orientations de recherche et d enseignement Par ailleurs
42. ens tant qu elles n ont pas r solu le probl me Elles attendent de gu rir pour recommencer travailler prendre du plaisir etc D autres galement atteintes par un mal grave comme le cancer ou le sida pr tendent savourer davantage certains petits moments de la vie La maladie a modifi dramatiquement leur existence mais ces personnes vivent toujours Propos recueillis par Colette Gremaud Les conf rences sont publiques et gratuites Elles se tiendront dans diff rentes salles de l universit tout au long de l ann e de 18h15 20h Programme et pr sentation des colloques www unine ch theol Renseignements yolande joray unine ch Comprendre se comprendre faire comprendre Une herm neutique de l Ancien Testament n est pas un livre comme les autres Martin Rose professeur ordinaire d Ancien Testament l Universit de Neuch tel nous livre ici un ouvrage singulier tant dans sa forme que dans son contenu qui sont tous deux profond ment li s Par cette entreprise audacieuse l auteur fait preuve d un certain cou rage toujours conjugu une grande ma trise de son sujet Le concept d une herm neutique de l Ancien Testament n est pas en soi nou veau de nombreux auteurs s y sont essay s avant lui Martin Rose revendique pourtant une diff rence d avec eux puisqu il ne pr sente pas une histoire de la r ception des textes de l Ancien Testament qui avoue t il d passerait ses com p tences de v t rotes
43. ent illustr cet ouvrage facilite non seule ment la compr hension des allergies par les plantes dans leur contexte bota nique mais apporte galement des indications pr cieuses sur leur pr vention et leur traitement Par sa diversit il a t con u pour tre directement utile tant au patient allergique qui souhaite en savoir plus qu l tudiant ou au sp cialiste Renseignements et commande de l ouvrage Plantes pollen et allergies Fr 45 Jardin botanique unine ch t l 032 718 2350 UniNE EPEL convention sign e sur la collaboration dans le domaine de la microtechnique Le 16 septembre 2003 l EPFL et l Universit de Neuch tel ont sign une convention Elle porte sur la cr ation Neuch tel d un Laboratoire de technologies spatiales appartenant l EPFL et finan c par elle pour ce qui concerne le personnel et l quipement scien tifique l Universit de Neuch tel mettant disposition les locaux et l infrastructure de base notamment l quipement des bureaux Dans les faits ce laboratoire sera donc int gr l Institut de microtech nique IMT Il sera dirig par Herbert Shea voir encadr qui vient d tre nomm par l EPFL professeur assistant tenure track La coor dination avec les activit s de l IMT sera assur e par le professeur Nico de Rooij actuellement directeur de l IMT Cette convention constitue le point de d part d une collaboration plus pous s e entre les deux hautes
44. ertueuse abstinence la semaine ne donne pas droit une vaillante biture le week end venu Les quantit s allou es ne peuvent pas tre cumul es d sillusionne Claude Jeanrenaud cg R forme fiscale un chantier permanent Rares sont les jours o la r forme fiscale n appara t nulle part dans les colonnes des journaux suisses Ce sujet est au c ur de l actualit Et il donne constamment de nouveaux cheveux blancs la Conf d ration et aux cantons tenaill s entre la n cessit de mainte nir une place conomique attractive et le soucis de contenir le d ficit budg taire dans des limites acceptables Un colloque qui se d roule ra le 24 octobre propose de faire le point sur ses questions En mati re de fiscalit la Suisse s est longtemps crue l abri Puis ce fut le coup de massue avec le refus d entrer dans l Espace conomique europ en Un r veil la fois brutal et tardif par rapport aux autres pays occidentaux rappelle le professeur d conomie Milad Zarin Nejadan On a eu soudain tr s peur de voir les capitaux quitter le pays Pour viter cette fuite de fonds et gagner en attractivit l Etat a pris toute une s rie de mesures visant diminuer la charge fiscale et les distorsions caus es par la fiscalit Cette volont est toujours en vigueur l heure actuelle Comme en t moigne le projet de la deuxi me r for me d imposition des soci t s actuellement discut aux Chambres M nager la ch v
45. es seront ainsi peut tre pouss s la mobilit Erasmus vers des pays germanophones Dans le cadre de l Institut d allemand deux collaborateurs de l Institut sont d ores et d j form s pour faire passer les examens selon les normes du Goethe Institut Anton N f ne cache en outre pas son souhait d encourager les tudiants en allemand passer le Mittelstufe Neuch tel est la seule universit romande exigeant le s jour l tranger pour l obtention d une licence en langue on peut imaginer que si les examens propos s Neuch tel rencontrent le succ s escompt on pourra ventuellement offrir le niveau sup rieur des certificats du Goethe nos tudiants envisage t il Hormis les diff rents publics estudiantins le nouveau centre d examen neuch telois entend bien en outre attirer des publics externes de l Arc jurassien vb Renseignements M Andr Feller directeur du centre d examen t l 032 855 1201 Autour de Javier Marias Parmi les crivains espagnols contemporains Javier Mar as n en 1951 est sans doute le plus traduit honor et r compens A l occa sion de son 5 Grand s minaire qui se d rou lera du 10 au 12 novembre l Institut d espa gnol se penchera sur son uvre en invitant des sp cialistes internationaux De ses premiers crits en 1971 la trajectoire litt raire de Javier Marias n Madrid en 1951 n a cess de progresser A plusieurs gards l uvre de Ja
46. esseur Jeanrenaud Tr s peu d tudes dans le monde prennent en compte cette valeur et aucune en Suisse ne s y tait essay e jusqu ce jour Or s ils restent difficilement chif frables les co ts humains repr sen tent n anmoins un fardeau bien r el Les r sultats de cette tude mandat e par l Office f d ral de la sant publique seront d voil s l occasion de deux journ es d tude mises sur pied par l IRER et l Institut suisse de pr vention de l alcoolisme et autres toxicomanies ISPA Colette Gremaud Service de presse et communication Journ es d tude sur le co t social de l abus d alcool 24 et 25 octobres 2003 Aula des Jeunes Rives Espace Louis Agassiz Universit de Neuch tel www unine ch irer Vous et l alcool Vous ne crachez pas dans le verre Soit Mais partir de quelles doses joue t on vraiment avec le feu Une consommation mod r e d alcool ne pr sente en principe pas de risque pour la sant Des tudes ont m me d montr les propri t s protectrices de certains compos s pr sents dans les boissons alcooli s es comme le vin par exemple Cependant au del de 20 grammes d alcool par jour pour les femmes et de 40 pour les hommes les consommateurs prennent un risque s rieux pour leur sant avertit le professeur Claude Jeanrenaud Le vin blanc titrant 10 un seul d ci litre de ce breuvage apporte d j 10 grammes d alcool au corps Et pour couronner le tout une v
47. fin de brosser leur itin raire de formation Dans une bureaucratie fran ai se tr s forte Camilla Murgia est parvenue mettre la main sur des docu ments que personne jusqu alors n avait retrouv Collectionneuse de gra vures mais pas dessinatrice corrige imm diatement Camilla Murgia avec humilit elle s imagine un jour travailler dans un mus e ou un cabi net de dessin L unique bourse mise au concours annuellement par le Merton College la Greendale Scolarship permet de regarder sereinement devant soi Son montant couvre le salaire de la chercheuse neuch teloise pendant trois ans renouvelable une ann e un logement ainsi que le paiement complet des taxes universitaires en vue de l obtention du doctorat s lettres L Universit d Oxford est le meilleur endroit de recherche pour l poque qui m int resse cheval entre le 18e et le 19e si cle souligne avec flam me celle qui a d sormais entam son parcours britannique sous l il bien veillant d un tuteur exclusif un enseignant agissant comme r pondant comme le veut la tradition La voie royale en somme Virginie Borel Service de presse et communication 17 18 Facult des lettres et sciences humaines Colloquium03 ou la rel ve d histoire de l art en action Les 7 et 8 novembre ce que la Suisse compte en jeunes espoirs dans le domaine de l histoire de l art se retrouvera l Universit de Neuch tel Cette ann e les personnes travaillant au sei
48. fl au majeur de la vigne le mildiou Ils ont d cou vert une mol cule produite en abondance par la plante lorsque celle ci est attaqu e par le champignon pathog ne II s agit de la _ viniferine un com pos d riv du resveratrol un polyph nol c l bre pour ses propri t s anti oxydantes et son effet pr ventif face certains cancers Bien que d j d tect e dans les vins et dans des cellules de vigne en culture in vitro cette mol cule vient pour la premi re fois d tre identifi e comme membre du syst me de d fense de la plante contre le mildiou propag par le champi gnon Plasmopara viticola Elle d ploie une action anti fongique plus effica cement que d autres compos s de la m me famille chimique Igor Chlebny Charg de communication Plant survival Contacts Dr Roger Pezet RAC Changins Nyon T l 022 363 43 53 matin roger pezet rac admin ch Prof Raffaele Tabacchi Universit de Neuch tel Institut de chimie T l 032 718 24 29 raphael tabacchi unine ch Neuch tel Xamax sur les bancs d uni La Facult de droit peut se targuer d accueillir un footballeur pro fessionnel parmi ses tudiants Ou est ce le FC Xamax qui peut s en orgueillir de compter dans ses rangs un futur juriste Les deux faces d un d fenseur xamaxien tudiant en droit Y a t il faute ou pas Le FC Neuch tel Xamax compte parmi ses joueurs un futur sp cialiste en mati re de justice Le d fenseur Eddy Barea est gale ment
49. gie rattach au Laboratoire de microbiologie Daniel Job est l un des fondateur de Mycotec avec Jean Keller autre mycologue passionn Selon lui les champignons comestibles repr sentent un march cono mique norme Un march que seules quelques esp ces aux noms bien connus occupent comme les fameux champignons de Paris les pleurotes ou les shiitake Pour viter de se heurter une concurrence aussi solide ment tablie les mycologues neuch telois ont pris le parti de d velopper des esp ces plus difficiles produire et par cons quent beaucoup plus rares sur le march Une option judicieuse qui s annonce aussi tr s juteu se Nos champignons se vendent entre 25 et 30 francs le kilo contre une moyenne de 5 6 francs le kilo pour des champignons de Paris d clare confiant Daniel Job six esp ces commercialis es par l entreprise Le champignon un fruit qui se mange Au d but de ses recherches le mycologue faisait la main chacune des manipulations n cessaires la croissance de ses champignons Mais il y a eu un moment o cette fa on de faire ne me permettait plus d avancer assez vite dans mes recherches J avais besoin de machines qui me per mettent de produire plus grande chelle Ce besoin en logistique est la cause principale de la cr ation de Mycotec en 1990 Plate forme de contact entre l Universit et l conomie Mycotec b n ficie du savoir faire labor dans les locaux d UniMail En
50. i me partie tudie les m canismes conomiques la base du fonc tionnement du secteur public Sont notamment abord s les points sui vants les faits et les d terminants de la croissance s culaire du secteur public les fonctions conomiques de l Etat etc Le cours intitul cono mie et finance internationale approfondit l analyse des relations co nomiques internationales sous l angle r el et mon taire L obtention du Certificat de formation continue en science conomique assorti de 20 cr dits ECTS European Credit Transfer System est condi tionnelle la fr quentation assidue des cours la r ussite des examens y compris les travaux pratiques et la r daction d un travail de recherche per sonnelle m moire de certificat jug satisfaisant ce dernier donnant lieu 3 cr dits ECTS Les personnes qui ne suivent pas le programme complet obtiennent une attestation de participation pour le s module s choisi s avec mention des cr dits ECTS correspondants en cas de r ussite Renseignements http www unine ch foco html CERTIFICAT SC ECO 2003 html CL CL T A m Et la nave va pour l aum nier Pour moi la question la plus importante a t de chercher des r ponses aux questions sur le sens de la vie du point de vue spiri tuel Le ton est donn par Norbert Martin aum nier des tu diants de l Universit depuis 1986 qui amorce aujourd hui un nou veau virage de vie Le Neuch telois No
51. ientifiques et de l conomie C est une structure souple op rationnelle sur la base de mandats qui privil gie le mode de fonctionnement en r seau Les membres du bureau constituent les trois p les du triangle ils sont les t tes de pont garantissant et entrete nant l acc s trois r seaux de comp tence le r seau des chercheurs et des experts scientifiques celui des sp cialistes sur les questions juridiques et financi res et celui des industriels qui permet une ouverture fondamentale ment n cessaire sur les milieux conomiques et leurs besoins et capacit s valoriser des r sultats Ce r seau triangulaire est plac sous la haute conduite du co recteur en charge des affaires ext rieures qui dans un premier temps pilote les acti vit s et centralise les demandes Le service juridique de l Universit est impliqu travers le sommet juridique du triangle Un ancrage institution nel du sommet conomique est assur travers la CNCI Chambre neuch teloise du commerce et de l industrie et l AIP Association industrielle et patronale donnant ainsi acc s une tr s large part du tissu industriel local Renseignements M Hans Heinrich N geli co recteur en charge des affaires ext rieures t l 032 718 1020 e mail Hans Naegeli unine ch Mme Marquis Weible t l 032 720 5477 e mail fabienne marquis weible unine ch Actions d velopp es par le T e Mise sur pied de s minaires journ es de se
52. iliennes Enfin un match d improvisation avec la participation de Benjamin Cuche se d roulera dans les locaux m mes de l Institut Les actes du colloque qui feront la part belle l utilisation de donn es ethno graphiques pr sent es sur des supports multim dias seront publi s au d but de l ann e 2004 dans la revue lectronique www ethnographiques org co publi e par les universit s de Franche Comt Besan on et de Neuch tel Cette publication d j programm e dans le calendrier de la revue assurera ainsi une diffusion internationale aux r sultats de ce colloque Le programme d finitif du colloque sera accessible d but novembre sur le site de l Institut d ethnologie x www unine ch ethno Renseignements Institut d ethnologie thierry wendling unine ch La g ographie culturelle d Ola S derstr m Ola S derstr m nouveau professeur de g ographie salue la peti tesse neuch teloise signe d interdisciplinarit et d innovation Pouvez vous nous donner les grandes lignes de votre parcours scientifique et professionnel J ai effectu mes tudes l Universit de Lausanne entre 1978 et 1984 J y ai ensuite travaill comme assistant pendant cinq ans p riode pendant laquelle j ai travaill sur ma th se de doctorat portant sur des controverses urbaines ayant pour objet le patrimoine b ti Ce travail m a conduit effec tuer en 1988 un s jour la University of British Columbia de
53. l IMT a cherch mettre au point des cap teurs capables de mesurer les infimes d bits en jeu Apparemment satisfaits du r sultat les industriels tasuniens reprennent contact avec l IMT quelque temps plus tard pour d velopper un syst me bas sur le m me principe mais applicable des pipettes C est ce qui nous a donn l id e de poursuivre conclut M Boillat Le r le de l IMT n tant pas de produire des articles pour le compte de l industrie les ing nieurs d cident de cr er un spin off Seyonic voit le jour Nous sommes en 1998 Les syst mes mis au point par l entreprise servent mettre deux liquides en contact dans des proportions extr mement r duites L entr e du liquide l int rieur du tube de la pipette est r gie par une ouverture lectrique La pipette n absorbe que lorsque le courant passe Sans flux lectrique la vanne reste ferm e Ce syst me nous permet de contr ler pr cis ment les quantit s de liquide absorb es poursuit l ing nieur La juxtaposition d un grand nombre de pipettes permet d aspirer des substances r parties dans 96 petits puits la fois Des puits dispos s sur une tablette en plastique d environ 10 centim tres sur 5 sorte de laboratoire miniature Seyonic con oit d veloppe mais ne fabrique pas elle m me ses produits Une partie de la m canique de pr cision est sous trait e la Chaux de Fonds pr cise Marc Boillat Tous les corps de m tier n cessaires l
54. leur est il galement ouvert Une r gion conomiquement solide a besoin de culture On ne peut toutefois pas faire la promotion de la culture s il n y a personne cultiver Pour un industriel fra chement implant dans la r gion une universit plurielle fait partie des infrastructures extr mement importantes qu il souhaiterait offrir ses enfants L conomie est un moteur ind niable de progr s mais il faut savoir en faire bon usage au service de notre communaut Propos recueillis par Virginie Borel Service de presse et communication Qu ils viennent de la microtechnique de la microbiolo gie ou des sciences de la vie tous s accordent vanter l esprit d initiative qui plane sur la r gion neuch teloise Avec la m me ferveur ils encouragent les jeunes d au jourd hui se lancer dans la cr ation de leur propre entreprise Eux l ont fait il y a deux cinq ou plus de dix ans et s en sont bien sortis A l Uni de Neuch tel il n y a pas de Neinsager Peter Balsiger est un homme satisfait On le comprend Dspfactory l entreprise qu il a cr e il y a peine trois ans a re u en mai dernier le Swiss Economic Forum Pr s de 150 candidats entraient en lice pour ce prix qui r compense les meilleurs jeunes entrepreneurs de Suisse Tout semble ainsi sourire Peter Balsiger enthousiaste inv t r qui confirme par l exemple les th ories du positivisme Les cl s de cette r ussite Dans la vie
55. line de caract re historique est d autant plus encourageant l heure o la politique acad mique suisse exhorte les petites disciplines atteindre un seuil critique en comparaison internationale Quant l ancien directeur de l Institut d ethnologie de 1974 1998 et pro fesseur honoraire de l Universit de Neuch tel Pierre Centlivres il vient d tre nomm Chevalier de la L gion d Honneur Avant de prendre les com mandes de l Institut il avait travaill comme conseiller au Mus e national de Kaboul de 1964 1966 D s lors sa passion pour l Afghanistan ne l a plus quitt Et c est comme grand connaisseur de ce pays dans lequel il est retourn r guli rement tout au long de sa carri re que Pierre Centlivres s est fait le plus conna tre Une passion qui ne l a toujours pas quitt puisqu il donnera en novembre avec sa femme Micheline Centlivres Demont une s rie de conf rences sur l Afghanistan Princeton vb ON L allemand examin Neuch tel Wer fremde Sprachen nicht kennt weiss nichts von seiner eige nen Fortes de cet adage que l on doit l crivain von Goethe l Ecole sup rieure de commerce du Lyc e Jean Piaget et l Universit de Neuch tel ont obtenu la licence leur permettant d ouvrir Neuch tel un centre national d examens du Goethe Institut A partir de mai 2004 les deux premiers niveaux du Goethe Institut Zertifikat Deutsch et Zentrale Mittelstufenpr fung pourront tre p
56. lque 100 tudiants que compte l Institut 25 d entre eux choisissent l histoire de l art comme branche principale Au cours de ses tudes Camilla Murgia fait un premier stage Oxford au Print Room de l Ashmolean Museum Fascin e par l endroit le virus est alors clairement inocul le but avou de Camilla est bien de poursuivre ses tudes Oxford Il faut en effet savoir que le Merton College fond en 1264 est l un des plus anciens coll ges universitaires du monde sa biblio th que est la plus ancienne d Angleterre encore en fonction Quant l Universit d Oxford elle comporte l une des plus belles collections de livres et d uvres d art au monde Une chercheuse rare En octobre 2000 Camilla obtient donc sa licence apr s avoir r dig un m moire sur le lien entre L opold et Aur le Robert Elle uvre ensuite en qualit de collaboratrice scientifique du Fonds national suisse sur un pro jet men en collaboration avec le Biblioth que publique et universitaire sur le Rousseauisme participation l exposition de la Biblioth que publique et universitaire Jean Jacques Rousseau face aux arts visuels Du premier discours au rousseauisme avant d tre pressentie pour travailler Paris sur le projet des artistes suisses form s l cole des Beaux Arts entre 1893 et 1910 Cette chercheuse rare comme se pla t l appeler son ancien professeur Pascal Griener a retrouv la trace des dossiers de ces l ves a
57. mpter sur la proxi mit d une grande masse d eau pour att nuer les carts de temp ratures L oc an Atlantique par exemple absorbe de grandes quantit s d nergie ses eaux se sont d j r chauff es notablement jusqu une profondeur de 3 km La cro te terrestre ne peut pas jouer ce r le de r gulateur C est pour quoi l Eurasie la fois nordique et continentale repr sente la partie du monde qui se r chauffe le plus J ai une vision tr s pragmatique C est vrai que depuis les ann es quatre vingts le r chauffement se fait de fa on plus rapide que tout ce qu on a pu observer jusqu maintenant Par contre si nous ne disposons pas de beaucoup de temps pour r agir nous savons au moins quoi faire Comme tout d abord diminuer les missions de gaz effet de serre Et prendre les mesures n cessaires qui permettront d viter la catastrophe Nous vivons dans une r gion de montagnes La premi re chose est donc d agir sur les cours d eau de les s curiser contre les dangers naturels que sont les cou l es de boue etc Parall lement l industrie touristique doit tre adapt e Il tombe de moins en moins de neige Le tourisme d hiver ne suffit plus pour faire tourner une station situ e vers 1000 m tres d altitude D autres activit s doivent tre propos e pendant la p riode estivale On vient d en faire l exp rience la montagne devient particuli rement attractive pen dant les canicules Aucun v nement isol
58. n des mus es seront particuli rement impliqu es par le th me choisi Th orie et pratique de l histoire de l art Voici sept ans l Universit de Lausanne accueillait le premier colloque de la rel ve en histoire de l art Depuis lors chaque institut d histoire de l art suis se a re u la visite de ces espoirs l exception de Neuch tel Normalement les colloques de la rel ve visent offrir une plateforme pour les jeunes cher cheurs afin qu ils puissent pr senter leur travail et changer des exp riences entre eux ou avec les professeurs des diff rentes institutions En Suisse il n existe en effet pas de tradition permettant aux jeunes de s int grer pro gressivement dans les activit s scientifiques dites traditionnelles Colloquium03 entend donc galement offrir une sc ne permettant de jeunes chercheurs d apprendre le processus des grandes manifestations la rel ve y est impliqu e comme si c tait un colloque international Colloque in situ Thomas Schmutz charg de cours l Institut d histoire de l art et de mus ologie IHAM et co organisateur de la manifestation neuch teloise en collaboration avec l Institut d histoire de l art de l Universit de Berne et le Mus e international d horlogerie MIH de La Chaux de Fonds a opt pour un programme mixte en plus des 15 interventions scientifiques manant de chercheurs g s de 25 35 ans et d une table ronde sous forme de bilan apr s sept colloques
59. nf d ration ainsi qu avec les autres hautes coles Marie Jos B guelin s occupera des affaires acad miques et Hans Beck des finances du personnel et du fonctionnement informatique et biblioth ques Dans les facult s des changements sont galement intervenus parvenus au terme de leur charge de deux ans les d canats en place depuis octobre 2001 ont c d leur place de nouvelles quipes constitu es comme suit Facult des lettres et sciences humaines Richard Glauser doyen Paul Schubert vice doyen et Ir ne Andres Suarez secr taire Facult des sciences Martine Rahier doyenne Hans Peter Herzig vice doyen Thomas Ward secr taire Facult de droit Olivier Guillod doyen Pascal Mahon vice doyen Thomas Probst secr taire Facult des sciences conomiques et sociales Michel Dubois doyen Christian Suter vice doyen Claude Jeanrenaud secr taire Facult de th ologie Andreas Dettwiler doyen Pierre Luigi Dubied vice doyen Martin Rose secr taire z men dre ca ET peu ee ph rt 1 r LA E AE le m Les co recteurs Hans Heinrich N geli et Michel Rousson accompagn s des vice recteurs Marie Jos B guelin et Hans Beck forment le nouveau rectorat int rimaire de g dr Dies acad mique 2003 Que dire aujourd hui Le Dies acad mique 2003 aura des airs de transition Les co recteurs Michel Rousson et Hans Heinrich N geli ainsi que le Conseiller d Etat Thierry B guin
60. nsibilisation pour les chercheurs enseignants et corps interm diaire abordant les questions de transfert de technologie et de protection de la pro pri t intellectuelle e Mise en place d une offre de cours pour les tudiants et les cher cheurs abordant des l ments de gestion de projets d conomie et de management e Actions d information visant faire conna tre le T3 ses buts ses actions ses services son r seau e Mise en place et entretien de canaux d information dans les deux sens dirig s vers les milieux conomiques e Intensification des relations publiques e Etablissement et entretien de liens avec des organismes existants permettant de disposer de conseils ind pendants e Actions de prospection e Elaboration d un code de d ontologie en mati re de transfert de technologies e Rassemblement et centralisation d informations sur les services disponibles et les acc s aux ressources Les objectifs du T Fondamentalement le T3 vise augmenter l efficacit du transfert des r sultats de la recherche vers l conomie Ceci implique d une part d augmenter le nombre d actions de transfert et d autre part de maximiser les retomb es de ces transferts pour l Universit et le tissu industriel qui l entoure Les retomb es correspondent des retours positifs valu s sur plusieurs plans e maintien renforcement des collaborations Universit industries e retour financier aux niveaux de l Universit de
61. nt de la propri t intellectuelle de transfert ou d ex ploitation des droits de propri t e Acc s un soutien financier pour la prise de brevets et la partici pation des cours de management ou perfectionnement e Liens avec les institutions ou services dont la mission est de cr er des nouvelles entreprises d accompagner leur d veloppement et d en faciliter le financement Pierre Olivier Chave Je ne peux pas la d finir en un mot elle est diverse Mais ce que je peux affirmer c est que l Universit n a pas aujourd hui de v ritable structure d accueil pour cette relation A qui s adresser Il y a l Universit des gens qui ont le sens de la relation et d autres qui maintiennent bien vivante l image de la tour d ivoire A mon avis le probl me majeur de la valorisation des activit s de l Universit en dehors de son autarcie c est que ce n est pas comestible Cette valori sation d pend directement du dynamisme de la personne au sein d une facul t et de sa capacit accepter le dialogue avec l conomie Si je peux me permettre une critique constructive les contacts avec l Universit sont en g n ral compliqu s rien n est simple Evitons d ancrer cette id e qu acad mie veut dire accessible une toute petite lite de la communaut conomique Il faut toutefois savoir qu il y a d j des contacts int ressants et productifs avec des grandes entreprises Mais qu en est il des petites sans
62. nts appel Business Open et l informatique infographisme base de donn es sites Internet Toucher les tudiants des autres facult s En cette rentr e Jeune consulting ne manque pas de projets 90 des tu diants viennent des sciences conomiques rel ve Julien Rou che Cette ann e nous entendons conqu rir de nouveaux territoires lance t il avec un sourire Les tudiants des autres facult s droit journalisme informa tique seront donc tout particuli rement encourag s venir faire fructifier leurs connaissances et apporter leur contribution au sein de la Junior Le pr sident de la Junior entreprise J Rou che au centre et ses acolytes G Entreprise Apr s avoir particuli rement cherch faire conna tre ses pres Xr henb hl et M Personeni entendent conqu rir de nouveaux territoires hors de la Facult des sciences conomiques et sociales tations dans l Arc jurassien en 2002 Jeune consulting pr voit d tendre sa notori t en priorit aupr s des petits commerces r gionaux et d organiser des visites d entreprises pour ses membres Alors qu attendez vous pour les rejoindre vb Renseignements Un Prix JEUNE Consulting la Remise des jeune consulting unine ch t l 032 724 4960 ne http www unine ch jeune dipl mes 2003 JEUNE Consulting d livrera un prix d une valeur de Fr 500 lors de la c r monie de remise des dipl mes du 21 novembre prochain r compen sant un e
63. ogie phar macologie secteur agroalimentaire Les champignons montrent le bout de leurs chapeaux pointus ou ronds un peu partout Nous venons de rece voir un mandat de l Office f d ral de l agriculture se r jouit D Job Ce projet pilote pr voit de proposer la culture de champignons comme source de revenu annexe aux agriculteurs Pour ce type de client le Mycotec pro duit des sacs de culture pr ts l emploi Entrepos s dans une chambre humide ils serviront de pouponni re l une des six esp ces commerciali s es par l entreprise sur 36 d velopp es en laboratoire Ces sacs contien nent un m lange de nourriture pour champignons savamment tudi Pour le client nul besoin de s y conna tre en mycologie Il suffit d ouvrir les sacs et de cueillir les champignons lorsqu ils sont m rs apr s quelques semaines d j Sur son parcours Daniel Job n a rencontr aucune difficult majeure si ce n est la longueur du chemin pour passer d une id e universitaire une start up qui fonctionne Le scientifique juge son domaine de recherche si porteur qu il encourage sans h siter ses tudiants cr er leur propre entre prise Des tudiants qui semblent d ailleurs avoir entendu l appel ils n taient pas moins de six faire leur travail de dipl me cette ann e entre les murs du Laboratoire de mycologie cg Seyonic le dosage de l infiniment petit Perch e sur les hauts de Neuch tel la soci t anonyme Se
64. on et la r putation au sein des entreprises qui nous emploient afin de leur confier des mandats et ou de rechercher des contacts professionnels par exemple Nous parrainons aussi Jeune consulting gr ce un change permanent d id es et d exp riences manant des anciens membres expos s la pratique De plus une fois par ann e nous offrons aux membres de leur comit une journ e de formation leur procurant une valeur ajout e Nous avons par exemple fait appel une ann e des consultants en ressources humaines afin de leur expliquer comment r diger un CV attractif et se pr parer aux entretiens d embauches D autres formations avaient quant elles pour th mes le bilan de comp tences ou encore l enn agramme une approche psychologue de l tude de la personnalit Combien de membres compte SAJE et dans quels milieux professionnels voluent ils aujourd hui SAJE regroupe l heure actuelle une soixantaine de membres r partis dans des secteurs conomiques et occupant des postes tr s vari s Pour n en citer que quelques uns consultants ind pendants r viseurs comptables res ponsables marketing avocats etc Propos recueillis par Virginie Borel Service de presse et communication Contact Pr sident SAJE Christophe Mirabile christophe mirabile swisscom com Facult des lettres et sciences humaines Beau succ s pour la rel ve neuch teloise le parcours dor de Camilla Murgia Elle a les yeux qui
65. ort la maladie Ainsi en ont d cid les organisateurs qui ont choisi comme th me Se soigner se comprendre le rapport soi et la ques tion du sens face la maladie La s rie de colloques r unira dans un premier volet des personnes issues du milieu hospitalier m decins psychologue g rontologues Le deuxi me volet permettra d aborder le pendant spirituel et thique de la pratique m dicale Le processus de gu rison int rieur fera ainsi l objet d une conf rence suivie par deux contributions sur l thique et la pastorale Au milieu du cycle Thierry Collaud mettra profit sa double formation de m decin g n raliste et de th ologien pour faire le lien entre les deux volets Sa th se sur Le statut de la personne d mente en train d tre publi e sous forme de livre sortira de presse ces prochains jours Entretien Pouvez vous nous parler du statut du malade th me de votre th se de doc torat en th ologie J ai voulu montrer avec des arguments th ologiques qu un homme malade restait malgr tout une personne humaine part enti re Je me suis int ress l homme en situation de vuln rabilit oppos l homme triomphant Autrement dit j ai tudi l homme mal foutu qui ne correspond plus l id al beau jeune et bronz qui pr vaut aujourd hui C est une caricature Nouvelle publication en conomie de la construction Deux professeurs d conomie Milad Zarin Nejadan de l Univer
66. pensable que l Universit conserve la parole que nous pourrions perdre pour ne pas l avoir toujours prise bon escient Dans cette logique d une expansion acc l r e du d veloppement de la connaissance il est indispensable et vital de construire un r seau intelligent de Hautes Ecoles Pour poursuivre et d fendre les missions de l Universit il est essentiel d en avoir les moyens Aujourd hui pour l Universit de Neuch tel nous avons atteint un carrefour d terminant devant les portes qui s ouvrent sur des horizons possibles il faut effectuer le bon choix Celui du statu quo est exclure d embl e Il reste donc s investir toujours davantage avec lucidit courage et d ter mination dans le temps des r formes Elles ont t engag es mais un long chemin est encore parcourir pour voir l ach vement de l Universit de l avenir une universit indispensable au d veloppement et la critique du savoir et contribuant de mani re essentielle la coh sion sociale Une nouvelle quipe rectorale form e des co recteurs Hans Heinrich N geli et Michel Rousson de la vice rectrice Marie Jos B guelin et du vice recteur Hans Beck a accept de conduire aujourd hui l Universit vers cet avenir des grands d fis Je sais que mes successeurs le feront avec passion lucidi t et g n rosit Je leur souhaite de partager le temps des plus belles satis factions de celles que l on peut go ter lorsque l on construit en
67. pl mentaire la for mation acad mique dispens e aux tudiants Elle valorise le curriculum vit de chaque membre par cette exp rience additionnelle rapproche et favorise les contacts avec le monde professionnel Un atout tr s appr ciable et appr ci je pense Cette exp rience li e vos ann es d tudes universitaires a t elle encore des ramifications aujourd hui dans votre vie professionnelle Oui ne serait ce qu au sein de la Soci t des anciens de la junior entreprise SAJE J y c toie r guli rement les autres membres ce qui me permet d avoir un bon carnet d adresses A une poque o la recherche d emploi vire par fois au chemin de croix il est toujours bon de pouvoir s adresser directement des personnes connues plut t que de voir son dossier tra ner sous une pile de postulations Mais SAJE n est pas qu un r seau professionnel c est aussi un r seau d amis toujours partant pour se retrouver devant un bon souper Vous tes pr sident de SAJE Quels sont les r les de cette soci t Les buts sont nombreux Tout d abord regrouper les anciens membres de Jeune consulting en pro mouvant les relations socioprofessionnelles et amicales entre eux Nous nous retrouvons dans ce but plusieurs fois par ann e lors d activit s vari es visites d entreprises week end ski soupers etc Pour ce qui est de la Junior entreprise nous nous effor ons dans la mesure du possible d en assurer la promoti
68. pour en exposer les ressorts profonds Pourtant l auteur n est pas dupe et ne verse pas dans le r cit de soi Pour conserver donc cet quilibre dynamique entre transparence des inten tions et alimentation du d bat critique Martin Rose d ploie toute sa grande ma trise du corpus v t rotestamentaire Car si l audace et le courage peu vent tre salu s c est bien le savoir faire du sp cialiste des textes de l Ancien Testament qui dans une vue la fois large et profil e se met au ser vice du comprendre pour accompagner le lecteur travers les 1194 textes bibliques cit s Ce voyage se pr sente sous la forme de dix chapitres encadr s par une intro duction et un pilogue qui se r pondent mutuellement Il peut donc com mencer d s aujourd hui dans un esprit que d finit Martin Rose en conclusion de son introduction Mon but est modeste esquisser une herm neutique En principe cha cun devrait r fl chir ses propres voies selon lesquelles il souhaite parcourir ces textes bibliques Je ne revendique pour ma description ni exhaustivi t ni repr sentativit et encore moins une exclusivit La seule chose que j es p re est que le lecteur reconnaisse une coh rence m thodologique aux r flexions herm neutiques d ploy es dans cet ouvrage S bastien Fornerod Assistant l Institut romand d herm neutique et de syst matique Martin Rose Une herm neutique de l Ancien Testament Comprend
69. rbert Martin a suivi des classes scientifiques avant de s orienter vers le cursus de la Facult de th ologie du lieu Depuis l ge de 14 15 ans j ai d velopp une sensibilit aux questions li es au d ve loppement spirituel explique Norbert Martin de sa voix ternellement serei ne et chaleureuse On poss de plus de richesses qu on en manifeste j avais envie de trouver le mode d emploi poursuit il Pourtant le choix d une licence en th ologie tait plut t li des l ments d ordre culturel Un an avant la fin de ses tudes Norbert Martin d croche une bourse d tu de pour les Etats Unis Il se rend dans le Minnesota pour y poursuivre ses tudes Il y s journera finalement plusieurs ann es et travaillera parall le ment dans diff rents h pitaux m dicaux et psychiatriques Revenu en Suisse il se lance dans une premi re exp rience professionnelle dans la paroisse d une glise r form e Pendant 12 ans il alternera paroisse reli gieuse et aum nerie d h pital C tait une p riode enrichissante mais lour de il tait donc important pour moi de changer poursuit Norbert Martin Son retour aux sources universitaires en 1986 sera un apport non n gligeable pour l aum nier qui per oit l Universit de Neuch tel comme une communaut tre sans cesse en contact avec les gens qui apprennent cela permet de garder vive l envie d apprendre s enthousiasme celui qui dit que l endroit permet de lut
70. re se comprendre faire comprendre Gen ve Labor et Fides Le monde de la bible No 46 2003 Agenda de l Universit de Neuch tel www unine ch presse agenda agendaspc htm des manifestations Semaine du 13 au 19 octobre 2003 MANIFESTATION Nanostructures auto organis es partir de dendrim res cristaux liquides Colloque Prof Daniel Guillon Institut de chimie amp physique des Mat riaux de Strasbourg DATE LIEU Mercredi 15 octobre 10h30 Institut de chimie Av Bellevaux 51 Petit auditoire RENSEIGNEMENTS Institut de chimie Av de Bellevaux 51 t l 032 718 24 00 Prof Deschenaux MANIFESTATION The Quest for Versatile Building Bloks for the Self Assembly of Novel Molecule Based Materials Certificat de formation continue en science conomique Module 1 Macro conomie Formation continue Prof Milad Zarin Nejdan Exempla docent les exempla philosophiques de l Antiquit la Renaissance Colloque international Colloque Benefri sur la r forme fiscale Colloque Prof Milad Zarin Nejdan Le co t social de l abus de l alcool Conf rence Continuing Education Course Formation continue Dr Daniel Hunkeler MANIFESTATION The light induced spin transition and the high spin low spin relaxation in iron Il coordination compounds Colloque Prof A Hauser L adoption de l alphabet s mitique par les Grecs pourquoi quand o et comment Cours p
71. re et le chou Les entreprises r clament en effet quelques faveurs fiscales La globalisa tion conomique et la mobilit accrue des capitaux et des cerveaux font que l attrait conomique d un pays est de plus en plus conditionn par sa fiscalit explique Milad Zarin Nejadan Certes diminuer les imp ts ajou te sans doute un je ne sais quoi au charme de la place conomique suisse Mais trop jouer les p res No l on risque de mettre en p ril l qui libre budg taire Ce que l Etat donne d un c t il doit le prendre ailleurs commente le professeur Zarin Nejadan Mais o Un colloque propose de faire le point sur ces questions et de passer au crible les diff rentes solutions envisageables Organis par le professeur Zarin Nejadan sous l gide du Centre d tudes en conomie du secteur public r seau BeNeFri et de la Soci t suisse d conomie et de statistique il est ouvert toutes les per sonnes int ress es par l analyse conomique de la r forme fiscale en Suisse Colette Gremaud Service de presse et communication Colloque sur la r forme fiscale le 24 octobre 2003 partir de 9h20 au Palais DuPeyrou de Neuch tel www unine ch ecopo Facult de th ologie La maladie a t elle un sens Chaque ann e l Institut romand d herm neutique et de syst matique IRHS met sur pied un cycle de conf rences qui s tale sur l ensemble de l ann e acad mique 2003 se passera donc sous le signe du rapp
72. s Laurence Boegli Cette activit professionnelle pendant les tudes doit cependant tre en lien avec le travail qu on va exercer par la suite Sinon c est le contraire qui risque de se produire Cette activit parall le prolon ge la dur e des tudes et peut m me entraver le passage la vie active On voit galement de grandes diff rences suivant les branches tudi es L B Oui un an apr s l obtention du dipl me des branches comme la m de cine ou la pharmacie ne compte que 1 de demandeurs d emploi sans tra vail Les juristes n ont pas trop de probl mes non plus avec seulement 2 9 Au contraire les universitaires issus des sciences sociales ou humaines sont ceux qui ont le plus de difficult s s ins rer dans le monde professionnel avec un taux de 6 4 Les gens qui ont tudi les sciences naturelles et les sciences conomiques se rapprochent de la moyenne fix e 3 7 S S En fait les professions au profil clairement d fini offrent en g n ral davantage de d bouch s Au contraire les personnes qui suivent une for mation ne conduisant pas vers un m tier pr cis comme le grec ancien passe d abord par une p riode de t tonnement qui leur prend du temps Propos recueillis par Colette Gremaud Service de presse et communication Le salaire brut annuel moyen correspond un emploi 100 et tient compte de l inflation 13 14 Une premi re au niveau romand un certificat de formation
73. s claire Il na t d une entreprise qui se s pare d une de ses parties ou qui se scinde en plusieurs entit s Autrement dit l entreprise de base cesse d exister pour donner nais sance deux voir plusieurs nouvelles soci t s baptis es spin off cg Publicit 11 12 Rectorat int rimaire et nouveaux d canats L ann e acad mique qui d bute sera plac e sous la responsabilit d un rectorat int rimaire qui prendra les rennes de l institution neu ch teloise jusqu l entr e en fonction de l quipe constitu e par un nouveau recteur dont la proc dure de nomination est actuelle ment en cours et devrait prendre fin au printemps 2004 Pour faire face aux dossiers importants que doit g rer l institution neuch teloise les co recteurs Hans Heinrich N geli professeur d informatique la Facult des sciences et ancien vice recteur et Michel Rousson ancien professeur de psycholo gie du travail la Facult de droit et des sciences conomiques et ancien vice rec teur seront accompagn s par les vice recteurs Marie Jos B guelin professeure de linguistique fran aise la Facult des lettres et sciences humaines et Hans Beck professeur de physique th orique la Facult des sciences et ancien vice recteur Michel Rousson sera charg des affaires int rieures relations avec la com munaut universitaire et ses organes Hans Heinrich N geli des affaires ext rieures relations avec le Canton et la Co
74. s humaines du sport pourra servir les ins tances sportives Vous tes disait il aux dipl m s les gardiens du temple et j esp re que vous m aiderez demain d fendre l esprit du jeu Charly Veuthey Service de presse et communication Photo L Express 27 28 Facult des sciences conomiques et sociales Alcool le prix payer A combien se monte le tribut impos par l alcool la soci t On ne disposait jusqu pr sent d aucun chiffre fiable Une tude y rem die en fixant clairement les co ts engendr s par l abus d alcool en Suisse Les r sultats seront bient t rendus publics lors de deux journ es d tude La Suisse compte ce jour 300000 personnes d pendantes de l alcool soit pr s d une personne sur vingt ISPA 1997 La d pendance commun ment appe l e alcoolisme se d finit par la pr sence de sympt mes de manque et une tol rance accrue au produit La personne d pendante prouve un besoin irr sistible de consommer de l alcool afin d tre en mesure d affronter son quotidien Lorsqu elle en est priv e ses mains se mettent trembler elle s agite transpire et ressent de l anxi t et un grand mal tre Heureusement fort peu de gens se reconnaf tront dans ce portrait Les alcoolo d pendants ne repr sente en Suisse que 5 de la population Quelque 15 des Suisses ne consomment absolument pas d alcool et la majorit des per sonnes qui l vent le coude de temps autres
75. s instituts et des chercheurs e renforcement du tissu industriel r gional entit s existantes ou nouvelles entit s Plus pr cis ment la concr tisation de l objectif fondamental est li e la r alisation des objectifs sp cifiques suivants sensibiliser former les chercheurs la valorisation e obtenir que les chercheurs annoncent les inventions r sultats potentiellement valorisables liens de confiance transparence proximit e aider les chercheurs dans leurs d marches visant la protection intellectuelle dans leurs recherches de partenaires et dans la pr paration des n gociations e augmenter la circulation d information et les interactions entre l conomie et les milieux acad miques e identifier les bons sujets projets ainsi que les bonnes personnes moteurs de ces projets e augmenter la visibilit des actions de transfert e garantir l acc s aux services d j tablis dans le cadre institu tionnel o e Les fonctions du T Le triangle permet l Universit de remplir en offrant divers services la communaut des chercheurs plusieurs fonctions indispensables la valorisation e Sensibilisation aux questions de transfert de technologies e Activit s de conseils dans l valuation du potentiel d une id e le choix d un processus de valorisation la d marche visant garan tir la protection intellectuelle e Soutien juridique lors de n gociations de contrats de recherche d tablisseme
76. serait d tudier la m decine ou le droit du c t de la Suisse al manique C est du moins la conclusion certes h tive et pragmatique l exc s qu on pourrait tirer d une large enqu te men e par l Office f d ral de la statistique OFS Son auteur principal Sabina Schmidlin y analyse les r ponses d un questionnaire envoy toutes les personnes qui ont obtenu un dipl me ou une licence en l an 2000 dans une universit suisse ou dans l une des deux coles polytechniques f d rales Premi re constatation les difficult s rencontr es pour trouver un emploi ne se laissent pas expliquer par l argument simpliste qu il y aurait tout bon nement trop d tudiants sur le march Selon l tude la conjoncture semble bien davantage conditionner le processus d entr e dans la vie active que la d mographie croissante des tudiants Autres facteurs influen ant l obtention d un premier emploi la r gion lin guistique la branche tudi e ou encore le sexe auquel on appartient L volution des revenus a galement donn lieu d int ressantes observa tions Entre 1997 et 2001 le salaire brut annuel moyen des jeunes univer sitaires a fait un bond de 6 9 Un chiffre qu il s agit cependant de temp rer Avec un montant frisant les 70 000 francs ce revenu ne fait finalement que retrouver le niveau qu il affichait il y a dix ans Cette large enqu te commenc e en 1977 est men e depuis 1998 par l OFS raison d une tude
77. sit de Neuch tel et Philippe Thalmann de l EPFL publient un livre intitul Construction and Real Estate Dynamics Construction et dyna mique du march immobilier aux ditions Palgrave Macmillan Londres Cet ouvrage r unit des contributions de tr s haut niveau manant des plus grands noms connus dans ce domaine Michael Ball ou Gerbert Romijn par exemple Ces sp cialistes figuraient parmi la quarantaine d invit s qui s taient r unis Neuch tel en 1997 l occasion d un important colloque international organis par l Institut de recherches conomiques et r gionales IRER Un colloque que se propose de valoriser ce livre en publiant aujourd hui quelques unes des interventions les plus marquantes cg bien s r mais en tant que m decin on est fr quemment confront ce genre de probl matique La maladie d Alzheimer en offre une parfaite illustra tion Elle nous provoque constamment avec cette question la maladie rend elle le malade moins humain Se soigner se comprendre comment interpr tez vous le th me autour duquel tourneront ces conf rences Je pense que le soin n est pas unique ment quelque chose que le m decin donne au patient C est quelque chose que le patient trouve dans tout son entourage Se soigner a pour moi un aspect collectif Le m decin intervient mais pas tout seul D autres personnes entrent en jeu J aimerais que l on arri ve d passer la conception du soin fond
78. t la neige et le paysage WSL Martine Rebetez s est sp cialis e dans les relations entre le climat et la soci t th me principal de son cours Neuch tel Son objectif n est pas seulement de mettre les tudiants au fait des derni res connais sances en la mati re mais aussi de leur donner les comp tences pour rester jour dans un domaine qui change aussi vite que le temps Quel r le le g ographe tient il dans la probl matique des changements cli matiques Il fait le lien entre les donn es physiques qu on observe et leurs cons quences sur la soci t humaine entre les sciences dites naturelles et les sciences humaines La force du g ographe c est de pouvoir b n ficier de la vue d ensemble d un g n raliste La formation ne conduit pas directement vers une sp cialisation o des connaissances tr s pointues se concentrent sur un petit domaine C est cette capacit int grer plusieurs disciplines qui m a permis d crire mes articles les plus novateurs Photo inScience ch La Suisse fait partie des r gions o le r chauffement est tr s intense Pendant le XX si cle on a observ dans notre pays un r chauffement de 1 5 C soit deux fois plus que la moyenne globale La position g ographique de la Suisse sur le continent eurasiatique explique en grande partie cet tat de fait Les zones continentales de l h misph re Nord subissent de plein fouet les variations climatiques Elles ne peuvent pas co
79. tamentaire Il renonce aussi faire une pr sentation histo rique et descriptive de l Ancien Testament pour ne pas sugg rer par un point de vue faussement ext rieur l impression d une intenable objectivit Enfin alors que sa formation pastorale l y m nerait pourtant naturellement il refuse gale ment de cantonner son herm neutique une approche ex g tique pour ne pas tomber dans le pi ge d une simple pr sentation technique des m thodes Si ces trois aspects sont n anmoins pr sents dans son ouvrage ils apparaissent au service d un projet plus large qu il d finit comme s approcher de l Ancien Testament dans le sens d une herm neutique qui vise comprendre Cette com pr hension est d j d clin e dans le sous titre en trois phases Comprendre se comprendre faire comprendre C est que l auteur ne se limite pas expliquer son objet il pourrait alors tomber dans le pi ge de la fausse objectivit d crit plus haut mais il tient donner au lecteur les cl s pour comprendre sa mani re d interpr ter pour saisir le cheminement qui va du texte l interpr tation Or c est bien l que r side la v ritable herm neutique de l Ancien Testament non dans le sens d une technique ou d une m thodologie interpr tatives mais bien comme une th orie de l interpr tation soumise la discussion et au d bat Une herm neutique de l Ancien Testament est donc un livre audacieux courageux et ma tris L a
80. ter contre le chrono racisme ce foss artificiel entre g n rations La qu te du sens J ai eu l impression de jouer un r le assez capital dans pas mal de vies sourit modestement Norbert Martin Lorsqu il occupait son poste 100 il a en effet conduit 300 400 entretiens par ann e J ai toujours fait mon travail en me demandant si ce que je faisais avait du sens s interroge Norbert Martin Alors comment explique t il le fl chissement de la popula rit des diff rentes aum neries estudiantines La distinction entre religion et spiritualit est de plus en plus grande A l poque on avait le choix entre la spiritualit et l ath isme cela s est bien diversifi Les virages de vie Norbert Martin les conna t bien Celui que lui a impos sa maladie il a subi une greffe compl te du c ur lui a permis de d ve lopper des valeurs allant dans le sens de la pr ciosit de la vie Cette pro longation extraordinaire de la vie est une nouvelle phase dans la continua tion et le changement explique Norbert Martin A 58 ans l aum nier s en va entretenir ses dadas l image de la programmation informatique mais il continuera proposer des entretiens de d veloppement personnel et rendre de nombreux services Il assurera en outre la transition avec sa nouvelle col l gue Florence Blaser On le croit sans peine lui qui avoue se sentir l Universit comme la maison vb La Junior
81. totalement nouvelles pour la science et le prix Jeunes Chercheurs de l Acad mie suisse des sciences naturelles ASSN Un prix d cern ce mois ci et qu il partage avec un deuxi me laur at Roland Graf Le je suis plut t probabiliste Alain Robert est l origine de la cr ation du dipl me interfacultaire sciences et conomie de math matiques appli qu es la finance Ce type de formation pluridisciplinaire me para t tre parfaitement adapt la situation de crise que connaissent actuellement les disciplines scientifiques et j entend bien conserver et encourager cette orientation Neuch tel Les sciences dites dures connaissent des difficult s de recrutement de nouveaux tudiants Quel est votre avis ce sujet Pensez vous qu il faille mener une action sp cifique afin de sensibiliser les lyc ens des disciplines comme les math matiques C est un probl me ind niable qui touche non seulement la Suisse mais toute l Europe M me les Etats Unis qui s en sortaient remarquablement bien il y a encore quelques ann es gr ce un important contingent d tu diants trangers venus essentiellement des pays asiatiques connaissent une forte diminution de leurs effectifs depuis les ann es 2000 Une action sp cifique aupr s des lyc ens peut sans doute d clencher quelques vocations et surtout permettre de mieux informer les lyc ens sur la nature des tudes scientifiques et leurs ventuels d bouch
82. u CSEM Neuch tel Mais Neode a une ambition beaucoup plus grande elle vise devenir v ritablement un lien entre les institutions de formation et de recherche et l conomie Neode sera un m lange des parcs technologiques connus l image de l Y parc d Yverdon des locaux et du coaching pour des entreprises d butantes et un l ment de liaison avec l conomie Gr ce Neode nous allons draguer l conomie et essayer d obtenir de nouveaux mandats ne provenant pas seulement de grandes entreprises mais galement d un cercle plus large de notre conomie pour l Universit le CSEM ou l Ecole d ing nieurs et valoriser la recherche qui est conduite dans ces institutions En ma qualit de pr sident de l Association industrielle et patronale de Neuch tel je devrai sensibiliser ses membres et donner confiance en Neode L conomie dans le cadre de ses actions de p rennit a des moyens Travaillons donc en priorit avec notre tissu et on pourra rayonner ensuite Dans la mesure o je pourrai trouver le moteur de ce type de d veloppement dans nos institutions de formation il y aura de la place dans notre parc Quel est votre int r t personnel vouloir amplifier ces rapports Ma passion c est une r gion Les d fis pour y maintenir l emploi sont gigan tesques Or si nous dynamisons une r gion nous dynamisons les entreprises de cette r gion et leur donnons les moyens de leurs ambitions J ai eu moi m me le privil ge
83. ublique Denis Knoepfler Le on inaugurale Professeur Jean Daniel Morerod Dies Academicus MANIFESTATION Lunch Egalit Rencontre Prof Ellen Hertz Helical Macromolecules synthesis and function Colloque Prof Yashima DATE LIEU Mercredi 15 octobre 10h30 Institut de chimie Av Bellevaux 51 Petit auditoire Mercredi 22 octobre de 17h15 19h45 Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 salle C49 1er tage Autres dates www unine ch foco Du jeudi 23 au samedi 25 octobre Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle RE 46 Vendredi 24 octobre Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 Du vendredi 24 au samedi 25 octobre Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz Du samedi 25 octobre au samedi 1er novembre de 17h15 19h45 Centre de formation du Comit International de la Croix Rouge Ecogia 12 14 1290 Versoix DATE LIEU Mercredi 29 octobre 10h30 Institut de Chimie Av de Bellevaux 51 Petit Auditoire Mercredi 29 octobre de 17h15 18h15 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle R N 02 Vendredi 31 octobre 17h15 Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 Aula Samedi 1er novembre 9h45 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz Aula des Jeunes Rives DATE LIEU Lundi 3 novembre de 12h30 13h30 Salle Arnold G
84. udace correspond au faire comprendre puisque l auteur place r solument sa recherche dans le d bat scientifique scientifici t fond e ici sur l intersubjectivit entre les chercheurs Martin Rose livre ainsi sa recherche au regard critique des autres interpr tes ce d autant plus qu il leur fournit les moyens de leur discussion en exposant ses pr suppos s Pour garantir un v ritable dialogue scientifique et un change fructueux entre interpr tes nous aurons besoin pour ainsi dire d une culture nouvelle en ex g se une nouvelle fa on de travailler que chacun n indique pas seulement comme on le fait d habitude les sources utilis es dans ses recherches litt ra tures premi re et secondaire mais que chacun s efforce d esquisser aussi ses 30 pr suppos s Une discussion qui ne porte rait que sur les r sultats ex g tiques per mettrait sans doute de mener d intermi nables d bats et de noircir de nombreuses pages mais la longue ce proc d conduirait un dialogue de sourds p 15 C est alors que l auteur se montre coura geux pour assumer jusqu au bout cette d marche en utilisant ses pr suppos s c est dire les conditions m mes de son regard personnel pour structurer son ouvrage Trop limit e la simple honn tet intellectuelle de laquelle il pour rait se contenter fait place des passages autobiographiques le se com prendre solidement articul s sa recherche
85. unication Rendre au football ce qu il m a donn Michel Platini tait en visite Neuch tel le 8 juillet Pour transmettre sa flamme aux tudiants du Centre international d tude du sport Le 8 juillet les tudiants de la troisi me vol e du cycle postgrade d tudes en Management droit et sciences humaines du sport recevaient leur titre de fin d tude Les journalistes s taient d plac s en nombre A vrai dire pour rencontrer Michel Platini surtout Ils n ont pas t d us Car si l ancien joueur de la Juventus et de l quipe de France dit ne plus se souvenir d avoir t footballeur J ai oubli que j ai t footballeur Je ne vis pas dans le pass les journalistes sportifs eux gardent en m moire sa science du jeu et son g nie Apr s un discours et la remise des CIES Fifa Awards aux tu diants qui venaient de terminer leur postgrade Michel Platini s est livr au jeu des questions r ponses devant la presse romande convi e l H tel DuPeyrou Avec un plaisir non dissimul La pr sence des journalistes n tait pas li e au seul souvenir de la gloire de Michel Platini Ce dernier joue en effet aujourd hui un r le en vue dans les organisations internationales du football Il pourrait dans les ann es venir prendre une place encore plus importante d apr s les pronostics des obser vateurs Mais il n en a pas dit plus Neuch tel A la question d un journalis te d sireux d y voir un peu plus
86. ux 51 t l 032 718 24 00 Prof Ward Semaine du 24 au 30 novembre 2003 MANIFESTATION Humour et joutes oratoires Colloque international De l usage de l criture dans la gestion d entreprise dans le monde romain Cours public Jean Jacques Aubert DATE LIEU Du jeudi 27 au samedi 29 novembre Institut d ethnologie Saint Nicolas 4 Mercredi 26 novembre de 17h15 18h15 Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle R N 02 RENSEIGNEMENTS Institut d ethnologie Saint Nicolas 4 t l 032 718 17 10 UER des sciences de l Antiquit T l 032 718 17 85 MANIFESTATION Lunch Egalit Rencontre Prof Ellen Hertz Le on inaugurale Professeure Angelika Kalt Comment traiter la non r ponse Cours Prof David Haziza L er 4 DATE LIEU Lundi 1er d cembre de 12h30 13h30 Salle Arnold Guyot Beaux Arts 21 B timent du Rectorat 2 me tage Vendredi 5 d cembre 17h15 Facult de droit et sciences conomiques Av du 1er Mars 26 Aula Du mardi 2 au jeudi 4 d cembre de 8h30 17h00 OFS Espace de l Europe 10 Sauf mardi apr s midi Facult des lettres et sciences humaines Espace Louis Agassiz salle R014 RENSEIGNEMENTS Egalit des chances Beaux Arts 21 t l 032 718 10 59 Rectorat Beaux Arts 21 t l 032 718 10 20 Chaire de statistique appliqu e Espace de l Europe 4 t l 032 718 14 72 Semaine du 8 au 14 d cembre 2002 MANIFESTATION
87. uyot Beaux Arts 21 B timent du Rectorat 2 me tage Mercredi 5 novembre 10h30 Institut de Chimie Av de Bellevaux 51 Petit Auditoire Semaine du 20 au 26 octobre 2003 RENSEIGNEMENTS Institut de chimie Av de Bellevaux 51 t l 032 718 24 00 Prof Stoeckli Evans Formation continue Av du 1er Mars 26 t l 032 718 11 20 Institut de philosophie T l 032 718 16 92 UER d conomie politique Av du 1er Mars 26 t l 032 718 14 00 IRER Pierre Mazel 7 t l 032 718 14 00 ISPA Congr s de Neuch tel CP 870 1001 Lausanne t l 021 321 29 85 IRER Pierre Mazel 7 t l 032 718 14 00 ISPA Congr s de Neuch tel CP 870 1001 Lausanne t l 021 321 29 85 Semaine du 27 octobre au 2 novembre 2003 RENSEIGNEMENTS Institut de chimie Av Bellevaux 51 t l 032 718 24 00 Prof Ward UER des sciences de l Antiquit T l 032 718 17 85 Rectorat Beaux Arts 21 t l 032 718 10 20 Accueil et immatriculation Av du 1er Mars 26 t l 032 718 10 01 Semaine du 3 au 9 novembre 2003 RENSEIGNEMENTS Egalit des chances Beaux Arts 21 t l 032 718 10 59 Institut de chimie Av Bellevaux 51 t l 032 718 24 00 Prof Ward des manifestations g enda de l Universit de Neuch tel www unine ch presse agenda agendaspc htm Semaine du 10 au 16 novembre 2003 MANIFESTATION Grand s minaire international espagnol 2
88. v ritable structure Finalement recherche appliqu e et acad mie doivent cohabiter J aime citer l image du r teau lorsqu on ratisse c est dire lorsqu on fait de la recherche fondamentale il reste entre les dents quelques petits cailloux qui seront utiles la recherche appliqu e S il ne restait jamais rien dans le r teau je ne ver rais plus la raison de ratisser L homme en bref Pierre Olivier Chave est le fondateur en 1976 et actuel pr sident d un groupe industriel international de quelque 450 collaborateurs PX Holding SA dont la maison m re est install e La Chaux de Fonds Vaudois et ing nieur de formation il s est sp cialis en m tallurgie sous la responsabilit du professeur neuch telois Willy Form Pr sident de l Association industrielle et patronale neuch teloise depuis 15 ans il a t nomm pr sident du conseil d administration de Neode alors que Thomas Hinderling directeur g n ral du CSEM Centre suisse d lectro nique et de microtechnique assumera la vice pr sidence Il a par ailleurs fait partie du Conseil de l Universit pendant de nombreuses ann es Draguer l conomie et valoriser les recherches Neode entend devenir un incubateur d entreprises Quelles sont vos attentes l endroit de l Universit de Neuch tel Se concentrent elles exclusivement sur le domaine des microtechniques Neode c est d j l heure actuelle pr s de 400 m de surface dans les locaux d
89. vier Mar as se diff rencie par sa singularit et son originalit Elle a d but avec des romans et r cits tels que Los demonios del lobo 1971 Traves a del hori zonte 1972 El monarca del tiempo 1978 et El siglo 1983 En 1986 il publie El hombre sentimental avec lequel il a obtenu le Prix Herralde de Roman En 1989 Javier Marias publie Todas las almas ouvrage qui lui vaut le Prix de la Ville de Barcelone Ecrit la premi re personne et ayant Oxford comme toile de fond il raconte l histoire des deux ann es pass es dans cette ville anglaise enseigner l Universit En 1992 il publie Coraz n tan blan co avec lequel il obtint succ s et popularit Il y relate une histoire sur le secret la suspicion au sujet de ce que l on dit et ce que l on cache ou ce qui appara t et ce qui ne se montre pas Avec Ma ana en la batalla piensa en mi il re oit en 1995 deux prix le Prix International de Roman R mulo Gallegos et le Prix F mina Etranger 1996 En 1998 il publie Negra espalda del tiempo un faux roman selon son auteur dans lequel il opte pour une exploration de nouveaux territoires discursifs epist mologiques et ontologiques Tu rostro ma ana 2002 est le premier volume d un projet extr mement ambitieux sur le pass espagnol et europ en l poque de la 2 Guerre mondiale compor tant deux volumes dont le titre g n ral est Fiebre y lanza Mar as est galement l auteur d
90. yonic appr cie la pr sence autour d elle de toute une gamme de corps de m tier Une situation qui permet cette entreprise active dans le domaine des syst mes de dosage ultra pr cis de sous traiter une partie de sa production Chez Seyonic SA l air du bureau est plut t lectronique Sur les tables cou rent un r seau de c bles dont les ramifications semblent se poursuivre de fa on encore plus impressionnante en dessous des dites tables Aux alen tours des ing nieurs tasse de caf en main ou main sur la souris les yeux riv s sur l cran Seyonic est la pointe en mati re de syst mes de dosage ultra pr cis Nos mesures sont de l ordre du nano litre soit un milli me de millioni me pr cise Marc Boillat Ce degr de pr cision prend toute sa signification lors qu on travaille avec des substances on reuses dont le moindre gaspillage entra ne d importants co ts suppl mentaires Aucune surprise donc voir figurer l industrie pharmaceutique en t te des clients de l entreprise L id e de se lancer dans cette fili re est pour ainsi dire venue du ciel Mon coll gue van der Schoot tra vaillait alors l Institut de micro technique IMT sur un projet impli quant l Agence spatiale europ en ne explique Marc Boillat Il s agis sait de mettre au point des bio r ac teurs permettant la croissance de cellules vivantes en apesanteur Les volumes disposition tant extr mement petits l quipe de

Unicité 22 - Université de Neuchâtel

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Unicit&eacute; 22 - Universit&eacute; de Neuch&acirc;tel

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Unicité 22 - Université de Neuchâtel