Retour expérience C4 . 2 - Energie Wallonie
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1. r union d Ecoteam a donn une formation de base aux participants en ce qui concerne la m thode d action et la sensibilisation des occupants Suite cette rencontre l Ecoteam a d lister les moyens de communication existants et r aliser un diagnostic participatif aupr s des occupants du b timent pilote via un sondage Il tait destin mobiliser les occupants sur la question de l nergie identifier les pratiques probl matiques et tablir un niveau de r f rence de sensibilisation Sur base du diagnostic comportemental et du diagnostic technique r alis par l auditeur un plan d actions a t d fini avec l Ecoteam lors d une 2 r union avec le Facilitateur Les mesures choisies devaient pr senter un co t tr s limit et tre relativement faciles mettre en uvre en vue d tre r alis es dans un d lai de 3 mois L accompagnement s est cl tur dans chaque institution en f vrier 2012 par une r union de bilan Elle tait destin e faire le point sur le fonctionnement de l Ecoteam et sur les actions men es mais aussi d finir les mesures prendre par la suite dans le b timent pilote et plus largement au niveau de l institution dans son ensemble R sultats des accompagnements R sultats globaux de la d marche Au terme de l accompagnement les principaux objectifs sont atteints e Des Ecoteams se sont structur es dans les diff rentes institutions et comptent poursuivre leurs actions dans le2. De son c t pour disposer d un syst me de suivi des consommations efficace l institution a d cid de mettre en place une comptabilit nerg tique automatis e avec syst mes d alerte ainsi qu une gestion technique centralis e GTC pour piloter les installations distance via ordinateur Cas 2 Cr che et chauffage Face aux besoins de cr ation de nouvelles places d accueil une cr che avait d installer un module pr fabriqu chauff par des convecteurs lectriques Pour viter que les enfants ne se br lent leur contact ils taient envelopp s de caissons en bois ajour s Ces caissons tr s occultant nuisaient la bonne diffusion de la chaleur dans la pi ce et r duisaient le rendement d mission Les pu ricultrices se plaignaient r guli rement d avoir froid L ouvrier polyvalent de l institution a donc confectionn des protections en bois barreaux n entravant pas la diffusion de chaleur L am lioration du confort a t imm diate et le local est devenu plus facile chauffer Par ailleurs les occupants ne maitrisaient pas le syst me de fonctionnement du thermostat qui tait par cons quent mal param tr Le local tait presque chauff en continu Une pu ricultrice de l Ecoteam a donc t choisie pour tre responsable du r glage correct du thermostat en collaboration avec le responsable nergie Dor navant la cr che pratique une intermittence du chauffage le chauffage est coup la
3. b timent pilote et plus largement l chelle de toute l institution e Les associations ont pris conscience des principaux enjeux nerg tiques de leur b timent pilote et ont identifi de nombreuses actions reproductibles dans d autres b timents e Au bout de 3 mois d action dans le b timent pilote les mesures pr cis ment chiffrables sont encore peu nombreuses Soit parce que le d lai pour r aliser une premi re valuation est trop court soit parce que les institutions ne disposaient pas encore d un syst me de suivi des consommations adapt manque de compteurs pas de suivi mensuel pas de normalisation des consommations permettant de gommer le facteur climatique Cet tat de fait a cependant permis de convaincre les institutions de l importance du suivi comptable des consommations pour tre en mesure de mesurer rapidement les effets des actions men es e Une premi re s rie d actions techniques et ou de sensibilisation ont t men es dans toutes les institutions Certaines pr sentent d j des r sultats encourageants qui servent motiver les institutions dans leurs d marches am lioration du confort changements de comportements baisses de consommations e Globalement les bases ont t pos es pour qu une politique de gestion de l nergie p renne dans le temps soit d velopp e Les membres de l Ecoteam ont appris travailler ensemble et le Responsable Energie a mieux compris quel devait tre son r le Les D
4. co t de l nergie les factures s alourdissent amputant progressivement les enveloppes de fonctionnement des associations Liste des institutions accompagn es en 2011 2012 Secteur Institution Ville et Province Maison de Repos Val des S niors Groupe Vivalia Chanly Namur Maison de Repos La Providence ACIS Group Beaufays Li ge Aide la Jeunesse Village d Enfants SOS Bande Luxembourg Chantevent Aide la Jeunesse Le Logis asbl Genval Brabant Wallon Cr che Le Rouveroy asbl institution Le Rouveroy Hainaut multiservices maisons de repos h bergement de personnes handicap es cr che Cr che Arcs asbl institution Barchon Li ge multiservices Entreprise de Travail Adapt Asbl Pour Demain Atelier le Val de Geer Bassenge Li ge Entreprise de Travail Adapt Village n 1 institution Ophain Brabant Wallon multiservices H bergement de personnes Asbl Revivre Sugny Vresse sur Semois Namur handicap es H bergement de personnes Centre Reine Fabiola Neufvilles Hainaut handicap es institution multiservices Offre d accompagnement propos Ces institutions se sont vues proposer 4 rencontres individuelles sur site 3 r unions d Ecoteam session de formation et d explication de la d marche d finition d un plan d action rencontre bilan et un pr check mini audit nergie d un b timent pilote r alis p
5. nuit et les week ends maintient hors gel et le chauffage est relanc suffisamment t t pour que le confort soit assur l arriv e des occupants gt Plus d informations sur l intermittence du chauffage Consulter le site Energie http www energieplus lesite be energieplus page 10926 htmtrn Cas 3 Aide la Jeunesse et sensibilisation des jeunes l nergie Une institution d aide la jeunesse a d cid de sensibiliser aux conomies d nergie les jeunes qu elle h berge Une collaboration a t d velopp e avec le Facilitateur Education de Wallonie pour mener une action test dans ce type d institution Une premi re demi journ e d activit s pratiques a t organis e pour faire comprendre aux jeunes ce qu est l nergie et quelles sont les solutions pour l conomiser Comment garder la chaleur des maisons Comment isoler un tuyau de chauffage Comment construire un circuit lectrique Pourquoi certaines lampes comportent elles des r flecteurs Etc Dans un second temps il est pr vu qu un concours conomie d nergie soit organis entre diff rents pavillons d h bergement Les conomies lectriques pourront tre valu es pr cis ment gr ce des Ecowatt plac s dans chaque pavillon De quoi motiver les jeunes mais aussi le personnel d encadrement gt Bon savoir des associations proposent en Wallonie des activit s de sensibilisation l environnement et l nergie Informations sur www
6. reseau idee be Cas 4 H bergement de personnes handicap es Dans une institution d h bergement de personnes handicap es o des r sidents ont t impliqu s dans la d marche nergie les comportements ont commenc changer notamment en ce qui concerne l extinction des lumi res inutiles Certains r sidents se sont vus confier des t ches permettant de les valoriser et de les responsabiliser L un d entre eux par exemple a t charg du relev r gulier des compteurs du b timent Par ailleurs la d marche commence faire boule de neige car les r sidents du b timent pilote changent avec ceux d autres b timents et commencent les sensibiliser l nergie Cette institution a galement chang les tubes fluorescents T8 des locaux de vie du b timent au profit de tubes LED qui ne n cessitent pas le remplacement complet des luminaires L exp rience tant concluante ce sont tous les tubes de l institution qui vont tre chang s 41 par tube LED Enfin l institution est en train de mettre en place une proc dure de suivi des d placements du parc de v hicules de l institution en vue de r duire le kilom trage global Cas 5 Maison de repos nouvelle construction et r novation int grale Une maison de repos projetait de r nover int gralement son b timent existant enveloppe HVAC clairage etc et de construire une nouvelle extension Dans ce cas l accompagnement a essentiellement permi
7. Retour d exp rience Accompagnements l URE et la sensibilisation de 10 institutions du secteur non marchand 2011 2012 Auteur Fanny Roux Facilitateur URE non marchand de Wallonie Tel 081 24 90 28 Union des entreprises profit social ASBL Square Arthur Masson n 1 boite 7 5000 Namur Tel 081 24 90 20 Fax 081 24 90 30 wWww unipso be Date de cr ation mars 2012 Plus d informations gt Sur les services du Facilitateur URE non marchand de Wallonie et informations centr es sur les institutions profit social www unipso be rubrique Energie gt Sur l nergie www energieplus lesite be et www energie wallonie be En 2011 l une des missions du Facilitateur URE non marchand de Wallonie a t d accompagner durant 1 an 10 institutions pour les aider d velopper une politique d conomies d nergie L accompagnement propos concernait les aspects m thodologiques techniques et ceux li s la sensibilisation des occupants Un appel candidature a permis de s lectionner des institutions motiv es aux consommations lev es souvent dot es d un parc de b timents important et quitablement r parties sur le territoire wallon Pour la p riode mars 2011 f vrier 2012 des asbl de cinq secteurs ont t retenues R duire les consommations est en effet un enjeu important dans le secteur non marchand o le parc immobilier vieillissant est souvent v tuste et nergivore Avec l augmentation du
8. ar un auditeur Deux r unions collectives r unissant les 10 institutions ont aussi t organis es La premi re a permis de lancer la d marche et de pr senter la m thodologie d action les outils disposition la r glementation en vigueur et les primes disponibles La seconde a eu lieu mi parcours en d cembre 2011 pour que les institutions changent entre elles sur l tat d avancement de leurs projets sur les difficult s rencontr es et les solutions trouv es dans une logique d mulation collective Cela a t l occasion pour le Facilitateur de rep rer les principaux probl mes et d apporter des conseils pour les r soudre Le t moignage d un responsable nergie exp riment a en outre permis de rappeler l importance de structurer la d marche et de pointer des actions particuli rement rentables Afin d aider les participants dans leurs d marches du mat riel d investigation nerg tique a t pr t par le Facilitateur enregistreurs de temp ratures et wattm tres Une cl USB combpilant l essentiel de la documentation n cessaire au projet a aussi t fournie guides m thodologiques documents techniques et cahiers des charges types pour le responsable nergie documentation et outils de sensibilisation etc Les 3 piliers de la d marche suivi des consommations nerg tiques am lioration de la performance nerg tique des b timents et sensibilisation des occupants La m thode propos e pour inst
9. aurer une politique d conomie d nergie s est bas e sur la d marche PLAGE exp riment e durant plusieurs ann es en R gion Bruxelloise La r alisation d un PLAGE Plan Local d Action pour la Gestion Energ tique dans 70 b timents communaux et 5 h pitaux bruxellois a en effet permis de faire baisser leurs consommations en combustibles d environ 15 et de stabiliser voire de r duire jusqu 4 leurs consommations d lectricit tout cela en 3 ans Un guide PLAGE existe depuis 2010 En tant qu outil m thodologique et technique il d taille les fonctions du Responsable nergie les tapes de mise en uvre le planning et les priorit s d intervention les strat gies d intervention ainsi que de nombreux trucs et astuces gt Il est accessible sur le site de l IBGE www bruxellesenvironnement be Accueil gt Professionnels gt Themes gt Energie gt Ma triser la consommation dans les b timents P L A G E SYST ME DE MANAGEMENT EN RGETIQUE RESPONSABLE NERGIE SA MISSION coordonner la gestion nerg tique au sein de son institution dans le but de diminuer les consommations d nergie et les stabiliser un niveau inf rieur Source Manuel PLAGE R ussir une politique de gestion nerg tique efficace IBGE 201 M THODE DE TRAVAIL RESPONSABLE NERGIE TEAM NE RGIE or Source Manuel PLAGE R ussir une politique de gestion nerg tique efficace IBGE 2010 La d marche c
10. es occupants du b timent pilote Cela a permis d interpeller les personnes sur leurs pratiques de les mobiliser sur la question de l nergie de les associer la d marche en leur donnant l opportunit de donner leur avis et enfin d identifier les comportements les plus probl matiques qui m ritent de faire l objet d une sensibilisation Suite ce sondage des changements de comportements notables ont t remarqu s m me sur des th matiques o il n y a pas eu d actions de sensibilisation pouss es par la suite e Sensibilisation sur l usage des vannes thermostatiques explications en r union du personnel affiches Les informations fournies ont t bien accueillies par le personnel d autant plus qu elles leur sont galement utiles domicile e D finition avec le personnel de proc dures de ventilation efficaces et conomes en nergie dans les b timents sans syst me de ventilation m canique contr l d finition des r les de mani re ventiler de mani re intensive en ouvrant les fen tres durant 5 10 mn chambres et salles de bains e Dans les 10 institutions distribution tous les membres du personnel de la brochure 101 id es fut es pour faire des conomies d nergie chez soi e Communication sur le projet nergie objectifs participants actions pr vues etc et sur les consommations de l institution en interne e Diffusion r guli re de conseils pratiques pour conomiser l nergie dans les p
11. i dessus a cependant d tre adapt e pour tre mise en uvre en 10 mois au lieu de 3 4 ans comme Bruxelles Les institutions ont t invit es se concentrer sur un b timent pilote pour mettre en place de mani re acc l r e un cycle PLAGE de 4 tapes L objectif Apprendre une m thode d actions en travaillant sur un b timent pilote Donner l occasion aux membres de l Ecoteam d apprendre travailler ensemble en vue d instaurer une structure de gestion de l nergie p renne dans l institution Puis tendre l exp rience acquise l ensemble de l institution dans un timing pluriannuel Mise en uvre de la d marche PLAGE adapt e En mai 2011 la 1 r union collective de lancement a t l occasion de donner aux institutions une s rie de t ches r aliser pour fin ao t Chaque institution a d d signer un Responsable Energie et constituer une Ecoteam r aliser un cadastre nerg tique pour identifier les b timents prioritaires et choisir un b timent pilote pour y mener une premi re s rie d actions techniques et ou comportementales Chaque Ecoteam est en g n ral constitu e d un repr sentant de la direction d un responsable technique d un responsable nergie et de repr sentants du personnel issus de divers services Des informations d taill es sur le b timent pilote ont ensuite d tre fournies en vue de pr parer la visite de l auditeur nergie pr vue entre septembre et octobre La 1
12. irections ont pris la mesure du potentiel de r duction des consommations dans leurs b timents mais aussi de la charge de travail et des changements organisationnels qu implique une gestion de l nergie efficace On constate que les institutions qui ont le plus avanc dans la d marche sont celles e O la direction est particuli rement volontaire et suit de pr s le projet e O les membres de l Ecoteam sont motiv s et repr sentatifs des divers services de l institution e O le Responsable Energie dispose de suffisamment de temps pour mener bien ses nouvelles missions Exemples d actions fr quemment r alis es dans les institutions s lectionn es Suivi des consommations A la fin de l accompagnement toutes les institutions sont conscientes du fait qu il n est pas possible de g rer ce que l on ne conna t pas L instauration d un suivi des consommations fait d sormais partie des priorit s Voici une s rie d actions qui sont r alis es ou en cours de mise en uvre en 2012 e Placement de compteurs d eau d lectricit de chauffage pour permettre un suivi des consommations e Instauration d un suivi r gulier des consommations et normalisation des consommations de combustible utilisation de tableurs de suivi gratuit en ligne normalisation maison ou projet de comptabilit nerg tique automatis e dans certaines grandes institutions e R alisation de campagnes de mesures pour objectiver les gaspillages enregistre
13. ment de temp ratures pour identifier les probl mes de r gulation et de surchauffe mesure des consommations des appareils lectriques pour identifier les consommations de veille et les consommations cach es finalit de sensibilisation des utilisateurs e Achat de mat riel d investigation nergie en vue d tre autonome apr s la p riode d accompagnement du Facilitateur enregistreurs de temp rature thermom tres Aspects techniques Les actions se sont focalis es sur les consommations de chauffage car elles constituent la part la plus importante de la consommation nerg tique des institutions en volume comme en co t e R vision du param trage de la r gulation du chauffage pour chauffer les bons locaux au bon moment et la temp rature adapt e l usage du local Sur les 10 institutions toutes pouvaient r aliser d importantes conomies en ajustant les param tres de r gulation Les associations disposant d une r gulation en tat de fonctionnement ont pu agir directement souvent en red couvrant le mode d emploi de leur r gulation Les responsables techniques et les repr sentants du b timent pilote membres de l Ecoteam ont pu progressivement d finir un mode de r gulation ad quat ne diminuant pas le confort des occupants Dans d autres cas lorsqu il n y avait pas de module de r gulation ou que ce dernier avait t by pass les institutions ont du r aliser un investissement tr s rentable e R visi
14. on du contrat de maintenance du chauffage pour y inclure des exigences URE e Isolation des tuyaux d eau chaude pr sents dans les locaux non chauff s temps de retour lt 1 an e Isolation des tuyaux d eau chaude dans des locaux chauff s pour viter les probl mes d inconfort li s des surchauffes r currentes exemple 27 C en novembre dans une maison de repos alors que les radiateurs ne fonctionnent pas dans le local e Am lioration de l tanch it l air des fen tres et des portes pour supprimer les courants d air Cr ation de sas d entr e e Placement de vannes thermostatiques administratives bloqu es dans les communs pour viter les usages inadapt s par les occupants Perspectives de placement de ces vannes galement dans les chambres dans les institutions d h bergement de personnes handicap es e Isolation de combles non occup s e Placement de r ducteurs de pression sur certaines robinetteries conomie moyenne de 30 de la pr paration de l eau chaude pour les robinets et 70 de la pr paration de l eau chaude pour les douches e Planification du nettoyage r gulier des luminaires pour am liorer le rendement lumineux et le confort visuel Aspects sensibilisation Selon les priorit s d action identifi es dans chaque association les actions de sensibilisation ont t plus ou moins d velopp es Cependant certaines mesures reviennent fr quemment e R alisation d un sondage nergie aupr s d
15. riodiques internes aux institutions Exemples d actions sp cifiques remarquables Cas 1 Centre multi activit s pour personnes handicap es et contrat de maintenance En travaillant sur son b timent pilote l Ecoteam d une importante institution d h bergement et d occupation de personnes handicap es s est rendue compte que le syst me de r gulation du chauffage tait d fectueux Apr s consultation des documents techniques le Responsable Energie a constat qu un contrat d entretien de l installation de chauffage omnium existait bel et bien depuis une quinzaine d ann es mais qu il n avait pas correctement t appliqu Les r gulateurs n avaient pas t comme ils auraient d l tre r guli rement maintenus en tat ou remplac s Cons quence les syst mes de r gulation avaient t neutralis s dans de nombreux b timents au d triment de la consommation nerg tique La direction de l institution s est alors appliqu e revoir le contrat d entretien avec la soci t de maintenance R sultat cette derni re s est engag e r aliser un audit nerg tique chauffage et rendre la r gulation op rationnelle et performante principalement ses frais L conomie de chauffage r alisable est particuli rement importante et rentable sur le poste r gulation On estime qu en passant d un syst me sans r gulation une r gulation adapt e une conomie de 30 est tout fait envisageable
16. s d augmenter significativement les exigences URE des cahiers des charges vieux de 5 ans notamment au travers d une relecture critique de ces derniers par le Facilitateur Par exemple il est d sormais tabli que le b timent r nov devra atteindre un niveau d isolation global de K32 contre K45 pour un niveau r glementaire qu il sera quip de luminaires performants avec essentiellement des tubes T5 et des ballasts lectroniques g r s par des sondes cr pusculaires etc Cette institution servira de pilote au groupement d institutions de soins de sant auquel elle appartient 7 sites hospitaliers 4 maisons de repos 1 maison de soins psychiatriques 1 habitation prot g e Les cahiers des charges pourront servir de mod le dans d autres projets Par ailleurs l accompagnement a permis de dynamiser l engagement du groupe en faveur des conomies d nergie Une mission URE a officiellement t confi e un architecte r cemment engag la Direction technique En 2012 un cadastre nerg tique et un suivi comptable des consommations nerg tiques devraient tre mis en place au niveau de l ensemble du groupe C est galement ce niveau qu est en train de se constituer une Equipe nergie
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