Avis du CESC : La participation citoyenne
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1. FAIRE UNE PLACE AU HASARD G n raliser le tirage au sort peut permettre de faire venir de nouvelles personnes pour participer aux diff rents organes de d mocratie participative Objectifs Dynamiser le fonctionnement de la d mocratie locale rez enne en permettant le renouvellement des participants et en faisant d couvrir les diff rentes instances Donner l impulsion des gens qui n osaient pas franchir le cap de l inscription volontaire Mise en uvre Nous proposons que les Conseils Consultatifs de Quartier CCQ et le coll ge habitants du Conseil Economique et Social Communal CESC soient compos s pour 50 de volontaires et pour 50 de tir s au sort De plus les personnes quittant les conseils devraient tre syst matiquement remplac es par des tir s au sort afin d avoir un renouveau de personnes motiv es m me au cours d une ann e de travail Ce tirage au sort pourrait tre annonc dans les m dias de la ville et de la communication serait n cessaire autour de ce syst me Nous proposons un nouveau mode de gouvernance des instances Le pr sident de la s ance pl ni re du CESC serait lui aussi tir au sort avec possibilit de refus au d but de chaque pl ni re et exercerait son mandat sur une p riode limit e dans le temps il serait pr sident partir de la fin de la s ance pl ni re jusqu la fin de la suivante Pour les CCQ un r f rent serait tir au sort parmi les2. les r gles du jeu concernant les CCQ et le CESC ne sont pas forc ment bien tablies au d part et r guli rement rappel es quoi a sert objectivement les sujets trait s ne sont pas toujours f d rateurs ces instances ne sont que consultatives pas d autosaisine r guli re pas de co construction de projet population collectivit lus la repr sentativit n est pas r elle pas de jeunes actifs peu de femmes pas toutes les cat gories socioprofessionnelles les outils utilis s ne sont pas forc ment toujours adapt s Pour lui pour qu il y ait adh sion il faut qu il y ait un sentiment de servir quelque chose la collectivit la Ville et qu en retour la collectivit intervienne pour les individus donnant donnant I nous invite bousculer les lus par une critique objective du fonctionnement actuel de nos instances et des propositions ambitieuses 29 Il pr conise de tablir et rappeler r guli rement les r gles du jeu de ces instances revoir le mode d adh sion aux instances tirage au sort volontariat transformer ces instances en e panel consultatif sondage en fonction des probl matiques rencontr es par les habitants ou et par la collectivit faire voluer ces instances en lieu de propositions et de co construction de projet et non plus seulement d information faire voluer les pratiques et les relations lus habitants pro assos les lus sont des cit
3. locale Reseke Faire une place au hasard Services municipaux b 4 Rez Favoriser l expression CCQ CESC services bb 7 5 citoyenne au sein des municipaux Reze Reze instances CCQ et CESC Former les intervenants Formateur ext rieur 6 Rez Moyens ext rieurs de Service Com TAN CSC r communication M dias Rezo Familles monoparentales Services municipaux CCQ 8 CESC Rez Rez La cha ne de discussion Services municipaux CESC 9 cca Rez L Agora Services municipaux di citoyens CESC FREE REAN REZ Un ensemble de bonnes Services municipaux CCQ 11 Rez pratiques CESC 4 La mise en uvre des propositions A pr sent voici le d tail des propositions sous la forme de 11 fiches synth tiques pr sent es ci apr s PROPOSITION N 1 LE GUIDE DE LA CITOYENNETE Donner envie la lecture du guide de participer la vie de la commune quel que soit son ge Objectifs Trouver une r ponse aux attentes du jeune et ou du citoyen d sirant s exercer la d mocratie participative Je suis au coll ge lyc e et je veux agir en faveur des jeunes J ai 16 ans et je dois me faire recenser J ai plus de 18 ans et je veux voter Je veux participer la vie de mon quartier Je r fl chis l avenir de ma ville Je souhaite changer sur un th me libre Je suis disponible en journ e mais pas en soir e Je suis peu disponible mais je s
4. 81 ans 80 ans 47 ans 77 ans 67 ans Part des tir s au sort Participation dans chaque CCQ des tir s au sort 35 Evolution de la participation dans les CCQ depuis 2004 Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 Blordi re D but de Fin de mandat mandat 66 49 Pont Rousseau D but d mandat Trentemoult D but d mandat 35 NC 24 Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 D but de Fin de mandat mandat 57 24 Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 D but de Fin de mandat mandat Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 NB Juin 2004 Dec 2006 Janv 2007 D c 2008 F v 2009 Dec 2011 F v 2012 D c 2014 Houssais D but de mandat 38 NC 36 o 17 25 RHDV D but de mandat Chaque mandat a t divis en 3 p riodes de dur e gale environ 10 mois chacune La p riode allant de janvier 2007 d cembre 2008 correspond un prolongement du mandat pr c dent Celui ci a en effet t ouvert d au
5. guli rement absent des ateliers cette ann e il constate que lorsqu on n est pas pr sent physiquement on ne s autorise pas de la m me fa on des commentaires Son ressenti est que quelque part on n a pas son mot dire on n a pas la l gitimit quand on n est pas venu Le fait que l atelier n arrive pas tre au complet est un regret partag Une r union compl mentaire pourrait elle y pallier Si l id e est retenue de d multiplier les r unions du CESC il faut un compte rendu l issue de chaque r union et un lien entre les deux r unions une animation La limite r side alors dans le temps pris par les personnes qui accompagnent les instances CESC et CCQ Une solution est d imaginer des points d tape o le personnel municipal est l et de faire sans lui entre temps Il doit tre possible de permettre des citoyens de Rez de s exprimer sans se raccrocher la municipalit Ne serait il pas possible de mobiliser des b n voles dans le cadre des CSC Il existe un tissu local important sur Rez les CSC connaissant bien les habitants ce pourrait tre un moyen d attirer du monde Dans cette perspective on ouvre la cha ne de discussion d autres groupes que les CCQ et le CESC L id e est d utiliser d autres structures que la mairie pour r unir des membres d avoir plus de personnes d autres locaux Le sens d associer les CSC cette proposition serait de multiplier les lieux Dans ce cadre la ch
6. liorer la vie de la commune c est la mission des Rez ens membres du Conseil Economique et Social Communal mis en place depuis 1993 Six sept fois par an les membres se retrouvent pour r pondre une question pos e par la Ville ou un probl me dont ils se sont autosaisis dans diff rents domaines l chelle de la ville ou de l agglom ration Le CESC met un point de vue citoyen sur ces questions et apporte un clairage utile aux lus et services de la Ville Les Conseils consultatifs de quartier CCQ Lieux de concertation d bats et initiatives en th orie les Conseils consultatifs de quartier CCQ contribuent la r alisation de projets visant le bien vivre de tous Plusieurs fois dans l ann e c est l occasion d changer sur la vie du quartier de faire des suggestions d am lioration et de proposer des nouvelles id es en th orie La participation des CCQ fait partie des tapes importantes de validation d un projet concert Objectifs Associer les habitants les repr sentants d association au d bat sur la vie de leur quartier favoriser le dialogue entre les g n rations les cat gories socioprofessionnelles en permettant l expression et l coute de tous renforcer le lien social en th orie 2 Le constat Le CESC a plus de 20 ans et les CCQ plus de 13 et s essoufflent de plus en plus d o notre objectif trouver des solutions pour dynamiser la participation citoyenne
7. Agora pourrait en quelque sorte tre le think tank de la Ville La question se pose de savoir si les gens vont venir pour quelque chose de plus sans but pr tabli Au niveau de l organisation personne n est cens venir l Agora except celui qui a propos le sujet Il faut pour que cela fonctionne que l Agora soit un lieu de vie il faut quelque chose qui unisse les gens Le rapport avec les petits d jeuners d entreprise est mentionn A titre d exemple l agora aurait pu tre un lieu o discuter de l Europe avant les lections europ ennes Il serait utile d y trouver un acc s Internet pour permettre la recherche d informations plusieurs Le danger est que ce qui se dit l agora ne soit pas repris Faut il formaliser transmettre ce qui est dit la municipalit L atelier estime que la parole des gens de l agora doit tre entendue un niveau sup rieur cela donnerait une autre port e Le reproche entendu avec les CCQ est qu ils ne sont pas un lieu de d bat on y coute la bonne parole L avantage de l agora serait d tre un lieu de d bat Les sujets pourraient tre propos s par les instances les caf s d bats font recette avec des sujets impos s et terme tre libres 22 La question est pos e de savoir si l agora peut tre un lieu sur lequel on peut int resser et recruter pour les instances existantes Oui car il s agira en quelque sorte d une formation l animation C e
8. Pas une association de d fense de quartier mais une association qui serait dans les r flexions constructives sur le quartier dans l animation Elle serait force de propositions L lu de quartier en serait membre d office 26 Groupe 3 Rapporteur St phanie Le Derf Le groupe fait le constat que les CCQ sont plus des r unions d information que de participation que le d bat manque Propositions et constats Des CCQ ouverts aux associations Que les CCQ soient consult s bien en amont des projets Les habitants connaissent leur quartier cela pourrait viter certains projets qui cassent le lien social Le constat est fait que beaucoup de propositions et d avis ne sont pas pris en compte Beaucoup de propositions concernent la s curit Est ce bien l endroit Il est propos la r alisation d un descriptif clair des questions qui peuvent tre abord es en CCQ II faut tablir des r gles du jeu d s le d but des objectifs bien clairs Que chaque proposition ait une r ponse et qu elle soit expliqu e Les habitants sont en attente de savoir o vont les propositions Sur le tirage au sort le groupe estime qu il permet de toucher des gens qui ne connaissent pas les CCQ Les chiffres communiqu s montrent que les tir s au sort ne viennent pas moins que les autres Il est important que les lus soient pr sents car ils connaissent les projets du quartier Mais ce n est pas forc ment l lu de
9. diriger toute la r union 2 3 du temps pourrait tre pr par par la Ville et 1 3 du temps laiss aux habitants Cela nourrirait le d bat et l information ascendante Election d un pr sident du CCQ pourquoi pas II pourrait tre un tampon entre la Ville et le CCQ Des r unions par trimestre des repr sentants de chaque CCQ Conclusion impression d tre des faire valoir sur des sujets d j trait s Groupe 4 Rapporteur Genevi ve Leibe Propositions Pour attirer des jeunes faire passer l information dans les lyc es dans les CSC Une organisation et une hi rarchie dans les CCQ Le groupe se prononce contre cette id e Pourquoi des membres du CESC n iraient ils pas dans les CCQ exposer les th mes sur lesquels ils travaillent Communication entre les CCQ ils ne se rencontrent pas Le groupe rappelle la bonne exp rience d une r union provoqu e par les CSC Possibilit de donner l avance au service Communication des questions traiter en plus de ce que l lu propose Plusieurs autres propositions sont mises lors du bref d bat qui suit les restitutions du travail en groupe Transmettre l existence des CCQ quand les jeunes viennent s inscrire sur les listes lectorales Cr er un outil pour que les citoyens qui veulent s investir sachent vers quelle instance aller proposition d un membre du CCQ de Pont Rousseau qui a constat qu il aurait pr f r tre membre du
10. les participants Cr er des Murs du quartier libert d expression offerte tous les citoyens avec la possibilit d crire ses remarques r flexions sur un tableau dans le hall de la mairie les centres socioculturels avec o sans th matique de r flexion Les changes seraient consultables sur le site Internet de la Ville par le biais d une photo du tableau Organiser des portes ouvertes des instances de fa on ponctuelle ou r guli re les membres de chaque instance peuvent inviter un observateur amis famille voisins qui pourra ventuellement participer aux d bats Limites Mur du quartier possibilit de d rapages verbaux petites annonces revendications annonces commerciales ne peut fonctionner sans mode d emploi simple et pr cis ne peut s adresser qu un public lettr La gestion de la libert Annexes Echanges n 5 5 PROPOSITION N 6 FORMER LES INTERVENANTS C est donner aux participants membres et lus les outils n cessaires un change quilibr et constructif Objectifs Chacun ayant des caract res diff rents certains peuvent prendre le dessus sur une r union et laisser peu de place des individus plus discrets mais qui ont pourtant un point de vue int ressant donner Prendre la parole en public peut tre un frein la participation surtout pour les personnes les plus en difficult s Ces formations ont pour objectif
11. symbolique L atelier d bat sur le fait de savoir s il faut limiter la participation aux enfants habitant la commune comme cela se fait Saint S bastien Il d cide d ouvrir aux enfants scolaris s sur la commune 17 5 3 Amener les publics loign s L objectif est de trouver une autre fa on de travailler avoir un regard diff rent Il est propos de g n raliser les bin mes afin qu on ne puisse pas d tecter les personnes parrain es L atelier trouve l id e int ressante mais sa mise en uvre ne semble pas r alisable Propositions de r gles de fonctionnement Syst matiser le b ton de parole faire circuler un b ton ou tout autre objet celui qui l a en sa possession s exprime permettant ainsi l expression de chacun lors de la 17 r union d une instance lors du tour de table de pr sentation se contenter de d cliner son pr nom et son adresse quartier afin de mettre tout le monde au m me niveau sans distinction de cat gorie socio professionnelle employer des mots compr hensibles par tous dans les documents relatifs aux instances ex commencer les comptes rendus par une sorte de synth se facile comprendre 5 4 Faire une place au hasard actuellement le tirage au sort existe dans les CCQ afin d augmenter le nombre d inscrits dans les quartiers o cela fait d faut pour le CESC proposition d effectuer un tirage au sort parmi les diff rentes associations afin que ce
12. 2 CONSEIL CONOMIQUE a EE r Reze ET SOCIAL COMMUNAL AVIS 2013 2014 La participation citoyenne Pr sent en s ance pl ni re le 1 juillet 2014 Vous allez pr sent d couvrir le fruit de notre r flexion autour du th me de la participation citoyenne et surtout comment l largir et la dynamiser Dans le cadre de notre r flexion nous avons donc souhait vous pr senter notre avis de mani re fonctionnelle synth tique et pr t l emploi Vous trouverez notamment le tableau g n ral des propositions qui fonctionne comme un sommaire suivi du d veloppement de chacune de ces propositions sous forme de fiche synth tique Cette forme vous permettra par la suite de retrouver facilement le contenu que vous cherchez En annexes vous trouverez la r daction des diff rents changes qui ont amen le CESC produire chacune de ses propositions Commen ons par rappeler la probl matique qui a t pos e 1 La probl matique Questionnement de la municipalit Comment dynamiser les instances de participation de la Ville CESC CCQ r union publique qui sont confront es un certain essoufflement Comment largir les publics jeunes habitants des quartiers d favoris s Quelles d marches Quelles ressources Quels outils Afin de comprendre ce que sont ces instances il convient de les d crire Le Conseil Economique et Social Communal CESC D battre et proposer des id es pour am
13. CESC Cr er une adresse courriel pour joindre chaque CCQ Fran ois Nicolas invite les participants la r union envoyer un courriel la D mocratie locale s ils veulent poursuivre le d bat Yves Madeline indique que des membres du CESC seront pr sents lors des voeux et invite les membres du CCQ partager cette information Eric Perraud rappelle qu il y a environ un an et demi une r union a rassembl des membres des CCQ et des sp cialistes pour parler du fonctionnement des CCQ Un compte rendu des travaux a t fait Eric Perraud demande si le CESC en a pris connaissance Il regrette en tant que participant aux travaux de n avoir pu lire ce document Il pr cise qu on lui a r pondu qu on ne pouvait plus le lire car on tait en p riode pr lectorale 27 5 12 Comptes rendus d auditions L ducation la citoyennet Genevi ve Leibe a eu un entretien t l phonique structur avec une amie enseignante en histoire g ographie instruction civique en coll ge Celle ci reste la disposition du groupe Voici les principaux points de cet entretien L enseignante distingue enseignement la citoyennet et ducation la citoyennet Elle pratique l ducation la citoyennet Interrog e sur ce que pensent les l ves de la participation des instances de d mocratie locale elle r pond qu il y a de la part des l ves comme de nombreux adultes une m connaissance du fonctionnement politique de la so
14. Groupe 2 Rapporteur Yves Madeline Le groupe se pose au pr alable la question d une d finition n cessaire de ce qu est la d mocratie participative Il fait le constat que beaucoup de sujets ont d j t trait s ou d cid s Autre constat la collusion dans le m me service entre d mocratie participative et communication a sans doute amen une inversion de ce qui avait t d cid sur les CCQ On tait au d part sur de l information remontant des quartiers vers la municipalit On est aujourd hui uniquement sur de l information descendante une communication du haut vers le bas Sur le tirage au sort le groupe estime que c est une utopie La pr sence de la plupart des tir s au sort finit par s roder comme celle des autres La pr sence cette r union de plusieurs tir s au sort nuance ce constat Propositions faites Une communication vers les habitants pour informer que les CCQ existent Cr er un bureau qui s occupe du CCQ une instance de quartier Le bureau serait collecteur des informations venant du quartier Le bureau aurait 50 de l ordre du jour des r unions qui seraient de son actif et 50 pour la mairie Ce bureau serait en lien avec les associations li es au quartier Il irait vers elles pour donner et recueillir de l information Ce pourrait tre un moyen de toucher les jeunes des associations Cette proposition pourrait aller jusqu cr er une association sp cifique par quartier
15. S Il s agit de permettre aux parents seuls de pouvoir participer aux d bats en mettant en place un moyen de garde de leur s enfant s Objectifs Lib rer les parents des contraintes familiales Mise en uvre en 3 points Mettre en place un syst me de garderie tel que celui du guichet unique de la rentr e de septembre pour les r unions du soir dans un local ou domicile R unions en journ e qui permettraient aux parents de participer aux d bats pendant que l enfant est l cole Accepter les enfants dans la r union convivialit comme point positif Limites Co t Personnel municipal ou volontaire pour la gestion de la garderie garde des enfants D finition des responsabilit s en cas de blessures incidents Organisation Le bruit d la pr sence d enfants Annexes Echanges n 5 8 11 PROPOSITION N 9 LA CHA NE DE DISCUSSION L id e principale est que des gens qui ne peuvent tre pr sents aux r unions puissent aussi participer au d bat de permettre deux groupes diff rents deux moments diff rents de poursuivre le d bat Objectifs Assurer la continuit des d bats entre deux r unions sur un m me th me malgr la rotation des participants Mise en uvre Il s agit de faire vivre le d bat en continu sur une p riode de temps donn e en y faisant participer deux groupes distincts l un en journ e
16. a ne de discussion permet d associer les membres des instances mais aussi d autres citoyens rez ens Le relev de d cision pourrait tre mis sur le web dans un forum de discussion 21 L id e est de ramener des gens qui ne font pas partie du CESC ou des CCQ dans la discussion pour un moment ou un autre les attirer vers les instances Chacun pourrait tre appel commenter les relev s de d cisions les enrichir Le risque objecte un membre de l atelier est qu un d but d id e soit mont en pingle et focalise l attention Il existe un risque de d rive Une id e est mise c t de cette proposition celle de filmer la s ance pl ni re et de la mettre en ligne sur le site Internet de la Ville Pour ce qui est de filmer les ateliers l atelier s accorde pour dire qu tre film bloque dans l expression Cela n a plus rien voir on ne parle plus en libert Sur les modalit s de fonctionnement de la cha ne de discussion un consensus avait t trouv sur cette id e chaque fois une personne assure le suivi entre deux r unions un rapporteur fait le lien Afin que le r le ne soit pas trop lourd pour le rapporteur l atelier part sur l id e d un relev de d cisions plut t qu un compte rendu Un relev de d cisions pourrait tre syst matis chaque r union ce serait un objectif simple et obligatoire chaque fois Un compte rendu est plus contraignant il faut prendre des notes e
17. able plus facilement que l autre choix le mur vu comme un mode d expression Pour la restitution du mur les membres des instances pourraient prendre le mur en photo et demander la Ville de le mettre sur son site Internet Cette solution semble la plus pertinente pour que l information circule Par rapport au mur s expriment des craintes d y voir des insultes des choses la limite de la l galit des d rapages avec des petites annonces Les membres de l atelier d battent du coup sur la notion de libert et ses limites Une des solutions propos es serait de laisser au citoyen le droit d effacer ce qui ne lui pla t pas mais elle n emporte pas l adh sion Le fait de placer le mur au sein des instances permettrait sans doute de limiter les d bordements Pour ce qui est du fonctionnement du mur du CESC par exemple le CESC pourrait poser une question sur ce mur ou alors l expression serait libre Il pourrait y avoir des semaines avec th matiques et d autres sans La th matique pourrait venir des instances ou du citoyen Le mur du CESC pourrait tre plac dans le hall d entr e de la mairie ou dans une salle de r union Cette id e du mur est il demand ne se rattache t elle pas au syst me de la cha ne de discussion C est un projet plus vaste car plus ouvert que la cha ne tranche l atelier L id e du mur du quartier partant un peu dans tous les sens l atelier d cide de clarifier les choses et de pr ciser le mode
18. agirait d y inscrire une dizaine de propositions d items sur la citoyennet Ce guide s adresserait tous et pas seulement aux jeunes L id e est qu il accompagne le jeune vers son premier acte de citoyen et le guide vers les instances de participation Le sens donn au Code est de r cup rer les gens qui font d faut L atelier se lance dans un brainstorming afin de trouver des petites phrases d finissant ce qu est tre un citoyen Ce brainstorming se poursuivra sur les prochaines s ances A un objectif r pondra un moyen l id e tant de d politiser la pr sentation des modes de participation Pour la diffusion du Guide un d pliant pourrait tre ins r dans le Rez Mensuel comme cela avait t fait pour le Code de la rue Autre mode de distribution int ressant dans les coll ges et lyc es ce qui est un moyen de toucher galement les parents 5 2 Le conseil municipal des jeunes Cette id e sera aussi mise dans le guide de la Citoyennet La proposition en elle m me n est pas innovante cela existe dans pas mal de communes L atelier doit voir quel sens il lui donne mais devra d tailler davantage ce qui est plus innovant comme l Agora Un Conseil municipal des jeunes fonctionne comme un Conseil municipal Les jeunes se saisissent des sujets qui les touchent clairage cheminement vers l cole et s curit aires de jeux Les d cisions sont prises comme en Conseil municipal et valid es
19. aire Objectifs Le conseil municipal des enfants a pour mission d initier les enfants la vie politique r elle et de collecter les id es et initiatives manant de l ensemble des enfants pour am liorer la vie dans le cadre de leur ville Il a pour mission compl mentaire de les traduire en projets au b n fice de tous Ces id es et projets sont ensuite pr sent s au maire de la commune afin qu ils soient inscrits au programme de la Ville Mise en uvre Leur mode de fonctionnement est tr s variable selon la commune la tranche d ge de 7 25 ans et le mode d entr e lections en mairie dans les coles d signation au sein d associations repr sentatives volontariat tirage au sort syst me mixte etc La plupart du temps ils comportent l obligation d tre scolaris dans la ville Formellement les conseils sont souvent pr sid s ou assist s par un conseiller municipal lu tout en b n ficiant des moyens municipaux ex secr taire de mairie Le conseil se r unit alors en s ance pl ni re p riodiquement environ 3 fois par an Ces r unions pl ni res sont g n ralement publiques et en pr sence du maire Il fait suite aux travaux qui auront t r alis s dans des commissions ou groupes de travail qui se r unissent g n ralement 1 2 fois par mois Ses repr sentants sont g n ralement lus pour une p riode de 2 ans correspondant 2 ann es scolaires Il existe des conseils lus pour 1 an voir
20. ations ne suivent pas Suivi des propositions non prise en compte des propositions Pourquoi les CCQ n ont ils pas de lien avec les associations de quartier 24 Question 3 Respect des horaires Le syst me de tirage au sort des participants peut il encore se poursuivre Doit on mettre en place une organisation hi rarchique des CCQ N est il pas important de s parer le service Communication du service D mocratie locale Y a t il suffisamment de communication entre les CCQ Les outils de communication sont ils adapt s tous les citoyens Lors d un change pr liminaire aux ateliers un habitant de Ragon donne l exemple de son CCQ Trois sujets majeurs ont t abord s Chronobus march parking et les sujets taient d j ficel s Les membres du CCQ ont eu l impression de servir de faire valoir Un autre habitant ajoute que c est de la communication politique faite par rapport la population que c est une forme de communication litiste Fran ois Nicolas pr cise que le but du jeu est d tre partir du constat sur des propositions positives La Ville a pos une question il ne faut pas se contenter de dire que cela ne va pas Le CESC pourra proposer des choses voir ensuite si la municipalit en tient compte Le CESC a pos la question du jusqu o peut on aller aux lus lors de la pl ni re ils ont r pondu pas de limites Eric Perraud membre du CCQ de Trentemo
21. ci t des confusions Par exemple beaucoup de gens pensent lire un maire et non une liste M me au niveau des concours administratifs 80 des candidats ne le sauraient pas ajoute Fr d ric Guillaumet adjoint au responsable des Formalit s administratives la Ville Au niveau de l enseignement tout ce qui est institutionnel est enseign Souvent les jeunes n en voient pas l utilit cela reste abstrait et artificiel pour eux L enseignante juge positif de faire intervenir des lus dans les classes le probl me tant le choix de l interlocuteur L institutionnel appara t trop th orique pour les jeunes surtout quand cela vient d un enseignant Ils seraient plus int ress s rencontrer un lu Quand les l ves tudient des probl mes concrets comme le budget de l cole ils sont tout de suite plus int ress s Interrog e sur ce que pensent les coll giens des lections nationales l enseignante r pond que cela reste th orique pour eux ils manquent de maturit L effort des enseignants porte sur l ducation la citoyennet A des moments pr cis les l ves sont duqu s la citoyennet C est le cas pour l lection des d l gu s de classe Celles ci se font d sormais avec plus de solennit la demande des chefs d tablissement dans une salle part avec un isoloir pour voter bulletin secret Les dates d lections sont pr vues l avance les candidats peuvent faire ca
22. compte Les consultations sont parfois faites alors que le projet est finalis voire r alis Certaines informations sur de gros projets sont partielles Flou artistique dans le fonctionnement des diff rentes collectivit s sur les projets un membre de CCQ rappelle l existence de formations sur le sujet Irr gularit des dates des CCQ 25 Difficult s relev es La prise de parole tout le monde n est pas en capacit de prendre la parole La diffusion des informations re ues au CCQ l ensemble des habitants Solutions propos es Une carte de Rez avec les quartiers dessin s pour conna tre les limites de chaque quartier et se localiser Une vue zoom e du quartier correspondant au CCQ Une liste pour chaque CCQ des membres avec les coordonn es Une membre de CCQ fait remarquer que les membres ne peuvent pas communiquer entre eux car ils n ont pas les courriels Pour des questions de respect de la vie priv e la d marche de donner son mail doit tre volontaire rappelle Fran ois Nicolas Le probl me dans ce cas r torque la membre du CCQ est qu on ne peut contacter que les pr sents par ce biais Co construction de projets avec la Ville Nantes M tropole Nommer un ou plusieurs r f rents par quartier publication au BM Nombre de r unions de 6 par an avec des dates fixes tablies lors de la pl ni re Possibilit d une offre de formation la prise de parole
23. d un pr ambule qui mettrait en avant la n cessit absolue d une volution des mentalit s en France d une forme de d vouement au service public et de la n cessit que chacun mette la main la p te et fasse preuve de civisme 5 9 La cha ne de discussion La question est pos e de savoir si pour la cha ne de discussion on part d un d bat organis au CESC ou dans les CCQ qui apr s tourne dans d autres lieux ou si l on part d un autre lieu avec un d bat qui tourne et revient au CESC L id e principale est que des gens qui ne peuvent tre pr sents aux r unions puissent aussi participer au d bat de permettre deux groupes diff rents deux moments diff rents de poursuivre le d bat Cela permettrait par exemple au CESC d avoir une r flexion plus profonde o tout le monde pourrait tre entendu Il y aurait un d bat il faudrait faire un lien une synth se pour une autre r flexion puis une derni re synth se L ventualit d un enregistrement appara t compliqu e car il faudrait un temps norme pour le restituer La question est pos e de savoir si la cha ne de discussion a un lien avec le mur d expression Non le mur d expression est quelque chose de plus libre d ouvert tout le monde de moins li aux membres d une instance C est une mani re d largir les publics La cha ne de discussion est elle clairement utile au CESC Yohann Dauffy fait part de son exp rience personnelle R
24. d amener les silencieux s exprimer et les bavards couter La mise en uvre Mettre en place des s ances de formation sous la direction d un professionnel dans une salle de la mairie afin d acqu rir des outils de partage de parole Limites La timidit ou l assurance de certains participants Annexes Echanges n 5 6 PROPOSITION N 7 MOYENS DE COMMUNICATION ET LIEUX OU TOUCHER LES JEUNES Les jeunes sont un des publics absents dans les organes de d mocratie participative Quels moyens peut on mettre en uvre pour capter leur attention Objectifs Multiplier les points de communication pour toucher un maximum de jeunes Mise en uvre Diffuser des publicit s dans les journaux gratuits que les jeunes lisent beaucoup dans les transports 20 minutes M tro Aller leur rencontre dans les transports en commun ou sur les quais de tramway Rez et les inviter aux r unions des instances de d mocratie locale Diffuser de l information sur les panneaux d affichage des tramways et des busways Distribuer des autocollants et ou flyers comportant un QR code pointant vers une page internet du site la Ville en rapport avec la d mocratie participative Limites Cette communication pourrait tre efficace mais a toutefois un co t prendre en compte Annexes Echanges n 5 7 10 PROPOSITION N 8 LES FAMILLES MONOPARENTALE
25. de traitement de l information Cette id e est li e au manque d expression Le r le de la d mocratie participative est bien de trouver des liens entre lus et non lus Le mur pourrait en tre un Chaque instance pourra d finir le mode d emploi de son mur Pour r sumer le mur est un outil pour changer autrement que par l oral Les membres des instances peuvent figer sous forme de photo un mur pour le partager avec d autres 5 6 Former les intervenants N ant 19 5 7 Moyens de communication et lieux o toucher les jeunes Parmi les lieux cibl s pour communiquer aupr s des jeunes sont cit s les clubs sportifs les CSC les associations en g n ral l Ecole de musique Retenue l id e de proposer aux membres des instances de d mocratie participative et notamment du CESC d animer des r unions de pr sentation destination des associations et des coles pr sente un double avantage Elle permet d int grer les membres des instances Et aide la dynamique interne par son c t participatif La limite de cette proposition sera la disponibilit des membres du CESC d autant que l on risque de ne pouvoir s appuyer que sur la vingtaine de membres qui travaillent en atelier Ces interventions dans les associations et coles pourraient donner mati re des articles dans la presse Une autre id e avanc e est d utiliser les journaux pour lancer un d bat dans le tram Pour ce qui est de la communication dan
26. e le Conseil d administration On trouve dans le CA le principal son adjoint des professeurs des d l gu s de parents et des super d l gu s La vie scolaire forme pendant plusieurs heures les d l gu s Pendant le conseil de classe on donne un classeur avec des instructions aux d l gu s Durant les conseils de classe la parole est donn e aux l ves souvent la fin Parmi les autres instances il y a galement le Club Journal pour favoriser la libert d expression et montrer qu il y a des r gles qu on ne peut abuser de cette libert montrer 28 que la d mocratie ce n est pas l anarchie Une autre forme de participation peut exister des associations d l ves pour insuffler de la solidarit par exemple des liens d amiti avec des coll giens africains Une autre action est la prise de connaissance du r glement int rieur Le principal insiste sur la notion de contrat Il s agit de responsabiliser les l ves Les modifications du r glement int rieur sont valid es en CA En conclusion l enseignante constate qu il existe diff rents moments de participation la vie communautaire o les l ves peuvent donner leur avis Sur des v nements nationaux comme les lections pr sidentielles les l ves sont tr s demandeurs Le probl me est que les programmes sont de plus en plus lourds et que les enseignants ont de moins en moins de temps pour faire autre chose Dans les textes il est pourtant p
27. e pour 3 ans En fonction de l ge plancher ce mandat pourrait tre port 5 ans Dans la plupart des cas les conseils sont renouvel s en totalit Le nombre de conseillers est souvent calqu sur celui du Conseil municipal 39 membres pour Rez Limites Co t et organisation Annexes Echanges n 5 2 PROPOSITION N 3 INTEGRER DES PUBLICS ELOIGNES Les personnes souffrant d un handicap et ou ayant des difficult s lire et crire ne participent pas aux instances et pourtant leur avis r flexion est important e pour la vie de leur quartier ou de leur ville Objectifs Elargir la participation tous les publics Donner la parole ceux qui ne la prennent pas ou peu Mise en uvre D tection parrainage par les membres eux m mes Communication par les associations resto du c ur centres socioculturels et notamment par la sensibilisation des cadres de ces associations pour d tecter le public vis Partenariat entre le Conseil Economique et Social Communal et les diff rentes associations identifi es Autre mise en uvre possible Simplifier les documents d inscription aux instances aider les personnes en difficult les remplir gr ce au parrainage Limites Eviter toute stigmatisation il ne faut pas que les personnes parrain es puissent tre identifi es comme telles Annexes Echanges n 5 3 PROPOSITION N 4
28. er la r flexion des membres des Conseils Consultatifs de Quartier CCQ et du Conseil Economique et Social Communal CESC dans de bonnes conditions d exercice de leur mandat Faire voluer le fonctionnement des instances Enonc s Nous vous pr sentons 14 points sans lien les uns avec les autres ni hi rarchie entre eux issus des entretiens men s lors du Forum du 19 d cembre 2013 1 Faire en sorte que le 2 C Consultatif de CCQ ne soit pas qu un vain mot re 2 Expliquer les r gles de fonctionnement lors de la 1 s ance pl ni re et les rappeler r guli rement afin d viter tout malentendu sur le but de chaque instance 3 Ne pas faire travailler une instance sur une question alors que le projet est d j en cours de r alisation par les services municipaux 4 Avant toute r flexion expliquer le r le de chaque intervenant et leur habilitation intervenir sur un domaine pr cis collectivit s R gion D partement Nantes M tropole communes 5 Agenda pr voir toutes les s ances de travail sur une ann e d s la pl ni re de pr sentation des sujets CESC chaque d but d ann e d exercice CCQ 6 Les quartiers identifier les limites de chaque quartier avec pr cision distribuer une carte par CCQ de son quartier tablir une carte g n rale de Rez avec les limites pr cises de chaque quartier chaque citoyen peut ainsi voir dans quel quartier il est domicili 7 Nom
29. essources Quels outils Fran ois Nicolas introduit la r union Il rappelle que la municipalit a demand au CESC de r fl chir la d mocratie participative L atelier a jug normal de venir consulter les CCQ Pour cette soir e l atelier a choisi un format original celui du forum ouvert Le CESC a des questions poser partager mais il veut aussi entendre celles des membres des CCQ Les membres des CCQ sont invit s noter sur un post it les sujets qu ils souhaitent aborder Au sein de chaque groupe un rapporteur membre de l atelier notera tout ce qui se dit Les membres des CCQ sont invit s quitter leur table s ils en ont envie circuler Ils sont libres de changer de groupe aucun ne le fera Voici les quatre questions pos es par le CESC 1 Pourquoi observe t on une rosion des effectifs des CCQ 2 Y a t il des attentes d ues 3 Y a t il des attentes satisfaites 4 Quelles sont les choses am liorer modifier Les questions soulev es par les membres des CCQ se rattachent aux diff rentes questions Question 1 _ Conna t on tous l objectif Pourquoi n arrive t on pas faire venir des jeunes Pourquoi ne peut on pas choisir l ordre du jour des CCQ Pourquoi les r unions sont elles dirig es par les lus Quel est leur r le Non prise en compte des sujets r alisations d j faites Question 2 Les changes sont toujours tr s int ressants mais les r alis
30. et les moyens de l largir tous Pour ce faire le groupe a organis son travail en 5 tapes Une phase de constat et d analyse de documents Une phase de diagnostic compos d entretiens ext rieurs et d un forum ouvert Une phase de r flexion et de pr paration du point d tape Une phase de d veloppement des pr conisations en reprenant dans le d tail chacune d entre elles Enfin la r daction de l avis sous une forme dynamique et fonctionnelle 3 Le tableau g n ral des propositions Nous vous pr sentons le tableau suivant reprenant les 11 propositions constituant l avis du CESC Cette pr sentation n indique aucune hi rarchie aucun niveau d importance et ou d imm diatet La l gende suivante vous permet d appr hender le d lai que nous estimons n cessaire pour la mise en place de ces propositions tenant compte de la dur e du mandat municipal D lai de mise en place une fois la d cision prise Rez court terme Rez Rez moyen terme Rez Rez Rez long terme Num ro Actions propositions Acteurs qui entreront dans la D lai de mise proposition mise en uvre des en place propositions Guide de la citoyennet Services municipaux CESC 1 cca Rez Conseil municipal des Jeunes Elus services municipaux i coll ges lyc es Reze Rez Int grer des publics CESC CCQ D mocratie bb 3 loign s
31. ion citoyenne ne concerne pas que les CCQ elle touche aussi le CESC travers ces deux constats peu de vraie implication des membres dans le fonctionnement du CESC et absence d autosaisine Une id e avanc e pour changer les choses est d organiser les pl ni res du CESC sous forme de forum ouvert Plus pr cis ment la pl ni re d tape du CESC pourrait tre ouverte tout le monde Il s agit de la pr sentation des travaux en cours et non de l avis du CESC C est un moment d ouverture du d bat Par ailleurs chaque r union chaque membre pourrait avoir un invit quelqu un ayant envie de d couvrir le CESC L objectif tant d attirer de nouvelles personnes vers les instances La r gle pourrait tre que chaque membre d une instance peut inviter un observateur On verrait ensuite si la personne peut parler ou pas Le mur du quartier ne serait pas r serv aux seuls membres des CCQ Il serait libre et sans censure La question dont d bat l atelier est celle de la reprise de ce qui sera crit sur le mur comment et par qui Favoriser l expression doit en effet servir alimenter le d bat L expression qui viendra en parall le des r unions organis es en permanence sera reprise si elle est int ressante Mais il faut se donner la possibilit d appr hender ce qui a t dit D o le d bat sur les modalit s pratiques L avantage d une borne serait de saisir le message et de le conserver La borne semble exploit
32. ir l agora tel jour pour parler de telle chose II n y aura pas de r union sans initiative 5 11 Un ensemble de bonnes pratiques Compte rendu des interventions du Forum du jeudi 19 d cembre 2013 en mairie salle Moyano Delgado Etaient pr sents CESC Coll ge des associations Genevi ve Leibe Yves Madeline Coll ge des habitants St phanie Le Derf Fr d ric Guillaumet Pierre Martinez Fran ois Nicolas J r me Paul Plocinik Coll ge des syndicats Martine Mabon cco Pont Rousseau Sylvie Chedemail Michelle Le Barillec Romuald Tisserand Rosemary D ram Jacques Coste Nathalie Pineau La Houssais Serge Baconnais Fran ois Chavanelle Ren e Boutet Patrick Halphen Rez H amp tel de Ville Aline Blondel Jacques Fr mont Blordi re Paul Barrais Ch teau Daniel Gouar Ragon Marcel Harnois Georges Barteau Trentemoult Eric Perraud 23 Assistaient galement Sylvain Berthomeau assistant administratif service D mocratie locale Thierry Goussin secr taire du CESC Etaient excus s Coll ge des habitants Bernard Mesl Coll ge des professionnels Thierry Le Dauphin Rappel du questionnement Comment dynamiser les instances de participation de la Ville CESC CCQ r unions publiques qui sont confront es un certain essoufflement Comment largir les publics jeunes habitants des quartiers d favoris s Quelles d marches Quelles r
33. l autre en soir e et en confrontant les r flexions et remarques afin d apporter des r ponses aux questions pos es Cette cha ne a besoin pour vivre de lieux d expression CSC maison du D veloppement Durable mairie Internet site Ville d un animateur Il peut s agir d un citoyen volontaire ou d un agent communal d un rapporteur Le lien entre tous les participants doit tre maintenu par le biais de synth ses des d bats relev s de d cisions r dig s par le rapporteur citoyen volontaire ou agent communal et par la mise disposition des comptes rendus de s ance des instances Conseils Consultatifs de Quartier et Conseil Economique et Social Communal concern es par cette cha ne Limites Libert Disponibilit du personnel mairie D rive Passion Annexes Echanges n 5 9 12 PROPOSITION N 10 L AGORA L Agora est un lieu d changes et de d bats autour de sujets dimension locale nationale internationale ou soci tale en lien avec la vie Rez Objectifs Les objectifs sont multiples recr er du lien social autour de sujets communs Permettre de ramener les habitants au d bat citoyen et surtout de l ouvrir tous Il s agit aussi de cr er un endroit auto g r o le choix des th mes de discussion est libre et o le civisme est l honneur Mise en uvre Dans un premier temps il convient d aider au lancement des d bats e
34. membres et serait charg de pr parer la prochaine r union avec l lu concern Limites faudra toutefois tre vigilant ne pas perdre de volontaires Veiller int grer les nouveaux venus et leurs donner les outils pour suivre le travail effectu Attention au cumul des fonctions les pr sidents de coll ge ne pourraient cumuler leur fonction avec celle de pr sident de s ance pl ni re Annexes Echanges n 5 4 PROPOSITION N 5 FAVORISER L EXPRESSION CITOYENNE AU SEIN DES INSTANCES Cette proposition qui tourne autour de l expression vise ouvrir les d bats toutes et tous L id e g n rale est d adopter des modes de fonctionnement plus participatifs Objectifs Favoriser l expression citoyenne au sein des Conseils Consultatifs de Quartier CCQ et du Conseil Economique et Social Communal CESC Amener d autres citoyens participer ponctuellement et ou par crit aux th mes abord s et ou repris par les instances existantes Mise en uvre en 3 points Organiser de 1 x fois dans l ann e un forum ouvert cf mode op ratoire de d cembre 2013 il s agit de r unir des membres d instance du public non adh rent et la municipalit lus et ou services municipaux en mairie et lancer le d bat sur divers sujets propos s en s ance C est aussi l occasion d enrichir la r flexion de chaque instance par les questions et r ponses nonc es par
35. mer un ou plusieurs r f rents par quartier courriel ou acc s site internet Ville r coltant les remarques et ou suggestions des habitants du quartier 8 Cr er un bureau par CCQ instance rassemblant les r f rents collectant les informations les priorisant et proposant 50 des ordres du jour 14 9 Instituer la convivialit en proposant aux membres d amener une collation lors des s ances de travail 10 Possibilit r elle de s autosaisir sur des questions particuli res CCQ 11 Ouvrir officiellement les CCQ aux associations pr sentes dans le quartier 12 Faire participer les services municipaux la communication sur les instances CCQ et CESC transmettre une brochure sur chaque instance ventuellement le guide de la Citoyennet aux jeunes inscrits d office sur les listes lectorales aux jeunes venant se faire recenser et aux nouveaux Rez ens 13 Cr er une adresse courriel pour joindre chaque CCQ ou un espace d di sur le site internet de la Ville ou un forum anim et mod r par les r f rents 14 Modifier le r glement des instances concernant les absences multiples des membres inscrits aux ateliers elles entrainent l viction des membres absents continuellement et remplacement en cours de mandat communiqu de presse tirage au sort partir des listes lectorales pour les habitants Limites Aucune n a t d termin e ce jour Annexes Echanges 5 11 Co
36. mpagne avec des prises de parole Il y a pour l lection un pr sident et des assesseurs un proc s verbal est tabli La parit un gar on une fille est appliqu e pour les d l gu s et les suppl ants Ne pas l appliquer pourrait tre un l ment d annulation selon des consignes nationales Cela fait d sormais partie des missions de l cole La question est pos e de savoir de quand datent les consignes d annulation et l obligation de la parit qui auparavant tait seulement favoris e Parmi les missions de l cole le professeur informe les l ves sur les missions et les responsabilit s du d l gu Un chapitre du livre de sixi me est d ailleurs consacr aux lections des d l gu s L enseignante constate que plus de filles se pr sentent aujourd hui aux lections de d l gu s la parit favorisant leur engagement Son exp rience de 30 ans lui a montr que dans les classes d l ves plut t faibles ce sont les meneurs qui se pr sentent histoire de montrer qu ils sont les chefs De fa on g n rale les candidats sont nombreux Certains l ves d j lus se repr sentent ce qui signifie que le r le leur a plu Quant l attitude des l ves vis vis des d l gu s ils comprennent bien leur r le L heure de vie de classe est un moment d ducation la citoyennet Le d l gu de classe peut y intervenir donner la parole aux autres l ves Les l ves peuvent participer une autre instanc
37. mpte rendu des interventions du Forum du jeudi 19 d cembre 2013 en mairie salle Moyano Delgado 15 CONCLUSION Notre but premier est que les citoyens deviennent acteurs de la d mocratie Nos pr conisations en posent des bases possibles C est pourquoi les membres du CESC souhaitent tre acteurs dans la mise en uvre de ces propositions Les membres du CESC remercient pour leur participation l laboration de cet avis Les Intervenants CCAQ Pont Rousseau Sylvie Chedemail Michelle Le Barillec Romuald Tisserand Rosemary D ram Jacques Coste Nathalie Pineau La Houssais Serge Baconnais Fran ois Chavanelle Ren e Boutet Patrick Halphen Rez H tel de Ville Aline Blondel Jacques Fr mont Blordi re Paul Barrais Ch teau Daniel Gouar _ Ragon Marcel Harnois Georges Barteau Trentemoult Eric Perraud Elus Pierre Qu n a adjoint au maire Cyril Hunault adjoint au maire Colette Reclus conseill re municipale Education Nationale Guylaine Bertrand enseignante en histoire g ographie instruction civique en coll ge Soutien logistique Lucie Gineau et Sylvain Berthomeau Service D mocratie locale Thierry Goussin secr taire du CESC 16 5 Les annexes Comptes rendus des changes autour des propositions 5 1 Le guide de la citoyennet Cette id e d coule du Code de la rue un travail du CESC qui a b n fici d une bonne communication Il s
38. n y proposant des th mes Un animateur membre ou non d une instance existante volontaire pourrait se charger d initier et de g rer les d bats dans un esprit et une approche de convivialit Le Conseil Economique et Social Communal voque des moments particuliers de la journ e tels qu un petit d jeuner un brunch un caf ou buffet d bat Nous pensons galement y lier un lieu virtuel type forum ou tout autre outil num rique afin de permettre tous de participer en utilisant les technologies actuelles de communication La pr sence d acc s internet serait galement utile pour faire des recherches d l ments compl mentaires en lien avec le th me de discussion abord Nous pensons qu une synth se compte rendu relev de d cisions devra ponctuer les changes pour en conserver une trace Pour lancer et r ussir l Agora un plan de communication est d finir de la conception la diffusion Limites Les limites sont d ordres civiques Les passions peuvent s exprimer C est la fois une bonne chose et un ventuel risque de d bordement Les co ts au niveau du lieu en tant que tel et du plan de communication sont pr voir Annexes Echanges n 5 10 13 PROPOSITION N 11 UN ENSEMBLE DE BONNES PRATIQUES Il s agit de remarques applicables imm diatement qui peuvent rendre plus agr ables les d bats dans les instances participatives Objectifs Favoris
39. ne soit pas toujours les m mes qui soient repr sent es Possibilit galement d effectuer ce tirage au sort au sein de chaque association parmi les adh rents eux m mes Il est soulign que certaines personnes pr f rent se faire d signer par leur association plut t que de fa on individuelle afin d augmenter leur chance d tre s lectionn es le syst me de tirage au sort est per u par certains comme l essence m me de la d mocratie mais le risque de faire appel uniquement ce proc d est de faire baisser le nombre d inscrits et de se retrouver uniquement avec des novices la proposition que chaque ann e 1 6 me des membres soient renouvel s n est pas retenue la cr ation d un coll ge tir s au sort risquerait de cr er davantage de m contents que de satisfaits dans le cas d une pr sidence tournante au CESC mise en place d un cahier de suivi et transmission d un dossier comprenant les comptes rendus des bureaux et pl ni res de l ann e en cours 18 5 5 Favoriser l expression au sein des instances CCQ et CESC Cette proposition qui tourne autour de l expression vise ouvrir les d bats toutes et tous L id e g n rale est d adopter des modes de fonctionnement plus participatifs au moyen par exemple du forum ouvert L atelier d bat sur la notion de portes ouvertes Celles ci pourraient tre sans objet forum ouvert ou avec un th me pr cis Cette probl matique d express
40. o toucher les jeunes n appara t pas vident Le Conseil municipal des jeunes sera donc trait comme une proposition part Comme plusieurs reprises auparavant les membres de l atelier s accordent sur le fait de proposer leurs id es m me si certaines peuvent sembler utopiques et de ne pas poser la question des moyens d s le d but ce qui pourrait constituer un frein 5 8 Les familles monoparentales Le constat est partag que les familles monoparentales sont un public particulier parmi d autres et qu elles ne sont pas suffisamment repr sent es dans les instances Leur absence tient des contraintes familiales mais aussi des contraintes financi res pour le mode de garde La question d un mode de garde propos ces familles durant les r unions est longuement abord e par l atelier L objectif tant que l enfant ne soit plus un frein pour ce public Plusieurs solutions sont voqu es et les diff rents probl mes d organisation soulev s Une forme de cr che municipale durant le temps de la r union n cessite un personnel de cr che et une assistante maternelle L atelier tudie d autres solutions notamment si la Ville oppose cette proposition la question de son co t ce qui semble probable Une autre possibilit est que les gens s organisent eux m mes Une alternative est d accepter la pr sence en r union des enfants m me en bas ge Une fa on pour certains de remettre de l humain dans la s
41. oci t une id e quelque peu utopique pour d autres 20 Une autre solution merge celle d un appel garderie volontaire A titre d exemple des anciens du CESC pourraient garder les enfants gratuitement avec une forme d change de services Dans cette id e d une garde domicile sur volontariat la Ville proc derait uniquement la mise en contact Elle pourrait jouer un r le de communication dans son mensuel Il s agirait de confier son enfant quelqu un que l on conna t gr ce la Ville Mais les gens sont ils pr ts laisser leurs enfants n importe qui Pour permettre une mise en uvre simple une autre solution est propos e chaque r union un membre du groupe d sign s occuperait des enfants ce qui permettrait des gens bloqu s par leurs enfants de pouvoir venir avec eux Des voix s l vent dans l atelier pour juger plus compliqu de trouver parmi les membres des instances que de trouver des gens ailleurs L alternative de l appel volontariat observent elles permet de r pondre la probl matique du co t et de l organisation lourde d une garderie D autres voix contraires jugent plus difficiles de faire du cas par cas que de rassembler les enfants sur un seul lieu Le d bat porte sur le fait de savoir si la garde gratuite d enfants est quelque chose de plus r pandu que la pr sence des enfants dans une r union Cet change sur le b n volat donne l atelier l id e
42. ouhaite participer au d bat public En r ponse ces attentes le guide explique comment Int grer le Conseil municipal des Jeunes Etre recens e S inscrire sur les listes lectorales Int grer les Conseil Consultatif de Quartier et le Conseil Economique et Social Communal Participer Agora Participer la cha ne de discussion Transmettre ma r flexion sur le mur du quartier Mise en uvre Ce guide se pr sente sous la forme d un livret de format A5 dans le sens de la hauteur Il sera distribu dans le Rez Mensuel 1 2 fois par an dans les coll ges et lyc es chaque rentr e des classes de septembre dans les centres socioculturels pr sentoirs la maison des Solidarit s Conseil g n ral dans les services municipaux m diath ques accueils Arpej lors du Forum des associations sur le stand de la Ville dans les maisons de retraite Limites Ne peut s adresser qu un public lettr Annexes Echanges n 5 1 PROPOSITION N 2 LE CONSEIL MUNICIPAL DES JEUNES Un conseil municipal des enfants ou conseil communal des jeunes forum de la jeunesse est en France une instance municipale destin e aux enfants ou aux jeunes cr par des d lib rations adopt es en conseil municipal Il a un r le consultatif ses d lib rations n ont pas force r glementaire si elles ne sont pas approuv es par d lib ration du conseil municipal lu ou du m
43. oyens comme les autres et non au dessus d eux les habitants aussi ont des projets pour leur ville faire attention aux sujets propos s doivent parler la population revoir les outils de communication avec les jeunes et les femmes re du num rique cr er un conseil incluant des jeunes fourchette d ge voir cr er un service de la Jeunesse et d velopper un projet ducatif ambitieux incluant un volet sur la citoyennet 5 13 Composition de l atelier de r flexion sur le sujet propos Animateur J r me Paul Plocinik coll ge des habitants Rapporteur Fr d ric Guillaumet coll ge des habitants Membres Fran ois Nicolas coll ge des habitants Yohann Dauffy coll ge des habitants St phanie Le Derf coll ge des habitants Pierre Martinez coll ge des habitants Genevi ve Leibe coll ge des associations Yves Madeline coll ge des associations Martine Mabon coll ge des syndicats 5 14 Tableaux statistiques Voir ci apr s 30 de 70 ans de 61 70 ans de 51 60 ans de 41 50 ans de 31 40ans de 21 230ans de 20 ans R partition des membres du CESC de Rez par sexe et tranche d ge 10 12 M Femme E Homme 31 R partition des membres du CESC de Rez par cat gorie socioprofessionnelle 0 amp Cadres et professions intellectuelles sup rieures M Retrait s E Artisans commer ants chefs d entre
44. par le Conseil municipal des adultes Elles seront effectives court terme Il est rapport qu Saint S bastien 100 des d cisions sont mises en uvre tr s rapidement Dans cette ville le recrutement marche par volontariat avec une information diffus e dans les coles L id e est mise pour Rez d imaginer un tirage au sort sur les enfants de CM2 Ils pourraient tre lus sur 5 ans avec une rotation tous les ans en fonction des d fections Ainsi un jeune qui s int resse pourrait rester 5 ans Cela mettrait en valeur la notion d engagement incluse dans la participation La longueur du mandat suscite des doutes dans l atelier Ce pourrait tre 4 ans soit le temps du coll ge L id e est de souligner que la citoyennet c est de l engagement Il serait possible d tre dans le Conseil municipal pendant 4 ans et arr ter deviendrait un acte volontaire L id e d un tirage au sort pour les enfants suscite galement des r serves Le tirage au sort serait une invitation pas une obligation Cela permettrait de ne pas tre que sur les CSP G n ralement les jeunes volontaires sont ceux qui sont bien manag s par leur famille A Saint S bastien le Conseil municipal des jeunes fonctionne sur l ann e scolaire et sur deux ans Le nombre d enfants doit tre limit une quarantaine on en compte 4 000 sur Rez et cela n cessite un encadrement Le nombre de 39 membres le m me qu au Conseil municipal serait
45. prise E Employ s M Professions interm diaires E Autres personnes sans activit professionnelle M Ouvriers M Agriculteurs exploitants 32 CESC S ances pl ni res mandat 7 2012 2014 Statistiques de pr sence F BA ae S ance pl ni re S ance pl ni re S L S ance pl ni re S ance pl ni re RER S ance pl ni re de validation des de lancement des d installation d tape P R h m d tape 09 10 2012 12 03 2013 aS ONE AMES 11 03 2014 S ance pl ni re de validation des avis 27 06 2013 25 09 2013 01 07 2014 Pr sents 73 45 51 28 41 S Excus s 10 14 28 18 J Absents 18 49 3 B 41 EH Pr sents il Excus s H Absents S ance pl ni re S ance pl ni re S ance pl ni re de S ance pl ni re de S ance pl ni re S ance pl ni re de d installation d tape validation des avis lancement des d tape validation des avis 09 10 2012 12 03 2013 27 06 2013 nouveaux th mes 11 03 2014 01 07 2014 25 09 2013 33 R partition des membres des CCQ de Rez par sexe et tranche d ge de 70 ans 61 0ans 51 60 ans M Femme 41 50 ans Hi Homme 31a40ans 18 30 ans 15 10 5 0 5 10 15 20 Repr sentation des tir s au sort au sein des CCQ jeune 38 ans 28 ans 34 ans 44 ans 41 ans 30 ans 50 ans A z 72 ans 74 ans
46. r vu 10 du temps d enseignement pour les questions pos es par les l ves A la question de savoir si l cole pr pare la vie citoyenne l enseignante r pond que sur certains l ves qui ont de la personnalit il y a un impact Elle note aussi que ce que vivent les l ves au coll ge devrait tre transposable l ext rieur de l cole Mais les l ves ne font pas le lien Elle juge positif que les l ves rencontrent des lus qu ils visitent la mairie Entretien avec Pierre Qu n a adjoint au maire Il venait parler de la d mocratie l occasion des lections de d l gu s de classe En r sum les l ves se sont appropri s les outils d mocratiques parce qu ils ont t acteurs de ces lections parce que l op ration s est d roul e sur une courte p riode parce qu elle tait transparente et les tapes bien expliqu es parce que le r le de chacun tait connu et accept parce que ces jeunes ont eu le sentiment d un donnant donnant Une fois ce sujet trait j en ai profit pour lui poser des questions et lui ai demand d y r pondre en tant qu homme politique et non pas citoyen La mobilisation des citoyens est toujours tr s forte au d but de chaque mandat CCQ et CESC car Rez poss de un taux de renouvellement des populations important plus d arrivants que de partants Cependant il observe une rosion sur la dur e et un manque d adh sion certain probablement parce que
47. s le tramway il est soulign qu il s agirait d une intervention extra municipale car les moyens de communication dans les transports sont m tropolitains L id e qui sous entend un accord avec la TAN serait de diffuser des messages d information au moment de pr sence des jeunes dans le tramway Yves Madeline rappelle qu il a rencontr une tudiante qui lui a dit que le principal moment de disponibilit des tudiants tait durant leur transport Attention est il n anmoins rappel ne pas oublier que la question de la Ville est de dynamiser les instances de la Ville et non pas la citoyennet en g n ral Il faudra donc cibler les lignes 2 et 3 du tramway et voir s il est possible d arr ter le message au del de Pirmil Les stations Diderot proche du lyc e Jean Perrin et Trocardi re proche du coll ge Allende sont des cibles prioritaires Autre proposition reprise proposer la ville d diter des autocollants avec des QR Codes pointant sur des pages du site Internet de la Ville concernant les jeunes Une distribution cibl e de ces autocollants vers les jeunes via les coles les associations serait privil gi e Les enfants et les adolescents tant des vecteurs de communication on pourrait ensuite retrouver ces autocollants ailleurs Des QR Codes pourraient galement tre mis dans la ville Le lien sugg r entre le Conseil municipal des jeunes et cette proposition sur les moyens de communication et lieux
48. st une mani re de donner envie de d battre Cela peut permettre d avoir un vivier de participants aux structures m me si est il rappel ce n est pas l objectif initial L agora est un type de r ponse qui ne s adosse pas aux structures Il s agit d offrir de nouveaux moyens adapt s aux modes de vie actuels pour des gens qui ne veulent pas s engager durablement En esp rant qu ils se prennent au jeu et restent Cette question du recrutement de gens qui restent dans les instances fait d bat au sein de l atelier Par rapport la question de la Ville la r ponse de l atelier aurait pu tre de changer de structures La Ville n a pas demand Comment fait on pour recruter Avec l agora l atelier propose une autre structure une autre mani re de participer Elle se saisira de sujets dont on traite plut t en une demi heure pas sur une ann e On peut imaginer plusieurs sujets pour une r union de l agora du coup par coup Il faudra dans la mise en uvre r fl chir au lancement de l agora qui sera essentiel pour que cela fonctionne Il faudra un plan de communication et une inauguration Un risque voqu est celui de l entre soi si on n arrive pas ouvrir que les gens se fassent plaisir D o la n cessit de la pr sence d un animateur A chaque agora quelqu un prendra la responsabilit d organiser la suivante Cela peut tre inscrit sur le mur du quartier On peut imaginer cette forme Je veux r un
49. t le valider Un compte rendu pourrait tre commun deux trois ou quatre r unions La question est pos e de savoir si c est toujours la m me personne qui fait le lien Faut il un chef d orchestre Si c est toujours la m me personne l inconv nient est que l on perd la souplesse 5 10 L Agora Le lien et les diff rences entre les diff rentes innovations propos es sont repr cis s L Agora est quelque chose d ouvert tous Le mur est un moyen libre d changes et l expression avec une ouverture totale La cha ne de discussion est un dispositif pour qu une structure continue son d bat malgr la rotation des participants L Agora a un lien avec le mur celui d ouvrir directement au d bat L Agora est une nouvelle structure une troisi me instance ce n est pas un endroit o le sujet est impos Le mur peut aider l Agora choisir des sujets Ce sont trois concepts ind pendants qui peuvent s articuler Un des points de ressemblance est la n cessit de l animation Pour amorcer il faudrait inviter au d part sur plusieurs sujets et partir sur celui qui int resse le plus les pr sents Certains membres de l atelier ont du mal voir concr tement l Agora La Ville dirait que l Agora est ouverte fournirait un pot et un animateur L animateur permet ceux qui viennent souvent d animer leur tour Cela peut marcher ou pas Il faut un lieu une date une structuration et une tiquette L
50. tres membres Pour autant dans certains quartiers il n y a eu qu une r union voire parfois aucune mention NC 36
51. ult rappelle que des travaux et des propositions ont t faits citant sa contribution et celle d un stagiaire du service Communication Il rappelle que Rez a t pr curseur en mati re de d mocratie participative mais juge le syst me us Il rappelle galement le contexte lectoral La question est pos e de savoir ce que deviendront les propositions de ce soir apr s les lections Fran ois Nicolas indique que l id e des lus tait justement en vue du nouveau mandat de faire diff remment de renouveler la d mocratie participative Au niveau de la m thode les diff rents groupes d cident de tous travailler sur les quatre questions dont les enjeux se recoupent RESTITUTION DU TRAVAIL DES GROUPES Groupe 1 Rapporteur Fr d ric Guillaumet Le groupe est parti des attentes satisfaites puis a d riv sur les autres questions 5 points positifs ont t relev s Les CCQ permettent de r unir les habitants Ils permettent d avoir des informations sur la vie du quartier et de la ville Possibilit de s autosaisir sur des questions particuli res Communication entre CCQ sur des projets limitrophes Le tirage au sort permet des personnes qui n iraient pas de s y int resser Les attentes d ues Le C de consultatif Les r gles du jeu sont cens es tre dites et expliqu es en pl ni re Elles ne sont pas rappel es r guli rement Les avis des CCQ ne sont pas tous pris en
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