Atelier 1 « Professionalisation des acteurs » Restitution
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1. EDUCATION amp FORMATION o En plus de l exp rience qui est jug e positive et conviviale sur le plan personnel les apports d clar s de ces exp riences europ ennes dans la pratique professionnelle sont des comp tences professionnelles accrues par la mobilit rep r es sur le plan professionnel par les interlocuteurs de son acad mie une cr dibilit accrue aupr s de son public jeunes et de ses coll gues lorsqu elle parle de mobilit a mise en place d un r seau de professionnels europ ens que l on peut activer si n cessaire a d livrance d un Europass mobilit pour son CV attestant de cette exp rience de mobilit utile dans son parcours professionnel 2 5 Questions des participants o Les pratiques observ es sont elles transf rables au retour un certain nombre de bonnes pratiques ont t rep r es mais sont difficiles transf rer car le cadre institutionnel est tr s lourd en France Difficile de comparer des pays avec des chiffres de population tr s diff rents Lux France Islande France projet europ en tr s positif mais dont l impact est difficile mesurer Il faudrait avoir un suivi un regroupement des participants apr s la mobilit au niveau national pour envisager des suites des r flexions creuser pour mener une valuation Prise de recul par rapport sa pratique quotidienne enrichissement linguistique valorisation de sa mobilit au retour par la r2. mies identification des bonnes pratiques dans les GPDS groupe de pr vention du d crochage scolaire au sein des tablissements Il utilisera une approche valuative mixte des entretiens de terrain et des enqu tes quantitatives et construira en cours des indicateurs d valuation phase 1 tat des lieux du travail pluri cat goriel phase 2 suivi des GPDS un an apr s leur mise en place phase 3 valuation de la plateforme construite par l IFE pour l utilisation des outils par les quipes D marche d inclusion dans les tablissements de l exp rimentation variables qualitatives et variables quantitatives donn es sociod mographiques des l ves typologies des tablissements 53 coll ges et 85 lyc es 12 classes retenues tirage au sort pour un chantillon m mes tablissements et interlocuteurs pour les 3 ans Les entretiens seront r partis par cat gories chef d tablissement CPE infirmi re assistante sociale COP enseignants MLDS autres En tout 104 Enqu te quantitative recueil des coordonn es demand es aux chefs d tablissements et adjoints questionnaires membres du GPDS et autres groupe de pr vention enseignants questionnaire inter cat goriel M me protocole peu de choses pr s au Luxembourg et en Suisse t AGENCE ERASMUS EE EM FRANCE EDUCATION amp FORMATION o Quelques premi res conclusions de l valuation la r ception est de
3. Atelier 1 Professionalisation des acteurs Restitution Trois sessions th matiques 2h15 ont t propos es en parall le autour de t moignages de porteurs projets locaux r gionaux et europ ens Les changes avaient pour objectif de permettre aux participants de mieux conna tre les exp riences de chacun et d envisager des initiatives de lutte contre le d crochage en formation initiale amp Rapporteur Graziana BOSCATO directrice du CIO Strasbourg charg e de mission Euroguidance Animateur Thierry BERTHET directeur de recherche CNRS Centre Emile Durkheim Sciences Po Bordeaux Echanges autour de deux pr sentations de deux projets pour montrer l impact des projets europ ens et leur plus value 1 T moignage par l IFE et le CEREQ pour le projet de coop ration europ en TITA Training Innovation Tools Actions T moignages Catherine PEROTIN directrice adjoint IFE amp Dominique MAILLARD CEREQ 1 1 Contexte o Dur e de trois ans 2014 2017 pilot par l Institut Fran ais de l Education o TITA Team cooperation to fight early school leaving o Projet partenarial issu d une initiative europ enne pour pr venir le d crochage scolaire et d un premier travail europ en o Un message cl promouvoir et soutenir les quipes pluricat gorielles dans les tablissements scolaires Travail local et partenarial difficile r aliser 1 2 Objectifs o Outiller les qui
4. diff rente nature selon les tablissements la r ception est diff rentes entre les diverses cat gories intervenantes un certain scepticisme par rapport un projet long et complexe quelles relations la dimension europ enne du projet 1 4 Cr ation d une base de donn es scientifique o Lesite internet est en phase de production il pr sente le partenariat le projet il est en deux langues Fran ais et anglais mais pas pour tous les contenus ex les vid os o Deux parties a partie publique compos e de la base de donn es et de la cartographie a partie priv e pour les pros et ceux qui auront un acc s autoris o La base contiendra une collecte de la litt rature scientifique et grise sur le d crochage scolaire qui sera analys e pour en faire des abstracts Une synth se des travaux de recherche sur le sujet est d velopp e par le partenaire slov ne et sera mise en ligne en 2016 un annuaire cartographie des chercheurs qui travaillent sur le d crochage scolaire au niveau europ en et international avec un moteur de recherche 1 5 R alisation d une plateforme de formation o Travail avec les quipes pluri cat gorielles locales Entretiens individuels et collectifs des s quences seront film es pour cr er des outils analyse du travail observer les questions que l on peut se poser o Exemples de th matiques Prise de d cision Quifait quoi Faut il int g
5. econnaissance des pairs o Les r seaux cr es sont ils utilis s au retour Les r seaux existent ils peuvent tre activ s si n cessaire mais sont surtout utilis s comme moyen de communication entre les participants du groupe pour changer de mani re conviviale partage de photos d informations at AGENCE ERASMUS EM FRANCE EDUCATION amp FORMATION
6. fessionnelle tait fort utile et appr ci e Les participants pendant une semaine d couvrent les structures d orientation d couvrent les actions et les outils utilis s par les professionnels de l orientation Ils ont l occasion de comparer avec ce qui se passe dans leur pays d origine Chaque participant pr sente son syst me d orientation ainsi qu une pratique de son pays qu il a envie de partager 2 4 Retour sur exp rience des mobilit s Islande et Luxembourg O En Islande Mme K ke d crit le d roulement du stage o la crise conomique a modifi les comportements sociaux avec un retour important en formation des individus L orientation est une question transversale dans les diff rents lieux visit s Un grand int r t est apport dans ce pays aux comp tences informelles et au bien tre institutional wellness dans les lieux de formation et de travail Au Luxembourg elle a constat que le taux de d crocheurs est important par rapport la taille du pays et traduit aussi la r alit sociologique Le pays est trilingue et a de nombreux immigrants Les jeunes l ves issus de l immigration doivent s adapter ce contexte trilingue et ont souvent de grosses difficult s d adaptation et d apprentissage Le d crochage se constate aussi pour des jeunes en situation d apprentissage en alternance cole entreprise M connaissance du m tier mauvaise adaptation at AGENCE ERASMUS EE EM FRANCE
7. nde elle a fait sa formation initiale en Rh nanie Westphalie a t assistante de langue Lille a organis des s minaires d changes linguistiques pour des demandeurs d emploi a connu la p dagogie interculturelle OFAJ a travaill pendant 10 ans la DAFCO du Nord pour l accueil des personnes en mobilit a t titularis e enseignante certifi e pour travailler en Mission g n rale d insertion actuellement la MLDS dont les actions sont cofinanc es par l Europe Academia mode d emploi pour les participants fran ais information et s lection annuelle des candidats selon des crit res pr cis catalogue des offres de stages en ligne sur le site wWww euroguidance eu academia Stages propos s dans le cadre du projet Academia Les stages propos s dans les pays partenaires de 14 17 pays d accueil selon les ann es se d roulent pendant une semaine et sur des th matiques importantes pour les professionnels de l orientation dont le d crochage scolaire la transition formation entreprise etc Les groupes sont multiculturels pour favoriser les changes de pratiques la langue de communication est g n ralement l anglais Ce qui pose des probl mes pour la s lection des candidats fran ais qui majoritairement n ont pas le niveau B2 qui permet d avoir des changes fructueux La pr paration linguistique qui tait propos e dans le programme Leonardo ancien programme europ en pour la formation pro
8. ntiques dans tous les pays Comment former les jeunes travailler en partenariat Comment est pris en compte le scolaire et l extra scolaire dans l observation faite des s quences 2 ACADEMIA stages th matiques en Europe sur la pr vention du d crochage scolaire pour les praticiens de l orientation T moignage Hildegard K KE enseignante r f rente D crochage scolaire MLDS CIO de Lille 2 1 Contexte o Ce projet existe depuis plus de 20 ans et a permis plus de 2000 professionnels de l orientation d effectuer une semaine de visite d tude dans un autre pays europ en pour d couvrir des syst mes d ducation et d orientation et changer sur des pratiques th matiques o Madame K ke travaille la MLDS Mission de Lutte contre le D crochage Scolaire au CIO de Lille Elle est r f rente pour la pr vention du d crochage scolaire 230 jeunes ont t accueillis la MLDS qui propose des actions de remobilisation port es par les tablissements scolaires et des r ponses individualis es Elle a b n fici deux reprises d une exp rience de mobilit Academia En 2011 en Islande sur le th me de l int gration de tous les publics en formation En 2013 au Luxembourg sur le th me de la pr vention du d crochage scolaire t AGENCE ERASM US Ex Ed Erasmus FRANCE EDUCATION amp FORMATION O O O Parcours personnel de mobilit de nationalit allema
9. pes de terrain pour coordonner et impulser leurs actions o Production de ressources o Cr ation d outils pour les formateurs Le projet est organis autour des verbes o COMPRENDRE cr ation d une base de donn es scientifique europ enne partir des rapports publications recherches pour pr senter les informations de fa on rationnelle et utile pour les formateurs o AGIR les partenaires fran ais espagnols et Luxembourgeois implantent des groupes partenariaux locaux t s AGENCE ERASMUS EE EM FRANCE EDUCATION amp FORMATION o EVALUER recenser les diff rences les points communs les leviers les difficult s pour valuer l impact de ces groupes o FORMER rep rer les nouvelles comp tences pour les personnes qui travaillent en inter quipes accompagnement des quipes formation des formateurs 1 3 Le projet TITA en actions O O O O Mise en place des quipes inter cat gorielles Analyse comparative Cr ation d une base de donn es usage professionnel R alisation d une plateforme de formation outils de diff rentes natures pour former les formateurs www titaproject eu sera mis en ligne fin 2015 1 4 Evaluation O Trois quipes pluricat gorielles exp rimentent le travail en quipe sur le terrain dans les acad mies d Aix Marseille Lyon et Cr teil Le C req est charg de l valuation pour les actions conduites au sein de ces trois acad
10. rer les enseignants oui non Secret partag Communiquer ou non Quel partenariat ext rieur Garder ou laisser partir l l ve o A partir de ces th matiques on a des situations sources on pose le dilemme la vision des diff rents partenaires la situation est analys e par les chercheurs les formateurs x AGENCE ERASMUS EE En FRANCE EDUCATION amp FORMATION o La mise ne ligne des premiers outils devrai se faire en d cembre 2015 o Ilest galement pr vu des rencontres entre formateurs europ ens pour des changes de pratiques et d outils 1 6 Conclusion o Complexit du travail tant donn la diversit des situations observ es en France et en Europe o Soutien n cessaire des tutelles et des repr sentants des divers interlocuteurs es travaux sont comparables dans les pays partenaires 1 7 Questions des participants o La question du secret partag bien mesurer le co t social du secret partag quand ce sont des enfants qui sont en jeux le probl me est inacceptable une partie de l information peut toujours tre partag e o Quelle est a r elle plus value de la dimension europ enne dans les projets On fait l hypoth se qu elle existe d s le d part Elle existe dans les changes entre les partenaires ainsi que dans l organisation des quipes On constate que le travail partenarial est difficile partout mais pas de la m me mani re o Les difficult s sont elles ide
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