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Ordre des médecins et exercice médical en 2011

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1. d imp ts sur le revenu donc son revenu net s l vera 66968 S il prend sa retraite et cesse totalement son activit il per oit une retraite brute de 35283 apr s pr l vements et imp ts il lui restera 31 158 Par contre s il demande sa retraite et poursuit son activit lui procurant les m mes revenus professionnels qu aupa ravant 1 Son revenu s l vera 80 000 auquel s ajouteront les 32 778 de retraite 2 lui restera donc apr s charges et imp ts 90620 Par contre bien qu il continue cotiser totalement la CARMF il n acquiert aucun point de retraite suppl mentaire car sa retraite une fois liquid e ne peut plus tre recalcul e Mais cela lui fait un diff rentiel positif en sa faveur de 23652 Mais attention il faut capitaliser cet 12 Revue des M decins de l Is re o l crit et la signature restent obligatoi res En conclusion en cas de litige la tra abili t et le temps de communication figu rant dans le dossier m dical permettront la justice et notre assurance en responsabilit civile et professionnelle d appr cier le s rieux et la responsabilit de nos actes R f rences 1 Conf rence Pharmagora 2008 avec Ma tre Fallourd Avocat la cour M Megerlin ma tre de conf rence Paris V Mme Blochet pharmacien conseil 2 Droit m dical com 3 M Gr goire Moutel facult de m de cine Paris Descartes Nouvelles
2. 4 octobre 2011 22 d cembre 2010 13 mai 2010 4 novembre 2011 22 f vrier 2011 S ances de juillet 2010 d cembre 2011 Dr ALDRIDGE Sephen Dr BAILLET C cile Dr BILLAUD Raymond Dr BONNET Robert Jules Dr COPAIN Anne Dr CUVINCIUC Victor Dr DAIEN Guy Dr DE BRUYN Martine Dr DELANNOY Pierre Dr DESGOUTTE Jacqueline Dr DOBOS Mariana Oana Dr DUCANI JULEROT Paulette Dr DUVERNEUIL Guy Dr ESCARGUEL Marie Th r se D parts 8 ao t 2011 31 d cembre 2011 7 d cembre 2011 31 d cembre 2010 28 aout 2010 4 octobre 2011 31 d cembre 2010 18 septembre 2011 15 mai 2011 21 septembre 2010 1 novembre 2011 14 f vrier 2011 7 d cembre 2011 21 septembre 2010 Dr GODOY Andrea Dr KATSOULIS Efstathios Dr LAGRANGE Daniel Dr LE MONNIER Jacqueline Dr LOMBARDI Italo Dr MANZINI Nicolas Dr MEUNIER CARUS VINCENT Niels Dr MIGNOT Denise Dr MORO Denis Dr PEULTIER Isabelle Dr RIVAL Nicole Dr VEYRE Bruno Dr WEBER Anne 11 septembre 2011 18 novembre 2010 31 d cembre 2010 7 d cembre 2011 1 avril 2011 14 d cembre 2010 31 d cembre 2010 6 avril 2011 29 avril 2011 2 mars 2011 3 ao t 2010 11 septembre 2011 31 d cembre 2010 S ances de juillet 2010 d cembre 2011 Dr AMBROISE THOMAS Pierre Marie Dr APPRIOU Nathalie Dr ARSLANIAN Anna Dr BADIC Bogdan Dumitru Dr BADIC Simona Dr BARRE Marie Dr BEC Eric Dr BEN LAMINE Samia Dr BERTHOUX Emilie Dr BESSAS Abdelhafid Dr BESSON Marc Dr BILLET
3. Dr CLAEYS Antoine Dermatologie V n r ologie La Tronche Hospitalier Dr DUCRET Herv M decine g n rale Vienne Salari Dr DUPREZ Matthieu Psychiatrie St Egr ve Hospitalier 22 Revue des M decins de l Is re INSCRIPTIONS AU TABLEAU Dr HUSTACHE ATTIVOUB Sarah M decine g n rale Grenoble Salari Dr IBRAHIM Elias G riatrie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr JASEK Fr d ric Radiodiagnostic Bourgoin Jallieu Lib ral Dr JEYMOND S bastien M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr KARROUMI DEBZA Meriem M decine g n rale La Terrasse Salari Dr LAJAUNIE Catherine M decine du travail Vienne Salari Dr MELLIER Aur lie Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr PASQUIER Christian M decine g n rale Grenoble Salari Dr RAPHEL Christian M decine g n rale Crolles Retrait Dr RICHARD Fanny P diatrie Voiron Rempla ant Dr THOMAS Isabelle M decine g n rale Voiron Rempla ant Dr VILLA Julie Oncologie radioth rapie La Tronche Hospitalier Dr YAZDANFAR Elmira M decine g n rale Grenoble Lib ral Inscriptions du 2 mars 2011 Dr CLAEYS Marie Virginie Oncologie radioth rapie Grenoble Salari Dr D ETTORRE Mario M decine g n rale Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr FLYE SAINTE MARIE H l ne Gyn cologie obst trique Grenoble Salari Dr GROSPIRON Jean Radiodiagnostic Vienne Rempla ant Dr HAMAIDI Toufik Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr JACOB H l ne M decine g n rale Corenc N exer ant pas Dr MIHALC
4. Revue des M decins de l Is re 7 gt gt gt 8 LORDRE S Ainsi donc le code de d ontologie dont est garant le Conseil d partemental de l Ordre des M decins et au del les Conseils r gional et national est finale ment un document unique la profes sion qui n a que pour seul objectif de rappeler de fa on pr cise les r gles d ind pendance d humanit et de bon sens qui doivent nous permettre de donner des soins de qualit aux patients Il est regrettable qu aujourd hui l ensemble du corps m dical sala ri ou lib ral apprenne et d couvre le code de d ontologie travers les proc dures judiciaires Le Conseil d partemental de l Ordre des M decins est donc la structure ind pendante qui veille la bonne entente entre tous et l honneur de la profession Il est indispensable que des conseillers ordinaux soient issus du monde des m decins hospitaliers pour apporter ces connaissances des coutumes et usages professionnels et pour participer la d fense et l ana lyse des pratiques professionnelles des m decins salari s avec l gitimit et pertinence Utilisation et r partition de nos cotisations La cotisation annuelle est indissociable du droit d exercer pour tout m decin salari ou non La cotisation est repartie entre les niveaux d partemental 52 7 r gio nal 12 3 et national 35 Au niveau d partemental elle sert e R mun ration du personnel 5 75 sa
5. e Les contrats de remplacement la r f rence reste le contrat type du Conseil national de l Ordre des M decins e Les contrats d association en SCM SCP en activit lib rale dans ce type de contrat r dig par des hommes de loi qui n ont pas forc ment la m me vision des textes et des r alit s que les m de cins des probl mes apparaissent en cas de conflit entre les associ s C est nous m decins faire voluer ce type de contrat en fonction des associ s avec lesquels nous travaillons en fonction de la conjoncture du groupe par des avenants au contrat bien entendu r di g s par des hommes de loi En particu lier la clause de non r installation inscri te dans les anciens contrats d association a moins de raison d tre l heure actuelle du fait de l volution de la carri re vers une plus grande mobilit d installation Les difficult s apparaissent en cas de conflit Pour conclure la commission des contrats lit examine et met des remarques sur les contrats que vous soumettez au Conseil d partemental de l Ordre La r ponse que vous recevez peut tre rebutante par sa formulation tr s juri dique Nous recherchons toujours outre le respect du code de d ontologie m di cale la protection du m decin qui soumet un contrat vis vis de l em ployeur d un tablissement priv d as soci s etc Nous vous invitons donc apporter une r ponse aux remarques qui vous son
6. et obligation seul rempart une organisation professionnelle complexe pour prot ger m decins et patients Notre profession est la seule compor tant un code de 112 articles qui orga nisent les usages professionnels avec parfois un sentiment d sagr able de n avoir finalement que des devoirs et aucun droit Le code de d ontologie int gr au code de sant publique sous les num ros R4127 1 R4127 112 est plus subtil que cela et il suffit de relire tous les articles pour comprendre finale ment que ces obligations l gales et ce cadre juridique permettent la m de cine de trouver une juste place dans un environnement de soci t complexe o ce code est finalement un garde fou tant pour les m decins que pour les patients Ainsi le code de d ontologie s ap plique t il tous les m decins qu ils soient salari s ou lib raux article 1 Que l on soit ainsi m decin hospitalier ou m decin lib ral nous sommes au service des patients dans le respect et la dignit qu ils soient vivants ou morts article 2 Nous devons respecter la moralit la probit et le d vouement article 3 et nous sommes seuls garants du secret professionnel article 4 Notre ind pendance professionnelle est inali na ble article 5 Nous devons offrir nos concitoyens des soins respectueux quelles que soient leurs origines et leur situation article 7 et nous devons leur propo ser des soins de qualit appropri
7. et obligation Dr Jean Pierre Torres et Dr Didier Legeais p 6 8 Cotisation l Ordre des m decins comment a marche Dr Jean Ren Causse p 8 Droit La commission des contrats du Conseil d partemental de l Ordre Dr Pierre Finet p 9 Nouveau Une consultation d adoption l H pital Couple Enfant Dr Catherine Grattier p 10 Bonnes pratiques Le principe de pr caution et les prescriptions m dicales incidences pratiques Dr Jean Marc Gueulle p 11 Social Nouvelles dispositions avantageuses pour le cumul emploi retraite Dr G rard Mick p 12 La commission d entraide o quand pour qui par qui Entretien avec le Dr Paliard p 13 Territoires Evolution des r seaux de sant en Is re Dr G rard Mick p 14 Enfants ob ses personnes g es les r seaux en action p 14 Pratique Remplacements mode d emploi Dr Pierre Chalandr p 15 R glementation Les certificats m dicaux encore et toujours Dr Herv Aubert p 16 Les br ves Conseil national de l Ordre DDASS associations enseignement Dr Pascal Jallon p 17 20 Inscriptions au Tableau R capitulatif depuis juillet 2010 p 21 28 Ordre des m decins et exercice m dical en 2011 Dr Olivier Roux pr sident du Conseil d partemental de l Ordre des M decins de lIs re ous constatons ces derni res ann es quel que soit le mode d exercice des m decins une intrusion administrative plus subie qu accept e dans notre exerc
8. l AFEM Aide aux Familles et Entraide M dicale Pour aider les familles de m decins apr s le d c s ou la maladie du chef de famille Ce don permettra e aux familles de faire face aux d penses imm diates notamment lorsque le m decin n a pas su n a pas pu prot ger les siens des coups du sort impr visibles e aux tudiants de financer leurs tudes malgr la chute brutale des revenus de leur famille Avantage fiscal ce don entra ne une d duction fiscale de 66 dans la limite de 20 du revenu imposable Contact Aide aux Familles et Entraide M dicale 168 rue de Grenelle 75007 Paris t l 01 45 51 55 90 e mail info afem net 20 Revue des M decins de l Is re Inscriptions du 7 juillet 2010 INSCRIPTIONS AU TABLEAU Dr AL ASSAF Adam Dr BERARD Marie Pierre Dr BOUVAIST Marie Dr CHEVALLIER GRENOT M Dr FACQ Thierry Dr GALERNEAU MULLER M Dr GUYOT S bastien Dr LAMARDELLE Sylvie Dr LEGRAND Catherine Dr LYONNARD Marie Pierre Dr MASSARELLI Sandra Dr MICHY Thierry Dr PERIER Marie Am lie Dr PIERO Andrea Gyn cologie obst trique M decine g n rale M decine g n rale M decine g n rale M decine g n rale M decine g n rale M decine g n rale M decine du travail M decine g n rale M decine g n rale M decine g n rale Gyn cologie obst trique Rhumatologie Psychiatrie Vienne La Tronche Grenoble La Tronche Chatte Reventin Vaugris Lans en Vercors
9. pagner y compris dans leur fin de vie dans le respect de leur int grit et de leur environnement familial qu ils soient majeurs ou mineurs Enfin il affirme que le lien m decin malade est sous la responsabilit unique totale et enti re du m decin y compris la conservation du dossier m dical La permanence des soins et la continuit des soins sont pr cis es dans ces articles de m me que la reconnaissance de la r mun ration et des honoraires le tout avec tact et mesure Les titres 3 et 4 sont emprunts de bons sens et nous rappellent si besoin l absolue n cessit d avoir entre professionnels de sant salari s ou lib raux des rapports confrater nels honn tes et diligents Ainsi la confraternit est elle r affirm e article 56 le d tournement de client le inter dit article 57 le respect du choix du malade articles 58 59 et 60 et il est rappel que l information donn e au malade doit circuler entre les diff rents m decins correspondant avec une place particuli re pour le m decin traitant choisi par le patient articles 59 64 L article 95 r affirme de fa on ferme et non discutable pour les m decins salari s leur ind pendance profes sionnelle dans toutes les prises de d cisions m dicales et leur obligation vis vis du secret professionnel L article 97 rappelle qu aucune r mur n ration fond e sur les normes de productivit de rendement ne peut tre accept e
10. dical Les prochains th mes du Triangle M dical Th mes pour 2011 2012 e ORL vertiges urgence cerner e certificat m dical du sportif recom mandations ECG e g riatrie baisse de l tat g n ral Sd inflammatoire e troubles de la sexualit e gyn cologie m nopause contracep tion e les antalgiques e g riatrie le m decin g n raliste face la perte d autonomie Pour conna tre les activit s de cette association de formation m dicale continue contacter Nadim Jubran 3 place de la Convention 38130 Echirol les t l 04 76 33 37 84 e mail njubran001 rss fr Dipl me universitaire Le m decin g n raliste face aux patients canc reux participation la prise en charge et la surveillance Dossier t l charger sur http www sante ujf grenoble fr Renseignements Sophie Couchez CHU Michallon BP 217 38043 Greno ble cedex 9 T l 04 76 76 54 36 E mail SCouchez chu grenoble fr Journee universitaire de medecine generale Elle aura lieu le samedi 10 d cembre 2011 le matin l amphith tre Boucherle de la facult de m decine de Grenoble Son but est de promour voir la recherche en m decine g n ra le aupr s de toutes les g n rations de g n ralistes Travaux pr sent s sur www sante ujf grenoble fr SANTE cms medatice mg mg index php pid 196 Pour toute question relative cet v nement contacter jumgeg gmail com Pourquoi donner
11. du remplacement par un tudiant titulai re d une licence de remplacement ce n est que l autorisation du Conseil d partemental qui lui permet d exercer temporairement Dans les deux cas un contrat doit tre crit et transmis sign des deux parties aux conseils o sont inscrits les cocontractants Le contrat ne tient pas lieu de d claration il ne peut non plus valoir autorisation d exercer pour un rempla ant non inscrit un tableau Les d clarations de remplace ment par un m decin inscrit un tableau ou les demandes d autorisation de remplacement m decin non inscrit un tableau doivent tre transmises suffisamment l avance sauf situation PRATIQUE Q Remplacements 7204 urgente par courrier t l copie Les d clarations ou demandes d autorisa tion doivent tre sign es du m decin remplac lui m me pas par un secr ta riat ni a fortiori par le rempla ant Le Conseil d partemental doit tre destina taire d un exemplaire du contrat sign des deux praticiens et si le mod le de contrat disponible sur le site du Conseil national est utilis il convient de se l ap proprier en adaptant ses clauses Un remplacement non d clar et non avalis par le Conseil d partemental met le rempla ant s il est inscrit un tableau en situation d exercice non autoris de la m decine et le m decin remplac complice La prise en charge des honoraires par l assurance maladie peut tre re
12. e a l avantage de nous familiari ser l aspect et aux termes juridiques des contrats Quels contrats Quels sont les diff rents types de contrats soumis par nos confr res au niveau d partemental e Le contrat d installation du m decin g n raliste en activit lib rale nous conseillons d utiliser le contrat type tabli par le Conseil National de l Ordre des M decins disponible aupr s de notre secr tariat e Le contrat d activit lib rale au sein d un tablissement priv des points faibles ressortent de fa on r currente Par exemple l tablissement veut garder la possibilit de rompre le contrat pour un motif plus ou moins valable sans recours pour le praticien Nous vous mettons en garde contre cette pratique vous demandant de pr ciser par un avenant que cette rupture ne peut tre prononc e qu apr s l avis de la CME ou d une autre instance apr s plusieurs sommations de la part de l tablisse ment e Le contrat d activit salari e au sein d un tablissement l aussi r f rence est faite au contrat type du Conseil national de l Ordre des m decins Souvent certains points ne sont pas pr cis s ou crits de fa on floue par l tablissement il s agit de l assurance Responsabilit Civile Professionnelle Compte tenu de la judiciarisation actuel le qui entoure notre profession ce point doit tre v rifi Nous en faisons souvent la remarque au praticien dont nous exami
13. g s lors de leur adoption les enfants de moins de 2 ans sont de moins en moins repr sent s et cumulent souvent des difficult s de sant et sociales IIS peuvent pr senter des affections b gnines mais non ou difficilement soign es dans leur pays d origine ou des affections plus pr occupantes n cessitant une prise en charge adap t e et rapide leur arriv e IIS peuvent pr senter des troubles du comportement ou de l attachement qu il faut d celer pr cocement pour proposer une aide efficace pour l en fant et sa famille adoptive IIS doivent adopter leur nouvelle famille s adapter un rythme de vie diff rent de celui connu ant rieurement s ap proprier parfois un nouveau langage pour les plus grands s int grer dans une soci t et une culture diff rente Une guidance parentale et un accom pagnement sont souvent tr s b n fiques toute la famille ce stade de leur histoire y compris parfois pour de simples conseils de pu riculture et ou d alimentation Une orientation vers une th rapeutique psychologique pr coce est parfois n cessaire en pr vention de conflits familiaux ult rieurs et favoriser l ancra ge affectif dans la nouvelle famille Certains enfants adopt s sont d j vus en consultation actuellement par des 10 Revue des M decins de l Is re m decins hospitaliers de diff rentes disciplines La mise en forme d une consultation d di e est destin e l in divi
14. ral Dr GARIN Daniel M decine g n rale Meylan N exer ant pas Dr GROSJEAN Julien M decine g n rale Bourgoin Jallieu Lib ral Dr LAUNAY Florence M decine g n rale Grenoble N exer ant pas Dr DELAVENNAT Laurence M decine g n rale La Tronche Hospitalier Inscriptions du 7 septembre 2011 Dr ANTOINE Soizic Chirurgie Infantile La Tronche Hospitalier Dr ATTYE Julie M decine g n rale Meylan Rempla ant Dr BEN MANSOUR Olfa M decine g n rale St Laurent du Pont Hospitalier Dr BENOIT Bruno M decine g n rale Bourgoin Jallieu Lib ral Dr CIOBANU Andrei Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr EVE VAGNON Brigitte P diatrie Meylan Rempla ant Dr FUG C line M decine g n rale Heyrieux Lib ral Dr GUILIANO Sylvia M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr HAMOU Cynthia Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr HUMANN Peggie M decine g n rale St smier Rempla ant Dr JOYAL Ren e M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr PAVADAY Christelle M decine g n rale Villard de Lans Lib ral Dr SERGENT Fabrice Gyn cologie obst trique La Tronche Hospitalier Dr SIBUT Jean Fran ois Radiodiagnostic St Marcellin Lib ral Dr ZIELONKA Karolina Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Inscriptions du 5 octobre 2011 Dr ANKI Djaafare M decine g n rale Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr CAPDEPON Etienne M decine g n rale Grenoble Lib ral Dr CHEVRIERE Sophie Gyn cologie obst trique Grenoble Rempla ant Dr DERBAS Dima P di
15. s et efficace article 8 Nous devons respecter les patients et leur situation physique et mentale quelles que soient les situations o nous sommes amen s porter des soins articles 9 et 10 Nous avons l obligation de maintenir nos connaissances professionnelles niveau article 11 sans avoir le droit Les 112 articles du code de d ontologie organisent nos usages professionnels d utiliser nos comp tences pour se faire de la publicit articles 13 14 19 20 et 21 Tout m lange des genres avec des comportements limites commerciaux o l argent finalement domine la rela tion m dicale est interdit articles 22 29 Nos soins doivent tre consciencieux d vou s fond s sur les donn es acquises de la science article 32 avec un diagnostic labor avec le plus grand soin article 33 sans h siter si n cessaire faire appel des tiers comp tents articles 32 et 33 L information est le ma tre mot des devoirs m dicaux envers les patients et un grand nombre d articles pr cise ORDRE S Q la bonne entente entre tous et l honneur de la profession our un m decin salarie que notre information doit tre adap t e appropri e claire compl te et honn te articles 34 36 Enfin dans les articles suivants de 37 55 le code de d ontologie nous rappelle simplement le bon sens c est dire de prescrire des soins dans le respect des patients pour les soulager les accom
16. seaux en parti culier professionnels hospitaliers et de ville La cr ation de p les de coordina tion de proximit pour le soutien des professionnels de sant de premier recours vis vis du maintien et du retour domicile constituera l un des points forts de ce nouveau GCS mais ne pourra tre op rationnelle qu avec un travail d amont r alis tant avec le milieu hospitalier qu avec les profes sionnels de sant lib raux en particu lier les m decins traitants Il s agira galement de coordonner les diff ren tes territoriales entre secteur sanitaire et m dico social en particulier les actions en faveur de l autonomie et du handicap dont certaines sont d ploy es depuis plusieurs ann es par le Conseil G n ral Cette volution des r seaux de sant de l Is re hormis le r seau Visage d ploy sur le bassin de sant de Vienne appara t comme une opportunit soutenue par l ARS et le minist re afin d uvrer en faveur d une meilleure coordination des soins en appui et non la place des professionnels de sant qui restent acteurs principaux de celle ci Enfants ob ses personnes g es les r seaux en action Nouveau un r seau en charge de l ob sit des enfants et adolescents Port par l association APOP38 cr e en mai 2008 un nouveau r seau de sant pour la pr vention et la prise en charge de l ob sit des enfants et adolescents R PPOP 38 fonctionne depuis mars
17. Barbara Anatomie cytologie pathol La Tronche Hospitalier Dr CARON Julien Cardiologie Grenoble Hospitalier Dr CHATRIAN Am lie Gyn cologie obst trique La Tronche Hospitalier Dr CHEILAN Violaine M decine g n rale Voiron Hospitalier Dr CLAVEL Marie M decine g n rale Voiron Rempla ant Dr COLIN MADAN Anais Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr CROZE Laure Emmanuelle N phrologie La Tronche Hospitalier Dr DALLIGNA Ga lle Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr DARRIEUX Pierre M decine g n rale St Nicolas de Macherin Rempla ant Dr DELGRANGE Marie Radiodiagnostic La Tronche Hospitalier 24 Revue des M decins de l Is re Dr DURET J r me Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr FEVRE Marie C cile Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr GASSEUR Charl ne M decine g n rale Le Cheylas Rempla ant Dr GENDRE J r me Radiodiagnostic La Tronche Hospitalier Dr GIORDANO Audrey M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr GIROUD Mathilde M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr GUIGARD S bastien Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr GUIGUE Virginie Gyn cologie obst trique La Tronche Hospitalier Dr HAXAIRE Elodie Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr HONNORAT Estelle M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr LARCILLY Julie M decine g n rale Vienne Hospitalier Dr LAUTARET Sabine M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr LETIERS Camille M decine g n rale Grenoble Rempla a
18. Ga lle Dr BIZOUATI Gabriel 26 Revue des M decins de l Is re SAVOIE SAVOIE SAVOIE FINISTERE FINISTERE SAVOIE LISTE SPECIALE LISTE SPECIALE RHONE AIN GUADELOUPE LOIRE ATLANTIQUE VENDEE 31 d cembre 2010 24 octobre 2010 6 d cembre 2010 1 juin 2010 15 juin 2011 1 mai 2011 18 ao t 2010 30 ao t 2011 1 novembre 2010 16 septembre 2011 9 ao t 2010 2 novembre 2011 15 octobre 2010 Dr BLOCKELET Dominique Dr BLUNIER Jonathan Dr BODIN Arnaud Dr BOGDAN Veronica Dr BONGIORNO Vito Dr BOURDIC Jacqueline Dr BOURGAIN Caroline Dr BOURRAIN Jean Luc Dr BOUSSAGEON R my Dr BOYER Val rie Dr BUSQUET Caroline Dr CABRERO BERTEL In s Dr CANALES DURAND Claudia Dr CAPRETTI Giovanna Dr CARRON Romain Dr CHAPELON Claude Dr CHASSE Val rie Dr CHAUVET Marion Dr CHAVET VIALE Anne Dr CHEMINEL Pierre Yves Dr CHEVALLIER GRENOT Marie Dr CHUMBI FLORES Ren Dr CIMMA Jean Paul Dr COEFFIC David Dr COLTEY B reng re Dr COMTE Sylvie Dr CORNU Maurice Dr COSTACHE Victor Dr COTTA Laure Dr COUDURIER Marie Dr COULERU Fran oise Dr COULERU Philippe Dr DAURE Muriel Dr DAVREUX Thierry Dr DEDIANNE Marie C cile Dr DEFA Patrick Dr DELNARD Nancy Dr DELSAUX Julie Dr DENIS Isabelle Dr DEVAUX Bertrand Dr DUBREUIL Cl ment Dr DUC Catherine Dr DUMITRU Maria Dr DUPREZ Matthieu Dr EKER Omer Dr ESTOUR Gilles Dr ESTRANGIN Chantal Dr EYMARD REY B atrice Dr FAGNOLI G rard Dr FAIVRE Jea
19. Hospitalier Dr SCHWARTZ V ronique M decine g n rale Vienne Salari Dr SHESTAEVA Oxana M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr SSI YAN KAI Nathalie M decine g n rale La Tronche Salari Dr TOFFART Anne Claire Pneumologie La Tronche Hospitalier Dr TURK Julien M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr VERAN Camille Gyn cologie obst trique La Tronche Hospitalier Inscriptions du 1 d cembre 2010 Dr AMINOT VEZARD Isabelle M decine g n rale Grenoble Salari Dr ARNOULT Anne C cile M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr ASTIER Andr M decine g n rale Jarrie Salari Dr BARDY B atrice Biologie M dicale La Tronche Salari Dr BENARD Marl ne Anesth sie r animation Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr BENOIT Marine Endocrinologie M tabolismes La Tronche Hospitalier Dr BOULAHOUAT Nadia M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr CASSAGNEAU Romain Cardiologie La Tronche Hospitalier Dr CHOLIN B atrice M decine g n rale Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr CRAND Alexandra Endocrinologie M tabolismes Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr CRETINON Matthieu M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr CRUMIERE Nathalie Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr EGO Anne Sant Publique La Tronche Hospitalier Dr GOISET Emilie P diatrie Vienne Hospitalier Dr KHAYI Hafide Ophtalmologie La Tronche Hospitalier Dr LABROSSE Alexandre M decine g n rale La Tour du Pin Lib ral Dr MAISSE Nicolas Chirurgie g n rale La Tron
20. La Tour du Pin Morestel Domarin Eybens Grenoble Bourgoin Jallieu St Egr ve Hospitalier Salari Rempla ant Rempla ant Lib ral Lib ral Rempla ant Salari Rempla ant Lib ral Lib ral Salari Lib ral Hospitalier Inscriptions du 21 juillet 2010 Dr AUBEL No mie Dr PLOT Julie Dr TUDOR Alexandru Dr VAILLANT Fr d ric Inscriptions du 1 septembre 2010 Dr BITCHEV Clara Dr CHALON Marc Dr CORNET Dominique Dr GERMI Fabienne Dr HALLE Caroline Dr PERRON Anne C cile Dr SCHWEBEL Monique Dr TAHON Florence Dr VANNESSON Laure Inscriptions du 6 octobre 2010 Dr ADJAOUD Dalila Dr AMRO DERGAM Lamys Dr BAALI Nabil Dr CAMERANI Jean Michel Dr CARLOT Brice Dr CERES TOURNOIS Caroline Dr CHOBERT BABOULINE Marine Dr DEZISSERT Linda Dr GILLOIS Pierre Dr GUERLAY Fr d rique Dr HENRY Caroline Dr HOURNAU BLANC Julie Dr MONTMAYEUR Alain Dr PAPILLON Pascale Dr PELTRAULT BRULET Corinne Dr PIERRE Isabelle Dr PRIEUR BLAYSAT Marion Dr SEGRET Virginie Dr TISSIER Val rie Dr TOURNAN Charlotte Dr VALLET Fran ois Dr VAN DER HULST Sara Dr VEUX Cyrille Inscriptions du 3 novembre 2010 Dr ABDELLAOUI Mohamed Dr ARNAUDON Rapha l Dr BARTH Emeline Dr BOUDJEMA Mehdi Dr CHAPUIS Anne Caroline Dr CHARVET R mi Dr CORNET Murielle Dr CRUIZIAT Claire Dr FAGEDET Doroth e Dr FELDMAN Audrey Dr GAY Samuel Dr GUELLERIN Julie Dr IBN SOUDA EL MORRI Fouad Dr IMBRIA Bianca Dr IONASCU Oana Dr LABLAN
21. M decins de l Is re 27 gt gt gt 28 INSCRIPTIONS AU TABLEAU Dr LAURENT Thomas HAUTE SAVOIE 1 novembre 2010 Dr LEBLANC Danielle RHONE 13 f vrier 2011 Dr LEFIN PRUNIER Isabelle AUBE 22 novembre 2011 Dr LEGENNE Myriam RHONE 2 novembre 2010 Dr LELEVE Daniel ARDECHE 18 janvier 2011 Dr LEMORDANT Pauline SAVOIE 27 novembre 2010 Dr LONGUEBRAY Donatienne SARTHE 31 d cembre 2011 Dr LOPES Cristina SAVOIE 31 d cembre 2010 Dr LUCAS Anne Sophie VENDEE 27 d cembre 2010 Dr LUCCHESI Jean RHONE 4 novembre 2010 Dr MAILLOT MARY Sylvie VIENNE 14 ao t 2010 Dr MAISON Jean Jacques PACIFIQUE SUD 17 d cembre 2010 Dr MANGIONE Brigitte SAVOIE 1 d cembre 2010 Dr MARTIN DES PALLIERES Thierry COTE D OR 29 octobre 2010 Dr MARTIN Fabienne Corine RHONE 16 ao t 2010 Dr MARTIN LEBRUN Elisabeth BOUCHES DU RHONE 30 mars 2011 Dr MEMIN Bernard GUYANE 8 d cembre 2011 Dr MIREA Laura LISTE SPECIALE 31 d cembre 2010 Dr MITERNIQUE Alain RHONE 15 novembre 2011 Dr MONDESERT Blandine LISTE SPECIALE 31 d cembre 2010 Dr MONTY Jean Luc PYRENEES ATLANTIQUES 12 d cembre 2011 Dr MORISSEE Christian RHONE 28 f vrier 2011 Dr MOSNIER Emilie VILLE DE PARIS 1 novembre 2011 Dr MULIERI Giacco VIENNE 1 mai 2011 Dr NIERMONT Boris HAUTES ALPES 2 novembre 2011 Dr NOYELLES Leslie HAUTE GARONNE 2 novembre 2010 Dr ORLANDI Chrystel SAVOIE 16 juin 2011 Dr PAJUS Isabelle ALPES MARITIMES 24 juin 2011 Dr PARMENTIER Daniel VENDEE 1 juillet 2011 Dr PASQUIER Christian C
22. avenir pour prendre l avance les mesures destin es emp cher d ventuels accidents ult rieurs et introduit un lien de causalit entre le d faut d anticipation et le dommage qui en r sulte C est l application du principe de pr caution face un risque potentiel non encore av r C est l application la sant d un concept concernant au d part l environ nement et les conditions de vie sur la terre le principe de pr caution a incontestablement largi le domaine de la responsabilit m dicale Il oblige int grer parmi les diff rents param t res pris en compte dans toute prescrip tion m dicale non seulement les risques connus avec leur taux de proba bilit du domaine de la pr vention mais galement les risques possibles potentiels non encore av r s et a fortiori non quantifiables et Il importe donc que le m decin prescripteur puisse le cas ch ant apporter la preuve que tel a bien t le cas ce qui sous tend en pratique une obligation de tra abilit des diff rents stades de la d marche de prescriptions et de suivi des patients pris en charge Avec un exercice aussi singulier que le n tre une r ponse s impose la tenue du dossier m dical o doivent appara tre la tra abilit de notre pratique et le temps de communication Obligation de tra abilit Elle concerne trois domaines e La tra abilit administrative le r gime de confiance est remplac par un se
23. cembre 2010 Dr VACHALA Bernadette AUDE 19 avril 2011 Dr VICO LEFEBVRE Emilie POLYNESIE FRANCAISE 3 d cembre 2011 Dr VILLETTE GAUCHER Anne Marie RHONE 30 mai 2011 Dr VIROT Olivier ARDECHE 14 mars 2011 Dr VITRAT Virginie HAUTE SAVOIE 19 mai 2011 Dr WALTER Brigitte MARTINIQUE 19 septembre 2011 Revue du Conseil de l Ordre des M decins de l Is re est une publication du Conseil d partemental de l Ordre des m decins de l Is re 1A boulevard de la Chantourne 38 700 La Tronche Directeur de la publication Olivier ROUX Edition impression SGP 38000 Grenoble 28 Revue des M decins de l Is re
24. de sant activit r cente et en plein essor Cependant le l gislateur est rest disc ret sur le statut et les missions du m decin chez l h bergeur et il est diffici le dans un contrat type de r pondre des questions qui ne sont pas encore pos es en raison de la nouveaut de la fonction Le CNOM a donc pris le parti de fixer simplement le cadre contractuel dans lequel s inscriront les relations entre m decins et h bergeurs d o la d no mination de contrat cadre Ce cadre a vocation voluer avec les retours d ex p rience des m decins chez les h ber geurs Contrat type sur le site www conseil national medecin fr D claration obligatoire des mesotheliomes Bient t une 31 maladie d claration obligatoire dans le cadre du Plan Cancer 2009 2013 et apr s une phase pilote qui s ach vera en Juin 2011 les m soth lio mes seront ajout s la liste des 30 maladies obligatoires Recommandations du CNOM pour la continuit des soins L information du patient en cas d absen ce du m decin fait aujourd hui l objet de deux dispositions l gales L une figure dans la r cente loi 2009 8 9 du 21 juillet 2009 dite loi HPST sous un chapitre intitul Continuit des soins en m decine ambulatoire Elle mentionne La continuit des soins aux malades est assur e quelles que soient les circonstances Lorsque le m decin se d gage de sa mission de soins pour des raisons profession
25. diff rents contrats quel qu en soit le type qui lui sont soumis Elle recherche toujours l int r t du prati cien et elle le met en garde contre d ventuels vices de forme Composition de la commission Elle est constitu e de dix membres dont un pr sident Chacun des memb res s occupe plus particuli rement d un domaine la r partition des dossiers se faisant entre les contrats d activit lib rale les contrats d activit salari e les baux professionnels les contrats de remplacement les congr s les conven tions avec l Industrie la pharmacie les associations SCM SCP les SEL Comment fonctionne La commission des contrats du Conseil d partemental de l Ordre la commission Elle se r unit une fois par mois au cours d une s ance de deux heures avant la s ance pl ni re qui permettra une discussion des dossiers litigieux entre tous les conseillers ordinaux Chaque membre de la Commission re oit une semaine avant la r union les dossiers arriv s au Secr tariat du Conseil au cours du mois et les tudie de fa on individuelle Les dossiers sont alors examin s de fa on coll giale lors de la r union mensuelle Ne vous ton nez pas des d lais de r ponse parfois longs si votre contrat arrive par courrier au secr tariat de l Ordre des M decins le lendemain d une s ance pl ni re il sera tudi par un des membres de la Commission et examin la r union suivante la r ponse par co
26. dispositions avantageuses cumul emploi retraite argent et le placer sur un plan d pargne pour payer les charges une fois que l on prend sa retraite car actuellement c est mission impossible de revendre sa patient le et son cabinet Par contre une fois la retraite on continue payer les charges calcul es sur l ann e n 2 et si on n a pas pr vu de budg tiser d avance ces charges il sera difficile de faire face une fois la retraite avec comme seul revenu sa pension Un autre poste provisionner ce sont les indemnit s de licenciement pour le personnel ainsi que les cong s pay s l indemnit de licenciement ne peut tre inf rieure au cinqui me du salaire mensue multipli par le nombre d an n es auquel s ajoutent deux quinzaines de mois par ann e au del de 10 ans d anciennet Exemple pour un salaire de 1400 et une anciennet de 14 ans 1 400 5 x 14 3 920 auxquels il faut ajouter 1400 x2 15 x4 746 67 soit un total de 4 666 67 Et il faut ajouter le salaire du mois et les cong s pay s ce qui fait encore une forte somme budg tiser Une autre possibilit il demande sa retraite et poursuit une activit limit e lui procurant un BNC de 46212 auxquels s ajoutent ses 32778 de retraite lui restera apr s charges et imp ts 66968 Comme dans l exemple pr c dent ses cotisations CARMF ne lui donneront pas non plus droit des points suppl men taires po
27. es principes issus de la loi sont l inscription au tableau du conseil de l Ordre est obligatoire pour exer cer la m decine en dehors des militai res le Conseil National fixe le montant de la cotisation annuelle son recouvre ment est appel par le Conseil D parte mental o le m decin est inscrit au 1er janvier et elle est due au premier trimes tre de l ann e Son montant est le m me pour tous les m decins exer ant la m decine y compris les retrait s qui exercent et ne varie pas selon la dur e de cet exercice La cotisation est r duite pour les m de cins lors de l ann e de leur premi re inscription pour les m decins qui n exer cent pas et pour les m decins dont l ins cription n est pas obligatoire par la loi Il existe des possibilit s d exon ration partielle ou totale selon les ressources du m decin qui sont d cid es par le Conseil lors de sa r union mensuelle Le but de cette cotisation est d assurer l Ordre ses moyens de fonctionner Le d partement garde 52 67 de la somme pour le secr tariat les d place ments et indemnit s des lus en repr sentation saisies de dossier locaux mat riels et maintenances repas de la s ance du conseil organisation de r unions bulletin entraide conseil de comptable d avocat les comptes d partementaux sont approuv s par le Conseil D partemen tal contr l s par le conseil national et des commissaires aux comptes en
28. et ce quelque soit le niveau d parte mental r gional national par toutes les composantes de la profession qu elles soient lib rales salari es hospitali res pour que nous soyons tous unis pour faire respecter ce qui fait la noblesse de notre profession des soins de qualit aux patients prodigu s en toute ind pendance Un renouvellement du Conseil d par temental est pr vu par moiti en f vrier sachez tre candidats et ou voter pour les confr res qui le sont et souhaitent repr senter et d fendre l thique et l ind pendance de notre profession DITORIAL Q Pour que l Ordre reste influent il est n cessaire qu il soit repr sent en son sein par toutes les composantes de la profession Le Conseil d partemental de l Ordre des M decins de l Is re et son Pr sident pr sentent leurs v ux les meilleurs pour l ann e 2012 l ensemble des Praticiens is rois Revue des M decins de l Is re 3 Q RAPPEL Les missions de Ordre L article L 4121 2 du code de la sant publique d finit express ment la mission de l Ordre des m decins il veille au maintien des principes de moralit de probit de comp tence et de d vouement indispensables l exercice de la m decine et l observation par tous ses membres des devoirs professionnels ainsi que des r gles dict es par le code de d ontologie pr vu l article L 4127 1 L Ordre assure la d fense de l honneur
29. et de l ind pendance de la profession m dicale Il peut organiser toutes uvres d en traide et de retraite au b n fice de ses membres et de leurs ayants droit Il accomplit sa mission par l interm diaire des conseils d partementaux des conseils r gionaux ou interr gio naux et du conseil national de l ordre R le moral L Ordre a la charge de concevoir et r diger le code de d ontologie m dica le de l adapter aux n cessit s de la profession en constante volution tech nique conomique et sociale de le faire voluer dans l int r t des malades Le code de d ontologie propos par l Ordre soumis au Conseil d Etat est dict sous forme de d cret en Conseil d Etat Il appartient l Ordre de veiller son application et son respect L Ordre organisme autonome dont les conseillers sont lus par les m decins financ par eux seuls ce qui en garan tit l ind pendance d fend les int r ts des malades et les int r ts moraux de la profession Il ne subit aucune tutelle aucun contr le hormis celui du Conseil d tat en mati re disciplinaire ou administrative S il est l interlocuteur et ventuelle ment le conseiller naturel des pouvoirs publics aucune disposition l gale ne permet de pr tendre qu il constitue une courroie de transmis sion du Pouvoir l gard de la profes sion Il est aussi l interlocuteur privil gi des malades R le administratif L Ordre dis
30. modalit s de fonctionnement de la permanence de soins Jusqu pr sent ce cahier des charges tait arr t par le pr fet il deviendra r gional en 2012 et sera sous la responsa bilit de l ARS Ce cahier des charges d finit les secteurs avec leurs modalit s de fonctionnement et galement le mode de fonctionnement de la r gulation Ce cahier des charges est vot par le CODAMUPS o sont repr sent s tous les professionnels de sant ayant un rapport avec les urgences ambulanciers SDIS SAMU Services d urgences pharmaciens plus des repr sentants politiques les m decins ne sont qu une minorit dans cette assembl e Ce CODAMUPS est copr si d depuis 2010 par l ARS et le pr fet Depuis 2003 suite la promulgation d un d cret l initiative du Dr Descours la PDS repose sur les secteurs et sur la r gulation m dicale au centre 15 ceux ci taient d j appliqu s depuis long temps en Is re L article 77 du code de d ontologie a t modifi la garde n est plus obligatoire la PDS est bas e sur le volontariat et elle donne droit un forfait d astreinte Depuis cette date le nombre de secteur a beaucoup diminu passant progressi vement de plus de 80 49 suite au dernier CODAMUPS La PDS dans la majorit de ces secteurs s arr te minuit seuls 10 secteurs poursuivent jusqu 8 Heures les grandes agglom rations et quelques secteurs particuliers ces dernie
31. vers des tablissements de soins is rois partenaires du r seau pour intensifier leur traitement institut ducatif th rapeutique et p dago gique soins de suite et r adaptation Ces programmes de soins de forma tion se font en troite collaboration avec les autres r seaux r gionaux exis tants 69 O7 dans un souhait de mutualisation des moyens outils de travail dossier informatique commun m thodes p dagogiques sous l gide de l ARS Le r seau participe galement aux travaux de cr ation d un Groupement de Coop ration Sanitaire rassemblant les r seaux de sant g r s par la Maison des R seaux de Sant Au 30 octobre 2011 le r seau a permis la prise en charge de 237 enfants et la formation de 106 profes sionnels du d partement de l Is re Pour tout renseignement Maison R seaux Sud Is re t l 04 76 24 90 33 Le R seau nord alpin des urgences Renau II s int resse la prise en charge de la personne g e admise pour chute en service d accueil des urgences Face au vieillissement de la population la prise en charge des urgences personnelles et constitue un enjeu majeur de sant publique La premi re cause d admission dans les services d urgences est la chute Les chutes r p t es de la personne g e sont associ s une forte morbi mortalit l objectif du groupe de travail g riatrie aux urgences est d impl menter un dispositif r gional visant am lio
32. 2010 dans l Is re gr ce un financement accord par ARS au titre du Fonds d intervention pour la qualit et la coordination des soins Ce r seau de sant a pour objectif apr s d pistage par les m decins trai tants scolaires de PMI d am liorer le suivi des enfants et adolescents en proposant une prise en charge coor donn e lib rale pluridisciplinaire m decin di t ticien psychologue de proximit Les enfants et adolescents de moins de 16 ans de l Is re peuvent tre inclus dans le r seau par un m decin adh rent au R PPOP38 apr s avoir pris contact avec la cellule de coordination Situ e la Maison des R seaux Sud Is re la cellule de coordination est compos e d un m decin di t ticiens secr taire et ducateur sportif Elle peut galement accompagner les jeunes patients selon le degr d ob si t vers les activit s physiques et sporti ves en lien avec les collectivit s territo riales et les centres sportifs La cellule de coordination assure aussi aux diff rents professionnels une formation au travail en r seau sur le 14 Revue des M decins de l Is re th me de l ob sit p diatrique accom pagne par t l phone les enfants et les familles pour favoriser un suivi r gulier elle participe enfin la formation des autres professionnels de l enfance la pr vention de l ob sit Enfin en cas d ob sit de degr 2 compliqu e l enfant pourra tre orient
33. Bret 34 avenue Marius Cottier 38700 Corenc Dr Dominique Ford 165 route des Alpes 38150 Vernioz Dr Jean Marc Gueulle 70 cours Berriat 38000 Grenoble Dr Annie Jourdan Jambon 1 avenue de la Chartreuse 38240 Meylan Dr Didier Legeais 16 bis rue du Dr Hermite 38000 Grenoble Dr Christian Legrand 4 rue du 26 Mai 1944 38950 St Martin le Vinoux Dr Elisabeth Opoix 3 place Paul Vallier 38000 Grenoble Dr Jean Pierre Torres Samu 38 CHU de Grenoble BP 217 38043 Grenoble Cedex Membres suppl ants Dr Bernard Chataing 8 rue Laurent Chataing 38580 Allevard Dr Edmond Dumoulin Minguet 1 mont e de la Citadelle 38350 La Mure Dr Pierre Engelstein 21 rue des Bergers 38000 Grenoble Dr Pierre Gerrud 3 avenue Marcellin Berthelot 38100 Grenoble Dr Michel Leclerc 30 rue Jean Cocteau 38400 St Martin d H res Dr Michel Lerat Espace m dical P ri 3 rue Eug ne Chavant 38400 St Martin d H res Dr Guy Moreau 21 place du Village 38180 Seyssins Dr Gilles Perrin 78 bis rue de Stalingrad 38100 Grenoble Dr Christian Pichon 138 route de Four 38090 Roche Dr Bernard Rougier 125 route des Collines 38210 Morette 2 Revue des M decins de l Is re Editorial Ordre des m decins et exercice m dical en 2011 Dr Olivier Roux p 3 Rappel Les missions de l Ordre p 4 Profession La permanence de soins en 2011 en Is re Dr Pascal Jallon DO Ordre s La cotisation annuelle pour un m decin salari entre utilit
34. CHE Sandrine Dr LEIFFLEN Daniel Dr LORET Marie Dr MATUCHET Patrick Dr MORRA Ir ne Dr REIX Fanny Dr RIBOUD Romain M decine g n rale M decine g n rale Chirurgie g n rale M decine g n rale M decine g n rale Obst trique Chirurgie p diatrique Anesth sie r animation Anesth sie r animation Psychiatrie M decine g n rale Radiodiagnostic Cardiologie P diatrie Psychiatrie Psychiatrie M decine g n rale Chirurgie g n rale Gyn cologie obst trique Endocrinologie m tabolismes M decine g n rale Sant Publique Psychiatrie M decine g n rale M decine g n rale M decine du travail M decine g n rale Gastroent rologie h patologie M decine g n rale Radiodiagnostic M decine g n rale M decine g n rale P diatrie M decine appliqu e aux sports M decine g n rale M decine g n rale Cardiologie M decine g n rale Cardiologie Psychiatrie Anesth sie r animation Chirurgie orthop dique Biologie m dicale Gastroent rologie h patologie M decine interne Ophtalmologie Anesth sie r animation Neurologie Radiodiagnostic Gastroent rologie h patologie Gastroent rologie h patologie Endocrinologie m tabolismes M decine g n rale Chirurgie g n rale M decine g n rale Chirurgie g n rale M decine g n rale Chirurgie g n rale Grenoble Vienne La Tronche Le Versoud Le Pon de Beauvoisin Roussillon St Ismier La Tronche La Tr
35. EA Gina Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Inscriptions du 6 avril 2011 Dr BODGAN Veronica M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr CASTRIOTO Anna Neurologie La Tronche Hospitalier Dr DUPLAY Jacqueline M decine g n rale Les Aveni res Retrait Dr LEGRAS C cilia P diatrie Meylan Lib ral Dr LUGOSI Maxime M decine Interne La Tronche Hospitalier Dr PERRET Nicolas M decine g n rale Grenoble Salari Dr POTEY Meera M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr SLIMANI Radja M decine g n rale Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr THIRION MICHELIN Marie P diatrie Meylan Retrait Dr TORRES Johanna M decine g n rale Meylan Rempla ant Dr VANDAMME Bertrand M decine g n rale Montalieu Vercieu Lib ral Inscriptions du 4 mai 2011 Dr AIMARD Karine M decine g n rale Bourgoin Jallieu Lib ral Dr ARQUES Alain M decine g n rale Villard de Lans Retrait DR BAUDET Antoine M decine Interne La Tronche Hospitalier Dr BAUMY Jacques Olivier M decine g n rale Corps Lib ral Dr CABILLIC Sandrine M decine g n rale Echirolles Hospitalier Dr CHARPENTIER Marie M decine g n rale Cessieu Lib ral Dr DAMIAN Elena Veronica M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr DEMEDE Nicolas Cardiologie Grenoble Rempla ant Dr DESCHAMPS Guillaume M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr DUCOTTE Delphine M decine g n rale Coublevie Salari Dr DURAND Fran ois Biologie m dicale La Tronche Hospitalier Dr GAGET Magdalena Psychiatrie Bourgoin J
36. ESMINGEAUD Jean M decine g n rale St Martin d H res Lib ral Dr GENAY Armel Chirurgie Maxillo Faciale Seyssinet Pariset Lib ral Dr GERAADS Antoine Pneumologie St Julien de Ratz Salari Dr GIRAUD Marion M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr GUERIN Pierrick M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr GUILLIER Marion Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr GUYOMARD C cile Psychiatrie Villard de Lans Hospitalier Dr IZARD Patrick Psychiatrie Grenoble Lib ral Dr JARRIN Guillemette M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr LACHENAL Florence H matologie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr MARSAL Caroline Ophtalmologie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr MATHEY Am lie M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr MILLIASSEAU Emilie M decine g n rale Porcieu Amblagnieu Remplacant Dr ORIOL B n dicte M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr ROUX Antoine M decine g n rale Dom ne Lib ral Dr TAHAR Aur lie M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr VINCOURT Andr M decine g n rale Morestel Hospitalier Dr VIVIN Jean Chirurgie Maxillo Faciale Grenoble Lib ral Dr WONG Aur lia Milly M decine g n rale St Egr ve Lib ral Inscriptions du 2 f vrier 2011 Dr ALLOMBERT BLAISE Carole Dermatologie V n r ologie Vienne Hospitalier Dr ALSADOUN Mayada M decine g n rale St Quentin Fallavier Lib ral Dr BARTHELEMY Yvan Chirurgie Urologique Bourgoin Jallieu Lib ral Dr BONNET Jacques P diatrie Romagnieu Retrait
37. FAUCHIER Sylvie Dr GUILLOT Michel Dr GULLON Jacques Dr GUJADHUR Lekra j Dr JACQUOT Claude Dr JOB HUERT Nadine Dr LABARRE VILA Annick Dr LACROIX Lucien Dr LAGRUT Bernard Dr LECOURVOISIER Fran oise Dr MANDRILLON Marie Christine Dr MARSOT Jean Claude Dr MASSOT Christian Dr MAUREL Pierre Dr MENTHONNEX Elisabeth Dr MENTHONNEX Philippe Dr MEULLENET Jacques Dr MEYNIER Monique Dr MINGAT Jean Dr MINGHELLI Roger Dr MOLEUR Pierre Dr MONTAGNE BOTTI V ronique Dr MORIN Bernard Dr NIEF Claudia D c s INSCRIPTIONS AU TABLEAU 1 octobre 2010 31 d cembre 2011 1 janvier 2011 31 d cembre 2011 1 juillet 2011 1 janvier 2011 30 ao t 2011 1 octobre 2011 1 juillet 2010 1 janvier 2011 1 juillet 2011 2 octobre 2010 1 janvier 2011 23 juin 2011 1 septembre 2011 1 juillet 2011 1 janvier 2011 1 janvier 2011 1 janvier 2011 1 juillet 2011 1 mars 2011 1 janvier 2011 1 octobre 2010 1 octobre 2011 8 avril 2011 1 d cembre 2011 Dr NORIS Marc Dr ODDOU Marie Fran oise Dr PASQUIER Basile Dr PELLET Daniel Dr PETIT Bernard Dr POGGI Nadia Dr PORTIER Evelina Dr RATEL Jeannette Dr RAUX Marie Jos Dr ROLLAND Alain Dr ROMET Jean Dr RONFLET Jean Yves Dr ROSSOT Alain Dr ROUGE Claire Dr ROUSSEL Michel Dr ROUX Claude Dr SCHWOB Etienne Dr SEIGNEURIN Daniel Dr SEIGNEURIN Jean Marie Dr SENNI Mourad Dr SESTIER Gilles Dr SEVIN No l Dr SOULA Alai
38. HARENTE MARITIME 10 avril 2011 Dr PEIFFER Michelle SAVOIE 27 mars 2011 Dr PERBET PELLETIER Nadine VAR 1 juillet 2011 Dr PERRIN Bertrand COTE D OR 17 novembre 2010 Dr PETITJEANS C cile RHONE 1 septembre 2010 Dr PICHON MARTIN Jacques SAVOIE 31 mars 2011 Dr PIONNIER V ronique HAUTES ALPES 1 mai 2011 Dr PLONKA Sophie BAS RHIN 31 octobre 2010 Dr POLLAK Pierre HAUTE SAVOIE 20 mai 2011 Dr PONCET PAVIOT Nathalie AIN 1 septembre 2011 Dr POP George Victor AIN 16 mai 2011 Dr PRALINE Olivier LA REUNION 25 octobre 2010 Dr PROST Nathalie HAUTE GARONNE 1 ao t 2011 Dr RABASSE Anne HAUTE SAVOIE 1 novembre 2011 Dr RAGUSA Mathieu ALPES MARITIMES 30 novembre 2011 Dr RAKOTOBE Nadia LOIRE 7 septembre 2011 Dr RAMEZ Philippe JURA 14 juin 2011 Dr RAMSTEIN Christian LOIRET 9 mars 2011 Dr REUTER Nicolas LOIRE 20 mai 2011 Dr RIBIERE Fran ois SAVOIE 1 juillet 2011 Dr RINGEISEN Fran ois VILLE DE PARIS 26 novembre 2010 Dr RINGOT Emmanuel SAVOIE 9 mai 2011 Dr RIVEMALE Thierry RHONE 8 juin 2011 Dr RODRIGUEZ Jean Fran ois AIN 8 avril 2011 Dr ROGER Jean Fran ois COTE D OR 1 juillet 2011 Dr SERRANO Michel SAVOIE 29 ao t 2011 Dr SOMERS Florence HAUTE SAVOIE 15 ao t 2011 Dr TAHAR Aur lie HAUTE SAVOIE 17 novembre 2011 Dr THIBEAU V ronique RHONE 10 ao t 2010 Dr THIRODE Claude VENDEE 16 d cembre 2011 Dr TOURNIAIRE Romain HAUTE SAVOIE 8 novembre 2011 Dr TUBUCANU Raluca Elena HAUTE SAVOIE 5 septembre 2011 Dr TUDOR Alexandru BAS RHIN 2 d
39. HONE AIN MORBIHAN RHONE SAVOIE VILLE DE PARIS SAVOIE 31 d cembre 201 29 juillet 2010 1 novembre 2011 9 mai 2011 6 septembre 2010 10 novembre 2011 3 juillet 2010 1 novembre 2011 15 juillet 2011 20 septembre 2011 7 novembre 2011 1 juillet 2011 1 octobre 2011 20 janvier 2011 1 novembre 2010 1 octobre 2011 1 ao t 2011 25 ao t 2010 9 mai 2011 30 novembre 2011 1 novembre 2010 1 novembre 2011 1 septembre 2010 7 d cembre 2010 31 d cembre 2010 1 d cembre 2011 3 septembre 2010 1 novembre 2010 2 novembre 2010 31 janvier 2011 30 novembre 2011 30 novembre 2011 31 mai 2011 22 f vrier 2011 1 mai 2011 30 octobre 2010 2 d cembre 2010 6 juillet 2010 1 novembre 2011 21 janvier 2011 4 octobre 2011 5 septembre 2011 27 d cembre 2010 2 ao t 2010 1 novembre 2011 26 octobre 2010 6 octobre 2011 10 juin 2011 31 d cembre 2010 25 janvier 2011 1 septembre 2010 12 octobre 2011 16 juin 2010 14 d cembre 2010 20 janvier 2011 8 juin 2011 7 novembre 2011 5 septembre 2010 30 juin 2011 9 septembre 2011 2 ao t 2011 1 septembre 2010 1 avril 2011 3 janvier 2011 26 ao t 2011 15 juillet 2010 1 d cembre 2010 30 septembre 2011 7 f vrier 2011 11 f vrier 2011 1 f vrier 2011 16 d cembre 2011 21 septembre 2011 31 d cembre 2010 6 avril 2011 1 novembre 2011 30 mars 2011 1 juillet 2011 14 novembre 2011 2 novembre 2011 Revue des
40. LLARD St phanie Biologie m dicale La Tronche Salari Dr GRANGE DAVAL M lanie M decine du travail Montbonnot Salari Dr GUICHARD Emmanuelle M decine g n rale Grenoble Salari Dr GUILLAUME Nathalie M decine interne Voiron Hospitalier Dr GUILLOT Nathalie P diatrie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr HERAIL Marcel Antoine M decine g n rale Vienne Lib ral Dr JEHENNE Baptiste M decine g n rale St Julien de Ratz Rempla ant Dr LANCRY LECOMTE Laurence H matologie Sassenage N exer ant pas Dr ORFANIDOU Eleni Psychiatrie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr PERROLLET Aline M decine g n rale Poisat Rempla ant Dr PISON Alexis Chirurgie g n rale Echirolles Hospitalier Dr PORTEFAIX Aur lie P diatrie La Tronche Hospitalier Dr VALLEE Antoine Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Retraites S ances de juillet 2010 d cembre 2011 Dr ABAOUB Linda Dr ARBEZ Jean Marie Dr ARDOIN Christian Dr BARBE Michel Dr BENBASSA Andr Dr BKTOT G rard Dr BERTRAND Bruno Dr BLANC Daniel Dr BOLZE Catherine Dr BONARDOT Jacques Dr BOSSAT Fran oise Dr BOULNOIS Claude Dr BOYER Jean Pierre Dr CAEN Jean Louis Dr CAHEN Philippe Dr CARAVEL Jean Pierre Dr CARRAZ BILLAT Reine Marie Dr CHARIGNON Yves Dr COHEN Serge Dr COINCON Yvonne Dr COLOMBO CANONICA Maryse Dr COMBE Bruno Dr CONDOLIOS H l ne Dr CROIZE Annick Dr CURABA Claudine 1 avril 2011 26 juillet 2011 1 janvier 2011 1 octobre 2011 1 octobre 2010 31 d cem
41. ORDRE S Elle permet l Ordre d atteindre ses deux buts fondamentaux La cotisation ordinale p entre utilit Dr Jean Pierre Torres Praticien hospitalier urgentiste conseiller ordinal d partemental et r gional Dr Didier Legeais Urologue lib ral conseiller ordinal d partemental Les confr res salari s se demandent quoi sert l Ordre Quelques l ments de r ponses e conseil de l ordre des m de ss d partementales cins existe trois niveaux Lors CNOM r gional CROM et d partemental CDOM Les missions de chaque conseil sont diff rentes et compl mentaires e institutionnelles et autoritaires pour le national disciplinaires pour le r gional e organisationnelles et conciliatrices pour le d partemental Les confr res salari s se demandent souvent quoi servent ces institu tions si ce n est pr lever chaque ann e une cotisation obligatoire qu ils trouvent inutile et excessive Nous cherchons ici leur apporter quelques r ponses d partementa les Organisation et missions du CDOM Garant du bon fonctionnement de la communaut m dicale et de son organisation 21 conseillers titulaires et 10 suppl ants lus par les 4 238 m decins lib raux et salari s de l Is re se r partissent au sein de sept commissions e Commission des conciliations g re les conflits m decin patient m decin famille m decin m decin m decin tablissem
42. Revue du Consell de l Ordre des M decins de l Is re D CEMBRE 2011 gt SOMMAIRE Conseil de l Ordre des M decins de l Is re 1A boulevard de la Chantourne 38700 La Tronche T l 04 76 51 56 00 Fax 04 76 63 84 97 E mall isere 38 medecin fr wwvw conseil38 ordre medecin fr Heures d ouverture tous les jours sauf le samedi de 9 heures 12 heures de 13 heures 17 heures Composition du Conseil de l Ordre Apr s le 31 renouvellement par tiers du 3 f vrier 2008 S ance pl ni re du 6 mai 2009 Pr sident Dr Olivier Roux 48 avenue de Grugliasco 38130 Echirolles Vice pr sidents Dr Roger Mar chal rue du Midi 38290 La Verpilli re Dr Fran ois Plottin 2 avenue Alsace Lorraine 38000 Grenoble Secr taire g n ral Dr Herv Aubert 2 avenue Alsace Lorraine 38000 Grenoble Secr taires g n raux adjoints Dr Pierre Chalandre 50 avenue du Gr sivaudan 38700 Corenc Dr Pascal Jallon 41 avenue de la Plaine Fleurie 38240 Meylan Dr Bruno Paliard 162 route Nationale 38190 Bernin Tr sorier Dr Jean Ren Causse 3 rue Louis Lachenal 38100 Grenoble Membres titulaires Dr Agn s Caperan 4 bld Mar chal Joffre 38000 Grenoble Dr Nicole Chevaillier La Caillati re 38470 Notre Dame de l Osier Dr Jean Marie Dessaint 1 boulevard Clemenceau 38000 Grenoble Dr Laure Emery 3 place Paul Vallier 38000 Grenoble Dr Pierre Finet 4 rue Jean Veyrat 38000 Grenoble Dr Brigitte Font Le
43. allieu Hospitalier Dr LEMORDANT Pauline Dermatologie v n r ologie Pontcharra Rempla ant Dr LEVI FELLOUS Anne M decine g n rale St Etienne de St Geoirs Lib ral Dr LUCIANI St phanie Pneumologie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr SECHERESSE Marguerite M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr STEENPASS Veronika M decine interne La Tronche Hospitalier Dr TERRIER RIEDACKER Elsa Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr VIDIL Marie M decine g n rale Grenoble Salari Dr ZAMI Corinne M decine g n rale Bourgoin Jallieu Lib ral Inscriptions du 8 juin 2011 Dr ATTYE Arnaud Radiodiagnostic La Tronche Hospitalier Dr BOSSON Lucie M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr DYAKOV Borislav M decine du travail Grenoble Salari Dr FALANGA Manuela M decine du travail Grenoble Salari Dr GACHE Doinita Gyn cologie obst trique Vienne Rempla ant Dr GROSDIDIER Antoine Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr HANAU Edouard Gyn cologie obst trique Vienne Hospitalier Dr LEVEQUE Perrine Dermatologie v n r ologie La Tronche Hospitalier Dr MACHET Lise Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr MADINIER Sabine M decine g n rale Pont Ev que Lib ral Dr MARCHETTI Emmanuel Chirurgie orthop dique Bourgoin Jallieu Lib ral Dr MOSSELLI Evelyne Alice Cardiologie Vienne Hospitalier Dr MUNTEAN Adrian Anesth sie r animation Vienne Hospitalier Dr MUNTEAN Andreea Radiodiagnostic Vienne Hospitalier Dr OPREA Cristina Giorgiana Ophtalmologie Grenob
44. atrie Grenoble Rempla ant Dr GIRODET Evelyne M decine g n rale Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr GUYOT Catherine M decine g n rale Grenoble Salari Dr KONIECZNY Johan M decine g n rale Le Grand Lemps Lib ral Dr LERICHE C line M decine g n rale Bourgoin Jallieu Lib ral Dr MOCANU Anda Elena M decine du travail Grenoble Salari Dr OURY Christian M decine g n rale St Prim Salari Dr REYNARD Sophie M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr RIVRON Anne Oto Rhino Laryngologie La Tronche Hospitalier Dr VOGUET St phane Pathologie cardiovasculaire St Martin d H res Lib ral Inscriptions du 2 novembre 2011 Dr APTEL Florent Ophtalmologie La Tronche Hospitalier Dr ARDITO Virginie M decine g n rale Gi res Lib ral Dr ATALLAH Ihab Oto rhino laryngologie La Tronche Hospitalier Dr AUGIER Caroline Cardiologie Gi res Rempla ant Dr BALTHAZARD Anne Laure M decine du travail Meylan Salari Dr BARBIEUX Marianne Neurologie La Tronche Hospitalier Dr BARET Marie P diatrie La Tronche Hospitalier Dr BENABED Nassima M decine g n rale Echirolles Rempla ant Dr BERNARD Sylvain M decine Interne La Tronche Hospitalier Dr BINAULD Gery M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr BOGGETTO GRAHAM Laetitia Cardiologie La Tronche Hospitalier Dr BOURGEOIS Emeline Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr BRILLAT ZARATZIAN Eva Ophtalmologie Bourgoin Jallieu Hospitalier Dr BULTEAU Samuel Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr BURRONI
45. au m decin de continuer prend re en charge ses patients quelle que soit l option tarifaire de l tablissement 2 Le recours en annulation d pos par le CNOM n a pas d effet suspensif Que doit faire le m decin qui l tablis sement enjoint de signer le contrat type le site www conseil national medecin fr donne des pistes de r ponse Epid mie de rougeole La France conna t depuis le second semestre 2008 une pid mie de rougeole Cette circulation du virus de la rougeole est la cons quence d un niveau insuffisant de la couverture vaccinale en France tant en ce qui concerne les enfants de l ge de 24 mois que pour le rattrapage des cohor tes de naissance depuis 1980 tel que pr vu dans le calendrier vaccinal les personnes n es depuis 1980 devraient avoir re u en tout deux doses de vaccin trivalent ROR contre la rub ole les oreillons et la rougeole Un rattrapage de ces vaccinations sera mis en place par les infirmi res scolai res via la lecture des carnets de vacci nations et les parents seront invit s se rendre aupr s de leurs m decins ou aupr s d une structure en charge de ces vaccinations Contrat cadre type entre un m decin et un h bergeur de donn es personnelles de sant Le CNOM a estim n cessaire de propo ser des contrats cadre types aux m de Revue des M decins de l Is re 17 gt gt gt 18 Q LES BR VES cins chez les h bergeurs de donn es personnelles
46. bre 2011 31 d cembre 2010 1 juillet 2011 1 avril 2011 1 janvier 2011 24 octobre 2011 13 septembre 2008 1 janvier 2011 1 juillet 2011 30 mai 2011 1 septembre 2010 31 d cembre 2010 1 avril 2011 30 septembre 2010 1 juin 2011 1 juillet 2010 1 janvier 2011 23 avril 2011 1 avril 2011 1 avril 2011 INSCRIPTIONS AU TABLEAU Dr DANIEL Christiane Dr DAUMONT Robert Dr DECLE Fran oise Dr DE GALBERT Agn s Dr DELL ACCIO Pierre Dr DEPLAN Fran ois Dr DEROUARD Monique Dr DESCHAMPS Herv Dr DE SOUSA Evelyne Dr DETTER Monique Dr DEVIDAL Gilles Dr DE VILLENEUVE Louis Dr DUPASQUIER Jean Pierre Dr DURAND POUDRET Danielle Dr DYON Jean Fran ois Dr EVRARD Alain Dr FAGES B n dicte Dr FAISANT Gilles Dr FAUDEMAY Christian Dr FAURE Alain Dr FERRERE Monique Dr FERRIERE Raymond Dr FERRY Sylvie Dr GARNA Aldo Dr GODMER Nicole Revue des M decins de l Is re 25 1 r juillet 2011 16 septembre 2010 6 septembre 2010 1 f vrier 2011 1 juin 2011 1 janvier 2011 1 juillet 2011 1 janvier 2010 1 juillet 2010 1 septembre 2011 1 janvier 2011 27 mars 2011 1 janvier 2011 1 d cembre 2010 1 septembre 2010 6 mai 2011 4 octobre 2010 1 octobre 2011 1 juillet 2011 30 septembre 2011 1 avril 2011 31 d cembre 2011 1 janvier 2011 1 avril 2009 31 d cembre 2011 gt gt gt 26 Dr GONTHIER Monique Dr GRIBELIN Fr d ric Dr GUER
47. ccueil de jour accompagnement social soutien psychologique y sont propos s Accompagnement dans les d marches judiciaires main courante d p t de plainte audience Des grou pes de parole sont anim s par une psychologue les lundis apr s midis Des ateliers d expression pour enfants t moins victimes des violences conju gales sont anim s par une psycholo gue de l Union nationale des droits et devoirs des enfants les mercredis enfants de 3 13 ans Ouverture du lundi au vendredi de 9h 18h sauf mercredi apr s midi Permanences sans rendez vous les mardis et jeudis de 13h 17h e Starter alphab tisation cours de fran ais ouverts au public des deux autres services de l association pr vention sensibilisations formation sur les violences de genre et l galit femme homme jeunes et profession nels de la sant atelier chantier d insertion L Arbre Fruit 80 galerie de l Arlequin Greno ble t l 04 76 22 82 08 restaurant traiteur ouvert toute client le qui emploie et forme une dizaine de personnes en insertion Les employ s en insertion sont des personnes ayant des difficult s socio professionnelles loign es de l emploi orient es par des prescripteurs tels que P le Emploi mission locale maison pour l emploi Adresse 34 Avenue de l Europe Immeuble Le Trident b timent D 38100 Grenoble T l 04 76 40 50 10 fax 04 76 22 74 83 Equipes sp cialis es Alzhe
48. che Hospitalier Dr MARTIN J r me M decine g n rale Meylan Rempla ant Dr MENESES Alexandra Rhumatologie Echirolles Hospitalier Dr PEDUSSAUT Caroline M decine g n rale St Martin d H res Salari Dr PENNEL Lucie Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr QUAY Ludivine M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr RADU Laura Endocrinologie M tabolismes Vienne Hospitalier Dr REMY Judith Cardiologie St Martin d H res Lib ral Dr REPESSE Aude M decine g n rale Le Versoud Rempla ant Dr STENARD Fabien Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr VERMETTEN Marieke Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr VIDAL Guillemette Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr VINZIO St phane M decine Interne Grenoble Salari Inscriptions du 5 janvier 2011 Dr ANDRE C cile M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr BARSAN Ramona M decine g n rale St Andr le Gaz Lib ral Dr BATIR Alina M decine g n rale Seyssins Rempla ant Dr BAZIRE Alexandre M decine du travail Crolles Salari Dr BELLINI Lydia M decine g n rale La Tour du Pin Lib ral Dr BIGOSHI Yvette Psychiatrie St Egr ve Hospitalier Dr BOBILLIER CHAUMONT S verine P diatrie La Tronche Hospitalier Dr BRENON M lanie M decine g n rale Voiron Salari Dr BRUNET HUMBERT Anne M decine g n rale Grenoble Salari Dr BULTOT Martine M decine g n rale Corenc Retrait Dr COHEN Lora Psychiatrie La Tronche Hospitalier Dr DESCHASSE Guillaume M decine Interne La Tronche Hospitalier Dr
49. cins sera attentif la r ponse faite sa demande et rappelle que des m decins victimes d accident dans le cadre de leur mission n ont jamais t pris en charge sur le plan financier Femmes enceintes et trisomie 21 La circulaire 11 004 concerne le recueil de l origine g ographique de la femme enceinte dans le cadre du d pistage et du diagnostic pr natal avec utilisation des marqueurs s riques maternels de la trisomie 21 L origine g ographique de la femme enceinte appara t comme un l ment indispensable au calcul du risque de la trisomie 21 pour l enfant na tre Le recueil de l origine g ographique doit tre retenu et non l origine ethnique A cet gard il doit tre rappe l que l article 8 de la loi du 6 Janvier1978 modifi e relative l infor LES BR VES Q matique et aux libert s interdit sauf d rogations la collecte et le traitement de donn es caract re personnel faisant appara tre les origines ethniques EHPAD intervention d un contrat type Le CNOM a d pos un recours contre le d cret 2010 1731 du 30 d cembre 2010 relatif l intervention de profes sionnels de sant exer ant titre lib ral en EHPAD et contre l arr t dat du m me jour fixant le mod le de contrat type signer par les m decins lib raux 1 Les contrats types ne seront obligatoi res qu compter du 1er avril 2011 L absence de signature interdira cette date
50. d livrent un tel certificat L article L 4622 3 d finit le r le du m de cin du travail comme exclusivement pr ventif il ne peut d s lors effectuer des prescriptions d une fa on g n rale sauf s il est confront une situation d urgence Demande Qe prescriptions Nous sommes parfois confront s des demandes abusives de prescriptions en particulier en particulier d hypno tique nous vous rappelons l article 47 Article R 4127 47 du code de sant Publique Quelles que soient les circonstances la continuit des soins aux malades doit tre assur e Hors le cas d urgence et celui o il manquerait ses devoirs d humanit un m decin a le droit de refuser les soins et les prescriptions pour des raisons professionnelles ou personnel les Observatoire pour la securit des m decins les resultats en Isere Voici les principales difficult s rencon tr es par les praticiens is rois dans l exercice de leur profession e incivilit s menaces verbales d gra Donnez l AFEM dation 18 e agressions physiques 2 e menaces de mort 2 e vols 9 e falsifications d ordonnances 4 Stage de formation Le conseil d partemental de l ordre des m decins est souvent interrog pour les stages en entreprise pour un l ve de troi si me Notre profession tant soumise au secret m dical et professionnel un tel stage n est pas possible dans le cadre d un cabinet m
51. destruction du micro organisme est remplac e par l isolement Devant chaque cas de colonisation l ERG d pist lors d une hospitalisation des consignes sont disponibles sur le site de l Institut www invs sante fr Associations F d ration des transplantes iserois A l heure o nous f tons la 2000 greffe du rein au CHU de Grenoble la f d ra tion des transplant s is rois est char g e de collecter les fonds n cessaires la r alisation d un nouveau projet LAr bre Donneur Ce projet correspond au souhait de l en semble des partenaires de r aliser un lieu de m moire pour les donneurs Contact pour vos dons F d ration des transplant s is rois CHU de Grenoble service de N phrologie BP 217 38043 Grenoble Cedex 09 Solidarit Femmes Grenoble Is re Cette association loi 1901 d int r t g n ral a pour objet l accueil et l ac compagnement des femmes en diffi cult s en particulier celles victimes de violences et de leurs enfants L asso ciation est sp cialiste des violences conjugales L association a trois activit s principa les e Agora accueil coute soutien information et accompagnement libres et gratuits de toutes les femmes avec ou sans enfants victimes de violences toutes formes de violences confondues bien qu en majorit violences au sein du couple violences physiques psychologiques sexuelles verbales conomiques de mariage forc A
52. dre e dela constatation de coups et blessur res e et de certificats demand s ou pouvant tre utilis s dans le cadre de proc dures de divorces Une tr s grande prudence s impose ils ne doivent tre que descriptifs ou ne rapporter que les dires du patient au conditionnel et entre guillemets et surtout ne doivent jamais faire de rela tions de cause effet entre les constata tions ou les dires du patient et la cause du pr judice affirm e par ce dernier le m decin n est pas pr sent au moment des faits et ne peut donc juger Le Conseil national a propos r cem ment les 12 conseils indispensables conna tre pour la r alisation d un certifi cat m dical Nous vous les rappelons 1 sur papier en t te 2 qui le demande pourquoi pour qui est il obligatoire 3 interrogatoire et examen clinique indispensable 4 uniquement les FMPC faits m dicaux personnellement constat s 5 les dol ances du patient que si elles sont utiles avec infiniment de pruden ce au conditionnel et entre guillemets 6 aucun tiers ne doit tre mis en cause 7 dater le certificat du jour de sa r dac tion m me si les faits sont ant rieurs 8 Se relire et apposer sa signature manuscrite tampon ventuel 9 remettre le certificat en main propre Jamais un tiers sauf exceptions l ga les 10 garder un double dans le dossier du 16 Revue des M decins de l Is re Les certificats m dicaux e
53. dualiser et la rendre rep rable par les familles concern es elle permet galement la r alisation du bilan initial clinique et compl mentaire prescris l issue de la consultation par un professionnel sp cifiquement form aux probl matiques de sant des enfants adopt s Par ailleurs il est pr ciser qu il ne s agit que d une consultation de premier bilan et d orientation et pour une activit de conseils de prise en charge initiale Le suivi est confi au m decin de l enfant et un courrier de synth se sera envoy ce dernier Vous pouvez solliciter la consultation pour un avis sp cifique sur un probl me de sant l arriv e d un enfant adopt de votre patient le ou pour vous informer sur le bilan compl men taire r aliser Dr Catherine Grattier charg e de mission consultation d adoption Contact secr tariat des consulta tions p diatrique t l 04 76 76 87 88 Dr Jean Marc Gueulle membre titulaire du Conseil d partemental de l Ordre des m decins de l Is re Pour un professionnel de la sant le d faut d anticipation peut tre consid r comme une faute grave Par un arr t du 9 juin 2009 dite loi Fauchon la chambre criminelle de la cour de cassation propos du d lit d ho micide volontaire introduit une notion nouvelle qui va concerner les profession nels et les d cideurs publics constitue une faute caract ris e de ne pas se projeter dans l
54. ent sont alors organis es des conciliations qui d samorcent dans plus de 50 des cas le conflit vitant ainsi un passage co teux et douloureux pour les prati ciens devant les tribunaux civil et ou p nal ou d bouchant vers la Chambre disciplinaire de premi re Instance CDPI du CROM qui est maintenant pr sid e par un magistrat e Commission de la permanence des soins PDS elle examine les demandes de dispenses de gardes les incidents entre les m decins de garde lib raux et le centre 15 veille la bonne tenue de leur planning de garde si ge la FIPSEL au CODA MUPS l ARS cherche dans la mesu re du possible viter les r quisitions pr fectorales et les conflits entre professionnels de la PDS en particu lier les m decins hospitaliers et les lib raux e Commission de la formation m di cale continue qui s assure du respect de l ind pendance profession nelle et de la qualit de la formation souvent financ e par l industrie phar maceutique e Commission des contrats o sont v rifi s tous les contrats engageant un m decin lib ral associations remplacements mais aussi les inter nes et assistants soit dans leurs remplacements soit dans leur futur 6 Revue des M decins de l Is re exercice salari ou lib ral Cette commission conseille galement tout m decin dans toute relation contrac tuelle avec des confr res des tablis sements de sant les industriels p
55. es d s lors que la convention les associe un alourdissement des contraintes pesant sur les praticiens et un exercice professionnel de plus en plus administr et contr l L ind pen dance professionnelle a t instaur e dans l int r t des malades ne l ou blions pas Enfin un certain nombre de disposi tions conventionnelles font difficult sur le plan de la d ontologie et de l exercice professionnel il nous a paru important de vous les signaler l ensemble de ces points a t appro fondi dans les commentaires de la convention que vous trouverez sur le site du Conseil de l ordre Observations du CNOM sur la convention PLFSS et permanence des soins Dans le cadre de l examen du projet de loi de financement de la s curit socia le la Commission des Affaires Sociales de l Assembl e nationale avait pr vu que les m decins effecteurs de la permanence des soins soient prot g s pour les dommages qu ils pouvaient subir en accomplissant leur mission de service public Cet amendement parlementaire propo s par le Conseil national de l Ordre des m decins a t rejet comme irreceva ble en raison de l aggravation des char ges publiques qu il serait susceptible de g n rer Le Conseil national de l Ordre des m decins demande solennellement au Gouvernement de bien vouloir reprend re cet amendement son compte comme la Constitution le lui permet Le Conseil national de l Ordre des m de
56. fus e ce qui expo se le remplac devoir les rembourser Le remplacement non autoris par un m decin non inscrit un tableau est un exercice ill gal avec la complicit active du remplac La couverture civi le des actes n existe donc pas l assurance en responsabilit civile professionnelle RCP incombe au m decin rempla ant Quant l absen ce de contrat crit et transmis elle permet l mergence de tous les conflits entre le rempla ant et le remplac outre le fait qu elle contrevient au code de la sant publique Toutes les informations d taill es concernant les remplacements sont disponibles sur le site du Conseil Natio nal www conseil national medecin fr Dr Pierre Chalandr Le Conseil de l Ordre sur Internet Le site internet du conseil de l ordre de l Is re est en ligne Son adresse est www conseil38 ordre medecin fr Les mots de passe pour ouvrir les rubriques accessibles aux seuls m decins sont demander lors de l inscription sur le site Revue des M decins de l Is re 15 Q R GLEMENTATION Dr Herv Aubert Secr taire g n ral du Conseil d partemental de l Ordre des m decins de l Is re L inflation actuelle des demandes de certificats m dicaux aupr s des m decins est une source de perte de temps et de risques d erreurs pouvant parfois tre lourds de cons quen ces Le but de cet article est de rappeler qu il faut savoir refuser les demandes ab
57. harmaceutiques e Commission d entraide elle s adresse tous les m decins familles et ayants droit des m decins inscrits au Tableau de l Ordre qui rencontrent des difficult s qu elles soient ponctuelles ou durables qu el les soient de nature financi re sociale professionnelle personnelle ou relati ves leur tat de sant Les m de cins salari s se retrouvent de parfois dans telles situations Malheureuse ment par ignorance ils n actionnent jamais cette commission e Les autres commissions Qualifica tion en m decine g n rale Infor matique et D ontologie jouent un r le moins important pour les m de cins salari s Le Bureau compos de 6 conseillers titulaires et les Commissions exami nent et se prononcent sur les diff rents points entre 250 et 400 l ord re du jour de chaque s ance pl ni re mensuelle du CDOM Lors de chaque s ance pl ni re du Conseil les diff rentes commissions pr sentent une synth se des d ci sions prises et ventuellement inter pellent le conseil sur un point particu lier n cessitant une d cision pl ni re vote Les conseillers ordinaux repr sentent les confr res dans plus de 50 orga nismes ou associations dans le d partement aid s en cela par certains m decins volontaires Toutes ces missions trouvent racine dans les obligations et devoirs des m decins repris par les 112 articles du code de d ontologie La d ontologie
58. ice quoti dien La derni re convention m dicale qu on l approuve ou qu on la subisse ou qu on la conteste montre une main mise progressive de l Assurance maladie sur le syst me La m decine de ville n a plus de lib ral que le nom se voyant amput e progressivement du paiement l acte et observant une volont de r guler la libert d installa tion rognant ainsi progressivement deux des trois piliers d une profession lib rale Les m decins hospitaliers sont tout aussi la peine quotidienne ment avec une administration s immis ant dans leur exercice sous des raisons de gestion financi re et de retour l quilibre Cette mise progressive sous tutelle administrative ne doit pas interf rer sur notre ind pendance professionnel le qui doit rester absolue et totale dans le domaine du soin le plus effica ce certes au meilleur co t pour le patient L exercice m dical comme la recherche m dicale est du ressort des m decins et non des administratifs Cette ind pendance est le seul garant de la qualit des soins apport s nos patients et s impose nous d ontolo giquement L Ordre qui est d volu le r le de l ap plication de cette d ontologie et de son respect dans l exercice m dical reste le dernier rempart pour rappeler aux autorit s les r gles thiques auxquelles nous ne saurions d roger Pour qu il reste influent il est n ces saire qu il soit repr sent en son sein
59. imer domicile ESA Les situations de patients pr sentant des pathologies de type Alzheimer et vivant domicile sont de plus en plus nombreuses Pour accompagner et soutenir ces patients au d but de la maladie le Plan Alzheimer 2008 2011 a pr vu la mise en place d quipes sp cialis es Le financement des interventions de ces quipes est assur 100 par l Assur rance maladie Trois quipes ont d marr dans l Is re le 1 septembre 2011 le plan pr voit huit quipes qui couvriront l ensemble du LES BR VES Q d partement en 2012 L Equipe sp cialis e Alzheimer domi cile de l ADPA d Echirolles a d but son intervention sur les cantons de Fontaine de Vif et de Villard de Lans L quipe est form e des professionnels suivants une infirmi re coordinatrice une ergoth rapeute une psychomotri cienne et deux assistantes de soins en g rontologie Ce service propose aux personnes atteintes de pathologies cognitives des s ances de r habilitation leur domici le pour les aider continuer de faire les actes simples de la vie quotidienne mieux vivre avec leurs difficult s de m moire att nuer le retentissement motionnel de la maladie L intervention se d roule sur 12 15 s ances comprenant e une valuation des capacit s de la personne e une proposition d un plan de r habi litation e des s ances de r habilitation et d accompagnement e un bilan des
60. irection d tablissement ou du patient lui m me tout cela sous tendu par la notion juridique de dispen sation si l on prend comme exemple celui d une HEPAD et le reconditionne ment des m dicaments en piluliers nominatifs selon les sch mas posolo giques prescrits cette t che est accom plie par le personnel infirmier et ou le pharmacien dans le cadre de la P D A la pr paration des doses administrer Le d conditionnement des m dicaments va imposer un co t une garantie de pertinence et de s curit de l op ration effectu e une tra abilit de tout cela dans le dossier m dical avec la r alit du conseil et de l information fournis au destinataire e La tra abilit des expositions face aux risques effets diff r s canc rog ne mutag ne une organisation optima le de la tra abilit est n cessaire et une valuation avec quantification des risques s impose aux employeurs aux m decins du travail aux salari s avec la cr ation d un curriculum laboris indivi duel La communication le dossier m dical Dans le dossier m dical il doit appara tre pas seulement les l ments s m iolo giques le diagnostic et le traitement prescrit mais un certain nombre d l ments qui vont permettre d assurer ou de r tablir la confiance entre le m decin et le malade En effet il appara t des contraintes li es au droit et l thique Les contraintes li es au droit un droit l infor
61. lari s et entretien des locaux e Indemnisation des conseillers ordi naux pour les missions ordinales avant 20h au tarif brut de 3C de l heure C 23 au 1 12 2011 Toute mission ordinale dont la s ance pl ni re apr s 20h est non indemnis e Contrairement la l gende urbaine le seul repas offert aux conseillers ordi naux est celui suivant les r unions des Commissions et pr c dant la s ance pl ni re mensuelle environ 18 par conseiller En conclusion la cotisation annuelle est indissociable du droit d exercer pour tout m decin salari ou non La perception de l int r t du Conseil de l Ordre d partemental des M decins ne trouve h las trop souvent sa justifi cation que lors d un conflit d un drame personnel ou professionnel ou d une proc dure On pourrait se demander si le code de d ontologie est n cessaire et utile l usage professionnel des m decins I vaudrait mieux se demander ce qui se passerait s il n existait pas On ne peut que regretter que le code de d ontologie ne fasse pas encore partie des obligations de formation initiale de nos jeunes confr res qui font leurs premi res armes en qualit d inter nes salari s Pour en savoir plus sur les institutions que nous finan ons n h sitez pas vous connecter sur notre site national wWww conseil national medecin fr Cotisation l Ordre des M decins comment a marche Dr Jean Ren Causse tr sorier
62. le Lib ral Dr REIN Lucile M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr RUSSO Michele Mr M decine du travail Grenoble Salari Dr SADOK Boumediene Chirurgie orthop dique Voiron Hospitalier Dr SUPPER Ir ne M decine g n rale Villefontaine Lib ral Dr VALLET Anne Evelyne Neurologie Vienne Hospitalier Dr ZREIKA Alain M decine g n rale La Tronche Hospitalier gt gt gt 24 Revue des M decins de l Is re 23 INSCRIPTIONS AU TABLEAU Inscriptions du 6 juillet 2011 Dr BLAZY Anne M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr BRETEAU Aur lie M decine g n rale Grenoble Salari Dr EL MEKKI Khalifa M decine g n rale Echirolles Lib ral Dr GASSER Alexandre M decine g n rale Vienne Hospitalier Dr HENRION Anne M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr KRUMPOLCOVA Magdalena Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Dr KULISA LANGUE Perrine M decine g n rale Vienne Lib ral Dr LONG J r me Oncologie option m dicale Grenoble Salari Dr LORAS PRESTAL Dominique P diatrie Bourgoin Jallieu Salari Dr NETTER Sophie M decine g n rale Grenoble Lib ral Dr POP Oana Oncologie option m dicale La Tronche Hospitalier Dr TATU Aurora Maria M decine Interne La Tronche Hospitalier Dr THIMONNIER Patrick M decine g n rale Bourgoin Jallieu Salari Dr VADANT Elise M decine g n rale Grenoble Rempla ant Inscriptions du 20 juillet 2011 Dr CEBELIEU Soazig M decine g n rale Charvieu Lib
63. mation du patient un droit la meilleure transmission des informations entre professionnels concernant un patient avec une tra abili t effective de qualit Revue des M decins de l Is re 11 gt gt gt 12 Q BONNES PRATIQUES Un droit au consentement du patient ou son assentiment un droit d acc s au dossier m dical e Les contraintes li es l thique Un concept de justice avec la notion d galit aux soins un concept de bienfaisance et de non malfaisance avec la prise en charge des plus fragiles un concept d autonomie le droit l in formation et le consentement du patient un concept de responsabilit sociale avec le contr le des d penses et l appli cation des r gles de bonnes pratiques Parce que le regard social sur l art m di cal a chang le patient ne doit plus faire la preuve que le m decin ne l a pas aver ti d un risque arr t Mercier 1936 par les arr ts Hedreul 1997 Sagors 1998 et la loi de 2002 la justice met l accent sur deux notions l incertitude risque et la primaut de l information C est cela qu il va falloir int grer dans le dossier m dical une information de qualit Celle ci doit tre simple intelligible loya le et appropri e cd 32 et 35 avec le Q SOCIAL pour Dr Jean Marie Dessaint Conseiller titulaire D l gu CARMEF Vice pr sident de la commis sion d entraide Depuis le 30 novembre 2009 il est pos
64. modes d exercice Cette information du patient impose qu au pr alable le m decin se soit rapproch de ses confr res et se soit entendu avec eux Dans certains cas le m decin n indi quera pas le nom et les coordonn es d un m decin identifi mais ceux d une association de m decins ou encore ceux d un service hospitalier toujours avec l accord des praticiens auxquels il renvoie 3 en cas de difficult s pour le m decin trouver un confr re ou une structure pour ses patients et ce quelle qu en soit la cause le m decin se rapprochera de son Conseil d partemental afin de le lui signaler Si le Conseil d partemental ne parvient pas r gler le probl me en raison d une p nurie m dicale il pourra alerter le Directeur g n ral de l ARS afin que soit mise en uvre une mutualisa tion des moyens m dicaux publics et priv s Voir le site www conseil national mede cin fr A propos de la soci t Diagnostechs La soci t Diagnostechs cherche s im planter sur le territoire fran ais Il s agit bien d examens de biologie m dicale au sens des articles L 6211 T et suivants du code de la sant publique CSP examens qui doivent tre r alis s au sein d un laboratoire de biologie m di cale Les pratiques suscit es par cette soci t ne font pas partie des recom mandations valid es scientifiquement Nous rappellerons l article 32 du code de d ontologie R 6127 38 du CSP D s lors q
65. n Dr VONDERSCHER Martine Dr VAREL Fran oise 1 octobre 2011 1 avril 2010 1 septembre 2010 13 septembre 2010 30 novembre 2010 1 avril 2011 1 septembre 2010 24 septembre 2010 31 octobre 2010 1 octobre 2011 30 juin 2011 1 janvier 2011 30 octobre 2010 31 d cembre 2010 1 janvier 2011 1 janvier 2011 1 juillet 2011 1er septembre 2011 1 septembre 2010 1 avril 2010 31 d cembre 2011 1 janvier 2011 Ler juillet 2010 30 d cembre 2010 1 janvier 2011 S ances de juillet 2010 d cembre 2011 Dr AUGUSSEAU Jean Louis Dr AYMOZ Georges Dr BARTHELEMY Jean Clair Dr BAUDRY Robert Dr BIROT Jean Dr BOUAICHA No l Dr CHAMBRIAL Robert Dr CHAMPION BELLAMY Marguerite Dr CORJON Jean Paul Dr CUCUZ Slavko Dr DREYFUS Jacques Dr GIMBERT Edouard Dr GIRARDET Pierre Dr GUEDEL Joseph Radiations 6 janvier 2011 6 novembre 2011 26 septembre 2010 24 juin 2010 14 juillet 2010 24 janvier 2011 3 septembre 2010 14 mai 2011 3 avril 2011 28 juin 2011 29 novembre 2010 14 juin 2011 16 ao t 2011 6 juillet 2010 Dr JOUET Bertrand Dr LABBE Georges Dr LEGRAND Michel Dr LEVERVE Xavier Dr LEVY Jean Bernard Dr MORILLEAU Ren Dr PAILLARD Patrick Dr PICHON Max Dr RUYNAT Jean Dr SCHAAL Jean Patrick Dr TANCHE Maurice Dr TREMEL Fr d ric Dr YOUNES Nabil 22 octobre 2011 30 septembre 2010 19 novembre 2011 8 novembre 2010 4 ao t 2010 12 mai 2011 30 octobre 2010 21 mai 2008
66. n Pascal Dr FAUCONNET Marie Suzanne Dr FAYARD GONON Florence Dr FESVRE Didier Dr FLACHER Christian Dr FOUQUET Jo l Dr GALLAND Olivier Dr GAUTIER GUILLOT Ma lys Dr GEHIERE Claire Dr GENIN Pierre Dr GILBERT Patrick Dr GIRARD Fr d rique Dr GIRERD Fr d rique Dr GONZALEZ Olivier Dr GUEDEL Domitille Dr GUIGNARD Julie Dr GUITTON Jean Baptiste Dr GUYOT Catherine Dr HAMZA Tarek Dr HANAFI Afida Dr HASSAN lyad Dr HENRY Pierre Dr HURBIN Elise Dr JAMALEDDINE Chouaib Dr JEAN SAMAIN Anne Dr JOUANDEAU Lionel Dr KERVEGANT Anne Ga lle Dr KOTEKE YENGUE Serge Dr KOUPRIANOFF Sabine Dr LARDEUX Claude Dr LATAPPY Marc INSCRIPTIONS AU TABLEAU SAVOIE HAUTE SAVOIE RHONE MORBIHAN HAUTE SAVOIE LOIRE ATLANTIQUE HAUTE SAVOIE HERAULT DEUX SEVRES AIN HAUTE GARONNE YVELINES VILLE DE PARIS MEUSE BOUCHES DU RHONE RHONE ARDECHE SAVOIE VAUCLUSE AIN HAUTE SAVOIE RHONE POLYNESIE FRANCAISE HAUTS DE SEINE RHONE RHONE RHONE HAUTE SAVOIE BOUCHES DU RHONE SAVOIE LISTE SPECIALE LISTE SPECIALE RHONE PYRENEES ATLANTIQUES LA REUNION SAVOIE SAVOIE DROME SEINE ET MARNE DROME LISTE SPECIALE LA REUNION HERAULT SAVOIE HAUTES ALPES AIN AVEYRON RHONE SAONE ET LOIRE RHONE DROME HAUTE VIENNE RHONE RHONE COTES D ARMOR SAVOIE SAVOIE VILLE DE PARIS ARDECHE RHONE PYRENEES ATLANTIQUES SAVOIE LOIRE ATLANTIQUE BOUCHES DU RHONE CANTAL HAUTS DE SEINE RHONE NORD ARDECHE RHONE GIRONDE R
67. ncore et toujours 4 patient 11 savoir dire non aux demandes abusives ou illicites 12 si besoin se renseigner aupr s de son conseil d partemental II faut enfin savoir que la moiti des plaintes et litiges qui parviennent au Conseil de l Ordre sont en rapport avec la r daction des certificats m dicaux inad quats La r alisation d un certificat m dical n a jamais t une urgence et le Conseil D partemental sera toujoursl pour vous renseigner en cas de doute A propos des conventions d hospitalit La transmission des conventions d hospitalit entre les m decins et les laboratoires doit r pondre imp rative ment certaines r gles r gies par l Arti cle L 4113 9 du Code de Sant Publique savoir e Le respect du d lai un contrat ne peut tre avalis par le Conseil que s il nous est transmis avant la date de la manifestation e Le programme du congr s ou de la manifestation doit nous tre joint e Enfin le montant des frais engag s ou rembours s doit tre d taill Dr Herv Aubert Dr Pascal Jallon secr taire g n ral adjoint du Conseil d partemental de l Ordre Conseil national de Ordre R gles de prescriptions et d injection de la toxine botulique pour les actes vis e esth tique La section de sant publique souhaite rappeler les conditions de prescription et d injection strictement d finie par l agence de s curit sanitaire des produits de sa
68. nelles ou personnelles il doit indiquer ses patients le confr re auquel ils pourront s adresser en son absence article L 6315 1 du code de la sant publique L autre beaucoup plus ancienne trouve sa place dans l arr t du 25 juillet 1996 relatif l information du consomma teur sur l organisation des urgences m dicales L arr t pr voit que les m decins doivent afficher en salle d attente de mani re visible et lisible les conditions ci dessous dans lesquelles est assur e la permanence des soins e leurs num ros de t l phone et les heures auxquelles ils peuvent tre joints e le num ro de t l phone des structu res de permanence de soins et d urgen ce vers lesquels ils choisissent d orien ter les consommateurs en leurs absences e la mention suivante en cas de doute ou dans les cas les plus graves appelez le num ro t l phonique 15 Dans ce contexte le Conseil national de l Ordre des m decins adresse la recom mandation suivante aux m decins 1 les m decins doivent autant que possible avertir les patients de leurs absences programm es par les moyens qu ils jugent les plus appro pri s 2 les m decins doivent pendant leurs absences programm es indiquer aux patients le confr re auquel ils pourront s adresser s agit au del des termes de la loi d un devoir d ontologique qui s adresse tous les m decins quels que soient leur sp cialit ou leurs
69. nons le contrat La plupart du temps l assurance RCP est prise en charge par l tablissement mais il faut le pr ciser par crit e Les contrats de m decin collabora teur ceux ci permettent deux m de cins de se rapprocher en vue d une futu re installation ou pour pr parer le d part la retraite d un des m decins Ce type de contrat avait t analys dans la revue du Conseil d partemental de juillet 2010 page 7 Il nous para t tre un excellent contrat car il permet un engagement progressif des deux m decins ou de plusieurs m decins sans que l engagement mutuel ne soit gt gt gt 10 Revue des M decins de l Is re 9 Q DROIT contraignant e Les contrats de SELARL ce type de contrat a t tr s novateur et tr s en vogue il y a une dizaine d ann es du fait des avantages fiscaux qu il apportait Actuellement les r formes fiscales ne procurent plus les m mes avantages financiers Par ailleurs le contrat SEL est contraignant pour le praticien car il ne permet pas une libert d installation en lieux multiples celle ci doit correspondre un besoin de la population e Les contrats d installation avec bail professionnel nous veillons ce qu il n y ait pas de d bordement de la part du bailleur vis vis du m decin La superfi cie le local trop exigu non adapt la pratique m dicale la mauvaise signali sation du cabinet sont des points qui retiennent notre attention
70. nt AFFSSAPS Seuls deux produits ont re u l autorisation de mise sur le march pour cette indica tion le Vistabell et l Azzalure le Botox tant r serv au domaine de la neuro logie La prescription de Vistabell et d Azzalu re ne peut tre faite que par l une des cinq sp cialit s suivantes e chirurgie plastique reconstructive et esth tique e dermatologie e chirurgie de la face du cou e chirurgie maxillo faciale e ophtalmologie Seuls ces sp cialistes sont autoris s injecter ces produits pour le traitement des rides inter sourcili res Avis de l Ordre sur la Convention Le Conseil national de l Ordre des m decins s est inqui t de la complexi t d un texte de 90 pages comportant plus de 100 pages d annexes auquel les m decins lib raux devront adh rer pour faire b n ficier leurs patients de la prise en charge des soins Les mesures conventionnelles pour am liorer la r partition de l offre de soins sur le territoire sont tr s proches des mesures pr c demment adopt es dans le cadre de la convention de 2005 et qui n ont pas permis d amorcer la r duction des disparit s territoriales Il est regrettable que les le ons du pass n aient pas t tir es et on peut d ores et d j craindre que derri re ces mesu res faussement incitatives ne se profile une politique plus coercitive Pr voir de nouveaux modes de r mun rations suscite galement de fortes r serv
71. nt Dr MANEGLIA Benjamin M decine g n rale La Tronche Rempla ant Dr MARTIN Alix Cardiologie La Tronche Hospitalier Dr MENSAH Isabelle M decine g n rale St Marcellin Hospitalier Dr MICHOUD Marie Radiodiagnostic La Tronche Hospitalier Dr MORTAS Delphine M decine g n rale Vizille Lib ral Dr OTU Katia Gyn cologie obst trique Voiron Hospitalier Dr PLESSY Pascale M decine g n rale La Cote St Andr Salari Dr POTTON Leila Cardiologie La Tronche Hospitalier Dr ROBERT Yohann Chirurgie g n rale La Tronche Hospitalier Dr ROYE Alexandra M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr RUHLMANN C cile M decine g n rale Voiron Hospitalier Dr SIMON Audrey H matologie La Tronche Hospitalier Dr UHL Mathieu M decine g n rale Le Touvet Rempla ant Dr VERRY Camille Oncologie radioth rapie La Tronche Hospitalier Dr VIGHETTI Arnaud Anesth sie r animation La Tronche Hospitalier Inscriptions du 7 d cembre 2011 Dr ALBERTINI Serge Anesth sie r animation Corenc Rempla ant Dr ANGELUCCI Gr goire M decine g n rale St Martin d H res Rempla ant Dr BERTHOD KAMTA NOGUE II Oph lie M decine g n rale Eybens Lib ral Dr BROUSSARD Julie M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr CLEMENT Caroline M decine g n rale Ste Marie d Alloix Rempla ant Dr COURTIOL Guillaume M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr CROTET Romain M decine g n rale Grenoble Rempla ant Dr DEMENGEON S bastien M decine g n rale La Tronche Hospitalier Dr GAI
72. on qui fait de lui organisme strictement professionnel le g rant d un service public comme le recon naissent non seulement des arr ts du Conseil d Etat mais aussi les jurispru dences judiciaires Le Conseil d Etat contr le les ventuels exc s de pouvoir de l Ordre en mati re 4 Revue des M decins de l Is re administrative R le juridictionnel Le l gislateur a voulu que les m de cins puissent tre jug s et ventuelle ment sanctionn s par leurs pairs connaissant bien les probl mes soule v s par les malades ou par l exercice de la profession Le r le juridictionnel s exerce par l in term diaire des Chambres disciplinaire de premi re instance pr sid es par un magistrat et en appel par la cham bre disciplinaire nationale d appel pr sid e par un conseiller d Etat membre de l Ordre Ce pouvoir r sulte des dispositions du code de la sant publique il est contr l en ce qui concerne la l galit de ses d cisions par le Conseil d Etat instance de cassation R le consultatif Il est en particulier appel donner son avis sur les projets de r glements d crets ou de lois qui lui sont soumis par les pouvoirs publics R le d entraide Lire l interview du Dr B Paliard page 13 PROFESSION Q La permanence de soins en sere Dr Pascal Jallon secr taire g n ral adjoint du Conseil d partemental de l Ordre des M decins de l Is re Un cahier des charges donne les
73. onche St Egr ve Grenoble La Tronche Grenoble La Tronche Grenoble St Egr ve Bourgoin Jallieu La Tronche La Tronche La Tronche La Batie Montgascon La Tronche Vienne Grenoble Vienne Grenoble Echirolles Bourgoin Jallieu La Verpilli re La Tronche Allevard St Nazaire les Eymes Passins Eybens St Martin d H res Grenoble Grenoble Bourgoin Jallieu La Tronche Claix La Tronche Grenoble La Tronche Bourgoin Jallieu La Tronche Vienne La Tronche La Tronche Bourgoin Jallieu Villefontaine La Tronche Grenoble Montbonnot La Tronche Voiron Echirolles Vienne La Tronche Rempla ant Lib ral Hospitalier Lib ral Hospitalier Lib ral Retrait Hospitalier Hospitalier Hospitalier Lib ral Hospitalier Rempla ant Hospitalier Lib ral Hospitalier Retrait Hospitalier Hospitalier Hospitalier Lib ral Hospitalier Hospitalier Rempla ant Hospitalier Salari Salari Lib ral Salari Hospitalier Lib ral N exer ant pas Lib ral Salari Salari Lib rale Hospitalier Hospitalier Hospitalier Lib ral Hospitalier Lib ral Hospitalier Lib ral Hospitalier Hospitalier Hospitalier Hospitalier Hospitalier N exer ant pas Hospitalier Rempla ant Retrait Hospitalier Hospitalier Lib ral Hospitalier Hospitalier Revue des M decins de l Is re 21 gt gt gt 22 INSCRIPTIONS AU TABLEAU Dr ROUX Julie M decine Nucl aire La Tronche
74. onise que le m decin coutant que ce soit le m decin du travail ou un autre m de cin justifie d une formation dipl mante la prise en charge des risques psychosociaux Dr Brigitte Font Le Bret psychiatre Qualification en m decine generale Rappel le proc d de qualification par les conseils d partementaux apr s avis de la commission d partementale de qualification n est retenu que pour la m decine g n rale et est limit dans le temps jusqu au 1 octob re 2012 arr t du 8 mars 2010 modifiant l arr t du 30 juin 2004 portant r glement de qualification des m decins ARS DT Ent rocoques r sistants aux glycopeptides ERG La r sistance bact rienne aux antibio tiques est un probl me de sant publique ne pas n gliger Les ent rocoques classiquement sensi bles aux glycopeptides Vancomycine Teicoplanine ont d velopp des r sis tances cette classe d antibiotiques apparus en 1989 1990 Les enjeux de la maitrise des ent rocoques r sistants aux glycopeptides sont l augmentation de la mortalit et de la morbidit hospi tali re allongement de la dur e des s jours diffusion des germes La strat gie d finie par le Haut Conseil de sant publique de mars 2010 pour lutter contre la diffusion de ces germes se r sume en deux mots Search and Isolate Dans la mesure o la d coloni sation des patients porteurs d ERG n est actuellement pas r alisable la
75. outre ils ne sont pas secrets mais 8 Revue des M decins de l Is re consultables au conseil par les m de cins qui cotisent Le national per oit 35 par l interm diaire du d partemental notamment pour les repr sentations au niveau de la nation et de l tranger les services d ai des aux d partements l entraide l thique les commissions contrats autorisation d exercice comptes et les sections d appel disciplinaire Le r gional per oit 12 33 pour le disci plinaire et l interface r gionale adminis trative il n est pas pr vu toutes les pr ro gatives cet chelon pour ne pas gaspiller par exemple l entraide n est pas pr vue au niveau r gional Le financement de l Ordre ne d pend que de la cotisation et cette absence de financements ext rieurs est une garan tie de notre ind pendance Dr Pierre Finet pr sident de la commission des Contrats Le conseil d parte mental de l Ordre des m decins apporte gr ce sa commis sion des contrats un conseil et un avis dans la d licate question des contrats que tout m decin peut conclure avec un confr re une structure de soins un laboratoire En privil giant l int r t du prati cien Le but de la commission est de s assu rer que les contrats de nos confr res soumis l avis ordinal soient r dig s dans le respect du code de d ontologie m dicale Son r le est d examiner et de donner son avis sur les
76. pose d un pouvoir r glemen taire Les suj tions impos es par lui ses membres ne pouvant tre tenues pour l gales que dans le cas et dans la mesure o les restrictions qu elles assignent une libert d rivent n ces sairement des obligations qui incom bent l Ordre et des mesures qu im pliquent ces obligations arr t du Conseil d Etat du 29 juillet 1950 II doit tablir et tenir jour un tableau auquel ne peuvent tre inscrits que les docteurs en m decine remplissant les conditions l gales de moralit et de comp tences requises L obligation d inscription au tableau pour pouvoir effectuer des actes m di caux r sulte des articles L 4111 1 et L 4121 1 du code de la sant publique Toutefois l inscription au tableau de l Ordre n est pas obligatoire pour les m decins appartenant aux cadres actifs du service de sant des arm es ni pour ceux qui ayant la quali t de fonctionnaire de l Etat ou d agent titulaire d une collectivit locale ne sont pas appel s dans l exercice de leurs fonctions exercer la m decine article L 4112 6 du code de la sant publique L Ordre intervient galement dans le processus de qualification des sp cia listes dans la surveillance des contrats o il peut imposer des clauses dites essentielles dans les autorisa tions d exercice en lieux multiples etc L Ordre a une fonction de surveillance des conditions d exercice de la profes sion foncti
77. r de l Is re pour proposer cette permanence de soins notre espoir tant de faire une MMG par territoire Nos cueils ont t e tout d abord les m decins qui souhai taient ne pas changer leurs habitudes et continuer une PDS avec de moins en moins de volontaires pour l assurer e A leur d charge les m decins n ont pas t aid s par les politiques ou les direc teurs d h pitaux par exemple La Tour du Pin a contrario tout tait r uni Mores tel mais ce sont quelques m decins qui s y sont oppos s e Mais surtout pour les porteurs de projet une somme de travail et de temps pass aupr s des diff rentes administrations avant de le voir aboutir par exemple Vizille Lorsque les patients appellent le 15 ou le num ro de PDS 0810 15 33 33 il faut les orienter ou les conseiller c est le r le des m decins r gulateurs lib raux et ceci repose sur le mode du volonta riat Cela pourrait tre facile si le d par tement tait divis en secteur ayant une MMG bien identifi e cependant ceci se complique e lorsque le m decin est dans son cabi net qui peut se situer l extr mit du secteur e ne se d place pas et surtout lorsqu il n y a plus de m decins de secteurs apr s minuit La r gulation lib rale v ritable clef de vo te de la PDS souffre beaucoup du m decins r gulateurs lib raux or un certain nombre de m decins g n ralis tes titre confrate
78. ration entre les tablisse ments hospitaliers publics et priv s les tablissements m dico sociaux les professionnels de sant de ville les usagers de sant et le Conseil g n ral un de ses objectifs principaux est de permettre de rendre op rationnelle lisible et adaptable la mission de coordination de proximit pour les parcours de soins des patients en situation complexe que la loi HPST et le minist re de la Sant ont aujourd hui d volu aux r seaux de sant Cette mission caract re polyth matique et en proximit s inscrira d s 2012 dans trois territoires l agglom ration greno bloise le Voironnais Chartreuse et le Nord Vercors En parall le autre objec tif du GCS les r seaux de sant th matiques insuffisance cardiaque handicap psychique de l adulte etc poursuivront leurs missions sp ci fiques mais se positionneront gale ment en appui de la coordination de proximit Enfin l ensemble des r seaux collaboreront au sein du GCS au travers d une unit transversale permettant le d veloppement de mutualisations logistiques d activit s expertes telles que l ducation th ra peutique du patient ou de r f rentiels concernant en particulier le Plan personnalis de sant PPS entre autres Il s agit pour les r seaux de l Is re d une mutation profonde mais qui renforce la collaboration entre eux d une part et avec les divers partenai res membres de ces r
79. rer la qualit et l organisation des soins aux personnes g es se pr sentant dans un service d urgence Les objectifs e mettre en place une d marche qualit soignante de l accueil du sujet g tant aux urgences que dans les services d hospitalisation e proposer aux m decins urgentistes un outil de rep rage des facteurs de risque de la chute afin de diminuer les r cidives e mettre disposition un arbre d ci sionnel d orientation soit vers le retour domicile soit vers une fili re hospita li re adapt e Pour chaque patient admis au SAU pour chute un recueil des donn es sera adress Vous pouvez program mer une valuation Centre d valua tion g riatrique 06 50 63 66 10 emploi Un m decin peut se faire remplacer dans sa client le soit par un docteur en m decine inscrit au Tableau de l Ordre soit par un tudiant en m de cine titulaire d une licen ce de remplacement Le Conseil constate fr quemment que des d clarations de remplacement parviennent apr s la date effective de leur mise en uvre elles ne peuvent recevoir aucun aval par cons quent du Conseil de L Ordre Il convient de rappe ler que le remplacement par un m de cin inscrit un tableau doit faire l objet d une d claration et de la v rification par le Conseil d partemental des condi tions du remplacement notamment quant la qualification et la facult d exercer du rempla ant pour ce qui est
80. rnels et dans l int r t de leur patient pourraient venir r guler quoi pouvons nous attribuer ce manque de volontariat e A la m connaissance de la r gulation prenez rendez vous avec un m decin r gulateur lib ral ou avec un responsa ble du CRRA 15 la FIPSEL 04 76 25 OT 91 vous fournira un num ro de t l pho ne ils se feront un plaisir de vous faire visiter le nouveau centre de r gulation et vous expliquer le travail de m decine g n rale qu ils font la r gulation e Aux obligations la r gulation se fait par tranches de 4 ou 5 heures il n y a plus d obligation de faire un certain nombre de tranche horaire de r gula tion e La formation des discussions sont actuellement en cours pour que ces formations puissent tre prises en char ge e Des groupes d changes sont en train de se former ventuellement r mun rer afin de revoir les r gulations probl me e s agit d un v ritable travail d quipe qui se met progressivement en place afin que cette r gulation soit galement plus attractive et moins stressante Si seulement 30 ou 40 des m decins qui ne font pas de PDS venaient r guler le travail au sein de la r gulation serait plus serein Actuellement seuls une quinzaine de m decins assurent toutes les tranches horaires de week end et souvent il n y a qu un seul m decin l o est pr vu quatre m decins pour r pond re Revue des M decins de l Is re 5
81. rs mon avis devraient arr ter vraisemblablement 24 heures Parall lement cela la charge de travail au sein de la r gulation a beaucoup augment avec une diminution du nombre de m decins r gulateurs lib raux la rendant peu attirante Le projet FIPSEL est de rendre attracti ve la PDS en l organisant autour de Maison M dicale de Garde avec une garde assi se sur de grands secteurs Elle devient attractive pour plusieurs raisons e le m decin ne se d place pratique ment plus e La PDS se fait de 20h 24h la semai ne de 8h 24h les dimanches jours f ri s et de 12 24h le samedi avec des heures d finies par les secteurs le m decin de garde restant joignable par le CRRA 15 e la r gulation sait qu elle peut compter sur un m decin un lieu fixe et adresse ra plus facilement les patients e les consultations peuvent ventuelle ment tre organis es par une secr taire e Le travail se fait dans des locaux pr vus pour cette PDS La FIPSEL a t porteuse de 3 projets Vienne Vizille et Gr sivaudan ce qui va permettre aux m decins de ces secteurs de travailler dans de bonnes conditions lors de leurs astreintes Tous m decins travaillant dans un cabinet devraient tre capable d assurer une permanence de soins dans cette MMG et le Conseil de l Ordre r examinera toutes les demandes de dispenses dans ces secteurs Avec la FIPSEL nous avons fait le tou
82. rvice de d tection des fraudes suite l arr t du 16 03 2007 La tra a bilit du m dicament permet un rappel ais en cas de d faut une lutte contre les circuits parall les de vente une s cu risation de la cha ne de m dicament de la fabrication la dispensation au patient l obligation du code barres sur les ordonnances et la num risation Le regard social sur l art m dical a chang et impose une information de qualit l endroit du patient de celles ci avec le stockage de cette information par la s curit sociale pendant deux ans ont une cons quence sur notre prescription par exemple hors AMM ou dans le cadre du contrat la performance et du respect des bonnes pratiques Certains logiciels informa tiques permettent selon la prescription de d terminer la pathologie une atteinte ventuelle au secret m dical impose notre attention Remarque le probl me des prescrip tions hors AMM engageant la respon sabilit des prescripteurs notamment BONNES PRATIQUES Le principe de pr caution et les prescriptions m dicales incidences pratiques sur la non garantie d absence d ven tuels risques potentiels possibles non contrebalanc s par l int r t m dical et l utilit r elle de la prescription e La tra abilit des exigences il doit tre possible de retracer depuis l origine chacune des exigences provenant de sources diverses comme une quipe de soins ou une d
83. s ances assorti de pr conisations L quipe sp cialis e intervient sur prescription du m decin traitant du neurologue ou des centres m moire ressources Le libell de la prescription est Faire pratiquer 12 15 s ances de r habi litation pour troubles cognitifs ou trou bles de m moire ou maladie d Alzhei mer ou maladie apparent e par une quipe sp cialis e Alzheimer de SSIAD Le m decin est inform des r sultats de l valuation et du bilan des s ances effectu es Chaque quipe sp cialis e peut accompagner simultan ment 30 personnes Coordonn es pour joindre l quipe de l ADPA d Echirolles 04 76 13 34 74 ou esa dracvercors adpa grenoble com fr Centre de lutte contre l isolement pr vention du suicide Renseignements et plaquette de pr sentation du centre sur simple demande t l phonique ou crite 1 place de l Etoile 38000 Grenoble t l 04 76 87 90 45 e mail rrgrenoble wanadoo fr Informations diverses Revue des M decins de l Is re 19 gt gt gt 20 Q LES BR VES M decine du travail et certificat de sport La d livrance de certificats de non cont re indication au sport n entre dans aucu ne des missions d volues au m decin du travail telle qu elle r sulte de l article L 46 22 3 du code du travail Ce n est que lorsque l activit sportive est d velopp e le cadre de l entreprise qui para t possi ble que les m decins du travail
84. s ne nos patients toute la journ e prendre soin de soi de son corps de son psychisme de sa famille Etre prudent dans nos d penses nos investissements Pr pa rer l avenir avoir une bonne pr voyance y compris pour les salari s Avoir des loisirs ne pas se laisser manger par le travail et les soucis Ne jamais se d faire de la certitude d avoir t cr pour le bonheur En un mot j appelle les confr res la s r nit Notre vocation de m decin n est qu merveillement face la vie si belle et si fragile N oublions jamais que nous sommes son service et qu aucune vie ne vaut moins qu une autre pas m me la n tre Si vous commencez en douter il est urgent de nous contacter Pour contacter l entraide appelez le secr tariat de l ordre 04 76 51 56 00 ou envoyez un mail isere 38 medecin fr dans lequel vous demandez tre contact par l entrai de Revue des M decins de l Is re 13 TERRITOIRES Evolution des r seaux de sante en Is re Dr G rard Mick Au nombre de douze dans l Is re les r seaux de sant voluent Regroup s dans le bassin de sant de Grenoble au sein de la Maison de sant des r seaux Sud Is re ils uvrent depuis deux ans pour une volution vers un Groupement de coop ration sanitaire GCS int grant divers acteurs hospitaliers de la ville et de l auto nomie Ce GCS devient un espace partenaire de collabo
85. s familles ont besoin de conseils d marches en cas de d c s arr t maladie rapports avec la CARMF etc mais galement coute et conseils pour les confr res en burn out d pressifs ou souffrant d une addiction 10 d addiction alcoolique La commission b n ficie galement d un budget qu elle g re de mani re autonome et qui lui permet d aider finan ci rement les personnes les plus en difficult Attention cependant il ne s agit que d aides ponctuelles et il n est pas pr vu de mettre en place un syst me d assistanat Chaque ann e quelques euros de votre cotisation ordinale alimentent les commissions nationale et d partemen tales d entraide Enfin la commission d entraide monte chaque ann e une dizaine de dossiers tripartites Fond de solidarit CARMF entraide nationale entraide d parte mentale dans le but de rattraper les situations parfois catastrophiques dans lesquelles se trouvent certains confr res et leurs familles Qui est concern par l entraide A priori tous les m decins et leurs familles On pense en g n ral aux m de cins lib raux mais il ne faut surtout pas oublier les salari s dont les conditions d exercice sont loin d tre id ales et qui ont un sentiment de solitude et d isole ment assez marqu Auriez vous quelques conseils simples donner pour ne pas finir l entraide Peut tre de simplement s appliquer nous m mes ce qu on as
86. sible de cumuler l activit lib rale avec une retraite sans limitation de plafond Ce cumul est il int ressant Eh bien oui Pour vous le d montrer le mieux est un exemple fictif chiffr Prenons le cas d un m decin de 65 ans mari sans enfants charge 2 parts fiscales et qui r alise 80 000 de BNC Il est le seul revenu d activit du m na ge exerce en secteur 1 et cotise depuis signalement des complications fr quen tes graves normalement pr visibles loi de 2002 mais elle doit tre adapt e l tat du patient son niveau socio cultu rel et ce qu il peut et veut comprendre de sa maladie C est pourquoi le m de cin en plus de son r le de th rapeute se doit d tre un conseiller bienveillant agis sant avec tact afin de ne pas augmenter l angoisse de son patient et de ne pas le laisser seul devant une d cision prend re C est pourquoi il doit appara tre dans le dossier m dical un temps relationnel et une dur e suffi sante de consultation Un temps p dagogique consign une trace de la diffusion de l informa tion une mise disposition de support p dagogique explicit portant sur des donn es valid es en compl ment du temps oral La cour de cassation 10 1997 propose par tous moyens crit ou oral hormis les cas sp cifi s par la loi HDT AMP 30 ans la CARMF Cette ann e ses cotisations sociales s l vent 21857 Il paie 13032
87. sion d entraide o quand comment par qui pour qui Entretien avec le Dr Bruno Paliard pr sident de la commission d entraide du conseil de l Ordre des m decins de l Is re Qu est ce que la commission d entrai de et comment fonctionne t elle II s agit l d une des missions de l ordre qu il convient de mettre en valeur car gr ce l entraide chaque ann e des dizaines de m decins et leurs familles re oivent assistance et r confort Une dizaine de conseillers titulaires y si ge mais galement d anciens conseillers Elle peut faire appel aux comp tences de personnes ext rieures susceptibles d aider la commission dans ses prises de d cisions Elle se r unit 4 5 fois par an sur convocation du pr sident pour d cider de la r ponse la plus adapt e apporter aux confr res et leurs familles Le pivot de l entraide est son pr sident vers lequel sont orient es toutes les demandes ou signalements Apr s un premier contact en g n ral t l pho nique il confie le dossier un ou deux membres de la commission afin qu ils rencontrent le confr re et r digent un formulaire d entraide Le dossier d en traide est ind pendant du dossier ordi nal et rien de ce qui est appris dans le cadre de l entraide ne figure au dossier ordinal Puis ce dossier est tudi la prochaine commission Quelles r ponses peut apporter la commission d entraide La plupart des confr res ou de
88. t faites dans votre int r t car les difficult s n apparaissent jamais la signature du contrat mais bien plus tard en cas de conflit voire m me apr s toute une carri re lors du d part la retraite d un praticien Au cours d une carri re sachez faire voluer votre contrat en fonction de la conjoncture La commission des contrats est l pour vous aider et vous donner des conseils ne la consid rez pas comme une instan ce juridique inabordable qui ne prend que des d cisions sans appel Merci de r pondre nos courriers merci de votre collaboration confraternelle Une consultation d adoption l H pital Couple Enfant Une consultation d adop tion ouvre au sein de l H pital Couple Enfant de La Tronche Elle sera assur e par le Dr C cile Bost Bru un vendredi par mois Pourquoi En 2010 3504 enfants en provenance de l tranger ont t adop t s par des familles fran aises L Is re est le 10 me d partement d ac cueil la r gion Rh ne Alpes la 3 me r gion d accueil en nombre d enfants adopt s Cette consultation a t cr e en partenariat avec les d partements de la Savoie de la Haute Savoie et de la Dr me Ard che Ces enfants ont entre 6 mois et 12 ans proviennent de diff rents pays de 4 continents principaux Europe Asie Afrique et Am rique du Sud l volution de l adoption internationale depuis quelques ann es montre que les enfants sont de plus en plus
89. u il a accept de r pondre 18 Revue des M decins de l Is re une demande le m decin s engage assurer personnellement au patient des soins consciencieux d vou s et fond s sur les donn es acquises de la science en faisant appel s il y a lieu l aide de tiers comp tents Conseil d partemental La souffrance au travail La th matique de la Souffrance au travail est de plus en plus pr sente sur le plan m diatique litt raire ou cin matographique Dans leurs crits courriers certificats arr ts de travail certains m decins utilisent cette expression Nous avons pos la question au Conseil national de l Ordre des m decins de la l gitimit de cette appellation La r ponse du CNOM est claire et doit nous inciter une grande prudence Un m decin ne peut indi quer de fa on affirmative que ce qu il a constat lui m me Il doit prendre toutes les pr cautions n cessaires lorsqu il relate les dires du patient notamment lorsqu un tiers ici lem ployeur est mis en cause En effet si le m decin peut constater la souffrance de son patient il ne peut en d duire le lien avec le travail qu au travers de ce que lui relate son patient et ne peut donc le constater n tant pas pr sent dans l entreprise Pour ce qui est de la formation des m decins intervenant dans les cellules d coute ou autres dispositifs de prise en charge des risques psychosociaux le Conseil National pr c
90. ur sa retraite Ce qui montre qu en diminuant son acti vit de moiti le m decin garde donc le m me revenu Ce qui est donc tr s int ressant pour un m decin qui voudrait prendre sa retraite progressivement et pr parer sa cessa tion d activit plus sereinement et ainsi ce qui est int ressant diminuer les char ges qu il aura payer une fois qu il aura cess totalement son activit avec comme seule ressource sa retraite Ce qui est une bonne solution et aussi permettrait d inciter les m decins continuer leur activit apr s l ge de la retraite et ainsi de palier l h morragie d mographique en attendant que laug mentation du numerus clausus ne permette de combler le manque cruel de m decins lib raux Un m decin peut aussi reprendre une activit apr s avoir cess quelque temps de travailler Mais attention il ne faut surtout pas r silier son assurance responsabilit professionnelle pendant la p riode d inactivit car la souscription d un nouveau contrat lors de la reprise d ac tivit lib rale entra nerait une augmen SOCIAL Q tation consid rable de la prime d assu rance du fait de l accroissement pr sum par les assureurs du risque li l ge e CARMF tout ce que vous auriez toujours voulu savoir sur votre retraite sans avoir jamais os le demander Connectez vous sur le site de la CARMF wwvw carmf fr et allez sur l espace e CARMF La commis
91. urrier n ces site encore quelques jours de d lai En cas d urgence le dossier est bien enten du tudi plus vite Parall lement ces r unions mensuel les d partementales existe une r union annuelle nationale de la commission des contrats Cette r union se d roule au sein du Conseil national de l Ordre des m decins Paris sur une journ e Chaque conseiller ordinal y est convi Cette journ e se divise en deux phases la matin e est consacr e des conf rences par des m decins des juristes du Conseil national de l Ordre Ces conf rences sont une mise au point sur des probl mes d actualit les SEL l exercice en lieux multiples etc Par exemple lors de la journ e des contrats 2011 ont t abord s entre autres la collaboration lib rale et salari e dans des SCP et des SEL ou encore l inter vention des m decins lib raux en EHPAD l apr s midi est consacr e aux ques tions r ponses questions soulev es par les Conseils D partementaux et r ponses apport es par les m decins ou les juristes du Conseil National Par exemple lors de la journ e des contrats 2011 ont t discut s les contrats de collaboration lib rale entre un m decin et une SELARL et les modalit s financi res quid de plusieurs contrats de collaboration par un m me m decin la notion de conflit d int r t entre un m decin et un laboratoire etc Cette DROIT Q journ
92. usi ves et appliquer les r gles de prudence dans la r alisation de ces certificats Le certificat m dical peut tre exig pour constater e une maladie contagieuse coles cantines scolaires et cr ches pour justi fier l exon ration des frais e une inaptitude totale ou partielle d ducation physique et sportive en pr cisant la dur e e une d claration de d c s e un handicap e des l sions et traumatismes suite un accident e la non contre indication la pratique sportive dans le cadre des comp titions tablissement d un certificat m dical est inutile dans les cas suivants e prises de m dicaments demand es par les assistantes maternelles ou les cr ches e pour signaler l absence d allergie ou la mention de r gimes alimentaires sp ciaux e les absences de moins de 4 jours dans les cr ches e les absences scolaires e l entr e l cole maternelle ou l cole l mentaire e es sorties scolaires ou la non partici pation l ducation physique et sportive e les certificats d embauche de reprise de travail et d inaptitude aux postes de travail ils rel vent de la m decine du travail e la dispense du port de la ceinture de s curit dans un v hicule o l aptitude ou l inaptitude m dicale la conduire rel vent des m decins agr s par la Pr fecture Une mention particuli re doit tre faite en ce qui concerne les certificats m di caux tablis dans le ca

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