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PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS

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1. Pr server les ressources R duire les pollutions Reduire Reduire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 52 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE MUR TROMBE LE MUR TROMBE IO VOLET VOLET FAISABILIT VOLET MARKETING CO T GLOBAL ET R F RENCES CO T SOCI TAL Avantages Technique sp cifique de conception peu ou Le mur trombe est un proc d conceptuelle m R sistance thermique plus importante que le pas d informations sur les savoir faire ment interessant tres peu r pandu mur non ventil Pas d entreprises sp cialis es e A F Les objections sont les suivantes Contr le de la quasi totalit des apports par rice da aaa d ar nn 0 m Restitution des apports avec un d calage Zen a a pe a a os a de bon important dans le temps d tudes et des architectes mais il existe peu fonctionnement m Gestion quotidienne des clapets possibilit de r alisations de mur trombe en logement L entretien p riodique est n cessaire d ouverture et de fermeture automatique m Les vitrages sur les murs p riph riques sont Sos d une esth tique souvent discut e et sont Points de vigilance fragiles m Co t plus lev qu un mur traditionnel Pas de fabricants de syst
2. Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre INTERRUPTEUR AUTOMATIQUE DE CHAMP OU IAC m 121 INTERRUPTEUR AUTOMATIQUE DE CHAMP OU IAC VOLET CO T GLOBAL Avantages m L installation de l IAC est simple et peu on reuse et peut tre r alis e sur beaucoup d installations lectriques existantes m L IAC permet d viter les probl mes de sant g n r s par les champs lectriques Point de vigilance Le biorupteur doit tre prot g par un fusible pour viter sa destruction si un court circuit se produit Les diff rents postes du co t global Investissement De 60 a 150 pour l appareil Entretien maintenance Ce type de systeme ne n cessite pas d entre tien particulier Seul le fusible du biorupteur est a changer en cas de besoin conomie de charges Les conomies de charge ne sont pas impor tantes par contre le gain se situe au niveau du confort VOLET FAISABILIT ET R F RENCES ll s agit d un syst me simple mettre en ceuvre par les entreprises pas de sp cialisa tions n cessaires suffit aux entreprises de le pr voir dans le devis et de l installer en phase chantier B n fice client A B C D E F Economie Patrimoine Modernit 6 AS _ VOLET MARKETING CO T SOCI TAL La sant est des themes pr f r s des francais Gr ce a un investissement minime un constructeur ou u
3. Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre Une installation de r cup ration permet De restreindre le recours au r seau d eau de ville ce qui revient selon les cas agir pour la diminution des pompages dans des nappes phr atiques parfois surexploit es et ou a limiter les traitements de potabilisation des eaux provenant des cours d eau ou des nappes m D agir contre l engorgement des r seaux de collecte lors d v nements pluvieux impor tants qui peuvent provoquer des probl mes d inondation de d bordement de stations d amp puration de baisse de performances des traitements ou de by pass d un m lange eau de pluie et eaux us es directement dans le milieu naturel si le r seau est unitaire VOLET CO T GLOBAL Avantages m Limite le montant des charges en eau d un b timent ressource gratuite On peut atteindre facilement 100 de r cup ration des eaux de pluie n cessaires pour les usages WC notamment pour les b timents tertiaires en ce qui concerne l arrosage la capacit de stockage n ces saire est beaucoup plus importante 116 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU Points de vigilance m Surco t l investissement car une instal lation de r cup ration des eaux pluviales ne dispense pas en g n ral d un systeme d alimentation classique Frais d entretien et de fonctionnement sp
4. 8 Energie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant x 222 aS Ss les installations en toiture passage du tube entre chevrons possible pour les diam tres petits moyens m Pas d entretien ou de nettoyage selon les fournisseurs si on privil gie les syst mes garantis tanches en g n ral garantie de 10 ans sur le mat riel Points de vigilance m Co t d investissement lev m R gulation de l clairage compliqu e Tous les fournisseurs ne proposent pas de systeme de r gulation risque d blouisse ment si celui ci n est pas install En cas d clairage insuffisant par la lampe solaire un clairage artificiel tout ou rien peut conduire un d ficit d clairage si l usager d cide de ne pas l utiliser ou un surcro t d clairage si celui ci l utilise LES CANONS LUMIERE Manque de garanties concernant l tanch it la r sistance la neige la gr le pas d Avis Technique l heure actuelle d mar che en cours pour des syst mes propos s par un fabricant m Manque d informations sur les impacts potentiels du syst me sur le plan thermique d perditions en hiver et apports de chaleur en t Peu de donn es techniques sur ces syst mes ceux ci ne figurant pas dans les catalogues d clairage march r duit Diam tres Prix en Kit basique avec 1 coude de 3
5. 2 1 3 faiblement missif la pratique courante oui oui krypton au minimum non n cessit du triple vitrage lame argon Menuiserie bois capot oui mais surco t par F h A oui mais ch ssis sp ciaux 2 1 4 aluminium rapport au PVC oui oui oui mais ch ssis particuli rement performant labellis Passivhaus nergie solaire passive 2 1 5 v randas verri re oui oui oui bow window 2 1 6 Mur trombe Favoriser plutot 8 oui oui non non captation par les vitrages Correction avant finition oui leder Sureontimals 291 avec instrumentation sur nog oui mais non imp ratif oui mais non imp ratif n cessaire n cessaire 2 1 8 Canons lumi re oui oui oui travers e de l isolation Pb du pont thermique engendr r gler Professionnalisation de 5 3 PS Puits canadien la technique oui oui oui Recommand Puls is Set cea Dimensionnement au del de l exigence 2 1 10 Protections solaires oui Conformit RT2005 Idem de l exigence r glementaire 9 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE simulation dynamique n cessaire r glementaire simulation dynamique n cessaire CAPACIT S DES TECHNIQUES R PONDRE LA R GLEMENTATION ET AUX LABELS NERG TIQUES m 137 CAPACIT S DES TECHNIQUES R PONDRE LA R GLEMENTATION ET AUX LABELS NERG TIQUES Lot concern Ventilation Solaire thermique Solaire photovolta que Bois nergie G
6. La ventilation facilite l a ration des locaux en vacuant l air vici et en le renouvelant par de Pair frais La ventilation joue un r le indispensable pour limiter la concentration des polluants dans lair ambiant des habitats Elle est galement n cessaire pour limiter le risque de moisis sures en retirant l humidit g n r e dans la maison par la pr sence et les activit s des occupants 10 20 ou 30 litres d eau par jour et par habitant dont 1 1 5 litres rien que pour la respiration et la transpiration provenant de l ext rieur pluie remont e du sol d fauts ou usure de la construction La ventilation est en outre indispensable pour l apport d oxyg ne essentiel notre respiration et pour une bonne combustion des carburants utilis s dans la maison pour le chauffage la cuisine L gende Ouverture d alimentation Ouverture de transfert Ouverture d vacuation D bouch en toiture de l vacuation Pon Illustration 55 Principe de fonctionnement de la ventilation naturelle Sch ma d apres Greenpeace PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES VENTILATION NATURELLE m 73 VENTILATION NATURELLE Principe de fonctionnement Contrairement la Ventilation M canique Contr l e la ventilation hygi nique naturelle ne requiert aucun dispositif m canique pour f
7. R f rence Le double vitrage DV pour les logements est tr s r pandu alors que le triple vitrage est beaucoup moins fr quent B n fice client 5 C Economie Patrimoine Modernit El B n fice majeur 1 ordre 46 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Dans la mesure o actuellement tous les logements sont livr s avec des doubles vitra ges avec ou sans lame argon et o les triples vitrages lame krypton sont encore d un co t tr s lev la diff renciation commerciale porte peu sur cette prestation Cependant m L option d un triple vitrage lame argon permet une architecture tr s ouverte sans p naliser les performances thermiques du logement les grandes baies coulissantes en ouverture sur le jardin sont tr s valoris es par les m nages m Le double vitrage phonique est souvent oubli dans les descriptifs promoteurs pourtant le confort de vie apport est spectaculaire m me hors des zones forte nuisance de bruit Le rapport avantage per u par le consommateur co t est commercialement int ressant D E F cologie Sant Confort B n fice secondaire 2 ordre LES VITRAGES LES HUISSERIES VOLET DESCRIPTIF Les principaux mat riaux utilis s pour les huisseries sont le bois le PVC l aluminium et le bois aluminium Le bo
8. B n fice secondaire 2 ordre 1 41 des m nages acc dants pensent qu une maison ne peut pas tre consid r e comme cologique si elle n a pas d ECS solaire 80 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LE SOLAIRE THERMIQUE VOLET DESCRIPTIF L nergie photovoltaique r sulte de la trans formation de la lumi re solaire en lectricit au moyen de cellules en silicium reli es entre elles et constituant un panneau solaire Pour une utilisation domestique l adjonction d un onduleur s impose pour convertir le courant continu obtenu en courant alternatif ll est possible de stocker l lectricit sur un systeme de batteries essentiellement en site isol mais le meilleur stockage reste le r seau quand il est disponible En effet les centrales photovoltaiques raccor d es au r seau repr sentent le segment du march photovoltaique au taux de croissance le plus important de ces derni res ann es En effet la croissance est sup rieure 50 par an dans les pays o ont t fix s des tarifs de rachat attractifs Le solaire photovolta que se d cline en diff rentes applications qui utilisent toutes le m me principe de base On distingue notamment Les modules photovolta ques Les membranes d tanch it photovolta ques m Les tuiles solaires LE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE Illustration 61 Modules photovoltaiques Les modul
9. E Elles impr gnent mieux le support Elles sont perm ables la vapeur d eau elles peuvent donc tre utilis es en cuisine et salle de bains Elles sont biod gradables VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental des peintures cologiques est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit Action forte 1 ordre Points de vigilance Les peintures cologiques ne sont pas toutes lavables Elles s chent en g n ral moins vite que les peintures classiques Certaines peintures n cessitent une couche suppl mentaire La palette des teintes est moins large 128 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT R duire les pollutions R duire Air Eau Sols D chets A RE BB Action secondaire 2 ordre Les diff rents postes du co t global Investissement Le surco t moyen est d au fait que l on r alise une couche suppl mentaire avec les peintures cologiques En bidon de En bidon de 5 litres 15 litres Capablanc 6 23 L Indeko fix 8 72 L 8 46 L Indeko mat 10 82 L 9 94 L Indeko satin 10 82 L 9 94 L Indeko velours 10 82 L 9 94 L Illustration 81 Prix indicatif TTC de diff rentes marques de peinture cologiques R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant Entretien maintenance
10. VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une installation solaire photovolta que est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions Reduire R duire les nuisances nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 82 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Les tuiles photovoltaiques Pour r amp pondre a une demande d am lioration de l int gration des capteurs au b ti certains constructeurs ont d velopp des capteurs solaires reprenant les formes les dimensions en partie et les embo tements de certaines tuiles Ces capteurs particuliers ont pris le nom de tuiles photovolta ques LE SOLAIRE PHOTOVOLTA QUE LE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE VOLET COUT GLOBAL Avantages Generaux Modules Membrane d tanch it Tuiles photovoltaiques Une haute fiabilit L installation ne comporte pas de pi ces mobiles Le co t de fonctionnement est tr s faible vu les entretiens r duits et il ne n cessite ni combustible ni transport ni personnel hautement sp cialis La technologie photovolta que pr sente des qualit s sur le plan cologique car le produit fini est non polluant silencieux et n entraine aucune perturbation du milieu Pas d mission de gaz effet de serre R s
11. a pas d entretien maintenance particulier pour les peintures cologiques conomie de charges N ant LES PEINTURES COLOGIQUES LES PEINTURES COLOGIQUES A VO LET F Al S ABI LITE VO LET M AR KETI N G Les COV correspondent au facteur majeur de dangerosit possible de l air int rieur et ils ET R F RENCES CO T SOCI ETAL manent surtout des peintures utilis es Et pourtant rares sont les argumentaires ou Les peintures cologiques se trouvent partout Les peintures labellis es cologiques les marquages produit susceptibles de donner Elles n cessitent souvent une couche suppl pr sentent un atout commercial important du promoteur une image forte de citoyennet mentaire mais pas d application particuli re et peuvent tre utilis es par les promoteurs s int resse la sant de ses clients La motivation essentielle d une majorit de m nages acheteurs d une maison individuelle est de donner la famille un cocon protecteur s curit et sant Un des facteurs les plus importants de la sant est la qualit de l air respir B n fice client 5 C DB E F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort SE El B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 272 ordre PARTIE 2 FICHES THEMATIQUES A L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MATERIAUX SANTE LES PEINTURES COLOGIQUES m 129 SYNTHESE LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MT
12. A Gamme actuelle trop puissante gt condensation os Sin om Om par rapport aux faibles besoins Ma trise de la consommation d eau limiteur de pression a 2 3 1 douchettes venturi oui oui oui oui oui d tecteurs fuites d eau WC tr s conomes 2 3 2 Toitures v g tales 0 1 oui oui oui CUE oui mais adoption de structure de toiture oui mais adoption de structure de toiture 298 Puits d infiltration peu cou oui oui terrasse permettant la mis en uvre terrasse permettant la mis en uvre en individuel FERN E 5 5 d paisseur importante isolant d paisseur importante isolant 2 3 4 811 c Rian oui oui oui oui oui de pluie 241 Interrupteur automatique oui oui oui Sui o de champ 2 4 2 isolants oul reseau oui oui oui oui d origine v g tale entreprise limit Peintures NE oui mais surmonter 2 4 3 Environnement sans d ri oui oui oui oui CAPACIT S DES TECHNIQUES R PONDRE LA R GLEMENTATION ET AUX LABELS NERG TIQUES SCENARIOS ENERGETIQUES AIDE A L APPROCHE MARKETING Partie 3 CARACTERISTIQUES GENERALES DES SC NARIOS 6 Les diff rentes solutions techniques pr sent es dans les fiches trait es dans les parties 1 et 2 peuvent se combiner en 4 sc narios qui correspondent diff rents produits logements aux performances nerg tiques distinctes Ces packages types peuvent consti
13. Ce document a t r alis la demande de l ARENE Agence R gionale de l Environnement et des Nouvelles nergies d lle de France de EPA S nart tablissement Public d Am nagement et du SAN de S nart Syndicat d Agglom ration Nouvelle CONTACTS ONT ASSURE SA REDACTION ONT PILOTE LA REALISATION ONT PILOT SA PUBLICATION DES ORGANISMES PARTENAIRES m Mohammed ABDESSELAM SOLENER DE CET OUVRAGE Muriel LABROUSSE ARENE ARENE expert nergie m Dominique SELLIER ARENE m Marylin HUTEAU EPA SENART Dominique SELLIER m Jean Pierre TRAISNEL architecte E Isabelle GAUSSON SAN de S NART m Caroline F LINIAK EPA SENART d sellier areneidf org sp cialiste d veloppement m Jacques STEVENIN EPA S NART m EPA S NART durable m Jean Paul TRARIEUX EPA SENART Jean Paul TRARIEUX m Andr CARON conomiste m Fran ois MAGAUD EPA SENART jpt epa senart fr sp cialiste en marketing m Emmanuelle DANTON BIVILLE EPA S NART Emmanuelle DANTON BIVILLE edb epa senart fr m SAN de S NART Sabine BEAUVAIS DELOUVRIER s beauvais delouvrier san senart fr Isabelle GAUSSON i gausson san senart fr SOMMAIRE Abr viations 4 P ARTI E 1 Introducti 5 2 E un dire et incitations 6 FICHES THEMATIQUES A L ECHELLE DE L OPERATION Mode d emploi de l argumentaire 8 1 1 Plan de masse et ensoleillement 1 2 Spatialit et typologie des logements 1 3 Conception bioclimatique 1 4 Locaux annexes 1 5 0 65 v g tales
14. Comparatif au m a r sistance thermique quivalente 5m K W Base prix contat e en 2006 co t des mat riaux hors pose Source ARDITTI JUMEL SOCIETE D ARCHITECTURE PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT ISOLANTS D ORIGINE VEGETALE m 125 ISOLANTS D ORIGINE V G TALE Les diff rents postes du co t global Investissement Selon les mat riaux l investissement est de 3 10 fois sup rieur celui qu on r alisait avec la laine de verre r sistance thermique quivalente fournitures seules Entretien maintenance Dur e de vie quivalente celle des isolants classiques VOLET FAISABILIT ET R F RENCES N cessite parfois des techniques de mise en uvre sp ciales les entreprises de pl trerie isolation acqui rent les comp tences au fils des chantiers ou d cident de suivre des formations courtes dur e De plus des d monstrateurs peuvent tre disponibles pour la mise en route du chantier B n fice client 5 C Economie Patrimoine B n fice majeur 1 ordre 126 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT Modernit VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Les deux types d isolant dont l usage est g n ralis pr sentent des inconv nients majeurs m Les polystyrenes expans s PSE sont issus de la p trochimie m Les laines min rales sont des fibres et
15. Le co t d investissement est relativement lev car doit tre associ une VMC double flux d bours chantier de plus de 3 500 avec la VMO quiper la prise d air B n fice client A 5 C D E F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort OS gt Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 64 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE PUITS CANADIEN VOLET DESCRIPTIF Selon leur orientation les vitrages repr sentent une source de surchauffe importante en t s ils ne sont pas prot g s par des dispositifs sp cifiques Toute surface vitr e verticale orient e de nord est nord nord ouest en passant par le sud doit tre quip e de protections solaires ext rieures adapt es en fonction de l orientation en va de m me pour les parois vitr es horizontales ou inclin es Les protections solaires permettent de limiter le flux solaire dans un b timent emp chant l air entrant d tre trop chaud et vitant la pr sence de taches solaires qui engendrent une surchauffe des murs et une augmentation de la temp rature radiante Par ailleurs blouis sement est r duit et ces protections solaires assurent un meilleur confort visuel ll existe plusieurs sortes de protections solai res On peut citer des l ments architecturaux fixes ou mobiles casquettes brise soleil
16. lite Perm abilit Correction avant Moins de consomma 6 8 de r duction de Meilleure ma trise des ARTE commerce mula car e et Ane qualit 2 4 7 avec instrumentation sur 2 j du b ti qui ne repose sur rien de visuel Pair tions d nergie consommations pollutions externes h site mais sur la rigueur de la mise en uvre En clairage o Baisse de la consom 2 a Permet aux extravertis de se diff rencier SEE NS Canons lumi re on mation lectrique moins RE LE et aux introvertis de vivre volets ferm s naturel ii tures sur l ext rieur ou si en des usagers Ne i ar ae d clairage artificiel la lumi re du jour clairage insuffisant R duction de la pollution Reduction des impacts Economie de chauffage de l air pollen et de la Tres demand par les m nages cologistes 2 1 9 Puits canadien z li s la consommation Fonction de climatisa poussi re dans la ll permet d conomiser sur le chauffage en hiver d nergie de chauffage tion naturelle en t maison grace a un et de se passer de climatisation en t Confort d t systeme de filtre r duit Limitation de l inconfort Permet d viter RB F i i d t d aux surchauf Mise en valeur architecturale 2 1 10 Protections solaires l installation 134 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE d une climatisation fes et r gulatio
17. ou des stores int rieurs ou ext rieurs pour les baies Les protections solaires int rieures permettent de r guler la quantit de lumi re naturelle et l blouissement mais elles ne suffisent pas pour r duire les apports solaires d t LES PROTECTIONS SOLAIRES Les syst mes qui prot gent du rayonnement direct tout en laissant passer la lumi re naturelle r pondent aux exigences de confort thermique et visuel Il s agit par exemple des tag res lumi re tag res lumi re TREE 2 Ce sont des surfaces fixes plac es perpendi culairement et horizontalement le long de la fen tre qui permettent une protection directe du rayonnement solaire et un bon clairage naturel sur toute la profondeur de la pi ce Les tag res lumi re divisent la fen tre en deux parties permettant une vision au loin Par ailleurs la lumi re entre facilement par r flexion jusqu au fond de la pi ce Ces protections peuvent tre constitu es de diff rents mat riaux comme l aluminium ou le b ton par exemple mais leur face sup rieure doit tre claire Pour une meilleure int gration le choix doit se faire en fonction des mat riaux de fa ade as 8 Protection solaire t Etagere lumi re hiver Illustration 49 tag re lumi re Lyc e du Pic Saint Loup 34 Sch ma d apr s les Annales Esquisses vertes 2004 2005 ARENE PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE L
18. tre att nu e par le traitement de la toiture en surface v g tale Des mod les pr fabriqu s sont disponibles en Allemagne avec collecteur d eaux de pluie int gr s ou pouvant tre semi enterr s avec toitures v g talis es Int gration au volume b ti Dans le cas de lotissement classique avec maisons isol es le garage peut tre int gr au volume g n ral ce qui facilite les liaisons avec le logement Avantages m Volume tampon pouvant r duire les surfa ces donnant directement sur l ext rieur le taux de r duction des d perditions par cette partie d enveloppe tant limit 10 ou 20 entre le volume chauff et le volume non chauff du garage m Possibilit d inclure diff rentes fonctions directement ou en annexe si le volume est suffisant chaudi re buanderie et s chage du linge stockage du bois v lo mat riel de jardin etc Possibilit de continuit du front b ti en associant deux garages par sym trie ou en alternant logements et garages Points de vigilance Consid rer galement les nuisances li es la multiplication des mouvements de voiture l entr e des parcelles LOCAUX ANNEXES REZ DE CHAUSSEE PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION 2 4 Solutions collectives Le stationnement des v hicules en surfaces regroup es garages ou parkings collectifs l exterieur de la zone r sidentielle permet d affirmer le c
19. A B C Economie Patrimoine Modernit absence d ombrage sur les surfaces vitr es et occultations automatiques pour viter les surchauffes d t isolation ext rieure pour laisser murs et planchers servir au stockage thermique pour la nuit Commercialement avec l augmentation des co ts d nergie aidant la proposition d une r duction de moiti des d penses nerg tiques avec un surinvestissement qui peut varier de 0 a 15 doit pouvoir se r v ler porteuse Deux objections sont attendre Le style architectural peu conventionnel des b timents et maisons bioclimatiques r alis s est imp ratif que les architectes fassent preuve de talent pour sauvegarder dans de telles maisons assez de r f rents de classicisme Les m nages veulent sauvegarder leur intimit c t rue Toutes les facades nord ne peuvent pas tre sur rue Les facades nord sur rue devront tre travaill es pour marquer le standing de la maison E F Ecologie Sant Confort El B n fice majeur 1 ordre 50 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE B n fice secondaire 2 ordre L NERGIE SOLAIRE PASSIVE VOLET DESCRIPTIF Ce type de mur est aussi appel mur solaire composite Il s agit d un dispositif permettant des apports solaires passifs C est un mur capteur accumulateur qui comporte des orifices dans ses pa
20. Le vitrage peut tre constitu de polycarbonate double paroi destin aux serres commerciales C est un produit peu co teux et facile mettre en uvre 58 Action forte 1 ordre Pr server les ressources R duire les pollutions R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit 4 Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant E 88 Action secondaire 2 ordre L NERGIE SOLAIRE PASSIVE 49 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE 32 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MODE D EMPLOI DES FICHES MTD CONSTRUCTION de la MTD Volet Environnemental Le profil environnemental d finit l action de la MTD sur diff rents aspects environnementaux Exemple L nergie solaire passive permet d agir de mani re forte en orange sur la pr servation des ressources nerg tiques et la r duction des pollutions dans l air Son action sur l am lioration du confort et la sant est d ordre secondaire en violet Les autres th matiques ne sont pas des champs d action concern s par cette technique en blanc Volet co t global Approche conomique investissement entretien maintenance Co ts 2007 Volet Faisabilit et r f rences Aspect technico conomique Faisabilit en lle de France et r f rences MODE D EM
21. PARTIE 3 SC NARIOS NERG TIQUES 3 1 Caract ristiques g n rales des sc narios 141 3 2 Caract ristiques thermiques des sc narios 145 ANNEXES POUR EN SAVOIR PLUS 1 Informations par th matique 148 2 Informations caract re g n ral 156 3 Table des illustrations 160 SOMMAIRE 3 IN AVP IONS ADEME AFNOR AIMCC ARENE Cep Cerqual CESI 020 3 COS COV Cref CSTB DDASS DPE DV ECS EDF EPA FDES Fe GIE GIFAM H amp E HPE HygroB Agence de l Environnement et la Ma trise de l nergie Association Fran aise de Normalisation Association des Industries de Produits de Constructions Agence R gionale de l Environnement et des Nouvelles nergies en Ile de France Consommation conventionnelle d nergie primaire en kWh ep m an Filiale de l association QUALITEL labore et d livre des certifications qui garantissent la qualit des logements neufs Chauffe Eau Solaire Individuel Coefficient de Performance Coefficient d Occupation du Sol Compos s Organiques Volatils Consommation d nergie primaire du b timent de r f rence en kWh ep m Centre Scientifique et Technique du B timent Direction D partementale des Affaires Sanitaires et Sociales Diagnostic de Performance nerg tique depuis le 1 juillet 2007 Double Vitrage Eau Chaude Solaire lectricit de France Etablissement Public d Am nagement Fiches de D clarations Eenvironnementales et Sanitaires Facte
22. cifiques lectricit de la pompe Assurer la s paration absolue des deux r seaux Pour l utilisation de l eau pluviale il est indispensable d installer un r seau enti rement ind pendant du r seau d eau potable et identifiable de fa on non quivoque Le probl me est d assurer la continuit de l alimentation Lorsque la cuve de stockage est vide il faut faire appel l eau potable du r seau Cela peut se faire de deux fa on dif f rentes soit par remplissage de la cuve par de l eau du r seau soit par une lectrovanne permettant de commuter les deux r seaux Obligation de mise en uvre d une signa l tique claire et durable dont le but est l identification de chaque r seau et point d alimentation E Surveillance r guli re recommand e tat du filtre primaire Toitures bitumineuses ou v g talis es inadapt es n cessit d une toiture libre de pollution R CUP RATION DES EAUX DE PLUIE Conditions et limites d utilisation Dans les faits les usages pour lesquels l eau de pluie est utilis e sont l arrosage des espaces verts l alimentation des WC le nettoyage des sols et voiries et le lavage des v hicules Des installations con ues pour l alimentation des lave linges des lave vaisselles la fourniture d eau destin e la toilette la pr paration des aliments la cuisson et la boisson existent mais sont plut t rares m me si certains fabric
23. il convient de s attacher la construc tion elle m me et ses quipements techniques En effet et si on s int resse en particulier l aspect nerg tique les b timents repr sentent le 2 me secteur le plus consommateur d ner gie au niveau national Le logement met pour sa part environ 15 des gaz effet de serre Cet exemple souligne le r le que peut jouer la production de logements neufs dans l atteinte des objectifs environnementaux nationaux parall lement la r habilitation des logements anciens Pour r ussir dans cette d marche les diff rentes parties prenantes doivent disposer d outils pratiques et adapt s En particulier am nageurs et promoteurs doivent pouvoir accompagner mais galement devancer et d velopper la demande environnementale mergente dans le cadre d une offre structur e PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL C est pour contribuer cet objectif qu a t r alis le pr sent guide argumentaire qui aborde cette d marche selon trois axes distincts mais compl mentaires m Une approche l chelle de l op ration d am nagement avec des fiches d aide la conception environnementale Une approche b timent avec des fiches qui pr sentent les meilleures techniques disponibles en mati re de construction environnementale Une approche produit logement qui assemble les solutions techniques selon 4 sc narios d
24. m Les volets roulants battants ou coulissants ont l avantage d tre multifonctions ils pro tegent des surchauffes d t ils compl tent l isolation thermique n cessaire en saison froide sur la partie faible des ouvertures et 5 assurent une protection anti intrusion Les volets roulants sont actuellement tr s demand s par les m nages car ils sont aujourd hui motoris s 5 C D E F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort AAA SSS M B n fice majeur 1 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE B n fice secondaire 2 ordre LES PROTECTIONS SOLAIRES m 67 EQUIPEMENTS ENERGETIQUES VOLET DESCRIPTIF Ce systeme install dans les combles est compos d un ventilateur et d un changeur Il permet de limiter les pertes de chaleur inh rentes la ventilation il r cup re la chaleur de l air vici extrait de la maison et Putilise pour r chauffer l air neuf filtr venant de l ext rieur L changeur est situ entre le caisson d extraction et la sortie d air en toiture L air neuf est aspir de l ext rieur se r chauffe en croisant l air extrait de l int rieur de la maison par des bouches d extraction plac es en cuisine salle de bains et WC L air neuf ainsi plus chaud est ensuite puls par le ventilateur vers l int rieur des pi ces par des bouches d insufflation p
25. nart Lieusaint Cedex 77547 SAVIGNY LE TEMPLE T l 01 64 13 17 00 T l 01 64101515 Fax 01 64 88 34 12 Fax 01 641015 16 www senart com www epa senart fr Impression r alis e sur papier 100 recycl respectant la charte Imprim vert 2008 Design Xavier RIVAIN R alisation Teatime communication a ga Ns
26. nergie Pour le s chage du linge Pour les d placements de proximit exemple du v lo LOCAUX ANNEXES VOLET DESCRIPTIF Les foss s et les noues sont des ouvrages le plus souvent situ s le long des voiries et qui recueillent les eaux de ruissellement provenant des surfaces adjacentes ou dans certains cas emmen es par des conduites depuis les toitures L vacuation des eaux ainsi stock es s effectue par infiltration il est galement pos sible de vidanger les noues vers un exutoire Les foss s larges et profonds sont appel s des noues Avantages Les noues contribuent au paysagement et favorisent le d veloppement de la v g tation Elles r duisent les risques d inondation par tamponnement des pointes de ruissellement m Elles diminuent les d bits et les volumes d eau transmis au r seau classique d assainissement ce qui en all ge le fonctionnement et r duit les co ts d investissement et d exploitation NOUES VEGETALES Points de vigilance m L emprise fonci re des noues peut tre importante Leur entretien demande une attention comparable celui d un espace vert tonte arrosage m La pr vention des risques d accident est indispensable en p riode de remplissage Conditions et limites d utilisation Pour une noue simple aucun mat riau sp cifique n est n cessaire Si on y ajoute un massif drainant faut installer une canalisation gr s de pr f renc
27. pollution lors de la fabrication Energie naturelle propre et in puisable Evite rejet de CO dans l atmos phere limitation des polluants et r duction du KWh d nergie primaire Produit fini non polluant n entra ne aucune perturbation du milieu pas d mission de gaz a effet de serre Bois mat riau naturelle d origine et renouvelable Source d nergie renouvelable en partie consommation r duite d nergie primaire Source d nergie renouvelable en partie consommation r duite d nergie primaire R cup ration de la chaleur latente ce qui permet une r duction des besoins d nergie de chauffage tr s peu d mission de CO Consommation nulle d nergie pour le fonctionnement de cette ventilation Production d eau chaude sanitaire d origine renouvelable Diminution de la consommation d lec tricit R duction de la consommation d ner gie de chauffage R duction de la consommation d ner gie de chauffage R duction de la consommation d ner gie de chauffage Consommation de chauffage moins importante Tr s bon confort ther mique Difficile vendre car remplace de fa on invisible un quipement qui lui m me est invisible quipement tr s la mode tr s visible les panneaux sur le toit et rembours 50 par le cr dit d imp t quipement tr s litiste la mode et tr s visible Vendre l lectricit produite 0 45 kWh EDF et la rache
28. pr voir Cependant les nouvelles gammes de mat riels permettent de fonctionner m me lorsque l air ext rieur descend 15 C voire 20 C Le profil environnemental de a rothermie est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre VOLET CO T GLOBAL Avantages L installation et le montage sont faciles possibles quasiment en tous sites m Les avantages de l a rothermie sont l conomie de place en ce qui concerne le captage et le co t peu lev de ce syst me Points de vigilance Cependant existe des contraintes l a rothermie la temp rature ext rieure a une forte influence sur la performance de la pompe chaleur Pour une totale autonomie le syst me doit tre correctement dimen sionn R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant 96 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES 2 2 7 m L emplacement de l unit ext rieure doit tre pr vu la conception pour pr venir les probl mes D int gration architecturale De nuisances acoustiques Outre les performances thermiques l acous tique est un crit re important de s lection des mat riels Les diff rents postes du co t global I
29. vaporation Sa pression reste constante c est dire faible Le compresseur aspire ensuite le frigori g ne sous forme de gaz basse temp ra ture En comprimant le gaz sa temp rature va s lever en m me temps que sa pres sion la sortie du compresseur le fluide frigorig ne est un gaz haute pression et temp rature lev e Dans le condenseur le gaz chaud va trans mettre une partie de son nergie au fluide r chauffer eau du r seau de chauffage air int rieur dont la temp rature augmente Cet change de chaleur agit sur le gaz frigorig ne qui passe alors de l tat gazeux l tat liquide condensation et conserve sa pression 94 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES l entr e du d tendeur le fluide frigorig ne l tat liquide et toujours une pression le v e ll est alors d tendu c est dire qu il passe d une haute pression une pression basse Cette chute de pression abaisse la temp rature du frigorig ne A la sortie du d tendeur la temp rature du frigorig ne l tat liquide est alors inf rieure la temp rature de la source de r cup ration environ nement ext rieur Suivant le mat riel les PAC permettent de r cup rer l nergie thermique de trois sources diff rentes L eau nappe phr atique lac r serve d eau ou cours d eau NB l exploi
30. 1 1 E Sud SE SO gt Horizontal E O Nord 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Illustration 14 Irradiation solaire incidente sur diff rentes fa ades Source ATLAS SOLAIRE FRAN AIS Latitude 49 N 20 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION Mois consid r s Les protections solaires fixes de type auvent ou d bord de toiture sont galement plus efficaces en fa ade sud porche vitrage local porche vitrage local Effet d un auvent dimensionn pour le solstice d t Local identique orient l ouest pour un vitrage sud Position du soleil 16h30 solaire au solstice d t Position du soleil midi solaire pour les trois situa le soleil est dans l axe du local L avanc e de tions caract ristiques solstice d hiver quinoxes l auvent devrait tre trois fois plus prononc e pour solstice d t s opposer la p n tration du rayonnement solaire Illustration 15 Effet des protections solaires direct dans le local Photo Anne Claire SALIOU Illustration 16 Volets bois persienn s conjugu s une loggia en fa ade sud immeuble du quartier Vauban Fribourg Allemagne CONCEPTION BIOCLIMATIQUE 3 Aspects paysagers Pour le confort d t et de mi saison une attention particuli re doit tre accord e au traitement paysager les rev tements de sols aux abords du logement en facades enso leill es doivent viter la r flexion du r
31. 2 amp t fice client ET R F RENCES CO T SOCI TAL TB AA AAA conomie Patrimoine Modernit cologie Sant Confort 222 5 La technique de la ventilation naturelle assist e Sur le march francais la Ventilation M cani M S n rce Majeur 1 ordre M B n fice secondaire 2 ordre reste encore m connue en France que Contr l e VMC s est g n ralis e Le Groupement d Int r t conomique GIE Acthys bas Marne la Vall e 77 propose des solutions pour la ventilation naturelle Seules les maisons dont les volumes architec turaux int rieurs ne permettent pas le passage du r seau de gaines de la VMC sont R f rence encore con ues avec une ventilation naturelle Tr s peu courant quelques r f rences exp rimentales de ventilation naturelle La n cessit d conomiser de plus en plus assist e test en logement collectifs l nergie va plus dans le sens d un d veloppe OPAC Sud Deux S vres Niort ment de la r cup ration des calories de l air extrait donc vers un d veloppement des VMC double flux 76 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES VENTILATION NATURELLE VOLET DESCRIPTIF Le solaire thermique conna t principalement deux applications d taill es ci apr s Le Chauffe Eau Solaire Individuel CESI eau chaude sanitaire ou ECS Le Syst me Solaire Combin SSC ECS chauffage
32. Attribu e par les m nages E Elles sont tr s importantes dans le bilan nerg tique du b timent de grandes surfaces vitr es permettent des apports gratuits d nergie solaire passive mais il faut avec des occultations adapt es r duire les risques de surchauffes estivales pour assurer le meilleur confort thermique en t sans recourir la climatisation Cependant il faut garder l esprit que les chassis huisse B n fice client 5 C D E F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort PVC Aluminium Aluminium Bois Bois PVC El B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 2 ordre LES HUISSERIES VOLET DESCRIPTIF Valoriser l nergie solaire passive consiste b n ficier de l apport direct du rayonnement solaire sans apport d nergie ext rieure Pour qu un b timent b n ficie au mieux des rayons du soleil on doit tenir compte de l nergie solaire lors de la conception archi tecturale orientation vers le sud r partition et dimensionnement des surfaces vitr es fa ades doubles de type balcon vitr etc cf fiche 1 3 Conception Bioclimatique L isolation et l inertie thermique jouent un r le important pour optimiser la contribution des apports solaires au chauffage et l clairage d un b timent Ensoleillement Ensoleillement d hiver Illustration 38 Les apports solaires passifs en t et en hiver Dans une maison solaire pas
33. CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT LES PEINTURES COLOGIQUES solvants organiques de diverses origines produits p troliers white spirit toluene solvants chlor s trichlor thyl ne solvants oxyg n s ac tone alcools R glementation ll existe une directive europ enne entr e en application depuis le 1 01 01 et de nouvelles exigences sont apparues la directive europ enne 2004 42 CE du 21 avril 2004 a fix des seuils de teneurs maximales en COV pour les vernis et les peintures Ces seuils sont applicables depuis le 1 01 07 Une seconde tape est pr vue en 2010 Les Peintures labellis es En France il existe deux colabels officiels la Marque NF Environnement et l Ecolabel europ en Tous deux cr s par les pouvoirs publics ils ont comme objectifs de permettre aux consommateurs de reconnaitre les produits plus respectueux de l environnement mais galement d amener les producteurs am liorer la qualit cologique de leurs produits lls garantissent la fois l efficacit des produits et la limitation de leurs impacts sur l environne ment eau air d chets Energie Leurs exigences sont fix es apr s une analyse du cycle de vie des produits de l extraction des mati res premi res l limination ou au recyclage en passant par la production la distribution et l utilisation L colabellisation est une d marche volontaire mais stricte les produits doivent tr
34. Laine de Laine Lin en Granulats vrac panneau mouton de lin panneau de bois Le maitre d ouvrage doit pouvoir disposer des Valeur Lambda W m K 0 043 0 032 0 035 0 038 0 038 0 07 caract ristiques environnementales des pro duits provenant de diverses sources PAIMCC 2 Chanvre Laine de Ouate de 28 a MATERIAUX vrac chanvre cellulose Vermiculite Perlite le CSTB avis techniques base INIES Valeur Lambda W m K 0 04 0 045 0 035 0 05 0 05 et fiches FDES Illustration 77 Caract ristiques thermiques de diff rents mat riaux FAFNOR norme P01 010 comparatif Laine de verre Lambda 0 04 Le profil environnemental des isolants d origine v g tale est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant COC S E 66 Action forte 1 ordre Action secondaire 27 ordre 124 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT Sources documentaires ADEME Qualit environnementale des b timents Manuel l usage de la ma trise d ouvrage et des acteurs du b timent Avril 2002 ko test Eco log s la maison vivre K nemann 1998 Revue La Maison cologique ISOLANTS D ORIGINE V G TALE VOLET CO T GLOBAL Avantages Performances d isolation comparables celle de
35. Le CESI Chauffe Eau Solaire Individuel Le chauffe eau solaire se substitue aux cumulus ou chauffe eau lectriques et autres chauffe eau gaz pour permettre aux occu pants d un logement individuel ou collectif de couvrir une large part de leurs consommations d eau chaude sanitaire gr ce l nergie solaire Pour cela il recourt la conversion thermique du rayonnement solaire Le CESI se compose de capteurs solaires thermiques pos s en toiture d un syst me de circulation et de r gulation et d un ballon de stockage d eau chaude Ce syst me peut tre utilis ind pendamment du syst me de chauffage appoint par r sistance de lectri que ou avec le chauffage chaudi re servant d appoint Capteur solaire Sonde de temp rature Circuit primaire Circulateur Illustration 58 Principe de fonctionnement du chauffe eau solaire individuel l ments s par s avec chauffage d appoint Sch ma d apr s l ADEME PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LE SOLAIRE THERMIQUE Eau chaude sanitaire Chaudi re d appoint Va ND Arriv e d eau froide de stockage Le principe de fonctionnement du solaire thermique m Capter l nergie solaire l aide des capteurs g n ralement plac s sur le toit 1 Transporter la chaleur dans le circuit primaire tanche et calorifug 2 m Resti
36. Le stockage peut se faire l int rieur du puits puits creux ou en amont d un puits combl Dans le cas d un puits creux l introduction des eaux s effectue g n ralement au travers d une zone de d cantation avec raccordement sipho de pour retenir les d chets boues flottants LES PUITS D INFILTRATION m 111 LES PUITS D INFILTRATION L vacuation s effectue par infiltration l eau traverse alors une couche de sol non satur e ou par injection directe dans la zone satur e cette derni re tant d conseill e car les risques de contamination de la nappe sont lev s Regard de Coude fermeture visitable plongeant 1 1 2m Puisard de d cantation Compatibilit avec la zone de passage En pratique on essaiera d installer le puits dans la partie basse du terrain et une dis tance des habitations au moins gales la profondeur du puits On vitera galement la proximit des v g taux importants dont les racines pourraient nuire au puits Rehausse sous cadre ht 0 15 m Regard verrouillable pi tons voitures 0 30 m Terre v g tale ht variable Dalle r ductrice ht 0 15 m Echelons Cailloux grossiers Calcaires grave 20 80 El ments du puits B che perm able l eau g otextile non tiss avec un recouvrement de 30cm Couche filtrante sable de riviere cailloux grossiers remplacer p riodiquement 2m Puits d infil
37. PARTIE 2 FICHES THEMATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE PUITS CANADIEN LE PUITS CANADIEN IA VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d un puits canadien est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant O 0 0 5 Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre VOLET Point de vigilance VOLET FAISABI LIT CO T G LO BAL Difficult a nettoyer les tubes enterr s ET R F R E N C ES Les diff rents postes Avantages du co t global Pas d entreprise sp cialis e dans la r alisation Systeme peu co teux et efficace pour de puits canadien en Ile de France Investissement m r aliser des conomies d nergie ll est important de d crire pr cis ment les e Le terrassement constitue Une part impor un Facilit de mise en uvre A l ments constitutifs d un puits dans un a tante du co t Le co t va donc d pendre de a R duction de la pollution de l air pollen o descriptif travaux pour que l entrepreneur suive 1 SE l opportunit de travaux de terrassement ou de et la poussi re dans la maison gr ce un la lettre les recommandations de pose x ER la n cessit de r aliser ces travaux en
38. Puits d infiltration Toiture terrasse imperm able Taux d imperm abilisa tion plus faible v g taux absorbant le CO R duction des risques d inondation Limitation de l engorge ment des canalisations isolation thermique renforc e All gement du volume d eau transmis au r seau d o r duction des co ts d investisse ment et d exploitation Une signature tr s visible de l engagement cologique de la famille propri taire R serv aux cibles pilotes Les avantages techniques et fonctionnels sont difficiles vendre car le produit n est pas visible 2 3 4 2 4 1 R cup ration des eaux de pluie Interrupteur automatique de champ Limitation des probl mes d inondation Gains en consommation d eau nettoyage des locaux chasse d eau Neutralisation des champs lectriques et lectromagn tiques Fiert d utiliser l eau de pluie r cup r e Difficile vendre car la probl matique sant des champs lectromagn tiques reste tr s confidentielle XX XX 2 4 2 Mat riaux isolants d origine v g tale Fixation du carbone 136 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE Faible nergie grise du produit Limitation des risques d allergie Produits invisibles apr s la pose et encore trop souvent consid r s comme folkloriques XX LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD CAPACIT S DES TECHNIQUES R PONDRE
39. a usage multiple La conception et la localisation des locaux annexes jouent un r le important dans la modification des comportements environne mentaux Ces locaux peuvent tre situ s en continuit avec le logement d acc s direct ou l inverse plac s en continuit avec l espace public et assurer la transition public priv La premi re solution permet d utiliser les locaux annexes comme volumes tampons ventuel lement implant s au nord l inverse la deuxi me attitude pr vaut dans les coquartiers afin de conf rer une empreinte domestique l espace public lieu des d placements doux ventuellement des jeux d enfants etc Illustration 24 Locaux annexes participant la privatisation des espaces ext rieurs attenants au logement Quartier Vauban Fribourg Allemagne LOCAUX ANNEXES Photo Anne Claire SALIOU LOCAUX ANNEXES 3 Le stockage des d chets pour collecte s lective Le regroupement des aires de stockage des conteneurs d ordures m nag res par lot facilite et r duit les charges de collecte Les aires de stockage doivent tre implant es sur les trajets emprunt s quotidiennement par les pi tons elles peuvent tre ou non couvertes Les abris permettent de limiter les odeurs des bacs en t sous l action du rayonnement solaire ils doivent alors tre parfaitement a r s Des syst mes de compostage peuvent gale ment tre install s soit la parc
40. alisations par mois en individuel pour chacune des entreprises comp tentes La technique de pose est aujourd hui assimi l e et ne pr sente pas de probl mes R f rences m 30 000 m par an dans le logement indivi duel Laine de Roche 10 rr sur la tour Samsung Paris m Logements sociaux Fontenay sous bois pour LOGIREP en cours VOLET MARKETING CO T SOCI TAL L isolation par l ext rieur est une solution techniquement tr s sup rieure l isolation par l int rieur elle est tr s d velopp e en Allemagne et dans les pays nordiques mais reste marginale en France Trois objections sont courantes Le co t sup rieur celui d une isolation int rieure faut en r ponse montrer la diff rence de consommation nerg tique d un logement avec l une et l autre solution et d velopper les temps de retour sur investissement compte tenu de la hausse permanente des co ts d nergie L ISOLATION PAR L EXT RIEUR La fragilit et l aspect ext rieurs des murs par rapport un enduit min ral monocou che classique sur parpaing Les nouveaux enduits RPE rev tement plastique pais ont une apparence identique celle des monocouches et enduits traditionnels m La valorisation de l inertie thermique de la ma onnerie La ma onnerie fait masse ther mique et participe beaucoup par son inertie au confort du logement Le confort d t est galement sup r
41. c est une bonne facon d instaurer une convivialit de voisinage et d optimiser les co ts BD E F Ecologie Sant Confort A A a EI B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 2 ordre 88 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LE BOIS NERGIE VOLET DESCRIPTIF La surface du sol absorbe tous les jours l nergie solaire qu elle stocke sous forme de chaleur Nous disposons ainsi sous nos pieds d un norme r servoir thermique Accessible partout cette source de chaleur gratuite et in puisable est particulierement interessante notamment comme source froide pour des systemes thermodynamiques Comparativement l air ext rieur les couches superficielles du sol de 0 5 m quelques dizaines de m tres de profondeurs pr sentent les avantages suivants La temp rature du sol qui s tablit au dela de 2 3 m de profondeur 10 15 C soit la temp rature moyenne annuelle du site est nettement plus lev e que ext rieur en hiver 7 C en moyenne en Ile de France La temp rature est stable et fluctue peu contrairement la temp rature ext rieure L importance des travaux n cessaires la mise en uvre destine g n ralement la g othermie tr s basse nergie aux b timents neufs ou aux r novations importantes PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUE
42. collectifs des r seaux et des voiries L accessibilit aux services commerces coles poste services sociaux et culturels sportifs sant etc L volutivit et la flexibilit fonctionnelle des espaces Les aspects sociaux et culturels doivent galement tre int gr s toute analyse car certaines formes d habitat loign es des services peuvent contribuer au sentiment de rel gation Il faut bien s r aussi garder l esprit que le loge ment est une brique particuli re l int rieur d un ensemble plus vaste le quartier la commune ses quipements publics ses services de trans ports en commun qui forme le cadre des gestes quotidiens le r le des collectivit s est essentiel dans l image v cue par les m nages du quartier et de ses services VOLET DESCRIPTIF 1 Orientation des voies L organisation du plan masse et en particulier l orientation des rues et des espaces r serv s aux pi tons conditionne le confort et l enso leillement des rues lorsque les deux c t s de la rue sont construits Les r flexions doivent porter sur un r seau de voies tram es en cartant les trac s en boucles qui marquent l urbanisme moderne sous ses deux formes grands ensembles et lotisse ments pavillonnaires et portent l empreinte de l automobile appara t en effet souhaitable de mailler les voies sur le principe des villes pi tonnes afin de faciliter les d pl
43. de colmatage Des mesures de la capacit d absorption Les zones de d cantation seront cur es du sol en place r guli rement les dispositifs filtrants seront PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MA TRISE DE L EAU nettoy s dans la mesure du possible les surfaces drain es par les puits seront nettoy es par aspiration Au cas o la vocation premiere du puits serait d finitivement alt r e il reste la possibilit d un curage ou d un pompage du puits qui malheureusement ne permet pas la r cup ra tion du puits 100 suivant ses caract risti ques initiales En cas de pollution accidentelle s il n existe pas d ouvrages de stockage en amont du puits suivant l intervention consistera pom per la pollution l int rieur du puits en le vidant de ses mat riaux LES PUITS D INFILTRATION m 1 13 LES PUITS D INFILTRATION EE VOLET FAISABILIT VOLET MARKETING ET R F RENCES CO T SOCI TAL f P B n fice client Pour les entreprises est recommand de suivre scrupuleusement les indications 5 C D E F fournies dans le descriptif travaux pour la conomie Patrimoine Modernit cologie Sant Confort r alisation parfaite du puits d infiltration ESS Ainsi ntrepri ierent un savoir fair f ALS entreprises Action forte 1 ordre Action secondaire ordre suppl mentaire 114 m PARTIE 2 FI
44. de d finir le profil de l offre environnementale vis e par la promotion priv e Ces fiches s adressent aussi aux commer ciaux en charge de la vente de l op ration et les aident construire leur argumentaire et leur strat gie d approche du futur acqu reur Des tableaux de synth se donnent une vue d ensemble et pr cisent les capacit s des diff rentes techniques voluer PARTIE 3 4 SC NARIOS TYPES Ces sc narios de r f rence sont labor s selon une approche de gestion patrimoniale conomique et technique lls serviront de points d appui aux repr sentants de la promotion immobili re dans la d finition et l int gration de leur strat gie environnementale Chaque ma tre d ouvrage promoteur t moigne d un esprit propre l entreprise qui se traduit par l affichage de priorit s de choix techniques et de manage ment qui lui sont sp cifiques La souplesse des sc narios propos s facilite l adaptation aux diff rentes situations gr ce une palette de choix tendue et une formu lation ouverte sur plusieurs fili res techni ques POUR EN SAVOIR PLUS Cette annexe oriente le lecteur qui souhaite compl ter son information vers des sites internet choisis PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL l echelle de Pop ration les choix retenus en termes de densit nombre de logements l hectare de typologies de logements d orga
45. demment et les niveaux de performances nerg tiques envisageables HetE Cerqual HPE Label BBC Marque Effinergie nergie Activ House THPE gaz ou avec nergie renouvelable Classe C HPE Classe B Classe A Classe Illustration 82 Sc narios et performances nerg tiques envisageables Il ne s agit pas de labels mais d objectifs nerg tiques Afin d atteindre les valeurs de performances nerg tiques exig es par les differents niveaux r gle mentaires ou labels ces sc narios induisent des caract ristiques de parois de vitrage d isolation et de ventilation PARTIE 3 SCENARIOS ENERGETIQUES Le tableau suivant pr sente ces caract ristiques de mani re indicative ces caract ristiques devant faire l objet de validation par des m thodes de calculs plus fines Ce tableau permet toutefois d appr cier le degr d exigence vis vis de la RT 2005 U MURS U TOIT U SOL Type Type de ventilation W m2 K W m2 K W m2 K VITRAGES d isolation HPE 0 33 0 18 0 243 1 62 ITE Hygro r glable B THPE gaz 0 25 0 13 0 2 1 1 VMC2F ou EnR A PASSIVHAUS 0 12 0 12 0 12 0 75 ITE VMC2F Energie Pour r aliser l objectif d une production nerg tique sup rieure la consommation il faut une enve ACTIV HOUSE loppe tr s performante cal e a minima sur les labels Minergie Effinergie ou Passivnaus Illustration 83 Caract ristiques des sc
46. du bien vivre ensemble en projet Le hameau est situ deux pas du bourg pour viter le recours 8 la voiture Projet de 31 maisons Passivhaus sur la ZAC des Hauts de Feuilly Saint Priest 69 Le Groupe MCP Promotion a entrepris un projet exemplaire l chelle nationale en proposant des maisons de ville r pondant des performances quivalentes au label Passivhaus Afin d atteindre un objectif de 15 kWh m an maximum pour le chauffage et 25 kWh m an pour l ECS une m thode de conception globale a t mise en ceuvre en privil giant un travail d quipe d s l origine du projet Atelier Roche Ossabois TRIBU Cabinet Olivier Sidler Agence Didier Larue Sud Bastide amp Bondoux Medieco Trois principes sont retenus La r duction de tous les flux du b timent nergie gr ce une conception architectu rale adapt e et une isolation renforc e eau et mati res premi res Le d veloppement d une approche mat riaux fond e sur la mise en oeuvre de produits faible impact sur la sant et sur l environnement m L optimisation des conforts visuel acousti que d hiver et d t Les tr s faibles besoins de chauffage pr vus seront couverts par un syst me de r cup ration de chaleur sur l air extrait Un accompagnement p dago gique des futurs occupants est galement pr vu vivre dans un logement tr s faible consommation suppose une adaptation des comport
47. du quartier de Lille Moulins 59 vue ext et int de Pilot 57 maisons de ville sur 1 03 ha sur des parcelles de 5 30 m de large r servant un espace public de 3 400 m Projet de E Bouillot et T Donnadieu Source agence TGT SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS Photo SOLENER Photo SOLENER 3 Analyse morphologique et besoins de chauffage Deux param tres morphologiques principaux interviennent dans l estimation des besoins de chauffage La surface de d perditions thermiques par l enveloppe rapport e la surface habitable qui exprime le d velopp de fa ades et de toitures Se Sp m Le taux de vitrages sud qui exprime la capacit r duire les besoins par captation du rayonnement solaire Le second param tre apporte une correction de 5 10 dans les conditions actuelles d exigences d isolation du b ti et de perfor mances des vitrages Les carts de d velopp d enveloppe sont plus importants entre les cas extr mes La comparaison suivante est effectu e sur la base d un module de 50 m 6 25 mx 8 m l assemblage de deux modules formant soit un pavillon de plain pied 1 et 2 soit un logement en duplex R 1 3 et 4 toujours de 100 m il s agit d une surface hors uvre brute incluant les paisseurs des murs Six configurations sont tudi es le calcul des surfaces d enveloppe ext rieure s effectuant sur la base de s rie de 10 constructions en bande
48. efficacit nerg tique dans laquelle sera plac le b timent lors de son Diagnostic de Performances Energ tiques DPE D E F cologie Sant Confort B n fice secondaire 2 ordre CORRECTION DE LA PERM ABILIT A L AIR LES CANONS LUMIERE VOLET DESCRIPTIF Appel s spots solaires sunpipes canons lumi re puits de lumi re tubulaires ou encore tubes de lumi re passifs ou opaques ces syst mes ont tous pour objet de capter et d acheminer la plus grande partie du spectre visible de la lumi re naturelle l int rieur d un b timent pour maximiser l clairage naturel des locaux Les principes et technologies mis en uvre pour l ensemble de ces syst mes tant similaires nous nommerons l ensemble de ces technologies lampes solaires Les lampes solaires comportent un d me de protection auto nettoyant g n ralement positionn en toiture associ un r flecteur un tube d extension en aluminium recouvert d un film r fl chissant g n ralement en argent et un diffuseur qui comme son nom l indique a pour objet d assurer une diffusion homog ne de la lumi re dans une pi ce En fonction des contraintes rencontr es le syst me pourra comporter plusieurs coudes PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE Certains fournisseurs proposent diff rentes options compl mentaires comme une r gu lation lectrom canique comman
49. en modes condensation ou classique en fonction des utilisations et des conditions climatiques ext rieures R duire les nuisances Am liorer R duire les pollutions R duire nergie Mati re Eau Biodiversit Action forte 1 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action secondaire 272 ordre CHAUDI RE A CONDENSATION m 99 CHAUDIERE CONDENSATION VOLET CO T GLOBAL Avantages De 15 8 30 de gains nerg tiques 15 par rapport une chaudiere traditionnelle r cente m 30 par rapport aux anciennes installations Puissance minimale inf rieure la puissance requise par le syst me de chauffe m Vapeur d eau totalement r cup r e Temp rature stable Faibles contraintes lectriques et m caniques m Tr s peu d missions de CO r gime continu Points de vigilance m Co t d investissement plus lev qu une chaudi re traditionnelle Encombrante Les diff rents postes du co t global Investissement Compter environ 4000 pour une chaudiere ayant une gamme de puissance nominale de 6 26 kW Entretien maintenance faut veiller l vacuation des fum es comme sur toutes les chaudi res mais l encrassement des chaudi res condensation est moins imp
50. est capable de capter cette nergie thermique chaleur pour la transf rer un niveau de temp rature plus lev e l int rieur d un b timent dans le but de le chauffer Une PAC est compos e de 4 l ments principaux Un compresseur 1 m Deux changeurs l vaporateur 2 pour capter l nergie ext rieure et le condenseur 3 pour la restituer l int rieur m Un d tendeur thermostatique 4 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Vapeur Basse Pression Vapeur Haute Pression EXTERIEURS source froide INTERIEURS source chaude Liquide Basse Pression Liquide Haute Pression 1 Compresseur 2 Evaporateur 3 Condenseur 4 Detendeur thermostatique Illustration 66 Principe de la Pompe Chaleur Sch ma d apr s l AFPAC LA POMPE CHALEUR PAC m 93 LA POMPE CHALEUR PAC Ce systeme de PAC se compose d un circuit dans lequel circule un fluide frigorigene qui subit alors un cycle de transformation dit thermodynamique en quatre tapes m Dans l vaporateur le fluide ext rieur air ext rieur eau de la nappe ou eau de capteur g othermique transmet de l nergie sous forme de chaleur calories au fluide frigorig ne l tat liquide et une temp ra ture inf rieure En r cup rant cette nergie le frigorig ne va entrer en bullition et se transformer en gaz
51. et transmet par conduction la cha leur vers le local Au niveau de la lame d air int rieure une partie de cette nergie est chang e par convection avec l air et l autre partie est chang e par rayonnement avec la paroi isolante De cette nergie re ue par rayonnement une faible partie est transmise par conduction vers le local via la paroi isolante tandis que l autre partie est transf r e l air par convection Les changes par convection c t mur et c t isolant ont pour cons quence l l vation de temp rature de lair Celui ci devient plus l ger s l ve et un ph nom ne de thermocirculation appara t La quasi totalit de l nergie est transmise au local par l interm diaire de la lame d air PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE En emp chant la circulation de l air on stoppe imm diatement les apports Ceci permet d avoir un contr le permanent sur les apports et d viter les probl mes de surchauffe Les risques de surchauffe sont limit s dans le cas du mur solaire composite car les apports sont restitu s au local avec un temps de retard d au temps de travers e de la chaleur travers le mur stockeur Ce temps de traver s e est fonction de la nature de la paroi et de son paisseur 15 cm est un bon compromis efficacit d phasage Si l paisseur de la paroi est suffisante le maximum d apports par l interm dia
52. g tale est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 108 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU La v g talisation des toitures contribue prin cipalement la r tention des eaux pluviales et une diminution des volumes d eau pluviale traiter de l ordre de 30 en raison de l va poration plus importante et de l absorption de l eau par les plantes du tapis v g tal D autres avantages sont associ s aux toitures v g tales m La r duction du ph nom ne d lot de chaleur dans les ensembles urbains dominante min rale La protection climatique des locaux par l am lioration du confort d t protection contre le rayonnement solaire par le ph no m ne d vapotranspiration renforcement de l inertie ce qui permet des conomies d nergie La protection climatique des tanch it s limitant les amplitudes thermiques Le maintien de la qualit de l air par le d poussi rage des masses d air m Am lioration de l isolation acoustique bruit de la pluie avec un gain de 15 20 dB selon le CSTB R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant m Isolation thermique renforc e stabilisation de la temp rature des parois sous jace
53. le PVC a un bilan VOLET ENVIRONNEMENTAL n gatif sur le plan environnemental nergie grise intrins que sa fabrication mat riau difficilement recyclable Le PVC met des compos s organiques volatils n fastes pour la sant et en cas d incendie il g n re de l acide chlorhydri que corrosif et des dioxines extr mement toxiques dangereuses pour l Homme L aluminium Avantages L aluminium pr sente une bonne durabilit et une grande vari t de choix existe pour ce type d huisseries m Ce mat riau est l ger ininflammable et n met pas de poussieres Points de vigilance m Les huisseries en aluminium ont les moins bonnes performances en termes d isolation thermique tant en hiver qu en t malgr les syst mes rupture de pont thermique Le profil environnemental des huisseries bois est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit Action forte 1 ordre m L analyse du cycle de vie de l aluminium r vele un fort impact sur la consommation d eau et d nergie lors de la fabrication mais ce mat riau est facilement recyclable Combinaison bois et alu minium huisseries dites mixtes Avantages combin s du bois et de aluminium m La structure de la fen tre est en bois mais a l ext rieur elle est recouverte d aluminium laqu ce qui permet d obtenir la fois une bonne isolation et ne n cessite pas d entre t
54. mes les ouver tures doivent tre faites sur mesure par le menuisier sur chaque chantier m Mise en uvre plus compliqu e et plus ch re Nettoyage r gulier du vitrage ext rieur n cessaire Nettoyage r gulier du vitrage int rieur le vitrage du mur Trombe s encrasse cause de la circulation d air doit tre facilement d montable a B n fice client Les diff rents postes r 8 0 0 du co t global conomie Patrimoine Modernit cologie Sant Confort Investissement A Sur investissement li l enveloppe transparente M B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 2 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE MUR TROMBE 53 VOLET DESCRIPTIF D finition La perm abilit l air d un local ou d un b ti ment se caract rise par les infiltrations d air ext rieur Un grand nombre de ces infiltrations est 0 aux ouvertures autour des fen tres des portes et des prises de courant Mais certaines fuites d air sont plus difficilement rep rables par exemple les interstices autour des chemin es et des conduits amenant l air directement du sous sol vers l entre toit 1 CORRECTION DE LA PERMEABILITE A L AIR Les fuites d air sont la cause d une partie importante des pertes de chaleur d un b ti ment en dim
55. narios valeurs indicatives ITI Isolation thermique par l int rieur ITE VMC2F Ventilation m canique contr l e Isolation thermique par l exterieur degr de traitement des ponts thermiques double flux HygroB Ventilation avec boucles hygror glables en extraction d air vici et en entr e d air frais CARACT RISTIQUES THERMIQUES DES SC NARIOS m 145 CARACT RISTIQUES THERMIQUES DES SC NARIOS Cependant pour atteindre les niveaux de performances recherch s les coefficients d isolation et les paisseurs d isolants doivent tre ajust s en fonction du systeme nerg tique associ En effet les niveaux de performance attendus exprim s dans la r glementation en nergie primaire par metre carr de SHON incluent le chauffage la fourniture d eau chaude sanitaire ainsi que l nergie utilis e dans la VMC les auxiliaires de chauffage et l clairage Consommations unitaires La conversion en nergie primaire distingue les fossiles coefficient de 1 l lectricit coefficient de 2 58 et le solaire thermique coefficient O Le label BBC privil gie gale ment le bois en lui affectant un coefficient de conversion de 0 6 afin de tenir compte de la qualit d nergie renouvelable du com bustible est parfois difficile de comparer les consommations unitaires exig es par les diff rents labels ou r glementations europ ens Cible kWh m2 an Remarques Cr
56. partie qui suit d cline 5 fiches qui rel vent de l chelle de l op ration Ces fiches abor dent les th matiques suivantes m L ensoleillement qui contribue au confort des espaces ext rieurs selon l orientation des voies l implantation des construc tions devant apporter des l ments de r ponses selon les diff rents types de trac des voies Fiche 1 1 m La typologie des logements et la notion de densit permettant de limiter l talement urbain et d accro tre la performance nerg tique des constructions Fiche 1 2 m Les principes de l architecture bioclimatique et Porientation des fa ades propice la production du confort d t et d hiver qui doivent guider les choix morphologiques et conduire l organisation du plan masse Fiche 1 3 m La question des b tis annexes qui rend compte de l volution des pratiques et des modes de vie tout en contribuant la qualit environnementale g n rale de l op ration Fiche 1 4 m Les noues v g talis es qui contribuent au paysage favorisent le d veloppement de la v g tation et interviennent efficacement dans les gestions des eaux pluviales Fiche 1 5 NB cette dimension environnementale s ajoutent les deux dimensions conomiques et sociales du d veloppement durable non trait es dans le cadre de ce guide qui concernent E La r duction des co ts d am nagement et des charges d exploitation des espaces
57. pour un logement de 100m VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Technique de mesures mettre en uvre une fois le b timent achev Tests r alis s par des bureaux d tudes quip s du mat riel n cessaires B n fice client 5 C Economie Patrimoine Modernit E B n fice majeur 1 ordre 56 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE 2 1 7 VOLET MARKETING COUT SOCIETAL L tanch it lair d un logement est un facteur cl des conomies d nergie du confort de vie et du bon fonctionnement de la VMC donc de l vacuation des polluants des odeurs et de l humidit La perm abilit maximum est pr vue dans la RT 2005 soit 0 8 m h m pour les maisons individuelles et 1 2 m h m pour les appartements Une bonne tanch it est difficile valoriser commercialement car elle correspond une qualit globale de la mise en uvre mais sans mat rialisation objective de la prestation La v rification de l tanch it reste lourde mettre en uvre Dans l attente d un futur r f rentiel et d un label de qualit une infiltrom trie donnera lieu un proc s verbal PV de la part de l orga nisme de contr le Une bonne tanch it l air permet un gain de 3 8 points sur la consommation conventionnelle d nergie et aura donc une incidence sur la cat gorie d
58. rel ve d un grand nombre d enjeux environnemen taux Les typologies envisag es comprennent selon le degr de densit le pavillon isol les maisons jumel es les maisons de ville en R 1 ou en R 2 les duplex superpos s les immeubles collectifs De nombreuses formes d habitat interm diai res entre le pavillon et l immeuble collectif en barre ou en tour ont t d velopp es en Europe et dans le monde mais elles demeurent peu nombreuses en France On pourra s int resser en particulier aux typologies du collectif de type villa urbaine ventuellement sous forme pyramidale et de l individuel machiya du Japon classique 17 me au 20 si cle SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS 1 La r f rence historique a la maison de ville Le modele d habitation japonais de la machiya appara t comme soutenable encore aujourd hui en raison de ses caract ristiques particuli res Il s agit de maisons de ville structure originale comprenant divers jardins et cours qui assurent la continuit de l espace ouvert depuis l lot jusqu l espace naturel p riph rique L agencement en s rie des machiya dans l espace urbain induit une mani re d habiter collectivement dans la ville gr ce l quilibre maintenu entre l ind pendance du logement et la collectivit Deux raisons suppl mentaires font de la machiya un mod le d habitat soutenable m L uti
59. renouvellement d air grace a la r cup ration de chaleur sur l air extrait m de filtrer l air entrant m d atteindre une bonne performance acous tique vis a vis de l ext rieur en raison de l absence d entr es d air au niveau des huisseries La modulation des d bits apporte des gains nerg tiques compl mentaires Par la r duction des d perditions dues a la ventilation m Par la diminution des consommations lectri ques des ventilateurs dans les chambres en cas de mauvaise conception il s agit donc de calculer le d bit de soufflage en pr alable afin de dimensionner le diam tre de la gaine On cherchera atteindre des vitesses d air lt 2 5m s Les diff rents postes du co t global Investissement Le prix d une ventilation m canique contr l e de type double flux est compris en moyenne selon les caract ristiques techniques et selon les difficult s de pose entre 2 000 et 4 000 TTC B n fice client A 5 C Economie Patrimoine Modernit R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action secondaire 2 ordre Points de vigilance Moyenne Haut de gamme m D un point de vue conomique la VMC gamme double flux pr sente un temps de retour de Marque H lios Aldes Swegon l ordre de dix ans France Air Renson Les bouches d insufflation peuvent tre r
60. s La v g tation doit tre mise en terre le plus rapidement possible partir de plants pr sentant un d veloppement suffisant ce qui peut repr senter un investissement important Entretien maintenance Aucun entretien ou maintenance sp cifique n est n cessaire en dehors des protections solaires ext rieures en particulier si elles sont mobiles conomie de charges Principalement r alis es sur le poste chauf fage elles peuvent repr senter de 10 30 d conomie CONCEPTION BIOCLIMATIQUE VOLET DESCRIPTIF Le local attenant au logement est tradition nellement affect au stationnement d un ou de plusieurs v hicules et ventuellement aux quipements de lavage du linge lave linge seche linge Le temps accord aux activit s de loisir s tant accr consid rablement en quelques d cennies les besoins d espace d activit et de rangement salle de jeux local de bricolage stockage du mat riel de sport de jardinage ont peu peu empi t sur la place occup e par le v hicule Par ailleurs en raison de l importance croissante accord e aux questions environne mentales les fonctions des locaux annexes se sont largies est aujourd hui n cessaire de disposer d espaces destin s faciliter les ges tes quotidiens li s la gestion des ressources et qui concernent m Le tri des d chets et le stockage en vue de la collecte s lective L utilisation quotidienne du v lo
61. toitures neuves Surco t variable pour une toiture existante m Surco t ventuel pour un renforcement structurel du b timent D veloppement v g tal incertain pour les syst mes pr sem s m Systeme ne n cessitant th oriquement pas d entretien mais arrosage et fertilisation n cessaires en cas de s cheresse m La v g talisation d une toiture terrasse rend cet espace inaccessible aux usagers du b timent Seule une circulation r serv e l entretien est am nag e La r fection de l tanch it d une toiture peut tre l occasion d am liorer son aspect Les syst mes de r fection permettent de r utiliser le gravillon utilis pour la protection de l existant Co t ou surinvestissement Dans le cas d une toiture pour un b timent neuf un comparatif doit tre tabli entre la solution v g talis e et une solution de r f rence Le prix des produits pour une v g tation extensive de toiture d pend essentiellement m Du syst me toit plat ou inclin avec tapis pr cultiv s ou avec semis sur place De la surface LES TOITURES V G TALES Le co t du systeme complet comprend le matelas de drainage le substrat min ral et la v g tation hors tanch it et structure porteuse Le co t de la mise en ceuvre d pend m Du systeme De la surface m De la complication forme du toit coupoles bandes de gravier autres obstacles m De l accessibilit
62. variable et a priori inf rieure celle des modules Leur co t est important environ 1 000 HT kWe fourniture pose conomie de charges La production d lectricit via une installation solaire photovoltaique connect e au r seau permet la revente totale EDF des kWh produits sur place Le taux actuel de rachat est de 55 cts d si l installation assure deux fonctions distinctes production d lectricit et tanch it par exemple Les conomies r alis es sont donc fonction de la production lectrique VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Fournisseurs nationaux Potentiel de mise en uvre r el R f rence La puissance install e en lle de France est gale 175 kW dont 51 kW reli au r seau et 122 kW hors r seau Sur ces 122 kW hors r seau on compte 5 500 horodateurs 20 de la capacit install e concerne les particuliers majoritairement non raccord s au r seau VOLET MARKETING CO T SOCI TAL R aliser une installation solaire photovoltaique pose l identit du propri taire civisme colo gisme modernisme Une maison a tr s haute isolation thermique quip e d une toiture photovoltaique de 20 ou 30 m pr sente un bilan nerg tique positif Le fait de devoir revendre l lectricit produite EDF et devoir racheter l lectricit consomm e pr sente deux avantages consid rables Le kWh est achet au quadruple de son prix de revent
63. www observ er org Outils de calcul gratuit GEAA GR www ines solaire com outils htm passif SYNDICATS PROFESSIONNELS SNFPSA Syndicat National de la Fermeture de la Protection Solaire et des Professions Associ e www snipsa ffoatiment fr Publication du guide de la protection solaire 2 1 10 Protections solaires FFB F d ration Fran aise du B timent fermetures et stores www ffb fr SNFA Syndicat National de la construction des fen tres facades et activit s associ es www snfa fr FICHES TECHNIQUES Guide ADEME grand public ventilation http www ademe fr particuliers Fiches pdf ventilation pdf SYNDICATS PROFESSIONNELS Xpair site portail du g nie climatique 2 2 1 Ventilation double flux Ventilation www xpair com UCF Union climatique de France www ucf fr FICHES TECHNIQUES 2 2 2 Ventilation naturelle Guide ADEME grand public ventilation http www ademe fr particuliers Fiches pdf ventilation pdf 150 m ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE INFORMATIONS PAR TH MATIQUE N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus FICHES TECHNIQUES Fiches ARENE sur l nergie solaire http www areneidf org Energies solaire html ORGANISMES Association Qualit nergies Renouvelables www qualit enr org Association professionnelle de l nergie solaire ENERPLAN 2 2 3 Le solaire thermique www enerplan asso fr CLER Comit de Liaison Energies Renouvelables www cler org Observ ER
64. y Exterieur I Illustration 42 Schema d une fausse porte Schema d apres le CETE Cette technique consiste a mettre les locaux en d pression ou en surpression l aide d une fausse porte dans laquelle est ins r un ventilateur et de rep rer les zones o l air aspir par la d pression s infiltre au travers de l enveloppe Puis on mesure le d bit d air n cessaire pour maintenir la diff rence de pression constante entre l ext rieur et l int rieur du local PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE 2 1 7 Ce d bit d air correspond au volume d air qui s chappe par les fuites de l enveloppe du b timent La visualisation des infiltrations peut se faire de 3 mani res Par thermographie infrarouge avec visualisa tion des endroits qui ont t refroidis par le passage de l air provenant de l ext rieur Par an mome tre qui d tecte le d placement de l air l endroit de l infiltration m Par une fum e artificielle qui s infiltre aux endroits perm ables Ces techniques de visualisation permettent d assurer une bonne tanch it pr cis ment aux endroits d faillants O Photo SOLENER Vue ext rieure Vue int rieure Illustration 43 Porte soufflante Blower door CORRECTION DE LA PERMEABILITE A L AIR m 55 CORRECTION DE LA PERMEABILITE A L AIR VOLET ENVIRONNEMENTAL Le p
65. 0 Kit basique avec 1 coude de 45 Extension standard 610 mm Coude de 30 Coude de 45 Surface clair e m Les diff rents postes du co t global Investissement Le co t d pend du diam tre du puits de lumi re celui ci d pendant de la surface clairer Le tableau ci dessous pr sente des exemples de tarifs HT provenant des principaux fabricants de lampes solaires prix public ne comprenant pas la pose 230 300 450 530 380 550 720 1000 400 590 780 1070 55 70 100 120 60 80 120 140 90 120 180 200 9 14 22 40 Illustration 46 Puits lumi re co t de diff rents l ments LES CANONS LUMIERE Entretien maintenance Les fournisseurs affirment que leurs syst mes ne n cessitent pas d entretien systeme autonettoyant Toutefois un contr le annuel semble souhaita ble afin de v rifier l tat de l tanch it et l tat du globe tat g n ral occultations par des d jections d oiseaux conomie de charges Les conomies portent sur les consommations lectriques En effet l utilisation d une lampe solaire limite le recours l clairage artificiel PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE VOLET FAISABILIT ET R F RENCES R f rences Peu de r f rences en France il existe des cas pour les b timents administratifs ou tablissement scolaires LES CANONS LUMIERE m 59 LES CANO
66. 1 1 a h en un seul produit i am liore le confort Donne une image de qualit l ensemble de la brique Monomur en doublissimo Seh de la consommation de d t d 80 13 mm de pl tre moins de d c ets chauffage t pas e construction Plus grande durabilit d gagement toxique Isolation Isolation par l ext rieur Isolation p riph rique x Aas N le Technique inhabituelle pour les menages SICMAVADSSS par l int rieur TES HSE ces impacts 10211 ctes censo AU 91 cu conton francais I n y a pas l aspect min ral de l enduit 212 lies la consommation mations par r duction d t par 20ICMmAUE0 215 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE en doublissimo 80 13 mm de pl tre monocouche Il faudra argumenter sur les perfor augmentation de l inertie 9 mances en isolation d nergie de chauffage des ponts thermiques LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD m 133 LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD SS D signation de la de la y Techniques Incidence Incidence en terme Incidence en terme deu gt Investissement Lot concern A meilleure technique 7 A ne h z Visibilit commerciale a fiche disponible classiques environnementale d co gestion de confort sant sur la dur e de vie F p aa fort ra Reduction des impacts Moins de d perditions 1 on cies Tous les logements sont livr s avec double Double vit
67. 109 LES TOITURES V G TALES VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Les fournisseurs r alisent eux m mes la pose de la couverture v g talis e Peu de r f rences en lle de France pour le logement individuel De plus en plus de cas pour les b timents publics administratifs ou tablissements scolaires MARKETING CO T SOCI TAL L int r t principal des toitures v g talis es est collectif El ment permettant de ma triser les eaux pluviales m Facteur d int gration d une urbanisation dans un site sensible Au niveau de l int r t individuel l avantage principal est sensoriel m Confort d t inertie sans recours la climatisation Confort acoustique dans les zones bruyantes m Confort existentiel sensation d tre prot g par du massif B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit EI B n fice majeur 1 ordre 110 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU Les objections sur le prix d une toiture v g talis e sur son entretien sur sa p rennit ou sur son caract re inhabituel risquent d tre nombreuses Cette offre doit tre limit e aux sites sensibles ou aux m nages fortement cibl s cologis tes pour lesquels cette prestation signera tr s visiblement les convictions D E F cologie Sant Confort B n fice secondaire 2 ordre LES TOITURES V G TALES
68. 161 Tous les droits sont r serv s La reproduction des textes photographies et sch mas n est permise qu avec l accord crit des organismes partenaires Design Xavier Rivain Realisation teatime orange fr Impression www lempreintegraphique fr Imprime sur papier 100 recycle respectant la charte Imprim vert o Achev d imprimer en Avril 2008 sur offset presse feuille 8 Emerainville 77 Imprim en France D p t legal Avril 2008 N d impression 0408 2451 1C 1509 Ile de France ARENE 94 bis avenue de Suffren 75015 Paris T l 01 53 85 61 75 Fax 01 40 65 90 41 www areneidf org POUR LA PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL La production de logements neufs dans nos villes ne peut plus se concevoir sans prendre en compte les enjeux de pr servation de l environ nement et d conomie de ressources qu elles soient nerg tiques ou mat rielles Le temps d am liorations progressives jug es suffisantes en terme de qualit environnementale de l habitat est r volu Il convient dor navant de mettre en uvre des strat gies ambitieuses qui visent explicitement la r duction de nos missions de gaz effet de serre d un facteur 4 d ici l an 2050 L objectif est clair construire des logements faible consommation nerg tique avec l ambition de r aliser de plus en plus de b timents passifs et nergie positive Ce guide propose donc
69. 55 INFORMATIONS CARACTERE GENERAL d appr hender les aspects environnementaux d une op ration urbaine et ou de construction Plusieurs associations et unions professionnelles sont galement pr sent es notamment celles localis es en r gion lle de France Apog e p rig e Association de gestionnaire d immeuble La liste suivante pr sente de mani re non exhaustive diff rents organismes bureaux de contr le centres d tudes et agences qui informent des objectifs des techniques et des outils permettant www apogee perigee com AQC Agence Qualit Construction www qualiteconstruction com statut associatif loi 1901 ARCHINOV Groupe Environnement Sant www archinov com ARENE lle de France Ambiance et B timent Agence R gionale de l Environne ment et des Nouvelles nergies d Ile de France www areneidf org AAA Expertise Audit Analyse Arbitrage www aaa expertises com Acad mie d Architecture www archi fr AA Association 4D Dossiers et D bats pour le D veloppement Durable www asociation4d org ACERMI Association pour la Certification des Mat riaux Isolants www acermi cstb fr Association HQE www assohqe org ADEME Agence de Environnement et de la Ma trise de l Energie www ademe fr Association internationale de collecte de l eau de pluie LIRCSA International Rainwater Catchment Systems Association AFIE Associatio
70. A CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LES PROTECTIONS SOLAIRES m 65 LES PROTECTIONS SOLAIRES 2 Brise soleil Brise soleil a lames 5 Zi lls peuvent consister en des l ments horizontaux ou verticaux fixes ou orientables plac s horizontales f a au dessus ou dans la partie haute de la fen tre Les brise soleil horizontaux l instar des d bords de toitures sont surtout efficaces en orientation sud puisqu ils permettent de stopper Etag re les rayons solaires d t tout en laissant passer les rayons solaires d hiver qui sont plus bas lumi re En orientation est ou ouest des brise soleil verticaux sont pr f rables Illustration 50 tag re lumi re Lyc e de Caudry Calais 59 Source R f rence Lyc e de Caudry Architectes QUATR A Architectes associ es X Bouffard JL Leclercq Stores SCREEN La d nomination SCREEN a t donn e des toiles dont le tissage est perc Les rayons solaires sont ainsi att nu s mais les toiles laissent passer l air et une lumi re douce filtre dans les pi ces Les stores se posent l ext rieur Ils prot gent contre les surchauffes l int rieur et contre l blouissement tout en assurant une bonne visibilit sur l ext rieur Le tissu est r alis en fibres de verre enrob es de PVC Stores int gr s au double vitrage Ce sont des stores de toile ou lamelles fixes ou orientables plac s entre les v
71. CHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU LES PUITS D INFILTRATION VOLET DESCRIPTIF L eau de pluie est drain e par la couverture du toit vers les goutti res Les eaux sales sont vacu es vers le tout l gout L eau propre elle est trait e par divers proc d s de filtration puis stock s dans une cuve en b ton La qualit sanitaire de l eau de pluie est garantie par Une pr filtration avant la cuve vitant la pr sence de mati res organiques dans celle ci L utilisation d une cuve enterr e assurant une temp rature faible et constante toute l ann e de l ordre de 10 12 C bloquant le d veloppement biologique L usage d une cuve en b ton permet de neutraliser le pH de l eau de pluie l g rement acide et ainsi de la r quilibrer L gende 1 Surface de collecte 8 Cr pine tuyauterie d aspiration 2 Descente d eau pluviale 9 Fourreau 3 Filtre primaire 10 Commande de l installation 4 R servoir 11 Station de pompage 5 Capteur de niveau 12 R seau de distribution 6 Anti remous 13 Appoint eau potable 7 Trop plein anti odeurs 14 Branchement l gout 15 gout R CUP RATION DES EAUX DE PLUIE 28 4 Illustration 76 Sch ma d une installation de r cup ration des eaux pluviales Schema d apres Architecture Ecologique d Le Moniteur Source entreprise Wisy PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCT
72. D SO VOLET DESCRIPTIF Le tableau suivant pr sente de mani re synth tique les 25 fiches th matiques concernant la construction Pour chacune de ces Meilleures Techniques Disponibles sont La visibilit commerciale de son utilisation L investissement sur la dur e de vie du composant c est dire le temps de retour L incidence conomique de chacune de ces techniques est pr sent e de fa on sch matique selon le codage suivant de l investissement pour l emploi de cette l kk KKK presentes technique investissement investissement investissement investissement non r cup r int gralement r cup r au moins r cup r au moins m Les techniques classiques utilis es dans la r cup r int gralement sur la dur e de vie deux fois sur la dur e de trois fois sur la dur amp e de du composant vie du composant vie du composant construction 65 incidences de la technique propos e sur le plan environnemental en terme d amp co gestion ainsi qu en terme de confort et de sant N de la Designation qeta Techniques Incidence Incidence en terme Incidence en terme Investissement Lot concern meilleure technique gt R 55 y Visibilit commerciale gt fiche disponible classiques environnementale d co gestion de confort sant sur la dur e de vie Structure porteuse a Mat riau r gulateur Ea mn et isolation ne d hygrom trie Maintenant tres demand par les m nages 2
73. EQUIPEMENTS NERG TIQUES LE BOIS NERGIE LE BOIS NERGIE VOLET CO T GLOBAL i Puissance maximale Co t d installation Contae TYPE DE CHAUFFAGE Rendement Autonomie en kW en HT fonctionnement moyen en cts HT kWh Chemin e a foyer ouvert lt 25 1a3h 1 200 gt 10 Po le a b ches 40 70 5a10h 2 000 4 Insert foyer ferm 30 70 10 12h 2 000 4 5 Po le haut rendement 60 70 10 20h 10 3 500 3 Chaudi re b ches 55 75 lt 20h 10 20 3 500 3 Chaudi re 8 plaquettes ou granul s 75 890 Plusieurs mois lt 100 lt 20 000 2 5 Illustration 64 Co ts compar s de diff rents quipements de chauffage pour les particuliers installation et fonctionnement Source ADEME Pour m moire 2006 conomie de charges Convecteurs lectriques Les conomies de charge sont fonction 11 3 cts HT KWh du combustible de base Si le bois vient m Chaudi re fioul 6 8 cts HT KWh 2 pp Ini Wie chaudiere au Toul l conomie engendr e par kWh peut Propane 10 2 cts HT kWh atteindre 4 E Entretien maintenance Le nettoyage et le r glage p riodique des organes de chauffe ainsi que des conduits de fum es assurent performance et s curit de fonctionnement PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LE BOIS ENERGIE m 87 LE BOIS NERGIE VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Nombreux fournisseurs nationaux de po l
74. IE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MA TRISE DE L EAU R CUP RATION DES EAUX DE PLUIE A noter Des kits d installation pour les maisons indivi duelles commencent tre propos s par les soci t s sp cialis es VOLET MARKETING CO T SOCI TAL L int r t des m nages pour les installations de r cup ration des eaux de pluie correspond leur forte sensibilit au risque cologique du manque d eau douce Dans une r cente tude aupr s des acqu reurs de maisons individuelles ce risque tait class en 1 devant l effet de serre et l puisement des nergies fossiles 18 des m nages estimaient leur maison cologique simplement parce qu elle allait tre quip e d un r cup rateur d eau de pluie tude Vivr lec 2005 B n fice client 5 C Economie Patrimoine Modernit E B n fice majeur 1 ordre Cette sensibilit des m nages qui d passe la rationalit conomique est li e la valeur socioculturelle de l eau source de toute vie qui ne se g che pas m L argument financier conomiser le prix de l eau ne sera que secondaire et surtout utilis comme mobile La motivation essentielle sera la tranquillit d esprit le fait de pouvoir arroser son jardin utiliser ses WC ou laver son linge sans avoir l impression de gaspiller une ressource essentielle l humanit conomiser l eau est le premier geste vert pe
75. ION MAITRISE DE L EAU noter L eau de pluie a l avantage d tre non cal Caire il n y a donc aucun risque d entartrage des appareils m nagers et de la tuyauterie La plupart des syst mes sont con us de la fa on suivante un collecteur reli la descente d eau pluviale d une toiture dessert apr s filtration une citerne de stockage L eau de pluie contenue dans la citerne alimente un r seau de distribution via une station de pompage comprenant un r servoir tampon Un ou plusieurs filtres secondaires sont par fois install s en aval du ballon tampon s agit le plus souvent de filtres au charbon actif de gaines en nylon ou de cartouches en c ramique L eau ainsi filtr e alimente les diff rents points de puisage Certaines installations sont quip es en plus d un bac de d cantation positionn entre le collecteur d eau pluviale et la citerne de stockage Une r gulation assure l alimentation automa tique de la citerne par le r seau d eau de ville lorsque le niveau de l eau est trop bas RECUPERATION DES EAUX DE PLUIE m 115 RECUPERATION DES EAUX DE PLUIE VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une installation de r cup ration des eaux de pluie est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant
76. LA REGLEMENTATION ET AUX LABELS NERG TIQUES Le tableau suivant pr sente pour chaque une des fiches MTD leur capacit a voluer et a r pondre aux objectifs des differents labels nerg tiques Ainsi apres avoir d finit la maturit de la technique du proc d et ou du composant ce tableau d finit leur capacit atteindre les niveaux de performance de quatre sc narios la r glementation thermique 2005 le label H amp E l objectif de basse consom mation labels de haute performance et la maison passive et ou nergie positive Ces sc narios sont repris et d velopp s dans la derni re partie du guide Lot concern Isolation nergie passive Perm abilit l air clairage naturel Confort d t D signation de la Maturit technique site gains importants oui mais correction forte du pont thermique N de la A en Basse consommation A F ta a Maisons passives nergie positive fiche meilleure technique Applicabilit 8 court RT 2005 HetE 50 kWh chauffage ECS pa gie p disponible terme oui mais surmonter les 2 11 SEU repare en probl matiques surco ts oui oui oui oui brique Monomur 1 et capacit entreprise Isolation par l ext rieur 212 SICMAUEI0S885 oui oui compl ment d isolation n cessaire non en l tat actuel de la technique 2 110018 811 1 2416 Double vitrage Re oui en passe de devenir 1 non remplissage y
77. LLE DE L OP RATION VOLET FAISABILIT ET R F RENCES m Pas d entreprises sp cialis es recens es en lle de France m Quelques r alisations sur des projets de moyenne importance Possibilit d am nager des noues pour des ensembles de logements individuels NOUES V G TALES Cette partie d cline 25 fiches pr sentant les Meilleures Techniques Disponibles en mati re de construction et d quipements Ces fiches sont regroup es en 4 p les environnementaux conception bioclimatique de l enveloppe quipements nerg tiques m ma trise de l eau m mat riaux et sant En conclusion de cette partie une premi re s rie de tableaux de synth se reprend les caract ristiques et les incidences de ces techniques sur les plans environnementaux conomiques et commerciaux Une seconde s rie de tableaux pr cise les capacit s des diff rentes techniques voluer en particulier pour r pondre aux exigences des diff rents labels nerg tiques a FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION Chaque fiche se compose de plusieurs rubriques ou volets m Le volet descriptif donne des informations pratiques sur les solutions techniques m Le volet environnemental pr sente les actions de la technique expos e sur diff rents aspects environnementaux pr servation des ressources en nergie mati re r duction des pollutions dans Pair dans l eau am lioration du confort et
78. Les diff rents postes du co t global Investissement Limiteur de pression 45 A rateurs autor gul s mousseurs 10 Douchette Venturi 35 D tecteurs de fuites d eau 150 Chasse d eau conome 170 d conomie de l eau Entretien maintenance Les proc d s pr sent s ne demandent que peu d entretien peut y avoir des probl mes au niveau de l entartrage des quipements conomie de charges Chaque litre conomis avec ces syst mes est directement r percut sur la facture globale du poste eau MA TRISER LES CONSOMMATIONS D EAU VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Aspect comportemental Pour r duire la consommation de l eau il faut sensibiliser informer et pr venir les consom mateurs des risques li s une trop forte utilisation de l eau VOLET MARKETING CO T SOCI TAL L eau est un l ment dont la valeur symbole est tr s forte tr s au dessus de son co t conomique encore relativement bas pour le consommateur On ne gaspille pas ce qui est la source de toute vie on ne gaspille pas ce qui manque tant d autres populations B n fice client 5 C Economie Patrimoine Modernit MAITRISER LES CONSOMMATIONS D EAU A la question En quoi votre logement pourrait tre plus cologique une majorit de m nages r pondent En conomisant l eau et en r cup rant l eau de pluie Cet item appara t devant celui des conom
79. NS LUMIERE VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Ces quipements restent co teux plus value de l ordre de 1 500 2 000 par unit sur une maison Ils ne sont cependant pas du domaine du gadget car ils apportent une luminosit naturelle importante dans les parties centrales d une maison et peuvent requalifier une piece borgne en v ritable piece 8 vivre par exemple une salle de bains Ces quipements peuvent aussi permettre de vivre volets ferm s tout en b n ficiant d une lumi re naturelle avantage de l enfermement maximum en restant en syst me ouvert sur le naturel B n fice client Il ne faut pas chercher argumenter sur les conomies d Eclairage r alis es Par contre un tel quipement peut donner une maison une forte valeur d image de luxe et de sophistication associ e a une l gitimit cologique un propri taire qui fait attention a ne pas gaspiller l nergie Les quipements qui cumulent ainsi des valeurs de diff rencia tion sociale et d assimilation soci tale ne sont pas si nombreux A B C D F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort ESE EI B n fice Majeur 1 ordre B n fice secondaire 2 ordre 60 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LES CANONS LUMIERE LE PUITS CANADIEN IA VOLET DESCRIPTIF Le r le du puits canadien ou puits provencal Ce systeme pe
80. ON MAITRISE DE L EAU VOLET DESCRIPTIF Malgr l omnipr sence de l eau sur Terre et son caract re vital pour l homme les besoins humains en eau se sont accrus exag r ment avec des cons quences n fastes et peut tre irr parables sur le cycle de l eau Il est aujourd hui indispensable de r agir et de mettre en uvre des solutions qui permet tront de maintenir la qualit et la quantit des ressources Bains douches 39 6 Domestiques divers amp MAITRISER LES CONSOMMATIONS D EAU SA Les consommations domestiques d eau en France Dans sa vie quotidienne un Francais consomme en moyenne 137 litres d eau par jour Cependant ce chiffre varie sensiblement selon la r gion le climat l habitat et le mode de vie des habitants On estime 8 150 000 litres la consommation moyenne d un foyer de 4 personnes avec galement des variations selon l habitat le climat le revenu et l ge des personnes au sein du foyer Usage alimentaire 7 Vaisselle 10 Linge 12 Lavage automobile Arrosage du jardin 6 Sanitaires 20 Illustration 68 R partition des consommations d eau par usage PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MA TRISE DE L EAU Le graphique ci contre pr sente la r partition moyenne selon les multiples usages domesti ques de l eau potable Le lavage automobile l arrosage du jardin et les usages sanitaires peuvent tre potent
81. Organisme d information sur les nergies renouvelables www observ er org Outils Solaires Information sur l nergie solaire www outilssolaires com QUALISOL Charte de qualit des installateurs de solaire thermique www qualisol org FICHES TECHNIQUES Fiches ARENE sur l nergie solaire Solaire http www areneidf org nergies solaire html ORGANISMES Association Qualit nergies Renouvelables www qualit enr org 5 2 4 Le solaire photovoltaique Association professionnelle de l energie solaire ENERPLAN www enerplan asso fr CLER Comit de Liaison nergies Renouvelables www cler org Observ ER Organisme d information sur les nergies renouvelables www observ er org Outils Solaires Information sur l nergie solaire www outilssolaires com ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE m 151 INFORMATIONS PAR TH MATIQUE N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus FICHES TECHNIQUES Fiches ARENE sur la filiere bois nergie http www areneidf org Energies bois html ORGANISMES Association Qualit nergies Renouvelables www qualit enr org ATEE Association Technique nergie Environnement Bois nergie 2 2 5 Le bois nergie www atee fr Charte flamme verte lien vers les produits signataires www flammeverte org CLER Comit de Liaison Energies Renouvelables www cler org ITEBE Institut Technique Europ en du Bois Energie www itebe org Observ ER Organi
82. PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION 2 Mode d emploi des fiches MTD construction 2 1 Conception bioclimatique de l enveloppe 2 1 1 L isolation r partie 2 1 2 L isolation par l ext rieur 2 1 3 Les vitrages 2 14 Les huisseries 2 1 5 L nergie solaire passive 2 1 6 Le mur trombe 2 1 7 Correction de la perm abilit l air PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL 11 19 23 29 32 37 41 45 47 49 51 2 1 8 2 1 9 2 2 2 2 1 2 2 2 2 2 3 2 2 4 2 2 5 2 2 6 2 2 7 2 2 8 2 3 2 3 1 2 3 2 2 3 3 2 3 4 2 4 2 4 1 2 4 2 2 4 3 Les canons lumi re Le puits canadien 2 1 10 Les protections solaires quipements nergetiques Ventilation double flux Ventilation naturelle Le solaire thermique Le solaire photovoltaique Le bois nergie La g othermie basse temp rature A rothermie Chaudi re a condensation Maitrise de l eau Maitriser les consommations d eau Les toitures v g tales Les puits d infiltration R cup ration des eaux de pluie Mat riaux sant Interrupteur automatique de champ Isolants d origine v g tale Les peintures cologiques 57 61 65 71 73 77 81 85 95 99 103 107 111 115 121 123 127 2 5 Synth se 2 5 1 Les meilleures techniques disponibles mta 133 2 5 2 Capacit s des techniques r pondre la r glementation et aux labels nerg tiques 137
83. PLOI DES FICHES MTD CONSTRUCTION L NERGIE SOLAIRE PASSIVE VOLET CO T GLOBAL Avantages Investissement m La valorisation des apports passifs est peu co teuse et efficace pour r aliser des conomies d nergie m La mise en uvre est assez simple Point de vigilance m L t de forts risques de surchauffe g Les diff ren du 5551 Investissement C est un poste difficilement chiffrable car fortement int gr la conception g n rale de l habitation Quelques surco ts peuvent tre aff rents la logique bioclimatique mais ils sont difficilement quantifiables Les r gles volum triques de compacit tendent plut t r duire les surfaces d enveloppe volume donn donc les co ts associ s Entretien maintenance Aucun entretien ou maintenance particulier n est n cessaire en dehors des protections solaires ext rieures en particulier si elles sont mobiles conomie de charges Elles sont principalement r alis es sur le poste chautfage ma litficilement quantitia VOLET FAISABILITE T REFERENCES Technique qu eve de eption trouvant particulierement sa place dans la valorisation des apports solaires Des fournisseurs de verres sont susceptibles de r pondre aux besoins pour ce type de technique R f rence Fournisseur de v randas verri res partout en France Certains fabricants de ch ssis propo sent d installer des bow
84. Points de vigilance m Difficult certaine bien r guler le syst me Pose r alis e obligatoirement par des professionnels avec r f rence m Dans certaines r gions peu ensoleill es le ph nom ne saisonnier peut obliger recourir un appoint les seuls apports solaires ne permettant pas de couvrir tous les besoins tout le temps Photo Realitherm Illustration 60 Int gration architecturale des capteurs solaires Usage optimis du solaire ther mique pour une maison et sa piscine Avon 77 Source ARENE LE SOLAIRE THERMIQUE LE SOLAIRE THERMIQUE VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une installation solaire thermique est le suivant R duire les pollutions Reduire Reduire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant D CO Pr server les ressources Action forte 1 ordre VOLET CO T GLOBAL Co t associ au solaire thermique m Prix du kW install Les syst mes solaires domestiques pour chauffer l eau chaude sanitaire ont un surco t solaire entre 1 860 et 2 500 autrement dit la chaudi re d appoint n est pas comprise dans cette somme Celle ci doit tre de toute mani re tre install e qu il y ait ou non une composante solaire au syst me de chauffe Action secondaire 27 ordre Pour des surfaces de capteurs ne d passant pas 5 m le co t est enviro
85. RENE sur les techniques d infiltration http www areneidf org entreprises Fiches pdf Fiche_4 02 pdf ORGANISMES 2 3 3 Puits d infiltration Office Internationale de l Eau OIEAU www oieau fr Centre d information sur l eau CIEAU www cieau com Agence de l eau Bassin Seine Normandie www eau seine normandie fr Office Internationale de l Eau OIEAU www oieau fr 2 3 4 R cup ration des eaux de pluie Centre d iniformation s r Teau CIEAU www cieau com Agence de l eau Bassin Seine Normandie www eau seine normandie fr INFORMATIONS PAR THEMATIQUE INFORMATIONS PAR TH MATIQUE AAA AAA A N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus Article la f e lectricit Interrupteur Automatique www construire sain com feeelectricite htm dll de Champ CD2E Cr ation D veloppement d co Entreprise www cd2e com CD2E ecoMATERIAUX EM_accueil ACERMI association pour la certification des mat riaux isolant acermi cstb fr 2 4 2 Isolant d origine vegetale z Mat ri t CD2E Cr ation D veloppement d Eco Entreprise een www cd2e com CD2E ecoMATERIAUX EM_accueil Fiches Peintures Vernis et Connexes www marque nf com marquenf pdf Peintures_vernis pdf 2 43 Peinture cologique Union Europ enne article sur les Ecolabels angl ec europa eu environment ecolabel CD2E Cr ation D veloppement d Eco Entreprise www cd2e com CD2E ecoMATERIAUX EM_accueil ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE m 1
86. S LA G OTHERMIE BASSE TEMP RATURE L utilisation de la nappe phr atique tant davantage r serv e aux r alisations impor tantes tertiaires logements collectifs le chauffage g othermique le plus adapt est le pr l vement de la chaleur directement dans le sol pour des surfaces chauff es peu importantes maison petit collectif ou locaux professionnels Capteurs horizontaux Pour exploiter cette source de chaleur renou velable deux solutions sont alors possibles Exploiter le sous sol quelques dizaines de m tres gr ce des fondations ou des sondes g othermiques verticales m D exploiter le terrain en surface quelques dizaines de cm de profondeur via des capteurs horizontaux enterr s Capteurs verticaux Illustration 65 Les capteurs g othermiques Sch ma d apr s l AFPAC Ces syst mes sont reli s une Pompe Chaleur PAC voir encadr technique sui vant install e dans la maison pour ensuite alimenter un circuit de distribution de la chaleur g n ralement un plancher chauffant ou le chauffage d une piscine Cependant les nouvelles g n rations de PAC permettent de monter plus de 60 C et ouvre la voie une utilisation plus large de ce type de syst me m Emission de la chaleur par radiateur mis sion en chaleur douce Production d eau chaude sanitaire LA G OTHERMIE BASSE TEMPERATURE m 89 LA G OTHERMIE BASSE TEMP RATURE Les capteurs hori
87. VOLET DESCRIPTIF Les puits d absorption permettent d vacuer les eaux pluviales directement dans le sol G n ralement ils drainent des surfaces de quelques milliers de m tres carr s Le drainage s effectue par la surface ou par un r seau de conduites vers un puits rempli ou non de mat riaux Les eaux sont ensuite vacu es par infiltration Illustration 74 Sch ma de principe g n ral d un puits d infiltration LES PUITS D INFILTRATION iy R cup ration des eaux pluviales Infiltration naturelle Regard de visite de d cantation Puits d infiltration PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU Ces ouvrages permettent le rejet d eaux pluviales ou us es pr trait es dans une couche de terrain perm able et non satur par l eau de la nappe phr atique Cette couche de terrain est indispensable pour filtrer et d velopper les bact ries puratrices de l eau Cette technique permet d vacuer les eaux pluviales directement dans le sous sol en s affranchissant des couches imperm ables superficielles et en allant chercher les couches profondes qui pr sentent des capacit s d infiltration L alimentation du puits peut se faire par ruissellement direct Dans ce cas l ouvrage doit tre recouvert par un mat riau tr s per m able peut galement tre approvisionn par des drains amenant l eau directement au c ur de la structure
88. a cuisine o il y a des charges constantes ou presque frigo cong lateur etc PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT m La salle de bains et lieux de passage car le temps d occupation y est trop bref Quand il n y a plus de consommation le rup teur d tecte l arr t de charge et 5 secondes apr s coupe le r seau de fa on bipolaire et Son principe ge Tonctlannemenk r tablit la tension de veille de 4V DC Au repos une faible tension continue 4V DC est pr sente sur un des deux fils lectriques l appareil mesure la r sistance du circuit Si la r sistance est infinie c est dire qu aucune charge n est en fonctionnement l appareil reste au repos L IAC coupe donc le circuit au niveau du coffret lorsque tous les appareils sont d bran ch s pas de fonctionnement si par exemple la t l vision reste en veille Si l appareil d c le une r sistance par exem ple une lampe allum e il bascule et enclenche le 220 V en supprimant le 4V DC L appareil travaille se met alors mesurer le courant consomm Tant qu il y aura consommation PIAC laissera passer le 220 V VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental du rupteur de champ lectrique est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant
89. a fini par se traduire par une surexploitation des bois et des for ts dans le courant du XVIII me si cle Avec la d couverte du charbon du p trole et du gaz naturel le bois a progressivement t rel gu une fonction de chauffage en milieu rural En France la production de bois nergie reste n anmoins importante Elle est en effet estim e 4 5 de la consommation ner g tique totale et 33 de la production des nergies renouvelables derri re l hydraulique 50 des particuliers en France utilisent le bois pour se chauffer Les po les bois Les po les accumulation Le principe est d emmagasiner la chaleur dans le corps de masse fait de mat riaux r fractaires lourds Ces derniers stockent les calories pendant une p riode assez courte de chauffe 1 2 heures La chaleur se diffuse ensuite r guli rement dans la maison pendant au moins 12 heures m me une fois le feu teint Avantages conome en bois peu de cendres sensation de confort chaleur douce et homog ne m Les po les b ches Leur fonctionnement est d abord bas sur la qualit de la combustion des gaz Le principe d une arriv e d air pr chauff ainsi que la r cup ration des gaz travers diff rentes chicanes permet un bon rendement entre 60 et 75 C est un choix int ressant pour les petits budgets les nostalgiques du po le de la grand m re son faible encombrement et la vision du feu pour bon nombr
90. a nappe faut un entretien r gulier sp cifique Capacit de stockage du puits limit e et fonction de la qualit du sol LES PUITS D INFILTRATION VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d un puits d infiltration est le suivant LES PUITS D INFILTRATION R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant Pr server les ressources R duire les pollutions Reduire nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets BEE Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre Globalement on peut retenir les fourchettes de co ts suivantes En fourniture 350 a 600 HT En fourniture et pose 900 a 1 300 HT VOLET CO T GLOBAL Co ts Entretien et maintenance Les co ts sont variables d un contexte a un Une fois encore la mise en garde sur l indis autre et l tude financi re doit tre faite avec pensable suivi de l entretien n est pas inutile les l ments sur place mais en g n ral ils Plus que d habitude pour un ouvrage d pendent souterrain de ce type la surveillance de son De la surface assainir fonctionnement est primordiale La qualit m De la profondeur du puits et de la nature des eaux pluviales absorb es d terminera la du sol dans lequel il est creus fr quence d entretien Il faudra absolument m Des dispositifs d puration utilis s s affranchir des risques
91. ables pour le chauffage g n rateur biomasse ou r seau de chaleur aliment par EnR consommation d nergie au moins inf rieure de 30 a consommation de r f rence d finie par la RT 2005 et utilisation d nergies renouvelables pour l eau chaude sanitaire panneaux solaires et le chauffage panneaux solaires g n rateur biomasse ou r seau de chaleur aliment par EnR THPE EnR 2005 B timent Basse Consommation BBC consommation d nergie pour le chauffage le refroidisse ment la ventilation la production d eau chaude sanitaire et l clairage int rieur inf rieure ou gale 50 kWh m SHON an en nergie primaire moyenne nationale ajust e d un facteur selon l altitude et la zone climatique soit en zone H1 65 kWh m SHON an Illustration 1 Conditions d obtention des 5 labels de performance nerg tique tablis par l arr t du 8 mai 2007 Le label national BBC est attribu par diff rents organismes CERQUAL pour les immeubles de logements collectifs CEQUAMI pour les maisons individuelles PROMOTELEC pour l individuel en diffus Les avantages potentiels apport s par le label sont une r duction de taxes fonci res une possibilit de bonification de COS un cr dit d imp ts pour implantation d quipements Enk PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL Ces labels ont t d velopp s afin d ouvrir la v
92. acements de proximit domicile cole commerces services etc qui pourront s effectuer pied ou v lo dans les meilleures conditions de s curit et de confort Deux trames rectangulaires sont consid r es m Lorsque les axes principaux sont dirig s vers les points cardinaux m Lorsque les angles et croisements se situent aux points cardinaux soit une trame d vi e de 45 par rapport la pr c dente PLAN DE MASSE ET ENSOLEILLEMENT eee Dans le premier cas celui d une trame rectangulaire nord sud est ouest les conditions de confort des voies nord sud et des voies est ouest sont tr s diff rentes le d s quilibre entre les deux trottoirs c t s nord et sud est tr s grand en toute saison alors qu il est r parti quitablement entre le matin et l apr s midi dans le cas d une rue d axe nord sud Une rotation de 45 par rapport aux points cardinaux apporte un compromis satisfaisant Le total th orique des heures pour lesquelles le soleil direct atteint au moins un point du sol toutes rues confondues est ainsi mieux reparti entre les six mois d hiver et les six mois d ete Hiver Ete Grille E O N S 3 2 15 5 Grille NE SO SE NO 5 6 12 4 Illustration 2 Dur e journali re moyenne en heu res pour laquelle le soleil direct atteint au moins un point du sol pour deux grilles urbaines de maille carree Valeurs th oriques calcul es pour une fraction d insolation 1 et
93. aire pour certaines briques i maison construite en brique avec isolation f 5 nei ies 3 isolation r partie int rieure en laine min rale et plaque de pl tre isolation par l int rieur isolation par l ext rieur monomur tiren n Parpaing classique Brique Monomur Bloc b ton cellulaire seule p 27 5 cm p 30 cm p 30 cm 28 6 HT m 38 HT m2 46 4 HT m Illustration 33 Co ts compar s de differents mat riaux de construction MONOMUR TERRE CUITE Wienerberger isolation thermique r partie Porotherm Biomur Biomur A 850 837 830 Murbric 20 Nu Nu ITI80 1 ITI 80 1 paisseur du bloc 50 37 30 20 Fourniture du mur 68 47 38 16 Pose du mur 40 34 28 22 piix Mur fourni pos 108 81 66 38 Rupteurs de HT m3 Finition ext 17 17 17 17 ponte Re Finition ou doublage int 117 11 31 31 Mur fini fourni pos compris enduit ext et 136 109 114 86 eS a SS a co finition ou doublage int Illustration 32 Les diff rents modes d isolation laine de roche Illustration 34 Co ts compar s de diff rents mat riaux pour l isolation r partie 38 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE L ISOLATION R PARTIE L ISOLATION R PARTIE Entretien maintenance Ce type d isolation co
94. ambition croissante sur le plan environnemental correspondant des segments sp cifiques du march Ces sc narios font r f rence la r glementation thermique 2005 RT 2005 et aux cat gories du Diagnostic de Performance nerg tique DPE Ce guide est le fruit d un travail conjoint des partenaires de la Ville Nouvelle de S nart Syndicat d Agglom ration Nouvelle et tablissement Public d Am nagement et de l ARENE Agence Regionale de l Environnement et des Nouvelles nergies d Ile de France travers cette publication l ARENE souhaite fournir aux professionnels franciliens de l am nagement et de la promotion immobili re des pistes concr tes de solutions mettre en uvre pour un secteur r sidentiel neuf plus performant au plan environnemental et nerg tique De son c t S nart p le strat gique du d veloppement urbain de l Ile de France d j impliqu dans la certification Habitat et Environnement de Cerqual renforce ainsi son engagement pour la qualit environnementale des logements neufs construits sur son territoire INTRODUCTION 5 LABELS CERTIFICATIONS ET INCITATIONS L ensemble des mutations qui s imposent dor navant au secteur du b timent prend place dans un horizon de r duction drastique des consommations nerg tiques et des missions de gaz a effet de serre dont le Plan Climat 2004 r vis en 2006 et la loi POPE de 2005 ont fix les orientations globales De nombreux m
95. amique r versible domotique r gion Ile de France le label exige d atteindre 65 kWhep m an Le promoteur devra en cons quence travailler sur les trois niveaux suivants 1 Conception architecturale par le logement par une production d nergie quivalente renouvelable Le systeme le plus appropri est une installation photovoltaique qui b n ficie d un co t de revente du kWh architecture Bio climatique 2 Construction utilisation de mat riaux tels que brique monomur b ton cellulaire ossature bois 3 quipements chauffage domotique particuli rement int ressant CARACT RISTIQUES G N RALES DES SC NARIOS CARACT RISTIQUES G N RALES DES SC NARIOS C Exemples de combinaisons 8 mettre en ceuvre pour atteindre l objectif CLASSE C CLASSE B CLASSE A CLASSE 1 Chauffage lectrique Plancher Radiant Electrique PRE po le a bois hau tes performances ou a accumulation ou chauffage central Gaz Naturel avec 1 Chauffage thermodynamique g o ou a ro thermie ou Ventilation double flux VMC2F avec Pompe a Chaleur PAC chaudi re gaz condensation 1 Toiture photovoltaique de 20 a 40 m soit 2 4 kWh 2 Un contrat de rachat des kW par EDF 1 Plan de maison cubique tage 6 pieces 140 m 2 Grandes baies vitr es soit gt 20 sh sauf au nord sans ombrages avec chaudi re a accumulation 2 ECS solaire 3 R cup rateur des eaux de pluie syst
96. ants proposent des traitements compl mentaires adapt s De plus certaines applications n cessitent une d rogation de la Direction D partementale des Affaires Sanitaires et Sociales DDASS pour des usages ne n cessitant pas de caract ristiques de potabilit mais potentiellement buvable notamment par les enfants Les diff rents postes du co t global Investissement Compris entre 3 000 et 5 000 HT pour une installation en maison individuelle Pour une installation simple usage des eaux de pluie pour WC lave linge arrosage comptez 2 500 Pour une installation plus complexe autonomie compl te avec utilisation de l eau pour tous les usages y compris la boisson cela vous co tera 8 000 Entretien maintenance Contr le annuel 100 150 HT conomie de charges Dans une r gion o la pluviom trie est en moyenne entre 800 et 900 mm par an avec 100 m de toiture on r cup re entre 80 000 et 90 000 litres d eau de pluie Ce volume peut couvrir jusqu 70 des besoins journaliers en eau d une famille Dans l hypoth se d un co t moyen de 3 5 le l conomie est d environ 300 an VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Le potentiel de r cup ration de l eau de pluie est important partout en France Les fournisseurs de cuves se multiplient et l offre est tr s vari e Les installations se multiplient et deviennent accessibles pour les logements PART
97. aque partie peut donc tre abord e isol ment suivant les centres d int r ts du lecteur PARTIE 1 5 FICHES L CHELLE DE L OP RATION De nombreuses questions doivent tre abor d es en amont d une op ration de logements group s pour faire le lien entre l application des principes du d veloppement durable a l chelle du territoire et l application in fine de la d marche de haute qualit environnementale dans la construction Cinq th mes d terminants pour la r ussite d un programme immobilier sur le volet envi ronnemental sont pr sent s la conception du plan de masse vis a vis de l ensoleillement la spatialit et la typologie des logements la conception bioclimatique le traitement des espaces annexes la r alisation de noues v g tales au sein de l op ration Ces fiches explicitent ces probl matiques et permettent d agir en connaissance de cause l chelle de l op ration 8 MODE D EMPLOI DE L ARGUMENTAIRE PARTIE 2 25 FICHES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES POUR LA CONSTRUCTION MTD CONSTRUCTION Les solutions techniquement performantes et conomiquement viables l chelle de la construction sont regroup es selon quatre th matiques environnementales conception bioclimatique de l enveloppe quipements nerg tiques ma trise de l eau mat riaux et sant Con ue comme une bo te outils pour une conception durable des logements cette partie permet
98. aract re pi tonnier du quartier o les jeux d enfants peuvent trouver place en cartant les risques d accidents Une des premi res r alisations pilote est celle de Louvain la Neuve parkings en petites poches entour es de talus plant s Le quartier Vauban Fribourg est galement quip d un parking collectif couvert de panneaux photo volta ques Illustration 21 Garage et espaces annexes Op ration Marignan Cesson 77 plan de Rez de chauss e Source EPA S nart Atelier BLM SNC Marignan R sidences Trois possibilit s de stationnement VP Garage ferm 3 00 x 5 30 m porche 3 00 x 4 50 m surface ext rieure 3 00 x 5 50 m Espaces de range ments associ s bois v los mat riels de jardin 2 fois 1 50 x 3 00 m Surface parcelle 12 8 x 25 m 320 m2 LOCAUX ANNEXES Avantages R duction des co ts des surfaces min rali s es des nuisances g n r es par les mouvements quotidiens Point de vigilance m Plus grande vuln rabilit aux d gradations d pendant du mode de contr le collectif LOCAUX ANNEXES m 25 LOCAUX ANNEXES O Photo Philippe LAJUS Illustration 22 Parking collectif enterr Quartier Vauban Fribourg Allemagne O Photo Anne Claire SALIOU Illustration 23 Parking collectif avec toiture photovoltaique Quartier Vauban Fribourg Allemagne 26 m PARTIE 1 FICHES THEMATIQUES L ECHELLE DE L OPERATION 2 Les annexes
99. atente renferm e dans la vapeur d eau Les produits de combustion sont refroidis par contact des parois m Soit d un changeur unique ayant une surface d change surdimensionn e m Soit d un changeur condensateur changeur principal VOLET ENVIRONNEMENTAL CHAUDI RE CONDENSATION En plus de l changeur condenseur les chau di res sont toutes pourvues d un ventilateur m Soit sur l air de combustion ou sur le m lange air gaz m Soit sur les produits de combustion la sortie de la chaudi re Apres r cup ration de l nergie thermique latente utilis e comme source de chauffage ces fum es sont rejet es vers l ext rieur une temp rature d environ 50 C seulement ll est aussi concevable dans certains cas de mettre un changeur suppl mentaire sur une installation existante r cup rateur condenseur La chaudi re condensation favorise la mise en place d installations chaleur douce En effet en cr ation de chaufferies le fonction nement est optimal avec un plancher chauffant basse temp rature Le profil environnemental de la chaudi re condensation est le suivant Pr server les ressources Cette solution entra ne un gain de place l absence de radiateurs permet d optimiser au mieux la gestion des volumes et espaces de travail En r novation de chaufferie alimentant un r seau de radiateurs les chaudi res conden sation fonctionnent indiff remment
100. ations de logements sol inclus 15 Illustration 11 Rapport surface de l enveloppe surface de plancher pour 6 configurations de logement 16 Illustration 12 Besoins de chauffage pour 6 configurations de logement 16 Illustration 13 Principes de la maison solaire passive 19 Illustration 14 Irradiation solaire incidente sur diff rentes facades 20 Illustration 15 Effet des protections solaires 20 Illustration 16 Volets bois persienn s 20 Illustration 17 Valeurs d alb do de differentes surfaces 21 Illustration 18 Sch ma de conception bioclimatique appliqu e au label Passivhaus 22 Illustration 19 Stationnement engazonn d tail Quartier Vauban Fribourg Allemagne 23 Illustration 20 Stationnement sous pergola Quartier Vauban Fribourg Allemagne 24 Illustration 21 Garage et espaces annexes 25 Illustration 22 Parking collectif enterr Quartier Vauban Fribourg Allemagne 26 Illustration 23 Parking collectif avec toiture photovolta que 26 Illustration 24 Locaux annexes participant la privatisation des espaces ext rieurs attenants au logement Quartier Vauban Fribourg Allemagne 26 Illustration 25 Edicules de stockage des bacs de tri s lectif BedZED Angleterre 27 Illustration 26 Stockage des bacs de tri sous pergolas Quartier Vauban Fribourg Allemagne 27 Illustration 27 Abri v lo et bacs de collecte de d chet Vesterbro Copenhague Danemark 27 Illustration 28 Abri v lo Quartier Vauban Fribourg Allemagne 27 I
101. auffant Schema d apr s l AFPAC PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES A ROTHERMIE m 95 A ROTHERMIE L mission de chaleur dans les ambiances se fait la plupart du temps par convection syst me air air par soufflage d air mais de nouvelles offres se font jour proposant une mission par le biais de radiateurs basse temp rature o par plancher chauffant syst me air eau L int r t de ce type d mission est de n ces siter une temp rature moins lev e l mis sion la pompe chaleur fonctionne avec de bien meilleure performance La temp rature est plus basse en hiver et fluctuante compar e la nappe phr atique o la temp rature de la terre 1 m de profondeur De ce fait les syst mes a rothermiques sont moins performants que les syst mes fonction nant avec la chaleur de la terre o des nappes VOLET ENVIRONNEMENTAL phr atiques Dans certain cas le syst me peut galement faire office de climatisation en p riode estivale il s agit alors de syst me r versible Dans le march de la climatisation la d nomination courante de ce syst me air air est split syst me ou multi split selon le nombre d unit pour l mission Limites du syst me Le givrage de l change ext rieur limite les changes thermiques et r duit les performances lorsque les temp ratures ext rieures sont basses Dans certains cas un appoint est
102. aux op rateurs urbains am nageurs ma tres d ouvrage et promoteurs des fiches des meilleures techniques dispo nibles pour la conception bioclimatique de l enveloppe les quipements nerg tiques la ma trise de l eau ou encore les mat riaux sant Ces pr conisations se concoivent dans une d marche int gr e alliant planification urbaine l chelle de l agglom ration ou de la commune localisation des projets d urbanisation impacts sur les d placements urbanisme l chelle du programme densit compacit d ensemble gestion de l eau de l nergie architecture l chelle de l immeuble volume choix des techniques constructives et des quipements int gration des composants ext rieurs L ensemble des solutions pr sent es revisite le mode de conception des maisons group es et logements collectifs pour d montrer l int r t environnemental et conomique des innovations Au del de simples recommandations pratiques l ouvrage contribue pour les professionnels de la promotion immobili re attentifs Pavenir de notre plan te et des g n rations futures la construction progressive d un argumentaire marketing r pondant aux exigences environ nementales croissantes des acqu reurs SYNDICAT D AGGLOM RATION TABLISSEMENT PUBLIC D AM NAGEMENT NOUVELLE DE S NART DE LA VILLE NOUVELLE DE S NART Carr S nart 9 all e de la Citoyennet BP 6 LA GRANGE LA PR V T 77567 S
103. ayon nement solaire ce qui att nuerait l efficacit des protections solaires Un sol v g tal r duit consid rablement la part du flux incident qui est renvoy dans toutes les directions par r flexion et diffusion ce qu exprime l alb do Il faut cependant carter les rev tements som bres qui absorbent le rayonnement solaire et mettent du rayonnement infrarouge l herbe fra che est le meilleur compromis car le rayonnement absorb 80 est utilis par la photosynth se et l vapotranspiration La v g tation doit galement contribuer la protection des fa ades expos es en t afin de m nager des zones d ombres proximit des pi ces de vie herbe fra che terre cultiv e nue terre sableuse sable clair asphalte glace neige fra che PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION 0 20 0 16 0 20 0 32 0 19 0 30 0 85 Illustration 17 Valeurs d alb do de diff rentes surfaces CONCEPTION BIOCLIMATIQUE 4 Exemples en France Hameau bioclimatique 8 Boqueho C tes d Armor d une dizaine de maisons La forme compacte adopt e pour les loge ments facilite l obtention d une performance proche du label Passivhaus pour un surco t initial estim 10 qui devrait tre rapidement amorti par les conomies d ner gie Le projet integre la gestion collective visant amp r inventer une maniere de vivre ensemble qui sera mat rialis e par une charte
104. blement missif Le double vitrage anti missivit est constitu en face int rieure d un rev te ment sp cial gardant les rayons infrarouges l int rieur de la piece Compare un double vitrage classique les d perditions sont diminu es de plus de 30 Tr s courant en Allemagne il le devient gale ment en France Double vitrage faiblement missif lame argon ll est semblable au double vitrage faiblement missif mais la lame d air est remplac e par une lame d argon qui est un gaz inerte opti misant encore les performances d isolation thermique Le profil environnemental des vitrages est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit RS AS Action forte 1 ordre R duire les pollutions R duire Air Eau Sols D chets RS Jr Action secondaire 27 ordre Double vitrage phonique Ce verre d paisseur 4 8 10 pr sente un meilleur pouvoir d isolation phonique que le double vitrage standard car les deux lames de verres de diff rentes paisseurs vitent l amplification du son Son pouvoir isolant est l g rement r duit E Vitrage avec contr le solaire Suivant les cas et les vitrages choisis il est possible de favoriser par exemple l apport de lumi re naturelle transmission lumineuse lev e ou de choisir de limiter au maximum les apports solaires facteur solaire bas afin de minimiser les risques de surchauff
105. canismes incitatifs et financiers ont t mis en place pour engager le secteur de la construction dans son ensemble cr dit d imp t certificats d conomie d nergie livret d velop pement durable bonification de COS coefficient d occupation des sols en cas de performances nerg tiques sup rieures aux niveaux r glementaires de base Si la r glementation thermique en vigueur fixe un seuil minimal d am lioration certificats et labels permettent la valorisation des am liorations suppl mentaires apport es au logement La certification Habitat et Environnement de Cerqual seuil d exigence sur le territoire de S nart s inscrit dans une volution progressive de la r glementation thermique RT Le niveau de consom mation nerg tique doit tre inf rieur de 10 par rapport la consommation maximale autoris e Cmax Ceci permet d obtenir le premier niveau de label d fini par l arr t du 8 mai 2007 soit haute performance nerg tique 6 m LABELS CERTIFICATIONS ET INCITATIONS Label Conditions d attribution HPE 2005 consommation d nergie au moins inf rieure de 10 a consommation de r f rence d finie par la RT 2005 THPE 2005 consommation d nergie au moins inf rieure de 20 a consommation de r f rence d finie par la RT 2005 HPE 8 2005 consommation d nergie au moins inf rieure de 10 a consommation de r f rence d finie par la RT 2005 et utilisation d nergies renouvel
106. cialement marginales mais pourront avoir un effet d image important Les caract ristiques de ces quatre sc narios sont d velopp es dans les tableaux suivants pr sentant pour chaque classe de logement la d marche marketing associer la synth se technique de chaque produit un exemple de combinaison technique mettre en uvre pour atteindre la performance nerg tique vis e et la faisabilit conomique CARACTERISTIQUES G N RALES DES SCENARIOS m 141 CARACT RISTIQUES G N RALES DES SC NARIOS A D marche marketing client le cibl e et axe produit 142 m PARTIE 3 SC NARIOS NERG TIQUES CIBLE AXE Cep lt 115 kWh ep m an Chauffage Eau Chaude Sanitaire ou ECS Electricit domestique 1 Plan et style classique du 5 pi ces de 90 m soit en plain pied soit en combles am nag s CLASSE C M nages conscients de la n cessit d conomiser les ressources non renou velables et attir s par le geste vert mais e qui restent traditionalistes dans leurs go ts et leurs modes de vie e qui disposent de budgets r duits La maison classique haute performance nerg tique CLASSE C CLASSE B M nages suiveurs de la vogue du d veloppement durable qui voudront un logement exceptionnel par son classement DPE et se voudront CLASSE A CLASSE M nages ais s tr s sensibles aux enjeux du d veloppement durable M nages entrepreneurs capable
107. d e par un commutateur situ dans la pi ce clair e qui actionne un d flecteur papillon situ dans le tube permettant ainsi un r glage de l intensit lumineuse Des syst mes hybrides combinant lampe solaire et ventilation sont galement disponibles ll est galement possible de combiner clai rage naturel et artificiel avec la m me installa tion kit d clairage int gr au diffuseur ou en aval du tube Enfin un dispositif d tanch it sp cifique doit tre mis en uvre au niveau de la sortie en toiture d me en acrylique cerclage en aluminium diffuseur en acrylique solin souche d tanch it de toiture tube rallonges possibles film 7 couronne aluminium de fixation du diffuseur au plafond 8 film filtre UV et IR 9 diffuseur en acrylique 10 finition int rieure cerclage en aluminium 6 laqu Be yee A toiture existante EE 8 plafond existant 10 Illustration 44 Schema de principe d un canon lumi re Source Solarwill LES CANONS LUMIERE m 57 LES CANONS LUMIERE VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d un canon a lumi re est le suivant Illustration 45 Puits de lumi re vue de l int rieur Action forte 1 ordre El Action secondaire 2 ordre Choix du diam tre du conduit en fonction de l tendue de la surface clairer ainsi que de la g om trie et de la longueu
108. de Un silo de stockage Un syst me d extraction et de transfert du bois vers la chaudi re Un g n rateur de chaleur compos d un foyer et d un changeur de chaleur Un syst me d puration des rejets gazeux et d vacuation des cendres Flamme Verte Avec le concours de l ADEME et du GIFAM Groupement Interprofessionnel des Fabri cants d quipement M nager les principaux constructeurs d appareils de chauffage domestique au bois ont sign en d but d ann e 2001 la charte qualit Flamme Verte L objectif de cette charte est de promouvoir la mise sur le march d appareils de chauffage domestique au bois modernes et plus performants sur le plan nerg tique et environnemental La charte s applique aux inserts foyers ferm s et po les mixtes ou transformables fonctionnant au bois l exclusion des chemin es d agr ment PL AMME verte CHAUFFAGE BOIS Illustration 63 Logo Flamme Verte LE BOIS NERGIE 85 LE BOIS NERGIE Au 1 janvier 2005 tous les po les a bois et Avantages chaudi res domestiques labellis s Flamme Verte doivent avoir Confort thermique excellent et adaptable Cr dit d imp t de 40 pour tout appareil de chauffage au bois m La fili re bois nergie mobilise 4 fois plus de main d uvre que les nergies fossiles le secteur est donc cr ateur d emplois Le combustible bois offre un d bouch pr cieux pour des produits dont l
109. de la sant en leur attribuant une valeur action de premier ordre action de second ordre absence d action m Le volet co t global pr sente l approche conomique simplifi e de la technique en prenant en compte l investissement la dur e de vie l entretien m Le volet faisabilit et r f rences d crit l tat de l art en Ile de France et donne des informations sur le degr de faisabilit de la technique m Enfin le volet marketing souligne la visibilit commerciale des b n fices du produit ou de la technique en vue de la construction de l argumentaire destin au client final Trois Valeurs sont attribu es b n fice de premier ordre de second ordre pas de b n fice et six champs sont distin gu s conomie patrimoine modernit cologie sant confort Partie 2 MODE D EMPLOI DES FICHES MTD CONSTRUCTION Titre de la MTD Volet Descriptif Information pratique sur la solution technique Valoriser l nergie solaire passive consiste b n ficier de l apport direct du rayonnement solaire sans apport d nergie ext rieure Pour qu un b timent b n ficie au mieux des rayons du soleil on doit tenir compte de l nergie solaire lors de la conception archi tecturale orientation vers le sud r partition et dimensionnement des surfaces vitr es fa ades doubles de type balcon vitr etc cf fiche 1 3 Conception Bioclimatique L isolati
110. de la vitesse du vent Hygro r glables la quantit d air frais entrant augmente en fonction de l humi dit des pi ces Des ouvertures de transfert sous forme de grilles dans ou sous les portes int rieures afin d assurer la circulation d air dans toute la maison m Dans les pi ces forte humidit cuisine sanitaires salles d eau des grilles d va cuation fixes o r glables manuellement ou hygro r glables int gr es dans une che min e ou un conduit de ventilation vertical d bouchant au moins 50 cm au dessus du fa te de la maison m Dans les dispositifs les plus labor s des tours d extraction permettent de r guler selon les besoins la quantit d air extraite La ventilation naturelle assist e et contr l e La VNAC est un syst me hybride utilisant diff rents aspects de la ventilation naturelle et de la ventilation m canique La diff rence principale entre un syst me de ventilation conventionnel et un syst me hybride est le fait que ce dernier comprend un syst me de contr le intelligent qui peut commuter automatiquement entre les modes naturel et m canique afin de r duire au minimum la consommation d nergie Ventilation et confort d t En t le probl me du renouvellement d air ne se pose pas comme en hiver Les d bits requis pour vacuer l exc s de chaleur sont beaucoup plus lev s La ventilation hygi nique dimensionn e pour un renouvellement de
111. des Economistes www untec com RNDE 158 m ANNEXES R seau National des Donn es sur l Eau www rnde tm fr de la Construction et des Coordi nateurs f d ration professionnelle INFORMATIONS A CARACTERE GENERAL TABLE DES ILLUSTRATIONS AA A A A A Les differentes illustrations photographiques de cet ouvrage sont attribuer Isabelle Gausson photo de couverture Philippe LAJUS Anne Claire SALIOU PARENE REALITHERM SOLENER Les sch mas cit s dans le document ont t r alis s par SOLENER 8 partir de differentes sources Illustration 1 Conditions d obtention des 5 labels de performance nerg tique tablis par l arr t du 8 mai 2007 6 Illustration 2 Dur e journali re moyenne en heures pour laquelle le soleil direct atteint au moins un point du sol pour deux grilles urbaines de maille carr e 11 Illustration 3 Coupe d une voirie 11 Illustration 4 Quartier Vauban Fribourg Allemagne 12 Illustration 5 BedZED Sutton Angleterre 12 Illustration 6 Mod le machiya sur deux niveaux avec cour centrale 13 Illustration 7 Le Clos des Jades Cesson 77 14 Illustration 8 La densit des formes du d veloppement r sidentiel 2004 14 Illustration 9 llot du quartier de Lille Moulins 59 vue ext et int de l lot 14 Illustration 10 Valeurs du rapport Senveloppe Splancher pour six configur
112. donc limitation des charges correspon Chasse d eau des WC conome 4 et 6 dantes litres m Reduction de la quantit d eau traiter A rateurs autor gul s d bit faiblement variable en fonction de la pression du r seau Douchette Venturi Relev r gulier des compteurs et contr le Les proc d s permettant de ma triser les des installations consommations en eau sont les suivants m Mise en uvre d quipements limitant la consommation d eau Limiteur de pression VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental de la ma trise des consommations en eau est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets VOLET CO T GLOBAL Avantages R duction de la consommation d eau pour le m me confort m Sollicite moins les milieux naturels m Co t d investissement d risoire au regard des conomies engendr es conomie de charges m Pas de contraintes d utilisation des diff rents proc d s m Pas d entretien sp cifique contraignant Points de vigilance N cessite quelques am nagements d installation R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant I m I I UL 1 1 Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 104 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU
113. e des puisards en b ton et des regards en fonte en est de m me si on pr voit differentes couches compos es de geotextile et de grave VOLET ENVIRONNEMENTAL Les principaux atouts environnementaux de la noue sont donc Effet retardateur de l amp coulement des pluies d orage hors infiltration une partie de l eau est utilis e par les plantes une autre est vapor e et le compl ment est vacu par les canalisations avec un d bit de fuite limit ce qui r sout les risques d engorge ment des r seaux d assainissement donc les probl mes relatifs a l puration m La v g tation est une source de photosyn these stockage de carbone Enrichissement du paysagement contribu tion la continuit biologique et la biodiver sit milieux humides a 3 3 Q Q 2 2 Qa Photo ARENE Photo SOLENER Illustration 30 Noue v g talis e avec d nivel Illustration 31 Noue vegetalisee attenant a une voirie Parc de la Haute Borne Villeneuve d Ascq 59 Illustration 31 bis Noue v g talis e en bordure de voirie Quartier Vauban Fribourg Allemagne PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION NOUES V G TALES m 29 NOUES V G TALES Photo Philippe LAJUS VOLET CO T GLOBAL Co ts Le co t est fonction de la valeur et du type de surfaces mises en jeu Mais retenons que quel que soit le lin aire envisag il faut p
114. e d entre eux m Les po les granul s Ces derniers n s sont tr s performants 5 disposent d une r serve de granul s petits cylindres de sciure compress e Une vis sans fin alimente le foyer progressivement et automatiquement Le rendement est lev et l autonomie importante 2 8 jours peu encombrant programmable et pas d obliga tion d un conduit de fum e Ces po les sont performants avec des rendements atteignant 65 Cependant l approvisionnement en granul s est encore parfois probl matique il est pr f rable de demander des garanties sur la fourniture du combustible en cas d achat de ce type d appareil PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LE BOIS NERGIE 225 Les po les a bois a post combustion Rendement de combustion gt 75 Dans ce type de po le il y a des arriv es d air secondaires naturelles ou forc es qui soufflent de l air dans le sens inverse de la flamme ce qui force le feu a br ler vers le bas L air chaud ayant tendance a monter cela cr des turbulences qui permettent de mieux br ler les gaz augmentant de ce fait le rendement final Cela r duit aussi la quantit de cendre ainsi que les suies dans le conduit d vacuation Les chaudi res bois Une chaudi re au bois moderne est un ensemble de production de chaleur compre nant quatre l ments adapt s l utilisation d un combustible soli
115. e au m nage Cela r gle le probl me de stockage entre les heures de production le jour et les heures de consommation plut t la nuit B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit EI B n fice majeur 1 ordre 84 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Les avantages fiscaux et aides publiques sont importants ils d passent 50 de l investisse ment et permettent aux m nages int ress s une action la fois vertueuse produire soi m me son nergie partir d une ressource renouvelable et rentable Les objections des acheteurs portent sur m Des doutes sur la fiabilit de l quipement m Des r ticences devant l esth tique des toitures mais certaines tuiles photovolta ques s integrent beaucoup mieux que les panneaux solaires thermiques habituels m L attente du d veloppement de modules plus efficaces mais les aides et les incita tions publiques seront moins lev s dans le futun La seule vraie objection correspond a la complexit des d marches administratives Promoteurs et constructeurs ont 8 ce niveau des services 8 structurer E F Ecologie Sant Confort B n fice secondaire 272 ordre LE SOLAIRE PHOTOVOLTA QUE VOLET DESCRIPTIF Le bois a longtemps t la seule source d nergie la disposition des hommes pour leurs besoins domestiques et industriels Cette pr dominance
116. e de L Environnement PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE PUITS CANADIEN m 6 LE PUITS CANADIEN Ce syst me permet galement la mise hors gel du logement lorsque les occupants s ab sentent pendant l hiver Th oriquement il faut viter que le volume d air qui traverse le sol ne soit pulse trop rapidement max 3m s et qu il ne soit trop important sinon il ne se r chaufferait pas suf fisamment Pour la m me raison le rapport entre le volume d air et la surface d change du tube ne doit pas tre sup rieur 6 Inversement en t le sol est plus froid que lair ext rieur on utilise donc la fra cheur relative du sol pour temp rer l air entrant dans le logement Ce syst me permet alors de rafra chir l air ce qui est diff rent d une climatisation qui refroidit l air d un logement En France on a pu constater l efficacit du puits canadien sur certaines installations existantes avec m Fin juin 2002 temp rature ext rieure 31 5 C l ombre flux d air p n trant par le puits canadien 19 5 C D but d cembre 2002 temp rature ext rieure 3 C flux d air puits canadien 14 5 C Air extrait par tirage naturel Air aspire 32 C Illustration 48 Principe de fonctionnement t d un puits canadien coupl une serre Sch ma d apr s l Agence M diterran enne de L Environnement 62
117. e de la Pompe a Chaleur 93 Illustration 67 A rothermie systeme Air Eau avec PAC ext rieure et plancher chauffant 95 Illustration 68 Repartition des consommations d eau par usage 103 Illustration 69 Co ts de diff rents dispositifs d conomie de l eau 104 Illustration 70 Sch ma de principe d une toiture terrasse v g talis e 107 Illustration 71 Toitures v g talis es Stuttgart Allemagne 107 Illustration 72 Avantages et inconv nients des solutions de v g talisation intensive et extensive 108 Illustration 73 Comparaison des prix de 2 solutions de v g talisation extensive 109 Illustration 74 Sch ma de principe g n ral d un puits d infiltration 111 Illustration 75 Les composants techniques du puits d infiltration 112 Illustration 76 Schema d une installation de r cup ration des eaux pluviales 115 Illustration 77 Caract ristiques thermiques de diff rents mat riaux 124 Illustration 78 Prix compar s de diff rents isolants 125 Illustration 79 colabel europ en 127 Illustration 80 Marque NF Environnement 127 Illustration 81 Prix indicatif TTC de diff rentes marques de peinture cologiques 128 Illustration 82 Sc narios et performances nerg tiques envisageables 145 Illustration 83 Caract ristiques des sc narios Valeurs indicatives 145 Illustration 84 Consommations unitaires et labels 146 Illustration 85 Indicateur CO de diff rentes solutions de chauffage selon DPE 146 ANNEXES TABLE DES ILLUSTRATIONS
118. e enduit peut recouvrir un isolant en polystyr ne ce qui engendre un co t moins lev que la mise en uvre d un bardage Cependant avec un isolant tel que la laine de verre le bardage bois pierre acier reste indispensable Dans le cas d un b timent dont les finitions ext rieures sont en mauvais tat l isolation par l ext rieur est pr f rable Elle permet de traiter la fois l isolation et le ravalement L isolation par l ext rieur augmente consid rablement le confort en t murs rafraichis la nuit qui ne se r chauffent que lentement la journ e Isolation Deux solutions techniques d isolation ext rieure sont utilis es L isolant de facade est soit coll soit fix par un systeme m canique L enveloppe ext rieure peut tre un enduit un bardage ou un mur brique par exemple Les solutions bardage et mur peuvent tre adapt es aux fa ades expos es l eau ou l humidit gr ce la pr sence d une lame d air entre l isolant et la peau An Illustration 35 Schema de principe de l isolation par ext rieur Schema d apres ADEME PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE L ISOLATION PAR L EXT RIEUR m Un seul composant englobe l isolant et sa peau v tures bardures bardages avec isolation thermique int gr e et v tages isolants fixations directes sur le support sans isolant
119. e plancher pour 6 configurations de logement Les besoins de chauffage sont estim s sur les bases suivantes Classe d inertie forte m Parois verticales 12 cm d isolant U 0 315 W m k isolation par l ext rieur avec traitement des ponts thermiques m Toiture 20 cm d isolant U 0 170 W m k m Sol sur terre plein U 0 240 W m K Vitrage U 1 50 W m K m R partition des vitrages 50 sud 50 nord sur la base de Svitr Shab 0 30 Taux de renouvellement d air 0 6 vol h Nb U Coefficient de d perdition thermique 16 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION 6 Besoins de chauffage kWh m SHON an 70 60 50 40 30 20 10 Six typologies de logement 5 6 Illustration 12 Besoins de chauffage pour 6 configurations de logement Compte tenu des faibles taux de renouvel lement d air les besoins de chauffage sont fortement li s aux surfaces d perditives de l enveloppe Ainsi caract ristiques d iso lation identiques le mod le de maisons de ville en duplex superpos type 6 pr sente des besoins de chauffage unitaires par m tre carr habitable r duits de moiti par rapport au mod le de base du pavillon en rez de chauss e sans effet de mitoyennet type 1 Les consommations d pendent galement du rendement de l installation de chauffage Ainsi le bois peut conduire des consommations lev es en raison d un rendeme
120. ef 10 Cref 20 ena has HPE THPE en kWh m2 SHON an Application au 1er juillet 2007 BBC 65 kWh m an pour la zone H1 a 50 kWh m an en moyenne m tropole on ec arag nergie primaire Indice nerg tique thermique LE Vena one Minergie S 42 ine an que Electricit coefficient 2 Bois coefficient 0 5 Minergie P Indice 30 kWh m an Cf Minergie S Passivhaus 15 kWh m an Chauffage seul besoins nergie positive Production nergie sup rieure a la consommation d nergie Illustration 84 Consommations unitaires et labels 1 NB dans la RT 2005 la consommation d un b timent est exprim e en nergie primaire ep et est d finie par la Consommation d nergie finale quantit d nergie disponible pour l utilisateur final affich e sur les factures nerg tiques multipli e par un coefficient d finit selon l nergie n cessaire sa production En France on consid re les quivalences suivantes 1 kWh gaz final 1 kWhep 1 kWh fioul final 1 kWhep 1 kWh elec final 2 58 kWhep ce coefficient est li aux pertes du r seau et au rendement des centrales 146 m PARTIE SCENARIOS ENERGETIQUES Par exemple l indice thermique adopt par Minergie adopte des coefficients de conver sion l g rement diff rents de ceux qui ont t adopt s en France coefficient de 1 pour les fossiles de 2 pour l lectricit et de 0 5 pour le bois Pour l obtention du label BBC les solu
121. elle soit dans B les espaces collectifs La quantit de d chets de jardins l gumes fruits est d environ 90 kg pers an Pour une collecte par la municipalit le volume doit tre de 0 25 m par logement Pour une production de compost il faut pr voir m Une zone ombrag e et prot g e de la pluie Une installation comprenant au moins trois compartiments Un remplissage alternant d chets secs bruns et d chets humides verts ce qui r duit les odeurs Pour les logements pourvus de jardins de surface inf rieure a 200 m un volume de 200 a 500 litres est suffisant 4 Les abris v lo Un local v lo devrait avoir une taille minimale 3m Dans l habitat collectif une surface de 1 a 1 5 m par logement est recommand e par la Communaut Urbaine de Strasbourg A d faut de local affect chaque logement il est possible d implanter des boxs collectifs le plus souvent entour s par une cloison ou un grillage prot g s des intemp ries bien clair s Un emplacement v lo sous abri peut co ter de 250 a 500 selon la qualit du modele retenu Source Genevi ve Laferrere Station ner en ville quelle place pour le v lo 2002 http www echosvelo net Les principes retenir sont les suivants m Pouvoir attacher le cadre et une roue de v lo un point fixe Pouvoir acc der ais ment et rapidement au garage v lo local accessible niveau avec por
122. eme basique pour WC et arrosage jardin 4 quipement en ampoules basse consommation 5 Incitation l utilisation d lectrom na ger de classe A volets roulants fonctionnement auto matique 3 Briques monomur de 20 isolation ext rieure 4 Chauffage lectrique PRE ou gaz naturel avec chaudi re condensation 5 Planchers b ton avec rupteurs de ponts thermiques ou recours au bois 2 Etanch it l air 3 Huisseries et occultations hautes performances triple vitrage 4 Conception utilisation de l nergie solaire passive 5 ECS solaire 6 Protection solaire compl mentaire par toiture v g talis e D Faisabilit conomique performance et int r t du produit CLASSE C Faisabilit Les apports correspondent par rapport au standard de la maison populaire une plus value de l ordre de 10 000 soit environ 5 000 apr s aides publiques Performances int r t Les conomies de charges devraient tre de l ordre de 500 800 an CLASSE B Faisabilit Les prix de construction de vraient tre de 30 000 TTC sup rieurs ceux d une construction conventionnelle Performances int r t ll est possible de d velopper un type d architecture qui s adapte bien sur de petits terrains d o une conomie fonci re possible PARTIE 3 SC NARIOS NERG TIQUES CLASSE A Faisabilit De telles maisons devraient pouvoir se c
123. ements des usagers CONCEPTION BIOCLIMATIQUE m 21 CONCEPTION BIOCLIMATIQUE 21 juin 4 Plantations pour prot ger contre une surchauffe en t 9 21 mars septembre a 0 21 d cembre Sud ouest A d gager de toutes plantations hautes Illustration 18 Sch ma de conception bioclimatique appliqu e au label Passivhaus Les protections v g tales cart es pour le secteur sud est a sud ouest pourraient s av rer utiles en t dans la r gion lle de France Schema d apres PHI amp Passivhaus Luxembourg 22 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION VOLET CO T GLOBAL Avantages C est un systeme peu co teux et efficace pour r aliser des conomies d nergie et am liorer le confort puisqu il se r sume la prise en compte en amont du projet des aspects bioclimatiques d s la conception du plan masse par une approche environ nementale ou bioclimatique de l urbanisme Points de vigilance N cessit d une bonne coh rence dans la conception volum trie orientations mat riaux protections solaires gestion de l air n cessitant une comp tence en thermique par mise en uvre d une simulation dynamique de pr f rence Les diff rents postes du co t global Investissement Les r gles volum triques de compacit tendent plut t r duire les surfaces d enveloppe volume donn donc les co ts associ
124. en alterna tive la voiture particuli re pour les d place ments de proximit Le s chage du linge dans un local a r sans recours l quipement lectrom na ger car c est un poste gros consommateur d lectricit m Le stockage du bois pour l utilisation en insert ou en po le bois qui constitue un appoint significatif dans le cas d un chauf fage lectrique exemple du plancher radiant lectrique PRE compte tenu de l l vation du co t des nergies fossiles le bois est devenu le combustible le plus conomique condition de l employer dans des appa reils de tres bon rendement et de faible mission de particules Toutes ces fonctions doivent tre analys es afin de faire l objet de r ponses appropri es Les crit res de conception reposent principa lement sur les points suivants m Une taille suffisante pour les fonctions abrit es m Une facilit d acc s selon les trajets les plus appropri s m Une facilit d entretien et de maintenance m Des conditions de confort et de sant suffisantes lumi re et ventilation naturelles temp ratures d air m Un impact environnemental r duit envers le voisinage imm diat qu il s agisse du loge ment lui m me ou des parcelles voisines nuisances sonores et olfactives PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION LOCAUX ANNEXES eee m Une flexibilit des usages exemple du garage si le nombre de v h
125. ent avec de longues p riodes sans demande Enfin la temp rature de l eau utilis e dans le circuit de chauffage est plut t basse entre 30 et 50 C alors que l eau sanitaire est beau coup plus chaude entre 45 et 60 C C est pourquoi pour satisfaire ces besoins contradictoires de multiples solutions plus o moins sophistiqu es novatrices et inventives ont vu le jour La r gulation est un l ment indispensable au bon fonctionnement du syst me Son r le est de donner la priorit l nergie solaire chaque fois que celle ci est disponible Elle doit moduler l nergie d appoint apporter pour maintenir la temp rature de confort sans ensoleillement et assurer la production d eau chaude sanitaire suffisante Avantages m Le chauffe eau solaire valorise en toute s curit une nergie naturelle propre et in puisable et vite le rejet dans l atmosph re de plusieurs centaines de kg de CO m L eau est produite bonne temp rature de l ordre de 45 60 Les conomies r alis es repr sentent de 50 70 des d penses d nergie n cessaires la production d eau chaude sanitaire Illustration 59 Les capteurs solaires thermiques en toiture Usage optimis du solaire thermique pour une maison et sa piscine Avon 77 Source ARENE 78 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES 5 ot 6 o 2 5 3
126. es bois Label Flamme Verte pour les quipe ments Pas de mise en uvre particuli re pour les po les R f rence Quelques r f rences pour les po les bois Pas de r f rences chaudi res individuelles au bois pour les logements individuels en lle de France VOLET MARKETING CO T SOCI TAL L utilisation de chemin es avec inserts ou de po les bois en compl ment d un chauffage lectrique effet joule est tr s courante Pour les m nages cela repr sente plusieurs avantages conomie cela soulage d autant la consommation d lectricit Plaisir plaisir du foyer centre de la vie familiale plaisir de l entretien du feu d s l or o ce n est pas une obligation gr ce la co solution lectrique Bonne conscience un acte cologique B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit L investissement est r duit car la r glemen tation thermique impose de toute facon un conduit de chemin e dans les maisons quip es d un chauffage lectrique a effet joule que vient compl ter un cr dit d imp t de 40 sur le po le Le probl me reste celui de l approvisionne ment en bois Les plaquettes et granul s ne sont disponi bles que dans certaines r gions Le tout bois reste limit 8 certaines zones L approvisionnement en b ches peut tre organis entre les habitants dans le cadre d un lotissement ou d un village
127. es estivales Certains vitrages permettent ga lement de garder la chaleur l hiver Mais les vitrages avec contr le solaire sont surtout recommand s pour les b timents tertiaires R duire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant E 8 88 8 1 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LES VITRAGES IA LES VITRAGES 45 LES VITRAGES VOLET CO T GLOBAL Les diff rents postes du co t global Investissement Co ts en fonction de l paisseur 4 12 4 4 16 4 en HT m fourni pos Double vitrage standard 45 HT 48 HT Double vitrage faiblement missif 60 HT 62 HT Double vitrage remplissage argon 66 HT 69 HT Double vitrage phonique 70 HT 75 HT Double vitrage contrdle solaire 52 HT 56 HT Triple vitrage 28 mm 110 HT Illustration 36 Co ts compar s de diff rents types de vitrages Economie de charges Les vitrages sont des parois d perditives Le simple fait d am liorer la qualit des vitrages d un batiment engendre des conomies sur le chauffage Entretien maintenance n y a pas de surco t d entretien et mainte nance li s a ces types de vitrages VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Pas de contrainte de mise en uvre particuli re technique tr s r pandue nombreuses soci t s de fourniture et multiples entreprises de pose de ch ssis
128. es confor mes tous les crit res de sa cat gorie Ceci se traduit pour les peintures par les crit res suivants m La quantit de pigment blanc est r duite tout en continuant garantir un recouvrement suffisant Les pigments sont produits selon des crit res cologiques rigoureux Le produit lib re moins de solvants Le produit ne contient pas de m taux lourds ni de substances toxiques ou canc rig nes Illustration 79 A colabel europ en Cr en 1992 il est reconnu dans les 25 pays de l Union Europ enne yz europ en Illustration 80 FA Marque NF Environnement a Cr e en 1991 la marque est g r e et d livr e par AFAQ AFNOR Certification LES PEINTURES COLOGIQUES 127 En France AFAQ AFNOR Certification est aussi l organisme en charge de la gestion et de l attribution de Ecolabel LES PEINTURES COLOGIQUES Le conditionnement ll existe aujourd hui des conditionnements de plus de 200 litres permettant de r duire les mat riaux d emballage Certains condi tionnements sont constitu s d une poche en mat riau de synthese avec un sur emballage cartonn et livr sur palette bois VOLET CO T GLOBAL Avantages m Outre l impact sur la sant et l environne ment les peintures naturelles sont de bonne qualit et ont un bon pouvoir couvrant m Leur prix est souvent comparable aux peintures synth tiques de bonne qualit
129. es d eau croissant avec la longueur des conduites Mutualisation des emplacements des bacs de stockage d ordures m nag res diminution des charges de collecte PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS m 17 SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS VOLET CO T GLOBAL Avantages inconv nients deux niveaux d analyse souvent oppos s pour le m nage et pour la collectivit 65 inconv nients de la faible densit extension des r seaux co t des servi ces sont majoritairement report s sur la collectivit En premiere analyse les niveaux de pres tations environnementales lev s favorisent les densit s moyennes dans la limite du petit collectif b n ficiant d un traitement appropri de l acoustique de l clairage naturel et de la ventilation traversante Les diff rents postes du co t global Investissement Le suppl ment de budget consacr aux voiries et r seaux dans les lotissements pavillonnaires en comparaison des formes urbaines plus denses rend plus difficile la prise en compte des investissements n ces saires la neutralit en carbone L investissement dans une enveloppe performante d croit avec la contiguit entre logements les surfaces verticales sont r duites de 30 entre le pavillon isol en rez de chauss e et la maison de ville en R 1 en rang e de 10 maisons Cette diff rence pour
130. es derni res ann es et aujourd hui ce type de chauffage peut tre consid r comme relativement grand public B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit Avec des capteurs horizontaux il corres pond un investissement pour le m nage de l ordre de 20 25 000 et des d penses en consommation de l ordre de moiti par rapport au fuel Les primes locales et incitations fiscales ram nent actuellement le niveau d investissement celui d un chauffage central classique Les capteurs verticaux restent p nalis s par le co t des forages La demande des m nages acqu reurs d une maison individuelle est devenue tr s forte pour ces quipements de chauffage les motiva tions s accumulent B n ficier du confort d un chauffage central sans d pendre des hausses pr visibles du prix des nergies fossiles m Ces chauffages tant r versibles b n ficier du rafra chissement d t m Se donner une image de citoyen responsa ble et cologiste Profiter de l effet d aubaine des aides publiques D E F cologie Sant Confort EI B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 27 ordre LA GEOTHERMIE BASSE TEMPERATURE m 9 1 COMPLEMENT TECHNIQUE La POMPE CHALEUR PAC Principe de fonctionnement La Pompe Chaleur PAC permet de produire de la chaleur partir de l nergie puis e dans l environnement Cet appareil
131. es ou diurnes La serre est un espace difficile ma triser thermiquement et peut tre source de surconsommation d nergie si elle est quip e d un dispositif de chauffage Les gains de chauffage d pendent tr s fortement du comportement de l utilisateur Le profil environnemental de l nergie solaire passive est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit Action forte 1 ordre Le fonctionnement thermique de la v randa repose sur la transformation du rayonnement solaire en rayonnement de grande longueur d onde mis par les surfaces int rieures expo s es au soleil direct dalle et parois verticales de pr f rence en maconnerie Le mur s paratif entre la v randa et l espace de vie contribue la restitution de la chaleur puisqu il assure la fonction de stockage de la chaleur Le transfert de chaleur s op re g n ralement par le syst me de renouvellement d air du logement Dans la conception d une serre il convient de traiter deux points en particulier m L inclinaison et l orientation du vitrage l orien tation privil gi e de la serre s tend du sud est au sud sud ouest Un vitrage horizontal ou peu inclin r cup re peu d apports en hiver et accro t les risques de surchauffes en t La fonction d t la serre doit obligatoirement comporter des protections solaires ainsi que des ouvrants en partie basse et en partie haute
132. es photovolta ques L element de base est la cellule photovol ta que expos e a la lumi re elle absorbe l nergie des photons lumineux La tension de sortie d une cellule photovolta que est faible 0 6V C est pourquoi les cellules sont mises en s rie lectrique puis encapsu l es entre une plaque de verre l avant et un autre mat riau tanche l humidit l arri re PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Elles forment ainsi un module photovolta que Selon les technologies et le type d usage qui en est fait ce module pr sente une surface de 0 1m 10W 1m 100W valeurs moyennes indicatives et d cline des tensions de 12V 24V ou 48V selon l application Photo SOLENER LE SOLAIRE PHOTOVOLTA QUE 81 LE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE Les membranes photovoltaiques Ce sont des membranes d tanch it synth ti ques pour toitures terrasses sur lesquelles sont int gr s en usine des modules photovolta ques souples produisant de l lectricit avec des ren dements sup rieurs 20 Elles sont simples mettre en uvre et s adaptent toutes les formes de toiture La membrane photovolta que offre toutes les caract ristiques requises pour l tanch it en toiture faut 20 23 de membrane pour assurer une puissance photovolta que de 1kWc Photo SOLENER 4 Illustration 62 Membrane photovolta que
133. es professionnels www interbat com Construction des Fen tres de la construction Facades et Activit s Associ es ITEBE Institut Technique Europ en du www itebe org societe GEP Exemples de systemes de www gep umwelttechnik com Bois Energie r cup ration d eau de pluie indexe html LCPC Laboratoire Central des Ponts et www lcpc fr col eote Der Chauss es SYNTEC Ing nierie federation professionnelle www syntec fr tablissement Public caract re UCI FFB Union des Constructeurs www uci ffb fr Scientifique et Technologique Immobiliers EPST f d ration professionnelle LEGIRAMA Service d informations techniques www legirama com UESL Union d conomie Sociale pour www uesl fr et r glementaires e Logement Le Moniteur des travaux publics f d ration professionnelle et du batiment UNCMI Union Nationale des Construc www uncmi org Observ ER Observatoire de la Qualit de l Air www observ er org teurs de Maisons Individuelles Int rieur f d ration professionnelle OIEAU Office International de l Eau www oieau fr UNEP Union Nationale des www entreprisesdupaysage org OREE Organisation pour le Respect de www oree org Entrepreneurs du Paysage l Environnement par l Entreprise f d ration professionnelle OTUA Office Technique pour l Utilisation www otua org UNSFA Union Nationale des Syndicats www unsfa com de l Acier Francais d Architecture Rhonalp nergie Environnement www raee org federation professionnelle UNTEC Union Nationale
134. faible emprise au sol mais les forages sont plus chers que pour les capteurs horizontaux Les capteurs verticaux entra nent moins de contraintes dans la gestion du terrain et leur performance est plus constante Par contre il est n cessaire de faire appel des profession nels sp cialis s dans le forage g othermique vertical faut galement faire toutes les d marches administratives sur la protection du sous sol ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental de la g othermie basse temp rature est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant El Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 90 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LA G OTHERMIE BASSE TEMP RATURE VOLET CO T GLOBAL Avantages Par rapport 8 d autres nergies renouvela bles la g othermie pr sente l avantage de ne pas d pendre des conditions atmos ph riques soleil pluie vent ni m me de la disponibilit d un substrat comme c est le cas de la biomasse C est donc une nergie fiable et stable dans le temps Le coefficient de performance annuel varie selon l efficacit des syst mes de 2 5 a 4 voire au del Dans tous les cas est sup rieur aux systemes thermodyna
135. gement ou encastr s dans la surface habitable Ces volumes vitr s augmentent la surface habitable mais titre temporaire en diff rences de confort qui peu dr es tr s variables en 3S ou diurnes La serre est ile ma triser thermiquement tre source de surconsommation d nergie si elle est quip e d un dispositif de chauffage Les gains de chauffage d pendent des tre engen er et l t entre alre passive est le suivant tr s fortement du comportement de l utilisateur Le fonctionnement thermique de la v randa repose sur la transformation du rayonnement solaire en rayonnement de grande longueur d onde mis par les surfaces int rieures expo s es au soleil direct dalle et parois verticales de pr f rence en ma onnerie Le mur s paratif entre la v randa et l espace de vie contribue la restitution de la chaleur puisqu il assum Dans la de eption d une serre il convient er deux points en particulier inclinaison et l orientation du vitrage l orien tation privil gi e de la serre s tend du sud est au sud sud ouest Un vitrage horizontal ou peu inclin r cup re peu d apports en hiver et accro t les risques de surchauffes en t m La fonction d t la serre doit obligatoirement comporter des protections solaires ainsi que des ouvrants en partie basse et en partie haute permettant d vacuer les surchauffes par circulation de l air
136. hauteur du toit distance depuis la voie publique possibilit s d acces Pour les petits projets la mise en oeuvre co te g n ralement 10 15 HT m pour les grands projets le co t descend a 5 m et parfois m me moins donn es bas es sur la situation conomique de fin 2004 Pour les toits plats les prix de fourniture HT sont les suivants Surface m 10 Syst me complet avec tapis m 50 Syst me complet avec semis m 25 50 100 500 1000 5000 35 30 28 25 22 20 18 16 14 12 Illustration 73 Comparaison des prix de 2 solutions de v g talisation extensive PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MA TRISE DE L EAU Poste entretien maintenance Maintenance Th oriquement un contr le annuel doit tre effectu par une entreprise sp cialis e et qualifi e Les contr les portent notamment sur la bonne tenue des relev s d tanch it et des raccordements des trop pleins d vacuation aux descentes d eau pluviales Pour les toitures une v rification annuelle des dispositifs d vacuation des eaux pluviales est souhaitable Un nettoyage devra tre effectu en cas d accumulation de d bris L entretien des v g taux se limite m l arrosage de la terrasse ou de la toiture si la pluviom trie cumul e est inf rieure 10 mm sur 30 jours cons cutifs Exceptionnellement l apport d l ments nutritifs LES TOITURES VEGETALES m
137. hitectes fassent preuve de talent pour sauvegarder dans de telles maisons assez de r f rents de classicisme m Les m nages veulent sauvegarder leur intimit c t rue Toutes les fa ades nord ne peuvent pas tre sur rue Les fa ades nord sur rue devront tre travaill es pour marquer le standing de la maison D E E cologie Sant Confort 6 65 majeur 1 ordre 50 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION 58 B n fice secondaire 2 ordre L NERGIE SOLAIRE PASSIVE MODE D EMPLOI DES FICHES MTD CONSTRUCTION 33 Volet marketing Les b n fices pour le client CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE VOLET DESCRIPTIF Le principe de l isolation r partie consiste en des murs construits avec des mat riaux pais qui sont la fois isolants et porteurs Utilis e en construction neuve l isolation r partie est aussi int ressante dans le cas d une r habili tation lourde extension ou sur l vation Ces blocs de construction offrent des performan ces sup rieures aux blocs de construction courants a condition de pr voir des pais seurs d au moins 30 cm lls ne n cessitent pas de compl ment d isolation si on reste au niveau de la RT2005 Trois grandes familles existent sur le march 65 blocs et panneaux hauteur d
138. i 2000 TIC 3600 TTC bruyantes donc g nantes en particulier pose Illustration 54 Co ts compar s de syst mes de ventilation double flux Entretien maintenance L entretien est plus important que pour une ventilation simple flux conomie de charges Rentabilit sur 10 ans Les entreprises de g nie climatique montent aussi bien de la ventilation simple flux que de la ventilation double flux oD E F Ecologie Sant Confort El B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 27 ordre 72 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES VOLET FAISABILIT ET R F RENCES R f rence Peu d installation double flux en France en logement la VMC simple flux reste largement majoritaire en logement VOLET MARKETING CO T SOCI TAL La VMC double flux doit tre pr sent e comme une prestation de confort et de sant plut t que comme un quipement destin a conomiser l nergie m La plus value d investissement sera pour le client de l ordre de 2 500 par rapport une VMC simple flux et les conomies d nergie avoisineront 200 300 par an Le systeme permet de vivre fen tres fer m es dans un air sain car filtr Il isole des pollutions et des bruits de l ext rieur ce qui est important en zones urbaines VENTILATION DOUBLE FLUX VENTILATION NATURELLE VOLET DESCRIPTIF Le r le de la ventilation
139. icules abrit s est r duit Une contribution la qualit spatiale et la performance bioclimatique du logement protection climatique en volume tampon au nord masque vis a vis du rayonnement solaire l ouest marquage de la fronti re public priv de la parcelle r duction des vis vis etc La question des locaux annexes fortement 166 au mode de vie actuel introduit le d bat sur le produit logement en quoi les loge ments projet s aujourd hui apportent ils des r ponses des aspirations contemporaines d habiter dans une forme urbaine appropri e 7 1 Le stationnement des v hicules Les typologies de garages et de surfaces de stationnement multiples comprennent galement les solutions collectives l chelle d une op ration Surface de stationnement ext rieure au logement Cette solution qu elle soit ou non associ e un garage permet de limiter la min ralisation du sol Inconv nient m Les pav s poreux et les joints engazonn s peuvent devenir imperm ables au terme de cinq ans Photo Philippe LAJUS Illustration 19 Stationnement engazonn d tail Quartier Vauban Fribourg Allemagne LOCAUX ANNEXES m 23 LOCAUX ANNEXES Pergola ou auvent Un abri d une place mat rialis sous forme l g re pergola ou auvent est une configura tion courante pour les maisons de ville Avantage 001 reduit min ralisation totale du sol non ind
140. iel lement assur s par la r cup ration d eaux pluviales sous r serve d autorisation d parte mentales sp cifiques Le dimensionnement et les caract ristiques du syst me de r cup ra tion doivent tre ad quats cf 2 8 4 R cup ration des eaux de pluies Les usages non alimentaires de l eau Les consommations li es aux diff rentes utilisations domestiques varient en fonction du mat riel et de son anciennet des habitudes de chacun ainsi que des mauvais r glages ou des fuites De mani re g n rale les consommations se situent dans les fourchettes suivantes m Dans la cuisine Vaisselle la main 10 12 litres Lave vaisselle 25 40 litres Lave linge 70 120 litres m Dans les toilettes Chasse d eau 6 12 litres par utilisation Chasse d eau double commande 8 6 litres par utilisation Dans la salle de bains Toilette au lavabo 5 litres par utilisation Douche 5 min 60 80 litres Bain 150 200 litres m Usages ext rieurs Lavage du v hicule 200 litres Arrosage du jardin 15 20 litres m Remplissage d une piscine 50 000 80 000 litres MAITRISER LES CONSOMMATIONS D EAU m 103 MAITRISER LES CONSOMMATIONS D EAU La ma trise des consommations d eau potable La pr servation des ressources en eau potable passe par deux objectifs m Limitation de la consommation d eau D tecteurs de fuites d eau et
141. ien particulier Point de vigilance Ce sont les huisseries dont le co t est le plus lev R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant i Action secondaire 2 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LES HUISSERIES m 47 LES HUISSERIES VOLET CO T GLOBAL Chacun des systemes pr sente des avantages et des inconv nients s agit donc de d ter miner le plus pr cis ment possible les besoins et l utilisation de ces huisseries de mani re opter pour le meilleur de ces l ments Les diff rents postes du co t global Investissement husseneser AA TYPE DE VITRAGE PSU remplissage argon PVC 300 HT m2 ALU 350 HT m BOIS 370 HT m BOIS capot Alu 400 HT m Illustration 37 Co ts compar s des diff rents types d huisseries 48 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE Entretien maintenance La part d entretien maintenance varie selon le type d huisseries Retenons que l entretien est le plus important dans le cas d une menuiserie bois car la maintenance comprend le traitement du bois et sa tenue dans le temps VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Le PVC est le plus r pandu suivent le bois et l aluminium moins fr que
142. ies d nergie quiper un logement avec les quelques l ments cit s plus avant est un bon inves tissement commercial d un co t objectif tr s inf rieur sa valeur psychologiquement attribu e par le consommateur D E F Ecologie Sant Confort El B n fice majeur 1 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU B n fice secondaire 27 ordre MAITRISER LES CONSOMMATIONS D EAU m 105 VOLET DESCRIPTIF Les toitures v g tales permettent de stocker et de freiner l coulement des eaux pluviales et vitent l engorgement des canalisations lors de violents orages Elles peuvent jouer un r le de filtre vis vis de la contamination des eaux de pluie Les toitures v g tales sont des techniques largement d velopp es dans de nombreux pays europ ens mais qui restent cependant peu connues en France ll existe plusieurs types de toitures v g tales les toitures v g talisation intensive qui peuvent accueillir des plantes et des arbustes semi intensive d une paisseur moindre et les toitures v g talisation extensive Substrat et v g taux Dispositif de s paration Zone st rile Illustration 70 Sch ma de principe d une toiture terrasse v g talis e El ment porteur Ces derni res disposent d un syst me d tanch it r sistant la p n tration des racines Celui ci est recouvert d un complexe drainan
143. ieur car le logement met plus longtemps se r chauffer B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit L argument essentiel est technique et doit tre expliqu L enveloppe ext rieure isolante est la seule facon de supprimer tous les ponts thermiques et de garantir l tanch it l air les r gle mentations thermiques venir impliqueront cette technique et les logements traditionnels appara tront comme obsol tes et seront plus difficiles revendre D E F cologie Sant Confort EI B n fice majeur 1 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE B n fice secondaire 2 ordre L ISOLATION PAR L EXT RIEUR m 43 VOLET DESCRIPTIF ll existe un grand nombre de types de vitrages avec pour chacun d entre eux des sp cificit s en termes de confort thermique conductivit et facteur solaire du vitrage visuel trans mission lumineuse et acoustique indice d affaiblissement est donc important de d terminer selon l usage qu on compte en faire les vitrages les plus appropri s Double vitrage standard ll peut tre de type 4 12 4 ou 4 16 4 c est dire qu il est constitu de deux verres de 4 mm s par s par une lame d air de 12 ou de 16 mm En comparaison a un simple vitrage les d perditions thermiques sont r duites de 40 minimum VOLET ENVIRONNEMENTAL m Double vitrage fai
144. inclin s vers le nord ce qui limite les surchauffes en t sous r serve de mesures de protection solaires compl mentaires 12 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION Photo Anne Claire SALIOU VOLET ENVIRONNEMENTAL Avantages m L ensoleillement contribue au confort des pi tons en saison froide il est mieux r parti entre les deux trottoirs pour les rues d axe nord sud m Les expositions sud l chelle de l op ra tion favorisent une conception bioclimati que pour l ensemble des logements Points de vigilance m Risque de d densification du tissu urbain qui peut tre att nu en valorisant les espaces au nord Illustration 5 BedZED Sutton Angleterre Insertion d espaces de travail avec sheds vers le nord Arch Bill Dunster m Risque d orientation syst matique au sud qui peut tre att nu en associant plusieurs configurations constructions parall les aux voies E O et construction en pi sur les voies N S VOLET CO T GLOBAL Avantages m L orientation pr f rentielle au sud pour les logements permet de r duire les co ts de chauffage par une bonne exposition au soleil d hiver Les co ts de voirie peuvent galement tre maitris s par une optimisation de la forme urbaine trac des voies prospect etc PLAN DE MASSE ET ENSOLEILLEMENT O Photo Anne Claire SALIOU VOLET DESCRIPTIF Le choix d une typologie de logement
145. int gr Ces proc d s ont l avantage d tre faciles poser ils n cessi tent peu d entretien et pr sentent une bonne durabilit En revanche des contraintes architectura les et ou administratives peuvent entra ner un refus de l isolation par l ext rieur d une construction existante car la fa ade est modi fi e Elle doit donc faire l objet d un permis de construire L ISOLATION PAR L EXT RIEUR m 41 L ISOLATION PAR L EXT RIEUR VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une isolation ext rieure est le suivant Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant El Action forte 1 ordre Action secondaire 274 ordre De r aliser des conomies de co t de main tenance par une protection du b ti contre les chocs thermiques par la suppression des risques de condensation a l int rieur des logements par une moindre fr quence des ravalements de facade VOLET CO T GLOBAL Avantages L isolation par l ext rieur de type mur man teau pr sente de nombreux avantages En effet elle permet m De b n ficier de l inertie thermique des l ments de structure pour une r cup ration accrue des apports solaires en hiver et une meilleure r gulation des surchauffes en t De limiter les po
146. internes et des gains solaires passifs par les surfaces vitr es Les principes qui r gissent les crit res d attributions de ces certifications par ailleurs marqu es par une certaine rigueur et une r alit des v rifications sur chantier sont cependant diff rents des n tres notamment sur les limites maximales des consommations d nergie Le label Passivhaus correspond une consommation totale d nergie inf rieure a 120 kWh m an incluant la consommation PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DES LOGEMENTS ARGUMENTAIRE TECHNIQUE ET COMMERCIAL m 7 LABELS CERTIFICATIONS ET INCITATIONS d nergie pour l eau chaude sanitaire le chauffage les consommations pour l clairage la ventilation les auxiliaires les quipements lectro domestiques Les besoins de chauffage ne doivent pas exc der 15 kWh m an Le label suisse Minergie correspond quant lui une consommation totale d nergie inf rieure 42 kWh m an incluant la consommation d nergie pour le chauffage et l eau chaude sanitaire En France le label Minergie est attribu par l association Prioriterre C est sur le mod le de Minergie que l asso ciation Effinergie en France a propos des niveaux de performances qui se retrouvent maintenant dans le label BBC B timent Basse Consommation MODE D EMPLOI DE VARGUMENTAIRE L argumentaire se compose de trois parties compl mentaires mais ind pendantes les unes des autres Ch
147. inuer l tendue doit tre un des premiers objectifs de la r novation ayant pour but l am lioration de l efficacit nerg tique Solutions ll est possible de supprimer certaines fuites d air en posant des coupe bise des joints d tanch it des produits de calfeutrage et du ruban adh sif Lors de chaque tape d iso lation il est n cessaire de poser un pare air ou r parer celui install L tanch it d un local ou d un b timent est obtenue par une enveloppe qui emp che la sortie aussi bien que l entr e d air La bonne qualit d tanch it d un b timent d pend en grande partie de la pr cision d ex cution des travaux Mais pour rendre un b timent tanche il est surtout n cessaire de savoir 8 quels endroits l habitation n est pas tanche L gende 2 Linteaux de baies 6 Trappe des combles Appuie fen tre 7 Joint toiture mur Joint mur dormant 8 9 Sections de plancher Chemin e toiture 10 Plafonnier 11 Prises interrupteurs Illustration 41 Localisation des infiltrations d air dans une habitation Sch ma d apr s le Centre d Etude Technique de l quivement CETE Proc dure de contr le de la perm abilit l air en phase chantier Le test de perm abilit de l air ou infiltro m trie consiste d celer visualiser et valuer les fuites d air de l enveloppe d un b timent les ch ssis de portes et de fen tres les fissures la ma onnerie
148. ire de la lame d air se produit apr s l arr t des apports directs transmis par des parois vitr es En p riode nocturne ou lors de journ es o les apports solaires sont faibles la thermocir culation doit tre interrompue par fermeture des registres de ventilation m nag s dans le mur LE MUR TROMBE 51 LE MUR TROMBE Fonctionnement en p riode estivale Pour assurer de bonnes conditions de confort en p riode estivale l objectif est de limiter au maximum les apports thermiques vers le local Durant cette p riode est important de noter que les apports solaires sur une paroi verticale orient e au sud sont moins importants du fait de la hauteur du soleil ces apports pouvant tre r duits par un d bord de toit correcte ment dimensionn La temp rature ext rieure est n anmoins lev e et le mur r cup re ainsi une importante quantit de chaleur Cette nergie se transmet la lame d air ventil e o la circulation de lair est bloqu e pour emp cher tout apport d nergie par thermocirculation Cette lame Illustration 40 Description architecturale du mur Trombe en plan d air ventil e devient donc une lame d air ferm e et constitue une premi re barri re VOLET isolante La seconde barri re est constitu e par l isolant thermique int rieur ce qui limite E NVI RO N N E M E NTAL fortement les apports Le profil environnemental d un mur trombe est le suivant
149. is Avantages Les huisseries bois ont de tr s bonnes per formances en termes d isolation thermique et minimisent la sensation de paroi froide pouvant exister a proximit des ouvertures m Avec l utilisation de bois lamell coll on peut facilement adapter ce type de huisse 65 8 des baies vitr es de diverses tailles Par ailleurs le bois est un produit naturel et recyclable n cessitant peu d nergie lors de sa fabrication et pr sentant un bilan carbone n gatif captation du CO Points de vigilance Le co t d investissement le bois est plus on reux que les huisseries en aluminium ou en PVC m L entretien peinture lasure Toutefois il existe des moyens pour minimiser ce probl me en vitant de multiplier les ouver tures l ouest Vents dominants en les prot geant par de larges d bords de toiture en optant pour des huisseries bois capot es aluminium c t ext rieur Le PVC Avantages Le polychlorure de vinyle pr sente de bon nes performances thermiques pour un prix relativement peu lev par rapport au bois Points de vigilance m Les montants sont g n ralement plus pais que dans le cas du bois ou de l aluminium ce qui implique un clair de jour surface vitr e moins important en comparaison avec une menuiserie bois de m me dimension m En outre la durabilit du PVC est souvent surestim e ce mat riau r agit mal au rayonnement solaire et
150. ispensable Inconv nients Protection climatique limit e pour la pergola ombre li e a la v g tation m Usage compl mentaire limit ventuelle ment au stockage du bois pour l auvent Garage attenant sur cour maison de ville Un volume construit d une place ou plus rarement deux places attenant l entr e peut mat rialiser le front b ti et permet l ajus tement de la forme urbaine l orientation des voies dans le cas de voies d axe nord sud le logement peut tre en pi avec pignon sur rue les garages et les entr es assurant la continuit du front b ti Conception du garage Pr voir dans certains cas la reconversion en local d activit attenant la maison atelier par exemple condition de disposer de lumi re naturelle des ch ssis de toits pouvant tre Illustration 20 Stationnement sous pergola Quartier Vauban Fribourg Allemagne 24 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION Photo Anne Claire SALIOU ajout s si besoin et de distribution de chauf fage dans de bonnes conditions de confort et d conomie isolation ext rieure ou int rieure Avantages des volumes ferm s Meilleure protection contre les intemp ries et le vol Possibilit s de reconversion multiples Cr ation possible d une zone tampon sur la rue Points de vigilances Co t plus lev Artificialisation du sol sup rieure qui peut
151. istance aux intemp ries les modules photovolta ques sont recouverts d une couche transparente en TEFLON TEFZEL n accrochant pas la salet et sur la partie inf rieure d une couche imperm able en EVA thyl ne ac tate de vinyle Le caract re modulaire des panneaux photovolta ques permet un montage simple et adaptable des besoins nerg tiques divers Flexibilit la membrane ne pr sente ni verre ni cadre et s adapte toute forme de toiture L g ret un poids extr mement faible de seulement 4 3 kg m La technologie triple jonction exploite la partie vert bleu du spectre lumineux de fa on optimale ce qui garantit une production lectrique de 750 900 kWh kWc annuel Nord de la France La perte de puissance au fil du temps ne sera pas inf rieure 80 de la puissance minimum Pmin d termin e sur 20 ans compter de la date d achat Meilleure int gration architecturale Produit assurant la couverture int gration en toiture PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Points de vigilance G n raux e La fabrication du module photovolta que rel ve de la haute technologie et requiert des investissements d un co t lev e Le rendement r el de conversion d un module est faible de l ordre de 10 15 e nergie tributaire des conditions m t orologiques e Lorsque le stockage de l nergie lectrique sous forme chimique batterie es
152. itrages Cette solution est thermiquement plus efficace que les stores int rieurs et permet de prot ger les stores des intemp ries pluie vent Illustration 51 Store int gr au double vitrage Illustration 52 Brises soleil b timent SH3 Universit de Lille 1 59 Source ARENE Architectes AUAWL Kroll QUATR A Architectes associ s X Bouffard J L Leclercq 66 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LES PROTECTIONS SOLAIRES VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental des protections solaires est le suivant LES PROTECTIONS SOLAIRES Pr server les ressources Reduire les pollutions R duire Reduire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action forte 1 ordre VOLET CO T GLOBAL Avantages Ces systemes permettent une protection efficace contre l blouissement et les sur chauffes estivales Par ailleurs bien int gr s ils permettent souvent une mise en valeur architecturale du b timent Points de vigilance m Les syst mes motoris s stores demandent une maintenance plus importante et entra nent des consommations d nergie Les diff rents postes du co t global Investissement Les stores SCREEN co tent environ 61 par m de stores lorsqu ils ne sont pas motoris s et 152
153. l ordre de 1 Vol h ne suffit pas Illustration 56 Tour d extraction de ventilation naturelle Lyc e de Caudry Calais 59 Architectes QUATR A Architectes associ s x Bouffard J L Leclercq 74 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION EQUIPEMENTS NERG TIQUES Pour arriver g n rer des d bits de 6 10 vol h l ouverture des fen tres sur des fa ades oppo s es ou perpendiculaires est n cessaire On parle alors de ventilation traversante VENTILATION NATURELLE O Photo SOLENER VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental de la ventilation naturelle est le suivant VENTILATION NATURELLE A Pr server les ressources Reduire les pollutions R duire Reduire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre L air peut tre contamin au cours de son passage au travers de l enveloppe de la VOLET CO T GLOBAL maison impossibilit de faire recirculer et de filtrer Pair ambiant Avantages Impossibilit de r cup rer la chaleur va Une extr me simplicit avec un minimum cu e le syst me est donc tr s nergivore de travaux contrairement une ventilation m canique m Pas d encombrement car absence de double flux avec r cup ration de chaleur co
154. la laine de verre et valeurs du coeffi cient Lambda parfois l g rement inf rieures Impact n gatif sur la sant tr s r duit pour les isolants a base de lin ou de chanvre Contribution a la fixation de CO quoique faible en raison de la masse repr sent e de l ordre de 1 du poids total de la construction Points de vigilance Co ts plus lev s que ceux qui sont prati qu s pour les isolants conventionnels laines min rales mousses m Cellulose son application lib re des quan tit s importantes de poussi res faiblement biod gradables et doit tre r serv e aux entreprises sp cialis es Li ge les distances d approvisionnement de la mati re premi re en provenance du Maghreb du Portugal de la Corse gr vent le bilan environnemental Laine de verre Granulats de bois ISOLANTS D ORIGINE V G TALE Perlite 30 00 Vermiculite Ouate de cellulose RS O 1840 sss Laine de chanvre Chanvre vrac Lin en panneau _ _ gt _ __ ___ zz Laine de lin Il Laine de mouton Li ge en panneau A O 0 10 20 Liege en vrac 22 00 22 00 22 00 23 00 30 40 46 40 00 42 00 40 50 55 00 60 Illustration 78 Prix compar s de diff rents isolants
155. lac es en chambres et s jour Pair extrait plus froid est repouss vers la sortie La pulsion se distribue via un r seau de conduites verticales et horizontales dans les faux plafonds Les conduits verticaux d va cuation d air sont semblables aux conduits des syst mes simple flux et peuvent tre dispos s parall lement aux conduits verticaux d amen e d air PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES VENTILATION DOUBLE FLUX R cup rateur transf re la chaleur contenue dans l air vici extrait l air neuf souffler Buanderie Chambre Atelier Toilettes Garage Chambre Cuisine Circuit de soufflage Distribue dans les pieces principales de lair neuf r chauff et filtr Illustration 53 Schema g n ral d un circuit de ventilation double flux Sch ma d apr s ADEME VENTILATION DOUBLE FLUX m 71 VENTILATION DOUBLE FLUX VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental de la ventilation naturelle est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit Action forte 1 ordre VOLET COUT GLOBAL Avantages Le renouvellement d air peut repr senter 30 de la consommation d nergie de chauffage Une ventilation double flux avec r cup ration de calories sur l air extrait permet de r duire de 50 a 60 les d perditions par
156. le consommateur peut s interroger sur leur innocuit Les isolants d origine v g tale ou animale sont des mat riaux d avenir Mais leur co t la plus value pour une maison quivaut a celle d une cuisine am nag e les r serve pour l instant a une cible troite de m nages tr s sensibilis s la d fense de l environnement ou tr s pr oc cup s par le facteur sant D E F cologie Sant Confort B n fice secondaire 2 ordre ISOLANTS D ORIGINE V G TALE VOLET DESCRIPTIF Lors du choix de la peinture l objectif principal est de r duire l utilisation de trois groupes de substances les plus dangereux pour l environnement et la sant Les solvants organiques Pour les peintures naturelles les solvants sont d origine v g tale donc moins nocifs pour la sant puisque pr sents naturellement dans notre environnement ou enti rement diluables l eau Les agents actifs biocides pesticides permettent d allonger la dur e de vie du produit et de pr venir des attaques de champignons d insectes et de bact ries Ces produits sont toxiques il faut donc utiliser des peintures qui en sont d pour vues Les peintures naturelles contiennent des agents actifs non toxiques Les pigments contenant des m taux lourds viter les peintures aux couleurs vives contribuent la pollution de l environnement et induisent des risques sanitaires Les pein tures natu
157. les foss s www grandtoulouse org admin upload document 476 Fichetechnique_7_ _schema pdf Fiche descriptive sur les noues www aeu fr fr web_noue noues html Fiche ARENE Techniques d infiltration www areneidf org entreprises Fiches pdf Fiche_4 02 pdf ORGANISMES Office Internationale de l Eau OIEAU www oieau fr Institut Nationale de Recherche Agronomique INRA www inra fr Centre d information sur l eau CIEAU www cieau com F d ration Francaise du Paysage FFP www f f p org Agence de l eau Bassin Seine Normandie www eau seine normandie fr INFORMATIONS PAR TH MATIQUE INFORMATIONS PAR TH MATIQUE N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus FICHES TECHNIQUES Guide ADEME grand public isolation thermique http www ademe fr particuliers Fiches pdf isolation pdf CERTU M mento technique du b timent les fa ades http www certu fr ROOT customer documents pdf00101762 pdf FICHES PRODUITS 1 1 Isolation r partie Office Internationale de l Eau OIEAU www oieau fr SYNDICATS PROFESSIONNELS Isolation CTMNC Centre Technique de Mat riaux Naturel de Construction www ctmnc fr FFTB F d ration Frangaise des tuiles et briques www fftb org Guide ADEME grand public isolation thermique http www ademe fr particuliers Fiches pdf isolation pdf Fiche technique isolation en fa ade par PANAH 2 1 2 Isolation ext rieure www anah fr pdf Isolation_en_facade pdf Si
158. les plus visibles Avantages m Les chantiers sont plus propres la ma on nerie coll e donne l impression d tre plus nette de meilleure qualit m Le travail des ma ons est plus qualitatif et moins p nible poids limit des blocs de b ton cellulaire Inconv nient Les ma ons doivent tre sp cifiquement form s D E F cologie Sant Confort B n fice majeur 1 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE B n fice secondaire 2 ordre L ISOLATION R PARTIE m 39 VOLET DESCRIPTIF L isolation par l ext rieur valorise l inertie des mat riaux ce qui permet de mieux r cup rer les apports solaires Par ailleurs elle permet la suppression de nombreux ponts thermiques qui sont la cause d importantes d perditions notamment au niveau de la jonction des fa ades et des planchers L isolation ext rieure influe donc consid rablement sur la baisse de la consom mation de chauffage en comparaison une isolation par l int rieur En ce qui concerne la construction neuve l isolation ext rieure facilite ainsi l obtention du niveau de performance impos par la RT 2005 Elle vite galement la mise en place de rupteurs thermiques dont le co t est lev et la pose d un isolant int rieur de 15 20 cm qui peut entra ner une perte de surface jusqu 4 ou 5 m habitables En outre un simpl
159. limination s av re probl matique La combustion du bois ne g n re pas de soufre m Le CO rejet correspond la quantit absorb e lors de la croissance de l arbre Ce mode de chauffage n augmente donc pas l effet de serre dans la mesure o on replante autant de bois qu on en coupe m Les cendres riches en l ments min raux peuvent servir de fertilisant pour l agriculture Un rendement nerg tique minimum de 65 Une mission de gaz effet de serre minimum seuil maximum d mission de gaz polluants 1 du volume des fum es Cette charte participe ainsi la protection de notre environnement VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental du bois nergie est le suivant Points de vigilance m La concurrence du prix du gaz mais pour combien de temps encore 7 m L image traditionnelle d une utilisation du bois contraignante L approvisionnement en bois d chiquet ou sous forme de granul s peut s av rer probl matique en raison du peu d entreprises de fabrication Pr server les ressources R duire les pollutions Reduire Reduire les nuisances Am liorer nergie Mati re Eau Biodiversit Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant A 1 11 DN TT JJ Jr IT Action forte 1 ordre Action secondaire 2 ordre 86 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION
160. lisation de l espace permet d atteindre des densit s urbaines lev es partir d habitations individuelles Le tissu urbain d une maille d environ 72 m tres x 36 m tres est compatible avec des activit s conomiques diverses PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION Ilustration 6 Mod le machiya sur deux niveaux avec cour centrale Des parcelles tr s profondes permettent la recherche d intimit On retrouve cette confi guration dans nombre de villes occidentales qui se sont d velopp es sur des parcelles agricoles SPATIALITE ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS m 13 SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS 2 Densit s urbaines et consommation de territoire En 2003 198 000 maisons individuelles ont t construites en m tropole dont 75 en diffus et 25 en lotissement En dix ans de 1995 a 2005 alors que la population a cr de 4 les terres urbanis es se sont tendues de 17 soit quatre fois plus vite elles ont doubl depuis 1945 Les routes et parkings occupent 3 du territoire La consommation de territoire d pend de la forme urbaine d velopp e Individuel group en lotissement en moyenne 10 logements ha Individuel dense avec des maisons accol es par groupes plus de 20 logements ha Ensemble de collectifs regroup s sur un lot de 50 150 logements ha La maison de ville permet des densit s inter m diaires relati
161. llustration 29 Dimensionnement des locaux deux roues 28 Illustration 30 Noue v g talis e avec d nivel 29 Illustration 31 Noue v g talis e attenant une voirie Parc de la Haute Borne Villeneuve d Ascq 59 29 Illustration 31bis Noue v g talis e en bordure de voirie Quartier Vauban Fribourg Allemagne 29 Illustration 32 Les diff rents modes d isolation 38 Illustration 33 Co ts compar s de diff rents mat riaux de construction 38 Illustration 34 Co ts compar s de diff rents mat riaux pour l isolation r partie 38 Illustration 35 Sch ma de principe de l isolation par ext rieur 41 Illustration 36 Co ts compar s de differents types de vitrages 46 Illustration 37 Co ts compar s des differents types d huisseries 48 Illustration 38 Les apports solaires passifs en t et en hiver 49 Illustration 39 Principe de fonctionnement du mur Trombe en saison froide 51 Illustration 40 Description architecturale du mur Trombe en plan 52 Illustration 41 Localisation des infiltrations d air dans une habitation 55 160 m ANNEXES TABLE DES ILLUSTRATIONS TABLE DES ILLUSTRATIONS Illustration 42 Sch ma d une fausse porte 55 Illustration 43 Porte soufflante Blower door 55 Illustration 44 Sch ma de principe d un canon a lumi re 57 Illustration 45 Puits de lumi re vue de l int rieur 58 I
162. llustration 46 Puits lumi re co t de diff rents l ments 59 Illustration 47 Principe de fonctionnement hiver d un puits canadien coupl une serre 61 Illustration 48 Principe de fonctionnement t d un puits canadien coupl une serre 62 Illustration 49 Etagere lumi re Lyc e du Pic Saint Loup 34 65 Illustration 50 Etagere 8 lumi re Lyc e de Caudry Calais 59 66 Illustration 51 Store int gr au double vitrage 66 Illustration 52 Brises soleil b timent SH3 Universit de Lille 1 59 66 Illustration 53 Sch ma g n ral d un circuit de ventilation double flux 71 Illustration 54 Co ts compar s de syst mes de ventilation double flux 72 Illustration 55 Principe de fonctionnement de la ventilation naturelle 73 Illustration 56 Tour d extraction de ventilation naturelle 74 Illustration 57 Chemin e de ventilation naturelle assist e 75 Illustration 58 Principe de fonctionnement du chauffe eau solaire individuel l ments s par s avec chauffage d appoint 77 Illustration 59 Les capteurs solaires thermiques en toiture 78 Illustration 60 Int gration architecturale des capteurs solaires 78 Illustration 61 Modules photovolta ques 81 Illustration 62 Membrane photovolta que 82 Illustration 63 Logo Flamme Verte 85 Illustration 64 Co ts compar s de diff rents quipements de chauffage pour les particuliers installation et fonctionnement 87 Illustration 65 Les capteurs g othermiques 89 Illustration 66 Princip
163. ment en W m2 K Ventilation M canique Contr l e Ventilation M canique Contr l e double Flux u IUT r TM onen INTRODUCTION O US O LUE La r alit du changement climatique est aujourd hui admise et d ores et d j tangible Le GIEC Groupe Intergouvernemental d Experts sur l volution du Climat estime que la temp rature moyenne terrestre s l vera ainsi de 1 6 C d ici la fin du 21 si cle Contenir la hausse globale de temp rature entre 1 5 et 3 9 C supposerait de diviser par 2 d ici 2050 les missions mondiales de gaz effet de serre de 1990 Pour la France cet objectif se traduit par un niveau d missions au moins quatre fois inf rieur l actuel ll s agit de passer de 9 tonnes quivalent teq CO2 par habitant 2 teq en 2050 Ce facteur 4 est inscrit en objectif de long terme dans la loi de programme de juillet 2005 qui fixe les orientations de la politique nerg tique loi POPE L am lioration des pratiques dans les domaines de l am nagement et de la construction consti tue un gisement d conomie d nergie important En premier lieu un travail pouss sur la forme urbaine doit contribuer r duire les besoins nerg tiques globaux et de fa on plus g n rale r duire l impact environnemental d une op ration Ensuite
164. miques fonctionnant sur l air ext rieur Points de vigilance Cependant ne s agit pas d une nergie entierement in puisable un puits verra un jour son r servoir calorifique diminuer u Si les installations g othermiques sont technologiquement au point et que l nergie qu elles pr l vent est gratuite leur co t demeure dans certains cas tr s lev Les diff rents postes du co t global Investissement Le surco t engendr par une installation g othermique est assez lev Pour un habitat individuel il faut compter 12 000 HT fourni pos pour une surface habitable de 100 120 m comprend le chauf fage par plancher chauffant r gulation Entretien maintenance Ne demande pas d entretien particulier si l installation a t mise en uvre dans les r gles de l art conomie de charges L conomie de charges r alis e s effectue sur le poste combustible par rapport un chauffage traditionnel PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES LA G OTHERMIE BASSE TEMP RATURE VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Entreprises de g nie climatique chauffage avec la comp tence PAC Les fournisseurs nationaux indiquent sur demande la liste de leurs installeurs en fonction des r gions VOLET MARKETING CO T SOCI TAL L offre de syst mes thermodynamiques pompes chaleur avec captage g othermi que s est structur e au cours d
165. n Frangaise des Ing nieurs Ecologues www afie net ASTE Association pour le d veloppe ment des Sciences et Techniques de l Environnement www aste asso fr AFITE Association Frangaise des Ing nieurs et Techniciens de l Environnement www afite org AFOCERT AFSSET Association Frangaise des Organismes de Certification des Produits de Construction Agence Francaise de S curit Sanitaire de l Environnement et du Travail www afocert asso fr www afsse fr AGEDEN EnR Espace info nergie Is re www ageden org Agence de l eau AIMCC Agence de l eau 6 agences pour chaque Grand Bassin francais Association des Industries de Mat riaux Produits Composants et Equipements pour la Construc tion f d ration professionnelle www eaufrance fr www aimcc org ANAH Agence Nationale pour l Amelioration de l Habitat www anah fr ANIL Association Nationale pour l Information sur le Logement www anil org Annuaires de produits recycl s centre national du recyclage 156 m ANNEXES www produits recycles com B tiProduit Site d information produits de la www batiproduits com construction CAPEB Conf d ration de l Artisanat et des www capeb fr Petites Entreprises du B timent CD2E Cr ation D veloppement www cd2e com CD2E ecoMAT d Eco Entreprise RIAUX EM_accueil CEEB Centre d Etude de l conomie du Bois Cegibat Informati
166. n de 1000 m de capteur install Prix de revient du kWh Pour un investissement de 3 000 d une dur e de vie de 20 ans et produisant environ 2 000 kWh an le kWh produit revient a 0 07 Pour un investissement de 2 000 le kWh revient a 0 05 Pour une petite installation quip e d un SSC appoint ind pendant 10 m de capteurs pour 70 m de surface chauffee il faut compter environ 10 000 pour l installation solaire hors distribution de chauffage PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Ce montant comprend les capteurs le volume de stockage la distribution la r gulation ainsi que le montage Ce co t n int gre pas l appoint chaudi re gaz appoint lectrique Entretien maintenance Qu il s agisse des capteurs solaires ou des l ments du syst me un Chauffe Eau Solaire Individuel ou un Syst me Solaire Combin n cessite peu de maintenance Une visite de contr le et d entretien annuel est tout de m me souhaitable pour V rifier l tat des capteurs sur la toiture occultations par des d jections d oiseaux ou bris de tuiles ventuels V rifier le bon fonctionnement du circuit primaire m V rifier le volume de stockage tanch it isolation raccords V rifier l tat des c bles et des connexions La dur e de vie d une installation est d au moins 20 ans conomie de charge
167. n de la quantit de lumi re du standing du b timent LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD Lot concern Ventilation Solaire thermique Solaire photovoltaique Bois nergie G othermie A rothermie Chauffage N de la fiche 221 D signation de la meilleure technique disponible Ventilation m canique double flux Techniques classiques Ventilation m canique autor glable simple flux LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD SA Incidence environnementale Limitation des rejets de gaz a effet de serre Incidence en terme d co gestion R duction des besoins de chauffage Incidence en terme de confort sant Diminution des mauvaises odeurs de la condensation et des moisissures Visibilit commerciale quipement co teux et cach Il faudra argumenter sur les avantages en termes de confort vivre fen tres ferm es dans un air sain car filtr Investissement sur la dur e de vie XX 222 2 2 3 2 2 4 2 2 5 2 2 6 2 2 7 2 2 8 Ventilation naturelle Solaire thermique CESI SSC Panneaux photovoltaiques Po les a bois Pompes a chaleur eau ou sol Pompes a chaleur air Chaudi re a condensation Ventilation m canique autor glable simple flux Ballon ECS lectrique Chauffage lectrique ou gaz Chauffage lectrique ou gaz Chauffage lectrique ou gaz Chauffage lectrique ou gaz Pas de d chets ni de
168. n promoteur peut prouver sa pr occupation d un produit irr prochable sur le plan sanitaire L argument sera d autant plus porteur qu il porte sur un risque cach et presque toujours oubli par les concurrents cologie Sant Confort M B n fice majeur 1 ordre 122 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT B n fice secondaire ordre INTERRUPTEUR AUTOMATIQUE DE CHAMP OU IAC VOLET DESCRIPTIF Le recours aux mat riaux isolants d origine v g tale r pond deux familles de pr occu pations m La sant par la limitation des risques d allergies associ s aux mat riaux de la p trochimie polyur thane polystyr ne etc ou aux laines min rales laine de verre laine de roche m Le cycle de vie des produits de l extraction des mati res premi res la production de d chets ultimes Les avantages des isolants v g taux portent en effet autant sur la r duction des risques sanitaires en phase de mise en uvre et tout au long de la vie de la construction que sur l exploitation de ressources renouvelables contribuant la fixation de carbone au cours de la photosynth se Leur production locale est le plus souvent possible sur le territoire fran ais ce qui limite les impacts li s au transport et contribue l conomie r gionale approche du circuit court Le lin et le chanvre en particulier se pr tent bien une agricultu
169. nduit d a ration Pas de bruit de ventilateurs m Pas de consommation d nergie lectrique Les diff rents postes du co t global ou faible consommation lectrique pour la VNAC Investissement Le co t de ce type de ventilation est faible Il faut compter 25 par bouches d entr es d air en fourniture et pose et 200 HT pour un ventilateur tr s basse pression permettant d assister la ventilation naturelle Points de vigilance Contr le insuffisant des d bits d air frais en particulier pour les syst mes sans dispositifs de contr le perte incontr l e de calories en hiver PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES Entretien maintenance Les bouches d entr e d air demandent tre nettoy es tous les ans pour viter accumula tion de poussi res et de salissures sur l entr e d air Illustration 57 Chemin e de ventilation naturelle assist e Lycee de Caudry Calais 59 Economie de charges La ventilation naturelle dispense de l installation d une VMC et de ce fait des charges aff ren tes une VMC consommation lectrique du moteur de ventilation qui repr sente environ une consommation de 600 kWh an soit environ 55 Photo SOLENER Architectes QUATR A Architectes associ s X Bouffard J L Leclerca VENTILATION NATURELLE m 75 VENTILATION NATURELLE VOLET FAISABILIT VOLET MARKETING
170. nisation spatiale l int rieur du p rim tre de l op ration r seaux et voirie de morphologies et d orientation des logements conditionnent nombre d enjeux environnementaux savoir m L occupation des sols et la consommation de territoires naturels ou agricoles m L int gration du logement dans l cosys t me local qui devrait pr server des corri dors cologiques des milieux humides et la diversit en faune et en flore m La recharge des nappes phr atiques m La r duction des besoins nerg tiques g n raux par la mise en uvre d une forme urbaine respectant des principes bioclimatiques La valorisation optimale des ressources nerg tiques disponibles localement Ces deux derniers points prennent une importance particuli re dans la perspective du facteur 4 Leur contribution appara t d cisive dans une optique d conomie des charges d exploitation du logement chauf fage et production d eau chaude sanitaire en particulier 2 La ma trise des consommations d nergie et des missions de carbone li es aux d placements motoris s voiture particuli re versus transports en commun semble plus improbable dans des urbanisations qui poursuivent l talement urbain les alternatives collectives la voiture particuli re n cessitent une densit de logements qui est bien sup rieure celle des lotissements pavillonnaires FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE L OP RATION La
171. nstitu par la paroi elle m me n cessite peu d entretien et la dur e de vie est celle du b timent Les seuls aspects visuels surveiller sont l tat des parois int rieures finitions et enduit ext rieur fa ades Le besoin de ravalement de la fa ade peut s imposer 20 ans comme pour une construction en blocs de ciments mais ce co t de maintenance n est pas li l utilisation de l isolation r partie conomie de charges Par ailleurs la durabilit des mat riaux impli que une conomie de charges long terme L conomie est cependant variable selon le type de mat riaux utilis s En effet les conomies se situent sur la facture de chauffage Si l isolation r partie atteint un niveau traditionnel au regard des r glemen tations thermiques les gains sur la facture de chauffage seront alors nuls Par contre si l isolation r partie atteint un niveau performant tr s bonne r sistance ther mique alors les gains sur le poste chauffage peuvent tre tr s importants Pour exemple pour une maison de 100 m avec des briques monomur de 37cm au lieu de parpaings avec une isolation thermique par l int rieur les conomies de charges s l vent 4 000kWh an VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Les entreprises acquierent progressivement la comp tence de mise en uvre Une mini formation est possible pour la pose un d monstrateur assistant technique tant disponible pour la p
172. nt ventuellement les quipe ments Un des points importants consiste dans le 088 de volumes captants 8 g rer et distribuer Pair chaud car les niveaux de temp ratures air et parois sont tr s diff renci s c t sud et c t nord PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION 1 les volumes tampons au nord prot gent l espace central des d perditions thermiques et du vent froid d hiver 2 l espace central compact et forte inertie re oit la chaleur capt e transmission par conduction et s convection 3 les volumes vitr s au sud captent le soleil pendant la saison froide v randas serres et jardins d hiver Illustration 13 Principes de la maison solaire passive Source SOLENER l inverse en saison d t juin ao t les fa ades est sud est sud ouest et ouest re oivent de 11 12 d irradiation sup pl mentaire comparativement la fa ade sud 2 Fa ades et protections solaires L orientation sud est pr f r e aux autres orientations en raison de la course du soleil m En saison de chauffage octobre mars l nergie solaire re ue par les vitrages sud d passe d environ 20 celle qui atteint les fa ades sud est ou sud ouest et de plus de 70 celle qui est re ue en est ou ouest CONCEPTION BIOCLIMATIQUE m 19 CONCEPTION BIOCLIMATIQUE Moyennes mensuelles de l irradiation 6 solaire incidente en kWh m j 0 1 1
173. nt de g n ra tion inf rieur celui de chaudi res gaz ou du chauffage lectrique Cependant la comparai son des niveaux d mission de CO est son avantage SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS VOLET Inconv nients et faiblesses dues Difficult b n ficier d un clairage naturel la densit pour les circulations centrales et les salles E NVI RON N E M E NTAL de bains si les volum tries et les principes m Plus grande continute acoustique des de distribution des appartements sont impos s structures n cessitant un bon traitement par les contraintes de parcelle forme des nuisances sonores acc s m Difficult b n ficier de la ventilation m Ressources du puits proven al pour le transversale dans les gabarits importants Avantages apport s par la conti nuit des formes urbaines et par l augmentation du nombre d tages E confort d t limit es par le coefficient immeubles collectifs de type plots d occupation du sol COS surface de Meilleure performance bioclimatique avec noyau central terrain ou de sous sol disponible par Limitation des surfaces de d perditions m tre de carr habitable thermiques en hiver rapport Scope PIUS faible donc des besoins de chauffage Limitation en des situations sous toitures plus vuln rables en confort d t m Limitation des r seaux et voiries et r duction des fuit
174. nt en individuel Les menuisiers locaux ne rencontrent aucune difficult de mise en uvre R f rence Le PVC quipe la majorit des logements individuels r cents en Ile de France cepen dant la part des huisseries bois augmente avec la n cessit de r duire le bilan carbone des b timents ries correspondent la partie la moins bien isol e de l enveloppe du b timent Chacun des trois mat riaux employ s a ses inconditionnels et ses d tracteurs Le PVC correspond actuellement a 71 du march il pr sente les avantages d un prix comp titif de bonnes performances thermiques et d une absence d entretien p riodique Par contre ce mat riau n a rien d cologique et pr sente des impacts non n gligeables sur la sant Le bois poss de le bilan nerg tique global le plus favorable mais son entretien demande une attention particuli re L aluminium a l avantage de laisser plus de clair de jour aux ouvertures et v hicule une image de produit de luxe Toutefois l nergie grise n cessaire sa fabrication et ses mauvaises propri t s thermiques ne sont pas n gliger VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Les huisseries ext rieures repr sentent un poste important dans la construction Elles repr sentent de 10 15 du co t de la construction Elles sont d terminantes dans l esth tique du b timent or le visible est ce qui re oit la plus forte Valeur Psychologique
175. ntes Possibilit suppl mentaire sur le plan paysag et am lioration du cadre de vie notamment en milieu urbain R sistance au feu en retardant la protection des incendies surtout si le substrat est satur d eau m Cr ation d habitat pour la diversit contribution la continuit biologique et la biodiversit Du point de vue du traitement architectural les toitures v g tales doivent tre con ues comme une cinqui me fa ade ventuellement associ e des murs verticaux v g talis s La v g tation peut en effet contribuer la protection solaire des fa ades ouest sud ouest les plus expos es aux risques de surchauffe en t les plantes grimpantes figuier ou fusain grimpant lierre glycines ou jasmin sur pergolas offrent une bonne protection solaire des parois opaques pouvant s tendre aux vitrages Enfin on peut souligner la fonction de puits de carbone des toitures v g tales qui fixent le CO et luttent ainsi contre la pollution atmos ph rique LES TOITURES V G TALES VOLET CO T GLOBAL m Surco t du systeme par rapport une solution classique surco t li l tanch it plus co teuse qu une tanch it classique la couche drainante la couche filtrante la zone st rile au dispositif de s paration au substrat et la v g talisation Co t comparer une solution de substitu tion exemple couverture avec tuiles pour les
176. nts thermiques donc les points de condensation l int rieur d un logement sources de moisissures a l origine d allergies respiratoires chez les occupants Points de vigilance m Lisolation ext rieure a l inconv nient d tre deux fois plus ch re qu une simple isolation par l int rieur Elle implique un chantier important Les diff rents postes du co t global Investissement ll faut compter environ 150 200 m pour 10 cm de laine min rale Fourni Pos en Ile de France finitions comprises Le co t est deux fois plus lev qu une isolation int rieure Cela s explique par le fait que la mise en uvre n cessite l utilisation d un chafaudage pour les travaux en hauteur et une grande rigueur afin de supprimer les ponts thermi ques 42 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE conomie de charges Malgr un co t deux fois plus important que pour une isolation int rieure on r alise une conomie de charge importante puisque les co ts de chauffage sont fortement diminu s gr ce la r duction des ponts thermiques Sur un chauffage lectrique on peut diminuer jusqu 40 les charges sur le chauffage L ISOLATION PAR L EXT RIEUR VOLET FAISABILIT ET R F RENCES De nombreuses entreprises comp tentes en lle de France pour la mise en oeuvre de l isolation par l ext rieur 4 5 r
177. nvestissement Pour une pompe chaleur r cup rant l nergie dans l air ext rieur a rothermie et alimentant un plancher chauffant rafra chis sant les prix sont compris en moyenne selon les caract ristiques techniques entre 80 et 110 TTC par m de surface chauff e Entretien maintenance P riodicit et co t similaire une chaudi re conomie de charges L conomie d pend du coefficient de per formance COP de la PAC sur la saison de chauffe Les coefficients annuelles de perfor mances instantan e varie de moins de 2 3 dans le meilleur des cas A ROTHERMIE A ROTHERMIE VOLET F Al S ABI LITE VOLET M AR KETI N G m Les nuisances visuelles et acoustiques de La possibilit d une installation r versible qui gt gt Z l unit ext rieure appareils monobloc assure le rafra chissement d t est un argu ET R E FE R E N ES CO UT SOCI ETAL seules les grilles d aspiration et de refoule ment commercial qui devient important ment restent visibles de l ext rieur Commercialement il ne faut pas n gliger l effet m Des appareils haute temp rature d aubaine des incitations fiscales Entreprises de g nie climatique chauffage avec La rothermie permet d aborder la thermody permettent d utiliser en metteurs de la comp tence installation de PAC namique tr s demand e par les m nages i L a rothermie rend aujourd hui obsol te Pn i 2 classiques radiate
178. oie aux diff rentes techniques d isolation par l ext rieur de pompes chaleur de chaudi res condensation et aux syst mes utilisant les nergies renouvelables qui seront requis pour atteindre les niveaux de perfor mances de la r glementation thermique 2010 La loi POPE pr voyait une baisse des coeffi cients r glementaires de 15 par paliers de 5 ans mais le rythme devrait en tre acc l r Ainsi en 2015 la RT pourrait se situer au niveau B timent Basse Consommation BBC soit 50 kWh m SHON an en nergie primaire en moyenne nationale soit 65 kWh m SHON an en zone climatique H1 et imposer un pourcentage minimal d nergies renouvelables ainsi qu une prise en compte de l nergie grise contenu nerg tique des mat riaux et de leur mise en uvre Les r centes propositions formul es dans le cadre du Grenelle de l environnement vont dans ce sens avec des ch ances plus rapproch es LABELS CERTIFICATIONS ET INCITATIONS L acc l ration de la r glementation thermique permettrait de rapprocher les performances de la construction neuve des labellisations europ ennes les plus exigeantes d velop p es depuis plus d une dizaine d ann es sur le concept de la maison passive labels Passivhaus en Allemagne ann es 1990 et Minergie en Suisse 1996 Dans ces constructions les d perditions thermiques par l enveloppe sont couvertes par les apports gratuits constitu s des apports
179. on Conseil de Gaz de www cegibat com France pour les professionnels du b timent CENTREX Centre d informations utiles sur les produits du B timent bas en Aquitaine CERDD Centre Ressource du D veloppe www cerdd org ment Durable CERIB Centre d Etudes et de Recherches www cerib com de l Industrie du B ton CETIAT Centre Technique des Industries www cetiat fr A rauliques et Thermiques CETE Centre d Etudes Techniques de www equipement gouv fr l quipement IdF Direction Regionale de l quipement de l Ile de France DREIF INFORMATIONS CARACTERE G N RAL INFORMATIONS CARACTERE G N RAL CICF Chambre des Ing nieurs Conseil www cicf fr FBTP 77 F d ration du B timent et des www btp77 org federation de France f d ration profession Travaux Publics de Seine et Marne batiment 77 Seine et Marne nelle f d ration professionnelle accueil htm C 1 EAU Centre d Information sur l Eau www cieau com FFB IdF F d ration Fran aise du B timent www ffb paris idf fr CLER Comit de Liaison des nergies www cler org R gion Paris lle de France Renouvelables federation professionnelle CNDB Comit National pour le www bois construction org FFP F d ration Fran aise du Paysage www f f p org D veloppement du Bois f d ration professionnelle CNOA Conseil National de l Ordre des www architectes org FIEC F d ration Europ enne de la www fiec be Architecte
180. on et l inertie thermique jouent un r le important pour optimiser la contribution des apports solaires au chauffage et l clairage d un b timent d t Eracie emers aver Illustration 38 Les apports solaires passifs en t et en hiver Dans une maison solaire passive l apport solaire permet de r aliser des conomies d nergie importantes pendant la saison de chauffe Cependant cet apport peut tre source d inconfort en raison des risques de surchauffes d s la mi saison Afin de r duire les risques d inconfort les baies vitr es doivent tre prot g es du soleil en t parfois d s la mi saison par des auvents des brise soleil ou des persiennes ext rieures La valorisation des apports solaires est un des principes essentiels de la conception bioclimatique et doit tre associ e d autres caract ristiques volum triques du logement m Le volume chauff doit pr senter une bonne compacit VOLET ENVIRONNEMENTA m Des espaces tampons p riph riques prot gent l espace central des d perditions thermiques en particulier au nord o seront implant s de pr f rence les celliers garages et locaux de stockage des bacs d ordures m nag res m Des espaces captants en fa ade sud permettent d accro tre les apports solaires en hiver Les espaces captants prennent la forme de serres v randas ou jardins d hiver espaces vitr s non chauff s accol s au lo
181. onctionner Elle peut cependant dans le cas d une ventilation m canique assist e tre coupl e un m canisme d assistance La circulation de l air se fait par tirage thermique gr ce aux diff rences de temp ratures entre l int rieur et l ext rieur et par les differen ces de pressions g n r es par le vent sur l enveloppe du b timent Pour avoir un tirage thermique significatif est essentiel d avoir un point bas d a ration pour l entr e d air frais et un point haut pour l extraction d air chaud Dans les logements r cents chaque pi ce principale est quip e d un orifice d entr e d air neuf qui ajuste selon les technologies la section de passage de l air en fonction du vent et des besoins ceux ci sont li s au taux d humidit Les sorties d air sont fixes ou r glables manuellement En habitat collectif les conduits d vacuation tirage naturel peuvent tre soit individuels ils ne desservent alors qu une pi ce de service soit collectifs ils desservent alors plusieurs pi ces Le renouvellement de l air d un logement ventil naturellement varie en fonction des conditions climatiques L entr e de l air neuf est assur par m Des grilles d a ration situ es dans les pi ces principales int gr es aux portes et ou aux fen tres les grilles peuvent tre R glables manuellement Auto r glables la quantit d air frais entrant est constante et ind pendante
182. ontenter d une tr s faible puissance de chauffage Des quipements sp cialis s couplent et int grent travers un bloc thermodynamique le chauffage la production d ECS et le traitement de l air hygi nique Performances int r t Le retour sur investissement par les conomies d nergie n est pas l objectif pour des produits d image ou de conviction Les performances sont plus li es la construction qu l quipement Le capital construit pourra dans quelques d cennies garder une valeur que les autres constructions obsol tes auront perdu faut cependant rappeler que l obtention du label BBC est aussi conditionn e par le choix de l nergie privil giant le bois et le solaire dans l expression en nergie primaire 3 Voiture lectrique pour les d placements quotidiens CLASSE Faisabilit Les difficult s techniques et administratives difficiles surmonter dans un cadre individuel peuvent tre moins pr gnantes dans le cadre d une op ration group e Performances int r t Effet d image pour l am nageur et le promoteur montrer que le r sidentiel et en particulier le r sidentiel individuel peut tre d un impact nerg tique positif Le m nage change son statut de consommateur contre un statut de producteur CARACT RISTIQUES G N RALES DES SC NARIOS m 143 CARACTERISTIQUES THERMIQUES DES SC NARIOS A 2 Le tableau qui suit croise les sc narios d crits pr c
183. ortant faut pr voir un ramonage selon la fr quence pr conis e par le constructeur conomie de charges conomie de combustible VOLET FAISABILIT ET R F RENCES R f rence De plus en plus de cas de chaudi res haut rendement ou condensation pour les b timents publics Des cas de chaudi res individuelles conden sation pour les logements B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Dans tous les cas o un lotissement ou une op ration en promotion est desservie par le gaz de ville la chaudi re 8 condensation s impose comme le tout premier geste vert Le surco t par rapport une chaudi re classi que sera presque compens par les avantages fiscaux et par le gain en cat gorie d efficacit nerg tique sur le DPE du logement Pour le m nage utilisateur le gain en co t d nergie sera de 150 200 par an pour une maison individuelle en attendant les hausses 8 venir du prix des nergies fossiles D E F cologie Sant Confort BE UN EEE EI B n fice majeur 1 ordre E B n fice secondaire 2 ordre Au niveau de l acte de vente un bilan financier avec un pr visionnel de consommation doit apporter l adh sion Cette adh sion sera fortifi e par un bilan des missions de CO 100 PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES CHAUDI RE CONDENSATI
184. othermie A rothermie Chauffage Ma trise de la consomma tion d eau Eau de pluie Mat riaux sant 138 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE D signation de la Maturit technique v s de l thyl ne glycol sur investissement N de la A Basse consommation a P Z i on 5 Maisons passives nergie positive fiche meilleure technique Applicabilit RT 2005 HetE 50 KWh chauffage ECS p 5 gie p disponible court terme 22 due EN Se oui mais non imp ratif oui mais non imp ratif n cessaire n cessaire avec du mat riel haute gamme double flux autor glable simple flux er Conformite avec la Ventilation naturelle N N 2 e A BSR incom ncompatibl Ventilation naturelle r glementation assist e possible non incompatible incompatible Solaire thermique oui r seau de 7 2 2 3 CESI SSC professionnels form s oui oui obligatoire obligatoire 224 Panneaux photovoltai oui r seau de profes auf ai au ui ques sionnels limit s ue x Gamme actuelle trop puissante par rapport aux 2 2 5 Bois Energie oui oui oui oui faibles besoins gt x A Existence d une gamme de 22i Pompes Chreleur ou oul Sal oul mat riels estampill Passivhaus Non en raison des COP plus faibles 2 2 7 Pompe chaleur air air oui oui oui qu en g othermie et de l nergie non primaire d origine lectrique Chaudi re
185. par m avec moteur Action secondaire 2 ordre conomie de charges Les tag res lumi re distribuant parfaitement la lumi re dans la pi ce les conomies sont r alis es sur le poste clairage artificiel Si le b timent est bien quip en brise soleil on peut galement noter une conomie sur le poste climatisation en t ces quipements restent rares en habitat individuel VOLET FAISABILIT ET R F RENCES R f rences Les r f rences actuelles concernent princi palement des b timents administratifs ou les tablissements scolaires Les stores rideaux et protections amovibles peuvent tre mis en uvre dans le logement VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Les protections solaires sont le compl ment indispensable la pr sence de surfaces vitr es importantes qui assurent les apports passifs d nergie solaire Dans la majorit des r gions elles permettent d assurer le confort d t sans recours une climatisation nerg tivore m Les protections solaires fixes int gr es aux fa ades sont des l ments architecturaux qui signent le plus souvent un style contem porain m Les stores sont essentiellement per us comme des l ments de d coration Or une d coration optionnelle de qualit fait vendre B n fice client Cependant les stores int rieurs sont de faible efficacit thermique et les stores ext rieurs expos s aux intemp ries se d gradent vite
186. permet une v g tation spontan e et apparence plus naturelle E v g taux de milieux secs et pauvres ayant peu de besoins nutritifs E installation d arrosage facultative expertise techni que moins cruciale E charges sur toiture faible le poids est inf rieur une protection gravier faible entretien et longue dur e E peu on reux V g talisation intensive Avantages E paisseur de terre gt 20 cm substrat nutritif pour les plantes peut remplacer un jardin naturel au sol souvent accessible et permettant des fonctions vari es loisirs potager qualit esth tique E bonne propri t s isolantes thermique et acoustique E renforce l inertie du b timent E choix vari des plantations E dur e sup rieure de la membrane Inconv nients E plantes exigeantes en eau et en l ments nutritifs entretien important et on reux car n cessite des soins intensifs tontes rabattages sarclages E syst mes et expertise plus complexes E charges sur toitures importantes E installation d arrosage indispensable E co t lev Inconv nients E efficacit nerg tique et r tention des eaux pluvia les moindres E choix des essences plus restreint E toitures rarement accessibles Illustration 72 Avantages et inconv nients des solutions de v g talisation intensive et extensive VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une terrasse v
187. permettant d vacuer les surchauffes par circulation de l air Le vitrage peut tre constitu de polycarbonate double paroi destin aux serres commerciales C est un produit peu co teux et facile mettre en uvre R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer Air Eau Sols D chets Bruits Odeurs Confort Sant Action secondaire 27 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE L NERGIE SOLAIRE PASSIVE 49 L NERGIE SOLAIRE PASSIVE VOLET CO T GLOBAL Avantages Investissement La valorisation des apports passifs est peu co teuse et efficace pour r aliser des conomies d nergie La mise en uvre est assez simple Point de vigilance m L t de forts risques de surchauffe existent Les diff rents postes du co t global Investissement C est un poste difficilement chiffrable car fortement int gr la conception g n rale de l habitation Quelques surco ts peuvent tre aff rents la logique bioclimatique mais ils sont difficilement quantifiables Les r gles volum triques de compacit tendent plut t r duire les surfaces d enveloppe volume donn donc les co ts associ s Entretien maintenance Aucun entretien ou maintenance particulier n est n cessaire en dehors des protections solaires ext rieure
188. plantations peuvent participer la protection du soleil en t trottoir expos au sud PLAN DE MASSE ET ENSOLEILLEMENT m 1 1 PLAN DE MASSE ET ENSOLEILLEMENT Pour une hauteur de facade en R 1 la largeur de la rue devrait atteindre 10 13 m tres ce qui permet d am nager de larges trottoirs une piste cyclable et une bande plant e qui devrait cependant encore tre largie pour assurer une fonction de noue v g tale La configuration en pi si elle aboutit des distances entre constructions du m me ordre g n re des espaces de jardins int rieurs priv s ou collectifs sur lesquels peuvent s ouvrir largement les s jours Le projet de 31 maisons Passivhaus Saint Priest 69 du Groupe MCP Promotion adopte cette confi guration Dans ce cas les fa ades nord sont aveugles pour respecter l intimit des jardins prot g s de la rue par les locaux annexes qui Illustration 4 Quartier Vauban Fribourg Allemagne e le Exemple de voie d axe nord sud bord e de b timents en continu mais g n rant des volumes expos s au sud en pi par rapport la voie forment un front b ti quasi continu pignons entr es garages etc Pour des ensembles plus denses comme Sutton Angleterre le gabarit des espaces au nord est ajust sur la hauteur du soleil en hiver et abrite les espaces de travail qui b n ficient ainsi d clairage naturel sous forme de puits de lumi re l g rement
189. plus systeme de filtre r duit Fonction de climatisation naturelle en t le systeme ne consommant que quelques watts pour le ventilateur PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE LE PUITS CANADIEN m 63 LE PUITS CANADIEN VOLET M AR KETI N G Au del de la simplicit du principe un En usage d hiver le bilan est r duit car fonctionnement satisfaisant implique des l changeur de la VMC double flux a d j un CO UT SOCI ETAL quipements sophistiqu s tuyaux anti rendement de l ordre de 60 90 bact riens relevage des condensats Le puits canadien doit tre consid r comme FR syst mes de gestion des temps de fonction une option d appel qui signe de fagon Le principe du puits canadien ou puits pro 9 ne p ae PP A i nement pour ne pas puiser les ressources spectaculaire l orientation cologique d une ven al enthousiasme facilement les m nages SIA che du sol op ration de promotion qui ont une sensibilit cologique en Globalement il permet de vivre fen tres Pour le promoteur le poste SAV service En usage d t il permet effectivement de e p ee ferm es dans une atmosphere fraiche et apr s vente et accompagnement de se passer de climatisation mais Bu er saine gr ce aux differents filtres dont on peut Putilisateur n est pas n gligeable
190. pour la r gle de prospect H L PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION La grille 45 pr sente n anmoins l inconv nient de favoriser les orientations sud est et sud ouest cette derni re tant plus critique pour le confort d t car plus difficile pro t ger du rayonnement solaire aux heures les plus chaudes de la journ e Pour la grille respectant les points cardinaux on pourra appliquer deux types d implantation des constructions afin de satisfaire la recherche d une exposition sud pr f rentielle En bordure de voie pour les rues d axe est ouest En pi par rapport aux voies d axe nord sud 2 Implantation des constructions La recherche de l ensoleillement des fa ades sud peut conduire dilater consid rablement le tissu urbain et en particulier les largeurs de rues d axe est ouest si les deux c t s sont construits Cette configuration introduit une difficult dans l am nagement des s jours lorsque la fa ade sud se trouve c t rue La hauteur du soleil tant inf rieure 20 au z nith midi solaire au solstice d hiver la dis tance entre deux fa ades en vis vis devrait atteindre 2 75 fois la hauteur des fa ades Illustration 3 Coupe d une voirie Sch ma d apr s document de l agence SEURA Largeur des trottoirs 2x2 50 m bande plant e de 1 50 m piste cyclable de 1 50 m voie de 5 m tres minimum total 13 m tres Les
191. pour les maisons de ville 5 et 6 1 Maison isol e Se Sp 3 10 4 Maisons jumel es en R 1 Se Sp 2 10 SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS Les extr mes varient d un rapport de 1 a 2 entre la maison isol e et les duplex superpos s en maisons de ville si le sol sur terre plein est exclu des surfaces d perditives et de 1 a 2 5 en prenant en compte le sol consid r au m me titre que les autres parois lorsque des performances lev es sont recherch es 2 Maisons jumel es Se Sp 2 90 5 Maisons en bande en R 1 10 maisons de ville Se Sp 1 80 Le mod le machiya parcelle de 6 25 x 20 25 m avec patio ventral de 6 25 x 4 25 m sur deux niveaux 200 m habitables obtient pour des bandes de 10 modules mitoyens une performance proche de celle des maisons de ville en R 1 en raison de plus nombreuses d coupes 8 Maison en R 1 Se Sp 2 55 6 Duplex superpos s en R 3 10 maisons de ville Se Sp 1 25 Illustration 10 Valeurs du rapport Senveloppe Splancher pour six configurations de logements sol inclus PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS 15 SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS 5 Rapport Senveloppe Splancher 3 0 2 5 sol inclus 20 E soln c 1 5 1 0 0 5 0 0 1 1 1 1 1 2 3 4 5 1 Six typologies de logement Illustration 11 Rapport surface de l enveloppe surface d
192. pportunite d installation et valuer les performances il est donc important de prendre en compte la courbe de COP en fonction de la temp rature ext rieure et de l eau de chauffage Source AFPAC LA POMPE CHALEUR PAC VOLET DESCRIPTIF L air ext rieur assure galement le stockage de l nergie du soleil durant la journ e Cette nergie chaleur est alors une source gratuite et valorisable pour l utiliser dans les installa tions de chauffage L a rotermie consiste capter l nergie ther mique de l air par l interm diaire d une pompe chaleur PAC La chaleur est pr lev e dans l air ext rieur source froide et transf r e une temp rature plus lev e dans le circuit d eau chaude de l installation du chauffage Cette source d nergie est plus facile utiliser que la g othermie Le capteur d nergie est simplement compos d un ventilateur avec un changeur de chaleur qui permet de capter l nergie de l air Elle est en revanche moins int ressante sur un plan thermodynamique la temp rature est plus basse en hiver et fluctuante compar e la nappe phr atique ou la temp rature de la terre 1 m de profondeur De ce fait les syst mes a rothermiques sont moins performants que les syst mes fonction nant avec la chaleur de la terre o des nappes phr atiques A ROTHERMIE 2 2 7 Illustration 67 A rothermie syst me Air Eau avec PAC ext rieure et plancher ch
193. r u par les m nages Le r cup rateur d eau de pluie correspond la prestation type dont la valeur psychologique attribu e d passe toujours le co t r el D E F Ecologie Sant Confort B n fice secondaire 2 ordre RECUPERATION DES EAUX DE PLUIE m 117 MATERIAUX SANT INTERRUPTEUR AUTOMATIQUE DE CHAMP OU IAC OH VOLET DESCRIPTIF Le r le de IAC biorupteur L installation lectrique toute enti re met un champ lectrique notamment si les fils ne sont pas convenablement blind s ou lorsque l installation lectrique est ancienne existe d sormais des interrupteurs automatiques de champ ceux ci permettent de couper l alimen tation lectrique d une pi ce lorsqu aucune consommation n y est enregistr e Le circuit est alors prot g en l absence de toute consommation il se trouve compl te ment isol du r seau lectrique du reste du b timent Ceci permet donc la cr ation d une zone neutre libre de tout potentiel donc non g n ratrice de champs lectriques et lectro magn tiques L usage de l interrupteur automatique de champ est particuli rement conseill pour les r seaux des chambres coucher Ce type de pi ce est en fait celui o l on passe le plus de temps dans la maison sans avoir la n cessit d utiliser d lectricit notamment pendant le sommeil Par contre il est d conseill d utiliser les IAC dans des pi ces telles que m L
194. r du parcours R gles de dimensionnement Principaux diam tres de tubes rencontr s 25 35 37 5 45 53 et 65 cm Coefficient de transmission d un tube lin aire installation standard de 80 a 98 pour les films de derni re g n ration selon les fabricants VOLET CO T GLOBAL Avantages Possibilit d clairage naturel dans des pi ces sans ouvertures sur l ext rieur Am lioration des apports de lumi re externes dans des pi ces o l clairage naturel est insuffisant ou pas suffisamment homog ne Meilleure qualit de l clairage R duction possible de la consommation d lectricit pour l clairage Longueur maximum recommand e pour le tube donn es relatives aux syst mes d un fabricant Diam tre du tube 250 mm 850 mm 530 mm Long max recommand e 6m 9m 12m Surface maximum clair e par une lampe solaire donn es relatives aux systemes d un fabricant m Syst mes adaptables aux terrasses et de Diam tre du tube 250 mm 350 mm 530 mm nombreux types de e Mise en uvre ne n cessitant g n ralement Surface maximale clair e 14 m2 23 m2 37 m2 pas d intervention lourde sur le b ti pour 58 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE 5 Pr server les ressources R duire les pollutions R duire R duire les nuisances Am liorer n ae __ _ a
195. ra faciliter l adoption des techniques d isolation par l ext rieur les surfaces de toit et de sol tant par ailleurs r duites de 50 18 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION conomie de charges Les besoins de chauffage peuvent tre r duits de moiti par la continuit et la compacit des formes urbaines SPATIALIT ET TYPOLOGIE DES LOGEMENTS VOLET DESCRIPTIF 1 Principes L architecture bioclimatique permet de r duire sensiblement les besoins nerg tiques en partant de principes de base orientation privil gi e au sud facades largement vitr es formes compactes mat riaux de forte inertie thermique etc Le seul fait de concevoir une habitation en tenant compte de l orientation et de l ensoleillement diminue de 15 a 30 les besoins de chauffage et donc la consomma tion d nergie Quelques principes doivent amp tre appliqu s des la phase de conception en plan masse m Orientations pr f rentielles du b ti vitrages sud pan de toiture sud 25 en azimut Prospects permettant un captage du rayonnement solaire optimal en hiver Bonne protection aux vents dominants en hiver masques naturels ou construits volumes tampons faibles ouvertures CONCEPTION BIOCLIMATIQUE EOS m Surfaces de toiture sud pouvant recevoir les panneaux solaires thermiques pour l eau chaude sanitaire ECS 4 5 m par logement des panneaux photovolta ques PV compl ta
196. rage faiblement li s la consommation donc diminution de 118109 vitrage l utilisation de vitrages lame argon 219 Double vitrage 4 12 4 N de la dissym trie de T C en A k A missif lame argon d nergie la consommation de de rayonnement et de permet de se differencier commercialement pour de chauffage chauffage l effet de paroi froide un co t n gligeable Bois issus de for ts Menuiserie bois 2261 a Me En cas d incendie Prestation consid r e comme de luxe 2 1 4 ia p PVC a mission peu nocive par Associe le standing et la facilit d entretien aluminium faisant office de puits de f F ay ER rapport au PVC de l alu et l isolation cologique du bois nergie carbone faible nergie passive grise du ch ssis Diminution des consom nergie solaire passive Apports solaires mations de chauffage Confort thermique 5 E 219 v randas verriere bow permettant des et d clairage artificiel am lior si protections 7 Surfaces ee plus imponentes EIER A i en a s meilleure sensation de confort et de libert window conomies d nergie meilleur taux de lumi re solaires efficaces naturelle Consommation de Permet par son inertie de r ellement utiliser ass chauffage diminu e les apports solaires passifs ae MODEMS permettant des f meilleure r sistance Mais son co t sa complexit conomies d nergie ar thermique de mise en uvre le r servent une
197. re biologique ISOLANTS D ORIGINE V G TALE A A Mat riaux isolants base de cellulose lls sont fabriqu s partir soit de cellulose frai che soit de papier journal recycl moulu ou d coup et m lang de l acide borique et des sels de bore pour assurer une protection contre l incendie les insectes et la moisissure Les flocons de cellulose sont insuffl s dans les cavit s s ches par exemple les rampants des combles m me le sol pour l isolation des plafonds sous combles ou floqu s apr s humidification sur les parois verticales Caract ristiques Perm abilit la diffusion de la vapeur d eau Panneaux en ouate de cellulose sont des isolants acoustiques remarquables Mat riaux isolants d riv s du bois Les panneaux mous de fibre de bois qui doivent tre de pr f rence agglom r s l aide de la r sine du bois sont utilis s pour l isolation thermique et acoustique des sols ainsi que pour l isolation sur chevrons Les panneaux de fibragglo compos s de laine de bois et de copeaux agglom r s l aide de carbonate de magn sie ou de ciment Portland doivent tre associ s des isolants classiques pour am liorer le coefficient d isolation final PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAT RIAUX SANT Mat riaux isolants base de lin ou de chanvre Les rouleaux isolants en fibre de lin ou de chanvre offrent de bonnes propri
198. relles contiennent des pigments de nature min rale v g tale ou animale donc sans risque pour notre sant Les crit res d conomie d nergie doivent tre pris en compte et les produits issus de mati res premi res renouvelables seront pr f rables Le choix doit se porter sur des peintures dont les liants sont pauvres en nergie grise et issus de mati res premi res renouvelables et peu polluantes Pour les peintures naturelles les liants sont des produits naturels des r sines d arbre des huiles v g tales de la cire d abeille Leur fabrication ne n cessite donc pas de transformations co teuses La durabilit du produit doit galement tre analys e r sistance la salet l abrasion l humidit l aspect esth tique du rev tement ainsi que le travail et les frais pr voir pour sa r novation ult rieure Le mieux est de choisir des peintures qui se r novent facilement co nomie de mati re premi re et qui g rent l humidit int rieure Les peintures naturelles sont en effet perm ables la vapeur d eau et ont une importante capacit hygroscopique contribuant r guler l humidit en exc s des locaux ll est n cessaire de laisser s cher une peinture au moins quinze jours avant d investir les locaux afin que les missions de compos s organiques volatils COV s vaporent de facon significative Les COV regroupent les PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L
199. remiere s rie de briques R f rences En Maisons Individuelles OPAC d Aulnay sous Bois 60 pavillons en Biomur 30 cm en cours de construction Centre de loisirs de Bullion 78 VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Les blocs de b ton cellulaire et les briques Monomur pr sentent des avantages commerciaux consid rables lls permettent d atteindre des performances d isolation exceptionnelles tout en sauvegardant le principe de constructions murs porteurs ma onn s C est la tradition avec les per formances thermiques qui seront n cessaires d s demain Ces produits sont peu utilis s en France o ils apparaissent comme des produits nou veaux alors qu ils sont tr s utilis s depuis des d cennies en Europe du Nord Le surco t environ 15 sur le gros uvre donc environ 6 sur le prix de vente de la B n fice client A B C Economie Patrimoine Modernit maison n cessite une argumentation car il ne s agit pas d une prestation visible une fois le b timent termin Ce surco t tait difficile a justifier tant que la construction tradition nelle avec isolation int rieure permettait de r pondre conomiquement la r glementa tion thermique Ces mat riaux deviennent tr s comp titifs avec la RT 2005 a fortiori avec les r glementations futures C est au moment du chantier que les blocs de b ton cellulaire et les briques monomurs pr sentent les caract ristiques
200. rendre en compte le d placement forfaitaire de l engin de terrassement compris entre 350 et 450 HT Cr ation de la noue terrassement vacua tion des terres 12 HT le Fourniture et pose du massif drainant 70 a 100 HT le m tre lin aire ml Engazonnement ventuel 1 50 HT le m Entretien et maintenance Le ma tre d ouvrage doit constamment entre tenir ses frais les ouvrages de traitement et de rejet des eaux pluviales en assurant la conformit aux prescriptions de l autorisation Les ouvrages de vidange et de surverse des noues feront l objet d une visite au moins une fois tous les six mois L entretien r gulier des noues et des dispositifs d vacuation comprend m L enherbement et l entretien des v g taux du fond et des talus des noues Le faucardage m canique des v g taux Le curage suivant la s dimentation La surveillance du fonctionnement des dispositifs d vacuation libre circulation de l eau pas de s diment ni de flottant pas d obturation m me partielle dans les canalisations Le ma tre d ouvrage prendra toutes dispo sitions necessaires dans la conception et l exploitation de ses installations pour assurer une bonne gestion des d chets produits boues de curage hydrocarbures d chets v g taux autres d chets et leur vacuation selon la l gislation en vigueur 30 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHE
201. rmet en p riode estivale de r duire la temp rature int rieure d un logement de 5 8 C pour une faible consom mation lectrique on l appelle alors puits proven al En p riode hivernale il permet de pr chauffer l air neuf d un logement afin de r duire la consommation de chauffage d o l appellation de puits canadien ne Le principe de fonctionnement oxy Le principe du puits canadien r side dans une utilisation passive l nergie g othermique Vat PEREZA ES On fait pour cela passer une fraction de l air FRE neuf de renouvellement par des conduits AE enterr s dans le sol a une profondeur d envi are ron 1 5 m tre profondeur laquelle la temp Air aspir 5 C rature du sol varie peu au cours de l ann e AVREN avant qu il ne p n tre dans le logement En hiver le sol a une temp rature plus lev e que celle de l air ext rieur L air froid est ainsi AVAN pr chauff quand il passe dans les conduits enterr s Avec ce proc d l air aspir par la VMC ne provient pas directement de l ext rieur via les bouches d a ration des fen tres d o une conomie de chauffage ASA A AE eme en A Er OR ik io SEHE N e ae Illustration 47 Principe de fonctionnement hiver d un puits canadien coupl une serre Sch ma d apr s l Agence M diterran enn
202. rofil environnemental d une bonne perm abilit l air est le suivant Pr server les ressources nergie Mati re Eau Biodiversit E Action forte 1 ordre VOLET CO T GLOBAL Avantages si traitement de la perm abilit Am lioration du rendement nerg tique de la maison Confort accru R duction des pertes thermiques Meilleure protection de l ossature du b timent Diminution du bruit et de la poussi re provenant de l ext rieur Point de vigilance m La mise en uvre de l infiltrom trie longue et d licate doit tre effectu e par un personnel qualifi R duire les pollutions R duire Air Eau Sols D chets Action secondaire 2 ordre Les diff rents postes du co t global Investissement Co t du contr le en phase chantier de l ordre de 1000 pour une maison conomie de charges Les conomies de charges r alis es peuvent tre cons quentes si la mesure a bien t effectu e En effet les d perditions d un b ti ment a combattre par le chauffage compren nent les d perditions par les parois les ponts thermiques et les pertes par renouvellement d air Reduire les nuisances Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant Si de par sa conception un b timent est rendu imperm able l air alors les gains sur le poste chauffage seront cons quents faut compter 1 000 kWh an d conomie
203. rties 58556 et haute Le ph nom ne de thermocirculation ascendance de l air entre la vitre et le mur se produit sous l effet de l absorption solaire une boucle convective s tablit naturellement avec transfert de chaleur vers l int rieur gr ce a un JOUR Air chaud Radiation infrarouge Air frais mouvement permanent de l air ll est obligatoire de pr voir un syst me qui s oppose la thermocirculation inverse sous peine de refroidir le logement durant les longues p riodes non ensoleill es est galement n cessaire de pr voir une bouche occultante pour bloquer toute circulation de fluide en p riode estivale afin d viter de r chauffer l habitat NUIT Clapets ou registres Illustration 39 Principe de fonctionnement du mur Trombe en saison froide Sch ma d apr s La conception Bioclimatique d Terre Vivante LE MUR TROMBE IO La description du fonctionnement du mur solaire composite n cessite de distinguer le fonctionnement en p riode hivernale et en p riode estivale Fonctionnement en p riode hivernale L objectif du mur solaire composite en p riode hivernale est de r cup rer le maximum d ner gie sans n gliger les d perditions thermiques nocturnes ou les journ es sans apports La paroi stockeuse absorbe le rayonnement solaire transmis par la couverture ext rieure Gr ce l effet de serre le mur s amp chauffe stocke
204. s Les conomies de charge peuvent aller jusqu 70 sur le poste ECS alors que sur le poste chauffage les conomies peuvent atteindre 60 dans le cas d un SSC LE SOLAIRE THERMIQUE 79 LE SOLAIRE THERMIQUE VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Nombreuses entreprises agr es Qualisol en IdF pour la mise en oeuvre de CESI 62 entreprises dans le 77 R f rence Environ 1 500 m de capteurs solaires thermi ques install en IdF en 2005 VOLET MARKETING CO T SOCI TAL Les conomies d nergie r alis es permettent aujourd hui d affirmer un retour sur investisse ment de l ordre de 10 ans voire d environ 5 ans si on tient compte des incitations fiscales Cet int r t financier n explique qu en partie l engouement actuel 1 des m nages pour cet quipement les m nages sont surtout attir s par Le caract re spectaculaire visible par les voisins de ce choix cologique m Le confort d usage Les objections des acheteurs sont de trois ordres Inqui tudes sur la fiabilit du syst me E Interrogations sur l entretien et le SAV m Critiques sur l esth tique des panneaux en toiture Le chauffe eau solaire est un quipement appel se g n raliser dans les ann es venir Une maison non quip e appara tra vite comme obsol te B n fice client A B D E F conomie Patrimoine Modernit cologie Sant Confort M B n fice majeur 1 ordre
205. s des niveaux de performance de type Passiv Haus Illustration 85 Indicateur CO de diff rentes solutions de chauffage selon DPE CARACT RISTIQUES THERMIQUES DES SC NARIOS POUR EN SAVOIR PLUS INFORMATIONS PAR TH MATIQUE A Afin d approfondir certaines des th matiques abord es dans ce guide plusieurs sources d informations compl mentaires accessible sur Internet sont pr sent es ci apres Les liens propos s ne visent pas l exhaustivit Le choix s est port sur des fiches techniques ou des articles clairs mais galement sur des sites d organismes nationaux ou r gionaux d associations et de syndicats professionnels susceptibles de pouvoir apporter des informations pr cises sur les moyens techniques et ou les produits disponibles N fiche D signation MTD 1 3 Conception bioclimatique Volet En Savoir Plus Article Wikipedia encyclop die libre en ligne http fr wikipedia org wiki Bioclimatique Dossier FIABITAT www fiabitat com bioclimatisme php Glossaire de la maison passive www lamaisonpassive fr spip spip php article1 1 Maison bioclimatique maison environnementale www maison bioclimatique fr fr maison bioclimatique conception html Observ ER Organisme d information sur les nergies renouvelables www observ er org chelle de l operation 1 5 Noues v g tales 148 m ANNEXES FICHES TECHNIQUES Fiche de la Communaut d Agglom ration de Toulouse Les noues et
206. s en particulier si elles sont mobiles conomie de charges Elles sont principalement r alis es sur le poste chauffage mais restent difficilement quantifia bles VOLET FAISABILIT ET R F RENCES Technique qui rel ve de la conception trouvant particuli rement sa place dans la valorisation des apports solaires Des fournisseurs de verres sont susceptibles de r pondre aux besoins pour ce type de technique R f rence Fournisseur de v randas verri res partout en France Certains fabricants de ch ssis propo sent d installer des bow windows VOLET MARKETING CO T SOCI TAL La r cup ration directe passive de l nergie solaire associ e une bonne isolation du b ti constitue la m thode la plus efficace et la moins co teuse pour r aliser des logements basse consommation d nergie donc vraiment adapt s aux d cennies venir Les mesures d architecture bioclimatiques implantation compacit traitement thermique de l enveloppe ventilation naturelle permet tent d atteindre des consommations d nergie de l ordre de 45 kWh m soit plus de la moiti des exigences de la RT 2005 avec des instal lations techniques traditionnelles et avec des co ts de construction qui restent au niveau du traditionnel Les mesures qui conduisent une architecture bioclimatiques sont simples grandes surfaces vitr es au sud et petites ouvertures au nord B n fice client
207. s f d ration professionnelle Sanitaires et Sociales Gaz de France Gaz de France www gazdefrance com DRE Direction R gionale de ile de france equipement gouv fr G othermie perspectives site partenariat ADEME BRGM www G OTHERMIE perspecti l Environnement ves fr DRIRE Direction R gionale de l Industrie www ile de france drire gouv fr IAURIF Institut d Am nagement et d Urba www iaurif org de la Recherche et de l Environne nisme de la R gion lle de France ment le de France ICEB Institut des Conseillers Environne www associationiceb org Edf Electricit de France www edf com ment pour le Batiment EEDEMS Evaluation Environnementale www eedems com f d ration professionnelle D chets Mat riaux et Sols pollu s IFEN Institut Francais www ifen fr R seau scientifique de l Environnement INES Institut National de l nergie www ines solaire com ANNEXES Solaire INFORMATIONS CARACT RE GENERAL m 157 INFORMATIONS CARACTERE G N RAL INRA Institut National de la Recherche www inra fr Agronomique INRS Institut National de Recherche et www inserm fr de S curit Sandrine SANt D veloppement duRable INformation Environnement pollution int rieure Belgique Site commercial d achat de mat riaux alternatifs www eco logis com Institut du verre www institutduverre fr SNFA Syndicat National de la www snfa fr INTERBAT Portail d entr e d
208. s Construction CNRS Centre National de la Recherche www cnrs fr FILMM Syndicat national des Fabricants www filmm fr Scientifique 2 A en nn Min rales COSTIC Comit Scientifique et Technique www costic com aa an des Industries Climatiques an CRATerre EAG Centre International de la ee sla ne construction en Tere f d ration professionnelle CROA Conseil Regional de l Ordre des www architectes idf org FNAU F d ration Nationale www fnau org An u 5 des Agences d Urbanisme CSTB Centre Scientifique et Technique www cstb fr f d ration professionnelle du Batiment a FNCAUE F d ration Nationale des Conseils www fncaue fr CTBA Centre Technique du Bois et de www ctba fr d Architecture d Urbanisme et de PAmeublement Environnement CTMNC Centre Technique de Materiaux www ctmnc fr FNPC F d ration Nationale des www fnpc fr Naturel de Construction Promoteurs Constructeurs DIREN Direction R gionale de www ile de france ecolgie gouv fr federation professionnelle l quipement Ile de France FNSCOP F d ration Nationale des Soci t s scpbtp org Domotique News Plateforme d information et de communication sur les b timents intelligents www domotique news com Coop ratives Ouvrieres de Production du B timent des Travaux Publics des Activit s Annexe et Connexes DRASS et DDASS Directions R gionales et ile de france sante gouv fr SS D partementales des Affaire
209. s de relever le d fi de produire plus d nergie propre qu ils n en consomment modernistes sans excentricite Budget d environ 20 sup rieur a la m me maison en RT 2005 La vraie maison contemporaine celle Une Passivhaus a la qui ne sera pas obsol te avant longtemps Synth se du produit technique type CLASSE B Pour atteindre un Cep lt 90 kWh ep m an le promoteur pourra travailler trois niveaux 1 Conception architecturale architecture Bio climatique 2 Construction mat riaux gros La maison nergie positive Francaise cal e sur le label gr ce au photovoltaique BBC b timent 8 basse consommation CLASSE A CLASSE Le label BBC tablit un niveau d exigence cal pour le r sidentiel sur 50 KWhep m an en nergie primaire en prenant en compte les consommations de tous les usages chauffage refroidissement production d ECS ventilation et clairage D clin selon les zones climatiques de la RT2005 avec un coefficient de 1 3 pour la Idem Classe A pour la conception de l enveloppe et le choix des quipe ments de chauffage Cependant la contrainte du z ro energie n cessite de compenser la depense d nergie consomm e 2 Construction traditionnelle en parpaings avec isolation int rieure huisseries PVC thermique conforme 8 la RT 2005 uvres isolants tels que brique monomur b ton cellulaire ossature bois 3 quipements chauffage thermodyn
210. sive l apport solaire permet de r aliser des conomies d nergie importantes pendant la saison de chauffe Cependant cet apport peut tre source d inconfort en raison des risques de surchauffes d s la mi saison Afin de r duire les risques d inconfort les baies vitr es doivent tre prot g es du soleil en t parfois des la mi saison par des auvents des brise soleil ou des persiennes ext rieures La valorisation des apports solaires est un des principes essentiels de la conception bioclimatique et doit tre associ e d autres caract ristiques volum triques du logement m Le volume chauff doit pr senter une bonne compacit VOLET ENVIRONNEMENTAL L NERGIE SOLAIRE PASSIVE 5 Des espaces tampons p riph riques prot gent l espace central des d perditions thermiques en particulier au nord o seront implant s de pr f rence les celliers garages et locaux de stockage des bacs d ordures m nag res m Des espaces captants en fa ade sud permettent d accro tre les apports solaires en hiver Les espaces captants prennent la forme de serres v randas ou jardins d hiver espaces vitr s non chauff s accol s au logement ou encastr s dans la surface habitable Ces volumes vitr s augmentent la surface habitable mais titre temporaire en raison des diff rences de confort qui peuvent tre engen dr es tr s variables entre l hiver et l t entre les p riodes nocturn
211. sme d information sur les nergies renouvelables www observ er org FICHES TECHNIQUES Fiche technique site commercial Ventilation de Bretagne www ventilation fr nome php cible GEOTHERMIE Article ARENE sur la g othermie en Ile de France www areneidf org Energies laGEOTHERMIE html Certification Eurovent produits de climatisation et de r frig ration an accord avec les normes europ amp ennes et internationales www eurovent certification com ORGANISMES Association Frangaise pour les Pompe A Chaleur AFPAC G othermie www afpac org basse temp rature Association Qualit Energies Renouvelables www qualit enr org CLER Comit de Liaison Energies Renouvelables www cler org Observ ER Organisme d information sur les nergies renouvelables www observ er org UCF Union climatique de France www ucf fr CETIAT Centre technique des Industries A rauliques et Thermiques www cetiat fr Site G othermie partenariat ADEME BRGM www GEOTHERMIE perspectives fr G othermie 2 2 6 152 m ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE INFORMATIONS PAR TH MATIQUE N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus FICHES TECHNIQUES Fiche technique site commercial Ventilation de Bretagne www ventilation fr nome php cible GEOTHERMIE ORGANISMES Association Frangaise pour les Pompe A Chaleur AFPAC www afpac org Association Qualit Energies Renouvelables www qualit enr org A rothermie 227 A rothermie CLER Comi
212. t de Liaison Energies Renouvelables www cler org Observ ER Organisme d information sur les nergies renouvelables www observ er org UCF Union climatique de France www ucf fr CETIAT Centre technique des Industries A rauliques et Thermiques www cetiat fr Site G othermie partenariat ADEME BRGM www GEOTHERMIE perspectives fr UCF Union climatique de France www ucf fr CETIAT Centre technique des Industries A rauliques et Thermiques Chauffage 2 2 8 Chaudi re gaz condensation f www cetiat fr Cegibat Information Conseil de Gaz de France pour les professionnels du batiment www cegibat com Office Internationale de l Eau OIEAU www oieau fr Maitrise 2 3 1 Ma trise de la Centre d information sur l eau CIEAU consommation d eau de consommation d eau www cieau com Agence de l eau Bassin Seine Normandie www eau seine normandie fr ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE m 153 INFORMATIONS PAR TH MATIQUE Eau de pluie 154 m ANNEXES N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus FICHES TECHNIQUES Fiches ARENE sur les toitures v g tales http www areneidf org entreprises Fiches FichesHTML 02 03 html ORGANISMES Office Internationale de l Eau OIEAU 2 3 2 Toiture v g talis e ul Centre d information sur l eau CIEAU www cieau com Agence de l eau Bassin Seine Normandie www eau seine normandie fr Association pour les toitures v g tales www adivet net FICHES TECHNIQUES Fiches A
213. t compos de mati re organique et volcanique et d une couche filtrante sur laquelle se d veloppe un tapis de plantes La v g talisation peut tre mise en uvre par semis par plantation de petites mottes ou par pose de plaques ou rouleaux pr cultiv s Les toitures v g talisation extensive s adaptent des structures en b ton en acier ou en bois pour des pentes de toiture comprises entre O et 30 En fonction de la pente des dispositifs de retenue du complexe de v g talisation peu vent tre n cessaires Pour une toiture terrasse l installation type est pr sent e ci dessous Etanch it bicouche Couche drainante Couche filtrante Pare vapeur PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU LES TOITURES V G TALES Une toiture v g talis e est donc constitu e de plusieurs couches superpos es Des solutions simplifi es existent dans le cas de toitures et non de terrasses 3 x Illustration 71 Toitures v g talis es Stuttgart Allemagne Wohnen 2000 IGA 1993 LES TOITURES VEGETALES m 107 Photo ARENE LES TOITURES V G TALES Le tableau ci dessous compare les avantages et les inconv nients des solutions de v g talisation Vegetalisation extensive Avantages E couche de substrat lt a 15 cm E ideal pour les grandes surfaces E convient aux toitures de O 30 de pente E convient aux travaux de r novation
214. t s d iso lation notamment pour les toitures lorsqu ils sont pos s entre les chevrons Le lin et le chanvre n cessitent tr s peu de pesticides et insecticides Le chanvre est naturellement fongicide et antibact rien se pr sente galement en granulats pour les enduits isolants n cessite cependant une ignifugation Mat riaux isolants base de li ge Les panneaux de li ge agglom r s sont fabriqu s partir de l corce de ch ne li ge le li ge brut est r duit en granules qui sont expans s la vapeur 800 C et agglom r s l aide de la r sine contenue dans le li ge la sub rine En raison de leurs propri t s acoustiques et d une bonne r sistance la compression ils peuvent tre utilis s pour l isolation des planchers La mati re premi re est peu abondante faute de reboisement suffisant des r gions s ches Le li ge expans pr sente une faible perm a bilit la vapeur d eau est ininflammable imputrescible r sistant aux attaques d insectes de rongeurs de champignons Le li ge est aussi disponible en granules pour l isolation des vides planchers combles et comme composant de b ton all g Sous forme de dalles le li ge est aussi utilis en rev tement de sol isolant et antiallergique fourniture 20 30 m3 ISOLANTS D ORIGINE VEGETALE m 123 ISOLANTS D ORIGINE V G TALE 2D Pour le maitre d ouvrage MATERIAUX 11606 en Li ge en
215. t n cessaire le co t du g n rateur est accru Tuiles photovolta ques e Les tuiles propos es par les fabricants ne sont pas toujours compatibles avec les tuiles existantes e Potentiellement plus de connectiques une tuile ayant une surface plus petite qu un panneau classique Investissement Modules 7 500 HT kWc Membrane 8 000 HT kWc 370 HT m de membrane fournie pos e Tuiles 8 500 HT kWc STC fourni pos Le prix des tuiles seules varie de 4 625 6 500 HT kWe STC Standard Test Conditions terme anglais pour Conditions Standards de Test selon les fabricants Imerys et Lafarge ces montants doivent tre rajout s des frais m V rifier l tat des modules occultations par de raccordement de l ordre de 500 environ des d jections d oiseaux ou bris de tuiles ventuels V rifier le bon fonctionnement de onduleur pr sence d un bruit de fond et d un signal lumineux ou cran d affichage avec informa tions de base lorsqu il fonctionne V rifier l tat des c bles et des connexions Entretien maintenance Qu il s agisse de panneaux ou de tuiles une centrale photovolta que n cessite peu de maintenance Une visite de contr le et d entretien annuel est tout de m me souhaitable pour LE SOLAIRE PHOTOVOLTA QUE 83 LE SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE La dur e de vie d une installation est d au moins 25 ans La dur e de vie des onduleurs est
216. tage en b ton cellulaire m Les briques alv oles en terre cuite dites monomurs m Les briques en agglom r de pierre ponce B ton cellulaire Le b ton cellulaire est compos de differents mat riaux tels que la chaux le ciment le sable et la poudre d aluminium qui produisent de petites bulles d hydrog ne au contact de la chaux La meilleure r sistance thermique est obte nue avec le bloc de construction maconn e Etant perm able a la vapeur d eau il doit tre recouvert d un enduit hydrofuge L ISOLATION R PARTIE Brique a alv oles en terre cuite La r sistance thermique de la brique alv ole est tr s faible mais elle poss de une excel lente inertie et elle est perm able la vapeur d eau Apr s une inondation seul un b timent con u partir de briques alv oles restera presque intact Les appellations les plus courantes de cette brique sont Monomur o Biomur Pour un mur de 40 cm d paisseur soit une brique de 36 5 37 5 cm la r sistance thermique est de 2 94 3 12 m2 K W ce qui correspond une paisseur d environ 12 cm de laine de verre VOLET ENVIRONNEMENTAL Le profil environnemental d une isolation r partie est le suivant Pr server les ressources Briques en agglom r de pierre ponce Cette variante de brique alv ole tr s l g re pr sente des caract ristiques thermiques presque identiques celles du b ton cellu laire Les m
217. tation des eaux est soumise une r glementation sp cifique m Le sol g othermie cf 2 2 6 m L air ext rieur a rothermie cf 2 2 7 La notion de Coefficient de Performance COP des pompes chaleur Pour effectuer les op rations de transfert de chaleur d un milieu un autre par les chan geurs et de remont e du niveau de temp ra ture par le compresseur la PAC consomme de l nergie lectrique Cependant cette consommation reste faible au regard de l nergie thermique restitu e Le Coefficient de Performance COP d une PAC traduit sa capacit restituer de la chaleur Le COP quivalent d un rendement appliqu au PAC correspond au rapport suivant nergie thermique utile restitu e pour le chauffage oe Energie lectrique n cessaire au fonctionnement Ainsi un COP gal 3 signifie que l nergie thermique utile restitu e est 3 fois sup rieure l nergie lectrique consomm et donc fac tur e ou pour 1 kWh d lectricit consomm la PAC restitue 3 kWh d nergie thermique au b timent Le COP permet galement de comparer les performances des appareils entre eux sous des conditions d essais identiques car normalises EN 14511 Le COP de toute PAC augmente avec la temperature de la source froide et diminue avec celle de la source chaude Le COP n a de signification qu une temp rature de source froide et de source chaude donn es Pour d cider de l o
218. te personnel qui d crit les principes de l isolation par l ext rieure et ses avantages http jehhan ifrance com chauffage p51 html FICHES TECHNIQUES Guide ADEME grand public isolation thermique http www ademe fr particuliers Fiches pdf isolation pdf FICHES PRODUITS Le site du Vitrage 8 Isolation Renforc e site commercial http www vitragevir fr Label AEV et ACOTHERM www guidehme com INES Institut National de l Energie Solaire www ines solaire com outils htm passif 2 1 3 Vitrages Energie passive 2 1 4 Huisseries 2 1 5 Energie solaire passive f Outils Solaires Information sur l nergie solaire www outilssolaires com ANNEXES INFORMATIONS PAR TH MATIQUE m 149 INFORMATIONS PAR TH MATIQUE A N fiche D signation MTD Volet En Savoir Plus Xpair site portail du g nie climatique www xpair com Perm abilit 8 Pair 2 1 7 Gorrection NE a MEN de la perm abilit 8 Pair Association Fran aise d Agence de Contr le par Thermographie et infiltrom trie pour la ma trise de l nergie http aactime com FICHES TECHNIQUES Fiche descriptive compl te sur le puits canadien http www aeu fr fr web_puiprov puiprov html SYNDICATS PROFESSIONNELS Association Qualit nergies Renouvelables 2 1 9 Puits canadien www qualit enr org CLER Comit de Liaison nergies Renouvelables www cler org Observ ER Organisme d information sur les nergies renouvelables Confort d t
219. ter 0 16 c est malin Fili re bois nergie mobilise 4 fois plus de main d uvre que les nergies fossiles secteur cr ateur d emplois Plus de 25 des m nages demandent maintenant cet quipement encore co teux donc valorisant en standing Idem Les nouveaux syst mes A ro thermiques ne pr sentent plus d inconv nient sonore en lotissement Moyen pour consommer moins tout en restant utilisateur d un bon vieux chauffage central KK XK XX XX k KA XK PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION SYNTH SE LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD m 135 LES MEILLEURES TECHNIQUES DISPONIBLES MTD SS Lot concern Maitrise de la consomma tion d eau Eau de pluie Mat riaux sant N de la fiche Perl 2 3 2 2 3 3 D signation de la meilleure technique disponible Ma trise de la consom mation d eau limiteur de pression douchettes venturi d tecteurs fuites d eau WC tr s conomes Techniques classiques Incidence environnementale Milieux naturels moins sollicit s Incidence en terme d co gestion conomies de charges Incidence en terme de confort sant Visibilit commerciale Le risque cologique du manque d eau est l un des mieux per us par les m nages L investissement est tr s faible par rapport au b n fice Investissement sur la dur e de vie KK Toitures v g tales
220. tes faciles ouvrir en tenant le v lo par la main Photo ARENE Photo ARENE Photo ARENE Photo ARENE Illustration 28 Abri v lo Quartier Vauban Fribourg Allemagne Illustration 27 Abri v lo et bacs de collecte de d chets Vesterbro Copenhague Danemark Illustration 25 Edicules de stockage des bacs de tri s lectif BedZED Angleterre Illustration 26 Stockage des bacs de tri sous pergolas Quartier Vauban Fribourg Allemagne PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE L OP RATION LOCAUX ANNEXES m 27 LOCAUX ANNEXES 3 m tres 3 m tres QJ 7 v los 4 scooters ou motos Source d apr s ARENE Illustration 29 Dimensionnement des locaux deux roues Une largeur de 3m correspond 7 v los ou 4 scooters ou motos Sch ma d apr s l ARENE 28 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION VOLET ENVIRONNEMENTAL Les extensions du logement contribuent la qualit de vie et l habitabilit des logements en proposant des pi ces de vie suppl men taires exemple de la v randa et en facilitant la gestion des ressources eau nergie d chets VOLET CO T GLOBAL Les locaux annexes s ils ne sont pas chauff s peuvent contribuer la protection climatique des logements mais les parois de s paration avec le logement doivent tre isol es thermiquement Certains quipements peuvent r duire les consommations d
221. tions mettre en ceuvre sont toutes arriv es 8 maturit Un niveau d isolation lev du b ti du type Ubat de 25 inf rieur au niveau RT2005 Une compensation sur la ventilation d pendant de la typologie du logement et du mode de chauffage de la VMC hygro A Indicateur CO selon DPE En gCO kWh nergie finale Gaz naturel 234 GPL 274 Fioul 300 Autres fossiles 320 Bois 13 Charbon 384 R seau de chaleur 154 lectricit hiver 180 lectricit autre 40 Source Manicore moyenne des r seaux en France sans ACV maisons de ville avec pompes chaleur la VMC double flux avec r cup rateur pour le pavillon quip de chaudi re gaz conden sation Des metteurs de chaleur basse temp ra ture planchers chauffants de pr f rence m Une g n ration de chaleur soit par pompe chaleur g othermale soit par chaudi re gaz condensation ou chaudi re bois m Un chauffage de l eau sanitaire ECS par r cup ration sur l air extrait dans le cas de pompes chaleur soit avec appoint solaire pour la solution gaz ou chauffe eau lectri que classique La neutralit en carbone est approch e pour diff rentes solutions de chauffage lorsque l ECS est produite par ballon lectrique avec appoint solaire thermique couverture de 50 des besoins E le chauffage bois E le chauffage PAC g othermique E l effet Joule mai
222. tration Illustration 75 Les composants techniques du puits d infiltration 112 m PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION MAITRISE DE L EAU Conditions et limites d utilisation L utilisation de ces techniques d pend essentiellement du sol et du sous sol environnant La capacit d absorption doit tre suffisante le toit de la nappe doit se situer plus d un m tre de profondeur sous le fond du puits la nature du sous sol doit tre connue afin de ne pas le d structurer roches solubles sur le parcours de l eau Par contre ce dispositif s adapte parfaitement autant en milieu urbain qu en p riurbain Avantages Peut tre utilis dans les zones ou la couche superficielle est peu perm able mais ayant des capacit s importantes d infiltration Zones de forte urbanisation avec de grandes superficies imperm abilis es m R duit les risques d inondation absorption des pointes de ruissellement Diminue les volumes d eau allant vers le r seau classique d assainissement et de ce fait 81696 son fonctionnement et r duit les co ts d investissement et d exploitation Collecte des eaux tr s locales et donc conomie de r seau d assainissement Bonne int gration dans le tissu urbain Peu d emprise fonci re Pas de contrainte topographique majeure Alimentation de la nappe Points de vigilance Risques de colmatage Risque de pollution de l
223. tuer la chaleur gr ce a un changeur thermique 3 qui c de les calories ECS m Stocker l eau chaude dans le ballon solaire 5 bien isol il constitue la r serve d eau sanitaire pr te tre utilis m Pallier l insuffisance d ensoleillement en p riode d favorable hiver demi saison longue p riode de mauvais temps par le dispositif d appoint qui prend le relais en cas de besoin et reconstitue le stock d eau chaude si l nergie solaire est insuffisante 11 et 12 Le SSC Syst me Solaire Combin Le chauffe eau solaire tant maintenant efficace et performant on parle alors de SSC qui peuvent couvrir 25 60 des besoins annuels selon la r gion et la taille de l installa tion Un SSC est un syst me qui couvre une partie des besoins de chauffage des b timents et produit de l eau chaude sanitaire LE SOLAIRE THERMIQUE m 77 LE SOLAIRE THERMIQUE Le systeme solaire combin est toutefois plus complexe mettre en oeuvre car le chauffage des locaux et la fourniture d eau chaude sanitaire n ob it pas aux m mes exigences En effet les besoins d eau chaude sont relativement constants tout au long de l ann e alors que la demande de chauffage varie fortement selon les saisons De plus lorsque le chauffage est en marche la demande journali re de chaleur est relative ment continue A l inverse celle d eau chaude sanitaire est irr guli re des pointes de courte dur e altern
224. tuer un support la d marche commerciale des promoteurs et des constructeurs Tous r pondent aux enjeux de la construction durable mais chacun de ces produits correspond un segment de march sp cifique sur le plan de la solvabilit des acheteurs et de leur sensibilit au d veloppement durable La segmentation propos e repose pour partie sur les cat gories du diagnostic de perfor mance nerg tique DPE dont l utilisation se g n ralise et qui vont donc rapidement tre connues du grand public et sur la consom mation d nergie primaire Cep comme crit re de performance exprim en kWh ep m an par m tre carr de SHON PARTIE 3 SC NARIOS NERG TIQUES Nous proposons ci dessous quatre classes de logement qui correspondent chacune une combinaison de solutions techniques CLASSE C Soit Cep 115 kWh ep m an Le respect de la RT 2005 correspond 130 kWh primaire m SHON an en zone H1 le minimum de qualit S nart doit correspondre la norme Haute Performance nerg tique HPE soit RT 10 CLASSE 8 Soit Cep entre 51 et 90 kWh ep m an Label THPE avec gaz ou THPE avec nergie renouvelable CLASSE Soit Cep 50 kWh ep m an En correspondance avec les labels de hautes performances Minergie Passivhaus BBC Effinergie CLASSE Soit 8 impact nul ou a nergie positive Ce sc nario correspond a des op rations pilotes qui resteront commer
225. ur d ensoleillement Groupement d Int r t conomique Groupement Interprofessionnel des Fabricants d quipement M nager Habitat et Environnement certification Haute Performance nerg tique Ventilation avec boucles hygror glables en extraction d air vici et en entr e d air frais IAC Ich IdF INIES ITE 1 LOI POPE MOB MTD PAC PRE PSE PV PV Rair RPE RT 2005 SAN SAV SHON SSC STC Teq THPE U VMC VMC2F Interrupteur Automatique de Champ Ccefficient final de chauffage appliqu aux besoins de chauffage Ile de France Informations sur l Impact Environnemental et Sanitaire base de donn es Isolation Thermique par l Ext rieur Isolation Thermique par l Int rieur Loi de Programme fixant les Orientations de la Politique nerg tique Maison en Ossature Bois Meilleures Techniques Disponibles fiches construction Pompe Chaleur Plancher Radiant lectrique Polystyr ne Expans Photovoltaique Proc s Verbal Taux de renouvellement d air en nb Vol h q Rev tement Plastique pais R glementation Thermique 2005 Syndicat d Agglom ration Nouvelle de S nart Service Apr s Vente Surface Hors uvre Nette Syst me Solaire Combin Standard Test Conditions angl pour Conditions Standards de Test Mesure de la puissance nominale maximale d un panneau solaire Tonne quivalent Tr s Haute Performance nerg tique Coefficient de d perdition thermique de la paroi du b ti
226. urs de chauffage central Les fournisseurs nationaux indiquent sur avec un investissement et une complexit E Putilisation des nergies fossiles en chauffage Ce qui permet d viter les critiques demande la liste de leurs installeurs en fonction technologique moindres que dans le cas de central sauf pr sence d un r seau de gaz FR 2 classiques des syst mes air puls ou des des regions la g othermie naturel sur le site 1 planchers chauffants Les nouveaux mat riels disponibles sur le march permettent de r soudre les inconv nients principaux Des COP qui devenaient faibles en hiver Aujourd hui ces COP d passent les x 3 et sont proches de ceux de la g othermie B n fice client A B C D E F Economie Patrimoine Modernit Ecologie Sant Confort C EE B n fice majeur 1 ordre B n fice secondaire 27 ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L CHELLE DE LA CONSTRUCTION QUIPEMENTS NERG TIQUES AEROTHERMIE m 97 VOLET DESCRIPTIF Les chaudi res dites conventionnelles laissent chapper par la chemin e les gaz de combustion ainsi que de la vapeur d eau sans exploiter la chaleur contenue Les chaudi res condensation exploitent cette chaleur Principe de fonctionnement Apr s combustion du gaz ou fioul selon le cas il reste dans les fum es de la vapeur d eau la chaudi re a condensation recueille la chaleur dite chaleur l
227. urs int rieurs peuvent tre recouverts de pl tre projet de chaux d enduit pellicu laire ou de plaques de pl tre A l ext rieur les finitions sont g n ralement des enduits traditionnels base de liant hydraulique o des enduits monocouche R duire les nuisances nergie Mati re Eau Biodiversit i Action forte 1 ordre R duire les pollutions R duire Air Eau Sols D chets O 2 Action secondaire ordre PARTIE 2 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE LA CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE DE L ENVELOPPE Am liorer Bruits Odeurs Confort Sant TI J M L ISOLATION R PARTIE m 37 L ISOLATION R PARTIE HA RAN VOLET CO T GLOBAL Avantages m La mise en uvre des huisseries des Points de vigilance Les diff rents postes plomberies et des r seaux lectriques est m Ces blocs de construction sont plus com du co t global m La structure porteuse et l isolation thermique facilit e plexes poser et doivent tre mis en uvre ne constituant qu un seul produit l isolation Les ponts thermiques sont diminu s par un personnel qualifi form ce type Investissement r partie permet un gain de temps pour la Le confort thermique est optimis de mat riaux Le prix de vente d une maison construite avec ces mat riaux paisseur de 30 cm est sup rieur d environ 6 par rapport celui d une MISS EN m Le calepinage est n cess
228. vement lev es Montr al par exemple si on consid re une portion de voie de 5 m tres associ e a la facade sur rue on trouve une densit de 53 logements ha avec des parcelles de 6 x 26 m Ainsi pour satisfaire la demande de 1 000 logements par an l amp talement urbain consom mera 100 ha en individuel group en lotissement 50 ha avec des maisons accol es par groupes 20 ha en maisons de ville denses 6 7 ha en collectifs regroup s en lots l chelle de l organisation urbaine un autre impact de l talement concerne la d pen dance la voiture particuli re pour les trajets quotidiens La densit se rapporte galement la possibilit de desserte par les transports en commun dont la rentabilit requiert une densit d au moins 37 5 logements par hectare chiffres canadiens Une densit sup rieure permet aussi d accro tre la quantit d espaces verts publics 14 m PARTIE 1 FICHES TH MATIQUES L ECHELLE DE L OP RATION Individuel group en lotissement 10 20 logts ha Illustration 7 Le Clos des Jades Cesson 77 Source EPA S nart Atelier BLM SNC Marignan R si dences Individuel dense 20 30 logts ha Illustration 8 La densit des formes du d veloppement r si dentiel 2004 Source Document CERTU Maisons de ville ou petit collectif 50 70 logts ha vue de l int rieur dot Illustration 9 llot
229. windows VOLET MARKETING CO T SOCI TAL solaire associ e une bonne isolation du b ti constitue la m thode la plus efficace et la moins co teuse pour r aliser des logements basse consommation d nergie donc vraiment adapt s aux d cennies venir Les mesures d architecture bioclimatiques implantation compacit traitement thermique de l enveloppe ventilation naturelle permet tent d atteindre des consommations d nergie de l ordre de 45 kWh m soit plus de la moiti des exigences de la RT 2005 avec des instal lations techniques traditionnelles et avec des co ts de construction qui restent au niveau du traditionnel Les mesures qui conduisent une architecture bioclimatiques sont simples grandes surfaces vitr es au sud et petites ouvertures au nord B n fice client A B C conomie Patrimoine Modernit absence d ombrage sur les surfaces vitr es surchauffes d t isolation ext rieure pour laisser murs et planchers servir au stockage thermique pour la nuit Commercialement avec l augmentation des co ts d nergie aidant la proposition d une r duction de moiti des d penses nerg tiques avec un surinvestissement qui peut varier de 0 15 doit pouvoir se r v ler porteuse Deux objections sont attendre m Le style architectural peu conventionnel des b timents et maisons bioclimatiques r alis s Il est imp ratif que les arc
230. zontaux Ceux ci mesurent plusieurs centaines de m tres et sont install s en boucles espac es d au minimum 40 cm pour favoriser le rende ment La surface n cessaire pour les capteurs est quivalente une ou deux fois la surface chauffer Les capteurs sont enterr s horizontalement dans le sol du jardin 60 80 cm sous la surface du sol dans le terrain jouxtant la maison Le pr l vement thermique s effectue par circulation dans les capteurs d un fluide caloporteur Les capteurs devront tres a plus de 2 ou 3 m tres des arbres et autres canalisations ll ne faut pas les recouvrir d une terrasse ou d un rev tement quelconque VOLET Les capteurs verticaux Les capteurs verticaux sont constitu s de deux tubes de poly thyl ne formant un U install s dans un forage La sonde verticale va r cup rer l nergie calorifique stock e naturellement dans le sol Pour cela un forage est effectu dans lequel est plac un changeur de chaleur contenant un fluide caloporteur eau antigel 10 m de profondeur la temp rature est constante toute l ann e aux environs de 13 C puis en descendant la temp rature augmente de 2 3 C tous les 100 m Selon les besoins de l installation une ou plusieurs sondes devront tres pos es une profondeur de 50 100 m On estime que pour une maison d environ 100 120 m habitables il faut deux forages de 60 m de profondeur L avantage de la sonde verticale est sa

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