le compte-rendu de la réunion de la C.P. du 12.03.13
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1. une s rie d initiatives locales de parcours vers une m decine de parcours int grant le cure et le care Le comit des sages a identifi 3 volets pour structurer l action La r flexion partag e faire en sorte que chacun participe la r flexion partag e la CNS dispose de la particularit de m langer plusieurs approches plusieurs points de vue et c est en particulier ce titre que Alain Cordier souhaite avoir des changes r guliers avec la CNS La coh rence dans la multiplicit des initiatives rep rer les points communs les obstacles qui emp chent d aller plus loin ou les bons leviers et mettre en articulation des initiatives diff rentes et pas n cessairement convergentes Les sauts cr atifs penser autrement imaginer comment on peut voluer aller plus loin d ici la fin mai des ateliers cr atifs seront mis en place pour identifier ces points de progr s La CNS y sera repr sent e Les r sultats de ces ateliers pourront tre pr sent s la CNS La strat gie nationale de sant s inscrit dans le long terme il s agit d avoir une vision vers laquelle cheminer tout en poursuivant les activit s quotidiennes Il convient de disposer d une r flexion partag e et d identifier des convergences Cela n cessite une forte ambition collective pour mieux soigner et mieux d penser ensemble et en m me temps une grande modestie car la dynamique doit tre collective2. Echanges avec les membres B Devictor pr cise que la CNS est connect e aux CRSA et peut organiser des travaux partag s Parmi les missions de la CNS et des CRSA le d bat public est une dimension prendre en compte dans la r flexion pour la strat gie nationale de sant Ainsi pourrait merger une approche parcours du point de vue des acteurs des CRSA c t de l approche rep r e par les ARS Les changes avec les membres font ressortir les interrogations suivantes Aux c t s du parcours de sant de la personne comment organiser le parcours m dical rapport entre les temps collectifs des professionnels de coordination de la formation du colloque singulier avec les patients etc Quelle articulation de la strat gie nationale de sant avec le document de r flexion sur la politique nationale de sant l horizon 2025 sur lequel la CNS a t saisie en 2011 et qui semble tre compl tement oubli par le nouveau Gouvernement Plus largement comment construire un consensus au del des ch ances lectorales qui ne soit pas remis en cause chaque changement de Gouvernement Comment faire suffisamment consensus pour s inscrire dans la dur e Comment sortir de la logique d exp rimentation sans cesse remise en cause et passer au prototype au banc d essai comment passer l exp rience industrielle issue d une d cision strat gique comment faire participer tous les acteurs
3. re occasion pour venir changer avec les membres de la commission permanente Il pr cise qu il se sent profond ment en phase avec les interventions pr c dentes de Mme Meyer et de M Garros en particulier sur les notions de coordination et de parcours de sant Sur la strat gie nationale de sant Alain Cordier estime que la r flexion est tr s largement partag e entre les diff rents acteurs de sant usager professionnel r gulateur qui font face plusieurs d fis comme La chronicit L in galit d acc s aux soins L int gration du progr s technique Le financement durable dans le cadre d une prise en charge solidaire La capacit de r pondre la revendication de l galit et le besoin de r ponses personnalis es Le point central est de chercher articuler entre elles les bonnes comp tences au bon moment C est la logique du parcours non pas le parcours de soins au sens de la loi du 9 ao t 2004 mais le parcours de vie et de sant de la personne de la pr vention jusqu la fin de vie Il faut aller vers le croisement entre la verticalit des comp tences et l horizontalit des pratiques Un parcours sans ruptures cela contribue un mieux soigner une meilleure prise en charge la litt rature nous le dit abondamment mais c est aussi un mieux d penser C est le pari strat gique du comit des sages Ce pari suppose sans doute De revisiter n
4. s interg n rationnelles et de proximit 12 Deux principes majeurs qui fondent l assurance maladie et la prise en charge des risques li s la sant b La solidarit selon les revenus a La solidarit entre malades et biens portants 1 3 Ilen r sulte e un syst me obligatoire devenu universel en l an 2000 o e le b n fice des prestations est d connect des ressources e les contributions ne sont pas li es au niveau de risque et de besoin 1 Mais un syst me centr sur la prise en charge des soins 1 Au d triment de la pr vention ii Avec des ruptures fortes quand il faut int grer d autres formes de besoins 2 Les autres pans du syst me de sant rel vent aussi de principes majeurs qui d clinent le caract re universel et non contributif de la r ponse aux besoins de sant n anmoins e Le b n fice des prestations est li une d finition plus personnalis e des besoins e La constitution des ressources pour partie par l ONDAM pour partie par des dotations et une gestion tr s diff rente des ressources d concentration eDes prestations compl mentaires maladies reconnues sous conditions de ressources CMU C ACS financ es par les cotisations compl mentaires 2 Le bilan des solidarit s 2 1 L attachement aux principes est confirm dans les r formes conduites 1 Les acquis des syst mes e La solidarit fondamentale entre malades biens portants n a pour l instant pas t remise en cause
5. En 2011 le Conseil de l Europe a adopt la convention relative la biom decine Oviedo au sein de laquelle il y a un corpus sur les droits des malades Pour une meilleure application des textes internationaux qu il adopte le Conseil de l Europe a souhait r aliser des guides de mise en uvre Le projet de guide soumis l avis de la CNS porte sur le processus d cisionnel relatif aux traitements m dicaux dans les situations de fin de vie il ne s agit pas de traiter de telle ou telle situation particuli re euthanasie suicide assist mais de d finir le plus petit d nominateur de ces situations de fin de vie Le guide a t labor par une quipe pr sid e par Regis Aubry pr sident de l observatoire de fin de vie et compos e d un r animateur d un m decin psychiatre et d une juriste fruit de 18 mois de travail 1l a t pr sent plusieurs fois devant le comit pl nier du Conseil de l Europe Les d l gations nationales sont appel es faire part de leurs observations Il a aussi t transmis aux repr sentants des m decins et des usagers La CNS est une des instances qui peut avoir un regard profitable sur ce document compte tenu de son regard pluridimensionnel Les observations seront r colt es pour la fin avril et pr sent es au comit pl nier du mois de juin pour une adoption du guide pour la fin de l ann e 2013 4 Etat des lieux des travaux du groupe de travail sur les so
6. autonomie cf lettre du 14 11 12 de saisine du Cabinet de Mme DELAUNAY Le groupe de travail autonomie s est r uni le 26 02 et a auditionn M Anghelou chef du bureau de la protection des personnes la direction g n rale de la coh sion sociale sur la protection juridique des majeurs Mme Lyazid adjointe au D fenseur des droits sur les discriminations envers les personnes en perte d autonomie La prochaine r union aura lieu le 25 03 en pr sence de M Serre Conseil g n ral de la Corr ze sur l exp rimentation des maisons d partementales de l autonomie M Gohet IGAS sur sa mission relative au vieillissement des personnes handicap es Pour plus d informations et des ressources sur ce GT extranet http www sante gouv fr groupe de travail autonomie titre provisoire html 6 Examen de la note probl matique sur la crise Bertrand Garros pr sente un projet d avis sur la prise en compte de la crise conomique sur les priorit s et la politique de sant voir sur l extranet http www sante gouv fr reunion de la commission permanente du 12 03 13 html Les membres de la commission permanente font part des observations suivantes Int grer dans le texte la formule Surmonter la contradiction entre la solidarit des financements et l individualisme des comportements Dans la hi rarchisation des plans faire une distinction temporelle entre les plans nationaux 10 a
7. eUn syst me de financements obligatoires par l imp t ou des cotisations proportionnel aux ressources e L universalit des droits et des devoirs r sulte la fois de la s paration de ces principes et de l obligation faite chacun 2 Les r formes qui pr servent la justice au prix parfois d une certaine opacit ou de complexit e La cr ation de la CNSA ne s est pas traduite par le cantonnement des personnes pr sentant des risques et situation de handicap et perte d autonomie 2 2 Le syst me de solidarit est fragilis pourquoi comment 3 Le syst me solidaire est fragilis par la difficult r currente de r sorber les d ficits les politiques sont conduites pour r duire les d ficits plut t que pour mener des politiques dans l int r t des cotisants et des usagers e Des r ponses contradictoires avec les solidarit s L inefficience les difficult s financi res les solutions de courte vue d passements transferts e Mythe et r alit de la fraude la revendication individuelle le sentiment que j y ai droit la remise en cause des pr l vements obligatoires 4 R sultant de plusieurs d cennies de choix la r ponse aux besoins de sant a juxtapos des institutions des modes de financement qui r pondent a des logiques diff rentes les institutions sont multiples les personnes uniques e Des ruptures dans la prise en charge des parcours qui d cr dibilisent le fonctionnement solidai
8. pour mobiliser m me les moins convaincus Comment structurer un secteur par les besoins plut t que par les financements disponibles au del comment d finir un ordre de priorit des besoins quand tous ne peuvent pas tre financ s le budget doit traduire une strat gie un choix et non l inverse Comment impliquer les jeunes dans la d marche de solidarit il faut engager une r flexion sur les valeurs collectives la solidarit biens portants malades est un socle fondateur pour la soci t fran aise une valeur structurante du vivre ensemble ce socle fondateur doit tre pr serv Comment lever les freins li s l inertie des institutions comment les institutions elles m mes int grent ou non la notion de solidarit Alain Cordier est invit revenir changer avec les membres de la commission permanente peut tre dans un format largi Il pourra galement venir l assembl e pl ni re de la CNS du 18 juin pour pr senter les premi res orientations du comit des sages 8 Adoption du projet d ordre du jour de l assembl e pl ni re du 2 avril 2013 Le projet d ordre du jour de l assembl e pl ni re du 2 avril pourrait comporter les points suivants Intervention de la DGOS et de la DGS Adoption du rapport sur les droits usagers Adoption de l avis sur la crise conomique Pr sentation des r sultats du questionnaire sur les solidarit s 9 Question
9. Les remarques re ues des membres portaient essentiellement sur la partie relative la synth se des rapports des CRSA II s agit plus d ajouts de forme que de contenu ainsi des exemples ont t int gr s au rapport pour donner du corps et de la visibilit aux rapports transmis par les CRSA Quelques modifications ont galement t apport es aux recommandations notamment les recommandations 1 3 et 2 4 Par ailleurs parmi les recommandations de la CNS celles qui peuvent faire l objet d un suivi et d une valuation ont t identifi es l objectif est de pouvoir faire une valuation de la mise en uvre de celles ci ch ance juin 2014 Les observations des membres de la commission permanente portent sur les l ments suivants Il convient de formuler autrement la recommandation 1 1 relative la cr ation d une nouvelle commission de coordination car l objectif est plus de pr coniser une meilleure articulation entre les secteurs sanitaire et social que la cr ation d une commission en tant que telle ainsi pourrait tre pr conis e la red finition des missions et de la composition des commissions de coordination existantes Il est not que l inter sectorialit recommandation 1 3 d passe la seule articulation entre le sanitaire et le social en int grant la sant dans toutes les politiques publiques Sur la recommandation 2 il est pr cis qu un observatoire n est pas n cessaire
10. Q S AN AX aP s L haran G a oO O PARLEMENT DE LA SANTE Commission permanente du 12 mars 2013 x Compte rendu Pr sent e s M BARBIER Franck Coll ge 1 M DENIAU Lionel C 5 Mme DEVICTOR Bernadette Pr sidente C 3 M DUCIMETIERE Pierre C 8 Mme FOUCHER Catherine C 4 M GARROS Bertrand C 3 Mme LAMBERT Marianick C 2 Mme MEYER MEURET Christine C 5 M PERROT Vincent C 2 M Michel REGEREAU C 5 Mme ROCHETTE Aurore C 7 M RUSCH Emmanuel Pr sident de la C S D U C 6 En visioconf rence M CAMATCHY Serge et Mme CHANE HIME Brigitte C 3 Excus e s Mme CADENEL Annie et M FAURE Jean Louis Coll ge 6 MM CHASSANG Michel et WILTHIEN Fran ois C 7 MM DUPUIS Yves Jean et CAUSSE David C 7 M FAU Yvon C 3 Mme MARTIN DECHANET Jocelyne C 6 Mme NGOMBET BITOO Madeleine C 1 M SALOMEZ Jean Louis C 3 Mme TENENBAUM Fran oise et M FREYSZ Marc C 3 Direction g n rale de la sant Secr tariat g n ral Mme GOLINELLI Secr tariat g n ral de la C N S M VISCONTINI Cette r union est organis e en visioconf rence avec les repr sentants de la C R S A de La R union 1 Validation du compte rendu de la r union du 12 f vrier 2013 Le compte rendu de la pr c dente r union est valid Un message a t adress le 1 mars 2013 tous les pr sidents de CRSA pour recueillir des informations sur les consultations en r gion et d
11. lidarit s du syst me de sant Christine Meyer pr sente les r sultats du questionnaire sur les solidarit s voir sur l extranet http www sante souv fr sroupe de travail criteres et fonctionnement de la solidarite 11815 html Il est d cid de laisser le questionnaire ouvert jusqu au 22 mars une relance sera r alis e le 18 mars a ce Jour seuls 60 membres de la CNS ont r pondu au questionnaire Un premier projet de plan de l avis est galement propos aux membres de la commission permanente voir annexe qui ne fait pas l objet de remarques particuli res Les rapporteurs sont donc invit s entamer la r daction du projet d avis sur cette base Il est indiqu que l laboration de l avis doit s inscrire dans le cadre des r flexions et projets en cours du Gouvernement le projet de loi d pendance fin 2013 le projet de loi sant publique d but 2014 la refonte de la loi HPST la suite du rapport Couty la strat gie nationale de sant L avis de la CNS sur les solidarit s sera construit sur le mod le d une grille de lecture partir de laquelle la CNS pourra porter une appr ciation sur chacun de ces projets du Gouvernement Les r sultats interm diaires du questionnaire seront pr sent s en assembl e pl ni re de la CNS le 2 avril 2013 Le projet d avis sera mis l ordre du jour de la prochaine commission permanente du 9 avril 5 Etat des lieux des travaux du groupe de travail
12. ment une structure cependant les membres pr f rent parler d une mission d observation et d valuation Sur la recommandation 2 4 effectivit de l acc s aux bases de donn es en sant les membres mettent en avant le fait que ces bases doivent tre rendues utiles aux acteurs du syst me ce qui n tait pas leur destination au d part le SNIIRAM ne r pond pas aux besoins d tudes pid miologiques des chercheurs par exemple et que l accent doit tre mis sur l effectivit de l acc s les requ tes sont tr s difficiles ex cuter et induisent des co ts importants Il convient galement de pr ciser que l utilisation des bases soit effectu e dans le cadre des droits des usagers mais aussi dans leur int r t pour am liorer le parcours de sant Le projet de rapport sera adress aux membres de la CNS pour adoption en assembl e pl ni re le 2 avril La Pr sidente remercie vivement M Rusch qui a repris les travaux d laboration du rapport sur les droits des usagers en cours depuis son lection en octobre dernier Sur le projet de guide de la DGOS sur les droits des usagers de la sant A la suite du courrier de M Rusch relatif aux r serves mises sur le projet de guide de la droits des usagers de la sant mode d emploi M Debeaupuis Directeur g n ral de l offre de soins DGOS a r pondu par lettre du 28 f vrier 2013 N anmoins la CSDU qui a re u ce matin des re
13. ns et r gionaux 5 ans les plans nationaux seraient l objet d un consensus large pour une longue p riode les plans r gionaux devraient ensuite pouvoir int grer ces plans nationaux Recommander la r duction des plans et sch mas encore trop nombreux les PRS actuels sont illisibles 1l faut inviter au d cloisonnement entre les sch mas pr vention offre de soins m dico social et aller vers un seul sch ma comme il n y a qu une seule ARS en r gion Articuler cet avis avec celui sur les solidarit s Il est sugg r que ce texte une fois adopt par la CNS soit publi sous forme de tribune presse Les membres de la commission permanente sont invit s faire part de leurs observations sur ce texte avant le 19 mars le projet d avis sera ensuite adress aux membres de la CNS pour adoption lors de l assembl e pl ni re du 2 avril 7 Echanges avec Monsieur Alain Cordier pr sident du comit des sages pour la strat gie nationale de sant La commission permanente de la CNS accueille M Alain Cordier au titre de sa pr sidence du comit des sages pour la strat gie nationale de sant Pour voir la lettre de mission de M Cordier extranet http www sante gouv fr reunion de la commission permanente du 12 03 13 html Alain Cordier souligne l importance du lien entre les travaux de la CNS et les r flexions conduites par le comit de sages c est la raison pour laquelle il a saisi la premi
14. os formations non seulement d velopper mes comp tences mais aussi me pr occuper des autres comp tences que la mienne De reconna tre le malade usager comme cod cideur de son tat de sant De prendre en compte les aidants naturels au m me titre que les aidants professionnels De d velopper les changes d informations entre les diff rents acteurs De repenser les modalit s de r mun ration des professionnels et la tarification De remettre en cause ce qui appara t souvent comme une fronti re g n raliste sp cialiste ville tablissements sanitaire m dico social D identifier les ruptures dans la prise en charge des parcours Pour la r alisation la strat gie nationale de sant Alain Cordier pr cise que le comit des sages n est ni d cideur ni l gislateur ni n gociateur Il se situe entre deux ne pas faire un ni me rapport sur le syst me de sant ni m me organiser des Etats g n raux de la sant mais se situer en amont de la phase de d cision de r gulation de n gociation pour pr parer et impulser Alain Cordier souligne en outre l existence du pilotage administratif de la strat gie nationale de sant par le secr tariat g n ral du minist re des affaires sociales Le comit des sages souhaite Prendre appui sur les diff rentes initiatives locales r seaux centres de sant maisons de sant etc pour rep rer les obstacles et les leviers Passer d
15. partement sur le pacte territoire sant Une synth se des r ponses re ues sera r alis e ult rieurement seules quelques r ponses ont t re ues ce jour 2 Contribution de la C N S la strat gie nationale de sant et au d bat public cf note du 01 02 13 au cabinet et rencontres de la Pr sidente avec Alain Cordier et Denis Morin le 27 f vrier 2013 La Pr sidente fait part de ses rencontres du 27 f vrier 2013 La strat gie nationale de sant se d roulera sur l ensemble de la mandature toutefois deux ch ances sont fix es court terme la loi sur la d pendance fin 2013 et la loi de sant publique d but 2014 La perspective est d identifier les leviers pour lever les obstacles l volution du syst me de sant La volont est d tre tr s proche des acteurs de terrain et de leurs attentes M Alain Cordier souhaite avoir des relations tr s troites avec la CNS qui est en lien avec les CRSA et les conf rences de territoire La Pr sidente indique qu il y a une volont manifeste du minist re d associer la CNS l laboration de la strat gie nationale de sant dans le cadre d un processus de concertation au long court 3 Adoption du projet de rapport 2012 sur les droits des usagers Emmanuel Rusch pr sente une nouvelle version du projet de rapport sur les droits des usagers qui avait t adress fin f vrier aux membres de la commission permanente pour observations
16. pr sentantes de la DGOS estime que le dialogue reste difficile dans la mesure o les r ponses aux critiques de la CNS ne sont pas suffisamment claires qui est destin ce guide que veut le minist re en mati re de m diation quel sens le minist re donne t il au terme usager Il est convenu que le pr sident de la CSDU r ponde au DGOS que la CNS ne pourra pas donner un avis favorable au projet de guide qui lui est soumis lors de sa prochaine r union du 9 avril celui ci n cessitant des changes plus avanc s entre les repr sentants du minist re et ceux de la CSDU Sur les relations avec l Institut droit et sant La CNS fera part de son d sappointement dans la mise en uvre du partenariat qui la lie l Institut droit et sant tant sur la qualit des travaux transmis que sur les d lais de remise des productions Sur la consultation sur le document de travail sur la fin de vie du Conseil de l Europe voir la saisine du 25 f vrier 2013 La Conf rence nationale de sant a t saisie par le Conseil de l Europe sur un projet de guide sur les processus d cisionnel relatif aux traitements m dicaux dans les situations de fin de vie Le Conseil de l Europe est une institution intergouvernementale 47 Etats membres qui s inscrit dans la promotion de l Etat de droit de la d mocratie et des droits humains Les textes adopt s dans ce cadre sont des textes conventionnels qui s appliquent aux Etats membres
17. re e In galit s de traitement et Risques d arbitraire e La juxtaposition des m tiers et des comp tences au d triment de la coop ration chacun dans son domaine e 5 La stricte galit peut poser des probl mes de justice e Les restes charge des personnes sont les m mes pour tous mais ne p sent pas de la m me fa on selon les situations e La cr ation des ARS comment affronter les in galit s territoriales in galit s de sant 2 3 De nouveaux enjeux e Nouveaux enjeux pour le syst me de solidarit s sociaux conomiques et territoriaux comment les ins rer dans le syst me de solidarit s e sociaux faire face la pauvret et aux in galit s e conomiques Solidarit et march comment tre efficaces dans le syst me solidaire et solidaire dans le syst me concurrentiel e territoriaux e Nouveaux enjeux de solidarit s pour les personnes De nouveaux besoins des besoins sp cifiques comment y r pondre e Faire valoir les droits e Prise en compte des situations des personnes 1 Protocoles de soins et personnes d sins r es 2 Au del des droits l acc s aux soins et aux services e La d mocratie sanitaire e Nouveaux enjeux pour les professionnels et les institutions e Question de la pluridisciplinarit des coop rations de la coordination e Les r seaux professionnels les maisons de sant l h pital les centres de sant y a t il des organisations plus
18. s diverses La Conf rence nationale de sant doit identifier le th me de son d bat public qui serait organis en fin d ann e le minist re de la sant lui propose de r fl chir sur un v nement int grant la th matique de la sant des jeunes Les membres changent sur les diff rentes approches du d bat public qui pourrait porter sur la fa on dont les jeunes per oivent la solidarit aujourd hui en particulier la solidarit interg n rationnelle Annexe Projet de plan de l avis sur les solidarit s en s appuyant dans les diff rents items sur les r sultats au questionnaire Introduction la CNS s est auto saisie de la question des solidarit s en sant rappel lettre de mission Des r formes venir d pendance h pital strat gie nationale de sant la CNS construit des axes de positions L objectif de l avis constituer sur la base du bilan et de l expression des avis des membres un corpus de principes et recommandations sur la d finition la place et les enjeux des crit res de solidarit dans les choix d volution du syst me de sant 1 Le syst me social et le syst me de sant ont t construits sur des principes tr s forts de solidarit 1 1 Une longue tradition solidariste qui jalonne le 20 me si cle et fonde la cr ation de notre protection sociale mais plusieurs conceptions du contrat social a Solidarit et libert b Solidarit et galit c Solidarit
19. solidaires que d autres 3 Propositions de la CNS 3 1 Les principes des choix de solidarit s de demain e L galit de traitement e L efficacit e La transparence e La prise en compte des situations des personnes 3 2 Ajuster red ployer ou tendre les solidarit s en sant 3 3 Construire des parcours de sant solidaires Mieux articuler des instances nationales des droits pour tous et des responsabilit s d centralis es et d concentr es exemples De nouvelles solidarit s interg n rationnelles tenir compte des difficult s des jeunes du nombre de PA exemples Lutter contre la pr carit dans le cadre solidaire les m mes droits pour tous exemples D finir des r gles qui ne soient pas que des obligations mais aussi des cadres contractuels pour les acteurs de march exemples Associer quelles propositions qui aillent dans le sens de renforcer le syst me solidaire les solidarit s exemples o les professionnels o Les usagers et les aidants o Les autres financeurs o Les repr sentants des patients des cotisants 10
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