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Texte de la pétition

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1. aucun risque les dosages indiqu s une quatre gouttes quatre fois par jour correspondent une dose d alcool infime Idem pour les lixirs min raux Certes il existe des exceptions ce qui va suivre mais ces min raux sont en tr s petit nombre parfaitement r pertori s quasiment tous solubles Les autres min raux pour tre mat riellement modifi s doivent tre travaill s de tr s hautes temp ratures ou avec des corps chimiques tr s puissants Le totalement inerte ou le sans relargage n existent pas mais le quartz par exemple permet de faire des verres d ultra haute qualit avec encore moins de relargage que le verre ordinaire Or celui ci n a jamais tu personne 2 Pour que la r glementation sur les all gations de sant soit au service du consommateur Du fait de cette absence totale de toxicit le consommateur peut sans risque avoir recours cette m thode pour r guler ses tats motionnels Il le fait sur la base de propri t s qui ont commenc tre d finies par le Dr Bach dans les ann es 30 puis enrichies par d autres chercheurs selon un processus encore en cours qui n a jamais remis en cause les propri t s de base confirm es par l usage Il s agit donc ici d une v ritable tradition qui est partie de Grande Bretagne dans les ann es 30 pour s tendre la France dans les ann es 70 ainsi qu aux autres pays d Europe Quant aux lixirs min raux ils sont de tradition imm moria
2. P tition pour une reconnaissance de la v ritable sp cificit des fleurs de Bach et lixirs min raux et le droit des consommateurs conna tre leurs indications 1 Pour une classification coh rente La classification actuelle des fleurs de Bach comme compl ments alimentaires pose de multiples probl mes aussi bien aux producteurs et distributeurs de fleurs de Bach qu au consommateur qu aux instances locales charg es d appliquer la r glementation europ enne comme la DGCCRF en France Les fleurs de Bach ne sont pas un compl ment alimentaire Elles n apportent pas l organisme une mati re mais une information Si mati re il y a ce n est pas sur elle que l on s appuie pour obtenir l effet sur l tre humain Si mati re il y a elle est non seulement infinit simale mais n cessairement fluctuante car c est la d finition m me de la m thode d origine telle que mise au point par le Dr Bach Par cons quent il est impossible de faire des analyses de fleurs de Bach d finissant une concentration en principes actifs pond rables sans trahir du m me coup la m thode d origine La m prise actuelle a les cons quences suivantes producteurs et distributeurs si l on applique strictement la r glementation des compl ments alimentaires il ne leur reste plus qu effectuer des tests en laboratoire d finissant un extrait sec une concentration etc Faute de pouvoir le faire ils seront dans l ill galit S ils p
3. e et la fonction et le mode d emploi Il est important que nous puissions obtenir des organismes publics une classification qui rende compte de la sp cificit et m me de l exception que repr sentent les lixirs floraux et min raux Cette sp cificit n est pas que th orique mais aussi pratique et de longue date Elle repose sur un usage du consommateur et sur une r alit quotidienne bien implant e Merci de bien vouloir signer et renvoyer cette p tition avant le Jacques David 109 rue d Eecke 59270 Godewaersvelde France
4. er l agr ment biologique ce qui est tout la fois illogique p nalisant pour le consommateur et anti concurrentiel puisque les soci t s charg es de d cerner agr ment sont elles aussi des soci t s priv es pay es ici deux fois pour le m me travail La DGCCRF est mise en position d avantager ces soci t s au d triment des autres soci t s et au d triment du consommateur C est tr s exactement le contraire de sa mission d origine La seule vraie solution est de distinguer soigneusement ce produit de tout autre soit en pr voyant une cat gorie sp cifique soit en am nageant tr s clairement la cat gorie compl ments alimentaires en y sp cifiant bien l existence de l infinit simal et l inanit d un contr le biochimique renvoyant une concentration ou un extrait sec Une fleur de Bach mal choisie ne produit aucun effet Un effet ne peut avoir lieu que si la fleur choisie est en ad quation avec le probl me de la personne auquel cas il se produit Merci de bien vouloir signer et renvoyer cette p tition avant le Jacques David 109 rue d Eecke 59270 Godewaersvelde France P tition pour une reconnaissance de la v ritable sp cificit des fleurs de Bach et lixirs min raux et le droit des consommateurs conna tre leurs indications une r sonance Une fleur de Bach prise trop longtemps va d abord au bout de son effet puis ne produit plus aucun effet Les fleurs de Bach ne pr sentent donc aucune toxicit
5. euvent le faire ils trahiront la m thode d origine et par cons quent le produit qui aura re u l aval du laboratoire ne sera pas une fleur de Bach Le consommateur lorsque le produit est fait sur cognac biologique le consommateur est amen payer deux fois le m me agr ment biologique pour un m me produit n ayant subi aucune modification mat rielle Le producteur ne l est que par rapport la m thode de production des fleurs de Bach Pour ce qui est de l aspect bio il n est qu un transformateur du fait de l infinit simalit voir ci dessus Allons plus loin ce n est m me pas un transformateur mais un simple reconditionneur qui re oit du cognac biologique en gros volumes et le reconditionne en petits volumes L information ajout e ne modifie pas le cognac sur le plan mat riel Et si l on estime que si alors il faut aller au bout de cette logique et promulguer des analyses et agr ments biochimiques rendant compte du fait qu une automobile est fabriqu e Bruxelles plut t qu Paris l atmosph re n y est pas la m me La DGCCRF ou autres instances locales se trouve en porte faux Cette classification inadapt e oblige ses v rificateurs aller contre l int r t du consommateur en interdisant toute tra abilit du cognac utilis comme conservateur en interdisant que la qualit biologique du cognac utilis soit mentionn e ne serait ce que dans la composition Sauf videmment pour le producteur repay
6. le relanc e en 1985 par Kevin Ryerson Ces descriptions et la consommation qui en est r sult e n ont donn lieu aucun probl me pour le consommateur Celui ci demande donc la Commission de veiller son int r t en p rennisant cet tat de fait Les r glementations fran aise et europ enne la liste positive des all gations de sant s autoris es pr vue pour fin janvier 2010 au plus tard le fait de ne pas pouvoir utiliser un terme autre que celui de la liste le fait de devoir justifier et d montrer la validit de l emploi de tel ou tel terme de la liste sont autant d agents de destruction pure et simple de ladite tradition La notion m me d all gation de sant est sujette de multiples interpr tations O commence la sant o s arr te t elle Des recherches font tat de connexions entre les lixirs et la m decine Chinoise laquelle emploie les termes par exemple Poumon pour d signer une composante de la vie psycho motionnelle quotidienne Si le nom de chaque organe est exclu de la liste ou s il implique une d monstration lourde et co teuse c est non seulement la fin de cette description du quotidien mais de toutes ces synth ses entre disciplines Si les propri t s des fleurs de Bach tombent sous le coup d all gations de sant ou si elles rec lent des formulations absentes de la liste positive et donc interdites cela rend impossible leur mise en vente on ne peut acheter un engin dont on ignor

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