Rapport d`activité 2011
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1. ARIS RAPPORT D 2011 Instantanes 2011 26 2 o PIERRE BENITE wi ur y G 4 1177 Y ime ms 8 L E 1 n E a Si In 1 1 v all COMMUN OT Sama mmm N X pi 3 ras a CM cay Oe E JN TE COMMUNE NEST SES Le message du President Le 22 octobre 2011 15 communes affichent leur col re En placardant Cette commune n est pas une niche fiscale sur le frontispice de leur h tel de ville sur un rond point ou proche d une voie de circulation les Villes de l Association nationale pour la ma trise des risques technologiques majeurs Amaris alertent une nouvelle fois opinion public sur l injustice subie par les riverains des sites Seveso Un mois auparavant Amaris donne rendez vous aux journalistes sur le theme Catastrophe AZF 10 ans Il est temps d agir concretement pour la pr vention des risques industriels R sultats de ces deux campagnes de communication en 2011 on parle Plans de pr vention des risques technologiques PPRT dans les m dias et nos propositions sont relay es au Parlement Pour Amaris 2011 est donc une ann e plac e une fois encore sous le signe des PPRT Ils restent au coeur de nos pr occupations et orientent la plupart de nos actions Je pense tout particulierement aux rencontres que nous organisons dans les grands bassins industriels a Toulouse Lyon Fos sur Mer Bordeaux et2. Amaris s efforce d tre un lieu ressource sur le risque industriel Amaris effectue un travail de veille et d information permanente L association a mis en place une biblioth que de ressources documentations retours d exp riences et comp tences de techniciens et juristes sont disposition des adh rents POUR Amaris est un lieu de rencontre Parmi ses partenaires nous retrouvons les f d rations d industriels Union Fran aise des Industries P troli res Union des Industriels Chimiques France Nature Environnement Ce dialogue prend corps lors des rencontres PPRT qu Amaris organise sur le territoire Elles sont la chaque fois un temps de rencontre entre les locales repr sentants des collectivit s services de VEtat industriels et les associations de riverains des sites UNE En soutien du Pr sident d Amaris Delphine FAVRE charg e de mission Christelle SALAS assistante de l association Danielle SAUGE GADOUD conseill re technique STATUTS Article II 1 Cette association a pour but d tablir entre les Communes et intercommunalit s membres une solidarit face aux risques technologiques majeurs l tude de cas la protection la communication la diffusion des connaissances des propositions et d intervenir en vue de la d fense des int r ts des communes et de leurs populations
3. Fos sur Mer Frontignan la Peyrade Genay Gennes Gerzat Gonfreville l Orcher Grand Quevilly zach Issou Istres Jarrie La Rochelle L Herbergement Mardyck Martigues Mazingarbe Monestier de Clermont Montoir de Bretagne Nesle Notre Dame de Gravenchon Pierre B nite Pont de Claix Puget sur Argens R malard Rib court Dreslincourt Roussillon Saint Crespin sur Moine Saint Cyr en Val Saint Fons Saint Gaudens Saint Julien en Beauch ne Saint Martin de la Cluze Saint Pierre des Corps Salaise sur Sanne Salindres Sarralbe Solaize Tavaux Thann Thiant Vern sur Seiche Vert le Petit Village Neuf Vire Vonges LES NOUVEAUX ADHERENTS Communaut d Agglom ration d Orl ans La Carene Saint Nazaire agglom ration Aspres sur Bu ch Genay Grand Quevilly Issou Martigues Monestier de Clermont Montoir de Bretagne Saint Gaudens Saint Martin de la Cluze Saint Pierre des Corps Sarralbe Thann Vonges 10 Nos partenaires LES POUVOIRS PUBLICS maraca H L association Amaris est soutenue par le Ministere de l Ecologie du D veloppement Durable des Transports et du Logement nn WE NOUS REPRESEN TON L Association des Maires de France d l gue Amaris plusieurs repr sentations 0 MAIRES DE FRANCE NOUS ECHANGEONS ET TRAVAILLONS Fra Fan
4. Fos sur Mer et l Association des Ecomaires 150 personnes ont particip a cette journ e 24 Rencontre PPRT a Bordeaux 28 septembre CAS CONCRETS PPRT DE BASSENS par Jean Pierre TURON Maire de Bassens PPRT DE LA ROCHELLE par Maryline SIMONE adjointe au Maire et C cile GROULT charg e des risques POINTS DE DISCUSSION e UN PPRT APRES SON APPROBATION Le PPRT de Bassens paie peut tre le fait que les conventions de financement sont parmi les premieres a tre trait es La peur de cr er une jurisprudence est pr sente et les n gociations sont lentes Des discussions sont en cours avec le Conseil r gional et le Conseil g n ral qui percoivent une partie de la contribution conomique territoriale L industriel a galement demand l Etat de prendre en compte l aspect strat gique de d p t p trolier Mais aujourd hui seuls les crit res de puissances fiscale et conomique sont pris en compte INCOMPREHENSIONS 5 LA LENTEUR DE LA PROCEDURE Il est indispensable de cr er des outils pour assurer la tra abilit des discussions car aujourd hui on est dans un trou noir Les habitants ont l impression que rien ne se passe C est le point le plus d licat expliquer aux habitants Par exemple des tudes de vuln rabilit ont t r alis es La Rochelle Un an plus tard aucune restitution n a t faite la population LES COLLECTIVITES LOCALES DANS LA PROCE
5. Les communes travers es par des canalisations de transport de mati res dangereuses peuvent d sormais une contrepartie et pr tendre l imp t forfaitaire des entreprises de r seau IFER art 1379 du code g n ral des imp ts Pour autant les canalisations de transport des produits chimiques en sont exclues Seuls sont concern s les r seaux de gaz naturel et d hydrocarbures excluant les canalisations de produits chimiques L extension du p rim tre de certaines entreprises de transport de mati res dangereuses serait relier la suppression de la taxe professionnelle et non la compensation d une contrainte LA POSITION D AMARIS Les contraintes subies par les territoires doivent ouvrir le droit des contreparties C est pourquoi en 2011 elle a tent de corriger la situation dans la loi de finances 2012 Un amendement a t d pos mais n a pas t vot La Ministre a cependant pris un engagement cette question sera tudi e dans le cadre de la mission sur le bilan de la taxe professionnelle COMMUNICATION Amaris a dit une plaquette sur la r forme anti endommagement et participe aux journ es d information sur la mise en place du Guichet Unique initiative ICSI 19 Les rencontres Amaris Les rencontres PPRT En 2011 Amaris a initi un nouveau cycle de rencontres sur le territoire Objectifs r pondre aux questions des collectivit s sur les PPRT et r un
6. caus pa xpropeat Art L 13 13 Ju code de Reunissant les techniciens des villes adherentes il permet a association de s appuyer sur leurs exp riences et leurs expertises et d alimenter le travail de l association tout au long de l ann e C est aussi une communaut d change pour partager valoriser les bonnes pratiques En 2011 le groupe de travail des techniciens s est r uni chaque trimestre En 2011 le site a t entierement refondu la version d finitive a t livr e en septembre Ce site est ax sur la diffusion d information et sur la mutualisation des experiences de chacun UNE NEWSLETTER MENSUELLE Elle est envoy e 1770 destinataires la derni re semaine de chague mois depuis septembre 2011 Au sommaire des actualites des retours d experience des nouvelles de la vie de l association etc DES OUTILS DE MUTUALISATION Le site Amaris a t concu pour que ses utilisateurs puissent changer sur la probl matique des risques Pour ce faire une boite a outils est a leur disposition ainsi qu un annuaire priv 34
7. ce Natu re Environnement MBSISES See INERIS maitriser le risque TECHNOLOGIQUES pour un d veloppement durable JEUDI 11 OCTOBRE 2012 GAYANT EXPO DOUAI Les Eco Maires 2 O 1 2 0 ICSI Institut pour une culture PP de s curit industrielle MI Risaues Majeurs 11 INSTANCE DE SUIVI PPRT gt Yves BLEIN CONSEIL SUPERIEUR DE LA PREVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES CSPRT gt Yves BLEIN Andr LANGEVIN Yves GUEGADEN INERIS CONSEIL D ORIENTATION ET GROUPE DE Representations externes ICSI CONSEIL D ORIENTATION GEC gt G rard PERROTIN Michel GUILLOUX Delphine FAVRE Danielle SAUGE GADOUD GROUPE DE TRAVAIL SPIRAL gt Danielle SAUGE GADOUD TRAVAIL COMITES DE PILOTAGE ASSISES DES RISOUES gt Yves GUEGADEN Michel GUILLOUX CONSEIL NATIONAL DE PROTECTION CIVILE gt Michel GUILLOUX Gerard BLANCHARD Le CSPRT par Andre Langevin Andre Langevin gue fait le CSPRT Le CSPRT a elargi son domaine d intervention et donc d examen pour avis des projets de decrets d application ou d arr t s sur deux sujets le nucl aire et les reseaux de transport par canalisation gui s ajoutent aux sujets relatifs aux ICPE qui sont le fondement des s ances Ouelle est la place des collectivites La nouvelle composition reconnait une vraie place aux representants des collectivites locales puisgue nous sommes passes de 2 a 4 representants des Maires Ont ainsi t designes sur proposition
8. cessairement la n auront possibilit de se reimplanter dans la commune et certaines d entre elles risguent de devoir fermer definitivement leurs portes Ces bouleversements g n rent des cons quences sur l emploi Une carence de communication Les communes ont des difficult s tre reconnues comme des interlocuteurs part enti re Les premi res discussions ont lieu entre les industriels et l Etat ce sont elles qui fixent les r gles du jeu La proc dure du PPRT n int gre les communes qu apr s la r alisation des tudes techniques et la d finition des p rim tres Faute d informations elles se retrouvent en difficult pour r pondre aux questions des riverains ll en r sulte un climat d incompr hension et d angoisse Un manque de visibilit sur les strat gies des industriels L laboration d un PPRT vocation s inscrire dans une d marche de long terme et peut offrir la commune l opportunit de r fl chir un nouveau projet de territoire Cette ambition est biais e dans la mesure o les collectivit s ignorent quels sont les projets des industriels implant s sur leur territoire LE LIVRET 10 QUESTIONS SUR LES PPRT Au sommaire de ce livret r alis par Amaris en collaboration avec l ICSI quelle acceptabilit pour l industrie risques en France Le PPRT est il un outil anti conomique S quence technique y a t il un probl me de transparence Les P
9. de qui avait sollicitee Amaris Jacques Vernier Maire de Douai Yves Blein Maire de Feyzin Yves Gu gaden Maire adjoint de Notre Dame de Gravenchon et moi m me Quel est son fonctionnement Il se r unit une fois par mois avec des ordres du jour charg s qui donnent lieu a des d bats riches en changes entre l administration les personnalit s qualifi es les inspecteurs ICPE les repr sentants des industriels du personnel des associations de d fense de l environnement et des lus TECHNOLOGIQUES DE DOUAI FORUM DE PIERRE BENITE LES IRISES gt Delphine FAVRE Danielle SAUGE GADOUD Le CNPC par Michel Guilloux Comment fonctionne le CNSC Le CNPC organise son travail en commissions Au total il y en a 6 Je participe deux d entre elles Commission incendie secours sauvegarde Commission S curit industrielle et transport ainsi qu au Conseil d administration Comment ces commissions travaillent elles Elles produisent des avis et des propositions gui sont ensuite remises aux autorites en charge de la securite civile Parmi les sujets examines en 2011 gue retenez vous Nous avons travaill sur apport des moyens militaires aux secours civils en cas de cataclysme la reforme territoriale et securite civile le service civigue travail en partenariat avec le cabinet de Hirsch l organisation des secours au niveau europeen et les guestions de securite posees par les
10. n est pas une niche fiscale Novembre l Assembl e double le plafond du cr dit d imp t D cembre Le S nat r tablit le taux du cr dit 40 CF Grenelle 2 Lettre ouverte L Assembl e rabaisse le taux 30 LETTRE OUVERTE POUR LA PROTECTION DES RIVERAINS DES SITES INDUSTRIELS AMARIS France Nature Environnement l UFIP et l UIC prennent acte des progr s r alis s tant l Assembl e nationale qu au S nat l occasion du vote de la loi de Finances 2012 s agissant de la prise en charge des travaux prescrits des habitants concern s par des Plans de pr vention des risques technologiques PPRT Le S nat a en effet r tabli le taux et le plafond du cr dit d imp t au niveau adopt dans la loi dite Grenelle 2 savoir un taux de 40 et un plafond de 30 000 AMARIS l UFIP et appellent les parlementaires de la Commission mixte paritaire confirmer ces dispositions AMARIS FNE l UFIP et l UIC rappellent que ces dispositions ouvriraient la voie une participation des collectivit s et des industriels Les industriels et les collectivit s locales percevant la contribution conomique territoriale s engageraient apporter chacun une aide suppl mentaire de 20 du montant des travaux jusqu ce plafond de 30 000 AMARIS FNE l UFIP et l UIC estiment que ces dispositions permettraient d apporter une solution stable au probl me de la mise en s c
11. nanotechnologies 12 13 Contributions aux debats PPRT En mai 2011 sur les 420 PPRT pr vus qui auraient du tre approuv s en 2008 374 taient prescrits et 101 taient approuv s POURQUOI UNE TELLE SITUATION Un niveau de prise en charge des travaux de s curisation inacceptable Depuis la Loi de Finances 2012 l Etat propose un cr dit d imp ts a hauteur de 30 calcul sur une assiette maximale de 20 000 pour un couple Ce soutien est en progression par rapport aux 1500 15 que la Loi Bachelot pr voyait l origine mais en net recul par rapport aux 12 000 40 en juin 2010 dans le cadre de loi Grenelle 2 Les habitations concern es sont pour la plupart la propri t de m nages aux revenus modestes La perspective de devoir assurer la majeure partie des co ts n est tout simplement pas a leur port e Un risque de fragilisation du tissu conomique Pour les entreprises la loi exige egalement de r aliser des travaux de mise en s curit sans qu aucune prise en charge ne soit prevue Plus de 10 000 entreprises sont concern es avec un co t total estim a 1 5 milliard d Les entreprises n ayant pas les moyens de r aliser les travaux sont susceptibles de se d localiser Celles qui pourront investir dans la s curisation de leurs locaux seront de fait frein es dans leur d veloppement Par ailleurs les entreprises tant expropri es dans le cadre d un PPRT n
12. riverains concern s par les PPRT Les Maires rencontrent tous les m mes difficult s sur le terrain pour r pondre a l anxi t des populations qui savent pas et leurs inqui tudes concernant le financement des travaux impos s Les activit s conomiques La loi de 2003 est inadapt e aux activit s conomiques pr sentes dans les p rim tres des PPRT Dans les zones industrielles vouloir appliquer les mesures pr vues pour les habitations pourrait engendrer des d localisations d entreprises et a d sertification La question des entreprises l origine du risque est galement grave Si on veut maintenir des emplois industriels en France il faut repenser la cohabitation avec ces sites La vie des territoires pendant les PPRT Du du gel de l urbanisation dans l attente du PPRT des territoires sont en train de mourir La gestion du risque en France Le nombre d inspecteurs d installations class es est trop faible Le pilotage du risque devrait se faire dans a dur e 29 LES PISTES DE TRA VAL ae ar semis Orienter le d bat sur la d fense des emplois Interpeller le Gouvernement sur la n cessit de industriels et le risque de d sindustrialisation cr er un outil pour que les industries soient sujet d int r t g n ral accept es et les emplois maintenus Des rendez vous entre une d l gation de Entamer un travail aupr s des missions parlementaires et les ministres
13. CONCRET PPRT DE CHATEAUNEUF LES MARTIGUES par Rolande KIEGEL adjointe au Maire de Ch teauneuf les Martigues et Francoise PERNIN ajointe au Maire de Martigues SEANCE DE QUESTIONS REPONSES Maitre Vincent SOL avocat associ Winston amp Strawn sp cialiste des probl matiques environnementales Maitre Fr d rique CHAILLOU avocat Winston amp Strawn Emmanuel MARTINAIS Charg de recherches ENTPE POINTS DE DISCUSSION INSCRIRE LES PPRT DANS LES PROJETS DE TERRITOIRE Aujourd hui les lus sont au courant des dossiers alors qu auparavant ils taient plus concern s que vraiment int ress s Les PPRT ont conduit les lus locaux a s interesser aux risques industriels et a r fl chir a l avenir tres incertain de ces territoires Ainsi d sormais PPRT avenir des territoires industriels et projets politiques s interconnectent Pendant l laboration des PPRT les lus ont int r t a porter activement un projet de territoire plus global TRANSPORT DE MATIERES DANGEREUSES Que ce soit a Fos sur Mer ou a Marseille le transport de mati res dangereuses pose probleme Les camions traversent ces villes et agglom rations exposant les habitants a un risque qui n est pas pris en compte Il y a vide r glementaire plus particuli rement en ce qui concerne l accumulation l arr t des camions citernes Amaris a particip a l organisation des Rencontres de Fos du 17 juin en partenariat avec la Ville de
14. DURE PPRT Les villes ne sont pas toutes pr par es jouer leur r le Une p riode d acquisition d une expertise interne est indispensable pour vraiment suivre et prendre part l laboration des PPRT LES CRAINTES SUSCITEES Parfois le PPRT suscite plus de craintes que de soulagement on re decouvre une zone industrielle potentiellement dangereuse 25 Rencontre PPRT a Strasbourg 20 octobre CAS CONCRETS PPRT DE STRASBOURG par Serge FORESTI Directeur de l environnement CUS PPRT de CHALAMPE par Martine LAEMLIN DELMOTTE Maire de Chalamp et Savino LEONE Directeur du site Rhodia POINTS DE DISCUSSION ZONES GRISES ET AVENIR DES TERRITOIRES Un PPRT fige la situation des zones grises et freinera ainsi les mutations et reconversions de ces sites C est donc tres p nalisant pour un territoire qui r fl chit a son avenir COLLABORATION COLLECTIVITES PORT AUTONOME ETAT A Strasbourg les acteurs locaux taient d termin s a trouver des solutions de reduction de risques Il fallait trouver des solutions pour faire voluer la carte des al as L Etat le Port autonome et la Communaut urbaine ont cofinanc une tude de mesures suppl mentaires de r duction des risques COMMISSION TRANSFRONTALIERE A Chalamp le travail entre les parties prenantes du PPRT a t facilit par des habitudes de coop ration Les diff rents acteurs pouvaient s appuyer sur une d marche ant rieure au PPRT Dep
15. E GUILLAUMENO ANNE GUILLOUX MICHEL HARTZ STEPHANE HOELLERERE JACKY HOUARI ESTHER HUERTAS NATHALIE JULLION BESNARD EMMANUELLE KAMATE CAROLINE KIEGEL ROLANDE LANGEVIN ANDRE LAPORTE JEAN FRANCOIS LARRIEU JOSIANNE LEBLANC SANDRINE LELIEVRE MAUD LENOIR KARINE LESPINASSE FABIENNE MARION RENE MARTINAIS EMMANUEL MAURICE GABRIEL MITOLO CHRISTINE MOISSIN JEAN FRANCOIS MOUTGY DANIEL NAVEILHAN JEAN CLAUDE N GAR AICHA PATRUNO CHRISTIAN PAVUE LAURENT PAWLICKI LEON PAWLICKI SIMONE PERIGNON JEAN PIERRE PERNIN FRANCOISE PERROTIN GERARD PIRAS JEAN LUC POURTOUT PHILIPPE PRAT MOULLEC DANIELLE PREMARTIN ARMAND QUEYREL BRIGITTE RIOU VIRGINIE RODRIGUEZ JACQUES SALAS CHRISTELLE SAMET MARIE SAUVAGE LAURE SENANT MARC SOL VINCENT SORGIA JEAN SQUARATTI EMELINE THEBAULT GWENAELLE VACHER GILLES VIDAL RAJAE ZAJAC STEPHAN ZAMI ISABELLE 27 Les journ es d information PCS Amaris a organis une rencontre d information sur les Plans communaux de sauvegarde a Miramas LE PRINCIPE DE CETTE RENCONTRE La mutualisation des ressources des communes membres d Amaris LE PROGRAMME e Matin e Cadre g n ral des PCS objectifs des PCS rappel r glementaire par Christian Chicot e Apr s midi S ances de questions r ponses ILS SONT INTERVENUS AU COURS DES CETTE RENCONTRE ET AMARIS LES REMERCIE Christian Chicot mairie de Gonfreville l Orcher Marc Michel mairie de Pierre B nite Caroline Paules mairie de Feyzin ILS
16. ER DAMIEN COLLIN ANNE SOPHIE COLLONGUES MANUEL CRELEROT OLIVIER DANNER CLAUDE DIARD PHILIPPE FOLUSZNY GERARD FORESTI SERGE GOEPP NATHALIE GREFF DANIEL GRUBER LAURENT GUIHAL JEAN FRANCOIS HAXAIRE HENRI HOELLINGER SERGE HUEBER ANTOINE JUND ALAIN KESSLER YVES LAEMLIN DELMOTTE MARTINE MACIEJEWSKI PATRICK MAMMALI JEROME MASSLO ALBERT MAZRI CHABANE MILLET MARYSE MULLER FRANCIS OLIVE LAURENT POINTURIER RAYMOND RAUCH DANIEL REBOH JEAN PHILIPPE RICHARD MAX ROBERT THERESE SAUER FABRICE SAVINO LEONE SCHUSTER SOPHIE THIEBAUT ALAIN THIRIET JEAN PAUL TRITSCH BERNARD PIERRE MAURICE CARLES GERARD CATY MICKAEL LIERMANN MONIQUE VANIER JEAN LOUIS VETTER CHARLES WEBER MARCEL WILLER JEAN MARC ZINS MARIE PAULE TEYSSIER MOSTEFA HEIDMANN ALTMEYER ALOIRO CHAUDIERE ABEL GUY JEAN ACKERMAN ERIC ALLEGRINI JOSE AUBRY DAVIS BAUDUIN LISE BENOI JEAN LOUIS BETTONI SERGE BLANCHARD GERARD BODON BERNARD BONILLO GILBERT BOUDOUBE PAUL BOULLERNE FREDERIC BRUNEL PATRICK BURRONI VINCENT CABAUD BERTRAND CANTONE DELPHINE CHACORNAC JEAN MICHEL CHAILEUX EMILIE CHAILLOU FREDERIQUE DEBOOM RICHARD DESCHAMPS CLAUDE DESCHAMPS LILIANE DHO FIANDINO MARIE CLAUDE DUGAIN NATHALIE DUPONT EDOUARD DUTREILLY ALAIN EGEA HELENE EYMARD PAUL FALSQUELLE DAVID FLEURY LILIANE FRISCIA MICHAEL GANDILHON STEPHANIE GARCIA FRANCOIS GAST JEAN CLAUDE GIRAUD JOEL GOMEZ FREDERIC GONZALEZ THIBAUD GOUEL VASSE LAURENT GRAZINI BRIGITTE GRUNINGER FABIENN
17. Entretiens Serge Tarassioux HOMMAGE A SERGE TARASSIOUX Le 11 ao t 2011 Serge Tarassioux Maire de Pierre B nite et membre du Conseil d administration d Amaris est d c d d un infarctus l ge de 41 ans Serge Tarassioux tait Maire d une commune particulierement concern e par le risque industriel Il avait d velopp en la mati re une vision particulierement innovante Pour faire avancer les d bats il avait lanc le Forum sur la s curit industrielle et la ville durable Cet v nement biannuel s appelle d sormais Organisation LE BUREAU en La composition du bureau a change en 2011 Amaris tient a remercier vivement Jean Paul LIMBASSE pour avoir assure les fonctions de tresorier depuis 2000 Yves BLEIN President Andr LANGEVIN Tr sorier G rard PERROTIN Secr taire Dominique BERNARD Vice pr sident Yves GUEGADEN Vice pr sident LE CONSEIL D ADMINISTRATION Jean Paul LECOQ Vice pr sident Ren RAIMONDI Vice pr sident Membres du bureau G rard BLANCHARD Bernard BODON Christian BRAUX Bernard LE RISB Il se r unit chaque trimestre au si ge de Paris Le Conseil d administration d termine les orientations de l activit d Amaris et veille leur mise en uvre Dominique BERNARD VP de la communaut de Communes de Lacq G rard BLANCHARD Maire d l gu de Mardyck Dunkerque Yves BLEIN Maire de Feyzin et VP du Grand Lyon Bernard BODON adjoint au Ma
18. NOS EXPERIENCE Siurana trado 34 Amaris mode d emploi Missions Amaris r unit les Communes et Intercommunalit s accueillant sur leurs territoires des activit s industrielles ou des canalisations de transport de mati res dangereuses Amaris est n e en 1990 de la volont d aider les communes a g rer les risques avec pour OBJECTIF de d velopper une culture territoriale de la s curit Amaris un r seau des solidarites F d rant des collectivit s qui font face a des situations tres diverses AMARIS a pour ambition de cr er des liens entre les collectivit s locales concern es par les risques industriels et d tablir une solidarit intercommunale Les changes sur les exp riences de chacun permettent ses adh rents de trouver des solutions adapt es et innovantes de nombreuses situations POUR Amaris accompagne les collectivit s locales dans l analyse et la r solution de leurs difficult s Amaris leur offre notamment une tribune pour faire part aux pouvoirs publics et difficult s observations interrogations et propositions aux industriels de leurs Notre association est aujourd hui reconnue comme un interlocuteur de r f rence par les pouvoirs publics Ainsi au titre de l Association des Maires de France nous repr sentons les collectivit s locales dans diff rentes instances nationales POUR OUTILLER
19. ONT PARTICIPE BARTOLI G rard CAMPENS Vincent CHAGNARD Edith CHAYOT Bernard CHICOT Christian DEMARETZ Guy DUPONT Edouard FAVRE Delphine FRISCIA Micka l GALTIER Fabienne GINOUVES David GRAZINI Brigitte GUARELLA Francois GUILLON Jean GUTKNECHT Nathalie HUGUES Christine MICHEL Marc MOUCHE Christine PANDOLFI Francois PAULES Caroline PEREZ Gilles PERNIN Francoise RODRIGUEZ Jacques ROMAIN Judith ROS Carole SAINT6MARTIN Agnes SERVONNET Miren SORIANO Robert THEBAULT Gw na lle VALLEZ G rald VAN NGHIA Adeline VIDAL Rajae ZAJAC Stephan 28 Petit d jeuner de travail l invitation d Amaris des parlementaires se sont r unis autour du President d Amaris et quelques membres du bureau pour un temps de travail sur les PPRT Yves Blein a ouvert cette rencontre en rappelant brievement les grandes probl matiques li es a la mise en place de PPRT plus particuli rement la question du cr dit d imp t Il a rappel que l ann e 2010 s est sold e par un chec compte tenu du taux et du plafonnement fix par la Loi de Finances 30 pour un montant de travaux plafonn a 5 000 pour une personne seule et 10 000 pour un couple Comment engager le d bat sur ces questions Pourquoi ce sujet de toute vidence tres consensuel passe t il a la trappe au moment du vote de la loi de finances Les themes Les
20. PIERRE MOUCHEL JEAN YVES MOUREY JEAN NEDELEC BRIGITTE NIVON JACQUES OLIVE LAURENT ORCONNEAU ALINE PAYEBIEN JEANPERDRIX ALEXANDRA PEREZ DAVID PERROTIN GERARD PILOT MARTINE PLANET PIERRE POSTIC ANDRE PRALY JEANNINE REYNAUD BEATRICE RINALDI RAYMOND ROGAY FREDERIC ROUX ELISABETH SALENBIER CHRISTIAN SAVIN MICHEL TARASSIOUX SERGE THIVILLIER HENRI TOROUET LISE VEYRON GILBERT VILLIEN JEAN VINCENT ARNAUD BERNADOT MARTINE BROUSSE PATRICK CHARDAVOINE SABINE COMBES JEAN FRANCOIS DAGEN BERNARD DARMANI GUYLAINE DONNADIEU PHILIPPE FOREST AUDREY GUYKNECHT NATHALIE LANGE REGINE MAGNE GHISLAINE MERCADIER MOURE DELPHINE PERINI HUGUETTE PLANO BERNARD RAMEAU ROGER SANS CHRISTIAN VACHER GILLES VERGNES CHRISTIAN VERGNES ELSA ALEMPS REGIS AMOUROUX HENRI VINCENT ARHANCET JEROME AUFFRET YANNICK BATAILLER ERIC BERGE JEAN CLAUDE BERNARD DOMINIOUE BONNET GILLES BOUC JEAN LOUIS BOUCARD CECILE BOUTIN EMMANNUEL BROUAT SYLVIE CALAS CECILE CHANTELAUVE GUILLAUME CORDEBOEUF CELINE COUTY HELENE CROCHEMORE PHILIPPE DODOGARAY GILBERT DORNIAS JEAN DUPUY FRANCOIS GARBAY CELINE GENOVESIO FABIEN GROULT CECILE GUERIN JEAN FRANCOIS HOREL ANDRE IMBERDIS MATHIEU LAHILLE HELENE LETANOUX MORGANE MALBET JEAN PIERRE MESSAI KARIM QUEYRENS DIDIER RICHARD VALERIE SIMON JEAN CLAUDE SIMONE MARYLINE STREBELLE XAVIER TOUCOULET CAROLE TURON JEAN PIERRE WALRICK ANNE ARNOLD GERALDINE BEHR ROMAIN BONTEMPS ARNAUD BOTZ ANITA BUFFET FRANCOISE BURG
21. PRT et apr s 15 LES PROPOSITIONS d AMARIS 1 2 3 Ameliorer la prise en charge des travaux de renforcement du b ti pour les populations qui y sont contraintes Prendre des mesures sp cifiques pour les activit s conomiques Amaris propose des mesures organisationnelles la ou elles sont envisageables mise en place de plans d vacuation am nagements de locaux de confinement sensibilisation et formation des salari s Cr er des conditions d information et de concertation quitables entre chacune des parties prenantes Amaris r clame une plus grande transparence au cours des phases d tudes techniques L association souhaite que les changes d informations s am liorent entre les parties prenantes concern es Etat pr fecture industries communes habitants Par exemple les lus doivent pouvoir disposer des informations suffisantes sans les demander pour r pondre aux interrogations des riverains Les communes doivent galement disposer des moyens permettant de sensibiliser et d informer les habitants notamment en organisant des rencontres et des d bats Engager une r flexion de fond sur la gestion du risque et la place des industries a risque sur le territoire Amaris interpelle les pouvoirs publics sur la n cessit de repenser en profondeur la gestion du risque industriel en France Dans ce cadre elle souhaite une r elle r flexion sur la place des industries a risques dans les politiques indu
22. Strasbourg A chaque fois j ai d ailleurs constat que les lus se saisissent plus fermement de ce dossier technique et politique Rencontres PPRT mais galement journ e d information sur les Plans communaux de sauvegarde PCS d ploiement du site www amaris villes org et lancement de la lettre d information mensuelle notre activit a t riche Pour notre association 2011 est une ann e de d veloppement et de croissance 16 communes nous ont rejoints Amaris se renforce grandit et d veloppe ses projets A tous merci Yves Blein Pr sident d Amaris Maire de Feyzin Vice pr sident du Grand Lyon Sommaire INSTANTANES 20 I ie str di oc too 1 LEMESSAGE DU PRESIDEN sra ee ea eure 2 AMARIS MODE D EMPLOI meurent MISSION sa E 7 ORGANISATION mass ae ds a de td te Dr nl 8 ne een 9 NO PARTENAIRE Se see ee ae ee ee E 11 REPRESENNATIONSERTERNES sen rem 12 CONTRIBUTION AUX DEBATS essen PPR ET CREDIT DIMPOT ne ee nee 15 NO PRIPO STON susanne ae 16 FOCUS CREDIT D IMPOT a a 17 INSTANCE DE SUIVTDES PPR saan ibas 18 EA NA EISA aa ea E de tdt 19 LES RENCONTRES sense LEST ENCONTRE SPPR naar tete 21 RENCONTRE PC aa es ace no cdot 28 PENT DEJE UNER DE TRAVAI se 29 MUTUALISATION DES 155 5 SOUTENIR ETA COMPASN ER usario 33 ECHANGER
23. cette question n est plus a l ordre du jour Groupe de travail du SPIRAL Depuis Amaris co pilote un GT sur l accompagnement des prescriptions de travaux une initiative du SPIRAL Secretariat Permanent pour la Prevention des Pollutions Industrielles et des Risgues dans l Agglom ration Lyonnaise 18 Canalisations Canalisations de transport de matieres dangereuses UN MAIRE SAISIT AMARIS Le 17 mars 2011 Jean Claude GAST Maire de St Julien en Beauch ne a pr sent au Bureau d Amaris la situation de sa commune et plus largement celle de tous les territoires travers s par un pipeline d ethylene circulant entre Chateau Arnoux et Jarrie Le passage de cette canalisation impose de nombreuses contraintes Un couloir de dangerosit avec effet l tal de 350 m est en effet d fini de part et d autre du pipeline Tout le fond de la vall e est paralys les constructions d ERP sont interdites des limites de profondeur sont impos es pour les plantations et les labours etc Aucune contrepartie n est pr vue pour ces communes Chateau Arnoux Jarrie l exploitant a en effet n goci le droit de passage avec chacun des Maires Certains Maires ont r ussi signer des conventions avantageuses mais la plupart d entre eux taient assez d munis et pas r ussi n gocier LOI DE FINANCES 2011 La loi de finances en 2010 a corrig en partie cette injustice et de fa on indirecte
24. concern s parlementaires travaillant sur la chimie et sur la savoir la Ministre de l Ecologie le Ministre de desindustrialisation l Industrie et le Ministre du Budget ILS ONT PARTICIPE ET AMARIS LES REMERCIE Anne Auffret Maire de Donges Marie No lle Battistel D put de l Is re 4e circonscription Dominique Bernard Vice pr sident de la Communaut de communes de Lacq Yves Blein Maire de Feyzin et Pr sident d Amaris Christiane Demontes Senatrice du Rh ne repr sent e par Lionel Pretto son assistant parlementaire Yves Gu gaden Maire adjoint de Notre Dame de Gravenchon Francis Hillmeyer D put de la 6 circonscription du Haut Rhin Marietta Karamanli D put e de la Sarthe Fabienne Keller S natrice du Bas Rhin Michel Issindou D put de l Is re Martine Laemlin Delmotte Maire de Chalamp Andr Langevin Maire d Arnage Sylvain Laval collaborateur du groupe SRC a l Assembl e Nationale Jean Paul Lecoq D put Maire de Gonfreville l Orcher Equipe Amaris Delphine Favre charg e de mission Camille Maheas tudiante en stage Christelle Salas Assistante Danielle Sauge Gadoud charg e des Risques a Feyzin 30 31 Des connalssances mutualisees Soutenir et accompagner AIDER SES L association intervient pour d fendre les int r ts communaux dans toutes les n gociations avec l Etat ou les industriels Amaris aide les ADHERENTS collectivit s confront es a
25. des situations conflictuelles par un examen en commun des problemes rencontr s par l analyse et la recherche de solutions Elle intervient galement pour faciliter la recherche dinformations et orienter vers les interlocuteurs adapt s FOCUS AMARIS ET LA COMMUNE D ISSOU LE PPRT Le PPRT concerne les communes de Gargenville Porcheville M zi res sur S et Issou Il a t prescrit le 15 juin 2009 et prorog le 15 d cembre 2010 Chevalier Maire d lssou et son conseil municipal ont sollicit Amaris des 2010 LES PROBLEMES Difficult s pour avoir des informations Pas de pr cisions sur la r duction des risques a la source effectu e ou non Non prise en compte du PCS pour la cin tique lente Un territoire communal ob r par les al as et des pr zonages d urbanisme peu coh rents Les 20 de logements sociaux de la Loi SRU Issou paie une amende doit realiser des Situ e a 49 km de Paris Issou est une ville de 4 538 habitants Sur son territoire un site avec comme activit sensible le stockage et la distribution de k ros ne a destination des a roports parisiens et de merox produit permettant de traiter le k rosene logements sociaux alors que les terrains acquis sont en pr zonage d urbanisme ne permettant pas la construction de logements collectifs La Commune n a plus de foncier L ACCOMPAGNEMENT D AMARIS Une visite de terrain a Issou pour faire le tour des probl
26. emes pos s et chercher des solutions Des points r guliers par mails ou par telephone propositions de strat gie de n gociation de courrier Participation d Amaris a une r union publique Un questionnement du President au Ministere sur la situation d lssou et des communes confront es aux obligations contradictoires de satisfaire la loi SRU et des territoires gel s par le PPRT FOCUS 33 Echanger nos experiences Groupe de N COLLOQUE NATIONAL AMARIS LA ROCHELLE AMARIS NOUVEAUTES Vulnerabilite des fen tres exposees un effet surpression 20 50 mbar 4 Connaissez vous nouvel D cembre 2011 OPAH un outil pour accompagner la r alisation des travaux gt Travaux proximit des Comment metire en uvre les canalisations prescriptions de travaux des PPRT Pour r pondre 4 ces eux journ es de Formation quesbons une d marche test Deux journ es 9 gants on et nobl t initi e en Is re Au c ur de 3 Lyon et Grenoble cette exp nmentation Lira la suite Lire la suite Les mesures fonci res Queaten traites 16 Question en cours de trafiernest 0 Existe t il des indemnit s relatives au frais de d m nagement Qui les paye dexpropnation les indemnit s allou es doivent couvrir En cas Vim gralt du pr judice direct et certain
27. ir toutes les parties prenantes concern es pour ouvrir le dialogue PPRT ou en sommes nous Ces rencontres sont pilot es par Yves BLEIN Pr sident d Amaris et sont articul es en deux temps 1 Un temps de pr sentations classiques La Direction G n rale de la Pr vention des Risques nous accompagnait lors des 6 rencontres organis es en 2011 A chaque session Xavier STREBELLE ou Laurent OLIVE ont pr sent les derni res volutions l gislatives les dispositifs de financement des fonci res des mesures mesures suppl mentaires etc Amaris les remercie vivement d avoir pris part ces journ es o les questions ne manquaient pas L In ris tait galement pr sent Guillaume CHANTELAUVE ou Chabane MAZRI ont ainsi pr sent des pratiques de concertation test es par l Ineris dans le cadre des PPRT 2 Un temps des discussions autour de deux cas concrets de PPRT pr sent s par des lus locaux l id e tant de dialoguer autour des probl mes rencontr s et des solutions trouv es etc Le maire de Bassens Jean Pierre TURON pr sente le Plan de pr vention des risques en cours d laboration sur sa commune lors de la rencontre PPRT organis e Bordeaux en septembre 2011 21 Rencontre PPRT a TOULOUSE 11 mai CAS CONCRETS PPRT DE TOULOUSE par R gine LANGE adjointe au Maire de Toulouse en charge du d veloppement durable PPRT DE LANNEMEZAN par Bernard PLANO Maire et De
28. ire de Pont de Claix Claudine BOISORIEUX Maire de Clamecy Paul BOUDOUBE Maire de Puget sur Argens Christian BRAUX Maire de St Cyr en Val Alban BRUNEAU Adjoint au Maire de Gonfreville l Orcher Jackie CROUAIL Maire de Salaise sur Sanne Mireille DOMENECH DIANA Vice pr sidente du Grand Lyon Yves GUEGADEN Adjoint au Maire de Notre Dame de Gravenchon Michel GUILLOUX Adjoint au Maire de Feyzin Jean Claude HAIGRON Maire de Vern sur Seiche Andr LANGEVIN Maire d Arnage Bernard LE RISBE Adjoint au Maire de Jarrie Jean Paul LIMBASSE administrateur Michele MUNOZ Conseillere municipale a St Fons Ren RAIMONDI Maire de Fos sur Mer Miren SERVONNET Adjointe au Maire de Pierre B nite Collectivites adherentes LES COMMUNAUTES Communaut d agglom ration du Douaisis Communaut d agglom ration Havraise Communaut d agglom ration d Orl ans Communaut d agglom ration Porte du Hainaut Wallers Communaut de communes Caux Vall e de Seine Communaut de communes de Lacq Communaut de communes Pays d Uzel Communaut urbaine de Bordeaux Communaut urbaine de Dunkerque Grand Lyon Grand Toulouse La Carene Saint Nazaire agglom ration SAN Ouest Provence LES COMMUNES Ambes Arnage Aspres sur Bu ch Aumale Bantzenheim Bassens Berre l Etang Boussens C r la Ronde Chalamp Champagnier Ch teau Arnoux Chateauneuf les Martigues Clamecy Coltainville Deluz Donges Feyzin
29. lphine Mercadier Directrice d veloppement et cadre de vie POINTS DE DISCUSSION 6 EXPROPRIATIONS D ACTIVITES ECONOMIOUES OU MESURES SUPPLEMENTAIRES Si le co t des mesures suppl mentaires de reduction des risgues est superieur a celui des expropriations c est cette derniere solution gui est choisie Le probleme seul le co t des mesures foncieres est pris en compte Les criteres mis dans la balance ne prennent donc pas la totalit des co t la d localisation d activit s les pertes d activit conomique les fermetures la d pollution des sols le d samiantage etc A Toulouse l entreprise l origine du risque un site de stockage g nere seulement 2 emplois Le PPRT approuv pr voit des mesures foncieres pour 5 entreprises Des dizaines d emplois sont en jeu UN PPRT PEUT DEVENIR UN ATOUT A Lannemezan le PPRT a t prescrit a un moment critique Une usine venait d annoncer sa fermeture le site en question tait donc en pleine reconversion industrielle Cette double contrainte PPRT crise sociale n a pas laiss le choix aux acteurs locaux il tait indispensable de mettre en place une dynamique Aujourd hui le PPRT a permis d identifier une zone clairement d di e aux industries Seveso ET LE RISQUE SOCIAL La proc dure PPRT n glige le fait que de nombreux emplois sont en jeu 22 Rencontre PPRT a LYON 8 juin CAS CONCRETS PPRT DE DOMENE par Michel SAVIN Mai
30. re Patrick GERBY directeur de l urbanisme et Andre POSTIC DDT PPRT DE PIERRE BENITE par Serge TARASSIOUX Maire et Denis FROMAGE directeur du site Ark ma POINTS DE DISCUSSION L ACCEPTABILITE DES INDUSTRIES A RISOUES EST REMISE EN OUESTION Les habitants commencent a se retourner contre l usine car le financement des travaux de renforcement du b ti repose en majorite sur eux Ces derniers vivent cela comme une injustice Plus qu une histoire de financement c est la poursuite de la cohabitation gui est posee LES STOCKAGES DE GAZ Les sites de stockage generent des risques mais tres peu d emplois Leur presence est donc souvent remise en guestion Faut il les delocaliser Ou Comment ameliorer l acceptabilit de ces sites par les territoires LA NON PRISE EN COMPTE DES PCS ET DE LA D Ce gue font les villes en matiere d alerte de plans communaux de sauvegarde de capacit de resistance et resilience ainsi que leur topographie ne sont pas suffisamment pris en compte dans les PPRT Cela pose clairement la question de leur utilit et d une conception de la ville trop m canique RISQUE DE SPECULATION IMMOBILIERE Les perimetres PPRT sont parfois plus restreints que les zones Z1 et Z2 Des terrains qui n etaient pas constructibles le seront a nouveau Ces zones vont tre expos es un nouveau type de risque la sp culation immobili re 23 Rencontre PPRT a FOS SUR MER 16 juin CAS
31. strielles engag es sur le territoire Certaines activit s a risques ont elles vocation a rester implant es dans des environnements urbains Leur pr sence n est pas toujours synonyme de d veloppement conomique alors que les entreprises situ es a leur proximit peuvent tre de v ritables bassins d emplois Aujourd hui ces derni res sont directement menac es par la mise en place des PPRT LES PROPOSITIONS d AMARIS 16 Focus Credit d impot L amelioration de la prise en charge des travaux est LE cheval de bataille d Amaris Une nouvelle fois tout a t mis en uvre pour y parvenir en 2011 A l automne 2011 Amaris a lanc deux op rations en direction de la presse Des avanc es ont t obtenues le doublement du plafond et le sujet a fait d bat au Parlement CHRONOLOGIE 2011 F vrier Amaris donne rendez vous aux parlementaires Mai Amaris auditionn e par J P lissard rapporteur sp cial pour la Commission des finances Juillet Les parlementaires M N Battistel F Hillmeyer F Keller et J P Lecog rencontrent le directeur de cabinet adjoint de la Ministre de l environnement Juillet Yves Blein des repr sentants de et UIC rencontrent De Singly conseiller du premier Ministre Septembre Conf rence de presse Yves Blein des repr sentants de VUFIP et UlC rencontrent un conseiller du Ministre des finances Octobre Ma commune
32. uis dix ans une commission Environnement compos e d une vingtaine de personnes principalement des lus a pris l habitude de se r unir pour rencontrer les entreprises a risques Cette commission est galement transfrontali re VOIE DE COMMUNICATION Depuis d cembre 2010 la commune de Chalamp a perdu tout espoir d accueillir la gare de desserte SNCF qui aurait du tre cr e l occasion de la r activation de la Mulhouse Fribourg Un PPRT sur un territoire c est aussi cela 26 ONT PARTICIPE AUX RENCONTRES ARCHIER CAROLINE BARTH THIBAULT BERNE GERARD BERTHOUARD MARCEL BISEL ADRIEN BODON BERNARD BOMBASARO DANIEL BORDON FABIEN BRUN PICARD EMMANUEL BURY CHRISTIAN CABAUD BERTRAND CAILLAT GILLES CAMPENS VINCENT CARRIER PHILIPPE CERONI JOELLE CHAGNARD PEILLARD EDITH CHAINE JACQUES CHARPIN ISABELLE CHARRIERE DANIEL CHOTARD MICHEL COCHERIL JEAN NOEL COSTE PAUL COURAULT ANNE CHRISTINE DECELLE LAMOTHE SANDRA DUCOEUR RAVAUX NATHALIE FAURE BRAC CHRISTOPHE FERRARI CHRISTOPHE FOTI MICKAEL FROMAGE DENIS FUENTES JEROME GALLUCCI JACQUES GANDILHON STEPHANIE GAUTHIER NICOLAS GERBY PATRICK GIROUD STEPHANIE GOURCY VERONIQUE GUERRERO RAPHAEL GUIBERT VALERIE GUILLARD GILLES GUILLOUX MICHEL HANNARD BENOIT KLEIN MAUD KOWAL SOPHIE LAMBERT CATHERINE LAROCHE FREDERIC LAURANS FANNY LAVERGNE LOUIS LE RISBE BERNARD LEMAIRE VALENTINE MABILON PEGGY MARTIN JEAN LOUIS MEUNIER SANDRINE MIRANDE JEAN
33. urit des riverains des sites Seveso de r tablir un climat plus favorable tant pour l activit des industriels que pour la dynamique des collectivit s concern es COSIGNEE PAR YVES BLEIN BRUNO GENTY PDT de FNE JEAN PELIN DG de L UIC JEAN LOUIS SCHILANSKY PDT de L UFIP 17 Instance de suivi des PPRT Cette instance de suivi a t mise en place par la direction g n rale de la pr vention des risques DGPR Yves Blein repr sente les collectivit s au titre de VAMF dans ce tour de table qui r unit environ deux fois par trimestre industriels UFIP UIC riverains FNE et les services de l tat Dans cette instance sont discut s les probl mes soulev s par l laboration des PPRT Amaris fait remonter propositions et dol ances des collectivit s Depuis sa mise en place la recherche de solutions pour am liorer la prise en charge des travaux a r guli rement occup l ordre du jour Pour autant ce n est pas l unique dossier trait En 2011 ont t abord s La question des activit s conomiques Une Minist re en mai 2011 Elle permet d ouvrir les discussions N Le positionnement a adopter sur les mesures prendre en zone FAI surpression aujourd hui deux cas de figure sont envisageables Le guide m thodologique sur les PPRT pr conise des recommandations et une note dat e de 2008 conseille des prescriptions La n cessit de hi rarchiser les tra
34. vaux les habitants devront faire des choix si le co t des travaux d passe 10 de la valeur v nale de leurs biens Il est n cessaire de les orienter vers les travaux r aliser prioritairement Discussions en cours recevant du Cette discussion a abouti une position visant la notion d tablissement public difficilement vacuables maintenir des bassins de vie coh rents Une note a t dit e en novembre 2011 La n cessit d impliquer les collectivit s dans les tudes de vuln rabilit Le financement des mesures fonci res les travaux ont abouti au vote d un amendement fixant une r partition par d faut Autres points qui attendent une solution simplification du dispositif d exon ration de taxe fonci re limitation dans le temps du droit de d laissement FOCUS Faut il recommander ou prescrire en zone FAI surpression Amaris avait sollicit ses adh rents pour avis Les r ponses n ayant pas permis de d gager une tendance g n rale le Pr sident d Amaris n a donc pas souhait engager l association pour l une ou l autre de ces solutions Cette discussion tait par ailleurs conditionn e au retour au Grenelle 2 credit d imp t de 40 Si tel avait t le cas le Ministere aurait consid r la prise en charge des travaux comme tant acceptable et aurait probablement impose des prescriptions Le taux du credit d imp t n ayant pas t augment
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