Dossier de presse Dégâts Collatéraux
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1. DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES ABADIE Uy BIHOREAU s BOUHON CHEDBURN Ys MAELLA CITRON a MARIN 2 y RACH MELL ROUCHOUSE lt SOTTEAU KANE STAELHIN Us TROUTOT 2 TUCAT x VINCENT ALLEAUME EXPOSITION CENTRE CULTUREL DES FINANCES 143 rue de Bercy 75012 PARIS t e O 5 3 8 2 0 8 5 exposition pr sent e au public du mercredi 31 mars au vendredi 16 avril 2010 lundi jeudi vendredi de 7 h 45 a 20 h le mardi de IZ ha 20 h le mercredi de 14 ha 20h ferme le samedi et le dimanche Metro Bercy bus 8 7 2 4 DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES Etait il aussi visionnaire Une citation du 3 pr sident des Etats Unis d Am rique de 1801 1809 believe that banking institutions are more dangerous to our liberties than standing armies If the Americain people ever allow private banks to control the issue of their currency first by inflation then by deflation the banks and corporations that will grow up around the banks will deprive the people of all property until their childern wake up homeless on the continent their fathers conquered Thomas Jefferson Letter to the secretary of the Treasury Albert Gallatin 1802 Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libert s que des arm es enti res pr tes au combat Si le peuple am ricain permet un jour que des banques priv es contr lent leur monnaie les banques et t2. re irr versible notre propre devenir ray Nos enfants et leur descendance sont d ja condamn s a subir Ep si i gas toutes les terribles cons quences de notre belle idiocratie A TS Nous devons avoir conscience d tre d j les responsables d une apocalypse annonc e les coupables d un g nocide mondial programme L absurdite de notre poque tend prouver que l tre humain est encore bien trop primaire pour m riter sa survie Frederic BOUHON 16 000 nous sommes l guettant haut le signe Un point dans lazur puis deux enfin dix ils tournent l haut en cercle Notre tour de vautour est venu Ils nous ont appris la nourriture fraichement massacr e Nous avons couru vers le giboyeux carnage Nos petits en bandouli re le silex taill en main Sang chasse et survie d espece dans la peur 12 000 et puis passent les mill naires Migrent dans l horreur les pid mies Se v tir contre la morsure ts ts courir toujours plus agilement Transformant grognements en syllabes nous inventons l abri S y enfoncant pour initier les signes et nos esprits 2010 Je rencontre ces lueurs Je partage la direction d autres regards Mais les Charognards fondent sur nous Massacrants l espoir des g n rations a venir DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES James CHEDBURN Mon Amour Je re ois a l instant tes bons v ux pour l ann e 2011 Compte tenu des conditions d achemin
3. Sommes nous au final en train de fabriquer notre propre mort DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES RACH MELL Une seule solution pour vivre la r alit sereinement LA DETOURNER IMPITOYABLEMENT En ironisant ses codes ses bassesses et ses failles il est alors possible d affronter la revanche des rates et des bien pensants d exalter la qualit sur la quantit d tre singulier dans la masse dans un monde sans passepeurs ae i p mi 0 LIU x No gt Christian ROUCHOUSE Comprendre l equivocite de la notion fraternelle Pexclusion la mort et la violence sont constitutives de la fraternite et n en sont ni des exceptions r j 1 L y m i E 1 i ni des d rives In Fs ll 4 A l int rieur de l acception universelle de la notion Ei Pa qui fait du prochain et de la prochaine un fr re se loge son acception litt rale une acception qui ne s adresse plus qu aux fr res seuls et qui refuse des lors toute place pour le non fr re le faux fr re celui qui ne partage pas ma fraternit pour l tranger et moins encore pour la s ur La fraternit litt rale se conjugue alors au pluriel fomentant des fraternit s qui s opposent les unes aux autres Les glissements th oriques et politiques r cents autour de l identit nationale en sont de tragiques illustrations Bereng re Kolly doctorante en philosophie Martine SO
4. TTEAU KANE DEMAIN EST UNE AUTRE NUIT Apr s les temps de profusion et d abondance voici venu le temps de la suffocation et de la disparition Croissance exponentielle accumulation d innombrables d chets depuis les r sidus nucl aires enfouis au plus profond de la terre jusqu aux d bris orbitaux qui entourent la plan te d un anneau d ordures Une vision de l asphyxie contemporaine telle une proliferation d algues vertes DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES Alain STAELHIN Le livre d Aral detail Les paves apparaissent quand l homme a d sert Perdues entre terres et mers elles sont l ultime empreinte de notre disparition Jean Charles TROUTOT Dans les ann es 1870 1880 Ludwik Lejzer Zamenhof ophtalmologue polonais voulu cr er un nouveau langage l ESPERANTO qui devait faciliter la communication et la compr hension entre les nations De tout temps un autre langage s vit dans tous les milieux politiques syndicalistes patronales journalistiques peut tre un peu plus pratiqu par les politiques toutes tendances confondues Ils risquent d en subir l effet boomerang A tous je d dicace peaux de banane pour langue de bois Jean Charles Troutot DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES Marie TUCAT CORPS CONFONDUS La poup e Barbie a des relents de corps objet Influen ant et faconnant l imaginaire de mani re reductri
5. ce d pourvu d une dimension pour moi essentielle la diversit Pi ge fructueux conomiquement ou la femme reelle peut se perdre et s loigne dangereusement de la femme sauvage tapie au fond d elle Ma Barbie destructur e d sarticul e fondue symbolise par sa monstruosit ce piege Marie Tucat Yvette VINCEN T ALLEAUME Pi g par toutes les contraintes obligations interdictions l homme pr caire s entortille essaie de se lib rer renvers par l avalanche de probl me r soudre emiett par les difficultes au bord du naufrage il se d bat Contact presse CASC 143 rue de Bercy 75012 Paris Marie Desmartin marie desmartin finances gouv fr Contact presse artistes Jean Charles Troutot Ol 48 05 53 09 charmarjc free fr DEGATS COLLATERAUX EFFETS SECONDAIRES et INDESIRABLES
6. ement du courrier depuis la modernisation de La Poste je m en remets une messag re que je sais tre plus fiable pour te faire parvenir quelques nouvelles Mireille MAELLA CITRON p s quelle gal re mode d emploi d gats des garstogm c est maella citron 8 8 8 D g ts Des gars degages Figes petrifies statufi s Surpris par un regard de Gorgone Mais sauv s par le bouclier Les assemblages de Mireille Maella Citron Reviennent sur terre s Nous interroger De leur blancheur Espi gle Pierrot lunaire Rhinoceros hybride Robot squelette Arriv s d un long voyage Ses m langes de formes et de mati res T lescopent les poques Et nous questionnent sur notre place personnelle V ronique Averseng 16 12 09 Judith MARIN Dommages collat raux est un terme apparu aux USA lors de la guerre du Vietnam et popularis pendant la guerre en Irak pour nommer les morts et les d gats civils J ai voulu montrer que cette notion est parfaitement transposable dans le domaine conomique actuel toute la soci te am ricaine s est construite sur cette idee brutale condition n cessaire de l ultralib ralisme th orie fond e par Milton Friedman Ecole de Chicago appliqu e par le sinistre dictateur Pinochet notamment et qu on retrouve avec ces monstrueuses multinationales comme Monsanto J ai souhaite ainsi confronter ces hauts responsables des paysages une pens e et un monde qui se d shumanisent
7. outes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession d abord par l inflation ensuite par la r cession jusqu au jour o leurs enfants se r veilleront sans maison et sans toit sur la terre que leurs parents ont conquis Thomas Jefferson 1802 Christophe ABADIE Dr le de poids sur nos paules depuis quelques ann es Quel futur pour nos enfants Quel avenir pour l homme Quels effets secondaires sur le Monde engendreront nos comportements L motion nous gagne l meute nous guette Comment r agir En montrant le pire qui est toujours possible Pas pour r veiller les consciences am re illusion Plut t comme avec un gri gri pour conjurer un sort funeste et rire jaune un peu Esth tique du d sastre Absolument Elle claire notre face obscure de son trange beaut tortur e Les rescap s en sont issus totems verticaux enferm s et cadenass s sous leurs masques le regard affol futurs t moins de nos actions pr sentes Willy BIHOREAU Les peintures de Willy Bihoreau nous embarquent dans des paysages industriels post fin du monde Ces visions aussi r alistes qu effrayantes sont faites d un assemblage d l ments photographiques ensuite totalement repris a Pacrylique Jamais auparavant notre avenir n avait t aussi sombre et incertain 2010 fera date comme le point de non retour au dela duquel nous avons condamn de mani
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