Les enfants du sabbat n°16
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1. nus Alice Pouzet cr des architectures du vide r duites des ar tes des contours Ses sculptures abstraites se d ploient fragiles dans l espace Structure Espace vide plein o sculpture materiaux Inn L l Alice Pouzet Hauteurs 2015 Dimensions variables Tasseaux de bois assembl s Ba 6 me Entr es l et1l Axes 1 b 4 a b e Entr e II Axes 1 a b 3 c Lyc e Terminale L espace du sensible CRE sd n faa THOMAS MALENFANT nus us a e us tant Thomas Malenfant interroge la notion de figuration Le spectateur compl te ces formes minimalistes et m tonymiques reconstituant l image d unearchicturefamili re llassembleici diff rents l ments d architecture les transformant ainsi en l ments ornementaux ornement sculpture minimalisme Contrastes mater laux Thomas Malenfant Petra 73 F b5 1 0 2015 190x180x180 cm techniques mixtes pin pl tre enduit toile coton noire caoutchouc Entr e II Axe 3 c Entr e I Axes 1 b 2 a b et 4 b Premi re Figuration et abstraction Terminale L espace du sensible CRE faa R MY TMD bioa dd Le travail de R my Tardieu rel ve la fois de la sculpture de l installation de la cr ation sonore et de la performance M M M condense temps pr sent celui de la rencontre du spectateur a2. par Fr d ric Bougl novembre 2014 commissaire de l exposition commissaires associ s Jo l Tardy Roland Cognet amp Philippe Eydieu Pass pr sent et futur forment un seul temps ductile dans l espace du Creux de l enfer une friche industrielle une ancienne coutellerie devenue en 1988 centre d art contemporain Aujourd hui ce sont aux Enfants du sabbat d exposer une s lection de jeunes artistes dipl m s de l cole sup rieure d art de Clermont M tropole et de l cole nationale sup rieure des beaux arts de Lyon Un projet f d rateur rendu sa seizi me dition qui lie troitement depuis toutes ces ann es deux coles des beaux arts et un centre de cr ation contemporaine sur le territoire Auvergne Rh ne Alpes Et si l avenir n est plus ce qu il tait comme ironisait un romancier am ricain cet v nement annuel rappelle que l art actuel est une conqu te sur le futur t moignant de ses t tonnements et de ses exp riences d frichant et ouvrant des territoires de recherche Chaque ann e apporte son lot de r v lations l avenir de l art se pr pare avec ceux qui le font et c est avec l obstination d raisonnable des gens d exception que de jeunestalentssondentler el au plus profond fouillant s il le faut sous les fondations de la raison L avenir n est plus ce qu il tait Been Down So Long It Looks Like Up to Me roman de Richard Fari a 1983 pr face de
3. ses d tournements a Comment peut on modifier la fonction et la signification d une image en changeant sa mat rialit b Commentfairedire autre chose une histoire par l ajout d une image RE c Commentfairedire autre chose une image par l ajout d une histoire J Lagrange amp T Hernandez eso L Vanel eng ss daii a faa u l Lagrange e Images uvre et r alit T Hernandez o Estate rues I La nature et les modalit s de production des images i E Marion EEAS II Les images dans la culture artistique EA Vanel Du III Les images et leurs relations au temps et l espace S IV Les images et leurs relations au r el ssss ssses ssssssss d Lagrange R gt 1 Production et statut de l image 1 As EZ te a Que font dans l art des images qui ne sont pas des images artistiques 1 A a E E E E 2 L image du r el et la r alit des images J Lagrange amp T Hernandez p E Marion g c Vanel g o HUE SES images peut il influer sur leur signification et leur impact Comment peut on fabriquer l image du r el sans le transformer Et l image d une image b Comment le mode de diffusion de pr sentation et de r ception des c Comment le pouvoir de l image peut il abolir la fronti re entre le r el et le fictionnel ss daii a faa u M Guitton T Malenfant R Tardieu M Guitton R Tardieu
4. 80 26 56 fax 33 0 4 73 80 28 08 site www creuxdelenfer net QUI gt Pour les coles primaires coll ges lyc es et centres de loisirs QUAND gt Du lundi au vendredi gt De 9h 12h et de 13h 18h TARIFS gt Visite comment e 2 50 l ve gt Visite atelier 4 50 l ve gt GRATUIT pour les l ves Thiernois et transport pris en charge par le centre d art CONTACT clementine pare creuxdelenfer net nbuchaniec hotmail com 04 73 80 26 56
5. Thomas Pynchon Le titre fran ais reprend une formule de Paul Val ry gt Peinture sculpture vid o photographie installation p n trable CCE aai n faa HAROLMA HRASOULI bioa dd Karolina Krasouli s inspire des po me enveloppes d Emily Dickinson The Gorgeous Nothings Ses enveloppes sont des simulacres sans r cit et sans pass pseudos objets renvoyant chacun de nous ses souvenirs et ses histoires for mes accrochage histoire souvenir palimpseste ready made Karolina Krasouli Near rhyme 2014 aquarelle sur papier dimensions variables d tail on st te B me Entr es I et I1 Axes 1 a b c 2 a b c et 3 a b c Lyc e Premi re Figuration et image tan CCE a faa danst ss M laine Guitton r actualise le genre du paysage Elle labore partir de mat riaux m diocres des paysages p n trables Ses b ches suspendues forment autant de ruelles de places que le public modifie en se d pla ant in situ transparence installation na J esus Rafael Sotto mater aux Jean Dubuffet M laine Guitton Sans titre acrylique sur b che 40 m environ photo de la maquette du projet d installation Thiers 2015 Entr e Axes 1 b 3 a b c 4 a b Entr es I1 IHI Axes 1 a b 2 a et 3 a Terminale L espace du sensible sasa aai n ta AE PUE
6. a LE CREUX DE LNR uns L histoire du lieu commence par des l gendes Une l gende n est pas une histoire vraie souvent le plus important est qu elle impressionne voire qu elle fasse peur II y a tr s longtemps l endroit o se trouve le centre d art s appellait le gour de la fadas ce qui veut dire le creux des f es car on raconte que des f es habitaient la cascade I est ensuite appel le creux de l enfer car le diable aurait pris possession des lieux Plus tard un adolescent appel Saint Gen s est envoy Thiers par sa m re pour voir Syr nat un homme qui cherchait convaincre les gens de croire en Dieu Il se cachait dans les gorges de la Durolle Saint Gen s rencontre un jour un soldat romain et refuse de d voiler o se trouve Syr nat Il est tu pour son silence sur le grand rocher dit de l enfer qui se trouve juste l entr e du centre d art II y a 500 ans une usine o sont fabriqu s des couteaux est construite au Creux de l enfer D abord toute petite et en bois elle br le deux fois puis s agrandit et devient le b timent qui est aujourd hui celui du centre d art l int rieur de cette coutellerie comme dans beaucoup d autres l poque des hommes des femmes et des enfants travaillent II fait tr s chaud et les machines utilis es sonttr sdangereuses llyabeaucoupd accidents L ambiance de l usine la triste histoire de Sain
7. bjetpeut il changer designification en changeantdelieu b c H Hrasouli a bo M Guitton p c Par quelles transformations peut on faire dire autre chose aux objets T Malenfant w Comment les formes des objets peuvent elles renvoyer des fonctions C Massaux t v L Lavareh n s imaginaires ou utopiques 4 4 Le statut de l objet M Guitton 4 1 0 A a Qu est ce qui diff rencie un objet commun d un objet d art ou d un Pouzet en objet culturel L avareh g b Que font dans l art des objets qui ne sont pas des objets d art c Par quels chemins l objet arrive t il au mus e Tous les objets d art finissent ils au mus e ss haii a faa ii tans J Lagrange amp Images uvre et fiction Y Hernandez n E Marion I La construction la transformation des images _ 9 11 L image et son r f rent J Lagrange amp T Hernandez Vanel 1 Nature et mat rialit de l image nes i a Comment la nature d une image peut elle nous renseigner sur son J Lagrange amp m T Hernandez ao poque son r f rent EDGRDPERPRSSSEENARSSRE 2 L image et la narration a Comment une image peut elle tre le point de d part d une histoire a b Comment peut on raconter une histoire en images J Lagrange amp T j d Hernandez p E Marion f 0 Vanel g Commentlesonpeut ilinteragiravecl imagepourraconterunehistoire 3 L image et
8. du SaDDat n 1b pese Vous pouvez choisir de vous y arr ter ou videmment d aller Exposition au del de ces propositions qui h MARS n ont pas la volont d tre MAJ p05 exhaustives La m diatrice du Creux de l enfer et le professeur correspondant culturel peuvent r pondre vos F i questions mais aussi construire acad n i avec vous des rojets am E j p z p dagogiques personnalis s are a mapa DOSSIER CON U FAR Nicolas Buchaniec professeur correspondant culturel pour l ducation nationale nbuchaniec hofmail com Cl mentine Par m diatrice au centre d art contemporain du Creux de l enfer clementine pare creuxdelenFernet L exposition A AT 5 Harolina Hrasouli 6 M laine Guitton Alice Pouzet TEETE EEEE 8 Thomas Malenfant E AERE e PERA A AAE EAEAN g R my Tardieu 10 Jules Lagrange Il amp Th o Hernandez Emma Marion le Corentin Massaux 13 Zohreh Zavareh D DEAA AIA N NT 14 Ana lle Vanel AN T IEI EN VE E PAAA e N 15 Visites amp ateliers 16 Atelier Re AEE A 18 Classe de b me ns 19 Classe de 5 me eh Classe de 4 me fl Classe de 3 me a E E E pp Fiche de reservation 23 Le centre d art contemporain l4 Infos pratiques ELI EEE A r A AAAA N 25 M ode d emploi la fin de chaque notice vous trouverez les liens aux programmes sous une forme simplifi e qui trouve son explication aux pages 17 18 19 et 20 ss iali a faa ns nouveau Fon nouveau remps
9. hreh Zavareh Nakoja 2014 installation sonore tuyau lampe industrielle arrosoir horloge 4 enceintes 3 20 Entr e I Axes 3 a b 4 a b c Terminale Le chemin de l oeuvre sus n ta ANA LLE VWE nus Les photographies d Ana lle Vanel ne racontent rien Pourtant elles sont le fragment d un r cit plus grand Elles t moignent de la rencontre de l artiste avec l Histoire et invitent le spectateur repenser les traumatismes de la m moire collective drame banalit Histoire l gende de la photo objectivit t moin Ana lle VANEL La Tombe d Ulrike Meinhof 1976 2015 photographie argentique tirage jet d encre 110 x 135 cm Les insectes d Ernst J nger 2015 photographie argentique tirage jet d encre 110 x 135 cm J ME Entr es I et II Axes 2 a et 3 a b c t me Entr es I et IV Axes 1 a 2 a Lyc e Premi re Figuration et temps conjugu s A a a su les EE h s MES ta eaa a si Visite ax e sur le th me lumi re sur la sculpture uvres de Thomas Malenfant assemblage de diff rents l ments reproduisant des morceaux d architecture une sculpture massive et ornementale Alice Pouzet fines sculptures a riennes en bois reproduisant le contour d l ments d architecture M laine Guitton installation de b ches peintes suspendues dans laquelle le public est in
10. i A Pouzet PR pm M Guitton g Pouzet t n T Malenfant R Tardieu g a 2 M Guitton o a T Malenfant e n p Tardieu ge es S 3 M Guitton Pouzet o EEEE 4 a T Malenfantu iR Tardieu g o gt o n 5 R Tardieu ey 2 b L espace l uvre et le spectateur La prise en compte et la compr hension de l espace de l uvre L exp rience sensible de l espace L espace l uvre et le spectateur dans la culture artistique L uvre et le spectateur Comment l espace d une uvre peut il englober physiquement le spectateur Comment l espace de l uvre peut il na tre de la rencontre avec le spectateur L uvre et le lieu Comment une uvre peut elle prendre possession d un lieu Commentune uvrepeut elledialogueraveclescaract ristiquesdulieu L uvre et le corps Comment l uvre peut elle prendre en compte l chelle du corps L espace de l uvre l espace dans l uvre Comment rendre compte de la multiplicit des points de vue spatial esth tique et culturel sur un m me objet Comment dans une uvre l organisation des volumes et des masses peut elle cr er un espace sp cifique L exp rience sensible de l espace Comment l exp rience sensorielle du monde peut elle tre l origine d une cr ation artistique Comment le temps et l espace peuvent ils tre les principaux mat riaux constitutifs de l uvre CC ss pe fa
11. ms inventent des r cits cr dibles mais dont on ne sait pas s ils sont vrais ou faux vid o voix off documentaire croyances montage Emma Marion L le 2015 court m trage 16 9 16 39 pr sentation sur t l viseur photogrammes Entr e I Axe 2 a b Entr e III Axe 2 a b c Premi re Figuration et image sun Pe faa gt CORENTIN MAX us Corentin Massaux part de situations qu il trouve dans l espace urbain pour les transposer dans l espace d exposition II emprunte ses formes et ses mat riaux aux chantiers de construction Inventant des protocoles de cr ation pr cis il r actualise dans ses installations les probl matiques de la sculpture sculpture DE quilibre A Sol Lewitt mater laux Lawrence Weiner f Vue des oeuvres de D a Corentin M assaux dans l exposition a iis 6 me Entr e 1 Axes 1 b 3 a b Lyc e Premi re Figuration et abstraction 7 Terminale L espace du sensible sasa aai n faa gt O IORN NAREN nus biai a ai a tans Zohreh Zavareh met en sc ne le dialogue absurde de quatre objets pos s au sol qui s interrogent sur les raisons de leur pr sence ici Le spectateur est pouss se joindre la conversation et r pondre lui aussi cette interrogation Th tre ready made absurdit mise en sc ne espace Zo
12. ont a leur disposition diff rents volumes fabriqu s en papier noir blanc et calque Dans un premier temps ils joueront construire unesculptureavecplusieursvolumes Dansun secondtemps ilsl claireront avec des lampes de poches pour observer la mani re dont la lumi re interf re avec leur sculpture Les l ves r alisent chacun un pliage avec un papier ou noir ou blanc ou calque Ils assemblent ensuite leurs pliages pour cr er une sculpture collective Ils sont enfin amen s jouer avec la lumi re sur cette sculpture pour en observer les effets en fonction de la qualit du papier Autre proposition Chaque l ve r alise une sculpture l aide d un fil de fer de 30 cm de long Les l ves assemblent ensuite leurs sculptures entre elles et cherchent le meilleur moyen de la pr senter dans l espace Les l ves se mettent par groupes de 4 Chaque l ve a un feutre d une couleur diff rente et une image Chacun dessine ce qu il voit sur l image puis passe son dessin son voisin qui dessine ce qu il voit et ainsi de suite L atelier abouti sur un ensemble de dessins accrocher ensemble selon les couleurs ou les formes ss hali a faa i ans Une autre notion traverse l uvre de tous les membres de cette cohorte de jeunes artistes le fragment envisag comme morceau extrait citation ou encore comme m tonymie C est partir de cette notion qu a t labor cette proposition d atelier Elle demeure
13. t Gen s les l gendes sur les f es et le diable font du Creux de l enfer un endroit qui ne semble pas tr s accueillant mais qui porte bien son nom 50 ans apr s la fermeture de l usine en 1988 le b timent est transform en centre d art la diff rence des mus es un centre d art ne poss de g n ralement pas de collection permanente il accueille des expositions temporaires c est dire que les uvres sont expos es et repartent apr s l exposition C est un lieu de r flexion pour l art contemporain l art d aujourd hui s an CES 5O NOS PRAQUES De QUOI gt Le Creux de l enfer propose des visites comment es seules ou accompagn es d un atelier de pratique artistique En fonction du nombre de participants et de la configuration de l exposition cet atelier peut avoir lieu dans les locaux du centre d art ou hors les murs gt Pour regarder les uvres les l ves sont invit s s asseoir quand la place le permet mais surtout dialoguer ensemble sur ce qu ils voient pour parler des qualit s plastiques et pour interpr ter les uvres gt M me hors de la classe le professeur ou l animateur reste responsable de sa classe ou des personnes qu il accompagne II doit veiller au respect du lieu des uvres du public et du personnel Le xp SF Vall e des Usines 63300 THIERS W le CREUX DE L ENFER 85 avenue Joseph Claussat t l 33 0 4 73
14. vec la projection l instant de la performance et sa trace souvenir laiss sur le support temporalit espace perception surface a R my Tardieu a croquis pr paratoire pour M M M s 2013 2014 200x100x40 cm plaque acier dispositif sonore et projection vid o a Be 3 me Entr es I et I1 Axes 1 a 2 a 4 5 a b us Lyc e Premi re Figuration et temps conjugu s sus n faa JLAGRANGE THEANANE biaa ji Jules Lagrange et Th o Hernandez dans leur installation parodique d tournent un extrait d une s rie populaire am ricaine et revisitent le conte de Faust Going through the motion Faust begins traduction est un dispositif qui r v le au spectateur l paisseur physique des images projet es dispositif espace humour relecture d tournement Jules Lagrange amp Hernandez Th o Going through the motions Faust Begins 2015 installation holographique 1 30 bois plexiglas machine fum e vid o projection son a Be 5 me Entr es I et II Axes 1 a 2 a b c et 3 a b c 4 me Entr es I et III Axes 1 a 2 b Lyc e Terminale L oeuvre le monde tans sus n faa EMMA MARON nus DCR ss EmmaMarionnavigueentrefiction et documentaire Partant de personnes de son entourage d v nements qu elle a v cu ou d objets qui l entourent ses fil
15. vit p n trer Corentin Massaux sculptures simples avec des mat riaux industriels et installation dans l espace d exposition selon une consigne que se donne l artiste et ou Zohreh Zavareh des objets pos s au sol et suspendus qui dialoguent entre eux d une mani re absurde Cette visite abordera diff rents aspect de la sculpture contemporaine encouragera les l ves partager le regard qu ils portent sur les uvres et se concentrer sur leurs qualit s visuelles formes quilibre mat riaux couleurs Un lien l histoire de l art peut galement tre fait en rapport avec une uvre marquante ou un mouvement artistique Un atelier en fin de visite am nera les l ves exp rimenter les effets de la lumi re sur un volume sculpt Visite ax e sur le th me Extraire et refaire l art du fragment uvres de Jules Lagrange amp Th o Hernandez extraction d une partie d un pisode de Buffy contre les vampires montage et projection holographique Karolina Krasouli cr ation d enveloppes vieillies artificiellement sur le mod le des enveloppe po mes d une po tesse am ricaine et accroch es selon un quadrillage sur 4 x 4 m tres de mur Ana lle Vanel des photographies qui font un gros plan sur un l ment physique restant de l Histoire et Emma Marion Un miroir en bronze r alis sur le mod le d un miroir trusque du M us e international de la parfumerie Grasse D ad ad Les l ves
16. volontairement large et ne demande qu tre enrichie Une image identifiable est elle forc ment r aliste partir de l observation d un objet vous g n rerez deux images l une identifiable mais pas r aliste l autre la plus r aliste possible mais pas identifiable D finition R alisme recherche d une ressemblance exacte avec le mod le Question Est ce que la reconnaissance de l objet impose le r alisme Mat riel crayon papier feuille blanche ss iali CES a tans L objet et l uvre iH Hrasouli M Guitton N PENER A Pouzet olL L objet et les r alisations plastiques C Massaux pH L objet et son environnement L lavareh Se T 1 L objet sa nature sa forme et sa mat rialit i H Hrasouli a Quelles transformations faut il faire subir aux mat riaux pour donner i jus naissance un objet Es aN c Qu est ce qui permet de transformer mat riellement un objet commun H Hrasouli g o M Guitton w A Pouzet p C Massaux pj seassessessssessessed en uvre d art En quoi la forme d un objet nous renseigne t elle sur sa fonction L objet et la narration Comment un objet peut il raconter une histoire ssssssessesssssse Comment les histoires peuvent elles faire dire autre chose aux objets Comment un objet peut il incarner ou symboliser une histoire 3 L objet sa pr sentation et ses d tournements a Commentuno
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