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Quels certificats médicaux

1. beithe fas de cenihcat Lertifscat d embauche Regis du travail inae tud aua porte de D claration thu aksi stan Cri z one e isq canes du stik Le cenie d cienchermert cet np sations Mein cm cad rest meee bons de sorties aureae dian e caine oca Unc certificat al dest pr s ran ie caract er total partes a h EPS et mentions 1a dude Toutes scit Aree dave un paru et onigor formulaire aupr s de Exile es HOP mate pour Tee M peegudions 44 ades pour Ves quefies l CDAPH Lormmevuon dew dre et de l atonome kes personis ane perii one kas rmm Leeds La gp ie ALO Aurton attus Fo paca Qa La ras porn ki Cocke akak at chew puit que im m decn pata peur doe comedi pa fica pee socie du conus garal A demande de la personne le pest insider bla wile LE Eric run examen amami l emtauche Oui iu pus Land aere lapar atikuni ke la pine pur le reca Du taal Le piama binhi Tun examen de enr diy Trad par ke rnissecin iu Trid com des cam bins 4 E sms gt ie Le misha Gibai par ie m decin Ali reesi nas mpn pi n valeur ruka En des amies 1226 2 et ugar du Codes do xi B Apr Dir au miia ul de pon Eater Tinte d mer une des chen dam nire L arte os merus
2. dune kere m Le recours au certificat medical ne devrait erre r serves quiaux seuls cs pr vus par ies Textes lat 35 hoe pari Hra ilhar L ma misa Ai pour a apee ki port de tenture de vicurit e t abu par un m decin agi sf pur l nter tune ku d paniemeng ui perTifical depen por ke ra Lan IVa Bac Uns aie ar eade L demens Tis ar a nno d e rf d par les paie tunes pour ie confi de l aptinade mckc La conduite cr d orientes ies patat very orm m dexim Ln m decin raa dort nianmoir informes son patient d une depre usn li gie fin rt cua erp la cuiua vapport avc une pari holes ou ure La visite pour le a Olypar 3 de kipana des pocsant un ea vip pu fonc one grav por cette pratique Lan artic i Doe toe E r gissent es co dee dernandes de Certificats Hii dus Lon penu es henner Pune lawa non canpii ba a Irun du nencusedtement u certifica micheal Ext d firse pus cfukgue Mediation sportivee ORDRE DES FA M DECINS 0 INFORMATIONS NATIONALES A AFFICHER DANS VOTRE SALLE D ATTENTE Naissance et certificats de sant de l enfant Vaccinations Certificats destin s obtenir des avantages sociaux maternit maladie Accident de travail Maladie professionnelle Demandes de pensions militaires et d invalidit Protection juridique C
3. en r server 33 au loge ment social Enfin le march pantinois b n ficie de deux Op rations Programm es d Am liorations de l Habitat OPAH permettant aux propri taires d obtenir des aides pour la r novation de leur bien En 2010 Pantin compte 8 482 logements loca tifs sociaux soit 34 76 des r sidences princi pales sur la commune ce qui est bien plus que l obligation l gale des 20 impos e aux villes de plus de 3 500 habitants par la loi SRU Le parc immobilier de la commune est prin cipalement constitu d immeubles puisque en 2004 95 des logements sont des appar tements De nombreux programmes de r habilitation ont permis d am liorer l habitat dans les cit s de Pantin qui avaient une connotation p jo rative auparavant les Courtilli res les Pommiers les Quatre Chemins DEMOGRAPHIE Pantin compte 52 698 habitants recensement de 2008 ce qui la place en 9 position dans notre d partement avec une densit de popu lation de 10 519 habitants knm C est une population jeune les jeunes de moins de 20 ans repr sentent 26 5 76 les plus de 60 ans 14 80 76 Depuis 1999 la population des m nages a augment de 3 081 personnes soit une progression de 1 03 76 Les couples repr sentent 45 6 de la popu lation les familles monoparentales 10 70 76 Les hommes repr sentent 48 76 de la popu lation les femmes 52 Compar e la r gion la part des ouvriers dans la population des m n
4. fiques aux m decins Nous avons recu un m decin chef de la CPAM 93 Nous lui avons fait part du surmenage administratif dont sont victimes les praticiens ceci dans un entretien tr s confraternel Un officier de police repr sentant la Direction de la S curit Publique du d partement est venu de facon tr s courtoise nous couter sur les incivilit s et agressions dont sont victi mes de trop nombreux confr res Une des missions de l Ordre est de soutenir et d aider les m decins nous intervenons avec eux aupr s du Pr fet profes sions de sant des communes de Stains Pier refitte Conseil pr cieux en cas d agression Nous vous rappelons le num ro de t l phone d di 01 43 93 20 07 que vous pouvez appeler en cas d urgence num ro correspondant la salle de commandement de la Police du d partement Vous pouvez l en registrer sur votre t l phone portable et en cas de besoin laisser ouvert celui ci la Police pourra peut tre rep rer d o vient l appel Ainsi elle a pu intervenir en flagrant d lit chez des individus qui retenaient un m decin en otage Vous avez la possibilit de demander la Direction de la S curit Publique un audit de s curit de vos cabinets ll est gratuit Vous serez conseill s quant une am lioration de s curisation de vos locaux l est important que vous nous signaliez toute agression verbale ou physique dont vous tes victime en nous adres
5. cision et m me parfois refuser d acc der sa demande lorsque l in tervention souhait e l expose sans justification th rapeutique un danger Pour autant si le m decin a un devoir de conseil il n est pas tenu de convaincre son patient du danger de l acte m dical qu il demande Cass 1 civ 18 janvier 2000 gt L information m dicale doit galement porter sur les risques inh rents l acte c est dire aux soins et interventions propo s s au patient La question tant de savoir si l information due par le m decin doit porter sur tous les risques des investigations ou des soins propo s s au patient Jurisprudence information limit e aux risques graves Traditionnellement la jurisprudence avait consid r que le m decin devait seulement informer le patient des risques graves et normalement pr visibles de l op ration ou du traitement qu il conseillait ou qui lui tait demand Est grave tout risque susceptible d avoir une influence sur la d cision du patient d accepter ou non les investigations soins ou interven tions propos s par le m decin Elargissement de l information par la loi du 4 mars 2002 les risques fr quents Tout en consacrant la jurisprudence ant rieure la loi du 4 mars 2002 a largi le contenu de l information sur deux points En premier lieu selon l article L 1111 2 du code de la sant publique l information doit d sormais porter non seulement sur les ri
6. d une personne d tre tenue dans l ignorance d un diagnostic ou d un pronostic qu elle qu en soit la gravit Ce cas est accompagn d une r serve tenant la protection des tiers Selon le texte en effet lt La volont d une personne d tre tenue dans l ignorance d un diagnostic ou d un pronostic doit tre respect sauf lorsque des tiers sont expos s un risque de transmis sion Ex s ropositivit du patient En outre en dehors de toute manifestation pr alable de volont du patient de ne pas tre inform la loi comme la jurisprudence autorise le m decin dissimuler un pronostic grave ou fatal sauf volont contraire de l int ress Notamment si ce dernier n est pas en mesure de supporter l information donn e et que celle ci aurait des cons quences n gatives sur la r ussite des soins Le m decin peut en effet ne pas r v ler toute la v rit au malade comme le lui permet l ar ticle 35 du code de d ontologie toutefois sous r serve des dispositions de l article L I I l dans l int r t du malade et pour des raisons l gitimes que le praticien appr cie en conscience un malade peut tre tenu dans l ignorance d un diagnostic ou d un pronostic graves sauf dans les cas l affection dont il est atteint expose les tiers un risque de contamination Un pronostic fatal ne doit tre r v l qu avec circonspection mais les proches doivent en tre pr venus sauf ex
7. elle est de 6 7 en Seine Saint Denis et de 10 9 en le de France Pas tonnant que nous nous sentions parfois un peu occup s ou fatigu s La moyenne d ge des g n ralistes est de 53 ans avec 20 m decins sur 29 ayant plus de 50 ans dont 5 de plus de 60 ans La moyenne d ge des sp cialistes est de 55 ans avec les ages entre 50 et 64 ans On compte 7 groupes de 2 omnipraticens 5 groupes de 2 sp cialistes et groupe de 3 sp cialistes L activit des m decins lib raux a vu ces derni res ann es plusieurs d parts en retraite de confr res mais aussi des d c s de confr res bien trop jeunes L installation r cente sur notre commune de deux jeunes confr res va rajeunir notre moyenne Des d parts la retraite de nos confr res vont prochainement survenir accroissant le d ficit de la densit m dicale L Amicale des M decins de Pantin essaye de regrouper malgr les surcharges de travail les g n ralistes et sp cialistes au sein de r unions de formations auxquelles sont galement convi s les m decins des cent res de sant Ces r unions sont aussi l occa 14 77 sion d changer et contribuent lutter contre le burn out qui guette particuli rement notre profession Les r seaux de sant actifs dans le d parte ment et intervenant sur Pantin sont tr s utiles dans le quotidien des praticiens et de leurs patients en canc rologie ONCO 93 GYNE COMED en soins palliatifs R seau O
8. 11 08 11 ROMAN Franco 1441 Paris An BAUX Fr d ric 5931 Charente Maritime 8 08 11 MEDINA Jacques 1601 Paris AMSELLEMArmand 123 paris 2 08 1 LOIRE BERSON Priscille 11474 Var RUHOMAULY Hessan 11417 Yvelines 22 08 11 MACEY Julie 1185 Paris GUILLOT Xavier 11308 Doubs 6 09 11 AMOUNI Alain Jean 11622 Paris Martine 10433 Val de Marne 1 09 11 BENOIT Patrick 6244 Finist re FERRAGNE Solange 11074 Yvelines 1 09 11 CLEMENT COTTUZ R gine 8623 Paris LUNGHI Gessica II733 Hauts de Seine 1 09 11 BONNAIRE Yossi 11515 Paris I6 UI RAVALOMANANA Dana 11416 Seine et Marne 1 09 11 PLATONOV 1075 Essonne If Ul ELMALEM Jacques 8059 Haute Garonne 1 09 11 LE BEGUE DE GERMINY Benoit 6544 Paris 10 1 I II RIGOTHIER Genevieve 1505 Val de Marne 15 09 1 QUANTANEIRO Sylvie 10296 Val de Marne 18 11 11 CHAOUCHE Kamel 1162 Essonne 15 09 11 TATE RICHIER Vanessa 1721 Paris 24 11 11 GAUDILLIERE B n dicte 10954 Val de Marne 15 09 11 NORMAND Philippe 11245 Val de Marne 24 1 1 1 VERZEROLI SANTOS Myriam 1185 Meuse 15 09 11 TYL Benoit 8819 Hauts de Seine 28 11 11 CLAISSE Magali 10801 Val d Oise 15 09 11 GUEROUT Thierry 7810 Val de Marne LAFARGUE CAUCHOIX 10384 Loire Atlantique 15 09 11 BOUZIT Akali 1852 Paris RIOTTE Sylvie 3316 Seine et Marne 15 09 11 GUEROUT Thierry 7431 Val de 8 12 1 KHACHATRYAN Kristine 11861 Val d Oise 23 0911 VELIZAROVA V lizara 1840 Seine et Marne 22 D
9. 29 Email acopsante free fr Site Internet www acopsante org ORDRE DES MEDECINS uam INFORMATIONS DEPARTEMENTALES GROS PLAN SUR LAVILLE DE PANTIN Apres la ville de Montreuil nous poursuivons notre p riple au coeur des communes du d partement Le Docteur Marie Catherine Sohet exerce la m decine g n rale Pantin Elle nous fait partager sa connaissance de cette cit attachante SITUATION La ville de Pantin est situ e dans la banlieue Est de Paris elle est limitrophe de Paris l ouest Le Pr Saint Gervais au sud ouest Aubervilliers au nord ouest Bobigny nord est Romainville et Noisy le Sec l est et Les lilas au Sud Pantin fait partie de la Communaut d agglo m ration Est Ensemble cr e en janvier 2010 et qui regroupe 9 communes Bagnolet Bobi gny Bondy Les Lilas Montreuil Noisy le Sec Le Pr Saint Gervais Pantin et Romainville Pantin s tend sur 5 01 Pantin est travers e par la Nationale 2 et la Nationale 3 elle est desservie par la ligne E du RER le TGV Est y passe aussi mais sans S y arr ter et le M tro ligne 5 et ligne 7 Le canal de l Ourcq la divise en deux parties reli es par des ponts et des passerelles et les berges de ce canal sont tr s fr quent es par les familles les joggers et les cyclistes deux pas ou tours de roue du Parc de la Villette Paris ou du Parc de la Berg re Bobigny et de celui de Sevran
10. Luc Grinberg Daniel Piquet Jacques Rahme Tony Sebton Alfred et Sohet Marie Catherine Suppl ants Docteurs Catheline Jean Marc Chahed Hedi El Jabri Laila Farcilli Bernard Giroux St phane Laude Michel M Vuendy Mayuma Marie France Palombo Jacques Siavellis Georges Songy Bernard COMPOSITION DU CONSEIL Membres Titulaires AOUSTIN G rard BARGUI Fatima BOUET Patrick DAVID Jacques DOUKHAN Serge FELLOUS Edgard FOURNIER Patrice GAILLARD REGNAULT Jean Luc GRINBERG Daniel HUA Georges LECLERCQ Gilbert MARLAND Xavier PIQUET Jacques QUATTROCIOCCHI Barbara RAHME Tony REY Jean Paul RUELLAND Guislain SALA Jean Pierre SEBTON Alfred SOHET Marie Catherine VIALLE Christian Membres Suppl ants AZOULAY Jean Claude BELHAD Kheireddine Karim BENAMOUZIG Robert BERTONNIER Michel BISMUTH Fernand BLONDEL Dominique CATHELINE Jean Marc CHAHED Hedi DHUMERELLE Colette Laure EL JABRI Laila FARCILLI Bernard GIROUX St phane FEUGERE ENGEL Annick FONTENOY Jean Luc LAUDE Michel M VUENDY MAYUMA Marie France PALOMBO Jacques ROZAN Marc Alain SEBBAG Mardoche SIAVELLIS Georges SONGY Bernard COMMISSION CONTRATS QUALIFICATIONS REMPLACEMENTS Pr sident Docteur Alfred SEBTON 2 COMMISSION LITIGES ET PLAINTES Pr sident Docteur Christian VIALLE 3 COMMISSION EXERCICE PROFESSIONNEL Pr sident Docteur Patrice FOURNIER 4 COMMISSION BULLETIN COMMUNICATION ET NOUVELLES TECHNOLOGIES Pr side
11. a pour objet l volution et l opti misation du logiciel de certification lectro nique des d c s mis en ceuvre par le C piDC INSERM ainsi que son d ploiement en tablissement de sant DIFFUSION DES SOLUTIONS RETENUES Un d pliant a t r dig destin tant aux m decins qu aux usagers organismes et insti tutions demandeurs de certificats Ce docu ment doit permettre aux demandeurs de certificats m dicaux de r guler leurs deman des II doit galement aider les m decins dans leur exercice quotidien afin de clarifier les situations dans lesquelles un certificat m dical est justifi et de lui fournir les arguments lui permettant le cas ch ant de refuser les demandes abusives La liste des certificats m dicaux voqu s n est pas exhaustive Ces situations r sultent de cas identifi s et signal s par les professionnels de sant partir de leur pratique quotidienne Lige des certifica l suppem e par rationale depuis POS sal en cans dee maider contagesoe gene des os tfcats a ibl appre par cation raton depuis Sexe l attestabon connemant kes wrr lrwr celer Dues erminea epp El ME Automaton pou n scelaines Sorties Skee 1 Taucanon pii Thee Tra Pat ipao iraptitude Dbrenian dun drat Fes AO p e Cer bh an lost Dur ure demande den Band handicap es dates
12. du temps de r flexion du patient du temps coul entre la premi re consulta tion et l op ration des mentions dans le dossier ou des changes de lettre entre sp cia liste et g n raliste La cons quence pratique de cette nouvelle jurisprudence les m decins demandent d sormais leurs patients de consentir par crit notamment par le biais de formulaires d personnalis s aux actes les plus graves et de reconnaitre galement par crit qu ils leur ont donn l information pr ala ble n cessaire Cependant l crit n est ni suffi sant ni n cessaire en raison de son caract re g n ral et impersonnel En outre ces crits bien qu exhaustifs ne permettent pas de s as surer de la bonne compr hension du malade En tout tat de cause l crit seul n a aucune valeur juridique La preuve crite n est exig e que dans des circonstances exceptionnelles ou la loi le pr voit express ment Sanctions de l inex cution Le patient pourra demander r paration du pr judice qui est n du d faut d information dont il a fait l objet de la part du m decin Ce n est pas le geste m dical qui est en cause mais l absence ou le manque d information gt En mati re civile la responsabilit du m de cin pourra tre engag e Jusqu un arr t de 1 chambre civile de la cour de cassation du 3 juin 2010 le pr judice issu du d faut d information tait indemnis par le biais de la perte de chan
13. information lui permettant de comprendre et de donner son consentement en toute connaissance de cause III LINEX CUTION DE L OBLIGATION Preuve de l inex cution Charge et moyens de la preuve C est la jurisprudence aujourd hui confirm e par la loi qui a fix les r gles en la mati re La preuve du d faut d information ou de consentement tait la charge du patient depuis un arr t de principe de la Cour de cassation du 29 mai 1951 Une telle preuve tait extr mement difficile rappor ter Revirement le 25 f vrier 1997 Arr t HEDREUL La loi n 2002 303 du 4 mars 2002 a ent rin cette jurisprudence relative la preuve en disposant qu en cas de litige il appartient au professionnel ou l tablissement de sant d apporter la preuve que l information a t d livr e au patient int ress Ce n est donc plus au patient de prouver que l information ne lui a pas t transmise La faute d information est ainsi pr sum e La preuve peut tre apport e par tous moyens art L 1111 2 al 6 du CSP En principe il suffit que cette information soit donn e oralement au cours d un entretien individuel L information crite est compl mentaire de l information orale mais ne se substitue en rien celle ci Le juge pourra s appuyer sur des t moignages ou des pr somptions En outre les juges du fond pourront tenir compte de la profession du malade du nombre d entretiens avec le m decin
14. mide p Tehe aono an n cars Tae ULE urs bame aT uk m lia none ed Uesite pars de pali orar a nicae cti ficat mdi pour abren i cantine wir eni dehors des can de malades concen En pra 8 Triquemmenid demand un rataran midea pour tities ces Iran de repas Am de pore aux ober tibi de upitni annie de igemed iba ph eee ke nesciunt mis ptian m dicas ni mecca LA imde Uu ta ee Fart LA apiu du paterni ce ka 0868 de rapi P de 3 iun app 1 ei La prci dun ceras m dical res Tamala 1 queen Obligations wain Amos cole Enimiv himi maberede e co hebras lapan sujet de l harmonisation du volet m dical des dossiers de pr admission en EHPAD a t identifi Les travaux engag s doivent tendre d ici la fin de l ann e l laboration en vue d une ventuelle g n ralisation d un volet m dical unique leur d mat rialisation les r formes du Minist re charg de l int rieur portant sur les op rations fun raires et la liste des infec tions transmissibles ainsi que la mise en place des agences r gionales de sant par la loi HPST ont conduit une r vision des mod les de certificats de d c s Parall lement ces travaux un comit sur la d mat rialisa tion des certificats de d c s a t mis en place Ce comit
15. nombre de certificats m dicaux Cest laisser du temps au m decin pour solgner ses patients gt VOTRE M DECIN PEUT VOUS INFORMER SUR LA NECESSITE D UN CERTIFICAT MEDICAL iwa cat tr wieew men entant tr Consell national de l Ordre des m decins wiwiei canseill natienal medecin tr Hinist re de l ducation nationale Wwe education pou fr Avec Ia collaboration du Consell national de l Ordre des m decins usagers La rationalisation des demandes de certificats m dicaux attestations et documents pour lesquels les m decins sont sollicit s figure parmi les mesures port es par cette instance de simplifications administratives La direction de la S curit sociale en parte nariat avec le Conseil national de l Ordre des m decins a engag un important travail inter minist riel associant notamment les directions m tiers l ducation nationale la CNAE l AMF et l ADE partir de l identification de plusieurs domaines dans lesquels les demandes de certi ficats m dicaux sont nombreuses En effet pour un grand nombre de certificats les demandes faites aux m decins ne se fondent pas toujours sur un texte l gislatif ou r glementaire et ou ne comportent aucun contenu m dical Ces travaux qui ont donc vis d une part r guler les demandes de certificats m dicaux notamment lorsqu ils ne sont pas exig s par la loi et d autre part simplifier les certificats restants se sont traduits par des r elles
16. 1 951 LAMBERT DE CREMEUR GILLES 11958 FR D RIC 11945 IORDACHE LAURA 11952 NGANDO EWANE KALLA JEAN JACQUES 11959 BRICOU OLIVIER 11946 LAMARI MUSTAFA 11953 ABTROUM HAKIM 11960 CATAJAR NATHALIE 11947 PAQUIRIMOIDINE RAHMAN 11954 KACI CHAOUCHE KAMEL 11961 DIAF JALLEL 1948 ROUSSEAU CAROLINE 11955 HERGON ERIC 11962 DRAK ALSIBAI MOHAMED KINAN 11949 VASTEL LAURENT 11956 PELLETIER BERTRAND 11963 INSCRIPTIONS S ance du 27 Octobre 2011 Docteurs KAMEL JAD 11964 OWONA BEKONO PASCAL 11977 KARAMI AHMED 11990 BACRI NADIM DANIELE 11965 RAIBAUT PATRICK 11978 PAMOUKDJIAN FREDERIC 1199 BENHAMOU LAURENE 11966 RAMDANIAKALI 11979 MONIE MARGUERITE 11992 BOYER JOELLE 11967 REGHIS YOUNSI RADHIA 1980 BEGON ANNE FRANCE 11993 BRANCHE DOMINIQUE 1968 RIVAL LAURENCE 1198 BOURGAIN ANNE 11994 CAGNAT GRUDEN JUSTINE 11969 SADAOUI MOHAND OURABAH 11982 KHUNG SUONARA 11995 CHAFIK HANANE 11970 GUILLAUME JULIEN 11983 SMATI LAFARGE MOUNIRA 11996 FRETE FRANCOIS 11971 BROSSIER JULIEN 1984 CONDE CATIA 11997 HOUSSINOT JEAN 972 TOUREILLE AUDE 11985 CORCOS PATRICE 11998 LOMBRAIL PIERRE 11973 ALBERT THIERRY 11986 PHU PIN ST PHANIE 11999 LORISSON EMMANUELLE 11974 CHARTIER MELANIE o 11987 CAPUTO MARIE 12000 MILEWSKI SEVERINE 11975 GOUDET LAFONT BENEDICTE 1988 NEJARI MOHAMMED 11976 LHOTE MADELEINE 1989 INSCRIPTIONS S ance du 24 Novembre 2011 Docteurs ARRADA AMAR 12001 FELIX LEMAIRE NICOLE 12011 LE NAGAT SOPHIE 12021 AZOULAY DAVID 12002 FERRY NIC
17. DECINE GENERALE THEPOT SYLVAIN 12029 HEMATOLOGIE OPTION MALADIES DU SANG GUIDDIR TAMAZOUST 12026 PEDIATRIE TETERICZ ANNA 12028 MEDECINE GENERALE KAMINSKI DOMINIQUE 12024 MEDECINE GENERALE QUALIFICATIONS S ance du l D cembre 2011 Docteurs DOUARD RICHARD 12034 CHIRURGIEVISCERALE DIGESTIVE RIVKINE EMMANUEL 12027 CHIRURGIEVISCERALE DIGESTIVE MALDINI CARLA 12038 MEDECINE INTERNE WOIMANT MAGUY 12043 MEDECINE GENERALE 21 M DECINS TABLEAU D PARTEMENTAL MEDECINS ayant demand leur transfert ou mutation BALFAGON Viel Sarah 11436 Yvelines 29 06 11 BRY Brigitte 5745 Nord 23 09 11 BENKACI Yacine 1762 Yvelines 29 06 11 DJOUADI BACHA Aicha 10924 Paris 23 0911 ROGER Bernard 1358 Etranger 24 06 PONCET WALLET Christine 1037 Paris 6 10 11 WAISMAN Roland 1999 Paris 27 06 11 LAMOTTE Nicole 2929 Paris 3 10 11 BISSERBE Adrien 11815 Val de Marne 6 07 11 EL KHOURY Elie 9994 Seine et Marne 3 10 11 SEYE Abel 11547 Val d Oise 6 07 11 ZAMBROWSKI Olivia 11860 Marne 10 10 11 REBUT Luc 2322 Paris 6 07 BAN Jean Claude 9178 Seine et Marne 10 1071 BOUBAKER Yacine 8383 Paris 6 07 11 EZZEDINE Hassan 11355 Cantal 12 10 11 POIRAT Bernard 10775 Yvelines 6 07 11 PETREA Adina Daniela 11598 Va de Marne 12 1071 I DACHEUX B atrice 6219 Oise 6 07 11 MICHOT Anne Sylvestre 10627 Paris 1210 1 LOGAK Catherine 828 Paris 6 07 TSAPZANG Man fouet 10493 Val d Oise 14 1071 HAMCHAOUI Sabrina 11476 Yvelines 8 07 11 CANTEGRIL Monique 3528 Val d Oi
18. ENIS BOBIGNY SAINT DENIS AULNAY SOUS BOIS VILLEMOMBLE VILLEPINTE STAINS NEUILLY SUR MARNE SAINT DENIS PANTIN NOISY LE SEC VILLEPINTE PANTIN PANTIN MONTREUIL STAINS TREMBLAY EN FRANCE SAINT DENIS GAGNY PAVILLONS SOUS BOIS SEVRAN TREMBLAY EN FRANCE MEDECINS Retrait s Docteurs TREMINE THIERRY BASALO MARIE BLANDINE FLOURENS RENE ESPITALIER FRANCOISE PERRET GERARD HENNEQUIN MONIQUE WOILLARD MICHEL EDELSTEIN RICHARD SEAN MARY CHRETIEN JEAN TOUATI ANDR MEDECINS D c d s Docteurs HOVASSE ANDRE GAUJOUR MICHEL IGERT CLAUDE PINET MICHEL LAZAR CLAUDE ALLIOT JACQUES MORET GEORGES DIJOLS JEAN HERCHKOVITCH PREUD HOMME ANDRE LECHEVALLIER PATRICIA TAVERNIER CLAUDE GANIER JEAN PIERRE GOUDAL HENRI ULMANN JACQUES 21 06 1 30 11 09 3 02 10 12 09 10 20 07 11 3 08 22 08 13 08 11 13 06 11 23 08 5 11 10 29 09 1 TN 29 08 16 11 11 ULLETIN DU ONSEIL DEL ADREDES PUB
19. OLAS 12012 MICHEL MARTINS CELINE 12022 BLONDEEL CHARLOTTE 12003 GEAMANU MARIANA 12013 SELCER DOMINIQUE 12023 CHAIB AURES 12004 GONIN MICHELE 12014 KAMINSKI DOMINIQUE 12024 CHALLAL SALIMA 12005 GUILLAUME MARTINE 12015 BENACHI SABIHA 12025 CLOUQUEUR ELODIE 12006 HOMS SEBASTIEN 12016 GUIDDIR TAMAZOUST 12026 COUTURE MARIE 12007 KARAGUILIAN VINCENT 12017 RIVKINE EMMANUEL 12027 DIAW ABDEL KADER 12008 KOSADINOS EMMANOUEL 12018 TETERICZ ANNA 12028 DINU CARMEN 12 009 LABORDE MALNOY CAROLINE 12019 THEPOT SYLVAIN 12029 DUPONT BENJAMIN 12010 LEGKOBYT TATIANA 12020 POLY CLAIRE 12030 INSCRIPTIONS S ance du 11 D cembre 2011 Docteurs BIYICK HOUDAYER ELISABETH 12031 HAMIDOU BENMANSOUR ZHOR 12036 TAHMASEBI FARZAD 12041 BROUTIER HELENE 12032 MACHET FABIEN 12037 THIBAULT FREDERIC 12042 BURCKEL CRISTINA 12033 MALDINI CARLA 12038 WOIMANT MAGUY 12043 DOUARD RICHARD 12034 MOREAUX GREGOIRE 12 039 GORPHE PHILIPPE 12035 ROLAND MELANIE 12040 QUALIFICATIONS S ance du 1 Septembre 2011 Docteurs KAMMOUN MOHAMED FAOUZI 11928 PSYCHIATIRE LAANANI FADHILA 11930 PSYCHIATIRE QUALIFICATIONS S ance du 29 Septembre 2011 Docteurs BOEHRER SIMONE 10939 ONCOLOGIE OPTION ONCO HEMATOLOGIE LAMBERT DE CREMEUR GILLES 11958 CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES BRAUN THORSTEN 10079 HEMATOLOGIE OPTION ONCO HEMATOLOGIE ABTROUM HAKIM 11960 MEDECINE GENERALE DRAK ALSIBAI MOHAMED KINAN 11949 ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES KACI CHAOUCHE KAMEL 11961 ANESTHESIE REANIMA
20. ORDRE DES M DECINS DECINS SOMMAIRE p 3 ditorial e Merci p 4 Composition du Bureau du Conseil et des Commissions p 8 13 Informations nationales e Abus des certificats m dicaux e Obligation d information revue de textes p 14 19 Informations d partementales e Gros plan sur la ville de Pantin e Entre aide mode d emploi e Burn out agissons e NutriNet Sant participons e Hommage MEE Quels cert ificat j m dicaux Ka Lg PUB EDITORIAL MERCI Mes chers confr res Wes avez t tr s nombreux participer aux lections ordinales du d cembre 201 et vous m avez apport ainsi qu aux conseillers sortants la majorit de vos suffrages Le President A l quipe d j en place viennent se joindre dix nouveaux conseillers dont quatre femmes c la parit n est pas encore atteinte mais nous sommes sur la bonne voie Je tiens donc vous remercier pour votre confiance Ce soutien renouvel nous oblige nous encourage et nous stimule pour poursuivre le travail ordinal d j entrepris Nous allons nous y atteler car plusieurs d fis nous attendent Il y a les sujets moult fois voqu s d mographie m dicale avec ses zones d sert es la f minisation de la profession la volont de travailler et de s organiser diff remment e le D M P Mais aussi les volutions des modes d exercices En effet comment c
21. OT nous a quitt le 3 2011 l age de 62 ans Notre confr re a eu un parcours exemplaire D abord infirmier puis kin sith rapeute il d cide de reprendre ses tudes afin de devenir chirurgien sp cialis en stomatologie Il obtient sa comp tence en chirurgie maxillo faciale en 1984 N au Raincy il s installera dans le d partement qu il ne quittera plus d abord la clinique Franklin aux Pavillons sous Bois puis Livry Gargan Ses comp tences et sa notori t lui feront prendre la chefferie de Service de Stomatologie de l H pital Jean Verdier Il rejoint le Conseil de l Ordre des m decins de la Seine Saint Denis en 2005 participant activement la commission litiges et plaintes malgr la maladie qui venait d j de le frapper Il poursuivra malgr tout ses activit s sans rel che aupr s de ses patients aid par une autre passion qu il entretenait depuis toujours et jusqu la fin de sa vie la chasse Nous avons appris le d c s survenu le 16 novembre 2011 du Docteur Jacques Andr ULMAN l ge de 94 ans Notre confr re a t m decin g n raliste puis dermatologue Noisy le Sec pendant de tr s nombreuses ann es jusqu sa retraite en 1985 Le Docteur Ulmann a t inscrit sur la liste des m decins honoraires de la Seine Saint Denis en 1984 A c t de cette activit professionnelle que l on devine intense le Docteur Ulmann n dans une famille de peintres et de sculpteurs a cr
22. R HASNAOUI MEHDI DR BELHADJ KHEIREDDINE DR GIRARD OLIMER DRTREMIGNON CLAIRE DR GOUIZI LLIES DRTHOMAS JEAN PAUL DR RUOTTE SONIA DR AUBRY ISABELLE DR CARRETTE PHILIPPE CHERRAK SAAD CHAKIB CHOKRIABDELMONEN DR FECHTENBAUM JACQUES DR MORETINAUDREY DR PETIT HADDAD MARC DR STERATTO DOMINIQUE DR TAUBEANNE MARIE DRVANCONVALERIE DR RACHEK SEKOURA DR BENICHOU LIONEL DR DUMESNIL JULIEN DR BOUSEBHA ABDELHOUAD DR LECLAILLE DIDIER DR DRAY ARNAUD DR ABROUN HAKIM MEDECINS Changements d adresse 9 ALL E PIERRE DE MONTEREAU 20 RUE HENRI MATISE HOPITAL DELAFONTAINE 2 RUE DU DR DELAFONTAINE ARS 5 PROMOENADE JEAN ROSTAND HOPITAL DELAFONTAINE 2 RUE DU DR DELAFONTAINE 69 BIS ROUTE DE BONDY 25 AVENUE DU RAINCY AVENUE AUGUSTE BLANQUI EHPAD 41 RUEVICTOR RENELLE SCMVICTOIRES PLACE DESVICTOIRES 47 RUE JEAN JAUR S SCM MEDICALE HOCHE RUE HOCHE GROUPE MEDICAL JEANNE D ARC 43 RUE A FRANCE 40 AVENUE BARBES SCM MEDICALE HOCHE RUE HOCHE SCM MEDICALE HOCHE RUE HOCHE 8TER BD HENRI BARBUSSE 80 AVENUE DE STALINGRAD 43 RUE DE LARGONNE HOPITAL DELAFONTAINE 2 RUE DU DR DELAFONTAINE 9 ALLEE DUNAND GROUPE MEDICAL ROY CHANZY 2BD ROY 49 CHEMIN DE SAVIGNY HOPITAL PRIV DUVERT GALANT 38 RUE DE FLANDRE 93150 93150 93205 93000 93205 93600 93250 93420 93240 93330 93200 93500 93130 93420 93500 93500 93100 93240 93290 93205 93220 92320 93270 93290 LE BLANC MESNIL LE BLANC MESNIL SAINT D
23. S CERTIFICATS M DICAUX L exercice lib ral des m decins est aujourd hui soumis un nombre important de contraintes administratives qui r duisent le temps stric tement m dical pouvant tre consacr la qualit des soins dispens s leurs patients Dans une enqu te r cente r alis e sur le travail administratif des m decins g n ralistes le sujet des certificats m dicaux avait t clai rement identifi comme un sujet chrono phage Les cas de certificats m dicaux les plus fr quemment cit s taient ceux pour absence scolaire pour une compagnie d assurance pour l employeur certificat d inaptitude au travail pour demander un appartement ou en obtenir un plus accessible etc Le ministre du Travail de l Emploi et de la Sant a inscrit la simplification administrative de l exercice lib ral comme un sujet prioritaire et a install une instance de simplifications administratives dont les actions visent opti miser le temps consacr par les m decins aux multiples formalit s pour lib rer du temps m dical au service des besoins de sant des LE POINT SUR gt POUR EN SAVOIR PLUS L Assurance maladie wa ampli fr Caisse nationale des allocations familiales Les certificats m dicaux Le certificat m dical ne se justifie que s il a une raison m dicale I n est obligatoire que si un texte l gislatif ou r glementaire exige Dans de nambreux autres cas il n est pas n cessaire R duire le
24. Secr taire G n ral Adjoint V i LECLERCQ Gilbert HUA Georges Tr sorier Tr sorier Adjoint Rapport industrie et cartes CPS Z BARGUI Fatima D l gation l entraide DOUKHAN Serge PIQUET Jacques Pr sident de la Commission Communication et nouvelles technologies Bulletin SEBTON Alfred Pr sident de la Commission des Contrats Qualifications Remplacements BOUET Patrick Pr sident d Honneur DAVID Jacques FOURNIER Patrice Pr sident de la Commission Exercice Professionnel GRINBERG Daniel QUATTROCIOCCHI Barbara RAHME Tony VIALLE Christian Pr sident de la Commission Litiges et Plaintes SOHET Marie Catherine ORDRE DES MEDECINS INFORMATIONS NATIONALES CERTIFICATS MEDICAUX HALTE AUX ABUS DES DEMANDEURS Beaucoup de certificats m dicaux demand s aux m decins lib raux ne reposent sur aucun fondement juridique ou ne comportent aucun contenu m dical Afin de simplifier les t ches administratives de l exercice lib ral une circulaire minist rielle rappelle les cas o le certificat m dical est n cessaire et les situations dans lesquelles il ne l est pas N DSS MCGR DGS 201 1 331 du 27 septembre 2011 relative la rationalisation des certificats m dicaux Vous trouverez la totalit des documents produits sur le site du CDOM www cdom93 fr En voici les l ments principaux CONTEXTE DE LA D MARCHE DE RATIONALISATION DE
25. TION PAQUIRIMOIDINE RAHMAN 11954 MEDECINE GENERALE NGANDO EWANE KALA JEAN JACQUES 11959 GERIATRIE TORANZO JACQUELINE 11942 OPHTALMOLOGIE LAMBERT DE CREMEUR GILLES 11958 CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES QUALIFICATIONS S ance du 27 Octobre 2011 Docteurs KAMEL JAD 11964 CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES KARAMIAHMED 11990 MEDECINE GENERALE CAGNAT GRUDEN JUSTINE 11969 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PAMOUKDJIAN FREDERIC 1199 MEDECINE GENERALE GUILLAUME JULIEN 11983 PSYCHIATRIE MONIE MARGUERITE 11992 MEDECINE GENERALE OWONA KEBONO PASCAL 11977 CHIRURGIE ORTHOPEDIQUE ET TRAUMATOLOGIE BOURGAIN ANNE 1994 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE REGHISYOUNSI RADHIA 1980 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE KHUNG SUONARA 11995 MEDECINE GENERALE BROSSIER JULIEN 1984 CHIRURGIE GENERALE SMATI LAFARGE MOUNIRA 11996 BIOLOGIE MEDICALE TOUREILLE AUDE 11985 PSYCHIATRIE CONDE CATIA 1997 MEDECINE GENERALE CHARTIER MELANIE 1987 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE CORCOS PATRICE 11998 CHIRURGIE GENERALE GOUDET LAFONT BENEDICTE 11988 PSYCHIATRIE PHU PIN STEPHANIE 11999 MEDECINE GENERALE LHOTE MADELEINE 1989 MEDECINE GENERALE CAPUTO MARIE 12000 GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE QUALIFICATIONS S ance du 24 Novembre 201 Docteurs AZOULAY DAVID 12002 MEDECINE GENERALE KARAGUILIAN VINCENT 12017 MEDECINE GENERALE BENACHI SABIHA 12025 ANESTHESIE REANIMATION MICHEL MARTINS CELINE 12022 MEDECINE GENERALE BLONDEEL CHARLOTTE 12003 BIOLOGIE MEDICALE POLY CLAIRE 12030 MEDECINE GENERALE DUPONT BENJAMIN 12010 ME
26. ages est beaucoup plus importante 22 8 pour la commune contre 14 8 76 pour la r gion Les cadres ne repr sentent que 9 76 de l en semble des m nages alors qu ils sont 18 3 76 dans l ensemble de la r gion La part des retrai t s est dans la moyenne d partementale et r gionale environ 23 76 En 2006 47 des m nages pantinois n taient pas imposables contre 33 en Seine Saint Denis Par ailleurs compar e la moyenne de Seine Saint Denis une part plus importante de la population b n ficie de minima sociaux La population couverte par au moins une pres tation CAF est en effet de 58 2 contre 54 7 en Seine Saint Denis et 45 en lle de France Enfin lors du recensement de 1999 Pantin comptait 18 8 76 de ch meurs 17 2 en Seine Saint Denis La population trang re dans la commune de Pantin repr sente 21 1 de la population totale la moyenne d partementale est de 18 7 et les m decins de Pantin d couvrent dans leur salle d attente le monde entier travers toutes les nationalit s ainsi repr sen t es par leurs nouveaux patients au gr des v nements politiques ou conomiques dans leurs pays d origine Un drame survenu fin septembre 2011 a rappel que les conditions d h bergement des populations trang res souvent en situa tion irr guli re peuvent conduire la mort un squatt dans un quartier en cours de r ha bilitation a pris feu tuant en son sein 6 jeunes cland
27. avanc es Le r sultat de ces travaux fait l objet d un document de sensibilisation destin tre diffus largement pour r guler les demandes de certificats Il s adresse donc non seulement aux professionnels de sant mais aussi aux demandeurs de certificats qui doivent tre sensibilis s en amont Ce document n a pas pour finalit de traiter l exhaustivit des certi ficats m dicaux pour lesquels il existe un texte normatif et qui sont justifi s au regard des principes rappel s ci dessous Il rappelle les cas les plus fr quents recens s par les syndi cats repr sentatifs des m decins et par le Conseil national de l Ordre des m decins dans lesquels les certificats m dicaux ne sont pas n cessaires et le cas ch ant les solutions alternatives retenues PRINCIPES RETENIR POUR LA RATIONALISATION DES ATTESTATIONS ET DES CERTIFICATS M DICAUX La d marche de simplification et de rationa lisation des attestations et certificats m dicaux repose sur trois principes qu il convient de respecter et de relayer aupr s des principaux demandeurs I ll ne doit pas y avoir d attestation ou de certificat sans examen m dical L article R 4127 76 du code de la sant publique pr cise que l exercice de la m decine comporte normalement l tablissement par le m decin conform ment aux constatations m di cales qu il est en mesure de faire des certificats attestations et documents dont la production est pres
28. c ane Arc en Ciel Citons galement les deux maisons de retraite sur la commune de Pantin Maison de Retraite municipale La SEIGNEURIE et celle priv e les JARDINS DE PANTIN qui accueillent nos anciens dans des structures m dicalis es Pour les familles pantinoises il existe des struc tures d coute et d entraide les Maisons de Quartier le Relais Petite Enfance le Caf des Parents ayant pour mission d accompagner les parents dans leur r le de premiers duca teurs et des lieux d accueil parents enfants permettant des changes entre parents au milieu de professionnels de la petite enfance pendant que leurs enfants jouent avec d autres enfants Docteur Marie Catherine Sohet Conseiller Ordinal titulaire Sources documentaires Conseil D partemental de l Ordre des M decins de la Seine Saint Denis RIR IDF Regroupement Implantation Red ploiement Ile de France Mairie de Pantin Wikipedia org ORDRE DES MEDECINS INFORMATIONS DEPARTEMENTALES DELEGATION A L ENTRAIDE DES MEDECINS DU DEPARTEMENT PRESENTATION Une des missions que l Ordre des m decins d partemental et national assument et qui est m connue ou peu connue est l entraide ordinale qui consiste en toute action d aide confraternelle de l Ordre des M decins vers des confr res ou des familles de confr res en difficult Les conseils d partementaux nomment g n ralement un lu ordinal d
29. ce pour le patient de se soustraire un risque qui s est finalement r alis La d marche du juge tait la suivante il rep rait tout d abord l existence d un d faut d in formation Une fois la faute tablie le juge cherchait savoir si ce d faut d information avait emp ch le patient de se soustraire l acte D sormais la r paration du dommage caus par le d faut d information ne passe plus par le biais de l examen de la perte ou non d une chance de se soustraire l acte Elle s arr te la premi re tape et largit ainsi de mani re cons quente le champ des pr ju dices indemnisables Le patient pourra se pr munir d un manquement l obligation d information sans avoir prouver que celui ci a alt r son consentement gt Sur le plan ordinal une sanction disciplinaire pourra tre prononc e IV STATISTIQUES DELA CHAMBRE DISCIPLINAIRE DE PREMIERE INSTANCE DU CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE ANN E 2010 gt Nombre d affaires enregistr es au greffe de la chambre 270 gt Nombre d affaires audienc es 224 gt 12 des plaintes portent sur le d faut d information CONCLUSION L information du patient doit tre l un des temps fort de l exercice m dical Elle ne se r duit pas l nonc d un diagnostic ou d un pronostic redout Elle doit tre compl t e par nombre d indications permettant au patient de contribuer la d cision m dicale et de donner son consent
30. ception ou si le malade a pr ala blement interdit cette r v lation ou d sign les tiers auxquels elle doit tre faite gt Toutefois la jurisprudence a une conception restrictive de cette exception th rapeutique le simple souci de ne pas inqui ter un patient ne saurait suffire dispenser le m decin de son obligation d information De surcroit cette d rogation au droit l information ne peut s appliquer lorsque des tiers sont expos s un risque de transmission Il LES MODALIT S DE MISE EN CEUVRE DU DROIT L INFORMATION En vertu de l article L 1 2 alin a 3 du code de la sant publique cette information doit tre d livr e au cours d un entretien indivi duel Il est fond sur une coute attentive un dialogue en ayant toujours l esprit l an goisse plus ou moins motiv e du patient L information donn e doit tre loyale claire et appropri e sur l tat du patient Ce qui signifie que le praticien doit adapter l information donn e en fonction des capacit s intellectuelles et du niveau socioculturel de son interlocuteur Information intelligible et accessible Aussi l information ne doit pas tre donn e de mani re trop brutale mais dispens e avec tact et mesure En effet une information claire pour le patient est une information qui doit non seulement tre entendue mais encore comprise par lui Le patient a besoin d une information utile pertinente c est dire d une
31. crite par les textes l gislatifs et r glementai res Le certificat n est pas un simple document administratif est la conclusion d un examen m dical et doit tre d livr dans le respect du secret m dical L article R 4127 69 du code de la sant publique pr cise que l exercice de la m decine est personnel chaque m decin est responsable de ses d cisions et de ses actes I faut rappeler que la d livrance d un certificat m dical ne donne pas lieu remboursement par l assurance maladie article L 321 1 du code de la s curit sociale 2 En l absence de texte normatif l exigeant l attestation ou le certificat m dical n est pas n cessaire l existe une multiplicit de situations o des certificats sont r clam s Un grand nombre de ces certificats sont demand s notamment par les collectivit s locales par exemple pour une inscription au centre a r en cr che ou dans d autres tablissements g r s par les collectivit s locales Aussi le d pliant d infor mation sera notamment relay par l AMF et l ADF afin de r guler ces demandes de certi ficats m dicaux Les m decins ne sont pas tenus de r pondre aux diverses demandes de certificats m dicaux lorsqu il n existe aucun fondement juridique En cons quence hormis les cas le certificat m dical est pr vu par des textes le certificat m dical n est pas n cessaire et le m decin est fond en refuser la d livrance 3 Lorsqu
32. d s Ce questionnaire peut tre demand au si ge du Conseil tel 01 45 28 08 64 ou t l charg partir du site Internet www cdom93 fr Le demandeur sera invit se rendre aupr s du D l gu l entraide Celui ci instruira le dossier puis le transmettra la commission nationale d entraide avec l avis motiv du Conseil d partemental N h sitez pas nous faire part de vos diffi cult s ou de vos questions faut garder l esprit que les choses ne sont pas difficiles parce que l on n ose pas mais c est parce que l on n ose pas que les choses sont difficiles Je reste votre disposition pour tout conseil Dr Bargui Fatima Conseiller Ordinal titulaire D l gu e l Entraide ETUDE NUTRINET SANT APPEL RECRUTEMENT DE VOLONTAIRES Le Pr Serge HERCBERG professeur de nutrition la facult de M decine Paris 13 directeur de l UMR U557 de l Inserm est coordinateur de l tude Nutrinet Sant ll demande l aide des m decins du d partement de la Seine Saint Denis pour le recrutement de 500 000 participants ce qui correspond la cohorte n cessaire pour mener bien le projet Voici quelques l ments l appui de cette demande le surfe sur le web our faire progresser lo recherche publique l prog 1 www etude nutrinet sante fr m om ew L tude NutriNet Sant est unique au monde Cette tude vise tudier sur une tr s grande cohorte l importance du r le de la n
33. de nutrinet sante fr BURN OUT L ACTION DU CONSEIL DEPARTEMENTAL Nous vous rappelons l existence d un groupe de travail concernant les probl mes li s l exercice professionnel Nous nous sommes vite aper us que les m decins ont besoin de parler de se confier d changer Cette id e de groupe d coute tait partie d une d cision prise par le CDOM 93 d valuer le burn out dont sont victimes nos confr res Qui est concern Comment l Ordre peut il intervenir Force est de constater que les m decins victi mes de cet puisement professionnel ne sont pas venus nos premi res r unions Ce qui ne veut pas dire que ce syndrome n existe pas en Seine Saint Denis bien au contraire car il apparait que certains confr res victimes de probl mes multiples s isolent et n osent pas ou ne veulent pas en parler par honte ll est important que si vous connaissez des m decins dans cette situation vous nous les signaliez Notre profession est touch e par les suicides l alcoolisme la d pression Nous avons tous mener des actions de pr vention et de d pistage Lors de ces r unions des propositions ont t faites Cours de communication et de gestion des patients avec lesquels les rapports sont tendus Cr ation d une m decine du travail pour les m decins lib raux la prise en charge de leurs propres probl mes m dicaux est souvent tardive Mise en place de groupes de th rapie sp ci
34. dustrielle et artisanale La ville est ainsi r pu t e pour sa verrerie ornementale Centre Europ en de Recherche et de Formation aux Arts Verriers CERFAV Cr ation de mobilier design objet et textile c ramique facture instrumentale une ving taine de locaux ont t r habilit s pour tre mis la disposition des artisans dans le quar tier populaire des Quatre Chemins Le p le Pantin m tiers d art accueille d sormais une quarantaine de cr ateurs autour de la Maison Revel centre de ressources d partemental Labellis e Ville et M tiers d art en 2006 Pantin est la premi re ville de Seine Saint Denis ainsi reconnue Elle organise la Biennale D co et Cr ation d Art qui pr sente notam ment la jeune g n ration des artistes de l est parisien Depuis 1992 le maroquinier Hermes fait travailler 270 artisans actuellement et d im portants travaux d agrandissement de ses ateliers et bureaux devraient permettre d ac cueillir de nouveaux salari s L OFFRE DE SOINS La ville de Pantin n a plus depuis 1994 la clinique la R sidence qui avait vu naitre de nombreux Pantinois et qui avait permis une prise en charge chirurgicale de proximit appr ci e de tous Plus tard la clinique de la Porte de Pantin fermait aussi ses services chirurgicaux pour ensuite devenir un service de soins de suite et de soins palliatifs et une maison m dicale de garde qui pour les Panti nois m me si elle est sur Paris r
35. e aujour d hui codifi l article R 4127 35 du code de la sant publique dispose en effet que Le m decin doit la personne qu il examine qu il soigne ou qu il conseille une information loyale claire et appropri e sur son tat les investigations et les soins qu il lui propose Si le changement pouvait paraitre b nin sur le plan s mantique il ne l tait pas sur le plan notionnel Cette modification permettant incontestablement de renforcer les contours de l obligation Le contenu de l information L article L 1111 2 du code de la sant publique pr voit que Toute personne a le droit d tre inform e sur son tat de sant Cette information porte sur les diff rentes investigations traitements ou actions de pr vention qui sont propos s leur utilit leur urgence ventuelle leurs cons quences les risques fr quents ou graves normalement pr visibles qu ils comportent ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les cons quences pr visibles en cas de refus gt Les renseignements donn s au patient doivent aller d une information sur l tat de sant et son volution pr visible une infor mation sur la nature de l acte m dical conseill et de ses alternatives ventuelles Il est noter que l obligation d information du m decin sur les risques de l op ration se prolonge d une obligation de conseil Le m decin doit pouvoir aider le patient prendre la bonne d
36. e avec son pouse une collection de tableaux et de dessins anciens Et il nous laisse un livre Saint Simon et la m decine fruit de sa passion pour l histoire la recherche des sources de son m tier Ce livre est disponible aupr s des ditions GLYPHE M DECINS 20 TABLEAU D PARTEMENTAL INSCRIPTIONS S ance du 28 Juillet 201 Docteurs GOURLAOUEN SCALA Brigitte 11907 BERDAH Daniel 11912 HAMBLI Meher 11917 PAOLINO Luca Angelo 11908 BERKANE Nadia 11913 KANGUE Partricia 11918 TAOUQI LE CANN Myriam 11909 BOUCLY Segol ne 11914 LIEBOVICI Daniele 11919 OZIEL Johanna 11910 CARRUEL Florence 915 MORETIN Audrey 11920 DERSCH Bernard 11911 DUPONT Annick 11916 INSCRIPTIONS S ance du 1 Septembre 2011 Docteurs AMIEL BARUKH 11921 KERGUENO JULIE 929 VANHECKE ELIANE 11937 BOUCETTA DJAOUI SOUAD 11922 LAANANI FADHILA 11930 VAILLANT JUTEAU ANNE MARIE 11938 BENDERRA HAMMOUDI LYNA 11993 MAGNIER GERALDINE 11931 VEAU PHILIPPE 11939 CASSANET V RONIQUE 11924 MARGANG BRICE 11932 WIROTIUS JEAN MICHEL 1940 CHARISSOU ALAN 11925 PASTEL CATHERINE 11933 NOCE EMANUELA 11941 DAHAN MARCELLE 11926 PONS GUY 11934 TORANZO JACQUELINE 11942 GUERRERO ROSS RAMON 11927 PROVOST ANNE GAELLE 11935 KAMMOUN MOHAMED FAOUZI 11928 TROUILLET G RARD 11936 INSCRIPTIONS S ance du 29 Septembre 2011 Docteurs AMSALHEM PATRICIA 11943 GROSCARRET JEAN FRAN OIS 11950 BENLAHRECH SARAH 11957 BENAMARA BOUCHAMA BAYA 1944 GUIMFACK MICHEL
37. e les attestations et certificats m dicaux sont exig s dans le cadre de situations reconnues par la loi ils doivent tre simplifi s et harmonis s voire d mat rialis s Certaines situations l gales n cessitent l in tervention du m decin pour tre tablies S agissant de certificats incontestables dans leur principe des travaux ont t engag s ou ont d j abouti en vue de leur simplification c est le cas par exemple du formulaire de certificat m dical pour une demande aupr s des maisons d partemen tales des personnes handicap es annex l arr t du 23 mars 2009 leur harmonisation dans le cadre de l ins tance de simplifications administratives le LE POINT SUR Prap de rose amans S Tai a Cr ches Allergies ira d hec pa a igi arena in BRECON four densos qunm Lary sco Certificat Cayea m m dical en can de maladie ren piste Creches Almo de 4 nun p 4 purs Dari le car un prescrit longo son mode de prise ne pisanie pas de difficulter patines die race tte Laporte e longue be mide nia guns preso Creer ann din ador rie Foe 3 La ortos rd midi camera est conidia corner un acte ne La Dora Auri des parenti accompagn s de Toon vi p aic aie pren We Cae fir a perm me aus anus Laer mimrer faine len Wars on ani nur elles puru ELE 1 ih z 1 esi m
38. ement en pleine connaissance de cause Dans le cas plusieurs m decins interviennent il appartient chacun de donner au patient les informations qui sont du domaine de ses comp tences En effet l information doit tre d livr e AFEM tous les stades de la prise en charge et doit tre continue c est dire qu elle doit se poursuivre tout au long de la maladie Finalement dans une soci t o s exprime avec de plus en plus d acuit le besoin de chacun de participer aux d cisions qui le concernent le devoir d information s est d finitivement install lt au coeur de l thique de tout praticien quelle que soit sa sp cialit Marion FARGE Cet article a t publi en juillet 2011 dans le Bulletin Officiel du Conseil D partemental des Hauts de Seine Nous remercions le Dr J Claude LECLERCQ son pr sident et Marion Farge de nous avoir autoris s le publier dans notre Bulletin L A FE M Association d Entraide aux Femmes et Enfants de M decins qui a soutenu 300 familles dans la d tresse recueille des dons MERCI D AGIR AVEC NOUS PAR VOS DONS Adressez vos dons exclusivement l A F E M 168 rue de Grenelle 75007 PARIS C C P 8162 82 U Paris Association regroupant les COnjoints des Professionnels de SANT ACOPSANTE UNACOPL Courrier ACOPSANTE UNACOPL Maison des Professions Lib rales 7 rue de la Com te 75007 PARIS T l 01 43 78 17 79 Fax 02 37 30 85
39. ertificats pour soins psychiatriques Coups et blessures s vices R quisition sauf r cusation D c s Les certificats non obligatoires l appr ciation du m decin Certificats susceptibles de donner droit autres que ceux obligatoires Non contre indication la pratique d un sport une attestation remise en main propre pour faire valoir un droit un signalement directement adress au procureur Manifestement abusifs simple absence scolaire R clam s par un tiers sauf exception l gale lllicites complaisance faux certificats ANNONCE DIAGNOSTIQUE ET OBLIGATION D INFORMATION L obligation d information est une donn e cruciale bien maitriser pour le m decin Un d faut d information est souvent avanc en cas de litige entre un patient et son m decin en particulier si l volution de la maladie le r sultat du traitement ou de l intervention ne sont pas aussi favorables qu esp r s Reproche trop facile d un patient ou d un proche de mauvaise foi suppos e ou vraie m connaissance de la teneur des textes de la part de nos confr res Marion Farge Juriste Greffiere de la Chambre Disciplinaire de Premi re Instance du d lle de France revient sur le mode d emploi de l information m dicale L information m dicale constitue aujourd hui pour tout m decin un pr alable toute pres cription qui sauf exception est devenu incontournable dans la r alisation de la prestat
40. este une solu ire tion appr ciable dans le cadre de la perma nence des soins l existe trois centres municipaux de sant r partis sur Pantin Centre Centre Cornet Pantin Nord Centre Sainte Marguerite et Pantin les Courtilli res Centre T nine Ces centres y accueillent des m decins salari s g n ralistes 15 dont exer ant sur 2 centres et sp cialistes 26 dont 3 exer ant sur les 3 centres et 2 sur 2 centres Ces praticiens prennent en charge pr s de 26 000 patients par an 4 centres de PMI sont galement implant s sur Pantin assurant la prise en charge des 4 gros quartiers de la ville l existe un Centre M dico psycho p dago gique pour les prises en charge des enfants et un Centre M dico Psychologique rattach l H pital de Ville Evrard pour les prises en charge des adultes Un centre d autodialyse s est implant sur Pantin permettant la prise en charge person nalis e des patients insuffisants r naux La medecine lib rale Pantin fin 201 I la ville comptait 29 m decins g n ralistes lib raux dont 18 hommes 62 76 et femmes 38 76 La densit m dicale pour les g n ralistes lib raux pour 10 000 habitants est de 5 5 elle est de 7 9 en Seine Saint Denis et de 9 7 en lle de France Les m decins lib raux sp cialistes sont au nombre de 15 avec 9 hommes 60 et 6 femmes 40 La densit m dicale pour les sp cialistes lib raux pour 10 000 habitants est de 2 85
41. estins tunisiens Entre les squatts et les logements insalubres les populations en situa tion pr caire n ont parfois que ces solutions Les municipalit s essayent d enrayer ce ph no m ne mais les drames comme celui l nous ram nent la dure r alit et une urgence permanente ECONOMIE Avec une augmentation de 40 de petites entreprises en lO ans et l installation extension d enseignes prestigieuses Pantin est une des villes les plus dynamiques de la communaut d agglom ration Est Ensemble 4 500 entreprises soit 27 280 emplois ont choisi de s installer dans les diff rents quartiers de la ville Cohabitent ainsi des entreprises de taille et de renomm e internationale des PME et des TPE Chacune trouve dans la ville les l ments n cessaires son d veloppement et en premier lieu l accessibilit par les transports toutes les zones d activit s En 1923 en pleine industrialisation de la France Motob cane et les Grands Moulins de Paris choisissent Pantin et fermeront ensuite Pr s d un si cle plus tard alors que les activit s tertiaires dominent le paysage conomique fran ais la ville accueille depuis novembre 2009 les 3 000 salari s de BNP Paribas Securities Services Une nouvelle ensei gne prestigieuse qui vient s tablir sur le terri toire apr s Bourjois Chanel Herm s ou encore les laboratoires Boiron ou la blanchis serie lis Depuis 150 ans Pantin est forte de sa tradition in
42. il et m decin traitant Nous avons demand des m decins du travail de venir nous apporter quelques claircissements sur le sujet En effet le m decin traitant est confront r guli rement la n cessit ou non de communiquer les informations m dicales au m decin du travail Peut il le faire Doit il le faire Comment le faire Il est important que les choses soient claires pour l ensemble des confr res et c est dans cet objectif que le Docteur FOURNIER Patrice responsable de la Commission Exercice Professionnel animera cette table ronde Cette r union est ouverte tous Merci de bien vouloir annoncer votre pr sence au secr tariat du CDOM 0145280864 ou par mail seine st denis 93 medecin fr SITE INTERNET DU CONSEIL DEPARTEMENTAL VOS ACTIONS DE lt FORMATION MEDICALE CONTINUE gt BIEN EXPOSEES http www cdom93 fr fr formation medicale continue Le site internet du Conseil d partemental en ligne depuis avril 2007 prend peu peu sa place dans la lt websph re Les outils statis tiques nous r velent que les visiteurs sont un peu moins de 30 000 chaque mois et ce chiffre est en progression constante Notre objectif affich est de rendre le plus grand service possible aux confr res et d informer des actions importantes de sant dans le d par tement Les actions de FMC sont ainsi annonc es et visibles par les internautes Nous vous recommandons de porter ainsi la conna
43. ion m dicale Pr alable en ce que l information contribue l mergence et l ex pression du consentement clair Pr alable incontournable dans la mesure o l information constitue un imp ratif juridique Le m decin est en effet tenu l gard de son patient d une obligation d information acces soire sa prestation principale et dont l inex cution pourra engager sa responsabilit Apr s une lente volution jurisprudentielle c est aujourd hui principalement de la loi que r sulte la d finition des contours de l obliga tion d informer I et des modalit s de sa mise en uvre Il La sanction de sa m con naissance Ill restant essentiellement quant elle l affaire des juridictions I CONTOURS DE L OBLIGATION D INFORMATION LA CHARGE DES M DECINS CONTENU ET LIMITES L obligation d information a connu une volu tion gagnant au fil du temps en intensit et en pr cision Le contenu et l tendue de cette obligation d information ont t en effet progressivement pr cis s par la jurisprudence ces acquis jurisprudentiels ayant t consacr s par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et la qualit du syst me de sant D sormais l obligation d information est r gie par les articles L I I 1 1 L 1111 9 du code de la sant publique e Mise en place d une obligation d information la charge des m decins La question de l obligation due au patient a t
44. issance des visiteurs vos actions de FMC se d roulant dans le d partement l initiative de votre association La liste des diff rentes actions est actualis e en permanence chronologique informant en HOMMAGE 2 3 lignes maxima de toutes les actions de FMC du d partement signal es au Conseil de l Ordre LES 3 PLUS PROCHES SONT EN I e PAGE Aucune v rification pr alable du contenu n est jamais effectu e et le texte est publi sous la responsabilit de l organisateur de la manifes tation ou le responsable de l association COMMENT PUBLIER VOTRE ANNONCE Rien de plus simple Vous ne pouvez pas le faire directement mais vous devez nous adresser une demande par courriel l adresse suivante seine st denis 93 medecin fr accompagn e d un fichier joint en format texte fichier Word par exemple permettant de renseigner les champs du formulaire Voici les l ments dont nous avons besoin pour la publication en ligne Intitul de la formation Date de d but et de fin s il s agit d une action de 48 heures et horaire Description objectifs principal et secondaires C est ce champ qui apparaitra en page d accueil 2 3 lignes au maximum Ville et adresse o se d roulera l action Personne responsable de l action Intervenants avec leur qualit R sum qui peut tre d taill Ce texte apparaitra si l internaute clique sur le lien en savoir plus Le Docteur Jacques ALLI
45. isse de risques connus La loi du 4 mars 2002 ne fait pas express ment r f rence aux risques exceptionnels L article L I 111 2 du code de la sant publique dans sa r daction issue de la loi du 4 mars 2002 dispose que l information porte sur les risques fr quents graves ou normalement pr visibles Le l gislateur a t il voulu condamner la jurisprudence r cente qui a largi l information aux risques exceptionnels A priori non En tout tat de cause en cas de contentieux il sera v rifi que le patient a bien t inform des risques exceptionnels En outre le Conseil d Etat n a pas h sit r affirmer le principe selon lequel l information s tend aux risques exceptionnels gt L information doit enfin porter sur les cons quences pr visibles en cas de refus de soins Pour autant le m decin est dispens dans certains cas de ce devoir d information Les limites de l information Le code de la sant publique d finit de mani re tr s stricte les limites au droit l information Le m decin n est pas tenu d informer son patient en cas d urgence C est dire danger grave et imm diat mettant en jeu le pronostic vital Par ailleurs ce n est que dans l hypoth se ou le patient est dans l impossibilit de donner son accord que le m decin est tenu d informer les proches du malade et de recueillir leur consentement Une autre d rogation au droit l information r sulte de la volont
46. iu Perk sd Die Eu B irs lini wa d un certificat tabli par un attestant Le decia Le certificat de Dicis pita pry uertions pier Pad prs panai e warriruanlkun ODD Ces pages MACRO chy Canet de tani cu cerra mebi receta iem can feia DR PT UD VP PC Pat de rena au de parsenm ai Oed eui un bic ee exa d une pee dueman w agis de ka FH ui durs iw cuc Og npe r gia gi oe un uias om i Dna acre pl anl l plan pp rat Seuls les certificats les plus couramment r cla m s ont donc t trait s Ce d pliant est mis en ligne sur le site du CDOM www cdom93 fr et t l chargeable Un dernier sujet en cours qui s inscrit plus long terme porte sur les certificats m dicaux de non contre indication la pratique sportive hors milieu scolaire En effet la pratique sportive hors milieu scolaire g n re un volume important de certi ficats La direction des Sports pilote un groupe de travail depuis 2010 portant la fois sur le contenu de l examen m dical et la p riodicit du contr le m dical Le code du Sport r git les cas de demandes de certificats m dicaux pour les licenci s des f d rations sportives pour l obtention ou le renouvellement de la licence ainsi que pour la participation des comp titions organis es ou autoris es par les f d rations sportives Hormis ces cas particuliers les demandes de certificats de non contre indica
47. l gu a l entraide charg du suivi des demandes exprim es par les confr res ou les familles des confr res du d partement j ai l honneur d avoir t lu cette fonction au sein du conseil de l Ordre du 93 Cette entraide se fait g n ralement en partenariat avec divers organismes et la commission nationale d en traide tels que par exemple Le fond d action sociale de la CARMF Le fond d action sociale de l AGMF groupe Pasteur Mutualit dont j ai le privil ge d tre administrateur national Le fond d action sociale de PIRCANTEC pour les m decins hospitaliers Les associations d Aide Sociale pour les familles de m decins L AFEM aide aux familles et entraide m di cale qui s adresse aux familles et aux scolaires et tudiants L ACOMED association des conjoints de m decins L entraide ordinale s adresse tous les m de cins inscrits au Tableau de l Ordre et rencon trant des difficult s ainsi qu leur ayant droits et leur familles Elle peut tre de toute nature financi re sociale professionnelle personnelle ou relative leur tat de sant Et ce dans un esprit de solidarit et de confraternit COMMENT CELA FONCTIONNE ET COMMENT JOINDRE LE SERVICE D ENTRAIDE II suffit de s adresser au Conseil d partemental du lieu d inscription du m decin celui du 93 dans notre cas ll faut ensuite remplir le questionnaire en vue de la constitution du dossier et fournir les justificatifs deman
48. n place un dispositif d partemental de pr vention des situations pr sum es de maltraitance La r ponse aux ph nom nes de maltraitance tant d abord une r ponse de proximit l ob jectif de ce dispositif est d accompagner les territoires dans la cr ation d une cellule locale d analyse de traitement et de suivi des situation de maltraitance en direction des personnes g es et handicap es Cet accompagnement s effectue notamment par une formation destin e aux professionnels et un suivi post formation Afin d orienter et de coordonner le dispositif des instances interinstitutionnelles et pluri professionnelles ont t mises en place travers un comit d orientation et de suivi dans lequel si ge notamment le Conseil D par temental de l Ordre des M decins appuy par un comit technique et une cellule interins titutionnelle d examen des situations pr oc cupantes CEDIESP Sevran est la premi re ville du D partement s tre dot e d une cellule locale Docteur Alfred Sebton Conseiller Ordinal titulaire pr sident de la commission contrats qualifications remplacements RELATION M DECIN TRAITANT M DECIN DU TRAVAIL UN TRAVAIL EN COOP RATION EST INDISPENSABLE La Commission d Exercice Professionnel du CDOM organise le 15 f vrier 2012 20h30 au 2 rue Ad le 93250 Villemomble dans le cadre de ses r unions sur les conditions d exercice un d bat sur les relations m decin du trava
49. nt Docteur Jacques PIQUET 5 COMMISSION TR SORERIE Tr sorier Docteur Gilbert LECLERCQ D L GATION A L ENTRAIDE Docteur Fatima BARGUI D L GATION RAPPORT AVEC L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE ET CARTES C PS Docteur Georges HUA RESPONSABLE DELEGATION ETABLISSEMENTS PUBLICS ET PRIVES Docteur Marc Alain ROZAN CONSEILLER NATIONAL Docteur Patrick BOUET 25 Av du Raincy 93250 VILLEMOMBLE CONSEILLERS R GIONAUX Conseillers R gionaux Titulaires Docteur Edgard FELLOUS 22 av Edouard Vaillant 933000 BOBIGNY Docteur Xavier MARLAND 201 all e de Montfermeil 93390 CLICHY SOUS BOIS Conseillers R gionaux Suppl ants Docteur Gilbert LECLERCQ H pital Avicenne 125 route de Stalingrad 933000 BOBIGNY Docteur Marc Alain ROZAN 75 av Jean Jaur s 93300 AUBERVILLIERS ADMINISTRATION SECR TAIRE DE DIRECTION Mme MEYRAN Patricia ACCUEIL R CEPTION BULLETIN Mme COLLINET Martine CONTRATS LITIGES ET PLAINTES Melle LAURENT Monique TR SORERIE FICHIER Mme LAVERGNE Mich le CONVENTIONS RAPPORTS AVEC L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE REMPLACEMENTS Mme GOYAL Val rie ACCUEIL RECEPTION Mme REIS Isabelle Les bureaux sont ouverts du lundi au vendredi de9h I2hetde l4hal7h 2 rue Ad le 93250 Villemomble T l 01 45 28 08 64 Fax 01 48 94 35 50 E mail seine st denis 93 medecin fr www cdom93 fr Le Conseil d partemental de l Ordre des m decins souhaite faire du bulletin d partemental l o
50. oncilier la complexification lib ral salari SEL SELARL collaborateur lib ral multi sites d un exercice sur mesure avec sa compr hension par le plus grand nombre Sans oublier e les r ponses apporter aux nouveaux d fis scientifiques e les r flexions thiques vis vis des avanc es de la technologie et du progr s m dical Comment garder l Homme au centre des pr occupations tout en le faisant profiter des d couvertes m dicales Les d bats sont ouverts au sein de notre institution et la SSD y prendra toute sa part Et nous serons aux avant postes pour la d fense des acquis humanistes de notre profes sion Dans notre d partement et dans votre quotidien l Ordre des M decins sera aussi vos cot s pour vous permettre d exercer votre Art dans les meilleures conditions et faire mentir ceux qui se glosent du 93 L excellence des relations avec les services de l ETAT de l ARS du Conseil G n ral la CPAM 93 et la Facult permettent une v ritable coute mutuelle et une motivation commune d am liorer notre exercice au service de notre population s quano dyonisienne Nous allons donc continuer ces missions aupr s de vous dans le respect indispensable des regles d ontologiques qui sont l essence m me de notre expertise Secret m dical acc s au dosser m dical respect de la confraternit conciliation des litiges certificats m dicaux respect des contrats Tout ce travail nous allons le poursuiv
51. re forts de la confiance que vous venez de nous apporter et de cette l gitimit renouvel e Bonne Ann e 2012 Bien confraternellement Le Pr sident Dr Edgard Fellous DES M DECINS BUREAU ET COMMISSIONS COMPOSITION DU BUREAU Pr sidents d honneur Docteur mile QUINQUENEL 7 All e de Longchamp 92150 SURESNES Docteur Patrick BOUET 25 Av du Raincy 93250 VILLEMOMBLE Vice Pr sident d honneur Docteur Daniel FAUCHER 19 rue de Gretz 77690 MONTIGNY SUR LOING Pr sident Docteur Edgard FELLOUS 22 Avenue Edouard Vaillant 93000 BOBIGNY Vice Pr sidents Docteur G rard AOUSTIN CMS 2 rue de la R publique 93700 DRANCY Docteur Guislain RUELLAND 90 boulevard Jean Jaur s 93190 LIVRY GARGAN Docteur Jean Pierre SALA 135 137 Avenue Vauban 93190 LIVRY GARGAN Secr taire G n ral Docteur Xavier MARLAND 201 All e de Montfermeil 93390 CLICHY SOUS BOIS Secr taire G n ral Adjoint Docteur Jean Luc GAILLARD REGNAULT H pital Jean Verdier Avenue du 14 Juillet 93140 BONDY Tr sorier Docteur Gilbert LECLERCQ Hopital Avicenne 125 rue de Stalingrad 93000 BOBIGNY Tr sorier Adjoint Docteur Georges HUA SUR 17 rue Henri Varagnat 93140 BONDY R SULTATS DES LECTIONS DU 11 D CEMBRE 2011 Ont t lus par ordre alphab tique les m decins suivants Titulaires Docteurs Aoustin G rard Bargui Fatima David Jacques Fellous Edgard Gaillard Regnault Jean
52. rgane privil gi de communication entre les confr res inscrits dans notre d partement Toute proposition toute forme d change seront tudi es avec la plus grande attention par la Commission du bulletin JOURNEE DE LA MEDECINE GENERALE D iLE DE FRANCE 2012 La Journ e de M decine G n rale d le de France aura lieu le 31 mars 2012 la facult de Bobigny Organis e par les D partements de m decine g n rale et les Coll ges de m decine g n rale d lle de France elle est l occasion d offrir aux internes de m decine g n rale un v ritable congr s scientifique d di leur sp cialit La JMG est ouverte aux internes de m decine g n rale des 7 facult s d lle de France aux m decins g n ralistes install s et aux rempla ants Elle sera l occasion non pas d une simple rencontre mais d un v ritable travail commun entre les futurs confr res et les m decins chevronn s au cours d ateliers sur le sujet choisi LA MALADIE CHRONIQUE Les th mes d atelier sont les suivants Renouvellement d ordonnances comment rendre la consultation int ressante 2 Education th rapeutique partir d un exemple l asthme 3 Le handicap entre paperasse et r alit 4 Dessine moi un malade chronique ou Comment se repr senter le malade chronique et sa maladie 5 Charge th rapeutique dans la maladie 6 Une maladie chronique part enti re l ob sit 7 Douleur chronique 8 Quelle maladie der
53. ri re la plainte chronique 9 R percussions professionnelles de la maladie chronique 10 Contribution de l examen clinique la prise en charge de la maladie chronique ll y sera d cern le prix de these Albert Herceck et le prix du poster des externes de m decine g n rale Les partenaires de cette journ e sont l Ordre D partemental des m decins du 93 e la d l gation territoriale de PARS e URPS de France la revue Prescrire Apr s les Etats G n raux de la Formation M dicale en d cembre la facult de m decine de Bobigny fait nouveau rayonner le d par tement de la Seine St Denis et la M decine G n rale Site http www bichat larib com jmg jmg accueil php ouvert a partir du 30 janvier La participation est gratuite Contact Dr Philippe GRUNBERG philippe grunberg orange fr VOUS AVEZ DES DIFFICULTES PERSONNELLES PROFESSIONNELLES Vos confreres du conseil de l ordre sont a vos c t s n h sitez pas a les appeler par l entremise de Madame Meyran 0145 28 08 64 EN TOUTE CONFIDENTIALITE ET CONFRATERNITE ORDRE DES MEDECINS L BUREAU ET COMMISSIONS Conseil d partemental de l Ordre des m decins de la Seine Saint Denis CONSEILLERS TITULAIRES FELLOUS Edgard Pr sident AOUSTIN G rard RUELLAND Guislain SALA Jean Pierre Vice Pr sident Vice Pr sident Vice Pr sident MARLAND Xavier GAILLARD REGNAULT Jean Luc Secr taire G n ral
54. sant le questionnaire correspondant t l charger sur notre site ou votre disposition notre secr tariat Par ailleurs nous souhaitons que les m decins d exercice diff rent se rencontrent pour mieux se comprendre et se connaitre Ceci pourrait sans doute viter certain litige surve nant par manque de communication C est ainsi que nous avons recu des repr sentants des m decins de PMI Nous allons recevoir bient t des repr sen tants de la M decine du Travail et pr voyons une rencontre avec les m decins coordonateurs des EHPAD Nous souhaitons que vous assistiez nombreux ces soir es dont les dates seront indiqu es sur notre site Nous sommes ouverts toute proposition de th me de ces r unions venant de votre part Dr Patrice Fournier Conseiller Ordinal titulaire responsable de la commission Exercice Professionnel Association des COnjoints de MEDecins oi ce 1901 x0 au 131170 62 Boulevard ARAGO 75013 PARIS ZI MEL T l phone 01 43 31 75 75 T l copie 01 47 07 29 32 Site Internet www acomed fr E mail acomed association orange fr M DECINS INFORMATIONS DIVERSES PREVENIR LA MALTRAITANCE DES PERSONNES VULNERABLES EN SEINE SAINT DENIS La maltraitance envers les personnes vuln rables personnes ag es et handicap es est une r alit complexe difficile appr hender tant dans son ampleur que dans la nature des violences qui la carac
55. se 19 10 11 GOLDLUST David 2207 Rh ne 8 07 1 BILLOT S gol ne 1518 Nelle Cal donie 19 1071 FINAND Araceli 11446 Val d Oise 13 07 11 BARRET Chantal 11465 Paris 2510 1 BIHAN Morgan 119 Paris 13 07 11 SELMA Leila 11880 Seine Marne 25 10 11 FUMERY Philippe 1453 Paris 13 07 11 BENASSI Aur lien 11485 Val de Marne 2510 1 THELLIER Patrick 9466 Seine et Marne 18 07 11 ATTALAH Abdelaziz 11189 Oise 25 10 11 CAMPARDON Philippe 6217 Paris 20 07 11 SZAPIRO MANOUKIAN Nathalie 736 Cotes d Armor 25 10 11 CHEMOUNY St phanie 10637 Vienne 20 07 11 LIM Daniel 3169 Val d Oise 25 10 11 LABLANCHE Benjamin 10868 Vienne 20 07 11 CORDEL Hugues 11231 Paris 26 10 11 FRACHET Bruno 542 Paris 27107111 GANEM SEBBAN Caroline 11347 Paris 26 10 11 COUILLAUD Fran ois 1557 Paris 27 0711 ADVENER Fr d ric 9970 Paris 26 10 11 CZERNICHOW S bastien 11452 Hauts de Seine 27 07 11 LAMBERT DE CREMEUR Gilles 11958 Landes 26 10 11 BALDE Pierre 2269 Val d Oise 28 07 11 BACLET Catherine 1176 Nord 26 11 11 TABBI ANNENI Azzadine 9465 paris 16 08 11 BRETON Florence 11732 Hauts de Seine SZTULI Antonina 8875 paris 4108 11 BOUTEILLER Sylvie 9290 Essonne 4n LUCAS ELMASSIAN Dani le 11179 paris 4108 11 WALY Jasmin 11248 Yvelines 4n GUY Martine 1684 Val de Marne 1 08 11 DEFRANCE 11898 Paris An EOUZAN TAVEAUX Sandra 11633 Val d Oise 8108 11 FREY Catherine 11510 Paris An CLEMENT Thierrya 5604 paris 8 08 1 BENTABAK Assia 11814 Rh ne An BRODET Gaelle 10169 Bouches du Rh ne
56. sques graves mais galement sur les risques fr quents En second lieu la loi tend l information dans le temps c est dire post rieurement l ex cution de l acte Les risques exceptionnels L obligation d information ne portait tradi tionnellement selon la jurisprudence que sur les risques graves normalement pr visibles c est dire les risques habituels Les risques exceptionnels ne faisaient pas partie d une information Sauf en mati re de chirurgie esth tique Par deux arr ts du 7 octobre 1998 la premi re chambre civile de la cour de cassa tion a op r un important revirement de jurisprudence en affirmant que hormis les ORDRE DES MEDECINS INFORMATIONS NATIONALES cas d urgence d impossibilit ou de refus du patient d tre inform un m decin est tenu de lui donn une information loyale claire et appropri e sur les risques graves aff rents aux investigations et aux soins propos s et qu il n est pas dispens de cette information par le seul fait que ces risques ne se r alisent qu exceptionnellement Le conseil d Etat s est galement align sur la jurisprudence judiciaire dans un arr t du 5 janvier 2000 Le droit positif peut donc se r sumer de la mani re suivante l information doit porter sur les risques graves ou fr quents m me exceptionnels Si le m decin est tenu d informer son patient des risques graves m me exceptionnels encore faut il qu il s ag
57. t rise Pr venir et lutter contre les maltraitances envers les personnes vuln rables exige la mobi lisation des pouvoirs publics et des profes sionnels dans des actions concert es et organis es La politique nationale mise en ceuvre dans ce domaine est organis e autour de trois axes Pr venir et traiter les situations de maltrai tance Accompagner et contr ler les tablissements et services m dico sociaux Am liorer la connaissance du ph nom ne de maltraitance Le 3977 num ro national unique d ac cueil t l phonique maltraitance des personnes g es ou handicap es a t cr en 2008 Ce dispositif repose sur une plateforme nationale de premier accueil anim par l association Handicap Age Bientraitance Ecoute Orienta tion HABEO Il est donc recommand aux professionnels d orienter les particuliers t moins ou soup connant de telle situations vers ce num ro Le contenu de cet appel est transmis aux servi ces de l Agence R gionale de Sant ARS pour les situations de maltraitance en tablissement m dico social et au Conseil g n ral pour les situations de maltraitance dans les structures non m dicalis es et du secteur du domicile C est dans ce cadre que les professionnels du D partement sont susceptibles de contacter le m decin traitant de la suppos e victime Le Conseil g n ral a aussi souhait avec l en semble des partenaires institutionnels concer n s mettre e
58. tion la pratique sportive ne reposent sur aucun fondement juridique Toutefois il s agit d un sujet sensible car le contr le m dical pr alable la pratique sportive est avant tout un acte de pr vention En effet il a pour objectifs le d pistage des pathologies pour lesquelles la pratique sportive pourrait induire un risque vital ou fonctionnel grave l identification des facteurs susceptibles de favoriser la survenue d ventuelles pathologies directement li es la discipline sportive pratiqu e et le conseil pour adapter la pratique sportive chez les personnes atteintes de pathologies av r es Ce sujet fera l objet d une instruction ult rieure den auge de COTE gren sion bec Pri iori ar ia rec ee EP r wt uu CM De ane Fan Pons tarrei ou be Fans ap a falis rina puri foc ern Car 6 Disperne du port de la ceinture de securi Gens un Aptitude ou rr dicale Ex conte Aptitude la conduite Licences sportives permettant la participation manie do li pce Fieniccsvadernart de Participation gu Sports pE es aS KS Liles pour mime decipi ou A Tii he Spor ye Licences charme une aute Certificat ou actis muc i ox sue ou n n Rance data de moi d un an Lertifizal ticipation datant de mona dun ds Licences sportives aux competit Le demande ie Renee
59. un peu plus loin pour les courageux Pantin sera desservi par le futur tramway T3 dont les travaux la porte de Pantin rendent difficiles circulation et stationnement Il y a plusieurs stations de VELIB et depuis peu d AUTOLIB Avec un d nivel de 70 m altitudes mini 38 m maxi 108 il y a quelques belles rues grimper qui m nent au sud la future base de loisirs r gionale la Corniche des Forts qui comportera l am nagement d un parc urbain de 62 hectares situ sur les communes de Pantin Les Lilas Noisy Le Sec et Romainville Les espaces verts de Pantin couvrent une superficie d environ 114 hectares dont le Cimeti re Parisien et les stades qui repr sentent 85 76 En 10 ans la surface des espaces verts a augment de 8 5 et pr s de 4 000 arbres jalonnent les rues de la ville qui a t r compens e de 2 fleurs au concours des Villes et Villages fleuris Enfin depuis 2009 il y a eu la cr ation d un jardin partag sur une friche du quartier des Courtilli res Pantin est jumel e avec Scandicci Italie et Metchtchanski Russie LOGEMENTS Le march immobilier pantinois se caract rise par un prix moyen du m plut t bas compa rativement aux prix pratiqu s Paris et en petite couronne Sa deuxi me caract ristique est un fort pour centage de logements sociaux la ville a par ailleurs adopt un Plan Local d Urbanisme obligeant les nouvelles constructions de plus de 25 logements
60. utrition alimentation et activit s physiques comme facteur de protection ou de risque des maladies les plus r pandus en France comme dans l ensemble des pays industrialis s qu il s agisse des cancers des maladies cardio vasculaires de l ob sit est du diab te de type 2 des dyslipid mies de l hypertension art rielle des d clins cognitifs Lanc en mai 2009 205 000 volontaires se sont d j inscrits sur le site www etude nutrinet sante fr et r pondent r guli re ment des questionnaires simples et s curis s sur leur alimentation leur activit physique leur poids et leur taille leur tat de sant L inclusion dans cette tude et continue et durera encore 3 ans na cw PO NUTRINET N SANT Il n y a aucun caract re commercial dans ce programme de recherche publique et la finalit de cette tude est exclusivement l int r t collectif La r ussite de ce grand programme de recher che repose sur la capacit recruter les 500 000 participants Pour cela nous avons donc besoin de nous appuyer sur divers canaux pour relayer notre appel aupr s du grand public Les m decins du d partement sont sollicit s pour aider recruter des volontaires pour l tude Vous trouverez les documents relatifs l tude les informations relatives au protocole aux pr tests aux outils de communication ou encore au comit scientifique sur le site institutionnel http info etu
61. v ritablement pr cis e pour la premi re fois par Parr t lt Teyssier gt du 28 janvier I942 Dans cet arr t la cour de cassation reconnait pour la premi re fois la notion de droit du malade et y affirme le principe du respect du consentement pr alable du malade des examens ou la mise en place d une th rapeutique En effet au cas d esp ce la Cour a souverai nement estim que le chirurgien d un service hospitalier est tenu sauf cas de force majeure d obtenir le consentement du malade avant de pratiquer une op ration Pr cision des contours de l obligation d information En 1961 la cour de cassation pr cisa que l in formation due par le praticien son patient se devait d tre Simple approximative intelligible et loyale permettant au malade de prendre la d cision qui s impose L information devait se r sumer l essentiel se rapprochant le plus possible de la r alit m dicale formul e avec des mots compr hensibles issus du langage courant et exempte de tromperie La position retenue par la cour de cassation traduisait encore l poque le foss existant entre le sachant et l ignorant En 1995 l occasion de la r daction du nouveau code de d ontologie il fut alors pr f r la notion d information simple approximative intelligible et loyale la notion d une information claire loyale et appropri e L article 35 du code de d ontologi

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