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Maîtrise du risque infectieux en EHPAD

1. DRASS Midi Pyr n es 10 Chemin du Raisin 31050 Toulouse C dex Messagerie beatrice walraeve bresson sante gouv fr Retrouvez nous sur midipy sante gouv fr Les conditions de retour au fabricant ou de remise au collecteur de d chet Les stimulateurs doivent tre remis ou envoy s sans la sonde bien coup e ras dans un emballage herm ti que adapt avec la mention produit explant pour des truction apr s d contamina tion L emballage peut tre une poche scell e type mat riel st riliser ou une bo te plastique herm tique Les d fibrillateurs doivent tre mis sur arr t pour viter des chocs inappropri s aux personnes susceptibles de les manipuler Certains collecteurs de d chets demandent de faire figurer sur l emballage une signalisation comme quoi le produit a subi une d conta mination et le protocole doit tre joint au pacemaker Le nom de fabricant est gra v sur le pacemaker cepen dant le distributeur francais n est pas toujours reli ais ment au fabricant Pour faciliter la recherche de l liminateur le tableau ci dessous donne la liste des marques collect es par les diff rentes soci t s fran ai ses Pour assurer une bonne tra abilit des dispositifs m dicaux apr s l explanta tion au sein de l tablisse ment il doit tre pr cis sur l emballage la date d ex plantation et un num ro identifiant Ce num ro id
2. Recommandations Prot ger la tenue de travail par un tablier usage unique Respecter le principe du plus propre au plus sale Effectuer la toilette avant les gestes aseptiques Privil gier l utilisation des mat riels et produits propres au r sident Privil gier l utilisation de savon doux liquide R aliser une hygi ne des mains avant et apr s la toilette de chaque r sident Porter des gants pour la toilette g nitale en cas de peau l s e du patient ou du soignant R aliser syst matiquement des soins pr ventifs d escarre Utiliser un collecteur aiguilles port e de main pour liminer le rasoir apr s utilisation Changer la literie tr s r guli rement et aussi souvent que n cessaire Eliminer le linge sale et les d chets Assurer une d sinfection des quipements sanitaires lit douche chaise douche et cuvettes entre chaque utilisation Assurer l hygi ne des mains du r sident aussi souvent que n cessaire dans la journ e 4 Changement des protections Effectuer un change aussi souvent que n cessaire R aliser une d sinfection des mains avant et apr s chaque change Porter des gants usage unique pour chaque change Prot ger la tenue de travail par un tablier usage unique R aliser une toilette g nito anale lors de chaque change Privil gier l utilisation de carr s de soins usage unique en cas de diarrh e P
3. Apres projection sur muqueuse conjonctive bucale nasale Si contact avec du sang Se rapporter au protocole de conduite tenir en cas d AES ou liquide biologique R f circulaire DGS DH DRT N 98 228du 9 avril 1998 relative aux recommandations de mise en uvre d un traitement antir troviral apr s exposition au risque de transmission du VIH Sud Quest CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche N IV 3 C6 cin Zu MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D a FicHes TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES SOINS Date I 120 Version PR CAUTIONS COMPL MENTAIRES D HYGI NE Mots Cl s Pr vention de la transmission crois e Pr cautions contact Pr cautions gouttelettes Pr cautions air 1 Objectifs Mettre en place des mesures d hygi ne en compl ment des Pr cautions Standard afin de pr venir la transmission crois e de certains microorganismes 2 Pr ambule Ces pr cautions sont mises en uvre sur prescription m dicale d s l apparition de tableaux cliniques vocateurs et lors de l identification de certains microorganismes Ces pr cautions sont bas es sur le mode de transmission des microorganismes Les pr cautions air et gouttelettes sont n cessaires pour les microorganismes transmis selon un mode air ou gouttelettes Les pr cautions contact peuvent tre indiqu es pour des r sidents porteurs de m
4. Transmettra le certificat m dical initial aupr s des services administratifs et informera le m decin du travail R alisera les s rologies demand es par le m decin du travail dans les 8 jours suivant PAES Suivra les prescriptions du m decin du travail concernant le suivi s rologique ventuel au 1 3 mois Remplira si possible avec le m decin du travail un questionnaire anonyme d taillant les causes de l accident afin d am liorer la pr vention CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n VII 1 E CLIN
5. Provence Alpes C te d Azur MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD rs FICHES TECHNIQUES PRATIQUES lis dt ee nosoccomliales ALERTE COORDONN ES EN INTER R GION Date 20 Logo ou nom de etablissement SuD OUEST Version R gion Adresse ARS d Aquitaine Espace Rodesse BP 922 103 rue de Belleville 33062 BORDEAUX ARS de Guadeloupe Rue des Archives Guadeloupe ars971 alerte ars sante fr 05 90 41 02 00 05 90 99 49 24 Bear 97113 GOURBEYRE ARS de Guyane 19 rue Schoelcher Guyane ars guyane veille sanitaire ars sante fr 05 94 25 72 37 05 94 25 53 36 BP 5001 97305 CAYENNE ARS du Limousin Limousin ars87 alerte ars sante fr 05 55 11 54 54 05 67 80 11 26 24 rue Donzelot 87037 LIMOGES ARS de Martinique Centre d affaires AGORA Martinique ars972 alerte ars sante fr 08 20 202 752 05 96 39 44 26 Zac de l Etang Z abricot Pointe des grives BP 656 97263 FORT DE FRANCE ARS de Midi Pyr n es ars31l alerte ars sante fr 08 20 22 61 01 05 34 30 25 86 10 chemin du Raisin 31050 TOULOUSE Cedex 9 Aquitaine ars33 alerte ars sante fr 05 57 01 47 90 05 67 76 70 12 Midi Pyrenees ARS de Poitou Charentes Poitou Site Northampton Charentes ars86 alerte ars sante fr 05 49 42 30 00 05 49 44 83 89 Rue Micheline Osleimeyer 86020 POITIERS CCLIN Sud Ouest Hopital Pellegrin CCLIN Suo Ousst 2011 Fiche 1 2 B t Le Tondu 33076 BORDEAUX T l 05 56 79 60
6. apres tout contact avec du sang des liquides corporels des s cr tions et des excr tions apres un contact avec des objets r put s contamin s ou jug s probablement contamin s par du sang des liquides corporels des s cr tions et des excr tions y compris des s cr tions respiratoires par ex tubulures pour oxyg ne masques mouchoirs en papier utilis s et autres objets manipul s par le patient tout de suite apres avoir retir les gants et d autres quipements de protection avant de pr parer de manipuler de servir ou de consommer des aliments et avant de nourrir un patient Les solutions antiseptiques de rin age sans eau solutions hydro alcoolis es sont efficaces parla d sinfection des mains et doivent tre facilement accessibles Si les mains sont visiblement souill es elles doivent tre lav es l eau savonneuse avant l utilisation de solutions antiseptiques Les patients et les visiteurs doivent recevoir des instructions concernant la bonne fa on de se laver les mains par exemple au moyen d une affichette dans la chambre Gants Le port de gants est une mesure additionnelle et ne remplace pas le lavage des mains Un lavage des mains devrait tre effectu tout de suite apres le retrait des gants Hawt Ext der La a here Laver a fgs a Pappi EXTRAIT DE LA CIRCULAIRE 2006 499 MINISTERE DE LA SANT FICHE N VI 4 Biren FRAME ATEE Linistien de la Si el des Sobdari a MA TRI
7. l aide de produits hydro alcooliques PHA en liquide ou en gel ou lavage des mains avec un savon doux liquide 5 Organisation g n rale extrait des recommandations ORIG 2009 Il est recommand que les responsables des EHPAD fassent en sorte que l hygi ne des mains constitue une priorit dans leur tablissement en veillant que les distributeurs de PHA soient accessibles au moment o les soins sont dispens s que les points d eau soient quip s en conformit avec les recommandations en favorisant des produits en conditionnement unitaire et non remplissables en organisant la formation et l information des professionnels et des intervenants de leur tablissement en sensibilisant les r sidents et leurs proches l hygi ne des mains 6 Pr requis pour l hygiene des mains des professionnels Mains et avant bras sans bijou bague montre bracelet Les ongles courts et sans vernis Sans faux ongles Tenue manches courtes ou relev es Utiliser des gants non poudr s pour permettre l utilisation des produits hydro alcoolique CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n IV 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHEs TECHNIQUES PRATIQUES WAR ine leg infeesiana nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version 7 Indications de l hygiene des mains Dans les gestes de la vie courante et au co
8. CCLIN Ouest Equipe pid miologie hygi ne inter EHPAD Equipe d hygi ne Inter EHPAD CCLIN Paris Nord ARLIN Paca ESPRI HCL CCLIN Ouest CCLIN Sud Ouest CCLIN Est CONCEPTION DES DOCUMENTS E SOUSA D ZARO GONI CCLIN Sud Ouest CCLIN Sud Ouest Equipe sectorielle de pr vention du risque infectieux ara de i fine lee interdict nosocomiales Valence Clermont Ferrand Lyon Clermont Ferrand Paris Lyon Rennes Valence Villefranche Paris Marseille Lyon Rennes Bordeaux Nancy Bordeaux Bordeaux gt MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES a ceardinuitian de PF led inertia nosocomiales CONTEXTE ET OBJECTIF Dans le cadre du Programme national de pr vention des infections dans le secteur m dico social 2011 2013 il est demand de mettre en ceuvre une d marche qui permette a chaque structure concern e notamment les tablissements accueillant des personnes ag es d pendantes EHPAD d valuer le risque infectieux et d en appr cier son niveau de maitrise Cette tape accomplie chaque EHPAD aura a laborer ou a adapter son programme d action qui sera formalis e dans un Document d Analyse du Risque Infectieux DARI Les EHPAD ont d ja a leur disposition un outil d auto appr ciation de leur niveau de maitrise du risque infectieux labor par le Groupe d Evaluation des Pratiques en Hygi ne Hospitali res GREPHH r unissant
9. Description du syst me de production de l eau chaude sanitaire Un sch ma de principe et les plans des r seaux d eau froide et chaude incluant la production d eau chaude ballons changeurs etc et le mode de circulation de l eau La liste des diff rents points de puisage de l eau raccord s sur les diff rents r seaux Une analyse des diff rents besoins en eau qualit et quantit Le recensement des appareils susceptibles de produire des a rosols Recensement des points critiques li s des d fauts De conception trac et dimensionnement du r seau d bit vitesse dispositif anti retour De r alisation bras morts absence d l ment de protection adapt e communication entre les diff rents r seaux temp rature basse sur les retours de boucle des r seaux d eau chaude sanitaire l vation des temp ratures d eau froide quilibrage des r seaux etc D exploitation d entretien et de maintenance Description du r seau d eau chaude sanitaire Dispositif de traitement d eau adoucisseurs r seau et installation desservies entretien et qualit des sels et des r sines stockage des sels Identification des mat riaux constitutifs des canalisations et analyse de la compatibilit recherche des canalisations en plomb ou en acier noir Identification des bras morts locaux inoccup s bouts d antenne Identification de niches bact riennes comme cert
10. R aliser la pr paration cutan e de la zone de ponction large en respectant les 4 temps Exemple avec produits gamme PVPI B tadine Soa Biseptine 1 DETERSION B tadine scrub un d tergent entre dans Hibiscrub antiseptique oe sa composition 2 RINCAGE Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose 3 SECHAGE Compresse st rile Compresse st rile Compresse st rile Compresse st rile ANTISEPSIE Utiliser de 4 pr f rence un antiseptique alcoolique N Les diff rentes Phase phases Nature du produit Exemple avec Exemple avec produits Biseptine gamme Chlorhexidine Biseptine un alcool entre dans sa Hibitane Champ 0 5 composition Antiseptique alcoolique B tadine alcoolique Pose friction hydro alcoolique des mains mettre des gants non st riles a usage unique d capuchonner le cath ter faire un pli de peau entre le pouce l index et le majeur sans carter les doigts de plus de 3 cm pour ne pas soulever le muscle piquer en introduisant le cath ter en sous cutan e en faisant un angle de 45 par rapport au plan cutan CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche N IV A WA ns MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i inp dee indes nosocomiales R f rence Logo ou nom de Fe ice ac GESTION DES SOINS Date I 120 Version Remarque Piquer biseau en l air lors de la pose
11. Sud Oued C cuin MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re led infecting nosocomiales LA TENUE DU PERSONNEL dites DU PER E Logo ou nom de Date 20 l tablissement DANS L ETABLISSEMENT Version Recommandations sur l utilisation de la tenue de travail 1 La tenue professionnelle est chang e de pr f rence quotidiennement et d s que souill e 2 Les poches sont vid es avant de les vacuer dans le circuit du linge sale 3 Elle doit suivre la fili re du circuit du linge de l tablissement 4 Les professionnels n emportent pas leur tenue de travail a leur domicile la tenue est entretenue par N l etablissement 5 Pour le respect des pr cautions standard et des pr cautions compl mentaires des tabliers plastiques a usage unique sont disposition pour la protection de la tenue de travail et la pr vention de la transmission crois e Recommandations particulieres 1 Lorsque le nursing ou l entretien des locaux et le service au repas est r alis par la m me personne ce professionnel portera une tenue sp cifique une chasuble ou un tablier 2 Des chaussures individuelles ou protections imperm ables et antid rapantes et des tabliers imperm ables sont port s pour faire prendre la douche aux r sidents CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n 1 4 CHAPITRE II GESTION DE L ENVIRONNEMENT ET DES CIRCUITS Fiche n
12. Version ENTRETIEN DES MICRO ONDES 1 Objectif Ce protocole d crit les tapes de nettoyage du micro ondes situ dans les offices alimentaires de EHPAD 2 Domaine d application Ce protocole s applique tous les jours dans la matin e 3 R f rence Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 4 Personnes concern es Agent d di au service h telier du matin pr ciser le poste horaire 5 Mat riel et produits n cessaires Solution d tergente agr contact alimentaire Lavettes et papier absorbant 6 Recommandations Enlever le plateau en verre et son support les nettoyer avec la solution d tergente et les poser sur l vier Nettoyer l enceinte du micro ondes S cher avec du papier usage unique et replacer le support et son plateau Nettoyer l ext rieur avec la m me solution porte et poign e Essuyer le cordon d alimentation lectrique CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re leg infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement HYGI NE EN RESTAURATION Date 120 Version ENTRETIEN DES CHAUFFE LAIT CHAUFFE BRIQUES 1 Objectif Ce protocole d crit les tapes de nettoyage qui s appliquent apr s chaque utilisation et une fois par semaine des chauffe lait situ s dans les offices alimentaires et la salle manger
13. alerte ars sante fr 03 80 41 99 99 03 80 41 99 50 Le Diapason 2 Place des Savoirs 21000 DIJON Franche ARS de Franche Comt Conte ars25 alerte ars sante fr 0381655818 03 81 65 58 65 La City 3 Avenue Louise Michel 25044 BESANCON Cedex ARS d Alsace Direction de la protection et de la promotion de la sante Alsace ars alsace veille sanitaire ars sante fr 03 88 88 93 33 035981 37 19 P le de veille et de gestion des alertes sanitaires Cit administrative Goujot 14 rue du Mar chal Juin 67084 STRASBOURG Cedex T l 03 83 15 34 73 Fax 03 83 15 39 73 http www cclin est org u CCLIN Est CHU de Nancy H pitaux de Brabois CCLIN Est 2011 Fiche l 2 ue du Morvan 54511 VANDOEUVRE les NANCY Cedex El IC LIN SS MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES R f rence Logo ou nom de ALERTE COORDONN ES EN INTER R GION NORD Date l tablissement Version T l phone Adresse ARS NPC Cellule R gionale de Veille et Gestion des ars npc veillesanitaire ars sante fr 03 62 72 77 77 03 62 72 88 75 Alertes Sanitaires CRVGAS 556 avenue Willy Brand 59777 EURALILLE Nord Pas de Calais ARS Cellule de r ception et d orientation des signaux 52 rue Daire 80037 AMIENS Cedex Picardie ars picardie signaux ars sante fr 03 22 97 09 02 03 22 97 09 01 ARS H N ars hnormandie cvgs ars sante fr 02 32 18 31 69 02 32 18 26 92 31 rue Mallouet Imm Le Mail 76040 ROUE
14. balayage humide lavage avec un d tergent 6 jours par semaine lavage avec un d tergent d sinfectant une fois par semaine lavage avec un d tergent un jour par semaine ou moins selon les besoins lavage avec un d tergent d sinfectant 6 7 jours par semaine balayage humide quotidien lavage avec un d tergent Toute surface souill e doit tre imm diatement nettoy e L int rieur du mobilier et placard les vitres les murs les portes et les grilles de ventilation sont nettoyer une fois par trimestre et plus si besoin RESCLIN Champagne Ardenne f vrier 2011 Gestion du risque infectieux en tablissements m dico sociaux EHPAD MAS et FAM R f rentiels des pratiques CCLIN Sud Ouest DRASS Midi Pyr n es Commission de coordination r gionale des vigilances 2008 Pratiques d hygi ne en tablissement d h bergement pour personnes g es CCLIN Ouest 2002 Fiche N 11 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FicHes TECHNIQUES PRATIQUES lia Mure leg inferir nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 Version FICHE DEVALUATION ENTRETIEN DES LOCAUX TYPE CHAMBRE CCC crs css ca E encase B 221 2 26 SEE rE Observateur cesse Heure see Mat riel Oui Non Observation L entretien du chariot est adapt l entretien r aliser quotidien d part fume O og ES erosi n TS
15. chaque d part d un r sident d une chambre ARLIN AUVERGNE 2010 Fiche N 11 1 an Al 41 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES j coordination de i re lew infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de ENTRETIEN DES LOCAUX Date I 20 l tablissement Version Sanitaires Avec quoi lavette usage unique ou r utilisable d tergent d sinfectant une fois par jour d tartrant selon la duret de l eau Remarque le vinaigre d alcool non color dilu au demi dans de l eau est un excellent produit d tartrant peu on reux agr contact denr es alimentaires Comment cf fiche entretien des sanitaire commencer par les accessoires le lavabo ext rieur int rieur la douche ou la baignoire nettoyer les WC changer de lavette entre chaque chambre Sols Balayage humide le balayage sec est proscrit Avec quoi Balai trap ze Gazes usage unique pr impr gn es Comment Balayer puis d gager la gaze au seuil de la piece et non dans le couloir recueillir les salissures en repliant la gaze Evacuer la gaze dans le collecteur d chets Changer de gaze chaque pi ce ou plus si besoin Lavage manuel des sols Avec quoi D tergent ou d tergent d sinfectant a programmer en alternance Balai de lavage a plat franges Comment Changer de frange a chaque ch
16. entres de coordination de lutte contre les infections nosocomiales http www cclin france fr MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES gt MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una PF led inertia nosocomiales PREFACE La prise de conscience du risque infectieux dans les EHPAD est relativement r cente Plusieurs enqu tes tant en France qu en Europe ont montr la r alit des infections associ es aux soins IAS chez les r sidents des structures d h bergement Actuellement nous pouvons penser que la fr quence des IAS tourne autour de 4 a 11 selon les crit res de d finitions qui 1l faut le reconna tre ne font pas l unanimit et n cessiteraient d tre revues Depuis quelques ann es diff rents groupes professionnels ont particip a l am lioration de la pr vention du risque infectieux RI dans les EHPAD en lien avec les professionnels et les repr sentants des soci t s savantes Le GREPHH a publi en janvier 2011 un manuel d auto valuation pour la maitrise du risque infectieux en EHPAD Sous l gide des CCLINS a t constitu un groupe multidisciplinaire rassemblant des professionnels de CCLIN d ARLIN et d EHPAD groupe charg de r aliser un document sous forme de fiches techniques qui permettront aux tablissements de se les approprier Pr sent es de facon anonyme ces fiches pourront
17. o lt 1 Lareevaluation comporte le poids et le statut nutritionnel la tol rance et observance du traitement l volution de la des pathologie s sous jacente l estimation des apports alimentaires spontan s ingesta HAS 2007 Fiche 1 2 HAS MALTE ALITEIHITE DIE SANTI SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES a ccordiration de lute canine led infectan nosocomiales r r R f rence Logo ou nom de STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE l tablissement D NUTRITION Date 120 Version SUIVI EN CAS DE D NUTRITION CHEZ LA PERSONNE G E Outils Fr quence P se personne adapt la mobilit du 1 fois semaine malade M thode simplifi e semi quantitative ou Lors de chaque valuation voir calcul pr cis des ingesta sur 3 jours ou au Strat gie de prise en charge moins sur 24 heures nutritionnelle d une personne g e Dosage de lalbumin mie sauf si Atbumine abuminemie miialenormale MODALITES DE LA PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE Les conseils nutritionnels e Respecter les rep res du Programme national nutrition sant PNNS Augmenter la fr quence des prises alimentaires dans la journ e e Eviter une p riode de je ne nocturne trop longue gt 12 heures e Privilegier des produits riches en nergie et ou en prot ines et adapt s aux go ts du patient Organiser une aide au repas technique et ou
18. 20 l tablissement Version CONDUITE TENIR DEVANT UNE OU PLUSIEURS INFECTIONS RESPIRATOIRES AIG ES BASSES MESURES DE PR VENTION Mesures de protection et d hygiene en EHPAD lors d pid mies d infections respiratoires basses destin es au personnel travaillant en EHPAD Mesures de pr vention indispensables La vaccination contre la grippe des personnes g es ou atteintes de pathologies chroniques des professionnels Chez les personnes g es l efficacit de la vaccination antigrippale reste partielle m me si la couverture vaccinale de toute une r sidence est bonne Des pid mies ont t d crites dans des collectivit s o la couverture vaccinale tait correcte La vaccination de l ensemble des professionnels est fortement recommand e chaque ann e octobre car son efficacit est d montr e elle diminue le risque de grippe et par l r duit la circulation du virus dans les institutions la vaccination des professionnels permet de diminuer la mortalit hivernale dans les populations g es institutionnalis es Il s agit donc d un r el et important moyen de lutte contre la contagion et contre les pid mies de grippe dans la population g e institutionnalis e Lavage et d sinfection des mains Les professionnels doivent se laver les mains avant tout contact direct avec un patient apres tout contact direct avec un patient et avant tout contact avec le patient suivant
19. R f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date I 20 l tablissement Version Tableaux 1 et 2 d activit des normes Tableau 1 PRODUITS D TERGENTS D SINFECTANTS DES DISPOSITIFS M DICAUX DM NORMES MINIMALES BASE EN CONDITIONS DE Fongicide partielle Candida albicans NF EN 1275 T 72 200 SALETE NF EN 13624 T 72 600 Virucide u facultative d pend de l usage du produit ee PROPRET NF EN 14476 T 72 185 DE PREFERENCE EN CONDITIONS DE PROPRETE Fongicide partielle Candida albicans BC NF EN 14562 T 72 206 Tableau 2 PRODUITS DESINFECTANTS DES DISPOSITIFS MEDICAUX DM NORMES MINIMALES BASE EN CONDITIONS DE PROPRETE Mycobact ricide Tuberculocide Mycobacterium terrae Mycobact ricide Mycobacterium ea Eee O terrae Mycobacterium avium DE PREFERENCE EN CONDITIONS DE PROPRETE Tuberculocid ou mycobact ricide d pend EN 14563 T 72 246 de l usage du produit En cas de D sinfection de haut niveau mat riel thermosensible rare en EHPAD le d sinfectant est aussi Sporicide de base NF T 72 230 ou 231 ou NF EN 14347 T 72 232 FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 Fiche N 111 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ccardliradi n de list ine lee infectia nosocomiales Reference Logo ou nom de GESTION DU MATERIEL Date I 20 l tablissement Version 5 4 Fiches techniques Fiche technique n 1 Pr
20. SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ceardinatian de ne led nei nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES SOINS Date I 120 Version SOINS RESPIRATOIRES OXYGENOTHERAPIE 1 Objectif Limiter le risque ou l aggravation d infections respiratoires des personnes g es particuli rement expos es aux infections broncho pulmonaires 2 Domaine d application personnel concern Soins aux personnes g es en EHPAD r alis s par les IDE les Kin sith rapeutes 3 R f rences Recommandations professionnelles pr vention des infections en EHPAD ORIG SF2H 2009 Circulaire DGS DHOS n 2002 243 du 22 avril 2002 relative la pr vention du risque li aux l gionelles dans les tablissements de sant qui classe les humidificateurs parmi les installations risque et pr cise qu il est n cessaire d employer une eau de qualit st rile 4 D finitions L oxygenotherapie consiste en l administration d oxygene a des concentrations sup rieures lair ambiant dans un objectif de traiter ou de pr venir les sympt mes de l hypox mie 5 Recommandations Administration par sonde lunettes ou masque facial Humification requise si d bit d oxyg ne sup rieur 3 litres ou si les muqueuses respiratoires sont l s es et sensibles Si humidification Utiliser des r servoirs d eau st rile pr ts a l emploi a usage un
21. loign e Points d usages repr sentatifs du r seau 2 ou 3 points Points d usage les plus d fovoris s point o la perte de charge est la plus importante Points loign s de la production d eau chaude sanitaire gt Au minimum 5 points QUIPE HYGI NE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 Fiche N 11 5 centre mesita de vaberce M m MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D lt a FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date I 120 Version 3 7 Conservation du flacon temp rature ambiante durant les premi res 24 h Au del r frig rer l chantillon pour le lt transport Traitement de l chantillon d eau dans les 24 a 48 heures sous d rogation Comporte les renseignements suivants 7 Nom du point chantillonn douche robinet douchette production lt B timent tage et localisation La date et l heure de pr l vement date d analyse Nature de l eau ECS EFS Le taux de chlore libre Fr quence d utilisation Le type de pr levement S Le volume trait 3 Observation tartre boue d p t traitements pr alables 3 La temp rature de l eau au 1 jet au 2 jet le temps de stabilisation Q Le nombre de Legionella sp Le nombre de Legionella pneumophila et le s rogroupe z gt Mes
22. nagers tels que les mouchoirs en papier et les masques sont jet s dans un sac en plastique pr sent dans la chambre qui sera herm tiquement ferm avant transport Les repas seront pris en chambre Lors de la toilette de ces personnes malades il est recommand au personnel de soins de porter un masque et de se laver les mains apr s la toilette Le mouchage l ternuement l expectoration la toux Il est imp ratif de respecter les r gles d hygi ne de base des voies respiratoires savoir se couvrir la bouche chaque fois que l on tousse puis se laver les mains se couvrir le nez chaque fois que l on ternue puis se laver les mains se moucher avec des mouchoirs en papier usage unique jet s dans un sac plastique ferm herm tiquement puis se laver les mains ne cracher que dans un mouchoir en papier usage unique jet dans un sac plastique ferm herm tiquement puis se laver les mains 2 Les professionnels de sant Les professionnels de sant en contact avec un malade av r ou possible devront se prot ger par le port de masque ou de protections respiratoires individuelles pour tout contact proche avec le malade Le lavage des mains est la principale mesure pouvant aider pr venir la propagation de l infection Transport des patients l int rieur de l tablissement Les patients souffrant d infection respiratoire ne devraient sortir de leur chambre que pour des interventions essentielles Il fau
23. paration de la solution de d tergent d sinfectant et entretien du bac de trempage Fiche technique n 2 Traitement des dispositifs m dicaux r utilisables non critiques et semi critiques immergeables Fiche technique n 3 Traitement des dispositifs m dicaux critiques r utilisables 6 Recommandations Information et formation des professionnels charg s de l entretien des dispositifs m dicaux Diffusion de la proc dure aupr s des professionnels R alisation d audits de pratique FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Suo Est 2011 FicHe N 111 1 un SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de re led infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date I 20 l tablissement Version FICHE TECHNIQUE N 1 Pr paration de la solution de d tergent d sinfectant et entretien du bac Bac propre gradu vidangeable Mettre des lunettes un tablier et des gants Remplir le bac d eau du r seau en respectant la quantit Ajouter une dose de produit d tergent D sinfectant adapt e PREPARATION DU BAC la quantit d eau selon les recommandations du fournisseur Mettre le couvercle sur le bac Tracer l heure et la date de pr paration de la solution sur le couvercle du bac Renouveler la solution toutes les 24h ou plus si satur e selon les recommandations du fournisseur Mettre des lu
24. remous et ou jets gt Eventuellement les dispositifs m dicaux d oxyg noth rapie et ou a rosolth rapie les robinets gt Humidificateurs brumisateurs fontaine d corative gt Autres QUIPE HYGIENE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 Fiche N 11 5 centre MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE orten Fiches TECHNIQUES PRATIQUES re les infection nosocomiales R f rence oe ou nam de GESTION DE LA QUALITE DE L EAU Date 120 l tablissement Version PURGE D EAU EN CAS DE CONTAMINATION DU R SEAU ECS PAR DES L GIONELLES 1 Objectif Limiter la stagnation de l eau Favoriser la circulation de l eau chaude sanitaire dans le r seau et sur les points d usage peu ou pas utilis s En pr ventif En curatif 2 Lieu Appartements ou chambres Points d usages Robinets d vier de douche de lavabo WC Baignoires Sous utilis s moins d une fois par jour Inutilis s Ayant une temp rature lt 50 Vestiaires Vidoirs 3 Qui IDE AS ASH AMP Agents de maintenance 4 Actions Etablir la liste des points d usage Etablir la planification des chasses et leur tra abilit dans le carnet sanitaire Les vidanges Pratiquer une chasse d eau chaude jusqu a stabilisation de la temp rature puis une chasse d eau froide au minimum une fois par semaine de tous les points d eau V rifier la p
25. rinaires des DDCSPP et des ARS CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ma ccordirati n de ine leg infeesiana nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement HYGI NE EN RESTAURATION Date I 120 Version PRISE DE LA TEMP RATURE DES PLATS DANS LES LIEUX DE RESTAURATION 1 Objectif Ce protocole a pour objet de d finir la fa on de prendre la temp rature d un plat chaud dans les lieux de restauration de EHPAD 2 Domaine d application Salles a manger offices alimentaires Ce protocole s applique une fois par semaine pr ciser le jour 3 Ref rence Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 4 Personnes concern es Agents d di s au service h telier A des soignants Aides M dico psychologiques AMP Cuisiniers 5 Mat riel et produits n cessaires Sonde D tergent vaisselle D sinfectant Papier absorbant 6 Recommandations Enlever le capuchon protecteur Appliquer 1 dose de d sinfectant sur la sonde et laisser agir 5 minutes Rincer la sonde l eau du r seau Pr lever les temp ratures du plat du dernier plateau servi Ins rer obliquement le thermom tre afin qu un maximum de surface soit en contact avec l aliment veiller ne pas toucher le fond de l assiette afin de ne pas fausser la temp rature Attendre
26. 58 Fax 05 56 79 60 12 http www cclin sudouest com Sud Ouest CLIN gt MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES r r nosocomiales R f rence Logo ou nom de z TR een CooRDONNEES DES ARLIN Date I 120 Version CCLIN Est CHU H pital civil ARLIN Alsace ARALIN 23 rue de la porte de l h pital BP 426 03 88 11 54 32 03 88 11 54 34 67091 STRASBOURG Cedex Service d pid miologie et d hygi ne hospitali re CHU H pital le Bocage ARLIN Bourgogne 10 Bd Mar chal De Lattre de Tassigny 03 80 29 33 94 03 80 29 34 97 21079 DIJON Cedex ARLIN Champagne Ardenne CHU Clinique de Champagne 3 rue de Universit 51100 REIMS 03 26 78 94 91 03 26 78 35 60 Couriel resclin chu reims fr http www resclin fr ARLIN Franche Comt Courriel rfclin chu besancon fr 2 place Saint Jacques 25000 BESANCON 03 81 21 89 30 03 81 21 89 31 http www rfclin info ARLIN Lorraine Service d hygiene hospitali re Courriel arlin chu nancy fr H pitaux de Brabois Rue du Morvan 03 83 15 74 58 03 83 15 39 73 http www cellule regionale hygiene com 54511 VANDOEUVRE LES NANCY CCLIN Nord 6 me tage de D v 1 CHU de Rouen ARLIN Haute Normandie 1 rue de Germont 76031 ROUEN Cedex 02 32 88 68 77 02 35 62 53 18 Site Broussais Pavillon Leriche 3 me tage ARLIN Ile de France 96 rue Didot 75014 PARIS 01 40 27 42 53 01 40 27 42 51 Ser
27. CCLIN Sup Est 2010 Fiche N 11 4 N ve SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES i ccardiration de ire led nee nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 Version FICHE D UTILISATION DE L EAU DE JAVEL L Eau de Javel d sinfecte d tache blanchit et d sodorise L Eau de Javel est bact ricide fongicide sporicide virucide elle d truit les bact ries les moisissures les spores et les virus L eau de Javel est un d sinfectant liquide de contact pour les surfaces y compris en secteur alimentaire Les produits sont commercialis s en France aupres du grand public et des professionnels principalement sous les deux concentrations suivantes DP Eau de Javel 2 6 de chlore actif pr sent e majoritairement en flacons de 1 ou 2 litres et en bidons de 5 litres Elle garde ses propri t s jusqu 3 ans dans les conditions de stockage et d utilisation recommand es Le Concentr de Javel a diluer 9 6 de chlore actif gt en doses recharges de 250 ml pour le grand public Les doses recharges sont a diluer des que possible en tout cas dans les 2 1 2 a 3 mois qui suivent la date de fabrication inscrite sur l emballage et ce exclusivement dans un flacon vide d Eau de Javel pr te a l emploi pour viter les confusions en doses recharges bidons pour les utilisateurs professionnels
28. FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una ve lex infr diarrs nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version r gion sous claviculaire a 3 travers de doigt au dessous de la clavicule attention v rifier l absence de Pace Maker ou de site implantable A viter chez la femme risque d h matome inesth tique et douloureux r gion sous scapulaire dos peut tre utile chez les r sidents agit s bras face externe contre indiqu si curage ganglionnaire axillaire sur bras perfuser Pr cautions Standard hygiene des mains avec une friction hydro alcoolique FHA port de gants non st riles non poudr s pr sence du collecteur aiguilles fix et port e de mains moins de 50 cm du soin Pr paration friction hydro alcoolique des mains pr parer la prescription noter sur le flacon la date et l heure de pose et la dur e de perfusion Eventuellement les produits m dicamenteux rajout s dans la perfusion purger les tubulures pr venir le r sident du soin l installer confortablement disposer le pied s rum l endroit le plus pratique par rapport la position soignant r sident choisir une position ergonomique pour effectuer le soin bien d gager le site d insertion v rifier l int grit cutan e mettre la protection de lit se frictionner les mains avec la FHA Pr paration cutan e
29. Fiche conseils pour la pr vention du risque infectieux soins d hygiene CCLIN sud est Janvier 2010 Pr vention des infections en tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes ORIG 2009 Surveiller et pr venir les infections associ es aux soins Soci t Fran aise en Hygi ne Hospitali re Haut Conseil de la Sant Publique 2010 Pratiques d hygi ne en tablissement d hebergement pour personnes g es DRASS midi pyr n es 2007 D cret concernant les actes professionnels et l exercice de la profession infirmi re relatif aux parties IV et V du code de la sant publique en date du 29 juillet 2004 Arr t du 22 octobre 2005 relatif au dipl me d aide soignant 3 La toilette G n ralit s Respecter la pudeur de la personne g e Pr server l autonomie Adapter le type de toilette au degr de d pendance en privil giant la douche ou la toilette en lit douche Le lit douche peut tre utilis en cas d escarre ou de sondage urinaire Le r sident b n ficie d une toilette si possible complete tous les jours quel que soit son degr d autonomie en recherchant le cas ch ant son consentement CCLIN Sup Est 2010 FicHe N IV 5 Ein vu SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una ve lex infr diarrs nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version
30. L EAU FROIDE SANITAIRE ET DE L EAU CHAUDE SANITAIRE ETAT DES LIEUX 2 1 1 Alimentation en eau de l tablissement 2 1 2 Distribution d eau froide sanitaire 2 1 3 Distribution d eau chaude sanitaire 2 2 DIAGNOSTIC DU R SEAU 2 3 PLAN DES R SEAUX PARTIE II ORGANISATION INTERNE DE LA GESTION DU RISQUE LIE AUX LEGIONELLES 1 R GLEMENTATION 2 MAINTENANCE ET SURVEILLANCE DES INSTALLATIONS D EAU CHAUDE SANITAIRE 2 1 MAINTENANCE DES INSTALLATIONS 2 1 1 Maintenance des installations de production 2 1 2 Maintenance des installations de distribution 2 1 3 Maintenance des points d usage risque douches flexibles etc 2 2 SURVEILLANCE DES INSTALLATIONS 2 2 1 La surveillance physique 2 2 2 La surveillance analytique 2 3 TRAVAUX REALISES SUR LE R SEAU D EAU CHAUDE SANITAIRE 3 PLAN D ACTIONS COURT TERME MOYEN TERME LONG TERME 4 GESTION DES NON CONFORMIT S CAT DEVANT UNE CONTAMINATION ENVIRONNEMENTALE LA L GIONELLES CAT DEVANT UN CAS AVERE OU PROBABLE DE LEGIONELLOSE 5 CARNET SANITAIRE TRACER LES ELEMENTS D INFORMATION DE SURVEILLANCE ET D INTERVENTION 6 AUTRES INSTALLATIONS A RISQUE BRUMISATEUR FONTAINES DECORATIVES EQUIPE HYGIENE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2011 FicHe N 11 5 certo gale Ce SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES I u ceardination de re led infections E R f rence Logo ou nom de l ta
31. LES D CHETS DANS LE SAC ADAPT Respecter le protocole c est e Prot ger le personnel et l environnement e Am liorer le tri e Ma triser les co ts DECHETS Pianista OPCT OUI Risque infectieux Risque Liquide Biologique OUI DASRI NON Risque psycho motionnel DAOM ESPRI HCL Lyon 2010 Fiche N 11 4 pre Prevention de Bigeye Lost in EQUIPE SECTORIEL DE PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX Leen hive DT SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES BE hare lew infeesiara nosocomiales ceardinatian de R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date I 120 Version PR L VEMENT POUR RECHERCHE DE L GIONELLES Laboratoire accr dit pour le param tre l gionelles par le Comit Fran ais d accr ditation COFRAC ou tout autre organisme d accr ditation quivalent europ en signataire de l accord multilat ral pris dans le cadre de la coordination europ enne des organismes d accr ditation Fr quence de surveillance ne peut tre inf rieure un programme de pr l vement annuel pour recherche de legionella pneumophila sur plusieurs points Plan annuel strat gique d chantillonnage est programm PR REQUIS Recherche et d nombrement selon les modalit s mentionn es dans la norme NF T90 431 sur chaque r seau de distribution d eau chaude sanitaire Volume 1litre sur flac
32. Quelle que soit sa pr sentation l Eau de Javel doit tre conserv e au frais l abri de la lumi re et du soleil et hors de port e des enfants Comment Putiliser L Eau de Javel doit tre dilu e dans l eau froide ou ti de Avant de proc der la d sinfection d une surface il faut d abord la nettoyer et la rincer PEAU DE JAVEL DOIT ETRE UTILISEE SEULE L Eau de Javel ne doit jamais tre m lang e un autre produit m nager Une r action chimique entre les produits diminuerait son efficacit Le m lange Eau de Javel et produit acide d tartrant WC par exemple provoque un d gagement de gaz toxique le chlore Pour un bon r sultat une surface doit tre nettoy e rinc e et enfin javellis e CCLIN Sup Est 2010 FicHe N 11 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D A FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ccordirati n de R f rence Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 Version ENTRETIEN DE LA CHAMBRE 1 Objectif Assurer la propret pour le confort des r sidents et ma triser le risque infectieux li l environnement y compris en pr sence de bact ries multi r sistantes aux antibiotiques En cas d infection Clostridium difficile l existe des mesures sp cifiques 2 Domaine d application Tous les professionnels concern s par l entretien des locaux 3 R f rences RESCLIN Champagne Ardenne f vrie
33. Rev tements du sol et des surfaces faciles d entretien e V rifier l absence de r serves sauvages placards salle de bains e Organiser le local lingerie modalit s de rangement utilisation des stocks rotation principe du premier entr premier sorti ajustement des commandes e Organiser le nettoyage de la lingerie int gr dans le plan de nettoyage du service Dans le cas de Putilisation d un film protecteur celui ci n est enlev qu au fur et mesure des besoins CCLIN Ouest 2002 Fiche n 11 3 noeocomLabes 20 de ceardination de ii dre lee infections nosocomiales Logo ou nom de etablissement GESTION DU LINGE MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES m Reference Date Version Adopter le principe LINGE SALE LINGE CONTAMINE LE CIRCUIT DU LINGE SALE Eviter tout stockage dans la chambre Proc der au tri a la source Utiliser des gants et r aliser une d sinfection des mains apr s avoir manipul le linge sale Au niveau des secteurs de soins ou de r sidences des personnes ag es Manipulations et tri La qualit du pr tri conditionne la s curit et la protection des personnes tout au long de la fili re du linge sale Porter des gants en pr sence de sang et de produits biologiques Porter le linge sans professionnelle toucher la tenue e Porter un tablier de protection de pr f rence V rifier s
34. a chaque changement de chambre dans une solution d eau de Javel dilu e au 1 S me en respectant le temps de contact de 10 minutes Il est important de pr voir des stocks suffisants pour respecter ces temps de contact Si le mat riel ne permet pas l utilisation de l eau de Javel r aliser une d sinfection avec le produit en vigueur dans l tablissement sous r serve de son efficacit prouv e contre les norovirus Traitement du linge e conditionnement dans un double emballage en cas de sacs insuffisamment perm ables e dans ces contextes particuliers de risque infectieux il est pr f rable que le linge repris habituellement par la famille soit trait par PEHPAD e laction des quipements de buanderie sur la lingerie souill e et contamin e est suffisante pour liminer les risques d infection e les lessives doivent tre r alis es 60 C si possible et le linge d licat trait avec un produit d sinfectant Hay Dahl hy a ad Fawn EXTRAIT DU DOCUMENT DU HCSP MINISTERE DE LA SANT FICHE N VI 3 se ae Biren FRAAI Linistien de la Si el des Sobdari a MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardinaton de re led dnfp tinres nosocomiales R f rence Logo ou nom de r z P bablissement GESTION DES RISQUES EPIDEMIQUES Date 120 Version Traitement de la vaisselle DP action d tergente coupl e la mont e en temp rature assur e par
35. accessoires proc der au balayage humide si utilisation sur le sol adapter l accessoire la surface nettoyer appliquer la vapeur au plus pr s de la surface ou du mat riel nettoyer essuyer la surface ou le mat riel si l appareil ne poss de pas l aspiration 6 Entretien du mat riel nettoyer les accessoires apr s usage vidanger l appareil une fois par semaine une fois par mois selon la fr quence d utilisation et la duret de l eau d tartrer en fonction de la duret de l eau vider nettoyer la cuve de l aspirateur apr s chaque utilisation CCLIN Suo Oussrt 2005 Fiche N 11 1 aS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES EHER i feardination de ine leg infeesiana nosocomiales R f rence Logo ou nom de ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 l tablissement Version 7 Remarques M thode r cente d une grande efficacit alternative au nettoyage traditionnel Int r ts limination du biofilm gain de temps pour l entretien approfondi cologique et conomique n utilise pas ou peu de produit n encrasse pas les surfaces utilise peu d eau s curit d utilisation absence de produit donc pas d a rosols pas d manation ergonomique efficacit sur les surfaces difficilement accessibles par un autre proc d de nettoyage mobiliers lits brancards fauteuils roulants v
36. avec un pacemaker ni autres dispositifs m dicaux implantables actifs DMIA type d fibrillateur Lors des d c s le m decin ou le thanatopracteur enl ve le boitier du pacemaker de la personne d c d e et coupe a ras la sonde du stimulateur et du d fibrillateur Le on D E d fibrillateur est d sactiv pour viter un choc lectrique inappropri Y Le boitier du pacemaker est syst matiquement nettoy et bross immerg dans un bain ba de d tergent d sinfectant selon le protocole de nettoyage d sinfection du petit mat riel de EHPAD Il est emball dans une botte plastique herm tique avec la mention Produit explant pour destruction Indiquer galement sur l emballage Ja date d explantation un num ro identifiant correspondant un registre administratif pr cisant le nom de la personne d c d e que le dispositif a bien t d sinfect le protocole de nettoyage d sinfection du petit mat riel de EHPAD doit tre joint dans la boite 2 fili res d limination il est remis au fabricant par envoi postal il est remis un collecteur de d chets au frais de EHPAD Un bordereau de suivi type CERFA permettra la tracabilit de la destruction dans les 2 cas Pour plus de renseignements cf Guide technique du minist re de la sant sur les d chets d activit de soins a risques 2009 Chapitre Les dispositifs m dicaux implantables actifs et la fich
37. d organe chroniques et s v res pathologies l origine de maldigestion et ou de malabsorption alcoolisme chronique pathologies infectieuses et ou inflammatoires chroniques ainsi que toutes les situations susceptibles d entra ner une diminution des apports alimentaires et ou une augmentation des besoins nerg tiques Situations plus sp cifiques la personne g e cf ci dessous Toute affection aigu ou Psycho socio environnementales d compensation d une pathologie chronique Traitements m dicamenteux au long cours e Isolement social e Douleur e Polym dication e Deuil e Pathologie infectieuse e M dicaments entra nant une e Difficult s financi res e Fracture entra nant une s cheresse de la bouche une e Maltraitance impotence fonctionnelle dysgueusie des troubles digestifs e Hospitalisation e Intervention chirurgicale une anorexie une somnolence e Changement des habitudes de Constipation s v re etc vie entr e en institution e Escarres e Corticoides au long cours Syndromes d mentiels et autres Troubles bucco dentaires R gimes restrictifs E troubles neurologiques Trouble de la mastication Mauvais tat dentaire Appareillage mal adapte S cheresse de la bouche Sans sel Maladie d Alzheimer Amaigrissant Autres d mences Diab tique Syndrome confusionnel Candidose oro pharyng e Hypocholest rol miant Troubles de la vigilance D Sans r sidu au long cours Syndrome parkinsonien
38. d un cath ter moins douloureux et biseau en bas avec une picr nienne pour que le solut s coule vers l hypoderme En cas de ponction dans un vaisseau reflux de sang ou du muscle douleur 1l est recommand de changer de site et de mat riel de ponction vacuer imm diatement le mandrin du cath ter dans le conteneur OPCT adapter la tubulure ouvrir doucement la molette s assurer que le passage du solut n entraine pas de douleur ou de br lure au patient si RAS un l ger gonflement de la zone au d marrage est normal v rifier le bon coulement du solut Si le cath ter est mal positionn il faut repiquer le r sident avec un nouveau mat riel recouvrir d un pansement occlusif transparent st rile on peut indiquer la date sur le bord du pansement transparent r gler le d bit de la perfusion selon la prescription m dicale R installer le r sident en lui demandant de signaler toutes douleurs g nes ou probl me au niveau du point de ponction Mettre port e de la main du r sident les objets qui lui sont indispensables lunettes urinal mouchoirs sonnette boisson Rangement Evacuer les d chets Ranger le mat riel Pratiquer une FHA Assurer les transmissions crites et orales Tra abilit Le soin est not sur le dossier de soins Date et heure de la pose Type de cath ter ou d picr nienne Position du site d implantation de la perfusion CCLIN
39. d tergent sp cial sanitaires puis rincer abondamment le sanitaire et la lavette puis d sinfecter Attention retremper la lavette dans la solution d tergente d sinfectante puis passer la lavette l int rieur des appareils sanitaires afin d en assurer la d sinfection quotidienne WC et vidoir Au pr alable vider le support balayette WC dans la cuvette puis tirer la chasse Puis l aide de la balayette WC et de la cr me a r curer nettoyer l int rieur de la cuvette WC tirer la chasse A l aide de la lavette impr gn e de solution d tergente d sinfectante passer sur toutes les surfaces ext rieures du WC d rouleur papier WC reservoir d eau ext rieur de la cuvette rebord et retour int rieur du WC le support balayette WC ext rieur puis int rieur reposer le support balayette WC rempli au 1 3 de solution d tergente d sinfectante verser de la solution d tergente d sinfectante sur les parois int rieures de la cuvette c D tartrage Le tartre est un support favorable au d veloppement des micro organismes 1l est donc n cessaire de d tartrer r guli rement les appareils sanitaires selon la duret de l eau entartrage varie D tartrage 1 a2 fois par mois fr quence donn e a titre indicatif Robinetterie lavabo bidet douche bac de trempage Le d tartrage doit tre fait avec un produit sp cifique Il faut mettre peu de produit surveiller le temps d
40. de EHPAD N B les cuves des chauffe lait sont recouvertes d un produit antiadh sif ne pas utiliser de produits abrasifs ou de mat riels m talliques 2 R f rence Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 3 Domaine d application personnel concern Agent d di au service h telier 4 Mat riel et produits n cessaires Solution d tergente agr contact alimentaire Lavettes et papier absorbant 5 Recommandations Apr s chaque utilisation Eteindre l appareil et attendre son refroidissement Oter les briques restantes de lait ou de potage Jeter toute brique entam e Utiliser du d tergent vaisselle avec une lavette lavable ou usage unique Nettoyer laver et rincer les parois ext rieures et int rieures les poign es porte briques et les placer c t de l appareil Essuyer le cordon lectrique Une fois par semaine Nettoyer toutes les surfaces comme cit pr c demment Rincer les surfaces Compl ter le nettoyage par une application de solution d sinfectante Ouutiliser une solution de produit d tergent d sinfectant agr contact alimentaire CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES r r tre lew indeed Reference Logo ou nom de l tablissement GESTION DU LINGE LE CIRCUIT DU LINGE PROPRE Au niveau de la blanchiss
41. les lave vaisselles actuellement sur le march assure un niveau de d sinfection efficace et suffisant Les lavages doivent tre r alis s a 60 C Tri des D chets e liminer dans la fili re DASRI les gants masques surblouses d chets aff rents aux soins imm diatement apr s leur usage e pr voir si aucune fili re sp cifique n a t organis e de vider une fr quence renouvel e les conteneurs de d chets de l tablissement ceux ci tant syst matiquement quip s d un e sac imperm able qui sera herm tiquement clos lors de son limination e d truire tous les produits alimentaires ayant pu tre contamin s par des projections de vomissements ou par des manipulations de personnes malades Annexe n 4 Recensement des cas de gastro ent rites aigu s en EHPAD r sidents et personnels Ce formulaire est utilisable pour la surveillance ou l investigation des cas group s Nombre de cas selon la date de d but des signes Hombre de cas 1 Lit Jour al mous Date de d but des signes das cas Cas r sidents Misa on place das m suros de conir la Cas personnel D c s EXTRAIT DU DOCUMENT DU HCSP MINISTERE DE LA SANT FICHE N V1 3 Linistien de la Santi sl des Sobdarida SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una ve lex anderen nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES RISQUES PID MIQUES Date
42. minimum Zone de lavage e S paration physique entre la zone de chargement du linge sale et de d chargement du linge lav e Organiser le contr le des temp ratures de PH chimiques de dur e des cycles de lavage e Contr ler la propret du linge au terme du lavage Zone de s chage e Manipuler le linge avec des mains et une tenue propre e Limiter la dur e d attente du linge lav entre sa sortie du lavage et son s chage V rifier le s chage des articles avant conditionnement Extrait du guide Hygi ne des structures d hebergement pour personnes g es du CCLIN Ouest 2002 CCLIN Ouest 2002 Fiche N 11 3 cun SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES cai dre led nee nosocomiales ceardinatian de R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES D CHETS Date I 120 Version 1 Objectif D finir les modalit s de tri des diff rents d chets produits par EHPAD en respectant la l gislation en vigueur pour pr server l environnement pr venir le risque infectieux et les accidents d exposition au sang 1 Domaine d application personnel concern Ce protocole s adresse tous les professionnels de EHPAD Il concerne tous les d chets produits dans EHPAD 2 References D cret n 97 1048 du 6 novembre 1997 relatif a l limination des DASRI Circulaire DH S12 DGS VS3 n 554 de ler septembre 199
43. nom de l tablissement Version 6 3 Pr paration du temps du repas Dresser les tables V rifier la propret des tables et nettoyer si n cessaire avec une lavette d tergent vaisselle V rifier la propret de la vaisselle et dresser la table Remplir les carafes d eau apr s avoir purger la canalisation Proc der l hygi ne des mains des r sidents hygi ne avant et apr s le repas avec ou sans l aide des professionnels hygi ne des mains par friction produit hydro alcoolique par lavage savon liquide ordinaire par essuyage des mains avec des lingettes pr impr gn es Organiser l installation des r sidents 6 4 Distribution des repas En liaison froide remise en temp rature des plats chauds au moment du repas En liaison chaude maintien de la temp rature sup rieure ou gale 63 C des plats chauds et maintien de la temp rature inf rieure 8 C des plats froids jusqu au moment de servir Apr s le repas noter la quantit de la prise alimentaire les motifs des refus ventuels 6 5 D barrassage des repas nettoyage de la vaisselle Desservir les tables Eliminer les reliefs alimentaires d chets assimil s ordures m nag res DAOM Nettoyer selon deux possibilit s de pr f rence en lave vaisselle voir tableau ci dessous Contr ler la propret et le s chage de la vaisselle avant de la ranger Ranger la vaisselle dans des placards propres et
44. nutrition s v re avec apports alimentaires tr s faibles Mise en route de la NE hospitalisation d au moins quelques jours mise en place de la sonde valuation de la tol rance ducation du patient et ou de son entourage Poursuite de la NE domicile apres contact direct entre le service hospitalier et le m decin traitant mise en place et suivi par un prestataire de service sp cialis et ventuellement avec une infirmi re domicile ou une HAD si le patient ou son entourage ne peuvent prendre en charge la NE Prescription de la NE prescription initiale pour 14 jours puis prescription de suivi pour 3 mois renouvelable Surveillance de la NE par le service prescripteur et le m decin traitant en se basant sur le poids et l tat nutritionnel l volution de la pathologie la tolerance et l observance de la NE et l valuation des apports alimentaires oraux HAS 2007 Fiche 1 2 HAS MALTE ALITEIHITE DIE SANTI Logo ou nom de STRATEGIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE l tablissement D NUTRITION MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES R f rence Date Version SITUATIONS PARTICULI RES L objectif des soins nutritionnels est avant tout le plaisir et le confort e Maintien d un bon tat buccal Prise en charge e Soulagement des sympt mes qui peuvent alt rer l envie ou le plaisir de nutritionnelle en fin de vie s alimenter douleur naus es glossite et s chere
45. par ailleurs sur les sites ad hoc Il n aura t repris que les donn es des textes pouvant tre utiles et guid es dans les r ponses aux crit res de l auto appr ciation 0000 Bien que r unissant des outils de formats tr s divers en les r unissant dans un seul recueil ils deviendront plus faciles consulter Afin d identifier rapidement l outil utile le groupe de travail a fait le choix de les reclasser dans des rubriques th matiques respectant le sommaire du manuel du GREPHH MODE D EMPLOI Identifier dans le sommaire le num ro de la fiche th matique souhait gt S lectionner la fiche Le document format PDF peut tre imprim ou t l charg La fiche pr sente toujours un cartouche qui peut tre personnalis par l tablissement Bien que les ressources documentaires semblent fort multiples dans le champ de la pr vention du risque infectieux en EHPAD comme vous pourrez le constater des th matiques n ont pas encore t accompagn es d outil pratique Aussi le groupe de travail se propose d y r pondre la suite de la communication de la premi re version du Recueil En l absence de document valid CCLIN ARLIN il a t propos des outils d quipe d hygi ne locale ou inter sectorielle CHAPITRE ORGANISATION DES MOYENS DE PREVENTION DANS L TABLISSEMENT Fiche n 1 1 Moyens e Programme de formation M dicaux e Programme de formation
46. par exemple Recueillies par l tablissement et entrepos es dans le local de stockage central Ramass es par la ville Pr lev es par le d partement pour tre valoris es dans une installation autoris e S ELIMINATION DES AMPOULES BASSE CONSOMMATION ET N ONS Y Les ampoules basse consommation et n ons contiennent un peu de mercure et de nombreux composants Ils doivent tre obligatoirement recycl s Ils sont tri s collect s part et confi s la commune CCLIN Suo Oussrt 2011 FicHe n 11 4 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES pen ve lex infr diarrs nosocomiales R f rence GESTION DES D CHETS Date I 120 Logo ou nom de l tablissement Version N ELIMINATION DES RADIOGRAPHIES CLASSIQUES Y Certaines radiographies contiennent encore des sels d argent r cup rables Attention elles ne doivent pas tre limin es dans les ordures m nag res Les sels d argent sont toxiques pour l environnement Lors de l limination des radios contenant de l argent Les radios sont apport es dans un centre d imagerie m dicale Une entreprise agr e vient p riodiquement r cup rer les radiographies pour en retirer largent S ELIMINATION DES PACEMAKERS Y ET AUTRES DISPOSITIFS M DICAUX IMPLANTABLES ACTIFS TYPE D FIBRILLATEUR Les personnes d c d es ne peuvent pas tre mises en terre ou incin r es
47. patient et ou de la famille contre indication m dicale Une information des r sidents et de leur famille est mise disposition d s les premiers jours de l automne pour le vaccin antigrippal saisonnier Une information r guli re est r alis e aupr s des m decins traitants Le m decin coordonnateur peut calculer le pourcentage de r sidents vaccin s contre la grippe saisonni re chaque ann e le pourcentage de r sidents ayant une vaccination jour vis vis du pneumocoque rappel tous les 5 ans ARLIN AUVERGNE 2011 FicHe N V 1 Au vy MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FicHes TECHNIQUES PRATIQUES re les infection LES VACCINATIONS CONTRE LES INFECTIONS Date 20 Logo ou nom de l tablissement RESPIRATOIRES Version 4 2 Vaccination du personnel Le m decin de la sant au travail organise avec le m decin coordonnateur des campagnes de vaccination annuelle contre la grippe saisonni re comprenant une information de toutes les cat gories de personnel des s ances de vaccination accessibles tous personnel de jour et de nuit permanent et temporaire param dical m dical personnel administratif en contact avec les r sidents personnel technique une mise disposition gracieuse des vaccins en concertation avec la direction un suivi annuel du pourcentage de personnels vaccin s la vaccination est pratiqu e en respectant le secret m d
48. renouvel e autant de fois que possible dans la dur e impartie Cette dur e sera d au moins 20 secondes et d finir en fonction du produit 1 Paume sur paume Di sinfecion des paures 2 Paume sur dos Disinfection des doigts et des espaces interdigitaux A Doigts entrelac s SE rr D sinfection des espaces Paumeldoigts interdipitaua et des dogs D sinfecti n des doigts D snfechon des Pitt Di sinfecion des angles Recommandations pour l hygiene des mains SF2H 2009 Fiche N 1V 1 A SPH Risque niectieux el soar MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD a FICHES TECHNIQUES PRATIQUES R f rence GESTION DES SOINS Date I 120 Logo ou nom de l tablissement Version ANNEXE Fiche technique de lavage des mains au savon doux liquide Mat riel Technique Savon doux liquide si 1 Appliquer une dose de savon et laver les mains en massant 15 secondes possible commande au 2 Insister sur les espaces interdigitaux le pourtour des ongles la pulpe des coude doigts et les poignets 3 Rincer abondamment Essuie mains usage i f en 4 S cher par tamponnement avec l essuie mains usage unique unique dans distributeur adapt Pour une meilleure tol rance au savon Mouiller les mains avant de d poser le savon Poubelle sans couvercle Rincer efficacement Remarque Le ou les robinets S chage par tamponnement avec un essuie mains usag
49. salissures Action m canique brosse ou ecouvillon propre RINCAGE Elimine les salissures Elimine tout r sidu de produit gt Eau du r seau Essuyage soigneux avec un support non pelucheux ou s chage Pair libre sur un plan de travail propre pendant une dur e limit e SECHAGE Prot ge le mat riel de la contamination STOCKAGE Prot ge le mat riel de la contamination Dans un lieu de stockage propre et sec l abri de toute contamination projections d eau poussi res Mat riel non immergeable par sa taille ou par sa constitution ex brancards tensiom tres st thoscopes chariot de douche l ve malade d sinfection avec une lingette usage unique impr gn e de d tergent D sinfectant laisser s cher il est possible d utiliser un nettoyant vapeur pour un nettoyage approfondi pour le mat riel volumineux Le rin age apr s l usage de lingette est inutile sauf si le mat riel est susceptible d tre en contact avec les muqueuses Pour les seaux de chaise bassins urinaux et bocaux de pr l vements il est recommand de limiter le risque infectieux pour les professionnels et l environnement en utilisant un laveur d sinfecteur lave bassin thermique ou chimique FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 FicHe N 111 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES a ccardliration de tre lew indeed nosocomiales R
50. ysgueusie Troubles de la d glutition ERES Sam Les sedes Ls le Troubles psychiatriques vie quotidienne Pathologie ORL e D pendance pour l alimentation Syndromes d pressifs E PSone o UE e D pendance pour la mobilit e Troubles du comportement d g n rative ou vasculaire p p p MODALIT S DE D PISTAGE Populations cibles po Fr quence Outils 1 fois an en ville Rechercher des situations risque Toutes les personnes g es 1 fois mois en institution de d nutrition cf supra Lors de chaque hospitalisation Estimer l app tit et ou les apports alimentaires Surveillance plus fr quente en Mesurer de fa on r p t e le poids fonction de l tat clinique et de et valuer la perte de poids par l importance du risque rapport au poids ant rieur plusieurs situations risque Calculer l indice de masse associ es corporelle IMC poids taille poids en kg et taille en m Les personnes g es a nsque de d nutrition e Ce d pistage peut tre formalis par un questionnaire tel que le Mini Nutritional Assessment MNA HAS 2007 Fiche 1 2 HAS MALTE AL TCIRITE DE SANTI MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D IE FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales r r R f rence Logo ou nom de STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE l tablissement D NUTRITION Date 20 Version CRITERES DIAGNOSTIQUES DE DENUTRITION Le diagnostic de d nutrition repose sur la pre
51. 0 ml dans 4800 ml d eau froide D tergent D sinfectant D sinfectant Selon les recommandations du produit P Protection du professionnel Il est recommand apr s la d sinfection De rincer et de s cher les l ments de la robinetterie et de les repositionner directement sans stockage Ringage Soigneux l eau du r seau S chage Soigneux si les l ments sont stock s avant d tre repositionn s Si Stockage A l abri de la poussi re dans un contenant nettoy et d sinfect Tra abilit pr voir l enregistrement des actions dans le carnet sanitaire re am Ne jamais m langer les produits de nature diff rentes La d sinfection est efficace sur des surfaces pr alablement nettoy es QUIPE HYGI NE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 FicHE N 11 5 cute maille de valence j 7 E MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FicHes TECHNIQUES PRATIQUES lis PF led inertia nesocomiales R f rence Logo ou nom de z 9 cel GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date 20 Version CAT DEVANT UNE L GIONELLOSE M decin Diagnostic clinique de l gionellose Pneumopathie confirm e par radio et confirmation biologique Traitement Maladie a D claration Mise en culture de pr l vements broncho Obligatoire pulmonaire si possible CNR L MISP ARS Concertation tablissement Cellule d alerte ou de crise Information M decin C
52. 11 Fiche N 11 2 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una ve lex indeesiana nosocomiales R f rence Logo ou nom de HYGI NE EN RESTAURATION Date 120 l tablissement Version V RIFICATION QUOTIDIENNE DU R FRIG RATEUR 1 Objectifs Les r frig rateurs des offices alimentaires et de la salle manger sont destin s exclusivement au stockage des aliments r serv s aux r sidents une temp rature comprise entre 0 C et 4 C thermostat 6 6 5 Les aliments sont r partis selon les zones de froid Les cartons ne doivent pas tre plac s dans les r frig rateurs Ce protocole d crit la v rification quotidienne du r frig rateur situ dans les offices alimentaires et la salle manger de EHPAD L entretien quotidien du r frig rateur a pour but de garantir la protection des produits alimentaires stock s au froid et limiter les risques de contamination lies aux surfaces 2 Domaine d application Ce protocole s applique tous les jours en d but de matin e pour la v rification du r frig rateur et le nettoyage ext rieur 3 Ref rence Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 4 Personnes concern es Agent d di au service h telier pr ciser le poste horaire 5 Mat riel et produits n cessaires Thermom tre demeure minima et maxima a demeure en position droite Solution d tergente agr cont
53. 11 1 Entretien des locaux Fiche n 11 2 Hygiene en restauration Fiche n 11 3 Gestion du linge Fiche n 11 4 Gestion des dechets Fiche n 11 5 Gestion de la qualit de l eau Eau chaude sanitaire Procedure de prelevement pour recherche de legionelles Cahier des charges pour la realisation d un diagnostic de reseau d eau Carnet sanitaire Entretien de la robinetterie CAT devant une l gionellose CAT devant une contamination environnementale a la legionelle Purge d eau en cas de contamination du reseau ECS en legionelles SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES a ccordiration de lute canine led inercia nosocomiales R f rence ENTRETIEN DES LOCAUX CLASSIFICATION DES LOCAUX Logo ou nom de l tablissement Date 120 Version MOTS CLES Environnement Risque infectieux Locaux OBJECTIFS Pr venir la transmission crois e des germes par l entretien des locaux et du mat riel assurer le confort du r sident en lui garantissant une propret visuelle de l environnement A enseigner par l organisation de campagne A valuer par le suivi d indicateurs RECOMMANDATIONS CLASSIFICATION DES LOCAUX ET FREQUENCE D ENTRETIEN Le guide du bionettoyage dit par la commission centrale des march s a class les locaux en 4 zones selon le risque infectieux encouru par les personnes soign es Chambre du r sident sans soins E
54. 8 relative a la collecte des objets piquants tranchants souill s Arr t du 7 septembre 1999 relatif aux modalit s d entreposage des DASRI modifies par l arr t du Arr t du 7 septembre 1999 relatif au contr le des fili res d limination des nr 14 octobre 2011 D cret n 99 374 du 12 mai 1999 relatif la mise sur le march des piles et des accumulateurs et leur limination Arr t du 5 d cembre 2002 modifiant l arr t du ler juin 2001 modifi relatif au transport des mati res dangereuses par route dit Arr t ADR Arr t du 24 novembre 2003 relatif aux emballages des DASRI et des pi ces anatomiques d origine humaine Circulaire n 2005 34 du 11 janvier 2005 relative aux conditionnements des DASRI Pr vention des infections en EHPAD Programme PRIAM Consensus formalis d experts juin 2009 Observatoire du risque infectieux en g riatrie ORIG Soci t Fran aise d Hygi ne Hospitali re Hygi neS 2010 Volume XVIII n 1 Guide technique d limination des d chets d activit s de soins risques Minist re de la sant et des sports Edition n 3 2000 3 Definitions Les d chets de soins sont les d chets issus des activit s de diagnostic de suivi et de traitement pr ventif curatif ou palliatif dans le domaine de la m decine humaine ou v t rinaire Ils peuvent tre risque infectieux chimique et toxique radioactif m canique Il convient de r du
55. A rer la chambre plusieurs fois par jour Chambre individuelle obligatoire Porte ferm e Limitation maximale des visites port de masque type FFP pour les visiteurs A Dans tous les cas assurer l identification des r sidents par une signalisation adapt e et respecter les proc dures de l tablissement concernant la gestion de la vaisselle du linge des d chets et le bionettoyage Dans la plupart des situations le portage d une bact rie multir sistante aux antibiotiques ne justifie pas de la mise en place de pr cautions compl mentaires de type g ographique 5 R f rences NosoBase http nosobase chu lyon fr CCLIN Sup Est 2009 FicHe N IV 4 en vy MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pen Fiches TECHNIQUES PRATIQUES i re lea infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de Fe ice ac GESTION DES SOINS Date I 120 Version HYGI NE DES R SIDENTS 1 Objectifs Assurer l hygi ne corporelle du r sident afin de conserver une peau saine permettant de jouer son r le de barri re envers les micro organismes Participer au bien tre physique et psychologique du r sident Favoriser un moment privil gi de la relation soignant soign 1 Domaine d application personnel concern Aides soignant e s DE Infirmier e s DE Auxiliaires de vie Aide M dico Psychologique AMP 2 R ferences et documents utilis s
56. E CHU Toulouse Purpan 330 avenue de Grande Bretagne 31059 TOULOUSE CHU de Poitiers Rue de la Mil trie BP 577 86021 POITIERS 05 56 79 60 58 05 90 89 16 80 05 94 39 48 38 05 55 05 88 51 05 96 55 24 58 05 61 77 20 20 05 49 44 42 05 05 56 79 60 12 05 90 89 16 81 05 95 39 48 87 05 55 05 88 52 05 96 75 13 84 05 61 77 20 46 05 49 44 42 06 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una tne dew indes nosocomiales R f rence TENUE DU PERSONNEL Logo ou nom de Date 20 l tablissement DANS L ETABLISSEMENT Version CE PROTOCOLE EST INSERE AU REGLEMENT INTERIEUR DE L ETABLISSEMENT A d finir par EHPAD 1 Objectif D finir la conduite tenir en mati re de tenue de travail et d quipement de protection vestimentaire afin de limiter le risque de transmission crois e 2 Domaine d application Les professionnels en contact direct avec les r sidents 3 References Hygiene et pr vention du risque infectieux dans les tablissements h bergeant des personnes g es d pendantes Octobre 2007 Minist re de la Sante Recommandations pour une tenue vestimentaire adapt e des personnels soignants en milieu Hospitalier CCLIN Sud Ouest 2008 et CCLIN Sud Est 2007 Consensus formalis d experts de juin 2009 concernant La pr vention des infections en EHPAD Programme PRIAM de l ORIG Observatoire du risq
57. EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES ENTRETIEN DES LOCAUX gt Reference Date 20 Version DESCRIPTION DES DIFFERENTES TECHNIQUES D ENTRETIEN Operation de r cup ration des salissures non adh rentes sur les surfaces autres que les sols Op ration de r cup ration des salissures non adh rentes sur les sols secs et liss s Action chimique et m canique permettant d eliminer les salissures adh rentes sur les sols Eliminer les salissures Limiter leur mise en suspension dans l atmosphere Eliminer jusqu 90 des salissures Limiter leur mise en suspension dans atmosphere Obtenir une propret visuelle d tergent Obtenir une propret bact riologique en r duisant le nombre de micro organismes pr sents sur le sol d D ou les surfaces hautes Chiffonnette r utilisable si possible en microfibre ou a UU Solution d d D sols ou surfaces hautes Balai Gaze pr impr gn e a UU ou bandeau r utilisable Solution d d D sols ou surfaces hautes Balai Frange ou bandeau pour semelle de lavage plat de pr f rence et si possible en microfibre Plier la chiffonnette en 6 parties 6 faces de nettoyage Essuyer en 1 seul passage du haut vers le bas du propre le sale D plier au fur et mesure la chiffonnette Changer la chiffonnette aussi souvent que n cessaire Poser la gaze sur le sol Placer le balai dessus la clip
58. M ES y ia memes fiamm ES ramo ponen p inemnem ES 1 iamas apna 2 O 5 uen on amenena 1 ienn en a s iamen La r cup ration des bandeaux de lavage sales r utilisables est pr vue de fa on adapt e ji N Il existe une tracabilit des actions effectu es 17 i r de l entretien du mat riel de l alternance des produits CCLIN Sup Ouest 2005 Fiche N 11 1 a CLIN SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES cai ve led inertia nosocomiales ceardinatian de R f rence Logo ou nom de HYGI NE EN RESTAURATION Date 120 l tablissement Version PR PARATION ET DISTRIBUTION DES REPAS 1 Objectifs La distribution des repas peut pr senter des pratiques diverses et n cessite de pr senter de mani re synth tique l organisation du travail Formaliser les tapes de distribution des repas en tenant compte de l hygi ne des r sidents et de l environnement tout en assurant la non contamination des repas des r sidents 2 Domaine d application Salles manger offices alimentaires chambres des r sidents 3 R f rences Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 Arr t du 21 d cembre 2009 relatif aux r gles sanitaires applicables aux activit s de commerce de d tail d entreposage et de transport de produits d origine animale et denr es alimentaires en contenant R glement CE N 852 2004
59. N Cedex Haute Normandie ARSIF Cellule de Veille d Alerte et de Gestion ars75 alerte ars sante fr 0825 811 411 01 44 02 06 76 Sanitaires 36 rue de la Gare 75935 PARIS Cedex 19 le de France CCLIN Nord Pavillon Leriche CCLIN Noro 2011 Fiche 1 2 96 rue Didot 75014 PARIS T l 01 40 27 42 00 Fax 01 40 27 42 17 http www cclinparisnord org MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD QD pr FicHes TECHNIQUES PRATIQUES list fre lee infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de tablissement ALERTE COORDONN ES EN INTER R GION QUEST Date Version Telephone F Adresse ax Basse ARS de Basse Normandie Normand arsbnormandie veille sanitaire ars sante fr 0231709510 02 31 70 95 50 Espace Claude Monet Pine 14050 CAEN Cedex 4 ARS de Bretagne Bretagne ars35 alerte ars sante fr 0974500009 029001 25 25 6 Place des colombes CS 14253 35042 RENNES Cedex ARS du Centre Cent 45 alert te f 02 38 77 32 10 02 34 00 02 58 pag au alle entre ars45 alerte ars sante fr BP 74409 45044 ORLEANS Cedex Pavs de la ARS des Pays de la Loire ars44 alerte ars sante fr 0 800 277 303 02 49 10 43 89 17 bd Gaston Doumergue CS 56233 44262 NANTES Cedex 02 CCLIN Ouest CHU Hotel Dieu CCLIN Ouest 2011 Fiche 1 2 CS 26419 35064 RENNES Cedex 2 T l 02 99 87 35 30 Fax 02 99 87 35 32 http www cclinouest com y SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUE
60. OYAGE DU MOBILIER LIT FAUTEUIL ADAPTABLE ENTRETIEN DES FLEURS COUPEES NETTOYAGE DES ACCESSOIRES POIGNEES ET MONTANT DE PORTES INTERRUPTEURS COMMANDES ELECTRIQUES TELEPHONE NETTOYAGE DES SANITAIRES LAVABO DOUCHE WC NETTOYAGE INTERIEUR DES PLACARDS MOBILIERS APRES LE DEPART METALLISATION DU SOL DU RESIDANT Toute surface sale doit tre nettoy e chaque fois que n cessaire Cette p riodicit est propos e a titre indicatif CCLIN Ouest 2002 Fiche N 11 1 EN eS SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES EHER ccordirati n de ve lex infr diarrs nosocomiales R f rence Logo ou nom de ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 l tablissement Version ENTRETIEN DES SANITAIRES 1 Objectifs Entretenir et d sinfecter les sanitaires pour pr venir le risque d infections associ es aux soins Les sanitaires lavabo vier bac de trempage bidet baignoire douche WC et vidoir sont des lieux privil gi s de d veloppement microbien car ils combinent tous les facteurs favorisant la croissance des micro organismes les salissures l humidit et la chaleur 2 Domaine d application Tous les professionnels concern s par l entretien des locaux 3 R f rence Fiches conseils pour la pr vention du risque infectieux Bionettoyage Page 8 10 Juillet 2010 C CLIN Sud Est 4 Techniques et m thodes a Mat riel et pro
61. Param dicaux e Liste des formations diplomantes en hygiene hospitaliere presentees par Inter region Fiche n 1 2 SURVEILLANCE ALERTES INDICATEURS e Strategie de prise en charge en cas de d nutrition e Coordonn es en cas d alerte par inter r gion e Coordonn es des ARLIN Fiche n 1 3 ANTIBIOTIQUES un kit de formation sera disponible fin 2011 Direction G n rale de la Sant Fiche n 1 4 TENUE DU PERSONNEL DANS L ETABLISSEMENT aS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD a FicHes TECHNIQUES PRATIQUES Te l ccardirat n de ve led inertia ales p R f rence ROGRAMME DE FORMATION Logo ou nom de Bars 120 l tablissement M DICAUX Version Th mes de formation Objectifs p dagogiques Cat gorie professionnelle Th mes de formation Objectifs p dagogiques concern e 1 D finitions M decin coordonnateur Conna tre le cadre r glementaire et les recommandations M decin lib ral concernant la pr vention du risque infectieux Directeur IDE coordinatrice 2 Pr cautions M decin coordonnateur Savoir faire une hygi ne des mains adapt e aux situations Standard PS M decin lib ral rencontr es Directeur Conna tre les situations de soins qui n cessitent un port IDE coordinatrice de protection masque gants tablier et appliquer les recommandations Conna tre les diff rentes proc dures de traitement du mat riel utilis Etre capable de
62. R f rence Date 20 Version Principales sp cialit s BISEPTINE 0 Alcool benzylique Benzalkonium chlorure Chlorhexidine gluconate DAKIN Cooper Stabilis D riv s chlor s CHLORHEXIDINE savon HIBISCRUB 6 ET CHLORHEXIDINE alcoolique 0 5 Hibitane champ Principales indications D sinfection de la peau saine lors d h moculture et toutes ponctions vasculaires ou sous cutan es Temps de s chage 15 secondes Antisepsie de la peau l s e Antisepsie des muqueuses apr s d tersion Antisepsie de la peau l s e apr s AES apr s d tersion Antisepsie de la peau saine et d affections de la peau D sinfection de la peau saine lors d h moculture et toutes ponctions vasculaires ou sous cutan es CCLIN Suo Oussrt 2011 Fiche N IV 2 Principales contre indications effets ind sirables Rares cas d ecz ma allergique de contact Passage syst mique possible si occlusion Pas d application sur les muqueuses ou cavit s internes notamment g nitales effet n crosant Pas de contact avec le cerveau les m ninges ou le tympan chlorhexidine Tr s bonne tol rance Rares cas de sensations de br lures Efficacit diminu e sur plaie souill e de sang ou de pus Ce m dicament ne doit pas tre appliqu dans les yeux ni dans le conduit auditif Ne doit pas tre appliqu sur les muqueuses et la peau l s e Delai utilisation apres ouver
63. S PRATIQUES a ccordiration de lutte re lew infeetiona nosocomiales Logo ou nom de LERTE COORDONNEES EN INTER REGION l tablissement Sup Est Date 120 Version 04 73 74 48 80 04 88 00 67 24 ARS de Corse Corse ars2a alerte ars sante fr 04 95 51 99 88 04 95 51 99 12 Quartier St Joseph CS 13 003 20700 AJACCIO Cedex 9 ARS Languedoc Roussillon 28 Parc Club du Mill naire 1025 rue Henri ars34 alerte ars sante fr 04 67 07 20 60 04 57 74 91 00 Becquerel CS 30001 34067 MONTPELLIER Cedex 2 ARS PACA ars paca vss ars sante fr 04 13 55 80 00 04 13 55 83 44 132 bvd de Paris CS 50039 13331 MARSEILLE Cedex 03 Rh ne ARS Rh ne Alpes A ars69 alerte ars sante fr 04 72 34 31 52 04 78 60 88 67 129 rue Servient p 69418 LYON Cedex 03 ARS OI D l gation de la R union Oc an a 2 bis avenue Georges Brassens Indien ars oi signal reunion ars sante fr 02 62 93 94 15 02 62 93 94 56 CS 60050 97408 SAINT DENIS Cedex 9 Oc an ARS OI D l gation de Mayotte Indien ars oi cvags mayotte ars sante fr 02 69 61 83 20 02 69 61 83 21 Rue Mariaz BP 410 97600 MAMOUDZOU CCLIN Sud Est H pital Henry Gabrielle Villa Alice CCLIN Sup EsT 201 1 FicHE 1 2 20 route de Vourles 69230 SAINT GENIS LAVAL T l 04 78 86 49 49 Fax 04 78 86 49 48 http www cclin sudest chu lyon fr ARS du Puy de Dome 60 avenue de l Union Sovi tique 63057 CLERMONT FERRAND Cedex ars63 alerte wars sante fr Languedoc Roussillon
64. S PIQUANTS COUPANTS TRANCHANTS M ME SECURISES Dans PLASTIQUE JAUNE Quand ils sont pleins au Y actionner leur fermeture d finitive avant de les vacuer avec les DASRI Tout objet piquant coupant tranchant Toutes les aiguilles Seringues serties Lovenox vaccins Mandrins des cath ters Ampoules vides Rasoirs m caniques CONTAINERS EN DECHETS MENAGERS Dans POCHES PLASTIQUES NOIRES OU GRISES D chets alimentaires Papiers administratifs Emballages papier m tal Fleurs Protections papier pour table d examen PROTECTIONS adulte incontinent sauf si pr cautions compl mentaires Poches de colostomie Flacons perfusion en plastique CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n 11 4 VERRE DECHETS BLANC RECYCLABLES Dans CARTONS Carafes en verre Verre blanc cass Assiettes cass es Flacons de perfusion en verre Flacons vides de m dicament NB Ne pas d poser d ampoules cass es risque de blessures NE METTRE QUE DU VERRE ECLIN MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES i a ccardlirati n de i ine lee infectia nosocomiales R f rence Logo ou nom de a ils GESTION DES D CHETS l tablissement Date Version ANNEXE II Processus d limination des pacemakers et d fibrillateurs implantables Piles et accumulateurs R glem
65. SE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D Tr Fiches TECHNIQUES PRATIQUES lia Aare leg infections nmoeeocoom ales R f rence Logo ou nom de r z P tablissement GESTION DES RISQUES EPIDEMIQUES Date 120 Version Masques Denomination Exemples d indication Actes de soins ou de petite chirurgie sans risque deprojection de liquides biologiques Sans couche Pour les d placements des patients contagieux imperm able exemple tuberculose Masque m dical Aveccouche Actes de soins ou de chirurgie avec risque de impermeable projectionde liquides biologiques vers le soignant Le choix entre FFP1 FFP2 ou FFP3 sera fonction de l valuation des risques type d agent biologique tache effectu e Exemples e FFP1 soins ou visite a un patient tuberculeux contagieux e FFP2 pour les professionnels de sant dans des situations particuli rement a risque intubation expectoration induite tuberculose multir sistante en p riode de grippe saisonni re lors de la prise en charge de patient suspect ou atteint de SRAS de grippe pand mique Appareil de protection respiratoire jetable Menaces bioterrorismes e Choix selon les indications du plan Biotox Les masques doivent tre adapt s aux visages et chang s conform ment aux recommandations du fabricant Il faut jeter tout masque qui est cras mouill ou estcontamin par les s cr tions d un patient Chambre plusieurs lits dans la mesure du
66. SQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES D R f rence Date 20 Version Port de gants Type de gants OUI N TCI il Non st rile manchettes hautes Oui Nonst rile Owi None SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES a ve led inertia nosocomiales ceardinatian de R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES SOINS Date I 120 Version PANSEMENTS PLAIES 1 Objectif Pr venir le risque infectieux sur peau l s e 2 Domaine d application personnel concern Concerne les pansements sur plaies aigues et chroniques risque infectieux faible exemple plaie sutur e ou plaie chronique d ulc re ou d escarre stade 2 IDE et personnel habilit 3 R f rences Hygiene des plaies et pansement CCLIN Ouest 2004 4 Recommandations gt Plaies chroniques exemple escarre au stade 2 ou ulc re Fr quence pansement chang lorsqu il arrive a saturation au maximum une semaine et en fonction de la surveillance visuelle quotidienne r alisation en d but d une s rie de pansements Materiel et produits set de soins non indispensable compresses st riles nettoyage a l eau du r seau ou s rum physiologique pas d antiseptique pansement extra mince type film hydro colloide ou de film polyur thane Tra abilit suivi v rifier le pansement tous les jours surveiller ta
67. Sup QOuest 2011 Fiche n IV 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una ine lee infectia neon babes R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES SOINS Date I 120 Version POSE GESTION DES CATH TERS VEINEUX P RIPH RIQUES R f rences Surveiller et Pr venir les Infections li es aux soins Haute autorit de sant 2010 Audit cath ter veineux p riph riques GREPHH 2009 Pose et entretien des cath ters veineux p riph riques Crit res de qualit pour l valuation et l am lioration des pratiques professionnelles HAS SFHH Avril 2007 Pr vention des infections li es aux cath ters veineux p riph riques Recommandations pour la pratique clinique HAS SFHH novembre 2005 D cret n 2004 802 du 29 juillet 2004 relatif aux parties 4 et 5 du Code de la Sant Publique Actes professionnels relatifs l exercice de la profession d infirmier Mat riel pr voir V rifier l int grit des emballages et du mat riel ainsi que les dates de p remption Plateau ou plan de travail pr alablement nettoy et d sinfect Cath ters tubulures si n cessaire robinets valves antiretour rampes de robinets Mat riaux possibles il est recommand pour pr venir le risque infectieux d utiliser soit des cath ters en polyur thane ou en polym res fluor s Produit ou solution hydro al
68. VENTION DES ACCIDENTS a l Date l tablissement AVEC EXPOSITION AU SANG Version 120 4 Description de la conduite tenir immediatement apr s AES LIRE ET SUIVRE LE PROTOCOLE dy R ALISER LES PREMIERS SOINS Y Piqure accidentelle ou contact sur peau l s e Projection oculaire avec du sang ou un liquide biologique NE PAS FAIRE SAIGNER Rincer lel abondamment sous l eau ou avec du s rum Nettoyer abondamment la plaie l eau et au savon ah doux ut hysiologique Rincer abondamment pay Sq ADA durant 5 a 10 S cher minutes Appliquer l antiseptique par trempage de la zone l s e si le trempage da la zone piqu e est possible sinon appliquer un pansement imbib de produit antiseptique Avec du DAKIN Cooper stabilis ou de la BETADINE dermique durant 5 a 10 minutes Nuit week end et f ri Pr venir la personne de garde administrative en particulier si le remplacement du professionnel expos est n cessaire Jour Pr venir le cadre de sant ou l IDE coordinatrice ou une personne de la direction et le m decin coordonnateur s il est pr sent Rechercher le r sident source si l identification est possible Rechercher dans son dossier des analyses pr c dentes permettant de connaitre son statut s rologique vis a vis des H patite B C et du VIH S ln existe pas de r sultats faire appel aux m decins r f rents AES r g
69. a pr vention des risques d accident d exposition au sang et prot ge le soignant contre ce risque quand ils sont port s 2 Domaine d application personnel concern Toutes les cat gories professionnelles de EHPAD Tous les intervenants ext rieurs vacataires lib raux etc 3 R f rences Surveiller et pr venir les infections associ es aux soins HCSP SFHH 2010 Rec 32 33 et 34 Recommandations professionnelles Pr vention des infections en tablissement d hebergement pour personnes g es d pendantes Consensus formalis d expert Programme Priam ORIG SFHH 2009 Rec 12 13 et 14 Pr vention de la transmission crois e pr cautions compl mentaires contact SFHH 2009 Rec 6 7 Institut national de recherche et de s curit pour la pr vention des accidents du travail et des maladies professionnelles INRS Fiche pratique ED 112 2003 Des gants contre les risques chimiques Fiche pratique ED 118 2004 Gants de protection pour les m tiers de la sant Circulaire DGS DH n 98 249 du 20 avril 1998 relative a la pr vention de la transmission d agents infectieux v hicul s par le sang et les liquides biologiques 4 Bonnes pratiques pour l utilisation des gants R aliser une technique d hygi ne des mains avant et apr s le port des gants Enfiler les gants au plus pr s du soin Changer les gants entre deux activit s entre chaque r sident et chaque soi
70. act alimentaire Lavettes et papier absorbant 6 Recommandations Contr ler la temp rature interne du r frig rateur et reporter la temp rature sur la fiche de contr le Verifier les aliments Contr ler les dates limites de consommation DLC des suppl ments eau g lifi e des collations du beurre inscrite sur chaque tablette 60 jours apr s fabrication de la margarine Contr ler les dates d ouverture des briques de lait de potages de jus de fruits Jeter toutes les denr es d fectueuses p rim es mal ou non prot g es ou non dat es Ranger les aliments en fonction de la date limite de consommation premier rentr premier sorti Essuyer avec une lavette imbib e d une solution d tergente les grilles et la contre porte puis les surfaces ext rieures du r frig rateur Conduite a tenir en cas de non conformit Signaler sans d lais les dysfonctionnements au responsable cadre cuisinier pr ciser le nom fonction et temp rature anormale exces de stocks de p remptions CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE scort FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re leg infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de HYGI NE EN RESTAURATION Date 20 l tablissement Version ENTRETIEN HEBDOMADAIRE DU R FRIG RATEUR 1 Objectif Ce protocole d crit les tapes de nettoyage du r frig rateur situ dans le
71. action et toujours rincer abondamment car il s agit d un produit tr s corrosif WC et vidoir Op ration r aliser avant de commencer l entretien des sanitaires mettre du produit dans la cuvette laisser agir 10 15 minutes frotter l aide de la balayette WC tirer la chasse Attention Bien penser d sinfecter l int rieur de la cuvette la fin de l entretien CCLIN Ouest 2002 Fiche N 11 1 O Logo ou nom de l tablissement MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ENTRETIEN DES LOCAUX a ccardliration de tre lew indeed nosocomiales R f rence Date 20 Salle a manger Salle de soins Salles collectives animation couloirs Salles techniques vidoir local du lave bassin sanitaire collectif office blanchisserie local linge sale local poubelles Local linge propre Local stockage mat riel propre Version ENTRETIEN DES LIEUX COLLECTIFS apr s chaque repas quotidien quotidien hebdomadaire balayage essuyage humide lavage avec un d tergent 6 jours par semaine lavage avec un d tergent d sinfectant une fois par semaine essuyage humide des plans de travail avant chaque utilisation et fond une fois par jour balayage essuyage humide lavage avec un d tergent un jour par semaine ou moins selon les besoins lavage avec un d tergent d sinfectant 6 7 jours par semaine
72. adine gyn cologique flacon de 125 mL et 500 mL B tadine solution pour soins de bouche dose de 10 mL flacon de 125 mL Biseptine flacon de 40 mL 250 mL 500 mL pulv risateur 100 mL Dakin Cooper flacon de 60 mL 125 mL 500 mL et kit AES Hibitane champ flacon de 125 mL et 500 mL Chlorhexidine alcoolique Gilbert flacon de 125 mL Chlorhexidine alcoolique a 0 5 Poliodine dermique dose de 15 mL flacon de 45 mL 100 mL 500 mL Povidone iod e Mylan flacon de 125 mL 250 mL Ne sont pas des antiseptiques Eau oxyg n e 10 volumes flacon de 125 mL Eosine 2 dose de 5 mL a usage unique Remarque Les solutions et gels hydro alcooliques ne sont indiqu s que pour la d sinfection des mains et doivent tre r serv s a cet effet 5 Principaux types d antisepsie NES ANTISEPSIE EN UN TEMPS INDICATIONS Y La d sinfection de la peau saine avant pr l vement ou injection IM IV directe S C sur peau saine non souill e Exemple d antiseptique pouvant tre utilis alcool modifi 70 Remarque La d sinfection des bouchons de flacons de m dicaments injectables se fait avec des antiseptiques alcooliques s ANTISEPSIE EN CINQ TEMPS INDICATIONS g Pose d un abord vasculaire veineux ou sous cutan sondage urinaire et autres actes invasifs Sur prescription m dicale Soins de plaies Cinq phases 1 D tersion Elimination d une fraction de la flore cutan e et les substance
73. ains brise jets les flexibles de douche les douchettes les joints d fectueux Relev s simultan de temp ratures en diff rents points du r seau Examen des proc dures de maintenance d entretien et d auto surveillance Evaluation de l aptitude du r seau supporter les traitements de choc D termination des mesures pr ventives et correctives Chiffrage financier des co ts des travaux pour la s curisation du r seau Tableau des actions a mener a court moyen et long terme en prenant en compte le niveau de risque 3 Prestations compl mentaires souhaitables Proposition de carnet sanitaire Proposition des proc dures de maintenance et d entretien Proposition de formation et d information du personnel QUIPE HYGI NE EPIDEMIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 FicHe N 11 5 cute maille Ne MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE scort FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re leg infections nosocomiales Reference Logo ou nom de GESTION DE LA QUALITE DE L EAU l amp tablissement CARNET SANITAIRE Date 20 Version PARTIE I CONNAISSANCE DU RESEAU D EAU SANITAIRE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT 1 1 RENSEIGNEMENTS ADMINISTRATIFS 1 2 INTERVENANTS 1 2 1 Intervenants internes 1 2 2 Intervenants externes contrats 1 3 CELLULE D ALERTE OU DE CRISE 2 LES INSTALLATIONS 2 1 CONNAISSANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION DE
74. ambre et plus si n cessaire Possibilit de lavage m canis des sols avec une monobrosse ou autolaveuse ARLIN AUVERGNE 2010 Fiche n 11 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D ai FicHes TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 Version TECHNIQUE D ENTRETIEN PAR LA VAPEUR 1 Objectif Nettoyer toutes surfaces mat riaux et quipements 2 Principe La vapeur est un gaz qui r unit en un seul temps une activit d tersive et biocide effets conjugu s de la temp rature de la pression La vapeur est un gaz au pouvoir nettoyant tres performant elle agit comme un tensio actif qui dissout les graisses et nettoie en profondeur 3 Mat riel appareil a production de vapeur d eau haute temp rature 120 a 160 haute pression 4 6 bars muni ou non d un dispositif d aspiration articles d essuyage de pr f rence en microfibres si pas d aspiration accessoires adapt s aux surfaces nettoyer 4 Produit Absence de produit en entretien quotidien Un d tergent peut tre utilis en cas d entretien particuli rement difficile 5 Technique Pr paration de l appareil remplir le r servoir d eau chaude de pr f rence temps de mise en chauffe de quelques minutes brancher l appareil purger une fois chaud v rifier la propret des
75. at riel m dico chirurgical pinces curettes En contact avec muqueuse ou peau l s e superficiellement semi a d sinfection de niveau interm diaire Ha risque m dian on critique ex bassin de lit urinal chaise perc e mat riel ORL En contact avec la peau d sinfection de bas niveau intacte du r sident ou sans non critique risque bas ex tensiom tre st thoscope appareil a ECG contact avec le r sident barri res de lit mat riel de r ducation Source Guide des bonnes pratiques de d sinfection des DM CTIN CSHPF 1998 La st rilisation est sous la responsabilit d un pharmacien g rant de pharmacie a usage int rieur est incontournable pour les dispositifs m dicaux st rilisables du mat riel m dico chirurgical non r utilisable dit usage unique apr s utilisation est interdite la chaleur s che Poupinel est proscrite Le choix de dispositifs m dicaux usage unique en EHPAD est privil gier L int grit de l emballage est v rifier avant l utilisation FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 Fiche N 111 1 en vy MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D p Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ne lew indict rs nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date 120 l tablissement Version 3 R f rences Comit technique national des infections nosocomiales Surveillance
76. blissement GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date I 120 Version ENTRETIEN DE LA ROBINETTERIE A RATEUR NEZ DE ROBINET POMMEAU DE DOUCHE COL DE CYGNE FLEXIBLE Rappel Privil gier Les mat riaux non m talliques Les a rateurs de type toil s Les flexibles non cannel s Les pommeaux de douche simples 1 Objectif Participer a la ma trise des l gionelles par des actions pr ventives de nettoyage d tartrage et d sinfection des l ments de la robinetterie 2 Recommandations Entretien au minimum une fois par semestre apr s valuation de entartrage des installations pour tablir la p riodicit d entretien Verifier la v tust des p riph riques tablir un ch ancier de remplacements Privil gier le remplacement des flexibles et pommeaux de douche par du mat riel neuf 3 Mode op ratoire Nettoyage d tartrage Demontage nettoyage d tartrage p riodique des accessoires Immerger les accessoires dans une solution acide PRODUIT DILUTION TPS CONTACT EN MINUTES OBSERVATIONS D tartrant Respecter les recommandations du produit Observer le temps indiqu Protection du professionnel Rin age S chage Soigneux l eau du r seau Laisser s cher Plonger les accessoires dans une solution d sinfectante propurr DILUTION TPS CONTACT EN MINUTES CONTACT EN MINUTES OBSERVATIONS Eau de javel a 2 6 D t rioration du mat riel On 20
77. ciaux lors de Les utilisateurs autres que les m nages doivent s as surer de la collecte de la valorisation et de l limi nation de leurs piles ou accumulateurs qu ils soient ou non incorpor s a des appareils art 8 Les piles et accumulateurs doivent tre stock s dans des conteneurs tanches a l abri des intemp ries Les piles et accumulateurs ainsi que les appareils les contenant s ils ne peuvent en tre s par s stimulateurs cardiaques sont collect s sp cifique ment puis limin s ou valo ris s dans des installations autoris es yet d fibrillateurs implantables leur passage dans les ta blissements Le co t du traitement est alors pris en charge par la soci t qui a commercialis le disposi tif m dical Les pacemakers toutes marques confondues sont remis a un collecteur de d chet Une convention est alors tablie entre l tablissement et le col lecteur ainsi qu entre l tablissement et l limi nateur final du d chet Un formulaire CERFA doit tre renseign afin d assu rer la tra abilit de ce d chet Le co t du traite ment est la charge de l tablissement ayant pro c d l explantation TC N oS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES Logo ou nom de l tablissement GESTION DES D CHETS CARE coordination de i ne lew infert nesocomibales R f rence Date Version
78. coolique PHA ou SHA Protection de lit Poche d chet DASRI conteneur OPCT Compresses st riles garrot Gants a usage unique non st riles Solut pr par Pansement occlusif st rile transparent Gamme antiseptique Pied perfusion Sil est indispensable de d piler utiliser une tondeuse des ciseaux ou ventuellement une cr me d pilatoire lL usage de rasoir augmente le risque infectieux Le rasoir ne doit pas tre utilis pour d piler R alisation de l acte V rifier la prescription m dicale Rassembler le mat riel n cessaire a la pose du solute sur le plan de travail nettoy d sinfect Siles mains sont visuellement propres r aliser l hygi ne des mains avec une friction hydro alcoolique Pr parer le solut juste avant la pose cf prescription Noter sur le flacon la date l heure de pose et la dur e de la perfusion Eventuellement les produits m dicamenteux rajout s dans la perfusion Purger les tubulures Pr venir le r sident du soin l installer confortablement Disposer le pied s rum l endroit le plus pratique par rapport la position soignant r sident Choisir une position ergonomique pour effectuer le soin Bien d gager le site de ponction Mettre la protection sous le bras D sinfection des mains avec PHA Mettre les gants a usage unique non st riles Remarque si le site d in
79. d insertion maintenir la pression jusqu l adaptation de la tubulure sur le cath ter retirer et vacuer imm diatement le mandrin du cath ter dans le conteneur OPCT situ proximit du soin adapter la tubulure ouvrir doucement la molette s assurer que le passage du solut n entraine pas de douleur ou de br lure au patient fixer la tubulure la peau avec le sparadrap v rifier le bon coulement du solut molette largement ouverte puis ralentir le d bit Remarque S le cath ter est mal positionn il faut repiquer le r sident en prenant un autre cath ter recouvrir d un pansement occlusif transparent st rile retirer les gants usage unique et pratiquer une friction hydro alcoolique des mains inscrire la date de la pose du cath ter sur le pansement r gler le d bit de la perfusion r installer le r sident en lui demandant de signaler toute douleur ou g ne au niveau du point de ponction mettre port e de la main du r sident les objets qui lui sont indispensables lunettes urinal mouchoirs sonnette boisson etc ranger le mat riel pratiquer une hygi ne des mains par friction hydro alcoolique Tra abilit Inscrire la date de la pose du cath ter sur le pansement Noter le soin dans le dossier de soins du r sident Assurer les transmissions crites et orales date et heure de la pose position et type de cath ter DM install s robinet rampe
80. dministration du traitement Pr cautions compl mentaires Aux pr cautions standard habituelles qui sont une barri re efficace la transmission ajouter des pr cautions compl mentaires contact minimum 48h Rappel pr cautions contact gt sur la porte de la chambre Chambre individuelle si possible ou regroupement si plusieurs patients atteints Port de gants et de surblouse manches longues avant d entrer dans la chambre Recueillir les d chets dans la chambre fermer le sac avant de sortir et l vacuer dans la fili re DASRI Pratiquer un lavage simple des mains dans la chambre apr s le retrait des gants action m canique pour vacuer les parasites puis SHA pour la lutte contre la transmission crois e en g n ral Une prescription m dicale met un terme l isolement septique Ld LJ Gestion du linge Linge supportant un lavage gt a 60 le placer dans un sac plastique ou hydro soluble puis l vacuer rapidement par le circuit habituel du linge identifier le sac Linge ne supportant pas un lavage gt a 60 le pulv riser dans le sac a linge avec un produit acaricide type A PAR ou BAYGON VERT fermer le sac attendre le temps pr conis par le fabricant souvent 3 h puis circuit habituel du linge Linge ne supportant pas un lavage gt a 60 et en l absence de produit laisser le linge en quarantaine dans le sac pendant environ 8 jrs tps n cessaire au sarcopte pour mourir fau
81. dont la nutrition disponible et la pr vention du risque infectieux a para tre en 2011 A chacune des th matiques correspond au outil de sensibilisation de formation et d aide a la pratique quotidienne Cet outil a t concu par la soci t francaise de g riatrie et g rontologie SFGG en lien avec les soci t s savantes et les acteurs professionnels concern s Cet outil peut tre remis a titre gratuit sur la base d un engagement une bonne utilisation charte Mobiqual a signer Renseianements mobiaual sfaa ora SFGG 2011 Fiche 1 2 F Tykit eee k Derlairia el Deal lor SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES la Ceordination de nte led infectia 1 jute nosocomibale R f rence Logo ou nom de STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE l tablissement D NUTRITION Date Version HAS HAUTE AUTORIT DE SANT SYNTH SE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES 2007 Strat gie de prise en charge en cas de d nutrition prot ino nerg tique chez la personne g e OBJECTIF laborer un outil d aide la prise en charge de la personne g e d nutrie ou risque de d nutrition pour les professionnels de sant ABREVIATIONS CNO compl ments nutritionnels oraux NE nutrition ent rale AET apports nerg tiques totaux SITUATIONS RISQUE DE D NUTRITION Situations sans lien avec l ge cancers d faillances
82. du parlement europ en et du conseil du 29 avril 2004 relatif Phygi ne des denr es alimentaires 4 Personnes concern es Agents d di s au service h telier Aides soignants Aides M dico psychologiques AMP Infirmiers 5 Mat riel et produits n cessaires Produit hydro alcoolique savon liquide ordinaire lingettes pr impr gn es Tablier de protection pour le personnel de service des repas Torchons r utilisables usage exclusif pour les offices alimentaires ou papier absorbant D finfectant agr contact alimentaire pour le nettoyage des tables Lavettes Placards de rangement Serviettes de tables ou bavoirs r utilisables ou usage unique 6 Recommandations Pr sentation chronologique du service des repas 6 1 Tenue du personnel du service repas Prot ger la tenue standard par un tablier de protection Hygiene des mains avant et apr s la manipulation des denr es alimentaires 6 2 R ception et stockage si n cessaire des repas Respecter le d lai entre r ception et stockage d fini pour le mode de pr paration par la cuisine Contr ler le r frig rateur propret temp rature absence d aliments p rim s Contr ler les quantit s livr es CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 EPn Ein MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D A FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i ecardination da R f rence HYGI NE EN RESTAURATION Date 120 Logo ou
83. duits chariot de m nage sacs poubelles pour d chets assimilables aux ordures m nag res DAOM gants de m nage lavette usage unique ou recyclable balayette WC solution d tergente d sinfectante creme a r curer ou d tergent sp cial sanitaire d tartrant WC d tartrant robinetterie entretien des sols lavage des sols uniquement on ne fait pas de balayage humide dans les lieux qui risquent d tre mouill s b M thode On travaille toujours du plus propre au plus sale Nettoyage et d sinfection au quotidien Entourage Comme son nom l indique c est tout ce qui entoure les lavabos douche WC le luminaire le miroir le distributeur de papier essuie mains le porte serviette le porte manteau la barre d appui la zone murale sensible aux projections la tablette au dessus du lavabo CCLIN Ouest 2002 Fiche N 11 1 e LIN one MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FicHes TECHNIQUES PRATIQUES Case R f rence Logo ou nom de ENTRETIEN DES LOCAUX Date 20 l tablissement Version Lavabo douche bidet bac de trempage A l aide de la lavette impr gn e de solution d tergente d sinfectante passer sur toutes les surfaces des lavabos douches bidets robinetterie ext rieur rebord int rieur Pour l int rieur des lavabos douche bidet nettoyer avec la cr me r curer ou
84. dut a des norovirus utiliser de pr f rence un d tergent puis de l eau de Javel 2 6 dilu e au 1 5 avec respect d un temps de s chage de 10 mn e nettoyer les pi ces de mobilier ex canap en tissu contamin s non r sistants l eau de Javel la vapeur Pr paration de l eau de Javel S1 utilisation de berlingots de 250ml solution 9 6 1 dilution dans un flacon de 1 litre berlingot de 250ml 750ml d eau froide pour obtenir une solution de 1 litre a 2 6 2 puis nouvelle dilution au 1 5 me 1 litre de la solution pr par e 2 6 dans 4 litres d eau Si utilisation de bidons de 1 ou 2 litres solution 2 6 dilution directe au 1 5 me 1 litre du bidon dans 4 litres d eau Traitement des dispositifs m dicaux e utiliser au maximum du mat riel usage unique ou d di s aux r sidents infect s Ne pas faire de stock de mat riel usage unique et produits stock s dans la chambre e vacuer les selles pour les patients incontinents limination fili re DASRI pour les patients continents o utiliser des lave bassins o d faut vacuer les selles dans le r seau d assainissement suivi de la d sinfection imm diate du bassin avec de l eau de Javel ou utiliser des sachets protecteurs de bassins ou des chaises perc es e privil gier l emploi de mat riel usage unique renouvel chaque changement de chambre A d faut d sinfecter le mat riel r utilisable
85. e raisonnement permettant d identifier les dangers et les risques en cuisine HAS Haute Autorit de Sant IN IAS Infection Nosocomiale Infection Associ e aux Soins InVS Institut de Veille Sanitaire IRA Infection Respiratoire Aigtie OM Ordures M nag res OPCT Objet Piquant Coupant Tranchant ORIG Observatoire du Risque Infectieux en G riatrie Cenir mi d ccardllrati n de eee les factom nosocomiales PHA Produits Hydro Alcooliques PC Pr cautions Compl mentaires PS Pr cautions Standard RABC Risk Analysis and Biocontamination Control m thode d analyse des risques de contamination microbiologiques du linge afin de les maitriser SFGG Soci t Francaise de G riatrie et G rontologie SF2H Soci t Francaise d Hygiene Hospitali re TIAC Toxi Infection Alimentaire Collective UU Usage Unique VHB Virus de H patite B VHC Virus de H patite C VIH Virus de l Immunod ficience Humaine gt MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES COMPOSITION DU GROUPE Coordination B LEJEUNE C BERNET N ARMAND O BAUD C BERNET M BESSON C BEUVE P BURLAT M A ERTZSCHEID C FAURE B GRISI D LANDRIU A LORY N LARROUMES B LEJEUNE D ZARO GONI N VERNIER Equipe d hygi ne inter EHPAD ARLIN Auvergne CCLIN Sud Est ARLIN Auvergne Equipe Inter EHPAD Korian groupement priv ARS Rh ne Alpes
86. e DRASS Midi Pyr n es 2004 en annexes 5 Caract ristiques des locaux de stockage des DASRI S EXTRAIT DE L ARRETE DU 7 SEPTEMBRE 1999 Y RELATIF AUX MODALIT S D ENTREPOSAGE DES DASRI Modifi par l arr t du 14 octobre 2011 Art 8 Sur les sites de production et dans les installations de regroupement les d chets d activit s de soins a risques infectieux et assimil s sont entrepos s dans des locaux r pondant aux caract ristiques suivantes 1 Ils sont r serv s a l entreposage des d chets et peuvent servir le cas ch ant a l entreposage des produits souill s ou contamin s Une inscription mentionnant leur usage est appos e de mani re apparente sur la porte Leur surface est adapt e a la quantit de d chets et produits a entreposer CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche N 11 4 WA ns MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D p Fiches TECHNIQUES PRATIQUES hare lew ani nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES D CHETS Date 120 Version 2 Ils ne peuvent recevoir que des d chets pr alablement emball s Les emballages non autoris s pour le transport sur la voie publique au titre de l arr t du 5 d cembre 1996 modifi susvis doivent tre plac s dans des grands r cipients pour vrac tanches et facilement lavables La distinction entre les emballages contenant des d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s e
87. e avec produits O e e N Phase phases Nature du produit La gamme gamme DAKINO ae Savon doux liquide st rile 5 1 DETERSION Savon antiseptique B tadine scrub unidose 10 mL Dascrub 2 RINCAGE Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose ANTISEPSIE 4 Utiliser un antiseptique Antiseptique aqueux B tadine dermique Dakin stabilis aqueux 6 Recommandations pour l utilisation des antiseptiques Limiter le nombre de familles d antiseptiques utilis s dans le m me service 2 ou 3 familles Utiliser en fonction des indications de 1 AMM et des recommandations des fiches techniques des produits V rifier la compatibilit avec la peau saine et ou l s e Respecter le temps de contact indiqu par le laboratoire Exemple B tadine scrub jusqu au blanchiment de la mousse B tadine alcoolique jusqu au s chage Utiliser un savon antiseptique et un antiseptique de la m me famille afin d viter le risque d inactivation des produits par antagonisme et le risque de toxicit par incompatibilit Rincer abondamment les savons antiseptiques fragilit de la peau des personnes g es S cher soigneusement en particulier au niveau des plis Surveiller la tol rance locale ryth me dess chement irritation Ne pas rincer l antiseptique non scrub sinon perte de effet remanent 7 Recommandations pour une bonne gestion des antisep
88. e unique les plus utilis s devraient tre Pour ne pas recontaminer les mains apr s le lavage quip s d une commande Fermer le robinet avec l essuie mains d ouverture non manuelle Jeter l essuie mains dans la poubelle sans couvercle Je prends une Je savonne au moms 15 dose de savon secondes en insistant sur doux les paumes les espaces Je me mouille les mains A interdigitaux les extr mit s des doigts le pourtour des ongles a Je rince abondamment en Je jette l essuie mains allant du bout des doigts vers les coudes sans toucher la poubelle Je ferme le robinet Je seche par tamponnements a avec l essuie mains l aide diessule mains a usage UNIQUE CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n IV 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una tne dew indes nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version LES GANTS 1 Objectifs Le port des gants a pour but de pr venir la transmission d agents infectieux manuport e du soignant vers le r sident et du r sident vers le soignant en cas de contact ou projection avec du sang des liquides biologiques des s cr tions ou excr tions pour tout contact avec une peau l s e ou une muqueuse lorsque les mains du soignant comportent des l sions cutan es Le port des gants a une place importante dans l
89. entation Piles et accumulateurs e Arr t du 26 juin 2001 relatif la communica tion des informations concernant la mise sur le march des piles et accumulateurs et leur limination e Circulaire du 7 janvier 97 relative l organisa tion de la collecte du recyclage et de P limi nation des piles et accu mulateurs e d cret n 99 374 du 12 mai 1999 relatif a la mise sur le march des piles et accumulateurs et a leur limination Retrait Piles implant es e D cret 2000 318 du 17 avril 2000 e D cret n 98 635 du 20 juillet 1998 relatif a la cr mation article R 2213 15 ancien article R 363 16 du code des communes e Arr t du 24 d cembre 1996 relatif aux deux mod les du certificat de d c s e Circulaire du 31 juillet 1995 relative aux pres criptions applicables aux chambres fun raires Piles et accumulateurs D finition Une pile ou un accumulateur est une source d nergie lec trique obtenue par transforma tion directe d nergie chimi que lors de son utilisation Piles non rechargeables e Piles batons cylindriques ou plates JL e Piles boutons Accumulateurs rechargeables e Plomb acide voitures e Nickel cadmium nickel m tal hydrure et lithium ion applications diverses Pacemakers Retrait post mortem R aliser une petite ex cision en regard du bo tier extraire le bo tier et couper la sonde ras Pour les d
90. entifiant reli des don n es administratives voire m dicales est conserv sur fichier gard confidentiel au sein de l tablissement de sant Fabricants et distributeurs de pacemakers en France En vert liste des marques collect es par la soci t MEDTRONIC France SAS 122 avenue du G n ral Leclerc BIOTRONIK France St JUDE MEDICAL biotronik de CA La Boursidiere BP 131 92357 Le Plessis Robinson Tel 01 46 01 33 33 w elamedical com Si la personne d c d e tait porteuse d une proth se fonctionnant au moyen d une pile un m decin ou un thanatopracteur atteste de la r cup ration de l appareil avant la mise en bi re Article 7 du d cret n 98 635 du 20 juillet 1998 Bibliographie 9 rue d Estienne d Orves 92504 Rueil Malmaison C dex T l 01 47 14 40 14 guidant com TECHNOPACE France Medico Spa 77 Bd Jean Baptiste Oudry 94000 Cr teil T l 01 43 39 22 00 T l 01 55 38 17 00 medtronic fr VITATRON France 40 rue Oradour sur Glane 75015 Paris T l 01 53 98 83 00 Les raisons de l explantation Changement de piles La dur e de vie du stimula teur d pend du type de r glage mais s tend toujours sur plusieurs ann es souvent six a dix ans L tat de la pile peut tre contr l par l appa reil de programmation Lors du changement de stimula teur les sondes restent g n ralement en place et seul le bo tier du
91. erdiction de d connecter sonde sac pendant la dur e du sondage Mat riel collecteur muni d un tube de vidange d une valve antireflux et d une fen tre de pr l vement pour limiter les ouvertures gt Geste invasif sur prescription m dicale Pose avec aide Organiser le soin apr s la toilette du r sident et la r fection du lit R aliser une d sinfection des mains par friction hydro alcoolique Poser la sonde aseptiquement toilette g nitale au savon liquide simple rin age s chage application d un antiseptique compatible avec la muqueuse Utiliser un gel lubrifiant st rile et en monodose peut diminuer le risque de traumatisme ur tral et d infection Porter des gants st riles pour l introduction de la sonde Tracer le soin et les ventuels incidents dans le dossier de soins gt Maintenance Fixer la sonde sans tension maintenir le sac en position d clive en dessous du niveau de la vessie R aliser une hygi ne des mains avant et apr s chaque manipulation sur le dispositif de sondage R aliser aseptiquement les pr l vements ECBU sur le site de ponction Vidanger les urines en utilisant gants et compresses impr gn es d antiseptique R aliser une toilette intime quotidienne au savon doux liquide et chaque fois que n cessaire avec des gants UU non st riles Changer sonde et poche en m me temps le changement de sonde s effectue par l IDE sans prescripti
92. erie Manipulations e Se laver les mains et porter une tenue propre cheveux attach s voire prot g s par une coiffe Zone de conditionnement e Plan de nettoyage nettoyer et d sinfecter les surfaces et les mat riels en contact avec le linge propre e R partir les articles dans des chariots houss s des armoires ferm es ou linge plac sous film e Contr ler Retirer tout article endommag V rifier les sacs linge syst me de fermeture int grit de la toile et des coutures e Pour les services loign s livrer le linge dans des v hicules sp cifiques portes ferm es e Plan de nettoyage et de d sinfection v hicules armoires Transport chariots housses e Proc dures de livraison et r ception lieu horaires circuits emprunt s formation du personnel affect Au niveau des secteurs de soins ou de r sidences des personnes g es e Limiter le temps d attente des conteneurs dans les couloirs halls R ception Stockage e Se laver les mains avant la manipulation du linge Utilisation du linge propre o o e Organiser le contr le a la r ception conformit du linge livr avec la dotation le service destinataire les conditions d hygi ne et de livraison Lingerie e Eviter le stockage excessif de linge propre e Local exclusivement r serv au stockage du linge e Volume et surface adapt s a la quantit de linge a ranger y compris le linge a usage unique e
93. es l sions 1 les soins ou manipulations exposent un risque de projection ou d a rosolisation de sang ou tout autre produit d origine humaine aspiration soins aux personnes trach otomis es ablation de pace Maker manipulation de mat riel et linge souille Port de tablier a usage unique lunettes masque Mat riel piquant coupant tranchant usage unique Ne pas re capuchonner les aiguilles ne pas les d sadapter la main d poser imm diatement apres usage sans manipulation ce mat riel dans un conteneur adapt situ au plus pres du soin et dont le niveau maximal de remplissage est v rifi Mat riel r utilisable Manipuler avec pr cautions le mat riel souill par du sang ou tout autre produit d origine humaine V rifier que le mat riel a subi un proc d d entretien st rilisation ou d sinfection appropri avant d tre r utilis Mat riels souill s Nettoyer et d sinfecter avec d tergent d sinfectant appropri les surfaces souill es par des projections ou a rosolisation de sang ou tout autre produit d origine humaine Surfaces souill es Transport de Les pr l vements biologiques double emballage le linge et pr l vements instruments souill s par du sang ou tout autre produit d origine biologiques de linge et humaine doivent tre transport s dans un emballage tanche de mat riels souill s ferm Apr s piq re blessure
94. eurs RECOMMANDATIONS CLASSIFICATION DES LOCAUX ET FREQUENCE D ENTRETIEN Objectifs propret visuelle pour les produits d tergents propret microbiologique pour les produits d tergent d sinfectants et d sinfectants Qualit s produit adapt la nature des surfaces traiter et la s curit du personnel avec un bon pouvoir nettoyant r pondant aux normes exig s pour les produits d tergent d sinfectants et d sinfectants bact ricide fongicide virucide v rifier dans a liste positive des d sinfectants SFHH Pr sentation volume adapt au stockage la manutention aux modes d utilisation mode d emploi lisible mono dose flacon muni de bouchon doseur pompe distributrice spray Crit res de choix dilution facile odeur discr te absence de traces sur les surfaces apr s ou sans rin age surfaces propres apr s utilisation bonne tol rance pour les personnels D tergent d sinfectants DD D tergents pour sols pour toutes surfaces D tergents pour sols et DD agr es contact alimentaire surfaces D tergent d sinfectants pour pour les cuisines et tables toutes surfaces D tergents pour les sanitaires D sinfectants pour surfaces Ne jamais m langer les produits d entretien entre eux Respecter les dilutions et les temps de contact Utiliser des gants pour manipuler ces produits En cas de spray privil gier la vaporisation sur les lavettes et non sur les surfaces REFERENCES Com
95. ew indes nosocomiales R f rence Logo ou nom de z 9 TR ee GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date 120 Version CAT DEVANT UNE CONTAMINATION ENVIRONNEMENTALE LA L GIONELLE signalement Lp entre 250 et 1000 ARS CVGAS UFC L Alerte Legionella pneumophila gt 10 UFC L Environnement Sant Recherche la cause de la S curisation des contamination renforcement usages a risque des mesures d entretien et de contr le des temp ratures Cellule d alerte ou de crise Informer le personnel les r sidents et leurs familles et ceux ayant s journ dans les 10 jours pr c dents Rechercher les sympt mes de pneumopathies ventuels chez les r sidents Rechercher l origine des carts et les causes de prolif ration en valuer l tendue Mettre en uvre les mesures n cessaires la ma trise des concentrations en l gionelles Mettre en place des actions curatives les valuer par une surveillance adapt e l importance de la contamination Le cas ch ant adopter un plan d actions non Nouveaux pr l vements lt 103 UFC I Ip oul e Lev e d alerte par l ARS e Entretien r gulier r seau et quipements e Surveillance des param tres physiques et microbiologiques e Suivi du Carnet sanitaire Usages a risque gt Douches salle de bain des r sidents salle de bain commune salon de coiffure cuisine gt Bains
96. f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date I 20 l tablissement Version FICHE TECHNIQUE NS Traitement des dispositifs m dicaux critiques r utilisables ex mat riel de soins st rilisables ciseaux pinces Les tapes de pr traitement sont identiques la Fiche technique N2 Traitements soumis r glementation Mat riel thermosensible Mat riel thermor sistant DESINFECTION Immersion complete dans une solution cei roj d sinfectante Mat riel thermor sistant i Respect de la dilution et du temps STERILISATION d immersion indiqu s par le EHPAD rattach un tablissement de fournisseur sant PUI ou convention avec tablissement de sant Rin age soigneux et abondant avec une qualit d eau adapt e microbiologiquement contr l e Essuyage soigneux avec un support usage unique ou lair m dical Dans un lieu de stockage propre et sec l abri de toute contamination STOCKAGE Prot ge le mat riel de la contamination environnementale projections d eau poussi res TE selon le syst me de qualit interne FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 Fiche N 111 1 er Ne eo CHAPITRE IV GESTION DES SOINS Fiche n IV 1 Actes infirmiers et de nursing e Soins respiratoires A rosolth rapie e Injections IV IM SC e Soins respiratoires Oxyg noth rapie e Hygiene des mains professionnels e
97. faire un tri s lectif en fonction du type de d chets Conna tre et appliquer la proc dure du tri du linge de l tablissement et des r sidents Conna tre la CAT en cas d AES pour le personnel 3 Strat gie m dicale M decin coordonnateur Mettre en place une politique de bonnes pratiques et de de pr vention des M decin lib ral pr vention IAS et de gestion Directeur pr l vements microbiologiques d pisodes infectieux IDE coordinatrice lutte contre la diffusion des BMR pid miques ou non politique de bonne utilisation des antibiotiques politique vaccinale cahier des charges avec le laboratoire Conna tre la CAT en cas de BMR Bact ries Multi R sistantes coqueluche gale grippe IRA Infections Respiratoires Aigu s ICD Infection a Clostridium difficile TIAC Toxi Infection Alimentaire Collective Gastroent rites 4 Formation M decin coordonnateur Mettre jour les comp tences m dicales M dicale Continue et M decin lib ral information Pour en savoir plus rapprochez vous de vos ARLIN CCLIN de vos organismes de formation CCLIN Sup Est 2010 Fiche N 1 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD En FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ve lex iferan ceardinatian de bee R f rence PROGRAMME DE FORMATION Logo ou nom de De I 120 l tablissement PARAMEDICAUX gt Version Themes de formation Objectifs p dagogiques Cat gorie pr
98. fibrillateurs il y a n ces sit de d sactiver l quipe ment au pr alable sous peine de recevoir une d charge 30J 750V D sinfection Les dispositifs m dicaux doivent tre nettoy s de toute trace de contamina tion Ils doivent tre rendus inertes bact riologiquement avant d tre envoy s la soci t qui effectuera le traitement de ce d chet Cette d sinfection peut s ef CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche N 11 4 e La directive 91 157 CEE du 18 mars 1991 relative aux piles et accumulateurs contenant des mati res dangereuses a eu pour objet d harmoniser les r glementations des Etats membres Les piles mises sur le march fran ais doivent tre collect es a partir du ler janvier 2001 Le d cret du 12 mai 99 ta blit les r gles d une valorisa tion optimale Les fabricants ou distribu teurs importateurs doivent reprendre gratuitement les piles et accumulateurs issus des m nages art 6 fectuer par im mersion dans une solution d hypochlorite de sodium contenant 1 de chlore puis par un rin age abondant l eau ou par utilisation des d sinfectants usuels en respectant les pr conisations des fabri cants Elimination Chaque tablissement r dige un protocole interne pour l limination de ce type de d chets Deux possibilit s Le retour des dispositifs m dicaux se fait directe ment aupr s du fabricant par envoi postal ou aupr s des commer
99. hicules sanitaires activit biocide l activit nettoyante se double d une activit d sinfectante possibilit d utilisation sur les dispositifs m dicaux non invasifs n cessit d un marquage CE ad quat volutivit des appareils propos s ex balai vapeur pour un usage quotidien Limites bruyant en cas d utilisation de l aspiration taux d hygrom trie important si utilisation intensive au quotidien L acquisition de cet quipement n cessite une tude de besoins en ce qui concerne les utilisations dans tablissement une r daction de protocoles crits concernant les fr quences d utilisation un accompagnement de la mise en uvre par une formation sp cifique des agents un suivi de l utilisation CCLIN Sup QOuest 2005 Fiche N 11 1 Sud Quest OCLUIN MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D A FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardinatian de nosocomiales R f rence Logo ou nom de Fe ice ac ENTRETIEN DES LOCAUX Date 1 J20 Version PLAN DE NETTOYAGE D UNE CHAMBRE DE RESIDENT Tableau extrait du guide hygi ne des structures d hebergement pour personnes g es du CCLIN Ouest 2002 ZONE 2 NETTOYAGE DE LA CHAMBRE DU RESIDANT AVEC SOINS FREQUENCE OPERATIONS cal TOUS LES 6 MOIS ET 1 FOIS SEMAINE APRES LE DEPART LES JOURS LES 3 MOIS DU RESIDANT EVACUATION DES DECHETS DU LINGE SALE NETT
100. humaine et favoriser un environnement agr able L enrichissement de l alimentation Il consiste enrichir l alimentation traditionnelle avec diff rents produits de base poudre de lait lait concentr entier fromage r p ufs cr me fra che beurre fondu huile ou poudres de prot ines industrielles p tes ou semoule enrichies en prot ines Il a pour but d augmenter l apport nerg tique et prot ique d une ration sans en augmenter le volume Ce sont des m langes nutritifs complets administrables par voie orale hyper nerg tiques et ou hyperprotidiques de go ts et de textures vari s Les produits hyper nerg tiques 2 1 5 kcal ml ou g et ou hyperprotidiques prot ines gt 7 0 g 100 ml ou 100 g ou prot ines z 20 de r AET sont conseill s lls doivent tre consomm s lors de collations a distance d au moins 2 h d un repas ou pendant les repas en plus des repas L objectif est d atteindre un apport alimentaire suppl mentaire de 400 kcal jour et ou de 30 g jour de prot ines le plus souvent avec 2 unit s jour Les CNO doivent tre adapt s aux go ts du malade a ses ventuels handicaps Il est n cessaire de veiller respecter les conditions de conservation une fois ouvert 2 h temp rature ambiante et 24 h au r frig rateur Indications de la NE si chec de la prise en charge nutritionnelle orale et en premi re intention en cas de troubles s v res de la d glutition ou de d
101. ical et l anonymat de chacun Documents d aide au suivi et la r alisation de campagne de vaccination TRACABILITE VACCIN une cette fiche peut servir au suivi soit des professionnels pour le m decin du travail soit des r sidents pour le m decin Annee Suivi R sident Professionnel _ Nom PRENOM DE Nom DU VACCIN N DE LOT L IDE OU DU M DECIN ADMINISTRATEUR ARLIN AUVERGNE 2011 Fiche N V 1 an tai E i CHAPITRE VI GESTION DES RISQUES EPIDEMIQUES Fiche n VI 1 Gale Fiche n VI 2 Tubeculose pulmonaire accessible dans la prochaine version Fiche n VI 3 Gastro ent rite Fiche n VI 4 Infection respiratoire aigue basse SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES pen ine leg infeesiana nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES RISQUES PID MIQUES Date 120 Version GALE Mesures pour la pr vention et la ma trise de la diffusion de la gale dans les tablissements de sant et sanitaires et sociaux FICHE TECHNIQUE La gale est une infection cutan e tr s contagieuse Le parasite responsable est Sarcoptes scabiei hominis qui creuse des sillons dans la couche corn e de l piderme La contamination est inter humaine contact cutan direct d un sujet parasit a un autre sujet elle se fait aussi par l interm diaire de linge literie ou v tement contamin s La v
102. icroorganismes transmis par contact direct ou indirect fort pouvoir de diss mination ou pr occupants sur le plan pid miologique Ces mesures sont avant tout des mesures techniques en particulier lors des soins La mise en place de mesures g ographiques isolement g ographique limitation des d placements du r sident peut tre n cessaire dans certaines situations 3 D finitions Transmission air Transmission distance de germes par de fines particules de taille inf rieure 5 m dropplet nuclei poussi res et qui restent en suspension Transmission gouttelettes Transmission moins d un m tre de microorganismes par des s cr tions oro trach o bronchiques de taille sup rieure 5 m salive s cr tions des voies a riennes sup rieures ternuements toux Transmission contact Transmission de microorganismes par l interm diaire du contact surface des mains de la tenue du linge environnement Principales Indications des Precautions Complementaires Pr cautions contact Pr cautions gouttelettes Infections cutan es herpes zona rysipele Gale Conjonctivites virales Grippe Infections respiratoires aigu s Coqueluche Gastroent rites Diarrh es Clostridium difficile Certaines bact ries multir sistantes ent rocoques r sistants aux glycopeptides Les pr cautions air en EHPAD concernent essentiellement la tuberculose Points Essentiels 1 La mise en
103. ie en collectivit favorise la diss mination Il est important de faire le diagnostic tres t t Les facteurs de risque de transmission sont les contacts rapproch s et la cohabitation d un grand nombre de personne dans un espace restreint Pour les soignants ce sont surtout les soins de nursing qui induisent la transmission Ces mesures sont a mettre en ceuvre des qu 1 cas apparait En cas d pid mie le service doit s organiser pour que l ensemble des mesures soient mises en uvre le plus rapidement possible et de maniere concomitante Di i ti p 1 Diagnostic clinique Association d un prurit a recrudescence nocturne et pr sence de l sions cutan es ecz matiformes et de grattage Gale commune touche les doigts poignets aisselles organes g nitaux pas d atteinte visage et dos Gale norv gienne forme rare tr s pid miante atteinte g n ralis e avec l sions cro teuses 2 Diagnostic parasitologique R alis par le laboratoire de biologie se fait par grattage des sillons et identification au microscope Un r sultat n gatif ne permet pas d liminer le diagnostic de gale Traitement Pas de consensus pour traitement local et ou oral cependant la facilit d utilisation plaide en faveur du traitement per os et ce d autant plus que le nombre de personnes traiter est important Le traitement m dicamenteux prescrit doit tre pris distance des repas En cas de contre indica
104. in age pas d essuyage sec identifier et fermer les flacons ou pulv risateurs contenant les produits renouveler toutes les 24 heures la pr paration conserver les produits pr ts a l emploi dans leur emballage d origine Proscrire les emballages alimentaires respecter les dates de p remption et assurer la rotation des stocks Bacs de pr d sinfection nettoyage seaux bonbonnes avec ou sans robinet L utilisation d un conteneur gradu qui permets une dilution correcte effectu e selon les pr conisations du fabricant Pour les pulv risateurs Attention aux remplissages multiples des flacons partir d un bidon Cette pratique est une source de contamination l origine possible d pid mies partir de solutions ou de flacons ou de pompes contamin s Les flacons doivent tre rinc s nettoy s et d sinfect s avant d effectuer un nouveau remplissage Centrales de dilution des d tergents ou d tergent d sinfectants Elles sont faire r viser annuellement par le fabricant pour v rifier le dosage de dilution du produit utilis conform ment aux normes EN RESCLIN Champagne Ardenne f vrier 2011 Gestion du risque infectieux en tablissements m dico sociaux EHPAD MAS et FAM R f rentiels des pratiques CCLIN Sud Ouest DRASS Midi Pyr n es Commission de coordination r gionale des vigilances 2008 Pratiques d hygi ne en tablissement d hebergement pour personnes g es
105. ionaux indiqu s sur la fiche CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n VII 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES i a ccardlirati n de i fie dee infeediara r r mosocwmisles R f rence Logo ou nom de PR VENTION DES ACCIDENTS l tablissement AVEC EXPOSITION AU SANG ne Version CONSULTER PAR T L PHONE IMM DIATEMENT DE NUIT COMME DE JOUR Le m decin r f rent AES de l tablissement de sant pourvu d un service d urgences le plus proche de EHPAD Un m decin r f rent AES est toujours joignable dans les services d urgences Nom de l tablissement de soins Num ro amp des urgences i Demander au m decin r f rent AES une valuation t l phonique du risque Le m decin r f rent confirmera ou infirmera le diagnostic d AES Indiquera si des pr l vements s rologiques du r sident sont n cessaires Indiquera si la victime doit se rendre ou non aux urgences Si un traitement antir troviral est prendre la premi re prise doit avoir lieu dans les 4 HEURES suivant l AES Remarque concernant les pr l vements Les s rologies h patites B et C et VIH du r sident source peuvent tre demand es par le m decin r f rent Elles seront r alis es Avec l accord crit du r sident pr voir un document mod le en annexes s il est conscient sans son accord s il n est pa
106. ique Remplir le r servoir humidificateur barboteur celui ci sera d sinfect une fois par jour Remplir le r servoir d eau st rile jusqu sa limite maximum Ne jamais compl ter le niveau du r servoir jeter le liquide et proc der un nouveau remplissage Changer les lunettes oxyg ne le masque facial tous les 7 jours en l absence de tout probl me Changer la sonde oxyg ne fois jour Gestion des DM Stocker le syst me de distribution de l oxyg ne dans un endroit propre l abr de toute source de contamination environnementale R servoirs r utilisables ou barboteurs Si st rilisation v rification de l int grit de l emballage protecteur de st rilit Si d sinfection d sinfection de niveau interm diaire puis rin age avec une eau de qualit st rile et s assurer qu elle a t r alis e tra abilit R servoirs UU Int grit du conditionnement date de p remption Noter date et heure d ouverture Connecter de mani re aseptique les dispositifs d inhalation Remplacement d s que le niveau d eau minimal est atteint Limiter l usage 24 heures Ne pas remplir a nouveau Jeter syst matiquement apr s utilisation CCLIN Noro 2011 FicHe N IV 1 O CLIN Nord Y MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D ae FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales R f rence Log
107. ire ces risques pour prot ger les r sidents les professionnels de EHPAD l environnement DASRI d chets d activit de soins risque infectieux doivent tre manipul s avec des gants DM d chets m nagers OPCT objets piquants coupants tranchants CCLIN Suo Ousst 2011 Fiche N 11 4 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE scort FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re lea infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES D CHETS Date 120 l tablissement Version 4 Tri des d chets 5 1 Recommandations Il est recommand de d signer une personne de l tablissement comme responsable de la mise en place de la politique de tri des d chets ORIG 2009 5 2 Tri des d chets courants Sont nomm s d chets courants d chets a risque infectieux aiguilles et autres objets piquants coupants tranchants m me s curis s d chets m nagers verre blanc d chets recyclables La fiche technique concernant le tri des d chets courants se situe en annexe Tous les contenants de DASRI doivent r pondre aux normes actuelles cf fiche technique en annexe 5 3 Autres Tris da ELIMINATION DES PILES USAGEES DE TOUT L ETABLISSEMENT Y Les piles et les pacemakers contiennent du mercure toxique pour l environnement Les piles usag es sont collect es par chaque EHPAD un conteneur identifi par tage ou par service
108. l pr voir V rifier l int grit du mat riel des dispositifs m dicaux usage unique ainsi que les dates de p remption Plateau ou plan de travail pr alablement nettoy et d sinfect Cath ters G22 ou micro perfuseurs picr niens 22G tubulures valves anti retour Collecteur OPCT et son support de fixation Produit hydroalcoolique PHA Protection poche d chet DASRI Compresses st riles Gants a usage unique non st riles Solut et ou m dicament pr par Pansement occlusif st rile transparent Gamme antiseptique choisie par EHPAD Produit de rin age en uni dose eau st rile ou s rum physiologique Pied perfusion Remarque Pour des perfusions sur plusieurs jours 1l existe une possibilit de monter une valve anti retour ou un syst me d acces clos type Bionnecteur Ces montages seront r alis s sur prescription m dicale 4 R alisation de Pacte V rifier la prescription m dicale et les contre indications Rassembler le mat riel n cessaire la pose du solut et ou des m dicaments sur le plan de travail 5 Site d injection par ordre prioritaire en tenant compte des capacit s d absorption du tissu sous cutan r gion abdominale sauf p ri ombilicale S1 cette voie prioritaire est impossible r gion ant ro externe des cuisses CCLIN Suo Oussrt 2011 FicHe N IV 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
109. la nutrition orale e La nutrition parent rale est r serv e aux trois situations suivantes et mise en uvre dans des services sp cialis s dans le cadre d un projet therapeutique coh rent les malabsorptions s v res anatomiques ou fonctionnelles les occlusions intestinales aigu s ou chroniques l chec d une nutrition ent rale bien conduite mauvaise tol rance Strat gie de prise en charge nutritionnelle d une personne g e Statut nutritionnel Normal D nutrition D nutrition s v re Conseils di t tiques Conseils dietetiques Alimentation enrichie Normaux Surveillance Alimentation enrichie et CNO R valuation a 1 mois R valuation 15 jours Diminu s mais Conseils di t tiques Conseils di t tiques Conseils di t tiques sup rieurs la Alimentation enrichie Alimentation enrichie u t une moitie de l apport R valuation Reevaluation 15 jours e es i 1 a habituel 1 mois et si chec CNO Reevaluation a 1 TEMANE et si chec NE 2 SO O a ou Conseils di t tiques Conseils di t tiques Alimentation enrichie Alimentation enrichie R valuation et CNO 1 semaine etsi R valuation a chec CNO 1 semaine et si chec NE Tres diminu s inf rieurs a la moiti de l apport habituel Conseils di t tiques Alimentation enrichie et NE d embl e R valuation 1 semaine N Ss D N o
110. les cinq CCLIN En compl ment de cet outil est mis la disposition des EHPAD un recueil de fiches techniques et de protocoles L laboration de ce recueil a t confi e un groupe de travail inter CCLIN s appuyant sur l exp rience des professionnels d EHPAD L objectif de ce document est de proposer aux EHPAD des fiches techniques permettant d am liorer les situations identifi es lors de l valuation Ces fiches s int grent dans un programme d marche qualit et de pr vention des risques infectieux METHODOLOGIE Le groupe de travail s est mis en place des le mois d avril 2011 Il s est attach travailler avec des professionnels intervenant dans les EHPAD hygi nistes infirmi res praticiens et qualiticiens Connaissant la multitude de travaux th matiques r alis s concernant la pr vention du risque infectieux en EHPAD le groupe ainsi constitu avant la cr ation d autres outils a retenu ceux existants en privil giant les crit res suivants les travaux avec une sp cificit EHPAD des documents synth tiques une publication r cente afin que le document puisse r pondre aux r glementations en vigueur une r daction par des professionnels avec une validation des CCLIN et ou de ARLIN auteur de la fiche Ce document est volontairement non pagin afin d utiliser les fiches ind pendantes Il a donc t volontairement exclu du document tout texte r glementaire consultable
111. mentation de la HAS chef de service Mme Fr d rique Pag s Soci t s savantes comit d organisation groupe de travail pr sident Pr Xavier H buterne gastro ent rologue nutritionniste Nice groupe de lecture cf liste des participants Les participants au comit d organisation et au groupe de travail ont communiqu une d claration d int r ts la HAS Recherche documentaire De janvier 1995 a juin 2006 Dr Agathe Raynaud Simon g riatre Ivry sur Seine Dr Christine Revel chef de projet HAS Saint Denis Avis de la Commission valuation des strat gies de sant en mars 2007 Validation par le College de la HAS en Avril 2007 Fiche de synthese et argumentaire t l chargeables gratuitement sur www has sante fr HAS 2007 Fiche 1 2 HAS HAUTE AUTORITE DE SANT MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE orten FICHES TECHNIQUES PRATIQUES re les infection nosocomibale R f rence Logo ou nom de ALERTE COORDONN ES EN INTER R GION EST Date I 120 l tablissement Version T l phone Fax Adresse ARS de Lorraine Immeuble les Thiers 4 rue Piroux BP 80071 54036 NANCY ARS de Champagne Ardenne Champagne Complexe tertiaire du Mont Bernard ee ars ca vss cvgss Wars sante fr 03 26 66 79 29 0359 81 36 91 Dime Dom P ticion 0840518 51007 CHALONS EN CHAMPAGNE Cedex Lorraine ars lorraine cvgs ars sante fr 03 83 3928 72 03 83 39 29 73 ARS de Bourgogne Bourgogne ars2
112. microbiologique de l environnement dans les tablissements de sant Air eau et surfaces 2002 Observatoire du risque infectieux en g riatrie ORIG Soci t fran aise d hygi ne hospitali re SF2H Programme Priam Pr vention des infections en tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes Consensus formalis s d experts Juin 2009 Guide de bonnes pratiques de d sinfection des dispositifs m dicaux Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France et Comit technique national des infections nosocomiales 1998 4 Responsabilit IDE D cret n 2004 802 du 29 juillet 2004 relatif aux parties IV et V dispositions r glementaires du code de la sant publique et modifiant certaines dispositions de ce code Articles R 4311 1 4311 4 amp 4311 5 amp 4312 11 Aide soignante L application du protocole est sous la responsabilit de PIDE selon la r glementation en vigueur Il existe un consensus dans I EHPAD entre le m decin et le pharmacien pour le choix et le traitement des DM 5 Description 5 1 D finitions Nettoyage action de nettoyer liminer des surfaces ou des objets sans les endommager les souillures afin d obtenir un tat de propret visuelle Elle se fait l aide de d tergents qui sont des tensioactifs D sinfection op ration consistant d truire et ou a inactiver les microorganismes pr sents sur les surfaces On ne d sinfecte bien que ce
113. mission Centrale des March s Guide du bionettoyage 1994 CCLIN Ouest Hygi ne des structures h bergeant des personnes g es 2002 ProdHyBase http prodybase chu lyon fr Liste positive des d sinfectants http www sfhh net CCLIN Sup Est 2010 FicHe N 11 1 un MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D en FicHEs TECHNIQUES PRATIQUES re les infection R f rence Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Date 120 Version RECOMMANDATIONS PRATIQUES LORS DE L UTILISATION DES PRODUITS DE BIO NETTOYAGE Port de gants dits de m nage de pr f rence imperm ables et r sistants aux d tergents et d sinfectants a manchettes longues Les gants de m nage sont nominatifs Ils sont nettoy s d sinfect s a l ext rieur entre chaque local et nettoy s l eau et au savon la fin de la journ e int rieur et ext rieur Ne jamais m langer les produits inactivation et toxicit des produits Respecter les consignes d utilisation donn es par le fabricant D tergent D sinfectant respecter les dosages et la temp rature de l eau verser le produit dans l eau et non le contraire vaporiser sur les lavettes et non sur les surfaces pour limiter l a rosolisation et r duire la p n tration l int rieur du mat riel sensible l humidit t l phone bo tier de sonnette ordinateur respecter le temps de contact gt pas de r
114. n 1 soin 1 paire de gants Enlever imm diatement les gants apr s le soin avant de toucher l environnement du r sident Eliminer les gants dans le circuit d limination sp cifique des d chets DASRI Proscrire le port des gants lors des contacts avec la peau saine Proscrire la friction et le lavage des gants Ne pas conserver de gants de soins dans les poches Ne pas consid rer la sueur comme un liquide biologique 5 Recommandations Retenir des gants sans poudre en raison de l utilisation des PHA Proscrire le port de bijoux et les ongles longs ARLIN PACA 2011 Fiche N IV 1 Logo ou nom de l tablissement 6 Indications d utilisation des gants Exemples de situation Contact avec la peau saine Soignant pr sentant des l sions cutan es Entretien des locaux Manipulation du linge propre Manipulation du linge souill Pansement avec un set de soin et des pinces Pose d un cath ter veineux p riph rique Pose d un cath ter sous cutan e Pr traitement des dispositifs m dicaux Prise de sang R sident pr sentant des l sions cutan es Toilette d un patient non souill Toilette g nitale Vidange d un sac collecteur d urine Note devant des infections sp cifiques telles que la gale et les diarrh es a Clostridium difficile le port des gants est obligatoire cf fiche gale VI 1 ARLIN PACA 2011 Fiche N IV 1 GESTION DES SOINS MA TRISE DU RI
115. nd 1 Pr J FABRY Pr P BERTHELOT Pr O TRAORE DU Hygi ne hospitali re Pr F DENIS Dr M MOUNIER DU Hygi ne hospitali re EXTRAIT DU RAPPORT ETAT DES LIEUX DES FORMATIONS SP CIFIQUES POUR LES PRATICIENS HOSPITALIERS LES INFIEMIERS ET CADRES HYGIENISTES 2010 FicHE N 1 1 EZ b d Lidia Pap PURGE FRAGA RE rosiers de la Sant al des Soldats MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FICHES TECHNIQUES PRATIQUES i re led infecting STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE Date 20 nosocomiales Logo ou nom de l tablissement DENUTRITION Version Carences d apport Pathologies Stress Traumatismes DENUTRITION Amaigrissement Anorexie gt Fatigue 7 u ies ah Sol 4 Infections urinaires REVERSIBILITE Y Diminution de la j masse musculaire Troubles psychiques Infections urinaires Infections respiratoires Escarres Chutes IRREVERSILITE TOTALE OU PARTIELLE Etat grabataire D apres Monique Ferry Extrait de la plaquette Alimentation de la personne g e en EHPAD et tablissements de sant Programme MOBIQUAL Le programme Mobiqual est une action nationale dont l objectif est de soutenir l am lioration des pratiques de la qualit des pratiques professionnelles en EHPAD en tablissements de sant et a domicile au b n fice des personnes g es et handicap es Differentes th matiques ont t d velopp es
116. nettes un tablier et des gants ENTRETIEN DU BAC Netioyer toutes les surfaces int rieures et ext rieures avec une lingette usage unique imbib e de d tergent D sinfectant Rincer l eau du r seau Laisser s cher ou le remplir pour une nouvelle utilisation Entreposer apr s usage dans un lieu sec et propre Lors du renouvellement de la solution MATERIEL DE NETTOYAGE DES 5 Ed DISPOSITIFS MEDICAUX rosse couvillon seringue pour les dispositifs creux dao Nettoyer en m me temps que le bac Apres chaque utilisation A Respecter la dilution du produit d tergent d sinfectant Quantit de produit insuffisante solution inefficace Quantit de produit excessive danger pour les utilisateurs et pas d efficacit sup rieure FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 Fiche N 111 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D lt a FICHES TECHNIQUES PRATIQUES ceardinatian de nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date I 20 l tablissement Version FICHE TECHNIQUE N 2 Traitement des dispositifs m dicaux r utilisables non critiques et semi critiques immergeables ex garrot plateau Immersion compl te dans une solution d tergente D sinfectante dD Respect de la dilution et du temps d immersion indiqu s par le fournisseur PRE TRAITEMENT Trempage R duit la charge microbienne NETTOYAGE D colle les
117. nne R gionale de Lutte contre les Infections Nosocomiales ARS Agence R gionale de Sant BMR Bact rie Multi R sistante aux antibiotiques CAT Conduite A Tenir CCP Critical Control Point Proc dure ou il est n cessaire et possible de contr ler les risques En buanderie la m thode est d nomm e RABC CHSCT Comit d Hygi ne de S curit et des Conditions de Travail CCI Cath ter Chambre Implantable CLAT Centre de Lutte Anti Tuberculeux CCLIN Centre de Coordination de Lutte contre les Infections Nosocomiales CVGAS Cellule de Veille et de Gestion des Alertes Sanitaires DASRI D chets d Activit s de Soins a Risques Infectieux DAOM D chets Assimil s Ordures M nag res DDCSPP Direction D partementale de la Coh sion Sociale et de la Protection des Populations DM Dispositifs M dicaux DU Dipl me Universitaire ECS Eau Chaude Sanitaire EHPAD Etablissement d H bergement pour Personnes Ag es D pendantes EOH Equipe Op rationnelle en Hygi ne EPU Enseignement Post universitaire FFP Filtering Facepiece Particles Pi ce Faciale Filtrante appareil de Protection respiratoire masque FFP1 FFP2 GEA Gastro Ent rite Aig e GREPHH Groupe d Evalution des Pratiques en Hygiene Hospitali re HACCP Hazard Analysis Critical Control Point Analyse des dangers et points critiques pour leur maitrise M thode ou d marche d analyse et d
118. nne ra chu lyon fr CCLIN Sud Ouest CHU Clermont Ferrand Centre de Biologie 63003 CLERMONT FERRAND Cedex 01 H pital Eug nie Boulevard Lantivy 20000 AJACCIO H pital La Colombiere Pav n 7 39 avenue Charles Flahault 34295 MONTPELLIER Cedex 5 H pital Sainte Marguerite 270 boulevard Sainte Marguerite 13009 MARSEILLE CHD Felix Guyon Route de Bellepierre 97405 SAINT DENIS Cedex H pital Henry Gabrielle HCL 20 route de Vourles 69230 SAINT GENIS LAVAL 04 73 75 48 88 04 95 51 99 69 04 67 33 74 69 04 91 74 57 67 02 62 90 57 80 04 78 86 49 30 04 73 75 48 87 04 95 51 99 91 04 67 33 01 69 04 91 74 57 69 02 62 90 51 37 04 78 86 52 82 ARLIN Aquitaine Courriel cclin so aquitaine chu bordeaux fr ARLIN Guadeloupe CGRIN Courriel cclin so guadeloupe chu guadeloupe fr ARLIN Guyane Courriel cclin so guyane ch cayenne fr ARLIN Limousin ARLIN Martinique COMPILS Courriel cclin so martinique chu fortdefrance fr ARLIN Midi Pyr n es Courriel cclin so midi pyrenees chu toulouse fr ARLIN Poitou Charentes CCLIN 2011 Fiche N 1 2 CHU de Bordeaux H pital Pellegrin B timent Le Tondu 33076 BORDEAUX CHU BP 465 97159 POINTE A PITRE Centre Hospitalier Andr Rosemon Avenue des Flamboyants BP 6006 97306 CAYENNE CHU de Limoges H pital Dupuytren 2 me sous sol 2 avenue Martin Luther King 87042 LIMOGES Cedex CHU BP 632 97261 FORT DE FRANC
119. ntion dans l tablissement Fiche n I 1 Moyens Fiche n 1 2 Surveillance Alerte Indicateurs Fiche n I 3 Antibiotiques accessible dans la prochaine version Fiche n 1 4 Tenue du personnel dans l tablissement Chapitre IT Gestion de l environnement et des circuits Fiche n IL 1 Entretien des locaux Fiche n 11 2 Hygi ne en restauration Fiche n 11 3 Gestion du linge Fiche n 11 4 Gestion des d chets Fiche n II 5 Gestion de la qualit de l eau Chapitre III Gestion du mat riel Fiche n III 1 Entretien des dispositifs m dicaux Chapitre IV Gestion des soins Fiche n IV 1 Actes infirmiers et de nursing Fiche n IV 2 Antiseptiques Fiche n IV 3 Pr cautions Standard Fiche n IV 4 Pr cautions compl mentaires Fiche n IV 5 Hygi ne des r sidents Chapitre V Les vaccinations contre les affections respiratoires Fiche n V 1 Vaccination dans un EHPAD Chapitre VI Gestion des risques pid miques Fiche n VI 1 Gale Fiche n VI 2 Tuberculose pulmonaire accessible dans la prochaine version Fiche n VI 3 Gastro ent rite Fiche n VI 4 Infection respiratoire aig e basse Chapitre VII Pr vention des accidents avec exposition au sang Fiche n VII 1 Pr vention des accidents avec exposition au sang MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES LISTE DES ABREVIATIONS AKS Accident avec Exposition au Sang ARLIN Ante
120. ntree hall d accueil couloirs Risque Ascenseurs cages d escaliers gt Ala demande au minimum 1 infectieux Locaux administratifs bureaux salles fois par semaine et plus si besoin faible de r union selon la fr quentation lieux de E circulation personne qui ma trise son hygi ne corporelle et qui ne n cessite pas de soin Chambre du r sident avec soins Salles de r ducation Salles d activit ergoth rapeute Risque infectieux mod r Risque infectieux lev REFERENCES animation Salles manger de s jour de d tente Blanchisserie Locaux d utilit sale d chets linge sale Locaux d utilit propre lingerie stockage des mat riels Mains courantes des couloirs Pharmacie Couloirs des zones de logement Chambre du r sident en Pr cautions Compl mentaires d Hygiene PCH Salle de soins Salle de bains sanitaires Cuisine Commission Centrale des March s Guide du bionettoyage 1994 CCLIN Ouest Hygi ne des structures h bergeant des personnes g es 2002 CCLIN Sup Est 2009 FicHe N 11 1 gt 1 fois par jour pour les chambres et les lieux de stockage Sales gt Apr s chaque utilisation pour les salles d activit salles a manger gt 1 fois par semaine pour les lieux de stockage propres gt 1 fois par jour au minimum Logo ou nom de etablissement MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN
121. nvalescence apr s une Dans le cas particulier de la fracture du col f moral prescription transitoire pathologie aigu ou une de compl ments nutritionnels oraux intervention chirurgicale Prise en charge En cas de d nutrition ou de diminution des ingesta nutritionnelle en cas de Surveillance nutritionnelle r guli re des patients d pression COORDINATION DE LA PRISE EN CHARGE A domicile Aides individuelles aide de l entourage aide m nag re portage des repas foyers restaurants Structures ayant un r le de mise en place des dispositifs de coordination et d information Les r seaux de soins dont les r seaux g rontologiques Les centres communaux d action sociale CCAS Les centre locaux d information et de coordination CLIC Les services sociaux Pour la prise en charge financi re de ces aides L allocation personnalis e d autonomie APA L aide sociale d partementale L aide des caisses de retraite et certaines mutuelles En institution Prise en charge multidisciplinaire sous la responsabilit du m decin coordinateur P h pital Pour am liorer la prise en charge nutritionnelle et veiller la qualit de la prestation alimentation nutrition Le comit de liaison alimentation et nutrition CLAN e La cr ation dans les h pitaux d unit s transversales de nutrition UTN HAS Les recommandations et l argumentaire scientifique sont consultables dans leur int gralit
122. o ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version HYGI NE DES MAINS PROFESSIONNELS ET R SIDENTS 1 Objectif Appliquer une hygi ne des mains adapt e chaque activit afin d viter la transmission crois e manuport e des micro organismes 2 Domaine d application personnel concern L ensemble des professionnels de l tablissement les r sidents et leurs proches 3 R f rences Surveiller et Pr venir les Infections li es aux soins HCSP 2010 Consensus formalis d experts de juin 2009 concernant La pr vention des infections en EHPAD Programme PRIAM de l ORIG Observatoire du risque infectieux en g riatrie Hygi neS 2010 Volume XVIII N 1 Rapport du 28 septembre 2009 de l Agence fran aise de s curit sanitaire des produits de sant relatif l innocuite des produits hydro alcooliques PHA base d thanol utilis s pour la d sinfection des mains peau saine par le grand public dans le cadre de l pid mie de la grippe A H1N1 Recommandations pour l hygi ne des mains HygieneS SFHH Juin 2009 Les bonnes pratiques de soins en tablissements d hebergement pour personnes g es d pendantes Octobre 2007 Minist re de la Sant de la Jeunesse et des sports Soci t Fran aise de g riatrie et G rontologie Recommandations pour l hygi ne des mains SFHH 2002 4 Definition de l hygiene des mains Traitement des mains
123. ofessionnelle Th mes de formation A concern e ou autres Objectifs p dagogiques 1 Pr cautions IDE Coordinatrice IDE Savoir faire une hygi ne des mains adapt e aux Standard PS AS ASH situations rencontr es Personnel d entretien Connaitre les situations de soins qui n cessitent un port de protection masque gants tablier et appliquer les recommandations Connaitre les diff rentes proc dures de traitement du materiel utilis Conna tre les notions d entretien de l environnement et l action des diff rents produits d entretien Etre capable de faire un tri s lectif en fonction du type de d chets Conna tre et appliquer la proc dure du tri du linge de l tablissement et des r sidents Conna tre la CAT en cas d AES pour le personnel 2 Pr cautions IDE Coordinatrice IDE Savoir mettre en place les pr cautions adapt es dans les cas Compl mentaires PC AS ASH suivants BMR Bact ries Multi R sistantes coqueluche ERG Ent rocoques R sistants aux Glycopeptides gale grippe IRA Infections Respiratoires Aigues ICD Infection a Clostridium difficile TIAC Toxi Infection Alimentaire Collective Gastroent rites aigu s 3 Hygi ne et asepsie IDE Coordinatrice IDE Savoir appliquer les r gles d hygi ne et d asepsie lors des appliqu es aux soins AS soins aux r sidents et notamment infirmiers toilette mise en place et surveillance d
124. oies respiratoires Les m dicaments sont maintenus sous forme de fines particules liquides ou solides dispers es et transport es dans un gaz permettant ainsi leur diffusion in situ 5 Mat riel utilis G n rateurs d a rosol pour a rosols classiques vis e broncho pulmonaire air comprim production pneumatique pour a rosols vis e ORL sinus sonique ultrasonique Consommables kit de n bulisation a usage unique r servoir tubulure masque embout buccal ou nasal 6 Recommandations Afin de limiter le risque de prolif ration microbienne au sein des n buliseurs l utilisation d eau st rile lors de la pr paration m dicamenteuse s curit optimale Pr paration de la solution m dicamenteuse juste avant l a rosolth rapie privil gier l utilisation d unidoses de m dicaments ou respecter les recommandations des fabricants pour la pr paration et le stockage des flacons multi doses posologie et dur e de traitement doivent se conformer la prescription m dicale Entre deux utilisations ne jamais compl ter le niveau du r servoir du n buliseur jeter le liquide rincer avec une eau de qualit st rile et s cher prot ger le kit apr s chaque utilisation l abr des souillures de la poussi re vider la cuve apr s chaque utilisation essuyer et s cher avec des compresses st riles essuyer le masque en cas de souillures sinon le rem
125. ois lorsque la quantit de DASRI est inf rieure ou gale 15 kg par mois de la production effective leur enl vement et sup rieure 5 kg par mois CCLIN Suo Ousst 2011 Fiche N 11 4 E CLINE a MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES oS Centrotda cearndination de lute canine Leg in fresa IKB Reference Logo ou nom de etablissement GESTION DES DECHETS Date 20 Version ANNEXEI Fiche technique tri des dechets Tous les contenants de DASRI doivent r pondre aux normes actuelles Sacs en plastique ou en papier doubl s int rieurement de mati re plastique NF X 30 501 Caisses en carton avec sac int rieur NF X 30 507 Fits et jerricans en plastique NF X 30 505 Miunicollecteurs et bo tes pour d chets perforants NF X 30 500 F ts et jerricans pour d chets liquides NF X 30 506 DECHETS A RISQUE INFECTIEUX Dans CARTONS AVEC POCHE JAUNE Ou POCHE JAUNE 1 Tout ce qui est contamin par du sang du pus 2 Tout d chet pouvant inqui ter la population de la ville s ils sont vacu s dans les d chets m nagers DM exemple seringue propre sonde non utilis e Seringues Tubulures de perfusion Syst me de sondage v sical Mat riel a rosol Mat riel oxyg noth rapie Crachoirs Pansements Set pansements Compresses M dicaments d conditionn s AIGUILLES ET AUTRES OBJET
126. on m dicale Noter dans le dossier de soins tout incident par exemple une d connexion accidentelle CCLIN Noro 2011 FicHe N IV 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FICHES TECHNIQUES PRATIQUES R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 120 l tablissement Version ANTISEPTIQUES 1 Objectifs Harmoniser les pratiques d utilisation des antiseptiques afin d viter la survenue d infections li es aux soins Pr venir les risques li s la gestion des antiseptiques 1 Domaine d application personnel concern M decins infirmiers Aides soignantes en collaboration avec l infirmi re et suivant le protocole tabli 2 References et documents li s Le bon usage des antiseptiques CCLIN Sud Ouest 2001 Antiseptiques et d sinfectants CCLIN Paris Nord 2000 3 D finitions L antiseptique est un m dicament il n cessite une autorisation de mise sur le march AMM pour tre commercialis Une d finition des pr parations antiseptiques est donn e par la Xe dition de la Pharmacop e fran aise Janvier 1990 il s agit de pr parations ayant la propri t d liminer ou de tuer les micro organismes ou d inactiver les virus sur des tissus vivants peau saine muqueuses plaies pr sent es dans leur forme d utilisation et utilis es telles quelles sauf exception justifi e et autoris e activit antibact rienne antifongique anti
127. on avec neutralisant chlore si n cessaire thiosulfate de Na r seaux d eau trait e R aliser l chantillonnage distance d un choc thermique chlor ou chimique Programmer les pr l vements un moment de la journ e o les installations sont exploit es dans des conditions normales en milieu de journ e choisir des points d usage risque couramment utilis s S1 l eau est mitig e fermer l arriv e d eau froide vanne accessible ou positionner le mitigeur au plus chaud Identification et s rogroupage de la Legionella pneumophila Conservation de la souche pendant 6 mois si investigation d un cas d clar Lors des pr l vements faire une mesure de la temp rature de l eau dont le r sultat devra tre mentionn sur le bordereau d envoi de l chantillon et mesure de chlore libre MODALIT DE PR L VEMENTS Plan d chantillonnage programm annuel gt Choix des points de pr l vement Points r guli rement utilis s mettant des a rosols ex douche d une chambre patient autonome douche collective douchette salon de coiffure 3 Variabilites possibles d une ann e sur l autre ne peut tre defini une fois pour toutes gt gt Points a pr lever 2 Fond de ballon de production et de stockage dernier ballon si montage en s rie sinon l un d entre eux Point de mise en distribution ou a d faut le point d usage le plus pr t du ballon E Retour de boucle la plus
128. oordonnateur e L gionellose communautaire L gionellose Acquise en EHPAD e L gionellose acquise sur un autre tablissement r tro information si besoin oul Intervention ARS e Rechercher l exposition a risque par une tude environnementale v Externe tour a ror frig r e v Interne plan de pr l vement du r seau d eau chaude et eau froide dispositifs m dicaux oxyg noth rapie ou a rosolth rapie si concern bains remous et ou jets ventuellement lavabos e Mise en place des mesures pr ventives condamnation douche d montage des pommeaux bains salon de coiffure mise en place de filtres Dispositifs m dicaux d sinfection limination tubulures e Vigilance m decins Y Information des m decins traitants Y Surveillance des r sidents e Cas group s de l gionellose nosocomiale signalement CVGAS de PARS e Mise en place des mesures n cessaires la gestion de la contamination du r seau d eau chaude sanitaire en l gionelles Antig nes urinaires ou culture ou PCR positives Centre National de R f rence L gionelle ARS Agence R gionale de Sant CVGAS Cellule R gionale de Veille et de Gestion des alertes Sanitaires EQUIPE HYGIENE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 FicHe N 11 5 cute enya de vaberce a a SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES AE ccordirati n de tne d
129. ordonn s Lavage en machine Lavage manuel Respecter les cycles de lavage Laver au d tergent eau chaude gt 40 C Respecter les cycles de s chage Rincer l eau ti de ou froide A A Pr f rer le s chage spontan ou essuyer et ranger d s que Contr ler la propret et le s chage de la vaisselle gt p y E d la vaisselle est s che Nettoyer l vier et son environnement imm diatement Respecter les consignes d entretien du lave vaisselle oo apr s d tergent et rin age Nettoyer les carafes et les verres de chevet au moins 1 fois par jour En cas d utilisation de torchons les changer entre chaque utilisation N B aucune situation de soins ne n cessite une d sinfection pr alable de la vaisselle avant nettoyage 6 6 Nettoyage des surfaces salle 4 manger Nettoyer les surfaces tables adaptables avec une lavette d tergent vaisselle y compris le dessous du plateau des tables Ranger le mobilier Proc der l entretien du sol laver au moins une fois par jour et plus si n cessaire 6 7 Nettoyage de l office alimentaire Organiser le nettoyage de l office alimentaire au quotidien et approfondi plan de nettoyage N B L entretien des chariots de distribution livr s par la cuisine appareils de remise en temp rature est int gr dans le plan de nettoyage de la cuisine 7 Evaluation Tenir compte des indications figurant au rapport d inspection des services v t
130. organisation des tablissements dans les p riodes pid miques Les directeurs des tablissements de sant et des tablissements m dicosociaux sont invit s a la proposer activement dans leurs tablissements en mettant en place des campagnes de promotion de cette vaccination ainsi que des s ances de vaccination Pour les r sidents le suivi et la mise a jour des vaccinations engage la responsabilit du m decin de chaque r sident ou en l absence de m decin traitant la responsabilit du m decin coordonnateur de tablissement 3 R f rences 3 1 Vaccination pour les r sidents Calendrier vaccinal se r f rer au BEH de l ann e en vigueur http www invs sante fr beh 3 2 Vaccinations r glementaires pour le personnel Calendrier vaccinal se r f rer au BEH de l ann e en vigueur http www invs sante fr beh Vaccination des personnels travaillant en tablissement de sant guide technique CCLIN SE Affiches http cclin sudest chu lyon fr Antennes Auvergne Activites activites html http cclin sudest chu lyon fr Newsletter 2011 01 Vaccination grippe pdf 4 Organisation 4 1 Vaccination des r sidents Dans le dossier de chaque r sident apparaissent la date de derni re vaccination contre le pneumocoque ainsi que la date du prochain rappel la date de vaccination contre la grippe saisonni re mise jour chaque ann e enl absence de vaccination il est not la raison refus du
131. osition du robinet sur l eau froide pour limiter le risque de br lure Rappel Avant la douche faire couler au sol l eau pendant au moins 15 secondes 5 Tracabilit Pr voir l enregistrement des actions dans le carnet sanitaire QUIPE HYGI NE EPIDEMIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 FicHe N 11 5 cortos mai rater Ce CHAPITRE Ill GESTION DU MATERIEL Fiche n 111 1 Entretien des dispositifs m dicaux SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ceardinatian de tne led infection nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DU MAT RIEL Date I 20 l tablissement Version ENTRETIEN DES DISPOSITIFS M DICAUX DM 1 Objectif D crire les modalit s d entretien des dispositifs m dicaux en contact avec la peau saine la peau l s e ou une muqueuse du r sident afin de pr venir le risque de transmission crois e 2 Domaine d application personnel concern Ensemble des dispositifs m dicaux r utilisables qui sont disponibles en EHPAD dans le cadre des soins pr ventifs curatifs et ou diagnostics Classement des dispositifs m dicaux et niveau d entretien requis Niveau de Destination du mat riel risque classement traitement requis infectieux usage unique ou Introduction dans un st rilisation ou syst me vasculaire ou dans critique haut risque d sinfection de haut niveau cavite ou tissu sterile ex petit m
132. par voie sous cutan e dans le respect des r gles d hygiene D finir les modalit s de pose d une perfusion sous cutan e D finir les modalit s de surveillance d une perfusion sous cutan e Pr venir le risque d AES li ce soin 2 R f rences CCLIN Est mars 2006 Recommandations de bonnes pratiques Perfusion sous cutan e ou hypodermoclyse Recommandations pour les institutions et les r sidents ORIG Conseils pour se pr parer d ventuelles fortes chaleurs en EHPAD Soci t fran aise de g riatrie et de g rontologie D cret n 2004 802 du 29 juillet 2004 relatif aux parties IV et V du code de la Sant Publique actes professionnels et l exercice de la profession d infirmier Recommandations AP HP sur le bon usage des dispositifs m dicaux de perfusion Protocole AP HP perfusion sous cutan e CCLIN Ouest 2002 Gestion des risques infectieux en g riatrie perfusion sous cutan e Pr venir la 1atrog nese m dicamenteuse chez le sujet g AFSSAPS juin 2005 Hypodermoclyse Revue g riatrique suppl ment N 7 sept 2001 Dr Grumbach Dr F Delahaye ANAES Soins palliatifs sp cificit d utilisation des m dicaments courants hors antalgiques Octobre 2002 ANAES Service des Recommandations et R f rences professionnelles Modalit s de prise en charge de l adulte n cessitant des soins palliatifs D cembre 2002 154 p 3 Mat rie
133. per Ne jamais soulever le balai Changer la gaze aussi souvent que n cessaire Travailler selon les m thodes dites au pouss utilis e pour les couloirs ou la godille utilis e pour les chambres l D tourage 2 Commencer au fond de la pi ce et revenir sur le seuil de la porte Poser le bandeau ou frange sur le sol Placer le balai dessus clipper Ne jamais soulever le balai Travailler selon les m thodes dites au pouss utilis e pour les couloirs Ou la godille utilis e pour les chambres idem ci dessus d d tergent d D d tergent D sinfectant Tableau extrait du document gestion du risque infectieux en tablissements m dico sociaux EHPAD MAS et FAM R f rentiels des pratiques RESCLIN Champagne Ardenne f vrier 2011 RESCLIN CHAMPAGNE ARDENNE 201 1 FicHe 11 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES Logo ou nom de l tablissement ENTRETIEN DES LOCAUX Version CHOIX DES PRODUITS MOTS CLES Environnement Risque infectieux D tergent D sinfectant OBJECTIFS Pr venir la transmission crois e des germes par l entretien des locaux et du mat riel assurer le confort du r sident en lui garantissant une propret visuelle de l environnement adapter les produits d entretien au r sultat attendu A enseigner par l organisation de campagne A valuer par le suivi d indicat
134. place des pr cautions compl mentaires se fait sur prescription m dicale 2 Les pr cautions compl mentaires sont prescrites d s l ventuelle apparition des sympt mes et dans l attente de la confirmation du diagnostic 3 Les pr cautions compl mentaires viennent toujours en compl ment des Pr cautions Standard 4 Les pr cautions compl mentaires sont adapt es la situation clinique 5 Les pr cautions compl mentaires sont adapt es au contexte de l tablissement 6 Les mesures g ographiques sont limit es au maximum pid mie ou microorganisme haut risque de transmission et valu es au cas par cas 7 Les produits hydro alcooliques sont largement utilis s par le soignant ou les r sidents 8 Le r sident et son entourage sont inform s ainsi que les diff rents intervenants soignants m decins IDE ASH Kin ergo ou non coiffeuse b n voles 9 Une signalisation est mise en place par exemple dans le dossier du r sident dans la chambre 10 La lev e des pr cautions compl mentaires se fait sur prescription m dicale CCLIN Sup Est 2009 FicHe N IV 4 er Ne eo MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES O a ccardliration de ne lee Andere nosocomiales R f rence Logo ou nom de Date 20 nn GESTION DES SOINS l tablissement Recommandations Version En compl ment des Pr cautions Standard Mesures techniq
135. placer utiliser du s rum physiologique changer le kit enti rement tous les 7 Jours Les g n rateurs doivent tre nettoy s d sinfect s apr s chaque utilisation avec un produit d tergent d sinfectant Le rin age se r alisera avec de l eau st rile L entretien et le changement de mat riel sont trac s dans le carnet sanitaire CCLIN Noro 2011 FicHe N 1V 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D CIE scort FICHES TECHNIQUES PRATIQUES re les infection R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version INJECTIONS INTRA VEINEUX INTRA MUSCULAIRE SOUS CUTANEE 1 Objectif Pr venir le risque infectieux pour le r sident et le soignant Pr cautions Standard 2 Domaine d application personnel concern IDE et personnel habilit 3 R f rences Hygiene et pr vention du risque infectieux dans les EHPAD CCLIN Ouest 2002 Guide du mat riel de s curit GERES 2010 4 Bonnes pratiques Utiliser du mat riel s curis Pratiquer une d sinfection des mains par friction hydro alcoolique avant et apr s le soin Porter des gants UU non st riles Pr cautions Standard Utiliser un antiseptique alcoolique de pr f rence D poser les aiguilles seringues mont es dans le conteneur objet piquant coupant tranchant plac proximit et la vue du professionnel CCLIN Noro 2011 FicHe N IV 1
136. possible il faut essayer d isoler la personne malade en chambre individuelle il faut maintenir la plus grande distance entre le patient infect et d autres personnes les compagnons de chambre et tous les visiteurs doivent conna tre les pr cautions aprendre pour lutter contre les infections Hay Eur ae la 3 art Dikeni a gaia a Fagor Pub PUBLIO Fanart EXTRAIT DE LA CIRCULAIRE 2006 499 MINISTERE DE LA SANT FICHE N V1 4 Linistien de la Santi el des Sobdarit s SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHEs TECHNIQUES PRATIQUES AE l ceordirati n de hare lew indes nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES RISQUES PID MIQUES Date 20 l tablissement Version 1 Pour la personne malade D s le d but des sympt mes et la confirmation du diagnostic par le m decin la personne malade doit tre maintenue dans sa chambre en limitant tout contact avec son entourage Les personnes ayant un contact avec la personne malade doivent tre prot g es port d un masque pour entrer dans la chambre du malade et lavage des mains la sortie ou solutions hydroalcoolis es port d un masque de type chirurgical par le patient symptomatique lors de pr sence d un tiers dans sa chambre viter toutes les visites inutiles dans la chambre du malade a ration r guli re de la pi ce hygi ne rigoureuse des mains apr s chaque contact avec le sujet Les d chets m
137. que la temp rature se stabilise la noter sur la grille la date du jour Essuyer la sonde avec un papier a usage unique entre deux prises de temp rature avant de contr ler un autre plat Proc der a l entretien d sinfection de la sonde d une dose de d sinfectant une fois que les prises de temp rature sont effectu es Ranger la sonde dans un endroit propre pr vu cet usage CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pr FicHes TECHNIQUES PRATIQUES re les infection r r R f rence Logo ou nom de cel HYGI NE EN RESTAURATION Date I 20 QUELLE EST LA BONNE TEMPERATURE DES ALIMENTS JUSTE AVANT DE SERVIR Potages Temperature ou gt 63 C Afin de limiter le risque de prolif ration des germes lorsque la temp rature est inf rieure a 63 C Temp rature entre 4 et 9 C En raison de leur nature ces aliments a risque de prolif ration microbienne doivent tre conserv s au froid jusqu au moment de leur consommation Temperature ou gt 63 C Afin de limiter le risque de prolif ration des germes lorsque la temp rature est inf rieure a 63 C Entremets gateaux Temp rature entre 4 et 9 C En raison de leur nature ces pr parations a risque de prolif ration microbienne doivent tre conserv s au froid jusqu au moment de leur consommation Ne pas prendre la temp rature des fruits et des desserts emball s CCLIN Ouest 20
138. qui est propre D tergent d sinfectant produit alliant d tergence et d sinfection St rilisation ensemble des op rations permettant d obtenir l tat de st rilit d un dispositif m dical ainsi que le maintien de cet tat 5 2 Principes de base Tenue du personnel Absence de bijoux bague bracelet montre Cheveux attach s Mains propres et s ches ongles courts d pourvus de vernis Tenue professionnelle propre Gants de m nage individualis s et entretenus ou gants vinyle manchettes hautes Tablier 5 3 Propri t s microbiologiques Lors du choix d un produit il est important de v rifier pour chaque norme que les conditions d utilisation du produit pr conis es par le fournisseur dilution dur e de trempage temp rature action physicochimique permettront d obtenir l activit attendue conform ment aux r sultats des essais selon les normes La norme NF EN 14885 d finit en fonction de l usage les normes europ ennes auxquelles un produit doit satisfaire pour revendiquer une activit microbicide Compte tenu du fait que le panel de normes n est pas encore complet les propositions de normes exiger ci dessous pourront faire l objet de r visions FICHE ELABOREE PAR LE CCLIN Sup Est 2011 FicHe N 111 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ca ceardinitian de fine dee infeediara nosocomiales
139. r 2011 Gestion du risque infectieux en tablissements m dico sociaux EHPAD MAS et FAM R f rentiels des pratiques CCLIN Sud Ouest DRASS Midi Pyr n es Commission de coordination r gionale des vigilances 2008 Pratiques d hygi ne en tablissement d hebergement pour personnes g es CCLIN Ouest 2002 Hygi ne des structures d h bergement pour personnes g es 4 Techniques et m thodes Essuyage humide des surfaces Avec quoi Produits lustrant d poussi rant d tergent d tergent d sinfectant selon utilisation et nature des surfaces Lavette a usage unique ou r utilisable Comment Zones manuport es interrupteurs portes poign es nettoyage au d tergent d sinfectant une fois par jour et chaque fois que n cessaire Environnement proche du r sident barri res de lit adaptable matelas t l phone dispositif d appel t l commande IA E nettoyage avec un d tergent d sinfectant une fois par jour ou en pr sence de souillures biologiques et la fin de chaque soin le n cessitant par essuyage humide quotidien en dehors des soins Mobiliers bibelots gt essuyage humide une fois par semaine gt lavage avec un d tergent en cas de salissure lavage avec un d tergent d sinfectant chaque fois que n cessaire souillure biologique Murs rideaux selon l tat de salet en fonction de la pr sence ou non de souillures biologiques
140. ratiquer une pr vention d escarres signaler les signes d irritation rougeurs l sions Eliminer les protections dans le circuit des d chets m nagers sac noir DAOM CCLIN Sup Est 2010 Fiche N IV 5 CHAPITRE V LES VACCINATIONS CONTRE LES AFFECTIONS RESPIRATOIRES Fiche n V 1 Vaccination dans un EHPAD SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES en cgcardl inati n de ve led inertia nosocomiales R f rence Logo ou nom de LES VACCINATIONS CONTRE LES INFECTIONS Date 20 l tablissement RESPIRATOIRES Version VACCINATION DANS UN EHPAD 1 Objectif Obtenir une couverture vaccinale des r sidents leur conf rant une protection optimale vis vis des virus grippaux saisonniers et du pneumocoque du personnel grippe rougeole coqueluche 2 Domaine d application personnel concern Ce document s adresse tout le personnel de l tablissement Pour le personnel depuis 2000 le Conseil Sup rieur d Hygi ne Publique de France CSHPF puis le Haut Conseil de la Sant publique HCSP recommandent la vaccination annuelle contre la grippe des profesionnels de sant et de tout professionnel en contact r gulier et prolong avec les sujets a risque ou s occupant de personnes a risque Cette vaccination a pour objectifs de prot ger les patients et les personnels et de limiter la transmission dans la collectivit ainsi que la d s
141. rise en charge rapide et efficace des professionnels en cas d accident d exposition au Sang Diminuer les risques de seroconversion aux virus des H patites B C et du VIH 1 Domaine d application personnel concern Tous les professionnels de EHPAD salari s ou vacataires pouvant tre victimes d un AES sur leur lieu de travail Tous les tudiants en stage Le m decin du travail 2 R f rences Arr t du 28 mai 2010 fixant les conditions de r alisation du diagnostic biologique de l infection a virus de l immunod ficience humaine VIH 1 et 2 et les conditions de r alisation du test rapide d orientation diagnostique dans les situations d urgence Surveiller et Pr venir les Infections li es aux soins P 152 a 156 Haut Conseil de la Sant Publique 2010 Pr vention des infections en EHPAD Programme PRIAM Consensus formalis d experts juin 2009 Observatoire du risque infectieux en g riatrie ORIG Soci t Fran aise d Hygiene Hospitali re Hygi neS 2010 Volume XVII N 1 Circulaire DGS DHOS N 91 du 13 mars 2008 relative aux recommandations de prise en charge des personnes expos es un risque de transmission du virus de l immunod ficience humaine VIH Notion d urgence dans la prise en charge de m decins r f rents Circulaire DGS VS2 DH DRT n 99 680 du 08 d cembre 1999 relative aux recommandations mettre en uvre devant un risque de transmi
142. rsque les mains sont Visuellement souill es Mouill es Poudr es et Apr s un AKS et apr s contact avec des fluides biologiques seul ou en pr alable a une d sinfection des mains par friction Dans les autres cas il est recommand d utiliser les PHA 10 Hygiene des mains chez les r sidents Les r sidents vivant en h bergement collectif Leurs mains sont syst matiquement lav es lors de la toilette matinale Leurs mains sont lav es lorsqu elles sont visuellement sales Une hygiene des mains est r alis e apres tre all aux WC Une hygi ne des mains d sinfection ou lavage est r alis e avant et apr s l acc s une pi ce commune Salle de restauration Salle de d tente Salle d activit s Atelier cuisine Salle de kin sith rapie ou d ergoth rapie Les poign es des cannes des d ambulateurs et des fauteuils roulants sont nettoy es p riodiquement et chaque fois que visuellement sales CCLIN Suo Oussrt 2011 Fiche N IV 1 Dans les cas particuliers de diarrh es a Clostridium difficile et de gale le lavage des mains est n cessaire SS MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date 20 l tablissement Version ANNEXE Fiche technique de d sinfection des mains par friction FRICTION DES MAINS La friction est r alis e en 7 points et
143. s conscient La famille ou le tuteur seront avertis dans un second temps Les r sultats lui seront communiqu s ou la personne de confiance et le cas ch ant une prise en charge sera adapt e Avec la prescription m dicale du m decin r f rent fax e R aliser les pr l vements sanguins n cessaires Pr lever selon les modalit s du laboratoire prestataire faire pr ciser Dans tous les cas notifier la d marche dans le dossier du r sident S1 pr l vements pr venir le laboratoire choisi pour ce type d analyse N On PO ee ee re ee nN ee er eee re ren Z Heures ouvrables 0 Z Heures d astreintes 0 Remarque Le r sultat du test du VIH r alis par le laboratoire choisi doit tre disponible dans l heure qui suit l arriv e du pr l vement au laboratoire Si d placement aux urgences n cessaire Si la victime doit tre remplac e l Organiser le remplacement par la garde administrative ou le cadre de sant du service 2 Appeler un taxi ou un VSL amp 0 3 Ne pas oublier de joindre flacons d examens ou les r sultats des pr l vements ventuels S CONDUITE TENIR DANS UN SECOND TEMPS Y Un m decin tablit le certificat m dical initial dans les 48h L agent d clare son accident de travail la direction ou au service administratif concern La direction de P EHPAD tablira le certificat d accident du travail Dans les 48 heures le professionnel accident
144. s les cas Clostridium difficile ATTENTION Ne pas pratiquer en syst matique un lavage simple suivi d une d sinfection MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GESTION DES SOINS Produit hydro alcoolique PHA en gel ou en liquide r pondant aux normes NF EN 1040 NF EN 1275 NF EN 1500 4 pr sentations possibles 500 mL environ avec pompe pour les flacons plans de travail et chariots soins m nage nursing p remption 6 mois apr s ouverture Flacons 500 mL environ avec supports muraux pour les salles de soins la lingerie la salle de kin les couloirs selon autorisations de la s curit incendie p remption 6 mois apr s ouverture Flacons de 1000 mL Airless pas de date limite d utilisation apr s ouverture Flacons 100 mL environ pour les poches des soignants P remption 3 mois apres ouverture Indications du lavage au savon doux liquide m Reference Date 20 Version Technique Verser dans le creux de la ma n la dose n cessaire pour r aliser la friction en 7 temps Frictionner jusqu au s chage complet au moins durant 20 secondes pr ciser en fonction du produit Ne pas rincer R p ter l op ration chaque fois que n cessaire Voir fiche technique SFHH en annexes Le lavage des mains a pour but d liminer les salissures et de r duire la flore transitoire par action m canique C est a dire lo
145. s offices alimentaires et la salle manger de EHPAD 2 Domaine d application Ce protocole s applique une fois par semaine pr ciser le jour pour le nettoyage int rieur du r frig rateur 3 Ref rence Arr t du 21 d cembre 2009 texte europ en 852 2004 4 Personnes concern es Agent d di au service h telier apr s midi pr ciser le poste horaire 5 Mat riel et produits n cessaires Solution d tergente et d sinfectante agr contact alimentaire Lavettes et papier absorbant 6 Recommandations Debrancher si possible le r frig rateur et le vider Poser le contenu loin d une source de chaleur Enlever les grilles et les mettre dans le lave vaisselle Nettoyer ensuite la grille du ventilateur l int rieur de l enceinte du haut vers le bas la contre porte les joints et les essuyer avec du papier Replacer les grilles et les aliments selon leur nature Rebrancher Nettoyer l ext rieur de r frig rateur l aide d une solution d tergente d sinfectante D poussi rer la grille arri re du r frig rateur V rifier l tat du bac s il existe et le nettoyer toutes les semaines Tra abilit CCLIN Ouest 2011 Fiche N 11 2 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una re led infretiana he Pe R f rence Logo ou nom de HYGI NE EN RESTAURATION Date 20 l tablissement
146. s organiques interf rentes 2 Rin age l eau st rile 3 S chage par tamponnement avec des compresses st riles suivant l indication 4 Application de l antiseptique compatible avec le savon 5 S chage a lair libre pour le respect du temps d action Exemples pour la pr paration cutan e de la peau saine avant un acte invasif Exemple avec produits gamme produits gamme PVPI Chlorhexidine Biseptine Hibiscrub A r 4 7 DETERSION Savon antiseptique B tadine scrub un d tergent entre dans _ Gilbert scrub sa composition 2 RINCAGE ran ee ran eee Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose unidose unidose Hibitane Cham ANTISEPSIE l P 4 Utiliser de pr f rence Antiseptique B tadine Biseptine Chlorhexidine un alcool entre dans sa alcoolique Gilbert toutes deux 0 5 N Les diff rentes Nature du Exemple avec Phase phases produit Exemple avec Biseptine un antiseptique alcoolique alcoolique alcoolique composition CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche N IV 2 TEL Un Guest MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D Tr Fiches TECHNIQUES PRATIQUES inp lew andr nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version Exemples d utilisation d antiseptiques pour la peau l s e les muqueuses anales vulvaires et les parties g nitales masculines Exemple avec Les diff rentes Exempl
147. sence d un ou de plusieurs des criteres ci dessous D nutrition D nutrition s vere 6 Pis de poids 25 en 1 mois ou 10 en e Perte de poids gt 10 en 1 mois ou gt 15 en e Indice de masse corporelle IMC lt 21 ote a e IMC lt 18 Albumin mie lt 35 g l E Bas weal y MNA global lt 17 Albumin mie lt 30 g l 1 Interpr ter le dosage de lalbumin mie en tenant compte de l tat inflammatoire du malade valu avec le dosage de la prot ine C r active STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE amp Plus la prise en charge est pr coce plus elle est efficace e Orale conseils nutritionnels aide a la prise alimentaire e Apports nerg tiques de 30 a alimentation enrichie et compl ments nutritionnels oraux 40 kcal kg j CNO e Apports prot iques 1 2 1 5 g kg j gt Ent rale e Parent rale Criteres de choix des modalit s de prise en charge Le statut nutritionnel de la personne g e Le niveau des apports alimentaires nerg tiques et prot iques spontan s La s v rit de la des pathologie s sous jacente s Les handicaps associ s ainsi que leur volution pr visible L avis du malade et ou de son entourage ainsi que les consid rations thiques Indications de la prise en charge L alimentation par voie orale est recommand e en premi re intention sauf en cas de contre indication e La nutrition ent rale NE est envisag e en cas d impossibilite ou d insuffisance de
148. sertion doit faire l objet d une palpation apr s l asepsie cutan e utiliser des gants st riles Mettre le garrot Rep rer le point de ponction R aliser la pr paration cutan e de la zone de ponction large en respectant les 4 temps en laissant s cher apr s la phase d antisepsie CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n IV 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D Tr Fiches TECHNIQUES PRATIQUES hare lew infini nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version Exemple avec N Les diff rentes Nature du f Exemple avec Exemple avec produits Phase hases roduit PO An ESE Biseptine amme Chlorhexidine P P B tadine P 5 dao Biseptine 1 DETERSION B tadine scrub un d tergent entre dans Hibiscrub antiseptique sa composition 2 RINCAGE Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose Eau st rile en unidose 3 SECHAGE Compresse st rile Compresse st rile Compresse st rile Compresse st rile ANTISEPSIE Utiliser de une Biseptine 4 preference un a Lage B tadine alcoolique un alcool entre dans sa Hibitane Champ 0 5 alcoolique antiseptique composition alcoolique ne plus toucher le site d insertion du cath ter d capuchonner le cath ter piquer introduire le cath ter v rifier le reflux sanguin enlever le garrot appuyer sur la veine en amont du cath ter et distance du point
149. servir a constituer le guide de base des pratiques de pr vention du RI de l tablissement L objectif du groupe de travail tait en priorit de mettre disposition des documents valid s pratiques et actualis s La majorit de ces fiches sont des documents labor s en collaboration avec des professionnels de CCLIN d ARLIN d EHPAD ou des organismes comme la HAS Tous les aspects de la pr vention du risque infectieux en EHPAD pour sa ma trise sont envisag s en 7 chapitres depuis l organisation des moyens jusqu la pr vention des accidents d exposition au sang Deux chapitres particuli rement importants concernent la gestion de l environnement et la gestion des soins Ces fiches qui viennent en compl ment du guide d auto valuation du GREPHH sont propos es aux tablissements m dico sociaux dans le cadre du Programme National de Pr vention des Infections m dico social 2011 2013 Benoist Lejeune CHRU de Brest et CCLIN Ouest Gavazzi G amp coll JAGS 2010 58 1 199 201 Les Bonnes Pratiques de Soins en EHPAD DGS DGAS SFG amp G 2007 ORIG Hygi nes 2010 18 1 www grephh fr BR D Re gt MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES garen de i nine leg infections nosocomiales SOMMAIRE Pr face Liste des abr viations Composition du groupe Contexte et Objectif M thodologie Mode d emploi Chapitre I Organisation des moyens de pr ve
150. sit de Caen Caci Pr X LE COUTOUR Tee SS AM eee E AS ere ee oe Pr D VILLIERS en Hygi ne et pid miologie infectieuse Universit de Nantes Nantes Pr C BATTAGLIA Dr F RIOU DU de M thodes en hygi ne appliqu e Facult de M decine Rennes Rennes Dr F RESMOND Dr P JARNO Pr R QUENTIN Dr N VAN DER MEE Dr O CASTEL DU Hygiene hospitali re pr vention et lutte contre les ER EIERN Koss Pr F EB infections nosocomiales Dr Z KADI a a or z Pr W DAB BACHELOR Hygi ne hospitali re Conservatoire National des Arts et M tiers Nord Pas de Calais B thune E GRONIER EE O ei prevention AE tanda Lille Dr B GRANDBASTIEN associ es aux soins DIU Infection nosocomiale et hygi ne hospitali re Universit Pierre et Marie Curie Paris VI Paris Pr P ASTAGNEAU l Pr M BRODIN DU Gestion du risque nosocomial Facult de m decine Paris Diderot Paris Dr J L QUENON Dr M EVEILLARD en o N Pr P CZERNICHOW des infections nosocomiales et qualit ed Ronda Rouen Pr JF LEMELAND Pe Dr V MERLE Inter r gion Sud Est DU Hygi ne et pr vention des infections nosocomiales Universit de Clermont Ferrand 1 Clermont Ferrand Pr O TRAORE DIU Hygi ne pour les soignants Universit de la M diterrann e Aix Marseille Marseille Pr M DRANCOURT Pr J P DAURES Dr M CAZABAN Dr T FOSSE Dr Y BERROUANE Pr B POZZETTO Pr J FABRY Universit Jean Monnet Saint Etienne Universit Lyon 1 E Universit Clermont Ferra
151. ss s au responsable de l tablissement 2 Z Duplicata adress par courriel et par fax ou papier selon la politique d finie z gt Au responsable du carnet sanitaire A 2 RAPPEL z z L objectif cible est de maintenir la concentration en l gionelles un niveau inf rieur 1 000 UFC Legionella pneumophila z litre d eau a 2 Le fait d atteindre 1 000 UFC Legionella pneumophila litre d eau doit d clencher l alerte et un plan d actions au one regard de la contamination du r seau rs A Recommandation toute contamination doit donner lieu la recherche des causes de la contamination QUIPE HYGI NE PID MIOLOGIE INTER EHPAD VALENCE 2010 FicHe N 11 5 centre mentales O Logo ou nom de l tablissement MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBR una i i PF led inferir nosocomiales R f rence GESTION DE LA QUALIT DE L EAU Date I 120 Version CAHIER DES CHARGES POUR LA R ALISATION D UN DIAGNOSTIC DE R SEAU D EAU 1 Objectifs Etablir un cahier des charges pour la r alisation d un diagnostic technique et sanitaire des installations d eau de l tablissement afin d assurer la qualit de l eau par la connaissance technique des installations 2 Ce que l audit comprend Identification de l ensemble des r seaux d eau de lP EHPAD Etat des lieux des installations de production et de distribution de l eau avec
152. sse buccale L initiation d une renutrition par voie parent rale ou ent rale n est pas recommand e Recommand e en cas de perte de poids A adapter aux troubles du comportement alimentaire aux troubles Prise en charge praxiques ou aux troubles de la deglutition nutritionnelle en cas de En cas de forme l g re ou mod r e d buter par voie orale puis en cas maladie d Alzheimer d chec proposer la nutrition ent rale pour une dur e limit e En cas de forme s vere la nutrition ent rale n est pas recommand e en raison du risque lev de complications Prise en charge Objectifs nutritionnels identiques ceux de la personne g e d nutrie nutritionnelle en cas de A d buter par voie orale risque d escarres ou En cas d chec nutrition ent rale en tenant compte des caract ristiques d escarres constitu es somatiques du malade et de consid rations thiques Pr server une alimentation orale m me minime si le risque d inhalation est jug faible Prise en charge NE indiqu e si la voie orale entra ne des complications respiratoires et ou nutritionnelle en cas de est insuffisante pour couvrir les besoins nutritionnels troubles de la d glutition Si la dur e pr visible des troubles de la d glutition est sup rieure 2 semaines pr f rer la NE par gastrostomie plut t que par sonde naso gastrique Prise en charge nutritionnelle en p riode de En cas de perte de poids apr s un pisode m dico chirurgical aigu co
153. ssion du VHB et du VHC par le sang et les liquides biologiques BO n 99 51 Circulaire DGS DH N 249 du 20 avril 1998 relative la pr vention de la transmission d agents infectieux v hicul s par du sang ou des liquides biologiques lors des soins dans les tablissements de sant Politique de vaccination des professionnels Les Pr cautions Standard Les dispositifs m dicaux de s curit La prise en charge des AES La surveillance des AES L information des professionnels L valuation des actions entreprises Le code du travail article R231 60 a R231 65 3 qui pose la responsabilit du chef d tablissement qui doit fournir aux travailleurs des moyens de protection individuelle et fournir des instructions crites le cas ch ant des affiches portant sur la proc dure a suivre Le code de la sant publique article L 3111 4 qui rend obligatoire la vaccination contre l h patite B pour certaines cat gories de professionnels 3 Definition On appelle AES ou accident avec exposition au sang tout contact avec du sang ou un liquide biologique contamin par du sang survenant par effraction cutan e piq re coupure ou par projection sur une muqueuse yeux bouche ou sur une peau l s e plaie excoriation ecz ma CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n VII 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD pm FicHes TECHNIQUES PRATIQUES R f rence Logo ou nom de PR
154. stimulateur est remplac Retrait post mortem La pr sence d une pile doit tre notifi e sur le certificat m dical de d c s par le m decin ayant constat le d c s L autorisation de cr mation ne peut tre accord e que sur attestation de retrait si la per sonne tait porteuse d une proth se fonctionnant au moyen d une pile Il est noter que l explosion d un pacemaker lors de la cr ma tion d un patient porteur peut engendrer de graves d g ts Pacesetter Teletronics Siemens 92514 Boulogne Billancourt C dex l rond point Victor Hugo 92130 Issy les Moulineaux T l 01 41 46 45 00 au four cr matorium Les m mes exigences demeu rent si le corps est inhum Protection de l environne ment Qu il s agisse d un retrait lors du vivant ou en post mortem il est important que le stimulateur suive une fili re d limination sp ci fique pour tre limin ou valoris dans une installa tion sp cifique Titre Date Auteur Guide pratique sur les d chets dangereux Juin 2003 Ademe http www prorecyclage com filieres Prorecyclage CCLIN Suo Ousst 2011 Fiche n 11 4 G6 cun MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D pen FicHes TECHNIQUES PRATIQUES liat re l s infections nosocomiales R f rence Logo ou nom de Fe ice ac GESTION DES D CHETS Date I 120 Version UNE SEULE R GLE ELIMINONS
155. sur Haute Autorit de sant 2007 Imprim par IME FS copyright HAS 2007 Fiche 1 2 HAS HAUTE AUTORITE DE SANTI gt MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES STRAT GIE DE PRISE EN CHARGE EN CAS DE Date 20 Logo ou nom de l tablissement D NUTRITION Version Fiche descriptive Strat gie de prise en charge en cas de d nutrition prot ino nerg tique chez la personne g e M thode de travail Recommandations pour la pratique clinique L objectif de ces recommandations est d laborer un outil pratique de rep rage et de prise en charge de la personne g e d nutrie ou risque de d nutrition Tous les professionnels de sant amen s prendre en charge une personne g e d nutrie ou risque de d nutrition et plus particuli rement les m decins g n ralistes les g riatres ainsi que les di t ticiens les infirmiers les m decins nutritionnistes et les gastro ent rologues Demandeur 00000 Direction g n rale de la sant Promoteur 00000 Haute Autorit de sant Financement Fonds publics Coordination Dr Christine Revel chef de projet service des recommandations professionnelles de la HAS Dr Najoua Mlika Cabanne adjoint du chef de service chef de service Dr Patrice Dosquet Secr tariat Mme Isabelle Le Puil Recherche documentaire Mme Mireille Cecchin avec laide de Mme Sylvie Lascols service de docu
156. t alors choisir un itin raire le plus court possible en vitant les zones tr s peupl es Les pr pos s au transport portent un masque et des gants qu ils doivent retirer imm diatement une fois le transport termin Les patients portent un masque chirurgical durant le transport 3 Visiteurs Les visiteurs doivent rencontrer un membre du personnel avant de p n trer dans la chambre et s il y a lieu doivent tre inform s de la bonne fa on d utiliser un masque ainsi que d autres pr cautions Les professionnels informent les visiteurs de la n cessit de se laver les mains et leur facilitent l acc s des installations ad quates Le nombre de visiteurs devrait tre maintenu au minimum En cas d pid mie tous les visiteurs doivent recevoir les consignes des l entr e dans la r sidence y compris les livreurs Hay Lust e hy a L ee ee Pagepracia EXTRAIT DE LA CIRCULAIRE 2006 499 MINIST RE DE LA SANT FICHE N VI 4 A Biren FRAAI Linistien de la Santi sl des Sobdarida CHAPITRE VII PREVENTION DES ACCIDENTS AVEC EXPOSITION AU SANG Fiche n VIL 1 Prevention des accidents avec exposition au sang SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ve fre led inferior nosocomiales R f rence Logo ou nom de PR VENTION DES ACCIDENTS er Date 120 l tablissement AVEC EXPOSITION AU SANG Version 1 Objectifs Permettre une p
157. t de la plaie Remarque pas de pr l vements microbiologiques sans prescription m dicale gt Plaies aigues exemple cicatrice postop ratoire simple et sutur e agrafes fils Fr quence 1 pansement 24 a 48 h selon prescription pansements suivants selon prescription 2x semaine si pas de complications r alisation de ce type de pansement en d but d une s rie de pansements Mat riel et produits set pansement st rile ou gants st riles et compresses st riles nettoyer au s rum physiologique puis s cher par tamponnement avant l application d un autre pansement antisepsie lors de l ablation des fils ou agrafes il est possible de ne pas recouvrir d un pansement de protection le risque infectieux tant faible mais des situations peuvent le n cessiter exposition au soleil localisation de la plaie et confort du r sident vis a vis des miettes des souillures frottement des v tements Suivi tra abilit surveiller apparition de signes inflammatoires douleur chaleur rougeur coulement CCLIN Noro 2011 FicHe N IV 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD D FICHES TECHNIQUES PRATIQUES IT Ed de nesocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version POSE ET GESTION D UNE PERFUSION SOUS CUTANEE 1 Objectifs Am liorer la qualit des soins lors de l administration d un solut ou d un m dicament
158. t les emballages contenant d autres types de d chets doit tre vidente 3 Ils sont implant s construits am nag s et exploit s dans des conditions offrant une s curit optimale contre les risques de d gradation et de vol 4 Ils doivent tre identifi s comme risques particuliers au sens du r glement de s curit contre les risques d incendie 5 Ils sont correctement ventil s et clair s et permettent une protection des d chets contre les intemp ries et la chaleur 6 Ils sont munis de dispositifs appropri s pour pr venir la p n tration des animaux 7 Le sol et les parois de ces locaux sont lavables 8 Ils sont dot s d une arriv e d eau et d une vacuation des eaux de lavage vers le r seau des eaux us es quip d un dispositif d occlusion hydraulique conforme aux normes en vigueur Le robinet de puisage est pourvu d un disconnecteur d extr mit du type HA permettant d emp cher les retours d eau Cette disposition ne s applique pas aux locaux d entreposage situ s l int rieur des unit s de soins des tablissements de sant 9 Ils font l objet d un nettoyage r gulier et chaque fois que cela est n cessaire Art 9 Lorsque la configuration d un tablissement de sant ne permet pas de respecter les dispositions de l article 8 du pr sent arr t les d chets d activit s de soins risques infectieux peuvent tre entrepos s sur une aire ext rieure si
159. t residents e Les Gants e Pansements Plaies e Pose et gestion d une perfusion sous cutan e e Pose et gestion des catheters veineux p riph riques e Sondage urinaire Fiche n 1V 2 Antiseptiques Fiche n IV 3 Precautions Standard Fiche n IV 4 Precautions compl mentaires Fiche n IV 5 Hygiene des residents SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES ceardinatian de ne led nei nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version SOINS RESPIRATOIRES A ROSOLTH RAPIE 1 Objectif Limiter le risque ou l aggravation d infections respiratoires des personnes g es particuli rement expos es aux infections broncho pulmonaires 2 Domaine d application personnel concern Soins aux personnes g es en EHPAD r alis s par les IDE les Kin sith rapeutes 3 R f rences Recommandations professionnelles pr vention des infections en EHPAD ORIG SF2H 2009 Circulaire DGS DHOS n 2002 243 du 22 avril 2002 relative la pr vention du risque li aux l gionelles dans les tablissements de sant qui classe les humidificateurs parmi les installations risque et pr cise qu il est n cessaire d employer une eau de qualit st rile 4 D finitions L aerosoltherapie par n bulisation permet d administrer au r sident malade par voie inhal e des substances actives directement au niveau des v
160. te de squame puis reprendre le circuit habituel du linge Les personnels charg s de cette tache doivent porter un masque et ouvrir les fen tres Dans les ETS sanitaires et sociaux confier le linge personnel a la famille quand il est trait ou apr s mise en quarantaine 8 jours dans sac plastique ferm identifi Mat riel literie mobilier Privil gier mat riel UU ou individualis au patient si mat riel r utilisable avec tissu brassards sangles le traiter avec poudre acaricide dans un sac plastique tanche pendant 3h avant traitement habituel Le traitement de l environnement est indiqu dans le cas de gale norv gienne profuse ou dans un contexte pid mique Traiter oreillers traversins matelas sans housse ou abim e en appliquant un produit acaricide laisser en contact selon mode d emploi Apr s traitement changer la housse changer le tout au d part du patient Traiter chaises fauteuils rev tement tissu avec produit acaricide temps de contact selon mode d emploi Les personnels charg s de cette t che doivent porter un masque et ouvrir les fen tres Signalement interne EOH m decin du travail et direction Signalement externe DDASS et CCLIN dans le cadre d une pid mie R f rences CSHPF Avis du 27 juin 2003 relatif La conduite tenir en cas de gale CCLIN Sud Ouest Recommandations concernant la gestion de la gale dans les tablissements de soins et m dico sociau
161. tion un traitement local par badigeonnage pulv risation ou application de cr me sur le corps sera effectu Si Traitement local par badigeonnage appliquer avec un pinceau individualis et au nom du patient sur peau propre et s che douche au savon doux avant insister sur les l sions renouveler l application sur peau s che 10 15 mn apr s dur e de contact 12 24h changer la literie et mettre des v tements propres Un badigeon peut tre renouvel une fois 8 jours apr s le 1 si n cessaire Avis du Conseil Sup rieur d Hygiene Publique de France du 27 juin 2003 relatif a la conduite a tenir devant un cas de gale CCLIN Noro 2007 FicHe N V1 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD a a FicHes TECHNIQUES PRATIQUES ceardination de nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES RISQUES PID MIQUES Date Version Explication des mesures de contr le au personnel intervenant aupr s du ou des patients atteints ou contacts aux intervenants ext rieurs La structure d origine ou de destination si transfert r cent la blanchisserie de la structure Recommandations aux visiteurs limiter les visites port de surblouse hygiene des mains ne pas utiliser les toilettes du patient atteint pas de transfert du ou des patients avant prescription de l arr t de l isolement c est dire 48h apr s a
162. tiques V rifier la date de p remption du produit Indiquer la date d ouverture sur le flacon lorsque l antiseptique n est pas en unidose Fermer le flacon apr s chaque manipulation Respecter la dur e d utilisation apr s ouverture du flacon Ne pas toucher louverture du flacon afin d viter toute contamination Ne pas reconditionner ne pas compl ter un flacon ouvert Conserver a l abri de la lumi re et de la chaleur Nettoyer desinfecter par essuyage humide l ext rieur des flacons apr s utilisation Eliminer syst matiquement les flacons unidoses entam s une utilisation un acte Eliminer les flacons et unidoses vides par la fili re d chets m nagers Eliminer par la fili re DASRI sacs ou cartons jaunes les flacons non vides les unidoses entam es Il convient de privil gier l utilisation des unidoses ou des petits conditionnements pour une meilleure ma trise du risque de contamination des antiseptiques par des microorganismes CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche n IV 2 Ger ins Ec SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES a ecardirati n de i re lee infection nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version Ce tableau pr sente des EXEMPLES D ANTISEPTIQUES D USAGE COURANT Pour plus de renseignements sur les antiseptiques se r f rer a
163. tu e dans l enceinte de l tablissement Ces aires ext rieures d entreposage r serv es exclusivement aux d chets respectent les dispositions des 2 3 4 6 7 8 et 9 de l article 8 Elles r pondent galement aux dispositions suivantes 1 Elles sont d limit es par un grillage continu et quip es d une porte permettant une fermeture efficace 2 Elles sont quip es d un toit Le regroupement et l entreposage de d chets d activit s de soins risques infectieux et assimil s sur des aires ext rieures situ es en dehors de l enceinte d un tablissement de sant sont strictement interdits 6 Dur e d entreposage des DASRI S RESUME DE L ARR T DU 7 SEPTEMBRE 1999 Y RELATIF AUX MODALIT S D ENTREPOSAGE DES DASRI Modifi par l arr t du 14 octobre 2011 Entre le moment ou le d chet est produit et le moment ou il est effectivement incin r ou d sinfect la dur e maximale autoris e est diff rente selon la quantit des DASRI produites Cette dur e inclut l entreposage l ventuel regroupement le transport et l incin ration ou la d sinfection Il appartient l tablissement d obtenir contractuellement les engagements n cessaires lui permettant de respecter les d lais suivants 72 heures maxi si production sup rieure 100 kg par semaine 7 jours maxi si production inf rieure ou gale 100 kg par semaine et sup rieure 15 kg par mois 1 m
164. ture P remption 30 jours P remption 30 jours P remption 30 jours P remption 30 jours m SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES una ve lex indian nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version PR CAUTIONS STANDARD 1 Objectifs viter tout risque de transmission d infection par le sang les liquides biologiques ou tout autre produit d origine humaine et tout autre risque de transmission crois e de micro organismes 2 Description de la conduite tenir tous professionnel lors de tout soins pour tout r sident Entre deux r sidents deux activit s Remplacer le lavage des mains par la d sinfection par friction avec une solution hydro alcoolique d s que possible Syst matiquement apr s le retrait des gants Hygi ne des mains Si risque de contact avec du sang ou tout autre produit d origine humaine les muqueuses ou la peau l s e du r sident notamment i pe Port de gants a l occasion de soins risque de piq re h moculture pose et Mo IM d pose de voies veineuses chambre implantable pr l vements Les gants doivent tre sanguins et lors de la manipulation de tubes de pr l vements chang s entre deux biologiques linge et mat riel souilles r sidents deux activit s ET Lors de tout soin lorsque les mains du soignant comportent d
165. u Vidal ou au r f rentiel du CCLIN Sud Ouest Le bon usage des antiseptiques Exemple d antiseptique d usage courant liste non exhaustive a Delai utilisation Principales contre Principales specialites Principales indications indications effets ind sirables apres ouverture ALCOOL 70 Ethanol Antisepsie de la peau saine pour IV IM SC Irritant D sinfection des sites inertes Ne doit pas tre appliqu P remption bouchons sites d injection sur les muqueuses et la 30 jours Pansements alcoolis s sur peau l s e prescription m dicale D tersion des muqueuses et des plaies souill es D sinfection de la peau saine Intol rance la PVPI Composant de la Temps de s chage 30 secondes B tadine et autres g n riques Irrigation des plaies Antisepsie des plaies propres des brulures superficielles D sinfection de la peau saine Antisepsie cutan o muqueuse Temps de s chage 1 minute P remption 30 jours Antisepsie vaginale Pour les unidoses 10 mL Jeter imm diatement apr s emploi Antisepsie de la cavit buccale Soins post op en stomatologie Traitement d appoint des infections de la cavit buccale CCLIN Suo Oussrt 2011 Fiche N IV 2 i coordination de list re les infection nosocomiales Logo ou nom de etablissement MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FICHES TECHNIQUES PRATIQUES GESTION DES SOINS
166. ue infectieux en g riatrie Publi par la Soci t Fran aise d Hygiene Hospitali re sur HygieneS 2010 Volume XVIII N 1 4 Description El ments Blouses ou tuniques pantalons Chaussures propres facilement nettoyables silencieuses de pr f rence antid rapantes avec un l ger talon r serv es l tablissement Forme Confortable ergonomique manches courtes Identification de la tenue n cessaire Textile Le m lange polyester 65 coton 35 constitue la r f rence 5 Recommandations Disposent d une tenue vestimentaire professionnelle r serv e l EHPAD les professionnels salari s de l tablissement AS AMP ASH IDE kin medecins les professionnels lib raux IDE Kin m decins de ville p dicures professionnels des laboratoires de biologie Rappel des r gles d hygi ne de base Hygiene corporelle tre propre pour venir travailler Cheveux propres attach s s ils sont longs Ongles courts propres sans vernis et sans faux ongles Mains et poignets sans bijou Manches courtes ou relev es Sides effets personnels sont port s sur la tenue de travail vestes gilets ils devront tre propres et entretenus par PEHPAD Ces effets personnels ne sont pas port s lors des soins rapproch s changes toilettes Les tenues seront stock es dans un vestiaire r guli rement nettoy CCLIN Suo Ousst 2011 Fiche N 1 4
167. ues Porter un tablier usage unique lors des soins directs au r sident Privil gier le mat riel d di au r sident R aliser une friction ou un lavage simple suivi d une friction en cas de mains souill es apr s tout contact avec le r sident ou son environnement proche et en fin de prise en charge du r sident Mesures techniques Porter un masque chirurgical ou masque de soins proximit du r sident lt 1m et pour les soins directs R aliser une friction ou un lavage simple suivi d une friction en cas de mains souill es en fin de prise en charge du r sident lp Pr cautions contact A F Mesures g ographiques Hygiene des mains du r sident lorsqu il se d place Changement des protections et r fection des pansements lors des d placements Isolement g ographique a discuter au cas par cas en fonction de l valuation du risque de transmission et en cas d pid mie Information et hygi ne des mains des visiteurs Pr cautions gouttelettes Mesures g ographiques Hygi ne des mains et port de masque par le r sident lorsqu il se d place Isolement g ographique en cas d pid mie et a discuter au cas par cas en fonction de l valuation du risque de transmission Information et hygi ne des mains des visiteurs Pr cautions air Mesures techniques Mesures g ographiques Porter un masque respiratoire sp cifique type FFP avant d entrer dans la chambre
168. une perfusion intraveineuse IV et ou sous cutan e S C prise en charge de l incontinence pansement oxyg noth rapie et aerosol distribution et administration de medicaments 4 Information Usagers b n voles Respecter les bonnes pratiques en hygi ne lors de aux visiteurs et kinesitherapeutes l intervention en institution intervenants ext rieurs ergoth rapeutes Pour en savoir plus rapprochez vous de vos ARLIN CCLIN de vos organismes de formation CCLIN Sup Est 2010 Fiche N 1 1 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES O ceardinatian de re led infection nosocomiales LISTE DES FORMATIONS DIPL MANTES EN HYGI NE Logo ou nom de Date 120 l tablissement HOSPITALI RE PR SENT ES PAR INTER R GION Version a Res Libell l Centre formateur Lieu P ee eae p dagogiques Inter r gion Est DU lali 2 Universit de Franche Comt UFR sciences m dicales et Besancon D TALON pharmaceutiques DU Hygi ne hospitali re Universit Henri Poincar Nancy 1 Nancy Pr HARTEMANN DU Pr vention des infections nosocomiales Universit Henri Poincar Nancy 1 Nancy Pr HARTEMANN ne at spans S GAYET pe Pr vention des infections nosocomiales Universit de Strasbourg Strasbourg T LAVIGNE Inter r gion Ouest DU en Hygi ne Facult de M decine Brest Brest Pr B LEJEUNE DU Pr vention des infections nosocomiales et qualit Univer
169. ures de base gt Informer sans d lai l ensemble du personnel en charge de la gestion de l eau et des services d h bergement concern s Rechercher l origine des carts avec les r sultats d analyse ant rieure et rechercher les causes de la prolif ration E d valuation Evaluer l tendue de la contamination Mettre en uvre les mesures n cessaires la ma trise de la concentration en l gonelles d tartrage purge r glage de la temp rature travaux etc es Renforcer la surveillance de la qualit de l eau E gt Selon l importance de la prolif ration 5 Mettre en ceuvre des actions curatives n cessaires nettoyage et d sinfection purge mont e en temp rature 2 Fournir une information adapt e aux personnes g es et aux familles en fonction de l analyse b n fice risque z Proc der au cas par cas la suppression des installations risque bains bouillonnants douches et mettre en ceuvre des moyens limitant l exposition aux a rosols lavage au gant de toilette 2 Proc der la pose de filtres terminaux et au d montage des pommeaux de douche Z Evaluer l efficacit des mesures prises par une surveillance adapt e a l importance de la contamination des 2 prelevements Ne pas oublier d informer les personnes qui sont sorties et qui ont s journ au sein de l tablissement dans les 10 jours pr c dents les pr l vements Z 2 R sultats d finitifs adre
170. urs de l activit professionnelle Avant la prise et a la fin du service Apres s tre mouch coiffe Avant et apr s tre all aux toilettes etc Avant de mettre des gants et apr s les avoir retir s Avant de donner un m dicament un repas Avant tout geste aseptique sondage pose de cath ter Apr s tout geste septique manipulation de d chets linge souill bassin urinal Entre deux r sidents Ala sortie d une chambre de r sident en pr cautions compl mentaires type Contact Goutelette Air 8 Privil gier la friction hydro alcoolique car Elle est plus efficace que le lavage des mains m me avec un savon antiseptique A fr quence gale elle est mieux tol r e Elle est d un usage plus rapide R aliser une d sinfection par friction avec un PHA en remplacement du lavage des mains en absence de souillure visible des mains PHA Produit hydro alcoolique CCLIN Sup QOuest 2011 Fiche n IV 1 a ccardliration de re led dnfp tinres nosocomiales Logo ou nom de etablissement 9 Contre Indications Ne pas utiliser sur mains Souill es Mouillees Poudr es Ne pas utiliser Sur les bact ries sporul es comme le Clostridium difficile Sur les parasites comme la gale dans ces cas il est imp ratif de r aliser un lavage des mains qui doit tre suivi d une d sinfection dan
171. valve anti retour valves bidirectionnelles Rappel Calcul du d bit en gouttes par minute R glage du d bit Sachant que 1 mL 20 gouttes CCLIN Sup Ouest 2011 Fiche n IV A Ger ins Ec SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una dre led nee nosocomiales R f rence GESTION DES SOINS Date I 120 Logo ou nom de l tablissement Version SONDAGE URINAIRE 1 Objectif assurer l limination en continu des urines en pr venant la survenue d infections lors de la pose et des manipulations du dispositif 2 Domaine d application personnel concern Le sondage urinaire demeure tant la principale cause d infection urinaire ses indications doivent tre limit es et reconsid r es quotidiennement Seuls les IDE et les m decins sont habilit s poser une sonde demeure le 1 sondage doit tre r alis en pr sence d un m decin 3 R f rences Hygiene et pr vention du risque infectieux dans les EHPAD CCLIN Ouest 2002 Conf rence de consensus sur la pr vention des infections urinaires SPILF 2002 Recommandations professionnelles pr vention des infections en EHPAD ORIG SF2H 2009 4 Recommandations gt Respecter le principe du syst me clos lors de la pose et durant toute la dur e du sondage Le principe du syst me clos correspond a la fermeture compl te du syst me d vacuation urinaire et a1 int
172. vice de Gestion du Risque Infectieux et Vigilance H pital Calmette 1er tage Pavillon Christiaens CHRU de Lille 2 avenue Oscar Lambret 59037 LILLE Cedex ARLIN Nord Pas de Calais 03 20 44 69 57 03 20 44 69 42 ARLIN Picardie CHU d Amiens Place Victor Pauchet http www nosopicard com 80054 AMIENS Cedex 1 22008000 NEE ae CCLIN Ouest ARLIN Basse Normandie Niveau 1 CHU de Caen Courriel rrh chu caen fr 14033 CAEN Cedex 02 31 06 51 51 02 31 06 49 14 http www rrhbn org ARLIN Bretagne Unit d hygi ne CHU Morvan Courriel arlin bretagne chu brest fr 26609 BREST Cedex nn ARLIN Centre Courriel secretariat rhc chu tours fr H pital Bretonneau 37044 TOURS Cedex 9 02 47 47 82 90 02 47 47 82 91 http www rhc arlin com CHU Le Tourville nn Pes 5 rue professeur Yves Boquien 02 40 08 39 86 02 40 08 47 72 LM GS 44093 NANTES CCLIN 2011 Fiche 1 2 MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHes TECHNIQUES PRATIQUES m list fre lee near nosocomiales r r R f rence Date 20 Logo ou nom de etablissement CoorRDONNEES DES ARLIN CCLIN Sud Est ARLIN Auvergne Courriel cclin auvergne chu clermontferrand fr ARLIN Corse ARLIN Languedoc Roussillon Courriel cclin antenne Ir chu montpellier fr ARLIN PACA Courriel arlin paca ap hm fr ARLIN FELIN R union Mayotte Courriel ant cclin felin chr reunion fr ARLIN Rh ne Alpes Courriel cclin ante
173. virale qui est indiqu e et pr cis e La dispensation est assur e sous la responsabilit d un pharmacien et dans le cadre d un traitement soumise une prescription m dicale 4 Spectre d activit des antiseptiques majeurs Un antiseptique majeur est un antiseptique poss dant un effet bact ricide a large spectre et levuricide Tableau d apr s le bon usage des antiseptiques CCLIN Sud Ouest 2001 Antiseptiques BG BG MB Fungi Spores VE VN Biguanides Als Alcools de 5 Legendes produit acti produit inconstamment acti produit inacti BG bacilles a Gram BG bacilles Gram MB mycobact ries VE virus envelopp s VN virus nus Ce tableau est donn a titre indicatif L activit en pratique d pend de la formulation du produit commercialis et de ses conditions d emploi CCLIN Suo Oussrt 2011 Fiche N IV 2 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Fiches TECHNIQUES PRATIQUES BE l ceordirati n de de led ine nosocomiales R f rence Logo ou nom de GESTION DES SOINS Date I 20 l tablissement Version Exemples d antiseptiques majeurs et leur conditionnement par ordre alphab tique liste non exhaustive Alcool modifi 70 flacon de 250 et 500 mL B tadine dermique dose de 10 mL flacon de 125 et 500 mL B tadine alcoolique dose de 10 mL flacon de 125 mL et 500 mL B t
174. x 2004 CCLIN Noro 2007 FicHe N V1 1 SS MA TRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD FicHEs TECHNIQUES PRATIQUES GEBE una hare lew infeesiara nosocomiales R f rence Logo ou nom de l tablissement GESTION DES RISQUES PID MIQUES Date 120 Version GASTRO ENT RITE Annexe n 5 Mesures de gestion environnementale Nettoyage et d sinfection des surfaces et des locaux e nettoyer imm diatement toutes les surfaces souill es par des selles ou des vomissements essuyage des salissures avec du papier a usage unique puis nettoyage et d sinfection avec du papier a usage unique et un produit d tergent d sinfectant e s assurer d une fr quence de nettoyage au moins quotidienne de l unit de soins affect e en insistant particuli rement sur les salles de toilette et de bain e nettoyer d sinfecter et rincer les surfaces en portant une attention particuli re aux toilettes et aux chambres des personnes souffrant de GEA e renforcer le nettoyage et la d sinfection des surfaces fr quemment touch es ex poign es de porte rails de lits toilettes lavabos robinets e utiliser une solution d sinfectante appropri e pour les surfaces apr s le nettoyage respecter le temps de contact n cessaire pour la d sinfection S assurer que la solution soit virucide et corresponde a la norme europ enne EN14 476 e les pisodes de cas group s de GEA en EHPAD tant le plus souvent
175. yst matiquement trangers l absence d objets e Identifier un code couleur par type d article D poser chaque article dans le sac de couleur correspondant lainage draps petit linge Ne pas secouer et ne pas d poser le linge sur le sol Conditionnement e Utiliser des sacs propres tanches munis de syst me de fermeture en bon tat Remplir les sacs aux 2 3 poids id al lt 10 kg Utiliser un chariot de linge l ger et facile d entretien chariot mixte propre sale d conseill Avec ou sans couvercle Avec ou sans p dale de commande Appliquer la technique du double emballage si n cessaire en cas d isolement sac hydrosoluble sac de couleur sp cifique Stockage interm diaire et transport Stocker les sacs de linge dans un local sp cifique frais a r sans chauffage dimensions adapt es quip d un point d eau Stocker le linge sale dans le service pendant une dur e maximum de 24 heures e Utiliser des conteneurs exclusivement r serv s cette fonction Porter des gants lors du transfert des sacs Manipulations et tri Rev tir une tenue de protection gants type Kevlar masque coiffe enveloppante tunique pantalon Zone de tri strictement s par e des secteurs r serv s au linge propre Au minimum se laver les mains avant de franchir la zone sale La qualit du pr tri dans le services conditionnent les op rations de tri doivent tre r duites au

Maîtrise du risque infectieux en EHPAD

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