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1. Share SE Personnel requis Hypoth ses Assistance Assistance sur le Conseiller Permanent Le sp cialiste technique terrain aux sp cialis en S amp E en ex cutants Sp cialiste en informatique informatique joue un r le important dans cette activit R seautage Organiser des Salle quipe nationale Une r union Cette activit forums r guliers par doit tre pour communiquer trimestre dirig e par les enseignements l quipe tir s d action nationale Recherche Demander des Chercheurs Quatre tudes op rationnelle tudes sp cialis s de r sultats RO sp ciales afin de tous les deux mesurer les ans avec un r sultats et l impact plafond de du programme 200 000 USD Conclusion On constate une augmentation de la demande d informations li es la r alisation des objectifs et l impact des projets et politiques consacr s la protection aux soins et au soutien des enfants dans le besoin vuln rables contamin s ou touch s par le VIH SIDA Ce n est qu en essayant d laborer et de tester des syst mes simples dans des situations concr tes que nous pourrons parvenir mieux comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas Bien qu il soit difficile de d finir des syst mes de S amp E op rationnels et qu un grand nombre d options th oriques existent on a pu tirer des enseignements de leur application pratique dans diff rents pays Il est d sormais important de s appuyer sur ce que nous
2. Suivre les apports les activit s et les produits Indiquer les objectifs qui ont t atteints ou non Mettre en vidence les points forts et les lacunes des services prodigu s Produire les informations compl mentaires n cessaires la gestion du projet sa planification et sa promotion Servir de base la compr hension des r sultats moyen terme et de l impact des efforts d ploy s collectivement au fil du temps Si le syst me est labor et mis en uvre selon une approche r ellement participative il offre l avantage suppl mentaire de rassembler tous les acteurs Cela permettra de faire conna tre le S amp E et les besoins en donn es des diff rents programmes et communaut s y compris ceux qui mettent en ceuvre les activit s en faveur des OEV 1 2 Qu est ce que le S amp E Les termes suivi et valuation ont une d finition variable et sont parfois utilis s de mani re interchangeable mais ils remplissent des fonctions tout fait diff rentes Il est cependant de plus en plus admis que Le suivi est une proc dure de routine qui consiste surveiller les apports et les produits Elle doit fournir des informations indiquant si une intervention est en bonne voie et ne d passe pas le budget par exemple si elle atteint le nombre voulu de m nages avec des OEV ou si le nombre d enregistrement de naissances est en augmentation L valuation correspond davantage la
3. valuations concr tes et notamment e Les contraintes budg taires qui obligent modifier le mod le e Les contraintes de temps qui peuvent obliger engager plus de chercheurs e Les contraintes de donn es qui peuvent impliquer de reconstruire les donn es de r f rence Les influences politiques en quilibrant les pressions des bailleurs de fonds et autres Conception de l valuation Les faiblesses m thodologiques ne sont pas rares dans les valuations Il faut tre particuli rement attentif la conception si l on veut relever les d fis r els de l valuation Par exemple si la documentation ne cesse de cro tre sur les mesures du bien tre psychosocial des enfants il est galement n cessaire de se montrer vigilants quant l utilisation des mod les d valuation qui abordent les probl mes d thique et les autres pr occupations des enfants Questions se poser au stade de la conception Points traiter Conception de l valuation Qui doit on inclure public vis Quel est l chantillonnage le plus r alisable O l enqu te sera t elle men e lieu de l enqu te Quel mod le d tude est r alisable e Etude de r f rence Mod le descriptif Groupes de comparaison Le mod le de l valuation d pendra des questions auxquelles il faut r pondre et du stade du projet L chantillonnage ou la s lection d un segmen
4. But de la visite une seule r ponse Visite de suivi de routine Visite la demande de l organisation Demande de donn es de notre part Nombre de visites pr c dentes en donnant le motif des visites pr c dentes Enqu teurs Nom des enqu teurs D signation Liste des membres du personnel interrog s Nom des membres du personnel interrog s D signation Informations g n rales Couverture g ographique Dans quels districts ex cutez vous des activit s dans le cadre du PAN pour les OEV Dans combien de circonscriptions ex cutez vous des activit s Combien de b n ficiaires OEV sans compter les doublons pr voyez vous d atteindre dans chaque domaine prioritaire selon votre plan de programme d ici la fin de l ann e Pensez vous pouvoir atteindre cet objectif O N Justifiez votre r ponse Gestion du composant de suivi du programme inclus dans le projet Votre organisation dispose t elle de personnel d di au suivi du programme O N Si oui remplissez le tableau ci dessous Domaine Nb de personnel temps S amp E Budget Quel pourcentage du budget global est consacr au S amp E dans le cadre du programme du PAN pour les OEV Pourcentage 96 61 Capacit s Votre organisation dispose t elle d un r f rent pour le S amp E O N Votre organisation a t elle mis en place un plan de S amp E Le personnel de S amp E de votre organisation a t i
5. Cr dit couverture et gauche puis dans le sens des aiguilles d une montre F INYHQ2004 1202 Vitale NYHQ2005 1782 Pirozzi YHQ2006 Pirozzi NYHQ2005 2039 DeCesare Acronymes CBO CDE CNLS EDS EGIM MICS EIS ETII ETS FBO GPF LSMS OEV OMS ONG ONU ONUSIDA PAN RAAAP RO S amp E UNGASS SIDA UNICEF USAID VIH SIDA Organisation communautaire Convention relative aux droits de l enfant Conseil national de lutte contre le SIDA Enqu tes d mographiques et de sant Enqu te en grappes indicateurs multiples Enqu te sur les indicateurs du SIDA quipe de travail interinstitutions Enfants touch s par le SIDA Organisation religieuse Forum mondial des partenaires Enqu te sur la mesure du niveau de vie Orphelins et enfants vuln rables Organisation mondiale de la Sant Organisation non gouvernementale Organisation des Nations Unies Programme commun des Nations Unies sur le VIH SIDA Plan d action national valuation rapide analyse et planification des interventions Recherche op rationnelle Suivi et valuation Session extraordinaire de l Assembl e g n rale des Nations Unies consacr e au VIH SIDA Fonds des Nations Unies pour l enfance Agence des tats Unis pour le d veloppement international Virus de l immunod ficience humaine Syndrome de l immunod ficience acquise Sommaire Introduction et contexte Contexte 7 Objectif de ce document 8 Destinataires 8 Organ
6. E National E Provincial E Communautaire 4 Avez vous d j suivi une formation sur le suivi et l valuation BE Quon 442 Si oui indiquez o et pendant combien de temps EE 5 Comment valueriez vous vote niveau a n ral de comp tence E Excellent meon MAssezbon Mauvais El M diocre SNE 6 Y atil un r f rent S amp E dans volre organisation mou Enon Ta Pas save 7 Comment amp valuerez vous vore niveau g n ral de comp tence informatique cochez une seule case par programme 7 8 Wort E Excellent m Bon D Assez bon B mawas E M diocre E Jamais entendu parer 7 9 Excel Diecher CE D Assez bon B Mauvais E M dico E Jamals entendu parer 7 6 Power Point E Excellent m Bon D Assez bon E Mauvais IE M diocre E Jamais entendu parer Ta Access EH Excellent I El Assez bon El Mauvais E M diocre El oma entendu parer B Informations sur lo S amp E ordinateur d di au Sa Adresse Gieciromiquo accessible au personne frowjours Teu E les acods nemet Paus E TEN G n rateur de secours jaa G n rmieur de secours m ccn cum EE d un budget consacr 1 s nse en uvre des activit s de S amp E pour le PAS 7 Votre organisation dspose t elle de formulaires de collecte We donn es pour le Plan de soutien Indiquez s i s agit outis du CNLS PdSf labor s par l organisation elle Immer Votre organisation dispose lle des Directives du GNLS intention des ex cutani
7. coul s ou vit en dehors de la protection familiale c est dire vit dans une institution ou dans la rue Exemple de pays D finition des OEV dans le cadre du S amp E national en Namibie Selon la Politique nationale namibienne relative aux orphelins et aux enfants vuln rables un orphelin est un enfant dont l un des parents ou les deux sont d c d s et qui est g de moins de 18 ans et un enfant vuln rable un enfant qui a besoin de soins et de protection Cette d finition de vuln rable pourrait s appliquer tous les enfants de Namibie dans la mesure o tous les enfants ont besoin de soins et de protection La d finition des enfants vuln rables est rest e volontairement vaste pour que les enfants concern s puissent b n ficier des interventions appropri es Toutefois la plupart des programmes ou projets destineront leurs actions un seul groupe d enfants Les programmes de repas scolaires par exemple pourront cibler les enfants qui viennent Le probl me de la d finition des OEV est abord en d tail dans l Annexe B 2 Voir Recommandation 1 de l Annexe B pour de plus amples informations 2 Voir Recommandation 2 de l Annexe B pour de plus amples informations Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adre
8. qui requiert des contr les al atoires de routine la supervision des donn es et l assistance technique en cas de requ tes Lecons retenir D s le d part laborez le syst me de gestion des donn es AVANT le d but de la collecte des donn es sur le terrain Attribuez les r les et responsabilit s pour la gestion des donn es au plus t t d cidez qui fait quoi quand et comment Mettez vous collectivement d accord sur les proc dures standard par exemple les ch ances de transmission des donn es chaque niveau du syst me de flux de donn es 39 Renforcez les capacit s de collecte de donn es Il est important de former l quipe de collecte des donn es en soulignant la n cessit du respect des d lais et de l exactitude Renforcez les capacit s du systeme afin d identifier les incoh rences les erreurs et les sur repr sentations laborez un syst me de qualit e Les contr les de la qualit des donn es sont primordiaux ils doivent tre ex cut s r guli rement Il est important d observer comment les donn es sont recueillies valid es enregistr es et g r es par les ex cutants ll est galement important d inclure des poids et contrepoids pour s assurer que les donn es sont interpr t es que les r capitulatifs des donn es comprennent une analyse des tendances et que les donn es sont pr sent es de facon exacte V rifiez la conformit aux exigences nationales en mati
9. valuation sommative sont les valuations de l efficacit th orique d un programme qui consistent valuer si dans des circonstances id ales l intervention aurait eu Fonds des Nations Unies pour l Enfance Guide to the Evaluation of Psychosocial Programming in Emergencies Projet d exp rimentation sur le terrain UNICEF 2008 Herman et coll Evaluator s Handbook Sage Publications Inc Thousand Islands 1987 Voir l Annexe J pour de plus amples informations et r f rences Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse hltp data unaids org topics M E ovc me quide ir pdf gt Michael Bamberger et coll Real World Evaluation Working under Budget Time Data and Political Constraints Sage Thousand Islands 2006 p 48 49 46 un effet ou non et les valuations de l efficacit pratique d un programme qui consistent valuer si concr tement l intervention a eu un effet ou non Parmi les autres mod les d valuation sommative citons les valuations de l ad quation du caract re plausible ou de la probabilit Les valuations de l ad quation valuent dans quelle mesure l activit du programme a atteint les objectifs sp cifi s c est dire si les changements escompt s se sont produits ou non Les valu
10. 4 capacit des communaut s 5 s curit alimentaire et nutrition 6 sant 7 ducation 8 protection 9 soutien psychosocial et 10 soins en institution abri L UNICEF s est appuy sur ce processus pour laborer une s rie d indicateurs de base permettant de mesurer la r alisation des objectifs de l UNGASS au niveau national Un Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH SIDA Guide du S amp E pour les OEV est actuellement disponible en compl ment Depuis 2005 des soutiens sont accord s aux pays qui au niveau national mettent en place un suivi et une valuation des efforts d ploy s pour la r alisation des programmes en faveur des OEV la suite du premier Forum mondial des partenaires GPF consacr aux enfants affect s par le SIDA en 2003 une coalition de donateurs a initi un processus d valuation rapide d analyse et de planification des interventions RAAAP dans 16 pays forte pr valence Cette initiative d urgence a UNICEF ONUSIDA OMS FNUAP Enfants et SIDA un bilan de la situation UNICEF New York d cembre 2008 T l chargeable l adresse lt hitp www unicet org lrench publications index_38048 himi gt Fonds des Nations Unies pour l enfance Cadre pour la protection les soins et le soutien aux orphelins et enfants vuln rables vivant dans un monde avec le VIH _ et sida UNICEF
11. New York juin 2004 T l chargeable l adresse htip wwwunicef orgaids fles Framework French pd Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probleme des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse lt hito data unaids oraitopics M Elove me quide tr pdt gt identifi et catalys les actions n cessaires pour appliquer plus largement les ripostes nationales et multisectorielles destination des orphelins et des enfants vuln rables y compris l laboration de plans d action nationaux PAN en faveur des OEV Objectif de ce document Bien qu un certain nombre de pays aient tabli un plan de riposte national en faveur des OEV et que le Guide du S amp E pour les OEV5 fournisse des indicateurs sp cifiques permettant de suivre et d valuer ces ripostes nationales les syst mes nationaux de suivi des OEV restent faibles dans la plupart des pays Cela provient en partie du manque d indications sur les particularit s d laboration des syst mes de S amp E qui prennent en compte les activit s vari es parfois d pourvues de coordination de diff rents secteurs et acteurs nationaux y compris les organisations non gouvernementales ONG les organisations communautaires et les organisations religieuses Le pr sent document a pour objectif de combler ce manque en illustrant les tapes de l labora
12. cessaires pour suivre l volution des r sultats des diff rents programmes Les r sultats et l impact d un programme correspondent l ensemble des r sultats escompt s moyen et long termes au niveau de la population la suite des activit s et r alisations du programme Le plus souvent ce sont les donn es sur la population qui permettent le mieux de mesurer ces r sultats L valuation des mesures nationales de riposte prises en faveur des enfants touch s par le VIH SIDA repose sur un bon suivi du contexte des apports des produits des r sultats et de l impact du programme L analyse et l interpr tation des tendances des indicateurs de suivi aux diff rents niveaux servent de base l valuation du programme national Consid r s ensemble les indicateurs de suivi rendent compte du succ s de l ensemble de la riposte nationale lls permettent aux directeurs de programme et aux d cideurs de savoir si dans un district une r gion ou un pays la totalit des efforts d ploy s en faveur des OEV ont un effet en termes de ralentissement de la propagation de l pid mie de VIH et de r duction de l impact de l pid mie sur les individus et les familles La section suivante a pour objectif l analyse de certaines questions fondamentales ayant trait la s lection des indicateurs aux diff rents niveaux du cadre de suivi et d valuation voir galement la figure ci dessous pour un exemple Figure Cadre de suivi et d val
13. d laboration et de mise en ceuvre d un syst me de S amp E peuvent commencer 2 1 Organiser de vastes consultations ll peut s av rer difficile de s carter des actions sous nationales qui ont progressivement volu de fa on ind pendante pour les r unir en une seule Pour que le processus aboutisse il est indispensable de parvenir une d finition commune du probl me des b n ficiaires des politiques nationales pertinentes des m canismes d intervention propos s et des capacit s disponibles Les consultations les plus vastes sont n cessaires pour viter toute attente irr aliste ll est donc n cessaire aux premi res tapes de la conception du programme de cr er des opportunit s d implication pour l ensemble des parties concern es au premier chef savoir le gouvernement les autorit s locales la soci t civile y compris les ONG les organisations communautaires et religieuses et les personnes vivant avec le VIH et en particulier les soignants et les enfants L appropriation conjointe des informations de r f rence est importante ce stade mais la responsabilit de la coordination globale des m canismes de collecte de donn es incombe habituellement aux gouvernements nationaux Il est toutefois courant que des groupes de travail consultatifs ou techniques multisectoriels soient charg s de produire un tableau complet de la situation des OEV 2 2 valuer la situation des OEV et les ripostes au niveau na
14. enfants vuln rables est laiss e volontairement vaste et globale aux fins la programmation enfants ayant besoin de soins et de protection minist re pour l galit des sexes et la Protection de l enfance Gouvernement de la R publique de Namibie 2007 Cela s explique par le fait qu il est stipul dans le plan national que chaque programme ciblera ses interventions sur une seule cat gorie d enfants vuln rables qu il devra d finir lbid 1 lbid 55 Les programmes de repas scolaires par exemple pourront cibler les enfants qui viennent de foyers exceptionnellement pauvres et ont besoin de nourriture suppl mentaire de m me les associations Sportives pourront s int resser aux enfants orphelins qui peuvent avoir besoin de soutien psychosocial Les deux groupes envisag s sont vuln rables mais chacun a des besoins diff rents et demande donc des interventions diff rentes Ainsi le crit re de classement d un enfant parmi les OEV variera selon les signes de vuln rabilit vis s et selon le but et les objectifs de l intervention Cependant si l on souhaite mesurer les conditions d un groupe d enfants constant sur une chelle de temps il a t labor une autre d finition des enfants vuln rables pour le suivi et l valuation au niveau national qui se fonde sur des conditions mesurables et discr tes qui ne devraient pas voluer voir encadr ci dessous Exemple de d finitions des OEV dans les pla
15. il est plus logique et plus thique de suivre et d valuer tous les orphelins et enfants vuln rables m me lorsque les fonds et la responsabilit sont li s au SIDA Les erreurs d inclusion seront faibles par rapport au nombre d enfants touch s par le SIDA qui seront effectivement atteints Dans certaines des r gions les plus touch es une approche universelle b n ficiant l int gralit des enfants peut s av rer plus adapt e et plus rentable Laurie Gulaid Targeting AIDS Mitigation Resources to Children document de r flexion de l quipe de travail interinstitutions sur les enfants et le VIH sida septembre 2007 New York T l chargeable l adresse lt hitp www crin org docs Targeting20AIDS 20Mitigation 420Resources 20t0 20Children pat gt 56 En revanche dans les milieux faible pr valence o la grande majorit des enfants n est pas concern e par le VIH SIDA et o les ressources disponibles pour faire face au SIDA sont moins abondantes il n est ni appropri ni r alisable d utiliser les fonds limit s consacr s au SIDA au b n fice de tous les orphelins et enfants vuln rables Les ressources doivent tre utilis es en rapport avec la vuln rabilit li e au VIH SIDA y compris pour la diminution de la stigmatisation et de la discrimination qui sont souvent tr s fortes dans les milieux faible pr valence Cela sous entend qu il faut identifier les personnes qui courent le plus de risques de conta
16. le Royaume Uni et les tats Unis ont conjointement accueilli une r union de haut niveau au cours de laquelle les principaux donateurs ont r affirm leur engagement en faveur d un renforcement des ripostes nationales contre le SIDA sous l impulsion directe des pays affect s cette occasion ils ont adopt les Trois principes pour parvenir l utilisation la plus efficace et la plus optimale des ressources et garantir une action rapide et une gestion fond e sur les r sultats Les Trois Principes Un cadre d action contre le VIH SIDA dans lequel int grer la coordination des activit s de tous les partenaires Un organisme national de coordination de la lutte contre le SIDA repr sentation large et multisectorielle et Un syst me de suivi et d valuation l chelon pays Dans la plupart des pays la responsabilit de la coordination nationale du S amp E sur le VIH SIDA y compris les programmes visant les OEV incombe habituellement des conseils nationaux de lutte contre le SIDA CNLS Toutes les ONG et organisations religieuses et communautaires intervenant dans la riposte nationale au probl me des OEV doivent donc harmoniser leurs syst mes de collecte de donn es et de rapports sur le syst me de S amp E des CNLS Pour cela il faut harmoniser les indicateurs afin qu ils ne recoupent pas ceux du syst me national de S amp E et ensuite en fonction des besoins laborer des indicateurs compl mentaires pert
17. re de rapports m me si un systeme miroir de flux de donn es est utilis pour fournir rapidement des donn es sur les activit s mises en uvre en faveur des OEV Stockez et mettez jour les informations Stockez et mettez jour les donn es au fur et mesure Cela vite les blocages en fin de mois au moment o les donn es doivent tre transmises Cr ez un calendrier de saisie et de stockage des donn es avec des ch ances tr s claires Faites r guli rement des sauvegardes des donn es laborez un syst me qui facilite la collecte p riodique de donn es qualitatives Soyez organis s laborez un syst me qui permette d extraire facilement les informations souhait es KRISE Ut ation et diffusion des donn es Trop souvent les donn es recueillies ne sont pas utilis es et diffus es correctement Dans la Section 4 1 nous avons pos la question qui a besoin des donn es et pourquoi En admettant le fait que des utilisateurs diff rents ont des besoins diff rents il est important de prendre en compte ces besoins c est dire de communiquer les r sultats d une mani re adapt e ses destinataires Par exemple Diffusion des informations dans la communaut Il est important de transmettre les enseignements tir s aux b n ficiaires du projet car cela renforce le soutien de la communaut aux activit s en faveur des OEV Il est tout aussi important d impliquer la communaut
18. tachable de la fiche de compte rendu est envoy e l organisation partenaire au niveau de la province qui v rifie attentivement les donn es avant de les saisir dans une base de donn es lectronique qui les transmet l chelon national Une feuille reste pour archive dans le Carnet de rapport au niveau des ex cutants Au niveau national les donn es sont contr l es compil es et analys es puis un rapport r capitulatif voir Annexe F est produit le dernier jour du mois et renvoy dans le syst me 42 REN Cinqui me partic BEEN Compiler le tout Dans cette partie nous abordons les mesures compl mentaires qu il faut envisager lors de l laboration et de la mise en uvre du syst me de S amp E de l action nationale en faveur des OEV II s agit notamment d organiser un syst me pilote pour tester le systeme d laborer le plan de S amp E global de renforcer les capacit s de lancement du systeme de mettre au point un composant d valuation de budg ter le processus 5 1 Exp rimenter le syst me L exp rimentation est une tape importante pour les essais du fonctionnement du systeme de suivi Elle donne galement la possibilit de susciter l adh sion des parties concern es et de formuler des recommandations sur les points am liorer C est une phase importante qui permet de renforcer la confiance dans le systeme Pr voyez un d lai raisonnable pour cet essai six mois devraient suffire
19. tudes sp ciales Des enqu tes aupr s des m nages Des valuations des capacit s organisationnelles Ace niveau la collecte de donn es quantitatives et qualitatives permet de mieux comprendre la couverture des services l accessibilit le soutien social les changements de comportement etc 13 R Monasch et J Ties Boerma 2004 Orphanhood and childcare patterns in Sub Saharan Africa an analysis of national surveys from 40 countries AIDS vol 18 suppl 2 p S55 S65 T l chargeable l adresse hlip eww aldsonline comvpure aidsfulltexi 00002030 200406002 00007 htm jsessionid JIyDhhqMnpr1 Zq6 YF8vQVQwsXDY2wjl2GHTeg6GznvpXwmBL0131 4823739401181195629180911 1 gt Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi e de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse lt htip data unaids ora topics M E ovc_me_quide kr Base de donn es des partenaires du Gouvernement f d ral am ricain 30 09 05 OMS HealthMapper Bureau national de statistique minist re de la Sant Syst me d informations m dicales de Tanzanie 2003 04 Recensement 2002 Figure 2 2c Exemple de donn es tir es d une tude au niveau communautaire s int ressant aux besoins des enfants dans un district zimbabw en Quelles sont les principales pr occupations des OEV Au niveau communautai
20. Cela permet de tester les proc dures du syst me sur le terrain et de les suivre de facon coh rente Soyez inclusifs ce stade et surveillez la fois l application du Cadre conceptuel et la m canique du systeme Exp rimentez le systeme de fa on aussi pouss e que possible en fonction des ressources disponibles Consignez la proc dure avec soin en comprenant bien que l objectif est de recueillir des informations utiles qui permettront d am liorer le systeme Utilisez des m canismes de collecte de donn es la fois qualitatives et quantitatives et surtout observez ce qui se passe sur le terrain titre d exemple l Annexe E d crit l exp rimentation d un systeme de suivi du plan national en faveur des OEV dans un pays Cet exemple peut tre adapt en fonction des contingences locales Quelques le ons retenir de l exp rimentation des syst mes de saisie et de gestion des donn es provenant de programmes mis en ceuvre en faveur des OEV Soyez inclusifs d s le d part impliquez toutes les parties concern es Gouvernement ONU CNLS et OSC tout au long de la proc dure Les pr f rences des donateurs et des pays en mati re de syst mes de saisie de donn es sont souvent incompatibles et les probl mes d appropriation provoquent l ind cision des blocages et le ralentissement des progres L alternative logique est un systeme miroir qui respecte les exigences nationales en mati re de rapports tout en donnant la pos
21. EN 1 Nomi Des tudes G7 Part terme des programmes lls sont mesur s par le sp ciales seront d enfants de 0 biais d enqu tes aupr s des m nages d tudes men es pour 4 ans dont les sp ciales ou d outils vari s comme l Indice du micat de examiner les naissances ont Naissance par domaines t port es sur statut de l enfant voir note de bas de page n 32 tranche d ge relevant de ce les registres Ge P T domaine d tat civil L impact correspond aux r sultats collectifs EN 2 Nombre prioritaire long terme des diff rents projets Il est d enfants qui ont habituellement mesur par le biais d enqu tes t aid s mais aupr s des m nages comme les EDS et les n ont pas pu EGIM Pour connaitre les indicateurs obtenir de internationaux de r sultats et d impact consultez certificat de le Guide du S amp E pour les OEV halssance par tranche d ge Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse http idata unaids org topics M E ovc me quide fr df 7 ibid ibid La boite outils de l indice du statut de l enfant CSI fournit des ressources que l on peut utiliser cette fin T l chargeable l adresse http mww cpc unc edu measure tools hiv aids child status index 30 Remarques
22. Numgrasur Nombre de veuves EDS TousTes Consultants d terminer R duction de T d enfants d poss d s de leurs g es de 15 49 ans Sans d pendant du 50 d ici 2010 biens d poss d es de leurs biens minist re pour l galte des sexes et la Protection de l enfance FE Nombre de conventions Conventions inlernationales Dossiers Tousies Minist re pour Ratification de Tous 12 recommand es ratii es par le reconnues ratifi es par parlementaires 5 ans l galit des ia Convention Parlement Parlement sexes etia relative aux Protection de Joan de l enfance l enfant et de la Convention sur elimination de toutes les formes de discrimination l l gard des femmes Monitoring and Evaluation Plan for the National Plan of Action 2006 2010 for Orphans and Vulnerable Children in Namibia Volume 2 minist re namibien pour l galit des sexes et la Protection de l enfance octobre 2007 T l chargeable l adresse lt lt hiip Aww unicel ora infobycountry iles M E PlanforNPAforOVCvol2 pdf gt 60 Annexe E Liste de contr le pour le suivi d un S amp E pilote l exemple du Zimbabwe Cette liste de contr le a t utilis e pendant les six mois d exp rimentation du systeme de suivi pilote labor par le PAN zimbabw en en faveur des OEV Organisation VISit68 5 2 2 0 eege Sieg le erc o oa prb eODod Date de la visite cessus
23. Resources Population Council Washington 2005 T l chargeable l adresse http tww infoforheallh org youthwg PDFs FHlchildrenethics pdf T The United Nations Children s Fund 3 United Nations Plaza New York NY 10017 USA www unicef org The United Nations Children s Fund UNICEF New York September 2009 unicef
24. amp E national doit tenir compte de la d finition internationale voir premier encadr ci dessous afin de permettre les comparaisons au niveau mondial ou entre pays Les crit res utilis s pour d finir les OEV doivent tre mesurables et s appuyer sur des facteurs susceptibles de suivre la situation d un groupe d enfants constant dans le temps approche du groupe type de population Comprenez que la d finition des OEV utilis e dans le cadre du S amp E national peut tre diff rente de celles utilis es pour les programmes et le S amp E sous nationaux voir exemple de pays plus loin Ayez conscience que pour un S amp E les d finitions ne doivent pas tre trop vastes Il faut limiter le champ d tude Trouvez une d finition qui soit objective mesurable et concise La d fi ition internationale UNICEF et ONUSIDA 2005 Un orphelin est une personne de moins de 18 ans qui a perdu l un de ses parents ou les deux Un enfant rendu vuln rable par le SIDA est g de moins de 18 ans et a perdu l un de ses parents ou les deux ou aun parent qui est chroniquement malade que le parent vive dans le m me m nage que l enfant ou non ou vit dans un m nage o au cours des 12 mois coul s au moins un adulte est d c d apr s avoir t malade pendant 3 des 12 mois ayant pr c d son d c s ou vit dans un m nage o au moins un adulte a t gravement malade pendant au moins 3 des12 mois
25. causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 Objectifs du Domaine Indicateurs Indicateurs de R sultats Indicateurs Plan national prioritaire de base r sultats escompt s d impact nationaux suppl mentaires d finis au des pour le Plan niveau r sultats national international 1 Faire passer de 64 80 le taux d enfants de Indiquer les O 17 ans objectifs SMART disposant du plan national d un certificat de naissance d ici la fin 2010 L tape suivante de l laboration du Cadre conceptuel consiste d finir un domaine prioritaire pour chaque objectif SMART du plan national Qu est ce qu un domaine prioritaire Le terme domaine prioritaire d signe un domaine th matique de la mise en ceuvre Chaque objectif de plan national est reli UN SEUL domaine prioritaire Par exemple L objectif Augmenter de 40 80 l acc s l enseignement primaire de tous les enfants g s de 6 12 ans y compris les OEV d ici la fin 2013 a pour domaine prioritaire l ducation formelle niveau d cole primaire 27 Une fois parvenu un accord sur les domaines prioritaires et les activit s standard de mise en oeuvre qu ils comprennent ceux ci doivent tre int gr s au Cadre conceptuel comme on le voit sur la Figure 3 6 Figure 3 6 Domaines prioritaires e Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan
26. d attention lors des tapes de planification Parmi les difficult s plus sp cifiques au d veloppement d un syst me de S amp E mesurant les programmes d intervention en faveur des OEV citons entre autres Probl mes de d finition pour les raisons suivantes Diff rences selon les contextes et les cultures sur la d finition de vuln rabilit ou de OEV Manque de pr cision sur les b n ficiaires comptabiliser et ceux carter Absence de normes indicatives nationales relatives la fourniture d interventions de qualit ce qui se r percute sur la collecte des donn es Probl mes de m thode pouvant entra ner des difficult s dans les domaines suivants Estimation du fait de la variation des m thodes de collecte de donn es selon les organisations et les pays S lection d indicateurs mesurables d apports produits r sultats impact englobant les actions n cessairement multisectorielles en faveur des OEV Obtention de la taille de l chantillon notamment pour les jeunes enfants et ceux vivant en dehors du foyer dans la rue par exemple Probl mes d thique en particulier ceux qui apparaissent lors de la collecte de donn es sur des sujets sensibles et sur la sant sexuelle ou reproductive Citons par exemple Conseils nationaux du sida Manuel op rationnel de suivi et d valuation ONUSIDA Banque mondiale ONUSIDA Gen ve ao t 2002 T l chargeable l adresse htp
27. dans l utilisation des donn es afin d identifier et de combler les manques de donn es Parmi les moyens possibles pour pr senter les r sultats ce public R unions communautaires Cartes d activit montrant les objectifs atteints par district etc Transmission des informations au niveau sous national ce niveau les utilisateurs de donn es ont besoin de chiffres et des derni res donn es sur les r alisations des projets et des organisations Les r cits de r ussites et les enseignements tir s sont importants en particulier s ils sont puis s dans la recherche op rationnelle Parmi les moyens possibles pour pr senter les r sultats ce public o Pr sentations br ves Fiches d information Brochures o o o R cits de r ussites o Voir la Section 5 3 pour de plus amples informations sur le renforcement des capacit s 40 Transmission des informations au niveau national La plupart des bailleurs de fonds demandent habituellement un rapport trimestriel Cependant ces rapports sont souvent longs et exigent une analyse approfondie C est pour cette raison qu il est utile de s appuyer sur une structure de rapport Celle ci doit tre simple avec des directives clairement d finies et des formats pertinents qui fournissent Les coordonn es de l organisation Les renseignements financiers Le r sum de l activit mise en uvre avec des donn es quantitatives Le r sum des
28. de crit res d ligibilit stricts peut cr er des dilemmes thiques par la stigmatisation ou l exclusion d enfants vuln rables pour d autres raisons C est une des raisons de la position recommand e qui est que si des crit res discrets et mesurables doivent tre employ s dans le cadre d une valuation rigoureuse et du suivi national les crit res de d finition des objectifs pour le projet ou la programmation doivent pour leur part tre suffisamment souples et r actifs et s appuyer sur les r alit s de la communaut et les besoins imm diats de l enfant Ainsi il subsiste la n cessit d laborer un systeme de suivi des programmes pour les OEV qui r ponde aux sp cificit s des op rations locales tout en conservant la possibilit d analyser les donn es conform ment aux d finitions nationales et internationales 3 Pour choisir entre une d finition sp cifique au VIH SIDA ou une d finition qui inclut l ensemble des orphelins et des enfants vuln rables il est essentiel de connaitre le contexte pid miologique national Dans les pays pr valence particulierement lev e d Afrique de l Est et d Afrique australe o un adulte sur cing au moins vit avec le VIH presque tous les enfants sont affect s par le SIDA d une mani re ou d une autre Les responsables politiques et les praticiens s accordent de plus en plus penser que dans les contextes pr valence lev e qu il s agisse de pays ou de r gions sous nationales
29. des activit s du programme caract re r gulier et permanent valuation de la performance op rationnelle l valuation est le processus qui consiste valuer comment un programme atteint ou a atteint ses objectifs pr vus L valuation du degr de r alisation des r sultats pr vus avec ou sans les produits tels qu ils sont d finis dans les objectifs du programme est ce que l on appelle l valuation du programme L valuation doit donc faire partie int grante du cycle de projet pour les OEV et tre inscrite dans les plans des programmes un stade pr coce Il est important de souligner qu une valuation efficace exige des principes de recherche rigoureux ainsi que des comp tences et des ressources consid rables qui sont rarement la port e des programmes Il faut en outre compter sur les difficult s particuli res que nous rencontrons lorsque nous valuons les programmes en faveur des OEV et plus sp cialement sur les dilemmes thiques qui entourent la pr sentation des informations et l obtention de r ponses fiables de la part d enfants le rep rage de groupes de comparaison et par la suite la r alisation d une intervention aupr s des groupes de comparaison l issue de l valuation Dans cette partie du document nous apportons au lecteur un large apercu de certaines questions cruciales qu il faut traiter lors de la planification et de la mise au point d une valuation de programme Ces informations son
30. e un indicateur recueilli par un secteur ou un d partement diff rent Le processus d laboration des normes a t multisectoriel et tr s consultatif en particulier parce qu il s agissait d un domaine nouveau Lanc es en juin 2007 les normes ont t align es sur les l ments de la politique relative aux OEV du plan national et des articles principaux de la Convention relative aux droits de l enfant Des affiches ont t utilis es pour faciliter l engagement du public diffuser les normes Une brochure d accompagnement a contribu guider l interpr tation et l application de chaque norme de qualit Un guide des formateurs a t mis au point et pr alablement test pour s assurer que la qualit des formations sur les normes tait coh rente dans les 38 districts ougandais Soutien technique supervision et suivi sont fournis en permanence car les normes doivent notamment tre adapt es au niveau local Le guide ougandais d interpr tation et d application de normes nationales de qualit pour la protection les soins et le soutien aux orphelins et autres enfants vuln rables est t l chargeable en anglais l adresse lt http www crin org docs QualityStandardsGuide paf gt 7 Convention relative aux droits de l enfant T l chargeable l adresse hltp twww2 ohchr org frenchiAaw crc htm Minist re ougandais de l galit des sexes du Travail et du D veloppement social A guide for interpreting a
31. est dire sur les l ments qui permettent au systeme de fonctionner laborer les l ments m caniques d un syst me d passe le simple exercice consistant trouver des moyens de recueillir des chiffres sur les activit s ou les b n ficiaires Cela exige de porter une attention particuli re plusieurs autres points notamment valuation attentive des besoins en donn es quand comment et par qui les donn es seront utilis es d finition d un systeme harmonis de flux de donn es mise au point d outils conviviaux de collecte des donn es et syst me de saisie des donn es s il n en existe encore aucun Tels sont les m canismes qui transforment le Cadre conceptuel en un syst me op rationnel L approche par tapes de ce processus est aussi importante que l tape pr c dente de conceptualisation d crite dans la Troisieme partie tape 6 Utilisation et diffusion des donn es tape 5 Gestion des donn es tape 4 Production du m canisme de saisie des donn es tape 3 S lection et mise au point des m canismes et outils de collecte des donn es tape 2 Mise au point du m canisme de flux de donn es tape 1 Compr hension des donn es n cessaires es essaires DATE Compr hension des donn La premi re tape de mise au point des l ments m caniques du syst me de S amp E consiste comprendre les donn es n cessaires Pour ce faire il est utile de se poser les questions suivantes
32. idata unaids org Publications IRC pubO02 ic808 moneval fr pdf Programme commun des Nations Unies sur le VIH sida Organizing Framework for a Functional National HIV Monitoring and Evaluation System ONUSIDA Gen ve avril 2008 T l chargeable l adresse http isiteresources worldbank org INTHIVAIDS Resources 375798 1132695455908 GROrganizingFrameworkforHIVMESystem pd REN Deuxi me partic NN Comprendre le contexte dans lequel le syst me de S amp E des ripostes nationales en faveur des OEV sera labor Dans cette partie du document nous tudions le processus de compr hension appr hension du contexte g n ral qu il soit politique ou national dans lequel le syst me de suivi du programme sera labor et mis en uvre C est la premi re phase de l laboration du systeme A ce stade il faut construire une base de connaissances solides sur les facteurs qui influencent la vuln rabilit et la pauvret ainsi que sur les m canismes d intervention existants et n cessaires ll est important de noter que cette tape donne galement la possibilit de r pertorier les actions existantes de d terminer qui fait quoi et quel endroit et de d finir les capacit s qui existent d j ou qui sont n cessaires pour am liorer la riposte nationale pour la protection les soins et le soutien des OEV Ce n est qu une fois que le contexte est bien compris que les proc dures par tapes d crites dans les Parties 3 et 4
33. l laboration ult rieure du programme standard de S amp E En fonction des besoins du pays l valuation tudie les points suivants Compr hension normale d un S amp E de base Compr hension du S amp E dans le contexte national Mode de suivi actuel des interventions en faveur des OEV R les et responsabilit s en mati re de collecte des donn es de m canismes de comptes rendus et de saisie des donn es M canismes mis en place pour le retour d informations et le contr le qualit Capacit s insuffisantes et opportunit s de renforcer la pratique d un suivi de routine de l action nationale pour la protection les soins et le soutien des OEV Pour ce faire les pays doivent se mettre d accord sur les points suivants Indicateurs de capacit et outils de S amp E sp cifiques au pays pour l valuation ceux ci doivent s appuyer sur les ventuelles valuations ant rieures des capacit s au niveau national Ressources disponibles pour l valuation R sultats attendus de l valuation recommandation d un plan de renforcement des capacit s Ressources pour l largissement et le renforcement des capacit s un stade ult rieur Exemple de pays valuation des capacit s de S amp E au Zimbabwe Au Zimbabwe les capacit s des organisations de la soci t civile c d des ex cutants ont t valu es afin d laborer un programme d action de renforcement des capacit s Les capac
34. les d cisions futures concernant la gestion du programme D faut d identification des indicateurs internationaux pertinents le cas ch ant Le pr sent document n a pas pour but de couvrir tous les aspects de l laboration des indicateurs il existe de nombreuses sources d informations disponibles ce sujet Cela dit voici quelques suggestions pratiques pour l examen et l laboration des indicateurs Faites preuve de m thode Organisez de vastes consultations int grez les partenaires d s le d part car cela favorise l appropriation Ne gardez qu un minimum d indicateurs en cas de doute cartez les Incluez des indicateurs nationaux de base pour le S amp E lorsqu ils sont pertinents pour les programmes pour les OEV ceux du CNLS par exemple et faites les correspondre des domaines prioritaires diff rents dans le Cadre conceptuel Figure 3 7 Int grer des indicateurs nationaux de base pour les r sultats et des indicateurs de r sultats suppl mentaires pour le plan national Le Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 Objectifs du Dom A Indicateurs B Indicateurs R sultats Indicateurs Plan national prioritaire nationaux de r sultats escompt s d impact d finis ncipaux de suppl mentaire
35. lls servent de r f rence pour la mesure des pratiques standard et surtout tiennent lieu de signaux d alerte pr coces pour apporter des corrections ll est important d avoir des attentes r alistes lors de la cr ation des indicateurs qui mesureront le d roulement et l impact court terme et long terme du plan national Des le d part il faut d finir Quels sont les indicateurs existants pour la mesure des activit s mises en uvre en faveur des OEV Lorsque des indicateurs nationaux existent pour les OEV et qu ils sont pertinents ils doivent tre int gr s et harmonis s au Cadre conceptuel Comment seront utilis es les informations recueillies par le biais de ces indicateurs qui serviront ces informations des utilisateurs internes des utilisateurs externes Pour une tude plus pouss e des diff rents niveaux d indicateurs veuillez consulter l Annexe C 28 Limitations courantes de l laboration des indicateurs Manque de relation entre les plans de mise en ceuvre et les plans de suivi Absence des indicateurs nationaux de base existants pour le S amp E des OEV dans les plans de mise en ceuvre en faveur des OEV laboration d indicateurs non utilisables ou non rentables mesurer Manque d attention l utilisation des donn es en d autres termes incapacit identifier une s rie minimum d indicateurs qui permettrait de recueillir facilement les informations les plus utiles pour
36. mesure des changements qui d coulent des actions du programme au fil du temps Ainsi par exemple on value les effets des programmes de repas scolaires en mesurant l volution de l tat nutritionnel des enfants participants Le processus de suivi et d valuation est guid par un cadre conceptuel comportant deux composants principaux savoir le suivi et l valuation dans lequel Toutes les organisations doivent mettre en place un suivi des apports et des produits afin de suivre les services les b n ficiaires et les ressources utilis es Le chapitre 2 du Guide du S amp E pour les OEV fournit une bonne vue d ensemble du suivi et de l valuation en rapport avec les OEV T l chargeable l adresse xhiipi data unaids org topics M E ovc me quide fr df 7 Le site d informations de Global HIV M amp E S amp E du VIH au niveau mondial est une bonne ressource dans ce domaine http www globalhivmeinfo org 10 La plupart des organisations doivent laborer des strat gies d valuation de leurs activit s via une valuation de la proc dure ce qui demande davantage de temps et d efforts Certaines organisations seulement mettent en place des valuations des r sultats car cela exige un niveau encore sup rieur d expertise de formation et d autres ressources Seul un petit nombre d organisations habituellement des organisations de niveau national par exemple les minist res de tutelle ou les bureaux centraux de
37. national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 Objectifs Domaine Indicateurs Indicateurs de R sultats Indicateurs du Plan prioritaire de base r sultats escompt s national nationaux suppl mentaires d tinis au des pour le Plan niveau r sultats national international Faire passer Enregistrement Indiquer les domaines de 64 des prioritaires chaque 80 le taux naissances domaine prioritaire Free de EN comportera plusieurs 17 ans Be disposant ud activit s de mise en d un oeuvre certificat de M MN naissance d ici la fin 2010 ES T EH D tinir les indicateurs de base des r sultats Cette tape de l laboration du Cadre conceptuel se compose de deux t ches A Identifier les indicateurs de base existants pour les r sultats et les faire correspondre aux domaines prioritaires figurant dans le Cadre conceptuel B laborer des indicateurs de r sultats suppl mentaires pour le plan national en cas de besoin Le processus de s lection des indicateurs pour le plan national prend in vitablement du temps et peut demander plusieurs r p titions Quelques rappels au sujet des indicateurs Les indicateurs sont des mesures permettant d valuer la progression du Plan national et l volution des pratiques standard au fil du temps
38. personnel Des retards dans les rapports Un manque de confiance dans les r sultats Une utilisation limit e des donn es en vue d am liorer le programme En outre l existence de plusieurs ch ances de rapports complique davantage le processus de collecte des donn es Solutions possibles un systeme miroir de flux de donn es S il est indispensable d adh rer aux trois principes pour d finir un systeme de collecte des donn es il est toujours prudent de prendre en compte les questions concr tes qui peuvent faciliter ou g ner le flux de donn es Il n est donc pas tonnant que certains pays aient jug n cessaire d envisager l laboration titre provisoire d un systeme miroir de flux de donn es voir Figure 4 2 pour le plan national celui ci respecte les exigences nationales en mati re de rapports et r pond aux besoins en donn es imm diats que ce soit au niveau de la mise en ceuvre au niveau sous national ou au niveau national La Figure 4 2 donne l exemple d un syst me miroir ou provisoire labor dans un pays pour am liorer le flux ordinaire des donn es sur les OEV partant du niveau de la mise en ceuvre jusqu au niveau national et retour sur une p riode de 30 jours Dans cet exemple le systeme miroir reconnait la n cessit de respecter et de s harmoniser au systeme national de S amp E tout en montrant comment on peut acc l rer la circulation des donn es pour
39. question tiennent ils compte des probl mes que pose la collecte de donn es pour le programme sur les OEV r fl chir aux difficult s et aux diff rences qu imposent certaines m thodes de collecte de donn es rapprochement calcul compilation d sagr gation ventilation par sexes rapport etc identifier les obstacles li s aux capacit s chaque niveau reconnaitre la n cessit d utiliser un m lange de m thodes facilitant la collecte de donn es quantitatives et qualitatives ce qui permettra de mieux comprendre le processus d intervention et ce qui s est pass mettre au point un outil de recherche op rationnelle pour le plan global de S amp E afin de garantir l inclusion d tudes sp ciales sur le terrain qui permettront de mieux comprendre les r sultats 37 Tout en reconnaissant la n cessit d une collecte r guli re des donn es pour les programmes en faveur des OEV il existe des difficult s pratiques qui sont sp cifiques ces derniers Le calcul qui quoi faut il compter uniquement les b n ficiaires directs les b n ficiaires d une premi re aide les nouveaux b n ficiaires les b n ficiaires d une aide continue ou les b n ficiaires d une aide indirecte Ces probl mes sont en grande partie li s la d finition des OEV pour le pays et des personnes consid r es ou non comme b n ficiaires du programme Probl mes de doublons le m me enfant pe
40. recherche op rationnelle et d valuation pertinentes dans cette section lllustrez les m canismes du flux de donn es et d crivez les m canismes de collecte des donn es papier et lectronique chaque niveau Reportez vous la Quatri me partie de ce document pour de plus amples informations D finissez les r les et les responsabilit s chaque niveau en mati re de collecte des donn es de rapports de saisie des donn es et de gestion des donn es Un organigramme est utile Montrez les unit s de co t les estimations et les hypoth ses lorsqu elles sont possibles et pertinentes Reportez vous la Section 5 5 de ce document pour de plus amples informations Donnez les calendriers des rapports de routine y compris les rapports trimestriels et annuels l utilisation et la diffusion des donn es 7 Le plan de S amp E du PAN namibien en faveur des OEV par exemple T l chargeable l adresse lt http www unicef org infobycountry files M E PlanforNPAforOVCvol2 pdf gt 5 3 Lerenforcement des capacit s Dans la Section 2 5 nous avons soulign la n cessit d valuer les capacit s avant d laborer le programme de renforcement des capacit s Cette valuation sera d autant plus simple que le Cadre conceptuel et les m canismes du syst me auront t labor s et si possible exp riment s Il n existe aucune recommandation universelle concernant le renforcement des capacit s habituellemen
41. th orie comme en pratique le syst me de flux de donn es pr sent par la Figure 4 2 b a fonctionn sans accroc Cependant pour que cela soit possible il a fallu s assurer des points suivants pour que le syst me soit soutenu chaque niveau Au niveau des ex cutants lorsqu il existe une forte d pendance aux outils papier de collecte des donn es et lorsque l acc s des installations de photocopie est limit ou nul il est primordial de s assurer de la mise en place des outils n cessaires pour la collecte des donn es en l occurrence les Carnets de rapport d activit Il faut aussi pouvoir disposer d une quantit suffisante de ces outils pour garantir la r gularit des rapports Il est important d valuer le niveau de lecture et d criture et les aptitudes des personnes qui recueillent les donn es afin de mettre au point des outils de collecte qui soient faciles utiliser dans diff rents environnements Au niveau sous national Assurez vous que le mat riel lectronique et les logiciels n cessaires sont en place pour que le personnel d di dispose d un mandat clair sur la gestion des donn es il pourra ainsi saisir les donn es de fa on r guli re en respectant les d lais puis transmettre les informations agr g es au niveau national Cela signifie que la technologie n cessaire en l occurrence au moins une messagerie lectronique des ordinateurs d di s et des membres du personnel qui s y consacrent doi
42. EV et questions connexes Pour permettre un suivi et une surveillance au niveau mondial le Groupe de r f rence pour le suivi et l valuation d ONUSIDA UNICEF et ONUSIDA 2005 recommande une d finition internationale des orphelins et des autres enfants rendus vuln rables par le SIDA voir Encadr 3 3 dans la Troisieme partie laquelle vise sp cifiquement les enfants dont la vuln rabilit est associ e l tat de morbidit ou de mortalit de leur parent ou adulte responsable La plupart des autres d finitions adopt es par les partenaires internationaux de d veloppement consid rent galement les OEV comme des enfants rendus orphelins ou directement touch s par le SIDA Cependant il est de plus en plus admis que ces d finitions fr quemment reprises dans les mod les d enqu te sont limit es car elles courent le risque de minimiser la situation et les besoins de beaucoup d autres enfants Elles ont aussi tendance impliquer que tous les enfants touch s par le SIDA sont vuln rables et isoler ceux ci des enfants non touch s qui peuvent tre tout aussi voire plus vuln rables Cet appel croissant une d finition plus vaste et plus globale de la vuln rabilit infantile se refl te fortement dans le large ventail de d finitions donn es aux OEV dans les plans nationaux des pays o il est implicitement compris que les tiquettes de cat gorie associ es la vuln rabilit sp cifique au SIDA sont en
43. Quia besoin des donn es De quelles donn es a t on besoin Pourquoi a t on besoin de donn es Les r ponses ces questions permettront de d finir le flux de donn es labor l tape suivante Qui a besoin de quelles donn es et pourquoi ll existe diff rents niveaux d utilisateurs des donn es chacun ayant besoin d informations sp cifiques Comprendre les niveaux de besoins est un point de d part important pour d finir le flux des donn es les outils qui seront utilis s pour les recueillir leur destination et la mani re dont elles seront utilis es Les communaut s ont besoin de donn es pour Se tenir inform es des progr s Montrer les succ s et souligner les difficult s tre aid es dans les processus de d cision collective Les partenaires communautaires peuvent et doivent jouer un r le important dans la v rification des activit s r elles du programme Au niveau sous national les organisations ont besoin de donn es pour Prendre des d cisions sur l orientation future des programmes Guider et am liorer les services fournis D velopper les capacit s internes et renforcer les capacit s de collecte des donn es au niveau de l ex cution Dresser des rapports pour les donateurs et mobiliser les ressources 33 Les gouvernements nationaux ont besoin de donn es pour Assumer leurs responsabilit s Communiquer leurs succ s et leurs difficult s Sensibiliser D
44. UNICEF New York T l chargeable l adresse hltp data unaids org lopics M Elovc me quide bt Mode d emploi du document Ce document d orientation peut permettre de mettre au point une m thodologie commune pour l laboration d un systeme de S amp E des actions nationales en faveur des OEV L approche par tapes pr sent e dans ces pages peut tre adapt e pour servir de guide l laboration d un syst me de S amp E Elle peut aussi tre utilis e comme compl ment d informations sur les formations au S amp E ou fournir des conseils techniques et une forme d assistance Bien qu il soit recommand de suivre les tapes d crites dans les parties 3 et 4 dans l ordre indiqu il n est pas indispensable de respecter l ordre donn aux cinq parties du document Les lecteurs pourront ainsi juger utile de s int resser d abord aux sections consacr es l laboration du plan g n ral de S amp E et l tablissement du budget dans la Cinqui me partie avant de s atteler l approche par tapes des parties 3 et 4 Il vous est donc recommand de consid rer le document dans son ensemble et d adapter son utilisation en fonction de vos besoins Remarque terminologique Pour faciliter la lecture de ce document l acronyme OEV remplace les mots orphelins et enfants vuln rables vivant dans un monde confront au VIH SIDA En fonction du contexte national chaque pays d terminera diff remment la population vis e par sa riposte
45. V3 Subventions forfaitaires Nombre de nouveaux OEV b n ficiant d une OEV4 assistance au niveau scolaire eu Nombre d OEV continuant b n ficier d une Indicateurs suppl mentaires du PAN g r s par le Secr tari iat national Nombre de nouveaux OEV b n ficiant de Ent bourses forfaitaires Nombre de nouveaux OEV b n ficiant d une ED2 assistance pour les frais de scolarit Nombre de nouveaux OEV b n ficiant d une ED3 assistance au niveau scolaire hors bourses et frais de scolarit Probl ms mergents 67 Annexe H Exemple de liste de contr le de l valuation des capacit s de S amp E E L4 unicef e Liste de contr le de l valuation des capacit s de S amp E Gus r alisons Une petite Bude de r f rence pour Evaluer a disponibit des competences en S8 cher les partenaires qui merirant en uvre es acivits du Programme de soutien le au PAN zimbabw en en faveur des OEV Ces informations permettront entier les lacunes en S amp E et de renforcer nos efforts de formation Elies ne seront en aucun cas associ es votre organisation Nous vous demandons de ne pas indiquer votre nom ou toute autre information caractere personnel Veuillez remplir le questionnaire c dessous A Informations contextuelles Quelle est votre poste dans l organisation 2 Depuis combien de temps occupez vous ce poste 7 3 quel chelon travalez vous
46. amp E d crite dans la Troisi me partie Toutefois compte tenu de sa complexit la question est abord e en d tail ici Contexte Plusieurs termes diff rents sont utilis s pour d crire les enfants auxquels les ressources d att nuation du SIDA sont destin es Les d finitions associ es ces termes varient selon les programmes et les documents En outre ils sont souvent utilis s de facon interchangeable sans se soucier de leur sens exact Cela peut g n rer beaucoup de confusion en particulier dans le domaine du S amp E Les deux termes les plus couramment employ s pour d crire les enfants vis s par les ressources d att nuation du VIH sont enfants touch s affect s par le SIDA parfois d sign s sous leur acronyme anglais CABA pour children affected by AIDS et orphelins et enfants vuln rables OEV Bien que les d finitions pr cises de ces expressions varient selon les pays et les programmes et que les distinctions ne soient pas toujours tr s claires enfants touch s par le SIDA est un terme g n ralement plus restreint qui inclut les enfants sur lesquels le SIDA a eu un impact direct tandis qu orphelins et enfants vuln rables terme plus global prend en compte tous les enfants ayant subi les effets directs ou indirects du SIDA ainsi que les enfants rendus vuln rables par d autres raisons extr me pauvret ins curit alimentaire handicap violence etc 7 D finition internationale des O
47. ations du caract re plausible d terminent si l volution des indicateurs fourniture des services utilisation couverture etc est le r sultat de l intervention et de ce fait devrait normalement requ rir la pr sence d un groupe d intervention et d un groupe de contr le puisqu il faut liminer toute influence de facteurs ext rieurs ou de confusion Les valuations de probabilit ont pour but de garantir que les diff rences entre le programme l intervention et les zones de contr les sont le fait du hasard Elles exigent de randomiser les activit s de traitement et de contr le et de ce fait ne permettent habituellement pas d tudier l efficacit du programme puisqu elles se pr tent des situations autres que concr tes Planification et d finition du champ de l valuation Les valuateurs sont souvent confront s deux sc narios diff rents Soit ils sont appel s participer la conception de l valuation au d but du projet cas le moins courant soit plus g n ralement ils sont appel s intervenir apr s le lancement du projet lorsqu il faut r pondre des questions cruciales La seconde possibilit pose les plus grosses difficult s et la planification s impose Questions se poser au Points prendre en compte stade de la planification Pourquoi value t on On peut valuer pour l une des raisons suivantes Quel est l objectif de valuer si le projet a atteint ses
48. ats Pr f rez un petit nombre un grand nombre de parties concern es Impliquez les personnages cl s qui connaissent le mieux le Plan national personnes ayant contribu sa r daction minist res de tutelle consultants etc e D finissez un calendrier r aliste pour cette activit pr voyez quatre jours minimum dans un environnement exempt de toute distraction Encouragez les participants se familiariser avec le Plan d action national avant la r union laborez un programme d atelier qui facilitera o Un examen approfondi du Plan national y compris ses objectifs global et sp cifiques ses domaines d application ses r sultats escompt s ainsi que les capacit s de S amp E existantes o Un consensus autour des b n ficiaires vis s o La mise au point d un processus tape par tape pour l laboration du Cadre conceptuel de suivi du plan national en faveur des OEV o La participation aux d cisions sur les l ments m caniques du syst me de S amp E et l laboration d un plan de mise en ceuvre du syst me o L valuation pr liminaire et post rieure de l atelier Attention Bien que l objectif de l atelier propos ci dessus soit de d velopper la compr hension du plan national et de mettre au point des outils permettant de mesurer son efficacit dans le temps il arrive souvent que les attentes des participants different et qu ils s attendent plut t ce que l objectif de la r u
49. babilit que les besoins en donn es sur les OEV soient int gr s dans des syst mes de donn es existants et reconnus au plan international les EDS par exemple t Une bonne coordination et une application largie de la collecte des donn es devraient permettre d augmenter la reconnaissance l appropriation et l accessibilit des informations recueillies Pour y parvenir il faut Identifier les efforts de S amp E d j d ploy s pour le suivi et l valuation des programmes en faveur des OEV En r gle g n rale les plans nationaux de S amp E coordonn s par les Conseils nationaux de lutte contre le SIDA fournissent des directives concernant les m canismes de coordination du S amp E la collecte de donn es et les indicateurs de base afin de mesurer les progres accomplis dans la r alisation des objectifs du Plan strat gique national sur le VIH SIDA y compris les programmes en faveur des OEV D terminer les tudes nationales EGIM EDS qui sont pr vues et si elles incluent des indicateurs cl s sur les OEV Veiller ce que les initiatives visant am liorer et largir le champ du suivi des programmes en faveur des OEV soient conformes aux exigences nationales en mati re de rapports Admettre que le suivi et l valuation des programmes seront effectivement mis en ceuvre par les organisations d sign es dans le secteur public le secteur priv et la soci t civile mais que la consultation et la collaborati
50. ce fa d terminer Pourcentage de personnes INumerateur nombre de Minist re de la 21 pour les exprimant une attitude de tol rance personnes interrog es exprimant Sant etdes hommes f l gard des personnes une attitude de tol rance l gard Services sociaux s ropositives pour l ensemble du _ des personnes s ropostives panel tudi 15 49 ans PS Proportion d enfants de 04 4 ans Num reteur Nombre d enfants de Minisite dea 705 en 80 TH dont les naissances ont t port es D 4 ans dont les naissances ont Sans Sant etdes 2000 lsur les registres d tat civil t port es sur les registres d tat Services sociaux eut F4 Delai moyen coul entre un viol et Nombre de jours moyens coul s Registres de Tousies Comsutens Environ 5 ans 6 mois an Tal son proc s lentre un viol at la d cision de police et Ga locaux justice dossiers de d pendant du justice minist re des Services sociaux PS indice des efforts des politiques et i s agit dun outi d auto valua on Questionnaire 2007 UNICEF 73 en 2004 33 des plans consacr s aux orphelins utilis avec des informateurs cl de l indice let aux enfants vuln rables P 6 Nombre de personnes consell es Nombre de personnes conseil es Dossiers Tous les Travalleus 1500 paran 2000 paran T KWACPU indiqu dens les dossiers lans sociaux et lagents de police 5 7 Pourcentage de femmes et
51. crits dans le Guide du S amp E pour les OEV sont particuli rement adapt s aux pays confront s une pid mie de VIH SIDA g n ralis e Il est donc recommand de les int grer le cas ch ant dans le Cadre conceptuel du PAN Dans les pays o l pid mie est concentr e il peut s av rer n cessaire d inclure moins d indicateurs internationaux qui concernent davantage le statut des programmes Quel que soit l tat de l pid mie il est important de souligner que la collecte d indicateurs internationaux tels qu ils sont d finis dans le Guide de S amp E pour les OEV doit devenir une pratique standard des pays appliquant des plans nationaux ce qui exige de reconnaitre la n cessit de recueillir des donn es par le biais de m canismes tels que les enqu tes aupr s des m nages et d autres tudes d mographiques Figure 3 8a Int grer les indicateurs de r sultats et d impact Le Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 Objectifs du Domaine Indicateurs de Indicateurs de R sultats Indicateurs Plan national prioritaire base nationaux r sultats escompt s 2 d impact d fi des r sultats suppl mentaires au niveau pour le Plan international national Les r sultats correspondent l effet moyen es
52. cu de certificat ne doivent pas tre pris en compte Fr quence mensuelle Responsabilit de la mesure Tous les programmes pour OEV qui se consacrent ce domaine prioritaire Valeur de r f rence si disponible Exemple 65 de tous les enfants n 8 000 de moins de 17 ans interrog s en 2004 lors de l enqu te aupr s des m nages disposaient de leur certificat de naissance On en trouvera un exemple dans l Annexe D 31 Adaptation du Cadre conceptuel au suivi par les ex cutants Le Cadre conceptuel d crit dans la Troisi me partie est un guide g n ral pour l laboration d un syst me national de suivi des actions pour la protection les soins et le soutien des OEV Les organisations de mise en ceuvre sont encourag es adapter encore cette proc dure afin d laborer leurs propres plans de suivi sp cifiques chaque projet Bien que ce processus ne soit pas d crit en d tail dans le pr sent document il est recommand de suivre une approche participative par tapes similaire La premi re tape consiste tudier le contexte dans lequel le plan national est activ les d finitions nationales des OEV et des enfants dans le besoin le Cadre conceptuel du PAN en faveur des OEV et en particulier son but g n ral ses objectifs ses domaines prioritaires et ses indicateurs Les tapes suivantes requi rent le d veloppement d une matrice qui aborde les a
53. d Probability of Public Health Programme Performance and Impact International Journal of Epidemiology 1999 vol 28 n 1 p 10 8 Pour les programmes de l UNICEF il existe des crit res d valuation normalis s qui sont d crit dans le Manuel des politiques et des proc dures en mati re de programmes les op rations des programmes UNICEF chapitre V section 1 Extrait en anglais chtp www unicet org frenchvevaluation fles Eval Criteria PPPM 2008 zt Des exemples de diff rents niveaux d valuation sont fournis dans l Annexe C 47 Quel est le champ de l valuation Quelle est l chelle de l valuation e Les documents et indicateurs pertinents sont ils disponibles Quel type d valuation est n cessaire Est ce r alisable Existe t il d j des donn es indicateurs ou faut il recueillir des donn es primaires Quel niveau de rigueur faut il adopter L valuation teste t elle une th orie du programme Le mod le exige t il des techniques d chantillonnage rigoureuses Quel est le d lai Quelles sont les ressources disponibles argent expertise temps e Quelles sont les implications budg taires Quel est le d lai Des m canismes sont ils en place pour garantir la qualit la fiabilit et la validit Quels sont les contraintes probables Bamberger et coll 2006 48 attirent l attention sur les contraintes possibles des
54. d enfants qui ont t aid s mais n ont pas pu obtenir de Certificat de naissance par tranche d ge EN 3 Nombre de r unions de sensibilisation de la communaut organis es pour voquer la question de l enregistrement des naissances Une fois tous les indicateurs s lectionn s il sera n cessaire d laborer un Guide des indicateurs qui r sumera les renseignements importants sur chacun d eux L exemple ci dessous illustre le type d informations que le Guide des indicateurs devrait inclure pour chaque indicateur Figure 3 8c exemple de Guide des indicateurs pour l enregistrement des naissances OEV 2 nombre d OEV ayant r cemment obtenu un certificat de naissance Argument Ce qu il Cet indicateur de base national mesure le nombre de nouveaux OEV que l on a aid s obtenir mesure un certificat de naissance Ce dernier est n cessaire pour acc der divers services Les OEV courent d j beaucoup plus de risques de ne pas pouvoir acc der ces services Le fait d avoir enregistr leur naissance supprime l un des nombreux obstacles auxquels ils sont confront s Source des Registres du Bureau de l tat civil informations Comment le mesurer Comptez le nombre d OEV que votre organisation a aid obtenir leur certificat de naissance ce mois ci L aide peut inclure le transport la compilation des papiers n cessaires etc Les OEV qui ont t aid s mais qui n ont pas encore re
55. diffusion cor V hicule Essence quipement ordinateur portable imprimante photocopieuse Consommables fournitures de bureau Conseiller sp cialis en S amp E Directeur des recherches Assistants de recherche Agent de saisie des donn es Chauffeurs Gestionnaire des donn es D lai Trois mois Hypoth ses Les co ts du RAAAP ou de l analyse de situation sont habituellement assimil s par l agence principalement responsable de l action nationale en faveur des OEV les sp cialistes du S amp E sont cens s fournir des apports g n ralement sans que cela co te rien ce stade 50 Activit s principales Mat riel et consommables Personnel requis Hypoth ses valuation des Pr paration de Une Cette activit capacit s de l outil de collecte semaine rel ve des S amp E des donn es comp tences de l quipe de Production d un S amp E qui peut rapport utiliser ou non les services d un conseiller sp cialis en S amp E pour laborer l outil d valuation des capacit s laboration du Participation Conseiller Deux mois Activit composant l laboration du sp cialis en S amp E sp cialis e qui S amp Eduplan composant S amp E du requiert d action plan d action probablement national en national les services du faveur des conseiller OEV sp cialis en S amp E ou d un expert en S amp E travaillant d i au
56. donn es Exigences en mati re de rapports Saisie des donn es Contr le qualit Utilisation et gestion des donn es R les et responsabilit s Niveau national Compr hension de base du S amp E D finition des besoins des clients des contraintes politiques Compr hension et s lection des diff rentes structures d valuation Commande d tudes sp ciales veiller faire poser les bonnes questions valuation de la validit des donn es D Analyse r sum et r alisation d une analyse des tendances concernant les donn es D Diffusion des donn es et communication des r sultats D Comp tences de renforcement des capacit s en S amp E 45 5 4 valuation et recherche op rationnelle Pour r ussir il faut savoir ce qui marche Bill Gates co pr sident de la Fondation Bill et Melinda Gates Bien que le suivi de routine soit partie int grante de la mise en uvre du programme et doive ce titre fournir des informations quantitatives et qualitatives r guli res concernant notre action dans un laps de temps donn il ne nous dit pas ce qui s est pass la suite de notre action D velopper les connaissances sur les r sultats est indispensable pour expliquer si un programme a r ellement atteint son but global et surtout s il y a bel et bien eu des changements au niveau du bien tre et de la situation des enfants la diff rence du suivi qui est une surveillance de routine
57. e donn es originaux la compilation simple des produits du programme et dans le cas d un exemple de pays la collecte de routine des probl mes mergents ou des enseignements tir s Les outils papier peuvent prendre la forme d un registre de Carnets de rapport d activit li e au programme de listes de contr le etc Un exemple de Carnet de rapport d activit d velopp et test au Zimbabwe dans le cadre du plan national en faveur des OEV est pr sent l Annexe G image Image Carnets de rapport d activit Avec l aimable autorisation de l UNICEF Zimbabwe P Exemples de collecte de donn es via des outils lectroniques Versions sur tableur Excel des outils papier de collecte de donn es Outils de d finition des activit s tr s utiles ces outils permettent de recueillir et de d finir les donn es portant sur qui fait quoi et o Les informations sont entr es dans une base de donn es lectronique qui produit des rapports standard Les donn es sur l activit peuvent tre recueillies tous les niveaux du syst me mais le processus exige l expertise d un personnel qualifi voir Figure 2 2 dans la Deuxieme partie Pour d cider des m canismes utiliser pour la collecte des donn es il est important de tudier une fois de plus les m canismes de collecte de donn es existants y compris le syst me de S amp E national et le systeme d informations m dicales en se posant la
58. e la D claration Cinq strat gies principales approuv es par le Comit des organismes coparrainants du Programme commun des Nations Unies sur le VIH SIDA ONUSIDA ont t r it r es lors de la r union mondiale des partenaires consacr e aux orphelins et aux enfants vuln rables voir l encadr ci dessous Les cinq strat gies principales du cadre pour la protection les soins et le soutien aux OEV Renforcer la capacit des familles prendre en charge et prot ger les orphelins et les enfants rendus vuln rables par le VIH SIDA Mobiliser et renforcer les mesures de riposte de proximit Garantir l accessibilit des services essentiels aux orphelins et aux enfants vuln rables Faire en sorte que les gouvernements prot gent les enfants les plus vuln rables et Intensifier la sensibilisation pour cr er un environnement favorable aux enfants touch s par le VIH SIDA gu ge eap Partant de la D claration d engagement un groupe consultatif compos de directeurs de programmes de diff rents pays de sp cialistes du suivi et de l valuation S amp E et de chercheurs a regroup 37 activit s principales destin es am liorer le bien tre des orphelins et des enfants vuln rables dans 10 domaines prioritaires qui doivent tre pris en charge et surveill s au niveau national Il s agit des domaines suivants 1 politiques et strat gies 2 ressources et mobilisation des ressources 3 capacit des familles
59. elon moi existe un groupe de coordination nationale du SAE qui se r unt r guli rement m Selon moi le cadre national de SEE englobe les programmes pour les OEV za Je comprends bien le syst me national de 58 ze Mon organisation est inscrite aupr s du CNLS et a re u un numero didentiiant ar Mon organisation rempit r guli rement un formulaire de rapport d activit pour le CNLS Connaissances et comp tences en S amp E cochez une seule F r ponse Excisnt Bon Assez bon M diocre fats con eS isa Selon moi ma compr hension g n rale du syst me national de S amp E est 3 Selon moi ma compr hension du cadre de S amp E est as Econ moi je suis confat e en mes capacit s laborer jun pian do 58E a Selon moi jsuis confiance en mes capact s laborer lun budget de SE LG Seton moi je suis confiant c en mes capacit s d finir des objects fay Seton moi je suis confiant en mes capacit s d finir des questions de SSE m Selon moi je suis confiant e en mes capacit s d fi 3 ke indicateurs an Selon moi je suis capabie ce g rer des donn es s Seton moi suis contare en mes capacit s analyser des donnees Selon moi je suis confan e en mes capacit s dresser 134 des rapports sur ies donn es Selon moi je suis confiant e en mes capacit s utiliser tax lles donn es du programme pour la mise on uvre de ta Selon moi je suis conne
60. en faveur des enfants dans le besoin Le terme OEV tel qu il est utilis ici est un terme g n rique d signant le groupe qui doit b n ficier des actions nationales L Annexe B approfondit l tude du processus de d finition des OEV UU Premi re partie UU Suivi et valuation Le pr sent guide tant consacr l laboration d un systeme de suivi et d valuation des activit s des programmes en faveur des OEV le th me du S amp E proprement dit ne sera donc pas abord dans le d tail Il existe plusieurs textes et documents d orientation d excellente qualit qui d crivent comment mettre en place des syst mes nationaux de S amp E Les lecteurs sont encourag s consulter les principales r f rences bibliographiques cit es tout au long du document 1 1 Pourquoi faut il suivre et valuer les programmes en faveur des OEV La demande d informations sur l impact des politiques et programmes nationaux pour la protection les soins et le soutien des OEV ne cesse d augmenter II est donc important de relier les activit s pr vues et les r sultats anticip s ce qui a t r ellement accompli et pour ce faire il est recommand de mettre en place un systeme de suivi et d valuation du processus Le S amp E des programmes pour les OEV doit donc permettre de mieux comprendre ce qui fonctionne ce qui ne fonctionne pas et ce que l on peut faire pour am liorer progressivement la programmation Autrement dit il aide
61. en mes capacit s t31 d velopper les capacit s de S amp E au sein de mon organisation om ue suis confiante sur la r alisation des activit s de S amp E du Pas de mon organisation 69 Annexe Exemple d outil de collecte des donn es au niveau communautaire Services fournis aux orphelins et aux enfants vuln rables Nom duiprojet ect tnt Jour semaine du R gion Mille Circonscription 0 5 ans 6 14 ans 15 ans et plus Hommes Sexe Age Code Nom N J Femmes Soutien scolaire Alimentation D E o o Soutien x 5 8 2 5 3 E S 8 8 2 8 5 ES A conomiques Protection Opportunit s renforcement Services organisations 70 Annexe J Approches thiques de la collecte d informations aupr s d enfants et d adolescents Pour am liorer la vie des enfants il est n cessaire de connaitre leur situation leurs besoins et les services qu ils demandent et re oivent Les strat gies de collecte d informations aupr s des enfants sont vari es et les adultes qui travaillent avec eux ont l obligation d une part de respecter les normes thiques les plus strictes lors du processus de collecte et d autre part de ne pas leur faire intentionnellement du tort Travailler avec des enfants exige donc que les directeurs de programme et les chercheurs reconnaissent l
62. er le Plan national en faveur des OEV EE tudier le Plan national en faveur des OEV Comme il a t d crit dans la Deuxi me partie avant d laborer un Cadre conceptuel pour le S amp E de l action nationale en faveur des OEV il est important de reprendre le Plan national et de se familiariser avec sa structure et son contenu Cela exige d tudier attentivement La d finition des b n ficiaires pr vus L objectif global du plan national et ses diff rents objectifs pratiques s ils existent Dans le cas contraire il faut analyser les objectifs et activit s cl s soutenus par les diff rents acteurs pour informer la proc dure Les normes indicatives nationales relatives la fourniture d une intervention de qualit si elles existent Les domaines prioritaires pour la mise en uvre du plan national parfois d sign s sous les termes domaines d activit principaux domaines d activit secteurs d activit domaines prioritaires strat giques ou domaines de r sultat principaux Les r les et responsabilit s d finies dans le Plan national pour la fourniture des interventions Lastrat gie de suivi du programme si elle est d crite Le composant d valuation s il existe Quelques remarques propos des Plans d action nationaux Les plans nationaux comportent habituellement une description d taill e des composants du programme et de leurs liens avec l objectif global l
63. es besoins des enfants et y r pondent et qu ils adoptent les principes universellement admis relatifs la d ontologie m dicale et aux droits de l homme pendant toute la dur e de l activit ll n est pas pr vu de donner des directives d taill es dans le pr sent document sur les pratiques thiques li es l inclusion d enfants dans les activit s de recherche Les services qui sont absolument obligatoires dans une s rie minimum de mesures sont r sum s dans une excellente publication p 51 Ce sont les suivants Offrir aux enfants et leur tuteur la possibilit de donner leur consentement clair tre impliqu s dans l activi Consulter les membres de la communaut au sujet de l acceptabilit de l activit au niveau local et Existence de syst mes de r f rence op rationnels pour r pondre aux situations r v l es par l activit Outre ces obligations absolues les principales recommandations comprennent La n cessit d quilibrer la participation des enfants en d couvrant leur propre opinion La planification pr alable de l activit de collecte des informations Les discussions avec la communaut y compris les enfants et les adolescents La mise en place de syst mes de soutien op rationnels pour faire face aux v nements n gatifs Katie Schenk et Jan Williamson Ethical Approaches to Gathering Information from Children and Adolescents in International Settings Guidelines and
64. es objectifs sp cifiques les strat gies d intervention connexes et les r sultats escompt s 20 ll est encourageant de constater que les plans montrent de plus en plus leur volont de fournir des plans d action conformes la Convention relative aux droits de l enfant De nombreux plans nationaux sont cependant d pourvus de normes indicatives nationales relatives la fourniture d interventions de qualit Cette activit a tendance se d rouler seulement apres l laboration du plan national Cela pose un probl me pour l laboration du composant S amp E du plan car la formulation des outils de mesure devient intuitive au lieu d tre objective voir plus loin l exemple de pays de l Ouganda qui montre un moyen de faire face cette difficult En outre dans bien des plans le mode de mise en uvre des syst mes de suivi des progr s ou de mesure de l impact des objectifs d clar s moyen ou long terme n est pas toujours pr cis clairement Cela se traduit par e Des objectifs globaux expos s en termes vagues et difficiles atteindre par ex l acc s une meilleure qualit de vie pour tous les enfants e Des objectifs g n raux et irr alisables Des liens faibles entre les composants pr vus du programme apports activit s produits escompt s r sultats escompt s impact g n ral etc Une attention inadapt e aux probl mes d harmonisation avec la strat gie nationale de S amp E Des object
65. esures existantes y compris les indicateurs de r sultats et d impact nationaux recommand s ou d finis au niveau international comme l indique le Guide du S amp E pour les OEV Ces mesures doivent tre appliqu es judicieusement en prenant en compte la d finition et les circonstances de la population vis e par exemple les enfants touch s par le VIH SIDA par opposition une d finition plus g n rale des enfants vuln rables ou dans le besoin ll est recommand d adopter des approches participatives plus sp cifiques aux cultures en mati re de collecte de donn es et d inclure des m thodes telles que l num ration libre mentionn e plus haut Cependant il est important de respecter le cadre conceptuel convenu pour l valuation afin que les domaines de base et les questions principales soient correctement trait s pendant l laboration de l outil Utilisation des donn es Partage et utilisation des conclusions Le plus souvent les conclusions sont partag es et d battues avec les instigateurs de la recherche mais il est important de se rappeler que les enfants et la communaut peuvent et doivent jouer un r le important dans l adoption des r sultats de l valuation est primordial que la diffusion des conclusions soit troitement li e la planification des tapes suivantes car cela garantit que les enseignements tir s seront int gr s dans la nouvelle mise en ceuvre L utilisation des conclus
66. et et de la gestion d un cycle de projet ils doivent dans l id al tre pris en compte d s le d but du cycle de projet Le cycle de programmation de la Figure 1 3 illustre le processus cyclique par lequel le suivi et l valuation rejoignent la planification et la mise en ceuvre Fonds des Nations Unies pour l enfance Understanding Results Based Programme Planning and Management Tools to Reinforce Good Programming Practice UNICEF New York mai 2005 T l chargeable l adresse hltp www unssc org webt programmes rcs cca undaf training materiallteamrcs file asp ID 359 11 Figure 1 3 Cycle de programmation valuation de Te situation Elaboration de gegen et planiicaton Evaluation Mise en uvre Correctement planifi s le suivi et l valuation des programmes doivent aider les partenaires agissant dans le cadre d une action nationale en faveur des OEV R fl chir sur l objectif national global et sur la mani re dont les objectifs de leur propre programme y participent Identifier les strat gies les plus efficaces pour atteindre leurs objectifs Mettre en place un plan de suivi de leurs activit s et de leur progression au fil du temps Prendre des mesures pour faire face aux ventuels probl mes et changements qui surviennent pendant le processus et adapter la strat gie initiale en cas de besoin 1 4 N cessit d harmoniser les syst mes de S amp E Le 25 avril 2004 ONUSIDA
67. eur des OEV sont int gr es des plans sectoriels existants sant ducation protection sociale et VIH SIDA ou des instruments de d veloppement r gionaux ou nationaux Pour simplifier ce sont les termes Plan d action national ou Plan national qui sont utilis s dans ce document 2 4 Identifier les m canismes de S amp E dans le Plan d action national Le Plan d action national et en particulier l l ment S amp E du Plan national le cas ch ant doit tre examin en d tail et bien compris avant toute d cision visant mettre en ceuvre la collecte de donn es Bien que la proc dure de suivi des programmes en faveur des OEV soit probablement d volue au minist re mandat il est important de prendre conscience que l laboration et la mise en uvre d un systeme de suivi et d valuation de l action nationale en faveur des OEV doivent s inscrire dans le plan plus vaste de suivi et d valuation l chelon national Il est crucial de s assurer que le systeme de S amp E exploite le plan national largi de S amp E et qu il s y inscrit pour plusieurs raisons Collaborer dans les cadres et le syst me de S amp E existants permettra de r aliser des conomies importantes en termes de ressources humaines et financi res La consultation et la collaboration sont n cessaires pour assurer l inclusion des collectes de donn es aux niveaux sup rieurs niveaux de r sultats et d impact afin d am liorer la pro
68. eur des enfants tels qu un plan national en faveur des OEV Organisation du document Ce document est constitu de cing parties La premiere partie pr sente brievement ce que sont le suivi et l valuation La deuxieme partie examine les raisons pour lesquelles il est indispensable de comprendre le contexte dans lequel le syst me de S amp E est labor La troisi me partie est consacr e l laboration du Cadre conceptuel du syst me de S amp E des actions nationales pour les OEV La quatri me partie d crit quant elle la m canique du systeme de S amp E flux de donn es collecte analyse utilisation puis diffusion des donn es contr le qualit gestion et renforcement des capacit s La cinqui me partie conclut le document en abordant l exp rimentation des syst mes l laboration des plans de S amp E le renforcement des capacit s et les consid rations budg taires Des annexes sont fournies titre de r f rence lorsqu il a sembl utile d apporter des informations compl mentaires D Webb et coll Supporting and sustaining national responses to children orphaned and made vulnerable by HIV and AIDS Experience from the RAAAP exercise in sub Saharan Africa Vulnerable Children and Youth Studies ao t 2006 p 170 179 5 Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida
69. ex es c d Les chiffres sur les fiches correspondent ils aux chiffres de l outil de saisie lectronique des donn es O N Observation physique obligatoire des dossiers et des fiches Comparez les chiffres sur les fiches avec ceux de l outil de saisie de donn es un petit nombre seulement et v rifiez s ils correspondent Contr le qualit des donn es Proc dez un contr le ponctuel des donn es sur un chantillon de 20 fiches d activit comptez le nombre de fiches mal remplies c d celles sur lesquelles il manque des donn es ou dont les donn es sont incompl tes Des mesures de contr le interne de la qualit des donn es ont elles t mises en place O N Comment sont g r es les donn es inexactes 2 Y a t il des proc dures syst matiques de correction des donn es inexactes et de consignation des modifications O N Veuillez expliquer Utilisation des donn es Votre organisation recoit elle tous les mois les rapports r sum s par le PoS O N O sont stock es ces informations v rifier physiquement Veuillez expliquer comment votre organisation utilise ces donn es V rifiez l utilisation des donn es graphiques accroch s aux murs etc Diffusion des donn es Y a t il un m canisme de partage des donn es avec vos sous b n ficiaires O N Si oui quelle est la fr quence de cette activit tous les mois tous les deux mois KR tous les trimestres Si oui veuill
70. ez expliquer le processus Y a t il d autres m canismes en place pour le partage des donn es r unions de l quipe du district par exemple etc Veuillez expliquer Les rapports de retours d informations que vous recevez tous les mois de l UNICEF sont ils utiles O N Veuillez expliquer R seautage Y a t il un m canisme d tablissement de r seau avec d autres partenaires de votre district ON Veuillez expliquer 64 Difficult s actuellement rencontr es au niveau du syst me de suivi du programme Enseignements tir s Recommandations pour l am lioration du systeme de suivi du programme Commentaires g n raux observations importantes de l enqu teur qui n ont pas t not es plus haut 65 Annexe F Exemple de compte rendu mensuel d activit des ex cutants Rapport r capitulatif des activit s mises en ceuvre Programme de soutien PdS au Plan d action national en faveur des OEV Mars 2008 Tableau 1 Rapport r capitulatif Organisations ayant remis leur rapport 36 100 Organisations ayant n is leur rapport dans les terns 96 74 Organisations faisant l objet de requ tes relatives aux donn es 0 4 Figure 1 Taux de mise en uvre des indicateurs s lectionn s 180 160 158 E 140 g E 120 8 105 g 100 82 B so E 8 60 d 5 tm H a DE veva oos vrum ve ova Enregistrement des d
71. fants qui sont ou sont suppos s tre les plus susceptibles de souffrir de vuln rabilit par voie de cons quence Deux approches pour la d finition des OEV l une est plus propice au S amp E que l autre 1 OEV d finis comme des enfants manifestant des signes de vuln rabilit comme la malnutrition l extr me pauvret et la non scolarisation d finition ax e sur les caract ristiques qui seront affect es par l intervention Intervention R f rence Programme d alimentation Mesure de suivi Num rateur Enfants mal nourris ER Num rateur Enfants mal nourris D nominateur OEV D nominateur OEV 2 OEV d finis comme des enfants orphelins ou doublement orphelins ou vivant avec un parent ou adulte chroniquement malade d finition ax e sur les caract ristiques qui ne seront pas affect es par l intervention Intervention R f rence Programme d alimentation Mesure de suivi Num rateur Enfants mal nourris Num rateur Enfants mal nourris D nominateur OEV D nominateur OEV gt Dans le second cas d finition par groupe type de population le d nominateur n est pas affect par l intervention ce qui permet de mieux suivre et valuer l impact de celle ci 2 Distinguez les d finitions au niveau sous national ou du programme des d finitions nationales employ es pour le suivi Cette bonne pratique est illustr e par le PAN namibien en faveur des OEV dans lequel la d finition des
72. ferie ont t form s Le formulaire est volontairement facile il suffit de cocher oui ou non car la premi re t che consiste tudier la disponibilit des services au niveau local et non leur quantit ou leur qualit Les donn es sont recueillies tous les six mois Pour consulter des exemples d outils de collecte de donn es au niveau communautaire voir les Annexes G et l 38 AA YE KSE Production du m canisme de saisie des donn es Dans les situations optimales les donn es recueillies par le biais des systemes nationaux de suivi sont entr es dans une base de donn es lectronique ce qui doit permettre le transfert effectif des donn es du format brut une forme plus exploitable et surtout en faciliter la compilation et la synth se En pratique il n est pas toujours possible d atteindre cet objectif car Des syst mes sont en concurrence Il y a parfois des probl mes de propri t Les syst mes ne fonctionnent pas de mani re r guli re en raison d une gestion et d une maintenance de pietre qualit ll manque les comp tences et le personnel n cessaires la maintenance du systeme L quipement n cessaire n est pas toujours disponible Solutions possibles ll n existe pas de solution universelle ce probl me L exp rience sugg re cependant qu il est important d valuer les systemes existants et les possibilit s de saisir r gulierement les donn es relatives l ex cution du pro
73. finir les indicateurs de base des r sultats 28 3 8 tape 8 D finir les grands indicateurs de base 30 Quatri me partie laborer les l ments m caniques du syst me de S amp E pour les OEV 4 1 tape 1 Compr hension des donn es n cessaires 33 4 2 tape 2 Mise au point du m canisme de flux de donn es 34 4 3 tape 3 S lection et mise au point des m canismes et outils de collecte des donn es 37 4 4 tape 4 Production du m canisme de saisie des donn es 39 4 5 tape 5 Gestion des donn es 39 4 6 tape 6 Utilisation et diffusion des donn es 40 Cinqui me partie Compiler le tout 5 1 Exp rimenter le syst me 43 5 2 laborer le plan global de S amp E des actions pour les OEV 44 5 3 Renforcer les capacit s 45 5 4 valuation et recherche op rationnelle 46 5 5 Budg tiser l laboration et la mise en uvre du syst me de S amp E 49 Suite d Annexe A Annexe B Annexe C Annexe D Annexe E Annexe F Annexe G Annexe H Annexe Annexe J u sommaire Annexes Composants principaux d un systeme national op rationnel de S amp E sur le VIH D finition des OEV Cadre de s lection des indicateurs apports produits r sultats impact Exemples de guide d indicateurs Liste de contr le pour le suivi d un S amp E pilote l exemple du Zimbabwe Exemple de compte rendu mensuel d activit des ex cutants Exemple de livre de compte rendu d activit Exemple de liste de contr le de l valuat
74. gramme d valuer les possibilit s de modifier un des syst mes existants pour r pondre ces besoins et si aucune de ces options n est possible d envisager la mise au point d une solution de remplacement adapt e Cela peut impliquer de d velopper un syst me simple de saisie de donn es bas sur Excel qui permettra de saisir r gulierement les donn es de les compiler et de les changer avec les niveaux sous nationaux et nationaux Cela demande galement de tester rigoureusement ce syst me de saisie de donn es sur Excel avant de l utiliser et de former le personnel de saisie des donn es et d encadrement son utilisation Les charges de travail devront ventuellement tre ajust es pour prendre en compte les exigences suppl mentaires li es la saisie de donn es A fiapeg E Gestion des donn es Dans les situations optimales les donn es recueillies par les syst mes nationaux de suivi sont entr es dans une base de donn es lectronique sp cialement con ue et g r e cette fin Cela doit permettre le transfert effectif des donn es du format brut une forme plus exploitable et en faciliter la synth se de routine Le processus de gestion des donn es comporte plusieurs tapes parmi lesquelles La d finition claire des r les et responsabilit s concernant la gestion des donn es La saisie des donn es La synth se des donn es Le nettoyage et l analyse La v rification et le contr le qualit
75. grande partie contreproductives Cela vient du fait qu il n est ni possible ni souhaitable dans l immense majorit des cas de distinguer les orphelins en fonction de la cause du d c s de leur parent En outre si l orphelin d signe dans le monde entier un enfant vuln rable du fait du d c s de l un de ses parents biologiques la majorit d entre eux vivent au moins avec un parent ou un membre de leur famille et b n ficient des soins du soutien et de l encadrement appropri s Laurie Gulaid Targeting AIDS Mitigation Resources to Children document de r flexion de l quipe de travail interinstitutions sur les enfants et le VIH sida septembre 2007 New York T l chargeable l adresse lt http www crin org docs Targeting9 20AIDS 20Mitigation9 20Resources 20t0 20Children pdf gt Campbell Moroni et Webb A Review of Monitoring and Evaluation in Support of Orphans and Vulnerable Children in East and Southern Africa Vulnerable Chidren and Youth Studies d cembre 2008 Londres T l chargeable l adresse htp wewinformaword com smpp content contenl 907 161229 cb all iumplype rss 54 Recommandations 1 Utilisez une approche par groupe type de population pour d finir les OEV 7 De facon g n rale il existe deux approches diff rentes pour d finir ou d terminer un enfant vuln rable dans les nombreux plans nationaux en faveur des OEV Certaines d finitions des enfants vuln rables se fonden
76. ifs oubli s On note cependant avec encouragement que l on accorde de plus en plus d importance au processus d laboration de normes indicatives nationales relatives la prestation d interventions de qualit appel es aussi normes de qualit voir l exemple dans l encadr ci apr s C est un point important car les normes indicatives nationales relatives la fourniture d interventions de qualit servent non seulement de r f rence pour la fourniture d interventions de qualit mais aussi pour le suivi rigoureux des progr s au fil du temps Exemple de pays D finition de normes nationales pour les services aux OEV en Ouganda Malgr l am lioration des actions nationales en faveur des OEV en Ouganda politique relative aux OEV plan national augmentation des ressources on s est apercu qu il manquait un cadre pour garantir la qualit des services fournis Un cadre et des outils de normalisation nationale de la qualit ont par cons quent t mis au point par le minist re de l galit des sexes du Travail et du D veloppement social afin d apporter une structure et une m thodologie l laboration et l application de normes pertinentes pour assurer tous les niveaux une protection des soins et un Soutien coh rents et de qualit aux OEV Ces normes sont destin es aux prestataires de services publics ou priv s aux ex cutants des programmes aux donateurs et aux OEV b n ficiaires eux m mes chacune tant associ
77. il op rationnel en permanence e quelquefois jamais Quand le courrier lectronique est il op rationnel en permanence quelquefois jamais Votre organisation a t elle acces Internet O N Vous servez vous de l assistance technique Posmailbox O N Quelle est l utilit de Posmailbox 2 Utile S Plus ou moins utile Pas du tout utile 62 En termes de r activit comment vos requ tes adress es l assistance technique Posmailbox ont elles t trait es R ponse rapide et compl te R ponse assez rapide et peu pr s compl te Pas de r ponse Saisie des donn es Des membres de votre organisation ont ils re u une formation officielle la saisie des donn es pour le PAN pour les OEV O N En termes de fonctionnalit du syst me de saisie de donn es vous vous sentez Tout fait confiant sans aucun souci technique S Assez confiant avec quelques soucis techniques f Pas du tout confiant avec beaucoup de soucis techniques Si vous ne vous sentez pas confiant merci de vous expliquer Globalement que pensez vous du syst me de saisie de donn es Convivial et facile utiliser Assez facile utiliser mais il y a quelques problemes Pas du tout convivial En termes d assistance technique fournie par le personnel de l UNICEF au niveau national comment le noteriez vous R actif et tr s serviable Assez serviable S Sans r action et pas serviable Autres comme
78. inents qui traduiront mieux les activit s du programme Les partenaires doivent galement travailler en collaboration troite avec les CNLS pour garantir que les aspects changeants des interventions visant les OEV soient pris en compte dans les versions r vis es ou mises jour de la strat gie nationale de S amp E Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi et de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse hllp data unaids org topics M E ovc me quide frd Programme commun des Nations Unies sur le VIH sida Les Trois principes directeurs coordination des ripostes nationales au VIH sida Principes directeurs l intention des autorit s nationales et de leurs partenaires ONUSIDA Gen ve Suisse 2006 12 1 5 Les composants du syst me de S amp E Les systemes de S amp E sont constitu s de diff rents composants qui lorsqu on les associe abordent les diff rentes proc dures de collecte des donn es de traitement des donn es d analyse de gestion de diffusion et d utilisation efficace des donn es Les syst mes de S amp E efficaces prendront galement en compte les besoins en recherche op rationnelle et en surveillance Plusieurs textes d crivent la mise en place et la maintenance des syst mes de S amp E Aussi bien que ces aspects ne soient pas abord s dans le d tail dans le pr
79. ins de 15 ans vivaient avec le VIH Fin 2007 ils taient environ 15 millions d enfants de moins de 18 ans avoir perdu un de leurs parents ou les deux cause du SIDA Et ils sont des millions de plus vivre dans une pauvret accrue abandonner leurs tudes et souffrir de discrimination par suite de l pid mie Compte tenu de l impact norme du VIH et du SIDA sur la vie des orphelins et des enfants vuln rables OEV d importantes ressources ont t mobilis es pour att nuer leurs effets sur cette partie de la population Au niveau mondial une D claration d engagement sur le VIH SIDA a t adopt e en juin 2001 lors d une session extraordinaire de l Assembl e g n rale de l ONU UNGASS consacr e au VIH SIDA Cette D claration d engagement appelait tous les pays lancer une s rie de mesures de lutte contre le VIH SIDA Trois articles de la D claration sont sp cialement consacr s aux enfants rendus orphelins ou vuln rables par le VIH SIDA Ce sont ce que les praticiens de ce domaine appellent les objectifs de l UNGASS pour les OEV Depuis l adoption de la D claration d engagement un Cadre strat gique pour la protection les soins et le soutien aux orphelins et enfants rendus vuln rables par le VIH et le SIDA a t labor Ce cadre d limite des domaines d action et donne des indications op rationnelles aux gouvernements et aux autres partenaires essentiels qui travaillent la r alisation des objectifs d
80. ion des capacit s de S amp E Exemple d outil de collecte des donn es au niveau communautaire Approches thiques de la collecte d informations aupr s d enfants et d adolescents Remerciements Ce document d orientation est le fruit des efforts conjoints de plusieurs agences et personnes qui s emploient am liorer la situation des orphelins et des enfants vuln rables notamment ceux qui sont touch s par le VIH SIDA L UNICEF a coordonn l laboration de ce document dans le cadre du groupe de travail sur le suivi et l valuation de l quipe de travail interinstitutions sur les enfants et le VIH SIDA Au moment de la production du document le groupe tait compos des membres suivants Priscilla Akwara UNICEF New York Gretchen Bachman USAID Jane Begala Futures Group International Patricia Lim Ah Ken UNICEF New York Ronnie Lovich Save the Children Chewe Luo UNICEF New York Doreen Mulenga UNICEF New York Beverly Nyberg OGAC PEPFAR Dept of State et Chunnong Saeger USAID Tous ont contribu orienter et d finir le cadre de ce document Un groupe de r f rence technique a r vis le document et apport de pr cieux renseignements ainsi que les exemples de pays qui figurent dans ces pages Ce groupe tait compos de Mini Bhaskar UNICEF Inde Penelope Campbell Bureau r gional de l UNICEF pour l Afrique de l Est et l Afrique australe Matthew Dalling UNICEF Namibie Johannes John Langba Burea
81. ion parmi les adolescents orphelins et les adolescents rendus vuln rables par le VIH SIDA Le succ s des programmes de soins et de soutien est fonction du contexte dans lequel ils sont ex cut s Les contextes sociaux culturels et conomiques dans lesquels les enfants vivent et dans lesquels les programmes sont ex cut s sont d importants facteurs qui doivent tre pris en consid ration au moment d valuer une riposte nationale Ces derni res ann es des indicateurs de contextes politiques juridiques et psychologiques dans lesquels est ex cut un programme ont t labor s Le plus couramment utilis est l indice de l effort des programmes de lutte contre le SIDA L expression d attitudes de tol rance de la part de personnes vivant aux c t s de personnes s ropositives est un important indicateur pour valuer le niveau de stigmatisation et de discrimination l gard des personnes infect es et touch es par le VIH SIDA 59 Annexe D Exemples de guide des indicateurs Cadre de r sultats relatifs aux droits et la protection Objectif Tous les enfants ont acc s des services de protection d ici 2010 WACPU Groupe de protection des femmes et des enfants Nombre d enfants Vicimes de Nombre de cas d enfants victimes WACPU et Minist re pour violences sexuelles ou physiques de violences sexuelles ou commissariats l galte des signal s physiques signals ia police cu sexes tia lau WACPU Protection de l enfan
82. ions doit aussi tre en rapport avec les objectifs de l valuation Les probl mes li s une bonne r daction des rapports ne seront pas abord s dans ce document Le lecteur est invit consulter les indications que l on trouvera ce sujet dans d autres textes 5 5 Budg tiser l laboration et la mise en ceuvre du syst me de S amp E Les co ts li s l laboration et la mise en uvre du syst me de S amp E pour l action nationale en faveur des OEV varient en fonction des environnements et des besoins Cette section donne des indications g n rales sur le calcul du budget de cette proc dure le Tableau 5 5 pr sente notamment des suggestions de consid rations de co t li es la m thodologie d crite dans le pr sent document D s le d part il est important de r affirmer l engagement de chaque partenaire du d veloppement concernant les activit s qu ils ont accept de soutenir eu gard au Plan d action national y compris le S amp E En r sum trois principes s appliquent Fonds des Nations Unies pour l Enfance Guide to the Evaluation of Psychosocial Programming in Emergencies op cit ibid Martha Bragin The community participatory evaluation tool for psychosocial programmes A guide to implementation Intervention International Journal of Mental Health Psychosocial Work and Counseling in Areas of Armed Conflict 2005 p 3 24 T l chargeable l adresse http www interventionjoumnal co
83. isation du document 8 Mode d emploi du document 9 Remarque terminologique 9 Premi re partie Suivi et valuation 1 1 Pourquoi faut il suivre et valuer les programmes en faveur des OEV 10 12 Qu est ce que le S amp E 10 13 Le suivi et l valuation dans le cadre d un cycle de programmation 11 14 N cessit d harmoniser les syst mes de S amp E 12 1 5 Les composants du syst me national de S amp E 13 1 6 Principales difficult s habituellement rencontr es lors de l laboration d un syst me de S amp E des ripostes nationales en faveur des OEV 13 Deuxi me partie Comprendre le contexte dans lequel le syst me de S amp E des ripostes nationales sera labor 2 1 Organiser de vastes consultations 14 2 2 valuer la situation des OEV et les ripostes au niveau national 14 2 3 Localiser le Plan d action national en faveur des OEV 17 2 4 Identifier les m canismes de S amp E en place dans le Plan d action national 17 2 5 valuer les capacit s de S amp E existantes 18 Troisi me partie laborer le Cadre conceptuel du S amp E de l action nationale en faveur des OEV 3 1 tape 1 tudier le Plan national en faveur des OEV 20 3 2 tape 2 Organiser une r union des parties concern es pour laborer le Cadre conceptuel 22 3 3 tape 3 D finir la population vis e 23 3 4 tape 4 tudier l objectif global 25 3 5 tape 5 tudier les objectifs du Plan national 26 3 6 tape 6 D finir les domaines prioritaires 27 3 7 tape 7 D
84. it s organisationnelles des agents d ex cution ont t valu es dans cing domaines prioritaires dont le suivi et l valuation Globalement par rapport aux autres domaines l valuation a r v l des scores m diocres pour le suivi et l valuation Il y avait des lacunes dans la compr hension du syst me national de S amp E et surtout dans les connaissances sur le plan national en faveur des OEV L valuation a t primordiale car elle a permis de d terminer les lacunes que les efforts de renforcement des capacit s devront combler ceux ci devront am liorer les connaissances sur le systeme national de S amp E d terminer comment harmoniser le suivi des programmes du plan national pour les OEV avec ce syst me et pr ciser le mode de mise en uvre du syst me ll est plus judicieux d aborder le renforcement des capacit s une fois que le syst me a t g n r L une des grandes lecons retenir a t qu il fallait veiller mettre de c t les ressources n cessaires pour ce processus La liste de contr le utilis e au Zimbabwe pour l valuation des capacit s de S amp E figure l annexe H EE Troisi me partie BEE Elaborer le Cadre conceptuel du S amp E de l action nationale en faveur des OEV Apr s avoir pris en compte la n cessit d un systeme coh rent de S amp E dans la Deuxi me partie la Troisi me partie d crit tape par tape la proc dure suivre pour laborer un Cadre conceptuel La quatri
85. l te de la situation des OEV Figure 2 2a Exemple de donn es recueillies et agr g es au niveau national courbes pid miques estim es du VIH du SIDA et des orphelins au Zimbabwe Au niveau national les informations relatives la situation des OEV et la mesure des progr s de la riposte nationale sont g n ralement obtenues par le biais de Courbes pid miques du VIH du SIDA et des orphelins Zimbabwe 1980 2010 2 000 000 T KN m canismes de collecte p riodique des 1 800 000 donn es qui recourent des indicateurs de base recommand s comme ceux identifi s 000 000 mg dans le Guide du S amp E pour les OEV ce niveau les donn es peuvent tre obtenues par les moyens suivants Enqu tes d mographiques et de sant Toes moo 1085 1050 2002 205 zoor 2810 EDS SEET Enqu te par grappes indicateurs ent multiples EGIM Enqu tes sur les indicateurs du SIDA Enqu tes sur la mesure du niveau de vie pour la rentabilit Ce sont des syst mes de collecte de donn es de haut niveau qui donnent une mesure quantitative des r sultats et de l impact gr ce la morbidit la mortalit les incidences conomiques etc 500 000 Figure 2 2b Donn es sur les activit s du programme recueillies au niveau sous national en Tanzanie pour r pertorier les activit s li es aux OEV Au niveau sous national les donn es sont recueillies dans l id al via Des
86. l de S amp E des actions pour les OEV Le plan de S amp E est un document g n ral d orientation relatif au suivi et l valuation des plans nationaux en faveur des OEV Il rassemble le Cadre conceptuel et les l ments m caniques du syst me qui ont t d crits dans le pr sent document tout en abordant galement d autres questions importantes comme la gestion le budget les rapports et la diffusion des donn es ll existe de nombreux exemples de plans de S amp E Le pr sent ouvrage n a donc pas pour intention d voquer dans le d tail l laboration de ces plans Nous pr sentons toutefois des directives g n rales relatives cette activit en rappelant que le contenu variera selon les pays Il est possible de prendre en consid ration les l ments suivants Titre Informations n cessaires Introduction et objectifs du plan D finition du suivi et de l valuation Situation actuelle des orphelins et des enfants vuln rables Le Plan national apercu du plan national but normes indicatives nationales relatives la prestation d interventions de qualit objectifs et domaines prioritaires Description des indicateurs M canisme de collecte des donn es y compris le flux de donn es les outils de collecte et le syst me de saisie R les et responsabilit s li s la collecte des donn es Budget du plan national Rapports utilisation et diffusion des donn es Soyez clairs et p
87. l recu une formation officielle sur le suivi du programme O N Date Si vous avez vous m me particip une formation sur le S amp E comment la noteriez vous Instructive et utile e Assez instructive mais insuffisante Pas du tout utile Parmi les personnes de votre organisation ayant re u une formation officielle sur le suivi des programmes combien sont encore en poste Toutes Nb Quelques unes Nb z Aucune Si votre organisation a perdu des membres de son personnel charg du suivi du programme depuis la formation officielle veuillez en indiquer les raisons si vous les connaissez Votre organisation organise t elle des formations sur le suivi du programme destin es vos sous b n ficiaires O N Si non qu est ce qui y fait obstacle Veuillez expliquer De quelle assistance votre organisation aurait elle besoin pour pouvoir organiser cette formation l avenir Au cours des six derniers mois votre organisation a t soutenue pour produire une matrice de suivi du programme Qu avez vous pens de cette exp rience Utile et instructive Assez utile S Pas du tout utile Merci de donner de plus amples informations sur cette exp rience Technologie Votre organisation dispose t elle d un ordinateur d di au S amp E O N Si non comment votre organisation organise t elle le temps pass sur ordinateur aux fins du S amp E Veuillez expliquer m Quand le t l phone est
88. lyse des enseignements tir s et de d cision politique R sum d bats r unions Bailleurs de fonds ext rieurs R sultats complets ou r sum s des fins d analyse des enseignements tir s et de d cision politique Rapport complet et d bats r capitulatifs Agences internationales agences des Nations Unies pour le d veloppement R sultats complets ou r sum s des fins d analyse des enseignements tir s et de d cision politique Probablement r sum seul d bats r unions Rappel quelques r gles de base Simple et concis Restez simples et concis dans vos communications l oral comme l crit Utilisez des images chaque fois que c est possible 41 Exemple de pays diffusion des donn es au Zimbabwe Les donn es sont recueillies tous les mois selon un systeme papier qui se compose d un Carnet de rapport d activit voir Annexe G comprenant des fiches de compte rendu avec papier carbone que l on peut d tacher Au niveau des ex cutants les donn es sont r guli rement recueillies saisies et rapport es selon un calendrier pr d termin Le 5 du mois les donn es sont entr es dans le Carnet de rapport d activit Une fiche de compte rendu d tachable est remise ou envoy e au Coordonnateur du district sur le SIDA Une copie de la fiche de compte rendu d tachable est remise ou envoy e au Coordonnateur du district sur la protection sociale Une autre copie d
89. m downloads 31pd 03 24 20Bragin 20 pdl Fonds des Nations Unies pour l enfance Guide du suivi el de l valuation de la r ponse nationale face au probl me des orphelins et des enfants rendus vuln rables par le VIH sida UNICEF New York T l chargeable l adresse http data unaids org topics M Elovc me quide ir pdi gt Michael Bamberger et coll op cit p 399 402 Fonds des Nations Unies pour l enfance Bien comprendre la planification et la gestion d une programmation ax e sur les r sultats UNICEF 2005 T l chargeable l adresse lt http www unssc org web1 programmes rcs cca_undal training material teamrcsifile asp 7ID 166 gt 49 Planification et budg tisation ax es sur l activi Planification des budgets nuls Hi rarchisation des activit s Planification ax e sur l activit voir tableau ci dessous En termes simples cela implique d tablir le budget tel quel directement dans le plan strat gique global de S amp E Une facon simple d aborder les choses consiste examiner et budg ter les tapes d crites plus haut en se posant les questions suivantes Que devons nous faire tapes et activit s De quelles ressources avons nous besoin pour r aliser ces activit s mat riel et consommables Quis en occupera Quelestle d lai Quelles sont les hypotheses les activit s ne n cessitent pas toutes un budget Pour cela il vaut mieux agi
90. marche a permis d identifier la n cessit de mieux comprendre la situation des enfants affect s par le VIH SIDA en Inde Un Groupe de travail national sur les OEV a t cr lors de la r union lequel a endoss la responsabilit de produire les l ments dont le Gouvernement avait besoin pour concevoir la strat gie la mieux adapt e pour r pondre aux besoins des enfants vuln rables en Inde L tude qualitative Barriers to Services for Children with HIV Positive Parents est t l chargeable l adresse suivante http www uniceft org india The Barrier Study pdf Fonds des Nations Unies pour l enfance Barriers to services for children with HIV positive parents UNICEF Delhi 2007 T l chargeable l adresse lt htlp www unicef org india The Barrier Study pdf gt 17 The Delhi Commitment The Panchsheel action for children affected and vulnerable to HIV AIDS 2 3 Localiser le Plan d action national en faveur des OEV Les plans de suivi des actions nationales pour la protection les soins et le soutien des OEV portent des noms vari s Dans la plupart des pays ce sont des Plans d action nationaux PAN Dans d autres on parle de plan d action nationale ou de plan de riposte national Et dans d autres pays encore il se peut qu il n y ait pas de plans d action sp cifiques aux OEV C est particulierement le cas dans les milieux faible pr valence du VIH o les principales strat gies en fav
91. me partie expliquera ensuite comment laborer les m canismes n cessaires la mise en uvre du Cadre conceptuel et enfin dans la Cinqui me partie il sera pr sent des mesures suppl mentaires prendre en compte lors de l laboration et de la mise en ceuvre d un plan national de S amp E Les pierres angulaires d un systeme de S amp E op rationnel permettant le suivi du plan national sont de nature la fois conceptuelles et m caniques Le Cadre conceptuel exprime le but global les objectifs la mise en oeuvre proprement dite et les produits les r sultats et l impact attendus Il sert de r f rence pour la mise en uvre du syst me de S amp E Les composants m caniques du systeme s articulent autour du flux de donn es de la collecte de l analyse de l utilisation et de la diffusion des donn es mais aussi du contr le qualit de la gestion et du renforcement des capacit s Ce n est qu une fois le Cadre conceptuel et les l ments m caniques en place que le syst me de S amp E du plan national peut tre mis en ceuvre tape 8 D finir les indicateurs internationaux de base tape 7 D finir les indicateurs de base des r sultats tape 6 D finir les domaines prioritaires tape 5 Etudier les objectifs du plan national tape 4 tudier l objectif global tape 3 D finir la population vis e tape 2 Organiser une r union des parties concern es pour laborer le Cadre conceptuel tape 1 tudi
92. mination ll existe une myriade de contextes pid miques entre l hyper pr valence de l Afrique australe et les vastes populations d Asie D autres facteurs comme la disponibilit des ressources contre le SIDA la solidit des infrastructures de prestation de services et les normes entourant les soins prodigu s aux enfants varient galement beaucoup Au regard de ces diff rences une seule approche pour la d finition puis pour le S amp E aurait peu de chances d avoir autant d efficacit selon les pays et les r gions Ibid Wa 57 Annexe C Cadre de s lection des indicateurs apports produits r sultats impact La s lection d une s rie d indicateurs de base des fins de suivi et d valuation d un programme national est indispensable Le cadre le plus couramment utilis pour la s lection des indicateurs est le cadre apports produits r sultats impact pr sent ci dessous Les indicateurs peuvent mesurer ce qui est fourni par un programme argent nombre de manuels repas formation etc ce sont des indicateurs d apports et ce qui en r sulte orphelins aid s pour les frais de scolarit conseillers qualifi s capital de d part pour des activit s g n ratrices de revenus agendas etc ce sont des indicateurs de produits Ces indicateurs doivent tre mesur s tous les niveaux projet programme de district provincial et national Au niveau national diff rents indicateurs sont n
93. national budg t et annuel du S amp E comprenant les activit s sp cifiques budg t es du S amp E qui sont r alis es par toutes les parties concern es avec toutes les sources de financement identifi es Utiliser ce plan pour coordonner et valuer la progression de la mise en ceuvre du S amp E tout au long de l ann e Six promotion communication et culture du S amp E sur le VIH Assurer la connaissance et l engagement concernant le S amp E et le syst me de S amp E au niveau des responsables politiques des responsables de programmes du personnel du programme et des autres parties concern es Sept suivi de routine du programme sur le VIH Fournir dans les d lais des donn es de grande qualit issues du suivi r gulier du programme Huit enqu tes et surveillance Fournir dans les d lais des donn es de grande qualit issues des enqu tes et de la surveillance Neuf bases de donn es nationales et sous nationales sur le VIH D velopper et entretenir des bases de donn es nationales et sous nationales sur le VIH qui permettent aux parties concern es d acc der aux donn es pertinentes pour la formulation des politiques et la gestion et l am lioration du programme Dix supervision de soutien et audit des donn es Surveiller p riodiquement la qualit des donn es et r soudre les ventuels obstacles la production de donn es de grande qualit c est dire valables fiables exha
94. nd applying national quality standards for the protection care and support of orphans and other vulnerable children in Uganda Kampala 2007 T l chargeable l adresse lt http www crin org docs QualityStandardsGuide pdt gt 21 niser une r union des pa le Cadre conceptuel L laboration du Cadre conceptuel pour le suivi du plan national est un processus la fois participatif et collaboratif Il est recommand d organiser une r union des parties concern es et de suivre les tapes d crites dans cette section Quelques recommandations propos de la r union des parties concern es Impliquez les parties principalement concern es et les partenaires de mise en uvre d s le d part le cadre d un atelier est le mieux adapt Faites preuve de strat gie impliquez un m lange de membres du gouvernement de partenaires d autres secteurs et d ex cutants L organisation qui incombe la responsabilit g n rale de la mise en uvre du plan national en faveur des OEV est la mieux plac e pour organiser et dans la mesure du possible animer l atelier Lorsqu il n existe pas de plan le Gouvernement devra identifier l acteur principal qui assumera cette responsabilit citons titre d exemples existants le Conseil national de lutte contre le SIDA ou le minist re de la Protection sociale Invitez sp cialement les parties concern es qui ont une exp rience de la planification et du Suivi apporter aux d b
95. nion porte principalement sur le renforcement des capacit s de suivi et d valuation ll faut bien souligner d s le d part que la r union a pour but d laborer le Cadre conceptuel et les l ments m caniques du syst me de suivi de la mise en uvre du PAN L laboration du plan global voir la Cinquieme partie est une t che plus importante qui ne peut tre accomplie qu une fois que les concepts et m canismes du systeme ont t d finis 22 L un des premiers objectifs de la r union des parties concern es consiste d finir pr cis ment ce que sont les OEV dans le cadre du S amp E du plan national qui leur est consacr Si l on d finit habituellement les orphelins comme des enfants qui ont perdu un parent ou les deux les enfants vuln rables ou enfants dans le besoin peuvent tre d finis diff remment en fonction de facteurs de risque sp cifiques de r gions g ographiques vuln rables ou de groupes d enfants particuliers Cela peut compliquer la d finition des OEV aux fins du S amp E national Voici des recommandations de Strat gies pour parvenir votre d finition ll convient de suivre une approche participative et inclusive pour d finir et trouver un consensus sur la d finition de la population vis e Il est indispensable que les partenaires pertinents du gouvernement de la soci t civile et du d veloppement soient impliqu s dans cette proc dure La d finition des OEV pour le S
96. niveau national Participation Participation trois Fournitures de Conseiller Trois jours Activit l examen du jours de r unions bureau sp cialis en S amp E suivis d une sp cialis e qui Plan d action pour l examen par Parties concern es p riode de requiert national en les parties r vision probablement faveur des concern es environ les services du OEV par les r vision du une conseiller parties document semaine sp cialis en concern es S amp E ou d un expert en S amp E Mise au point laboration des PAO et services Conseiller Deux mois Activit et finalisation documents d impression sp cialis en S amp E sp cialis e qui des l ments d orientation finaux requiert m caniques du par exemple Sp cialiste en probablement syst me de cadre de S amp E informatique les services collecte de directives relatives d un donn es aux rapports sp cialiste en savoir les outils informatique et de collecte la d un expert en documentation S amp E d orientation et la base de donn es Renforcement Atelier de formation Centre de Formateurs en S amp E Une Cette activit des capacit s des formateurs formation semaine peut tre de S amp E formation de base par dirig e par des au S amp E province sit e s lectionn formateurs de l chelon national qui ont particip un atelier de formation des formateurs 51 Activit s Mat riel et
97. ns et politiques Selon le PAN namibien 2006 2010 en faveur des OEV minist re pour l galit des sexes et de la Protection de l enfance Gouvernement de la R publique de Namibie 2007 les enfants vuln rables consid r s dans le cadre du programme sont simplement les enfants qui ont besoin de soins et de protection Cependant dans le cadre du Suivi national un enfant vuln rable est i un enfant vivant avec un responsable chroniquement malade un responsable trop malade pour assumer les t ches quotidiennes au cours de 3 des 12 mois coul s ii un enfant vivant avec un responsable souffrant d un handicap l emp chant d assumer les t ches domestiques iii un enfant d ge scolaire qui ne peut pas fr quenter une cole ordinaire en raison d un handicap iv un enfant vivant dans un m nage dirig par une personne g e d au moins 60 ans le m nage ne comptant aucun adulte responsable g de 18 59 ans v un enfant vivant dans un m nage pauvre c est dire un m nage qui consacre plus de 60 96 de l ensemble de ses revenus l alimentation vi un enfant vivant dans un m nage dirig par un enfant c est dire un m nage dirig par un enfant de moins de 18 ans vii un enfant ayant v cu la mort d un adulte g de 18 59 ans dans le m nage au cours des 12 mois coul s ll est toutefois important de noter que le fait de cibler les enfants destinataires des programmes d assistance sociale l aide
98. ns inscrits sur les registres de naissance de 64 80 d ici la fin 2010 Cet objectif est il mesurable Oui parce que lest sp cifique il donne des informations pr cises qui quoi marge ch ance lest mesurable ll est r alisable sans tre trop ambitieux Il utilise des donn es de r f rence Pays B Objectif du Plan national Apporter la s curit alimentaire tous les enfants vivant dans la rue Cet objectif est il mesurable Non parce que Il n est pas sp cifique il ne pr cise pas ce qui doit tre atteint et avec quelle marge Il n est pas quantifiable 26 Il n indique pas n cessairement ce que le programme essaie de faire Il n est pas r alisable ll ne pr cise aucune ch ance Comment pourrait on am liorer cet objectif Modifiez le en ce sens Fournir r guli rement des sacs d aliments nourrissants aux enfants de O 17 ans dans le besoin tels que d finis dans les registres des communaut s risque au moins tous les deux mois et dans chaque district d ici la fin 2010 Une fois le consensus atteint sur les objectifs du plan national ceux ci doivent tre port s dans le Cadre conceptuel Figure 3 5b porter les objectifs du plan national dans le Cadre conceptuel Le Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres
99. ntaires suggestions Collecte des donn es Actuellement les donn es du PAN pour les OEV sont recueillies dans des Carnets de rapport d activit Que pensez vous de ce systeme Attention ici nous ne parlons pas des indicateurs Une seule r ponse Le syst me facilite la collecte des donn es Le syst me facilite la collecte des donn es mais pose quelques probl mes Le syst me ne facilite pas la collecte des donn es Veuillez signaler les probl mes rencontr s avec le syst me Veuillez nous pr senter le syst me mis en place dans votre organisation pour v rifier l exactitude des donn es recueillies et saisies aig Votre organisation organise t elle d Des contr les des donn es avec les sous b n ficiaires au cours du mois f Des contr les des donn es avec les sous b n ficiaires seulement la fin du mois Des contr les des donn es avec les sous b n ficiaires seulement quand des probl mes surgissent Veuillez expliquer les probl mes ventuellement rencontr s Dans votre organisation des proc dures sont elles en place pour garantir que les donn es sont transmises dans leur int gralit et dans les d lais par les agents d ex cution O N Veuillez expliquer 63 Stockage des donn es Commentaire sur le systeme de rangement et de classement Observation physique obligatoire des dossiers et des fiches Les fiches de saisie de donn es sont elles correctement ind
100. objectifs l valuation valuer si le programme a eu un impact D terminer qui en a b n fici et qui n en a pas b n fici D terminer si le programme est p renne et ou s il peut tre reproduit D cider si le programme doit tre poursuivi ou non e Renforcer les services existants am liorer le programme Cibler les services efficaces d velopper ou chelonner Exploiter le financement Quels sont les composants du D cider quel niveau sera r alis e l valuation programme qui requi rent une Produits habituellement recueillis de facon r guli re par les quipes de valuation Qui r alise projet au niveau du programme l valuation R sultats peut tre g r par le personnel interne avec l assistance technique de l organisation ou r alis par des consultants ext rieurs au niveau de la population Impact plut t faire g rer par des valuateurs ext rieurs A Gage et coll A guide to monitoring and evaluating child health programs Chapel Hill 2005 T l chargeable l adresse ghtte www cpc unc eduimeasure publications pdf ms 05 15 pdf 4 Jennifer Bryce et col The Mulli Country Evaluation of the Integrated Management of Childhood Illness Strategy Lessons for the Evaluation of Public Health Interventions American Journal of Public Health vol 94 n 3 2004 p 406 415 5 Habicht et coll Evaluation Designs for Adequacy Plausibility an
101. oints suivants Comprendre globalement pourquoi les objectifs doivent tre SMART c d permettre des mesures au fil du temps tudier attentivement chaque objectif du plan national Rappeler le concept SMART voir ci apr s Appliquer le concept SMART chaque objectif en s attachant plus particuli rement au caract re mesurable ll faut imp rativement parvenir un consensus sur la construction des objectifs du plan national car ils seront indispensables pour les mesures Figure 3 5a objectif SMART SMART Objectives ene les v nements concrets ou les actions quiintevendront L objectif pr cise t clairement ce qui sera r alis et avec quelle marge Quantife les quantit s de ressources d activit s ou de changements L objectif esti quantiiable 2 Pr sente un lien logique entre l nonc du probl me et les effets souhait s du programme L objectif esti logique par rapport ce que le programme essaie d accomplir Apporte une dimension r aliste qui peut tre atteinte l aide des ressources et des plans disponibles pour la mise en uvre L objectil estil r alisable compte tenu des ressources et de l exp rience disponibles Pr cise une dur e pour la r alisation de l objectif L objectif pr cise til quand il sera atteint Exemples d objectifs de plan national Pays A Objectif du Plan national Faire passer le pourcentage d enfants de 0 17 a
102. on avec l agence nationale de coordination sont indispensables la r ussite du processus Participer r guli rement aux forums nationaux relatifs aux S amp E comme les groupes de travail nationaux sur le S amp E Cela augmente la probabilit de parvenir un accord sur les indicateurs de mesure et l utilisation efficace des ressources pour le S amp E Exemple de pays Int gration des besoins en S amp E sur les OEV dans le cadre national de S amp E sur le VIH en Namibie En Namibie le Plan d action national pour les OEV a t labor par le minist re pour l galit des sexes et la Protection de l enfance en 2006 2007 II s accompagnait d un plan de suivi et d valuation des activit s identifi es dans le Plan national Concis le plan de S amp E sur les OEV donnait des d finitions et des sources claires et d finissait pr cis ment les responsabilit s organisationnelles relatives la collecte des donn es Il comprenait galement les donn es de r f rence disponibles pour chaque indicateur Au total il a t identifi 73 indicateurs pour le suivi du plan national Sur ceux ci 21 demandaient des informations en provenance d organisations communautaires des petites ONG pourvoyant aux besoins essentiels des enfants fournissant des formations professionnelles etc Dans le m me temps le minist re de la Sant et des Services sociaux travaillait l laboration d un Syst me de suivi des programmes SSP qui devai
103. oser des difficult s on note une augmentation d peine 1 par rapport au mois dernier Mais le plus gros point noir concerne les objectifs pour la t re ann e car 9 des 12 indicateurs de base n ont pas t atteints ll est int ressant de noter que selon nos estimations 184 296 enfants ont b n fici ce jour du Programme de soutien pour la 1 re ann e Cela repr sente 125 du chiffre escompt de 147 012 b n ficiaires ll a t conscill aux organisations partenaires de continuer r diger lours rapports our los objectifs de 16rc ann e dans les anciens Carnets de rapport d activit en attendant les nouveaux carnets unicef s 66 Annexe G Exemple de Carnet de rapport d activit Cochez les cases applicables Financement du PAN Autre financement Enc Nom de l organisation P riode de d claration mm aa Domaine strat gique ATT NUATION et SOUTIEN aux personnes affect es Domaine d activit 4 e financement par d autres sources veuillez los pr ciser Identifiant orgarisation eu L District Domaine du programme Orphelins et enfants vuln rables OEV tion formelle ED assistance au niveau scolaire Indicateurs nationaux de base pour les r sultats Financement du PAN Autre financement g r s par le CNLS Code Indicateur Femmes Hommes TOTAL Femmes Hommes TOTAL Nombre de nouvelles coles b n ficiant de OE
104. osocial Programming in Emergencies Projet d exp rimentation sur le terrain UNICEF 2008 5 Michael Bamberger et coll op cit p 323 354 48 Choix de la m thodologie Tout repose sur la d cision d utiliser des m thodes qualitatives ou quantitatives ou un m lange des deux pour la collecte des donn es Il est recommand d utiliser une approche mixte pour l valuation Elle englobe la fois la collecte des chiffres donn es quantitatives et des descriptions donn es qualitatives Ces deux cat gories ont chacune leurs points forts et si elles sont g r es correctement leurs informations se compl teront mutuellement On am liore les valuations en consid rant le m me probl me selon diff rentes perspectives m thodologiques La collecte d informations aupr s de sources diff rentes selon cette m thode s appelle la triangulation Les m thodes qualitatives recommand es pour travailler avec des enfants comprennent la repr sentation visuelle les entretiens avec des informateurs cl s et l num ration libre qui permettent aux enfants de participer et garantissent que le r sultat souhait par exemple le bien tre est compris dans son contexte culturel par le biais de l expression personnelle cr ative par exemple Voir Bragin 2005 Mesures existantes ou mesures locales L approche la plus courante en mati re de mesures quantitatives consiste utiliser les m
105. our le pr ciser ou ventuellement le red finir Le meilleur moyen d y parvenir consiste suivre une proc dure de consultation et il est important que toutes les parties concern es trouvent un consensus Une fois le consensus d gag le but convenu peut tre inscrit dans le Cadre conceptuel comme le montre la Figure 3 4 ci dessous Figure 3 4 D fi r le but Le Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 N Objectifs du Indicateurs de Indi de R sultats Indicateurs Plan national base nationaux r sul escompt s d impact d finis des r sultats suppl au niveau pour le international Inscrivez le but du plan national dans le Cadre conceptuel Pour une tude plus pouss e des diff rents niveaux d indicateurs veuillez consulter l Annexe C 25 ctifs du plan national L tape suivante du processus d laboration et de d veloppement du Cadre conceptuel consiste tudier les principaux objectifs du Plan national et les mettre en ceuvre pour le suivi du programme Des probl mes surgissent fr quemment lors de la d finition d objectifs SMART voir ci apr s C est une d marche qui prend du temps Il est utile de d marrer le processus d tude par les p
106. pports pr vus les activit s les produits escompt s les objectifs et les r sultats au niveau du programme Une fois termin e la matrice indiquera Les objectifs sp cifiques du projet Les domaines prioritaires Les apports pr vus et les activit s pr vues pour chaque domaine prioritaire Les r sultats de base escompt s tels qu ils ont d j t identifi s dans le plan national de S amp E relatif au suivi des activit s pour les OEV avec les objectifs d finis pour la mise en ceuvre recueillis mensuellement D autres indicateurs bons savoir au niveau du projet qui sont pertinents et n cessaires recueillis tous les mois ou tous les trimestres H Les r sultats et l impact escompt s Une fois la matrice labor e l tape suivante consiste mettre au point les l ments m caniques du syst me de S amp E Ces informations sont pr sent es dans la Quatri me partie droite F e n CH laboration de la matrice de suivi au Elaboration d une matrice de suivi au niveau du projet niveau des ex cutants MONITORING MATRIX MPSL amp SW NAP Secretariat s NAC and UNICEF 32 RE Quatri me partie SN laboration des l ments m caniques du syst me de S amp E pour les OEV Dans cette partie du document nous poursuivons notre proc dure par tapes en vue d laborer un syst me national de suivi consacr aux OEV La Quatri me partie se penche sur la m canique du syst me c
107. r cis et soulignez le but g n ral et les objectifs du document Donnez des d finitions simples du S amp E vitez les d tails qui ne feront que compliquer la proc dure Dans cette section donnez des informations pr cises correspondant la situation actuelle en r pondant la question qui sont les OEV Les informations peuvent provenir d tudes sp ciales Incluez des graphiques pertinents qui montrent l ampleur du probl me et ses foyers le cas ch ant Reportez vous la Deuxi me partie de ce document pour de plus amples informations La d finition des OEV pour le programme doit figurer ici Dans cette section on d crit le m canisme d action nationale choisi par le pays qu il s int gre ou non dans le PAN en faveur des OEV La description doit comprendre le but g n ral les principaux objectifs les domaines prioritaires les produits escompt s les r sultats et l impact escompt s dans un d lai donn Reporter voles la Troisi me partie de ce document pour de plus amples informations 0000 Dans cette section on s int resse la description des indicateurs de base tous les niveaux du S amp E et on pr cise les indicateurs nationaux de base des r sultats lorsqu ils sont pertinents II serait utile de montrer le Cadre conceptuel ce stade Incluez les ch ances de rapports Reportez vous la Troisi me partie de ce document pour de plus amples informations Incluez les questions de
108. r pondre aux besoins imm diats en donn es Le but global est toutefois d avoir un seul systeme dans lequel tous les partenaires pourront puiser des informations Les partenaires de d veloppement doivent s attacher d velopper le systeme national sur le long terme afin d viter les systemes miroir Figure 4 2a flux de donn es harmonis et g n rique sans syst me miroir Flux de Donn es Harmonis et G n rique 35 Figure 4 2b exemple de svst me miroir de flux de donn es actuellement en place dans un pays Flux de donn es avec systeme miroir Zem m eM mm ees Es Dans l exemple ci dessus les donn es sont recueillies tous les mois par les ex cutants du programme l aide d un syst me papier Ce syst me papier est compos de Carnets de rapport d activit qui comprennent des fiches de compte rendu avec papier carbone que l on peut d tacher Au niveau des sous b n ficiaires les donn es sont r guli rement recueillies saisies et rapport es selon un ch ancier pr d termin elles partent vers le niveau sous national qui a mis en place un syst me lectronique de saisie des donn es Les donn es sont agr g es et transmises par voie lectronique jusqu au niveau national o l on compile un jeu de donn es pour le pays Les rapports sont ensuite publi s et renvoy s en amont du syst me de flux de donn es Quelques le ons retenir sur les flux de donn es En
109. r ussites et des obstacles avec des donn es qualitatives Les probl mes mergents Les dates de d p t obligatoires Tableau 4 6 Tableau r capitulatif de la diffusion des donn es Destinataires Informations requises M thode de transmission Communaut indirectement impliqu e dans le programme Principaux leaders R sum des r sultats afin de susciter l int r t et d inciter au soutien et l adoption du programme R unions d bats presse bulletins d informations photos Communaut directement impliqu e dans le programme Enfants amp responsables R sultats complets et recommandations pour qu ils puissent valuer ces r sultats et contribuer les concr tiser Participation r unions tude des r sultats presse bulletins d informations photos Personnel du programme R sultats complets et recommandations pour qu ils puissent contribuer concr tiser ces r sultats Participation r unions tude des rapports D partements agences et organisations au niveau du district R sultats complets ou r sum s uniquement des fins d analyse des enseignements tir s et de d cision politique Rapport complet ou r sum d bats presse Niveau r gional identique au niveau du district Probablement r sum seul d bats r unions Minist res agences et organisations au niveau national R sultats complets ou r sum s des fins d ana
110. r de conserve en collaboration troite avec le gouvernement national et les bailleurs de fonds afin de s assurer que toutes les activit s prioritaires sont financ es partir de Sources existantes ou partir des ressources assur es par les partenaires de d veloppement Assurez et allouez des ressources chaque activit du plan de travail Planification des budgets nuls Les activit s ne n cessitent pas toutes un budget il y a certaines choses qu un ministere fait sans qu il y ait besoin de ressources ext rieures La planification des budgets nuls signifie qu il faut travailler en troite collaboration avec ses homologues pour trouver des id es cr atives qui permettront de r aliser des activit s sans que cela co te quoi que ce soit Les budgets nuls doivent tre bas s sur les ressources locales Hi rarchisation des activit s En r gle g n rale on accorde la priorit aux points suivants Utilisation des ressources locales dans la mesure du possible respect du plan d action national global besoins les plus urgents du S amp E et utilisation des fonds veiller ce que l activit ne recoive pas de fonds d une autre source Tableau 5 5 tablissement du budget pour l laboration du composant S amp E du Plan d action national en faveur des OEV D finition du probl me RAAAP et analyse de situation Planification Sensibilisation de la communaut Formation R union de
111. re les m thodes E o participatives de collecte des donn es permettent de d velopper ou d tayer des conclusions que les donn es des enqu tes r alis es au niveau national ne permettent pas d obtenir En g n ral ces valuations confirment les tendances existantes Elles sont un moyen utile de consulter les enfants et les soignants Parmi les m thodes possibles valuations rapides Groupes de discussion Chaque niveau de collecte des donn es a son importance et doit contribuer la compr hension globale des priorit s de la programmation et des besoins en souffrance Exemple de pays Utilisation d une tude au niveau communautaire pour mieux comprendre la situation des OEV en Inde Dans un pays comptant un grand nombre de groupes d enfants vuln rables y compris les orphelins que l on estime environ 40 millions une tude qualitative de niveau communautaire a t entreprise pour d terminer les besoins prioritaires des enfants touch s par le VIH SIDA L Inde est pourvue de services publics relativement importants destin s aux enfants en particulier dans les domaines de la sant de la nutrition et de l ducation L tude a cependant montr que beaucoup d enfants vuln rables taient en fait exclus de ces services en raison de facteurs sociaux comme le sexe la caste les attentes des parents et plus r cemment le VIH SIDA Le probl me qui est principalement ressorti de cette tude tait la stigmati
112. resser des rapports pour les responsables politiques Mobiliser des ressources Les bailleurs de fonds ont besoin de donn es pour Pr senter des r sultats Pr coniser des fonds suppl mentaires 42 tape2 Se E Mise au point du m canisme de flux de donn es Le flux de donn es est le processus de circulation des donn es du point o elles sont recueillies la source jusqu au point o elles seront mises sous une forme exploitable par les partenaires des diff rents niveaux Il est indispensable de disposer d un systeme simple et op rationnel de transmission des donn es du niveau des b n ficiaires jusqu au niveau national en passant par les partenaires locaux pour tablir en temps voulu les rapports qui seront compar s aux objectifs de mise en ceuvre dans le temps Lors de la r flexion sur le flux optimal des donn es du niveau de mise en ceuvre au niveau national et retour il est certes n cessaire mais galement important de commencer en se posant les questions suivantes Quels sont les syst mes nationaux existants 277 Comment les donn es relatives aux OEV sont elles recueillies Quels sont les m canismes en place Ces m canismes sont ils op rationnels Le cas ch ant quels sont les obstacles Points de saisie et de stockage des donn es Comment les donn es sont elles r cup r es et stock es Quels sont les syst mes existants cette fin Quelles sont les ch ances des rapport
113. s Votre organisation dispose t elle du Guide des indicateurs au cn 5 Votre organisation diapose t ella de directivas de SSE o pe d autres supports de formation sur le S8E Indiquez les ippons de formation disponibles La arection de vore organisation tat ele preuve de a leadership et d engagement pour les activit s de S amp E du SH EE technique paur 1e SAE quanc vous en avez besoin ios Approche organisationnete de l utilisation des donn es bas 7 organisationnelle H R ponse 11 Approche de l utilisation des donn es Tu Due Autres commentaires ia Y un pian ae SBE pourle PAS dans vore organisation 7 D Dsposez vous de formulaires de collecte de donn es pour te Plan de soutien ite Les donn es sont elles recueilies r guli rement pour le Fd ta Les donn es recueillies pour le PdS sont elles analys es r guli rement 7 e Les donn es pour le PdS sont elles r guli rement examin es et discut es dans votre organisation Les personnes qui recuetlent les donn es pour le Plan de it soutien re oivent elies r guli rement un retour d information _ R ponse 12 connaissance des syst mes nationaux CERE TS Autres commentaires za Ecion moi d existe une autor organis e pour la coordination et ta mise en uvre du SBE au Zimbabwe as S
114. s Qui a besoin de quoi et quand Y a t il diff rentes ch ances pr vues Des besoins en donn es diff rents selon les niveaux Quelles sont les donn es n cessaires sous quelle forme et pour quel destinataire Les informations rassembl es l tape 1 Section 4 1 devraient permettre de r pondre cette question Quels sont les blocages et les obstacles qui emp chent d optimiser le flux de donn es La mise au point du syst me de flux de donn es est un processus cela peut demander plusieurs r p titions La consultation doit en tre le point de d part Assurez vous que Toutes les parties concern es sont sollicit es et engag es Les obstacles existants et potentiels sont voqu s et trait s franchement Les solutions propos es sont valu es Des sch mas de flux de donn es sont utilis s pour visualiser le mouvement des donn es voir Figure 4 2a On parvient un consensus et un accord sur le flux de donn es Voir Section 2 4 Identifier les m canismes nationaux propos s ou d j en place pour le S amp E national et y int grer les besoins pour les OEV 34 Les flux de donn es difficult s courantes et solutions possibles La plupart des pays sont dot s d un syst me national de S amp E Certaines donn es sont recueillies propos des OEV mais des goulots d tranglement apparaissent Cela provoque L accumulation de donn es inutilis es et le surmenage du
115. s au niveau r sultats du Plan national international Faire passer de Enregistrement OEV 2 nombre EN 1 Nombre 64 80 le des naissances d enfants ayant d enfants ayant taux d enfants EN r cemment obtenu un de 0 17 ans obtenu un certificat de disposant d un certificat de naissance par lt certificat de naissance tranche d ge Ins rez naissance d ici A Les indicateurs nationaux la fin 2010 EN 2 Nombre de base pour les r sultats B Le cas ch ant des indicateurs de r sultat d enfants qui ont t aid s mais n ont pas pu suppl mentaires pour le obtenir de plan national certificat de naissance par tranche d ge EN 3 Nombre de r unions de sensibilisation de la communaut organis es pour voquer la question de l enregistrement des naissances Le Groupe de r f rence pour le suivi et l valuation MERG labore actuellement des directives op rationnelles sur les normes relatives aux indicateurs Le document devrait paraitre en 2009 29 8 Etape 8 D les indicateurs internationaux de base Ace stade les indicateurs internationaux de r sultats et d impact sont associ s des domaines prioritaires distincts Les indicateurs internationaux de base pour les r sultats et l impact qui permettent de mesurer l effet collectif des programmes ciblant les OEV sont d crits dans le Guide du S amp E pour les OEV Les indicateurs d
116. s conseill s ou le nombre de familles qui on a appris r diger un testament Le nombre de familles qui ont r dig un testament ou nomm un tuteur sont des exemples d indicateurs de produits Les programmes de planification de la succession devraient avoir pour r sultat important une r duction du pourcentage de veuves d poss d es de leurs biens long terme ces interventions devraient avoir pour impact une am lioration du statut socio conomique et un meilleur avenir pour les enfants touch s par le VIH SIDA De m me les programmes qui visent fournir des services essentiels tels que l ducation de base devraient tre suivis au moyen d indicateurs mis en ceuvre diff rents niveaux Au nombre des indicateurs d apports utilis s pour suivre les programmes visant assurer la scolarisation des enfants touch s par le VIH SIDA figurent par exemple ceux concernant les services fournis tels que le nombre de manuels scolaires distribu s ou le nombre de repas scolaires assur s dans un district En ce qui concerne les produits on peut citer des indicateurs comme le nombre d enfants ayant des manuels scolaires ou le nombre d enfants ayant pris un repas le jour d cole pr c dent Ce programme devrait avoir pour r sultat une augmentation de la fr quentation scolaire parmi les enfants touch s par le VIH SIDA long terme ce programme devrait avoir pour impact un accroissement de l alphab tisat
117. sation associ e la maladie qui limitait l acc s des enfants aux services essentiels susmentionn s Du point de vue des programmes et du S amp E la priorit qui est ressortie de l tude tait qu il fallait garantir et surveiller que les enfants et les familles touch s par le VIH SIDA n taient pas exclus que ce soit par les autorit s les communaut s par leur propre peur ou par manque d informations La m thodologie adopt e pour ces recherches comprenait notamment des groupes de discussion et des entretiens avec des informateurs cl s Il est important de noter que la d cision de mener cette tude a t prise lors d une rencontre entre partenaires organis e en 2005 la Consultation nationale sur les enfants affect s ou rendus vuln rables par le VIH SIDA National Consultation on Children Affected and Vulnerable to HIV AIDS Toutes les parties concern es ont particip y compris l Organisation nationale de contr le du SIDA NACO le d partement du D veloppement de la femme et de l enfant les ex cutants India HIV AIDS Alliance Family Health International etc les partenaires bilat raux USAID DFID etc les organisations religieuses et les r seaux de personnes vivant avec le VIH SIDA et des organisations plus petites Cette r union a publi un document d engagement adoptant le Cadre mondial en faveur des OEV et a galement examin les ripostes existantes consacr es aux enfants touch s par le VIH SIDA Cette d
118. savons pour cr er de meilleurs syst mes 52 Annexe A Composants principaux d un syst me national op rationnel de S amp E sur le VIH Composant Un structures organisationnelles ayant des fonctions de S amp E sur le VIH But Mettre en place et entretenir un r seau d organisations responsables du S amp E aux chelons national sous national et de prestation de services Deux capacit s humaines en S amp E sur le VIH Assurer des ressources humaines comp tentes et adapt es tous les chelons du syst me de S amp E afin d accomplir toutes les t ches d finies dans le plan de travail national annuel et budg t de S amp E Trois partenariats pour la planification la coordination et la gestion du systeme de S amp E sur le VIH Instaurer et entretenir des partenariats entre les parties nationales et internationales concern es et impliqu es dans la planification et la gestion du systeme national de S amp E Quatre plan national multisectoriel de S amp E sur le VIH laborer et mettre r guli rement jour un plan national de S amp E comprenant les besoins en donn es identifi s les indicateurs nationaux normalis s les proc dures et outils de collecte des donn es et les r les et responsabilit s en mati re de mise en uvre d un syst me national de S amp E op rationnel Cinq plan de travail national budg t et annuel du S amp E sur le VIH laborer un plan de travail
119. sent guide les 12 composants essentiels d un syst me national de S amp E sur le VIH sont repris dans l Annexe A 1 6 Principales difficult s habituellement rencontr es lors de l laboration d un syst me de S amp E des ripostes nationales en faveur des OEV Comme indiqu plus haut les syst mes de S amp E doivent servir des fins concurrentes parmi lesquelles la responsabilit l am lioration du programme la prise de d cision et la diffusion des informations S il existe un grand nombre de difficult s reconnues concernant l laboration d un systeme de S amp E coh rent certaines sont plus particuli res au suivi et l valuation des ripostes nationales en faveur des OEV De facon g n rale cependant les personnes charg es d laborer un syst me de S amp E peuvent tre confront es aux difficult s suivantes a Probl mes d harmonisation multiplicit des acteurs des flux de financement des syst mes de collecte de donn es de la charge des rapports conciliation de priorit s et de perspectives diff rentes adh sion un syst me national existant ayant un autre calendrier de rapports Probl mes de capacit et de leadership par exemple le manque d exp rience en S amp E qui va diriger qui sera responsable Probl mes d laboration et de mise en uvre des syst mes dans les contextes disposant de peu de ressources Impossibilit de mesurer les objectifs du programme en raison d un manque
120. sibilit d acc l rer la transmission des donn es depuis le niveau des ex cutants et retour en 30 jours Ce syst me doit aussi tre test vitez les modifications du syst me pendant l exp rimentation gardez les pour l tape suivant le bilan Renforcez les capacit s et la confiance apportez une assistance technique en temps et en heure lorsqu elle est demand e Dressez un bilan complet de l exp rimentation en veillant la bonne repr sentation des utilisateurs du systeme y compris le CNLS les minist res de tutelle et la communaut des donateurs R pertoriez consciencieusement les enseignements tir s Autres points noter Ladiff rence des sp cifications informatiques selon les niveaux pose des problemes techniques qui sont difficiles r soudre dans les contextes aux ressources limit es C est une r alit laquelle on ne peut apporter que des solutions concr tes Lasaisie des donn es risque de sembler p nible moins de former du personnel d di cette t che au plus t t Le non respect des d lais et le manque d exhaustivit entra nent des retards dans la circulation des donn es ce qui peut affecter la confiance dans le systeme et perturber le principe de r gularit des rapports Il est essentiel de renforcer les capacit s pour am liorer la confiance et comprendre qu un suivi de routine est possible simple et important pour le programme 43 52 laborer le plan globa
121. soutien aux orphelins et enfants vuln rables vivant dans un monde avec le VIH et sida op cit 24 Figure 3 3 Le Cadre conceptuel Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Objectifs du Domaine Indicateurs de Indicateurs de R sultats Indicateurs Plan national prioritaire base r sultats escompt s d nationaux des suppl mentaires r sultats pour le Plan niveau national international KEISER Etudier le but du Plan Bien que la plupart des plans nationaux comportent un but g n ral du programme ce stade de la proc dure d laboration il est important d tudier ensemble ce but et de s accorder son sujet Points prendre en consid ration Le but doit tre appropri au probl me g n ral et au r sultat escompt l issue du programme Il doit traiter de pr s l impact pr vu du programme et les b n ficiaires vis s en refl tant les d finitions adopt es par le pays pour les OEV les enfants dans le besoin les enfants touch s par le SIDA etc Uncalendrier doit tre pr cis pour ce but Le but doit tre mesurable dans le temps c d utiliser des indicateurs d impact de niveau sup rieur Red finissez le but du plan national au besoin Dans le cas o le but existant du plan national ne respecterait pas les principes ci dessus nous vous recommandons de consacrer plus de temps ce stade p
122. sse hitp data unaids org topics M Ejovc me quide t pdf gt Minist re namibien pour l galit des sexes et la Protection de l enfance National Plan of Action for Orphans and Vulnerable Children in Namibia 2006 2010 Volume 1 Windhoek octobre 2007 T l chargeable l adresse http Www unicet orginfobycountry les NPAforOVO Vol pdf Minist re namibien pour l galit des sexes et la Protection de l enfance Monitoring and Evaluation Plan for the National Plan of Action for Orphans and Vulnerable Children in Namibia 2006 2010 Volume 2 Windhoek juin 2008 T l chargeable l adresse lt http www unicef org infobycountry fles M E PlanforNPAforOVCvol2 og 23 de foyers exceptionnellement pauvres et ont besoin de nourriture suppl mentaire de m me les associations sportives pourront s int resser aux enfants orphelins qui peuvent avoir besoin de loisirs et de soutien psychosocial Les deux groupes envisag s sont vuln rables mais chacun a des besoins diff rents et demande donc des interventions diff rentes Le crit re de classement d un enfant parmi les OEV va donc varier selon l objectif de l intervention Il incombe chaque programme d laborer une d finition s appliquant au programme afin d identifier les b n ficiaires d une action donn e Ainsi le secteur ducatif pourra t il d finir les enfants non scolaris s comme vuln rables et les exon rer de frais de scolarit pour qu ils am liorent et main
123. statistiques r alisent un suivi et une valuation de l impact dans le but d valuer les effets dans le temps des efforts d ploy s collectivement par les organisations Ni ffort d t d valuati Suivi valuation valuation du processus valuation de l efficacit Apports Produits R sultats Impact Tous La plupart Certains Peu Elets court Effels long terme et moyen termes Ressources Fonds Formation Nombre de fames ayantr Maii ds un digo un testament Sede baisse du nombre de n aa s ropositifs conseill s Nombre de familles ayant appris r diger un tastament Nombre de projets Nombre de manuels scolaires distribu s Nombre de repas fournis l cole Fournitures Nombre de famille ayant nomm un tuteur Proportion d enfants scolaris s ayant des manuels scolaires Proportion d enfants scolaris s b n ficiant de repas scolaires veuves d poss d es de lours biens Proportion d OEV scolaris s Proportion d adolescents orphelins analphab tes Socio canomique des familles OEV Am lioration de l tat nutritionnel Niveaux des efforts d valuation Source d apr s Lampty et Gayle dir HIV AIDS Prevention and Care in Resource Constrained Settings Family Health International 2003 3 Le suivi et l valuation dans le cadre d un cycle de programmation Le suivi et l valuation tant un aspect central de la conception d un proj
124. sur le Cadre conceptuel termin Une fois termin le Cadre conceptuel devrait ressembler la Figure 3 8b ci dessous Nous sommes conscients que le r sultat est un produit sp cifique au pays et que la terminologie peut varier La structure a cependant t test e dans quatre pays et s est r v l e coh rente Figure 3 8b exemple d un Cadre conceptuel termin objectif du Plan national relatif l enregistrement des naissances Le Cadre conceptuel pour le S amp E du Plan national But du Plan national Les enfants g s de 0 17 ans rendus vuln rables par le VIH SIDA ou d autres causes auront acc s aux services sociaux de base d ici la fin 2015 Objectifs du Domaine Indicateurs de Indicateurs de R sultats Indicateurs Plan national prioritaire base nationaux r sultats escompt s d impact d finis des r sultats suppl mentaires au niveau pour le Plan international national Faire passer de Enregistrement des OEV 2 nombre EN 1 Nombre Des tudes G7 Part d enfants 64 80 le naissances EN d enfants ayant d enfants ayant sp ciales seront de 0 4 ans dont taux d enfants de r cemment obtenu obtenu un certificat men es pour les naissances ont 0 17 ans un certificat de de naissance par examiner les t port es sur les disposant d un naissance tranche d ge domaines relevant registres d tat civil certificat de de ce domaine naissance d ici la EN 2 Nombre prioritaire fin 2010
125. t tre disponible ainsi que des syst mes d alimentation de secours Au niveau national Un personnel d di et form au S amp E doit imp rativement tre mis en place avec un mandat clairement d fini le chargeant de g rer les donn es et d assurer le contr le qualit pour la compilation et la diffusion des donn es En termes budg taires cela demande d allouer entre 7 96 et 10 au moins du budget global du programme l activit de S amp E En outre il est crucial que les donn es compil es au niveau national soient rapidement transmises toutes les parties concern es pour s assurer qu elles permettront d am liorer les programmes Voir Annexe G pour des exemples de Carnets de rapport d activit 36 EOE S lection et mise au collecte des donn es Les outils de collecte des donn es pour le suivi des activit s de mise en uvre du plan national en faveur des OEV se r partissent dans deux grandes cat gories Les outils papier couramment employ s au niveau des communaut s et Les outils lectroniques couramment utilis s pour saisir et compiler les donn es puis publier les rapports Les outils papier de collecte des donn es Au niveau des ex cutants o les ressources techniques peuvent tre limit es on utilise couramment des outils papier pour la collecte de donn es Cela facilite la saisie manuelle r guli re sur place des donn es sur les produits ainsi que le stockage des jeux d
126. t de la population que l on veut tre repr sentatif de la population enti re est probablement la partie la plus d laiss e des valuations Les probl mes d chantillonnage sont bien d crits dans le guide des projets d exp rimentation sur le terrain que l UNICEF consacre aux programmes psychosociaux voir L tude de r f rence est un point de d part naturel Elle donne la possibilit de mesurer quelque chose avant le d but d un programme et si elle est soigneusement planifi e elle peut aussi servir mesurer la m me chose la fin du projet Un groupe de contr le ou de comparaison est un groupe qui ne b n ficie pas de l intervention il permet de s appuyer sur les mod les d valuation les plus solides Ces mod les ont tendance tre les plus on reux o Lorsque l on travaille avec des enfants l utilisation d un groupe de comparaison requiert une grande prudence car cela peut cr er l attente d un programme ou d un service un stade ult rieur Ce n est malheureusement pas toujours possible en r alit et peut m me ne jamais se produire Mais si le groupe de comparaison est instaur de facon raisonnable les dommages potentiels seront att nu s et cela sera apportera davantage qu aucune comparaison du tout Michael Bamberger et col op cit p 21 Voir l Annexe J pour de plus amples informations et r f rences Fonds des Nations Unies pour l Enfance Guide to the Evaluation of Psych
127. t loin d tre exhaustives et un grand nombre des id es pr sent es ci apr s sont adapt es de guides utiles sur le sujet que les valuateurs sont encourag s consulter Types d valuations de programme Si la plupart des organisations estiment n cessaire d utiliser plusieurs mesures pour d crire leur performance il n existe pas de bonne m thode particuliere pour ce faire Le choix d pendra de l objectif atteindre des ressources disponibles et des int r ts des personnes concern es et des utilisateurs des informations Toutefois les besoins multiples en informations pour une gestion et une valuation efficaces des r sultats des programmes obligent employer des approches et des m thodologies rigoureuses en mati re d valuation ll existe de tr s nombreuses approches disponibles sur l valuation au niveau de la programmation qui peuvent tre regroup es dans deux grands types d valuation l valuation formative et l valuation sommative L valuation formative est habituellement r alis e pendant les tapes de planification ou de pr planification d un programme dans le but d identifier et de hi rarchiser les questions li es un probl me donn Citons titre d exemple les valuations des besoins les enqu tes de r f rence les analyses de situation etc L valuation sommative quant elle value les interventions et programmes d j tablis Les approches les plus courantes de l
128. t recueillir les donn es sur les interventions d ordre non m dical et relatives au VIH la tuberculose et au paludisme r alis es dans les tablissements m dicaux Le minist re pour l galit des sexes et la Protection de l enfance a n goci avec le minist re de la Sant et des Services sociaux pour inclure 21 questions indicateurs dans les questionnaires du SSP afin d viter que les syst mes ne se chevauchent Les r sultats compil s lui sont remis tous les trimestres afin qu il puisse les inclure dans son rapport annuel sur les progres Dix huit indicateurs suppl mentaires ont t sollicit s dans les enqu tes aupr s des m nages La plupart d entre eux ont t choisis parmi les indicateurs internationaux identifi s dans le Guide du S amp E pour les OEV lls figurent d j dans le module des tudes d mographiques et de sant consacr aux OEV ce qui permet d viter des n gociations suppl mentaires avec les instances charg es de r aliser les enqu tes L l ment cl de la r ussite namibienne a t le fait que le r f rent pour le S amp E du minist re de l galit des sexes et de la Protection de l enfance tait galement membre du comit national de S amp E sur le VIH et avait connaissance du SSP Cette personne a choisi d inscrire le S amp E sur les OEV dans les cadres et syst mes existants Cela a permis d conomiser des ressources consid rables tant humaines que financi res et le minist re a p
129. t sp cifique au pays Il est cependant primordial de fournir des formations tous les chelons du syst me en comprenant bien que les besoins en informations seront diff rents Tableau 5 3 Niveaux des utilisateurs et contenu des programmes de renforcement des capacit s Niveau des utilisateurs Contenu de base des programmes de formation Niveau des sous b n ficiaires collecteurs de donn es dans les communaut s Connaissances de base sur le suivi des programmes apports produits D Pourquoi intervient on Sur quoi porte le programme D Comment d finit on les personnes vis es D Quelles donn es recueille t on D Comment recueillir les donn es rapprochement calcul compilation simple et ventilation O et quand envoyer les donn es flux de donn es D Utilisation simple des donn es diagrammes circulaires etc H Possibilit s de partage des donn es r unions communautaires des principaux leaders rapports simples etc D Enregistrer les grands enseignements tir s Niveau sous national Analyse de la situation des OEV dans le pays le probleme La riposte plan national R le du S amp E dans le suivi de la riposte Lien entre planification et suivi Connaissances de base sur le S amp E apports produits r sultats impact Cadre conceptuel Le Cadre conceptuel du S amp E pour les OEV int gration des exigences nationales de S amp E et respect des trois principes Flux de
130. t sur des groupes types de population discrets comme les enfants vivant dans un m nage avec un adulte chroniquement malade les enfants qui ont perdu un de leurs parents biologiques ou les deux ou les enfants souffrant d un handicap D autres d finitions cependant se basent sur des enfants qui manifestent des signes de vuln rabilit comme les enfants souffrant de malnutrition et les enfants non scolaris s L approche par groupe type de population est plus propice au suivi et l valuation car elle tablit un d nominateur ou une sous population d enfants ais ment identifiable orphelins de p re par ex qui reste relativement constant dans le temps et dans l espace et non un d nominateur de vuln rabilit dynamique les enfants mal nourris par ex qui peut voluer directement et ventuellement du fait des interventions du programme tudi ou de contingences ext rieures au champ des interventions voir encadr ci apr s Ainsi s il est important que les prestataires de services au niveau communautaire ciblent les enfants en fonction de ceux qui souffrent d une vuln rabilit r elle ou qui requi rent une attention urgente ou imm diate par ex remise de sacs de nourriture aux enfants mal nourris quel que soit le statut de leurs parents pour le suivi national toutefois il est plus faisable de suivre et d observer la progression de types de sous population infantile d finis repr sentant les en
131. tiennent leur fr quentation Pour mesurer les progr s r alis s aupr s d un groupe d enfants constant dans le temps une d finition des OEV a t mise au point pour le suivi en fonction de conditions cens es n voluer que rarement La d finition des enfants vuln rables aux fins de l impact est la suivante un enfant vivant avec un responsable chroniquement malade c est dire un responsable trop malade pour assumer les t ches quotidiennes au cours de 3 des 12 mois coul s un enfant vivant avec un responsable souffrant d un handicap l emp chant d assumer les t ches domestiques un enfant d ge scolaire qui ne peut pas fr quenter une cole ordinaire en raison d un handicap un enfant vivant dans un m nage dirig par une personne g e d au moins 60 ans le m nage ne comptant aucun adulte responsable g de 18 59 ans un enfant vivant dans un m nage pauvre c est dire un m nage qui consacre plus de 60 de l ensemble de ses revenus l alimentation un enfant vivant dans un m nage dirig par un enfant c est dire un m nage dirig par un enfant de moins de 18 ans et ou un enfant ayant v cu la mort d un adulte responsable g de 18 59 ans dans le m nage au cours des 12 mois coul s Le plan de S amp E du PAN namibien en faveur des OEV est t l chargeable l adresse lt http www unicef org infobycountry files M E PlanforNPAforOVCvol2 pdf gt L acti
132. tion Donnez des indications claires sur l utilisation de l outil et sur la m thode de collecte des donn es En d autres termes ne partez pas du principe que les personnes qui recueillent les donn es savent parfaitement se servir de l outil Soyez attentifs au format de l outil de collecte des donn es Cr ez des outils qui soient faciles stocker et transporter en cas de besoin Exemple de pays mise au point d une collecte de donn es au niveau communautaire pour le syst me national de S amp E au Swaziland ll existe au Swaziland plus de 4 000 petites communaut s r parties dans 360 chefferies Bien qu un systeme national de S amp E ait t mis au point les sous syst mes ne s y inscrivaient pas Cela a conduit mettre en place un syst me de S amp E au niveau des communaut s Cet investissement a t r alis car le pays est fortement d pendant des financements ax s sur les performances Une fois le plan national labor des fonds minimaux nationaux ont t cr s pour la pr vention les soins le soutien et l att nuation de l impact Les centres sociaux des chefferies ont servi de points de collecte des donn es au niveau communautaire chacun tant dot d un employ charg de recueillir les donn es Apres avoir cr un formulaire simple et convivial permettant de suivre la disponibilit des fonds mentionn s plus haut 360 secr taires et employ s charg s de recueillir les donn es un par chef
133. tion et de la mise en ceuvre d un systeme qui permet de suivre les ripostes nationales pour la protection les soins et le soutien des OEV Il t moigne des efforts d ploy s par diff rents pays du monde pour mettre en place des syst mes de S amp E et dans les cas pertinents rapporte les enseignements tir s Ce document n est pas destin servir de guide de suivi et d valuation ou de manuel des op rations Il vient plut t compl ter les documents existants dans le domaine du S amp E des actions en faveur des OEV Ces textes sont indiqu s en r f rence avec des adresses Internet lorsque celles ci taient disponibles pour permettre au lecteur de rechercher de plus amples informations Destinataires Le pr sent document est destin aux personnes charg es de diriger la riposte nationale pour la protection les soins et le soutien aux OEV Bien qu il varie selon les pays ce groupe englobe habituellement les gouvernements nationaux les minist res de la Protection sociale les partenaires du d veloppement les directeurs de programmes sectoriels et les partenaires de la soci t civile qui fournissent directement des services aux enfants dans le besoin Plus sp cifiquement ce document int ressera en particulier les personnes charg es du suivi et de l valuation des r ponses nationales au probl me des OEV Cette responsabilit rel ve souvent de la comp tence de l organisme public charg d laborer les plans nationaux en fav
134. tional L valuation de la situation nationale des OEV est un l ment fondamental de la d marche car elle contribue D terminer l agenda national d une approche exhaustive qui gerera le probleme D finir la population vis e Fixer l objectif global D finir des buts mesurables et des objectifs de mise en ceuvre r alisables pour les interventions futures Fournir les r f rences qui permettront de mesurer les progr s dans le temps Posez les questions suivantes Y Qui est concern Comment sont ils concern s Dans quelle mesure sont ils concern s Quels sont les m canismes en place l heure actuelle pour r soudre le probl me Qui fait quoi O Quelles sont les capacit s n cessaires pour am liorer les interventions Et cherchez les r ponses Lorsque c est possible les donn es permettant de r pondre ces questions doivent tre recueillies aupr s de sources multiples et diff rents niveaux Par exemple plusieurs pays ont r alis un processus d valuation rapide d analyse et de planification des interventions RAAAP pour guider leur planification et leurs actions Dans certains pays ce processus a t suivi d enqu tes aupr s des m nages et d autres tudes sp ciales explorant plus particulierement les perceptions des soignants et des enfants Les niveaux diff rents de donn es sont importants car ils nous permettent de parvenir une compr hension comp
135. u r gional de l UNICEF pour l Afrique de l Est et l Afrique australe Christine Kabore Bureau r gional de l UNICEF pour l Afrique de l Ouest et l Afrique centrale Mary Mahy ONUSIDA Namibie Humphrey Moyo minist re de la Sant du Malawi et Zodwa Mthethwa UNICEF Swaziland Nous tenons tout particulierement remercier le Minist re du travail et des services sociaux du Gouvernement du Zimbabwe le Secr tariat du Plan d action national pour les OEV le Conseil national du SIDA ainsi que les partenaires non gouvernementaux du Zimbabwe qui ont particip au d veloppement et au lancement du syst me d valuation amp Suivi visant suivre la mise en uvre du programme OEV au Zimbabwe et dont on a tir de nombreux enseignements Roeland Monasch Minne Alderlieste et Frank Chikhata UNICEF Zimbabwe ont galement jou un r le important dans l animation de ce processus Nous remercions aussi Lucy Braun anciennement UNICEF New York et Rekha Viswanathan UNICEF New York pour la mise en forme du document final et Elena Ruiz Roman UNICEF Zimbabwe pour son aide dans l laboration d outils d valuation des capacit s L auteur principal de ce document est Susan Laver UNICEF Zimbabwe en troite collaboration avec Behzad Noubary UNICEF New York WE introduction et contexte M Contexte Le VIH et le SIDA ont profond ment transform la mani re de grandir de millions d enfants En 2008 on estimait que 2 millions d enfants de mo
136. u se consacrer la coordination de la collecte de donn es au lieu de mettre au point un nouveau systeme communautaire et d laborer une enqu te aupr s des m nages Le PAN namibien pour les OEV est t l chargeable l adresse lt http www unicef org infobycountry files NPAforOVC Vol1 pdf gt Le plan de S amp E du PAN en faveur des OEV est t l chargeable l adresse lt http www unicef org infobycountry files M E PlantorNPAforOVCvol2 pdf gt 2 5 valuer les capacit s de S amp E existantes ll est indispensable de disposer de personnel qualifi pour que le syst me de suivi et d valuation sur les OEV puisse s inscrire dans le cadre national de S amp E De m me il est crucial d valuer la disponibilit des capacit s et des ressources afin d identifier les besoins en formation avant le lancement du syst me de suivi des programmes C est pourquoi il est important d valuer les points suivants Quelles sont les capacit s de S amp E existantes l heure actuelle chaque niveau national sous national mise en uvre Sides initiatives de renforcement des capacit s de S amp E sont en place quel est leur objectif Sont elles pertinentes pour le suivi de l action en faveur des OEV Quelles sont les am liorations ou les capacit s nouvelles apporter Comment R aliser une valuation des capacit s est une premi re tape importante qui permet de d finir les manques et les besoins qui guideront
137. uation des programmes en faveur des orphelins et des enfants vuln rables Niveaux d effort d t d valuation Suivi valuation valuation du processus valuation de l efficacit Apports rods Dose impact Tous La plupart Certains Peu Etes court Efe long terme ri Ressources ue m 2 i Foras Formation Nombre de familles ayantr g Ee Bae un estament m em g e Noro d tre ayan veuves Gosse laur Ambtoraton du sima t mbxe de familles metet ien bd familles OEV Boarea gore tentent Proportion entants edeee soosis T ayant des manuels scolares Proportion d adolescents v to de lat E Proporton entants calais phe analphab tes See Se D fous arcae Fournitures Niveaux des efforts d valuation Source d apr s Lampty et Gayle dir HIV AIDS Prevention and Care in Resource Constrained Settings Family Health International 2003 Extrait du Guide du S amp E pour les OEV T l chargeable l adresse lt htip data unaids org topics M E ovc_me_guide_fr pdf gt 58 Le choix des indicateurs d apports et de produits d pend des finalit s des programmes Par exemple la planification de la succession pr paration des familles avant le d c s d un parent est de plus en plus consid r e comme tant un objectif de programme essentiel ce qui fait que le suivi au niveau des apports comporte des indicateurs tels que le nombre de parents s ropositif
138. ucation formelle Services sociaux SS ducation et Protection de naissances EN IER moyens de Tentance PE subsistance extrascolaires EX Ce taux de mise en uvre est tabli partir des valeurs cibl es pour l ducation primaire et secondaire Source base de donn es de suivi du PAN pour les OEV Tableau 2 R sultats des principaux indicateurs Domaine concer 1 D Domi ven Deveription fuer mine eme mee on F H T E M t E En OV Montre SOEN ayant r cemment chen un ceat de nassence w OS Go HA oa Si 77 KEE NEL TN congre 00 1000 2002 S Meam MES wn wm CH SEN ES Ga 302 1066 saa 2919 ue saget sn EET EE EE BEE ET ET ET ET ENT EE cum EE Du i SE SS E EE EE SES Source Base de donn es de su du PAN en faveur des OEV Commentaires g n raux Au total 100 des partenaires ont envoy leurs donn es mensuelles marquant une am lioration par rapport au mols pr c dent Les retards ont recul de 83 74 par rapport au mols dernier Les requ tes portant sur les donn es continuent de haisser avan 4 das organisations faisant l objet d une requ te Las taux de mise en uvre ont augment dans la plupart des domaines d activit La plus forte hausse a t enregistr e dans la protection de l enfance 24 d UEV suppl mentaires ont re u une assistance judiciaire par rapport au mois dernier Le domaine de l enregistrement des naissances continue de p
139. ustives et respectant les d lais Onze valuation et recherches sur le VIH Identifier les questions principales relatives l valuation et la recherche coordonner les tudes qui r pondent aux besoins identifi s et am liorer l utilisation des conclusions des valuations et des recherches Douze diffusion et utilisation des donn es Diffuser et utiliser les donn es du syst me de S amp E pour guider la formulation des politiques et la planification et la gestion des programmes Programme commun des Nations Unies sur le VIH sida Organizing Framework for a Functional National HIV Monitoring and Evaluation System ONUSIDA MERG Gen ve avril 2008 T l chargeable l adresse lt http siteresources worldbank org INTHIVAIDS Resources 375798 1132695455908 GROrganizingFrameworkforHIVMESystem paf 53 Annexe B D finition des OEV D finir les b n ficiaires est l une des difficult s les plus courantes du suivi et de l valuation de l action collective en faveur des OEV Cela vient principalement de ce qu il faut une intervention n cessairement multisectorielle pour r pondre aux besoins des OEV Cette section aborde quelques uns des probl mes rencontr s lors de la d finition de qui sont les OEV et pr sente quelques recommandations bas es sur l tude des exp riences de pays La d finition des OEV fait partie de la proc dure progressive d laboration d un syst me de S
140. ut tre compt plusieurs fois si les services sont fournis par un grand nombre de prestataires diff rents Variation dans la fourniture des s ries d intervention due une mauvaise d finition des normes relatives aux soins complets Que doit on compter Lecons retenir et autres indications sur la collecte de donn es ll existe de nombreux exemples d outils de collecte de donn es Lorsque c est possible utilisez ou adaptez les outils existants et r sistez la tentation d en cr er d autres Servez vous de l outil de collecte des donn es pour recueillir uniquement les indicateurs bons savoir qui sont d crits dans le Cadre conceptuel Les organisations appr cieront cependant peut tre de recueillir d autres indicateurs des fins de rapports internes Lors de la conception de la fiche de collecte de donn es du Carnet de rapport d activit n oubliez pas d inclure des dispositions relatives la collecte des points suivants o Coordonn es de l organisation y compris les num ros d identification qui faciliteront la saisie des donn es o Emplacement g ographique de l agence d ex cution o l ments sur les donn es dont des indicateurs de base donnant les totaux ce jour et la ventilation par sexe le cas ch ant et o Les enseignements tir s ou les probl mes mergents Veillez ce que l outil de collecte des donn es reste simple et convivial et tienne compte des niveaux d alphab tisa
141. vit suivante du processus consiste laborer un Cadre conceptuel illustrant les liens logiques entre le but convenu pour le plan national les objectifs du plan national les domaines prioritaires et les r sultats escompt s tels qu ils sont exprim s par les indicateurs de base nationaux des r sultats relatifs aux OEV eux m mes d finis par le syst me national de S amp E les indicateurs de base suppl mentaires des r sultats pour le PAN les r sultats escompt s et les indicateurs d impact d finis au niveau international La terminologie adopt e pour ce Cadre conceptuel peut varier d un pays l autre Par exemple Au Zimbabwe les domaines prioritaires sont appel s Key activity areas c est dire secteurs d activit cl En Zambie on parle Strategic result areas c est dire de domaines strat giques de r sultats ll est important de noter que dans la plupart des plans nationaux les domaines prioritaires se r f rent aux grandes strat gies de mise en uvre num r es dans le cadre voir Premi re partie Un exemple de Cadre conceptuel est propos dans la Figure 3 1 Il peut tre adapt en fonction des besoins Remarque cet exemple ne comporte aucune indication de calendrier pour la collecte des donn es les sources de donn es ou les moyens de v rification car ces questions seront abord es dans les Quatri me et Cinqui me parties Cadre pour la protection les soins et le

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