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Procès-verbal de la séance publique du Conseil de

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1. M le Conseiller MILLET Monsieur le Pr sident chers coll gues cette d lib ration nous propose le choix d une d l gation de service public sous forme concessive pour la gestion du golf de Chassieu actuellement g r par une filiale de la SAUR Nous avions d cid dans le mandat pr c dent de prolonger la convention de concession d un an pour approfondir la r flexion sur l avenir du site avec de notre point de vue un double objectif qui justifie la gestion publique d un tel quipement d abord une politique de sport pour tous qui d veloppe la pratique du golf dans les milieux scolaires favorise l acc s de tous avec une tarification adapt e ensuite une gestion environnementale exemplaire de cet quipement dont on sait qu ils ont les golfs un r el impact sur la gestion de l eau ou la biodiversit qui n est pas n cessairement positif et qui suppose donc une volont politique publique claire Nous attendions donc de cette d lib ration qu elle nous claire sur les objectifs nouveaux que nous pourrions nous fixer avec cet quipement sur ces deux plans ce qui n est pas le cas quelques lignes pour rappeler ce que je viens de dire et qui nous avait d j t dit il y a un an Je rappelle que nous avions constat dans la pr sentation du rapport d activit de cette DSP que c tait la DSP avec la plus forte marge de tous nos contrats et qui pourtant n assurait pas l entretien n
2. M le Vice Pr sident BRACHET Juste quelques mots sans d velopper au del La liste des quartiers a t connue avant l t Nous avons deux tapes prot ger une qui est celle qui viendra avec les d cisions du Conseil d administration de l ANRU j allais dire sur les sites en renouvellement urbain Donc vous savez l impact et l importance dans l agglom ration lyonnaise et qui sont d ailleurs au passage le fondement sur lequel se sont construites les politiques de la ville J ai bon espoir que pour l essentiel sinon la quasi totalit de ceux qui sont en cours et que nous poursuivrons seront conserv s dans cette liste au moment des d cisions de l ANRU Autour de ce travail de ce socle d interventions le plus important parce que c est l que les sommes les plus importantes sont d pens es se redessine la carte de la g ographie prioritaire dont personne n ignore que depuis plusieurs ann es elle tait 16 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 discut e parce qu il faut revenir au droit commun qu on ne peut pas empiler les dispositifs les uns sur les autres concernant la politique de la ville et qu un moment donn surtout en p riode de crise budg taire il faut revenir l essentiel Sur cette deuxi me partie nous avons proc d de la mani re suivante nous avons regard dans la liste des quartiers qui ont t retenus selon une m thode dans laquelle nous ne sommes pas intervenus le carrotage
3. la fois la th matique et le public cela se passe Lyon place Bellecour mais le public est tr s large La th matique change chaque ann e Cette ann e c est l ann e internationale de l agriculture familiale et de ses enjeux aussi bien d ailleurs au Sud qu au Nord c est l acc s l alimentation des populations le gaspillage alimentaire et le d veloppement durable Ce sont des th mes forts qui concernent l ensemble de ces pays et chaque ann e un pays embl matique est choisi un pays qu on accueille cette ann e ce sera le Burkina Faso Mon sentiment est qu une p riode de tensions mondiales dans les pays de plus en plus exacerb es o il y a de plus en plus de repli sur soi je vous demande de donner une subvention pour le village de la solidarit car il para t bien r pondre aux enjeux de l interd pendance et de la coh sion sociale et correspond au d veloppement de solidarit internationale voulu par le Grand Lyon notamment avec ses programmes de coop ration d centralis e Donc compte tenu de ces l ments la commission a mis un avis favorable M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Front national M le Conseiller BOUDOT Merci monsieur le Pr sident Chers coll gues je suis moi aussi favorable au principe de la coop ration internationale bien videmment consid rant qu il est bien plus humain d aider sur leurs terres les populations en d tresse plut t que de les en arracher N
4. p 6 p 6 p 6 p 6 p 6 p 31 p 46 50 p 7 p 7 retir p 42 p 8 p 42 p 42 p 9 p 10 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 COMMISSION DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE N 2014 0273 N 2014 0274 N 2014 0275 N 2014 0276 N 2014 0277 N 2014 0278 N 2014 0279 N 2014 0280 N 2014 0281 N 2014 0282 N 2014 0283 N 2014 0284 N 2014 0285 N 2014 0286 N 2014 0287 N 2014 0288 N 2014 0289 N 2014 0290 N 2014 0291 Bron Givors Saint Fons Rillieux la Pape Lyon 7 Lyon 8 Lyon 99 Pierre B nite Oullins Saint Genis Laval La Mulati re Irigny Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Dispositifs d amor age de projets et d accompagnement la cr ation d entreprises Attribution de subventions la Maison de l emploi et des services publics Rh ne Sud aux Communes de Saint Fons de Bron de Rillieux la Pape la SARL SCIC Graines de sol et Allies Plie de Lyon pour l ann e 2014 Bron Feyzin Givors Lyon Oullins Pierre B nite Rillieux la Pape Saint Fons Saint Genis Laval V nissieux lrigny Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Attribution de subventions aux coop ratives d activit s et d emploi au titre de leurs programmes d action pour l ann e 2014 Vaulx en Velin Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise E
5. conomique Il s agit notamment de trouver des compl mentarit s et des synergies entre les comp tences du Conseil g n ral qui porte actuellement une politique structu rante travers la mise en uvre du RSA mais aussi avec la politique de d veloppement conomique du Grand Lyon qui historiquement agit en soutien des grands secteurs de l co nomie et des grandes zones d activit s L action de la M tropole devra en particulier permettre d agir sur l employabilit des publics au regard des attentes et besoins des entreprises Sur notre territoire beaucoup d entreprises cherchent se d velopper mais ne trouvent pas toujours les comp tences n cessaires En 2012 P le emploi a comptabilis l chelle nationale plus de 455 000 offres d emplois qui n ont pas t satisfaites soit 15 de la totalit des offres collect es Entre 15 000 et 20 000 emplois ne trouveraient pas preneurs dans la r gion Rh ne Alpes Am liorer l employabilit passe notamment par un effort en mati re de formation qui est l une des cl s pour r ussir la r insertion professionnelle des personnes les plus loign es de l emploi Le soutien du Grand Lyon notamment l association AGEFOS PME qui a t vot pour cette gestion territoriale des emplois et des comp tences sur l est lyonnais va dans ce sens Ce type d initiative a vocation tre g n ralis La M tropole devra agir de concert avec la R gion notamment en mati r
6. l appel nominal Madame Michonneau vous avez la parole Madame Elsa Michonneau est d sign e et proc de l appel nominal Pr sents MM Collomb Kimelfeld Mme Vullien MM Bret Da Passano Mme Guillemot M Abadie Mme Picot MM Le Faou Philip Mme Geoffroy MM Galliano Passi Mme Dognin Sauze MM Colin Charles Brumm Brachet Mme Le Franc MM Crimier Barral Mme Frih M Claisse Mme Laurent M Llung Mmes Vessiller Cardona MM Vesco Vincent Rivalta Rousseau Desbos Aggoun Mme Ait Maten M Artigny Mme Balas MM Barge Barret Mmes Basdereff Belaziz MM Bernard Berthilier Blache Blachier Boudot Bousson Mme Bouzerda M Broliquier Mme Brugnera M Buffet Mme Burricand MM Butin Cachard Calvel Casola Chabrier Charmot Mme Cochet MM Cochet Cohen Compan Mmes Crespy Croizier M Curtelin Mme David M David Mme de Lavern e MM Denis Devinaz Diamantidis Eymard Mme Fautra MM Fenech Forissier Mme Frier MM Fromain Gachet Mmes Gailliout Gandolfi Gardon Chemain MM Gascon Genin George Geourjon Mme Ghemri MM Gillet Girard Mme Glatard MM Gomez Gouverneyre Grivel Guilland Guimet Hamelin Havard H mon Mmes Hobert lehl M Jacquet Mme Jannot MM Jeandin Kabalo Kepenekian Lavache Mme Laval M Lebuhotel Mmes Lecerf Leclerc MM Longueval Martin Mmes Maurice Michonneau M Millet Mme Millet MM Moretton Moroge Mme Nachury M Odo Mmes Panassier P
7. tablissement Comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT de la Communaut urbaine de Lyon Fixation du nombre des membres du coll ge des repr sentants du personnel et de celui des membres du coll ge des repr sentants de l tablissement Organisation Lyon les 10 et 11 d cembre 2014 par le Centre national de la fonction publique territoriale CNFPT sous l gide de l Institut national des tudes territoriales INET des Entretiens territoriaux de Strasbourg ETS Attribution d une subvention au CNFPT Association Lyon sport m tropole Avenant n 1 la convention du 24 mars 2014 Changement de d nomination de l association Achat de gaz pour les b timents tertiaires de la Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer le march subs quent de fournitures la suite de l accord cadre Achat de gaz naturel pour le centre de valorisation thermique des d chets urbains de Lyon Gerland Autorisation de signer le march subs quent de fournitures la suite de l accord cadre achat de gaz pour les b timents de la Communaut urbaine de Lyon Fourniture de gaz pour la station d puration des eaux us es de Pierre B nite et les b timents communautaires subdivisions et ateliers de la Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer un accord cadre de fourniture la suite d une proc dure d appel d offres ouvert Organisation de d placements de d l gations Ville de Lyon
8. tait la fois ouverte bien videmment tous les lus et en m me temps au public Tout se d roule de mani re extr mement transparente alors apr s s il faut que je commente toutes les paroles que je peux lire ici ou l je peux vous dire que je passerais mon temps commenter ce que disent les autres Moi je me contente de dire au moment o il convient de dire c est dire lorsque les choses ont avanc Monsieur Quignon vous a dit tr s exactement tout l heure sur les probl mes financiers ce que nous avions d j r alis et ce qu il nous res tait faire Je ne reprends pas la liste elle tait tout l heure sur les slides qu on vous a montr s grosso modo Syndicat mixte des transports pour le Rh ne et l agglom ration lyonnaise SYTRAL videmment le Mus e l ensemble Association pour le d veloppement conomique de la R gion lyonnaise ADERLY et Etablissement public pour les autoroutes rhodaniennes de l information EPARI Comit d partemental du tourisme Nuits de Fourvi re et videmment puisque cela a trait la discussion qu on a Syndicat mixte des transports du Rh ne SMTR Voil donc les choses sont parfaitement claires et donc nous avan ons comme il convient en essayant d avoir comme je le disais tout l heure une parole r fl chie On essaie de ne pas dire tout et son contraire on essaie surtout de dire la m me chose chacun Vous voyez moi ce n est pas aujourd hui sur
9. 45 41 41 26 26 27 N 2014 0332 N 2014 0333 N 2014 0334 N 2014 0335 N 2014 0336 N 2014 0337 N 2014 0338 N 2014 0339 N 2014 0340 N 2014 0341 N 2014 0342 S ance publique du Conseil du 3 novembre 2014 Lyon 8 Op ration Parc Marius Berliet Acquisitions fonci res Individualisation compl mentaire d autorisation de programme Lyon 8 Op ration Parc Marius Berliet Bilan de la concertation pr alable Bron Op ration de renouvellement urbain ORU de Terraillon Dispositifs d accompagnement au relogement Attribution d une subvention Alliade habitat et la Ville de Bron Lyon Approbation du plan de gestion du site historique de Lyon inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l UNESCO Lyon Commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon quartiers Saint Jean Saint Georges et Saint Paul de l Aire de mise en valeur de l architecture et du patrimoine AVAP de la Croix Rousse et du site historique de Lyon D signation des repr sentants du Conseil V nissieux Grand projet de ville GPV Acquisitions fonci res sur le secteur Jacques Brel Individualisation partielle d autorisation de programme Lyon 7 Zone d am nagement concert ZAC des Girondins Modification de la convention type de participation financi re des constructeurs au financement des quipements publics Vaulx en Velin Bron Givors Rillieux la Pape Saint Fons S
10. Lyon puis la doctrine lyonnaise de juger sur les chiffres parce qu apr s tout on a les chiffres de construction de logements la fois au niveau national et au niveau local Et si notre m thode n est pas la bonne les chiffres en l espace de treize ans maintenant que nous appliquons la m me m thode auraient d s effondrer totalement on n aurait plus construit dans l agglom ration lyonnaise et en particulier on n aurait pas construit de logement social Quand je regarde la fa on dont les choses se sont pass es je m aper ois que lorsque nous sommes arriv s en 2001 nous tions peu pr s 4 000 5 000 logements construits dans l agglom ration dont moins de 1 500 logements sociaux et qu aujourd hui nous en sommes au double avec la construction de 4 400 logements sociaux l an dernier et vraisemblablement autour de 5 800 logements sociaux cette ann e Alors qu est ce que nous faisons Nous jouons non pas seulement sur un seul instrument avec le plan 3 A dans l action pour le logement du Grand Lyon ce serait videmment peu de choses nous jouons sur le foncier et donc nous investissons chaque ann e beaucoup dans lachat de foncier peu pr s 40 ME C est ce qui nous permet de d velopper un certain nombre de ZAC Mais s il ny avait que les terrains ma tris s par la collectivit publique ce serait peu de choses Tout l heure on disait que 20 des logements se font dans les ZAC cela veut dire
11. Vous ne pensez pas aux pauvres oui je pense aux 5 500 personnes qui chaque ann e trouvent un logement qu ils n avaient pas dans le logement social parce que nous produisons aujourd hui 50 de notre logement social avec les promoteurs immobiliers en VEFA Si demain il n y a plus d investissements c est le logement social qui s effondre sur l agglom ration On me dit Le logement social c est tr s ouvert jusqu 70 des plafonds des revenus coutez les amis allez visiter les cit s HLM Je ne vois pas dans les logements sociaux en PLAI des gens qui ont des fortunes consid rables J aper ois tout de m me parfois quelques r ticences les offices d HLM y logent les plus vuln rables au niveau PLAI et je vous lai dit tout l heure on a une gamme de prix et c est pour cela que cela va peut tre un peu moins mal qu ailleurs dans l agglom ration Je vais mettre le v u aux voix pour groupes Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s Socialiste etapparent s Synergies Avenir Centristes et ind pendants M tropole pour tous Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Front national
12. cette d lib ration a trait une individualisation com pl mentaire d autorisation de programme concernant des installations d assainissement d eau situ es dans le deuxi me arrondissement dans le quartier de la Confluence C est un quipement strat gique pour notre syst me d assainissement et notammentiltraite les eauxus es d un grand nombre de quartiers que ce soit de la Presqu le de la Croix Rousse et de Caluire Les travaux n cessaires et l valuation initiale de leur co t par un ma tre d uvre externe ont t approuv s par le Conseil communautaire du 18 novembre 2013 Cetouvrage cela a t dit date des ann es 60 et son renouvellement tait indispensable Un appel d offre a t ensuite lanc Trois soci t s ont pr sent des offres et lorsqu elles ont t tudi es par les services il est ressorti un cart effectivement de pr s de 1 3 M entre l valuation initiale et les offres faites Il a fallu conclure une erreur d valuation du ma tre d uvre et la n cessit d une r vision des prix Ce ph nom ne de sous valuation des co ts de travaux par la ma trise d uvre est h las connu et des entreprises et des administrations et collectivit s territoriales Il est extr mement dommageable pour elles car ces erreurs 40 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 d valuation les obligent augmenter de mani re impr vue les budgets de travaux souvent cons quents Il
13. collectivit s territoriales Rapporteur M le Vice Pr sident GALLIANO N 2014 0293 d veloppement conomique Attribution d une subvention au Collectif des associations de d veloppement en Rh ne Alpes CADR pour son programme d actions relatif l organisation du 12 village de la solidarit 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique etinternational Direction de l attractivit et des relations internationales Service relations internationales M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Galliano a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0293 Monsieur Galliano vous avez la parole M le Vice Pr sident GALLIANO rapporteur Ce dossier num ro 2014 0293 aurait d tre pr sent par mon coll gue Max Vincent puisque c est son domaine mais tant donn qu il tait en d placement il n a pas pu participer la commission vous me pardonnerez de ne pas avoir sa faconde et sa facult d locution Simplement ce dossier concerne le CADR Qu est ce que le CADR C est le Collectif des associations de d veloppe ment Rh ne Alpes Donc l objectif important est de sensibiliser les populations sur le d veloppement et les probl matiques des pays en d veloppement du Sud notamment Vous en avez certainement entendu parler le CADR organise une semaine de solidarit et notamment le Village de la solidarit Cela va tre je crois la douzi me dition et il y a deux avantages
14. ficiaires du RSA sur le territoire du Grand Lyon avec un taux de croissance annuel corr l aux chiffres du ch mage en augmentation constante et notamment le ch mage de longue dur e puisque les personnes en fin de droits deviennent malheureusement de nouveaux b n ficiaires des minimas sociaux depuis 2009 leur nombre a ainsi 18 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 augment de 62 Par ailleurs pr s de 100 000 personnes sont aujourd hui en demande ou en cours d insertion dont 40 en parcours d insertion professionnelle Au total la politique d insertion du D partement repr sentait en 2013 un budget de 225 M dont 170 M sur le territoire du Grand Lyon en hausse de 2 3 chaque ann e Vous l aurez compris travers ces chiffres le d fi relever est tout d abord financier puisque la future M tropole va devoir assumer des missions nouvelles dont ces d penses p seront consid rablement sur nos budgets et ont d ailleurs contribu mettre en difficult un certain nombre de D partements Aujour d hui dans un contexte de baisse des dotations de l Etat cette probl matique se pose avec d autant plus d acuit C est aussi et surtout un d fi en termes de politiques publiques Sur ce point la M tropole devra se montrer particuli rement imaginative puisque l un des enjeux est de mener une politique assurant une meilleure articulation entre emploi l insertion et le d veloppement
15. j lev 140 par mois de la location des places Il nous a t dit que la concurrence jouerait avec les autres parkings du secteur mais nous nous interrogeons sur cette concurrence dans la mesure o l autre gros parking du secteur est situ plus loin et plus haut c est le parking du Gros Caillou qui est sur la colline de la Croix Rousse alors que le parking Rozier est au pied Il reste que le parking le plus proche celui des Tables Claudiennes compte actuellement quelques places disponibles et il est un peu moins cher que le parc Rozier ce qui peut aider ladite concurrence condition de le faire savoir Nous souhaitons donc que le choix de la future soci t qui exploitera le parking se porte sur une soci t avec qui le Grand Lyon a l habitude de travailler en confiance et qui pourra assurer un service du m me niveau que le service actuel Au vu de l avis de la CCSPL nous souhaitons la mise en concurrence entre plusieurs candidats Je vous remercie de votre attention M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je donne la parole au groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller GUILLAND Monsieur le Pr sident mes chers coll gues une intervention tr s rapide sur un dossier un peu technique Si le passage de la d l gation de service public la convention d occupation temporaire du domaine public n appelle aucune objection technique de notre part et c est la raison pour laquelle le groupe UMP
16. mon coll gue Olivier Brachet en est l acteur une m thode de travail partenariale avec les acteurs du logement au niveau des Communes et du Grand Lyon et cette m thode partenariale a d montr je crois son efficacit A partir de l je cite simplement l exemple des secteurs de mixit sociale il s agit bien de voir qu au d part les op rateurs taient assez r serv s lorsqu on disait II faut un pourcentage de logements sociaux dans telle ou telle op ration Si on a r ussi le faire cela a t dans un dialogue et cela a conduit finalement une acceptation de ceux qui au d part taient r ticents et n en voulaient pas en disant On ne va pas pouvoir commercialiser dans ces conditions Donc je crois qu il faut poursuivre une politique de d veloppement d une offre r gul e et cela suppose un v ritable dialogue avec les professionnels de l immobilier Je rappelle d ailleurs que la loi ALUR ne dit pas Il faut comme cela encadrer les loyers Il y a d abord des dispositifs et des observatoires qui permettent d objectiver quelle est la situation des loyers S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 35 Donc moi ce que je souhaite il me semble qu on pourrait sans doute se rejoindre assez largement l dessus c est d abord que l on mette en place un observatoire des loyers l chelle de la M tropole dans le cadre d un travail partenarial avec les professionnels de l immobilier Et si les r sultats
17. nagements de voies d acc s d volues aux modes doux un mauvais phasage des travaux et des diff rents corps de m tiers montrent une d faillance de notre OPC Je vous rappelle que sa r mun ration a pour vocation de coordonner au plus pr s les diff rentes tapes d un chantier tel que celui ci Aujourd hui nous comptabilisons un retard de cinq mois repr sentant un montant de 228 000 HT inclus dans cet avenant Lors de la r union de la commission d placements et voirie du 8 septembre dernier on nous a expliqu qu il fallait d dramatiser les plus 23 ces derniers rentrant dans l enveloppe globale estim e par la phase d tudes travaux L encore nous soule vons deux points soit l conomiste charg de chiffrer cechantier s est tromp ce qui est inqui tant soit les entreprises ayant r pondu notre march ont sous valu le montant de ces tra vaux et c est inacceptable Le Grand Stade et ses am nagements seront la vitrine du Grand Lyon lors de l Euro 2016 nous le comprenons bien Toutefois notre groupe restera vigilant sur l utilisation des deniers publics Les questions de timing et de qualit des am nagements r alis s ne doivent pas se faire aux d pens de surco ts financiers amortis par la fiscalit des habitants de notre territoire Pour l ensemble de ces raisons notre groupe ne votera pas cet avenant Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Europe Ecologie Les
18. ne Alpes Auvergne en premi re position Je cite Le comit a mis en avant la strat gie d velopp e au sein des axes scientifiques du Canc rop le Lyon Auvergne Rh ne Alpes CLARA guid e par l interdisciplinarit et le transfert aux patients Cette expertise forte devrait servir d exemple pour les autres canc rop les Le CLARA a montr une vision strat gique tr s claire de ce que doit tre un canc rop le la valorisation tant consid r e comme principe directeur de ses actions La baisse du financement de l Institut national du cancer INCa on l a appris ce matin pour les sept canc rop les est en moyenne de 20 allant de moins 40 au maintien du finan cement Le canc rop le CLARA est le seul dont la dotation est maintenue l identique S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 17 Ce bilan correspond incontestablement un point de d part lyonnais mais aussi un respect total de Grenoble autre grande ville scientifique de Saint Etienne et de Clermond Ferrand pour r aliser un v ritable r seau Depuis le dernier vote de cette assembl e il faut souligner plusieurs l ments importants D abord le rapprochement entre le CLARA et Lyonbiop le le CLARA a d m nag fin octobre 2013 pour se localiser sur le m me plateau que celui de l quipe de Lyonbiop le ce qui favorise la synergie des quipes Ensuite le CLARA a mis au point une nouvelle gouvernance et une nouvelle directi
19. nous aurait t pr sent trop tardivement Nous avons t mis devant le fait accompli y compris le Pr sident de la commission et le choix s est port sur l augmentation totale du budget sans discussion possible Monsieur le Pr sident au nom de mes coll gues lus je d nonce cette obstruction notre travail et je demande que le dossier soit renvoy en commission pour tude A d faut le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s s abstiendra Aussi nous nous inqui tons de cette facilit financer une d pense nouvelle de 1 3 M au moment m me o on nous explique que le Grand Lyon rechercherait soi disant des cono mies Demain quand on annoncera un Maire que l on ne peut retenir son projet communal faute d argent il pourra aller se rassurer sur la terrasse du mus e des Confluences et contempler le siphon esth tiquement acceptable qui aura englouti les eaux us es et sa subvention Je vous remercie de votre attention M LE PRESIDENT Merci Les services du Grand Lyon m ont dit que ces travaux taient indispensables pour les Communes de Lyon et de Caluire et Cuire Je vais vous dire que moi je ne suis pas all voir dans les gouts s ils taient indispensables mais j ai tout de m me un peu confiance dans ce que disent les services et donc quand on me dit Vous risquez effectivement des probl mes majeurs si vous ne le faites pas j ai peur que si demain le se
20. publique justifiant les expropriations Nous comprenons bien que vous estimez avoir d j perdu trop de temps et aujourd hui vous vous appuierez peut tre sur le jugement r cent du tribunal administratif de Lyon jugement que je ne commenterai pas m me s il y aurait beaucoup dire Il n emp che que pour l heure l expropriation de monsieur Philippe Layat ayant t annul e par la Cour administrative d appel on le prive de jouir de son bien d une mani re pour le moins brutale et contestable de m me que l on prive notre agglom ration de plusieurs dizaines d hectares de terrains agricoles qui demain nous n en doutons pas viendront manquer Le groupe GRAM votera donc contre cette d lib ration M LE PRESIDENT Merci bien Je donne la parole au groupe UDI et apparent s M le Conseiller GILLET Monsieur le Pr sident mon interven tion sera br ve Il ne s agit pas de savoir si nous sommes favorables ou non au Grand Stade votre majorit ayant d cid qu il se ferait Les lus du groupe UDI et apparent s seront vigilants aux co ts induits par ce chantier d envergure le premier gros d rapage concernant l acc s sud cet avenant de plus 23 soit 1 500 000 de surco t les causes sont multiples au titre de l oubli du ma tre d uvre mur de sout nement cran acous tique rampes d acc s de nouvelles solutions techniques entra nant des plus values au titre de l oubli du ma tre d ouvrage am
21. ral voire de la Ville de Lyon Ou bien va t elle se contenter comme dans cette d lib ration de jouer un r le d accompa gnement financier dans le but de favoriser l quilibre du budget de la Ville de Lyon Dans ce cas votre objectif de faire na tre un sentiment d appartenance au P le m tropolitain ne me semble pas du tout appropri Je vous remercie monsieur le Pr sident d clairer notre assem bl e sur vos r elles intentions en la mati re Dans l attente de ces l ments de r ponse le groupe Union pour un mouvement populaire divers droite et apparent s s abstiendra sur ce rapport M LE PRESIDENT Merci monsieur Hamelin Je mets aux voix ce dossier S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 25 pour M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s groupes Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r pu blicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM groupe Front national MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre n ant abstention groupe Union pourun mouvementpopulaire UMP divers droite et apparent s sauf M Barge qui a vot pour Adopt
22. un revers de main remettre 24 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 cela en cause Simplement pour la qualit de nos d bats monsieur le Pr sident on peut tr s bien tre en d saccord cela n emp che pas que l ironie parfois est blessante et ce n est pas sp cifique notre groupe c est cela que je souhaitais mettre en avant au travers de cette intervention Applaudissement dans les rangs du groupe UMP divers droite et apparent s M LE PRESIDENT Monsieur Cochet je r ponds toujours avec une extr me courtoisie mais je voudrais bien lorsqu on propose des dossiers qui sont justement dans l int r t d un territoire qu on ne fasse pas ici de la politique avec ces dossiers Parce que si vous voulez faire de la politique je vous le retourne et vous g rez directement les choses Nous on essaye de faire en sorte que sur Uni Est il puisse y avoir la m me r alisation que celle qui a pu tre r alis e par la Maison de l emploi de Lyon lorsqu un certain nombre de boutiques se sont ouvertes que ce soit sur la Part Dieu ou que ce soit sur la Confluence On a g r le dossier de la Confluence on a r ussi amener des publics qui taient tr s loin de l emploi dans les magasins de la Confluence on veut faire la m me chose que ce que nous avons fait Lyon Si vous trouvez que ce n est pas bien et que vous avez des r serves sur le dossier dans ce cas l il ne faut pas le voter je le dis clair
23. AESCRA pour l organisation de l dition 2014 du World entrepreneurship forum WEF et pour son programme d actions incubateur 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service d veloppement local N 2014 0280 Lyon _ Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribu tion d une subvention l association PlaNet Adam Cr acteurs pour son programme d actions 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service d veloppement local N 2014 0281 P le de comp titivit Techtera Soutien au projet de recherche et de d veloppement Virtex Avenant la convention de subvention du 07 juillet 2011 avec la soci t Brochier techno logies D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0282 P le de comp titivit Lyon urban Truck et Bus LUTB Transport and mobility Systems Attribution d une sub vention la soci t Matelys pour le programme de recherche et de d veloppement Ecobex D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 43 N 2014 0283 P le de comp titivit Lyonbiop le Soutien au projet de recherche et de d veloppement R amp D
24. Claire Le Franc et Alice de Maillard salari es de l association Uni Est n ayant pris part ni au d bat ni au vote du dossier n 2014 0276 article L 2131 11 du code g n ral des collectivit s territoriales Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD N 2014 0290 d veloppement conomique Attribution d une subvention la fondation Bullukian Canc rop le Lyon Auvergne Rh ne Alpes CLARA Ann e 2014 D l gation g n rale au d veloppe ment conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0290 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Monsieur le Pr sident mes chers coll gues un avis favorable de la commis sion sur l attribution d une subvention la fondation Bullukian pour le Canc rop le Lyon Rh ne Alpes Auvergne M LE PRESIDENT Merci Le groupe Socialiste et apparent s Oui M le Conseiller H MON Juste avant sur le dossier num ro 2014 0285 qui n est pas soumis d bat notre groupe s abstiendra je tenais le dire M le Vice Pr sident PHILIP Monsieur le Pr sident et chers coll gues je voulais vous parler du canc rop le qui est un r seau l chelle de Rh ne Alpes et de l Auvergne qui regroupe des h pitaux des chercheurs des universit s et des industriels Il
25. Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer l accord cadre de prestations de services la suite d une proc dure adapt e R servation et achats de titres de transports en France et l tranger pour les d placements et l h bergement des lus et des personnels de la Communaut urbaine de Lyon et prestations annexes Autorisation de signer le march de services la suite d une proc dure adapt e Prestations d infog rance des infrastructures du syst me d information de la Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer un avenant financier et de prolongation de dur e Acquisition de micro ordinateurs de logiciels et de p riph riques associ s Autorisation de lancer et de signer un march public la suite d une proc dure d appel d offres ouvert p p p p p p p p p p p p p p p p p p p p 18 19 43 43 43 20 43 23 24 44 44 44 44 44 44 44 44 25 25 25 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 COMMISSION PROXIMITE ET ENVIRONNEMENT N 2014 0312 N 2014 0313 N 2014 0314 N 2014 0315 N 2014 0316 N 2014 0317 N 2014 0318 N 2014 0319 N 2014 0320 N 2014 0321 N 2014 0322 N 2014 0323 N 2014 0324 N 2014 0325 N 2014 0326 N 2014 0327 N 2014 0328 Chassieu Golf de Chassieu Choix du
26. Commune du fait du noyautage par le groupe OL et de la commercialisation son profit mais surtout de la suppression de la taxe sur les spectacles puisque la France a t somm e de se mettre en conformit avec les normes europ ennes ce qu elle a fait la date du 3 septembre 2014 Monsieur le Pr sident c est au Grand Lyon et au groupe OL de payer Applaudissements du groupe UMP divers droite et apparent s M LE PRESIDENT Monsieur Crimier quelques mots M le Vice Pr sident CRIMIER Monsieur le Pr sident je ne veux pas refaire le d bat que nous avons entendu d velopper plusieurs fois dans cette assembl e Je rappellerai simplement qu aujourd hui l investissement du Grand Stade c est plus de 500 M Dans la crise conomique que nous connaissons c est pour un certain nombre d entreprises aujourd hui un l ment important et ce sont plusieurs centaines d emplois et des dispositifs d insertion qui sont mis en place S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 13 Je crois qu il faut rappeler galement parce qu on a toujours tendance r tr cir les choses autour du Grand Stade que cela s inscrit dans le d veloppement du Grand Montout c est 150 hectares autour et c est le levier dynamique je souhaitais le redire En ce qui concerne les estimations effectivement mon sieur Boudot vous avez dit que cela d passait On a beau dire mais la r ponse votre question est d j dans la d lib ration
27. Euro 2016 Franche ment si on n tait pas parmi les organisateurs aujourd hui que dirait on sur ces bancs Deuxi me point est ce que la m thode choisie par l agglom ration lyonnaise et le Grand Lyon est une mauvaise m thode Il se trouve que j tais la semaine derni re avec messieurs Gaudin Jupp Moudingue et Perdriau si vous voulez on compare quand vous voulez le co t de la r alisation des stades pour Marseille Bordeaux pour toutes les villes qui en g n ral soit ont investi largent de la collectivit locale de mani re extr me ment importante soit sont dans des partenariats public priv qui les engagent pour une trentaine d ann es avec videmment beaucoup d al as y compris d ailleurs sur ce que vous signalez sur le plan sportif Je connais par exemple mon coll gue du Mans qui pour s tre investi dans un partenariat public priv et apr s avoir vu son quipe retomber en seconde division conna t aujourd hui un certain nombre de difficult s Nous je le rappelle et je le rappellerai parce qu il faut toujours faire uvre de p dagogie qu avons nous fait Nous avons dit que tout ce qui concernait le stade serait financ par l Olympique Lyonnais et que nous nous financions les infrastructures L Olympique Lyonnais finance aujourd hui 480 M et nous nous avions pr vu de financer 130 M pour le Grand Lyon et ce sera 120 M nous avions pr vu 30 M pour le SYTRAL et 30 M p
28. Imaging diagnostic and treatment of prostate cancer IDITOP Avenant n 1 la convention de subvention du 21 d cembre 2011 avec la soci t EDAP TMS D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0284 P le de comp titivit Lyonbiop le Attribution d une subvention la soci t Rescoll pour son programme de recherche et d veloppement R amp D H amp M D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0285 P le de comp titivit TECHTERA Attribution d une subvention la soci t Influtherm pour le projet de recherche et de d veloppement R amp D SOLARCLYM ll D l gation g n rale au d veloppement conomique et inter national Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0286 P le de comp titivit Lyonbiop le Soutien au programme de recherche et d veloppement POLYBIO Avenant n 2 la convention de subvention du 21 septembre 2010 avec la soci t Aguettant D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0287 P le de comp titivit AXELERA Op ration plan campus Projet de construction de la plateforme d innovation Axel One Avenant la convention de ma trise d ouvrage con
29. Monsieur Rousseau vous avez la parole M le Conseiller d l gu ROUSSEAU rapporteur Lors des comit s techniques les syndicats ont accept le paritarisme et on s est mis d accord sur 15 membres et 15 suppl ants pour les syndicats et de m me pour la collectivit Il en est de m me pour le dossier 2014 0302 qui est sur le comit d hygi ne o on s est mis d accord sur 10 repr sentants pour le personnel et 10 repr sentants pour la collectivit Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur M le Conseiller d l gu ROUSSEAU N 2014 0305 Achat de gaz pour les b timents tertiaires de la Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer le march subs quent de fournitures la suite de l accord cadre D l gation g n rale aux ressources Direction de la logistique et des b timents Service de la gestion administrative et financi re N 2014 0306 Achat de gaz naturel pour le centre de valorisation thermique des d chets urbains de Lyon Gerland Autorisation de signer le march subs quent de fournitures la suite de l accord cadre achat de gaz pour les b timents de la Communaut urbaine de Lyon D l gation g n rale aux ressources Direction de la logistique et des b timents Service de la gestion administrative et financi re N 2014 0307 Fourniture de gaz pour la station d puration des eaux
30. Verts M le Conseiller ROUSTAN Monsieur le Pr sident mes chers coll gues il nous est propos de voter un avenant qui pr voit 23 d augmentation environ 1 5 M Dans la continuit de notre opposition ce Grand Stade inutile et couteux en am na gements pour la Collectivit nous voterons contre ce dossier Nous voudrions galement vous faire part de notre condamnation de la v ritable agression dont a t victime monsieur Philippe Layat agriculteur exploitant propri taire d un terrain dont il a t expuls dans le non respect du droit Comme vous l ont crit le 10 septembre 2014 dans une lettre ouverte les D put s europ ens cologistes Mich le Rivasi et Jos Bov le 14 mai 2014 la Cour administrative d appel a annul l arr t du Pr fet du 23 janvier 2012 qui d clarait l utilit publique du projet et permettait ainsi l engagement des travaux Ainsi tous les travaux en cours auraient d tre suspendus dans l attente de nouvelle d cision sur la validit de la proc dure d expropriation le 17 septembre notamment ou la mise en conformit du projet avec la loi Pourtant les entreprises ont p n tr avec le soutien des forces de l ordre sur la propri t de monsieur Layat en d molissant un portail afin de permettre aux travaux de d bu ter sur son terrain Nous voulons aussi d noncer tout ce que cette intervention arbitraire avait de violent humainement et psycho logiquement pour monsieur Layat
31. abstention n ant Le v u n est pas adopt le groupe La M tropole autrement n ayant pas pris part au vote M LE PRESIDENT Je voudrais formuler au nom de notre assembl e tous nos v ux de bonne retraite madame Christine Rac qui officie ici depuis pr s de vingt huit ans et pour qui c tait le dernier d bat Tous nos bons v ux de retraite Applaudissements La s ance est lev e 19 heures 45 50 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Annexe relatif l encadrement des loyers dans l agglom ration lyonnaise europe a des lus EELV du Grand Lyon col logie bis les verts Ra Lyon ie 9 plembre 2014 V u d pos per le groupe Europe Ecologie Les Verts et le groupe Communiste et Repubcain La Loi ALUR Acc s au Logement et pour un Urbanisme R nov dont La mesure la pirs emblematique est l encadrement des kpyers est aupourdhes d naltur e par le Premier Ministre Et pastis ce dmpo itf aurait permis de r quier localement les iyers tat en redonnant des capacies financi res r elles aux Iocataires aurait am lior les possbdi s d accession au logement et asut une r elle mode sociale dans les zones tendues de notre acggkame ration Car nous savar tous que le logement prend une part de plus en pirs importanie dars le audqet de nos conwioyens au d triment d autres c perses ncsperables Airrai certaines personnes apri oblqges de r duire le budge consacre
32. ailleurs affect principalement les investisseurs particuliers Vous savez qu il y a eu le retrait du dispositif Scellier que la loi Duflot a moyennement march et qu il y a eu un retrait sur l agglom ration de pr s de 1 000 logements entre 2011 et 2013 Cela pr sentait un risque important d s lors que la politique de l habitat dans le Grand Lyon lie toutes les composantes du logement Particuli rement si un secteur ne va pas bien il entra ne aussi les autres secteurs je pense en particulier la promotion qui nous permet de produire plus de 1 000 logements sociaux par an videmment si sa production diminue cela impacte la production de logements sociaux et cela l impacte plus d ailleurs dans les communes qui ont besoin de logements sociaux que dans les autres communes C est pourquoi on a mis en place ce plan 3 A d s le deuxi me semestre 2012 on sentait venir la crise Ce plan 3 A est int ressant on en a d j un peu discut mais il faut y revenir parce qu il permet de v ritables avantages travers une prime un acc dant sous plafond Particuli rement cela favorise S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 33 la production de logements en dessous de 2 800 du m tre carr vous savez que c est le haut de l accession sociale et donc cela encourage les promoteurs produire en dessous de ce prix Ensuite nous primons tous les prix abattus de 20 entre 2 800 du m tre carr et 3 600 du
33. anmoins m me si l id e est noble les moyens propos s dans ce rapport sont mon avis inefficients car h las ce n est pas avec un chapiteau install place Bellecour une grande semaine de la solidarit que l on r glera le probl me de la malnutrition au Burkina Faso ni nulle part ailleurs Quand le mot solidarit est ainsi d voy cela n aide en rien la cause laquelle on l associe mais donne bonne conscience aux belles mes et autres asso ciations stipendi es qui sont finalement il faut bien le dire vos derni res ressources lectorales monsieur le Pr sident et vos derni res courroies de transmission politiques Voil c est dit 20 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Monsieur Vincent s il vous pla t laissez parler l orateur Dans ce rapport s exprime toute votre id ologie habituelle monsieur le Pr sident des bons sentiments et de l argent public pour un r sultat plus que faible La Communaut urbaine d veloppe aujourd hui une politique de solidarit internationale se traduisant comme une politique de coop ration d centralis e avec plusieurs villes du monde Ce sont vos mots tout est dit R gion D partement intercommunalit Communes il n a qu changer le titre mais les rapports se suivent et se ressemblent L ann e derni re les Lyonnais avaient eu droit au 11 village de la solidarit version 2013 avec un programme assez cocasse puisqu il s agissait de r fl
34. anti bruit et l augmentation de d lai La d lib ration qui vous est jointe pr cise clairement ces diff rents points et une liste exhaustive de l ensemble des sujets objets de cet avenant Cette d lib ration a re u un avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT groupe Front national Merci bien Trois minutes pour le M le Conseiller BOUDOT Merci monsieur le Pr sident Chers coll gues ce rapport que vous nous pr sentez aujourd hui traduit bien l ensemble du projet du Grand Stade de l Olympique Lyonnais un beau projet priv qui a besoin de plus en plus d argent public Aujourd hui il n est plus le temps de se poser la question de la pertinence d un tel projet m me si les r sultats de l OL tant sur le plan sportif malheureusement que financier sont moins performants qu il y a quelques ann es Mais il y a la pression de l Euro 2016 il faut que tout soit fini temps et que les acc s les abords soient faits stabilis s Autrement dit il faut co te que co te que la collectivit paie avenant apr s avenant La position du Front national n a jamais vari depuis le d part sur cette aventure OL Land Mais il est toujours apparu g nant que la collectivit soit appel e engager autant d argent public pour aider la r alisation d un projet priv sportif certes ambitieux certes valorisant pour le club mais un projet qui demeure priv A titre personnel supporter de
35. avons donn un avis favorable en commission M LE PRESIDENT Merci bien J ai une intervention du groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller RABEHI Monsieur le Pr sident c est nou veau D cines Charpieu qui intervient comme vous pouvez le constater Effectivement dans ce dossier AGEFOS qui est un organisme reconnu sur le territoire en particulier sur ses actions de formation aupr s des salari s des entreprises rh nalpines n est pas du tout incriminer dans sa d marche En effet il propose de d velopper un programme d actions afin d optimiser la composante emploi comp tence formation autour d un projet le futur Grand Stade de D cines Charpieu permettez moi cette expression mais c est bien D cines Charpieu que se construit le stade La d marche est noble et surtout logique au vu de la mani re dont les emplois de ce Grand Stade ont t g r s pr alablement dans la phase construction Par contre attention ne me faites pas dire ce que je n ai pas dit Si une convention a bien t sign e entre Uni Est et l OL sur les emplois en insertion dont les r sultats prouvent la r ussite de l action il nen demeure pas moins que pour les autres emplois c est dire la plus grande majorit pour ne pas dire 90 des 1 000 emplois g n r s par la construction de ce stade le manque d anticipation dans la formation des publics potentiellement recrutables n a pas permis d embaucher
36. c est faire en sorte qu au sein de l agglom ration on n ait pas effectivement cette baisse l Alors qu est ce qui s est pass exactement Tout l heure monsieur Olivier Brachet vous le disait les institutionnels ne viennent plus dans le logement parce qu effectivement le taux de rentabilit est pratiquement en dessous de 3 donc ils ne viennent plus Vous avez ensuite les particuliers c est dire vous et moi qui achetaient un logement pour le mettre en location ceux l ils se sont dit Cela devient gal re Quand je regarde l volution de la l gislation on me dit encadrement on a baiss les dispositifs d aide fiscale cela ne correspond plus m me sur l agglom ration lyonnaise ce que peut tre le taux de rentabilit par exemple je regardais aujourd hui le taux du m tre carr qui fix 9 88 alors que le prix du loyer libre tait 12 5 Doncils se disent Moi je n entre plus dans les dispositifs d aide Cela c est du concret ce n est pas de l id ologique C est simplement du pratique Et donc par exemple sur l agglom ration on a eu une chute des investisseurs priv s de 2 400 en 2011 1 200 en 2013 Et c est pour cela que l on a essay notre niveau de lancer le plan 3 A pour compenser ce qu on perdait en investissement locatif avec de l accession la propri t Et les chiffres dont vous me parliez tout l heure Olivier Brachet montrent qu on a r ussi compenser p
37. cette d lib ration Merci M le Conseiller GEOURJON Monsieur le Pr sident et chers coll gues gr ce la mobilisation de l Etat de la R gion et du Grand Lyon une solution pour la poursuite de l activit de la soci t SITL a pu tre trouv e Comme cela a t voqu il s agit ici du dernier rebondissement de la difficile reconversion d un site industriel situ dans le septi me arrondissement de Lyon Il y a quelques ann es pour m moire la CIAPEM l poque comptait plus de 1 000 salari s Par la suite l activit a t reprise par le groupe Fagor Brandt D but 2011 monsieur Pierre Millet reprenait l activit en r orien tant l entreprise vers les cleantechs avec deux produits phares le v hicule lectrique utilitaire et le traitement de l eau le site Fagor Brandt devenait la soci t SITL Aujourd hui un nouveau repreneur am ricain va poursuivre l activit et conserve les 395 salari s encore pr sents sans licenciement une partie du personnel tant toutefois court terme en ch mage technique ou en formation Nous esp rons que cette reprise permet enfin de p renniser l activit de l un des derniers sites industriels situ s dans Lyon intra muros Au del de cela la soci t SITL est un acteur des cleantechs C est un secteur strat gique pour le d veloppement du Grand Lyon M me si cette acquisition a t indispensable la reprise de l activit et nous approuvons totalement l imp
38. cette enceinte C est bien la mobilisation de tous quelle que soit leur tiquette qui a pay et am ne ce r sultat aujourd hui Avis favorable de la commission M LE PRESIDENT Merci bien Je donne la parole au groupe Lyon M tropole gauche solidaires M le Conseiller JACQUET Monsieur le Pr sident mes chers coll gues comme vient de nous le dire David Kimelfeld la reprise de l activit SITL par le groupe Cenntro Motors qui s est engag devant le Tribunal de commerce le 18 juin dernier reprendre l ensemble du personnel soit 395 personnes fait l objet de toutes les attentions des ex cutifs du Grand Lyon de l Etat de la R gion de nos r seaux des organisations syndicale et des animateurs de l activit conomique ici qui restent mobilis s pour veiller la r ussite de la conversion de ce site Celui ci historiquement d di la production de biens m nagers est promis aux v hicules lectriques le v hicule utilitaire tout lectrique Citelec d velopp par SITL est reconnu comme un exemple du savoir faire innovant et industriel Cenntro Motors propose un plan pour la croissance des emplois de haute technologie dans la R gion bien entendu si la crise de nos soci t s financiaris es ne vient pas tout mettre par terre La d lib ration nous rappelle l historique de ce site et de cette entreprise Elle montre le r le d cisif des collectivit s territoriales dans l issue positive et propose d a
39. chir au th me transversal de la vuln rabilit des d mocraties Tout un programme On aurait pu d j s interroger sur la vuln rabilit de la d mocratie en France cela aurait t pas mal Mais cela est un autre d bat monsieur le Pr sident Non si on est s rieux actuellement la v ritable urgence humanitaire est le sort r serv aux populations des r gions contr l es par des groupes de terroristes islamistes que la diplomatie Sarkozy et la v tre aussi monsieur le Pr sident ont favoris et ont install en Libye en Irak en Afrique de l ouest et ailleurs Si vous voulez d penser cet argent je vous propose donc monsieur le Pr sident de modifier cette semaine de la solidarit en la transformant en un soutien aux populations pers cut es d Irak et notamment de r server directement cet argent aux chr tiens d Irak qui n ont que faire de votre co teux village solidaire des bons sentiments associatifs Eux ce qu ils veulent en ce moment m me monsieur le Pr sident l heure o je vous parle c est chapper aux couteaux des gorgeurs et se nourrir nourrir leur famille Merci monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Merci Le groupe UDI et apparent s M le Conseiller BROLIQUIER Monsieur le Pr sident effecti vement vous nous proposez une fois de plus de financer la 12 me dition du village de la solidarit internationale et nous n avons pas du tout envie de remettre en cause comme le font cer
40. cise Jean Louis Dumont Pr sident de PUSH Union Sociale pour l Habitat qui tiendra son congr s Lyon la semaine prochaine Ceux qui aujourd hui freinent aussi la construction sont les nouveaux Maires de certaines Communes qui ont bloqu depuis le printemps la construction de 20 000 logements sociaux et ces nouveaux Maires ne sont pas des Maires de gauche Non seulement le Premier Ministre a fait le choix de ne pas appliquer des mesures favorisant la justice sociale mais il aide les m nages les plus riches consolider leur patrimoine par des mesures de d fiscalisation sans contrepartie sociale contrairement ce que proposait la loi ALUR Il est difficile de comprendre pourquoi ce qui paraissait une excellente loi en mars est vid de sa principale mesure en septembre Ce dispositif cl de la loi ALUR le vingt deuxi me engagement de Fran ois Hollande cela a t dit a t vot l unanimit et sans r serve par l ensemble des D put s et S nateurs de gauche sans que personne ne fronde ni ne gronde l poque Voici pourquoi l instar du Maire cologiste de Grenoble du Maire communiste de Montreuil et de la Maire socialiste de Lille nous vous proposons ce v u que je vais vous lire Pour contenir les prix des loyers sur l agglom ration lyonnaise et favoriser l acc s de tous un logement abordable le Grand Lyon demande au Gouvernement d appliquer l encadrement des loyers dans l agglom
41. comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0313 et 2014 0314 Monsieur Rabehi vous avez la parole M le Conseiller RABEHI rapporteur Monsieur le Pr sident avis favorable de la commission sur les deux dossiers pr sent s M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur M le Conseiller RABEHI N 2014 0304 Association Lyon sport m tropole Avenant n 1 la convention du 24 mars 2014 Changement de d nomination de l association Direction de l valuation et de la performance M LE PRESIDENT La commission finances institutions et ressources a d sign monsieur le Conseiller Eymard comme rapporteur du dossier num ro 2014 0304 Monsieur Eymard vous avez la parole M le Conseiller EYMARD rapporteur s agit tout simple ment avec un avis favorable de la commission de voter pour un changement de d nomination de l association sportive de la Communaut urbaine de Lyon qui d sormais s appellera Association Lyon sport M tropole monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Comme quoi nos personnels anticipent Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Conseiller EYMARD N 2014 0315 Etude de ressources majeures d finies au sch ma directeur d am nagement de gestion des eaux SDAGE Rh ne M diterran e et Corse Nappe des cailloutis de la Dombes et alluvions du couloir de Certines Convention de d l gation de ma trise d ouvrage Di
42. divers droite et apparent s votera ce rapport une simple remarque suite la r union de la commission con sultative des services publics locaux et lavis qui a t mis cette commission a assorti son avis d une remarque concernant le fait qu une convention d occupation temporaire du domaine public ne n cessitait plus de mise en concurrence ce que 8 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 nous regrettons il est vrai ce n est pas une obligation c est en revanche une facult et pour des questions de transparence nous souhaiterions que vous preniez l engagement de faire passer le futur prestataire par une concurrence Je vous remercie de votre attention M le Vice Pr sident CLAISSE Quelques l ments de r ponse aux diff rentes interventions Il s agit effectivement d un petit parc de 40 places d di es exclusivement aux r sidents qui ne m riterait pas de tels d bats s il n tait pas situ dans un secteur sur lequel l offre de stationnement est en forte tension et bien videmment c est l int r t qu il repr sente Je voudrais dire deux mots sur le choix du mode de gestion et expliquer les raisons qui nous ont amen s ce choix l ce qui est propos est une convention d occupation temporaire du domaine public qui met fin trente trois ans de d l gation de service public La d l gation de service public suppose qu il y ait qualification de service public quant l activit du
43. en remercie Adoption du proc s verbal de la s ance publique du 23 juin 2014 M LE PRESIDENT Mesdames et messieurs vous avez tous pris connaissance du proc s verbal de la s ance publique du 23 juin 2014 Si personne n a d observation pr senter je le mets aux voix Le proc s verbal est adopt Compte rendu des d cisions prises par le Bureau N 2014 0264 Compte rendu des d cisions prises par le Bureau du 10 juillet 2014 en vertu de la d l gation de principe accord e par la d lib ration n 2014 0006 du 23 avril 2014 D l gation g n rale aux ressources Direction des assembl es et de la vie institutionnelle M LE PRESIDENT Conform ment l article L 5211 10 du code g n ral des collectivit s territoriales j ai l honneur de vous rendre compte des d cisions prises en vertu de la d l gation que vous avez accord e au Bureau et qui font l objet du rapport num ro 2014 0264 Je vous demande de bien vouloir en prendre acte Acte est donn S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 7 M LE PRESIDENT Nous allons passer maintenant si vous le voulez bien aux dossiers avec d bat PREMI RE PARTIE Dossiers ayant fait l objet de demandes d organisation de d bats par la conf rence des Pr sidents N 2014 0265 d placements et voirie Lyon 1 Parc de stationnement Rozier Modification des modalit s de gestion Direction de l valuation et de la performanc
44. est important de noter que des p nalit s ont t appliqu es au ma tre d uvre C est important et n cessaire mais aujourd hui il nous faut r valuer ce programme pour lancer des travaux d cid s par les lus du Grand Lyon en 2013 et initialement pr vus pour avoir lieu entre septembre 2014 et janvier 2016 Ces travaux sont importants pour les habitants et du deuxi me arrondissement situ proximit qui ont besoin d installations r nov es dans un quartier en expansion et des quartiers plus lointains quatri me arrondissement et Caluire et Cuire Ce sont des travaux indispensables au bon fonctionnement du service d assainissement des eaux us es du Grand Lyon Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Union pour un mouvement populaire divers droite et apparent s Mme la Conseill re CRESPY Monsieur le Pr sident et chers coll gues voil un dossier pr occupant sur les choix de d penses d investissement faits par l ex cutif dans un dossier qui l vi dence a chapp tout contr le politique Nous parlons du siphon situ entre Lyon et La Mulati re qui transf re les eaux us es et pluviales vers la station d puration de Pierre B nite Des tudes ont t engag es pour modifier la structure d accueil de ce siphon pour d abord tenir compte de sa proximit et du mus e des Confluences On peut effectivement comprendre que les aspects visuels et olfactifs des eaux us es soient pris
45. et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM MM Aggoun Calvel Non inscrits 42 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 contre groupe Front national abstention groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s sauf M Barge qui a vot pour Adopt s Rapporteur M le Conseiller GOUVERNEYRE M LE PRESIDENT Doncnous passons aux dossiers sans d bat PREMI RE PARTIE Dossiers n ayant pas fait l objet de demande d organisation de d bats par la conf rence des Pr sidents I COMMISSION D PLACEMENTS ET VOIRIE N 2014 0266 Demande d une subvention r gionale dans le cadre de la convention de fonctions d agglom ration et de centralit CFAC pour 2 actions exp rimentation d un mur digital num rique tude pr op rationnelle et mission d accompagnement l organisation d un v nement temporaire d innovation dans un p le d changes Direction de la prospective et du dialogue public M LE PRESIDENT Le dossier est retir Retir N 2014 0267 Villeurbanne Prolongation des rues Henri Legay et Jean Bertin Requalification de la rue Jean Bertin Cl ture et approbation du
46. futur mode de gestion Approbation du principe de d l gation pour la gestion du service public Communes du sch ma d am nagement et de gestion des eaux de l Est lyonnais SAGE de l Est lyonnais Mise en oeuvre des actions du SAGE Convention 2014 Meyzieu Convention d application pour la gestion nature de la pelouse s che alluviale de la Garenne sur le captage d eau potable de Meyzieu Attribution d une subvention au Conservatoire d espaces naturels Rh ne Alpes pour l ann e 2014 Etude de ressources majeures d finies au sch ma directeur d am nagement de gestion des eaux SDAGE Rh ne M diterran e et Corse Nappe des cailloutis de la Dombes et alluvions du couloir de Certines Convention de d l gation de ma trise d ouvrage Participation l analyse comparative des services d eau potable et d assainissement collectif pour les donn es de l ann e 2013 Attribution d une subvention la F d ration nationale des collectivit s conc dantes et r gies FNCCR F d ration nationale des collectivit s conc dantes et r gies FNCCR Participation l volution du guide d application des normes europ ennes EN13757 Syst mes de communication et de t l relev de compteurs Lyon 2 Lyon Confluence Assainissement B timent siphon et dessableur Individualisation compl mentaire d autorisation de programme Distribution d eau potable Convention pour le transfert de certains abonn s entre la Commun
47. grave dysfonctionnement qui se perp tue chaque ann e Je veux parler de l organisation du Festival lesbiens gays bisexuels et transexuels dans l amphith tre des Trois Gaules berceau du christianisme et des premiers martyrs chr tiens La conscience et la m moire de nombreux Lyonnais attach s leur patrimoine culturel mais aussi spirituel n en d plaise l g rie des pentes s en retrouvent tr s bless s Monsieur le Pr sident profitez de ce plan de gestion historique pour veiller particuli rement ou m me supprimer les manifes tations id ologiques qui d gradent nos sites remarquables Nous ne sommes pas propri taires de notre ville ni m me de son patrimoine qu il soit physique ou spirituel Celui ci tait l avant nous avant vous il a r sist des si cles d ordalies et notre devoir votre devoir est de faire que cela continue pour toujours Je voterai pour ce rapport mais avec cette r serve M LE PRESIDENT Le Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM Mme la Conseill re PERRIN GILBERT Monsieur le Pr sident mesdames messieurs les Conseillers et les Conseill res le 5 d cembre 1998 a t une date fondamentale pour notre ville et l inscription du site historique de Lyon sur la liste du patrimoine mondial par l UNESCO a eu bien s r de nombreux m rites J en citerai pour ma part trois en particulier le premier m rite de cette inscription est qu elle a g n r chez
48. il y a officiellement 15 000 visiteurs pendant quatre jours sous le chapiteau de la place Bellecour dans la r alit des choses on est un chiffre d environ de moiti de l ordre de 8 000 personnes Et effectivement chaque ann e il y a quelques d bats avec des intervenants qui tiennent peu pr s le m me discours qui ont la m me philosophie la m me orientation et qui disent peu pr s la m me chose Nous UDI nous pensons qu il n y a pas besoin de Bellecour qu il n y a pas besoin de centaines de m tres carr s de tentes et pas besoin non plus de 200 000 de subvention pour ce village qui est finalement une manifestation entre associations Je ne dis pas qu il ne faut pas de lieux de dialogue pour ceux qui s occupent b n volement pour la plupart de solidarit internationale Lyon mais on n est pas oblig de mettre cela place Bellecour avec une subvention de 200 000 Voil ce que nous voulions dire Nous votons ann e apr s ann e nous avertissons les autorit s en disant Attention avoir une vraie manifestation de solidarit internationale mais ann e apr s ann e nous sommes dans l amateurisme A un moment il faut dire stop et c est pour cela que nous ne soutiendrons pas ce rapport M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je donne la parole au groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller COCHET Intervention retir e monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Vous
49. les Lyonnais et les Lyonnaises une v ritable prise de conscience de la valeur exceptionnelle et universelle du patrimoine de leur ville Le patrimoine est ainsi devenu un l ment f d rateur le second m rite est qu il s agit de continuer m riter l acte de reconnaissance patrimoniale de la communaut internationale et donc de demeurer vigilant et actif quant l volution et la mise en valeur du site historique La M tropole en lien avec ses partenaires institutionnels la Ville de Lyon la R gion l Etat mais aussi avec les acteurs culturels conomiques associatifs et sociaux est responsable devant la communaut internationale d une gestion exemplaire de ce qui constitue une partie du patrimoine mondial et universel et qui donc fait bien commun le troisi me m rite r side dans le fait que la reconnaissance de la valeur universelle exceptionnelle du site historique de Lyon est fond e non pas sur un patrimoine fig mais bien sur son d veloppement pendant deux mill naires dans une continuit urbaine exemplaire En effet Lyon s est constitu e sans effacer les traces de la succession des poques des modes d urbanisation et des styles architecturaux Penser le patrimoine lyonnais c est donc penser la mani re dont nous cherchons le d velopper sans perdre le fil d un r cit qui a commenc avant nous et qui continuera apr s nous Nous allons adopter ce soir le plan de gestion du site historique de Lyon po
50. les probl mes de construction de la M tropole que j aurais des sujets d inqui tude c est plut t sur des sujets de dotations des collectivit s locales j ai eu l occasion de le dire chacune et chacun parmi les membres de cette assembl e Donc je mets aux voix ce dossier Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident ABADIE N 2014 0272 d placements et voirie D cines Charpieu Chassieu Travaux d accessibilit sud Grand Stade Lot n 6 ouvrages d art March n 2012 357 Autorisation de signer l avenant n 1 au march de travaux Direction de la voirie M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Crimier a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0272 Monsieur Crimier vous avez la parole M le Vice Pr sident CRIMIER rapporteur Merci monsieur le Pr sident Chers coll gues par cette d lib ration il s agit d au toriser monsieur le Pr sident signer l avenant au march de travaux lot n 6 ouvrages d art de l accessibilit sud au Grand Stade Je voudrais simplement pr ciser que le budget initial est res pect et ces volutions de march interviennent dans la limite des montants initialement vot s Cet avenant est motiv par des al as de concomitance de plusieurs raisons notamment des al as techniques et des probl mes d interface entre divers ouvrages et des interfaces entre les riverains concernant la construction de murs
51. mais aussi au contexte national et aux enjeux li s l volution de la connaissance sur le cancer A noter que l oncologie est devenue le deuxi me secteur d activit s dans les entreprises biotechs dans l inter r gion Rh ne Alpes Auvergne cela repr sente ce titre un v ritable enjeu strat gique de d veloppement territorial Notre programmation 2014 2016 absente de votre document propose de renforcer la place du programme entre les activit s des SATT et celles de Lyonbiop le Lyonbiop le est aujourd hui un chef d orchestre de tout ce r seau constitu de deux p les l infectiop le avec les vaccins et le canc rop le avec ce d velop pement la fois scientifique et conomique Lyonbiop le c est finalement le p le sant lyonnais mais il rayonne aussi dans l inter r gion au niveau international Je termine en disant que l ensemble des actions propos es seront r alis es sans demande de financement additionnel un effort tr s significatif ayant t men par la nouvelle quipe de direction du CLARA pour r duire les frais de fonctionnement et permettre ainsi de d gager des ressources suppl mentaires pour financer les actions Je crois monsieur le Pr sident mes chers coll gues que le mode de fonctionnement de ce r seau qui fait la fois confiance aux acteurs et qui est anim par un politique peut servir de r flexion En ce qui me concerne mais nous aurons l occasion d en parler j est
52. messieurs les Vice Pr sidents Vice Pr sidentes Conseillers et Conseill res les lus du groupe GRAM n approuvent pas l avenant n 1 au march de travaux lot n 6 vot ici m me en mars 2012 et ce pour les m mes raisons qui nous ont d j fait d sapprouver les d lib rations ant rieures concernant le Grand Stade La possibilit de rendre Gerland compatible avec les exigences de l Euro 2016 a toujours motiv notre vote n gatif Nous estimons galement que le niveau lev des d penses publiques engag es pour permettre l am nagement et la desserte du Grand Stade est sans rapport avec la v ritable utilit de cet quipement pour les habitants du Grand Lyon et les Communes de l est Lyonnais Nous avons toujours aussi mis des r serves quant l quilibre conomique de cet quipement avec la crainte qu terme la Ville de Lyon soit sollicit e par le groupe OL pour permettre le remboursement des emprunts Enfin cette d lib ration concernant l accessibilit sud du Grand Stade nous voulons dire ici que nous n approuvons pas les m thodes qui sont employ es par notre collectivit pour poursuivre co te que co te l am nagement tel que pr vu Selon nous il ne convient pas d arguer que les d clarations d utilit publique seront relanc es peut tre r gularis es pour ne pas tenir compte des d cisions de la Cour administrative d appel du 14 mai dernier qui a annul les d clarations d utilit
53. on me parle des hectares qui ont disparu un moment donn il faut tout de m me dire des choses qui soient vraies Cette assembl e s tait engag e dans le plan local d urbanisme et dans le sch ma de coh rence territoriale sanctuariser le V vert pr server un certain nombre d espaces agricoles qui taient en zone urbanisable terme C est un fait on ne peut pas transformer les faits non plus dans un autre sens Monsieur Gillet j esp re que dans votre Commune vous n aurez pas de d passement ou de surestimation ou de sous estimation mais je serai prudent parce que vous savez j ai une petite exp rience de Maire et on n a pas toujours les r sultats que l on attend Mais j ai bien entendu que quand l op rateur ou celui qui estime les travaux faisait une estimation trop haute et qu on tait en dessous ce n tait pas bien parce qu il s tait tromp Par contre quand l estimation est trop faible et que les travaux d passent ce n est pas bien non plus parce qu on s est tromp galement Vous savez dans toute r alisation de travaux et vous le verrez mais je crois qu Sainte Foy l s Lyon c est arriv aussi et cela arrivera dans d autres communes je crois que les professionnels essaient de faire du mieux qu ils peuvent par rapport une estimation de travaux avec un certain nombre d al as Avec une exp rience professionnelle j avais particip au rehaussement du quai Raoul Carrie cela commence dater
54. on vous am ne l l ment qui consiste dire que l on est dans le cadre des budgets vot s et on est m me un peu en dessous Ma foi prenons le comme cela et j y veille particuli rement Dire que les services du Grand Lyon ne sont pas la hauteur moi je les vois travailler sur le terrain et je peux vous dire qu ils font de toutes leurs comp tences et de toute leur technicit il faut le rappeler aussi Je voudrais galement rappeler qu un visiteur de l Euro quand cela se d roulera l ann e derni re c tait en Autriche me semble t il si mes souvenirs sont bons c est plus de 1 000 de d penses par jour qui retomberont dans l conomie locale dans les restaurants dans les h tels et en achats dans l ensemble des commerces Non pas du tout Vous pouvez dire cela vous pouvez r duire cela effectivement votre clocher et votre pr occupation du moment et je comprends On vous a rencontr e madame le Maire on est all s vous voir on a entendu certaines choses de votre part je sais que les services essaient d y r pondre on ne pourra pas se substituer bien entendu tout mais la premi re visite de ce mandat tait pour vous sur le territoire de D cines Charpieu avec les agents du Grand Lyon Effectivement par rapport l histoire et l approche de ce projet on n a pas senti la m me analyse mais c est bien normal puisqu il y a eu aussi un changement de municipalit Pour la remarque du GRAM quand
55. parc les 40 places sont occup es mais il n y a pas de liste d attente construite donc il n y a pas un ph nom ne sur lequel il pourrait se dire je vais augmenter pour avoir de la r serve Deuxi me l ment il y a tout de m me une concurrence qui va pouvoir jouer si malgr tout il avait une politique haussi re qui mettrait en danger les r sultats de son compte d exploitation la fois la concurrence du stationnement sur voirie et la concurrence du parc des Tables Claudiennes sur lequel il y a encore une r serve de 12 places abonn s des tarifs inf rieurs puisqu ils sont aujourd hui de 125 De mon point de vue le risque de voir les tarifs exploser n existe pas Vous avez raison d attirer l attention sur le fait que le Grand Lyon va devoir veiller la s lection de l occupant des lieux Puisque ce n est plus un service public on abandonne les obligations de service public Pour autant dans une convention d occupation du domaine public on peut mettre des clauses d information de consultation voir d approbation d un certain nombre de d cisions qui seraient prises par cet occupant et dans la convention d occupation nous veillerons ce qu il y ait un certain nombre de ces clauses inscrites L important est effectivement le choix du futur occupant de cette partie du domaine public Apropos de l appel concurrence quand on a mis en concurrence la DSP il y a eu deux candidats le stationnement Bellecour
56. profit des acteurs du Grand Lyon concern s Surtout nous y sommes favorables condition qu elle ne se substitue pas l action de l Etat seul m me de mener une politique internationale coh rente La coop ration d centralis e doit tre nos yeux une coop ration raisonnable et r aliste et ne doit pas tre comme nous pouvons le constater parfois au sein de certains Conseils r gionaux un mandat pour avoir des casiers ambassadeurs aux quatre coins du monde et pour favoriser la multiplication de voyages ind ment pay s par le contribuable Enfin n oublions pas les budgets et autres dotations en baisse ainsi que les futures coupes sombres qui vont impacter tr s sensiblement les investissements du Grand Lyon dans nos Communes Etant donn ces diminutions substantielles en cours ou venir nous ne pouvons qu insister sur la n cessit de recentrer vos actions en direction des territoires du Grand Lyon et des Grands Lyonnais Pour conclure si nous sommes favorables comme je l ai d j dit aux coop rations d centralis es nous ne souhaitons pas vous confier pour le mandat venir un ch que en blanc destin financer une action d sordonn e tous azimuts Nous nous abstiendrons sur l ensemble de ces rapports dans l attente d un cahier des charges pr cis et adapt la situation conomique actuelle et dans l attente d obtenir la certitude que nous n avons pas affaire une usine gaz de plus destin e pour l
57. programme Conventions avec la R gion Rh ne Alpes pour les actions sous ma trise d ouvrage de la Communaut urbaine de Lyon D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT La commission urbanisme a d sign madame la Vice Pr sidente Vessiller comme rapporteur du dos sier num ro 2014 0339 Madame Vessiller vous avez la parole Mme la Vice Pr sidente VESSILLER rapporteur Avis favo rable de la commission sur le plan national de renouvellement urbain monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur Mme la Vice Pr sidente VESSILLER N 2014 0341 Dardilly Esplanade de la Poste Op ration d am nagement en r gie directe Bilan pr visionnel Individualisation partielle d autorisation d engagement D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l am nagement M LE PRESIDENT La commission urbanisme a d sign monsieur le Vice Pr sident Le Faou comme rapporteur du dos sier num ro 2014 0341 Monsieur Le Faou vous avez la parole 46 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 M le Vice Pr sident LE FAOU rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU V u pr sent par le groupe Europe Ecologie Les Verts et le grou
58. son environnement en r alisant des quipements et des espaces publics de qualit c est une des conditions de son appropriation par les habitants la mise en valeur des quartiers de Montchat Sans Souci et Montplaisir Le groupe Centristes et ind pendants M tropole pour tous votera cette d lib ration Merci de votre attention M LE PRESIDENT Je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur Mme la Conseill re PANASSIER N 2014 0312 proximit et environnement Chassieu Golf de Chassieu Choix du futur mode de gestion Approbation du principe de d l gation pour la gestion du service public Direction de l valuation et de la performance M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller Rabehi a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0312 Monsieur Rabehi vous avez la parole M le Conseiller RABEHI rapporteur Monsieur le Pr sident chers coll gues ce dossier concerne un quipement de l est lyonnais un bel quipement le golf de Chassieu Dans cette d lib ration on nous demande d acter le principe d une d l gation de service public sous la forme de concession pour l exploitation de cet quipement Nous avons eu un avis favo rable de la commission consultative des services publics locaux du comit technique paritaire et de la commission proximit et environnement M LE PRESIDENT J ai une demande d intervention pour le groupe Communiste et r publicain
59. sont objectiv s en quelque sorte si cet observatoire donne des r sultats qui proviennent des acteurs du logement et des politiques publiques en tout cas des acteurs publics je crois qu on pourrait d abord mesurer cela De fa on r elle on pourrait mesurer l impact de nos politiques d offre que je viens de rappeler et la politique 3 A en est une et cela nous permettrait d avoir un cadre opportun pour d finir des dispositifs de r gulation Je crois que pour r guler la meilleure fa on de faire ce n est pas forc ment de rentrer dans un cadre normatif mais de conduire l ensemble des acteurs des dispositifs de r gulation il me semble que c est une bonne fa on de faire Donc r gulation oui l observatoire pour acter en quelque sorte les effets de cette r gulation le dispositif d encadrement des loyers viendra apr s et je pense qu ce moment l il sera produit par les acteurs eux m mes et non pas par des dispositifs trop normatifs dont par ailleurs et je ne veux pas le d velopper ici on voit quelquefois les aspects un peu plus pervers notamment ceux qui peuvent conduire ce que des loyers au dessous du niveau habituel deviennent la moyenne ce qui a t fait dans le cadre de la loi Quillot il y a bien longtemps il y a plus de trente cinq ans Mais on n est pas dans des dispositifs manich ens et binaires comme quelquefois le d bat sur pour ou contre l encadrement des loyers pourrait nous conduire M LE P
60. t sous estim es mais nous connaissons le professionnalisme de la direction de l eau dans de tr s nombreux travaux d assainissement qui sont indispensables dans toutes nos communes et nous sommes donc s rs que ce qui pouvait tre fait pour optimiser financi rement ce projet l a t Cependant si nous ne pouvons que soutenir une d cision de priorisation de travaux dans le cadre du budget de l assainis sement nous restons interrogatifs sur le contexte budg taire de cette d cision Il est impossible de notre point de vue de prendre au fur et mesure des d cisions qui sont une par une justifi es mais qui peuvent conduire lors de notre future PPI des d cisions injustifi es pour d autres projets Nous consid rons donc que cette d cision n cessite un point en commission des finances dans le cadre de la pr paration d une future PPI videmment si elle est en juillet 2015 cela pose des probl mes d agenda afin de situer son impact ventuel sur d autres projets Dans ces conditions et compte tenu des l ments fournis par les services nous nous abstiendrons et nous demandons au Vice Pr sident de r pondre rapidement avec son coll gue aux finances notre interrogation M LE PRESIDENT Merci beaucoup J ai une intervention du groupe Socialiste et apparent s Mme la Conseill re BRUGNERA Monsieur le Pr sident mes dames et messieurs les lus effectivement comme cela vient d tre dit
61. trouvant sens et d veloppement au niveau m tropolitain Cet exemple parmi d autres est l illustration comme nous ne cessons de le dire que la M tropole de demain tirera bien ses richesses des territoires qui la composent M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je mets aux voix ce rapport Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident BRACHET N 2014 0332 urbanisme Lyon 8 Op ration Parc Marius Berliet Acquisitions fonci res Individualisation compl mentaire d autorisation de programme D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l am nagement N 2014 0333 urbanisme Lyon 8 Op ration Parc Marius Berliet Bilan de la concertation pr alable D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l am nagement M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Le Faou a t d sign comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0332 et 2014 0333 Monsieur Le Faou vous avez la parole M le Vice Pr sident LE FAOU rapporteur Monsieur le Pr si dent les rapports num ros 2014 0332 et 2014 0333 concernent l op ration du Parc Marius Berliet le premier pour l acquisition fonci re qui sera n cessaire la r alisation des voiries et le deuxi me sur le bilan de la concertation pr alable pour cette op ration mont e par l interm diaire d un projet urbain parte narial Avis favorable de la commission sur ces deux rapports M LE PRESIDENT J ai un temp
62. un peu mais on avait eu quelques surprises aussi dans le sous sol mais on ne nous a pas fait un proc s et cela tient toujours d ailleurs depuis il y a eu des surco ts effectivement On se rend bien compte que les choses ne sont pas livresques ou aussi politiques que dans cette assembl e Voil les quelques l ments que je voulais vous apporter puis qu il me semble que ce projet est en bonne voie II am nera un dynamisme sur l est lyonnais une reconqu te Il y a des friches industrielles reconqu rir il y a une ouverture sur le canal de Jonage c est dire qu il y a un ensemble coh rent de parcs habit s mais aussi de lieux vivre sans commune mesure avec ce qui tait pr c demment Cela a t fait une poque avec le Maire de Meyzieu et avec le Maire de D cines Charpieu m me si les choses sont parfois un petit peu plus compliqu es qu un simple accord Voil les quelques l ments que je voulais vous apporter en sachant raison garder sur ce dossier Merci de votre attention M LE PRESIDENT Merci chers coll gues Quelques mots Evidemment on est un peu dans des combats retardement puisque les d cisions on en discute ici ont t initi es il y a d j quelques ann es Je veux bien y revenir quelques minutes de mani re ce que les choses soient dites pour les nouveaux Maires qui sont l D abord premier point imagine t on que Lyon ne soit pas pour l Euro 2016 une des villes qui organisent l
63. us es de Pierre B nite et les b timents communautaires subdivisions et ateliers de la Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer un accord cadre de fourniture la suite d une proc dure d appel d offres ouvert D l gation g n rale aux ressources Direction de la logistique et des b timents Service de la gestion administrative et financi re M LE PRESIDENT La commission finances institutions et ressources a d sign madame la Vice Pr sidente Laurent comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0305 2014 0307 Madame Laurent vous avez la parole Mme la Vice Pr sidente LAURENT rapporteur Monsieur le Pr sident avis favorable de la commission sur l ensemble des dossiers M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur Mme la Vice Pr sidente LAURENT IV COMMISSION PROXIMIT ET ENVIRONNEMENT N 2014 0313 Communes du sch ma d am nagement et de gestion des eaux de l Est lyonnais SAGE de l Est lyonnais Mise en oeuvre des actions du SAGE Convention 2014 Direction de l eau N 2014 0314 Meyzieu Convention d application pour la ges tion nature de la pelouse s che alluviale de la Garenne sur le captage d eau potable de Meyzieu Attribution d une subvention au Conservatoire d espaces naturels Rh ne Alpes pour l an n e 2014 Direction de l eau M LE PRESIDENT La commission proximit et environnement a d sign monsieur le Conseiller Rabehi
64. zone A entre 11 2 et 11 5 et enfin le libre entre 12 5 et 14 5 En mati re d accession la propri t vous avez aujourd hui une accession la propri t qui commence 2 700 du m tre carr Je regardais par exemple puisque tout l heure nous avons vot le bilan des ZAC que 30 de la production dans des ZAC est moins de 2 800 du m tre carr Alors on a effectivement des prix 2 800 3 200 et cela va jusqu au loyer libre 5 200 ou 5 300 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 37 R sultat nous avons construit 105 000 logements en l espace de treize ans dont 41 400 logements sociaux Et je regarde ce que donnent un certain nombre de mesures qui ont t prises au niveau national et je m aper ois que et je vous donne tous les chiffres cela donnera une id e de ce que sont les choses en 2007 on a construit en France 465 000 logements en 2008 400 000 logements en 2009 c tait la crise 334 000 logements en 2010 346 000 logements en 2011 431 000 logements en 2012 345 000 logements en 2013 331 000 logements en 2014 310 000 logements en perspective Cela interroge tout de m me sur le fait que tout d un coup il y ait une baisse de la production de logements Si les choses taient formidables comme on le disait tout l heure le nombre de logements se serait accru Non L il a chut de mani re drastique Alors voil ce qu on essaie de faire
65. 0 March s bons de commande Disparition indice CS1D Autorisation de signer 2 avenants Direction de la voirie M LE PRESIDENT La commission d placements et voirie a d sign monsieur le Vice Pr sident Abadie comme rapporteur du dossier num ro 2014 0270 Monsieur Abadie vous avez la parole M le Vice Pr sident ABADIE rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident pour le dossier num ro 2014 0270 M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident ABADIE II COMMISSION D VELOPPEMENT CONOMIQUE N 2014 0277 Lyon _ Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribu tion d une subvention la Chambre de commerce et d industrie de Lyon CCIL pour la mise en oeuvre de son programme d actions sur la post cr ation en 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service d veloppement local N 2014 0278 Lyon_Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribu tion d une subvention la Chambre de commerce et d industrie de Lyon CCIL dans le cadre de son action Novacit 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique etinternational Direction des services aux entreprises Service d veloppement local N 2014 0279 Lyon Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribu tion d une subvention l Association d enseignement sup rieur commercial Rh ne Alpes
66. 014 0266 Demande d une subvention r gionale dans le cadre de la convention de fonctions d agglom ration et de centralit CFAC pour 2 actions exp rimentation d un mur digital num rique tude pr op rationnelle et mission d accompagnement l organisation d un v nement temporaire d innovation dans un p le d changes N 2014 0267 Villeurbanne Prolongation des rues Henri Legay et Jean Bertin Requalification de la rue Jean Bertin Cl ture et approbation du bilan de la concertation pr alable N 2014 0268 Lyon 3 R am nagement de la rue Garibaldi Tron on Vauban Bouchut Subvention de l Agence de l eau Rh ne M diterran e et Corse au profit de la Communaut urbaine de Lyon Individualisation compl mentaire d autorisation de programme N 2014 0269 Sathonay Camp Am nagement du carrefour RD 144 situ avenue Carnot Convention de ma trise d ouvrage unique avec le D partement du Rh ne N 2014 0270 March s bons de commande Disparition indice CS1D Autorisation de signer 2 avenants N 2014 0271 Travaux de g nie civil et maintenance sur petits ouvrages d art March s annuels bons de commande Lancement d une proc dure d appel d offres ouvert Autorisation de signer les march s N 2014 0272 D cines Charpieu Chassieu Travaux d accessibilit sud Grand Stade Lot n 6 ouvrages d art March n 2012 357 Autorisation de signer l avenant n 1 au march de travaux p 6 p 6
67. 2013 2014 Les services de la Ville et du Grand Lyon ont donc travaill la r daction du plan de gestion du site UNESCO qui a t pr sent d j au Conseil municipal de Lyon en janvier dernier et qui est d ailleurs accessible sur la plateforme web et consultable tout moment Ce travail se tient dans le cadre de l volution de la r glementation fran aise qui remplace la zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysag ancienne ZPPAUP cr e en 1983 par laire de mise en valeur de l architecture et du patrimoine la commission locale de l AVAP cr e en 2010 Pour concevoir son plan de gestion la Ville avait anticip l initiative de l Etat en 2007 2009 avec la r alisation d un diagnostic partag DRAC Ville de Lyon et Communaut urbaine Aujourd hui le projet de plan de gestion est r dig et il a fait l objet d une large consultation aupr s des acteurs locaux services experts associations L association Renaissance du Vieux Lyon les conseils de quartier le CIL le r seau UNESCO en particulier lors du congr s des villes du patrimoine en mai 2013 Ce plan de gestion s inscrit dans une continuit et non dans une r volution car en effet le besoin n est pas essentiellement d inventer mais d assurer une meilleure coordination pour faire mieux et donner de la lisibilit la gestion du patrimoine en interaction avec le projet urbain dans un environnement urbain et r glementaire en v
68. 22 me engagement de Fran ois Hollande avast t vot l unanimit et sans r serve par les d put s et senseurs de gauche y CHnpe ceux de noire aggipme ralon Il esi ice de comprendre pourquoi ce qu paraissait une excellente ki en mars est vid e de sa principale mesure en seplembre voeu Pour conient les prix des loyers sir l agglom ration honname et favoriser l acc s de bous un logement abordsie le Grand Lyon demande au gouvernement d appliquer l encaciemert des loyers dars l agglom ration tyonnsise camme le pr voit ia loi ALUR Hotel de Commanaste 28 rue da Lac EP 2103 65399 LYON caler 03 Tel M 2699 2889 j qrogerch granlyen ory Voeu d pos par le groupe Europe Ecologie Les Verts et le groupe Communiste et R publicain GRANDLYON communaut urbaine
69. C est tout fait indigne et nous voulons le souligner cette assembl e Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup Le groupe UMP M le Conseiller QUINIOU Monsieur le Pr sident nous inter viendrons deux voix sur ce rapport Chers coll gues ce rapport comme beaucoup d autres se pr sente sous un aspect tr s technique et pourtant il n y a pas besoin de creuser longtemps pour y faire appara tre les impacts financiers et politiques Et en cela ce rapport est critiquable sur plusieurs points D abord en nous proposant un avenant de 1 5 M soit 23 du march initial ce rapport nous propose de prendre un risque juridique majeur En pratique il y a lieu de consid rer qu une 12 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 augmentation par avenant de 15 20 ou plus du prix d un march est suceptible d tre regard e par le juge administratif comme bouleversant l conomie d un contrat en sachant que vous avez d j utilis pour ce m me dossier la latitude laiss e au ma tre d ouvrage dite de la d cision de poursuivre pour un montant de plus de 270 000 Cet avenant serait justifi selon vous par des obstacles non imputables aux parties et constitutifs de difficult s impr vues et exceptionnelles les fameuses suj tions techniques impr vues D une part je ferai remarquer l assembl e que comme lors du dernier Conseil pour le dossier du Pont Schuman il nous faut e
70. Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer un avenant financier et de prolongation de dur e D l gation g n rale aux ressources Direction des syst mes d information et des t l communications N 2014 0311 finances institutions et ressources Acquisition de micro ordinateurs de logiciels et de p riph riques associ s Autorisation de lancer et de signer un march public la suite d une proc dure d appel d offres ouvert D l gation g n rale aux ressources Direction des syst mes d information et des t l communications M LE PRESIDENT Madame la Conseill re Brugnera a t d sign e comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0310 et 2014 0311 Madame Brugnera vous avez la parole Mme la Conseill re BRUGNERA rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident 26 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 M LE PRESIDENT Le groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller MARTIN Monsieur le Pr sident madame le Rapporteur mes chers coll gues les deux d lib rations sur lesquelles vous nous demandez de nous prononcer ont pour objet l autorisation de lancer une proc dure d appel d offres relatif l acquisition de micro ordinateurs de logiciels et de p riph riques associ s et de conclure un avenant de prolongation et d augmentation de montants pour des prestations d infog rance informatique Ces deux march s sont impact s directement par l
71. Compte rendu des op rations d ur banisme en r gie directe Ann e 2013 Modification d autorisation d engagement Cl ture d op rations D l gation g n rale au d veloppement urbain Programmation et finances M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller Longueval a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0329 Monsieur Longueval vous avez la parole M le Conseiller LONGUEVAL rapporteur Merci monsieur le Pr sident Ce rapport concerne les comptes rendus financiers des op rations d urbanisme conc d es des am nageurs Il fait le point op ration par op ration ZAC par ZAC pour actualiser les participations restant verser La commission a donn un avis favorable M LE PRESIDENT autrement Merci bien Le groupe La M tropole M le Vice Pr sident LLUNG Monsieur le Pr sident chers coll gues apr s l intervention de Jean Wilfried Martin cette question me para t bien anodine Mais le groupe La M tropole autrement a choisi d avoir un propos et surtout de faire une proposition partir de ce rapport de comptes rendus d activit s Il s agit pour bien situer les choses des diff rentes op rations d urbanisme publiques ou d initiative publique ou en ma trise directe selon les cas dont les caract ristiques principales sont doubles d une part elles disposent d outils d am nagement et financiers je parle en g n ral des projets urbains partenariaux PUP ou bien des ZAC que nous con
72. GRANDLYON communaut urbaine Proc s verbal de la s ance publique du Conseil de communaut du 15 septembre 2014 SOMMAIRE Pr sidence de monsieur G rard Collomb Pr sident D signation d un secr taire de s ance Appel nominal D p ts de pouvoirs pour absence momentan e Installation de messieurs Pascal David Michel Denis et Morad Aggoun dans leurs fonctions de Conseillers communautaires Adoption du proc s verbal de la s ance publique du 23 juin 2014 Compte rendu des d cisions prises par le Bureau en vertu de la d l gation de principe accord e par la d lib ration n 2014 0006 du 23 avril 2014 dossier n 2014 0264 D signation de repr sentants de la Communaut urbaine au sein de la commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon dossier n 2014 0336 Voeu pr sent par le groupe Europe Ecologie Les Verts et le groupe Communiste et R publicain relatif l encadrement des loyers dans l agglom ration lyonnaise D bat et Annexe Les textes des d lib rations n 2014 0264 2014 0265 et 2014 0267 2014 0342 ont t publi s dans le recueil des actes administratifs n 489 N 2014 0264 Compte rendu des d cisions prises par le Bureau du 10 juillet 2014 en vertu de la d l gation de principe accord e par la d lib ration n 2014 0006 du 23 avril 2014 COMMISSION DEPLACEMENTS ET VOIRIE N 2014 0265 Lyon 1 Parc de stationnement Rozier Modification des modalit s de gestion N 2
73. Gillet qui est reconnu par tous ni m me sur le festival Mode d emploi qui est un bon festival que je souhaite intervenir mais plut t sur la vision que vous avez monsieur le Pr sident de la politique culturelle dans notre agglom ration la veille de la mise en place de la M tropole Pour cette manifestation de caract re r gional puisqu elle se d roule sur les territoires des agglom rations de Lyon de Saint Etienne et de Grenoble elle re oit d ailleurs une subvention de 400 000 du Conseil r gional Rh ne Alpes vous nous sollicitez pour une subvention de la Communaut urbaine de 100 000 En m me temps un des trois objectifs que vous recherchez et je vous cite dans votre rapport est de faire na tre un sentiment d appartenance communautaire et terme d appartenance au P le m tropolitain J avoue ma perplexit car en termes de visibilit je vois plus la R gion que la M tropole En compl ment donc de notre d bat de tout l heure se pose alors la question de la subsidiarit Quelle place souhaitez vous monsieur le Pr sident donner la culture dans la future M tro pole Est ce qu elle va prendre cette comp tence et dans ce cas il est urgent d en informer les autres collectivit s qui n ont pas forc ment envie de s en s parer Est ce qu elle va se limiter aux manifestations issues du Conseil g n ral Quid des nombreux quipements culturels dont certains sont issus du m me Conseil g n
74. Individualisation compl mentaire d autorisation de programme Direction de l eau M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller Gouverneyre a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0318 Monsieur Gouverneyre vous avez la parole M le Conseiller GOUVERNEYRE rapporteur Monsieur le Pr sident cette d lib ration porte sur une demande d individuali sation compl mentaire pour le projet d int gration visuelle et de r novation des quipements d assainissement du Siphon de La Mulati re situ s proximit imm diate du mus e des Confluence Bien que la commission se soit prononc e favorablement la pr sentation lors de celle ci a suscit des interrogations voire des avis partag s Depuis des l ments ont t apport s qui clairent cette d lib ration Cette op ration constitue l occasion de remettre en tat les installations cr es en 1960 et r nov es en 1980 ainsi que la mise en s curit des salari s intervenant sur le site Cet ouvrage constitue un quipement indispensable du syst me d assainissement du Grand Lyon Il doit tre maintenu donc en parfait tat de fonctionnement Entreprendre des travaux de r novation d s aujourd hui profitant de l int gration esth tique pr viendra tout dysfonctionnement ventuel r duira les nuisances olfactives constat es et surtout limitera les conduits terme par un phasage ult rieur La commission a rendu un avis favorable M LE PRESIDENT
75. Lyon Comme vous le savez cette Fondation abrite le fonds Jacques Cartier dont l objectif est de renforcer le dynamisme existant en mati re de coop ration scientifique technique et culturelle entre le Qu bec le Canada et l Europe Le sch ma de ces entretiens c est deux ans Lyon et la troisi me ann e Montr al Cette ann e c est la 27 dition elle aura lieu Montr al du 2 au 10 octobre Environ 25 colloques sont organis s je peux en citer deux ou trois qui paraissent particuli rement importants pour l agglom ration le colloque M tropole et patrimoine collo que sur la ville intelligente car vous savez que l on est bien plac pour cela colloque transport et mobilit Donc ce sont des changes tr s haut niveau et pour le Grand Lyon qui attache beaucoup d importance cette manifestation ils constituent le fer de lance de notre coop ration avec Montr al Compte tenu de ces l ments la commission a mis un avis favorable M LE PRESIDENT Merci beaucoup Une minute pour le Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM Mme la Conseill re PERRIN GILBERT Monsieur le Pr sident c est juste une explication de vote dans la continuit des votes pr c dents nous nous abstiendrons sur ce dossier M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s M le Conseiller COCHET Monsieur le Pr sident et chers coll gues san
76. Merci beaucoup J ai une intervention du groupe Communiste et r publicain M le Conseiller MILLET Monsieur le Pr sident chers coll gues cette d lib ration nous demande de financer une indivi dualisation compl mentaire d autorisation de programme de 1 3 M HT pour la r novation du b timent siphon et dessableur de Confluence Cette d cision comme il vient d tre dit a fait discuter en commission avec des avis tr s partag s et beaucoup d interrogations Nous ferons deux commentaires D abord nous remercions les services de l eau et son directeur monsieur Presle pour la pr cision des r ponses qu ils nous ont apport es tr s rapidement Nous comprenons qu il s agit d un quipement strat gique de notre syst me d assainissement puisqu il recueille les eaux us es de 300 000 habitants de la Presqu le de la Croix Rousse et de Caluire Nous comprenons que l ouvrage des ann es 60 et les quipements des ann es 80 doivent tre renouvel s et que la proximit du mus e et sa prochaine ouverture sont d abord des acc l rateurs de la d cision Vous nous avez pr cis que le surco t li l esth tique du bardage est de 800 000 HT Si ce surco t nous a fait r agir nous comprenons bien que le projet est l gitime ind pendamment de ce que chacun peut penser du mus e lui m me et de ses d rives budg taires Nous comprenons enfin que ce d passement r sulte de complexit s techniques qui avaient
77. N 2014 0340 urbanisme Plan de soutien 2013 Aide la primo accession pour le logement collectif neuf Modification des crit res d attribution D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Brachet a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0340 Monsieur Brachet vous avez la parole M le Vice Pr sident BRACHET rapporteur Monsieur le Pr sident chers coll gues nous venons sur le plan de soutien 3 pour lequel nous demandons une d lib ration qui vise largir le recrutement des client les ligibles essentiellement par le double proc d d acheteurs qui seraient ligibles au pr t taux z ro mais qui ne l auraient pas forc ment obtenu tant donn les difficult s et l administration de ce pr t qui est tr s complexe cause de cela un certain nombre de gens renoncent et nous consid rons au bout du compte que c est dommage donc nous leur facilitons les choses tout en ne modifiant pas les conditions d ligibilit Par ailleurs des modifications de zonage sont intervenues j y reviendrai tout de suite apr s qui permettent de r valuer les plafonds de ressources des personnes concern es et donc d largir l assiette de recrutement ce plan 3 A Je rappelle que ce plan 3 A est un plan qui a t mis en place pour r agir un retrait de la production neuve qui a d
78. Pape la SARL SCIC Graines de sol et Allies Plie de Lyon pour l ann e 2014 D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain N 2014 0274 d veloppement conomique Bron Feyzin Givors Lyon Oullins Pierre B nite Rillieux la Pape Saint Fons Saint Genis Laval V nissieux Irigny Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Attribu tion de subventions aux coop ratives d activit s et d emploi au titre de leurs programmes d action pour l ann e 2014 D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain N 2014 0275 d veloppement conomique Vaulx en Velin Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Ecole de la 2 chance et dispositif Groupement de jeunes cr ateurs Attribution de subventions l association Vaulx agglo 2 chance et la Commune D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppe ment solidaire urbain N 2014 0276 d veloppement conomique Contraturbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Actions d agglom ration en faveur de la plateforme mobilit emploi insertion Attribution d une subvention l association Uni Est au titre de l ann e 2014 D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du
79. RESIDENT Merci bien Monsieur Brachet veut dire quelques mots Pardon l intervention de l UMP divers droite et apparent s avant M le Conseiller HAVARD Merci monsieur le Pr sident Mes chers coll gues une intervention sur cette modification des crit res d ligibilit au plan 3 A avec la modification du zonage et la d connexion du PTZ qui va effectivement permettre de pouvoir largir l assiette J avais eu l occasion d intervenir lors de sa mise en place C est une id e que j avais promue par ailleurs en regrettant ce moment l que la question de l assiette n ait pas t pos e d s l origine en permettant un public plus large de pouvoir b n ficier de cedispositif Alors deux constats pr alables d abord la production de logements est catastrophique en France comme jamais elle l a t Je voudrais tout de m me rappeler ici que les cons quences de la loi ALUR sont d sas treuses la loi ALUR que vous avez vot e monsieur le S nateur sont catastrophiques sur ce domaine d activit et que m me si les grandes agglom rations semblent un peu plus pargn es que les autres globalement la situation du logement en France est catastrophique ensuite redire que la question de la mixit sociale effectivement doit se poser avec le prisme de permettre l ensemble des familles quelle que soit leur situation de pouvoir vivre en ville Et c est vrai que dans notre agglom ration pour les familles
80. Rapporteur Mme la Vice Pr sidente PICOT N 2014 0309 finances institutions et ressources R servation et achats de titres de transports en France et l tranger pour les d placements et l h bergement des lus et des personnels de la Communaut urbaine de Lyon etprestations annexes Autorisation de signer le march de services la suite d une proc dure adap t e D l gation g n rale aux ressources Direction des affaires juridiques et de la commande publique M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller d l gu Rousseau a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0309 Monsieur Rousseau vous avez la parole M le Conseiller d l gu ROUSSEAU rapporteur Avis favo rable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Merci bien Il s agit de probl mes de d placements Il y a une intervention du groupe Front national M le Conseiller BOUDOT Je retire mon intervention je ne voudrais pas accabler monsieur Vincent Merci M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s M le Conseiller FROMAIN Monsieur le Pr sident chers coll gues les deux rapports qui nous sont soumis sont d une certaine banalit M LE PRESIDENT I n y en a qu un pour le moment M le Conseiller FROMAIN Mon intervention porte sur les dossiers num ros 2014 0308 et 2014 0309 Puisque dans toute collectivit il est normal q
81. a cr ation de la future M tropole de Lyon les services du Grand Lyon devant d s le 1 janvier 2015 int grer les applications et syst mes d information du D partement pour les comp tences qui lui seront transf r es Et c est bien l o le b t blesse Que ce soit pour les prestations d infog rance ou pour le march de micro ordinateurs les services du Grand Lyon ont t dans l incapacit de fournir aux lus les impacts de la cr ation de la M tropole tant en nombre de micro ordinateurs acqu rir qu en nombre d applications informatiques transf r es int grer dans le contrat d infog rance et ce pour une raison simple ils sont dans le flou le plus total Et quand c est flou c est qu il y a un loup Notre groupe ne peut que s tonner et s inqui ter de cet tat de fait et des cons quences venir alors que les premiers ateliers et groupes de travail interservices ont t mis en place d s janvier 2013 soit il y a plus d un an et demi d j Dans le cas bien particulier de ces deux d lib rations il est aberrant qu quatre mois de l int gration effective aucun plan d urbanisme des syst mes d information ne soit encore en place Cela pose des questions juridiques et financi res Plus particuli rement pour l avenant relatif au march d infog rance qui est de plus de 19 du montant initial du march soit 1 8 M TTC ce pourrait tr s bien tre consid r par un juge administratif comme bo
82. aint Priest V nissieux Plan national de renouvellement urbain Prolongation de la dur e du programme Conventions avec la R gion Rh ne Alpes pour les actions sous ma trise d ouvrage de la Communaut urbaine de Lyon Plan de soutien 2013 Aide la primo accession pour le logement collectif neuf Modification des crit res d attribution Dardilly Esplanade de la Poste Op ration d am nagement en r gie directe Bilan pr visionnel Individualisation partielle d autorisation d engagement Lyon 3 Reconversion de la friche RVI nord Diminution d autorisations de programme Individualisation compl mentaire d autorisation de programme p p p p p p p p p p p 28 2 8 45 29 31 31 45 45 32 45 37 6 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Pr sidence de monsieur G rard Collomb Pr sident Le lundi 15 septembre 2014 15 heures mesdames et mes sieurs les membres du Conseil de communaut d ment convo qu s le 5 septembre 2014 en s ance publique par monsieur le Pr sident se sont r unis l h tel de Communaut dans la salle des d lib rations sous la pr sidence de monsieur G rard Collomb Pr sident D signation d un secr taire de s ance M LE PRESIDENT Pour notre s ance de ce jour je vous propose de d signer madame Elsa Michonneau pour assurer les fonctions de secr taire et proc der
83. ais si on peut se r jouir que les promoteurs participent demain gr ce au PUP hauteur de 5 M aux quipements publics que sont ces 5 M au regard de la plus value r alis e lors de la modification du plan local d urbanisme Ce chiffre est sans aucune mesure et pose aujourd hui question Alors puisque j ai d j eu l occasion de l interroger ce sujet je sais que votre Vice Pr sident en charge de ce dossier monsieur Michel Le Faou se r jouira qu on compte au milieu des investisseurs priv s b n ficiaires de cette plus value l Etat participant ainsi au redressement des finances nationales redressement qui vous est cher monsieur le Pr sident Plus s rieusement monsieur Michel Le Faou vient de nous dire que l volution de la taxe d am nagement sur le diffus ou l utilisation du PUP sur le diffus taient des pistes qu il convenait de travailler Il en est une autre monsieur le Pr sident je pense qui est une meilleure utilisation des plus values n es des modifications de notre PLU sur les PUP venir Une telle utilisation monsieur le Pr sident n est aujourd hui pas possible par la loi je le sais mais il convient peut tre de s y pencher Je sais la proximit que vous avez et je crois qu au S nat et priori vous n tes pas parti pour abandonner cette casquette vous voulez toujours d fendre votre Ville et les Grands Lyonnais aujourd hui je vous demanderai d essayer de porter cette voluti
84. arce que la part des propri taires occupants a r augment et c est pour cela que dans l agglom ration aujourd hui on n a pas d effondrement du march mais on a le m me niveau de production Alors voil on va essayer de continuer sur la m me ligne parce qu on a vu par le pass que c tait porteur et c est comme cela que l on r soudra le probl me du logement dans l agglom ration Applaudissements M le Conseiller COCHET Nous allons voter pour mais simple ment monsieur le Pr sident apr s cette d claration il faut tout de m me g rer ses contradictions Vous tes contre une loi que vous avez vot e aucun moment vous n avez mis ces r serves que vous exprimez dans cette salle et je vous rejoins quant au fond de ces r serves Mais je pense qu un moment ou un autre on ne peut pas avoir un double discours Vous avez vot cette loi et aujourd hui vous dites tout le mal qu il y a Donc nous voterons pour M LE PRESIDENT Vous regarderez qu en premi re lecture au S nat je n ai pas vot la loi et qu ensuite il y a eu une commission mixte paritaire qui a vot la loi Non non non Premi re lecture regardez Et j ai toujours eu le m me discours depuis toujours et le premier texte au S nat qui est venu apr s l lection pr sidentielle c tait un texte sur le logement et j ai dit Attention ce qu on fait parce que j ai une petite exp rience de la fa on dont on produit du logement et de
85. ationnement Rappelons que la Ville de Lyon reste gestionnaire de la dalle jardin qui se trouve au dessus du parc Comment seront g r s l avenir d ventuels probl mes par exemple li s l tanch it Nous regrettons l absence de concertation avec l arrondissement mais nous regrettons surtout que cette d cision soit totalement d connect e de la r flexion sur l avenir de la circulation et du stationnement sur les pentes de la Croix Rousse Nous risquons fort de ne pas corriger l erreur due l absence de projection dans la dur e faite par nos pr d cesseurs mais au contraire de nous inscrire dans la m me ligne au fil de l eau Nous nous r jouissons de voir prise en compte dans le rapport de la commission la proposition qui a t faite de mise en consultation pour le choix du b n ficiaire de la convention d occupation pr caire Mais toutefois en l absence de r ponses nos attentes nous nous abstiendrons sur cette d lib ration M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Lyon M tropole gauche solidaires Mme la Conseill re RABATEL Monsieur le Pr sident chers coll gues le groupe Lyon M tropole gauche solidaires comprend qu une d l gation de service public m me simplifi e est lourde g rer pour 40 places de r sidents Le groupe cependant souhaite alerter sur ce changement de modalit s de gestion du parc Rozier Nous souhaitons que ce changement n entra ne pas une aug mentation du tarif d
86. aut urbaine de Lyon et le Syndicat des eaux de Millery Mornant Genay Cr ation d am nagements de lutte contre le ruissellement agricole Talweg du Lay Lancement de la proc dure de d claration d int r t g n ral Fonds de solidarit pour le logement Convention d partementale solidarit eau Cr ances susceptibles d tre abandonn es par la Communaut urbaine de Lyon pour l ann e 2014 Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l Association pour le d veloppement m dical et l aide humanitaire au Cambodge ADMAHC pour le projet de mise en place de 254 latrines et 5 toilettes publiques dans la Commune rurale de Phteas Kandal Cambodge Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Union de groupements paysans d Ambam Ma an Olamze UGPAMO pour le projet Projet d hydraulique rurale dans le d partement de la vall e du Ntem Cameroun Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Inter aide pour le projet Acc s l eau potable hygi ne et assainissement et maintenance des infrastructures dans 6 districts du sud de l Ethiopie Kindo Didaye Damot Gale Ofa Boloso Sore Boloso Bombe et Hadero Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Savoir donner pour le projet de construction de 7 puits agro pastoraux dans les Communes de Kell et Gour Niger Coop ration d centralis e avec Madagascar Attribution d une su
87. aux outils d observation et de d bat Il int gre aussi comme cela a t soulign la question majeure de la r novation thermique de ces b timents qui ont un int r t patrimonial et pour lesquels les actions de r novation thermique sont assez difficiles appr hender dans certaines situations Le patrimoine est bien videmment un l ment formidable vecteur de d veloppement touristique et de bien tre pour les habitants et c est ainsi que nous menons aussi des actions fortes sur certains espaces publics qui viennent en accompagnement de ce que nous pouvons r aliser sur le patrimoine et je pense notamment aux traitements qui ont pu tre apport s sur certains espaces publics comme la place Bellecour les Jacobins ou au niveau des Brotteaux Ce plan de gestion vise pr server l avenir de notre patrimoine pour les g n rations futures et c est l objet de cette d lib ration que nous votons ce soir Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci Je mets ces rapports aux voix Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU N 2014 0336 urbanisme Lyon Commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon quartiers Saint Jean Saint Georges et Saint Paul de l Aire de mise en valeur de l architecture et du patrimoine AVAP de la Croix Rousse et du site historique de Lyon D signation des repr sentants du Conseil D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de la plan
88. avons que derri re l organisation adminis trative et budg taire il y a de nombreuses personnalit s des chercheurs des enseignants des tudiants qui se mobilisent pour favoriser les changes universitaires et faire avancer la connaissance Aussi ils ne doivent pas p tir des erreurs de gestionnaires peu scrupuleux Nous ne remettons pas en cause le fondement de l aide mais nous demandons qu elle fasse l objet d un contr le accru par la mise en place de crit res pr cis sur des r sultats attendus la gouvernance et la tenue de la comptabilit C est pourquoi dans l attente de ces l ments de r ponse notre groupe s abstiendra sur ce dossier M LE PRESIDENT Merci bien Je veux rappeler tout de m me que comme vous venez de le souligner les Entretiens Jacques Cartier mobilisent un grand nombre d universitaires de chefs d entreprise de scientifiques et que la contribution du Grand Lyon est de 20 000 sur un budget de 500 000 Donc si vous voulez on ne va peut tre pas tout de suite jeter le b b avec l eau du bain et donc nous continuerons Comme vous le savez je me rendrai Montr al Le Maire de Montr al tient beaucoup aux Entretiens Jacques Cartier parce qu il y voit une preuve de coop ration entre la Ville de Lyon et la Ville de Montr al je pense sur le plan d un certain nombre de secteurs que nous voulons d velopper le num rique par exemple Nous avons beaucoup gagner continuer ent
89. b ration et nous notons que si le comit technique paritaire a donn un avis favorable c est avec un vote tout fait partag S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 39 Au total cette d lib ration ne r pond pas aux questions que nous avions pos es il y a un an Cependant tant donn que cet quipement est utile nous voterons la d lib ration en souhaitant que dans le cahier des charges de consultation il y ait un vrai travail pour r pondre nos deux interrogations Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je mets aux voix le dossier pour groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste etr publicain M Charles et Mme Vessiller Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM groupe Front national MM Aggoun Calvel Non inscrits contre n ant abstention groupe Europe Ecologie Les Verts et apparent s sauf M Charles et Mme Vessiller qui ont vot pour Rapporteur M le Conseiller RABEHI N 2014 0318 proximit et environnement Lyon 2 Lyon Confluence Assainissement B timent siphon et dessableur
90. beaucoup de demandeurs d emplois dans l agglom ration je dis pas beaucoup en pensant tr s peu mais comme il est impossible d avoir des chiffres pr cis l dessus par les entreprises et acteurs de cette construction je m en contente et on a encore moins d informations d OL Groupe Avec madame le Maire de D cines Charpieu nous avons d j sollicit plusieurs reprises les repr sentants de l OL pour travailler en amont sur cette phase d exploitation et pr parer avec les acteurs locaux de l emploi de l est lyonnais et du territoire de Rh ne Amont la formation des publics qui pourraient r pondre ces futurs emplois Il s agit de plus d emplois dans des secteurs o le P le emploi a du mal trouver des candidats la restauration l h tellerie la s curit l entretien AGEFOS ici nous propose de faire plusieurs enqu tes qui permettront d valuer les besoins en mati re d emplois induits par la construction de ce stade Soit Mais faisons attention ne pas financer des choses qui sont videntes Par exemple s interroger sur les besoins des futures implantations sur le lieu du projet l OL pourrait y r pondre parfaitement s il en a la volont bien entendu ou encore l analyse des entreprises impact es par cet quipement peut tre faite par les services de la CCI En ma qualit de membre du groupe de travail anim par AGEFOS j mets les plus grandes r serves sur ce travail car aucun repr sen
91. bilan de la concertation pr alable Direction de la voirie M LE PRESIDENT La commission d placements et voirie a d sign monsieur le Vice Pr sident Crimier comme rapporteur du dossier num ro 2014 0267 Monsieur Abadie vous avez la parole M le Vice Pr sident ABADIE rapporteur en remplacement de M le Vice Pr sident CRIMIER absent momentan ment Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident ABADIE N 2014 0269 Sathonay Camp Am nagement du carre four RD 144 situ avenue Carnot Convention de ma trise d ouvrage unique avec le D partement du Rh ne Direction de la voirie M LE PRESIDENT La commission d placements et voirie a d sign monsieur le Vice Pr sident Da Passano comme rapporteur du dossier num ro 2014 0269 Monsieur Da Passano vous avez la parole M le Vice Pr sident DA PASSANO rapporteur Avis favo rable de la commission monsieur le Pr sident pour l am na gement de ce carrefour trois branches M LE PRESIDENT Donc les trois branches sont faites par le Grand Lyon ou par le D partement et le Grand Lyon M le Vice Pr sident DA PASSANO Nous nous les parta geons monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Ce sera l efficacit de la M tropole Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident DA PASSANO N 2014 027
92. bility Systems Attribution d une subvention la soci t Matelys pour le programme de recherche et de d veloppement Ecobex P le de comp titivit Lyonbiop le Soutien au projet de recherche et de d veloppement R amp D Imaging diagnostic and treatment of prostate cancer IDITOP Avenant n 1 la convention de subvention du 21 d cembre 2011 avec la soci t EDAP TMS P le de comp titivit Lyonbiop le Attribution d une subvention la soci t Rescoll pour son programme de recherche et d veloppement R amp D H amp M P le de comp titivit TECHTERA Attribution d une subvention la soci t Influtherm pour le projet de recherche et de d veloppement R amp D SOLARCLYM II P le de comp titivit Lyonbiop le Soutien au programme de recherche et d veloppement POLYBIO Avenant n 2 la convention de subvention du 21 septembre 2010 avec la soci t Aguettant P le de comp titivit AXELERA Op ration plan campus Projet de construction de la plateforme d innovation Axel One Avenant la convention de ma trise d ouvrage confi e par l tat Minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche P le de comp titivit Imaginove Attribution d une subvention l association Imaginove pour son programme d actions 2014 P le de comp titivit Axelera Approbation de la participation de la Communaut urbaine de Lyon au projet SMILE et attribution de subventions la soci t ins
93. blique d nonciez ceux qui sont d pendants de la doxa d un parti et qui je cite par leur jugement dogmatique portent une lourde responsabilit pour tout le monde pour les investisseurs pour les acc dants la propri t mais galement pour le logement social Tout cela contre les lus de votre propre majorit Mais chut Ils ne se sont pas encore rendu compte de la duperie et ils votent beno tement vos rapports Ce qui nous inqui te c est qu il nous semble que d autres lus ont eux aussi eu affaire cette amn sie politique passag re de vos vraies convictions L encore faisons silence Peut tre qu avec un peu de chance ils ne s en rendront pas compte avant le passage la M tropole et le vote du prochain budget M LE PRESIDENT Merci beaucoup Madame Rabatel Mme la Conseill re RABATEL Une explication de vote Le groupe Lyon M tropole gauche solidaires votera pour le v u pr sent par le groupe Europe Ecologie Les Verts et apparent s et le groupe Communiste et r publicain 48 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Nous souhaitons apporter deux pr cisions dans les attendus de ce v u nous aurions souhait une phrase sur les efforts r alis s en termes de logements sociaux sur Lyon et le Grand Lyon et nous ne doutons pas que cela continuera dans ce mandat deuxi mement nous ajoutons que nous souhaitons une discussion qui a commenc un peu ce soir mais qui soit encore plu
94. bre des membres du coll ge des repr sentants du personnel et de celui des membres du coll ge des repr sentants de l tablissement D l gation g n rale aux ressources Direction des ressources humaines N 2014 0302 Comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT de la Communaut urbaine de Lyon Fixation du nombre des membres du coll ge des repr sentants du personnel et de celui des membres du coll ge des repr sentants de l tablissement D l gation g n rale aux ressources Direction des ressources humaines N 2014 0303 Organisation Lyon les 10 et 11 d cembre 2014 par le Centre national de la fonction publique territoriale CNFPT sous l gide de l Institut national des tudes territoriales INET des Entretiens territoriaux de Strasbourg ETS Attribution d une subvention au CNFPT D l gation g n rale aux ressources Direction des ressources humaines N 2014 0308 Organisation de d placements de d l gations Ville de Lyon Communaut urbaine de Lyon Autorisation de signer l accord cadre de prestations de services la suite d une proc dure adapt e D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des ressources et de la performance M LE PRESIDENT La commission finances institutions et ressources a d sign monsieur le Conseiller d l gu Rousseau comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0301 2014 0303 et 2014 0308
95. bvention la Commune d Ambohimahasoa pour le projet De l eau potable au c ur de la ville d Ambohimahasoa r gion Haute Matsiatra Madagascar Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention la Commune d Anjoma pour le projet De l eau potable au c ur de la ville Commune rurale d Anjoma Madagascar Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention la Commune de Vohiposa pour le projet Un r seau d eau g r professionnellement pour le d veloppement de la Commune de Vohiposa Madagascar COMMISSION URBANISME N 2014 0329 N 2014 0330 N 2014 0331 Op rations d urbanisme Comptes rendus financiers au conc dant Ann e 2013 Compte rendu des op rations d urbanisme en r gie directe Ann e 2013 Modification d autorisation d engagement Cl ture d op rations Villeurbanne Renouvellement urbain et d veloppement solidaire Plan local de lutte contre les discriminations Attribution de subventions aux associations Centre r gional de ressources pour le d veloppement social urbain CRDSU Moderniser sans exclure MSE Unis Cit Rh ne Alpes Institut Bioforce P le d veloppement local Association villeurbannaise du droit au logement AVDL et la Commune p p p p p p p p p p p p p p p p p p p p 38 44 44 44 45 45 39 45 45 45 40 41 41 41
96. c dure de conception r alisation et ma trise d ouvrage confi e la Ville de V nissieux Le jury de concours a proc d au choix du candidat retenu pour cette op ration Les d penses engag es par la Ville sur ce dossier se montent pr s de 240 000 La friche de l ancienne cit scolaire situ e juste en face du nouveau lyc e va tre r troc d e au Grand Lyon par la R gion Toute cette partie repr sente une opportunit de d veloppement du quartier en lien et en coh rence avec le projet C ur de ville Il est d ailleurs question de cr er une rue pour mieux desservir la nouvelle cole du centre ville En attendant il est important que cette zone soit trait e et am nag e Cela commence par sa s curi sation un enjeu de s curit et de tranquillit pour les habitants Je voudrais compl ter ce propos en soulignant le travail engag entre la Ville de V nissieux et l Op ra de Lyon depuis 2005 Un travail de terrain avecles quipements culturels les associations les habitants Il a permis de casser des pr jug s de rendre cet art accessible au plus grand nombre Chaque ann e des jeunes V nissians int grent la ma trise de l Op ra de Lyon et ce dernier se produit tous les ans sur le festival F tes escales Si le projet de Pr fabrique est un enjeu pour notre ville et notre quartier il d passe aussi largement les fronti res de notre commune car il conforte la place de la culture dans l agglom ration lyonnai
97. cessaire des quipements notamment du club house qui doit tre finalement reconstruit S il s agissait d une gestion en r gie ou par un syndicat intercommunal j imagine d j les discours que nous aurions entendus sur les m faits de la gestion publique et les bienfaits de la gestion priv e C est pourquoi nous sommes surpris devant cette d lib ration qui n en dit pas plus sur nos objectifs Enfin si cet quipement a t confi par la Commune de Chassieu notre Communaut urbaine il nous semble que cela devrait conduire une politique active d largissement du public en lien notamment avec les Communes riveraines Par contre la d lib ration reprend tr s longuement l argumen aire d j utilis pour d autres sujets sur le mode de gestion pour lequel il nous semble que nos services utilisent un cadre standard qui pourrait nous conduire si nous n y prenons pas garde l appliquer toute d cision de mode de gestion par exemple la notion de risques qu ils soient techniques ou financiers semble dans le cas de ce golf relativement limit e par rapport la gestion d un incin rateur ou d un r seau de chaleur Certes la gestion d un golf n est sans doute pas au c ur de nos missions publiques Ce qui dans ce cas pourrait justifier une gestion externe pour ne pas avoir organiser en interne les ressources humaines n cessaires Mais ce n est m me pas l argument principal utilis dans la d li
98. ci beaucoup J ai une demande de temps de parole du groupe Lyon M tropole solidaire Mme la Conseill re COCHET Monsieur le Pr sident chers coll gues voici un an se mettait en place l exp rimentation du plan 3 A accession prix abordable sur le Grand Lyon dans le but de soutenir l accessibilit la propri t sur le logement collectif neuf des co ts abordables pour les m nages Dressons en un rapide bilan Les promoteurs et organismes de logements sociaux ont pleinement jou le jeu et produit une offre de logements labellis s abordables de pr s de 2 000 logements fin juin 2014 soit 45 de l offre sur le Grand Lyon En 2014 ils ont repr sent 22 des logements produits rapprocher des 20 de loge ments sociaux produits sur la m me p riode Le nombre de m nages acqu reurs de pr s de 400 cependant pour pr s de 2 000 logements possibles est donc moins important que pr vu La politique de l offre semble donc ne pas tre la seule solution Pourquoi En r alit le dispositif de logements abordables s adosse sur l obtention de pr ts taux z ro dits PTZ le Vice Pr sident en a parl Or d une part de nombreux m nages sont au dessus du niveau de ressources requis et d autres part ceux qui sont dans la norme n ont pas les moyens pour emprunter Il faudrait donc r fl chir des ajustements et analyser plus profond ment la racine de la r ussite incompl te de ce syst me int
99. citoyens et d s la mise en uvre du PLU en 2005 nous avons mobilis un certain nombre d outils pour prot ger le patrimoine que ce soit les l ments b tis pr server mais aussi les p rim tres d int r ts patrimoniaux qui ont t ins r s dans le PLU Cette volont de pr servation s accompagne d une envie de faire de notre patrimoine des lieux vivants au contraire de le mettre sous cloche comme l indiquait tout l heure notre coll gue Georges Kepenekian Donc c est ce qui caract rise aujourd hui notre plan de gestion du p rim tre UNESCO Nous pensons qu il n y a pas de pr servation sans reconversion et c est ce qui a guid et qui guide nos actions dans les reconversions de certaines friches qui ont un caract re patrimonial je pense notamment certaines friches hospitali res comme Debrousse l Antiquaille ou l H tel Dieu certaines friches administratives comme la prison ou le parc Blandan ainsi que des friches industrielles comme la Manufacture des tabacs Au fil de l eau et au niveau de la Ville et du Grand Lyon nous avons su reconvertir des l ments patrimoniaux qui rev taient un int r t pour la m moire collective et nous souhaitons par le biais de ces actions et notamment par la mise en place de ce plan de gestion poursuivre ces actions en ce sens S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 31 Le plan de gestion qui est mis en place s int resse aux outils d urbanisme r glementaire
100. cole de la 2 chance et dispositif Groupement de jeunes cr ateurs Attribution de subventions l association Vaulx agglo 2 chance et la Commune Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Actions d agglom ration en faveur de la plateforme mobilit emploi insertion Attribution d une subvention l association Uni Est au titre de l ann e 2014 Lyon_ Ville de l Entrepreneuriat L_ VE Attribution d une subvention la Chambre de commerce et d industrie de Lyon CCIL pour la mise en oeuvre de son programme d actions sur la post cr ation en 2014 Lyon_ Ville de l Entrepreneuriat L_ VE Attribution d une subvention la Chambre de commerce et d industrie de Lyon CCIL dans le cadre de son action Novacit 2014 Lyon_ Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribution d une subvention l Association d enseignement sup rieur commercial Rh ne Alpes AESCRA pour l organisation de l dition 2014 du World entrepreneurship forum WEF et pour son programme d actions incubateur 2014 Lyon_Ville de l Entrepreneuriat L_VE Attribution d une subvention l association PlaNet Adam Cr acteurs pour son programme d actions 2014 P le de comp titivit Techtera Soutien au projet de recherche et de d veloppement Virtex Avenant la convention de subvention du 07 juillet 2011 avec la soci t Brochier technologies P le de comp titivit Lyon urban Truck et Bus LUTB Transport and mo
101. d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld a t d sign comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0273 2014 0276 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Monsieur le Pr sident quatre rapports ayant pour cadre le contrat urbain de coh sion sociale avec un accompagnement la cr ation d entreprises avec un soutien la Maison de l emploi Rh ne Sud aux coop ratives d activit s un soutien l cole de la deuxi me chance et un soutien la plateforme mobilit avec un avis favorable de la commission M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Communiste intervention retir e Le groupe Socialiste intervention retir e Le groupe UMP M le Conseiller BARRET Nous interviendrons deux voix sur ce dossier monsieur Rabehi me succ dera Monsieur le Pr sident chers coll gues nous d lib rons sur une s rie de rapports qui concernent les subventions du Grand Lyon plusieurs dispositifs et associations dont l objectif est selon les cas de favoriser l insertion et l emploi par des formations la lev e de frein la mobilit l accompagnement la cr ation d entreprises Le soutien de la Communaut urbaine ces actions depuis des ann es est tr s important pour ces dispositifs et les personnes concern es surtout en cette p riode de grande difficult conomique et de ch mage Il se trouve que ces projet
102. de que le Front National est le seul aujourd hui d fendre et depuis toujours Ainsi je vous demande de bien vouloir ajouter la liste des crit res d ligibilit de ce dispositif celui de la priorit nationale fran aise afin d tre en accord avec les aspirations profondes de nos compatriotes Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci bien Je donne la parole au groupe GRAM Mme la Conseill re PERRIN GILBERT Mesdames et mes sieurs les Vice Pr sidentes Vice Pr sidents Conseill res et Conseillers le groupe GRAM n entrera pas dans les d tails techniques de cette d lib ration d tails qui concernent les conditions d ligibilit des b n ficiaires de l aide la primo accession les contraintes du PTZ l largissement des conditions de labellisation certains programmes de logements individuels group s Nous pr f rons analyser sur le fond cette d lib ration d aide la primo accession et essayer de regarder ce qu elle r v le en mati re de politique d habitat mais aussi de politique g n rale Le groupe Europe Ecologie Les Verts et le groupe Communiste et r publicain proposeront au vote de notre assembl e tout l heure un v u demandant l application de l encadrement des loyers de l agglom ration lyonnaise Vous avez d j dit ici m me et dans la presse monsieur le Pr sident ce que vous pensiez de la loi ALUR et votre Vice Pr sident monsieur Brachet l a fait aussi par voie de
103. de l laboration des chiffrages ne pas estimer l al a un peu comme si lors d un trajet les temps estim s ne prenaient en compte ni les bouchons ni la m t o Nous ne sommes pas dans un monde parfait monsieur le Pr sident et la fameuse loi de Murphy se trouve souvent v rifi e Malheureusement si lors d un trajet en voiture les al as aboutissent un simple retard sans cons quence ici ce sont des millions d euros qui sont engloutis chaque mauvais pas et ces sommes sont n cessairement prises sur d autres investissements sauf nous expliquer que vous avez de l argent dormant ailleurs et cela est une autre histoire Nous avons bien vu votre tentative de masquer cette augmen tation en inscrivant dans la d lib ration que malgr l avenant le budget est moins lev que l estimation de l Etat mais chacun conna t ici cette technique de surestimer un quipement pour tenter de d montrer le r alisme des pseudo conomies Enfin monsieur le Pr sident c est la m thode m me de fonction nement que nous ne partageons pas et qui nous am ne voter contre ce dossier D ailleurs la m thode nous a t clairement nonc e par monsieur Rivalta pendant la commission alors que nous souhaitions d battre et travailler sur le contenu du dossier ce dernier nous a fait une grande d monstration de d mocratie Je me permets de le citer Vous pouvez bien voter contre comme nous avons la majorit nous faisons ce que nou
104. dressement productif pour discuter avec le repreneur sur le fait de r cup rer les marques et les moules pour pr server cette activit Trop t t ou trop tard nous n avons pas pu sauver les emplois de lave linge Pour viter que cette situation se reproduise nous souhaitons travailler dans ces deux domaines propos s par l tude des salari s qui sont l conomie circulaire et l conomie de fonction nalit l conomie circulaire c est dire la capacit de r utiliser et de remettre niveau et de reproduire partir de pi ces recy cl es l conomie de fonctionnalit c est dire la possibilit de passer de la propri t l usage et de r fl chir sur les nouveaux mod les conomiques Dans le domaine de la production de lave linge cela veut dire par exemple dans l conomie de fonctionnalit imiter ce que font les Scandinaves ce que font les Canadiens ce que font les Suisses ce que commencent faire l Italie et l Espagne c est dire travailler en urbanisme et en architecture la cr ation de buanderies collectives et communes ce qui permet de passer un abonnement et non pas un achat ce qui fait que l usager paie l usage et non pas la propri t cela fait que le producteur a int r t produire des appareils qui durent plut t que des appareils obsolescence programm e et tout le monde y gagne Cela interroge aussi une autre de nos politiques qui est la fili re de recyclage qui au
105. ds de solidarit pour le logement Convention d partementale solidarit eau Cr ances susceptibles d tre abandonn es par la Communaut urbaine de Lyon pour l an n e 2014 Direction de l eau M LE PRESIDENT La commission proximit et environnement a d sign monsieur le Conseiller Gouverneyre comme rap porteur des dossiers num ros 2014 0319 et 2014 0321 Mon sieur Gouverneyre vous avez la parole M le Conseiller GOUVERNEYRE rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur M le Conseiller GOUVERNEYRE N 2014 0326 Coop ration d centralis e avec Madagascar Attribution d une subvention la Commune d Ambohimahasoa pour le projet De l eau potable au c ur de la ville d Ambohimahasoa r gion Haute Matsiatra Madagascar Direction de l eau M LE PRESIDENT La commission proximit et environnement a d sign monsieur le Conseiller Barge comme rapporteur du dossier num ro 2014 0321 Monsieur Barge vous avezla parole M le Conseiller GOUVERNEYRE rapporteur en remplace ment de M le Conseiller BARGE absent momentan ment Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Conseiller GOUVERNEYRE V COMMISSION URBANISME N 2014 0334 Bron Op ration de renouvellement urbain ORU de Terraillon Dis
106. e M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller Quiniou a t d si gn comme rapporteur du dossier num ro 2014 0265 Monsieur Quiniou vous avez la parole M le Conseiller QUINIOU rapporteur Monsieur le Pr sident ce rapport propose de modifier les modalit s de gestion du parc de stationnement Rozier passant d une DSP la mise en uvre d une convention d occupation temporaire du domaine public Donc la commission d placements et voirie a donn un avis favorable sur ce dossier M LE PRESIDENT Merci bien Trois minutes pour le Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM M le Conseiller GACHET Monsieur le Pr sident chers coll gues le parc de stationnement Rozier est un tout petit qui pement l chelle du Grand Lyon mais il rev t pourtant une importance particuli re l chelle du quartier des Capucins et du bas des pentes de la Croix Rousse Il a t r alis par la Ville de Lyon dans le cadre d une op ration programm e d am lioration de l habitat en 1980 Rappelons qu il n a pas de droit commun et qu il est fond sur les dispositions du code de la construction et de l habitation et se caract rise par deux l ments forts Le premier c est la mise en place d un dispositif d incitation ouvert aux propri taires priv s visant la r alisation de travaux dans les immeubles d habitation et les logements et de l engagement par la collectivit territoriale d am lioration du cadre de vi
107. e espaces publics commerces quipements urbains etc C est sur cette base l gale et partir des besoins du quartier que cet quipement voit le jour Rappelons qu il s agissait alors de veiller l am lioration d un cadre de vie marqu notamment par de tr s grands probl mes de stationnement susceptibles d affecter la sant la s curit des habitants de ce secteur et d accessibilit galement De toute vidence le mode de gestion choisi ce moment l n a pas favoris la rotation des usagers du parc provoquant ainsi la situation que notre d cision doit corriger situation qui m riterait un surcro t d analyse et d information tant du point de vue de l occupation que du service r ellement rendu Or la proposition qui est faite de ne plus exercer de contr le sur l activit stationnement r sidents de ce parc ni de fixer d obligations de service public pose quelques questions dontnous avons eu l occasion de d battre en commission consultative des services publics locaux le 4 septembre dernier Ces questions restent pos es d une part quel sera l impact sur les r sidents locataires des places Leurs situations ont elles t tudi es Quelle garantie avons nous pour une ma trise des redevances futures qui vitera une s lection par les revenus qui pour le coup serait contraire la notion de service public D autre part comment se r partiront dans l avenir les responsabilit s pour la dalle et le st
108. e de formation professionnelle puisqu elle dispose de la comp tence g n rale D autres dispositifs innovants devront permettre de faire ce lien entre l emploi et l insertion C est la condition d un d veloppement conomique quilibr de notre territoire et cela permet surtout de garantir la coh sion sociale et territoriale tout en r pondant des objectifs de comp titivit et d attractivit Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Mmes Claire Le Franc et Alice de Maillard salari es de l association Uni Est n ayant pris part ni au d bat ni au vote du dossier article L 2131 11 du code g n ral des collectivit s territoriales Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD N 2014 0292 d veloppement conomique Attribution d une subvention la Fondation pour l universit de Lyon pour l organi sation des 27 Entretiens Jacques Cartier en 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique etinternational Direction de l attractivit et des relations internationales Service relations internationales M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Galliano a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0292 Monsieur Galliano vous avez la parole M le Vice Pr sident GALLIANO rapporteur Merci monsieur le Pr sident Le rapport num ro 2014 0292 concerne une subven tion pour la Fondation pour l universit de
109. e de scrutin Je mets cette proposition aux voix Accord l unanimit en application de l article L 2121 21 du code g n ral des collectivit s territoriales Je mets maintenant les candidatures aux voix Les candidatures sont adopt es les groupes Europe Ecologie Les Verts sauf M Charles et Mme Vessiller qui ont vot pour et Front national s tant abstenus MM Michel Le Faou Georges Kepenekian Thomas Rudigoz Denis Broliquier et Mme Nathalie Perrin Gilbert sont d sign s en tant que titulaires MM Richard Llung Alain Galliano Michel Havard et Mmes Myriam Picot et Sandrine Frih sont d sign s en tant que suppl ants Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU N 2014 0337 urbanisme V nissieux Grand projet de ville GPV Acquisitions fonci res sur le secteur Jacques Brel Individualisation partielle d autorisation de programme D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Brachet a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0337 Monsieur Brachet vous avez la parole M le Vice Pr sident BRACHET rapporteur Avis favorable de la commission pour ce projet de d lib ration concernant une acquisition fonci re sur le secteur Jacques Brel V nissieux M LE PRESIDENT Merci bien J ai un temps de parole pour le groupe Communiste et r publicain Mme la Consei
110. e ne votera pas ce v u et nous ne prendrons m me pas part au vote pour marquer cette d fiance par rapport ce d bat si manich en et binaire qu il ne nous semble pas conduire des avanc es positives M LE PRESIDENT Merci bien oui allez y M le Conseiller BOUDOT Je vous remercie monsieur le Pr sident En mati re d immobilier et de constructions il ne devrait pas y avoir de bonne ou mauvaise loi il ne devrait pas y avoir non plus de loi de droite ou de loi de gauche Force est de constater qu en la mati re cette loi ALUR est malheureusement une mauvaise loi La mesure principale etembl matique de cette loi n en d plaise monsieur Bret est aussi l encadrement des loyers On allait voir ce qu on allait voir on a vu Cette loi est l vidence le type m me de la fausse bonne mesure de la mesure id ologique cette loi n a pas voulu tenir compte du principe de r alit qui pourtant s imposait tous En effet les r sultats de cette loi calamiteuse ne se sont pas fait attendre bien longtemps Cette loi a paralys le march de l immobilier a fait chuter de 30 les mises en vente de logements neufs au 1 trimestre 2014 et a fait dispara tre la moiti des investisseurs durant cette courte p riode La panne de logements tait pr visible elle a co t des points de croissance la France cette ann e Face au d sastre pourtant annonc de cette loi d un camp contre l autre qui tait un engagemen
111. eillon Perrin Gilbert M Petit Mmes Peytavin Piantoni Picard M Pillon Mmes Poulain Pouzergue MM Pouzol Quiniou Mme Rabatel MM Rabehi Rantonnet Mmes Reveyrand Reynard MM Roche Roustan Rudigoz Sannino Mme Sarselli MM S cheresse Sell s Mme Servien M Suchet Mmes Tifra Varenne MM Vergiat Veron Vial Absents excus s Mme Baume pouvoir M H mon M B rat pouvoir M Guilland Mme Berra pouvoir M Cochet M Bravo pouvoir Mme Ghemri Mmes Burillon pouvoir Mme Bouzerda Corsale pouvoir M Gascon M Coulon pouvoir M Lebuhotel Mme de Malliard pouvoir M Charmot M Piegay pouvoir M Galliano Mmes Pietka pouvoir M Genin Runel pouvoir Mme Peillon MM Sturla pouvoir Mme David Uhlrich pouvoir M Geourjon Vaganay pouvoir M Diamantidis Vincendet pouvoir Mme Leclerc Absents non excus s Mme Beautemps Le quorum tant atteint la s ance est ouverte D p ts de pouvoirs pour absence momentan e Mme Guillemot pouvoir M Longueval MM Crimier pouvoir M Barral Devinaz pouvoir M Chabrier Fenech pouvoir Mme Nachury Forissier pouvoir M Quiniou George pouvoir M Grivel Hamelin pouvoir M Cohen Mme lehl pouvoir M Roustan MM Kabalo pouvoir Mme Belaziz Kepenekian pouvoir M Philip Mme Lecerf pouvoir Mme Jannot Installation de messieurs Pascal David Michel De
112. ement et il faut dire On va faire autre chose on proposera autre chose une autre m thode Voil On le vote tout de m me madame le Maire Mme la Conseill re FAUTRA Monsieur Collomb on va le voter M LE PRESIDENT Je le mets aux voix pour MM Barge et Havard Union pour un mouvement populaire UMP divers droite etapparent s groupes Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM groupe Front national MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre n ant abstention groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s sauf MM Barge et Havard qui ont vot pour Adopt Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD N 2014 0300 d veloppement conomique Mode d emploi un festival des id es Attribution d une subvention l Association de gestion de la Villa Gillet pour son programme d actions 2014 Direction de la prospective et du dialogue public M LE PRESIDENT Madame la Vice Pr sidente Picot a t d sign e comme rapporteur du dossier num ro 2014 0300 Madame Picot vous avez la parole Mme la Vice Pr
113. en compte dans un tel projet Puis on a ajout des travaux de s curisation pour am liorer le travail des agents Puis on a d cid que finalement et m me si le syst me fonctionne actuellement convenablement on allait anticiper des travaux qui auraient pu attendre jusqu cinq ans selon les informations donn es en commission Apr s toutes ces modifications techniques on d couvre avec effarement que le montant des offres est bien sup rieur l estimation du ma tre d uvre et quand je dis bien sup rieur je parle d une somme de 1 3 ME Certes on tape sur les doigts du ma tre d uvre qui a mal fait ses calculs et on r cup re 15 000 mais il en manque encore Dans un tel contexte il y a plusieurs solutions d abord on peut ne pas donner suite On comprend facilement que puisque le mus e est en cours de construction les travaux doivent se faire de mani re compl mentaire ensuite on peut tout prendre en charge et payer rubis sur ongle car l argent ne co te pas cher enfin on pourrait travailler le dossier afin de d finir avec pr cision les travaux n cessaires la r alisation de l op ration mus e et ce qui pourrait tre remis plus tard sans amener de surco t en cas de reprise de l ouvrage Face des lus de tous bords politiques je pr cise qui ont voulu renvoyer le dossier une s ance de travail pour finaliser leurs tudes on a oppos une fin de non recevoir car le dossier
114. entendons qu une seule phrase bien rod e visiblement au Grand Lyon Ne vous inqui tez pas on sait faire Non monsieur le Pr sident vous ne savez pas faire A ce jour ce dossier est juridiquement caduc de par les jugements rendus en appel des d clarations d utilit publique concernant l accessibilit c est dire qu ce jour et peine plus d un an de l inauguration de ce stade ce dernier pourrait tre construit mais pas rempli au moyen des manifestations Le deuxi me point financi rement parlant le Grand Stade n est pas financ au niveau de notre Commune Ce projet est de trop assumer pour une Commune de 27 000 habitants financ selon vos quipes moins que nous y consacrions tout notre budget Vous pensez bien monsieur le Pr sident que mon budget ne saurait se consacrer qu l int r t particulier du Grand Stade au d triment du projet collectif de D cines Charpieu Outre les impossibilit s que je viens de r v ler sur la phase de construction de ce projet ce jour l ensemble des points concernant l exploitation post construction n a ni d acteurs d si gn s ni financement j entends par l avec l accord des parties concern es Ce projet doit tre financ dans ce qu il reste de sa phase amont et dans sa phase aval par le Grand Lyon puisque vous ne cessez de dire que la grande M tropole en retirera 50 M de PIB par an Vous comprenez bien que pas le moindre euro ne reviendra notre
115. ention de l Agence de l eau Rh ne M diterran e et Corse au profit de la Communaut urbaine de Lyon Individualisation compl mentaire d autorisation de programme Direction de la voirie M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Abadie a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0268 Monsieur Abadie vous avez la parole S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 9 M le Vice Pr sident ABADIE rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Merci bien J ai une demande de temps de parole du groupe UDI Mme la Conseill re CROIZIER Monsieur le Pr sident mes dames messieurs dans cette d lib ration vous sollicitez notre autorisation pour une individualisation compl mentaire d autorisation de programme pour Garibaldi Nous voterons bien s r cette d lib ration En revanche lors de notre dernier Conseil notre groupe vous a interrog sur le bruit de fond persistant indiquant votre d cision de reporter la PPI de l automne 2014 la fin du premier semestre 2015 En juillet vous aviez choisi comme toute r ponse le silence Aussi je vous repose aujourd hui la question cette rumeur est elle fond e Mais revenons sur le projet Garibaldi Quelle suite comptez vous donner ce dossier au del des tudes dans lesquelles nous l esp rons des consignes ont t stipul es votre concepteur afin de r duire l enveloppe financi re des travaux n
116. er ce qui permettrait de gagner en confiance et de les impliquer dans l aventure engag e Par les temps qui courent ce n est pas inutile de gagner en confiance II est noter que le comit d entreprise reprend ses activit s progressivement La Direction des ressources humaines devrait galement se mettre en place car elle est indispensable la r ussite de ce projet si utile et attendu Car ces salari s voyez vous monsieur le Pr sident et mes chers coll gues ils aiment leur entreprise m me quand ils luttent pour elle et pour les emplois pour l activit cr atrice Mais il est vrai que trop souvent ils luttent notamment dans les grands groupes contre les d cisions des Conseils d administration et des actionnaires qui liquident les activit s ou d localisent pour augmenter leurs profits eux qui ne sont attentifs qu la microseconde de la fin des cotations en bourse pour en capter le diff rentiel Oui nous aimons l entreprise celle qui innove celle qui investit en formant en cr ant des biens et activit s utiles durables la performance environnementale celle qui augmente les salaires conform ment au travail ex cut oui nous aimons l entreprise qui se reconna t dans une responsabilit sociale en int grant ses objectifs d efficacit conomique et financi re les enjeux territoriaux la dimension humaine de progr s et de justice de d mocratie et d mancipation C est pour cela que nous voterons
117. essentiel financer les voyages d un Vice Pr sident ou de quelques autres Merci M LE PRESIDENT Je tiens simplement vous rappeler qu il s agit du 1 sur l eau tabli par monsieur Houdin qui si mes souvenirs sont bons devait tre membre du RPR Voyez quand on n a pas de m moire ensuite on a des jugements peut tre h tifs Donc je mets aux voix ces dossiers M le Conseiller GUILLAND Monsieur le Pr sident j avais lev la main avant le vote Pour rebondir sur ce que vous venez de dire effectivement la m moire est une qualit tr s importante en politique et il y a quelques minutes vous nous avez soutenu et pour nous lus lyonnais c est la deuxi me fois ne pas avoir vot la premi re lecture de la loi ALUR La premi re lecture le 26 octobre 2013 a t vot e par 127 S nateurs socialistes dont vous Votre m moire vous fait donc d faut monsieur le Pr sident ce qui est un vrai probl me Mais ce qui est plus un probl me monsieur le Pr sident c est que je vous l avais d j fait remarquer en Conseil municipal et cette deuxi me fois n est donc pas un oubli mais un oubli d lib r et un oubli d lib r monsieur le Pr sident cela s appelle un mensonge M LE PRESIDENT Non non je sais mais j ai fait v rifier pour M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite etapparent s Socialisteetapparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes
118. et LPA Vous voyez que la concurrence sur un petit parc comme cela est extr mement limit e Bien videmment les gros op ra teurs ne viennent pas pour faire un r sultat d exploitation de 10 000 cela ne les int resse pas Donc il va falloir solliciter des candidatures ce qui va tre d abord un premier l ment Ensuite il faudra solliciter un occupant avec lequel le Grand Lyon a des habitudes de travail des relations de confiance une capacit de dialogue pour g rer dans les ann es venir ce parc de stationnement Voil ce que je pouvais indiquer comme l ments de r ponse aux observations qui ont t faites M LE PRESIDENT Merci bien Je mets aux voix ce rapport pour groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s Socialiste etapparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires groupe Front national MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre n ant abstention Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM Adopt Rapporteur M le Conseiller QUINIOU N 2014 0268 d placements et voirie Lyon 3 R am nage ment de la rue Garibaldi Tron on Vauban Bouchut Subv
119. eu l occasion de parler avec le Vice Pr sident Brachet sur la question aussi au del de la prime de pouvoir diminuer le montant de remboursement mensuel qui est souvent un obstacle par rapport la barri re des 33 d endettement maximum qui permette l accessibilit Je crois que l entr e du partenaire bancaire dans un dispositif de ce type l permettrait de pouvoir travailler en tout cas cette question et ainsi permettre l accession un logement de familles encore plus modestes Voil les deux points que je voulais souligner Nous voterons ce dispositif avec ces propositions d largissement du champ des r flexions sur le foncier et sur le monde bancaire Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup Monsieur Brachet M le Vice Pr sident BRACHET Juste deux mots d abord pour dire que nous associons les banques nos r flexions Je dirai que c est la r gle du jeu Localement ils sont pr sents Il y a un club habitat qui r unit absolument tous les partenaires Par cons quent sur le plan technique videmment nous cherchons les mesures les plus performantes et nous ne sommes pas tr s dogmatiques pour savoir celle qui va fonctionner le mieux On est ouvert aux propositions La deuxi me chose que je voudrais dire Michel Havard c est que concernant le soutien l accession la propri t si vous regardez bien les chiffres de ces cinq derni res ann es nous avons invers les pourcentages nous tion
120. eur tenez vous bien de 440 000 dans la p riode pr c dente c est dire que ce n est absolument pas grand chose au regard des retraits ventuels qu il pourrait y avoir Mais en fait cela va concerner essentiellement des quipes qui travaillent avec vous des postes de personnes qui sont un peu l articulation des politiques du Grand Lyon et des politiques de la Commune J ai demand aux services qu on regarde pr cis ment quelle est le lien organique de ces personnes entre les services op rationnels des Communes et les services op rationnels du Grand Lyon Nous aurons ces r sultats que nous vous pr senterons partir du mois d octobre Donc je pense qu aujourd hui il est important et on en discutait avec Michel Forissier l autre jour que l on puisse ventuellement pr ciser dans l avenir dans les quartiers de veille une fois qu on a mis de c t la g ographie prioritaire quelle est la mani re dont nous allons refonder le pacte de solidarit entre nous sur la base du travail de droit commun C est cela que l on doit s engager dans l agglom ration II y a des volets habitat il y a des volets plus sociaux il y a des volets conomiques Je pense que ce n est pas du tout hors de port e et je pense que cela correspond l volution du d bat sur quelques ann es concernant la politique de la ville Voil M LE PRESIDENT Je mets les dossiers aux voix Pas d opposition Adopt s l unanimit Mmes
121. eur le Pr sident chers coll gues la friche RVI fait partie int grante du patrimoine de notre agglom ration V ritable symbole ouvrier des secteurs de Montchat Sans Souci et Monplaisir ce site fut occup par de grandes entreprises industrielles comme Berliet puis Renault jusqu la fin des activit s automobiles de lusine 38 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 La friche RVI est galement devenue un lieu embl matique pour les habitants du secteur comme en t moigne l exp rience collective originale men e partir de 2002 autour d artistes de riverains de militants qui ont investi cet espace pour faire de la friche un nouveau territoire de l art faisant se confronter et cohabiter toutes les disciplines et tous les arts Il fallait donc proposer sur ce site exceptionnel un projet d am nagement la hauteur des enjeux pr sents et des attentes des habitants en mesure d offrir la friche RVI un nouvel avenir A partir de 2005 avec l installation de la Soci t d enseignement professionnel du Rh ne SEPR et de l Association pour la formation professionnelle des industries de l ameublement AFPIA dans la partie sud la vocation de campus de la formation professionnelle a merg La r habilitation de la partie nord de la friche RVI doit justement permettre de conforter le campus professionnel Rochaix Feuillat en accueillant l extension de la Soci t d enseignement professionnel du Rh ne SEPR a
122. faites peu pr s les m mes analyses sur le plan du village de la solidarit Moi je rencontre sur les forums associatifs des diff rents arrondissements toutes les associations qui sont pr sentes dans ce village de la solidarit et je dois dire que j y vois beaucoup de d vouement des jeunes en particulier qui d sirent s engager qui construisent un certain nombre de projets et qui sont tr s fiers de pouvoir montrer sur la place Bellecour quels projets ils d veloppent en g n ral avec leur propre argent Je mets aux voix ce dossier pour M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s groupes Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM MM Aggoun Calvel Non inscrits contre groupe Front national abstentions groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s sauf M Barge qui a vot pour Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Adopt Rapporteur M le Vice Pr sident GALLIANO N 2014 0297 d veloppement conomique Reprise activit SITL Acquisition fonci re Individualisation d autorisation de programme Demande de subve
123. fi e par l Etat Minist re de l enseignement sup rieur et de la recherche D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0288 P le de comp titivit Imaginove Attribution d une subvention l association Imaginove pour son programme d actions 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0289 P le de comp titivit Axelera Approbation de la participation de la Communaut urbaine de Lyon au projet SMILE et attribution de subventions la soci t institut d excellence sur les nergies d carbonn es IDEEL et la soci t Inevo technology pour le programme de recherche et de d veloppement VALCO2 D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation N 2014 0295 Attribution d une subvention l associa tion R seau des territoires innovants pour l organisation de la 11 dition du forum des interconnect s Lyon les 11 et 12 d cembre 2014 et pour son programme d actions 2014 relatif la promotion du num rique D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises N 2014 0296 R am nagement des abattoirs de Corbas Individualisation totale d autorisation de pro
124. gramme Attribution d unesubventiond quipement l entreprise CIBEVIAL D l gation g n rale au d veloppement conomique etinternational Direction des services aux entreprises Service d veloppement local M LE PRESIDENT La commission d veloppement cono mique a d sign monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0277 2014 0289 et 2014 0295 et 2014 0296 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Avis favorable de la commission pour l ensemble des dossiers monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas de remarque Pas d opposition Dossiers n 2014 0277 2014 0284 2014 0286 2014 0289 et 2014 0296 Adopt s l unanimit Dossier n 2014 0285 Adopt le groupe Europe Ecologie Les Verts s tant abstenu sauf M Charles et Mme Vessiller qui ont vot pour Dossier n 2014 0295 Adopt Mme Dognin Sauze Pr sidente de l association R seau des territoires innovants n ayant pas pris part au vote du dossier ainsi que M Compan article L 2131 11 du code g n ral des collectivit s territoriales Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD N 2014 0294 Attribution d une subvention l Association jeunes ambassadeurs pour son programme d actions 2014 D l gation g n rale au d veloppement conomique etinternational Direction de l attractivit et des relations internationales Service relati
125. gro pastoraux dans les Communes de Kell et Gour Niger Direction de l eau N 2014 0327 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention la Commune d Anjoma pour le projet De l eau potable au c ur de la ville Commune rurale d Anjoma Madagascar Direction de l eau N 2014 0328 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention la Commune de Vohiposa pour le projet Un r seau d eau g r professionnellement pourle d veloppement de la Commune de Vohiposa Madagascar Direction de l eau M LE PRESIDENT Monsieur le Conseiller Barge a t d sign comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0322 2014 0325 2014 0327 et 2014 0328 Monsieur Barge vous avez la parole M le Conseiller GOUVERNEYRE rapporteur en remplace ment de M le Conseiller BARGE absent momentan ment Monsieur le Pr sident monsieur Barge s est absent donc je serai le rapporteur Pour les six d lib rations concernant les attributions de subventions au fonds de solidarit eau la commission proximit et environnement a mis un avis favorable M LE PRESIDENT Merci bien J ai une intervention du groupe Front national M le Conseiller BOUDOT Monsieur le Pr sident juste une explication de vote Suite au vote tout l heure du CADR vous connaissez notre position sur la coop ration d centralis e du Grand Lyon C est mon avis un avis de bon se
126. ier Mme la Conseill re PANASSIER Pour nous la question de l encadrement des loyers Lyon ne se pose pas en tout cas pas comme cela Nous pensons que le contexte de notre ville est bien diff rent de celui de Paris Parce que d abord nous avons la chance de b n ficier encore de foncier et de foncier en centre ville m me si effectivement on retient vraiment avec int r t les propositions qui ont t faites par vous m me et Michel Le Faou ainsi que monsieur Llung de travailler sur les op rations urbaines en diffus Je pense que l il y a une vraie marge de progression Mais si le contexte est diff rent du contexte parisien c est aussi parce que nous conduisons et nous l avons rappel une politique ambitieuse en termes de quantit mais aussi en termes de mixit et de diversit des produits logements Cette politique nous la conduisons avec des partenaires et il nous semble qu Lyon au moment o se ralentit la construction d une mani re g n rale il ne serait pas malin d envoyer nos partenaires un signe de d fiance Heureusement qu en France nous avons encore cet attachement l investissement la pierre Mais les investisseurs ont de plus en plus int r t investir dans les uvres d art sauf que ce ne sont pas les uvres d art ni m me les plus beaux tableaux qui vont loger les gens En deux mots pour nous une r glementation suppl mentaire n est vraiment pas opportune Lyon o
127. ification et des politiques d agglom ration M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Le Faou a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0336 Monsieur Le Faou vous avez la parole M le Vice Pr sident LE FAOU rapporteur Ce dossier concerne la mise en place de la commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon et la d signation des repr sentants du Conseil Il y a eu un avis favorable sur ce rapport M LE PRESIDENT Je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU D signation de repr sentants de la Communaut urbaine au sein de la commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon dossier n 2014 0336 M LE PRESIDENT Nous devons d signer 5 repr sentants titu laires dont 2 Conseillers municipaux de Lyon et 5 repr sentants suppl ants dont 2 Conseillers municipaux de Lyon au sein de la commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon Je propose les candidatures suivantes Titulaires M Michel Le Faou M Georges Kepenekian M Thomas Rudigoz Mme Nathalie Perrin Gilbert M Denis Broliquier Suppl ants M Richard Llung M Alain Galliano Mme Myriam Picot Mme Sandrine Frih M Michel Havard Y a t il d autres candidatures Aucun autre candidat ne s est d clar Je vous propose de voter main lev e Pour cela il faut tout d abord qu l unanimit vous acceptiez ce mod
128. ime qu apr s dix ans et en ayant port le canc rop le Rh ne Alpes au premier rang des canc rop les francais il est temps pour moi de passer le relais Le nouveau responsable devra la fois tre capable de conduire cette nou velle tape et je l esp re de plaider pour des actions conduites par les acteurs qui doivent toujours rester les vrais animateurs des r seaux Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci bien monsieur Philip Vous nous faites une annonce qui nous d sole il faut continuer M le Vice Pr sident PHILIP Cela ne m appartient pas M LE PRESIDENT Je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD N 2014 0291 d veloppement conomique Politique de soutien l insertion professionnelle R alisation d un observatoire d agglom ration sur les clauses d insertion Attribution de subventions aux associations Uni est et Sud Ouest Emploi et l Universit Lumi re Lyon 2 D l gation g n rale au d ve loppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0291 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Avis favorable de la commission M LE PRESIDENT J ai une demande de temps de parole pour le groupe Centristes et ind pendants Mme la Conseil
129. insi que les nouveaux locaux de la F d ration compagnonique du b timent FCMB cr ant un grand campus de l alternance et des m tiers en r gion Rh ne Alpes pouvant former jusqu 6 000 personnes par an j avais dans mes notes 5 000 et madame Panassier a dit 6 500 donc je me raccorde son chiffre Nous ne pouvons que nous f liciter de la r alisation de ce projet qui mettra l honneur la formation professionnelle en la valorisant au m me titre que l enseignement g n ral et dotera notre M tropole d un outil performant et de qualit pour la formation des jeunes de l agglom ration et d ailleurs L ouverture du plus grand campus d alternance de France contribuera sans aucun doute au rayonnement et l attrait du territoire m tropolitain La formation professionnelle constitue en effet un enjeu majeur pour la comp titivit et la lutte contre le ch mage c est la capacit d apprendre de progresser d tre form de nouvelles techniques qui permet de prot ger l emploi mais aussi de pr parer aux emplois de demain D velopper les comp tences de tous donner la possibilit chacun d acc der une qualification certifi e voil l une des cl s du d veloppement conomique et social de notre territoire Au del de sa vocation de formation le projet d am nagement doit veiller respecter la m moire patrimoniale et historique du site nous devons y tre attentifs L enjeu est galement de l ouvrir sur
130. ion qui nous est propos e aujourd hui m am ne faire quelques remarques Tout d abord je voudrais souligner l int r t de cette d marche le plan 3A accession prix abordable Olivier Brachet l a pr sent je ne vais pas paraphraser son propos qui en cette p riode de crise facilite la primo accession au logement collectif neuf des m nages aux revenus moyens et modestes de notre agglom ration Le bilan d ailleurs de cette premi re ann e d exp rimentation est encourageant et il m rite d tre poursuivi en 2015 pour atteindre l objectif il l a rappel fix de 1 100 logements L assouplissement puisque c est aussi l objet de la d lib ration des conditions d octroi de la prime 3 A ainsi que l largissement des programmes labellisables pr vus dans cette d lib ration devront et devraient permettre d y parvenir Je voudrais dire aussi Nathalie Perrin Gilbert l a soulign sa mani re mais si je le redis ce n est pas forc ment pour aller tout fait aux m mes conclusions que son propos qu il est vrai que le plan 3 A tout comme les autres dispositifs qui ont t port s l chelle de la Communaut urbaine et cela d j depuis de nombreuses ann es les secteurs de mixit sociale l int gration dans nos ZAC des mesures visant limiter les prix de vente des logements l objectif de 25 de logements sociaux dans les nouvelles constructions tout cela illustre une politique interventionni
131. issement Je veux juste indiquer notre coll gue St phane Guilland comme il l a soulign aussi sur l volution des droits cons truire sur ce t nement que l Etat tait propri taire d une assiette S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 29 fonci re de 10 000 m tres carr s sur une assiette fonci re globale de 27 000 m tres carr s L Etat a r cup r par le biais de ces nouveaux droits construire une bonne partie de la plus value g n r e par l volution du PLU Par ailleurs comme nous avons comme souci l quilibre en toute chose les soci t s qui portaient les autres assiettes fonci res qui taient des soci t s anonymes ou des SARL o il n y avait pas de personne physique d tentrice de ces fonciers sont soumises l imp t sur les soci t s et donc par le biais de la cession de ces charges fonci res qui seront encaiss es et les plus values encaiss es les soci t s en question vont aussi participer l imp t par le biais de l imp t sur les soci t s Donc c est aussi de l argent qui rentrera dans les caisses de l Etat C est une op ration qui est loin d tre insignifiante en mati re de recettes la fois pour l Etat et ult rieurement pour les collectivit s parce que n en doutons pas au regard des m tres carr s qui seront construits ce sont des recettes futures qui rentreront dans les caisses la fois du Grand Lyon et de la Commune par le biais de la taxe fonci re e
132. itieux pour les V nissians lls sont galement utiles et n cessaires aux habitants de l agglom ration Sur le secteur D mocratie o le groupe scolaire Charles Perrault est d j implant la nouvelle cit scolaire Jacques Brel a ouvert ses portes depuis septembre Elle accueille pr s de 1 000 l ves dans les fili res g n rales et techniques De nouveaux logements sont galement pr vus sur ce secteur Avec la m diath que proximit nous confortons ainsi un p le ducatif et culturel pour donner notre jeunesse de bonnes conditions de se former et de s panouir Je profite de ce rapport pour rappeler toute l importance de mener bien des projets que nous portons ensemble depuis plusieurs ann es et qui sont aujourd hui bien engag s La construction de la Pr fabrique Op ra sur un terrain du secteur D mocratie appartenant au Grand Lyon s inscrit pleine ment dans cette perspective d am nagement du quartier Il est pr vu de r aliser une salle de r p tition une salle de m diation des spectacles mont s par l Op ra de Lyon Ce projet de Pr fabrique a t act en ao t 2012 en pr sence de monsieur le Pr fet du Pr sident du Grand Lyon et moi m me Tous nos partenaires l Etat le Conseil r gional le Grand Lyon la Ville de Lyon ont d cid d installer V nissieux un p le d excellence culturelle qui rayonne sur tout le sud est de l agglom ration D but 2013 tout un travail a t enclench pro
133. jourd hui nous oblige am liorer la qualit du tri et du recyclage de nos produits Et dans ces domaines que ce soit l conomie de fonctionnalit et l conomie circulaire il faut bien reconna tre que les acteurs conomiques ont encore un peu d avance sur nous Les services du Grand Lyon travaillent avec excellence sur le num rique sur les biotechs aujourd hui sur les cleantechs et on ne peut que s en f liciter mais l conomie circulaire et l conomie de fonctionnalit sont un petit peu les parents pauvres de l activit conomique du Grand Lyon C est partir de l exp rience de SITL et du fait que nous aurions pu sauver les emplois de SITL et surtout la production locale de lave linge que nous voulons ouvrir deux nouveaux chantiers qui sont importants pour pr server l activit industrielle de notre collectivit et je pense que le Vice Pr sident Kimelfeld sera d accord avec moi nous devons ouvrir ces chantiers de l conomie circulaire et l conomie de fonctionnalit et avoir donc quelques moyens humains aussi Nous voterons bien s r la d lib ration Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup Le groupe Socialiste et apparent s pas d intervention Monsieur Kimelfeld veut rajouter un mot M le Vice Pr sident KIMELFELD Je voudrais simplement repr ciser deux choses d abord Roland Jacquet nous parlait du calendrier Je crois que la Direction de Cenntro Motors s est engag e effectivemen
134. l re BOUZERDA Monsieur le Pr sident chers coll gues le Grand Lyon m ne depuis de nombreuses ann es des politiques d insertion par l activit conomique et ce en lien avec les diff rents r seaux territoriaux ainsi que les acteurs de l emploi et de l insertion professionnelle Le Conseil communautaire est aujourd hui invit se prononcer sur un certain nombre de ces actions Je pense notamment au soutien aux initiatives innovantes en mati re de mobilit insertion l appui aux op rateurs favorisant la cr ation d acti vit s dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ou encore la mise en uvre de la clause d insertion dans les march s publics Cela t moigne de l engagement fort de la Communaut urbaine pour faciliter l acc s l emploi des publics qui en sont loign s Dans un contexte conomique et social particuli rement difficile et contraint ces dispositifs jouent un r le essentiel pour accom pagner le retour l emploi Ils doivent tre p rennis s et renforc s Demain les politiques sociales du D partement qui dispose d une comp tence de droit commun en mati re d inser tion pour les b n ficiaires du revenu de solidarit active et les comp tences urbaines et conomiques du Grand Lyon seront associ es dans le cadre de la cr ation de la future M tropole Il s agit l d un d fi de taille pour notre agglom ration On recense en effet ce jour plus de 50 000 b n
135. l OL bien s r comme on le sait le club est un l ment fort de l identit lyonnaise et il participe au rayonnement national et international de la ville et de l agglo m ration Mais force est de constater qu aujourd hui tous les Rhodaniens sont condamn s payer ce Grand Stade ses abords m me ceux qui n aiment pas le football et m me ceux qui d testent ce syst me mondialis des footballeurs souvent surpay s et mal lev s Monsieur le Pr sident vous avez engag l argent des Rhodaniens avec la complicit d une majorit d lus de cette assembl e Aujourd hui vous nous demandez d approuver un nouvel ave nant au contrat avec un montant de plus de 1 5 M pour le seul lot n 6 Qu en sera t il demain pour les autres Combien va t il y avoir d avenants suppl mentaires jusqu au mois de juin 2016 pour le premier match Notre groupe ne peut souscrire cette fuite en avant il est vrai traditionnelle pour les grands projets de construction que vous menez L imp rieuse n cessit d aboutir renvoie de fait les vell it s des riverains dont certains ont t scandaleusement expropri s et m me des Lyonnais qui ne souhaitaient pas engager autant d argent public pour ce projet priv Merci monsieur le Pr sident S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 11 M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je donne la parole au groupe GRAM Mme la Conseill re PERRIN GILBERT Monsieur le Pr sident mesdames et
136. l almentalion et aux soirs pour pourvoir se loger Or ce disposif d encadrement des kr ers d j appliqu en Allemagne et en Su de serai un auti de quation aussi mportart qu inc sperraable dans un march du logement IAE ki m me depui plus d une d cerne p riode durant laquelle les loyers ont augmente deux fois pis viie que les rene Notre pays a d aleurs les loyers parmi les plis chers d Europe 40 au dessus de la moyenne eurpp enne Le principal aqumeri avanc par le Premier Mnistre et certains de ses soutierrs fait porier cette Ini ALUR la resporsabi de cetie oie du logement Qu en est r ellement 7 Nous sommes lun des pays les plus b eseurs d Eurnpe mais nous ne conair aons en moyenne que 346 HID kbgements par an depui 20 ans alors quf en faudrait actuellement HAN DOC Avec 330 00H logements corrdruits en 2013 le loi Duot n a donc pas freine ka coratruchon ele a au conte free la ore En effet paal lement une augmenistion de Mnvestasement pour const davantage de logements s0cmux des mesures ont Et pies aiin d augmenter la consiuction Non seulement le Premier Ministre c dant aux promceurs mmobdiers et aux banques a Fast le choix de ne pas app quer des mesures favorisant la peice socisie mais il aile les m nages les pias riches conso des leur patrimoine par des meses de d fracaaation sans contre partie soc Revenir a ce diposiif c de la Loi ALUR corstiue un d ni de d mocralie punque ce
137. la fa on dont on peut faire s effondrer la production de logements en France J avais un peu averti Je vois qu il faut deux ans pour que les choses finalement se formatent J en suis extr mement heureux Mais ce n est pas par dogmatisme par souci id ologique c est simplement par pragmatisme Donc je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident BRACHET N 2014 0342 urbanisme Lyon 3 Reconversion de la friche RVI nord Diminution d autorisations de programme Individualisation compl mentaire d autorisation de programme D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l am nagement M LE PRESIDENT Madame la Conseill re Panassier a t d sign e comme rapporteur du dossier num ro 2014 0342 Madame Panassier vous avez la parole Mme la Conseill re PANASSIER rapporteur Monsieur le Pr sident chers coll gues tout d abord sur la question de l encadrement des loyers je tenais dire que notre groupe partage exactement les propos que vous et Olivier Brachet venez de tenir Le rapport qui vous est soumis maintenant et qui concerne la friche RVI a re u un avis favorable de la commission II propose la r affectation des cr dits pr vus pour la d pollution du sol finalement pris en charge par l cole mile Cohl sur les travaux de voirie Ce rapport permet aux travaux d am nagement sur le site ex RVI rachet par le Grand Lyon de progresser et mar
138. les r partitions territoriales Dites nous seulement quel est le calendrier officiel pour la 10 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 pr paration de cette programmation pluriannuelle des investisse ments Je pense que nombre de mes coll gues ici seraient int ress s de mener un travail consciencieux et efficace pour d finir le d veloppement de leur Commune dans les ann es venir J attends des r ponses pr cises Mais il n y a pas que des questions budg taires Il faudra aussi trancher les choix de gouvernance notamment pour les Conf rences des Maires Je pourrais aussi parler de la d finition des comp tences communales au sein de la M tropole ce qui n est ni plus ni moins que de dire sur quoi et comment les Maires continueront exercer leur mandat de mani re diff rente de ce pour quoi ils ont t lus Pour toutes ces questions qui m riteraient des d bats et des confrontations on cherche nous rassasier avec des pr senta tions aseptis es Mais ne nous y trompons pas On vit en fait dans une baronnie o l on discute dans des alc ves entre sachants faisant fi des lus locaux Au del de notre propre mandat vous avez oubli monsieur Collomb que ce projet n est pas le v tre il est avant tout celui des habitants du Grand Lyon qui il conviendra bien un jour de dire la v rit M LE PRESIDENT Merci monsieur Cochet Nous venons de faire une s ance de commission g n rale qui
139. les ressources c est l que nous avons la plus faible r ponse parce que la PLAI reste tr s minoritaire avec peu pr s 30 000 logements sur 120 000 en 2013 Nous avons parfois des discussions surr alistes quand nous voquons les objectifs de construction de logement sociaux 20 ou 25 la r alit c est que 29 des m nages sont ligibles au PLAI le logement le plus social 63 au PLUS 78 au PLS On peut dire ce que l on veut mais il ne s agit pas dans ces politiques de r pondre une minorit pauvre de la soci t il s agit de r pondre la grande majorit des m nages Sur le fond il n y aurait que deux mesures qui transformeraient radicalement l offre de logement la premi re concerne le foncier on l voquait tout l heure l Etat a fait sa plus value sur l flot Berliet mais c est videmment l action publique pour sortir une part significative du foncier de la sp culation La deuxi me concerne le retour une aide la pierre massive qui permettrait r ellement de construire des logements de qualit Bien s r c est une r ponse qui sort des dogmes du march roi qui ne cherche pas simplement r guler le march mais qui lui impose un espace public vous nous dites que nous discutons de lois dans nous int resser aux r alit s concr tes Non nous ne sommes pas des r veurs et nous sommes capables d impulser avec un grand service public du logement de nobbreux partenariats et proje
140. lication de notre collectivit pour cette acquisition fonci re nous souhaitons que la collectivit s engage plus pour soutenir SITL Nos collectivit s repr sentent une force d achat importante De plus tre fournis seur de Lyon ou du Grand Lyon est aussi une r f rence et une vitrine importante Nous souhaitons donc que nous soyons attentifs lors des prochains renouvellements de nos v hicules utilitaires aux solutions propos es par les entreprises de nos territoires notamment dans l comobilit Je vous remercie 22 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 M LE PRESIDENT Merci beaucoup Le groupe Europe Ecologie Les Verts et apparent s M le Vice Pr sident CHARLES Monsieur le Pr sident et chers coll gues je voudrais d j rectifier des propos Si effectivement pour les salari s de SITL on peut esp rer qu ils y gardent un emploi une partie des employ s qui taient salari s par Fagor Brandt directement ont t d j licenci s donc tous les emplois n ont pas t sauv s Et c est bien partir de ce point l de ce dossier qu on voudrait partir et essayer d en tirer les le ons pour viter que cela ne se reproduise l avenir En premi re analyse on peut dire effectivement que le Grand Lyon a fait ce qu il a pu avec les outils dont il disposait notam ment en facilitant les proc dures administratives dans le cadre du PLU H et dans la mise disposition du foncier dans un contexte q
141. ll re PICARD Monsieur le Pr sident mesdames et messieurs les lus je salue l engagement du Grand Lyon aux c t s de la Ville de V nissieux dans le renouvellement urbain du plateau des Minguettes C est d terminant parce que V nissieux est la troisi me ville du d partement et l entr e sud de l agglom ration Les enjeux de la ville sont aussi ceux de l agglom ration et pour ce qui nous concerne nous nous inscrivons dans le d veloppement du Grand Lyon Avec notamment l arriv e de la ligne T4 V nissieux a retrouv une attractivit d anciens habitants reviennent s y installer d autres d couvrent notre ville avec pr s de 62 000 habitants nous avons retrouv une d mographie positive Comme je le dis souvent il vaut mieux une ville qui se peuple plut t qu une ville qui se d peuple Avec notre projet de ville nous oeuvrons pour une densification raisonn e des logements pour r pondre aux besoins des V nissians et des Rh nalpins avec une offre compl te et diversifi e logements sociaux accession la propri t sous 32 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 toutes ses formes sociale aid e ou libre mais aussi une offre de services et des quipements publics pour accompagner ce d veloppement planifi et des espaces pr serv s afin de garder une ambiance v g tale tout en conservant et d veloppant notre potentiel industriel et conomique Avec nos partenaires nous menons des projets amb
142. logements peut avoir lieu non pas dans les territoires de zones de frange qui pr occupent juste titre beaucoup de Maires mais plut t dans les tissus urbains d j d velopp s Un outil dont il faut revoir sans doute aussi la cl de r partition entre la Communaut urbaine et les Communes C est un chantier d licat difficile auquel nous pourrions galement associer un moment donn de la discussion les op rateurs priv s qui sont int ress s au premier chef et qui sont aussi int ress s pour avoir de la visibilit long terme sur leurs op rations et tre assur s de la stabilit dans nos d cisions C est une proposition que nous faisons qui est de nature je pense apaiser les tensions entre nos diff rentes orientations tre en conformit entre nos orientations dans cette assembl e et dans nos Communes M LE PRESIDENT Monsieur Le Faou j avais omis de vous donner la parole Monsieur le Vice Pr sident Le Faou a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0330 M le Vice Pr sident LE FAOU rapporteur Monsieur le Pr si dent le rapport num ro 2014 0330 concerne le compte rendu des op rations d urbanisme r alis es en r gie directe par le Grand Lyon et des op rations r alis es dans des secteurs qui rel vent de la politique de la ville cela concerne quatre sites en GPV et un certain nombre de sites en renouvellement urbain et ces op rations participent l exigence que nous avo
143. lon MM Bernard Barret Broliquier Crimier d l gu s du Grand Lyon au sein de la SPL Lyon Confluence n ayant pris part ni au d bat ni au vote du dossier n 2014 0329 article L 2131 11 du code g n ral des collectivit s territoriales Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU N 2014 0331 urbanisme Villeurbanne Renouvellement urbain et d veloppement solidaire Plan local de lutte contre les discriminations Attribution de subventions aux associations Centre r gional de ressources pour le d veloppement social urbain CRDSU Moderniser sans exclure MSE Unis Cit Rh ne Alpes Institut Bioforce P le d veloppement local Association villeurbannaise du droit au logement AVDL et la Commune D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Brachet a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0331 Monsieur Brachet vous avez la parole M le Vice Pr sident BRACHET rapporteur Avis favorable de la commission pour cet avenant au contrat de coh sion sociale M LE PRESIDENT Jai une demande d intervention du groupe La M tropole autrement Mme la Vice Pr sidente LE FRANC Monsieur le Pr sident chers coll gues la d lib ration soumise en cet instant notre vote me permet d illustrer la politique ascendante n cessaire et souvent voqu e par notre groupe pour la const
144. lus locaux seront toujours confront s aux difficult s croissantes des habitants des quartiers concern s Au del d un soutien financier c est tout un processus partenarial qui est enray La labellisation politique de la ville a toujours impuls une forte dynamique au niveau local intercommunal et de l ensemble de l agglom ration Cette d cision suscite un certain nombre d inqui tudes et d inter rogations la M tropole maintiendra t elle le m me niveau de partenariat sur les actions actuelles le soutien aux projets de r novation urbaine sp cialement dans le cadre des ANRU isol s les cofinancements de chefs de projets Qu impliquent la notion de veille active et le concept de contrat de veille et droit commun Nous sommes conscients que certaines r ponses ces interro gations rel vent de l Etat mais que d autres sont du ressort de la collectivit territoriale d agglom ration La loi relative la mise en place de la M tropole pr voit que la politique de la ville restera une comp tence intercommunale Cette intervention comme celle que j avais faite au Conseil de juin ou de juillet au sujet des Balmes fait appel la notion de solidarit de la M tropole envers les Communes en particulier les plus fragiles sociologiquement Plus que jamais en ces temps difficiles si la solidarit n est pas obligatoire elle est indis pensable pour donner tout son sens au concept de M tropole Nous
145. m tre carr sur toute l agglom ration 3 600 du m tre carr c est le prix moyen peu pr s et l abattement de 20 se fait sur la base de prix relev e au 1 janvier 2013 Cela fait plusieurs dizaines de milliers d euros d conomie qui sont concern s par l opportunit d acheter ces primo acc dants C est quelque chose de r ellement important et la prime qui est modeste 3 ou 4 000 sert d effet de levier pour mettre sur le march ces prix abattus de 20 D ailleurs je voudrais souligner au passage pour ceux qui voient de l emballement des prix de tous les c t s que ces prix ont t relev s au 1 janvier 2013 Ce sont toujours les m mes ils sont toujours abattus deux ans apr s de 20 et par cons quent les prix ont donc t stables sur l ensemble de cette p riode et c est relativement une bonne nouvelle Nous avons r alis actuellement 500 primes Nous voulons aller 1 100 On peut consid rer qu on a rattrap en un an la moiti du retrait accumul sur deux ans Par cons quent c est une bonne r action que nous avons eue Elle sera amplifi e dans les semaines qui viennent par le retour des investisseurs particuliers parce que vous savez que le plan Valls va permettre de relancer cet l ment tr pied de la politique du logement des HLM dans la production neuve des acc dants la propri t et des investisseurs Les investisseurs avaient t en retrait Nous allons booster les acc dants et
146. maintenant nous allons avoir de nouveau le retour d un certain nombre d investisseurs Cela nous permettra de remonter 4 ou 5 000 logements Cela entra ne entre autres la production d un certain nombre de logement sociaux et nous pourrons tenir le rythme de ce qui est n cessaire pour satisfaire les besoins qui sont importants dans notre agglom ration et que nous essayons de r aliser autour de 7 8 000 logements par an Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup J ai une demande de temps de parole du groupe Front national M le Conseiller BOUDOT Merci monsieur le Pr sident Sur ce rapport consacr la modification des crit res d aide la primo accession pour le logement collectif neuf je m efforcerai d tre tr s court mais tr s clair Mon groupe s est toujours montr favorable aux aides concernant l accession du plus grand nombre la propri t Puisqu il est question dans ce rapport de modifier les crit res d ligibilit des b n ficiaires je me permets de vous sugg rer un crit re suppl mentaire que vous connaissez d j Un sondage paru il y a deux jours dans Le Parisien nous r v lait que 67 des Fran ais interrog s taient favorables l attribution des aides sociales et de logement en priorit aux citoyens fran ais Ce qui revient dire que 67 des Fran ais sont aujourd hui favorables la priorit nationale principe de bon sens de justice sociale appliqu partout dans le mon
147. mettrons un vote favorable pour ces rapports et je passe la parole mon coll gue Mohamed Rabehi M le Conseiller RABEHI Monsieur le Pr sident chers coll gues effectivement comme cela a t signal notre groupe votera pour l ensemble des d lib rations visant l attribution de subventions diff rents organismes acteurs de l accompagne ment des demandeurs d emploi de l agglom ration et tout particuli rement ceux des quartiers class s en zone dite CUCS Toutefois nous souhaitons avoir des pr cisions sur les missions attendues par ces organismes de d veloppement conomique par l aide sociale et sur leur champ d action territoriale L ann e 2014 a t marqu e par une nouvelle liste de ces quartiers prioritaires annonc e prudemment apr s les lections municipales Elle comprend 1 300 quartiers dans 700 communes au lieu de 2 500 quartiers dans 900 communes L identification des nouveaux quartiers prioritaires se base sur le crit re unique de la pauvret c est dire la concentration des populations ayant des ressources inf rieures 60 du revenu m dian de r f rence Ainsi 300 villes perdent la classification de quartiers relevant de la politique de la ville et par cons quent le b n fice des aides de l Etat Sije prends l exemple de la Commune de D cines Charpieu dont on vient de parler elle ne conserve plus qu un seul quartier en CUCS sur les cinq identifi s auparavant Les autres po
148. modestes il est difficile de pouvoir acc der la propri t m me quand les m nages sont deux travailler Alors la proposition qui nous est faite de rechercher l largisse ment de l assiette va sans doute permettre d atteindre un peu plus de familles ligibles Et pour autant je voudrais redonner les deux l ments qui mon avis m ritent d tre travaill s et de venir compl ter ces dispositifs le premier reste la question du foncier et notamment du foncier ma tris par les collectivit s locales Il y a un paradoxe qui consiste mettre sur le march le foncier des collectivit s locales en cherchant en obtenir le meilleur prix et c est bien l gitime en cette p riode de disette d argent public et dans le m me temps financer des dispositifs pour permettre aux m nages modestes d acc der la propri t Je crois que nous devons nous poser la question du foncier sur un certain nombre de secteurs en donnant la possibilit pour la collectivit de pouvoir intervenir en amont de cette question du logement abordable le deuxi me c est qu il manque un partenaire dans ce dispositif Je pense aux banquiers Dans d autres villes o il y a des dispositifs similaires le monde bancaire est souvent associ et apporte aussi sa prime l obtention d un logement prix abordable Je crois que nous gagnerions solliciter ces autres partenaires et ainsi plus naturellement largir l assiette J ai
149. n nombre de lois si elles sont inadapt es la r alit elles produisent exactement les effets contraires ce qu on esp rait Il se trouve que dans notre pays il y a la fois les acteurs publics et les acteurs priv s Et donc si on pense un moment donn qu on peut agir sans les acteurs priv s mon avis on se trompe gravement Un certain nombre de pays d autres poques ont essay de ne plus avoir que des acteurs publics ce n a pas t la meilleure performance de croissance conomique et donc on a eu les difficult s que l on sait Je ne conseille pas de refaire cela dans tous les domaines Si par exemple notre agglom ration se d veloppe aujourd hui conomiquement c est parce qu il y a un partenariat entre les acteurs publics et les acteurs priv s et une confiance entre les acteurs publics et les acteurs priv s Alors nous ne sommes pas partisans du libre march nous agissons dans le domaine conomique mais nous agissons en prenant en compte effectivement les int r ts des entreprises qui sont dans notre agglom ration en pensant leur d veloppement en faisant en sorte par exemple que nos universit s soient plus proches des acteurs priv s qu elles n ont pu l tre un moment donn Dans le domaine du logement c est un secteur bien videmment particuli rement important et moi je demande simplement si c est doctrine contre doctrine une doctrine qu on aimerait voir appliquer
150. naissons bien la deuxi me caract ristique c est que ces op rations d urbanisme concernent peu pr s 20 du d veloppement urbain Cela signifie a contrario que 80 du d veloppement urbain a lieu en secteur diffus hors ZAC ou PUP c est dire sans les recettes qui permettent aux Communes de faire face aux besoins g n r s par l arriv e de nouveaux habitants cole primaire quipement petite enfance Notre analyse est que cela conduit les lus de cette assembl e une sorte de schizophr nie politique c est parfois une sp cialit des lus nous partageons le plus souvent ici les objectifs de l agglom ration en mati re de production de logements ce qui correspond aux besoins des habitants mais en m me temps S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 27 lorsqu il s agit de voir les possibilit s offertes aux Communes la difficult est qu elles n ont pas les moyens financiers en face Notre proposition serait de mettre en chantier un outil particulier qui s appelle la taxe d am nagement Le principe serait de l envisager de mani re compl mentaire sans opposer quoi que ce soit et aucun des outils qui existent actuellement de l envisager aussi de mani re territorialis e Je souligne que lorsque j entends des d bats et des positions diff rentes sur l intensit urbaine ou m me la densification utiliser la taxe d am nagement est une mani re de ma triser les lieux o la construction de
151. ncore abonder suite des impr vus Et ce n est pas le seul dossier du jour nous pouvons aussi voquer le siphon de La Mulati re L impr vu ne doit pas devenir une m thode de gestion des dossiers du Grand Lyon pour ajuster ses budgets D autre part concernant les difficult s dites impr vues qui sont list es et chiffr es dans ce dossier il nous semble qu une partie d entre elles ne sont pas le r sultat de difficult s exceptionnelles mais d un manque d anticipation et qu elles sont directement imputables aux parties C est ainsi le cas de la red finition des murs anti bruit des riverains de la rue Michel Servet que l on n a consult s qu apr s la d finition des travaux Autre exemple on parle de l exigu t de la zone de travaux qui a conduit modifier le mode op ratoire il est difficile d imaginer que la taille de la zone des travaux n tait pas pr visible et qu elle a r duit au fur et mesure du projet Et que dire de la phase transitoire de gestion des eaux pluviales induite par le d calage des travaux o l on paie l absence de coordination des services du Grand Lyon En fait ces impr vus r v lent simplement la mauvaise gestion d un projet qui est pris depuis le d but l envers savoir on choisit un site et on s adapte au lieu de d finir les sites compatibles avec un tel quipement Ensuite sur le plan financier vous appliquez une sorte de prin cipe de non pr caution qui consiste lors
152. nis et Morad Aggoun dans leurs fonctions de Conseillers communautaires M LE PRESIDENT Mes chers coll gues je vous rappelle que la Commune de Quincieux fait partie du Grand Lyon depuis le 1 juin 2014 portant le nombre de Communes membres 59 Dans ce prolongement et suite la mise jour du nombre et de la r partition du nombre des si ges de notre assembl e nous installons aujourd hui trois nouveaux Conseillers communau taires monsieur Pascal David pour la Commune de Quincieux lu cet effet par d lib ration du Conseil municipal du 22 juil let 2014 monsieur Michel Denis d l gu suppl mentaire de la Commune de Saint Fons lu cet effet par d lib ration du Conseil municipal du 10 juillet 2014 et monsieur Morad Aggoun d l gu suppl mentaire de la Commune de Vaulx en Velin lu cet effet par d lib ration du Conseil municipal du 7 juillet 2014 Nos trois nouveaux coll gues ont t convoqu s pour notre s ance de ce jour Je veux leur souhaiter la bienvenue dans notre assembl e Applaudissements Je vous pr cise par ailleurs dans le prolongement de notre d lib ration num ro 2014 0263 du 10 juillet 2014 que la plupart des Communes du Grand Lyon ont d lib r et r uni les majorit s qualifi es requises pour que la Commune d Oullins conserve son nombre de si ges trois L adh sion de Quincieux au Grand Lyon n emporte donc pas de cons quence concernant la Commune d Oullins et je vous
153. njustices li es ce march La d lib ration reconna t bien le c t marginal de la correction onse contente de deuxlogements abordables parpro gramme pour labelliser les op rations et ouvrir le droit aux aides Pour notre part nous pensons qu il faut prendre le probl me l inverse et venir en aide aux m nages plut t qu au march lui m me Pour que ce soutien aux m nages soit efficace il impose des mesures qui contraignent le march n en d plaise ses lobbies Venir en aide aux m nages passe par une politique fonci re qui consid re le sol comme un bien public et pr cieux sur lequel veille la puissance publique Cela passe aussi selon nous par l encadrement du march ce que pr voit la loi ALUR sur les loyers avant que Matignon ne fasse marche arri re outrepassant le vote du Parlement ainsi que l engagement num ro 22 de campagne de Fran ois Hollande Pour conclure cette d lib ration est int ressante car elle met en lumi re la mani re dont le march de la construction n a pas de vertu naturelle et que face lui le volontarisme politique est n cessaire Et dire cela n est pas incompatible avec un souci de bonne gestion Nous pensons que la seule bonne gestion de long terme est une gestion politique et volontariste qui favorise la ma trise sociale du march selon l expression de Jorge Semprun Je vous remercie 34 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 M LE PRESIDENT Mer
154. nos concitoyens Certaines personnes sont ainsi oblig es de r duire le budget consacr l alimentation et aux soins pour pouvoir se loger En effet il ne faut pas l oublier les loyers qui ont le plus augment sont ceux des petites surfaces qui sont souvent occup es par les personnes les moins riches du parc Et s il semble que les loyers commencent baisser en certains endroits c est en partie d l effet du d cret d encadrement des loyers pris en ao t 2012 et renouvel en ao t 2013 et ao t 2014 Et si les loyers baissent r ellement l encadrement ne posera pas de difficult au march puisqu il permet de contenir les loyers dans un tiage et ne fixe pas de blocage Le Premier Ministre et certains de ses soutiens dont j ai bien compris ce soir monsieur Michel Havard font porter cette loi ALUR la responsabilit de cette crise du logement Qu en est il r ellement Il faut donner quelques chiffres car ceux qui ont t donn s taient parfois un peu trop vagues Nous ne construisons en moyenne que 346 000 logements par an depuis vingt ans alors qu il en faudrait actuellement 500 000 Avec 330 000 logements construits en 2013 la loi Duflot n a donc pas frein la construction elle a bien au contraire frein la crise En effet parall lement une augmentation de l investissement pour construire davantage de logements sociaux des mesures ont t prises afin d augmenter la construction Et comme le pr
155. nous avons l habitude du dialogue et c est plut t par cette voie que nous voulons progresser pr f rant convaincre plut t que de contraindre M LE PRESIDENT Merci beaucoup Jean Paul Bret M le Vice Pr sident BRET Oui je me suis exprim sur le fond dans le d bat sur le plan 3 A et c est bien qu ce moment de notre d bat la question me semble t il ait t d j largement voqu e J ai dit tout l heure qu il y avait le risque de la posture et les derni res interventions me le montrent Je veux dire que quand on caricature le propos en disant qu on est contre les pauvres parce qu on n est pas pour l encadrement pr sent comme cela je trouve que l on rentre dans un d bat binaire manich en qui ne correspond pas la r alit Je souhaiterais que nos coll gues dans cette assembl e puissent voquer ces sujets avec peut tre un peu plus de distance en tout cas moins d effets de manche et de posture Donc je dis oui il faut aller vers une r gulation oui il faut sans doute donner les outils d une v ritable r gulation mais non pas placer comme cela le d bat imm diatement sur l encadrement des loyers alors que la loi Duflot ne le pr voit m me pas de cette fa on l Je vous invite la relire elle dit simplement d abord mettons en place des observatoires et apr s on verra s il y a besoin d encadrer les loyers Je trouve que c est une mauvaise fa on de conduire le d bat Donc notre group
156. nous l avons subi et j allais dire surtout essay de comprendre comment cela se passait de fa on ce qu il s applique le moins mal possible Aujourd hui j ai fait la tourn e de pratiquement toutes les Communes pour v rifier que les p rim tres n taient pas j allais dire contestables ou pouvaient s ajuster dans la limite de l arithm tique que nous proposait le Gouvernement Je crois que sur la totalit des Communes pratiquement nous avons obtenu un r sultat qui nous permettra avec le Pr fet de rectifier la marge les p rim tres pour ne pas faire d erreur Je r unirai les Maires apr s demain pour confirmer cette approche sur les quartiers qui ont t retenus Je ne crois pas qu il y ait de Communes avec lesquelles il y ait de grands d saccords sur les rectifications de p rim tres Apr s il y a des Communes qui n ont pas t retenues et qui vont basculer dans les quartiers de veille J ai demand au Pr fet qu il nous dise tout de m me pr cis ment ce qu est un quartier de veille quelles sont les mesures pr cis ment Or ce n est pas pour rien que j en fais un deuxi me paquet c est tout simplement que tant que nous n aurons pas la liste des mesures concernant ces quartiers de vieille cela me para t assez difficile de discuter avec vous Ce que je sais c est que par rapport ces quartiers de veille le Grand Lyon est engag en r alit pour ceux qui ne sont pas dans la g ographie prioritaire haut
157. ns Force est de constater que toutes les collectivit s locales sans exception la R gion avec sa dizaine d ambassades r gionales les Com munes la Ville de Lyon le Grand Lyon ont un souhait et une ambition de coop ration internationale ettout cela en s arrangeant et en d veloppant longueur d ann e la sacro sainte clause de comp tence g n rale au m pris bien videmment forc ment des comp tences normalement attribu es Voil donc nous sommes contre Nous sommes favorables une n cessaire solidarit nationale que nos collectivit s doivent d abord nos ressortissants Je vous remercie M LE PRESIDENT Ensuite le groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller MOROGE Peut tre faut il clarifier le vote concernant le siphon de La Mulati re non On n a pas vot non Je souhaite au nom du groupe UMP divers droite et apparent s intervenir sur les d lib rations num ros 2014 0322 2014 0328 qui concernent le fonds de solidarit eau et plus g n ralement la politique de coop ration d centralis e du Grand Lyon Le dossier de ces coop rations est la fois int ressant et sensible car parfois synonyme de d penses somptuaires de voyages on reux et de d rives technocratiques Bien entendu notre groupe est favorable la coop ration d centralis e notamment si elle centre son activit sur le d veloppement conomique au profit des acteurs du pays d accueil mais galement au
158. ns tous de mixit sociale et de volontarisme afin de donner un espoir ces quartiers en leur permettant une configuration nouvelle par ces op rations d am nagement Avis favorable de la commission sur ce sujet Pour r pondre l intervention faite par notre coll gue Richard Llung je trouve que c est une r flexion int ressante sur les modes de financement que nous pourrions mettre en uvre et notamment pour r pondre aux besoins de certaines Communes qui aujourd hui ne disposent pas des ressources financi res pour r pondre aux op rations qui peuvent se multiplier en diffus dans certains secteurs Aujourd hui il est vrai que nous avons des outils que sont les ZAC et les PUP qui permettent de r pondre des op rations d une certaine ampleur Cela n est pas le cas pour la produc tion en diffus comme le soulignait tout l heure notre coll gue Richard Llung la production r alis e par les ZAC etles PUP repr sente environ 20 de la production et donc il reste 80 de la production qui concourent l augmentation de certains besoins au niveau des Communes que ce soit les besoins scolaires ou en petite enfance et pour lesquels nous n avons pas de modalit s compl mentaires de financement en dehors de la taxe d am nagement classique Pour ma part je serais assez favorable pour que nous puissions en lien avec le Grand Lyon et les Communes ouvrir ce champ qui nous est donn aujourd hui par certaines volution
159. ntion aupr s de la R gion Rh ne Alpes D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service d veloppement local M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0297 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 21 M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Nous avons eu l occasion plusieurs reprises en Conseil communautaire en commission conomique d voquer le dossier SITL Fagor Brandt entreprise en difficult situ e dans le quartier de Gerland dans le septi me arrondissement Gr ce la mobilisation de l Etat des collectivit s locales en particulier du Grand Lyon de la R gion Rh ne Alpes d une partie des salari s de leurs repr sentants de l Aderly cette entreprise a t reprise par une entreprise am ricaine sans promoteur avec un contrat de sauvegarde des 395 contrats de travail Dans ce cadre le Grand Lyon fort de sa comp tence sur le foncier et le PLU H s est positionn pour acqu rir le foncier pour faciliter l installation de la nouvelle entreprise et prot ger le t nement de toute sp culation pour le r server l activit industrielle Je voudrais simplement dire que lorsqu on lutte pour l emploi nous sommes loin je crois dans cette collectivit des caricatures voqu es tout l heure dans
160. olution Le plan est sans doute peu attractif pour le grand public mais il est tr s attendu par les diff rents acteurs du patrimoine Les orientations g n rales du plan peuvent tre r sum es ainsi un projet urbain qui prend en compte la valeur universelle exceptionnelle VUE un nouveau concept sur le secteur consid r une approche scientifique de l authenticit du sud du site et une production de connaissances une conservation pr ventive et une restauration du patrimoine une sensibilisation aux valeurs du patrimoine et aux projets culturels une valorisation touristique et enfin une coop ration internationale et un partage des valeurs universelles galement dans un souci de solidarit des villes Les exemples d actions contenus dans les 16 fiches du plan de gestion lyonnais la r vision du PLU H la cr ation de l Observatoire du patrimoine urbain qui doit faire une place importante aux usagers concern s et int ress s par ces questions du patrimoine la mise en place d un plan signal tique du site historique avec une application g ographique et historique pour les smartphones installation r alis e d j en ao t 2013 et janvier 2014 avec l installation en particulier de 11 tables d orientation 68 bornes et 45 marquages au sol la diversification des offres touristiques la refonte du volet patrimonial du site webculturelyon org l instauration d une commission locale Etat Ville personnes qualifi es permet
161. on et l ann e 2013 aura vu le succ s confirm des actions lanc es en 2009 et financ es en grande partie par la Communaut urbaine de Lyon A noter le succ s d ELI Lyon Sud autour des lymphomes avec 150 cr ations d emplois et celui du World Sarcoma Network qui a attir cette ann e trois entreprises Lyon dont une entreprise japonaise Enfin 2013 a vu na tre quatre nouveaux projets preuve de concept portant leur nombre total 36 Le bilan tabli cette occasion est ce titre instructif puisqu partir d un investissement public global de 13 2 M sur ce programme unique en France dont 4 M du Grand Lyon 20 M ont t apport s par les soci t s partenaires Cet apport de 13 2 M des collectivit s ajout aux 20 ME des soci t s a permis de lever 132 M de fonds priv s pour 22 des entreprises partenaires l effet de levier est donc de dix fois et si on regarde les 4 M de la Communaut urbaine de Lyon et les entreprises bas es Lyon l effet de levier de 4 ME est multipli par 33 b n ficiant ainsi la dynamique conomique et d innovation du territoire Le vote d aujourd hui concerne seulement une partie de l aide au CLARA Une nouvelle programma tion a t discut e avec l ensemble des collectivit s de Rh ne Alpes et de l Auvergne pour la p riode 2014 2016 pour poursuivre cette dynamique en suivant plusieurs objectifs r pondant aux enjeux sp cifiques des collectivit s partenaires
162. on qui me semble indispensable Elle me semble d autant plus indispensable monsieur le Pr sident que dans le huiti me arrondissement l volution d mographique est forte en effet pr s de 1 000 habitants suppl mentaires par an depuis quinze ans arrivent dans notre arrondissement Avec cette volution notre arrondissement pr sente un d ficit r el d quipements cr ches groupes scolaires coll ges stades gymnases toutes les structures sont dans une situation critique A ce titre puisque vous tes en pleine pr paration des programmations pluriannuelles des investissements du Grand Lyon et de la Ville de Lyon j attire votre attention sur cette situation catastrophique et sur les volutions qu il est indispensable de voir J ai bien not que votre Vice Pr sident Michel Le Faou souhaitait utiliser tous les outils qui taient sa disposition pour compenser les volutions en termes de logements par de nouveaux quipements en particulier dans le diffus Pour ce qui est des PUP on a un outil qui est tout fait int ressant mais qui est perfectible et je pense qu il faut vraiment se saisir de ce dossier Je vous remercie monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Monsieur Le Faou vous souhaitez ajouter quelques mots M le Vice Pr sident LE FAOU Oui je vois qu on exporte au Grand Lyon des sujets relatifs au huiti me arrondissement et qui ont d j fait l objet de moult d bats au niveau du Conseil d arrond
163. ons internationales M LE PRESIDENT La commission d veloppement cono mique a d sign monsieur le Vice Pr sident Galliano comme rapporteur du dossier num ro 2014 0294 Monsieur Galliano vous avez la parole M le Vice Pr sident GALLIANO rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident sur le programme des jeunes ambassadeurs M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident GALLIANO N 2014 0298 Attribution de subventions l association Rezopole pour son programme d actions 2014 et son programme d inves tissement 2014 2015 Individualisation totale d autorisation de programme D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service innovation M LE PRESIDENT La commission d veloppement cono mique a d sign madame la Vice Pr sidente Dognin Sauze comme rapporteur du dossier num ro 2014 0298 Madame Dognin Sauze vous avez la parole Mme la Vice Pr sidente DOGNIN SAUZE rapporteur Avis favorable de la commission sur ce rapport monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt l unanimit Rapporteur Mme la Vice Pr sidente DOGNIN SAUZE 44 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Ill COMMISSION FINANCES INSTITUTIONS ET RESSOURCES N 2014 0301 Comit technique de la Communaut urbaine de Lyon Fixation du nom
164. ou la M tropole va t elle aussi abandonner des quartiers comme l a fait l Etat Car comme l Etat nos budgets ne sont pas extensibles et apr s les d penses d avant campagne lectorale nous avons bien compris que vous allez nous imposer une p riode de disette budg taire Aussi au del de la r forme de la politique d aide sur laquelle je vous interroge nous nous inqui tons sur les crit res de la future M tropole pour d cider des orientations de cr dits pour ces associations Jen veux pour preuve le dossier num ro 2014 0275 dont la d lib ration parle d une tude pour la cr ation d une antenne de l Ecole de la deuxi me chance C est bien inscrit dans la d lib ration pour all cher les lus des Com munes qui ne sont pas concern s et qui pourraient y voir une opportunit de travail sur le territoire Mais quand on interroge en commission le Vice Pr sident David Kimelfeld en charge de ces questions il a vite fait de doucher nos attentes par une r ponse d ailleurs assez surprenante la Ville de Lyon ne souhaite pas payer plus donc le Grand Lyon ne le souhaite pas non plus La cons quence est on ne peut plus claire seules les villes de gauche qui ont d j ce service en b n ficieront c est dire Lyon Vaulx en Velin V nissieux et Bron les autres villes n y auront pas acc s C est se demander si pour vous le ch meur ne serait pas assimilable la couleur politique de l quipe municipale
165. our l Etat Donc 480 M d un c t pour une op ration priv e et 180 M pour les quipements publics qui permettent de des servir le stade mais qui permettent de desservir cette partie de l agglom ration D ailleurs j irai me promener avec vous si vous le voulez bien madame le Maire dans votre commune et je dirai L vous ne voulez pas de trottoir les gens vont me dire Oui je veux un trottoir l o il y avait une route d partementale v tuste Je veux bien venir avec vous le jour de l inauguration vous direz Ce qu a fait le Grand Lyon c est nul et je prendrai t moin les habitants en disant Regardez ce que nous avons fait et je sais bien qu en g n ral on critique avant mais tr s peu apr s Pour ce qui concerne le dossier proprement dit nous avons sur l acc s sud puisque c est de celui ci que l on parle une somme de 51 8 M TTC nous allons terminer pour l acc s sud 49 ME TTC nous aurons donc fait 2 8 ME d conomies 14 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 Sur l acc s nord par rapport nos pr visions nous aurons fait 3 M d conomies sur les 21 2 M qui taient pr vus au d but Sur le parking des Panettes nous avions pr vu 17 9 M et nous aurons une conomie de 2 7 ME Voil il peut y avoir en effet un dossier sur lequel effectivement les entreprises parce que nous avons rencontr un certain nombre de difficult s et que le Maire de la Commune no
166. ous ne sommes pas oblig s d avoir des pierres de Croatie des arbres venus d Allemagne des bandes podo tactiles de Chine Donc quels travaux Quelles ch ances Le calendrier initial sera t il respect Ce dossier fait il partie des arbitrages que vous avez d cid s Qu en est il d une fa on g n rale de la suite des grands projets de votre dernier mandat Et ce quelques jours 108 disait monsieur Cochet de la cr ation de la M tropole Nous vous avions mentionn que nous ne souhai tions pas naviguer ou plut t voter vue jusqu mi 2015 La situation pour les entreprises du secteur BTP pour 2015 se pr sente mal vous le savez Les incertitudes ainsi entretenues par le premier donneur d ordre du Rh ne sont pr judiciables pour tous les acteurs conomiques Pouvez vous cette fois r pondre nos interrogations Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci bien Je crois que vous n avez pas cout la discussion de tout l heure car on a justement dit qu effectivement ce serait juin juillet 2015 qu on aurait une vue globale et donc qu on inscrirait la programmation pluriannuelle des investissements dans le cadre des discussions avec les Communes Donc nous aurons une discussion globale y compris sur Garibaldi Imaginez que je vous dise d j qu il y a des d cisions qui ont t prises Nos coll gues nous suspecteraient bon droit de prendre des d cisions pour Lyon alors qu elles ne sont pas p
167. parc examin Le parc de stationnement Rozier est exclusivement d di aux r sidents et pour ceux qui ont en m moire les n gociations que nous avons eues sur la d l gation de service public du parc des Tables Claudiennes en 2010 vous vous rappelez que la Pr fecture nous avait fait la demande pressante pour qualifier ce parc comme r pondant aux crit res de service public d ouvrir dans ce parc trois ou quatre places au stationnement horaire ce qui a t fait et a permis de d dier l essentiel des 107 autres places du parc Rozier au stationnement r sidents Aujourd hui la qualification de service public pour un parc exclusivement d di des r sidents est contest e car pour avoir la qualification de service public il faut une ouverture au moins pour une partie du parc l ensemble des usagers ce qui permet de qualifier le service public d o la r flexion qui a t men e ces derniers mois pour requalifier le mode de gestion et proposer l assembl e de supprimer la qualification de service public qui ne r siste pas durablement une analyse juridique et proposer une modalit de gestion p renne durable qui s inscrive dans la dur e L autre inconv nient d une d l gation de service public est de repasser une DSP de longue dur e avec des co ts de transaction importants au regard de le redevance per ue par ce parc qui est de 12 000 par an Si vous consacrez l int gralit de cette redevance to
168. pe Communiste et r publicain relatif l encadrement des loyers dans l agglom ration lyonnaise M LE PRESIDENT Nous arrivons au v u nous en avons beaucoup parl il faut maintenant formellement le pr senter et le mettre aux voix Je crois que c est monsieur H mon qui le pr sente en premier M le Conseiller H MON Oui monsieur le Pr sident je vais le pr senter durant quelques minutes et ensuite mon coll gue Pierre Alain Millet continuera En introduction je dirai que le d bat a d j eu lieu tout l heure et j ai eu l impression en coutant certaines interventions d entendre ce que chantait Gavroche Quand je tombe par terre c est la faute Voltaire quand je tombe dans le caniveau c est la faute Rousseau et dans le logement c est la faute Duflot Rires et applaudissements dans les rangs de l assembl e Je vais revenir sur certains l ments de l encadrement des loyers qui est la mesure la plus embl matique de la loi ALUR Acc s au Logement et pour un Urbanisme R nov Aujourd hui d natur par le Premier Ministre ce dispositif aurait permis de r guler localement les loyers tout en redonnant des capacit s financi res r elles aux locataires Il aurait aussi am lior les possibilit s d accession au logement et assur une r elle mixit sociale dans les zones tendues de notre agglom ration Pour rappel le logement prend une part de plus en plus importante dans le budget de
169. positifs d accompagnement au relogement Attribution d une subvention Alliade habitat et la Ville de Bron D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l habitat et du d veloppement solidaire urbain N 2014 0338 Lyon 7 Zone d am nagement concert ZAC des Girondins Modification de la convention type de participation financi re des constructeurs au financement des quipements publics D l gation g n rale au d veloppementurbain Direction de l am nagement M LE PRESIDENT La commission urbanisme a d sign mon sieur le Conseiller Longueval comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0334 et 2014 0338 Monsieur Longueval vous avez la parole M le Conseiller LONGUEVAL rapporteur Avis favorable pour ces deux dossiers ZAC des Girondins et Bron Terraillon monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit N ont pas pris part au d bat ni au vote article L 2131 11 du code g n ral des collectivit s territoriales dossier n 2014 0334 M Brachet d l gu du Grand Lyon Alliade Habitat dossier n 2014 0338 MM Da Passano Le Faou Mme Cardona d l gu s du Grand Lyon au Conseil d administration de la SERL Rapporteur M le Conseiller LONGUEVAL N 2014 0339 Vaulx en Velin Bron Givors Rillieux la Pape Saint Fons Saint Priest V nissieux Plan national de renouvellement urbain Prolongation de la dur e du
170. presse Vous pensez que l intervention de la puissance publique pour encadrer le march de l immobilier est contre productive il faut laisser faire le march pour que tout aille bien Pourtant la d lib ration que nous votons ce soir montre que notre collectivit sous votre impulsion intervient dans le march et que ce dernier ne r gle donc pas tout par lui m me En effet que nous explique cette d lib ration Qu il faut inciter les op rateurs produire une offre de logements prix abordable je cite la d lib ration La Communaut urbaine a mis en place par d lib ration num ro 2013 3947 du 27 mai 2013 un dispositif exp rimental appel plan 3 A visant soutenir l accession abordable par un double m canisme dont l incitation des op rateurs produire une offre de logement prix abordable Cette d lib ration reconna t donc bien que sans l intervention de la puissance publique la tendance naturelle du march n est pas la production de logements prix accessibles que ce soit la location ou la vente et que la collectivit et donc la puissance publique doit intervenir Une fois cela reconnu et dit il existe plusieurs mani res d intervenir Pour votre part et selon une logique que l on peut qualifier de lib rale d un point de vue conomique vous choisissez de sou tenir le march en corrigeant la marge et d une mani re tou jours insuffisante selon nous les in galit s et i
171. que s il n y avait que l action publique nous n irions pas loin en mati re de production de logements Donc nous faisons aussi des ZAC priv es nous faisons des PUP et tout l heure nous avons dit que nous sommes pr ts tudier d autres proc dures pour permettre effectivement de diversifier d augmenter la production de logements et je vais vous le montrer par les chiffres tout l heure de mani re avoir tant en mati re de loyers qu en mati re d accession la propri t des gammes de produits qui peuvent correspondre aux populations diverses de notre arrondissement et surtout nous faisons un travail partenarial avec les professionnels Si demain nous disions Tout ceux l ce sont les m chants on ne veut plus travailler avec eux vous croyez que l on produirait beaucoup de logements dans l agglom ration Non on n en produirait pas Alors on essaie de voir en fixant un certain nombre d objectifs de r alisation et cela se voit effectivement sur le march de Lyon qu il soit locatif ou d accession la propri t Lyon monsieur Olivier Brachet le dit souvent on trouve toutes les gammes de produits contrairement Paris o vous avez soit du tr s social soit du tr s cher en accession la propri t ici Vous avez par exemple en mati re de loyers un PLAI 4 89 par m tre carr un PLUS 5 52 un PLS 8 61 de l interm diaire en zone B1 9 88 de l interm diaire en
172. que une avanc e de plus vers la constitution et la cr ation du campus professionnel ouvert sur son quartier Je vous rappelle qu terme ce seront six coles qui sur ce site et celui d en face l ancien site Merck accueilleront plus de 6 500 tudiants engag s dans des formations professionnelles ce qui constituera sans doute lun des plus grands campus professionnels de France et m me d Europe o 6 500 jeunes de la M tropole et d ailleurs se formeront des m tiers aussi divers que la sant le social l habillement l alimentation l automobile l am nagement la d coration l habitat le commerce les arts graphiques et num riques etc Le site accueillera galement une biblioth que et des logements sociaux d j en cours de construction une r sidence tudiante un gymnase et un parc public ouvert sur une grande esplanade avenue Lacassagne Tr s prochainement le Grand Lyon va engager les travaux de cr ation de la nouvelle voirie qui traversera d est et ouest L histoire du lieu a t largement prise en compte dans la conception des projets Et au niveau des acc s comme la question a t pos e en commission ils sont bien s r facilit s par la ligne D du m tro et seront encore am lior s par les dessertes tramway et v los Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup J ai une intervention du groupe Centristes et ind pendants M tropole pour tous M le Conseiller DIAMANTIDIS Monsi
173. r sauf M George qui s est abstenu La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous M Passi Communiste et r publicain Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s sauf M Barge qui s est abstenu Europe Ecologie Les Verts et apparent s sauf M Charles et Mme Vessiller qui se sont abstenus Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM groupe Front national abstentions M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s M George Synergies Avenir groupe Communiste et r publicain sauf M Passi qui a vot pour M Charles et Mme Vessiller Europe Ecologie Les Verts et apparent s Adopt Rapporteur M le Vice Pr sident CRIMIER N 2014 0273 d veloppement conomique Bron Givors Saint Fons Rillieux la Pape Lyon 7 Lyon 8 Lyon 9 Pierre B nite Oullins Saint Genis Laval La Mulati re Irigny Contrat urbain de coh sion sociale CUCS de l agglom ration lyonnaise Dispositifs d amor age de projets et d accompagnement la cr ation d entreprises Attribution de subventions la Maison de l emploi et des services publics Rh ne Sud aux Communes de Saint Fons de Bron de Rillieux la
174. ration lyonnaise comme le pr voit la loi ALUR Voil monsieur Millet je vous laisse la parole si monsieur le Pr sident nous y autorise M le Conseiller MILLET Permettez moi un commentaire limi naire monsieur le Pr sident quand vous reprenez leurs id es ne regardez pas la droite mais regardez ceux qui vous r pondez D autant que votre longue intervention la gloire de la politique gouvernementale et de la politique grand lyonnaise nous donne beaucoup de chiffres mais comme vous le savez les chiffres on les fait parler Ainsi sur la chute de la construction mais comme vous le notez vous m me en 2008 ce n tait pas madame Duflot qui en tait la cause et peut tre que la baisse de la courbe de la construction que vous avez vue a peut tre un rapport avec la baisse de la hausse de la courbe du ch mage que personne n a encore vue Par cons quent la lecture que vous faites des chiffres peut conduire discussion d autant que concernant l efficacit de la politique du Grand Lyon il y a eu construction de logements sociaux avec une progression r guli re et significative Mais enfin prenez les chiffres nationaux concernant le logement social on est pass de 46 117 logements en 2000 117 065 en 2013 il y a donc une lente et longue progression avec une chute certes en 2011 pour des raisons qui n taient pas non plus la loi Duflot et elle s est faite avec des Gouvernements relativement diff ren
175. rection de l eau S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 45 N 2014 0316 Participation l analyse comparative des services d eau potable et d assainissement collectif pour les donn es de l ann e 2013 Attribution d une subvention la F d ration nationale des collectivit s conc dantes et r gies FNCCR Direction de l eau N 2014 0317 F d ration nationale des collectivit s conc dantes et r gies FNCCR Participation l volution du guide d application des normes europ ennes EN13757 Syst mes de communication et de t l relev de compteurs Direction de l eau N 2014 0320 Genay Cr ation d am nagements de lutte contre le ruissellement agricole Talweg du Lay Lancement de la proc dure de d claration d int r t g n ral Direction de l eau M LE PRESIDENT La commission proximit et environnement a d sign madame la Conseill re Glatard comme rapporteur des dossiers num ros 2014 0315 2014 0317 et 2014 0320 Madame Glatard vous avez la parole Mme la Conseill re GLATARD rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur Mme la Conseill re GLATARD N 2014 0319 Distribution d eau potable Convention pour le transfert de certains abonn s entre la Communaut urbaine de Lyon et le Syndicat des eaux de Millery Mornant Direction de l eau N 2014 0321 Fon
176. ressant au demeurant et cette racine pour nous semble tre la faiblesse des ressources de nombre des familles Les propositions qui nous sont soumises aujourd hui largissent aux logements individuels group s en ZAC et prolongent l exp rimentation ce qui est bien Il faudrait en outre notre avis s employer utiliser d autres leviers d action et j en citerai trois accentuer la production de logements sociaux on en a un petit peu parl ma triser le foncier notamment en mettant en place sur le Grand Lyon et la future M tropole un tablissement public foncier local qui appara t de plus en plus indispensable et bien s r souhaiter une augmentation des revenus des potentiels acc dants la propri t Je vous remercie de votre attention M LE PRESIDENT Merci beaucoup J ai une demande de temps de parole du groupe Europe Ecologie Les Verts M le Conseiller H MON Monsieur le Pr sident les deux interventions pas les trois surtout pas qui viennent de nous pr c der nous conviennent bien et je ne vais pas intervenir plus longtemps Je vous remercie M LE PRESIDENT Merci beaucoup J ai une demande de temps de parole du groupe Communiste et r publicain M le Conseiller GENIN Intervention retir e M LE PRESIDENT J ai une demande de temps de parole du groupe La M tropole autrement M le Vice Pr sident BRET Monsieur le pr sident chers coll gues la d lib rat
177. retenir des liens entre Montr al et Lyon parce qu au niveau international nous avons d velopp des liens qui sont forts et que peut tre aujourd hui l agglom ration lyonnaise conna t moins la crise que d autres Comme vous le savez demain nous recevrons la Vice Premi re Ministre de Chine avec huit autres Premiers Ministres Dans huit jours nous recevrons le Gouverneur du Massachusetts pour tablir des liens entre le secteur des biotechs de Boston et celui de Lyon C est comme cela effectivement que nous arrivons faire que l agglom ration lyonnaise chappe un peu la crise Je mets aux voix ce dossier pour M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s groupes Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous Communiste et r publi cain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Rassemble ment d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires MM Aggoun et Calvel Non inscrits contre n ant abstentions groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s sauf M Barge qui a vot pour Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM groupe Front national Adopt l unanimit Mme Frih n ayant pris part ni au d bat ni au vote du dossier article L 2131 11 du code g n ral des
178. rises pour leur Commune Donc c est une question de respect vis vis de l assembl e Mais en attendant il faut bien continuer percevoir les recettes Je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident ABADIE N 2014 0271 d placements et voirie Travaux de g nie civil et maintenance sur petits ouvrages d art March s annuels bons de commande Lancement d une proc dure d appel d offres ouvert Autorisation de signer les march s Direction de la voirie M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Abadie a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0271 Monsieur Abadie vous avez la parole M le Vice Pr sident ABADIE rapporteur Avis favorable de la commission monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Merci bien J ai une demande de temps de parole du groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s M le Conseiller COCHET Monsieur le Pr sident et chers coll gues qu il fait bon de si ger au Grand Lyon Une ambiance calme et d tendue o l on ronronne sur des dossiers tr s souvent vot s par consensus Pour un peu monsieur le Pr sident vous parviendriez nous faire croire que la machine tourne toute seule et que l on peut regarder ailleurs car vous vous occupez de tout Pourtant l ext rieur on entend des grondements diff rents Les agents sont en attente de r ponse sur leur volution statu taire le
179. rs de la commission g n rale J en veux pour preuve les dossiers que l on gr ne petit petit pour que cela ne se voie pas trop deux petits rapports du Bureau du 8 septembre 2014 sur l achat du mat riel informa tique par lesquels on adopte des avenants d un montant de 1 2 M pour financer les surco ts de la M tropole Ce rapport num ro 2014 0271 sur les travaux de g nie civil sur lequel les services ont bien t oblig s d indiquer en commission qu ils avaient d adopter une majoration la louche de 50 pour financer les ouvrages futurs du Conseil g n ral Nous verrons tout l heure les rapports num ros 2014 0310 et 2014 0311 pour des prestations informatiques pour lesquels on nous a dit avoir major des montants en pr vision de la M tropole mais sans savoir vraiment combien car de l aveu du Pr sident de la commission c est un exercice difficile Vous le savez on s en tait rendu compte Soyons un peu s rieux chacun comprend ce que cela veut dire Il faudra annoncer aux Maires les co ts budg taires sur les investissements Ce n est pas un hasard si la programmation pluriannuelle des investissements ne sera vot e qu en 2015 Sur ce sujet d ailleurs vous entretenez un flou permanent pour la fois tout promettre individuellement aujourd hui et demain tout refuser collectivement Car qui d cide des inscriptions Selon quels crit res Quelles sont les enveloppes globales par comp tence Quelles sont
180. ruction des futures politiques m tropolitaines Il s agit effectivement dans cette d lib ration de diverses sub ventions des associations dans le cadre de la solidarit et de la politique de la ville combien importante aujourd hui et plus particuli rement du plan de lutte contre les discriminations dans l acc s au logement de la Ville de Villeurbanne Ce plan initi par la Ville de Villeurbanne s est construit de fa on partenariale avec les diff rents acteurs de son territoire dont bien s r ceux 28 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 du logement Cette action originale reconnue a permis une mobilisation de tous par exemple travers des formations en vue de faire voluer les pratiques Il me faut galement citer la cr ation du Comit des agences immobili res pour louer sans discrimination qui r unit des agences villeurbannaises au nombre de 13 la Fnaim69 et l Unis69 C est actuellement un label qui est en train de se construire et les partenaires du logement notamment soulignent l importance d largir le p rim tre de l action l chelle de l agglom ration qui correspond videmment leur territoire d intervention Le soutien du Grand Lyon a toujours t pr cieux dans cette d marche Il l est d autant plus aujourd hui dans la structuration des politiques de la future M tropole avec la mobilisation de tous les partenaires Nous passerions ainsi d une initiative locale
181. rvice d assainissement ne fonctionne pas sur Caluire et Cuire on me dise par exemple que c est l imp ritie du Pr si dent du Grand Lyon Donc nous prenons ces travaux temps Voil je mets aux voix ce dossier Monsieur Petit M le Conseiller PETIT On n a jamais entendu parler Caluire et Cuire de ce probl me de siphon On le d couvre ce soir c est bien beau dans l intervention de madame N allez pas dire que cela ne va pas fonctionner parce qu on fait une remarque sur ce dossier ce soir alors qu on n en a jamais entendu parler Ce n est pas acceptable On d couvre les informations les soirs de Conseil C est inadmissible et ce n est pas la premi re fois M LE PRESIDENT Mais je vais vous dire que sur les probl mes d assainissement etc en g n ral vous n en entendez pas parler justement parce que cela fonctionne Je mets aux voix ce dossier pour M Barge Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s Socialiste et apparent s Synergies Avenir La M tropole autrement Centristes et ind pendants M tropole pour tous M Passi Communiste et r publicain Europe Ecologie Les Verts et apparent s Rassemblement d mocrate et radical Lyon M tropole gauche solidaires Groupe de r flexion et d actions m tropolitaines GRAM MM Aggoun Calvel Non inscrits contre n ant abstentions groupes Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparen
182. s deux tiers d in vestisseurs un tiers d acc dants nous sommes maintenant deux tiers d acc dants et un tiers d investisseurs Par cons quent rappelez vous le PASS foncier entre autres qui avait tr s bien march dont le r sultat n a t d ailleurs que le double de ce que nous faisons avec le plan 3 A Et pour le plan 3 A nous n avons pas les aides de l Etat que nous avions l poque pour le PASS foncier donc c est plut t un bon r sultat Ensuite pour revenir au d bat et peut tre appuyer la position que donnait Jean Paul Bret videmment vous pensez bien que la position qu on a ce n est pas de penser que ce serait bien que les loyers augmentent et doublent tous les jours et que ce serait excellent etc c est simplement de savoir si des d cisions comme cela ont un effet protecteur pour les gens ou si elles ont un effet plus n gatif Or vous connaissez la diversit des loyers et des prix entre Givors et Neuville sur Sa ne entre Dardilly et D cines Charpieu et entre les arrondissements de Lyon Donc pour agir efficacement il faut conna tre et savoir et ensuite appliquer cela diff rentes client les Puis au fond les loyers sont tr s encadr s Je rappelle qu aujourd hui quand vous tes locataire vos loyers ne peuvent bouger que de l IRL exactement de la m me mani re que 36 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 dans le secteur HLM et si vous restez quinze ans dans votre appar
183. s Vice Pr sidents traitent des dossiers sans avoir l air de savoir vraiment ce qu il en adviendra au 1 janvier prochain et vous monsieur le Pr sident Collomb vous tes muet mais seulement sur les sujets importants En revanche le Pr fet lui parle la place des lus en responsabilit Selon lui il ne resterait je cite que quelques petits points r gler a t il annonc lors d un d jeuner de presse Je m interroge et je pense que tous les coll gues ici pr sents qui sont exclus de ces informations font de m me Le cas des emprunts toxiques serait donc r gl les co ts de fonctionnement du mus e de la Confluence aussi sauf ce que vous reconsid riez l instar du Pr fet que ce sont de petits points On pourrait trouver des explications ce mutisme et cette berceuse que l on nous joue depuis des semaines Je n oublie pas que dans quelques jours il y aura des lections s natoriales o vous tes candidat et donc il y a de grands lecteurs ne pas heurter et cause de cela vous ne souhaitez pas avoir un discours de v rit Mais ce jeu politicien se rajoute un l ment plus grave c est la pr paration de la M tropole et c est l absence de vision long terme car en v rit les discussions ne sont pas encore abou ties et ce sont les points durs qui restent r gler Vous l avez d ailleurs annonc vous m me en Bureau de la Communaut urbaine et vous venez de le rappeler l instant lo
184. s de parole pour le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s M le Conseiller GUILLAND Monsieur le Pr sident et chers coll gues quelques remarques sur les deux rapports concernant l am nagement de ce qu il convient d appeler d sormais Top ration Parc Marius Berliet L volution de cet lot industriel au c ur du huiti me arron dissement tait depuis quelques ann es devenue in luctable L ach vement prochain de la ZAC Berthelot Epargne adjacente invitait ces b timents progressivement vid s de toute activit conomique voluer c est le cas aujourd hui et nous ne pouvons que nous en r jouir La m thode retenue le projet urbain partenarial PUP permettra de faire participer le ou les promoteurs aux quipements publics rendus n cessaires par la cr ation de nouveaux logements Ce sont les raisons pour lesquelles notre groupe votera ce rapport Pour autant m me si la mise en place du PUP permet la participation des promoteurs hauteur de 5 M la cr ation de voiries objet du rapport ou d un groupe scolaire ou d une cr che qui resteront de la comp tence de la Ville de Lyon quelques remarques ne nous semblent pas inutiles Class es initialement en zone Ul c est la modification par le Grand Lyon de la destination de ces parcelles qui a permis cette op ration de grande ampleur qui correspond je vous l accorde l volution de notre ville M
185. s et ces aides sont particuli rement cibl s dans les quartiers en contrat urbain de coh sion sociale CUCS et se pose d s lors la question de l orientation des cr dits face la refonte des zones prioritaires Que va t il en tre l avenir pour les Communes qui ont t sorties de cette g ographie prioritaire non seulement pour l aide aux projets d insertion par l emploi mais aussi pour l ensemble des actions qui participent la politique de la ville Le 25 ao t dernier je vous adressais un courrier pour vous faire part des inqui tudes de la Commune de La Mulati re inqui tudes partag es par un certain nombre de Communes de l agglom ration exclues elles aussi de la g ographie prioritaire Je vous rappelais que par une lettre dat e du 16 juin 2014 madame Najat Vallaud Belkacem alors Ministre des Droits des S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 15 femmes de la Ville et de la Jeunesse et des Sports nous signi fiait qu au regard des nouveaux crit res retenus La Mulati re comme d autres Communes sera d sormais exclue de la nou velle g ographie prioritaire et pourrait tre plac e en territoire de veille active Les lus concern s ne peuvent que regretter fortement cette d cision car la politique de la ville mise en place depuis plusieurs ann es dans ces communes a largement contribu maintenir des quilibres de plus en plus fragiles Malgr ce changement de classification les
186. s fine plus approfondie propos de l encadrement des loyers ses cons quences sa r partition g ographique avec les groupes politiques du Grand Lyon et avec les acteurs concern s avant de prendre une d cision Car je rappelle par exemple que les Fran ais d m nagent beaucoup 10 12 chaque ann e ce qui facilite l augmentation des loyers M LE PRESIDENT me Panassier Madame Perrin Gilbert puis mada Mme la Conseill re PERRIN GILBERT Merci monsieur le Pr sident Le groupe GRAM votera galement pour ce v u dans la continuit de la discussion pr c dente Nous pensons en effet qu trop penser aux investisseurs nous oublions les habitants du Grand Lyon et la question est bien pour qui on fait la ville Pour qui on fait la M tropole Pour qui on produit du logement Et une des r alit s aujourd hui est que le logement est inaccessible tel qu il est construit pour une majorit de nos concitoyens Un rapport vient d tre dress r cemment par la F d ration nationale des tudiants qui classe Lyon on est en septembre donc je parle des tudiants comme la troisi me ville o les logements sont les plus lev s aujourd hui avec une augmentation importante de 2 durant cette ann e Voil ce sont des r alit s auxquelles nous avons faire face Donc nous voterons pour le v u du groupe Europe Ecologie Les Verts et apparent s et Communiste et R publicain M LE PRESIDENT Madame Panass
187. s r glementaires avec notamment l utilisation des PUP p rim tre largi ce qui permettrait de g n rer des ressources compl mentaires pour les Communes pour faire face l augmentation de certains besoins notamment en mati re scolaire ou en mati re de petite enfance Nous avons au niveau du Grand Lyon une certaine exp rience dans la mise en uvre de ces nouveaux outils Nous avons t moteur au moment de la mise en uvre des PUP Je pense qu une tape suppl mentaire peut tre ouverte par l utilisation des PUP p rim tre largi dans le cadre de ce mandat ce qui permettrait de r pondre une demande croissante sur certaines Communes et qui permettra aux Communes de d gager des ressources compl mentaires pour participer la r alisation de certains quipements communaux Et ceci il faut le faire comme l indiquait Richard en lien avec les professionnels d une part pour pas d stabiliser le march et pers v rer dans le lien de confiance qui existe aujourd hui entre la collectivit et les am nageurs et en m me temps pour leur donner de la lisibilit sur leur march sur le long terme Merci M LE PRESIDENT Merci beaucoup Je mets aux voix ces deux rapports Adopt s l unanimit MM Da Passano Le Faou Mme Cardona MM Barge Collomb Brachet d l gu s du Grand Lyon au Conseil d administration de la SERL ainsi que MM Collomb Brumm Le Faou Claisse Mme Brugnera M Guimet Mme Buril
188. s revenir sur l histoire de ces Entretiens Jacques Cartier il nous semble toutefois n cessaire de rappeler que les vicissi tudes qui ont maill la vie de ces changes font planer un doute certain sur l int r t g n ral qui devrait guider notre participation Dans son rapport de juin 2012 la Chambre r gionale des comptes constatait sur le budget de cette manifestation la prise en charge de frais en dehors du respect de la comptabi lit publique Elle indiquait aussi que c est le laxisme du contr le op r par l universit qui avait permis que ces frais soient rembours s par le comptable En commission le Vice Pr sident Galliano indiquait que cela avait t pris en compte et que je cite Incessamment sous peu vous verrez des volutions de gouvernance Mais nous ne devons pas avoir la m me conception de l int r t public on ne joue pas au poker on ne paye pas pour voir Nous aurions souhait avoir d s maintenant des explications sur ces volutions de gouvernance aussi des d tails sur certaines lignes budg taires comme les frais de d placements et les charges de personnel Le Vice Pr sident Jean Paul Bret a indiqu aussi en commission son manque d enthousiasme jusqu demander l extinction de cette subvention mais comme ses votes sont S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 19 d abord guid s par des accords politiques il a tout de m me indiqu qu il voterait pour Pour notre part nous s
189. s voulons Ces propos ne devraient pas se tenir au sein d un tablissement public de coop ration intercommunale car la notion de majorit est bien relative dans un organisme de coop ration o chaque repr sentant a t dans cette instance sous son propre nom et d tient donc une l gitimit directe des lecteurs car cette m thode confirme la crainte d un grand nombre d lus dans cet h micycle ne plus avoir voix au chapitre sur les sujets propres leurs Communes r alis s par le Grand Lyon Il suffit pour s en convaincre de lire dans la pr sentation de ce rapport qu un sch ma d accessibilit du Montout a t labor en partenariat avec le SYTRAL l Etat la Communaut urbaine le D partement et l Olympique Lyonnais Les Communes de D cines Charpieu et Meyzieu n ont pas t associ es aux d ci sions qui les impactent directement mais je laisse madame le Maire de D cines Charpieu vous dire ce qu elle en pense Mme la Conseill re FAUTRA Monsieur le Pr sident et chers coll gues non seulement nous n avons pas t associ s sur l ensemble du processus organisationnel de ce grand projet j entends par l pas qu au niveau de l ex cution mais au niveau du management du projet En effet je ne peux que constater quotidiennement une descente d informations de la part des partenaires cit s par monsieur Quiniou dans son intervention Lorsque nous faisons des remarques et apportons quelques propositions nous n
190. se une culture diversifi e et ouverte aux habitants En ce qui concerne cette d lib ration qui vise poursuivre la ma trise fonci re sur ce secteur strat gique nous la voterons pour poursuivre avec nos partenaires le d veloppement du plateau des Minguettes M LE PRESIDENT Madame le Maire j ai eu l occasion de dire au Pr fet de R gion que depuis que nous avions envisag ce type d op ration l Etat avait r duit ses subventions aux collectivit s locales et que nous tions oblig s de faire passer les budgets en forte diminution et qu videmment pour ce qui concerne la Ville de Lyon son engagement allait donc devoir tre revu Mais je ne doute pas que le Pr fet puisse trouver d autres moyens de financement Je mets donc aux voix ce dossier Mme la Conseill re PICARD Est ce que je pourrais avoir une r ponse mon courrier que je vous ai envoy au mois de juillet concernant le Grand Lyon si vous suivez la d cision de la Ville de Lyon ou pas Merci M LE PRESIDENT Nous vous avons dit tout l heure que nous allions faire des PPI qui seront act es en juillet prochain Donc c est dans les PPI que nous vous indiquerons la r ponse en fonction des demandes des uns et des autres et du montant des demandes des uns et des autres on verra ce qu il est n cessaire et ce qui peut tre remis en cause Donc je mets aux voix ce dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident BRACHET
191. sidente PICOT rapporteur Merci monsieurle Pr sident Monsieur le Pr sident mes chers coll gues il s agit de la d lib ration 2014 0300 relative une demande de subven tion l Association de gestion de la Villa Gillet pour son festival Mode d emploi un festival des id es Il s agit comme le projet de d lib ration le pr cise d une r flexion publique autour de la pens e contemporaine C est la troisi me dition de ce festival qui essaime dans treize communes de l agglom ration Cette ann e elle se tiendra entre le 17 et le 30 novembre Ce festival poursuit parfaitement les objectifs recherch s par la Communaut urbaine Je pr cise que toutes les universit s etles grandes coles de l agglom ration et au del m me de la R gion participent cette initiative et c est la raison pour laquelle la com mission a donn un avis favorable la demande de subvention M LE PRESIDENT Merci bien J ai une demande de temps de parole du groupe UMP M le Conseiller HAMELIN Merci monsieur le Pr sident La Villa Gillet est une institution bien connue dans notre agglom ra tion Depuis 1986 elle accueille et anime toute forme de pens e Le festival des id es Mode d emploi dont nous parlons avec cette d lib ration permet depuis 2012 de cr er des rencontres entre des sp cialistes en sciences humaines et sciences sociales et des publics tr s vari s Mais ce n est pas tant sur le travail de la Villa
192. ste qui a t port e par la Communaut urbaine en mati re de politique de logement Nous ne pouvons que nous en f liciter Cela signifie quoi Que notre agglom ration consid re qu elle doit intervenir dans la r gulation des prix des logements pour ne pas les laisser la seule logique des march s Cela ne nous a d ailleurs pas emp ch s d obtenir gr ce l engagement de la plupart des Villes de tr s bons scores dans la construction de logements monsieur le Pr sident le rappelait r cemment en moyenne pr s de 9 000 par an Cette politique d aide la production n exclut pas pour autant que l on s occupe de la r gulation des loyers et surtout du dispo sitif qui peut nous y conduire Excusez moi puisque tout l heure il y aura un v u et que madame Perrin Gilbert a abord finalement les deux aspects des choses je vous donne tout de suite mon propos par rapport cela ce qui me permettra peut tre de ne pas r intervenir dans le v u D abord je crois que c est un sujet complexe et il n est pas souhaitable de l enfermer dans des logiques de posture comme c est un peu le cas tre pour ou contre l encadrement des loyers Cette fa on de faire est contre productive dans un d bat qui se doit exemplaire puisqu il touche encore une fois une question cruciale pour de nombreux habitants Nous devons donc faire preuve d initiative et d esprit d innovation Dans ce domaine l jusqu maintenant nous avons eu
193. stingu s par exercice afin de comparer leur progression Le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s votera pour ces rapports tout en restant dans l attente d une am lioration de l information Merci M LE PRESIDENT Merci bien Je vous rappelle simplement si je regarde sur les six derni res ann es que les budgets en 2008 taient de 121 000 ils ont eu un pic en 2009 215 000 et sont retomb s 191 000 puis 181 000 puis 162 000 puis 167 000 avant de retomber tr s peu en 2014 pour des raisons videmment que chacun peut comprendre personne ne se d pla ait beaucoup On vous donnera l ensemble M le Conseiller FROMAIN Oui parce que ces chiffres ne sont pas arriv s jusqu l opposition je crois M LE PRESIDENT On peut les donner quand vous voulez il suffit de les demander M le Conseiller FROMAIN C tait ma demande monsieur le Pr sident M LE PRESIDENT Je signale tous ceux qui sont l que la Ville de Lyon en ne payant plus comme par le pass un chauffeur et une voiture affect e au Pr sident du Grand Lyon a fait une s rieuse conomie Donc je mets aux voix ce dossier Adopt le groupe Front national s tant abstenu Rapporteur M le Conseiller d l gu ROUSSEAU N 2014 0310 finances institutions et ressources Prestations d infog rance des infrastructures du syst me d information de la
194. t fournir ce calendrier lorsque toutes les instances seront r unies en tout cas si j en crois l intersyndicale que nous avons re ue la semaine derni re Ensuite je voudrais tout de m me repr ciser que c est bien 395 emplois qui taient l et 395 emplois qui ont t reconduits Il n y a pas eu de licenciement II y a une petite phase qui t loup e et dans cette petite phase il y a quelques emplois qui sont encore sur Fagor Brandt puisqu il y a encore du personnel de recherche et de d veloppement qui est rest chez Fagor Brandt mais l ensemble des salari s du site ont t repris ce qui est remarquable Ensuite pour ce qui est d ouvrir des chantiers on peut toujours en ouvrir Celui l tait un chantier urgent il fallait faire avec l ensemble des contraintes et je crois qu on peut se f liciter du r sultat escompt m me s il faut continuer rester mobilis sur ce dossier M LE PRESIDENT Merci bien Donc je me f licite qu on ait pu contribuer sauvegarder l emploi pour le moment Maintenant c est Cenntro Motors qu il appartient de jouer et donc le Grand Lyon a t un facilitateur ce ne peut pas tre lui videmment qui se mette fabriquer les lave linges les voitures lectriques etc Nous donnons l impulsion initiale apr s c est aux acteurs de pouvoir jouer Et vous voyez le paradoxe de cette probl matique SITL c est que Fagor Brandt tait une coop rative ouvri re et que pour pou
195. t Monsieur le Pr sident et chers coll gues nous voici dubitatifs non pas sur le v u d pos par nos coll gues des groupes Europe Ecologie Les Verts et apparent s et Communiste et r publicain pour demander l application de l encadrement des loyers dans l agglom ration lyonnaise ils ont au moins pour eux une fois n est pas coutume une certaine logique politique Je vous vois surpris monsieur le Pr sident et vous avez raison n exag rons rien Disons seulement qu ils ont de la suite dans les id es Nous ne sommes pas non plus dubitatifs sur la r ponse apporter ce v u Sans suspense le groupe Union pour un mouvement populaire UMP divers droite et apparent s votera contre Cette loi est une catastrophe pour l conomie du b timent la construction de logements et plus g n ralement la croissance Les mises en chantier de logements neufs ont recul de 10 au cours des douze derniers mois Sur la m me p riode les permis de construire ont chut de plus de 12 et selon l Insee la chute des constructions co terait la France entre 0 4 et 0 5 de croissance Pire que tout c est une loi qui a t guid e par une id ologie de l ant p nulti me si cle qui est de consid rer tous les propri taires comme des affameurs du peuple Evidemment comme le parti socialiste a d couvert le lib ralisme et ses vertus depuis quelques semaines il vient de se rendre compte que cette loi allait rebours de tout ce q
196. t s sauf M Barge qui a vot pour Communiste et r publicain sauf M Passi qui a vot pour Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s Front national Adopt Rapporteur M le Conseiller GOUVERNEYRE N 2014 0322 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l Association pour le d veloppement m dical et l aide humanitaire au Cambodge ADMAHC pour le projet de mise en place de 254 latrines et 5 toilettes publiques dans la Commune rurale de Phteas Kandal Cambodge Direction de l eau S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 41 N 2014 0323 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Union de groupements paysans d Ambam Ma an Olamze UGPAMO pour le projet Projet d hydraulique rurale dans le d partement de la vall e du Ntem Cameroun Direction de l eau N 2014 0324 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Inter aide pour le projet Acc s l eau potable hygi ne et assainissement et maintenance des infrastructures dans 6 districts du sud de l Ethiopie Kindo Didaye Damot Gale Ofa Boloso Sore Boloso Bombe et Hadero Direction de l eau N 2014 0325 proximit et environnement Fonds de solidarit eau Attribution d une subvention l association Savoir donner pour le projet de construction de 7 puits a
197. t apparent s M le Conseiller KEPENEKIAN Monsieur le Pr sident chers coll gues nous pr sentons aujour d hui deux d lib rations relatives aux enjeux patrimoniaux de nos villes et plus sp cifiquement de la Ville de Lyon avec la pr sentation du plan de gestion du site UNESCO Nous avons c l br l an dernier les quinze ans du classement de Lyon au Patrimoine mondial de l Humanit Cette ann e nous f tons les cinquante ans du premier secteur sauvegard de France le Vieux Lyon En parall le de ces v nements et de la politique patrimoniale engag e dans le cadre de la convention Ville Etat la Ville a men depuis plusieurs ann es un travail important de r flexion sur les outils et les modes de gestion de son patrimoine et cela au del de son site class Ce travail a t men au niveau international en coop ration avec les autres villes labellis es de l UNESCO et cela avait donn lieu a une importante tude pr sent e en 2012 qui s intitulait recueil d tudes de cas sur la conservation et la gestion des villes historiques pr sent au congr s du conseil d administration de l Organisation des villes du patrimoine mondial Lyon Afin de renforcer les politiques patrimoniales et l engagement des villes l UNESCO a depuis quelques ann es d clar obligatoire pour tous les territoires disposant d un secteur class au patrimoine mondial de remettre un plan de gestion dudit secteur partir de
198. t de campagne tr s important de Fran ois Hollande rappelons le le Gouvernement socialiste aux abois n a eu d autre choix que de faire machine arri re de tenter de limiter les d g ts pour sauver ce qui pouvait tre encore sauv Depuis ce renoncement spectaculaire cette loi est devenue un enjeu politique pour l extr me gauche qui tente de redorer son blason en engageant un bras de fer avec un parti socialiste d boussol et l ch par les Fran ais Monsieur le Pr sident vous avez beau jeu de renoncer cette loi que vous avez pourtant manifestement vot e et je serai pour S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 49 une fois d accord avec vous en rejetant le v u pr sent par l extr me gauche de notre assembl e les faits ayant apport la preuve de l inefficacit et de la dangerosit de la mesure qu elle propose Je vous remercie M LE PRESIDENT Quelques mots suppl mentaires D abord sur les cons quences pas actuellement mais par le pass Il y a une loi qui a bloqu les loyers c tait la loi de 1948 qui a t une des lois les plus iniques qui mait jamais exist parce qu elle permettait que dans des logements somptueux avec le blocage des loyers des gens paient des loyers d risoires alors que les gens qui taient dans des logements nouveaux voyaient leurs loyers augmenter Cela a t une v ritable catastrophe on peut essayer de vouloir refaire mais on peut essayer Ensuite il pe
199. t de la taxe d habitation Merci M LE PRESIDENT Merci beaucoup Donc je constate que l Etat avait 10 000 m tres carr s et ne nous a pas fait de cadeau gratuitement pour construire du logement Donc il a fallu proc der autrement Je mets aux voix ces dossiers Pas d opposition Adopt s l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident LE FAOU N 2014 0335 urbanisme Lyon Approbation du plan de gestion du site historique de Lyon inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l UNESCO D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de la planification et des politiques d agglom ration M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Le Faou a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0335 Monsieur Le Faou vous avez la parole M le Vice Pr sident LE FAOU rapporteur Avis favorable de la commission sur ce dossier qui concerne l approbation du plan de gestion du site historique de Lyon M LE PRESIDENT Merci bien Le groupe Front national M le Conseiller BOUDOT Merci monsieur le Pr sident Ce rapport est l occasion de rappeler ici que nous avons l obligation morale et historique de conserver le patrimoine inestimable de notre Ville de Lyon Le site historique de Lyon dans son ensemble doit tre sauvegard Il y a les intentions qui sont toujours bonnes et la r alit parfois est contraire aux bonnes intentions Je voudrais ici rapidement attirer votre attention sur un
200. tains le principe m me de notre implication en tant que Communaut urbaine de Lyon dans une politique de solidarit internationale On sait qu Lyon il y a un terreau extraordinaire de solidarit internationale des associations une histoire une tradition et au groupe UDI et apparent s nous sommes et nous resterons de farouches partisans de la coop ration d centralis e et effectivement contrairement d autres En revanche ce n est pas parce que nous avons ce principe qu il est question de voter tous les rapports qui sont en lien avec la coop ration d centralis e et commencer par celui de cette subvention de 29 000 la CADR pour la participation cette rencontre de Bellecour A notre avis cette rencontre ne m rite pas un soutien politique et public aussi important C tait pourtant une bonne id e au d part l objectif tait d tre une vitrine de humanitaire lyonnais de la solidarit interna tionale un domaine dans lequel effectivement Lyon a beaucoup dire Aujourd hui aucune grande association humanitaire n y participe et nous le regrettons Un autre objectif de cette rencontre est de permettre ces associations de recruter des b n voles de collecter des fonds De ce que l on en sait il n y a pas de recrutement de b n voles et pas de collecte r elle de fonds Enfin l objectif tait de porter sur la place publique la question si importante du d veloppement international Au total
201. tant de g rer le site Il s agit donc et je conclus d un travail tr s important pour le patrimoine dans notre ville qui permettra de structurer l engagement de sauvegarde et de valorisation de notre ville Pour r pondre aux commentaires qui ont t faits je voudrais simplement dire que le classement n est pas une r compense mais bien un engagement rester la hauteur de la responsabilit qui nous incombe et qui vise surtout ne pas mettre le patrimoine sous cloche mais le rendre vivant le partager et cr er ainsi un v ritable sentiment d appartenance de tous les habitants de notre territoire M LE PRESIDENT Merci monsieur Kepenekian Mon sieur Le Faou vous voulez ajouter quelques mots M le Vice Pr sident LE FAOU Monsieur le Pr sident mes chers coll gues nous avons toujours t soucieux de notre patrimoine et il suffit de constater l engouement de nos concitoyens lors des Journ es europ ennes du patrimoine qui vont avoir lieu dans quelques jours pour constater que cet engouement ne se d ment pas au fil du temps Lyon a toujours t soucieuse de son patrimoine Je rappelle certains orateurs lont soulign que nous avons t la premi re ville de France mettre en place un secteur sauvegard sur le secteur du Vieux Lyon nous avons t la premi re ville inscrite au patrimoine mondial de l UNESCO proposer un patrimoine vivant c est dire un patrimoine o vivaient et vivent nos con
202. tant de l OL ne participe ce groupe de travail alors que ce sont eux les premiers concern s et que ce sont eux qui d tiennent l information tr s confidentielle jusqu maintenant sur les futurs emplois du Grand Stade dans la phase d exploitation L axe 1 du travail d AGEFOS pr voit cette implication mais nous resterons dans l attente des conclusions de ce premier axe dont d pendra toute la suite de l action d AGEFOS En clair si POL ne s engage pas dans cette action AGEFOS ne pourra pas mettre son plan d actions en place Enfin le libell de la d lib ration nous fait h siter car vous nous proposez de voter une subvention de 13 000 pour un program me d actions sur 2014 alors qu il ne s agit en fait que de financer le lancement d enqu tes qui auront pour objectif de d finir les actions mettre en uvre ce qui laisse penser que la mise en uvre n cessitera elle aussi des financements Pour tous ces sujets notre groupe s abstiendra donc sur ce rapport M LE PRESIDENT Monsieur le repr sentant de D cines si vous ne souhaitez pas que l on subventionne AGEFOS PME je retire le dossier et vous en parlerez puisque vous si gez AGEFOS PME aux gens de l Olympique Lyonnais vous traiterez directement vos probl mes ensemble Nous on essaie de faci liter les choses mais si vous ne le voulez pas la limite on vous laisse faire directement et prendre vos responsabilit s Vous me dites si vous voule
203. tement ces loyers bougent tr s peu en moyenne moins que l inflation aujourd hui L encadrement des loyers dans le bail a m me t plus s v rement cadr puisque vous savez qu il tait auparavant bas sur l indice du co t de la construction que cet indice a volu trop vite essentiellement cause de la crise p troli re et qu on a invent un indice qui puisse voluer moins rapidement qui est grosso modo l indice des prix Un locataire qui ne bouge pas a un loyer extr mement encadr De quoi s agit il alors Il s agit du loyer la relocation On a quelque chose qui est typique du syst me fran ais un syst me de stop and go premi rement on peut pas faire et deuxi mement on ne peut pas faire ce que lon veut C est cet effet de rattrapage stop and go que nous ne savons pas aujourd hui ma triser correctement L volution des loyers sur les trois ou quatre derni res ann es est mesur e en faible hausse Par cons quent la question est de savoir si les encadrer va avoir pour effet de rar fier l offre ou non Effectivement il a t rappel que nous avons perdu et non pas gagn 100 000 logements essentiellement parce que ceux qui esp raient un rendement locatif de l ordre de 3 y ont renonc Il y a bien un probl me c est que nous n aurons pas de locataires s il n y a pas de propri taires Il ne suffit pas de faire un texte pour d clencher quelqu un et lui dire d acheter un appartement puis l
204. territoires innovants pour l organisation de la 11 dition du forum des interconnect s Lyon les 11 et 12 d cembre 2014 et pour son programme d actions 2014 relatif la promotion du num rique R am nagement des abattoirs de Corbas Individualisation totale d autorisation de programme Attribution d une subvention d quipement l entreprise CIBEVIAL Reprise activit SITL Acquisition fonci re Individualisation d autorisation de programme Demande de subvention aupr s de la R gion Rh ne Alpes Attribution de subventions l association Rezopole pour son programme d actions 2014 et son programme d investissement 2014 2015 Individualisation totale d autorisation de programme Attribution d une subvention l association AGEFOS PME Rh ne Alpes pour son programme d actions 2014 relatif la Gestion territoriale des emplois et des comp tences sur l est lyonnais Mode d emploi un festival des id es Attribution d une subvention l Association de gestion de la Villa Gillet pour son programme d actions 2014 COMMISSION FINANCES INSTITUTIONS ET RESSOURCES N 2014 0301 N 2014 0302 N 2014 0303 N 2014 0304 N 2014 0305 N 2014 0306 N 2014 0307 N 2014 0308 N 2014 0309 N 2014 0310 N 2014 0311 Comit technique de la Communaut urbaine de Lyon Fixation du nombre des membres du coll ge des repr sentants du personnel et de celui des membres du coll ge des repr sentants de l
205. titut d excellence sur les nergies d carbonn es IDEEL et la soci t Inevo technology pour le programme de recherche et de d veloppement VALCO2 Attribution d une subvention la fondation Bullukian Canc rop le Lyon Auvergne Rh ne Alpes CLARA Ann e 2014 Politique de soutien l insertion professionnelle R alisation d un observatoire d agglom ration sur les clauses d insertion Attribution de subventions aux associations Uni est et Sud Ouest Emploi et l Universit Lumi re Lyon 2 p p p p p p p p p p p p p p p p p p p 14 14 14 14 42 42 42 42 42 42 43 43 43 43 43 43 43 16 17 N 2014 0292 N 2014 0293 N 2014 0294 N 2014 0295 N 2014 0296 N 2014 0297 N 2014 0298 N 2014 0299 N 2014 0300 S ance publique du Conseil du 3 novembre 2014 Attribution d une subvention la Fondation pour l universit de Lyon pour l organisation des 277 Entretiens Jacques Cartier en 2014 Attribution d une subvention au Collectif des associations de d veloppement en Rh ne Alpes CADR pour son programme d actions relatif l organisation du 12 village de la solidarit 2014 Attribution d une subvention l Association jeunes ambassadeurs pour son programme d actions 2014 Attribution d une subvention l association R seau des
206. ts avec des entreprises daans nos communes Ce qui est bizzare tout de m me c est que l Histoire de la France c est au contraire de grands services publics qui d veloppent de grands partenariats avec l conomie la SNCF EDF sont des exemples de grands secteurs publics qui am nent l galit tarifaire et une conomie efficace et qui en m me temps d veloppent des fili res conomiques de premier plan caract re mondial Nous n opposons donc pas une politique d un grand service public du logement avec le partenariat avec les acteurs immobiliers que pour tout dire monsieur le Pr sident nous connaissons tr s bien dans nos Communes aussi Par cons quent en l absence d une grande loi pour ce Droit au logement les avanc es pourtant limit es de la loi Duflot sont vite balay es dans le cadre d une politique qui il faut dire la v rit est toujours plus droite ce qui permet d avoir l assentiment de nos coll gues qui me font face En tout cas monsieur le Pr sident puisque vous tes vous l adepte du r formisme vous avez l occasion de montrer qu il ne conduit pas n cessairement de compromis en compromis aux seules r gles de la concurrence libre et non fauss e et j apporte le soutien du groupe Communiste et r publicain cette demande de mettre en place l encadrement des loyers dans l agglom ration M LE PRESIDENT Quelqu un demande t il la parole M le Conseiller COCHET Oui s il vous pla
207. ts dans la p riode Par cons quent je crois qu il faut en revenir la question qui est pos e par ce v u Pour nous cette question tr s pragmatique touche une question sociale tr s sensible une question d urgence et bien s r nous comprenons bien que l encadrement des loyers n tait qu une des mesures de la loi et qu elle n est d ailleurs qu une des mesures du plan de relance dont la fondation Abb Pierre nous dit qu il je cite oublie la justice sociale et la r gulation du march et que les grands absents restent de nouveau le logement tr s social les exclus et les familles modestes S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 47 L encadrement des loyers propos ne r solvait pas bien entendu la question de fond de loyers trop lev s pour les revenus moyens d abord parce qu il ne concerne que le logement priv alors que comme le montre l Observatoire des in galit s la hausse des loyers moyens a t depuis cinq ans plus lev e dans le logement social que dans le parc priv Pourtant les loyers dans les logements sociaux sont bien encadr s Un vrai plafonnement des loyers par rapport aux ressources serait n cessaire pour garantir ce Droit au logement Mais bien s r il n y a pas de droit au logement sans construction et si l effort de construction de logements depuis 2003 comme je l voquais tout l heure est significatif il faut noter que pour les m nages plus faib
208. ue des lus et des agents territoriaux au titre de leurs comp tences en mati re de d veloppement conomique et autres coop rations d centralis es voyagent l tranger accompagn s parfois d invit s acteurs de la vie publique ou experts par ailleurs le choix du groupement de commandes aupr s d entreprises sp cialis es pour l organisation de ces voyages para t pertinent dans un but d optimisation des co ts entre le Grand Lyon et la Ville de Lyon Cependant les quelques chiffres qui apparaissent dans ces rapports sont bien maigres pour appr cier les d cisions qui doivent tre prises pour des budgets cons quents Pour le rapport num ro 2014 0308 par exemple l accord cadre conclu pour une dur e de quatre ans est propos avec une estimation pr visionnelle de 600 000 HT qui serait selon les services en progression de pr s de 34 Si lors de la commission des finances quelques d tails suppl mentaires ont t cit s ce fut de mani re verbale et rapide au cours du d bat tout en pr cisant que ces chiffres nous seront donn s par crit dans le compte rendu qui sera transmis apr s le vote du Conseil C est un peu ubuesque pour d cider de voter en Conseil C est pourquoi nous pr conisons lavenir qu il soit port la connaissance de tous les lus dans le corps de la d lib ration par des tableaux r capitulatifs les d penses engag es pour tous ces d placements avec des libell s pr cis et di
209. ui a fait l efficacit d une politique conomique C est l dessus que nous sommes dubitatifs sur ces retournements politiques o on voit une majorit d hier travailler et voter des textes main dans la main puis s charper sur leur remise en cause Car monsieur le Pr sident vous qui avez vot la loi ALUR au S nat le 20 f vrier 2014 en couple d ailleurs avec monsieur Michel Mercier le seul du groupe Union des d mocrates et ind pendants UDI et apparent s vous avez depuis d couvert qu il existe dans le Grand Lyon des propri taires priv s des investisseurs immobiliers qui permettent des dizaines de milliers de foyers de se loger de mani re d cente et contre lesquels la loi ne ferait que les pousser retirer leurs biens du march et donc r duire l offre de ce qui m caniquement augmenterait le prix des loyers Vous allez reconna tre aujourd hui que vous vous tes tromp et que vous ne pouvez pas donc soutenir ce v u En fait nous nous interrogeons jusqu quel moment votre raisonnement vous a tromp sur le sujet du logement Il me semble que vous avez retrouv votre vraie fa on de penser tout juste apr s votre lection la Pr sidence du Grand Lyon c est dire au moment o vous n aviez plus besoin ni du groupe Europe Ecologie Les Verts et apparent s ni du groupe Communiste et r publicain N est ce pas vous qui le 23 juin dernier devant cette assembl e en page 36 du proc s verbal de s ance pu
210. ui dire Vous ne pourrez pas bouger le loyer Par cons quent si nous manquons de logements une mesure comme l encadrement des loyers dans un cadre de crise du logement a pour effet d effondrer la production Si nous tions dans d autres agglom rations o le syst me est totalement d tendu et que nous essayions d observer les loyers en zone paisible bien s r cela n aurait pas d effet sur la production et l on pourrait imaginer que se mettent en place des instruments pour le futur Les Allemands ont fait cela en p riode d tendue au moment o la d mographie baissait au moment o l Allemagne de l Est amenait son parc immobilier il n y avait pas de tension Mais si vous mettez de l encadrement des loyers l o il y a des tensions off demand la premi re cons quence est l effondrement de la production Or nous avons tout de m me l un bel effort et je suis s r que les intentions des uns et des autres taient d essayer de faire le mieux pour que le logement soit accessible Il y a des rem des qui sont pire que le mal et celui l l a d montr M LE PRESIDENT Merci monsieur Brachet Je crois qu effecti vement ce d bat est extr mement important pour notre agglo m ration il est finalement une certaine conception de la mani re dont on peut faire avancer une ville ou un pays Un certain nombre d entre nous pense qu il suffit de l gif rer et que les choses vont de soi apr s On peut faire un certai
211. ui n tait pas simple puisque Fagor Brandt avait promis une aide qu il n a jamais vers e et cela a rendu tr s difficiles les projets de reprise et de continuation de l activit De fait il faut bien constater que si nous esp rons que l activit de construction de v hicules lectriques utilitaires r ussisse les emplois originels ont t transf r s avec la production vers un pays bas co t salarial qui est la Pologne Et donc nous voulions d s aujourd hui r fl chir si dans l avenir nous pouvions viter cette situation Effectivement il y avait une solution pour viter la d localisation de l activit de production de lave linge et cette solution a t apport e par les salari s avec un travail exceptionnel sur le reengineering activit de recyclage de r cup ration de pi ces usag es de remise niveau et de production de lave linge neufs partir de pi ces usag es C est quelque chose qui est techniquement parfaitement au point on le sait assez peu mais une partie des automobiles neuves sont produites partir de pi ces usag es remises niveau Simplement nous sommes arriv s trop t t ou trop tard et les salari s se sont trouv s face des blocages qu on n a pas pu lever c est par exemple le travail sur les marques puisque le repreneur les a rachet es le travail sur les moules de pi ces qui n ont pas pu tre r cup r s Pris temps nous aurions pu tra vailler avec le Minist re du re
212. uleversant l conomie g n rale du contrat puisque seules des suj tions techniques impr vues permettent de telles modifications je cite pour exemple l arr t du 30 d cembre 2009 de la Cour administrative d appel de Nantes qui a retenu l ill galit d un avenant de 12 aupr s de la soci t SECHE ECO SERVICE Une fusion de collectivit s connue et pr par e depuis plus d un an pourrait ne pas rentrer dans le cas de figure permettant la contractualisation d avenants En termes financiers cela d montre que l on ne conna t toujours pas le co t r el pour la future M tropole de l assimilation des syst mes d information du D partement Essayerez vous d optimiser l acquisition des ordinateurs des effectifs transf r s du D partement en menant une politique saine de transfert de leur l quipement quand celui ci est neuf ou quasi neuf au D partement Ces d penses suppl mentaires non pr vues un tel niveau pouvant potentiellement d river elles feront augmenter les co ts de fonctionnement et diminuer l investissement et donc r duire les aides aux Communes Nous y serons tr s vigilants Pour terminer dans le cadre du projet de d mat rialisation des d lib rations et dossiers qui nous a t pr sent la semaine derni re nous attirons l attention de l ensemble de nos coll gues d j dot s par leur collectivit respective qu il serait sain en cette p riode de disette budg taire pour nos collectivit s et po
213. ur nos administr s qu ils gardent leur dotation actuelle et ne se dotent pas d une tablette tactile suppl mentaire Pour cela le Grand Lyon doit pr voir la possibilit d int grer du mat riel autre que celui de la dotation Devant toutes ces interrogations et le risque pris par notre collectivit vous comprendrez bien que le groupe UMP divers droite et apparent s s abstienne sur ces deux d lib rations et vous laisse int gralement responsable de votre d cision Je vous remercie M LE PRESIDENT Ecoutez je laisse chacun juge de la fa on dont vous intervenez ce soir Je rappelle que nous sommes dans une Communaut urbaine demain la M tropole qui essaie d tre de coop ration intercommunale Si jamais j adoptais la m me conduite que vous ce que je ne ferai pas dans la gestion des affaires locales alors je peux vous dire que cela aboutirait de grandes catastrophes Nous nous n essayons pas de faire de la politique au jour le jour la petite semaine mais de regarder quel est l int r t de cette agglom ration Je mets aux voix ces rapports Adopt s le groupe UMP divers droite et apparent s s tant abstenu sauf M Barge qui a vot pour Rapporteur Mme la Conseill re BRUGNERA N 2014 0329 urbanisme Op rations d urbanisme Comptes rendus financiers au conc dant Ann e 2013 D l gation g n rale au d veloppement urbain Direction de l am nagement N 2014 0330 urbanisme
214. ur la p riode 2013 2019 Nous voterons ce plan de gestion car nous partageons le diagnostic qui dresse l interpr tation qu il fait du classement par l UNESCO et les six grandes orientations qu il propose pour accompagner l volution de notre ville tout en respectant l esprit des lieux Maire du premier arrondissement j ai t particuli rement attentive aux l ments rassembl s dans l orientation num ro 1 du plan de gestion qui nous est pr sent avec notamment les l ments concernant la r vision du plan local d urbanisme et d habitat PLU H la transformation de la zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager ZPPAUP en aval le d veloppement des Ateliers du patrimoine la cr ation de l Observatoire du patrimoine urbain la poursuite galement de l tude thermique du b ti ancien A ce titre j ai fait part en r union des Pr sidents de groupes vendredi dernier de mon souhait de pouvoir si ger au sein de la commission locale du secteur sauvegard du Vieux Lyon et de l aval de la Croix Rousse Vous avez donn une suite favorable cette demande et je vous en remercie Pour conclure nous voulons f liciter l ensemble des services et des personnes qui ont travaill au plan de gestion du site historique de Lyon qui nous est pr sent ce soir et que nous voterons 30 S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 M LE PRESIDENT J ai une demande de temps de parole pour le groupe Socialiste e
215. urront tre pris en compte dans les quartiers de veille avec un accom pagnement dans le droit commun c est dire dans le cadre des actions du P le emploi sauf qu D cines Charpieu nous n avons pas d agence P le emploi et il est m me question que le P le emploi r cup re la personne d tach e la Mission locale de D cines Charpieu Il s agit l d un v ritable d sengagement de l Etat qui va len contre de sa volont de r sorber le ch mage Nous en arrivons donc des aberrations de ce type et les Communes doivent faire face seules avec des structures locales comme les PLIES pour la mise en uvre d actions en faveur des demandeurs d emploi Cette volution de la politique de l Etat li e non pas vraiment une recherche d efficacit mais un besoin de limiter les d penses sociales pose la question des orientations que vous allez prendre pour la M tropole Les rapports qui nous sont pr sent s sont identiques ceux des ann es pr c dentes et nous proposent tr s prudemment des reconductions liden tique sans r flexion sur l int gration de ces organismes dans une vision globale de d veloppement conomique Permettez moi de vous demander monsieur le Pr sident quelle sera la prise en compte par la M tropole de la refonte des zones prioritaires et tout particuli rement sur ces quartiers dits en veille Cette prise en compte est elle effective dans le contrat de ville d agglom ration
216. us a dit Ecoutez pour nos riverains ce serait bien d en faire un peu plus Les services du Grand Lyon ce moment l sont d accord d en faire un peu plus pour essayer d arranger les choses et faire en sorte que les habitants soient totalement satisfaits Si vous me dites aujourd hui pour l avenir dans ma commune je vous demande monsieur le Maire en cours de concertation en cours de discussion de ne jamais prendre ce que les habitants vous diront je m engage d s aujourd hui mais ensuite ce sera un engagement pour le reste du mandat Mais effectivement dans les projets on commence dire ceci et on coute un peu les gens par rapport ce que l on avait pr vu on volue un peu Evidemment cela a toujours un surco t dans ce que l on fait C est comme cela que l on g re une agglom ration et que l on g re une ville En tout cas aujourd hui il y a 2 000 personnes qui travaillent sur ce chantier 2 000 personnes aujourd hui dans la crise que nous vivons c est peut tre parce que l on a pris ce type de d cision que le mois dernier le ch mage a diminu de 0 5 sur le Rh ne alors qu il augmentait de 0 8 au niveau national Moi je suis extr mement heureux de la mani re dont cette agglom ration va de l avant Elle est cit e partout en exemple sauf peut tre sur quelques bancs Applaudissements Je mets donc le dossier aux voix pour groupes Socialiste et apparent s Synergies Aveni
217. us les trois ans a ren gocier une convention de d l gation de service public il y a assez peu d int r t pour la collectivit Le choix a t fait il semble plus opportun et pertinent d une convention d occupation du domaine public L interrogation l gitime est quel devenir pour les tarifs va t il y avoir ven tuellement une augmentation Si on regarde le positionnement du parc Rozier actuel dans l ensemble des parcs qui concernent le secteur et j exclus Th r se Rabatel le Gros Caillou qui n est pas dans un p rim tre de concurrence du parc Rozier on a l les parcs de stationnement Capucins Terme Terreaux H tel de Ville Perrache Le tarif du parc Rosier est d un montant interm diaire entre 125 pour le parc les Tables Claudiennes et le plus cher 165 pour le parc H tel de Ville S il y a une corr lation entre le mode de gestion du parc priv ou public il n y a pas de corr lation du tout puisque le parc Rozier en mode de gestion public est plus cher que le parc des Capucins ou Terme en mode de gestion priv e de m me le parc Op ra est en gestion priv e plus cher que le parc H tel de Ville en gestion publique donc pas de corr lation majeure Lorsque le futur op rateur le futur occupant des lieux va tre d sign a t il int r t avoir une politique tarifaire haussi re La conviction que l on a est probablement non d abord parce qu il n y a pas de liste d attente sur ce
218. ut y avoir des points de vue diff rents suivant les Communes J entendais tel ou tel Maire dire Moi je regarde mes loyers sont aujourd hui parmi les plus hauts de France et nous avons les revenus les plus bas de France Je comprends que dans ce cas l on puisse effectivement h siter Sur Lyon est ce le cas Non parce que comme on vous l a dit il y a aujourd hui production de logements Je vais vous montrer ce qu a donn l augmentation des loyers dans l agglom ration A une poque o on produisait peu de logements sur l agglom ration au d but des ann es 2000 les augmentations de loyers ont t tr s fortes elles taient de l ordre de 4 elles ont m me atteint 5 en 2003 A partir du moment o on a commenc produire du logement on s est aper u qu on ma trisait les loyers L augmentation des loyers en 2010 a t de 1 en 2011 de 2 2 en 2012 de 2 4 et en 2013 de 1 6 On n est pas dans ce qui se passe Paris ou ce qui a pu se passer avec des d rives de loyers absolument extraordinaires On est effectivement dans un march r gul c est pour cela que je suis contre ce v u Si demain on votait des v ux comme ceux ci pour aller vers des v ux plus extr mes en disant M me s il y a des impay s dans les offices d HLM il ne faut plus bouger ce moment l il y aurait une chute consid rable et c est effectivement les gens les plus fragiles qui seraient touch s On me dit
219. utoriser le Grand Lyon solliciter aupr s de la R gion une subvention de 600 000 dans le cadre de l acquisition fonci re du site mis disposition du groupe sous convention d utilisation temporaire et sous condition d terminante comme le dit notre d lib ration de la reprise de l activit et donc des emplois Cette acquisition fonci re a contribu lever un des freins essentiel la reprise du site et aux activit s de l entreprise Fin juin 40 salari s commen aient leurs activit s ils taient 110 dans l entreprise mercredi dernier sur un effectif de 395 qui ont tous un contrat de travail et qui sont en attente de la mont e en puissance de la production Le plan de reprise annonc par le repreneur envisageait le d but de la production au 19 septembre mais cet objectif est d cal quelques obstacles approvisionnement fournisseurs surviennent La vigilance est n cessaire pour aider la r ussite de cette conversion en centre urbain qui plus est sans plan de licenciement Je souligne que cette reconversion en centre urbain se fait sans plan de licenciement ce qui est une des premi re pour un site d une telle importance Les 285 salari s en attente n ont malheureusement aucune visibilit ils sont chez eux de l avenir de leur entreprise et d eux m mes et cela apr s quatre ans d incertitude ils souhaiteraient avoir un calendrier individualis de l activit et de la formation qu ils devront assur
220. voir sauvegarder quelques emplois l ADERLY est all e chercher un capitaliste am ricain Vous voyez cela offre quelques sujets de m ditation Donc je mets aux voix le dossier Adopt l unanimit Rapporteur M le Vice Pr sident KIMELFELD S ance publique du Conseil du 15 septembre 2014 23 N 2014 0299 d veloppement conomique Attribution d une subvention l association AGEFOS PME Rh ne Alpes pour son programme d actions 2014 relatif la Gestion territoriale des em plois et des comp tences sur l est lyonnais D l gation g n rale au d veloppement conomique et international Direction des services aux entreprises Service d veloppement local M LE PRESIDENT Monsieur le Vice Pr sident Kimelfeld a t d sign comme rapporteur du dossier num ro 2014 0299 Monsieur Kimelfeld vous avez la parole M le Vice Pr sident KIMELFELD rapporteur Monsieur le Pr sident mes chers coll gues vous ne m en voudrez pas d voquer nouveau en quelques lignes le Grand Stade mais simplement l arriv e du Grand stade D cines Charpieu va amplifier et mieux accompagner l arriv e d entreprises et la cr ation d emplois dans l est lyonnais Et pour mieux anticiper finalement les besoins en emplois en formations nous souhai tons accompagner AGEFOS PME pour qu on puisse g rer au mieux les besoins des territoires pour faire face cette volution b n fique pour l ensemble de notre agglom ration Nous
221. y a sept canc rop les en France les sept dessinant des r gions de taille europ enne et j ai le privil ge de conduire le comit ex cutif du CLARA depuis dix ans maintenant avec des lettres de mission sign es de G rard Collomb de Jean Jack Queyranne de Michel Mercier des Maires de Saint Etienne Grenoble et Clermont Ferrand Donc l enjeu de la lutte contre le cancer n est ni de droite ni de gauche et je me f licite de cet accord quasi politique quasi unanime autour d un objectif majeur de sant publique Dans la R gion Rh ne Alpes depuis 2004 nous avons d abord constitu des plateformes en lien avec les industriels puis nous avons aid nos quipes s ouvrir sur les grands appels d offres nationaux et europ ens et enfin nous avons d velopp avec beaucoup d implication du Grand Lyon un concept original la preuve de concept qui permet d associer des laboratoires uni versitaires qui ont fait une d couverte qui ont un brevet avec des industriels qui sont pr ts exploiter ce brevet L ann e derni re afin de proc der l valuation des dossiers de chaque canc rop le dans le cadre du Plan cancer III l Institut national du cancer a constitu un comit d valuation scienti fique compos de dix personnalit s internationales Le dossier de candidature de chaque canc rop le a t expertis puis auditionn apr s ces auditions le comit d valuation scienti fique a class le Canc rop le Lyon Rh
222. z que je retire le dossier je le retire c est comme vous le souhaitez M le Conseiller RABEHI Je vais r pondre bien entendu Nous avons t tr s clairs nous mettons des r serves sur la mani re dont AGEFOS pourra g rer ce dossier sans la pr sence de l Olympique Lyonnais et sans son implication M LE PRESIDENT Si vous pensez que tout ceci ne va pas marcher comme vous tes les mieux plac s je retire le dossier et je vous fais totalement confiance apr s vous g rerez directement avec la CGPME AGEFOS PME et l Olympique Lyonnais vous pouvez tre mieux plac s que moi peut tre je fais confiance au terrain M le Conseiller COCHET Monsieur le Pr sident je suis oblig d intervenir je crois que l int r t M LE PRESIDENT Oui je crois que vous avez int r t intervenir Bruits dans les rangs du groupe UMP divers droite et apparent s M le Conseiller COCHET Je pense monsieur le Pr sident que la volont est d avoir des d bats qui me semble t il taient jusqu pr sent plut t de qualit Si c est pour tourner en d rision un certain nombre d inqui tudes qui sont r elles par rapport des territoires qui m ritent une attention un peu particuli re n oublions pas le message politique tr s fort tant donn que l ancien Maire de D cines a t battu c est me semble t il un vrai sujet Qu il y ait des attentes par rapport notamment des populations on ne peut pas d

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