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Les pré-rentrées - Education et Devenir

1. rD 51 l B RIBAN Th tre Forum TENFOR St Priest Faire partager par les l ves les r gies de vie collective et les valeurs morales et civiques qui les sous tendent est souvent un objec tif qu il est bien difficile d atteindre G n ralement les professeurs sont mis contribution en d but d an n e pour pr senter le r glement int rieur de l tablissement expli quer le sens des r gles I faut bien reconna tre que ces d marches sont peu efficaces tes l ves ne donnent souvent que peu de cr dit ces interventions souvent v cues comme des le ons de morale Les professeurs s ils ne sont pas convaincus de la n cessi t de vivre ensemble l ves et adultes sous une m me loi adap tent quelquefois le r glement com mun pour mettre en place leurs propres r gles Trouver un moyen pour que soient mieux partag es les r gles de vie commune devient donc une condi tion pour pr server la coh rence de l action ducative dans l tablis sement C est ce que propose et a d j jou dans certains tablisse ments de la r gion lyonnaise la compagnie TENFOR travers son spectacle de th tre forum Le Bl me nom de ce spectacle 52 E amp D Sees est crit a partir de t moignages d l ves sur les th mes des incivili t s du rapport la loi et de la m diation L action se situe dans un bus lieu clos proche d un tablisse ment scolai
2. Discussion Vers un Projet pour notre Coll ge LYCEE 9H00 Pr sentation des premi res mesures pour un Lyc e pour Le XXI me si cle 9 H 30 TRAVAUX DE GROUPES GROUPE 1 La classe de 2de GROUPE 2 Nouveaux programmes Nouvelles pratiques p dagogiques GROUPE 3 Citoyennet et vie lyc enne 11 H 00 Mise en commun 14 H 00 ECHANGES et TRAVAUX de GROU PE sur les actions du PROJET d ETABLISSEMENT Formation des d l gu s l ves Projet Comenius Projets artistiques Internet E amp P 45 COMPTE RENDU des TRAVAUX des REUNIONS de PR RENTR E RELEVE de DECISIONS et INFORMATIONS I Un Lyc e pour le XXI me SI CLE 1 RAPPEL DES POINTS FORTS DE LA R FORME le lyc e est un lieu o l on acquiert une culture g n rale technologique ou professionnelle le lyc e doit permettre l apprentissage d une citoyennet fond e sur les valeurs r publicaines Pour cela des mesures nouvelles sont propos es en ce qui concerne les programmes les pratiques p dagogiques l aide aux l ves 2 TROIS GROUPES DE TRAVAIL se sont r unis les th mes suivants taient propos s la r flexion des groupes GROUPE 1 La classe de 2de Aide individualis e ECJS Ateliers d expression artistique Remise niveau en informatique Vie de classe Horaires 3 COMPTE RENDU DES TRAVAUX DE GROUPE GROUPE 1 La classe de seconde A Des questions se sont pos es par rapport
3. Ce mod le encore pr sent dans beaucoup d esprits nie l autonomie p dagogique et ducative de PEPLE tablissement public local d enseignement d nomination juri dique des lyc es et coll ges car il ignore le d fi qu impose au syst me ducatif un monde de plus en plus complexe et en constante volution et qui ne peut tre relev qu au prix de l adaptation r guli re des pra tiques et du r le maintenant recon nu des d cisions prises sur le ter rain C est ce m me mod le ancien de fonctionnement que se r f rent ceux qui parlent des r formes avec une grande marque du pluriel car il les croient multiples et d cr t es faute de s amp tre aper us qu il s agit des diff ren tes facettes d un m me projet d en semble d une volution dont la constance l emporte sur les revire ments Modules soutien TPE tra vaux personnels encadr s au lyc e travaux crois s au coll ge ECJS ducation civique juridique et sociale sont autant d initiatives qui depuis plusieurs ann es contri buent compl ter l enseignement par le d veloppement d une autono mie accompagn e de l l ve et d une p dagogie plus diff renci e On pourrait y ajouter l ducation a l orientation l heure de vie de clas se etc Il est erron de vouloir trai ter s par ment LES r formes en organisant une r union mardi sur les TPE une autre jeudi sur l ECJS et puis mercredi ce sera l
4. La pr sentation aux l ves en pr sence d un groupe d adultes r f rents de la classe leur permet de confronter leurs repr sentations des relations v cues entre eux et avec les adultes Sous les impul sions de Gilles FICHEZ le meneur de jeu et animateur de la troupe le jeu th tral et l implication des per sonnes donnent du sens ce qui est v cu La compr hension des r gles de vie commune devient possible Un capital commun peut se construire et s investir pour l a venir de la classe B BRIBAN Th tre Forum TENFOR 12 B rue Colette 69800 S F Priest T l 04 72 23 57 87 Fax 04 72 23 53 70 i i Jean Yves LANGANAY Pr sident d Education Devenir A nos journ es de Villebois de l automne 1999 nous avons expri m le souhait de publier un cahier sur la pr rentr e En effet la circu laire du 17 juin 1999 venait de pr voir une pr rentr e organis e sur deux journ es et demie et nous souhaitions recueillir des t moigna ges d tablissements tirant tout le profit souhaitable de ces nouvelles dispositions minist rielles tant elles nous semblaient aller dans le sens d un accompagnement positif de la d marche de projet et de l autono mie des tablissements Au printemps 2000 alors que nous commencions recueillir les articles et que Bernard TOULEMONDE nous faisait l honneur et l amiti d une contribution introductive le nouveau Ministre de l Education Na
5. l aide individualis e aux l ves en fran ais et math ma tiques Cette aide est cens e aider les l ves en difficult s mais ne pourrait elle pas aider certains l ves en vue de leur orientation vers une 1 re S ou une 1 re L ou aider certains autres en vue d une r orienta tion Pour qu il y ait coh rence au niveau des 2ndes les professeurs de math matiques et de fran ais auront mettre au point une politique commune B Les 2ndes bilingues ne b n ficient pas de cette heure ll pourra tre envisag au second trimestre GROUPE 2 Nouveaux programmes Nouvelles pratiques p dagogiques Nouveaux programmes Utilisation des technologies nou velles Travaux personnels encadr s Formation plan de formation GROUPE 3 Citoyennet et vie lyc enne ECJS Langues Sport culture Vie de Classe Citoyennet une int gration dans d autres groupes de 2ndes pour des l ves pr sentant des difficult s en fran gais ou en vue d une orientation en L Les math matiques ne repr sentant pas le probl me majeur de cette classe C il tait pr vu p4 paragraphe 3 ma configuration des groupes revue tous les trois mois Il semble que les professeurs pr f rent adopter une formule plus souple davantage li e aux besoins qui se pr sen tent i D B O 27 mai p10 Organisation de stages intensifs sur plusieurs jours en langues vivantes Le probl me de la mise en a
6. au pr alable Et ce n est pas facile Cela vaut bien une pr ren tr e Elaborer une v ritable politique d in dividualisation suppose que l on a su analyser les r sultats des actions pr c demment men es L aussi la pr rentr e doit jouer un r le essen tiel et une disposition r glementaire vieille de seize ans aurait du ly pousser depuis longtemps l obliga tion du rapport annuel sur la vie p dagogique domaine privil gi de l autonomie de l tablissement Malheureusement une erreur com mune de lecture fait de ce rapport un rapport du chef d tablissement alors qu il s agit d un rapport de la communaut scolaire arr t par son conseil d administration les textes de 1985 sont clairs ce sujet Que le chef d tablissement ait un r le essentiel de proposition cela fait partie du fonctionnement normal de l EPLE mais le rapport p dagogique doit tre aussi le fruit de la r flexion d une communaut ducative qui s est pench e sur ses propres pratiques Plut t que de d battre sur le meilleur moment pour que le chef d tablissement pr sente son rapport au conseil d administration en juin en sep tembre plus tard devant le conseil nouvellement lu ou jamais il vaudrait mieux faire de la pr rentr e le moment privil gi o la commu naut passe en revue le degr d at teinte des objectifs qu elle s tait fix e ce qui aurait le double avan tage de faciliter le
7. cole Colloque 1993 32 Les modules 33 La d ontologie dans l Education Nationale 34 duquer l Europe 1 35 Le coll ge en questions Colloque 1994 36 duquer l Europe 2 37 L cole et l Entreprise 38 L valuation 39 L cole des Ma tres Colloque 1995 40 Les femmes et l cole 41 L accompagnement scolaire 42 Le rapport au savoir 43 La Loi et l cole Colloque 1996 44 Enseigner la recherche du sens Colloque 1997 45 cole et M dias 46 1998 l ann e des rapports quel projet pour l cole 47 Les tablissements d stabilis s 48 Racisme et x nophobie puis 49 Les tablissements scolaires nouveaux besoins nouveaux m tier Colloque 1998 50 L l ve L cole et la Politique Colloque 1999 51 Les chantiers du minist re 52 Les techniques de formation 53 L tablissement scolaire face la diversit culturelle Colloque de Barcelone 54 Le droit la parole des l ves 55 Les pr rentr es On peut se procurer les Cahiers aupr s du Secr tariat G n ral Education et Devenir Lyc e Polyvalent Marie Curie Boulevard Pierre de Coubertin 60180 Nogent sur Oise T l 03 44 74 64 39 Fax 03 44 74 31 01 Email e d worldonline fr SOMMAIRE PR RENTR E POUR QUOI FAIRE Du temps pour se concerter La pr rentr e un branlement dans la culture scolaire L autonomie des tablissements Pr rentr e
8. LUST Proviseur Lyc e College J Moulin Lyon B RIBAN The tre forum TENFOR St Priest Jean Yves LANGANAY President d Education amp Devenir p 4 p 7 p 9 p 12 p 15 p 18 p 19 p 21 p 22 p 24 p 26 p 28 p 30 p 36 p 38 p 41 p 43 p 45 p 52 p 54 p 58 p 61 p 62 Les conditions d exercice du m tier d enseignant voluent profond ment la cascade de r formes entreprises les difficult s rencon tr es par les quipes p dago giques les nouvelles formes d en seignement impliquent de plus en plus travail d quipe et concertation De ce fait les enseignants r cla ment avec une vigueur nouvelle Du temps pour se concerter Plus pr cis ment ils demandent du temps imput sur leurs horaires de service devant les l ves non pas sur leur temps de travail global Question fort complexe Les tentatives men es jusqu pr sent sur ce point n ont gu re t concluantes Ne parlons pas de l abaissement du service hebdomadaire des PEGC li la r novation des coll ges conduite partir de 1982 Celui ci devait trouver sa contrepartie dans des heures de concertation inscri tes dans les tats de service en moins d un an l alignement sur la dur e de service des certifi s a eu raison de la chose Ne parlons pas de la mesure n 150 du Nouveau contrat pour l cole accorder une journ e de concerta tion par trimestre elle n a pas re u AR see j f
9. absorb s par le bac Dans de nom breux coll ges on a pu alors enfin pourrait on dire parler bilan de l an n e coul e projet pour l ann e venir Dans l ensemble la satisfac tion fut grande l surtout o les principaux avaient su organiser la r flexion des professeurs Trop beau cependant pour durer le Ministre c dait aux instances d une organisation syndicale et s empres sait de mettre fin cette innova tion Et la pr rentr e En 1970 le Ministre Guichard a pris la d cision courageuse et g niale de faire rent rer les maitres une journ e avant leurs l ves Avec le temps il est vrai la pr rentr e est souvent tom b e dans la routine se r sumant souvent a un expos du chef d ta blissement a la pr sentation des nouveaux a la distribution des emplois du temps le tout couronn d un ap ritif et un apr s midi consacr aux conseils d enseigne MTL IZA ment Une minorit exploitait fond cette journ e pr cis ment dans les tablissements confront s aux plus grandes difficult s tandis que quelques lyc es prestigieux s esti maient dispens s de cette corv e Des circonstances particuli res ont permis de relancer le processus en l allongeant Ces derni res ann es les professeurs de lyc e avaient obtenu en raison de leurs charges d examen un d calage d une semaine de leur rentr e A l exp rience ce d calage
10. associa tion sportive Il risque d en r sulter une manifestation allergique d an ti r unionite et de rejet de tous ces changements qui ne seront vus que comme une d stabilisation du syst me Si en revanche on se contente par simple conomie de temps de juxtaposer ces r unions lors d une pr rentr e de plusieurs jours c est le ramassis artificiel de questions sans liens clairs tablis entre elles qui provoquera l indiges tion Une conception efficace de la pr rentr e se fonde sur l id e qu au del des aspects sp cifiques ce sont les liaisons qui importent les travaux crois e et l ECJS se retrou vent pour amener l l ve une connaissance qui d passe les cloi sonnements disciplinaires PECJS et l association sportive concourrent une m me ducation citoyenne La n cessit d associer toutes les r flexions en un ensemble coh rent appara t clairement l int r t d un travail construit issu de plusieurs jours de r flexion est vident Ce qui n interdit pas et m me favorise la tenue ult rieure de r unions sur les sp cificit s de chaque l ment d un projet plus vaste Si l on se penche maintenant plus avant sur la notion de p dagogie diff renci e on s aper oit qu un glissement s mantique a brouill des cartes d j complexes A la place de diff renci e on dit par fois individualis e en se r f rant volontiers l l ve comme indi v
11. assurer dans le temps Il y aurait risque de trop de subjectivit ou de d magogie aussi Il DEUXI ME THEME PAGE 24 L APPRENTISSAGE DE L ORAL Faire d couvrir le pouvoir de la parole et apprendre l coute d autrui est fondamental Le probl me pour les enseignants est le manque de grilles pour valuer l o ral La difficult est aussi le risque de d bordement en temps Ill TROISI ME TH ME PAGE 22 TRAVAUX CROIS S EN 4EME Sortir de l heure de cours traditionnelle pour favoriser le travail pluridisciplinaire c est tentant Mais quand aura lieu la concertation comment les lier aux programmes IV QUATRI ME TH ME PAGE 22 MICRO INFORMATIQUE Il faudrait d abord former tout le personnel et assurer la maintenance V CINQUI ME TH ME PAGE 25 EDUCATION L IMAGE N cessit galement de former les enseignants l a nalyse filmique CONCLUSION Beaucoup de propositions sont justifi es mais les conditions sine qua non de leur r ussite sont la for mation des enseignants du temps pour se concerter un emploi du temps souple DOMAINE Un professeur Coordonnateur Vie de la classe Charte de qualit Salle soi Lutte contre la Violence R glement int rieur GROUPE n 3 THEME MIEUX VIVRE dans la MAISON COLLEGE COMMENTAIRES du GROUPE L h t rog n it est souhaitable Elle est ing rable ou presque Impression de lassitude
12. e avec un interve nant ext rieur en liaison avec le pro jet d tablissement 1 2 journ e sous forme de conf rence puis 1 2 journ e de travaux et d bats qui d boucheraient sur une mise en application dans le coll ge Faire de cette journ e un point fort hors les murs si possible moment de tra vail et de convivialit instant vivi fiant et identitaire Garder 1 2 journ e pour concerta tion entre professeurs Concertation disciplinaire dur e 1h30 Travail en quipes p dagogiques autour du professeur principal 1h30 planning tablir Autre proposition 1 jour pour se retrouver dans l ta blissement infos diverses concer tations 1 journ e de travail au choix sur la relation enseignant enseign jeux de r le les pratiques p dagogiques changes d veloppement artistique cultu rel et p dagogique multim dia outil ou concept les nouveaux coll giens que changer les programmes les structures les modalit s en ateliers avec des coll gues d au tres tablissements Ou bien encore 1 jour pour se retrouver dans l ta blissement infos diverses concer tations 1 journ e de formation tablisse ment sur des pr occupations com munes l valuation Quels crit res Quels bar mes Comment la rendre lisible par tous lecture et compr hension des consignes appr ciations des professeurs les libell s sont ils toujours com pris I
13. es par les m dias la presse l inter net et de faire en sorte que ce soit l l ve et non plus seulement le professeur qui construise la demande d apprentissage GROUPE 3 Citoyennet et vie lyc enne D embl e a t voqu e la mise en place de l ECJS l ducation civique juridique et sociale sur laquelle nous nous sommes d autant moins appesantis que la formation du citoyen ne saurait tre confi e la diffu sion d un enseignement suppl mentaire Deux volets compl mentaires ont t explor s 1 Celui des incivilit s autrement dit plus que les sim ples manquements la discipline Ont t mentionn s p le m le le port de la casquette la d gradation acc l r e des tables cf personnel de service surtout les retards et l absent isme De multiples points de d tail un peu techniques ont alors ressurgi et n ont pu autoriser en un si bref d bat la formulation de propositions originales Cependant ces questions devraient tre reconsid r es l horaire de 7 h 50 n est il pas trop matinal le carnet d ab sence individuel est il le plus efficace etc aboutir une attitude collective plus coh rente Des r gles tout de suite affich es tr s clairement pour tous viteraient bien des l ves de jouer tout au long de l ann e sur les marges d incertitude et autres zones d ombres bien que chacun ait conscience que l appr ciation des situations au cas par cas ne pu
14. gues une distance sociale et per DAI ue a tt e sonnelle avec le milieu d exercice une connaissance positive des l ves et des familles de nouvelles qualifications professionnelles apporter aux tablissements qui les accueillent leurs savoir faire leur connaissances leurs motiva tions pour am liorer collectivement avec les coll gues anciens qui les aident la prise en charge et le r us site de leurs l ves A V nissieux ces objectifs ont t servis par trois propositions de contenus exp riment es depuis un an Sept s ances dans l ann e per mettent aux nouveaux avec les for mateurs du centre Delay de tra Vailler sur leurs repr sentations des situations scolaires et d analyser des pratiques professionnelles dans le but de faire voluer leur regard professionnel Des s ances sont consacr es la gestion des situa tions difficiles Chacun trouve des interlocuteurs pour exprimer ces dif ficult s et des outils pour r agir et mobiliser de nouvelles pratiques p dagogiques une balade urbaine a t orga nis e la pr rentr e pour les coll gues du ler et du second degr qui peuvent ainsi se rencontrer C est l occasion de d couvrir une ville aux multiples visages o les zones d habitat dense c toient des zones r sidentielles o la vieille ville s ac croche aux espaces plus industriali s s o la vari t des situations bouscule des id es re ues sur
15. le moindre d but d application ces journ es se traduisant n cessaire ment par une perte d heures d en seignement au d triment des l ves Parlons des horaires de concerta tion pr vus dans quelques cas au b n fice des enseignants des 4 me et 3 me technologiques ou des pro fesseurs coordonnateurs d EPS ces d charges de service sont elles effectivement utilis es conform ment leur objet Bonne question Serait ce un contr le bureaucra tique et tatillon selon la formule classique d un syndicat que de v rifier Parlons galement de la 27 me heure d enseignement des coles dont les l ves sont dispens s depuis une dizaine d ann es pour que leurs ma tres se concertent Aucune valuation d ensemble de cette heureuse initiative na t conduite Et pourtant il serait excessivement int ressant de savoir si au del des r unions r glementaires conseils d cole conf rences p dagogiques qui y sont obligatoirement plac es cette 27 me heure permet r ellement une concertation des quipes de ma tres il est probable que le bilan est tr s contrast fortement d pen Bernard TOULEMONDE Inspecteur G n ral dant de la capacit d animation des IEN et de la personnalit des direc teurs d cole Plus r cemment un Ministre eut cette id e astucieuse de maintenir les professeurs dans les coll ges en fin d ann e scolaire pendant que leurs coll gues des lyc es sont
16. mise en place de probl mes sp ci fiques au Bassin ou qui peuvent trouver leurs r ponses ce niveau formation des professeurs princi paux coordination avec le C I O et les C O P liaison coll ge lyc e par exemple Elle peut prendre des formes diff rentes Le recours des interve nants ext rieurs ou des conf ren ciers n est pas exclu Il serait bien s r indispensable qu un tel texte soit int gr la circu laire habituelle de rentr e qui para t en d but d ann e civile Le cadre g n ral tant fix l tablis sement peut alors organiser sa pr rentr e conform ment aux objectifs nationaux et dans la perspective de la mise en oeuvre de son projet d tablissement en tenant compte de ses sp cificit s et de ses contrain tes L exemple annex pr sente une possibilit d organisation Il ne peut tre un mod le chaque orga nisation d pendant du contexte local Cet exemple propose une rentr e organis e en trois temps avec pour chacun des objectifs dif f rents Le premier est situ la fin de lan n e scolaire pr c dente un jour o les cours vaquent cause des exa mens pr paration des salles la veille des preuves du bac Il a pour objectif l appropriation du plan d action du projet d tablissement la constitution des quipes le recensement des contraintes Le deuxi me temps se situe le jour de la pr rentr e proprement dite Il vise la p
17. s Les premi res concernent l accueil le fonctionnement et la vie de l tablissement la pr rentr e est un moment d organisation de l ann e et de fonctionnement des quipes p dagogiques et ducati ves On doit s y pr occuper particu lierement des premiers arrivants y pr senter les modalit s pr vues pour l organisation des enseigne ments et des services examiner les partenariats s approprier le projet d tablissement imaginer les diff rents partenariats au sein du bassin Claude REBAUD Proviseur Andrieux Boutheon ou des r seaux envisager les rela tions entre les diff rents niveaux d enseignement et se livrer une r flexion collective sur les r gles de vie commune au sein des tablisse ments et donc sur le r glement int rieur C est d j beaucoup Le deuxi me chapitre concerne la pr paration de la mise en oeuvre des r formes la pr rentr e sera un moment o en coll ge on travaille ra sur les travaux crois s et en lyc e sur les principaux chantiers de la r forme en particulier les T P E En lyc e professionnel on oeuvrera en particulier sur les pro jets pluridisciplinaires caract re professionnel les fameux P P C P Le troisi me chapitre est consacr la formation des personnels Il invite r fl chir sur les besoins de forma tion au regard du projet d cole ou du projet d tablissement Les sujets traiter sont donc extr mement nombreux lls
18. s 5 me Depuis deux ans nous avions res senti la n cessit d un temps de pr rentr e plus long Nous diff rions la rentr e des l ves d une journ e conform ment la 150 me d cision du nouveau contrat pour l cole r forme Bayrou Ces temps de r flexion et de travail en commun cr ent une dynamique int ressante qui peut retomber tr s vite Pour viter que le quotidien ne prenne le dessus il est indispensa ble de donner aux quipes les moyens de se retrouver dans le cadre de leur service Corinne DE HALLER Principal du Coll ge de la C te Deux journ es r unissaient len semble des personnels enseignants et ducatifs de l tablissement la demi journ e restante a t repor t e un mercredi apr s midi dans le courant de l ann e Descriptif de ces journ es JOURN E 1 h accueil en salle polyvalente autour d un petit d jeuner Pr sentation des nouveaux arri vants par M le principal Tour de table g n ral 10 h 12 h Pl ni re Annonce du contenu de la matin e 1 Les r sultats au Brevet commis sions d affectations de redou blants 2 Les structures pr vues effectifs divisions personnel DHG constitution des classes groupes de LV2 Sciences 3 Organisation de la rentr e des l ves Mise en place des heures de vie classe remise niveau 4 Les lignes directrices 5 Infos mat rielles 6 Les emplois du temps latin Distribution d une po
19. sements d ici aux vacances de la Toussaint ces trois demi journ es devant se situer de pr f rence le mercredi et le samedi Aucun cours ne devra tre supprim ajoute t on Ce changement de calendrier et cette derni re proposition m ritent une premi re analyse Si on regar de la r alit de la vie des tablisse ments et des acad mies les mesu res pr conis es seront le plus sou vent inapplicables la plupart des tablissements des lyc es en parti culier travaillent le mercredi et le samedi matin dans un grand nomb re d acad mies de nombreuses r unions sont organis es l initiati ve du Recteur le mercredi apr s midi pour mettre en place la r forme des lyc es en particulier les T P E On ne pourra donc pas appliquer les dispositions annonc es par le Minist re Premier coup d p e dans l eau L annexe qui accompagne la circu laire donne des indications sur ce que doit tre le contenu des r uni ons de pr rentr e Elle donne le sentiment que le Minist re ayant l ch sur le calendrier veut com penser par des pr conisations nom breuses sur le fond Notons d abord que ces cinq injonctions sont intitu l es suggestions elles pr sen tent donc un caract re facultatif Curieuse fa on de proc der le Minist re qui doit donner des consi gnes claires se contente de recom mandations Pr sentent elles cependant quelque int r t pour les tablissements Regardons les de pr
20. sionnelle sortie sans qualification analyse des stages de la formation en entreprise des liens avec le monde conomique culturel et professionnel analyse de la vie scolaire de l am nagement du temps de l l ve du fonctionnement du conseil de la vie lyc enne etc Projet de I tablissement et de l cole 2 ajustement et mise en oeuvre du projet int gration des ATOSS dans les actions constituti ves du projet d tablissement ACTIVIT S P DAGOGIQUES ET DUCATIVES Organisation des enseignements coordination par cycle par discipline par niveau entre niveau ensei gnements modulaires parcours diversifi s ven tuellement parcours crois s en 4eme groupes nouvelles technologies appliqu es Organisation des diff rentes formes d aide aux l ves intervention des r seaux d aide remise niveau en 6 me int grant les dispositifs de conso lidation aide individualis e notamment en 5 me et en seconde groupes de besoin tudes diri g es int gration des l ves handicap s Organisation des valuations nationales et des valuations propres l tablissement Application des nouveaux enseignements des nouveaux programmes Apport de chaque discipline au projet commun de ma trise de la langue Identification des ressources documentaires de l tablissement et analyse de l exploitation envisage able de ces ressources par les enseignants comme par les l ves utilisa
21. Gestionnaire Nature de la r union Coordinateurs de discipline Horaire 8h30 a9h Ordre du jour Pr paration des conseils d enseignement Les missions du coordinateur 9h 9h30 9h 30 10 h 30 10 h 30 12 h 30 Caf d accueil Assembl e g n rale La rentr e scolaire Les enjeux politiques et p dagogiques L valuation les contr les Calendrier devoirs surveill s et bacs blancs La r forme du lyc e Les nouveaux programmes La concertation Besoins en photocopies en mat riel Conseils d enseignement Tous les enseignants Eventuellement les fonctions des titulaires rempla ants Tous Nouveaux enseignants et surveillants ventuellement Buffet L accueil des nouveaux 12h 30 14h 15h Installation r ponses aux questions diverses Visite de l tablissement coordinateurs et ma tres de stage Gestionnaire Equipe de direction Les ressources documentaires disponibles Comment aider l l ve construire son projet R union Professeurs Principaux Seconde C O P R union Professeurs Principaux Premi res 14h 16h 15h 16h La lettre de mis sion du profes seur principal Le calendrier de Terminales Proviseur L accueil des l ves l information sur l orientation 16h17h R union Professeurs Idem r union pr c dente Principaux
22. apporter mutuelle ment une aide dont b n ficie l ta blissement scolaire et les l ves Accepter de sortir de l isolement de sa classe accepter de conduire l ensemble des t ches qui consti tuent aujourd hui la r alit du m tier d un enseignant repr sentent des modifications majeures des pra tiques dans certains tablisse ments La transmission du savoir reste l essentiel de notre travail si l on prend la peine de s interroger ensemble sur les m thodes et les modes de cette transmission Les actions conduites autour de l ac cueil des nouveaux permettent d a limenter cette r flexion Jean Claude BOULU Principal V nissieux E amp D 25 Michel ASSEMAT Proviseur Acad mie de Lyion POINTS POSITIFS AMBIANCE Accueil chaleureux Bonne ambiance Accueil convivial caf croissants repas Excellente entente et orga nisation entre les professeurs Une s ance de photos a permis la connaissance des profs de la m me disci pline Repas pris en commun par tous les personnels m me ceux de l entretien LE PROVISEUR Rendez vous avec le proviseur avant la pr rentr e Le proviseur dynamique qui donne sa place chacun aucun membre du personnel n est oubli L QUIPE Disponibilit annonc e de l quipe d encadrement proviseur adjoint CPE profs Pr sentation tous les professeurs Rencontre avec l quipe des professeurs de la disci pline LES COLL GUES Contact ave
23. de l adminis tration a contribu en fait accro t re un peu plus le stress li ma pre mi re rentr e scolaire que je ne suis pas pr t d oublier Un stagiaire de l IUFM Acad mie de Rouen Le premier moment de convivialit est mettre au cr dit du chef d tablissement dont l uvre est un exercice de style mi chemin entre la harangue et le rapport de bilan un peu de vertus philippiques et beaucoup de patience pour supporter l assem bl e des p dagogues dissip s L imperator racon te les effectifs les succes et les checs le carnet mondain le mariage de l un la retraite de l autre la mutation de celui ci salu e par les soupirs de sou lagement la nomination de celui l accueillie avec toute l inquisition n cessaire moins que l arriv e nouvelle soit f minine et honore le beau sexe auquel cas le murmure d approbation est imm diat L orateur poursuit le vulgum pecus persiste papotage babillages bavardages ll faut tre h ro que et poursuivre comme le g n ral au milieu de ses troupes quand son r giment se d fait En brave guerrier qui sait la n cessit de ne pas plier devant Padversit le chef ira jusqu au bout avalant la lie Michel Onfray Socrate l abattoir Le d sir d tre un voican Michel RICKAUER Proviseur Acad mie de Rouen La pr rentr e est incontestable ment un temps fort dans la vie des tablissements L inte
24. en janvier 2001 de l importante innovation p dagogique que consti tuent les TPE La brochure Mise en oeuvre des TPE la rentr e 2000 largement diffus e la fin du mois de juin dans les lyc es pourra servir de support lors des journ es de pr rentr e pour pr senter l enjeu de cette r forme les principales conclusions de l exp rimentation conduite de janvier mai 2000 et les diff rentes pha ses de mise en oeuvre au cours de l ann e 2000 200 1 64 E amp D j Au lyc e professionnel Le chef d tablissement s assurera de la bonne infor mation des enseignants sur les modalit s de la r forme du lyc e professionnel La pr rentr e cons titue l occasion de prolonger la r flexion collective sur les objectifs et l organisation p dago gique du projet pluridisciplinaire caract re professionnel PPCP sur la seconde profes sionnelle ainsi que sur le suivi des l ves durant leurs p riodes de formation en entreprise Cette r flexion se r f rera aux arr t s et circulaires d appli cation correspondants Une attention particuli re sera apport e la pra tique d valuation aux diff rents niveaux d ensei gnement La ma trise des progr s des l ves comme la capaci t de rep rer tr s t t leurs difficult s pour mieux les aider impliquent de mettre en oeuvre une valuation r guli re bien ressentie par les enseignants comme une aide efficace au diagnostic et la
25. et autonomie p dagogique Table ronde la pr rentr e DES POINTS DE VUE DES EXP RIENCES Une vis sans fin Une journ e sans projet Mieux arm s pour la rentr e Une rentr e avec les personnels de service L accueil des nouveaux Impressions de rentr e de stagiaires IUFM Une pr rentr e incertaine DES PROGRAMMES DES OUTILS Trait d union Le discours de rentr e La pr rentr e 2000 dans un lyc e ordinaire Les journ es de pr rentr e Pr rentr e 99 2000 Les journ es de pr rentr e travaux de groupes La mise en sc ne la rescousse CONCLUSION Pour ne pas conclure la pr rentr e a un avenir ANNEXES BO n 25 du 24 juin 1999 BO n 3 du 20 janvier 2000 BO du n 26 du 6 juillet 2000 Bernard TOULEMONDE nspecteur G n ral Fran oise CLERC Ma tre de Conf rence Claude REBAUD Proviseur Andrieux Boutheon Alain BOULINEAU DEFPAR Rouen Synth se Alain BOULINEAU Agn s PAON Proviseur de LP Acad mie de Rouen Didier PINEL Proviseur Adjoint de Lyc e Le Havre Bernard PEYRE Principal Grenoble Martine TAUSZIG Proviseur de LP Lyon Jean Claude BOULU Principal V nissieux Michel ASSEMAT Proviseur Acad mie de Lyon Un stagiaire UFM Rouen Michel RICKAUER Proviseur Acad mie de Rouen Marie Claude GRANDGUILLOT Formatrice Rouen Claude REBAUD Proviseur Andrieux Boutheon Corinne DE HALLER Principale Bons en Chablais R CARAGUEL Principal Adjoint Claix MC
26. formation aussi bien collectifs qu individuels en r fl chissant la r partition des candidatures entre diff rents stages en appuyant plus particuli rement certaines d entre elles au nom du projet local La pr rentr e appara t vite comme un passage oblig dans un tel processus et elle devient un point de rep re du calen drier de la formation continue Tous les exemples pris ci dessus ont ceci en commun qu ils sont tous une manifestation de l autonomie p dagogique et ducative de l EPLE A chaque fois la pr rentr e est un temps fort dans la prise loca le de d cision II faut en faire un moment reconnu par tous comme tant celui du pilotage autonome Mais peut tre ne faudrait il plus parler de pr rentr e et employer un autre terme qui la fois marque la rupture par rapport la situation pr c dente et mat rialise mieux l importance de l op ration Alain BOULINEAU D l gu la Formation des Personnels de l Acad mie de ROUEN 14 Een SS UNE TABLE RONDE SUR LA PRERENTREE Une table ronde r unie en octobre 2000 Rouen a permis de d batt re du r le et de l importance de la pr rentr e du point de vue de diff rents acteurs Etaient pr sents un CPE en coll ge un professeur de lyc e galement formateur l IUFM deux proviseurs de lyc e un proviseur de lyc e professionnel un IPR La premi re r action a consist chercher le sens dans les disposi tions adop
27. ne le seront probablement que d une fa on superficielle compte tenu de la dur e limit e de ces op rations de pr rentr e Un lecteur qui connai trait mal le syst me ducatif pourrait penser que l essentiel des projets des tablissements se construit ce moment de la pr rentr e En ns E amp D 9 aucun cas il ne pourrait imaginer comment cette phase essentielle de la vie des tablissements s articule avec les r flexions conduites tout au long de l ann e Cette circulaire est contradictoire avec le principe d autonomie des tablissements Elle donne un trop grand nombre de consignes que les tablissements ne pourront pas sui vre Elle ne fixe pas un cadre pr cis et rigoureux l int rieur duquel ils pourraient organiser leur calendrier et faire des choix en fonction de leurs sp cificit s Elle ne s inscrit pas dans une perspective d ensem ble Elle est significative de la tenta tion habituelle du Minist re de mul tiplier tellement les injonctions aupr s des tablissements que ceux ci les consid rent souvent comme lettres mortes dans l inca pacit qu ils sont de toutes les suiv re Qu aurait on pu attendre du Minist re une circulaire du type qui suit n aurait elle pas suffi Les tablissements dans le cadre de leur autonomie mettent en place deux jours et demi de pr rentr e selon un calendrier annuel qui pren dra en compte leurs sp cificit s et leur situatio
28. que les tra vaux personnels encadr s recueillent l adh sion des l ves et de leurs professeurs et que les travaux crois s commencent se mettre en place dans les coll ges Aussi sommes nous amen s nous interroger sur une tentation r cur rente du Cabinet du ministre accorder une importance excessive aux jugements et d clarations de quelques uns de ses interlocuteurs syndicaux sans s interroger suffi samment sur la r alit de leur repr sentativit de terrain quand il s agit de pratiques professionnelles Combien de responsables syndi caux exer ant le m tier d ensei gnant sont ils aujourd hui tiraill s entre les positions nationales de leur organisation et leur volont pra tique et thique d uvrer en faveur des l ves qui leur sont confi s De plus en plus souvent ils optent pour les choix positifs de terrain Consid rer que l Education Nationale peut encore se cog rer par des n gociations de sommet entre le Minist re et telle ou telle organisation r put e majoritai re rel ve certes de la facilit mais de plus en plus d une dangereuse ilusion L cher du lest sur le calen drier de pr rentr e pouvait peut tre partiellement contribuer au retour la paix sociale et la place du ven dredi 1er septembre constituait pro Pa A nnan nanenane eenaa aa e naman emaa bablement un r el inconv nient Mais d naturer un enjeu p dago gique en facilit polit
29. r flexion p dago gique men e lors de la pr rentr e elle doit avoir t pr par e d s avant la fin de l ann e scolaire travers les conseils de classe les conseils d enseignement les orga EEA E amp D 15 i nes statutaires de l tablissement Il faut aussi qu ils aient re u aupara vant une information pr cise sur leur emploi du temps pour que leur r flexion s appuie sur une vision claire de leur travail de l ann e et qu ils aient vacu l impression de vide ressentie dans l ignorance des conditions mat rielles dans les quelles ils auront exercer Le d bat s est attard sur l int r t ou non de travaux en ateliers Les avis sont tr s partag s mais l id e retenir reste que ce n est pas la forme du travail qui importe du moment que certaines pr cautions sont respect es s inscrire dans une continuit ne surtout pas viser l exhaustif faire en sorte que cha cun ait un retour suffisant pour ne pas craindre d tre tenu l cart des th mes d battus dans les ate liers auxquels il n a pas particip La pr rentr e ne peut pas tre un moment de conclusion car l extr me d but de l ann e scolaire reste une importante p riode de r ajuste ments La pr rentr e est plut t une tape forte dans un processus elle assu re la fois une continuit et une dis continuit continuit de la vie de l amp tablis sement de son histoire d
30. rem diation La pr rentr e fournit l occasion d une r flexion collecti ve sur les outils d valuation A cet gard outre les logiciels CASIMIR pour le CE2 et la 6 et EVAREM pour la seconde des banques d ou tils d aide l valuation peuvent tre utilis es l initia tive des professeurs selon leurs choix p dagogiques Des documents dressant l inventaire de ces nouveaux outils seront mis la disposition des coles et des ta blissements scolaires Ill LA FORMATION DES PERSONNEL Il est souhaitable que ce th me soit abord par les quipes au moment de la pr rentr e de fa on leur permettre de mieux prendre connaissance des plans acad miques de formation et de pr voir les ventuelles inscriptions En ce qui concerne les enseignants et personnels amp ducation certaines de ces actions sont destin es accompagner les r formes notamment TPE au lyc e g n ral et technologique PCP au lyc e profession nel nouveaux programmes mise en oeuvre de l aide individualis e enseignement de l ducation civique juridique et sociale technologies de l information et de la communication ressources documentaires En ce qui concerne les ATOSS il convient de mettre en place des entretiens professionnels d bouchant sur l laboration de parcours individuels de formation Une attention particuli re sera accord e aux pr parations aux concours et la situation des agents non titulaires
31. retombe pas pour mobiliser son quipe et faire en sorte que toutes ces nergies reconstitu es pendant l t se d cuplent en dynamisme collectif Son discours est important mais l exercice est d licat Essayons d en dessiner quelques traits Le but de cet expos ni trop long ni trop court est donc de maintenir l lan de communiquer le souffle pour que chacun se sente membre d un tout embarqu dans une aventure commune Il convient de parler du sens go t orientations et signification Qu est ce qui nous r unit Qu est ce qui nous anime Qu avons nous d fendre ensemble Le discours doit faire appel aux valeurs que l on s efforcera de partager ce que nous voulons faire acqu rir aux jeu nes qui nous sont confi s et que nous devons pr figurer individua lisme ou solidarit sur quelles valeurs se construit notre commu naut scolaire cette ann e Le discours doit aussi donner r fl chir l t a favoris le recul les lectures la m ditation le discours de rentr e peut tre l occasion de communiquer des r flexions qui pourront clairer les probl mes qui ne manqueront pas de se poser et qu il faudra traiter dans l urgence apporter d autres clairages sur la violence et les sanctions par exem ple Le discours ne doit pas s encombrer de certains points qui risquent d en briser le mouvement Une longue liste des nouveaux nomm s alourdit l expos on peut r
32. Deux jours et demi pour ali menter ensemble la politique d ta Didier PINEL Proviseur Adjoint Le Havre blissement c est bien court surtout lorsque l on go te le plaisir de lais ser s exprimer les id es de confronter les points de vue d infor mer de former en un mot de piloter un tablissement Parler de pr rentr e c est parler du r le du chef d tablissement C est lui qui avant tout autre membre de l quipe ducative impulse et porte le projet ducatif et p dagogique de l tablissement C est lui qui dirige ce fabuleux orchestre que devient une quipe enseignante lorsqu elle est bien men e Mon exp rience pour l ann e 1999 2000 et pour la rentr e 2000 va dans ce sens Dans un souci d efficacit j ai pro pos au chef d tablissement de d couper les deux jours et demi de pr rentr en deux demi journ es bilans et perspectives plac es en fin juillet 2000 une journ e plac e classiquement la veille de la rentr e des l ves et une demi journ e en fin de premier trimestre Durant la premi re s quence des professeurs volontaires sont venus travailler sur des th mes li s la p dagogie ou la vie scolaire Des groupes de travail se sont form s et a een AA ont produit des propositions qui ont ensuite t pr sent es en r union pl ni re Il n y a rien d innovant dans le cadre de la construction d un projet mais l chelle de l ta blissement ce n t
33. E D U CATION ET D EVE N R les cahiers de l ducation i amp D les ASS LES CAHIERS D DUCATION ET DEVENIR 2 Les conservatismes dans le syst me ducatif 3 L enseignement de masse Colloque 1985 4 Le projet d tablissement 5 C D I et Documentalistes puis 6 Responsabiliser Colloque 1986 7 ducation 1986 8 Le Conseil de Classe puis 9 Le savoir en question questions sur le savoir colloque 1987 10 La vie relationnelle puis 11 P dagogies 1987 puis 12 80 d une classe d ge au niveau BAC enqu te nationale 13 L cole les jeunes et la Culture Colloque 1988 14 In galit s et exclusions dans le syst me ducatif 15 P dagogies 88 16 Strat gie pour un d fi 80 d une classe Colloque 1989 17 Formation des personnels 1 techniques et m thodes 18 Formation des personnels 2 bilan critiques et propositions 19 Positions 89 20 P dagogie Vie scolaire et Innovations 21 Enseigner un nouveau m tier Colloque 1990 22 L l ve acteur et partenaire dans l cole puis 23 tablissement 90 24 Apprendre et vivre la d mocratie l cole Colloque 1991 25 Action ducative et vie scolaire 26 L autorit puis 27 28 Les nouveaux publics des Lyc es et des Coll ges Colloque 1992 29 L cole et les Parents 30 L enseignement technique mode d emploi 31 Les valeurs dans l
34. La concertation sur l organisation des services et le calendrier de travail des personnels ouvriers de servi ce et de laboratoire doit n cessairement comprendre les modalit s d organisation de leur formation Plus g n ralement la pr rentr e doit tre l occa sion d une r flexion sur les besoins de formation au regard du projet d cole ou du projet d tablis sement susceptible de d boucher terme sur un volet formation de ces projets Uattention des chefs d tablissement et des ensei gnants est appel e sur le b n fice qu ils peuvent retirer d une consultation r guli re des serveurs acad miques ou des sites minist riels http www education gouv fr http www educnet education fr et portail du CNDP sur lesquels sont mis en ligne des documents de r f rence des documents d accompagnement des exem ples de pratiques susceptibles d enrichir leur r flexion IV LA N CESSAIRE CONTRIBUTION DES CORPS D INSPECTION L implication des corps d inspection dans la pr rentr e est absolument n cessaire les inspecteurs d acad mie inspecteurs p dagogiques r gionaux les inspec teurs de l ducation nationale de l enseignement tech nique les inspecteurs de l ducation nationale du pre mier degr et les inspecteurs de l information et de l o rientation seront associ s l animation de ces journ es et dans la mesure du possible pr sents dans les co les et tablissements scolaires Il
35. Le suivi des redoublants Parrainage en tutorat des l ves L valuation des l ves quelles comp tences transversales valuer R union mi trimestre Pr paration du conseil de classe gt R le des d l gu s l ves 3 AIDE METHODOLOGIQUE ET PEDAGOGIQUE Planifier l apprentissage des m thodes de travail Apprentissage d une le on pr ciser les r sultats attendus Lecture d nonc s Prise de notes Comment choisir les l ves b n ficiant de l aide individualis e en seconde Le travail avec le C D I 4 REGLES DE VIE DE LA CLASSE Quelle attitude l quipe entend adopter face au Travail non fait Retard Absence au contr le Mat riel oubli Comportement perturbateur Comment aborder ces questions pendant l heure de vie de classe 5 PROJET PERSONNEL DE L ELEVE Utilisation de l heure de vie de classe Le dossier Projet Personnel en assurer la diffusion La rencontre avec les professionnels Les visites d atelier Quel projet avec le professeur de T S A de productique de T des TI ou de SES 6 PROJET INTERDISCIPLINAIRE Projets p dagogiques communs articulation des contenus des th mes d tudes Quels intervenants ext rieurs Int grer l organisation d un change scolaire dans la progression de la classe Marie Claude GRANDGUILLOT Formatrice Rouen Faire couler le vin nouveau dans les outres anciennes Edgar Morin Avec le jour de la sortie
36. Proviseur 16h 18h R union Professeurs Idem r union de 14h 16h Principaux Premi res Terminales C O P La Vie Scolaire Surveillants aides ducateurs et CPE Coordination surveillants aides ducateurs Le service et les missions des surveillants 14h 18h Proviseur 17 h A E amp D 39 Phase 3 les deux semaines qui suivent la rentr e 1 re r union Horaire Nature de la r union Ordre du jour Public concern 18h T P E Mise en oeuvre de la r forme du lyc e Professeurs concern s Documentaliste 2 mM r union Horaire Nature de la r union Ordre du jour Public concern 12h 15 E C J S Mise en oeuvre de la r forme du lyc e Professeurs concern s Documentaliste 18h Sant pr vention solidarit Mise en oeuvre des actions inscrites au projet Professeurs concern s Vie lyc enne CVL d tablissement Sant scolaire HVL conf rence des d l Vie scolaire gu s Vie associative AS et FSE Clubs d bats caf s philoso phiques Formation des d l gu s 3eme r union Public concern Professeurs concern s Aides ducateurs C PE et MI S E Documentaliste Gestionnaire Horaire 18h Nature de la r union Ordre du jour Aide au travail des l ves Mise en ceuvre des actions inscrites au projet Aide individualis e en seconde d tablissement en Math et en Francais Travail personnel des l ves Diversifica
37. a commenc bien avant et se continuera d autant plus que l id e d une rentr e totalement boucl e avant l arriv e des l ves o tout aurait trouv une place d finitive n est qu un leurre Beaucoup de choses changent jusqu au dernier moment et m me apr s Gare une pr rentr e qui partir d une souhaitable formalisation collective des dispositifs g nerait ensuite les Alain BOULINEAU DEFPAR Rouen n cessaires adaptations La pr ren tr e pr pare sans mettre un terme Un autre rappelle qu elle est gale ment l aboutissement d un pass seule une r flexion men e suffisam ment en amont permet une appr hension collective des besoins reconnus et des solutions adopt es Une pr rentr e la limite ne vaut que par la qualit de la post sortie c est dire de la r flexion qui accompagne la fin de l ann e scolaire en tablit un bilan et trace des voies pour lavenir De toute fa on les probl mes de fond doivent m rir pour trouver r ponse et ce n est pas obligatoirement pile le jour de la pr rentr e qu ils arrivent tous maturit Le professeur pr sent rejoint cette analyse en insistant sur le danger qu il y aurait ses yeux de d finir la politique p dagogique de l ta blissement uniquement lors d une r union pr par e par la seule direc tion pendant la p riode de vacance des cours Si l on veut que les pro fesseurs soient v ritablement acteurs d une
38. a dur e de la pr rentr e Cela n a pas vit que des tablis sements multiplient les r unions diverses travaux crois s ou TPE mise en place des CVL r flexion sur le nouveau r glement int rieur lis ont pr f r travailler sur des th mes s par s en regroupant pour chacun des quipes r duites ou s lectionn es L int r t qu aurait apport une r flexion commune tous n est pas apparu clairement c est le moins qu on puisse dire On en est rest une approche parcel lis e cens e r pondre uniquement un besoin contingent g n r par les r formes du moment La r p tition annuelle de la pr ren tr e sa permanence la font para t re loign e d un besoin si marqu dans le temps Elle est plut t v cue comme une sorte d assembl e g n rale rituelle qui marque le pas sage d une ann e scolaire a l autre par I accueil des nouveaux un bref bilan et quelques informations pour se remettre dans le bain 12 exp f Mais peut elle se limiter cela OUI r pondent ceux qui consid rent que le syst me ducatif est tou jours ou doit tre un syst me ultra centralis avec un terrain qui est avant tout un lieu de mise en oeuvre de directives labor es ailleurs Les directives on les conna t et on va les appliquer il suffit d y r veiller les esprits apr s la coupure estiva le avec les quelques informations nouvelles qui marquent la rentr e
39. a suscit des difficult s protestations de familles ayant des enfants scolaris s sur plusieurs cycles d sordres dans les cit s scolaires comportant coll ge et lyc e et r tr ci excessive ment l ann e scolaire des lyc ens bien inf rieure aux 36 semaines l gales Mais comment proc der pour r aligner la rentr e de tous les tablissements sans soulever un toll des professeurs de lyc e pro pos de leurs vacances tout en faisant oeuvre utile Germa alors l id e de consacrer la moiti de la premi re semaine de classe la concertation au sein des tablissements scolaires la multi plicit des chantiers ouverts tous les niveaux par les Ministres m ri tait bien deux jours et demi de tra vail des quipes p dagogiques C est ainsi que le calendrier scolaire des ann es 1999 2000 et 2000 2001 allonge la pr rentr e des enseignants La circulaire du 17 juin 1999 organi se cette nouveaut Tout d abord elle cet sign e par les trois direc teurs du Minist re ayant en charge la p dagogie et la gestion des per sonnels enseignants et non ensei gnants et de l encadrement la pr rentr e ne doit elle pas tre une occasion de rencontres et d chan ges pour l ensemble des personnels et des quipes des tablissements scolaires Ensuite elle ouvre la possibilit d un fractionnement des deux jours et demi le report d une demi journ e ou d une journ e un mois ou d
40. agr ables sur certains lieux peu dignes de gens normalement bien lev s Chacun a appr ci d tre appel par son nom et ceux qui l ont senti ont pu dire leurs envies r ci proques C est moi qui m occu perai de cette salle puis je vous demander ou bien S il y a quelque chose qui n est pas votre go t dites le moi ou bien encore Lan dernier je devais toujours remettre tables et chaises en place je n ai pas beaucoup de temps pour faire mon secteur si vous pou viez Le plus difficile bien s r c est de garder tout au long de l ann e cette dynamique et de ne pas lais ser partir en eau de boudin ces 22 E amp D d parts harmonieux Il semble cependant que c est plus facile ces moments v cus de demander une plus grande implication des person nes dans la vie d une maison ceci au service de la mission d ducation que nous avons tous quelle que soit notre fonction Martine Tauszig Proviseur de LP Lyon E amp D 23 Jean Claude BOULU Principal V nissieux Dans l Acad mie de Lyon l accueil des nouveaux nomm s est depuis deux ann es une priorit rectorale Dans les tablissements scolaires du second degr et dans les coles des ZEP et des zones sensibles il est fr quent de constater une forte rotation des personnels en place Cette fluctuation du personnel enseignant entra ne l arriv e en nombre de nouveaux coll gues nomm
41. ait pas rien A la pr rentr e c t des clas siques discours et pr sentation des emplois du temps ont eu lieu des s ances de travail approfondi sur les nouvelles modalit s n es de la r forme des lyc es J ai eu ainsi l occasion de creuser la question des Travaux Personnels Encadr s sous l angle de l organisation p da gogique et administrative Une r union avec les professeurs princi paux a permis de la m me fa on de rappeler nos objectifs quant l ac y rpm cueil et au suivi des l ves Au final on pourrait estimer que ce temps fut trop court pour explorer toutes les pistes ouvertes par les membres de l quipe ducative avec en plus le sentiment qu il sera forc ment plus difficile de retrouver des conditions identiques en cours d ann e Au del de tout ce qui a pu tre construit dans le cadre de la poli tique d tablissement durant ces demi journ es il m apparait fonda mental de cr er des espaces qui permettent aux enseignants et l ensemble de l quipe ducative de se rencontrer pour fonder ce qu il est coutume d appeler la commu naut ducative Cette rencontre passe videmment par la confronta tion de points de vue et de pratiques forc ment diff rentes Les mouve ments sociaux de mars 1999 ont montr quel point les enseignants taient attach s un service public d ducation de qualit Plus qu a vant la salle des professeurs est devenue un lie
42. amen Suivi des l ves selon les niveaux les s ries les sp cialit s poursuite d tudes insertion professionnelle nature des offres d emploi volution des demandes niveau d embauche Participation l information sur l orientation dans l tablissement dans les autres tablissements lyc es coll ges Liaisons Lyc e Coll ges Lyc e Enseignement Sup rieur Relations avec les entreprises Projets industriels ou autres types de coop ration Participation de partenaires d intervenants ext rieurs S quences ducatives stages dispositif de choix d entreprises vivier des entreprises nature importance renouvellement qualit de l accueil pr paration des l ves la recherche de stages suivi des l ves Prise en compte des objectifs du Projet d tablissement Remarques ventuelles en Al E amp D 33 Document 2 REUNION DES CONSEILS D ENSEIGNEMENT Animation et Compte rendu Les coordonnateurs ou les repr sentants des disciplines Points aborder Organisation et exploitation pour la discipline de l valuation de seconde Analyse des r sultats du baccalaur at Le fonctionnement des modules Programmation des bacs blancs des preuves harmonis es En maths et fran ais l aide individualis e En histoire g ographie et en SES l enseignement civique juridique et social Les voyages scolaires les assistants trangers Les projets p dagogiques sp cifiques Les initiatives
43. ance de cause lors de la pr rentr e En collaboration avec les conseillers p dagogiques ces inspecteurs veilleront aussi faciliter le travail en commun des coles organis es en regroupements p dagogiques intercommunaux ou en r seaux ainsi que les moments de concertation n cessaires entre coles et r seaux d aides sp cialis es aux l ves en difficult En fonction des besoins locaux ils pr voiront la pr rentr e des ma tres itin rants lorsqu il en existe pour la circonscription En milieu rural les professeurs des coles d butants charg s d une classe unique seront particuli rement aid s Les propositions qui suivent sont donn es titre indi catif sous forme de pistes de r flexion susceptibles d alimenter le programme de ces journ es Sous l au torit du chef d tablissement ou du directeur d cole chaque tablissement chaque cole saura faire preu ve de cr ativit puiser parmi les pistes ci dessous et adapter le d roulement de ses travaux sa situation 58 E amp D H 1 sp cifique en continuit avec ceux de l ann e pr c dente 1 FONCTIONNEMENT G N RAL DE L TABLIS SEMENT OU DE P ECOLE Bila n d activit de l ann e pr c dente analyse des flux d orientation analyse des r sultats aux valuations nationales et locales et aux examens analyse du devenir des l ves ayant quitt l ta blissement poursuite d tudes insertion profes
44. assur s Aucune connaissance pr alable des classes et des l ves LE CONSEIL D ENSEIGNEMENT Temps perdu Long et inint ressant LE MAT RIEL Les cl s qui ne correspondent pas aux salles Des salles trop petites pour la classe changement de local Difficult pour se procurer le projet d tablissement le r glement int rieur les manuels emport s par le pr c dent stagiaire Pas de visite des locaux Equipement mat riel limit AVIS GLOBAL QUELQUES EXPRESSIONS Tout est parfait Bonne ambiance entre profs bon contact avec mon tuteur Mon maitre de stage est tr s sympathique et tout se passe bien Tr s bonne impression d ensemble Bilan extr mement positif D tail qui a surpris voire g n un stagiaire Tout le monde se tutoie Michel ASSEMAT Acad mie de LYON E amp D 27 Un stagiaire de l IUFM Acad mie de Rouen Ma premi re rentr e scolaire fut ponctu e de petits incidents sans gravit au premier abord mais qui ont suffi rendre mes d buts d en seignant quelque peu difficiles La pr rentr e journ e importante qui permet de rencontrer dans sa totalit l quipe p dagogique et de se familiariser avec l tablissement fut plac e sous le signe du doute et de l incertitude ll fallait d abord r gler un probleme d ordre administratif En effet le Rectorat ou l IUFM avait envoy le jour de la pr rentr e trois stagiaires alors que
45. ation permet tant de r unir l ensemble des per sonnels d un tablissement autour des missions communes qui sont les leurs et de d finir en commun les grands axes de la programma tion de l ann e venir En langage journalistique le papier sur la rentr e se nomme marron nier c est dire l article rituel qui revient tous les ans m me poque Et pourtant il y a une gran de force symbolique et motionnel le dans ces retrouvailles et ce nou veau d part que constitue l aube d une nouvelle ann e scolaire Au del les t moignages pr sent s d montrent l envi la capacit des tablissements donner du sens et du contenu ces journ es Pour autant nous devons relativiser ce temps fort car il s inscrit du moins le souhaitons nous dans la continuit d une politique d tablis sement Les conseils d enseigne ment de juin les journ es de concertation choisies par les ta blissements contribuent au succ s des journ es de pr rentr e quand elles les inscrivent dans la mise en oeuvre d un projet d tablissement labor collectivement Et c est bien l authenticit d une d marche de projet qui marque la c sure entre les journ es de pr rentr e producti E amp D 55 nn ves et un rituel en voie de vieillisse ment Souligner le r le p dagogique et ducatif des personnels de direc tion Ce cahier illustre aussi le r le essentiel des chefs d tablissement da
46. blisse ment Bien s r le personnel admi nistratif et la direction sont d j l mais les lieux restent inaccessibles pas de professeurs pas d l ves pas de parents La fermeture des tablissements pen dant les cong s et en dehors des heures scolaires peut para tre cho quante alors que les ressources cul turelles sont tr s in galement r par ties Dans bien des cantons ruraux dans certains quartiers de grandes villes les tablissements scolaires concentrent des moyens culturels importants uniquement r serv s aux enfants en ge d tre scolari s s Des exp riences la plupart du temps r ussies tentent d ouvrir les locaux hors temps scolaire accueil d enfants pendant les vacances activit s culturelles pour le quartier et les associations coordination avec les biblioth ques publiques Ni le personnel enseignant ni le personnel administratif ou de direc tion ne peuvent tre tenus d encad rer de telles activit s c est donc le d crochage du temps scolaire et du temps de l quipement culturel qui est en jeu Bien des obstacles exis tent accueil surveillance encadre ment des activit s s curit mais il n est pas interdit de r ver une sorte de plein emploi des b ti ments scolaires et une meilleure r partition des ressources culturel les La pr rentr e marquerait sim plement la transmission d un relais et une reprise de contact entre des quipes compl mentaire
47. blissements vire la vacui t que faire de ce temps prescrit la fois trop long pour un simple contact et trop court pour y mener bien toutes les t ches laiss es en suspens du fait des cong s d t Car la pr rentr e ne se comprend que par r f rence au rythme scolai re et tout particuli rement par r f rence la grande rupture des vacances Autour de la pr rentr e se cristalli sent une bonne part des interroga tions sur le temps scolaire Le temps des ma tres peut il tre celui des l ves Au del de cette question est pos e celle de la reconnaissance du travail effectu dans l tablissement ou hors de la pr sence des enfants La pr rentr e est de ce point de vue une mesure ambigu Elle officialise la n cessit d un moment de travail entre adultes uniquement consacr aux activit s de concertation et de pr paration un moment o peuvent se cr er des solidarit s se prendre des marques sans avoir faire face aux groupes d l ves Mais en m me temps elle en fixe les limites et dans de nombreux endroits elle l cole Fran oise CLERC Ma tre de Conf rence n est pas suivie d autres temps forts de la vie des adulte Elle ne sert souvent que de prologue et ou de conjuration l effet centrifuge de l emploi du temps des classes et de la d finition des services Si linten sit d une vie collective des diff rents professionnels qui composent un tablisse
48. c le professeur principal Rencontre avec les coll gues Temps consacr par les collegues bien expliquer le fonctionnement de l tablissement Disponibilit des coll gues pour nous piloter Consid ration comme un professeur un pair et non un stagiaire Qualit s tuteur Sympathique attentif autonomie laiss e au stagiaire avec des limites marque sa confiance r pond aux questions fixe un jour de ren dez vous donne son avis sur les projets INFORMATIONS Pr cision du propos liminaire du proviseur des exi gences justifi es DOCUMENTS Distribution d un livret d accueil distribution du pro gramme de la journ e de pr rentr e des listes d l ves Un plan de l tablissement pour les nouveaux Dossiers individualis s ENVIRONNEMENT MAT RIEL Visite pr alable de tous les locaux Tout tait pr t Qualit s de la salle des professeurs cadre agr able bon am nagement Qualit s architecturales de l tablissement couleurs Coll ge taille humaine sympa et accueillant PROBL MES PROFESSIONNELS Emplois du temps Efforts du proviseur adjoint pour r gler les probl mes d emploi du temps AIDES DIRECTES Conseils concrets pour commencer l ann e marqua ge des absents Pr t imm diat de manuels pour commencer PROJETS Pr sentation des projets ducatifs en cours avec pro position d y tre associ Harmonisation des pratiques des profs incitation s investir dans l
49. chaque discipline les profes seurs coordonnateurs se reportent une liste de questions traiter et 30 kr oe sur lesquelles les enseignants essaient de se mettre d accord Document 2 LE PROJET DE CLASSE Document 3 Les quipes de classes de seconde se r unissent d s la pr rentr e Pour les autres classes les r unions peuvent s chelonner au cours de la premi re quinzaine Le professeur principal tend formaliser un projet de classe en abordant le maximum des th mes mentionn s dans un canevas qui guide la discussion Il va de soi qu au cours des premi res semaines le projet voluera en fonction de la r alit des l ves qui pourront eux m mes tre associ s son laboration Le professeur principal se r f re galement la liste des questions prioritaires aborder Reconnaissons que ces outils n ont pas une vertu magique ce ne sont pas des mod les Chaque ann e il doivent s adapter l Actualit int grer les remarques des utilisateurs et s imposer face l inertie de cer tains pour s engager dans une telle d marche D autres questions plus transversa les mobilisent galement des qui pes projet par exemple l valua tion ou les sanctions La mise en place de l ECJS de l Aide individua lis e des TPE des PPCP exigent galement des groupes de travail sp cifiques Alors disons simplement et avec la modestie qui sied
50. chette conte nant Des textes Mission du professeur BO du 29 mai 1997 Le professeur principal Synth se sur le coll ge des ann es 2000 La liste des t ches accomplir par le Professeur principal la liste des l ves de la classe l emploi du temps de la classe L emploi du temps de chacun 13 h 30 14 h 30 Circulation de l information dans le coll ge affichage salle des profes seurs Fr quence des Assembl es G n rales et des 1 2 journ es de concertation Relations avec les associations mairie Proposition de mise en place d un professeur coordonnateur par niveau 14h 30 16 h 30 Concertation et coordination par discipline JOURN E 2 9h 11h Vie scolaire appel contr le des absences R CARAGUEL Principal Adjoint Claix Le coll ge des ann es 2000 Mise en place des dispositifs sp cifiques Le livret d accueil des 6 me Les nouveaux bulletins 11h15 12h Rencontre avec les Professeurs principaux Le professeur principal t ches accomplir la rentr e 13 h 30 16 h30 Le plan de formation Les projets qui d marrent Le suivi du projet d tablissement avec rappel des axes COMMENTAIRES Deux journ es longues anim es uniquement par le chef d tablisse ment et son adjoint Insuffisamment pr par es en juin elles sont le reflet plut t d un remplissage et non d un r el pilotage La succession d informations dont certaines pou vaien
51. contribuer l apprentissage par les l ves de la civilit et de la citoyennet peut utilement ali menter le programme de ces journ es A l cole l qui pe doit ainsi s accorder clairement sur le contenu du r glement int rieur et sur l chelle des sanctions et r compenses Dans le second degr l volution r cen te de la r glementation aboutit de nouvelles dispositions en mati re de sanctions et proc dures disciplinaires para tre prochaine ment au BOEN qui entrent en vigueur a la rentr e 2000 et qui doivent tre port es la connaissance des quipes la mise en place dans chaque lyc e et un conseil de la vie lyc enne ll est notamment rappel que les 17 et 19 octobre prochains les lyc ens sont appel s lire au cours des journ es citoyennes l ensemble de leurs repr sentants dans cette instance et au conseil d administration ll PR PARATION DE LA MISE EN OEUVRE DES R FORMES OU PRINCIPAUX CHANTIERS P DA GOGIQUES l cole Une information pr cise sera donn e aux ma tres sur les orientations annonc es par le ministre dans sa conf rence de presse du 20 juin 2000 de fa on ce que les quipes p dagogiques se pr parent leur mise en oeuvre ult rieure et s assurent notamment de la g n ralisation de l enseignement d une langue vivante au CM2 Au coll ge La circulaire relative la rentr e dans les coll ges qui pr cise l
52. cueil pas tous ensemble pas avec les m mes modalit s mais autour du m me message Alain BOULINEAU D l gu la Formation des Personnels de l Acad mie de Rouen Agn s PAON Proviseur de LP Acad mie de Rouen Face la grogne des enseignants la Pr rentr e des chefs eut lieu publiquement et hi rarchiquement dans l acad mie en janvier 2000 Les pseudo r ponses organisation nelles qu ils obtenaient quant aux diverses r formes programm es PPCP Al PFE les pouss rent s organiser Des r unions informel les se multipli rent entre les qui pes de direction des deux d parte ments Il fallait trouver un moyen de mobiliser d effacer les inqui tudes et les malaises de donner des d buts de r ponses de construire des d buts de projets en bref il fallait uvrer pour que l ann e sco laire 2000 2001 soit p dagogique et ceci dans la plus grande s r nit possible Ainsi d s mai 2000 au lyc e des plages de 2 ou 3h furent consa cr es des r unions d quipes o les questions les plus farfelues les plus inattendues les plus inqui tes laiss rent place un souci de cons truction rationnelle Et les chefs disponibles rassu rants allaient la p che d id es Ils continuaient leurs rencontres avec leurs coll gues En juillet apr s la derni re pl ni re les quipes pluridisciplinaires cons titu es se mobilisaient et program maient leurs r uni
53. culturelles cin ma lecture expositions interventions de personnalit s ext rieures Les progressions par niveau s rie ou sp cialit Le correspondant TICE l utilisation des NTICE Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication de l Enseignement Plus particuli rement au Lyc e professionnel et pour les sp cialit s technologiques L organisation des stages en entreprises Laide la recherche d un stage Le d veloppement des relations avec les entreprises Les projets industriels le recueil de la taxe d apprentissage Mais aussi l laboration des demandes pour l laboration du Plan Local de Formation Concertation pour les demandes individuelles Demande de formation sur site 34 EP nn Document 3 LYCEE POLYVALENT MARCEL SEMBAT ANNEE SCOLAIRE 1999 2000 SOTTEVILLE LES ROUEN CANEVAS DU PROJET DE CLASSE Points susceptibles d tre trait s 1 ORGANISATION DU TRAVAIL PERSONNEL Exigence rythme dur e nombre et nature des devoirs R partition Harmonisation les jours de contr le ventuellement fixer d apr s l E D T une plage de D S Elaboration avec le P P d un emploi du temps individuel en fonction des activit s extra scolaires Gestion du temps Semaine Trimestre Ann e Fixer les ch ances en fonction des dates de conseils de classe de stages d examens 2 SUIVI DES ELEVES Dispositif d alerte vers le P P ou d autres services vie scolaire social sant
54. dalit s de mise en place d entretiens profes sionnels pour les ATOSS d bouchant sur l labo E amp D 59 ration de parcours individuels de formation parti culi rement dans l optique de la pr paration aux concours avec un volet sp cifique concernant la situation des agents non titulaires et des person nels occasionnels f Concertation sur l organisation des services et le calendrier de travail des personnels ouvriers de service et de laboratoire L importance et le nombre des th mes de concertation justifient la dur e de deux jours et demi de la pr ren tr e fix e par le calendrier scolaire arr t du 30 juillet 1998 JO du 13 ao t 1998 Dans le respect de cette dur e globale la pr rentr e peut ventuellement tre fractionn e en particulier dans les coles qui ont une organisation scolaire sur quatre journ es Ainsi il peut tre judicieux de reporter une partie de ce temps une demi journ e par exemple peu apr s la rentr e des l ves de fa on poursuivre la concertation et faire le point apr s la reprise effective des enseignements 60 Esp dans cette hypoth se la fraction report e se situe en dehors de l emploi du temps normal des l ves Dans chaque acad mie le recteur et les inspecteurs d acad mie veilleront la mise en oeuvre du program me de travail de la pr rentr e au sein de chaque ta blissement et cole Un bilan sera dress de fa on ce que les l
55. degr Il est souhait qu en cette rentr e 2000 il comporte outre les activit s indispensables d accueil et d organi sation des enseignements une r flexion collective approfondie de l ensemble des personnels sur la mise en oeuvre des r formes et leurs besoins de formation L efficacit de ces journ es repose sur la coh rence entre les th mes abord s les pr occupations de la communaut ducative et la prise en compte des prio rit s nationales C est dans ce cadre que la plus grande libert d appre ciation est laiss e aux coles et aux tablissements pour d finir avec l appui des corps d inspection les contenus de ces journ es de travail pour lesquels Pan nexe jointe fournit des suggestions Pour le ministre de l ducation nationale et par d l ga tion Le directeur de l enseignement scolaire Jean Paul de GAUDEMAR La directrice des personnels adminis tratifs techniques et d encadrement B atrice GILLE voir annexe pages suivantes Suggestions de th mes pouvant s inscrire dans le programme de travail de la pr rentr e l ACCUEIL FONCTIONNEMENT ET VIE DE L CO LE ET DE L TABLISSEMENT La pr rentr e est un moment privil gi pour pr voir l organisation de l ann e et le fonctionnement des qui pes p dagogiques et ducatives autour d un projet commun ainsi que la participation des personnels ATOSS celui ci En ce sens une attention particuli re doit tre accord e aux nou
56. devant cette ni me consultation Mais la machine est perfectible encore PROPOSITIONS POUR NOTRE COLLEGE PROBLEMES RESOUDRE Un interm diaire de plus donc lourdeur et inutilit Toutefois oui sur un projet inter disciplinaire pr cis Qu en est il du dossier de res tructurations sur lequel les per sonnels ont t consult s il y a 3 ans Y a t il un suivi Pour et contre Y a t i seulement des solutions institutionnelles PROPOSITIONS N cessit d un affichage concernant tous les projets sorties voyages etc Il serait n cessaire d avoir une concertation pour mettre profit cette heure Notamment en ce qui concerne la pr paration du conseil de classe Prise de parole des l ves Comment g rer cela Les s ances de pr para tion rel vent de l oral et de l oral seulement Nous avons propos quelques am liorations ascenseurs pour les l ves handicap s abri devant le lyc e pour ceux qui attendent foyer lieu d coute Faire une valuation On pourrait faire noter le num ro vert dans le cahier de correspondance 2 suggestions Proposition pour un cahier de liaison pour chaque classe ou chaque professeur inscrirait les motifs de son m contentement Informer les autres coll gues Avoir une m moire des faits Mat rialiser l id e d une quipe p dagogique face l l ve Conseils de classe il pourrait tre suivi d une ren contre l ve parents
57. document est affich en salle du personnel et distribu aux participants la fin de la rencontre Pour favoriser le travail en quipe une heure de concertation est bana lis e dans presque tous les emplois du temps le mardi de 11h 12h Les professeurs en grande majorit sont tous libres les classes peuvent avoir des devoirs communs pen dant cette heure Les enseignants re oivent 15 jours avant la pr rentr e les emplois du temps et les fascicules d accueil comportant toutes les informations 1 RE JOURN E Travail par discipline ou par cat go rie 9h 9h30 Accueil informations g n rales avec tout le personnel Temps court la demande des personnels et assembl e g n rale en fin de jour n e 9h30 10h10 R union des professeurs coordon nateurs par niveau et par discipline D signation des nouveaux mem bres du groupe de pilotage Pour les autres personnes visite de l tablis sement tat des lieux des salles et du mat riel 1 professeur et 1 agent sont responsables conjointement d une salle et de son contenu 10h30 al2h30 R union par discipline ou cat go rielle personnel de service sur Corinne DE HALLER Principal Bons en Chablais veillant assistants scolaires Objet Etude du BO n 23 du 10 juin 1999 Aides Educateurs Pr sentation du projet d tablis sement Etude des documents de ren tr e Pr sentation de nouveaux bul letins 12h30 l4h Momen
58. du rapporteur de chaque groupe est de recueillir la parole de chacun et de la formaliser le r le de l animateur est bien videmment de distribuer la parole chaque par ticipant et de faire en sorte que cha cun la prenne galit et dans le plus grand respect mutuel Les comptes rendus crits sont anonymes on ne sait pas qui a dit quoi et cela a t clairement pr cis avant de commencer Ce type de proposition a eu un cho tr s favorable aupr s de l ensemble du personnel cela a permis de d gager un certain nombre de valeurs communes qui donnent une autre couleur aux salutations mati nales et qui s adressent l humain et non la fonction 2 Les enseignants les surveillants les aides ducateurs ont visit leur tablissement en petits groupes encore une fois intercat goriels guid s par un membre de l quipe administrative ou de direction et ils ont t accueillis par les agents de service chacun dans son secteur de travail Chacun d entre eux avait en charge la pr sentation des lieux Apr s tout ce sont les leurs quand les l ves et leurs profs sont partis ou avant qu ils n arrivent Chacun y est all de son appr hension bien l gi time Que voulez vous que je dise Je ne saurai jamais expli quer Est ce qu on peut rester en habit de ville Dans les faits cha cun a parl avec son c ur a su dire avec une certaine l gance des choses pas toujours
59. e ons de cette pr rentr e puissent tre tir es et les am liorations ventuelles apport es pour les ann es suivantes Nous vous remercions de votre engagement Pour le ministre de l ducation nationale de la recher che et de la technologie et par d l gation Le directeur de l enseignement scolaire Bernard TOU LEMONDE La directrice des personnels enseignants Marie France MORAUX La directrice des personnels a techniques et d enca drement B atrice GILLE Rentr e 2000 dans les coles coll ges et lyc es d enseignement g n ral et technologique Texte adress aux recteurs aux inspecteurs d acad mie directeurs des services d partementaux de l du cation nationale aux inspecteurs d acad mie inspec teurs p dagogiques r gionaux et aux inspecteurs de l ducation nationale en charge d une circonscription du premier degr aux chefs d tablissement aux directeurs d cole La pr sente note de service traite de la pr paration de la rentr e 2000 dans les coles les coll ges et les lyc es Concernant l enseignement professionnel des instructions compl mentaires para tront ult rieure ment Les instructions donn es l an pass sur l quilibre de la carte scolaire les projets d tablissement et les projets d cole la r gulation des flux d l ves l orientation et le respect des principes fondamentaux de service public au sein des tablissements publics locaux d en seignement r
60. e sa r flexion de sa pratique p dago gique discontinuit de chaque rentr e qui voit arriver des l ves et des personnels nouveaux discontinuit aussi pour ceux qui taient l mais qui viennent de conna tre plusieurs semaines d inactivit scolaire C est la pr rentr e qui permet de raviver la r flexion commune apr s la parenth se estivale c est la pr rentr e qui permet ceux qui arri vent de s y int grer Pour cela elle refait le point relance la r flexion mais ne pr tend pas obligatoire ment arriver une conclusion sauf sur les questions conjoncturelles d organisation mais qui perdraient _ de leur sens si elles taient trait es ind pendamment de la relance de la r flexion lly a dans la pr rentr e ainsi d finie un aspect rite de passage qu il convient de ne pas n gliger Le pro viseur de lyc e qui avait supprim son discours de pr rentr e l a fina lement r tabli constatant que son absence g nait plut t qu elle ne favorisait le double objectif de retour des anciens et d int gration des nouveaux Le professeur parle de phase incantatoire mettant derri re ce terme la fois quelque d tache ment intellectuel et le constat d une n cessit Les personnels sont ils les seuls formaliser leur retour par une pr rentr e Faut il y associer parents et l ves La r ponse est unani me tous ont besoin de ce rite de reprise et d ac
61. en tifi s associ s globalement au monde de la banlieue l emporte sur la connaissance plus objective de villes jadis ouvri res encore sou vent nourries d une forte culture populaire qui reste d couvrir pour ces nouveaux arrivants peu initi s aux r f rences aux rites aux r ali t s multiples d un univers qui n ap partient pas leur propre culture Et ceux qui sont charg s d apprendre auront aussi apprendre des ta blissements o ils sont nomm s et des l ves qu ils auront ensei gner Devant ces complexit s et ces diffi cult s per ues par les nouveaux coll gues certains tablissements en relation avec le centre Michel Delay et en relation avec les parte naires institutionnels ont propos aux nouveaux un accueil qui fixe quatre objectifs essentiels faciliter la prise de fonction des nouveaux nomm s dans l tablisse ment le r seau int grer ces coll gues dans les quipes p dagogiques et favoriser les changes de travail dans le col l ge et avec les coll gues du pre mier degr avec une bonne connaissance de la ville et des par tenaires analyser les probl mes rencon tr s en d but d ann e avec des for mateurs des chefs d tablissement des chefs d tablissement adjoints des CPE d autres coll gues ensei gnants Ce travail vise apporter des r ponses th oriques et pratiques aux questionnements profession nels en faisant acqu rir ces coll
62. es mesures sur lesquelles il convient de faire porter les efforts pour l ann e scolaire 2000 2001 en compl ment la circulaire 2000 009 du 13 janvier 2000 pourra servir de support la r flexion collective On peut notamment rappeler qu la rentr e scolaire 2000 les travaux crois s ne seront pas obligatoires pour toutes les classes de quatri me Cependant il est demand chaque coll ge d organiser au mois une exp rimentation de travaux crois s pour l ann e sco laire venir La pr rentr e pourra tre l occasion de d finir le groupe ou la ciasse concern e et les responsables p dagogiques de l action Une brochure d aide la mise en place des travaux crois s sera adress e aux tablissements d ici la fin du trimestre 2000 2001 De m me dans la perspective de l ducation l orien tation il serait int ressant que les coll ges pr parent la semaine cole entreprise qui se tiendra durant le mois d octobre Au lyc e Le chef d tablissement s assurera de la bonne infor mation des enseignants sur les dispositions nouvelles relatives la seconde et au cycle terminal Il propose ra d utiliser le temps de la pr rentr e pour impulser notamment la pr paration de la mise en place des TPE constitution des regroupements disciplinaires quipes p dagogiques choix parmi les th mes natio naux Cette phase pr paratoire d organisation est essentielle pour un lancement r ussi
63. es projets de l tablisse ment Accueil des nouveaux pour le d marrage des ateliers Beaucoup de projets c est stimulant 26 E amp D H o POINTS NEGATIFS AMBIANCE Impression d tre part d tre noy dans la masse LES PERSONNELS Discours du proviseur tr s marqu par des chiffres peu humain Avalanche d informations le jour de la pr rentr e Pas d accueil sp cifique des stagiaires Peu de contact avec le ma tre de stage Un prof principal un peu bourru aucune prise en consid ration par les profs exp riment s Une possibilit de logement sur place mais rendue impossible car non pr par e probl me administratif Intendance scl ros e LA VIE PROFESSIONNELLE Inqui tude pour les emplois du t mps Pr sentation et m me nomination tardive du ma tre de stage TRAVAIL COMMUN Pas de rencontre de tous les profs d une m me clas se Pas de rencontre avec les professeurs principaux des classes en charge Pas de progression commune des enseignants de la m me discipline Une certaine indiff rence p dagogique des profs de la m me discipline La salle des profs ne dispose pas de toutes les infor mations concernant les classes listes des l ves emplois du temps des classes et des profs Les profs de maths ne vont pas au CDI Sentiment de solitude face aux pr parations de classe qui prennent beau coup de temps Besoin d tre rassur par rapport au contenu des cours
64. estent bien entendu d actualit Il reste galement clair que dans le second degr les recteurs veilleront d l guer les moyens n cessaires la mise en oeuvre des r formes suivant les diff rents ordres d enseignement Par ailleurs et dans le cadre de la r glementation les r gissant les tablissements d enseignement priv s sous contrat se conformeront aux instructions de la pr sente circulaire Comme le pr voit le calendrier scolaire 200 2001 Pann e scolaire d butera par une pr rentr e de deux jours et demi qui constituera pour la commu naut ducative une p riode de concertation L importance et le nombre des th mes de concertation dans tous les ordres d enseignement l ensemble des mesures nouvelles mettre en oeuvre en particulier en coll ge et en lyc e justifient la dur e de cette pr rentr e Elle sera l occasion de favoriser la communi cation entre les enseignants au sein de l tablissement de d velopper des changes sur les difficult s rencon tr es par les l ves de rep rer les insuffisances dans les r sultats scolaires d analyser les cas des l ves en difficult de proposer des solutions et d laborer le pro gramme p dagogique de l ann e La pr rentr e pour mettre en oeuvre l ensemble des dispositifs d individualisation des parcours _ E amp D 61 Organisation de la pr rentr e 2000 dans les coles coll ges lyc es d enseignement g n ral et technologi
65. eux apr s la rentr e n est elle pas susceptible d encourager les quipes tirer les le ons de la rentr e apr s quelques semaines de classes Comment la 1 re dition de cette nouvelle pr rentr e s est elle d roul e Notons d abord que les enseignants n ont pas d sert les coll ges et les lyc es en d pit du mot d ordre de boycottage lanc par une organisation syndicale qui n a rencontr quasiment aucun cho ou d appr ciations peu am nes une marque de m pris aux dires d une autre organisation syn dicale Mais au del de ce constat la pr rentr e a eu lieu le Minist re ne sait quasiment rien du d roule ment p dagogique de cette nouvel le pr rentr e en d pit d une demande expresse figurant dans le dernier paragraphe de la circulaire de pr rentr e 1 seuls quatre rec teurs ont adress un bilan Ce que l on sait tout de m me c est que les corps d inspection se sont massive ment mobilis s pour pauler les chefs d tablissement ce dont on peut se f liciter Un bilan sera dress de fa on ce que les le ons de cette pr rentr e puissent tre tir es et les am liorations ventuelles appor t es pour les ann es suivantes La 2 me dition rentr e 2000 a rencontr plus de difficult s un changement de Ministre un calen drier civil peu favorable pr rentr e fix e un vendredi de surcro t le 1er septembre ont conduit le m
66. ez la liste des num ros parus en t te des CAHIERS Pour acheter un CAHIER l unit prix 80 F adresser la commande au secr tariat g n ral accompagn e du ch que correspondant DUCATION ET DEVENIR N SIRET 38010107100047 CODE APE NAF 913E Secr tariat g n ral Lyc e Marie Curie Bd Pierre de Coubertin 60180 NOGENT SUR OISE T l 03 44 74 34 69 Fax 03 44 74 31 01 Tr sorerie Coll ge E NOEL Place K r bel 76710 MONTVILLE T l 02 35 33 72 90
67. fi s Nous avons pens qu un cahier sur la pr rentr e illustrerait par le choix d une entr e significative le mode de pilotage des tablisse ments que nous appelons de nos v ux S il peut nous convaincre qu il y a bien des raisons d esp rer ce ne sera pas le moindre de ses m rites Jean Yves LANGANAY Pr sident d Education amp Devenir Rentr e des personnels enseignants ann e 1999 20000 Texte adress aux recteurs aux inspecteurs d acad mie directeurs des services d partementaux de l du cation nationale aux corps d inspection territoriaux aux chefs d tablissement et aux directeurs d cole La rentr e des personnels enseignants se tiendra cette ann e la m me date pour les coles les coll ges et les lyc es le jeudi 2 septembre 1999 Cette rentr e doit tre l occasion pour tous les per sonnels enseignants personnels d ducation et d o rientation personnels administratifs techniques ouvriers sociaux et de sant de se rencontrer de s in former de se concerter de se conna tre C est un moment privil gi pour d finir des modes d organisa tion du travail favorisant une v ritable participation de tous les acteurs de l quipe ducative pour faire le point sur les ressources internes de l cole ou de l ta blissement et les partenariats ext rieurs Elle doit aussi tre l occasion d associer la vie de l tablissement les personnels ATOSS partie i
68. gnement ont eu lieu comme par le pass mais avec des objectifs plus pr cis car les enseignants avaient du temps pour donner le canevas de leurs projets Les quipes p da gogiques ont proc d de la m me fa on ce qui a permis d laborer quelques projets de classe en liai son avec le projet d tablissement corrig en juin Les professeurs principaux ont eu leur temps de r flexion compl t le lundi suivant apr s la rentr e des 3 4 des l ves Mais surtout il a t possible de faire travailler de petits ateliers sur un th me la sanction et tout ce que cela implique comme modification du comportement au quotidien de chacun C est un probl me difficile dans un REP mais essentiel car il faut adapter la r ponse la faute et tre tr s clair et coh rent dans le Bernard PEYRE Principal Coll ge Vercors de Grenoble syst me de r ponse et entre nous En fin de chaque demi journ e un retour rapide au grand groupe tait fait 2 heure Ces aller retours ont t tr s appr ci s Chacun a pu ainsi s exprimer et se sentir impli qu Le vendredi soir chacun est reparti vers 17h d j un peu fatigu mais avec la sensation d tre mieux arm pour la rentr e des l ves Les nouveaux professeurs l taient beaucoup moins et se sentaient int gr s dans des quipes De ce fait j ai la sensation que le d but de l ann e a t plus d tendu que la coh rence des comportements s en est trouv am l
69. idu Mais on en reste un sens partiel du mot individu derri re lequel on voit la personne l l ve X ou l l ve Y Individualiser devient alors s oc cuper de la personne individuelle ment comme si on pouvait totale ment Pisoler des autres avec ses seuls besoins Souci louable mais dont l impossibilit mat rielle s im pose rapidement Alors on cherche une strat gie de repli si on ne peut prendre chaque l ve un un on essaie d en limiter le nombre au maximum comme si entre un et tous un compromis possible r sidait dans quelques uns Et voil le d bat sur la p dagogie diff renci e et l accompagnement de l autonomie r duit un comp tage d effectifs d bat sans fin car dans ce domaine chacun peut se choisir son nombre d or d l ves ne pas d passer A toutes les r flexions collectives on pr f re la fixation de barres arithm tiques fon d es sur l illusion d un consensus entre professionnels ou une bonne empoignade en conseil d ad ministration l issue de laquelle on constatera qu on n a pas les moyens Mais on a tout simplement oubli qu individu veut d abord dire qui n est pas divis Individualiser la p dagogie ce n est pas obligatoi rement prendre les l ves un par un c est surtout les accepter dans leur globalit d individu La n ces saire sp cialisation disciplinaire de plus en plus preignante a
70. inist re reporter la pr rentr e r duite un jour et taler la journ e et demi restante sur les mois suivants circ du 29 JUIN 2000 Pas tr s glorieux Le principe reste sauf et l annexe la circulaire de pr ren tr e sugg re de nombreux th mes de travail Comment les choses se sont elles d roul es II serait int ressant de collecter les informations aupr s des tablissements Notons que dans le 1er degr des institu teurs ont protest contre le raccour cissement de la pr rentr e et obte nu de leurs inspecteurs d Acad mie le maintien du dispositif initial Les prochaines ditions sont pr vues 2j ou 2j1 2 chaque ann e d ici 2004 et ont t discut es au sein du Conseil Sup rieur de l Education Les syndicats d ensei gnants du 1er degr tr s favorable une pr rentr e de longue dur e se sont oppos s ceux du second degr hostiles son allongement Il est donc essentiel de d montrer mm Esp S 3 f i l int r t d une concertation approfondie avant m me la rentr e des l ves tous C est pourquoi il est si heureux qu Education et Devenir ait pris l ini tiative de rassembler les r flexions et les actions men es par les ta blissements scolaires les types 6 E amp D RE d organisation adapt s la nature des concours sollicit s etc Chacun pourra y puiser une nouvelle nergie et de nouvelles id es pour organiser au mieux le
71. ior e Ce temps pass ensemble avant la dure vie quotidienne en pr sence des l ves est un moment fort de coh sion de recul Bemard PEYRE Principal Grenoble A VU 21 Martine TAUSZIG Proviseur de L P Lyon Chacun s accordera pour dire que m me si le personnel de service fait partie int grante de la communaut ducative d un tablissement sco laire m me s il est question dans les textes de l inclure comme un personnel part enti re dans tous les actes de la vie ducative il n en demeure pas moins vrai que dans les faits ce personnel reste un per sonnel laiss pour compte la gente p dagogique prend largement le pas sur la gente m nag re On associe rarement les agents on est au mieux poli avec eux Ce personnel vit les premi res assembl es g n rales de la ren tr e au c t des enseignants dans un rapport de communication tr s artificiel et le plus souvent comme une vaste mascarade qui lui a fait perdre un temps pr cieux sur ce pour quoi il est pay savoir livrer un tablissement propre Deux tentatives ont t lanc es dans un tablissement dont je tairai le nom 1 Des petits groupes de travail intercat goriels ont travaill ensem ble sur deux questions propos es Qu est ce qui me motive pour 1 venir travailler chaque matin et Qu est ce que j attends dans mon travail de cette nouvelle ann e sco laire Le r le
72. ique n tait pas tr s glorieux Une fois de plus cet pisode nous pousse plaider pour d autres modes de pilotage et d ac compagnement des r formes au minist re de fixer les grands objec tifs qu il assigne l Ecole c est sa mission politique aux hi rarchies interm diaires d accompagner avec d termination les r formes voulues par le Ministre et de l informer sur les conditions r elles de mise en oeuvre de ses instructions aux ta blissements de les appliquer en tenant compte des sp cificit s et n cessaires adaptations locales La pr rentr e pouvait s inspirer de ce mod le Le ministre d cide d un calen drier et des objectifs g n raux assign s la pr rentr e Les recteurs et inspecteurs d a cad mie mobilisent les chefs d tablissement et s assurent de l effectivit de la mesure Les tablissements d finissent le cadre local et l organisation des rencontres et concertations souhait es Bernard TOULEMONDE indique bien que la pr rentr e existe main tenant depuis pr s de trente ans et qu elle r pond un vident besoin de concertation Concertation cependant insuffisante et qui ne trouvera de solution satisfaisante tant que le chantier sur le service des enseignants restera en friche Il nous rappelle en m me temps que des mesures non valu es ou non contr l es la 27 me heure des instituteurs ou la r duction du servi ce des PEGC n atteignent pas les r
73. isse tre remise en question 2 Le comportement des l ves sera d autant plus port tre positif et constructif que les diff rents modes de participation joueront pleinement leur r le Deux points pr cis ont t voqu s une d rive constat non unanime le profil de bien des l ves lus devient atypique au point que l activit de repr sentation pourrait devenir une sim ple alternative une chappatoire au travail scolaire plus traditionnel des frustrations touchant au fonctionnement du conseil de la vie lyc enne la suite d ordres du jour ressentis comme impos s et du peu de r ceptivit du Conseil d administration l gard des proposi tions du conseil Enfin les membres du groupe ont conscience du caract re relatif des difficult s propres au Lyc e Jean Moulin certains ont cependant tenu manifester leur inqui tude sur l volution de l image de l tablissement malheureusement confront une concurrence plus intense au point qu il serait peut tre judicieux de com pl ter le savoir faire par le faire savoir E amp D 47 Il PROJETS PEDAGOGIQUES 1 Projets COMENIUS ART et ARCHITECTURE Projet men pour la 3 me et derni re ann e avec les P B et l Espagne Th me choisi pour cette ann e l INDUSTRIE Classe concern e re ES 1 la repr sentation de l AUTRE dans le CINEMA le Professeur qui a t l initiative de ce projet n a pas t no
74. l tablissement ne pouvait en accueillir que deux Un probl me se posait donc pour la direction du lyc e qui a tout tent pour essayer de trouver des heures d en seignement aux trois stagiaires 28 E amp D Le lundi 04 septembre 2000 lors de la r union du matin consacr e la pr sentation des objectifs de forma tion et de l quipe p dagogique j ai ressenti une impression de malaise Je ne me sentais pas ma place car j tais toujours dans l attente de la r solution de notre probl me Allais je devoir rester ou quitter ce lyc e pour un autre Au moment de la remise des emplois du temps aux professeurs cette impression a redoubl du fait que nous n avions rien re u et que nous tions l attendre faisant mine d tre satis faits De plus nous n avons pas pu pren dre contact avec les tuteurs car nous ne connaissions pas encore les classes qui allaient tre mises sous notre responsabilit L apr s midi fut un peu plus d ten due avec une visite de l tablisse ment orchestr e par le proviseur adjoint Notre probl me ne fut r solu que le lendemain le mardi 05 septembre avec des cons quences lourdes pour l un des stagiaires qui dut quit ter dans la pr cipitation le lyc e pour un autre tablissement L autre stagiaire et moi n eurent notre emploi du temps que dans la soir e Je n ai pas pu rencontrer mon tuteur avant le jour de la rentr e Cette erreur de la part
75. l y a tant et tant de sujets aborder qu une journ e ne suffit pas mais ce serait un bon d but un ap ritif pris en commun avant de savourer l ann e Ce serait galement une bonne entr e en mati re pour envi sager la suite sous forme de 1 2 journ es de concertation mes yeux il semble important de passer au moins une journ e hors les murs la journ e de formation bien s r R CARAGUEL Principal adjoint Claix Septembre 1999 JEUDI 2 SEPTEMBRE M C LUST Proviseur Lyc e Coll ge J Moulin Lyon 9H00 Accueil des nouveaux coll gues au CDI 10H00 R union g n rale en salle polyvalente 12H00 Ap ritif au self 14H00 R union des professeurs principaux R le du professeur principal d l gu s l ves Relations avec les parents orientation 15H30 Conseils d enseignement contraintes disciplinaires nouveaux programmes actions sp ci fiques VENDREDI 3 SEPTEMBRE COLLEGE 9H00 Rappel des mesures nouvelles pour le COLLEGE de l an 2000 9 H 30 TRAVAUX DE GROUPES GROUPE 1 Prendre en consid ration des l ves diff rents dans le coll ge pour tous GROUPE 2 Diversifier les m thodes d ensei gnement pour aiguiser l app tit d apprendre et accompagner la conqu te de l autonomie GROUPE 3 Mieux vivre dans la Maison Coll ge 11 H 00 Mise en commun 14 H 00 Expos de M LEPAGE du Centre Michel DELAY sur le th me LA PRE VENTION des CONDUITES RISQUES
76. la banlieue On y rencontre aussi des lus attach s leur cit des responsables conomiques sociaux qui partagent souvent avec les enseignants le m me souci du service public Les nouveaux coll gues sont re us en mairie accueillis dans une ville qui souhaite que ces coles continuent d tre des lieux de paix de s curit de travail On peut y conjurer quelques peurs et s y d couvrir quelques solidarit s Les anciens coll gues enfin acceptent d tre des compagnons de travail pour les nouveaux Et les accueillant dans leurs classes vont dans celles de leurs coll gues pour des changes de pratiques p dago giques Le souci didactique est tou jours pr sent A travers les probl mes rencontr s la question du rap port au savoir des l ves devient une question centrale Les m tho des pour les faire progresser se posent dans des cas concrets o chacun propose l autre de parta ger des savoirs professionnels Cette entraide mutuelle soude des quipes d enseignants qui mettent en place des dispositifs p dago giques innovants et b n fiques aux l ves Ainsi l accueil de nouveaux coll gues peut il se transformer en rela tion professionnelle plus forte et plus organis e Les enseignants qui veulent bien alors se mettre au ser vice de nouveaux qui acceptent de s int grer dans l histoire p dago gique et dans les actions valid es du projet d un tablissement peu ventils ainsi s
77. le jour de la rentr e est un des bons moments de l ann e les premi res heures de la pr rentr e surtout ont une saveur particuli re cause des motions qui sy emm lent une part d in qui tude ou de trac m me pour les plus anciens quels l ves quels coll gues Serai je la hauteur mais aussi sauf pour quelques grin cheux qui rentrent reculons une bonne part de plaisir souvent inavou reprendre et se retrou ver Le petit d jeuner offert par l tablis sement est bienvenu les bavarda ges vont bon train il y est surtout question des vacances et des v nements de l t motion aussi des nouveaux encore sur la touche et dans leurs petits souliers qui observent a loisir les mouvements des habitu s On se fait beau pour la pr rentr e chemises claires tailleurs l gers on revient bronz repos et on savoure ces moments l parce qu ils ne dureront pas on sait que dans quelques instants on sera submerg par la multiplicit des t ches pr vues et impr vues Jusqu au discours du chef d tablis 36 E amp D sement on est en suspens on n est plus en vacances et pas encore au travail la fin de son intervention on aura bascul Le discours inaugural est donc un moment cl pour rompre ou prolon ger le charme Le chef d tablisse ment a un r le d licat jouer et peut saisir l occasion qui lui est offerte traditionnellement pour que le souffl ne
78. ment appara t de plus en plus comme l une des conditions majeures d un climat relationnel positif avec les l ves l impulsion donn e tourne court le plus sou vent quelles suites donner dans quels cr neaux horaires avec quelles configurations d quipes pour quelles fonctions L autre question pos e avec insis tance concerne la rupture marqu e par les examens et les cong s d t Cette rupture n est d ailleurs pas le seul fait de l cole Elle se trouve relay e par l conomie et les attentes d une majorit de la popu lation active Tous les arguments contre la grande migration estivale sont connus mais les vacances d t font partie du folklore Elles ont inspir la litt rature la chanson le cin ma La rentr e s inscrit en contrepoint et focalise de nombreu ses appr hensions chez les enfants et chez adultes La pr rentr e lisse les asp rit s d un retour redout et d sir la fois Qu adviendrait il si rE amp D 7 l ann e scolaire ne connaissait pas cette grande rupture dont le sens originel s est perdu La pr rentr e garderait elle son sens d v ne ment inaugural de l ann e scolaire ou deviendrait elle simplement le premier moment d une succession planifi e de rencontres l chelle de l cole ou de l tablissement Plus iconoclaste encore une troi si me question se profile la pr rentr e des personnels est elle le signal de l ouverture de l ta
79. mm au lyc e la rentr e On recherche une quipe int ress e pour une classe de 2nde ou de re 2 Atelier d expression artistique MUSIOUE Une information sera donn e aux l ves int ress s le mercredi 15 septembre voir Info Rapide qui va para t re 3 Lyc ens a OPERA La candidature au lyc e a t retenue JANACEK sera au programme le 10 Avril 4 Classes INTERNET Une initiation est propos e pour une classe dont l qui pe p dagogique s engage ensuite utiliser Internet Classe retenue re Ll I re L 2 et 1 ES2 aux qui pes p dagogiques de se d terminer 5 Formation INTERNET Une formation de 2 H par niveau sera propos e des l ves volontaires L objectif est de v rifier si les l ves form s utilisent plus INTERNET que les autres l ves 6 Exp rimentation T P E Un th me portant sur deux disciplines anglais et math matiques est propos 7 Echanges linguistiques voyages Canada et Gr ce Il DECISIONS PRISES INFORMATIONS ECHANGES 1 Absence d l ves aux contr les Les l ves dont l absence aux contr les para t relever d une strat gie contestable seront invit s faire un 4 8 E amp D ania contr le de remplacement un mercredi apr s midi ou un samedi matin autre sujet De pr f rence plus dif ficile En cas d absence au contr le de remplacement l l ve sera not 0 2 Aide individualis e en 2ndes Elle c
80. n Peut on dire que cette mobilisation fut exceptionnelle uniquement motiv e par les probl mes rencon tr s en mars avril 2000 Fort heureusement le souci de tra vailler ensemble existait d j ne s est pas tiol avec ces mouve ments Il ne demande qu une chose l implication totale honn te et volontaire des chefs Que souhaitent les chefs Des temps de r flexion avec l ensemble des personnels qui soient cibl s et non contest s 2 jours fi cons cutifs ou non Un appui voire m me une complicit du corps d inspection condition imp rative de cr dibilit des r formes p dagogiques Agn s PAON C est bien long Finalement c est plut t sympa de pouvoir se retrouver entre coll gues parler des vacances et boire un coup C est sympa condition que ne dure pas trop longtemps et que surtout les emplois du temps ne soient pas trop mauvais parce qu en gros c est quand m me a le plus important De toutes fa ons on ne va perdre que du temps enten dre des choses qu on sait d j d accord il y a les r sultats des exa mens mais bon a ne tient pas une demi journ e et puis ce qui compte c est ce qui se passe demain quand les l ves qu on a peine eu le temps d oublier seront l 35 par classe Caricature pas s r A tous ceux qui ont dit ou penser ces phrases je ne jette pas la pier re et loin s en faut tant il y a un d fi cit d explica
81. n particuli re La journ e de pr rentr e sera suivie de s an ces de travaux dans les semaines qui suivent la rentr e selon les modalit s d finir dans chaque tablissement La pr rentr e doit r pondre des objectifs de triple nature a sur le plan politique il s agit de poursuivre la mise en oeuvre des diff rentes r formes ou pr conisa tions minist rielles en vue en par ticulier d organiser la diversifica tion des parcours et des d marches p dagogiques b sur le plan organisationnel dans le domaine de la p dagogie il faut avant tout se soucier de la mise en oeuvre pour que les quipes soient op rationnelles le plus vite possible II faut aussi monter des sch mas de travail poursuivre par exemple la mise en place du plan de formation des personnels ou organiser de fa on pr cise les pro c dures de rem diation c sur le plan de l information il faut avoir le souci de la communica tion entre anciens et nouveaux pour rapidement int grer ces derniers et viter la d perdition d informations pour permettre la connaissance des membres des diverses quipes p dagogiques c est l occasion aussi de pr senter les projets inscrits au plan annuel d actions du projet d tablissement Cette journ e dont les travaux sont souvent la suite des journ es de pr paration de rentr e qui se sont d roul es en juin ou juillet peut tre aussi l occasion de r flexions sur la
82. ns le succ s des journ es de pr rentr e Et si elles sont r ussies c est aussi un des gages de succ s pour l ann e scolaire qui commen ce II met en vidence des cons tantes l accueil des nouveaux l motion li e un nouveau d part la prise de pouvoir symbolique du chef d tablissement travers son dis cours plus ou moins bien con u les suggestions de Marie Claude GRANDGUILLOT m ritent l atten tion des orateurs la constitution d quipes les moments de convi 56 E amp D vialit etc ll montre qu au del de ces constantes le soin et l int r t apport s par le chef d tablisse ment l organisation de ces jour n es est d terminant place accor d e aux personnels ATOSS accueil des nouveaux personnels organi sation des temps de convivialit propositions de contenu pour les r unions d quipe restitution des travaux la communaut scolaire etc Les t moignages que nous pr sen tons ne se veulent pas des mod les reproduire servilement Ils mont rent que dans les tablissements o le chef et son quipe d encadre ment donne un contenu autre qu exclusivement rituel ces jour n es il joue une bonne part de sa l gitimit p dagogique et ducative On trouve l une autre ligne de par tage entre application m caniste puis routini re de textes dont on ne s interroge pas suffisamment sur le sens et appropriation en vue d ob jectifs clairement identi
83. nsit de ce trait d union d pend beaucoup du d sir de chacun de travailler ensemble Cette ou ces journ e peut gagner en efficacit quand a nimation p dagogique repose sur des outils qui aident le travail des quipes et assurent la continuit entre la r flexion pass e et les actions venir La pr rentr e doit r pondre des objectifs incontournables Assurer l accueil retrouvail les des anciens int gration des nouveaux organisation de la prise en charge des l ves pr paration de la rencontre de rentr e avec les familles Informer sur les r sultats les ajustements ou les nouveaut s Petit Journal de rentr e Remobiliser Pensemble du personnel sur les grands axes du Projet d Etablissement et les volu tions attendues lors de ce qu il est convenu d appeler la Grand messe discours bref et si possible tonique R investir de mani re op ra tionnelle et avec les adaptations n cessaires les orientations arr t es en juin Ma contribution portera essentielle ment sur ce dernier objectif en pr sentant quelques outils qui utilis s par les professeurs coordonnateurs ou professeurs principaux facilitent le travail des quipes LE PROJET D ETABLISSEMENT Le document de r f rence demeure la fiche synth tique du Projet d Etablissement distribu e tous les personnels et qui d cline pour chaque grand objectif les orienta tions retenues et pr sen
84. nt grante de la communau t ducative tous les th mes qui les concernent La dur e de la pr rentr e doit permettre d aborder tous les sujets d int r t commun projet d tablissement ou d cole questions d ordre p dagogique principes d or ganisation et de r partition du travail questions d ordre administratif emploi du temps par exemple et mat riel commandes dotations aux disciplines On apportera une attention particuli re l accueil des nou veaux personnels plus encore si ce sont des d butants ou s ils exercent dans des tablissements difficiles en ZEP par exemple Par ailleurs il convient que cette p riode de pr rentr e soit mise profit pour organiser des liaisons entre cole maternelle et cole l mentaire entre cole et coll ge entre coll ge et lyc e lyc e g n ral et tech nologique lyc e professionnel Les corps d inspection IA IPR IEN ET EN 1er degr doivent prendre une pan tr s active la pr paration de ces journ es ils seront associ s a leur animation au sein m me des tablissements scolaires Les inspecteurs de l ducation nationale charg s des circonscriptions du premier degr informeront avant la fin de la pr sente ann e scolaire les directeurs d cole des r unions qu ils tiendront leur intention ainsi que cela se pratique souvent Ainsi les directeurs pourront d finir les modalit s du travail de l quipe p dagogique en connaiss
85. oncernera jusqu aux r sultats des valuations les l ves volontaires d octobre fin janvier les l ves en difficult Les regroupements seront souples et se feront en fonc tion des besoins A partir de fin f vrier l objectif pourrait tre d aider les l ves adapter leur intention d orientation 3 ECJS Selon les instructions donn es par les IPR ECJS ne commencera qu apr s la Toussaint afin de permettre aux professeurs de mieux conna tre le programme et ventuellement se former 4 Organisation des voyages et changes Les professeurs qui envisagent un voyage doivent com muniquer pour le 20 septembre les objectifs p dagogiques les modalit s la date le budget Le programme de voyage devra tre soumis au Conseil d Administration qui se r unira fin septembre Un appariement avec un tablissement n erlandais sera demand 5 Formation Internet pour les enseignants Initiation de base 22 professeurs sont inscrits une formation propos e par 2 coll gues une journ e Initiation la recherche sur Internet 23 inscrits une journ e Initiation aux outils de communication 10 inscrits fi journ e COLLEGE JEAN MOULIN LE COLLEGE DES ANN ES 2000 Un coll ge pour tous et pour chacun TRAVAUX de GROUPES GROUPE n 1 THEME PRENDRE EN CONSIDERATION DES ELE VES DIFFERENTS DANS UN COLLEGE POUR TOUS 1 LIAISON CM2 6 me Renf
86. ons de travail de la pr rentr e 2 jours fi un luxe ras surant llen a t d cid autrement Adaptation fut le ma tre mot on allait reporter ces s ances de r flexion un peu plus tard on allait continuer faire preuve d imagina tion on allait profiter de l aide cons tructive des IEN ET ils taient annonc s Le 4 septembre les stagiaires IUFM sont l les autres nouveaux coll gues ont eu la chance de d couvrir l tablissement et son mode de fonctionnement d s le mois de juin lls sont absorb s par les quipes constitu es La vis sans fin continue son mouve ment On croyait avoir bouscul beaucoup d habitudes Les PPCP les PFE PAI devenaient des mots familiers d faut d tre des activit s compl te ment domin es Et arrivent le nou veau r glement int rieur le CVL Un d sagr ment aucunement Une chance de mobilisation suppl mentaire Des r unions sont annonc es d s ce jour de rentr e des professeurs L une consacr e une r flexion approfondie sur l lu le d l gu accessoirement sur son mode d lection plus profond ment sur son r le sa formation ses droits Une autre ayant pour objet exploitation des valuations la mise en place des modules l appr hension de l aide individualis e la pr sentation des PPCP retenus par les quipes La troisi me est destin e une r flexion sur l orientation et l in sertio
87. orcer la continuit p dagogique et ducative sem ble n cessaire Il faudrait rencontrer les coll gues ma tres de CM2 d s octobre L id e du professeur coor donnateur par niveau est s duisante mais demanderait une d charge de service 2 REMISE A NIVEAU 6 me Il faudrait mettre des classes en barrettes surtout en fran ais Les coll gues pensent que cette heure de remise niveau devrait tre comprise dans l emploi du temps des l ves et non en plus des heures normales 3 TUTORAT DE L L VE L heure de Vie Scolaire est importante En revanche le tutorat scolaire soul ve des r actions tr s diverses et plut t n gatives 4 NOUVELLES TECHNOLOGIES APPLIQUEES Aucun commentaire 5 SCOLARISATION DES L VES HANDICAP S Un ascenseur est indispensable 6 LIVRET DE COMPETENCES Pas d accord pour sa mise en place D accord pour revoir le bulletin trimestriel RE GROUPE n 2 THEME DIVERSIFIER LES M THODES D ENSEI GNEMENT COMMENTAIRES du GROUPE INTRODUCTION Commentaire du titre La mission propos e diversifier la m thode et accompagner est une obligation pour les enseignants depuis toujours vu la nature humaine Mais la n ces sit de diversifier impose encore plus dans le monde de l image du tag des jeux vid o Capter l int r t motiver encore plus et diff remment est cependant difficile g rer car l enseignant doit respecter les programmes doit rester
88. phores un peu de th tre sans oublier quelques poin tes d humour tre s rieux sans se prendre au s rieux En un mot l o rateur ne doit pas avoir peur des mots mais sans se laisser embar quer par eux au risque d en faire trop les enseignants sont de redoutables critiques Exercice difficile mais combien important pour donner le ton de la rentr e placer le la et brosser les couleurs pour l accueil des l ves Marie Claude Grandguillot formatrice Rouen E amp D 37 Claude REBAUD Provieur Andrieux Boutheon Phase 1 une journ e en juin Horaire Nature de la r union Ordre du jour Public concern apartirde9h L aide individualis e en 2nde Bilan 99 2000 Professeurs de fran ais en maths et en fran ais Organisation 2000 2001 et de maths partir de 10h Les TPE Organisation 200 2001 Equipes volontaires Constitution des quipes organisation calendrier Concertation Analyse des probl mes mat riels Organisation 2000 2001 Professeurs volontaires Les emplois du temps histoite g ographie Analyse des projets de premi re S E S lettres La codisciplinarit philosophie concertation Conseils d enseignement actions du projet li es la discipline Tous les enseignants nomination du coordonnateur besoins en formation questions financi res questions diverses 38 E amp D A A Phase 2 la journ e de pr rentr e Public concern Coordinateurs de discipline
89. pplication a t soulev le jeu en vaut il la chandelle Cependant l exp rience pourrait s av rer int res sante Un groupe de r flexion pourrait tre mis en place pour envisager diverses pistes possibles 46 E amp D Puma call DR GROUPE 2 Nouveaux programmes Nouvelles pratiques Les TPE cf exp rimentation en 1 re S2 On note les avantages interdisciplinarit d cloison nement des disciplines mais ils ne pourront tre mis en place dans de bonnes conditions que s ils sont pris en compte lors de l laboration de l emploi du temps banaliser 2h semaine Si la formation des enseignants est possible si l quipement du lyc e est satisfaisant acc s a Internet aux ressources documentaires L ECJS Faire une coordination entre les professeurs qui assu rent cette ann e et ceux qui le feront l an prochain La prise en compte de l ECJS doit tre pluridisciplinai re y compris EPS Modules de pr paration l enseignement sup rieur A poursuivre et introduire peut tre l initiation aux tra vaux personnels en classe pr paratoire Nouveau programme de SES en seconde ll s inscrit bien dans le cadre de la r forme pour le Lyc e du XXI me si cle car il fait du lyc e et des enseignants comme des ressources pour l l ve L objectif est travers ce nouveau programme de gui der l l ve pour qu il se rep re par rapport aux infor mations apport
90. que et lyc es professionnels Texte adress aux rectrices et recteurs d acad mie aux inspectrices et inspecteurs d acad mie directrices et directeurs des services D partementaux de l duca tion nationale aux inspectrices et inspecteurs d acad mie inspectrices et inspecteurs p dagogiques r gio naux aux inspectrices et inspecteurs de l ducation nationale aux chefs d tablissement La rentr e pour les personnels enseignants des coles des coll ges et des lyc es initialement pr vue le ven dredi ler septembre est fix e au lundi 4 septembre 2000pour tenir compte des sp cificit s de la rentr e 2000 La date du mardi 5 septembre est maintenue pour la rentr e des l ves L int r t de la p riode de pr rentr e pour la pr paration de L ann e scolaire rend toutefois n cessaire que la dur e pr vue deux jours et demi soit maintenue En cons quence les r flexions engag es au cours de la journ e de pr rentr e du 4 septembre se prolon geront durant trois demi journ es laiss es l ap pr ciation des tablissements avant les vacances de la Toussaint Ces demi journ es seront organis es sans qu il y ait lieu de lib rer les l ves par exemple le mercredi et le samedi matin Le programme de ces journ es est d fini par le chef 62 rent d tablissement dans le second degr par le directeur d cole en liaison avec l inspecteur de l ducation nationale de circonscription dans le premier
91. r sentation de l tablisse 1 0 ES a ea i ment de sa politique la pr para tion de l accueil des l ves l infor mation et la formation des person nels nouveaux et de ceux qui vont participer l animation de la vie de l tablissement professeurs princi paux coordonnateurs personnels de vie scolaire Le troisi me temps se d roule en soir e dans les deux semaines qui suivent la rentr e ll est consacr aux derniers r glages qui permet tent aux quipes de d marrer le mieux possible les actions particu li res de l tablissement ou les chantiers li s aux commandes minist rielles Cette organisation est relativement simple Elle est adapt e l tablis sement qui l a mise en place Elle suscite l adh sion des acteurs Elle est en conformit avec les directi ves minist rielles Elle permet l tablissement d user pleinement des marges de man uvre que lui conf rent les lois de d centralisa tion Elle donne consistance son autonomie Claude REBAUD Proviseur Andrieux Boutheon Alain BOULINEAU DEFPAR Rouen Que n a t on entendu sur l inutilit des pr rentr es et a fortiori des pr rentr es tal es sur plusieurs jours certains y ont m me vu un acte provocateur par sa gratuit tel point que lorsqu un ministre nou veau veut r tablir une relation de confiance avec les enseignants il peut d cider entre autres de rac courcir l
92. re Les spectateurs dont le nombre est limit une tren taine sont interpell s par les com diens et par le meneur de jeu qui disciple d Augusto BOAL les invitent participer et s impliquer dans l a venture pr sent e La sc ne per met alors la distanciation n cessai re pour qu ils abordent leur propre v cu leurs propres valeurs pour qu ils puissent en parler L interaction permet de construire une r f rence commune m me de donner une consistance aux r gles de vie commune de l tablis sement Cette animation peut tre pr sent e dans un premier temps aux person nels de l tablissement Ils peuvent ainsi s approprier l outil propos Ils ont leur mot a dire dans la vie col lective le r glement int rieur n est qu un vestige fossile des ann es et des g n rations pass es La n cessit que la loi soit commune tous appara t de fa on plus pr cise et pertinente Les personnels peu vent ainsi renforcer voire donner une coh rence leur travail duca tif L action ducative n est l exclusi ve de personne Tous ont une place prendre aux c t s des l ves De fa on tr s pratique d avoir vu le spectacle avant leurs classes permet aux adultes d tre plus disponibles et attentifs aux r ac tions des l ves et d en faire une m moire collective accessible lorsque la rigueur de la vie quoti dienne confrontera chacun ses responsabilit s et sa place dans le groupe
93. s On peut consid rer la pr rentr e sous l angle strictement organisa tionnel Mais y regarder de pr s elle est l indice d un branlement dans la culture scolaire c est toute la politique ducative qui est inter pell e depuis l organisation du tra vail enseignant jusqu la politique culturelle des collectivit s locales dans le cadre des lois de d centra lisation Fran oise CLERC Ma tre de Conf rence 1 Les vacances d t doivent beaucoup aux travaux des champs aux d buts de l cole obligatoire les enfants taient lib r s pour pr ter main forte leurs familles au moment ou les activit s agricoles connaissent un fort accroissement saisonnier La culture urbaine a pris le relais avec les cong s pay s et l imposition par l industrie de p riodes de cong s coordonn es 8 ER Sse Une circulaire qui la conforte La pr rentr e 2000 a fait de la part du Minist re l objet d une valse h sitation qui requiert notre atten tion A la fin du mois de juin Jack LANG annonce que la rentr e pr vue initialement le premier septem bre est report e au lundi quatre septembre pour tenir compte dit il des sp cificit s de la rentr e 2000 En r alit il r pond des pressions diverses syndicales probablement pour la plupart d entre elles Il retient cependant la dur e globale pr vue initialement trois demi jour n es de poursuite des travaux seront organis es dans les tablis
94. s prochaines pr rentr es Bernard TOULEMONDE Inspecteur G n ral La pr rentr e constitue avec quelques autres mesures une tape dans la d synchronisation du temps des enseignants et du temps des l ves Pour vident qu il soit en ce qui concerne d autres profes sions en particulier le personnel administratif ce principe a du mal progresser chez les professeurs d cole de coll ge et de lyc e Longtemps consid r e comme un avantage inh rent la fonction fac teur non n gligeable de f minisa tion de la profession la co ncidence entre le temps des enfants et celui des enseignants se retourne contre ses b n ficiaires l opinion admet de moins en moins la non disponibi lite des enseignants en dehors du temps normal des cours l volution des t ches p dagogiques entra ne un surcro t de temps de concerta tion peu compatible avec les servi ces statutaires La pr rentr e oscille entre plusieurs fonctions rituel d ouverture de l an n e avec son cort ge de symboles discours de bienvenue accueil des nouveaux repas pris en commun etc moment satur de t ches reprise de contact des quipes mise en route des projets valua tion des besoins temps fort pour les relations et la culture de l ta blissement mobilisation des res T DANS AL WETU F sources anticipation et projection dans l avenir r investissement des lieux Un trop plein qui dans cer tains ta
95. s contribueront gui der et enrichir les r flexions collectives sur les grands th mes sugg r s B amp D 65 2000 Groupes de liaison de r flexion et de propositionS ADH SION INDIVIDUELLE a mme y Melle Q M ONOM cnca Pr noms n e mt nr O tablissement Lis enr ETA iia A Code amp ville iii na Q Adresse personnelle oooo oocccccocconaconnanocononon ABONNEMENT COLLECTIVIT Q tablissement coordonn es compl tes Q Code Ville oconnnnnnnnnnnnnnononnoncnccncncnanos A Nom de l ordonnateur ossessione Renouvellement OUI O NON O El Academie de rn EM FONCTION laos ei mnt eus Q T l phone ere O Ligne directe Miissi tiinas Fa A amine Q T l phone ueeeenennesnssnnnneneneennnannannnnnnnnnn MEAR Renouvellement OUI U NON I Q Acad mie de O T l phone nun O EE E E sers Tarte siens HEMA Sucia Q du gestionnaire occccccnnnconcncncnccicnncninnnns Q Date amp Signature oessa Montant de l adh sion et ou de l abonnement collectivit s 300 F Envoyer la fiche d adh sion accompagn e du ch que correspondant 5 ch que bancaire I postal l ordre d DUCATION ET DEVENIR au tr sorier DUCATION et DEVENIR Coll ge E NOEL Place K r bel 76710 MONTVILLE N B Toute adh sion individuelle ou abonnement collectivit s entra ne le service de 4 CAHIERS trimestriels et du COURRIER mensuel Vous trouver
96. s prises de d ci sion pour l ann e venir et de per mettre une int gration rapide de ceux qui rejoignent l quipe Enfin il n y a pas que des objectifs fixer il y a des dispositions mettre en uvre pour les atteindre des moyens mobiliser Certes on ne passera pas sous silence les moyens que l tablissement doit recevoir de la hi rarchie et de la col lectivit territoriale mais sans tom ber dans la passivit et dans l atten te de ces cr dits et de ces postes qui n arrivent jamais en nombre suf fisant C est l tablissement qui a l initiative de certaines r ponses pour utiliser les moyens disponi bles et ce point est trop souvent oubli Prenons un exemple un seul mais significatif Faire face aux volu tions suppose un effort de formation continue Les ressources n cessai res sont en g n ral propos es par les plans acad miques de forma tion Mais c est chaque individu il vaudrait mieux dire chaque per sonne qu est souvent laiss e Pini tiative de la demande d une forma tion L ampleur des questions pos es l importance des enjeux justifient une v ritable politique locale d appel aux diff rentes res sources disponibles non pour contrecarrer les initiatives indivi duelles mais pour les rendre plus coh rentes et les renforcer ll est tout fait possible l exp rien ce existe que les tablissements coordonnent en une demande unique leurs besoins de
97. s tr s jeunes et sans grande exp rience p dagogique au sortir des IUFM dans des tablissements o les l ves sont pour certains d entre eux en grande difficult d apprentissage Ce sont justement ces l ves qui ont besoin d enseignants exp ri ment s form s attentifs la r us site scolaire d l ves fragilis s et soucieux de leur donner une chan ce d ascension sociale Pour certains nouveaux une nou velle pratique professionnelle se double d une mise l preuve per sonnelle teint e d inqui tude voire d angoisse au moment de leur prise de fonction dans un tablissement r put difficile Parfois certains coll gues en place les pr viennent de la duret de ce qui les attend en insistant d abord en n gatif sur les difficult s compor tementales des l ves en mod rant les propos positifs sur les com p tences intellectuelles bien r elles de ces enfants Ces derniers atten dent beaucoup d une cole qui repr sente souvent pour eux la seule possibilit d acc der d au tres cultures d autres milieux d au tres perspectives de vie que celles qu ils connaissent Les nouveaux coll gues se retrou vent aussi immerg s dans des quartiers d habitat social marqu s par un tissu urbain tr s dense o les barres d immeubles et les tours impersonnelles cr ent un environ nement physique peu rassurant Souvent le flot des images n gati ves li es des territoires bien id
98. scolaire car il est confront aux imp ratifs de r sultats De plus il doit veiller la s curit des l ves Par ailleurs le manque de citoyennet de certains l ves peut tre un gros obstacle Trois pistes apparaissent au premier examen pour d velopper les motivations 1 Les travaux de groupes groupes par affinit s ou groupes de niveau avec des comp tences iden tiques Le fonctionnement est difficile car il y a des conflits g rer Trop d l ves ont un comportement de consommateur et sont peu solidaires 2 Le travail sur fiches plus de cours th orique Le probl me est pour les l ves d interpr ter les consi gnes Il faut cr er des fiches adapt es chacun 3 Les sorties p dagogique Elles se heurtent aux exigences de s curit LE amp D 49 l PREMIER THEME PAGE 21 A La modification dues bulletins trimestriels semble bonne pour permettre de valoriser les comp amp tences le comportement d un l ve Mais il y a risque d une valuation trop subjective Il y a difficult valuer l oral II faudrait moins d effectif pour mieux valuer les com p tences Dans certaines mati res le professeur qui ne voit les l ves qu une heure peut avoir du mal valuer les comp tences B Refus du livret scolaire de comp tences car c est une charge de travail suppl mentaire consi d rable Le remplir durant l heure de vie de classe avec les l ves est difficile
99. server cette pr sentation au cours du pot de rentr e o l on prendra le temps d un accueil personnalis Toutes les informations sur Por ganisation des classes les tudes dirig es ou des TPE seront appor t es aux cours des r unions de la pr rentr e au moment o se dessi nent les projets p dagogiques ne parler ici que des grands chantiers qui f d reront les actions particuli res Une longue liste de chiffres ou de statistiques est fastidieuse le nombre d l ves de postes le taux de r ussite aux examens ces chif fres sont importants diffuser rapi dement mais pourront tre commu niqu s par crit et analys s au cours de la premi re r union sur le projet d tablissement Les seuls chiffres qui peuvent figurer utile ment au discours de rentr e sont ceux qui pr sentent des r sultats positifs inattendus qui valorisent l quipe lui font plaisir et par l nourrissent sa confiance dans sa capacit surmonter d autres d fis ll west pas utile non plus de revenir sur les incidents de l an pass tout le monde les a en t te Pour la forme on bannira la langue de bois institutionnelle il s agit de parler vrai de trouver le ton et les mots justes pour parler de l essen tiel Il ne faut pas h siter surpren dre par la hauteur des propos par le souffle convaincre gr ce la force de la conviction Pourquoi pas quelques effets de manche quelques m ta
100. sultats escompt s Il nen reste pas moins que le lieu le plus perti nent pour s assurer du succ s effectif de ce type de mesures c est l tablissement Sans pour autant que le minist re puisse consid rer que la t che est accomplie d s que le texte est publi Faire confiance aux tablissements implique qu il n y a pas besoin de d finir depuis Paris un cadre trop pr cis pour l organisation des jour n es de pr rentr e On comprend bien le souci d une direction char g e de la p dagogie d clairer le sens des r formes de les inscrire dans une continuit et une p renni t qui s aligne plus sur le temps de l Ecole que sur le temps des poli tiques et de donner des exemples aux tablissements en recherche de propositions pratiques Mais nous savons trop ce qu il advient de la surabondance de textes C est pourquoi la proposition faite par Claude REBAUD d un texte cadre la fois sobre et clair sur les objectifs r pond notre souhait Faire confiance la responsabili t des acteurs et l autonomie des tablissements Les multiples t moignages qui figu rent dans ce cahier nous invitent consid rer la pr rentr e la fois avec int r t et relativiser son importance C est l articulation entre continuit et discontinuit voqu e par nos amis de Rouen Avec int r t parce qu ils mettent en vidence la pr rentr e comme un moment privil gi d accueil de ren contre et de concert
101. t tre transmises par crit en t moigne la participation plus res treinte des personnels d s la fin de la premi re matin e illustre la diffi cult de mobilisation de telles r uni ons Autres remarques le personnel ATOS n tait pr sent qu l heure du d jeuner comment LE amp D 43 peut il se sentir impliqu dans la vie de l tablissement La disposition de la salle les pro fesseurs taient install s unique ment sur des chaises les tables du fond de la salle ont vite t mono polis es par des coll gues qui sou haitaient se retrouver avec un faible int r t pour ce qui se d roulait dans le reste de la salle Le manque d changes et de parti cipation de l auditoire Les commissions suivi de projet vie scolaire taient d j consti tu es en grande partie pourquoi recommencer l info plut t que de faire vivre ces commissions de fa on effective PROPOSITIONS Deux journ es pour red marrer ann e ce n est pas une mauvaise id e ll faudrait cependant bien les pr parer et en faire un r el travail d quipe avec peut tre une jour n e int gr e au plan de formation de l tablissement Et pourquoi pas Passer 1 2 journ e aux retrouvailles et infos diverses Avoir pr par la rentr e en mai juin avec les quipes p dagogiques Ce qui viterait de reparler en d tails 44 E amp D de la constitution des classes des groupes Passer 1 journ
102. t es au C A du mois de juin sert de cadre g n ral aux changes Rappel des quatre grands objectifs 1 Suivre conseiller et aider les l ves de mani re plus individualis e 2 Favoriser les situations de responsabilisation des l ves et d apprentissage de la citoyennet 3 Elargir la dimension culturelle des disciplines par des activit s d expression d ouverture ou d changes linguistiques 4 Progresser qualitativement dans les relations avec les milieux cono miques et la mise en uvre de lal ternance p dagogique Exemple des points d velopp s dans l objectif 1 L valuation Le travail personnel des l ves L heure de vie de classe L orientation L insertion professionnelle L aide sociale Le suivi des absences Laide individualis e en Seconde et Seconde professionnelle Mise niveau informatique en Seconde TPE et P P C P LA FICHE DE SITUATION DE LA DISCIPLINE OU DE LA SPECIALI TE Document1 Il s agit d un document actualis au fil du temps selon les disciplines les rubriques de la fiche sont plus ou moins approfondies Cette fiche favorise la concertation au sein de l quipe et m morise les analyses de situations et de besoins ainsi que les d cisions d actions communes Elle facilite l information des nou veaux coll gues Elle sert gale ment d instrument de communica tion avec l quipe de Direction En plus de ce document disponible pour
103. t es lors de la r union g n rale de pr rentr e le CPE se trouve t il la m me table que la direction ou parmi les professeurs les ATOS sont ils assis parmi les autres personnels ou sont ils debout au fond de la salle De m me la distribution de la paro le est significative Ces diff rents aspects participent la construction des repr sentations de la place de chacun pour la suite Le reproche d impr paration est apparu dans le d bat Les r unions consid r es comme non pr par es avaient en fait un objectif r duit distribuer les emplois du temps et r gler quelques problemes d orga nisation La politique ducative dit le CPE quand la d finit on Quand se met on d accord sur les r gles de vie scolaire de l tablissement Un simple discours informatif suffit il Les travaux crois s au coll ge ne seraient ils qu une question d orga nisation de l emploi du temps Les questions dans leur bien fond ne suscitent aucune restric tion autour de la table En revanche faire de la pr rentr e le moment fort unique pour y porter r ponse laisse dubitatifs de nombreux parti cipants Les chefs d tablissement n y croient pas ils ne voient pas comment la complexit de plus en grande des questions pos es pour rait se satisfaire d un moment _ unique de r flexion C est une vis sans fin dit l une la pr rentr e est un moment certes important mais dans un processus qui
104. t de convivialit autour d un repas froid 14h 16h R union de tous les professeurs principaux Objet Accueil des l ves Etude du r glement int rieur Heure de vie de classe Etude de l emploi du temps de la classe Travail par discipline suite Pr sentation des nouveaux pro grammes manuels scolaires mat riel Elaboration du calendrier tri mestriel et annuel des concer tations 16h15 17h30 Assembl e g n rale de tout le per sonnel Les rapporteurs des grou pes font une synth se du travail de ef E amp D 41 la journ e en pr cisant points abor d s d cisions prises suite envi sager 2 ME JOURN E Travail avec les quipes p dago giques par niveau Points abord s les actions du projet et la mise en place la gestion des l ves en difficul t s le calendrier des concertations en coh rence avec les rencon tres par discipline Dans le m me temps des personnels de service tra vaillent sur la d marche 42 E amp D 1 l HACCP les enseignants disponibles se sensibilisent l utilisation des TICE avec l animateur informa tique 16h I7h Assembl e g n rale Les rapporteurs font une synth se des travaux points abord s d ci sions prises suite donner 3 ME JOURN E MATIN Accueil des classes de 6 me des parents par les professeurs princi paux Dans le m me temps R union de l quipe des parcours diversifi
105. tion des lieux d ac cueil Dispositifs g r s par les aides ducateurs SOS mati res en Math Anglais et Philosophie Travail au C D I 4 me r union Nature de la r union Public concern Ouverture Ouverture culturelle Atelier d expression artistique option th tre Voyages Sorties Visites d entreprise Horaire 18h Ordre du jour Mise en ceuvre des actions inscrites au projet d tablissement Professeurs concern s Sant scolaire Vie scolaire 40 E amp D Le coll ge de Bons en Chablais est un tablissement de 450 l ves Il recrute sur un secteur compos de communes rurales La croissance des effectifs s est traduite par l ac cueil de personnel nouveau 1 3 1 4 chaque rentr e Le personnel nomm titre d finitif est tr s sta ble Il est habitu au travail en qui pe et adh re au projet d tablisse ment Le programme de ces journ es a t construit fin juin 1999 en concer tation avec le groupe de pilotage Ce groupe est constitu des mem bres de la commission permanente sans les personnes ext rieures des responsables des actions du projet du Principal et du C P E Il n y a pas d adjoint au chef d tablis sement dans ce coll ge Pour faciliter la communication interne les personnels sont habi tu s fournir une trace crite compte rendu succinct apr s cha cune des r unions Ce
106. tion des nouvelles technologies Principes d organisation et de r partition du travail au sein des quipes p dagogiques professeurs coordonnateurs professeurs principaux CPE intervenants ext rieurs organisation du travail des surveillants organisation du travail des aides ducateurs Programme des heures de vie de classe des acti vit s artistiques et culturelles de l ducation a l o rientation Organisation des p riodes de formation en entre prise et du partenariat avec le monde profession nel Modalit s de dialogue avec les familles formation des d l gu s des l ves participation des l ves la vie de l tablissement modalit s collectives de prise en charge de la vie scolaire de la formation la citoyennet et la responsabilit de l educa tion la sant R flexion sur le r glement int rieur Eventuellement accueil des nouveaux l ves ren contres avec les parents Modalit s d organisation des remplacements de courte dur e GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Accueil information et prise en charge de l ensem ble des nouveaux personnels et tout particuli re ment les nouveaux enseignants titulaires des aides ducateurs et des surveillants Pr sentation du plan de formation de l tablisse ment ses axes prioritaires les modalit s de sa construction participative Participation aux stages de formation organis s dans le cadre de l adaptation l emploi Mo
107. tion sur ce que doit tre la pr rentr e Ma jeune exp rience de proviseur adjoint trois rentr es ne me per met certes pas de me poser en sp cialiste d une question qui est l or dre du jour des pr occupations depuis maintenant bien longtemps toutefois j ai observ que la pr ren tr e qui n int ressait pas beaucoup de monde il y a encore quelques temps est soudain devenue un pro bl me parce qu un ministre en a augment la dur e tout en en fixant le contenu Finalement qu a t il fait ce ministre si ce n est donn son v ritable sens ce que doit tre ce moment cl de la vie de l tablissement scolaire Soyons clairs mon propos ici n est pas d tre pro ou anti mais de faire en sorte que chacun de ceux qui composent assument une fois pour toutes l autonomie qui nous est conf r e depuis les lois sur la d centralisation Parler de pr rentr e c est parler de notre autonomie et j avoue mon inqui tude quand aujourd hui enco re je vois des membres lus du conseil d administration ne pas conna tre le sens des quatre lettres E P L E M conna tre et parfois refuser cette autonomie se traduit souvent par un rejet des notions de projet et de politique d tablisse ment Or quel sens donner la pr rentr e en dehors d une politique d tablissement clairement d finie Voir le premier paragraphe Une journ e sans projet c est bien long m me avec un ap ritif au milieu
108. tionale prenait la d cision de renoncer au calendrier initialement pr vu Nous avons alors failli renoncer cette publication Finalement nous avons pers v r faisant le pari optimiste que ce renoncement ne serait que provisoi re et que l impulsion donn e l ann e pr c dente rencontrerait de nom breux chos positifs 54 E amp D 1 i Que soient donc remerci s vive ment les auteurs d articles et les groupes acad miques de Rouen Grenoble et Lyon qui ont permis de mener bien ce projet En d finitive ce cahier illustre avec vigueur quelques id es auxquelles nous tenons refonder les relations entre le Minist re et les tablisse ments faire confiance aux acteurs de terrain et leur donner les moyens de se concerter donner du sens au r le p dagogique du chef d tablis sement Pour un autre pilotage institu tionnel des r formes Les p rip ties de la nouvelle pr rentr e nous confortent dans l a nalyse que nous d veloppons depuis plusieurs ann es sur les relations que devraient entretenir le minist re et les tablissements Alors qu une organisation syndicale avait lanc au printemps 2000 le mot d ordre de boycotter toutes les innovations p dagogiques mises en place par Claude ALLEGRE force nous est de constater dans les ta blissements que l enseignement professionnel int gr a pris son lan et rythme aujourd hui la vie des lyc es professionnels
109. toute volution de pratiques que ces outils en assurant coh rence et continuit aident penser que la pr rentr e n est pas toujours un ternel recom mencement Michel RICKAUER Proviseur ROUEN E amp D 31 Document 1 ANNEE SCOLAIRE 1999 2000 SPECIALITE DISCIPLINE CANEVAS DE LA FICHE DE SITUATION Dernier passage de l I P R ou de l I E N LES PERSONNELS Anciennet dans l tablissement La r partition des classes Responsabilit s PP Tuteurs Formateurs IUFM MAFPEN Formation d adultes GRETA Activit s annexes LES LOCAUX LES EQUIPEMENTS Mise en s curit Projet d am nagement Projet d quipement L ORGANISATION PEDAGOGIQUE Les salles les laboratoires les ateliers E D T Utilisation particuli re des moyens d enseignement ex les modules 32 BT L ACTIVITE PEDAGOGIQUE Travail d quipe Concertation sur les progressions au sein de la discipline et avec d autres disciplines Harmonisation de l valuation Rythme du travail devoirs exercices Niveau d exigence Epreuves harmonis es par niveau Examens blancs Utilisation du CDI Dispositifs p dagogiques sp cifiques mis en place Prise en compte de l alternance Place de la discipline ou de la sp cialit dans l tablissement Taux d attraction Motivation des l ves Principales difficult s rencontr es dans l enseignement de la discipline R sultats aux preuves de l ex
110. u d changes et de d bats Sans volont de r cup ra tion mais dans le souci d am liorer les conditions d accueil et de forma tion des l ves qui nous sont confi s il est essentiel que les chefs d tablissements se saisis sent de ces d bats pour enrichir des politiques d tablissements parfois r duites au minimum Didier PINEL Proviseur adjoint Le Havre Apr s une timide tentative de faire travailler ensemble les per sonnels d un tablissement lors de la fin des cours il y a quelques ann es un nouvel essai vient d a voir lieu Sera t il tout aussi ph m re et supprim sans aucune va luation ni raison Malgr sa bri vet l exp rience m a sembl tr s positive plus d un titre Tout d abord cela modifie pro fond ment le climat dans lequel on travaille que ce soit en juin ou en septembre Puisque tout le monde doit tre l les changes sont plus efficaces les sujets trait s plus col lectivement la concertation plus effective Enfin le temps permet d aborder de fa on plus approfondie et en anticipation les probl mes de fond Qu a t il t fait au coll ge en ce d but de septembre Rien de bien diff rent pour une bonne partie bilan des vacances petit d jeuner et une courte messe 1 2 heure du principal pour que tout le monde ait la m me informa tion Les emplois du temps sont mis dans les casiers avant l arriv e des personnels Les conseils d ensei
111. u fur et mesure que l on franchit les diff rents niveaux d apprentissage peut en ce sens aboutir nier l individu en ne le voyant qu travers le pris me d une comp tence ou d un champ de connaissance isol des autres Si pendant longtemps l enseigne ment secondaire n a accueilli que des l ves vivant dans un contexte qui les aidaient retrouver l individu parmi les fragments d un savoir clat ce n est plus le cas aujourd hui Pour des l ves de plus en plus nombreux c est l cole qui doit leur apporter elle m me cette aide et il n y a pour cela qu une seule voie le travail en quipe de ceux qui entou rent un m me l ve pour l amener tablir les liens entre ce que cha cun lui apporte Je ne voudrais pas cultiver le paradoxe mais une action p dagogique qui prend en compte l l ve INDIVIDU passe obligatoirement par le travail COL LECTIF de l quipe ducatrice Il est d s lors essentiel que des objectifs et des axes de travail soient d finis d s le d but de l an n e C est une erreur de consid rer que l on peut attendre les conseils de classe du premier trimestre d a bord parce qu il n est malheureuse ment pas courant de les voir faire un travail prospectif mais surtout parce que ce serait laisser le plus long des trimestres se d velopper l aveuglette et que les conseils de classe ne pourront rien valuer si le point atteindre n a pas t pr cis
112. veaux arrivants dans l tablissement qu ils soient nouveaux clans le m tier ou nouvellement affect s Au del de la n cessaire pr sentation des modalit s pr vues pour l organisation des enseignements et des services de tous les personnels elle est aussi une occasion de s approprier le projet d cole ou d etablis sement d examiner les partenariats qui sont suscepti bles de l enrichir et de recenser les ressources disponi bles sur le territoire L appartenance de l tablissement un bassin ou un r seau regroupement p dagogique intercommunal REP doit pouvoir nourrir la r flexion et tre illustr e concr tement quant son impact sur les axes de tra vail retenus Dans le cadre d une ZEP ou d un REP il convient de pr senter Porganisation de la zone ou du r seau le contrat de r ussite et les aides et ressources dont il est possible de disposer le centre acad mique de ressources pour l ducation prioritaire CAREP les formations sp cifiques les diff rentes formes d accom pagnement et actions au titre de la politique de la ville Plus g n ralement la pr rentr e doit tre une occasion amp envisager collectivement les fa ons de renforcer les liens entre les diff rents niveaux d enseignement des m nenn A nenne nn a ann inne premier et second degres Une r flexion collective sur les r gles de vie commune au sein de l cole et de l tablissement et la fa on dont elles peuvent

Les pré-rentrées - Education et Devenir

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