Les Cahiers de l`OGBTP
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1. Le lecteur pourra s y reporter utilement pour prendre connaissance des recommandations de l OGBTP Ces fiches sont galement t l chargeables sur le site www ogbtp com rubrique Activit s sous rubrique Documents onglet Fiches th matiques OFFICE GENER AL Du PATIMENT Er pg S TRay AUX p UBLics cs RAL DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS FF nar Du BAT upit ET DES TRAVAUX puBt price GENE A T PIECES GRH QUE IERS D APPEL D OFFRES EL D OFFRES L ARCHITECTE AITRISE D OEUVRE ECHNI D APP T ONTROLE US DOSSIER D MP ACT RLA COHERENCE su CoNSTAT UT i du bu r alable du rapport Hervient souve udes initi as partie dY ANDATIONS n rale RECOMM 2 8 amp zs B am vvno0o0 CO ZO 4P0 ZOZ JDPTI omoannoog FMTUUT gt 0 SA LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Fiche 01 Impact du contr le technique sur la coh rence du dossier d appel d offres Constat Le retour du rapport pr alable du bureau de contr le avec les corrections apport es au DCE intervient souvent pendant ou apr s le lancement de l appel d offres L quipe de ma trise d uvre n a alors pas le temps de proc der aux corrections du dossier Il en r sulte des incoh rences entre les pi ces diffus es du dossier d appel d offres et le rapport du bureau de contr le Les causes de ce retard sont multiples transmission trop t2. GB Architectes Entreoreneurs Les Cahiers de l OGBTP 2014 OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PuBLIcs SI GE SOCIAL ET ADMINISTRATIF 6 14 rue La P rouse 75784 Paris Cedex 16 T l 01 45 53 61 36 SIRET 784 285 041 000 25 Site Internet ogbtp com E mail ogbtp wanadoo fr Assistante administrative Sylvie Peignaux Responsable de publication Daniel Semelet Responsable du comit technique Jean Pierre Anquetil Impression et mise en page service ditions et Multim dias de la FFB Avertissement Publication annuelle Les Cahiers de l OGBTP recueillent et diffusent tous les documents les plus pertinents qui manent des travaux des offices et des r unions th me rencontres qui rassemblent plusieurs fois dans l ann e des responsables d offices d partementaux autour d un th me choisi Les Cahiers de l OGBTP comportent plusieurs rubriques les publications de l OGBTP synth se des r unions th me r dig es et arbitr es par le comit technique les travaux des offices qui ont particuli rement retenu notre int r t et qui sont diffus s sans relecture ni imprimatur du comit technique toutes les informations et travaux en cours que l OGBTP veut porter votre connaissance DITO Parmi les difficult s qu architectes et entreprises rencontrent dans leur champ d action commun ce n 4 des Cahiers de l OGBTP continue de proposer quelq
3. soit fasse l objet d une r daction descriptive pertinente sachant qu il est inutile de d crire par crit ce qui est clair sur le dessin Les rappels de textes g n raux Dans un contrat et en particulier pour les lots techniques il est inutile de r crire ce qui est obligatoire lois d crets normes obligatoires sauf par souci p dagogique De nombreux textes ne sont pas obligatoires la plupart des normes en particulier la norme NF P 03 001 les DTU Il faut donc nommer ceux qui doivent tre respect s dans le march Si le ma tre d ouvrage veut rappeler ce qui est obligatoire il ne faut pas le m langer avec ce qui est sp cifique au projet Nous conseillons pour les seuls textes utiles l op ration une simple liste en annexe au descriptif ou une clause dans le CCTG s il existe LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LE La description des produits Contrairement la norme NF P 03 001 qui laisse l architecte une totale libert pour d crire les produits mettre en uvre le Code des march s publics pr cise qu il ne faut jamais nommer les marques de produits sans autoriser explicitement l utilisation de produits similaires Pour r pondre cette derni re obligation certains r dacteurs proposent des descriptions tr s trop d taill es qui ne sont parfois que le recopiage des caract ristiques du produit souhait Obtenir du ma tre d ouvrage qu il autorise de nommer les marques des p
4. L argument juridique doit donc tre rejet La garantie de fiabilit technique ne s obtient pas par un descriptif fleuve puisque tous les interlocuteurs reconnaissent que les entrepreneurs doivent savoir aller l essentiel et ne lire que les deux pages quiles concernent qui servent donc les autres pages Diluer l essentiel de la description de l ouvrage s oppose la fiabilit technique La garantie conomique conduit l estimation r aliste par l entrepreneur Or plus les descriptifs sont lourds plus les carts de prix sont importants dans les offres re ues Cela provient des contradictions inh rentes la longueur et de l ins curit qui en r sulte On constate donc que l am lioration des garanties apport es au ma tre d ouvrage est un faux argument qui ne r siste pas l analyse Nous proposons ci dessous quelques pistes pour rendre les descriptifs plus digestes et plus efficients Comment all ger les descriptifs Le descriptif nomenclature des prestations Le descriptif doit tre avant tout une nomenclature exhaustive de l ensemble des prestations auxquelles doivent r pondre les entreprises R diger le descriptif dans cet tat d esprit en limite obligatoirement la longueur Il est donc recommand que chaque article de cette nomenclature soit fasse r f rence un d tail ou tout l ment graphique de l architecte ou d un partenaire de la ma trise d uvre
5. soit conforme au projet de l architecte et au programme du ma tre d ouvrage Architectes et entrepreneurs doivent convaincre les ma tres d ouvrage qu il faut engager une d marche volontaire pour revenir des descriptifs pertinents et responsables La liste des propositions contenues dans ce document peut servir de base l volution esp r e LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LE q GE Architectes Entrepreneurs OrricE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PugLics 2 L HARMONISATION DES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Constat Il faut constater de trop nombreuses incoh rences dans les dossiers d appel d offres On peut nommer les plus fr quentes diff rences entre pi ces crites et pi ces graphiques contradictions entre les diverses pi ces crites et l int rieur de chaque document impr cisions localisations impr cises pr cisions inutiles r f rence des textes p rim s modifi s ou supprim s doublons et ou omissions d saccord entre d tails et plans g n raux manques et superpositions entre lots flou des limites de prestations pr s ances contradictoires ou insens es etc Les causes sont multiples Manque de r flexion du ma tre d ouvrage avant le choix de l quipe de ma trise d uvre multiplication des intervenants de plus en plus de BET provoquant l inflation des documents manque d autorit de l architecte sur l quipe de ma
6. trise d uvre manque de temps donn l architecte et l quipe de conception absence de planification des tudes amont lancement des appels d offres dans la pr cipitation LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 synth se des documents d appel d offres rarement faite par l architecte manque d int r t ou de capacit des architectes pour r diger les pi ces crites empilement de textes inutiles et sans int r t emprise du juridique sur la r daction au d triment du technique absence de certains documents au moment de la consultation m connaissance des missions de chacun etc Quelques exemples de disharmonie Il est impossible d aborder tous ces sujets dans un seul document Il est de plus impossible de g n raliser les constats et propositions pour toutes les natures d op ration L OGBTP a donc choisi de produire des fiches sp cifiques pour certains dysfonctionnements en conservant la possibilit d en produire d autres ult rieurement fiche 01 fiche 02 fiche 03 fiche 04 fiche 05 fiche 06 incoh rences avec le rapport du bureau de contr le incoh rences provenant d erreurs incoh rences entre pi ces graphiques et pi ces crites incoh rences entre notice acoustique et CCTP incoh rences provenant de la ma trise insuffisante de l quipe de ma trise d uvre incoh rences concernant les installations collectives et l organisation de la s curit
7. architecte doit donc pouvoir exercer son autorit sur tous les acteurs amont pour garantir la coh rence des documents d appel d offres Recommandations Il est fortement recommand en cas d quipe de ma trise d uvre que le ma tre d ouvrage pr cise les missions de chaque intervenant amont en accord avec l architecte et en insistant sur la responsabilit sp cifique de l architecte synth se des tudes amont approuve le planning amont tabli par l architecte retenu LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LE approuve la r partition des honoraires propos e par l architecte et notamment la part correspondant la mission de mandataire de l quipe de ma trise d uvre s interdise sauf pr cisions toute relation directe avec les BET Il est indispensable que l architecte mette en place en fonction des situations un contrat de sous traitance avec chaque BET ou une convention de cotraitance sign e de toutes les parties qui d finisse clairement sa mission voir mod le de convention dans le mod le de march public de ma trise d uvre pr cise dans ces deux natures de documents la r gle du jeu claire et pr cise rappelant son r le de mandataire et l obligation des BET de passer par l architecte sauf cas exceptionnels pr cis s pour toute relation avec le ma tre d ouvrage soit capable de faire faire sans laisser faire tout en conservant une certaine souplesse dans le
8. cid de s associer enqu te nationale mise en place par la FFB avec le soutien de la fondation Excellence SMA pour poser les bases d un constat partag de la fili re clarifier les enjeux et donner un cadre de travail plus pr cis articul autour de propositions concr tes et op rationnelles Le succ s d une telle d marche d pendra du succ s de la collecte des donn es aupr s des architectes et des entreprises et donc du questionnaire ci joint Nos membres architectes et entrepreneurs responsables et engag s sont au c ur des grands enjeux de soci t march loyal sant s curit En prenant le temps de r pondre ce questionnaire vous contribuerez dire Stop la contrefa on Soyez en remerci s Le Pr sident de l OGBTP Yves Genthon architecte 1 Pr cision importante au lecteur Nous entendons dans ce questionnaire par produit de contrefa on tout mat riau produit ou quipement de la construction non conforme pouvant e tromper l acheteur sur sa qualit ses performances techniques attendues et ou son origine avec pour cons quence principale un risque de porter atteinte la s curit et la sant du compagnon ou de l utilisateur final e utiliser abusivement des marquages d excellence et ou de conformit NF CE etc e tre accompagn de certificats de conformit et ou d origine falsifi s et ou contrefaits e atteindre l int r t des titulaires de droits en mati re
9. cis ment les interlocuteurs et les circuits d approbation D 7 4 identifier et quantifier le co t de la p riode de pr paration lors de la remise de l offre LE CNLECICS obtenir un d lai objectif et compatible avec limportance du chantier OFFI EPIERENEUS EEE 7 i i Travaux PusLics DE HAUTE SAVOIE obtenir des interlocuteurs une bonne implication de leur part s assurer que la passation du projet entre les tudes et l ex cution se fasse parfaitement afin de gagner du temps Lettre l intention des ma tres d ouvrage priv s Objet Lutter contre le travail ill gal et pour une sous traitance r guli re Madame Monsieur Notre organisme r unit des ma tres d uvre et entrepreneurs du BTP l occasion de nos rencontres r guli res nous identifions des sujets sur lesquels nous souhaitons uvrer Le contexte conomique particuli rement tendu nous am ne r agir avec davantage de force sur toutes les pratiques irr guli res qui portent tort l ensemble de la fili re BTP tous acteurs confondus Les offres anormalement basses peuvent parfois dissimuler des pratiques irr guli res que vous ne pouvez et ne devez pas ignorer Nous souhaitons par la pr sente vous pr senter un rapide rappel des dispositions et sanctions des donneurs d ordre en mati re de lutte contre le travail ill gal notamment en cas de sous traitance La r glementation issue de la loi de finances 2013 accentue les disposition
10. de propri t intellectuelle et industrielle LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 La GE Architectes d Entrepreneurs OFrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBLics ENQU TE Vous avez peut tre t confront des produits non conformes voire contrefaisants Prenez le temps de r pondre ce questionnaire pour nous permettre de mesurer l ampleur du ph nom ne au niveau national et des pr judices subis afin de mieux d fendre vos droits Vos r ponses personnelles sont confidentielles Elles seront utilis es de mani re anonyme des fins de traitement statistique et ne seront restitu es qu agr g es avec les r ponses d autres pan listes Votre cabinet Nom Activit s Adresse Nombre de salari s T l phone 1 Avez vous t confront entre 2010 et 2013 des mat riaux et ou quipements suspect s de contrefa on Oui O Non O Si oui quels taient les produits concern s ne pas nommer les marques En quelle quantit indiquer l unit la plus ad quate nombre de pi ces ML M2 M3 etc E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 2 Avez vous connu des sinistres la suite de l utilisation de mat riaux et quipements suspect s de contrefa on Oui O Non O Je ne sais pas O 3 Si oui de quel type Dommages financiers O Dommages corporels O Dommages mat riels O 4 Quelle tait la source d approvisionnement du ou des produit s de contrefa on Importateur direct O
11. en 7 a Fleutelot pr sident et Thierry Cornu pour changer sur l activit ot o loffi la C te d Or r gion Bourgogne io a aen MO Sa e groupe d animation a pour objectif de se rapprocher des offices organisee EF X de Sa ne et Loire de la Ni vre et de l Yonne durant l ann e 2014 au CROA F licitations la suite de la rencontre en r gion PACA organis e en d but d ann e 2013 c est avec une grande satisfaction que nous accueillons parmi L OGBTP tait pr sent au congr s annuel de l UNSFA qui s est tenu Paris la Cit de la mode les 3 les nouveaux offices celui des Bouches du Rh ne et nous f licitons son pr sident M Pierre Ponzetto architecte 4 et 5 octobre 2013 Nous souhaitons une fructueuse ann e 2014 cet office Ce congr s tait ouvert cette ann e la ma trise d uvre aux tudiants aux entreprises aux industriels et aux ma tres d ouvrage Il tait organis en plusieurs villages th matiques techniques conomiques formations comp tences partenaires syndicaux et comprenait de nombreuses animations tables rondes changes ateliers conf rences d bats retours d exp rience etc Ces v nements taient l occasion pour les architectes de renforcer leurs comp tences de mieux s armer pour r sister la crise conomique de traduire en mots et en actes ce qu est la qualit architecturale et le r le primordial des architectes Le stand d
12. gales parfait ach vement bon fonctionnement et d cennale Cl ture du dossier administratif La r ception doit s accompagner de l ach vement du dossier administratif souvent long et difficile obtenir Ainsi la production des dossiers des ouvrages ex cut s DOE comprenant notamment les notices d entretien et les caract ristiques techniques des appareils pos s les d comptes d finitifs le r glement des travaux le remboursement de la retenue de garantie la production du dossier des interventions ult rieures aux ouvrages DIUO etc sont indispensables E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 R CEPTION CHANTIER Pr alable les travaux sont achev s Disposition commune au march public et priv la r ception est demand e par crit par l entrepreneur au ma tre d ouvrage avec copie au ma tre d uvre Op rations pr alables la r ception Pas d OPR en march priv sauf si pr vues dans les pi ces Visite d OPR dans un d lai de 20 jours compter de la demande du march de r ception de l entrepreneur EXE4 PV d OPR que le ma tre d uvre transmet sous 5 jours suivant la date du PV d OPR au ma tre d ouvrage en proposant une date d ach vement des travaux et r serves ventuelles EXE5 R CEPTION Date de visite de r ception dans un d lai de 20 jours compter de la demande de l entrepreneur au del l entrepreneur peut mettre en demeure PV de r ception ou de refus pr par par le ma t
13. technique Elle doit au contraire partir des petits probl mes existants en particulier au niveau de l usage pour en faire la synth se L architecte en d duit les priorit s du projet et les fait partager par tous les acteurs ma tre d ouvrage ing nierie et entrepreneurs E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 l ing nierie du projet Point de vue de l ing nieur il faut faire en premier le diagnostic complet du b timent et celui ci est essentiellement technique donc fait par l ing nieur BET Ensuite le ma tre d ouvrage se demande ce qu il doit et veut faire puis d cide de son investissement et fait les arbitrages avec l aide de l architecte Le diagnostic est premier il se veut exhaustif et c est l affaire des ing nieurs Point de vue de l architecte et des entrepreneurs pr sents le BET est accompagnant en particulier pour analyser le b ti existant diagnostic et pour proposer des solutions techniques l architecte C est l architecte de donner les priorit s du projet partir de l usager et de l am lioration d usage esp r e Le projet pour l usager est premier et c est l affaire de l architecte Nous sommes donc face deux approches diff rentes diagnostiquer pour savoir s lectionner ce qu on veut am liorer hi rarchiser et proposer au client ou couter le client utilisateur synth tiser pour proposer diagnostiquer pour valuer Quelque
14. N 4 LE 1 DOCUMENT DE L OFFICE DU NORD PAS DE CALAIS Z2ZZ GUIDE PRATIQUE PR PARATION DE CHANTIER LES MOYENS DE LA REUSSITE La pr paration de chantier n est pas le gage absolu de r ussite mais l absence de pr paration a toujours des cons quences d sastreuses erreurs retards ou conflits Les risques qui en r sultent laissent une place trop importante l improvisation aux mesures d urgence et au pis aller D finition et contexte juridique La d finition et les modalit s de la pr paration de chantier se trouvent dans les conditions g n rales auxquelles les march s se soumettent En march s priv s il s agit principalement de la norme NF P 03 001 version 2000 qui d finit article 10 1 la p riode de pr paration comme tant la p riode n cessaire l laboration de documents vis s par ailleurs dans la norme Il est pr cis que cette p riode commence la date fix e comme origine du d lai de r alisation p riode de pr paration p riode d ex cution pour une dur e de trois mois sauf dispositions particuli res du march En pratique elle ne peut tre inf rieure un mois quand il y a obligation d tablissement d un PPSPS ce d lai ne courant qu apr s r ception du PGC par l entrepreneur Sauf dispositions particuli res le d lai de r alisation d bute le lendemain du jour de notification l entrepreneur de la conclusion du march En march s publics c e
15. N gociant distributeur O Internet O Grande surface GSB O Autres pr ciser 5 Avez vous contact une autorit publique la suite d une suspicion de contrefa on Oui O Non O 6 Si oui laquelle Douane O DGCCRF O Police O Gendarmerie O 7 Avez vous saisi la justice la suite d une suspicion de contrefa on Oui O Non O 8 Si oui En civil O En p nal O 9 Comment avez vous r solu le probl me N gociation amiable avec l entreprise impliqu e O Recours l assurance O Saisine de votre f d ration et ou Ordre O Autres pr ciser 10 Quelle s action s pr ventive s avez vous mise s en place dans votre cabinet Sensibilisation des soumissionnaires O Communication aupr s de vos clients O Autres pr ciser Enqu te retourner OGBTP 6 14 rue La P rouse 75784 PARIS CEDEX 16 ou par courriel ogbtp wanadoo com LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 Fu pa Architectes Entrepreneurs OFrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PUBLICS 2 LE GUIDE ARCHITECTES ENTREPRENEURS MODE D EMPLOI VERSION 2014 Ce CD Rom rassemble sous forme de rubriques pratiques toutes les donn es administratives financi res et r glementaires qu il faut ma triser dans les march s priv s comme dans les N march s publics depuis la mise au point du projet jusqu la fin du chantier ARCHITECTES AENTREPRENEURSI Les architectes particuli rement les plus jeunes et les entrepr
16. TS DE L OGBTP DANS LES DEPARTEMENTS ET REGIONS Offices existants C wy TELO Bas Rhi Haut Marn e e Haute R Sa ne Loir et A Cher A N Territoire Vend e de Belfort lt J CEE Entrepreneurs OrricE GENERAL O BATIMENT ET DES Travaux PUBLICS a nne Alpes Lot et Garonne Alpes de Haute Alpes f TA Provence Marit mes aute Corse 7 da 0 LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 a 64 en pr sence des repr sentants de l UNSFA et des f d rations 1 d l issue de cette rencontre qui s est d roul e l automne 2013 Bidart B Par Paul e enn fi GB ar Paul Fran ois Luciani entrepreneur Architectes C4 du b timent des deux d partements deux offices ont t cr s re Une rencontre l ODB 40 dont le pr sident est Jacques Bellocq architecte commune avec on a l ODB 64 dont la pr sidente est Francine Pichot architecte les d partements a Nous f licitons les deux nouveaux pr sidents et nous leur souhaitons 1 CONG R S DE LUNSFA des Landes et la bienvenue parmi nous d z z Nous remercions vivement Bruno Goyeneche architecte intervenant es Pyrenees pour le Syndicat des architectes pour son soutien au cours des Atlantiques diff rentes d marches a 2 OA Avec laide de Bertrand Francin architecte vice pr sident du CROA Bourgogne nous avons rencontr au mois de mars 2014 Marc Une rencontre
17. alendrier d taill d ex cution et du calendrier des choix l organisation et la mise en place des installations de chantier Les bons r flexes Cette p riode est primordiale au bon d roulement du chantier il est donc important d avoir les bons r flexes et de prendre certaines pr cautions Pr alable obtenir les pi ces administratives pour la ma trise d uvre avant OS de pr paration parcourir les pi ces du march afin d en identifier les particularit s par ex la date de d marrage de la p riode de pr paration et sa dur e et de relever les impr cisions et incoh rences ventuelles se rapprocher du ma tre d ouvrage et du ma tre d uvre pour claircir les questions et impr cisions et corriger les incoh rences ou erreurs obtenir un OS de pr paration pour les entreprises LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LA identifier les d lais change et validation du planning de pr paration identifier les points cl s de la p riode de pr paration pour d marrer effectivement le chantier dans les y meilleures conditions Oz 2 DOCUMENT DE L OFFICE DE HAUTE SAVOIE OFFICE DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS DE HAUTE SAVOIE CONTRE LE TRAVAIL ILL GAL ET POUR REPARER UNE SOUS TRAITANCE REGULIERE D signation de l ensemble des lots et des intervenants valider la convention de compte prorata et d signer le gestionnaire ainsi que le comit de contr le identifier pr
18. architecte r dige lui m me avec ou sans l aide d un sp cialiste les sp cifications concernant les objectifs acoustiques obtenir Lorsque le recours un sp cialiste s impose larchitecte reprend dans son descriptif les seuls l ments n cessaires la pr sentation du dossier d appel d offres Pour les op rations complexes l architecte v rifie la conformit de la notice acoustique au devis descriptif Il ne la joint au dossier d appel d offres qu en cas de n cessit Recommandations Pour toutes les op rations bien pr ciser dans le contrat de ma trise d uvre qui doit quoi sur le sujet acoustique ma tre d ouvrage ou architecte viter d alourdir la notice acoustique en supprimant th ories calculs et rappels g n raux bien distinguer les caract ristiques acoustiques intrins ques des produits recommand s des caract ristiques finales attendues de l ouvrage livr qui impliquent la qualit de la mise en uvre faire participer le r dacteur ventuel de la notice acoustique la r union de relecture organis e avec tous les membres de l quipe de conception Pour les op rations courantes en particulier de logement int grer apr s v rification de leur ad quation au projet de l architecte les prescriptions acoustiques dans la r daction du CCTP et ne pas joindre la notice acoustique produite par un tiers au dossier de consultation LES CAHIERS DE L OGBTP
19. ardive du dossier de l architecte volution du programme ou du projet commande trop tardive au bureau de contr le attente du dossier d finitif APD pour travailler etc Principe Le dossier de consultation pi ces crites et graphiques ne doit contenir aucune contradiction avec le contenu du rapport pr alable du bureau de contr le Ce n est pas aux entreprises d inventer les dispositions techniques et constructives modificatives induites par lavis du bureau de contr le Rappel le dossier du bureau de contr le fait partie du DCE mais ne fait pas partie du CCTP Recommandations D une fa on g n rale le bureau de contr le doit donner ses avis par crit le plus t t possible avant la finalisation du dossier Il est donc souhaitable que le ma tre d ouvrage organise la concertation amont entre le bureau de contr le et l architecte et qu il en formalise le contenu tablisse un planning pr cis des op rations amont et en particulier des tapes de mise au point du dossier d appel d offres pr cise dans ce planning le d lai maximal donn au bureau de contr le apr s l envoi du CCTP derni re mouture avant DCE pour la r daction de son rapport pr alable Il est recommand l architecte d organiser avec les BET le processus de correction avec r union de synth se associant les diff rents partenaires en cas de retard dans la production du rapport d informer les entreprises aya
20. e aux situations de vieillissement ou de handicap Au del des perspectives d activit ce march potentiel r pond aussi un enjeu social Or les mises en uvre des principes d accessibilit ne souffrent pas l peu pr s quelques centim tres d erreur dans un seuil et tout est fichu C est pourquoi l OGBTP comme le pr cise Yes Genthon suit avec un grand int r t les travaux du CAH sur ce sujet Roger Maquaire pr sident du CAH rappela qu en d pit de la loi ambitieuse de 2005 qui concerne peu l habitat existant et d un syst me de sant mondialement r put la France affiche sur la mise en accessibilit des logements anciens des retards sur d autres pays europ ens d o la n cessit de se mobiliser pour y rem dier Le groupe de travail du CAH auquel participe l OGBTP d di ce sujet a donc uvr identifier les freins et leviers l adaptation de cet habitat afin d mettre des propositions d am lioration De nombreuses tables rondes techniques et politiques suivront ces interventions et le colloque se terminera sur la communication de Madame la ministre E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 d Baz Entrepreneurs OfFrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBuics SOMMAIRES DES PR C DENTS CAHIERS Cahiers n 1 2011 1 Les publications de l OGBTP L OPC La synth se 2 Les documents des offices Comment construire du logement abordable office de l H rault La r unio
21. e l OGBTP a t tr s visit et a permis de faire comprendre la mission de l office dans l acte de construire ainsi que la port e de ses travaux et de ceux de ses offices d partementaux E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 Ea L OGBTP et ses partenaires Par Jean Pierre Anquetil L OGBTP a d cid de participer ce forum et propos la FFB et l UNSFA de les y repr senter Nous sommes en effet les interm diaires cach s entre les producteurs et les utilisateurs finaux et ce titre nous avons besoin GE d tre inform s utilement en particulier pour nous nos clients et les salari s de nos entreprises rcnITeCIeS Entrepreneurs OFrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBuics z Quels sont nos enjeux communs 2 NANO MATE RIAUX tre conscients donc inform s utilement des caract ristiques techniques des produits que nous prescrivons ou que nous manipulons contiennent ils ou non des nanoparticules conna tre avec pr cision les risques pour nos salari s et les mesures que nous devons prendre pour pr server leur sant Forum NanoRESP informer nos clients de l int r t pour eux de ces produits et des pr cautions d usage s il y en a en particulier Depuis une dizaine d ann es nous assistons un fort d veloppement des nanosciences et des pour l entretien la r paration le remplacement etc Il faut savoir que nous avons un devoir de conseil nanot
22. echnologies Les nanomat riaux qui en r sultent sont maintenant tr s pr sents dans le b timent peintures enduits ciments verres etc savoir si nous devons ajouter des extensions nos contrats d assurance pour r pondre d ventuels risques nouveaux donc non couverts Tous ces mat riaux innovants se d veloppent beaucoup plus rapidement que l tude des risques qu ils ne produire aucun d sordre cologique peuvent engendrer Nous sommes donc en r gime d incertitudes et pour autant nous sommes responsables des produits que nous prescrivons ou que nous utilisons On d tecte g n ralement cinq types d al as Nous constatons aujourd hui que beaucoup de nos questions restent sans r ponse et que les solutions mises en place par l tat d claration obligatoire ne nous apportent pas grand chose Mais est ce une raison suffisante pour rester l cart de cette r flexion citoyenne incertitudes scientifiques quant au comportement des objets nanoconstruits risques toxicologiques et cotoxicologiques d coulant de l exposition aux nanoparticules lib r es par des nanomat riaux int r t des applications dans leur diversit et leur diffusion dans quels produits ou services pour quelle valeur ajout e incertitudes quant aux transformations sociales et conomiques que peuvent induire ces sciences et technologies de la miniaturisation attitude des citoyens et des autres acteurs v
23. eneurs trouveront dans MODED EMPLOI ce guide tous les l ments n cessaires la pratique de leur m tier et une meilleure A1 capacit communiquer 4 i 2 Ce CD Rom est commercialis par l OGBTP au prix unitaire de 22 TTC peser j 7 o e e e OGBTP html pour des commandes sup rieures 10 exemplaires prix unitaire de 18 g pour des commandes sup rieures 100 exemplaires prix unitaire de 16 z P Entrepreneurs y Orrice GENERAL ou Bariment eT oes Travaux Puguics lt 4 Prix TTC franco de port sauf pour les DOM TOM frais d envoi en sus sur devis GB _ Architectes f Entrepreneurs OFFICE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBLics CRrr E A Bon de commande retourner OGBTP 6 14 rue La P rouse 75784 PARIS Cedex 16 T l 01 45 53 61 36 mail ogbtp wanadoo fr Site www ogbtp com Association loi 1901 SIRET 78428504100025 Merci de bien vouloir renvoyer ce bon de commande accompagn de son r glement ch que bancaire uniquement 22 si lt 10 ex Je passe commande ferme pour CD Rom CD Rom Architectes n 18 si gt 10 ex entrepreneurs mode d emploi 16 si gt 100 ex Nom du destinaire Adresse de facturation Signature E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 Par Karine Millet architecte G8 Architectes d Entrepreneurs Orrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBuics LES D PLACEMEN
24. ie Avant la r ception Il faut rappeler l importance de la p riode de pr paration du planning qui doit tre r aliste du choix judicieux des entreprises mieux disant de la qualit de la coordination et des r unions de chantier de la bonne entente et de la confiance entre les entrepreneurs de la qualit des personnels d encadrement et d ex cution etc Tout cela pr figure une fin de chantier ma tris e un ouvrage de qualit conforme aux prescriptions du march et une r ception de travaux r ussie Trois tapes s av rent indispensables la validation des prototypes chantillons ou zones t moins d finition du niveau d exigence attendu optimisation architecturale et technique les autocontr les des entreprises tapes indispensables une bonne r alisation et suivi de chantier la r ception des supports l absence ou la mauvaise r ception des supports est une source importante de difficult s LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LE La r ception La r ception est l acte par lequel le ma tre de l ouvrage d clare accepter l ouvrage avec ou sans r serves Code civil article 1792 6 Code de la construction et de l habitation article L 111 19 Il devient responsable du b timent L entrepreneur est imm diatement lib r de la garde de l ouvrage L architecte lorsqu il existe sur l op ration assiste le ma tre d ouvrage La r ception est le point de d part des garanties l
25. ion des travaux et proposer une r faction LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 3 Ds Entrepreneurs OrricE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBuics R HABILITATION ET ARCHITECTE Le document ci dessous est tabli partir des propos tenus pendant l assembl e g n rale 2013 de l OGBTP par G rard Heulluy architecte associ du cabinet Castro Denissof Que fait l architecte en r habilitation La priorit pour l architecte est d couter la demande du client ses besoins son cadre budg taire Il ne doit ni vendre au client des solutions techniques toutes faites ni imposer ses id es mais travailler avec l adh sion du client et des parties prenantes et imaginer les solutions spatiales r pondant aux attentes expos es La priorit est de revaloriser le b timent de lui redonner une dignit et de sortir du marquage social La sociologie passe avant la technique Pour cela il doit d abord aller sur le site pour s impr gner du contexte et pour s approprier les attentes il doit ensuite centrer le projet sur le ma tre d ouvrage et l utilisateur deux cons quences faire preuve d humilit pour l architecte et consacrer un temps important la mise au point du projet pour le ma tre d ouvrage il doit enfin traiter l aspect g n ral l approche visuelle les parties communes halls avant de s attaquer au b ti La r habilitation ne doit pas s engager sur le seul probl me
26. is vis de ces innovations Dans ce contexte le Forum NanoRESP entend promouvoir une r flexion p renne et ouverte sur les nanotechnologies non pol mique mais critique O sont les nanoproduits Que sait on d eux Qui les produit et o Pourquoi les utilise t on Le forum d veloppe l coute et l anticipation pour encourager au sein et autour des diff rentes fili res industrielles l attention au cycle de vie des produits et leur valeur sociale Il s agit d approfondir la compr hension des diverses parties prenantes d aider construire un langage commun pour les divers acteurs de rep rer les responsabilit s de chacun etc LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 Par Paul Fran ois Luciani entrepreneur 3 COLLOQUE CAH Le 4 avril 2013 l OGBTP accueillait le Club de l am lioration de l habitat CAH pour un colloque qui rassemblait 250 personnes sur le th me La mutation d mographique un enjeu de soci t et un march pour l am lioration de l habitat et ce en pr sence de la ministre d l gu e aux Personnes g es Michelle Delaunay En introduisant la rencontre le pr sident de l OGBTP Yves Genthon mettait en exergue l importance de la probl matique du maintien domicile pour les adh rents de l OGBTP Les architectes et les entrepreneurs ont en effet g rer des enjeux complexes et parfois contradictoires pour la r novation adapt
27. n de chantier office du Calvados 3 Les travaux en cours La m diation 4 Les services de l OGBTP La marque OBS CD Rom Architectes entrepreneurs mode d emploi dition 2010 2011 nouveau CCAG Cahiers n 2 2012 1 Les publications de l OGBTP Le m moire technique La r ception de travaux Les PPP 2 Les documents des offices Le DOE office des Deux S vres L organisation des r unions de chantier office du Pas de Calais Le CCTP office du Calvados Convention de bonnes pratiques pour l application du Code des march s publics office de l H rault 3 Lestravaux en cours Les formations communes 4 Les services de l OGBTP Le site OGBTP com Le guide Architectes entrepreneurs mode d emploi dition 2012 La m diation Cahiers n 3 2013 1 Les publications de l OGBTP Les d penses d int r t commun sur chantier La conception r alisation Ling nierie 2 Les documents des offices Les d lais de paiement office de Dr me Ard che Les interfaces office des Deux S vres Compte prorata office de Dr me Ard che 3 Les travaux en cours Les missions 4 Les informations de l OGBTP Le site OGBTP com mode d emploi March s types de travaux priv s ma tre d ouvrage consommateur et ma tre d ouvrage professionnel Le guide Architectes entrepreneurs mode d emploi dition 2014 5 Les informations de l OGBTP Les d placeme
28. nt retir le dossier des modifications n cessit es par l avis du bureau de contr le E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Fiche 02 Coh rence des dossiers d appel d offres Autorit de l architecte sur l quipe de ma trise d uvre Constat L autorit amont de l architecte sur l quipe de ma trise d uvre doit s adapter des situations tr s diverses march s priv s ou march s publics BET pluridisciplinaire ou sp cialistes donc en parall le sous traitance ou cotraitance par l architecte avec les bureaux d tudes bureaux d tudes choisis par l architecte ou d sign s par le ma tre d ouvrage r partition al atoire des missions entre les acteurs amont De plus l architecte d l gue souvent des BET une partie importante de ses missions traditionnelles soit par d sint r t soit par manque de comp tence technique soit parce que le ma tre d ouvrage le lui impose La coordination efficace de l quipe de ma trise d uvre est ainsi de plus en plus difficile exercer et il en r sulte de nombreuses incoh rences dans les dossiers d appel d offres Principe Quelles que soient ses comp tences l architecte est le seul responsable de l quipe de ma trise d uvre C est en effet lui et lui seul qui a la vision globale du projet dans sa qualit et sa coh rence architecturale Il doit tre le mandataire en cas de cotraitance L
29. nts de l OGBTP dans les d partements et les r gions LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LS NOTES Pe BARNE RAR phare MAR eunusi pare Mari D Philippe SI a Selno Nami ON Thierry BINACHON Rh ne SRE 6 LACAN Fran oise RIEU H rault Jean Pierre AN lininis E l Assembl e g n rale du 24 octobre 2013 E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 Entrepreneurs 6 14 rue La P rouse 75784 Paris Cedex 16 2014 025 Imprim sur papier certifi PEFC avec des encres v g tales
30. on fr quemment voqu e mais n est ce pas l arbre qui cache la for t est la garantie juridique technique conomique que devrait apporter cette profusion d informations Le s rieux des documents serait il proportionnel au poids La r alit est tout autre et la s curit th oriquement apport e au ma tre d ouvrage et l architecte en particulier en cas de litige ne tient pas l analyse L analyse La garantie juridique n est pas apport e par le volume du descriptif mais par l ensemble et l homog n it des documents contractuels Le contrat est premier et pour qu il tienne son r le il doit tre clair et simple Tout le monde doit donc contribuer sa simplification cf contrats types simplifi s propos s par l OGBTP De plus le descriptif n est pas en soi un document ind pendant il est con u en liaison avec les pi ces graphiques la norme NF P 03 001 ne nomme que le CCTP qui comprend pi ces graphiques et pi ces crites entre autres le descriptif Ainsi il semble clair qu on ne peut justifier le descriptif hypertrophi par le contentieux venir d autant que lourdeur et incoh rences contribuent le provoquer E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 GE Architectes Entrepreneurs que les probl mes juridiques viennent d abord d une mauvaise d finition de l ouvrage ex cuter Or r duire l importance du descriptif oblige mieux d crire le projet
31. particulier les contradictoires dans le CCAP le CCTP et le PGCSPS cons quences financi res Impliquer les lecteurs et utilisateurs ma tre d ouvrage et entrepreneurs pour qu ils exercent de fa on positive leur esprit critique et leur bon sens la lecture des documents Le coordonnateur SPS qui a un r le de coordination en mati re de sant et de s curit est ind pendant et personnellement responsable Il rend des comptes au seul ma tre d ouvrage Les obligations du ma tre d ouvrage sont pr cis es l article R 4532 alin as 4 6 8 et 12 C est au ma tre d ouvrage de faire respecter la loi Principe Le PGCSPS doit tre crit en coh rence avec les autres pi ces du march qui doivent en revanche lui faire r f rence sans r crire ce qui s y trouve pour tout ce qui concerne les installations communes Recommandations la charge du ma tre d ouvrage de faire respecter la loi article R 4532 e en d signant temps le coordonnateur d s le d but de PAPS e en organisant la coop ration entre les divers intervenants dans l acte de construire et le coordonnateur e en veillant ce que le coordonnateur soit associ l laboration et la r alisation de l ouvrage recommander au coordonnateur SPS de se r f rer la norme NF P 03 001 et lui demander de l alerter en cas de diff rences constat es avec le CCTP viter le recours aux CCAP standard q
32. plans lorsqu il y a d saccord d un BET sur un point technique particulier veiller ce que chaque participant de l quipe de ma trise d uvre s engage sur la conformit de son travail aux plans de l architecte chaque membre de l quipe est alors responsable de la v rification de ce qu il crit et dessine contractualiser le devoir d alerte d s qu une hypoth se des plans d architecte peut tre remise en cause par l tude de l ing nierie E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Fiche 06 Incoh rences entre notice acoustique et pi ces crites Constat Pour les op rations qui exigent des performances acoustiques particuli res auditorium enseignement h pitaux etc une notice importante 20 40 pages est souvent jointe au dossier d appel d offres Dans de trop nombreux cas cette notice acoustique pr sente des disharmonies avec le descriptif Une attestation obligatoire de prise en compte de la r glementation acoustique doit d sormais tre produite l acqu reur d un logement neuf d cret du 30 mai 2011 et arr t du 27 novembre 2012 et des mesures de contr le doivent tre faites en fin de chantier pour les op rations de plus de 10 logements Il en r sulte fr quemment la production de notices acoustiques ins r es dans les dossiers d appels d offres pour des op rations qui ne le m ritent pas Principe Pour toutes les op rations simples et courantes l
33. ption Principe Les plans et d tails de l architecte doivent tre la r f rence du dossier d appel d offres Les conomistes et l ing nierie doivent donc s interdire les carts entre leurs productions et le dossier de l architecte Recommandations Elles s adressent toutes l architecte rendre les plans et d tails d architecte explicites produire les coupes qui posent les probl mes etc faire en sorte que le descriptif pi ce primant contractuellement sur les plans soit une nomenclature exhaustive de l ensemble des prestations auxquelles doivent r pondre les entreprises Chaque article de cette nomenclature peut soit faire r f rence un d tail ou tout l ment graphique de l architecte e soit faire l objet d une r daction descriptive sachant qu il est inutile de d crire par crit ce qui est clair sur le dessin tablir un planning pr cisant la date de diffusion des documents des diff rents acteurs de la ma trise d uvre et de ceux qui proviennent des intervenants agissant directement pour le ma tre d ouvrage SPS bureau de contr le acousticien rapport de sol etc v rifier la coh rence entre l ments graphiques et pi ces crites du dossier d appel d offres en organisant une r union de relecture avec tous les membres de l quipe de conception concern s l architecte est le responsable de cette coh rence organiser la proc dure de reprise des
34. r cis e dans son contrat Elle devrait conduire l architecte commander des descriptifs plus courts gain de temps pour lui La r daction du descriptif par un partenaire de l architecte cotraitant ou sous traitant pr sente deux inconv nients l allongement du document pour justifier la valeur n goci e de la prestation E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 la difficult de rendre coh rent le descriptif parfois crit par plusieurs intervenants avec les plans de larchitecte La sous traitance de la r daction du descriptif donne les moyens l architecte d imposer le contenu de la pi ce command e Que ce soit en sous traitance ou en cotraitance la relecture attentive du descriptif reste une obligation incontournable pour l architecte mandataire de l quipe de ma trise d uvre Le projet de l architecte n est pas fig d marche it rative il volue y compris apr s l appel d offres Le descriptif produit un instant t correspond une tape de cette d marche Le r dacteur doit donc tenir compte du fait que son descriptif ne peut pas tre plus d finitif que le projet qu il pr sente La r daction du descriptif doit accompagner l volution du projet Cette clause doit tre crite et qualifi e dans le contrat pass avec l ventuel prestataire Conclusion Le descriptif pertinent peut tre d fini ainsi tout ce qu il faut et rien que ce qu il faut pour que la r alisation
35. ravaux d am lioration nerg tique ne sont qu un param tre compl mentaire dans l approche globale du b ti et de son usage Le th me de la r partition des honoraires n a pas t abord mais est ce un probl me lorsque l architecte d finit les missions qu il veut confier tel ou tel BET E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 GE Architectes Entrepreneurs Orrice GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux PuBuics 1 QUESTIONNAIRE CONTREFA ON s P CLLLLLLL LL LL LL A Questionnaire sur les mat riaux et quipements de la construction STOP confront s la concurrence d loyale de produits de contrefa on En AS Enqu te 2014 d di e la ma trise d uvre CONTREFA ON Le commerce ill gal des mat riaux et quipements de la construction produits non conformes contrefa ons dangereuses en Europe et notamment en France conduit la destruction de valeur dans le secteur du BTP alors qu au contraire son r le est d en cr er Il affecte ainsi les engagements en mati re de conformit p nalise la qualit et la s curit des ouvrages et expose des risques inconsid r s les acteurs de l acte de construire ainsi que les utilisateurs finaux que sont les consommateurs et les usagers Il convient d s lors d anticiper de d finir et d accompagner les mutations en cours pour faire face aux menaces d un march parall le dangereux C est la raison pour laquelle l OGBTP a d
36. re d uvre Le ma tre d ouvrage notifie sa d cision dans un d lai de 45 jours sign par le ma tre d ouvrage qui le remet l entrepreneur suivant la date d OPR d faut de notification la date retenue pour sur le champ ou dans un d lai maximal de 5 jours compter la r ception est celle propos e par le MOE EXE6 ou EXE7 si refus du dernier jour de la visite de r ception L entrepreneur dispose d un d lai de 20 jours pour contester les r serves ventuelles d faut il est r put les avoir accept es R SERVES Sauf commun accord l entrepreneur dispose d un d lai de D lai fix par le pouvoir adjudicateur ou les pi ces du march 60 jours pour lever ses r serves compter de la r ception ou 3 mois avant l expiration du d lai de garantie sinon ex cution du PV aux frais et risques de l entrepreneur Pass ces 60 jours et apr s mise en demeure infructueuse Si prestations pr vues au march et non encore ex cut es le MO peut faire ex cuter les travaux aux frais et risques le pouvoir adjudicateur peut prononcer la r ception sous r serve de l entrepreneur que l entrepreneur ex cute ces prestations sous 3 mois l ach vement des travaux l entrepreneur demande Si imperfections constat es mais pas d atteinte la solidit le quitus de lev e de ces r serves d faut d accord de l ouvrage le pouvoir adjudicateur peut renoncer ordonner dans les 30 jours recours l arbitrage ou au tribunal l ex cut
37. roduits souhait s avec la mention ou quivalent pour limiter les descriptions longues La description des d tails de construction La description par crit des d tails de construction est longue et difficile Elle ne remplace pas la pertinence d un d tail graphique de qualit Il suffit alors de r f rer l criture au dessin L architecte a tendance limiter les d tails dans le dossier de consultation car il doit les reprendre apr s d signation de l entreprise pour s adapter ses techniques De plus abondance de d tails ferait gonfler le prix et il en faudrait ni trop ni trop peu La description par l conomiste des d tails manquants cr e des longueurs souvent non coh rentes avec les dessins de l architecte L architecte doit produire tous les d tails n cessaires la compr hension du projet Plut t que de vouloir d crire les d tails conomiste doit faire r f rence au dessin d taill de l architecte Il est alors oblig de s y soumettre Quelques principes La relecture des documents du dossier d appel d offres est une mission de l architecte indispensable pour rendre le dossier simple d approche pour les soumissionnaires et exempt d incoh rences au moins internes Or elle est rarement faite par manque de temps ou n gligence La relecture des documents d appel d offres avant envoi devrait toujours tre cit e par le ma tre d ouvrage dans les missions de l architecte et p
38. rreurs Cela rel ve d une proc dure qualit Il faut donc encourager chez l architecte la mise en place d une proc dure qualit propre son cabinet et ses caract ristiques organiser en interne la relecture du dossier d appel d offres pour limiter les erreurs d inattention contr le interne obtenir du ma tre d ouvrage le d lai n cessaire pour bien faire et son implication dans la d tection des erreurs contr le externe proposer des dossiers adapt s exemple le descriptif quantitatif LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LR Limiter les effets des erreurs LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Cela rel ve de l organisation de la consultation Il est conseill de indiquer dans le dossier d appel d offres les proc dures suivre pour les entrepreneurs qui d tectent des erreurs Fiche 04 Installations collectives de chantier obtenir l accord du ma tre d ouvrage sur ce point Incoh rences entre CCAP CCTP et PGCSPS Responsabiliser les lecteurs Constat La description des installations collectives de l organisation et de la s curit des chantiers cl ture bureaux vestiaires r fectoires sanitaires branchements eau et lectriques clairage de chantier coffrets de branchement d tage chauffage provisoire traitement des d chets de chantier bennes est souvent voqu e dans des termes banaliser l erreur et accepter celle de l autre en indiquant dans le CCAP comment cela sera trait en
39. s commentaires propos de l architecte L architecte apporte la plus value au b timent Il a une approche globale et intuitive architecture technique utilisation ou usage et r sultat etc Il est incontournable et indispensable L architecte travaille sur le b ti ET sur humain simultan ment il est compositeur et chef d orchestre Au lieu de parler du co t d intervention de l architecte il faut insister sur le fait qu il r fl chit aux besoins et qu il travaille donc sur la v ritable conomie du projet LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 E propos du diagnostic Le diagnostic exhaustif est souvent trop lourd il rend difficile les choix car il contient trop d informations Il parle plus au propri taire technicien qu au locataire usager Il est trop orientant lorsqu il propose des solutions chiffr es Il semble pr f rable apr s l approche globale et synth tique de l architecte de d terminer les besoins d tudes particuli res qui en r sultent Le diagnostic devient alors une aide la d cision et une confirmation ou infirmation des orientations pressenties Et puis Les usagers ont du mal modifier leurs habitudes Il est donc important de leur montrer un logement t moin d autant qu ils sont noy s par tous les documents produits Les bailleurs sociaux ont des approches tr s techniques et financi res qui peuvent les loigner de la qualit d usage et du souci du mieux habiter Les t
40. s de lutte contre le travail ill gal et confirme la mise en cause solidaire du ma tre de l ouvrage priv qui ne s est pas assur des v rifications impos es par le Code du travail Ee P E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 ka Pour information la f d ration du BTP 74 s est r cemment constitu e partie civile l encontre d un ma tre d ouvrage priv et d une entreprise d viante Votre responsabilit peut donc tre engag e p nalement civilement et administrativement en cas de manquement Le donneur d ordre doit obtenir de son cocontractant et ce tous les six mois pour tout contrat de plus de 3000 une attestation Urssaf et s assurer de son authenticit un extrait K bis ou enregistrement au r pertoire des m tiers _ une liste nominative des salari s tant soumis autorisation de travail La circulaire interminist rielle du 15 novembre 2012 pr cise les obligations de l attestation de vigilance et l ensemble des v rifications qui incombent au ma tre d ouvrage Aussi au pr alable de toute sous traitance ventuelle vous devez accepter et agr er les conditions de paiement desdits sous traitants Nous communiquons aupr s de nos adh rents respectifs afin que les bonnes pratiques soient appliqu es et respect es sur les chantiers et que notre secteur d activit ne soit pas le th tre d une concurrence d loyale d vastatrice pour l ensemble des acte
41. s relations avec ses partenaires surtout lorsqu il fait voluer le projet a t D ss 3 p g u a T ia pait iE pis he e 5 ne g pa ur Free AT Lei Por Sae a Pr 88 Lane Re ANT NS ne en a i yai pu FE NE let a CT gbr ut LT i gt ai dha r re 8 DE E E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Fiche 03 Incoh rences ou erreurs Dossier de l architecte non sous trait Constat Lorsque l architecte est le seul interlocuteur du ma tre d ouvrage il produit par lui m me la totalit des documents d appel d offres Il peut s entourer d avis ou de conseils mais il reste le metteur en uvre du dossier Les incoh rences et erreurs sont alors ses erreurs personnelles noter qu elles sont moins fr quentes et moins importantes que lorsqu il y a quipe de ma trise d uvre en cotraitance Principes Errare humanum est L erreur de l architecte est normale puisque humaine Il doit cependant en porter les cons quences y compris financi res et ne pas la reporter sur l entrepreneur Ce qui est condamnable c est le fait de ne rien faire pour s en pr server et pour y rem dier Il s agit donc d en limiter le nombre d en limiter les effets Les utilisateurs lecteurs professionnels doivent tre consid r s comme intelligents Les ma tres d ouvrage occasionnels doivent tre sollicit s au niveau du bon sens Recommandations Limiter le nombre des e
42. st principalement le CCAG Travaux 2009 qui s applique Ce document pr cise article 28 1 que si les documents particuliers du march pr voient une p riode de pr paration pendant laquelle avant l ex cution des travaux certaines dispositions pr paratoires E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 ics ou Noro Pas DE Calais doivent tre prises et certains documents n cessaires la r alisation des ouvrages doivent tre tablis cette p riode est incluse dans le d lai d d ex cution du march et a une dur e de deux mois En pratique les pi ces particuli res du march peuvent pr voir une dur e diff rente et elle peut tre prolong e par ordre de service Contenu se pr parer agir La p riode de pr paration a ainsi pour objectif principal l tablissement par l entrepreneur des documents d ex cution dessins sp cifications calcul l tablissement le cas ch ant par l entrepreneur du PPSPS En concertation avec les diff rents intervenants au march y compris les sous traitants elle comprend la d finition des interfaces mat rielles et organisationnelles la mise au point d finitive des d tails d ex cution la pr sentation des chantillons pour validation par le ma tre d uvre la communication et les changes entre entreprises des plans d ex cution la mise en place de l organisation administrative financi re et technique du chantier l tablissement du c
43. til entrepreneur et Sylvie Peignaux pour cette nouvelle synth se Yves Genthon Pr sident de l OGBTP SOMMAIRE la Les publications de l OGBTP Le descriptif pertinent l harmonisation des dossiers d appel d offres fiches th matiques E Les documents des offices La p riode de pr paration de chantier office du Nord Pas de Calais Lettre type contre le travail ill gal et pour une sous traitance r guli re office de Haute Savoie R ception de travaux les tapes n cessaires office de la Marne a Les travaux en cours R habilitation et architecte E Les services de POGBTP Lettre et questionnaire propos de la contrefa on OCTIME Le guide Architectes entrepreneurs mode d emploi version 2014 5 La vie des offices Les d placements de l OGBTP dans les d partements et r gions fEl L OGBTP et ses partenaires Congr s de PUNSFA Nanomat riaux Colloque CAH LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 ER OrricE GENERAL DU BATIMENT ET DES Travaux Puguics 1 LE DESCRIPTIF PERTINENT Le constat Descriptifs trop lourds pour tre intelligibles comportant de nombreuses erreurs et contradictions internes en contradiction avec les autres pi ces du dossier d appel d offres Tous ces constats font r ver de descriptifs all g s r duits l essentiel pr cis dans la simplicit utiles pour ceux qui doivent les utiliser en un mot pertinents La rais
44. ues pistes de progr s descriptif pertinent harmonisation des dossiers d appel d offres et r ception des travaux Ce num ro se devait galement de refl ter la conjoncture actuelle difficile pour la branche du b timent la sensibilit particuli re et partag e des uns vis vis de la sous traitance d loyale voire du travail ill gal fait cho celle des autres quant aux r habilitations sans architecte Y figure galement la participation de l OGBTP la r flexion sur les nanoparticules qui int grent de plus en plus les mat riaux de construction Poudre de perlimpinpin Nuage de fum e Dangerosit r elle ou fantasm e Cela m rite que l on s y attarde Le questionnaire sur la contrefa on auquel l OGBTP s est associ t moigne aussi de cette attention au danger Ces Cahiers sont enfin l occasion de faire partager l activit de l OGBTP visites d offices d partementaux participation au congr s de l UNSFA colloque du Club de l am lioration de l habitat sur le vieillissement et la d pendance notamment Je remercie les architectes et entrepreneurs des offices d partementaux qui dans le respect de chacun et la convivialit nourrissent ces r flexions Ils t moignent de la pertinence et de la richesse de nos offices pour am liorer de fa on pragmatique l art de construire Mes remerciements galement Daniel Semelet architecte Jean Pierre Anque
45. ui voquent souvent les installations de chantier elles ne sont jamais standard alors que ce sujet n a pas y tre trait la charge de l architecte de utiliser la norme NF P 03 001 comme r f rence syst matique pour tout ce qui concerne les installations de chantier m me en march public veiller ce que le CCTP ne soit pas au mieux redondant avec le PGCSPS au pire en contradiction avec lui le CCTP se r f rera le plus souvent possible au PGCSPS labor pr alablement faire figurer le PGCSPS dans les documents contractuels du march d entreprise et le hi rarchiser produire dans le CCTP une grille r capitulant qui fait quoi et qui paye quoi provoquer une r union de travail avec le ma tre d ouvrage et le coordonnateur SPS pour que ce dernier s impr gne du projet E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 LE LES DOSSIERS D APPEL D OFFRES Fiche o5 Incoh rences entre pi ces graphiques et pi ces crites Constat Il existe de fr quentes incoh rences dans les dossiers d appel d offres entre ce qui est crit et ce qui est dessin Les architectes invoquent le manque de temps entre la r ception des pi ces crites et la date de diffusion du dossier d appel d offres Une autre explication est la difficult pour l ing nierie qui crit de s impr gner du dossier d architecte qui volue et de s impliquer dans le processus it ratif de la conce
46. urs l acte de construire Nous vous joignons la pr sente une plaquette dat e de 2010 tablie par le minist re du Travail pr sentant l essentiel du texte applicable ainsi que les recommandations l intention de tous les acteurs du secteur Nous vous souhaitons bonne r ception des pr sentes et vous prions de croire Madame Monsieur en nos respectueuses salutations Le pr sident de l ODBTP 74 Michel Desvall es ODBTP 74 BTP 74 15 rue Andromede Parc Alta s 74650 Chavanod T l 04 50 77 15 15 E LES CAHIERS DE L OGBTP N 4 resl Ds nir preneurs hitectes 3 DOCUMENT DE L OFFICE DE LA MARNE Office DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS DE LA MARNE R CEPTION DES TRAVAUX LES ETAPES NECESSAIRES La non qualit co te cher tous les acteurs de la construction Pour r duire ces co ts tout en satisfaisant les clients il est indispensable de travailler mieux ensemble La p riode d ach vement du chantier est souvent d licate puisque l ouvrage sera remis au client qui deviendra responsable du b timent on recense les d fauts corriger on se mobilise pour finir dans les d lais C est un moment important qui d bouche sur la r ception de travaux conclusion physique du chantier et transfert de responsabilit au client Ce document a pour objectif de donner quelques conseils utiles aux partenaires pour en faire une tape efficace consensuelle et contractuellement r uss
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