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1. Rencontre Jean Marie Br tillon maire de Charenton le Pont conseiller g n ral du Val de Marne Les Fa DDPO rts avec le CIG sont per us non pas sous l angle de l obligation de travail li e raffi lation mais sous celui a partenariat Jean Marie Br tillon maire de Charenton le Pont conseiller g n ral du Val de Marne ER E Qu est ce qui caract rise selon vous la ville de Cha renton le Pont La ville de Charenton fort bien dot e en termes d qui pements et de services publics et du fait de sa proxi mit avec Paris exerce un fort pouvoir d attraction r sidentielle Ses habitants aspirent un haut niveau de service rendu Depuis 2004 Charenton le Pont a mis en commun avec la ville de Saint Maurice travers une communaut de communes des comp tences substantielles dont la plus embl matique est la culture La gestion du personnel de l EPCI est assur e par la di rection des ressources humaines de la ville dans le cadre d une mutualisation Quelles sont vos priorit s en mati re de gestion des ressources humaines Ma triser les d penses budg taires de structure par l efficience des services tout en modernisant et d ve loppant les quipements publics La comp tence des agents est soutenue et accrue par un effort notable de formation Les personnels de la ville et de l EPCI dispo sent d un espace d auto formation La dynamique indi viduelle est favoris e par l autonomie doit tr2. Ensemble 380 collectivit s et tablissements publics sont affili s au CIG et quasiment la moiti d entre eux le sont titre volontaire R jouissons nous de ce constat I d montre en effet l int r t de la mutualisation dans un domaine expert celui de la gestion des ressources humaines Il fait galement de votre centre de gestion un v ritable lieu d changes d id es de pratiques professionnelles d exp riences et de concertation C est d ailleurs l une des motivations du d put maire de Saint Maur Henri Plagnol dont la ville vient de nous rejoindre Il s agit avant tout de rejoindre un r seau performant d experts afin de cr er un lieu d change qui permet de comparer et rep rer les bonnes pratiques profession nelles En effet s agissant des ressources humaines il ne suffit pas de se tenir inform des volutions r glementaires pour d finir laborer ou construire une strat gie des ressources humaines performante explique t il dans l interview qu il nous a accord e cf p 2 n Le Pr sident Jacques Alain B nisti D put Maire de Villiers sur Marne Le chiffre 14 6 20 C est la note globale obtenue par le journal Collectivit s par les participants l tude de lectorat cf p 7 Bimestriel 38 juin 2011 See Se SR M U CARTER ISERE EN Res ij BLLLLCLLECE LE LI 4 e Pre p T r s affilie a au 1 CIG petite c couronne 3 ss
3. 1 E mE I mr er nm mm E Erx r La ville de Saint Ma am p page 2 gt gt gt a AO l d ae Ce 1 R r h 1 j D H pIE C Se np LU LUI amp Dore sur Marne se mobilise contre l absent isme questions souvent pos es aux services juridiques du CIG Expertise Cu R sultats ae l enqu te Jean Marie de lectorat Br tillon 6 Les rubriques pr f r es maire de Charenton le Pont conseiller g n ral du Val de Marne o Edito Le Enjeux GRH Les Ex Statut Ren chiffre br ves pertise contre la date CIG petite couronne EE Enjeux La ville de Saint Maur La ville de Saint Maur s est affili e au 1 mai 2011 au CIG petite couronne portant ainsi 120 sur 123 le nombre de communes de la petite couronne affili es au centre de gestion Interview du d put maire de Saint Maur Henri Plagnol et rappel des avantages de l affiliation Henri Plagnol d put maire de Saint Maur La ville s est affili e au 1 mai 2011 au CIG petite couronne Vous tiez l une des rares collectivit s de la petite couronne ne pas tre affili e Pourquoi avoir d cid de sauter le pas Qu attendez vous de cette affiliation Pour une grande collectivit telle que la ville de Saint Maur des Foss s la question de l affiliation cl a R eE au CIG ne repose pas sur les m mes crit res que ceux qui peuvent
4. 2 R ception de Collectivit s 35 30 25 20 15 10 5 31 Oui je le re ois directement Non il passe par un circuit interne les circuits d crits sont souvent hi rarchiques DGS puis DGA puis DRH gt La plupart des lecteurs de Collectivit s le re oivent directement 3 La circulation de Collectivit s dans le s service s 20 18 Jamais Parfois Toujours gt La plupart des lecteurs font circuler le journal ce qui augmente son audience 4 Le temps de lecture 15 14 12 11 9 6 3 20 minutes 10 minutes Moins de C est variable je le lis je lis 5 minutes entre 5 et enti rement quelques 20 minutes articles 5 La fonction de Collectivit s 30 25 26 Pr sente des retours d exp riences int ressants d autres collectivit s et tablissements publics Vous est utile pour vous tenir inform e des missions et des initiatives du CIG 6 Les rubriques pr f r es Plusieurs r ponses possibles Edito Le Enjeux GRH Les Ex Statut Ren chiffre br ves pertise contre la date gt La trois rubriques pr f r es du lectorat sont Statut GRH et Expertise 7 Comment am liorer le contenu Avec plus de contenu relatif aux missions et aux initiatives du CIG 8 Avec moins de contenu relatif aux missions et aux initiatives du CIG 3 En consacrant davantage de contenu sur les initia tives des collectivit s et des ta
5. GAPP La mission optionnelle rela LA SET OTE LLE de pratiques profession nelles GAPP du CIG voit une mont e en charge une dizaine de demandes sont en cours d laboration ce qui n cessite le recours des psychologues vacataires Rappelons que les groupes d analyse des pratiques professionnelles permettent aux participants d analyser une pratique profession nelle de mieux appr hender des situations analogues v cues personnellement de se pr parer affronter des situations semblables l ave nir de comprendre d autres situations professionnelles Cette technique concerne notamment les professionnels qui exercent des m tiers ou des fonctions comportant des dimensions relationnelles importantes agents d accueil agents des CCAS des res sources humaines des services sociaux des cr ches L ENTRETIEN PROFESSIONNE Afin d accompagner les collectivit s et les ta blissements publics de la petite couronne dans la mise en uvre de l en tretien professionnel le CIG a largi son offre de missions optionnelles Cette nouvelle prestation de conseil en GPEEC la carte propose partir d un guide mode d emploi un accompa gnement m thodologique du diagnostic du contexte a l valuation de la mission pour aider formaliser les outils d lib ration fiches de postes fiches de compte ren du d entretien professionnel crit res d valuation Cette offre est pr sent e en d tail no
6. le support d une v ritable politique d hygi ne et de s curit au travail Je pense galement au volet sant et aux questions de bien tre au travail qui comme vous le savez constituent aujourd hui un point de progression important dans les collectivit s et dans le monde du travail en g n ral L int gration des agents en situation de handicap est galement un domaine pour lequel la Ville sou haite b n ficier de l expertise du CIG en mati re de recherche de subventions Pourquoi avez vous choisi de ne pas confier aux organismes paritaires CAP conseils de discipline plac s aupr s du CIG qui en assure le secr tariat le soin d examiner les dossiers concernant la carri re et la discipline des agents de Saint Maur La ville a fait le choix de conserver la gestion de ses organismes paritaires car de mon point de vue le maire comme pour sa population doit conserver une relation de proximit avec les agents pour g rer leur carri re en prenant en compte les sp cifi cit s locales dans le cadre de ses pr rogatives li es sa qualit d employeur La ville de Saint Maur s est affili e avec r serve c est dire en conservant le fonctionnement des CAP et du CTP 7 bonnes raisons d tre affili ou de s affilier au CIG petite couronne 1 Vous profitez d une organisation mutualis e de concours et d examens professionnels 2 Vous confiez le secr tariat des organismes paritaires au CIG
7. la garantie maintien de salaire Avec les b n voles du groupement d entraide elle a mis en place des outils de solidarit et d acc s aux activit s socio culturelles Le Pass Petite Couronne propos par le CIG est un ou til encore assez nouveau Certaines actions propos es ont d j t mises en place gr ce l interm diaire du groupement pr cit Nous devons r fl chir aux autres dispositifs que contient ce programme et tablir des comparaisons avec diff rentes formules Quel regard portez vous sur l initiative du CIG d or ganiser chaque ann e un Salon des M tiers de la Petite Enfance 8 dition cette ann e avec le salon du 5 mai 2011 qui vise aider les collectivit s recruter des professionnels dans ce secteur ainsi que dans ceux du social et de la sant Cette initiative nous semble tr s pertinente car le re crutement dans le secteur de la petite enfance est par ticuli rement difficile Notre collectivit est dot e de 6 cr ches collectives et d une cr che familiale Une nou velle cr che collective est en projet Nous faisons ga lement appel un prestataire priv nous proposons ainsi 430 places pour 29 000 habitants Ce salon vient compl ter utilement les dispositifs mis en place pour tenter de r pondre nos besoins tels que les relations directes avec les coles de formation et l apprentissage Vos gestionnaires du personnel utilisent l assistance Juridique statutaire SVP Stat
8. pr dominer aux choix d une pe tite ville En effet les petites villes peuvent l giti mement rechercher b n ficier aupr s du CIG de comp tences m tiers dont elles ne peuvent dis poser en interne compte tenu de la taille de leurs effectifs Pour la ville de Saint Maur il s agit avant tout de rejoindre un r seau performant d experts afin de cr er un lieu d change qui permet de comparer et rep rer les bonnes pratiques professionnelles En effet s agissant des ressources humaines il ne suffit pas de se tenir inform des volutions r gle mentaires pour d finir laborer ou construire une strat gie des ressources humaines performante A cet gard les changes avec les experts du CIG qui disposent d une grande visibilit des pratiques professionnelles de l ensemble des collectivit s de la r gion permettent une laboration stimulante et enrichissante Cette stimulation fonctionne aussi dans les deux sens puisque le CIG est gale ment une source d information pour le l gislateur qui s inspire largement des analyses produites par le CIG T aa 1 TTL pf A unainiiiai a LEA LL 11 p Eg OET j mn 12 ei ni La ville de Saint maur 94 s est affili e au CIG au 1 mai 2011 affilie au CIG petite couronne Qu est ce qui caract rise selon vous la ville de Saint Maur Saint Maur les agents publics sont d vou s et attach s la ville dans laquelle beaucoup hab
9. tout en conservant la ma trise de la gestion de votre personnel et en permettant vos quipes RH de se consacrer d autres missions En d finitive l affiliation au CIG qui n interdit nullement de conserver des instances locales de concertation pr alable permet de d placer d ventuels conflits et constitue avant tout dans un syst me de carri re une garantie de neutralit qui profite autant l autorit territoriale exon r e de la suspicion de client lisme qu l agent lui m me prot g de tout arbitraire 3 Vous b n ficiez de l expertise statutaire du CIG avec notamment SVP Statut Vous tes destinataire des publications statutaires dit es par la Documentation fran aise dont le CIG est l auteur Vous avez acc s au fonds documentaire du CIG 4 Vous profitez des prestations dans le cadre du partenariat avec la CNRACL pour ERGEG 5 Vous pouvez faire part de vos contraintes et difficult s dans l application du droit statutaire au CIG qui peut relayer l information aupr s des pouvoirs publics DGCL DGAFP 6 Vous vous appuyez sur un partenaire RH neutre mais proche de vous dirig par des lus locaux de la petite couronne 7 Vous disposez d un partenaire RH r actif dans un contexte volutif permanent et de nombreuses prestations optionnelles dans le domaine de la sant de l action sociale de l emploi X www saint maur com 75 724 habitants 1 600 agents
10. apporter leur concours aux projets mis en place La participation des agents ces projets permet de mieux conna tre les r alit s du terrain et de recueillir des analyses tr s enrichissantes sur les projets conduits mais aussi de permettre chacun de mieux situer son action et sa participation dans la complexit actuelle du monde du travail Cela repose sur un gros travail de rep rage des missions de chacun et de reconnaissance des comp tences voire de l expertise n cessaire li e celles ci Ce travail est accompagn par le d ve loppement d une culture de la formation et de la mobilit interne qui est un levier important dans la gestion des carri res des agents et des parcours de formation propos s Connaissez vous les missions option nelles du CIG Quelles sont celles qui vous paraissent correspondre aux be soins de la ville de Saint Maur Les missions optionnelles qui reposent sur une expertise statutaire importante qu il convient de croiser avec la mise en place de pratiques facili tant ou all geant l laboration des m thodes ou des proc dures administratives sont particuli re ment pris es Je pense au domaine de l hygi ne la s curit et la sant au travail pour lequel nous b n ficions d une convention qui nous permet de b n ficier des conseils des ergonomes du CIG de m thodes avis es dans la cr ation de notre docu ment unique dont je souhaite qu il soit au del des obligations l gales
11. aspect salarial pr sente des effets pervers rappelle Karine Barbier Notamment celui d emp cher un travail collectif avec les autres services sur les postes ou les conditions de travail la suite des recommandations du groupe de r flexion la DRH la direction de la m decine professionnelle et pr ventive DMPP et les directions pilotes direction des politiques sportives direction de l entretien et de la restauration et le centre technique infrastructures mettent alors en place des actions titre exp rimental Objectif identifier les r actions les plus efficaces aux absences et d finir les indicateurs les plus pertinents Des ateliers RH pour les encadrants En 2009 une note exposant la d marche finalement retenue est pr sent e en CTP CHS puis diffus e largement Cette note a t pr sent e et d battue au cours d ateliers RH d une demi journ e propos e tous les encadrants rappelle Karine Barbier Printemps 2011 cette nouvelle politique destin e faire reculer nr m N D On E mgu A a Dn i D En RE CEE D ANDY DNA FE WE LS PMR aQ fu ARA D l absent isme a t elle port ses fruits Selon Karine Barbier l volution des indicateurs collectifs nombre de jours moyen d arr t en maladie ordinaire an agent n est pas forc ment visible au premier abord Les r sultats diff rent si l on prend en consid ration l ge des agents
12. blissements publics de la petite couronne 18 En consacrant moins de contenu portant sur les initiatives des collectivit s et des tablissements publics de la petite couronne 1 En diffusant quelques informations g n rales sur la GRH dans la FPT 27 Plus pr cis ment par la pr sence d un agenda des v nements venir au CIG 21 Plus pr cis ment par la pr sence de critiques d ouvrages sp cialis s en GRH 9 Autre pr ciser 3 l actualit sous forme de br ves pour se tenir au courant rapidement de ce qui change jurisprudence lois et d crets nouveaux d crets nouvelle r glementation ne pas oublier le statut des OPH gt La nouvelle version de Collectivit s qui devrait pa ra tre la rentr e de septembre s efforcera de tenir compte de ces besoins 8 Le volume des articles 10 36 35 30 25 20 15 10 5 0 3 Convient Souvent trop longs 9 Le style plusieurs r ponses possibles 30 29 26 25 20 1 Informatif Clair Vivant Trop promotionnel et publicitaire 10 La maquette et la mise en pages plusieurs r ponses possibles 25 24 20 15 10 5 1 1 Claire Agr able Moderne Confuse Manque de lisibilit Autre pr ciser format trop important et peu pratique crit un peu trop petit et j y suis habitu e 11 Le format 25 23 20 17 15 O a O Convient Trop grand 12 Note sur 20 14 6 o d
13. ce der nier ayant t licenci ill galement La d cision de li cenciement encourant l annulation en raison de son l galit la commune pouvait l gitimement anticiper une obligation d indemnisation mise sa charge pour r parer le pr judice n de cette ill galit R f rences Articles 2044 et 2045 du code civil D cret n 88 145 du 15 f vrier 1988 relatif aux agents non titulaires de la fonction publique territoriale Conseil d Etat 1 octobre 2001 Commune des Angles req nos 221037 et 221038 Cour administrative d appel de Marseille 24 juin 2003 Ville de Marseille reg n 99MA00884 Cour administrative d appel de Versailles 18 octobre 2007 Commune d Eragny sur Oise reg n O6VE01538 Circulaire minist rielle n 5524 SG du 6 avril 2011 Cong de maternit Accouche ment pr matur La dur e d un cong de maternit est elle r duite en cas d accouchement pr matur NON Le cong de maternit des fonctionnaires et agents non titulaires de la fonction publique territo riale est d une dur e gale celle pr vue par la l gis lation sur la s curit sociale Le cong de maternit est compos d une p riode de cong pr natal et d une p riode de cong postnatal d termin es en fonction de la date pr sum e de l accouchement du nombre d enfants d j charge de l int ress e ou n s viables et du nombre d enfants na tre Ainsi par exemple en cas de grossesse
14. e source de propositions pour l exercice des missions et par la mobilit interne En liaison avec la Communaut de Communes et la ville de Saint Maurice nous venons de mettre en uvre une d marche group e tendant optimiser la place des personnes handicap es Une convention avec le FIPHFP Fonds pour l insertion des personnes handicap es dans la fonction publique de vrait tre sign e d s la fin de l ann e Charenton le Pont est affili e au CIG depuis le 1 Janvier 1989 Quelle image avez vous du centre de gestion Les rapports avec le CIG sont per us non pas sous l angle de l obligation de travail li e l affiliation mais sous celui du partenariat Le concours et la comp tence des interlocuteurs du CIG sont primordiaux pour notre direction des ressources humaines Le CIG propose depuis le d but de l ann e 2011 une nouvelle mission optionnelle relative l accompa gnement social de l emploi Ce contrat cadre per met aux collectivit s y adh rant de mesurer claire ment le retour concret de leur contribution dans un cadre juridique exempt de toute incertitude tout en choisissant le niveau de prestations qu elles enten dent offrir leurs agents Que pensez vous de cette initiative La fragilisation de la situation des agents aux revenus les moins lev s est av r e Notre commune s efforce depuis plusieurs ann es d am liorer son dispositif d ac compagnement social Elle a ainsi instaur avec la MNT
15. ement due en cas de licenciement aux agents non titulaires de la fonction publique territoriale sont d finies par les ar ticles 45 49 du d cret du 15 f vrier 1988 Or le juge administratif a confirm plusieurs reprises que ces dispositions pr sentent un caract re d ordre public Elles doivent en cons quence pr valoir sur les prin cipes g n raux de libre administration des collectivi t s locales et notamment sur la possibilit de transiger telle qu elle est d finie par les articles 2044 et 2045 du code civil Une collectivit territoriale ne saurait donc l galement s en carter en concluant avec un agent licenci une transaction comportant des moda lit s diff rentes Une transaction serait en revanche susceptible d intervenir sous certaines conditions apr s un recours gracieux ou contentieux formul par l int ress contre ladite d cision s il s av re que le li cenciement est ill gal l administration ayant commis une faute La transaction qui a pour objet de mettre fin une contestation n e ou de pr venir une contes tation na tre porte sur la r paration du caract re il l gal de la d cision le montant de l indemnit devant tre proportionn au pr judice subi par l agent Dans un arr t de la cour administrative d appel de Versailles du 18 octobre 2007 le juge administratif a ainsi jug l gitime la signature d un protocole transactionnel entre une commune et un agent non titulaire
16. es que d finies ci dessus R f rences Article 51 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 por tant dispositions statutaires relatives la fonction pu blique territoriale Article 1 alin a 1 de la loi n 84 594 du 12 juillet 1984 relative la formation des agents de la fonction publique territoriale Circulaire minist rielle n MCT B 07 00047 C du 16 avril 2007 relative la loi n 2007 209 du 19 f vrier 2007 relative la fonction publique terri Statut toriale des fonct territoria Recueil CE UE EE i i E LELI ES En Expertise R sultats ae l enqu te ae lectorat 41 repr sentants des collectivit s territoriales et des tablissements publics de la petite couronne ont r pondu l enqu te de lectorat lanc e fin mars ce qui repr sente un chantillon repr sentatif du lectorat de Collectivit s Voici les r sultats de cette enqu te Le journal devrait faire l objet d une refonte pour la rentr e de septembre en tenant compte des besoins exprim s 1 Votre fonction 0 Maire ou Adjoint e DGS DGAS DRH Autre Pr sident e au Maire charg e ou Vice des RH Pr sident e charg e des RH responsable formation HS responsable formation adjoint DRH adjoint DRH responsable administratif gestionnaire administratif du personnel et secr taire de la m decine professionnelle et pr ventive gt gt Le questionnaire a t rempli majoritairement par des DRH
17. itent En revanche avant mon lection la gestion des ressources humaines avait pris beaucoup de retard Un rapport de la chambre r gionale des comptes contenait d ailleurs des observations s v res ce sujet Les promotions et les mutations se faisaient sans v ritable valuation des m rites et des besoins du service public Les fonctionnaires taient peu encourag s se former ou passer des concours En mati re de pr vention des accidents du travail il n y avait m me pas de document unique Sur tous ces sujets le partenariat avec le CIG peut nous apporter beaucoup pour progresser dans la bonne direction LES CHANGES AVEC LES EXPERTS DU CIG QUI DISPOSENT D UNE GRANDE VISIBILIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES DE L ENSEMBLE DES COLLECTIVIT S DE LA R GION PERMETTENT UNE LABORATION STIMULANTE ET ENRICHISSANTE Quelles sont les priorit s en mati re de gestion des ressources humaines de la ville de Saint Maur En mati re de ressources humaines la ville de Saint Maur des Foss s est engag e depuis trois ans maintenant dans une prise en compte de ses ressources humaines au sens d une meilleure connaissance des comp tences des agents qui composent ses effectifs et du d veloppement d un management participatif gr ce la mise en place de nombreux groupes de travail qui permettent autant que possible ceux qui souhaitent le faire et quelles que soient leurs cat gories profession nelles d
18. nnelle et pr ventive les repr sentants des organisations syndicales et du personnel ainsi qu un panel de salari s tous r unis autour du th me de la mobilisation au travaih et des leviers mettre en uvre pour atteindre cet objectif Les r sultats de cette d marche collective sont concluants une diminution du nombre de jours d absence plus ou moins marqu e selon les directions et pour certains agents une r elle remobilisation au travail Pour autant d autres param tres interviennent quant au pr sent isme des salari s au travail notamment la situation sociale et conomique Le champ d intervention demeure vaste La d marche engag e devra donc de mon point de vue trouver des prolongements plus long terme Notre municipalit consid re depuis longtemps que les agents publics doivent tre pleinement associ s la compr hension des orientations municipales et la d finition des moyens d ploy s pour leur mise en uvre En 2009 nous nous sommes d ailleurs engag s dans des rencontres du service public communal qui ont permis de d finir avec les salari s un projet du service public communal de notre commune Celui ci dresse de grands axes de travail afin de d finir collectivement les volutions de nos organisations et ainsi mieux r pondre aux besoins de nos habitants Soucieuse titre pr ventif de lutter contre le mal tre au travail dont l absent isme est l un des r v lateur
19. par exemple Le recul de l absent isme est certes encore insuffisant II n est possible d valuer une action de fond que sur le long terme en prenant en compte les efforts r alis s sur les quipements de protection individuelle l am lioration des conditions de travail la refonte des fiches de poste Des r sultats probants Parmi les r sultats probants la DRH se f licite de la baisse d une Journ e par an et par agent du taux d absence pour maladie ordinaire entre 2009 et 2010 M me satisfaction dans le secteur des politiques sportives avec en 2010 une diminution significative de 20 du taux d absent isme apr s plusieurs ann es de stagnation C t volution individuelle le bilan est consid r comme globalement satisfaisant le nombre d absence chronique reculant de mani re significative Sans compter une am lioration du climat social Nous sommes satisfaits de la m thode employ e qui s est efforc e d apporter des r ponses individuelles aux ny sur Marne a r ussi diminuer le taux d absent isme de ses agents Analyse A z rs x questions pos es tout en associant l ensemble des acteurs et en abordant la probl matique du management des encadrants analyse Karine Barbier Nous recherchons actuellement des solutions l intention des cadres de proximit qui n abordent pas encore cette probl matique avec les agents C t agents les t moignages relatif
20. s cette probl matique de lutte contre l absent isme sont positifs Ces derniers appr cient que notre collectivit se soucie de leur bien tre au travail pr cise Karine Barbier Au total depuis le d but de la d marche une centaine d agents b n ficie d une attention particuli re de la part de l encadrement de diff rents services gestion et pr vention des absences recrutement mobilit mais aussi de la m decine professionnelle et pr ventive PERFORMANCE Dans le prolongement de la conf rence annuelle du 8 avril 2010 Comment mettre en uvre une gestion des ressources humaines performante du concept la pratique la direction de l emploi du CIG a men avec des experts et des professionnels des ressources humaines une r flexion sur la mise en place d indicateurs de mesure de la performance en GRH Les r sultats de cette colla boration se pr sentent sous la forme d une publication Performance de la gestion des ressources humaines in dicateurs et tableaux de bord pour la mesurer disponible sur le site internet du CIG www c19929394 fr dans la rubrique Publications La s rie d indicateurs pr sen t e permet d valuer la GRH sous quatre aspects le recrutement l attractivit la gestion de l encadrement la gestion pr visionnelle des effectifs Ce document donne ainsi aux services des ressources hu maines quelques indicateurs retenus la foi
21. s la mairie de Champigny sur Marne 1 631 agents permanents dont 200 encadrants dans le Val de Marne a d cid tr s t t de s attaquer ce ph nom ne D s 2003 la ville cr e un groupe de r flexion relatif aux conditions de la mobilisation au travail des agents Ce dernier rassemble des agents des encadrants des repr sentants syndicaux mais aussi les directions de la m decine professionnelle et pr ventive des ressources humaines et de l organisation et relations du travail La r action aux absences a t consid r e comme l un des leviers d terminants permettant de favoriser la mobilisation explique Karine Barbier chef du service gestion statutaire et pr vention des absences en charge du projet Le travail de ce groupe a permis d identifier plusieurs leviers de r action aux absences notamment la mise en place d un suivi individuel des agents en absences chroniques 6 6 i n est possible d valuer une action de fond que sur le long terme en prenant en compte les efforts r alis s sur les quipements de protection individuelle l am lioration des conditions de travail la refonte des fiches de poste 9 l poque parmi les mesures ou pratiques relev es dans d autres collectivit s logique de benchmarking le levier salarial travers l utilisation du r gime indemnitaire est vite consid r par les participants au groupe de r flexion comme un simple levier de court terme L
22. s pour leur pertinence et leur simplicit de calcul qui sont d cliner en interne en fonction des besoins de chacun WEB Le nouveau site Internet du CIG www cig929394 fr a t mis en ligne en mai dernier et les newsletters du CIG petite couronne l une destin e aux re pr sentants des collecti vit s territoriales et des tablissements publics de la petite couronne l autre aux autres publics ont t envoy es d but juin Pour les recevoir il convient de s y abonner gracieuse ment depuis le site Internet en page d accueil de l espace Collectivit s pour la pre mi re et en page d accueil de l espace public pour la deuxi me Les abonn s recevront une fois par mois un courriel leur donnant les derni res actualit s du CIG petite couronne derni res publications informations concours v nements emploi ES Statut OQuestions r ponses statutaires Les r ponses trois questions statutaires souvent pos es aux services juridiques du CIG petite couronne Agent non titulaire Transaction sur une indemnit de licenciement Une collectivit territoriale peut elle conclure avec un agent non titulaire une transaction visant or ganiser les conditions financi res de son licencie ment NON Une collectivit territoriale ne peut organi ser par voie de transaction le d part d un agent non titulaire Les modalit s de calcul et de paiement de l indemnit de licenciement ventuell
23. simple lors de la naissance du 1 ou du 2 enfant le cong pr natal est de six semaines avant la date pr sum e de l accouchement et le cong postnatal de dix semaines apr s cette date Lorsque l accouchement a lieu avant sa date pr sum e la p riode de cong de maternit n est pas r duite Les jours de cong pr natal non utilis s s ajoutent au cong postnatal Par ailleurs lorsque l accouchement a lieu plus de six semaines avant la date initialement pr vue et exige l hospitalisation de l enfant la dur e du cong pr natal est augment e du nombre de jours compris entre la date r elle de la naissance de l enfant et celle du d but du cong pr natal initialement pr vu Si l accouchement est en revanche retard par rap port sa date pr sum e la p riode comprise entre sa date pr sum e et sa date effective s ajoute au cong pr natal et ne diminue pas la p riode de cong post natal R f rences Article 57 5 de la loi n 84 53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives la fonction publique territoriale Articles L 331 3 et L 331 4 du code de la s curit sociale Circulaire minist rielle du 21 mars 1996 relative au cong de maternit ou d adoption et aux autorisations d absence li es la naissance pour les fonctionnaires et agents de la fonction publique territoriale R pertoire iak des e all res tel iLL Mutation En cas de mutation dans les
24. tamment sur le site Inter net du CIG espace Collectivi t s rubrique Emploi Contacts Catherine Massoutre Berry chef du service GPEEC c massoutre cig929394 fr Lanto Ranai voson consultante GPEEC et d veloppement des RH ranaivoson cig929394 fr Se Gr ce un travail minutieux collectif et de longue haleine la mairie de Champig PR ue ce soit dans l univers priv ou au sein des trois N fonctions publiques l absent isme est consid r juste titre comme un fl au par les directions des A f ressources humaines qui d plorent notamment la nan d sorganisation des services ou la d motivation des coll gues absents Brigitte TERRADE maire adjoint en charge des RH Les agents publics doivent tre pleinement associ s la compr hension des orientations municipales et la d finition des moyens d ploy s pour leur mise en uvre La lutte engag e contre l absent isme trouve son origine dans un constat le nombre important de jours d absence et une interrogation certaines de ces absences pourraient tre r v latrices d une forme de d motivation au travail Il nous fallait r soudre cette quation qui d une part amoindrissait nos facult s rendre un service optimal la population d autre part g n rait des incompr hensions voire des tensions entre salari s La r flexion s est donc engag e entre la municipalit l administration la m decine professio
25. trois ann es suivant la titularisation la collectivit d accueil doit elle ver ser une indemnit la collectivit d origine OUI Aux termes du deuxi me alin a de l article 51 de la loi du 26 janvier 1984 introduit par la loi n 2007 209 du 19 f vrier 2007 lorsque la muta tion intervient dans les trois ann es qui suivent la titularisation de l agent la collectivit territoriale ou l tablissement public d accueil verse la collectivit territoriale ou l tablissement public d origine une indemnit au titre d une part de la r mun ration per ue par l agent pendant le temps de formation obligatoire et d autre part le cas ch ant du co t de toute formation compl mentaire suivie par l agent au cours de ces trois ann es A d faut d accord sur le montant de cette indemnit la collectivit terri toriale ou l tablissement public d accueil rembourse la totalit des d penses engag es par la collecti vit territoriale ou l tablissement public d origine La circulaire minist rielle du 16 avril 2007 pr cise concernant cette disposition que le co t des forma tions obligatoires prises en charge par le CNFPT est exclu de l assiette de l obligation de remboursement Elle ajoute que les collectivit s valuent librement le montant du remboursement et qu d faut d accord la collectivit d accueil rembourse la totalit des d penses engag es par la collectivit ou l tablisse ment d origine tell
26. ut les publications et participent aux rencontres des gestionnaires Quel regard portez vous sur ces prestations Le ressenti de mes collaborateurs est tr s positif L as sistance juridique s curise parfaitement leur travail Ces Rencontres des gestionnaires sont des lieux d infor mation et d change particuli rement f conds sur des th mes d actualit et avec des intervenants de qualit Que pensez vous du secr tariat des commissions administratives paritaires CAP l accessibilit et la r activit du secr tariat sont mettre en vidence Le nombre et la r gularit des s ances de la CAP sont particuli rement appr ci s par nos services car elles permettent de fluidifier la gestion de la situation des agents Charenton le Pont Collectivit s est une publication du CIG petite couronne 157 avenue Jean Lolive 93698 Pantin Cedex Directeur de la publication Jacques Alain B nisti Directeur de la r daction Francis Fargeot R dacteur en chef Wilfrid Gerber Cr dits photos B Delessard E von Zelowitz DR Conception graphique C Baudouin Mise en pages Evelyne Gourdin Juin Impression CIA D p t l gal parution ISSN 1631 4948 Qu M Le
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