L`insertion n°55 – décembre 2004
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1. Belgique Belgi P P 1190 Bruxelles 19 1 17120 N d agr ation P 204081 L insertion uum Mensuel de la FeBISP ne para t pas en juillet ao t Bureau de d p t 1190 Bruxelles 19 BisP Editrice responsable N Hoffstadt FeBISP rue des Alli s 3 0 7 1190 Bxl T l 02 537 72 04 Fax 02 537 84 04 E mail mailto hoffstadt febisp be Web http www febisp be Avec le soutien de la Commission communautaire fran aise de la R gion de Bruxelles Capitale du Fonds social europ en et du Minist re de l Emploi de la R gion de Bruxelles Capitale Imprim par le CF2m rue Berthelot 114 116 1190 Bruxelles T l 02 538 01 92 E mail mailto cf2000 win be N 55 d cembre 2004 QUI SOMMES NOUS a F d ration bruxelloise des op ra teurs de l insertion socioprofession nelle francophone FeBIlSP a pour voca tion de repr senter l ensemble du secteur de l insertion socioprofessionnelle de la R gion de Bruxelles Capitale Les 57 associations qui la composent ont en commun e d avoir leur si ge d activit s en R gion de Bruxelles Capitale e de travailler dans le domaine de la formation et ou de l insertion socioprofessionnelle e de mener leur action en favorisant galement la participation l mancipation la citoyennet et la cr ation de liens sociaux l galit des chances e de mener leur action en contribuant au d veloppement so2. tion de l Office National de l Emploi un nom bre limit d informations L ONEM n est pas connect New lbis et r colte ces donn es par le biais d une extraction la Banque Car refour Les enjeux du dispositif conjoint RPE CORAIL pour les OI SP L ORBEM vise une plus grande ma trise du parcours d insertion le suivi en temps r el de l action des partenaires du rapport de l offre et de la demande de formation une meilleure gestion du rapport de l offre d emploi et de la demande une optimalisa tion de ses diff rents services Il pr voit aussi 17 de diminuer les d marches administratives mener par les demandeurs d emploi d un or ganisme l autre la suppression du formu laire A15 en est un exemple Le r seau Corail pourrait ne pas se limiter la simple gestion du suivi des stagiaires en formation Concernant l ensemble des parte naires de Bruxelles Formation OISP Ensei gnement de promotion sociale Fonds de for mation sectoriels il pourrait tre utilis la r gulation de l offre de formation profes sionnelle Il est vital pour les op rateurs de formation de rendre visible la globalit de leur action ISP La phase de formation est une tape du parcours d insertion et toute action de for mation est combin e un nombre d heures de guidance et d accueil D montrer le man que r el de places en formation et produire de longues listes d attente permettrait aux OISP d argumen
3. FeBISP avait en juillet 2004 fix la date de fin de test des op rateurs de formation dans Corail au 31 d cembre 2004 sans prolongation Lors de l assembl e g n rale de la FeBISP de ce 6 d cembre 2004 les op rateurs ont d ci d d arr ter leur participation au test fin d cembre La majorit des OISP n encodera dans Corail qu une fois qu ils seront double ment connect s et que les transferts des donn es de nuit seront efficients entre les deux syst mes A quelques jours des f tes de fin d ann e nous n avons pas manqu d adresser une pe tite recommandation au P re No l Pour N 55 d cembre 2004 que la navigation sur les r seaux se fasse sur une mer d huile pour que cela soit in the pocket alles in orde alles voor iedereen il faut que la devise soit un pour tous tous pour un Seul gage d un v ritable partena riat Ana Teixeira 1 La cat gorie C92 indique que le demandeur d emploi est devenu stagiaire en formation Loi sur le ch mage art 92 2 Macro programme que vous cr ez o enregistrez pour stocker une s rie de commandes que vous pouvez r utili ser ult rieurement en une seule op ration Les macros permettent d automatiser des t ches complexes et de r duire le nombre d op rations effectuer pour accomplir les t ches que vous effectuez le plus fr quemment 3 L ORBEM a pour sa part associ les op rateurs de forma tion fin octobre 2004 4 A l
4. N 55 d cembre 2004 Dossier du mois LE RESEAU DES PLATES FORMES LOCALES POUR L EMPLOI 5 ANS DEJ A est partir de l ann e 2000 que Co en accord avec l autorit mi nist rielle a avanc l id e d une mise en r seau avec ses partenaires parmi les quels figurent les organismes d insertion so cioprofessionnelle francophones et n erlan dophones y compris l OOTB les CPAS des communes bruxelloises les ateliers de RAE Recherche Active d Emploi Bruxelles For mation et le VDAB Et c est d s le d but de l ann e 2001 que l ORBEM a associ ses partenaires l labora tion du R seau des Plates formes locales pour l Emploi RPE La mise en place s est d roul e en trois pha ses au cours desquelles l ORBEM a tenu agir soulignons le dans une dynamique de partenariat c est dire en recherchant le dialogue et l change d id es en prenant en compte les contraintes formul es par les dif f rents types d op rateurs et non en cher chant imposer son outil informatique et ses proc dures de travail Chacun est venu avec ses pratiques ses valeurs et son ouverture d esprit pour les confronter puis laborer une d marche commune et coh rente et des pro cessus d action communs ou compl mentai res Lors de la premi re phase qui s est d roul e au cours du 1 semestre 2001 c est une v ritable course de fond et d endurance que se sont livr s les repr sentants des diff rents types de p
5. de l ORBEM aux op rateurs membres du r seau qui pourront non seulement consulter les in formations contenues mais aussi en modifier 12 ou en ajouter si n cessaire sous certaines conditions Oui d accord mais au quotidien Seules les personnes form es et certifi es par l ORBEM pourront utiliser le RPE Apr s avoir suivi la formation chaque travailleur re oit un num ro d identifiant et un petit objet ap pel token qui indique le mot de passe al atoire et changeant mentionner lorsque l on souhaite se connecter au r seau D s lors le conseiller RPE pourra acc der au dos sier d un demandeur d emploi et le mettre jour indiquer un changement d adresse une p riode d emploi ajouter l obtention d un dipl me De m me ce conseiller pourra consulter des offres d emploi et effectuer le cas ch ant une mise en relation en temps r el avec la personne qu il re oit en entre tien Par ailleurs en fonction de la convention qui d pend de la nature de l op rateur le nom bre possible d actions r aliser varie une Mission Locale ou un CPAS pourra proc der l inscription des personnes en tant que de mandeurs d emploi les organismes de forma tion pourront indiquer les entr es et sorties de formation de leurs stagiaires et compl te ront apr s un transfert nocturne de certai nes informations dans la base de donn es Co rail le reste des donn es relatives au champ de la formati
6. deux Missions Locales Forest et Ixelles deux op rateurs de formation ISP francophones Cenforgil et Cobeff et quatre op rateurs d ISP n erlandophones Foyer J eugd en Stad Nivo et De Werklijn La connexion de ces partenaires a t chelonn e entre octobre 2002 et f vrier 2003 en tenant compte des contraintes techniques et humaines propres chacun d eux L exp rimentation qui s est av r e positive a laiss place une extension progressive du RPE l ensemble des 130 partenaires de l ORBEM Pierre Alain Gerbeaux 1 Pour tout savoir de l OOTB voir notre dossier du mois de novembre 2004 UN REVE DEVENU REALITE tait une fois un directeur de l ORBEM M Eddy Courth oux qui r vait d un r seau int gr unique en Europe qui permettrait les changes de donn es entre l ORBEM et ses partenaires dont l objectif principal serait d am liorer les services rendus aux chercheurs d emploi et aux employeurs Ce r ve au cours des 3 derni res ann es a pris corps petit petit Aujourd hui le R seau des Plates formes locales pour l Emploi RPE est op rationnel A ce jour l ensemble des Mis sions Locales et leurs antennes tous les RAE 17 des 19 CPAS l ensemble des partenaires n er landophones et 30 des 46 partenaires de formation francophones sont connect s au r seau C est donc un directeur heureux et enthousiaste qui a pr sent officiellement la presse ce jeudi 16 d cembre son r ve
7. les em ployeurs qui ont r alis quelque chose d int ressant en la mati re le faire conna tre Attention il s agit de formation pour le person nel de l ASBL pas pour les stagiaires Cette ann e c est autour du th me Planifier suivre mesurer les pratiques ou les processus de forma tion Un d fi pour tous Deux Awards seront remis le 2 juin 2005 aux organisations dont le projet pr sent aura re u la pr f rence du jury compos d une douzaine d experts en formation conti nue L un est destin aux Petites organisations oc cupant moins de 200 travail leurs l autre celles regrou pant plus de 200 collabora teurs Le groupe Epsilon est en effet tr s soucieux de s ouvrir aux plus petites en tit s notamment aux ASBL et au secteur non marchand qui occupent de plus en plus de travailleurs Les responsables ou diri geants des ASBL sont invit s pr senter leur dossier de candidature avant le 17 mars prochain au moyen du dos sier ad hoc Les informations pratiques et le r glement sont accessibles sur le site http www epsilon be ou au secr tariat de l association T l 02 374 97 21 Personnes de contact Claire de Brier Ichec mailto claire debrier ic hec be ou 02 778 03 18 Bernard Van Parys Axa mailto bernard vanpari s axa be ou 0476 75 93 29 Stephan Atsou U amp I Learning mailto satsou uni learning com ou 0477 37 00 98
8. lisation des rap ports Etat acteurs priv s visait au travers d une ap proche historique et m tho dologique ne pas r duire la probl matique une ap proche bipolaire Etat priv caract ristique d une vision n olib rale mais de d ve lopper une vision tripolaire laissant place au secteur non marchand ou third sector pour les anglo saxons La mont e en force du secteur non marchand est une des donn es marquantes qui n est pas toujours bien assi mil e ou int gr e dans la phase actuelle Apr s ces remarques th oriques l examen des cas bruxellois avec le R seau des plates formes de l emploi et du cas flamand avec le plan strat gique 2004 2009 du VDAB permit de montrer comment on pouvait progresser non sans probl mes dans cette voie partenariale La suite de la journ e fut consacr e des tudes de cas partir de deux intro ductions celle de M Basilio N 55 d cembre 2004 Napoli directeur g n ral de Forem conseil et celle de M Jean Marie Marx direc teur g n ral de l ANPE Mal gr les diff rences de contextes il est remarquer que les deux organismes sont engag s dans des plans strat giques de red ploie ment et de r organisation des activit s avec pour ca ract ristique la multiplication des partenariats et la d l gation de missions souvent tr s importantes comme dans le cas fran ais Etant donn l importance de ce sujet nous au
9. ques amp information Mich le Hubin attach e relations sociales Delphine Huybrecht attach e conomie sociale Delphine Libert secr taire de direction Ana Teixeira attach e p dagogique formation professionnelle Edito de distribution autoroutiers relationnels les r seaux sont omnipr sents informels transparents souterrains ou encore virtuels lo caux ou plan taires ils orientent facilitent condi tionnent voire complexifient nos modes de vie et nos mani res de travailler Le principe d un r seau est qu il relie plusieurs l ments g ographiquement loign s pour per mettre la circulation et l change de mati re ou d information Ceux qui nous occupent dans ce dossier de L insertion relient des acteurs publics et associatifs au service des demandeurs d emploi Ils mettent en relation des profession nels de l emploi et de la formation pour faciliter l change d information et accro tre leur coh rence et leur compl mentarit d intervention dans le but d offrir finalement un meilleur service aux usagers L un a t d velopp par l ORBEM l autre par Bruxelles Formation L un a d j fait l objet d une exp rimentation l autre est encore en phase de test L un s intitule RPE R seau des Plates formes locales pour l Emploi l autre s intitule Corail Les deux sont destin s tre utilis s entre autres par les op rateurs d insertion socioprofessionnelle bruxellois
10. socioculturel et sportif l APEF R union au Cabinet Dupuis sur l augmentation de l offre de formation en ISP R union du Bureau de l Alternance R union de la Commission zonale au Centre d Entreprises de Molenbeek R union de travail la COCOF sur l embauche compensatoire R union de la concertation R union du Comit de r daction de la Revue Politique pour la pr paration du num ro sp cial sur l Economie Sociale 23 12 e R union du Comit de gestion du FFISP 27 12 e R union du Comit d accompagnement Enqu te ISP la COCOF 22 12 aa Mi M ol H Vos remarques suggestions articles et annonces diverses sont les bienvenus Ainsi nous serons en mesure de faire de ce mensuel un outil utile pratique et agr able Attention les documents pour la prochaine dition de L insertion doivent nous parvenir par e mail si possible mailto hoffstadt febisp be avant le 20 janvier 2005 L insertion 23
11. 005 et qu elle avait obtenu que soit r serv e au secteur de l insertion socioprofession nelle la somme de 300 000 Euros II reste des interro gations quand ce que ce montant recouvre exacte ment les allocations sta giaires certainement et L insertion peut tre le salaire de for mateur s Parall lement la Ministre nous a assur du renouvel lement du pr financement des budgets FSE pour 2005 par la Cocof en tout cas si la Communaut fran aise n arrive pas tenir son en gagement et de sa pr oc cupation de r soudre les probl mes administratifs li s certains aspects de l ac cord non marchand no tamment ceux li s l emploi suppl mentaire suite aux r ductions du temps de travail pour travailleurs g s Elle nous a fait part de sa vo lont en mati re de forma tion des demandeurs d em ploi que tout le monde ne fasse pas tout notamment des formations qualifiantes et des formations de base Nous lui avons fait savoir notre attachement ce que le dispositif ISP puisse conti nuer offrir une palette d actions diff rentes y com pris des formations quali fiantes adapt es aux per sonnes non dipl m es En effet ce sont aussi les for mations qualifiantes qui tirent vers l emploi tout le dispositif m me si l emploi est un objectif de toutes les actions d ISP Nous l avons inform e du fait qu aujourd hui pas loin de 45 des heures de for mation dis
12. accord non marchand du secteur de l ISP et il nous a assur s qu il le ferait Quant la gestion mixte du march de l emploi et au r seau des plates formes pour l emploi il a entendu la volont de la FeBISP d tre concert e de fa on permanente sur ces nouveaux aspects de l emploi dans lesquels tous les OISP et les missions lo cales sont impliqu s A ce propos il nous a an nonc que la FeBISP qui y a pos sa candidature si ge rait dans la Plate forme pour l emploi cr e aupr s du Conseil conomique et so cial au titre de repr sen tante des partenaires de l ORBEM Pour le reste de grosses questions subsistent sur la fa on dont la R gion va financer l augmentation de l offre de formation des ACS sont ils envisageables Il semble que le Ministre ait re u beaucoup de deman des et dans bien d autres secteurs que l insertion so cioprofessionnelle Nous nous reverrons donc La FeBISP sera bien entendu attentive ce que les Ministres tiennent leurs engagements et ce que ensemble ils envisa gent une meilleure coordination des politiques pour une meil N 55 d cembre 2004 leure coordination sur le ter rain Nous ne doutons pas que cela se fera Suzanne Beer 1 Ministre bruxelloise charg e de la formation professionnelle 2 Ministre bruxellois charg de l emploi et de l conomie 3 Nous avons appris depuis par la presse que le F d ral avait allou un budget suppl menta
13. aires Ce fut enfin l occasion d avoir une information d taill e sur ce que recouvre la proc dure d objectivation de transfert des donn es entre l ORBEM et l ONEM Une clarification tait indispensable tant les fantasmes et les folles rumeurs attribuent l Office un r le de d lateur implacable L ensemble des remarques faites par la Fe BISP ont t prises en compte par l ORBEM Certaines rubriques ont t supprim es ex les donn es caract re m dical d autres modifi es ex r sultats des tests espace langues Certaines proc dures propos es par la FeBISP ont t adopt es dans les autres groupes de travail CPAS RAE Les r unions se sont finalis es par l labora tion d une Charte du R seau qui d finit les principes fondamentaux r gissant les activi t s r alis es dans le cadre du r seau C est la suite de ces r unions qu ont t d finis les profils des travailleurs former et le plan de formation du RPE contenus de formation dur e valuation la FeBISP ayant continu tre associ e la r flexion Le programme de formation comprend ainsi d une part des modules g n raux et communs 10 tous les types de partenaires pr sentation du RPE d ontologie et d autre part des modules li s l application s curit site RPE actions r aliser dans New IBIS dont la dur e et le contenu varient selon le degr d utilisation du RPE En effet les CPAS e
14. ar nous avons le plaisir de vous inviter y noter que notre prochaine journ e d tude aura lieu le 26 avril et abordera le th me de la s curit sociale en Europe Nous vous en reparlerons bien videmment dans ce men suel Sur ces bonnes nouvelles nous vous abandonnons la lecture de ce dernier num ro de l ann e et vous souhaitons de tr s agr ables f tes et une excellente ann e 2005 L quipe de la FeBISP L insertion 3 Actualit s N 55 d cembre 2004 RENCONTRES FEBISP MINISTRES REGIONAUX DE LA FORMATION ET DE L EMPLOI a FeBISP a rencontr ucsshener les Mi nistres Fran oise Du puis et Beno t Cerexhe Sans s tendre sur le fait que les Ministres ont d cid ment chacun leur style on peut dire que chacun d eux connaissait manifestement bien la FeBISP et ses mem bres et se sont r v l s ou verts au dialogue Nous leur avons donc sans devoir lon guement nous pr senter relay la situation dans les OISP une pression de plus en plus forte dans les cen tres de formation et dans les missions locales suite aux engagements gouverne mentaux et aux nouvelles r glementations Contrat de Projet Professionnel la demande est norme et le manque de places en forma tion professionnelle dans le dispositif ISP est de plus en plus probl matique La Ministre Dupuis nous a annonc que les budgets de la formation professionnelle taient consid rablement augment s en 2
15. arte Dans New lbis les donn es inscrites ne concernent que les faits concrets qui mar quent le parcours no comment no appre ciation La r gle est de signifier les d mar ches positives du demandeur d emploi Le dossier du demandeur d emploi parle pour lui tels sont les mots utilis s par certains dans la d fense du dispositif conjoint RPE Corail Le demandeur d emploi ne doit plus dire et dire expliquer argumenter justifier se r p ter car tout est crit Mais condition n l omnipr sence de l informatique dans notre quotidien qui pourrait encore se garga riser d avoir le r flexe de demander consul ter son dossier ou plus pr cis ment en de mander l impression C est ici que le r le des conseillers recouvre ra toute son envergure car en effet ce sont eux qui traduisant les r gles d ontologiques en une pratique du m tier pourront au quo tidien les faire appliquer Si la tra abilit du parcours rev t parfois un caract re de contr le il donne aussi l opportunit au conseiller ou au formateur o qu il soit de mieux orienter la personne Participer positi vement la tra abilit des actions des usagers est une mani re de les soutenir dans le contexte du Contrat de Projet Profession nel CPP La preuve de la recherche d em ploi des demandeurs d emploi incombe aux organismes r gionaux d s lors que l usager a marqu son accord L ORBEM met disposi
16. artenaires et leurs interlocuteurs de l ORBEM Les r unions m thodologiques alternaient avec les r unions d ontologiques organis es et anim es par l ORBEM pour leurs partenaires r partis en 4 groupes CPAS RAE OISP et Organismes de formation de ce fait la FeBISP participait aux deux derniers Durant les r unions m thodologiques partir d une pr sentation d taill e et exhaustive de la base de donn es IBIS les partenaires taient invit s dire s ils pensaient pouvoir l utiliser telle quelle formuler leur souhait de modification leurs ajouts d items clari L insertion fier la compr hension des termes utilis s Par la suite il s agissait d identifier les actes que les partenaires pourront effectuer dans la base de donn es et donc de d terminer les zones crans accessibles en visualisation ou en modification En effet un certain nombre d actions sont possibles sur le dossier du demandeur d emploi qui vont de la consulta tion d une offre d emploi la demande de formation en passant par la d livrance de do cuments la r inscription du demandeur Les r unions d ontologiques avaient pour objectifs de s entendre sur les principes d ontologiques telles que la confidentialit l galit de traitement la protection de la vie priv e et leur mise en uvre concr te en ad quation avec les pratiques professionnel les d accueil et d accompagnement des de mandeurs d emploi par les parten
17. avail administratif des OISP L ORBEM assure que le temps de la disquette ORBEM est r volu et que d s 2005 ils n auront plus produire de volet quantitatif Tout reste dire sur une modifi cation des rapports d activit transmettre Bruxelles Formation L ORBEM est pr t retourner aux op rateurs des donn es statistiques sur leurs actions et m me leur communiquer leurs donn es sous fichier Excel de mani re ce qu elles puissent tre directement r injectables dans leur propre base de donn es Le principe d un renvoi des donn es est en cours de n gociation avec Bruxelles Formation L ORBEM comme Bruxelles Formation sont conscients qu il est l gitime pour les OISP de rester pro pri taires de leurs propres donn es La mise en route de Corail entre Bruxelles Formation et les op rateurs de formation Durant pr s de 6 mois Bruxelles Formation a sugg r aux op rateurs qu il allait r colter toutes les donn es se charger de les trans mettre l ORBEM et au FSE Progressive ment il a gagn les testeurs sa cause A force de coups de t l phone et de rappels sympathiques les invitant s y mettre Au bout du compte deux tiers des op rateurs ont pr f r attendre que les deux organismes publics tombent sur un accord avant de pas ser l un ou l autre syst me Une quinzaine d op rateurs de formation a choisi de participer la mise en place de Co rail dans le but de teste
18. cio conomique de la R gion e de s inscrire dans des logiques de partena riats tous les niveaux e d uvrer en partenariat avec les pouvoirs publics notamment l ORBEm la Cocof l IBFFP les pouvoirs locaux le FSE quant aux objectifs et aux moyens mettre en u vre Confront es des r alit s communes elles ont des int r ts d fendre ensemble trois ni veaux 1 en tant que professionnels du secteur 2 en tant qu associations reconnues et subven tionn es par les pouvoirs publics 3 en tant qu associations du non marchand employant des travailleurs En constituant la FeBISP les associations mem bres se donnent pour objectifs prioritaires 1 De renforcer leurs capacit s profession nelles et d expertise via e l organisation d activit s de formation et de recherche permettant la meilleure pratique possible ainsi que la compr hension du mi lieu o elle s ins re e l valuation du partenariat publics op ra teurs partenaires sociaux pouvoirs pu blics pouvoirs politiques l analyse des aspects thiques et d ontologi ques e l examen critique de leurs pratiques afin de d gager les lignes de force des approches de l ISP L insertion 2 De d finir des programmes d action concert e Notamment pour e que les associations disposent des moyens n cessaires afin de r pondre aux besoins constat s sur le terrain et aux missions d int r t g n
19. d le conomique en g n rant une offre de services r guli re r pondant aux be soins de la population Sans vouloir instrumentaliser les travailleurs du secteur il faut admettre que ce sont avant tout des individus qui se trouvent la source de cette offre c est en effet par leur formation leur comp tence la valeur ajout e de leur tra vail organis qu ils peuvent contribuer une reconnais sance du secteur en tant qu acteur conomique La CENM a bien int gr cette composante essentielle pour se forger une ligne de conduite et mener son action tout en se rendant compte que son efficacit doit tran siter par la reconnaissance du r le in luctable des pou voirs publics In luctable certes mais en garantissant toutefois l autonomie des gestionnaires non mar chands 10 ans au service du non marchand au service d une qu te de l gitimi t en qu te de chiffres La Conf d ration n a pas mis 10 ans pour percevoir l im portance croissante du sec teur non marchand Mais le tout n est pas de s en aper cevoir Encore faut il pouvoir la chiffrer afin de faire pren dre conscience au Politique de sa n cessaire int gration dans notre mod le conomi que Une approche chiffr e est susceptible de donner au secteur un contour et par tant une sp cificit Jan Smets directeur de la Banque Nationale de Belgi que a d abord voqu dans son expos les obstacles jus tifiant la raret de
20. devenu r alit Enthousiasme partag par le Ministre Beno t Cerexhe Ministre bruxellois de l Economie de l Emploi et de la Recherche scientifique qui lors de cette conf rence de presse a affirm que la politique de l emploi dans notre R gion tait arriv e un moment de son histoire o la mise en R seau des diff rents intervenants sur le march de l emploi bruxellois devenait plus que n ces saire afin d assurer une coh rence au dispositif et d en engranger des plus values Depuis la cr ation de la R gion la politique de l emploi Bruxelles s est structur e par l interm diaire de son principal acteur l ORBEM autour du concept de partenariat d insertion socioprofes sionnelle Ce partenariat s inscrit dans l instauration du parcours d insertion des demandeurs L insertion 11 N 55 d cembre 2004 d emploi Ainsi l ORBEM a d velopp des relations avec diff rents intervenants publics et priv s qui ont pris la forme de conventions de Partenariat L ambitieuse politique de l emploi que je souhaite d velopper n cessite des structures adapt es et interconnect es entre elles dont la clef de vo te en mati re d emploi est et reste l ORBEM A l angoisse persistante de l utilisation contre les chercheurs d emploi des donn es r colt es leur sujet Eddy Courth oux r pond Je garantis que ce r seau est fiabilis et r serv exclusive ment aux partenaires Je dis de mani re p remptoire que ces infor
21. e Marianne Do ny directrice de la section juridique de l Institut d Etu des europ ennes de l ULB aborda dans un expos pr cis et fort document les diff rents cadres juridiques qui r glent non seulement la l gislation europ enne le droit de la concurrence la lib ralisation des services mais aussi les conditions dans lesquelles les services publics de l emploi peuvent et doivent d velopper leurs activit s Des questions fort pr cises furent abord es si le droit communautaire s oppose un monopole absolu du service public il n interdit pas le maintien de certains droits exclusifs comme c est le cas dans l ordonnance bruxelloise de la gestion mixte la d finition du service d int r t g n ral accompli par l organisme public in combe toujours aux Etats membres dans notre cas in fine aux R gions les conditions d autorisation que doivent recevoir les agences priv es le financement des services publics d emplois faut il scinder les fonctions de r gulateur et d op ra teur dans le chef des servi ces publics d emplois quel fondement juridique aux partenariats public priv Le second orateur est bien connu de nos lecteurs puis qu il s agissait de M Gabriel Maissin notre administrateur d l gu mais qui est aussi conomiste sp cialis dans les sciences de la population et du d veloppement Son expos intitul Une tenta tive de mod
22. ents collectifs s lection information gestion des agendas conna tre les contraintes li es aux financements et aux parte nariats et les int grer dans les d marches administratives Profil et conditions e condition ACS e graduat en insertion socioprofession nelle assistant en psychologie assis tant social e exp rience d environ 5 ans bar me de la convention collective 329 comprendre le n erlandais et avoir une expression de base pratiquer les outils bureautiques traitement de texte tableur base de donn es capacit d coute et de dialogue e analyser et synth tiser avec discer nement et recul les situations et les probl mes e tr s bonne capacit d expression orale bonne pr sentation et facilit de r daction capacit d adaptation diff rents pu blics et diff rents milieux de travail capacit travailler en quipe et en relais neutralit face aux probl mes et ca pacit faciliter l expression d autrui 1070 Bruxelles T l 02 555 05 60 mailto secr mlanderlecht misc iris net be Envoyer CV amp lettre de motivation MLOC d Anderlecht asbl Curo Hall ler tage Rue Ropsy Chaudron 7 Agenda Bruxelles Formation recrute avec constitution de r serves un e di recteur trice de P le pour son Centre de formation aux M tiers Techniques et I ndustriel au Trans port et la Logistique et un e directeu
23. er le gros uvre le parach ve ment e montrer de r elles comp tences en management et en ing nierie tude et gestion de projet e disposer d aptitudes p dagogiques e avoir une bonne connaissance du tis su conomique des secteurs concer n s e la connaissance du milieu de la for mation constitue un atout Faites parvenir votre candidature CV copie du dipl me attestations patronales pour le 13 janvier 2005 au plus tard Bruxelles Formation Service Recrutement amp Examen rue de Stalle 67 1180 Bruxelles mailto recrutement bruxellesform ation be Les r glements complets des ap pels candidatures sont disponi bles sur le site www bruxellesformation be LE TRAVAIL DE LA FEBISP EN DECEMBRE O1 12 02 12 intervention R union sur les stages en entreprises l ORBEM e Rencontre avec Jamila Benazzouz de chez Randstad sur ses partenaires et la structuration de leur R union de pr paration la journ e de formation CESSoC Rencontre avec Isabelle Allinckx sur le contrat de formation professionnelle lien formation emploi 03 12 R union ECSA pour REVES la CECOP 04 12 e R union ECSA pour REVES la CECOP 06 12 e Conseil d administration de la FeBISP e Assembl e g n rale de la FeBISP L insertion 22 N 55 d cembre 2004 07 12 R union des permanents CESSoC Louvain La Neuve R union avec Monsieur Lalieux de la R gie de Quart
24. es Formation menant la course contre la montre auront proc d aux derni res installations et connections des r seaux New lbis et Corail Le premier g re le parcours d insertion du demandeur d emploi le second trace le parcours de formation du stagiaire Ayant distribu les codes d acc s ils auront form l ensemble des travailleurs concern s auront en bref tout fait pour que le nouvel outil du partenariat ISP soit de fait op rationnel d s l aube 2005 Mais la nuit sera longue il faudra sans doute attendre au minimum jusque fin mars pour que l ORBEM comme Bruxelles Forma tion aient enfin fini de connecter les derniers lectrons libres Deux jours de formation sont n cessaires aux travailleurs qui asserment s seront la man uvre New lbis dans le RPE Pour Corail les op rateurs apprendront sur le tas avec un mode d emploi et l aide du ser vice informatique de Bruxelles Formation Ethique de fonctionnement Les principes d usage du dispositif conjoint RPE Corail ont t clarifi s par le Directeur g n ral de l ORBEM Monsieur Courth oux Les donn es RPE concernent le parcours d insertion du demandeur d emploi DE les donn es Corail concernent le stagiaire en formation Quiconque est partenaire de l ORBEM participe au R seau des plate formes pour l Emploi Bruxelles Formation L insertion est soumis aux m mes r gles d ontologiques que tous les partenaires du RPE inscrits dans la Ch
25. exception des op rateurs de formation Cobeff Cenforgil qui ont particip aux phases de test RPE Annonces Offres d emploi La Mission Locale de Bruxelles Ville engage un e agent d insertion pour contrat mi temps dur e ind termin e Description de la fonction e accompagner les candidats dans la mise en place d une strat gie indivi duelle de recherche emploi prenant en compte des r alit s personnelles et environnantes e assurer la promotion de l action e prospecter les entreprises et cr er des partenariats Profil et conditions e conditions ACS BXL habitant BXL e gradu e e enseignement secondaire sup rieur ou gradu e connaissances th oriques et techni ques dans les m tiers de b timent e exp rience dans la conduite d quipe e sens des relations humaines e connaissance du marche de l emploi bruxellois Envoyer CV amp lettre de motivation MLOC de Bruxelles Ville asbl Mme Vanderstraeten bd E Jacqmain 50 1000 Bruxelles T l 02 219 80 71 mailto mloc_bxl_ville hotmail com Envoyer CV amp lettre de motivation MLOC de Bruxelles Ville asbl bd E J acqmain 50 1000 Bruxelles T l 02 219 80 71 mailto mloc_bxl_ville hotmail com La Mission Locale de Bruxelles Ville engage un e encadrant e d quipe de b timent Profil et conditions e conditions ACS BXL habitant BXL L insertion La Mission Locale d Anderlecht re cru
26. hamps utiles au respect du statut du stagiaire en formation que les OISP s engageront remplir obligatoirement Sur le volet p dagogique les modalit s du programme de formation sont d j d finies dans leur convention de partenariat avec Bruxelles Formation et le suivi p dagogique individuel des stagiaires reste de leurs com p tences Pour les OISP et plus particuli rement les op rateurs de formation leur implication dans le r seau conjoint New lbis Corail n est pas qu un simple changement de support pa pier l informatique L ORBEM a pour sa part associ les op rateurs4 de formation fin octobre 2004 La distribution de codes d acc s va entra ner une redistribution des fonctions dans l quipe de travail Le nombre de codes d acc s sera d office limit par association Le suivi admi nistratif concernera t il les m mes travail leurs selon qu ils s agit de New lbis ou de Co rail Les travailleurs certifi s RPE ne seront pas forc ment ceux qui auront re u le code d acc s Corail Comment combiner l utilisa tion des deux r seaux dans le respect des fonctions actuelles des travailleurs L encodage d informations concernant les stagiaires sur un r seau internet oblige les directions revoir la circulation de l informa tion au sein des associations d autant que 20 ces informations sont rendues de plus en plus sp cifiques Le Comit de concertation Bruxelles Forma tion
27. ier 08 12 e Conseil d administration de la Fesefa R union du Groupe 7 du Pacte Territorial pour l Emploi l ORBEM e Rencontre autour de l conomie sociale dans le b timent avec l ATES Association Tourquennois d conomie sociale 09 12 R union du groupe de r flexion emploi formation au Parlement bruxellois e R union du Bureau de concertation de l ISP la FeBISP e R union concertation sociale chez ARCO e R union du groupe de travail Missions Locales la FeBI SP e R union sur le Pacte Associatif chez Inter Environnement e R union enqu te ISP la COCOF e R union de travail avec Molenbeek Formation 10 12 13 12 R union sur l Alternance la FeBl SP e Assembl e extraordinaire du CBCS e Journ e FRB organis e par la CESSoC Evaluation 14 12 e R union du Comit de liaison FSE au Cabinet Dupuis 15 12 e S ance d information sur le Fonds F d ral de l Economie Sociale et Durable avec Cr dal et Brusoc la FeBISP Conseil d administration CESSoC R union au Cabinet Dupuis sur projet pilote alternance R union de travail avec le CEFA Uo 16 12 Conf rence de presse de l ORBEM sur le RPE e Conseil d administration de la FeBISP e Journ e FRB organis e par la CESSoC Relations sociales 20 12 e R union sur les statuts de l UBENM union bruxelloise des entreprises du non marchand 21 12 R union de la CCFEE R union du Comit de gestion Fonds de formation
28. ion entre son administration et ses partenaires Mis en r seau via Internet il s agit d une ap plication s curis e avec cryptage des don n es consultable partir de n importe quel ordinateur condition bien s r que l utilisa teur indique son code d acc s A partir de l il est possible de consulter et ou modifier le Signal tique d un stagiaire ses comp tences d clar es son parcours de formation de consulter les appr ciations no L insertion t es lors des divers contacts d enregistrer une nouvelle demande de formation d indi quer une entr e en formation et les donn es aff rentes Par ailleurs une s rie de docu ments types peuvent tre compl t s et im prim s les contrats de formation les for mulaires ONEM C91 et C98 L outil permet galement de r aliser des t ches communes relatives aux stagiaires d une m me session de formation Ainsi est il possible d ajouter et d imprimer de nouveaux contrats de for mation de r diger et d imprimer les formu laires C91 et C98 de mettre jour les tats de prestations mensuelles Si de l avis des travailleurs qui testent cet outil celui ci s av re techniquement int res 15 sant globalement bien construit et facilitant le travail administratif si la collaboration l coute et la disponibilit dont font preuve les techniciens de l Institut est fort appr ci e la d marche adopt e par Bruxelles Formation pour sa mise en uvre
29. ire de 1 65 mil lion la R gion pour l accompagne ment et le suivi des ch meurs La Mi nistre Dupuis aurait d cid d affecter cette somme la formation des jeu nes ch meurs de longue dur e qui ont sign un contrat de projet profes sionnel 4 Toutes proportions gard es on parle ici de formations de type qualification du niveau enseignement secondaire 5 Initiatives de D veloppement Local de l Emploi destin es comme les Entre prises d insertion cr er de l emploi adapt aux personnes peu qualifi es et demandeuses d emploi de longue dur e SEMINAIRE EUROPEEN DE L ASSOCIATION MONDIALE DES SERVICES PUBLICS D EMPLOIS AMSEP LA FEBISP PARTICIPE A UNE REFLEXION SUR LA GESTION MIXTE DU MARCHE DE L EMPLOI Association mondiale des services publics d emplois AMSEP re groupe travers le monde des organismes comme l ORBEM le FOREM le VDAB pour la Belgique l ANPE fran aise ainsi que leurs homologues grec allemand danois slov ne croate es pagnol italien Le 17 novembre dans les lo caux de l ORBEM la section europ enne avait rassembl une trentaine de directeurs g n raux responsables de L insertion planification et experts se niors pour un s minaire de r flexion pour aborder le th me L externalisation de services par les organis mes publics d emplois dans le cadre europ en Deux orateurs furent invit s planter le d cor des tra vaux Madam
30. it trois finalit s assurer une visibilit et une meilleure com pr hension du d roulement du parcours d insertion des demandeurs d emploi d velopper une plus grande proximit et accessibilit des services que l ORBEM est tenu d offrir aux demandeurs d emploi et aux employeurs faciliter la communication entre les diff rents acteurs demandeur d emploi DE entreprises op rateurs d insertion socio professionnelle Missions Locales op ra teurs de formation op rateur de guidance op rateur public de formation Bruxelles formation CPAS ateliers de recherche Ac tive d Emploi et services de l ORBEM L effet attendu est de d velopper la com pl mentarit du travail r alis par chacun L insertion aux employeurs et aux demandeurs d emploi Ces derniers devraient voir une simplification de leurs d marches accomplir Le RPE de vrait permettre de r duire consid rablement leur parcours administratif du combat tant de multiplier les portes d entr e l insertion de rapprocher les offres d emploi des lieux o se trouvent les demandeurs d emploi et d augmenter ainsi la possibilit d y avoir acc s dans un temps le plus court possible de faciliter la communication entre un op rateur en contact avec une personne et un op rateur qui l tait pr c demment Magnifique mais concr tement Concr tement et j ajouterai techniquement il s agit d ouvrir les bases de donn es
31. les deux objectifs sui vants assurer une relation individuelle de qualit lors des entretiens et utiliser l outil RPE pour fournir des donn es les plus ac tuelles possibles La possibilit pour les partenaires conseillers en Mission Locale animateurs de Recherche Active d Emploi formateurs accompagna teurs de guidance agent d insertion des CPAS d acc der au dossier du demandeur d emploi de contribuer le tenir jour est r ellement une plus value pour ce dernier En effet les principes m thodologiques rete nus impliquent pour le travailleur en relation avec un demandeur d emploi d inscrire dans son dossier informatique chaque contact t l phonique entretien participation une r union d information Ceci a pour cons quence de rendre beaucoup plus visible le travail quotidien des op rateurs d insertion et les d marches effectu es par le public Et par rapport l accord de coop ration de 2004 relatif l accompagnement et au suivi actif des ch meurs Ah l il convient d tre extr mement atten tif viter tout amalgame ou proc s d in tention Tel qu il est con u et utilis le RPE n est pas un outil de contr le de l ONEM Tel qu il est con u et utilis il permet notamment de remplacer la fameuse disquette ORBEM que les partenaires devaient transmettre an nuellement au service partenariat de l Office Tel qu il est con u et utilis le RPE constitue la fois u
32. les propositions de parcours de formation les cas objectivement constat s par les conseillers de l ORBEM ou de ses partenaires de refus d emploi conve nable ou de formation professionnelle ou en core les radiations d inscription en tant que demandeurs d emploi Notons au passage que bon nombre de ces informations font l objet d un transfert depuis de nombreuses ann es N 55 d cembre 2004 sans que personne ne s en soit mu ou pr oc cup On peut certes voir dans le RPE un moyen d augmenter la surveillance et le contr le des demandeurs d emploi Mais on peut aussi y voir un moyen de faciliter et de rendre plus coh rent le sacro saint parcours d insertion et de surcro t un moyen de briser l image erron e du demandeur d emploi profiteur Car un outil n est ni bon ni mauvais en soi C est l utilisation que l on en fait qui im porte Un piolet sert avant tout aux alpinistes pour gravir des sommets et pourtant par le pass un certain L on T en voyage d agr ment forc au Mexique s est retrou v avec un tel objet plant dans le dos Pierre Alain Gerbeaux 1 Deux appellations de certification sont pr vues soit conseiller RPE pour les travailleurs qui assurent une fonction d agent d insertion et des entretiens avec les demandeurs d emploi soit agent RPE pour les tra vailleurs qui occupent une fonction administrative et qui sont charg s de l encodage des donn es r colt es par les age
33. mations n aboutiront pas l ONEM Toute adh sion au RPE est conditionn e par l engagement de chacun des partenaires respecter la charte d ontologique du r seau Il ne faut pas oublier non plus que le chercheur d emploi a galement un droit de regard sur le contenu des informations le concernant M Courth oux pr cise que les donn es communiqu es par l ORBEM l ONEM dans le cadre de l accord de coop ration ne seront que des donn es neutres et objectives tout comme c tait le cas jusqu pr sent extraites d sormais du RPE 2005 ann e de d fi D s janvier une lettre d information trimestrielle sera mise en ligne sur le site internet de l ORBEM afin de r pondre aux questions et attentes des partenaires et travailleurs Bien entendu la connexion des partenaires au r seau et la formation des travailleurs concern s se poursuivront afin que chaque partenaire puisse d s que possible acc der au r seau et le nourrir via le site s curis de l ORBEM Il sera ensuite int ressant de pouvoir gr ce aux donn es et statistiques fournies par le RPE suivre l volution du march de l emploi et v rifier que l offre de formation correspond bien aux besoins mis en vidence Nathalie Hoffstadt RPE MODE D EMPLOI l Emploi qui relie l ORBEM et ses parte core e R seau des Plates formes locales pour Jusqu ici l intention est louable mais en Ce r seau vise assurer un meilleur service naires poursu
34. n Lors de l inauguration des locaux de la Mis sion Locale de Molenbeek AMIS asbl Ma dame la Ministre Fran oise Dupuis avait illus tr sa conception de la m thodologie de projet par cette citation attribu e Lao Tseu un voyage de mille lieues commence par bien poser le premier pas Faisons le v u l approche de la nouvelle ann e que Bruxelles Formation posera calmement le se cond pour garantir Corail ses chances de succ s avec tous ses partenaires Pierre Alain Gerbeaux 1 Extrait de la fable le Lion et le Rat J ean de la Fontaine L insertion 16 N 55 d cembre 2004 NEW IBIS ET CORAIL COTE A COTE POUR TOUJ OURS souris danseront la Saint Sylvestre pac tisera avec l informatique Et c est ain si qu en ce 24 d cembre 2004 un Vive le P re No l vive le r seau r sonnera dans les chaumi res et que ficel e d coup e embrigad e entre pommes de terre et airel les la dinde poussera son dernier cri comme la version papier du dispositif ISP C 31 d cembre 2004 pendant que les Et c est ainsi qu au lendemain de la veille en ce 1 janvier 2005 apr s avoir profit du boire et du manger apr s avoir guindaill festoy dans cotillonn presque t d rai sonnables vous prendrez deux aspirines et vous parlerez gentiment vos souris car du rant la nuit le R seau des Plate formes pour l Emploi RPE et Corail se seront retrouv s L ORBEM et Bruxell
35. n des services non sans compter sur tous les parte naires y compris les dix nouveaux Etats membres Mich le Hubin 1 Soit exactement 333 878 travailleurs en 2001 2 Les branches d activit correspondent la classification NACE 3 85 dans le secteur de la sant L insertion N 55 d cembre 2004 PLANIFIER SUIVRE MESURER LES PRATIQUES OU LES PROCESSUS DE FORMATION UN DEFI POUR TOUS n grand nombre de U travailleurs du milieu associatif occupent des emplois subventionn s qui sont parfois plus pr caires que les autres et pourtant un grand professionnalisme se d veloppe li une re connaissance des m tiers et la possibilit de faire car ri re dans ce secteur en volution constante La formation professionnelle continue des travailleurs de ce secteur est sans doute elle aussi en pro gression Elle reste ce pendant tr s mal connue et m riterait d tre mieux valoris e Le Groupe Epsilon qui repr sente les professionnels de la formation en entreprise souhaite pouvoir mettre en exergue certaines exp riences de formation particuli rement int res santes Que la particularit du projet tienne aux publics cibles aux m thodes et sup ports p dagogiques ou la mani re d avoir int gr la formation dans d autres pr L insertion occupations de gestion dont la GRH en particulier Pour ce faire il organise tous les deux ans un TRAINING AWARD invitant
36. n es de l ORBEM C est ce der N 55 d cembre 2004 nier qui transmet l Office national une s rie d informations objectives dont la liste exhaustive est pr vue par un texte sur la si tuation des demandeurs d emploi indemnis s L ONEM ne peut donc pas non plus s adresser un partenaire pour obtenir des informations sur la situation d un demandeur d emploi in demnis L encodage par les partenaires des contacts avec le public de ses demandes et des ac tions entreprises de recherche d emploi et ou de formation permettra au contraire de rendre visible une quantit d information plus importante et pourra servir de preuve d un comportement actif de la part des de mandeurs d emploi Ce qui s av re plut t po sitif en ces temps de suspicion de recherche d conomies budg taires et de recherche de bouc missaire au probl me structurel et macro conomique du ch mage Pierre Alain Gerbeaux 1 R gles d ontologiques applicables 2 Voir l article Plan d activation du ch mage enlisement du domaine de la lutte Bruxelles in Alter Echos n 176 14 au 27 novembre 2004 p 14 CORAIL PATIENCE ET LONGUEUR DE TEMPS FONT PLUS QUE FORCE NI QUE RAGE ux alentours du mois de mai 2004 Aie Formation informe les op ra teurs d insertion qu il a d velopp un outil informatique baptis Corail permettant la gestion administrative et le transfert d informations relatives aux stagiaires en format
37. n outil de communication en temps r el ou quasiment r el un outil statistique pour l ensemble des op rateurs du r seau et un outil pour offrir un accompa gnement et j cris bien accompagnement et non contr le plus efficace aux demandeurs d emploi Les types d information qui vont figurer dans ce r seau ne sont pas nouveaux Tout op rateur avait l obligation en vertu de sa convention de partenariat de transmettre 13 ces donn es l ORBEM Ce qui change avec le RPE ce sont les r f rents et les proc dures d encodage de nouveaux acteurs ont cette possibilit la circulation et le partage des informations d un mod le vertical binaire partenaire ORBEM l on passe un mod le syst mique un ensemble d op rateurs inter connect s Tel qu il est con u et utilis le RPE est si j ose dire glasnostable C est dire qu il rend beaucoup plus facilement visibles par eux et pour eux les activit s de toute une s rie d acteurs de la formation et de l emploi au profit des demandeurs d emploi Dans ce r seau l ONEM n est pas partenaire Ses agents et ses facilitateurs ne dispo sent ni de num ro d identifiant ni de token Ils ne peuvent pas se connecter la base de donn es IBIS L ONEM n a connais sance que des seules informations objectives transmises par l ORBEM dans le cadre de l accord de coop ration comme les dates d entretien avec des conseillers de l ORBEM ou de ses partenaires
38. nts d insertion 2 La formation pour les op rateurs g n ralistes Missions Locales et CPAS s tend sur 5 jours contre 2 5 pour les op rateurs de formation dont le panel des t ches possi bles dans le RPE est moins tendu Elle comporte plu sieurs modules l utilisation technique de l outil les ac tions et les proc dures que les travailleurs seront amen s effectuer la connaissance et le r le des diff rents ser vices de l ORBEM et des autres partenaires et bien s r la d ontologie li e l utilisation de l outil 3 n ologisme du russe glasnost transparence et du fran ais ou de l anglais able suffixe indiquant la capacit LES RDA DU RPE omme voqu dans l article sur l histo rique les r unions entre l ORBEM et ses partenaires ont abouti l laboration d une Charte du RPE En quelques pages cette charte qui fait par tie int grante de la convention RPE sign e par tout op rateur d finit les principes fondamentaux qui r gissent la mise en u vre du R seau des Plates formes locales pour l Emploi Elle pr cise que les textes l gaux et conventionnels en vigueur dont d coule le partenariat ORBEM op rateurs de meure d application L insertion 5 principes Outre les trois finalit s poursuivies par le RPE voir l article RPE mode d emploi la charte d taille les r gles d ontologiques applicables dans les relations entre partenai res et demandeu
39. on professionnelle Bien entendu cette utilisation se fera conform ment aux principes d ontologiques d finis dans une Charte du r seau et aux mo dalit s d finies dans une convention conclue avec chacun d eux Pr cision utile toutefois il appartient conjointement aux travailleurs et leur direction de d finir la mani re et le moment d encodage des donn es L ORBEM n a jamais impos de mettre l ordinateur en tre le conseiller et le DE pour un encodage en cours d entretien Cependant il peut tre int ressant et pertinent d associer le DE de lui montrer en quoi consiste son dossier et de proc der son actualisation Cela permet no tamment de d mystifier l outil En outre rappelons que le demandeur d emploi a un droit d acc s et de consultation aux informa tions contenues dans son dossier Et rien n est d fini et donc a contrario rien n est in terdit quant la mani re dont ce droit s exerce Ainsi il est parfaitement envisagea ble que le conseiller RPE et l usager soient L insertion N 55 d cembre 2004 assis c te c te face l cran d ordinateur pour compl ter le dossier Dans l hypoth se o le conseiller r alise l entretien son bu reau rien ne l emp che de pivoter l cran de l ordinateur pour que l usager puisse le vi sualiser galement Bref les possibilit s sont multiples et c est chaque conseiller de trouver la mani re dont il se sentira le plus l aise pour concilier
40. para t pour le moins tonnante Par petits groupes les OISP ont t invit s en mai et juin une pr sentation de l outil et manifester leur intention ou non de le tester Toutefois s il existe une date de d but de la p riode de test diff rente selon les OISP qui s y sont engag s puisqu elle d pend de la date de la r union d information laquelle ils ont t convi s aucune date de fin n a t pour l heure d finie Sauf supposer qu elle co ncide avec la date de mise en place g n ralis e pr vue pour le 1 janvier 2005 Par ailleurs qui dit phase de test dit en principe valuation finale et ajustement ventuel de l outil en fonction des r sultats de cette valuation Mais ce jour aucune information de l Institut n est venue confir mer la mise en place d une telle proc dure ni de ses modalit s Au contraire un courrier du directeur g n ral envoy mi novembre men tionne que le premier trimestre 2005 consti tuera une phase transitoire pour permet tre chaque op rateur de s assurer de la ma trise compl te de l outil et de pr parer son interface de travail Enfin les OISP sont quasi unanimes pour d plorer l absence de discussion relative la d ontologie pr alablement la phase de test et a fortiori la g n ralisation du r seau D autant que dans un avenir encore ind fini Corail devrait devenir selon ses concepteurs un outil d informations p dagogique
41. partir de 2005 Qs soient d influence de communication Puisque nous parlons de 2005 sachez que nous pr parons activement cette ann e nouvelle la FeBISP Ainsi nous avons organis des rencontres avec les Ministres de l emploi et de la formation N 55 d cembre 2004 Sommaire Actualit s gt Rencontres FeBISP Ministres r gionaux de la formation et de l emploi gt S minaire europ en de l association mondiale des services publics d emplois AMSEP la FeBISP participe une r flexion sur la gestion mixte du march de l emploi gt La CENM a souffl ses dix bougies gt Planifier suivre mesurer les pratiques ou les processus de formation Un d fi pour tous Dossier du mois gt Le r seau des plates formes locales pour l emploi 5 ans d j gt Un r ve devenu r alit gt RPE mode d emploi gt Les RDA du RPE gt Corail patience et longueur de temps font plus que force ni que rage gt New lbis et Corail c te c te pour toujours gt Le r le des OISP dans les r seaux partenaires ou sous traitants Annonces Agenda gt Le travail de la FeBISP en d cembre afin de pr parer un terrain qui nous l esp rons sera riche en projets concrets et efficaces voir page 4 Avant de vous quitter une question capitale Avez vous d j votre agenda 2005 Si ce n est pas le cas peut tre le p re No l vous l apportera t il Pourquoi vous demandez vous C
42. pens es par les OISP sont des heures de formation qualifiante faites en partenariat avec Bruxelles Formation agr es par la Cocof et cofinanc es par le FSE II faudra nous revoir mais en attendant la FeBISP a collect les possibilit s d augmentation des offres de formation chez ses mem bres et les transmettra chiffr es la Ministre avant la fin de l ann e Le Ministre Cerexhe s est longuement entretenu avec nous sur les missions loca les l conomie sociale d in sertion et le financement de l accord non marchand Sur les missions locales d abord il sait quel est leur r le sp cifique et tient ce qu elles ne deviennent pas des an tennes de l ORBEM cela n aurait pas de sens Une ordonnance d ailleurs serait propice la reconnaissance et la red finition de leur r le particulier Bruxelles L conomie sociale d inser tion le Ministre nous a as sur s de sa volont de faire voter les arr t s d applica tion de l ordonnance sur les ILDE et les Entreprises d insertion le plus rapide ment possible si possible en janvier et de mettre sur pied la plate forme de l conomie sociale bruxel loise qui rassemblera les re pr sentants des employeurs bruxellois de l conomie so ciale les partenaires sociaux et l ORBEM et qui sera charg e entre autres de donner des avis sur les ILDE et les Entreprises d insertion Il est galement conscient qu il a financer une partie de l
43. r trice de P le pour son Centre de Formation aux M tiers de la Construction Description de la fonction e les Directeurs de P le sont les cadres sup rieurs charg s d assurer en col aboration avec l administration cen trale la production l organisation et la gestion g n rale des formations pro fessionnelles relatives aux secteurs de eur P le e ils ont en charge tous les aspects de gestion inh rents au fonctionnement des p les gestion p dagogique bud g taire RH logistique dans le res pect des m thodes et r f rentiels p dagogiques des budgets des objec tifs d finis par la Direction g n rale Profil et conditions e soit un dipl me de l enseignement sup rieur de type court et justifier de onze ann es d exp rience profes sionnelle dans l un des secteurs vis s e soit un dipl me d enseignement uni versitaire ou sup rieur de type long de pr f rence du type ing nieur et justifier de neuf ann es d exp rience N 55 d cembre 2004 professionnelle dans l un des secteurs vis s e avoir un bagage technique permettant d appr hender pourle 1er poste un environ nement professionnel en rap port prioritairement avec la m canique l assemblage l lec trotechnique l automobile et secondairement avec la confec tion le transport de marchandi ses et de personnes pour le 2nd poste un environ nement professionnel en rap port avec la gestion de chanti
44. r son volet adminis tratif au regard de leurs pratiques quotidien nes Les informaticiens de Bruxelles Forma tion ont b n fici de nombreux commentai res leur permettant de mettre en lumi re les probl mes techniques Un autre petit groupe d op rateurs a obtenu de Bruxelles Formation d exp rimenter un protocole d change portant sur l exportation d un nombre limit de donn es de leurs pro pres bases vers Corail Le testing tait sur le point de d montrer sa faisabilit quand Bruxelles Formation r visant ses priorit s fin novembre a pr f r r gler en premier les L insertion N 55 d cembre 2004 transferts informatiques entre Corail et le RPE C tait effectivement indispensable La volont de Bruxelles Formation de d tail ler p dagogiquement le parcours de forma tion du stagiaire laisse pensif Jusqu o la progression du stagiaire en formation doit elle tre comment e par l op rateur de for mation Comment tre s r d interpr ter et ou de formuler des messages la fois cir conscrits objectifs neutres sur des questions p dagogiques qui n ont fait l objet d aucune concertation ni en termes de langage com mun ni de d ontologie g n rale Jusqu pr sent en tout cas les op rateurs de formation souhaitent n avoir acc s qu au volet administratif des dossiers des seuls sta giaires inscrits dans leur propre centre de formation II faudra aboutir un accord sur le nombre de c
45. ral qui leur sont confi es e l am lioration qualitative de l emploi et des conditions de travail dans le secteur par l instauration d un v ritable dialogue social avec les organisations syndicales e participer la consolidation et la reconnais sance du secteur de la formation et de l ISP au sein du secteur non marchand tant au plan local r gional communautaire que f d ral e favoriser le d veloppement de projets d co nomie sociale 3 D agir solidairement vis vis de nos inter locuteurs et de repr senter le secteur de l ISP dans les diff rents lieux o cela peut s av rer n cessaire 4 D assister ses membres dans les domaines les plus vari s administratifs juridiques l gisla tifs comptables p dagogiques financiers de veiller am liorer le fonctionnement de nos ins titutions pour leur permettre de se concentrer au maximum sur leurs t ches essentielles En fonc tion des besoins et de nos moyens ces t ches pourront tre prises en charge soit par l change d informations et de savoir faire au sein de la FeBISP soit par la mise sur pied de services propres soit par le recours des solutions ex ternes Equipe ex cutive de la FeBISP Gabriel Maissin administrateur d l gu Suzanne Beer secr taire g n rale Val rie Dancart assistante de gestion Pierre Alain Gerbeaux attach relations institutionnelles Nathalie Hoffstadt attach e relations publi
46. rche F a p 7 A D fense des droits int r ts et 7 0 e a autres activit s des convictions ank Autres activit s des associa 14 2 tions Ey TOTAL 100 Soit en nombre de personnes 333 878 L insertion L ISBL moyenne compte 21 travailleurs mais les diff ren ces sont sensibles 119 pour le secteur de la sant pour 6 travailleurs dans le socioculturel et sportif Pas tonnant donc que la r mun ration de cette force de travail repr sente plus de la moiti 55 4 des co ts de production des ISBL A ce facteur important de main d uvre il faut toutefois ajouter la part du travail b n vole les ISBL mobilisent au total environ 1 2 million de b n voles dont les heures prest es correspondent plus de 76 000 quivalents temps plein principalement dans les secteurs de la culture du sport et des loi sirs o le b n volat plafonne 4 heures par semaine en moyenne En mati re de financement 62 des moyens des ISBL proviennent des pouvoirs publics Le non marchand chelle mondiale sup porte t il la comparai son II est encore un peu t t pour se prononcer puisqu ce jour peu de pays ont cr et utilis la notion de compte satellite des ISBL Les don n es actuellement disponi bles font part d une propor tion moyenne de 4 4 de la population active engag e dans le non marchand Les disparit s sont notables sur 35 pays r pertori s seuls 34 d en
47. ris En bref ils nous diront tout sur qui fait quoi pour qui apr s quoi vers quoi avec qui Dans Corail cela pourrait m me aller jus qu au comment Le R seau des Plates formes pour l Emploi doit permettre tous les partenaires d acc der la totalit de l information de garantir de mani re op rationnelle et en temps r el la visibilit du parcours d insertion Il faudra un temps de recul pour appr cier les effets inattendus de cette synergie entre partenai res et voir si oui ou non il reste de la suie dans la chemin e Ana Teixeira 1 Conform ment la loi du 8 d cembre 1992 relative la protection de la vie priv e l gard des traitements de donn es caract re personnel modifi e par la loi du 11 d cembre 1998 2 Banque Carrefour de la S curit sociale g re le r seau d change lectronique de donn es entre les diff rentes institutions de la s curit sociale Elle veille la s curit de ces changes et pr venir toute utilisation abusive des donn es transmises 3 Formulaire A 15 qui atteste que la personne est inscrite l ORBEM 4 Centre Carrefour Formation qui oriente informe et conseille sur les formations les mieux adapt es en fonc tion des demandes de Bruxelles Formation http www cocof irisnet be formpro ccf09A htm L insertion 18 N 55 d cembre 2004 LE ROLE DES OISP DANS LES RESEAUX PARTENAIRES OU SOUS TRAITANTS es rumeu
48. rons s re ment l occasion d y revenir dans nos colonnes et de vous signaler les ouvrages et tu des qui y sont consacr s D ores et d j la participa tion de la FeBISP une r flexion sur la probl matique de la gestion mixte du march de l emploi ce ni veau est un signe que les choses voluent positive ment LA CENM A SOUFFLE SES DIX BOUGIES LE BILAN DE DIX ANNEES DE PROMOTION DES INTERETS DES PATRONS NON MARCHANDS Entreprises Non Mar chandes CENM a souffl ses dix bougies le 26 novembre dernier La FeBI SP s est associ e l v ne ment Mais au del du ca ract re agr ablement festif de la c r monie il est int ressant d observer la r alit d un secteur Conf d ration des L insertion Cr e en 1994 la CENM s est donn l objectif de d fendre et de promouvoir les int r ts intersectoriels de l ensemble des employeurs du non mar chand Au fil de son d veloppement la conf d ration a connu une d clinaison linguistique en cr ant dans son giron la Vlaamse Confederatie van Sociaal Profit Ondernemin gen VCSPO pour la Flandre et l Union Francophone des Entreprises Non Marchandes UFENM pour les compo santes francophone et ger manophone Trois organisa tions distinctes et autonomes pour r pondre notre belgo logique Les objectifs de la CENM re l vent de la qu te de l giti mit conf rer au non mar chand celui ci participant au mo
49. rs d emploi ou employeurs partir des 5 principes suivants galit de traitement protection de la vie priv e confidentialit gratuit du service transparence Les proc dures et les m thodes relatives l encodage la consultation et l utilisation 14 des bases de donn es IBIS et leur respect par les conseillers et agents RPE permettent d assurer le respect de ces principes Par ailleurs si dans la forme le RPE provo que de multiples changements et implique une bonne dose d adaptation de la part des OISP de l ORBEM et de ses autres partenai res sur le fond il y a peu de nouveaut s Comme nonc ci dessus les textes l gaux et conventionnels en vigueur restent d applica tion De quels textes parlons nous Il s agit du Protocole r glant les rapports entre les organismes issus de la restructuration de l Office national de l emploi du 22 d cembre 1988 de l accord de coop ration du 3 mai 1999 entre l Etat les Communaut s et les R gions concernant le plan d accompagne ment des ch meurs Comme pr c demment les partenaires de l ORBEM devront lui fournir des statistiques la fois quantitatives et qualitatives sur leurs activit s Comme pr c demment l ORBEM reste le res ponsable de traitement des informations ma tre de fichier Contrairement ce qui a t crit dans un article d Alter Echos l ONEM n a pas la possibilit de consulter les bases de don
50. rs ont circul c est in the pocket alles in orde easy and fun alles voor iedereen en tra duction litt rale un pour tous tous pour un c est le r seau Le petit monde de l ISP a tout d abord r agi par un sceptique Ah bon et comment a comment Non non merci c est gentil Certains ont os un vaillant On n en peut plus de tapoter nos claviers Ne pourrions nous pas laisser nos souris tranquilles elles fatiguent et nous usent Et puis En bout de n gociations en vrais partenaires de l ORBEM et de Bruxelles Formation les orga nismes d insertion socioprofessionnelle ont apprivois l id e du r seau Apr s tout ce n est pas si mal ce n est m me pas mal du tout on basculera d un syst me l autre Du RPE dans Corail on fera des sauts virtuels l lastique c est pour un mieux La reprise 2005 aura des allures d encodage Faudra s y faire modifier ses habitudes et trouver de nouvelles formules s organiser autrement La question du double triple quadruple encodage est toujours de mise Le dispositif ISP n a pas manqu d voluer et de bouleverser la gestion administrative des op rateurs Ceux ci ont d velopp une pa tience d ange pour en derni re minute r pondre aux demandes inopin es des pouvoirs publics en mati re de rapports d activit se mestriels et annuels et vu l absence d har monisation des items convertir leurs i
51. s Tous les travailleurs d un OISP auront ils acc s Corail Sinon quel est le profil et le nombre de travailleurs envisag s En quoi consiste la formation individualis e l outil et son uti lisation Dans quel lieu seront discut s les N 55 d cembre 2004 probl mes d ontologiques qui pourraient sur venir lors de l utilisation de l outil par les OISP Comment limiter l acc s aux seuls dos siers des stagiaires de l op rateur A l instar de l ORBEM on peut imaginer que Bruxelles Formation devra modifier ses conventions de partenariat Les garanties d ontologiques nous viennent actuellement de l ORBEM et concernent les donn es qui seront transf r es d une base l autre En effet en tant que partenaire du RPE Bruxelles Formation est tenu de respec ter les principes d ontologiques contenus dans la charte du r seau Sans r ponse toutes ces questions autre ment dit sans conna tre les r gles du jeu les OISP jusqu pr sent ne s estiment pas en mesure de se lancer dans l utilisation syst matique de Corail II s agit en effet de traiter des informations relatives des personnes ce qui n est pas rien Il est temps de se concerter fond sur ce sujet Il aura fallu 5 ann es l ORBEM pour r aliser la g n ralisation du RPE Sans devoir durer 5 ans il semble clair ce jour que la mise en place de Corail n cessitera plus de temps que celui pr vu par Bruxelles Formatio
52. s donn es communiqu es ant rieurement via les formulaires papier L encodage effectu chez les op rateurs di minuera le taux d erreur des services de Bruxelles Formation Les OISP auront l oppor tunit de v rifier l exactitude des donn es enregistr es dans Corail et leur concordance avec le traitement et les d lais d indemnisa tion de leurs stagiaires Par contre le suivi du stagiaire en formation sera nettement fa cilit par l ensemble des formulaires mis disposition Petite mise au point si les champs encoder sont limit s dans New lbis et que les donn es New lbis sont transf r es la nuit dans Corail cela concerne un nombre de champs limit dans Corail Il reste alors poursuivre l encodage dans Corail pour le suivi du sta giaire en formation le jour d apr s Pour tre tout fait clair on ne basculera pas de New Ibis dans Corail mais chaque r seau alimen tera l autre Qu est ce qui emp che le transfert imm diat en temps r el des donn es d un sys t me l autre Est il imaginable l heure d aujourd hui d encore encoder une deux trois quatre cinq fois les m mes donn es alors qu il est possible de cr er des macros qui trient clas sent renvoient les donn es en bloc selon les exigences de chaque pouvoir public par 19 tir des bases de donn es en interne de l op rateur Il s av re que la mise en ligne du r seau New lbis va all ger le tr
53. s donn es statistiques l absence de d finition pr cise du secteur la difficult d isoler statisti quement le secteur non mar chand le manque de bases de donn es Peut on supposer que ces obstacles sont aujourd hui surmont s Les divers tra vaux scientifiques la multi N 55 d cembre 2004 plication des bases de don n es ONSS INS Bilan so cial etc et le d veloppe ment des comptes satellites des institutions ont ouvert une br che positive dans ce que l on croyait tre l insur montable chiffrage Les institutions sans but lu cratif ISBL regroupent les ASBL les fondations les as sociations internationales les associations professionnelles les organismes li s aux cultes et les associations de fait Les comptes satellites des ISBL ont t tablis pour les exercices 2000 et 2001 Les ISBL repr sentent 5 de la valeur ajout e totale de l conomie belge et quasi ment 10 de l emploi int rieur r mun r L emploi se r partit selon les branches d activit de la mani re sui vante R partition de l emploi salari des ISBL par branche N ISBL en pourcentage du total Branche NACE Emploi salari TAILLE MOYENNE DES ISBL PAR BRANCHE N ISBL Nombre moyen de travailleurs salari s Culture sports et loisirs 6 5 ti Education et recherche 4 0 m D fense des droits int r ts et Sa nt 34 7 6 SEUL _ Action sociale 33 6 ucation et reche
54. t les Missions Locales consid r s comme des op rateurs g n ralistes disposent d un champ d encodage et de modification des donn es IBIS plus large que les autres types de parte naires La formation a t valu e globale ment positive par les participants et les re marques formul es par ceux ci ont t prises en compte pour l ajustement des sessions ul t rieures Signalons enfin la pr sence d un help desk et d op rations de coaching pour faciliter l utilisation de l outil une fois en si tuation r elle de travail La deuxi me phase du RPE fut celle du d veloppement de l outil informatique New IBIS et de la configuration technique du r seau Sans entrer dans les d tails signalons sim plement que cette phase a pris plus de temps que pr vu en raison notamment des myst res et des voies imp n trables des TIC Tech nologies de l Information et de la Communi cation et des difficult s heureusement sur mont es qu engendre la mise en place d un r seau de cette ampleur C est la fin de N 55 d cembre 2004 cette tape que le personnel des partenaires volontaires a suivi la formation RPE pr ala ble indispensable au lancement de la troi si me phase du RPE Cette troisi me phase fut celle de l exp ri mentation du r seau Treize partenaires soit 52 conseillers RPE taient concern s deux CPAS Watermael Boitsfort et Evere trois RAE Woluw St Pierre Forest et St Gilles
55. te un e conseiller re en inser tion socioprofessionnelle pour contrat temps plein dur e ind termi n e 6 mois de p riode d essai Cette personne aura comme t che prin cipale de guider et d orienter les de mandeurs d emploi Le public de la Mis sion Locale est essentiellement compos de personnes peu qualifi es Description de la fonction e Guider et orienter individuellement ou collectivement les demandeurs d emploi identifier l aspect socioprofes sionnel des probl mes exprim s proposer les moyens et les d marches les plus appropri s l laboration d un parcours d insertion utiliser des techniques d animation d information et de documentation pour le parcours d insertion transmettre les techniques de recherche d emploi CV entre tien d embauche prospection conna tre les donn es de base de l insertion socioprofession nelle cadre conomique juridi que social et les communi quer e Evaluer la capacit d une personne entrer dans une formation ou un em ploi d coder les exigences et com p tences li es un emploi ou une formation communiquer ces informations valuer les capacit s e Assurer le travail administratif li aux responsabilit s fonctionnelles encoder les donn es li es au suivi des demandeurs d emploi 21 r diger des rapports et des valuations quantitatifs et qua litatifs assurer l organisation des ac compagnem
56. tems internes la mode de chaque pouvoir public Car entre les quatre organismes subsidiants ORBEM Bruxelles Formation Cocof FSE il n y a aucune harmonisation des items un m me renseignement a des intitul s diff rents Alors quoi de neuf Assis douillettement dans un fauteuil hautement ergonomique apport par le P re No l il suffira aux op ra teurs de formation de chercher le num ro IBIS ou le num ro de registre national d indiquer l accord du demandeur d emploi DE de s lectionner l item contact dans liste d action ainsi que les caract ristiques de l initiateur d indiquer le motif du contact et enfin d enregistrer Enregistrer L insertion tout le monde le sait est une op ration assez utile en informatique La demande de for mation figurant dans New lbis aura pour ef fet de modifier la cat gorie du DE d s son entr e en formation Encodant en direct les actions pour lesquelles ils sont conventionn s avec l ORBEM les op rateurs pourront recevoir en retour les don n es statistiques relatives leurs actions sa chant que les donn es signal tiques compri ses dans New lbis apportent un maximum de fiabilit Dans Corail l encodage est d une autre am pleur Le volet administratif qui concerne le demandeur d emploi ayant le statut de sta giaire en formation professionnelle com prend 127 champs M me si tous ne sont pas obligatoires la demande d passe de loin le
57. ter chiffres l appui le be soin de consolider leur offre de formation Lors d un premier accueil les op rateurs de formation ne doivent th oriquement pas ac tiver les dossiers des demandeurs d emploi qui ne sont pas stagiaires en formation dans leur centre Mais partir de quand d cider d enregistrer une demande de formation Beaucoup disent ne pas disposer des ressour ces n cessaires pour alimenter la tra abilit du parcours d insertion de tous les demandeurs d emploi qu ils rencontrent L encodage syst matique des demandes en formation permettrait pourtant de rendre vi sible le travail d accueil d orientation pro duit par les OISP en amont de la formation avec eux L enregistrement de toutes les de mandes de formation renforcerait le constat de la difficult du dispositif r pondre aux besoins du public ISP tant en orientation N 55 d cembre 2004 qu en formation Bien souvent le demandeur d emploi a peine le temps d arriver en d but de file dans les bureaux de Carrefour Formation que les listes d inscription une formation sont d j engorg es Utilis s des fins statistiques Corail et le RPE nous en diront long sur l orientation pro fessionnelle des stagiaires leur parcours d insertion leur trajectoire de formation l articulation entre les partenaires les fili res de formation ainsi que sur l action de tous les partenaires du RPE l ORBEM et Bruxelles Formation y comp
58. tre eux d passent les 5 la m me proportion environ ne d passant pas le pour cent La Belgique et son voisin les Pays bas arrivent largement en t te avec res pectivement 10 9 et 14 4 Quelles perspectives pour le non marchand Tout porte croire que le non marchand s oriente sur la piste d une professionnali sation et d une int gration dans les conomies des pays Cette constatation est d autant plus vraie que la so ci t civile prend conscience et assume les param tres notamment d mographiques de son conomie tel le vieil lissement souligne Jan Smets Et Mark Elchardus Profes seur la Vrije Universiteit Brussel de nous rappeler qu il N 55 d cembre 2004 a fallu attendre le XIX me si cle pour voir se d velop per la vie coop rative et as sociative et partant se des siner les contours du secteur non marchand L avenir se situe donc dans la pr serva tion de son autonomie la transparence des objectifs le d veloppement des comp tences et leur valuation La reconnaissance du non marchand s effectue gale ment sur le plan europ en Les principaux d fis euro p ens pour le non marchand ont t pr sent s par Marie Ranty directrice du Comit europ en des associations d int r t g n ral CEDAG statut juridique des entit s non lucratives perspectives financi res et nouvelle r glementation des fonds structurels politique de concurrence libre circulatio
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