Synthèse com° finances_septembre 2013
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1. ASSEMBL E DES FRAN AIS DE L TRANGER SYNTHESE DES TRAVAUX DE LA COMMISSION DES FINANCES ET DES AFFAIRES ECONOMIQUES Pr sident Marc VILLARD Rapporteur g n ral Pierre GIRAULT 19 session 9 14 septembre 2013 Sommaire Membres de la Commission des Finances et des Affaires conomiques sssssssseseerssssssseee 3 Programme de la Commission sous la pr sidence de M Marc VILLARD 4 Introduction la r union de septembre 20123 5 Rencontre avec Madame Nicole BRICQ Ministre du Commerce ext rieur 6 Audition de Madame Fleur PELLERIN Ministre d l gu e charg e des PME PMI de linnovaton t de e ene Enge UE 8 Audition de Fran ois SAINT PAUL Directeur des Fran ais de l tranger de l Administration a e detti 11 Audition de M Emmanuel LY BATALLAN Directeur adjoint des Entreprises et de l Economie internationale DED au A 12 Audition de M Matias DE SAINTE LORETTE Chef du Bureau de la fiscalit internationale Direction de la l gislation fiscale Minist re de l Economie et des Finances 17 Audition de M Serge DESCLAUX Directeur du P le fiscal et de M Olivier LEJEUNE Directeur Divisionnaire de la Direction des r sidents l tranger et des services g n raux T 19 Travaux du Groupe transversa2. croissance quasi exponentielle des classes moyennes l tranger ce qui est un atout pour notre pays Comme toujours et y compris France Export il est pr f rable d avoir r ussi en France mais bien entendu ce n est pas obligatoire La cible pour l instant se situe au niveau des PME vers des soci t s avec un CA moyen de l ordre de 3 millions d euros 1 2 milliard d euros tant r serv pour intervenir aux cot s des start up M Eric TAINSCH d plore le manque de ma trise de la langue anglaise dans de nombreux cas de m me que l appr ciation des risques r els fait souvent d faut Un d bat tr s ouvert s en suivit avec en particulier une question concernant le financement sous des formes d finir de soci t s l tranger dans leur pays d origine de jeunes non nationaux issus de l immigration M Eric TAINSCH s est engag tudier un rapport sp cifique qui lui sera pr sent par un conseiller 16 Audition de M Matias DE SAINTE LORETTE Chef du Bureau de la fiscalit internationale Direction de la l gislation fiscale Minist re de l Economie et des Finances Nous recevons pour la deuxi me fois M de SAINTE LORETTTE sur l actualit et l volution des conventions fiscales abordant entre autre les pays dits attractifs Une nouvelle liste a t publi e le 21 ao t 2013 o ne sont pas concern s les Philippines mais avec des ajouts consid rables les Bermudes les BVI
3. tranger en 2012 Il s agit globalement d un budget de 2570 000 euros r partis en 1 506 000 euros pour l emploi et 1064000 euros pour la formation Pour l emploi environ la moiti 751 000 euros correspond la subvention vers e par le MAE et l autre moiti 755 000 euros correspond aux recettes propres des comit s locaux pour l emploi et la formation professionnelle CCPEFP y au total 32 CCPEFP dans le monde dont 30 v ritablement actives Le co t moyen par placement a diminu de 220 euros en 2011 193 euros en 2012 Les formations professionnelles sont de 2 types locales propos es dans le pays de r sidence pour lesquelles on compte 188 b n ficiaires en 2012 les formations professionnelles pr qualifiantes et qualifiantes d livr es en France essentiellement l AFPA Elles sont pilot es et financ es par la DGEFP hauteur de 900 000 euros en 2012 c est dire la plus grosse partie des 1 064 000 euros annuels le reste c est dire 164 000 euros provenant de la subvention du MAE Elles ont b n fici environ 70 personnes en 2012 23 V ux de la Commission Assembl e des Fran ais de l tranger 19 session 9 14 septembre 2013 COMMISSION DES FINANCES ET DES AFFAIRES ECONOMIQUES n 1 FIN V 1 13 09 Objet participation des lus de l AFE aux r unions des Conseils conomiques L Assembl e des Fran ais de l tranger consid rant que la mise en uvre de la Diploma
4. E de l ambassade de France en Chine Organisation parle secr taire g n ral a E p FLE 5 99 33 dE PE H 2 F permet la mise en place de projets du minist re des Affaires trang res du E DE 5 ER 2 zg a S 8 1 G 5 conjoints de collaboration en R amp D Club des entrepreneurs et du Club d SR H 2373 ZE SP E z entre partenaires fran ais et chinois des ambassadeurs derniers invit s 5 s ept 21 EE E 5 Benoit Potier pr sident d Air Liquide E SS ER H E Ep et Philippe Zeller ambassadeur de e 5 Favoriser les voyages France au Canada e d affaires et l expatriation z A Le 2 EE a 42 3 34 3 Augmentation des visas d affaires de u MEE _ pS longue dur e et am lioration de l ac amp e m EEF G Es E Ps p cueil des demandeurs de visa cr ation ET F 2 S d H j Es Ge 44 M de cartes de s jour pluriannuelles pour sE 2 5 a E H z les hommes d affaires et les tudiants Z Z Ee SE Z SE e K SA s Lancement du passeport Grand E gt 2 a sa E Voyageur 48 pages au lieu de 32 et i de valises a v ritables consu 5 lats mobilas permettant d viter aux expatri s de se d placer au consulat Renforcement du r seau de conven tions judiciaires Panama
5. cette mesure d une part la n cessit d avoir un compte bancaire en France le pr l vement l tranger n est pas encore possible et d autre part la volont de l Administration pour pr cis ment amener les contribuables autoriser les pr l vements et de ne pas encourager les virements Codes BIC IBAN Pourtant cette proc dure est un progr s ind niable et nous ne comprenons pas l ent tement de l Administration en ce domaine qui continue malgr nos nombreuses remarques et interventions depuis de longues ann es refuser d inscrire les codes BIC et IBAN sur la fiche d imposition dans la rubrique comment payer vos imp ts L image r trograde qui s en suit pour les non r sidents trangers devrait pourtant faire r fl chir et vis vis de la tr sorerie le gain serait r el par rapport aux paiements par ch que Ceci pos pour savoir comment payer par virement BIC IBAN il faut soit consulter imp ts gouv fr soit contacter la tr sorerie mentionn e sur l avis d imposition Cette fa on de proc der va l encontre de la politique du tout num rique annonc e alors que dans ce domaine des progr s ind niables sont par ailleurs r alis s les acc s en ligne les identifiants les mots de passe et une volution vers la d mat rialisation des avis d imposition et des d clarations de revenu Le bouquet de services d mat rialis s s agrandit en permanence avec l acc s la taxe d habitation r siden
6. de l Union europ enne Plusieurs milliers d appels et contacts en quelques semaines ont perturb les services de la DRESG Au niveau administratif un nouveau document peut d sormais tre obtenu ce qui est un r el progr s dans le cadre des relations du contribuable avec les autres administrations c est le justificatif d imp t sur le revenu Il nous est confirm que d sormais et ceci pour contrer les fraudes ce dont nous nous r jouissons les organismes tiers collectivit s locales caisses d allocations familiales etc peuvent v rifier en ligne les donn es d un avis ou d un justificatif d imp t d une mani re parfaitement s curis e et en permanence 21 Les services d accueil de la DRESG ont encore une fois fait l objet de nombreux changes de vues et de suggestions de la part des membres de la Commission tant le taux de r ponse aux contacts t l phoniques demeure faible 30 d efficacit La solution en ce domaine semble t il ne passe pas par une augmentation du personnel d di 20 personnes Elle passe pensons nous d une part par un meilleur aiguillage des appels qui devraient tre dirig s suivant l origine des questions dans l h misph re vers des sp cialistes et d autre part par une incitation encore plus grande op ration d information et de promotion mettre en place ventuellement utiliser le contact courriel Cette m thode progresse rapidement 20 d j par rapport 2012 et
7. du minist re des Affaires trang res Ella constitue d sormais une instruction permanente du Quai d Orsay travers trois grandes missions et toujours au b n fice de l emploi en France soutenir nos entreprises sur las march s ext rieurs n gocier des cadres de r gulation europ enne et internationale favorables 3 nos int r ts conomiques promouvoir la e destination France pour d velopper les investissements trangers J ai souhaite que le minist re des Affaires trangeres d veloppe ce r flexe conomique et s organise en consequence Outre une mobilisation renforc e de notre r seau diplomatique une nouvelle direction d di e aux entreprises est maintenant cr e Cette direction comme l ensemble du Quai d Orsay est votre service Laurent Fabius Ministre des Affaires trang res Caen Vas SE 26 Le minist re des Affaires trang res en coop ration troite avec les autres minist res concern s renforce son action pour soutenir les entreprises fran aises au plan interna tional et favoriser le d veloppement des investissements trangers en France Le reflexe conomique est desormais syst matique En coop ration avec l ensemble des administrations et op rateurs concer n s le minist re des Affaires tran geres et en particulier le r seau diplo matique place les enjeux conomiques au premier rang de son action sen renfor ant au del du soutien au
8. en Suisse La direction fiscale s meut juste titre de savoir que sur 6 000 trangers b n ficiant en Suisse du fameux forfait fiscal 2 000 sont fran ais Or la l gislation fiscale fran aise sur la d volution successorale est comme chacun sait quelque peu gourmande et de ce fait n est pas attractive loin s en faut Les normes OCDE disposent que le lieu d imposition de d part est le lieu de r sidence du d funt mais aussi des h ritiers une clause sp cifique devant tre incluse dans les conventions de non double imposition En r sum la situation nous appara t quasiment bloqu e Concernant l Andorre la situation progresse avec d une part une offre de plus de garantie pour la France et d autre part une progression de l imposition en Andorre qui justifiera peut tre une convention sp cifique de non double imposition avec notre pays Enfin ce jour Andorre ne reconnait pas la double nationalit Un nouvel avenant la convention avec la Chine a t sign incluant les VIE les enseignants fran ais et le rapatriement des b n fices en France 17 Le probl me des retenues fiscales allemandes sur les pensions vers es des retrait s r sidant en France a t longuement voqu Il semblerait qu une volont politique bilat rale d aboutir enfin se fasse jour avant la fin de l ann e 2013 Des projets de n gociations sont envisag s avec la Belgique imp t sur le revenu sur les succession
9. et Indon sie en cours fiscales et de s curit sociale afin d am liorer la s curit juridique des activit s internationales des entre prises fran aises Larn at ice c ona r intern ation ale H 35 i D e Pascal rif ma nd crni eca et de conomie dun Charg de mission TE Fes cri Direction des entreprises Contact E L 5 D EL E Le mn KI ki 28 Le r seau diplomatique de la France dans le monde diplomatique au monde en constante adaptation aux r alit s internationales 163 ambassades et 16 repr sentations permanentes aupr s d organisations internationales 4 d l gations aupr s d organisations multilat rales et 4 antennes diplomatiques 92 consulats g n raux et consulats 130 sections consulaires 5 chancelleries d tach es Pius de 500 agences consulaires 161 services de coop ration et d action culturelle 96 Instituts fran ais 445 Alliances fran aises subventionn es par le minist re 481 tablissements au sein du r seau de l Agence pour l enseignement fran ais l tranger AEFE homologu s par le minist re de l ducation nationale fran ais du Deeg AFD tranger www dipiomatie Direction g n rale de la mondialisation du d veloppement et des partenariats Crrection des entreprises et de l conomie intemationsle 29
10. euros contre 74 milliards en 2011 soit 7 milliards d euros en moins Une r duction d autant plus significative que selon les chiffres du minist re celle ci intervient en d pit de deux facteurs d favorables un ralentissement du commerce mondial en 2012 et l augmentation de la facture nerg tique fran aise de 6 6 milliards d euros 62 4 69 milliards d euros entre 2011 et 2012 Ainsi hors nergie le d ficit commercial se r duit presque de moiti de 29 15 milliards d euros Audition de Madame Fleur PELLERIN Ministre d l gu e charg e des PME PMI de l innovation et de l conomie num rique Madame Fleur PELLERIN Ministre d l gu e charg e des PME PMI de l innovation et de l conomie num rique nous a fait l honneur de venir exposer les mesures prises pour aider les PME et PMI se d velopper face l international en pr sence de M Jacques MAIRE Directeur des Entreprises et de l Economie Internationale au MAE Pr cisant la place des PME PMI l international dans une situation de projection la fois insuffisante et discontinue Madame la Ministre a d plor que leur internationalisation comme leur part dans l innovation soit en retard Elle indique qu une bataille est engag e pour inverser la courbe de performance ext rieure des PME fran aises afin de les mettre niveau vis vis de leurs homologues europ ennes pour in fine leur permettre un meilleur acc s l international ceci en para
11. British Virgin Islands et Jersey Pour ces trois derniers pays territoires il y a des accords qui sont aux yeux de notre pays trop peu ou pas appliqu s Ceci pos les sanctions fiscales qui se traduisent par des taux major s ne s appliqueront qu en janvier 2014 Aussi cela laisse un peu de temps aux responsables locaux dans ces pays pour prendre langue et d ouvrir s ils le d sirent et de mani re urgente des n gociations avec les services concern s Quoiqu il en soit M de SAINTE LORETTE indique que d sormais l change automatique doit tre promu autant que faire se peut et tre pris comme crit re de base pour les n gociations avec comme horizon 2015 2016 Parall lement la mise en oeuvre des accords FATCA avec les USA pr vue pour 2015 pourra tre sign e dans les prochaines semaines avec les pays volontaires au sein de l Union europ enne Cette fa on de proc der d passe le bilat ralisme qui est ce Jour la base des conventions fiscales nous confirme qu en droit interne en France les m canismes d adaptation et de contr le sont adopt s et en voie d tre mis en place Concernant la situation avec la Suisse la nouvelle convention sur les successions est bloqu e ce Jour car elle n a pas t ratifi e par la Conf d ration Cette situation ne semble pas voluer v ritablement et suscite une grande motion tant au sein de la communaut suisse en France 200 000 r sidents qu au sein de la communaut fran aise
12. DI 10 SEPTEMBRE 14h 30 16 00 Intervention de la Direction des r sidents M Jean Paul HARDOIN l tranger et des services g n raux Directeur de la DRESG APRES MIDI DRESG sur l incidence de l actualit fiscale pour les r sidents l tranger M Serge DESCLAUX Directeur d partemental charg du p le fiscal DRESG M Olivier LEJEUNE Directeur divisionnaire DRESG MARDI 10 SEPTEMBRE 16h 15 17 h 45 Actualit et volution des conventions M Matias de SAINTE fiscales avec les pays attractifs Chef du Bureau de la APRES MIDI fiscalit internationale Direction de la l gislation fiscale Minist re de l Economie et des finances MERCREDI 11 Travaux de la Commission v ux motions SEPTEMBRE r solutions pr paration de la synth se des travaux APRES MIDI Introduction la r union de septembre 2013 Monsieur le Pr sident Mes chers coll gues La Commission des Finances et des Affaires conomiques s est r unie pour auditionner un certain nombre de personnalit s suivant le programme en votre possession en r sum e Mme Fleur PELLERIN Ministre d l gu e charg e des de l innovation et de l conomie num rique accompagn e de M Jacques MAIRE Directeur des entreprises et de l Economie internationale au Minist re des Affaires trang res e M Emmanuel LY BATALLAN Directeur adjoint des Entreprises et de l Economie internationale au MA
13. E e Eric TAINSCH Directeur adjoint de Banque Publique Investissement Export e MM Serge DESCLAUX Directeur du p le fiscal et Olivier LEJEUNE Directeur divisionnaire de la DRESCG e M Matias DE SAINTE LORETTE Chef de bureau de la fiscalit internationale la direction de la l gislation fiscale du Minist re de l Economie et des Finances MINEFI Auparavant en dehors des dates de la r union pl ni re et pour des raisons de calendrier Madame Nicole BRICQ a re u Monsieur le Pr sident Marc VILLARD accompagn de 3 membres de la Commission le vendredi 6 septembre 2013 Avant d entrer dans le d tail des communications et interventions passionnantes et des d bats qui s en sont suivis Je tiens souligner la tr s grande qualit des changes r sultant grande partie de la comp tence tant de nos invit s que celle des intervenants au sein de notre Commission Il serait donc plus que souhaitable voire indispensable que dans le cadre de la nouvelle AFE il soit possible de retrouver sur ces sujets cruciaux pour les non r sidents que nous sommes une structure ad hoc Spes salutis Rencontre avec Madame Nicole BRICQ Ministre du Commerce ext rieur Dans l impossibilit de se rendre notre invitation en d but de notre session Mme Nicole BRICQ qui tenait un an apr s notre premi re rencontre faire un point avec nous sur les actions de son minist re a re u une d l gation de notre commission en son m
14. Mobiliser les outils de cooperation Organisation annuelle par ambas sade de France aux tats Unis avec Georgia Tech de rencontres de l inno vation La derni re en date France Atlanta 2012 together towards ipno Mobiliser l influence fran aise au service des entreprises D placements volet conomique du ministre des Affaires trang res accompagne d une d l gation d entre prises fran aises dans les pays d Am rique latine Colombie Panama et le commerce et acc s aux march s et du r seau conomique de la mo nda lation Bertrand Pos gt ER E grrr au P le institutiors conomiques internationales Rip l Marting Sieg cH c eir pe gn Philippe Hi be id d ii Laura Vito Laon Pac pps vire d d oni aii a say l Ci Ek EL 2 T we T5 4 g 3 So usd inection des affaires conomiques int rna ti ong es a ae ec pes Fr ep S ch Augustin adjang t gege che kenn quhtion co nomiqua Inter nationa P le anal Direction des programmes E vation a rassembl 4 700 participants P rou et d Asie centrale Kazakhstan x 3 E 3 H M le 27 novembre 2012 Quzb kistan et Turkm nistan en J EF i gt i EL L KKK 1 LE g Le programme COOPOL innovation fevrier et mars 2013 Se 8 d z H E S 3d Si E
15. al pour la croissance la comp titivit et l emploi Mieux se nourrir Mieux se soigner Mieux vivre en ville Mieux communiquer R organisation du dispositif de soutien l exportation Une banque d di e la Banque publique d investissement Bpi France regroupe l offre d Os o de la CDC Entreprises et du FSI et FSI R gions Son d ploiement en r gion s op re depuis le mois de mars dernier 40 charg s d affaires en r gion en 2014 Des charg s d affaires d tach s d Ubifrance sont en fonction au sein des BPI r gionales Au fur et mesure du d ploiement de la BPI des charg s d affaires internationaux issus d Ubifrance 25 pour une premi re tape en 2013 et le nombre sera port 40 d but 2014 accompagneront de fa on personnalis e les entreprises partir de leurs besoins sp cifiques et en appui de leur strat gie entrepreneuriale D abord pour d terminer les march s porteurs ensuite pour les explorer y tenter une premi re exp rience et enfin implanter durablement l entreprise Cr ation d une banni re France International Mme Nicole BRICQ a propos le 17 juillet dernier la mise en place d une banni re unique France International Elle souhaiterait le regroupement de l ensemble des acteurs uvrant pour l aide l export tels que Ubifrance l AFH Agence fran aise pour les investissements internationaux les CCI International Chambre de commerce et d in
16. ants ou potentiels La cr ation de la DEEI 75 personnes r sulte du regroupement de plusieurs services dispers s en 2007 provenant de l ancienne Direction des Affaires conomiques Elle joue un r le d animation aupr s d environ 15 000 agents du MAE mais aussi un r le d octroi de visas de bourses et d organisation de s minaires etc pour appuyer les entreprises l exportation Elle paule et suit le travail et les missions des repr sentants sp ciaux nomm s par le Premier ministre Martine AUBRY pour la Chine Jean Pierre RAFFARIN pour l Alg rie Alain RICHARD pour les Balkans Louis SCHWEITZER pour le Japon Jean Claude NAOURI pour le Br sil Jean Pierre CHEVENEMENT pour la Russie De m me elle coordonne l action des ambassadeurs aupr s des Pr sidents de Conseils r gionaux aux fins de cr er des liens plus directs et une meilleure synergie Ceci pos M LY BATALLAN constate que dans le cadre de l expansion conomique fran aise officielle 11 y a des pays orphelins ex Ghana th oriquement suivi partir de la C te d Ivoire Des recrutements de VIE sont envisag s avec si possible des d veloppements de Club d affaires Au sein de la DEEI il y 10 postes EPI expert pour l international d di s la recherche et au d veloppement afin d aider les p les de comp titivit passer des contrats rechercher partenaires et associ s ceci en liaison avec la direction de la recherche au MEN On ne peut pas
17. ce secondaire l ann e prochaine par exemple 20 Imp t de Solidarit sur la Fortune 2013 ISF d clar en m me Redevables dont le Actif net et temps que pag gues brut d clarer les revenus SE ME Sur la 2042 C ISF sur r le Redevables dont le patrimoine est sup rieur 2 57 M D claration ISF ou sans obligation 2725 autoliquid d clarative l imp t sur le revenu paiement pour les non r sidents Concernant l ISF 2013 actuellement il peut se d clarer avec la d claration classique ordinaire pour autant que le patrimoine soit compris entre 1 3 million d euros et 2 57 millions d euros ce qui repr sente 1 996 contribuables redevables la DRESG tandis que au del des sommes pr cit es 3 527 d clarants la DRESG il est n cessaire de faire une d claration sp ciale Cette campagne suivant le terme employ par l Administration se d roule dans de bonnes conditions Nous relevons la fusion des avis d imp t sur le revenu avec les pr l vements sociaux et la possibilit d opter pour une mensualisation ou le pr l vement l ch ance des pr l vements sociaux d s Janvier 2014 La mise en place dans la loi de finances rectificative 2012 de pr l vements sociaux concernant essentiellement les revenus du capital immobiliers et les plus values relatives a entra n une vive r action des non r sidents concern s le sujet tant d sormais devant la Cour de justice
18. des PME que ce soit dans leur secteur mais galement sur d autres march s Viser en priorit l Europe principal march de la France mais o nous perdons du terrain Sans n gliger pour autant Les grands mergents les mergents de taille interm diaire du type Turquie Colombie ou Maroc et les nouvelles terres en croissance et il faut reprendre pied en Afrique c est compliqu pour nous du fait de notre histoire mais il y a des opportunit s saisir pr cise Mme Am liorer le financement de l export Parfois nous perdons des march s parce que nous ne sommes pas comp titifs au niveau des financements Pour renforcer l offre commerciale de la France et r tablir l quilibre de la balance commerciale d ici cinq ans quatre secteurs prioritaires ont t identifi s Ils correspondent aux nouveaux besoins qui mergent aujourd hui autour du mieux vivre et constituent la feuille de route de Nicole BRICQ pour 2013 La France axe sa strat gie sur une offre commerciale associant biens d quipements produits destin s aux consommateurs et services r partie autour de quatre secteurs la sant l agroalimentaire les nouvelles technologies de l information et de la communication NTIC et la ville durable Ces quatre secteurs correspondent de nouveaux besoins autour du mieux vivre Ils sont d sormais au coeur de la strat gie pour l export qui s inscrit dans la d marche du Pacte nation
19. devrait en fait devenir si tout le monde y met du sien la base principale voire essentielle de la communication individuelle avec la DRESG Chiffres de l accueil Interface usagers Nombre d appels re us wens 338 749 Visites sur place 5 977 Contacts totaux 455 077 299 873 Le taux de r ponse est extraordinaire 97 ce qui nous r conforte Bien entendu cela s inscrit dans une politique de pr vention des 157 000 consultations en 2011 le chiffre des 300 000 est d j d pass Que son acc s en ligne soit facilit Par exemple dans la rubrique des questions fr quentes mieux et bien expliquer les diff rences r sidents et non r sidents car certains textes sont confus Enfin les services de la DRESG participent aux journ es de l expatriation baptis es S expatrier mode d emploi Nous nous r jouissons de la qualit de ces contacts tr s r guliers avec la DRESG et nous souhaitons vivement vu leur tr s grande utilit qu ils soient poursuivis apr s la r forme de 22 Travaux du Groupe transversal Emploi Formation Le groupe emploi formation s est r uni le mercredi 11 septembre 2013 sous la direction de M Pascal CHAZOT Conseiller lu de l AFE Durant la premi re partie de la r union le groupe a auditionn Mme GELLENI du service ENIC NARIC du CIEP organisme public du Minist re de l Education nationale pour les relations internationales afin d aborder la question des qui
20. dustrie internationale les r gions et les op rateurs de l agroalimentaire Sopexa FranceAgriMer et Adepta France International peut se faire tout de suite avec la cr ation d un portail commun regroupant l ensemble des dispositifs fran ais un r seau social pour les entreprises exportatrices a t elle pr cis Rapprocher Ubifrance et les Chambres de Commerce e Le rapprochement entre les International et Ubifrance un sens les premi res sont tr s peu pr sentes l tranger mais beaucoup dans l hexagone et inversement pour les secondes Les compl mentarit s sont int ressantes Les CCI ont une vraie valeur ajout e rep rer s lectionner et conduire les entreprises De la m me mani re pour Ubifrance qui s oriente d sormais vers l accompagnement Un accompagnement sur mesure par la Banque Publique d Investissement France et Ubifrance des 1 000 ETI et PME de croissance du Pacte de la croissance comp titivit et l emploi Quelques chiffres Le d ficit commercial de la France s all ge de 7 milliards d euros principalement gr ce au solde positif des exportations des produits manufactur s et malgr un alourdissement de la facture nerg tique Le secteur a ronautique les produits chimiques parfums et cosm tiques et la forte reprise des ventes pharmaceutiques contribuent cette am lioration Le d ficit du commerce ext rieur de la France s tablit fin 2012 67 milliards d
21. environ 200 diplomates sont actuellement en position de d tachement dans le priv Un large d bat pertinent s est ensuite tenu portant sur le st r otype de l approche Ubifrance peu de prise en compte effective des diff rences entre pays difficiles voire impossibles pays mergents BRICS et Europe les questions de visa pour les tudiants trangers etc 13 Organigramme DEEI MAE e a WW 5 Geet N 1 Marjorie 1 Direction des entreprises et de l conomie internationale M Jacques MAIRE adj M Emmanuel LY BATALLAN pui aux entreprises et innovation kee VANBELINGHEM ation du r seau planification AA C Les Fran ois LE VERGER Septembre 2013 14 Audition de M Eric TAINSCH Directeur adjoint BPI France Export M Eric TAINSCH voque devant nous un pisode selon lui extraordinaire qu est celui de la cr ation d une banque Son d partement est ses yeux indispensable dans le cadre de la BPI car les structures fran aises aussi bien dans le pays qu l international sont trop verticales La capitalisation de la BPI hauteur de 12 milliards d euros devrait permettre un financement r el de l innovation allant de la recherche et d veloppement au marketing Les interventions pr vues de se feront sur une base d interventions certes en direct mais Jamais seules c est dire qu un
22. es donc plus accessibles plus complets car regroupant un catalogue commun BPI France Coface et Ubifrance Dans le cadre des fili res structurantes de notre industrie automobile ferroviaire agro alimentaire industrie navale nucl aire sant la contribution des p les de comp titivit constitu s sera tr s renforc e en faveur des PME PMI en y associant les VIE augmentation envisag e de 25 De m me la cr ation de maison l international qui proposeront aux entreprises les services d un incubateur pour une dur e maximale de 1 an mes yeux une dur e bien trop courte au d part aux Etats Unis d Am rique Boston amp San Francisco et en Asie projet d ouverture en Chine Tous ceci doit s appuyer sur les r seaux fran ais existants CCI CCEF AFII et l ambitieuse diplomatie conomique promue par le Ministre Laurent FABIUS depuis 1 an ce sujet sera abord sp cialement avec un autre invit De m me la dynamisation des entreprises l international fait partie des accords de performance sign s entre les Chambres de Commerce et les ministres Arnaud MONTEBOURG et Sylvia PINEL progression envisag e en ce domaine de 10 000 entreprises en 3 ans Le renforcement de l attractivit de la France est galement un facteur positif pour nos PME parce qu elle leur permet de nouer des relations d affaires et de partenariat technologique qu elles n auraient pas pu d velopper autrement les entreprises tra
23. inist re le vendredi 6 septembre 2013 Les membres de notre commission ont t tr s sensibles cette attention La feuille de route de Mme Nicole BRICQ Un objectif ambitieux annonc fin ao t 2012 par le Premier ministre Jean Marc AYRAULT remettre la balance commerciale de la France hors nergie l quilibre d ici 2017 Pour rappel le pays a enregistr en 2011 un d ficit commercial de 70 milliards d euros dont 45 milliards de facture nerg tique L objectif de r duction porte donc sur les 25 milliards d euros restants Son plan d action privil gier lt l implantation durable en s appuyant sur les r gions les p les de comp titivit et les les fili res prioritaires m me d tre d velopp es l international et rep rer dans ces secteurs les entreprises suffisamment solides pour se lancer l export dans un premier temps sur les tablissements de taille interm diaire ETI ces entreprises ayant entre 250 et 4 999 salari s 800 ETI ont d ores et d j t identifi es Ubi France aura charge de proposer chacune un programme d accompagnement personnalis triennal et contractuel D finir des couples pays produit ce qui permettra d agir plus s lectivement selon Nicole Bricq Cette mission a t confi e la Direction g n rale du Tr sor Impliquer davantage les grands groupes dans l accompagnement l export
24. ire Votre rapporteur retenu par l AG de l ANEFE pour un projet important remercie vivement M Dan BRIGNOLI d avoir bien voulu le suppl er dans sa mission Le budget du programme 151 a t pr sent par M Fran ois SAINT PAUL tout en sp cifiant que les chiffres avanc s ne le sont qu titre pr visionnel le projet de loi de finances n ayant pas t d finitivement arbitr par le Gouvernement M le Directeur estime que l an prochain l AFE se r unissant plus tardivement pourra mettre un avis avant les d bats au Parlement Les avis ou remarques pourront tre transmises au l gislateur Les donn es pr visionnelles sont les suivantes tant donn que les moyens accord s ne diminuent pas Selon M Fran ois SAINT PAUL le programme 151 augmente illustrant en cela la priorit accord e aux Fran ais de l tranger en raison premi rement des bourses et deuxi mement l organisation des lections europ ennes et consulaires Ceci pos la masse salariale n volue pas au niveau du titre 2 tandis que les cr dits hors titre 2 offre service de qualit r seau bourses AFE etc augmentent de 8 3 par rapport la LDF de 2013 Par exemple l offre de service de qualit aux Fran ais de l tranger repr sente 37 millions d euros soit une augmentation de 10 Le p le AFE est stable 3 millions d euros sont affect s aux indemnit s des conseillers Le co t des lections est estim 4 millions d euros convie
25. l Emploi Formation 23 la Cominus e EE 24 Annexe au rapport de la Commission des Finances et Affaires conomiques 19 session 20 WEE 26 Membres de la Commission des Finances et des Affaires conomiques M VILLARD Marc Rapporteur g n ral M GIRAULT Pierre M TIZON Michel M DESPLANQUES Xavier M BRIGNOLI Daniel Programme de la Commission sous la pr sidence de M Marc VILLARD DATES HORAIRES THEMES INVITES LUNDI 09 SEPTEMBRE 14 h 30 Ouverture des travaux de la Commission mot du Pr sident APRES MIDI 15 h 00 16h 30 Les PME et PMI face l international Mme Fleur PELLERIN TPE TPI entrepreneurs individuels fran ais Ministre d l gu e charg e des l tranger mesures prises pour les aider de l innovation et de se d velopper l conomie num rique 16h 45 18 h 00 Le budget du programme 151 M Fran ois SAINT PAUL Directeur des Fran ais l tranger et de l administration consulaire MARDI 10 SEPTEMBRE 09h00 10h30 Premier bilan de la diplomatie conomique M Emmanuel LY BATALLAN apr s un an d existence adjoint du directeur des MATIN Entreprises et de l conomie internationale au MAE 10h45 12h15 Les actions de la particuli rement Eric TAINSH faveur des PME et PMI fran aises Responsable Bpifrance Export souhaitant s installer l tranger adjoint du Directeur Bpifrance Export Bpifrance MAR
26. ll le avec la lutte pour am liorer l attractivit de notre pays Dans les changes internationaux le d crochage fran ais est av r Bien qu il y ait eu une l g re am lioration au cours du premier semestre 2013 la France souffre d un d ficit de comp titivit qui repose selon elle e sur une rentabilit trop faible des entreprises industrielles qui investissent insuffisamment dans l innovation en particulier avec une comp tition par les prix d vastatrice e surun tissu productif marqu par le faible dynamisme de la d mographie des soci t s et surtout l insuffisance num rique des entreprises de taille interm diaire e sur un co syst me national que ne favorise pas l orientation des ressources tant humaines que financi res vers les entreprises dans la concurrence internationale et le d veloppement des entreprises potentiel voquant une croissance encore possible de notre PIB de 0 5 pour le deuxi me semestre 2013 il reste difficile pour les entreprises fran aises de s ins rer dans la comp tition internationale de plus en plus relev e Notre pays se trouve au 23 me rang sur 148 en ce qui concerne les pays les plus comp titifs pour information Allemagne est 4 me et la Grande Bretagne est 10 En r sum la France n exporte pas assez importe trop car souvent oublie de consommer fran ais Le nombre limit des exportateurs en France est symptomatique et r current Une soci t su
27. ne pas constater que la r gulation et les n gociations pour les normes se sont le plus souvent d velopp es en dehors d une pr sence fran aise efficace On retrouve ces probl mes avec les indications g ographiques prot g es par rapport aux lois am ricaines par exemple Il convient donc avant toute n gociation de faire une analyse exhaustive des points forts et des points faibles Il constate que souvent notre pays serait all l ger dans certaines n gociations Une trentaine d indicateurs a t cr e pour tablir des objectifs suivre l volution des d marches et bien entendu valuer les r sultats M LY BATALLAN n est pas favorable une participation de droit des conseillers AFE aux conseils conomiques mais une participation ponctuelle intuitu personae r sultant du contact direct entre l ambassadeur et le conseiller un v u sur ce sujet vous sera pr sent en fin de rapport 12 critique galement la structure actuelle des CCEF qui seraient beaucoup trop nombreux d excellents conseillers c toyant des conseillers ne recherchant que le titre La Diplomatie conomique consiste galement r partir les t ches entre les quipes des ambassades L activit culturelle certes fondamentale ne doit pas carter l activit conomique mais la soutenir en y tant troitement associ e la base tant que tout le personnel soit mobilis autant que faire se peut Enfin 1l faut savoir qu
28. ng res en France repr sentent aujourd hui 2 millions d emplois 20 000 cr ations sur les 3 prochaines ann es avec les implantations 2012 Enfin pour l innovation la stabilisation sur les 4 prochaines ann es du cr dit imp t recherche constitue selon Madame la Ministre un l ment essentiel du dispositif d aide aux PME Il en va de m me de l am lioration de l approche europ enne sur ce sujet qui fait et fera l objet d un travail diplomatique pr cis s en suivit apr s cette remarquable intervention un change tr s fructueux entre Madame la Ministre et les conseillers pr sents Pour les changes avec la Russie un plan d investissements en France est connu et une coop ration plus troite peut parfaitement tre envisag e Madame la Ministre prend bonne note de la remarque faite concernant l accroissement des contr les fiscaux des soci t s ayant des filiales l tranger concern es par les cr dits imp t export suite quelques abus d tournements Il est rappel Madame la Ministre qu en Grande Bretagne la gestion fiscale de ce type de cr dit est assur e par un sous traitant en l occurrence CAP GEMINI Le fait que les soci t s fran aises de droit local dans un pays tranger soient quasi exclues du dispositif fran ais a t voqu Le sujet ne fait pas partie pour l instant des objectifs prioritaires du minist re De nombreuses interventions relatives la difficile lisibili
29. nt de souligner que les charges de fonctionnement de l AFE diminuent sensiblement Par exemple l AFE b n ficie des locaux du minist re et ne loue plus de salles l ext rieur Le p le social voit son budget maintenu avec une l g re augmentation pour la CFE dont l abondement passera 498 000 en 2014 En ce qui concerne les bourses la progression se poursuit 110 millions d euros en 2013 118 millions d euros en 2014 avec un objectif de 125 millions d euros en 2015 M le Directeur se r jouit des bonnes d cisions prises suite la disparition de la PEC qui n aurait engendr qu un nombre relativement limit de nouvelles demandes 11 Audition de M Emmanuel LY BATALLAN Directeur adjoint des Entreprises et de l Economie internationale DEEI au MAE Un excellent contact s est tabli avec M LY BATALLAN Ceci est notamment expliqu par le fait que notre interlocuteur ancien de la DREE a s journ en Chine Ta wan et au Vietnam conna t plusieurs conseillers pr sents sur place avec lesquels il a travaill Il travaille au MAE avec M Jacques MAIRE La Diplomatie conomique a t lanc e 1l y a un an Elle est mise en place depuis mars 2013 et vise au redressement du Commerce ext rieur fran ais hors d ficit nerg tique Le minist re se mobilise en m me temps que le Ministre qui emm ne avec lui dans la plupart de ses voyages ou de ses missions une d l gation d exportateurs exist
30. nt demain les meilleurs am bassadeurs de la France de sa langue mais aussi de ses technologies et de ses entreprises Les bourses en faveur des tudiants trangers sont cibl es sur les pays fort potentiel et en tenant compte des disciplines correspondant aux int r ts conomiques fran ais la politique des visas est aussi con ue comme un outil d attractivit des ins tructions sont donn es pour favoriser et simplifier les proc dures vis vis de certains pu blics hommes d affaires et investisseurs potentiels tudiants trangers touristes la politique de d veloppement sera mieux articul e avec les int r ts conc miques fran ais alors que la communaut franca phone 220 millions de locuteurs dans la monde est promise un d velop pement rapide dans des territoires eux m mes en expansion Afrique no tamment un effort particulier est en gage pour assurer le d veloppement de la dimension conomique de la francophonie je r seau scolaire fran ais l tran ger le plus tendu au monde 481 ta blissements dans 130 pays ainsi que G Instituts fran ais et 445 Alliances fran aises sont un facteur de rayonne ment important Le r seau diploma tique 163 ambassades 92 consulats permet de fournir aux communaut s fran aises des conseils et un accompa gnement l expatriation Maison des Fran ais de l tranger Quelques exemples de l action du Quai d Orsay
31. partenariat avec une banque est n cessaire Actuellement de nombreuses entreprises ont une tr sorerie qui pose probl me puisque de nombreux clients payent en retard que des fournisseurs r duisent leurs d lais de r glement et que des stocks souvent en hausse co tent de plus en plus cher France Export est pr sente d sormais pour aider une entreprise mobiliser ses cr ances pour lui proposer les cr dits imp ts recherche et emploi les assurances prospection COFACE des possibilit s d acc der au fonds de garantie pour des financements sur quelques ann es 2 ans en moyenne avec un plafond de 70 Actuellement la pr paration des entrepreneurs l international pose probl me car nettement insuffisant Trop souvent les noms les objectifs d clar s par les entreprises dans leurs statuts ne pr parent pas l international Un personnel non ad quat se retrouve souvent aux commandes ce qui explique de nombreuses erreurs en particulier dans la protection des marques et brevets D sormais le label BPI France export se retrouve dans 27 pays avec le concours d UBIFRANCE Un syst me de visioconf rence est mis en place pour r duire les voyages non n cessaires Egalement des entretiens sectoriels sont organis s pour aider la validation des hypoth ses business plan Au niveau de l intervention en capital BPI n intervient que sur une base minoritaire l ouverture du capital tant un l ment cl du d veloppemen
32. r 20 exporte en Allemagne Tour 10 avec plus ou moins 120 000 exportateurs traduisant l une faible densit d entreprises taille moyenne car 90 des exportations sont r alis es par moins de 5000 entreprises soit 4 des exportateurs et en termes de chiffres 44 du montant des changes Enfin l irr gularit l exportation est norme plus ou moins 30 000 soci t s chaque ann e se retirent du march le turn over tant inqui tant car de nombreux exportateurs ne peuvent p renniser leur pr sence sur les march s ext rieurs Complexit pour se projeter l international barri res de financement pour accompagner le d collage l international absence de synergie dans la mobilisation l export incroyable dispersion Selon elle sont autant d obstacles cela s ajoute le manque d innovation alors que 60 des entreprises qui innovent exportent la r ticence se projeter en dehors des zones traditionnelles 65 000 exportateurs se concentrent exclusivement sur les pays de l Union europ enne la r ticence chasser en meute r sultant de notre individualisme tr s fran ais L objectif clair du Gouvernement est d aboutir un quilibre commercial d ici 4 ans hors nergie Le lancement de France Export nous avons re u son directeur adjoint plus tard devrait permettre aux PME un acc s plus facile aux produits financiers d di s l export en les rendant entre autre plus lisibl
33. s le Luxembourg soci t s immobili res et le Danemark r tablissement des discussions sur les pensions nous est indiqu que pour la r forme des plus values immobili res pour les transactions entre septembre 2013 et ao t 2014 les non r sidents pourront en b n ficier Enfin et si cela se confirme il s agirait d une excellente nouvelle une r flexion serait en cours sur la notion de r sidence principale r sidence secondaire pour les non r sidents qui ont une r sidence unique en France A suivre avec int r t Un rappel des objectifs travaux OCDE sur 2013 2014 2015 nous est pr sent savoir l laboration d un plan d action sur l vasion fiscale au sein des entreprises la lutte contre les abus dans les conventions de non double imposition trous fiscaux la lutte sur l vasion fiscale r sultant des activit s num riques les prix de transferts localisation des b n fices et les actifs incorporels Les travaux se poursuivent au niveau europ en sur la notion d assiette fiscale par rapport l harmonisation des pourcentages qui ne serait pas aussi productive que pr vue Deux ann es de discussions sont pr voir Rencontre comme toujours tr s technique mais indispensable pour le suivi des conventions qui touchent de nombreux compatriotes 18 Audition de M Serge DESCLAUX Directeur du P le fiscal et de M Olivier LEJEUNE Directeur Divisionnaire de la Direction des r sidents l tranger et de
34. s fran aises Des repr sentants speciaux per sonnalit s l expertise reconnue ont t nomm s pour accompagner la relation conomique avec certains pays clefs Alg rie Chine mirats arabes unis Inde Japon Mexique Russie et appuyer les efforts de l tat en soutien entreprises 27 En France des ambassadeurs pour les r gions sont mis disposition des pr sidents de r gion qui le souhaitent ur favoriser le rapprochement entre regions leurs entreprises en par ticulier es PME et les et le r seau diplomatique H s agit de mieux sow tenir leurs initiatives et de promouvoir leurs atouts dont les p les de titivite l tranger Les outils diplomatiques et les politiques d influence sont mobilis s au service des entre prises et de l attractivite du territoire fran ais La minist re des Affaires trang res coordonne et mobilise l ensemble des outils d influence pour servir la promo tion des int r ts conomiques fran ais le r seau scientifique introduit une dimension o recherche et d veloppe ment dans ses missions et red ploie des conseillers innovation dans les u clusters de R amp D qui int ressent les p les de comp titivit fran ais le r seau culturel contribue la valo risation de la marque France par la promotion de la culture et de l art de vivre fran ais a les tudiants trangers form s en France sero
35. s services g n raux DRESG Le directeur M Jean Paul HARDOUIN invit s est excus pour son absence M Serge DESCLAUX est le successeur de M Cyril MALOINE avec lequel nous avons travaill au cours des sessions durant de nombreuses ann es DRESG est en charge de l assiette du contr le et du recouvrement des non r sidents aussi personnes morales que physiques C est le service le plus important de la Direction des imp ts avec 120 personnes Le nombre de d clarations d imp ts est en progression D clarations d imp t sur le revenu trait es par le Service des imp ts des particuliers non r sidents Nombre 142 687 a areles 188 269 191 157 Bee Le point tr s important et nous nous en r jouissons est la progression des d clarations en ligne 19 volution des d clarations en ligne et des moyens modernes de paiement Nomb ombre 113 959 d clarations 16 et 5 5 au en ligne niveau national Nombre de contribuables utilisant les 66 221 moyens au 31 08 2013 modernes de paiement La progression du nombre de d clarations en ligne de 16 est triple de celle que constate le r seau national et il est loin de s arr ter Le nombre de contribuables qui acceptent d entrer dans le concept appel moyen moderne de paiement qui n est en fait qu une autorisation de pr l vement par l Administration fiscale sur un compte bancaire en France est en progression mais plus lente r sulte de
36. t du soutien fran ais l tranger sont faites en soulignant l imp rieuse n cessit d une synergie et d une rationalisation chevauchement entre Ubifrance les bureaux des r gions les ambassadeurs conomiques le r seau des etc Madame la Ministre a conscience de cette accumulation des dispositifs et rappelle son intervention sur ce sujet elle souligne que la pr sence officielle fran aise l tranger repr sente 11 000 personnes qui sont d sormais sensibilis es et mobilis es pour soutenir la diplomatie conomique La question du d p t de brevets est abord e Les chercheurs pr f rent d poser l tranger plut t qu en France pour des raisons fiscales Madame la Ministre rappelle que le PLF de 2014 prendra en compte cette question Sur le terrain nous pouvons constater que cette d marche n est pas unanimement partag e Il est rappel par des conseillers tr s exp riment s l existence de soci t s de commerce au niveau cor en Japonais chinois en particulier qui prennent en charge toute la partie export de producteurs Ceci rencontre peu de succ s chez nous compte tenu de notre individualisme En r sum nous nous r jouissons d avoir eu cet change tr s int ressant et nous avons la faiblesse de penser que Madame la Ministre a t satisfaite de cette rencontre 10 Audition de M Fran ois SAINT PAUL Directeur des Fran ais de l tranger et de l Administration consula
37. t difficile parfois obtenir tant certains entrepreneurs ont peur d ouvrir leur capital Des financements appel s mezzanine consistant en des pr ts dont les remboursements interviennent apr s un d lai de 2 ans avec pour certains des possibilit s ventuelles pour d veloppement l export sur 7 ans galement financement de FDR fonds de roulement dont les int r ts sont pay s apr s 2 ans Les offres de garantie de soumission pour des march s financement des acomptes de bonne fin de travaux assurance cr dit acheteur ceci avec l aide de la COFACE sont d sormais dans le catalogue Les exportations se heurtent aux frais de douanes cela va de soi La tendance protectionniste encourage partout aux consommations de produits locaux De ce fait la vertu de l implantation locale est encourag e par qui peut aider racheter des entreprises locales et qui peut mettre une garantie de fonds propres investis l tranger autour de 50 du financement Un d p t de bilan l tranger soci t m re fille peut entra ner la garantie mais sous certaines conditions de v rification pr cises des comptes pour viter les fraudes prix de transfert par exemple Enfin le financement des frais engag s avec une soci t de conseil l exportation peut tre inclus dans le dossier tudi par BPI France Export 15 Selon M Eric TAINSCH l exportation et les changes vont conna tre un nouvel essor avec la
38. tie conomique voulue par le ministre des Affaires trang res se traduit notamment par la tenue de Conseils Economiques dans les Ambassades que bon nombre d lus l Assembl e des Fran ais de l tranger marquant un int r t certain pour les affaires conomiques peuvent apporter leur connaissance du terrain met le v u que les membres de la Commission des Finances et Affaires Economiques ainsi que les lus qui en feraient la demande soient invit s r guli rement participer aux r unions des Conseils Economiques de leur circonscription R sultats Adopt en Commission Adopt en S ance X A Nombre de voix Pour oZ o oo o Nombre de voix Contre oZ SS o o Nombre d abstentions g M Majorit des voix Kee Kk X Xx 24 k x Xx Assembl e des Fran ais de l tranger Session 9 14 septembre 2013 COMMISSION DES FINANCES ET DES AFFAIRES ECONOMIQUES Assembl e des Fran ais de l tranger 19 session 9 14 septembre 2013 V u n 2 FIN V 2 13 09 Objet PLF 2014 Assujettissement aux pr l vements sociaux L Assembl e des Fran ais de l tranger consid rant que l article 25 du Projet de Loi de Finances Rectificatif de 2012 pr voit l assujettissement aux pr l vements sociaux sur les revenus du capital de source fran aise revenus fonciers et plus values immobili res per us par les non r sidents CSG CRDS de 15 5 que de l avis m me des services fiscau
39. valences et des reconnaissances de dipl mes professionnels l chelle internationale a t expliqu que compte tenu des sp cificit s de chaque syst me ducatif national il est indispensable de consid rer cette question sous cette aune et de ce fait il est plus ais de rechercher les reconnaissances de formation pour exercer une profession d un pays un autre plut t que des quivalences proprement parler qui se mesurent termes termes et sont de ce fait beaucoup plus lourdes et difficiles g rer La proc dure suivie consid re que si le dipl me est reconnu par le pays d origine pour exercer une profession particuli re ce n est pas au titulaire de prouver sa validit mais l organisme certificateur Le centre fran ais ENIC NARIC alors qu il est comp tent pour d livrer des attestations de comparabilit de dipl mes trangers pour une ventuelle reconnaissance en France n est malheureusement pas comp tent pour d livrer une telle attestation pour des Fran ais souhaitant faire valider leurs certifications ou dipl mes aupr s d autorit s trang res afin par exemple de faciliter leur mobilit Durant la deuxi me partie de la r union le groupe a auditionn Mme Catherine MANCIP Sous directrice de l expatriation de la scolarisation et de l action sociale au service des Fran ais l tranger au MAE Elle a pr sent le bilan financier de l emploi formation en faveur des Fran ais de l
40. x grands contrats les actions diplomatiques en direction des autres fili res agroalimentaire sante conomie verte JL des PME et des Cette action s inscrit dans la mise en uvre du plan gouvernemental de soutien l exportation visant assurer un meilleur couplage de l offre fran aise avec la demande des marches porteurs en am liorant et en renfor ant le dialogue avec les entreprises notam ment dans le cadre des n gociations europ ennes et multilat rales ayant un impact sur leurs int r ts participant aux actions de re cherche et de promotion des investis sements trangers en France cr ateurs d emplois et aux projets des entre prises fran aises De nouveaux dispositifs sont cr es pour appuyer la diplo matie conomique Au sein du minist re des Affaires tran g res est mise en place une Direction des entreprises et de l conomie inter nationale DEEI qui rassemble les ser vices comp tents du minist re sur les questions d conomie internationale de soutien aux entreprises et d attrac tion des investissements trangers voir organigramme p T la t te de l quipe de France de l export chaque ambassadeur a cr dans son poste avec le concours des services conomiques conseil co nomique Celui ci a vocation consti tuer le cadre de dialogue r gulier et approfondi entre l ensemble des ser vices de l tat sur place et les entre prise
41. x interrog s depuis plusieurs ann es la CSG et la CRDS sont des cotisations sociales et ne rel vent donc pas de l imp t que la Commission europ enne ouvert une proc dure d infraction l encontre de la France sur l application de ces pr l vements sociaux sur les revenus immobiliers et les plus values immobili res des non r sidents que des milliers de non r sidents ont ces derniers jours contact la Direction Centrale des Services G n raux ce sujet que les risques encourus au niveau budg taire en ce domaine sont consid rables l exemple de la condamnation par la Cour de Justice de l Union europ enne du r gime fiscal fran ais des OPCVM Organisme de Placement Collectif des Valeurs Mobili res met le v u que le Gouvernement prenne en compte le risque de condamnation encouru et sursoie cette mesure dans le cadre du Projet de Loi de Finances de 2014 _ R sultats Adopt en Commission Adopt en S ance Nombre de voix Pour d O Nombre de voix Contre o Nombre d abstentions E a Majorit des voix Correspond l article 29 de loi de finances rectificative n 2012 958 du 16 ao t 2012 25 Annexe au rapport de la Commission des Finances et Affaires conomiques 19 session 9 14 septembre 2013 H Le Quai d Orsay au service des entreprises s ma prise de fonction j ai d cid de faire de diplomatie conomique une priorit
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