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DoC`ActuS n° 83 - Décembre 2014

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Contents

1. SL A r i i AK Suivez nous sur TWITTER Yo STL_87 Lt sant au travail en limousin DoC Actus Bulletin d information du centre de documentation en sant au travail en Limousin N 83 D cembre 2014 Rappels des textes r glementaires JORF JOUE norme Page 2 Les br ves page 5 Rapports et tudes Page 8 Sur le Web page 9 Les chiffres en plus Page 10 Actes congr s colloques Page 10 La boite outils Page 10 Humour Page 11 mn T 0 es mi Piae journalinformations e ziria _ 9 thige A LL me AaCUAI S aid a eu ue AE T a Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 brigitte petit stlim org D cret n 2014 1289 du 23 octobre 2014 relatif aux exceptions l application du principe silence vaut acceptation sur le fondement du II de l article 21 de la loi n 2000 321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations minist re du travail de l emploi de la formation professionnelle et du dialogue social D cret n 2014 1290 du 23 octobre 2014 relatif aux exceptions l application du d lai de deux mois de naissance des d cisions implicites d acceptation sur le fondement du II de l article 21 de la loi n 2000 321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations minist re du travail de l emploi de la formation professionnelle et du d
2. la semaine derni re dans le cadre de la strat gie nationale sur les perturbateurs qui doit permettre d tudier 15 substances sur trois ans Actuel HSE e 24 11 2014 Une mission parlementaire va r interroger la notion d aptitude gt Michel Issindou d put PS de l Is re charg d animer la mission parlementaire sur Aptitude et m decine du travail d taille ses objectifs Elle va notamment analyser les difficult s de la m decine du travail 18 mois apr s sa r forme Wk rh fr le 25 11 2014 Compagnies a riennes Fini le calcul des doses Dans un contexte d volution r glementaire l IRSN a r alis en 2014 la refonte totale du syst me SIEVERT Syst me d information et d valuation par vol de l exposition au rayonnement cosmique dans les transports a riens Test par Air France avant sa mise en ligne la fin juin 2014 SIEVERT PN r pond aux nouvelles contraintes r glementaires de l arr t du 17 juillet 2013 relatif la carte de suivi m dical et de suivi dosim triques des travailleurs expos s aux rayonnements ionisants applicable au 1er juillet 2014 En particulier les doses individuelles ne doivent plus tre attribu es aux personnels navigants par les compagnies a riennes elles m me mais par un organisme agr ou l IRSN irsn fr novembre 2014 M decine du travail Les syndicats sont atterr s par les projets du gouvernement La m decine du travail est en grand danger et avec el
3. Lire la synth se INVS le 07 11 2014 of medias 01 litres EU tinia EAR tr oumalinformations i g articles MA a e isacttdlit s rave S rod beleu ue E E Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 sn brigitte petit stlim orqg En France l exposition des femmes enceintes et de leurs enfants na tre des polluants de l environnement est en baisse L Institut de veille sanitaire a pr sent l occasion de deux conf rences internationales sur l environnement et la sant les premiers r sultats du volet p rinatal du programme national de biosurveillance Il s agit des premiers r sultats disponibles l chelle nationale chez la femme enceinte pour les polluants suivants plomb mercure et bisph nol A INVS le 12 11 2014 Lire le communiqu de presse Les femmes surexpos es aux risques psychosociaux dans l enqu te Sumer 2010 L Anact a mis en vidence sur la base des donn es statistiques de la Cnam TS que femmes et hommes ne sont pas confront s aux m mes risques professionnels Qu en est il plus sp cifiquement de l exposition aux facteurs de risques psychosociaux Pour le savoir l Anact a command deux chercheurs du Lest Paul Bouffartigue et Jacques Bouteiller d analyser les donn es des enqu tes Sumer au regard du genre gt En savoir plus sur le site de l ANACT le 19 11 2014 C2P Compte Pr vention P nibilit Le gouvernement lance un si
4. mement complexe dans la mesure o la production et le commerce des substances entrant dans la fabrication de la plupart des drogues illicites est une activit l gale En outre afin de contourner les contr les mis en place par les conventions et les r glements internationaux les trafiquants l instar de ce qui se passe pour les nouveaux produits de synth se NPS ne cessent d innover en ayant recours des substances non class es T l charger le n 7 OFDT novembre 2014 Le collaborateur m decin peut il l gitimement signer seul un avis d aptitude inaptitude m dicale Quelles responsabilit s encourues si le collaborateur m decin signe lui m me cet avis d aptitude inaptitude L quipe juridique de l ISTNF r pond ces questions Apr s avoir fait le point sur les derniers textes elle rappelle la responsabilit du m decin et distingue la responsabilit civile de la responsabilit p nale ISTNF le 17 11 2014 Une mission est lanc e sur la notion d aptitude Aptitude et m decine du travail voil la mission laquelle le professeur Sophie Fantoni va participer en association avec trois autres personnalit s issues du Parlement de l administration et de l entreprise la demande de Marisol Touraine Ministre des Affaires sociales de la Sant et des Droits des femmes et de Fran ois Rebsamen Ministre du travail de l emploi de la formation professionnelle et du dialogue social istnf fr
5. dicales Confier aux m decins de ville certaines visites m dicales de routine serait ce la solution pour pallier la p nurie de m decins du travail C est l une des pistes laquelle r fl chit le gouvernement Les m decins du travail sont d j vent debout contre cette r forme Michel Liebgott d put PS de la Moselle vient de se voir confier une mission sur le sujet Actuel rh fr le 13 11 2014 Les policiers se mobilisent pour de meilleures conditions de travail A moins d un mois des lections professionnelles dans la police le syndicat Alliance police nationale second de la profession a appel les gardiens de la paix se rassembler le 13 novembre Paris afin de d noncer leurs conditions de travail et le manque de moyens Lemonde fr le 13 11 2014 Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 Les pr curseurs chimiques dimension m connue du march mondial des drogues illicites Le septi me num ro de Drogues enjeux internationaux r alis en partenariat avec l Office central de r pression du trafic illicite des stup fiants OCRTIS se penche sur une question souvent m connue le trafic des pr curseurs chimiques Ces substances chimiques psychoactives ou non sont indispensables la pr paration extraction ou surtout synth se des stup fiants Pour les services en charge du contr le des pr curseurs ainsi que de la r pression de leur trafic la t che est extr
6. fitres w riches jura malins 5 geg PAL Le actes Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 brigitte petit stlim org Rectificatif au r glement CE no 552 2009 de la Commission du 22 juin 2009 modifiant le r glement CE no 1907 2006 du Parlement europ en et du Conseil concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables ces substances REACH en ce qui concerne l annexe XVII DIRECTIVE 2014 103 UE de la Commission du 21 novembre 2014 portant troisi me adaptation au progr s scientifique et technique des annexes de la directive 2008 68 CE du Parlement europ en et du Conseil relative au transport int rieur des marchandises dangereuses Inaptitude Incidence de l hospitalisation du salari apr s la 1 re visite de reprise L hospitalisation du salari apr s la 1 re visite de reprise dispense l employeur d organiser la seconde visite dans les 2 semaines Cass Soc N n 13 14657 du 23 09 2014 Les employeurs sont seuls responsables du d faut d organisation des visites m dicales de reprises Pour d bouter un salari de sa demande de dommages et int r ts au titre du non respect par l employeur de son obligation d organiser une visite m dicale de reprise la Cour d appel de Versailles apr s avoir constat une absence pour maladie de vingt et un jours a retenu que selon l article R 4624 23 du c
7. leur diagnostic Qualit de Vie au Travail QVT ARACT Pays de la Loire 10 2014 Acc der l outil Nouvelles brochures RSI Des gestes simples pour vous prot ger R gime Social des Ind pendants 06 2014 e T l charger la brochure Couvreurs charpentiers 32 pages e T l charger la brochure Ma ons Carreleurs 32 pages e T l charger la brochure Menuisiers 32 pages e T l charger la brochure M tiers du pl tre et de l isolation 32 pages e T l charger la brochure Peintres et poseurs de rev tements 32 pages e T l charger la brochure Plombiers Chauffagistes 36 pages H tellerie 4 nouveaux films sur la pr vention Cette s rie de films associe fictions et reportages et aborde la question des troubles musculosquelettiques et des risques psychosociaux et permet galement de d couvrir des exemples concrets de mesures mises en uvre pour am liorer les conditions de travail des femmes de chambre INRS 04 11 2014 Voir les vid os sur Youtube Reconna tre les signes d alerte de l AVC ARS Pays de la Loire 10 2014 T l charger l affiche Vid o Efficacit vs TMS Regarder la vid o sur Youtube Des ouvriers roumains vident un transpalette de sa cargaison de caisses de bi re avec les encouragements soutenus de leur coach oic odias OS es A des journaliniormalions i 8 ARE TS actualites LA Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014
8. sur le site franceculture fr D age US tiaia uma iom lon i a ICI mg PS 75 TO PELLE Lire jo sactualit s PL tonin ces cle naine dos ul Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 3 brigitte petit stlim org BTP Accidents du travail et maladies professionnelles du BTP priorit d actions pour le secteur Infographie r alis e partir des documents suivants Accidents du travail et maladies professionnelles du BTP INRS 2012 Une approche conomique de la pr vention Etude OPPBTP 2010 2012 octobre 2014 Consulter l infographie Zoom sur la sant des int rimaires Le groupe R unica a men avec Harris Interactive une enqu te sur les int rimaires et leur sant 409 int rimaires g s de plus de 18 ans ont t interrog s en ligne en ao t 2014 Les r sultats ont t communiqu s le 13 novembre 2014 e les int rimaires souffrent moins que la moyenne des Fran ais de maladies cardiovasculaires e ils ne sont pas pargn s par les troubles du sommeil puisque 61 d entre eux d clarent souffrir d au moins un trouble du sommeil principalement des difficult s s endormir ou des r veils nocturnes concernant les comportements addictifs les int rimaires se trouvent dans la moyenne 51 des int rimaires interrog s ne s estiment pas suffisamment inform s en mati re de sant au travail principalement en ce qui concerne les troubles du sommeil Face a
9. 14 Publication des r sultats d une enqu te sur le d pistage des usages risque de l alcool chez les conducteurs la demande de la S curit routi re l INSERR a men une enqu te sur les pratiques des m decins des commissions m dicales en mati re de d pistage et de prise en compte des usages risque de l alcool chez les conducteurs L objectif est d harmoniser les pratiques et d aider les m decins agr s afin de lutter encore plus efficacement contre l ins curit routi re en lien avec les probl mes d addictions securite routiere gouv fr le 30 10 2014 Le deuxi me plan sant au travail 2010 2014 quel bilan Lanc en juillet 2010 apr s avoir fait l objet d une large concertation le deuxi me plan Sant au travail 2010 2014 arrive ch ance la fin de l ann e Il a donc paru n cessaire d en dresser un premier bilan et de r fl chir aux principales orientations qui pourraient tre retenues dans le troisi me plan Sant au travail 2015 2019 dont la pr sentation devait intervenir au printemps prochain Rapport l gislatif n 2264 Assembl e Nationale octobre 2014 ANSES AVIS relatif aux quipements de protection individuelle destin s aux applicateurs de produits phytopharmaceutiques constats et recommandations Des EPI haut niveau de performance existent Toutefois le port de ces quipements n est pas toujours pratiqu du fait notamment d un niveau de confort faible et des contraintes i
10. bu brigitte petit stlim orqg
11. e 18 11 2014 e T l chargez la lettre de mission Souffrance au travail Selon le psychiatre Patrick L geron la France a beaucoup de retard rattraper Il l explique dans un article paru le 19 11 2014 la rep fr Centre France Doi medias r0S lires titid AR SAT oumalinformations tre a articles ne actualit s ai 6 contar ce nnim a brigitte petit stlim org Sant au travail la pr vention un investissement Si la sant au travail a un co t humain elle a aussi un co t conomique pour l entreprise Et la r elle prise en compte du bien tre des personnes dans la politique des entreprises est d sormais in luctable Lexpress fr e 19 11 2014 ITW La violence est banale en cuisine Un manifeste pour lever l omerta sur la violence en cuisine a t sign par cinq meilleurs ouvriers de France dont le chef des cuisines de l Elys e Guillaume cuisinier et blogueur raconte au Figaro les brimades qu il a subies dans le cadre de son travail Lefigaro fr le 19 11 2014 ANIMT R forme de simplification Des membres de l Association Nationale des Internes en M decine du Travail ont t re us le 19 novembre dernier par le premier Ministre et le secr taire d tat Mr Mandon pour d battre de l actualit et voquer leur pr occupation e Les commentaires sur le projet de r forme de simplification e Le communiqu de presse Risque amiante et lectrique les artisans se forment
12. e d au moins 30 jours pour cause d accident du travail de maladie ou d accident non professionnel article R 4624 22 du Code du travail Cette visite m dicale doit avoir lieu dans un d lai de 8 huit jours compter de la reprise du travail par le salari article R 4624 23 du Code du travail En cas de manquement cette obligation la prise d acte de la rupture du contrat de travail par le salari victime produira les effets d un licenciement sans cause r elle et s rieuse En l esp ce un salari engag en qualit d ouvrier a t plac en arr ts de travail successifs pour accident du travail et maladie Invoquant notamment un manquement de l employeur son obligation d organiser une visite m dicale de reprise le salari a pris acte de la rupture de son contrat de travail Pour justifier l absence de visite de reprise l employeur faisait valoir qu une visite m dicale p riodique avait t r alis e 10 jours avant l accident du travail et que le salari avait t d clar apte lors de la visite p riodique suivante Ainsi l absence de visite m dicale de reprise la suite de l accident du travail n avait pas caus de pr judice au salari et ne constituait donc pas un manquement suffisamment grave pour justifier la prise d acte de la rupture ne Tedas Vros es Day r is oumaiformalions te 7 kige Lara ae cit 3 Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 un brigitte petit stlim o
13. ialogue social D cret n 2014 1291 du 23 octobre 2014 relatif aux exceptions l application du principe silence vaut acceptation sur le fondement du 4 du I de l article 21 de la loi n 2000 321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations minist re du travail de l emploi de la formation professionnelle et du dialogue social Arr t du 23 octobre 2014 modifiant la liste des tablissements et des m tiers de la construction et de la r paration navales susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Arr t du 23 octobre 2014 modifiant la liste des tablissements et des m tiers de la construction et de la r paration navales susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Arr t du 23 octobre 2014 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Arr t du 13 octobre 2014 compl tant l arr t du 21 juin 2013 portant agr ment d organismes habilit s dispenser la formation la s curit des travailleurs intervenant en milieu hyperbare Arr t du 7 novembre 2014 portant agr ment d organismes pour effectuer les v rifications techniques r glementaires dans les tablisse
14. ional et d un programme national sur la s curit et la sant au travail Organisation Mondiale du travail e 29 10 2014 La CFE CGC dit non au d ni du r le du m decin du travail La CFE CGC est offusqu e par la volont du gouvernement actuel de supprimer le m decin du travail Apr s avoir voulu enlever le caract re p nal du d lit d entrave et d tre revenu sur les principes fondamentaux de la s curisation des salari s dans l entreprise cette nouvelle d marche ne va pas permettre d am liorer la sant au travail des salari s et ce ne sera certainement pas sans impact sur la comp titivit des entreprises Lire le communiqu de presse le 30 10 2014 Travailler en horaires d cal s acc l re le vieillissement cognitif Travailler de nuit ou en horaire d cal s pendant une longue p riode nuit la sant C est ce que r v le une tude franco britannique publi e dans la revue m dicale Occupational and Environmental Medicine le 4 novembre dernier Selon ce document le vieillissement cognitif est acc l r par ce type de rythme de travail Lemonde fr le 04 11 2014 e Lire l abstract ine inegliche ine ze texte Le S nat supprime le compte p nibilit Le S nat a adopt l Amendement n 1 rectifi quinquies au projet de loi de Simplification de la vie des entreprises Proc dure acc l r e Les articles 7 10 11 12 13 14 15 et 16 de la loi n 2014 40 du 20 janvier 2014 gara
15. ise en uvre des accessoires de levage lingues manilles Sont notamment pr cis s dans ce document le cadre r glementaire la d marche organisationnelle au sein de l entreprise visant la s curisation des op rations de levage les r gles pour linguer en s curit et la formation des op rateurs Ce quide est compl t par un logiciel outil 46 permettant d valuer la capacit minimale d un accessoire de levage en fonction de la masse de charge lever du mode d lingage et des conditions d utilisation angles d accrochage temp rature INRS brochure ED 6178 er Un tes ariches Joumalinformalions ie _ 15 tualit s A actualit s 40 rod beleu ue nie p Er Men Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 brigitte petit stlim org Plaquette de pr vention La borr liose ou maladie de Lyme par le STM Luxembourg 03 2014 2 pages T l charger la fiche Plaquette de pr vention Les Agents Chimiques Dangereux ACD Fiche l attention du salari par l AIPALS Montpellier 2014 2 pages T l charger la fiche Un outil d autodiagnostic QVT pour votre entreprise Pour vous aider dans cette d marche l Aract des Pays de la Loire a con u un outil d autodiagnostic en lien avec 5 entreprises du choletais dans le cadre d une action collective men e en partenariat avec le SMIEC Depuis 10 autres entreprises exp rimentent l outil Toutes travaillent en concertation sur
16. le la sant de tous les salari s c est en substance le message qu ont voulu faire passer le 26 novembre dernier cinq syndicats en r action aux projets de simplification du gouvernement via la loi Macron 20mn fr avec AFP le 26 11 2014 INVS dans les r gions points pid miologiques e Surveillance sanitaire en r gion Limousin Point pid miologique au 21 novembre 2014 e Surveillance sanitaire en r gion Aquitaine Point z pid miologique au 20 novembre 2014 n m dias Us fles g aies jouralinformalions i bigog aie T Ea E ig r sactualit s Len direct 7 ton bceuscuneture maine g a dos mel brigitte petit stlim orqg Risque lev de cancer du poumon chez les ma ons Les ma ons pr sentent un risque accru de cancer du poumon selon une tude pid miologique parue r cemment dans l International Journal of Cancer Le risque de contracter le cancer du poumon augmente proportionnellement avec le temps pass dans cette profession Les auteurs de l tude mettent en cause l exposition r guli re de ce m tier un cocktail d agents canc rog nes qui produit des effets synergiques Les auteurs pointent en particulier le r le de la silice cristalline qui se trouve dans le sable l argile la pierre et est d gag e en quantit importante lors de la d coupe de mat riaux comme la c ramique Pr s de 20 des travailleurs de la construction y sont fr quemment expos s ETUI e 24 10 20
17. ments recevant du public D cret n 2014 1363 du 14 novembre 2014 visant transposer l article 14 5 de la directive 2012 27 UE relatif au raccordement d installations productrices d nergie fatale des r seaux de chaleur ou de froid D cret n 2014 1375 du 17 novembre 2014 r visant et compl tant les tableaux de maladies professionnelles annex s au livre VII du code rural et de la p che maritime NDLR Affections dues au plomb et ses compos s D cret n 2014 1386 du 20 novembre 2014 relatif la mise en uvre de l obligation d emploi des travailleurs handicap s par l application d un accord mentionn l article L 5212 8 du code du travail En vertu de l article L 5212 8 du code du travail les employeurs peuvent s acquitter de leur obligation d emploi de travailleurs handicap s en mettant en uvre un accord de branche de groupe d entreprise ou d tablissement en faveur des travailleurs handicap s Ces accords sont agr s par l autorit administrative Pour tre exon ratoires ces accords doivent pr voir un programme d actions annuel ou pluriannuel comportant obligatoirement un plan d embauche en milieu ordinaire Afin de d velopper les d marches pr ventives contre le risque de d sinsertion professionnelle des salari s handicap s le pr sent d cret rend obligatoire l inscription d un plan de maintien dans l entreprise au sein des accords agr s au titre de l obligation d emploi L gifrance DATI Yos
18. nh rentes l activit au poste de travail Ainsi dans l avis qu elle publie l Agence propose une s rie de recommandations de bonnes pratiques de pr vention des risques li s aux expositions aux produits phytopharmaceutiques L EU OSHA publie un rapport sur les risques psychosociaux RPS en Europe Le rapport r alis conjointement par l EU OSHA et EUROFOUND fait le point sur les conditions de travail des europ ens et la pr valence des risques psychosociaux RPS sur les lieux de travail Il pr sente galement les politiques men es par les Etats membres pour lutter contre ce type de risque 06 11 2014 DARES 2014 083 L obligation d emploi des travailleurs handicap s en 2012 Des recrutements plus nombreux en CDD qu en CDI e Lire le r sum sur le site de la Dares le 07 11 2014 e Lire l tude de la DARES Exposition professionnelle aux solvants organiques et cancers du sein chez l homme et la femme de nouveaux r sultats renforcent les hypoth ses sur des facteurs de risque environnementaux En France chaque ann e plus de 53 000 nouveaux cas et plus de 11 000 d c s par cancer du sein sont recens s Les facteurs de risque connus ne permettent d expliquer qu une minorit des cancers du sein dans un contexte d augmentation de l incidence de cette maladie dans les pays industrialis s D autres facteurs de risque notamment des expositions environnementales ou professionnelles sont suspect s mais restent moins tudi s
19. ns de pr vention et de permettre aux services de m decine de pr vention d exercer leurs missions le d cret n 2014 1255 du 27 octobre 2014 pr voit l accueil au sein de ces services de collaborateurs m decins dans les m mes conditions que pour le secteur priv Ce d cret fixe galement les modalit s d attribution du temps syndical attach aux fonctions de membres du CHSCT Ces nouvelles dispositions r glementaires ne concernent que les administrations et tablissements publics administratifs relevant de la fonction publique d Etat et sont entr es en vigueur le 29 octobre 2014 La France ratifie la convention n 187 sur le cadre promotionnel pour la s curit et la sant au travail 2006 Ratifi e aujourd hui par 32 Etats Membres la convention n 187 est l un des trois instruments cl s de l OIT sur la s curit et la sant au travail avec la convention n 155 sur la s curit et la sant des travailleurs 1981 et son protocole de 2002 En tant que cadre promotionnel pr voyant le traitement coh rent et syst matique des questions de s curit et sant au travail la convention n 187 appelle les Etats Membres qui la ratifient mettre en uvre des mesures concr tes en consultation avec les partenaires sociaux afin de parvenir progressivement un milieu de travail s r et salubre et ce d une mani re coh rente et concert e par le d veloppement d une politique nationale d un syst me nat
20. ntissant l avenir et la justice du syst me de retraites sont abrog s e Compte rendu analytique officiel du 4 novembre 2014 e S ance du 4 novembre 2014 compte rendu int gral des d bats e Synth se par Public S nat Le S nat supprime le compte p nibilit cfecgc santetravail fr le 04 11 2014 Les chefs d entreprise de plus en plus pr occup s par la s curit routi re de leurs salari s Premi re cause de d c s au travail les accidents de la route doivent en cons quence tre une pr occupation majeure des employeurs C est ce qu a cherch v rifier l association PSRE Promotion et Suivi de la S curit Routi re en Entreprise au travers d une enqu te Ifop portant sur les chefs d entreprise et la s curit routi re de leurs employ s lefigaro fr Je 05 11 2014 Pour lutter contre les p nuries de m decins du travail il suffit d ouvrir plus de postes La CFE CGE s offusque de la volont du gouvernement de diminuer le champ d action du m decin du travail Selon Martine Keryer secr taire nationale Sant au travail la p nurie de praticiens s explique par l insuffisance de postes ouverts Expoprotection com e 06 11 2014 ni m dias 0s lilies Paris Joumalinformalions im ige ak m x Hacluall inis 5 coma eelam coeur aema dos meme Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 z brigitte petit stlim org Le bilan 2014 de la d claration des s
21. ode du travail l examen de reprise peut tre sollicit par le salari lequel n invoquait pas pour la p riode consid r e une modification de son aptitude au travail ni le fait d avoir avis son employeur En statuant ainsi la Cour d appel de Versailles a viol les articles L 4121 1 R 4624 21 et R 4624 22 du Code du travail La cour de cassation casse et annule le jugement de la cour d appel de Versailles Cass Soc 15 octobre 2014 n 13 14969 Revirement de jurisprudence sur l inaptitude Selon cet Arr t de rejet de la Chambre sociale de la Cour de cassation rendu le 08 10 2014 dor navant la disposition d une convention collective excluant les salari s licenci s pour cause d inaptitude cons cutive une maladie ou un accident non professionnel du b n fice de l indemnit de licenciement qu elle institue est nulle en raison de son caract re discriminatoire fond sur l tat de sant du salari Cass Soc n 13 11789 du 8 octobre 2014 AINF le 13 11 2014 Le suivi en sant au travail p riodique ne suppl e pas l obligation d organiser une visite de reprise Conform ment l article L 4121 1 du Code du travail l employeur doit prendre les mesures n cessaires pour assurer la s curit et prot ger la sant physique et mentale des travailleurs A ce titre il doit notamment organiser une visite de reprise apr s un cong de maternit une absence pour cause de maladie professionnelle et apr s une absenc
22. rg La Cour de cassation confirmant l arr t d appel rejette l argument de l employeur et consid re que la prise d acte de la rupture du contrat par le salari produit les effets d un licenciement sans cause r elle et s rieuse Les juges rel vent que le salari avait repris le travail l issue d un arr t de travail ouvrant droit une visite de reprise et qu il se tenait disposition pour qu il y soit proc d Le fait qu une visite m dicale p riodique ait t r alis e avant l accident et que le salari ait t d clar apte lors de la visite p riodique suivant apr s l accident du travail ne pouvait suppl er la visite m dicale de reprise qui a pour objet de d terminer l aptitude la reprise du travail par le salari Ainsi la carence de l employeur organiser la visite de reprise dans les 8 jours constituait un manquement suffisamment grave pour justifier la prise d acte qui produisait alors les effets d un licenciement sans cause r elle et s rieuse istnf fr mardi 18 novembre 2014 Cass soc n 13 17 101 du 15 octobre 2014 Retrouver le texte officiel sur L gifrance on des Us es a ioe UralN OA ONS e LE ikipe RE s tactiles nF Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 LS brigitte petit stlim org Fonction publique d tat am lioration du fonctionnement des services de m decine de pr vention et des CHSCT Afin d largir le vivier de recrutement des m deci
23. sous la contrainte de la r glementation Selon la deuxi me dition de l Observatoire des formations la pr vention des entreprises artisanales du BTP publi par la Capeb les artisans ont tendance ne se former la pr vention des risques professionnels que lorsque la r glementation les y contraint amiante risque lectrique Ils n gligent souvent de se former la pr vention d autres risques pourtant fr quents dans le BTP comme les troubles musculo squelettiques Lemoniteur fr e 20 11 2014 Perturbateurs endocriniens cinq substances au crible en 2015 L Anses expertisera cinq nouvelles substances en 2015 afin de confirmer ou d infirmer leur caract re de perturbateur endocrinien Sont concern s l iprodione un fongicide le 2 6 di tert butyl p cresol BHT antioxydant utilis dans de nombreuses applications industrielles ainsi que dans les cosm tiques le m thylsalicylate proche du m thylparab ne que l Anses expertise cette ann e utilis comme conservateur dans certains produits cosm tiques et produits d hygi ne le tributyl O acetylcitrate ATBC utilis en tant que substitut des phtalates Brigitte Petit documentaliste STL limousin d cembre 2014 notamment comme plastifiant dans des jouets et l acide t r phtalique utilis en tant que substitut au bisph nol A dans les polycarbonates la base de nombreux produits industriels destin s aux consommateurs Un calendrier d cid
24. te pour tout savoir sur les droits et d marches li s au Compte pr vention p nibilit salari entreprise Le BTP est galement concern http Www preventionpenibilite fr Risques PsychoSociaux Ce film est un documentaire p dagogique con u autour des recherches en cours sur le th me des Risques PsychoSociaux RPS au LEST par Paul Bouffartigue avec l appui de l quipe sant et travail du LEST et r alis par Jean Christophe Besset Destin autant aux professionnels et acteurs de la sant au travail qu un public de non sp cialistes ce documentaire de 60 minutes se veut une introduction la fois p dagogique et vivante la th matique des RPS Open space nos espaces de travail et nous L mission Mode de vie mode d emploi France Culture a consacr un de ses num ros aux Open Space Des sp cialistes chercheurs et auteur de L open space m a tuer discutent des reportages sur site abordant toutes les probl matiques de ces espaces e Pour r couter l mission du 6 octobre dernier La m decine du travail est une sp cialit Bernard Salengro m decin du travail et secr taire national de la CFE CGC interrog par France culture sur la r forme de la sant travail et sur l aptitude dans le journal de 7H le 26 novembre d fend la sp cialit m decine du travail contre l id e d associer les m decins traitants au suivi des salari s ISTNF le 26 11 2014 Ecoutez le journal de 7H
25. u risque novembre 2014 Cisme restitution des Journ es Sant Travail 2014 Sur le site du CISME les diaporamas acte et r sum s associ s chacune des communications pr sent es lors des journ es Sant Travail 2014 21 et 22 octobre 2014 sont en ligne class s par session Le discours de cl ture par le DGT Mr Struillou est disponible au format audio Agir contre l usure professionnelle Un nouveau guide pratique Actions en faveur des seniors mesures de maintien dans l emploi accueil des nouveaux Dans ce guide des exemples d actions compl mentaires et des conseils m thodologiques afin d enrichir les pratiques et de les mettre en coh rence L objectif du guide Aider l entreprise b tir un plan d action pr vention de l usure adapt ses enjeux Ce guide peut tre utilis e en amont de la construction d un plan d action pour prendre la mesure de ce qu il est possible de faire e en cours de construction d un plan d action pour l enrichir ou au moment de son valuation Consulter le document Anact Aravis Aract Languedoc Roussillon Aract Aquitaine Malakoff M d ric 10 2014 44 pages Un guide et un logiciel INRS pour les lingueurs L INRS publie une brochure intitul e Accessoires de levage Memento de l lingueur r f renc e ED 6178 Ce nouveau guide annule et remplace la pr c dente dition ED 919 Cette brochure reprend les informations utiles la bonne m
26. ubstances l tat nanoparticulaire vient d tre publi Le bilan officiel de la deuxi me ann e du dispositif R Nano en France 400 000 tonnes de nanomat riaux produits ou import s en France en 2013 ont fait l objet d une d claration par des entreprises ou des laboratoires de recherche C est 100 000 tonnes de moins que l ann e pr c dente malgr un triplement du nombre de d clarations VeilleNanos fr le 12 11 2014 Interdiction du perchloro thyl ne dans les pressings confirm e par le Conseil d Etat Dans un arr t du 17 octobre 2014 le Conseil d Etat CE refuse d annuler l arr t du 5 d cembre 2012 qui modifie l arr t du 31 ao t 2009 relatif aux prescriptions g n rales applicables aux ICPE soumises d claration sous la rubrique n 2345 Utilisation de solvants pour le nettoyage sec et le traitement des textiles ou des v tements Cet arr t interdit progressivement l utilisation du perchloro thyl ne PCE par des machines de nettoyage sec dans les locaux contigus des locaux occup s par des tiers et organise son remplacement par d autres solvants Le CE consid re que cette interdiction est justifi e compte tenu des risques importants pour la sant publique que pr sente le PCE JDE le 13 11 2014 e Arr t du Conseil d Etat du 17 octobre 2014 n 365840 l article L l environnement 512 10 du Code de Une mission parlementaire va plancher sur la r forme des visites m

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