Télécharger (482 Ko) - Bâtiments Durables en Haute
Contents
1. et des quipements Quelle que soit la performance du projet r alis seule une appropriation fine du b timent permet d en tirer le meilleur L appropriation du b timent par les utilisateurs conditionne la r ussite du projet L utilisation des stores notam ment n cessite un travail p dagogique sp cifique Tout comme le maintien de la temp rature 19 C et non pas 22 25 C comme les utilisateurs en ont l habitude hautenormandie fr J E ss de l habitat 21317 gt 3 D 3 g z z z I L gt m 2 Q D D 5 w 2 i Ko T 5 D aa2. humidit pr cipitations etc ce qui d grade de mani re tr s importante leur performance Une fois humide il est alors tr s difficile voire impossible de les ass cher Pour viter ces d t riorations vigilance chaque tape e le transport de l isolant jusqu au chantier et son stockage doit tre r alis dans de bonnes conditions environnement non humide hors d eau hors d air ou au minimum prot g par une structure imperm able e a mise en uvre de l isolation du plancher doit tre r alis e dans un b timent hors d eau hors d air couverture et ouvrants pos s Pour l isolation par l ext rieur le bardage ou le complexe assurant l tanch it de l isolant doit tre rapidement pos coordonner isolation et rev tement de fa ade Ces pr cautions d usage et de mise en oeuvre peuvent tre exprim es dans une charte de chantier vert sur laquelle les entreprises devront s engager les mesures pr servant l isolation de l humidit pourront tre sp cifi es dans le cahier des clauses communes La d signation d un r f rent au sein des entreprises charg es des travaux doit tre exig e Humidit d un isolant li ge pos avant couverture de la toiture ADEME Agence de l Environnement Le si ge de l ALLP fait peau neuve Une simple installation de climatisation pour le si ge de l ALLP Association lyonnaise de lo
3. novation incontournables Une r novation thermique globale Intervention en site occup n cessit de repenser l architecture int rieure en fonction des besoins atypiques et valorisation du patrimoine plusieurs sp cificit s taient prendre en compte dans le sc nario d intervention AU final c est une op ration de r novation thermique globale qui a t entreprise avec l isolation de l enveloppe ext rieure fa ade terrasse et vitrage l installation d une VMC Ventilation m canique contr l e et d une gestion Seine Maritime D PARTEMENT DE A dk st Le D partement Es REGION HAU NORMANDIE technique centralis e la suppression d un luminaire sur deux la pose d une centrale photovolta que et l installation d un monitoring nerg tique Environ 1M de travaux et une consommation d nergie du b timent divis e par deux une belle performance Ce qu on retient de l exp rience L tude des besoins a permis la suppression d un luminaire sur deux Certains quipements comme les appareils d clairage sont sensibles la qualit du courant lectrique Il est important de contr ler cette qualit afin de pr server la dur e de vie des quipements Le suivi d taill des consommations pendant 1 an a permis de rapprocher les consommations r elles des consom mations pr visionnelles C est un outil efficace d aide l exploitation du b timent
4. PA pa i Journ e Technique a Les Chiffres clefs 211 kWh m an c estia consommation nerg tique moyenne dans le tertiaire 64 5 de ces surfaces chauff es sont des bureaux commerces et lieux d enseignement 1 de consommation d nergie en moins entre 2006 et 2007 pour les b timents tertiaires malgr une hausse de 1 des surfaces Ce que dit la loi Un article L111 10 3 a t int gr au code de la construction suite au Grenelle 2 Il fixe l obligation d op rer des travaux d am lioration de la performance nerg tique dans les b timents existants usage tertiaire ou dans lesquels s exerce une activit de service public dans un d lai de huit ans compter du 1 janvier 2012 Un d cret en Conseil d tat d terminera la nature et les modalit s de cette obligation de travaux notamment les caract ristiques thermiques ou la performance nerg tique respecter en tenant compte de l tat initial et de la destination du b timent de contraintes techniques exceptionnelles etc AGIS BASSE CONSO PREBAT HAUTE NORMANDIE F VRIER 2011 R duire la consommation nerg tique moyenne des b timents de 38 d ici 2020 tel est l objectif fix par le Grenelle de l environnement pour les b timents publics comme pour les b timents priv s Une cinquantaine de professionnels du b timent de Haute Normandie ont r pondu l invitation de l ADEME le 15 septembre 2010 pou
5. de suivi cam ra thermique thermom tres analyseurs de courant la r alisation d tudes cibl es et la mise en place de partenariats divers participent la bonne exploitation du b timent 4 Sensibiliser les gestionnaires et les utilisateurs La formation des personnels l affichage des diagnostics de performance nerg tique et la semaine sensibilisation la MDE concourent la responsabilisation de tous Dans la strat gie de r novation la probl matique nerg tique n est pas isol e La performance nerg tique est v ritable ment un l ment de gestion du patrimoine et est int gr e dans ce projet en tant que tel Ainsi la bonne maintenance et mise aux normes du b timent concourent largement la pr servation de sa valeur f LOOM SUR Lop ration Lemery une r novation BBC Lorsque les enjeux conomiques et cologiques se rencontrent les r novations sont d autant plus efficaces Pour l universit de Rouen le ma tre d ouvrage et le futur exploitant des b timents ne font qu un Les choix int grent donc constamment ces deux dimensions pour ne pas p naliser les frais d exploitation par des investissements non adapt s 23000 tudiants et 2200 personnes se croisent chaque jour sur le Campus de l universit de Rouen Avec 70 b timents sur six communes il constitue un patrimoine immobilier vaste h t rog ne et vieillissant la construction des b timents s che
6. e etc doivent tre tudi es avec pr caution T MOIGNAGE Nicolas Van Der Maliere AZ Architecture architecte du projet Lemery La situation urbaine de ce b timent lui conf rait un potentiel architectural ind niable Situ proximit du centre ville de Mont Saint Aignan et a l entr e du campus il est un peu la vitrine de l universit Ce b timent pr sentait des signes majeurs de v tust Nous avons donc pris le parti de marier d veloppement durable et esth tique L enveloppe ext rieure a t radicalement transform e L escalier de secours devait tre conserv nous avons ainsi cach cet l ment technique peu esth tique derri re une peau photovolta que install e sur le pignon sud du b ti Ce panneau g n rateur d nergie est v ritablement utilis comme l ment architectural et sa couleur noire a inspir la tonalit de l enveloppe ext rieure avec la pose de bardages en zinc noir sur les fa ades Journ e technique RETOUR D EXPERIENCE o FOCUS e LA Isolant et Humidit Prenez garde La pr sence d un isolant thermique en paisseur suffisante ne garantit pas une isolation performante Humidit ponts thermiques ou crasements sont les pires ennemis des isolants Pour TW ing nierie sur les chantiers il est courant d observer des isolants thermiques l air libre sans protections Ces isolants deviennent ainsi vuln rables l
7. gistique posthospitali re se transforme en r novation thermique globale gr ce aux conseils de l architecte Jean Baptiste Fleurant Une op ration qui a permis de diviser par deux la consommation d nergie et d augmenter significativement le confort des occupants Situ en plein c ur de Lyon le si ge de cette association sp cialis e dans le secteur m dical commen ait montrer des signes de v tust Acquis en 2004 cet immeuble du 8 arrondissement avait t construit en 1974 et avait volu au gr des besoins sp cifiques sans r flexion globale Quelques temps apr s son arriv e l association a souhait installer une climatisation afin d am liorer le confort des occupants Un audit a ainsi t r alis par l quipe de l architecte Jean Baptiste Fleurant Il pointait de nombreuses faiblesses du b timent Forte d perdition thermique absence de ventilation consommation excessive d clairage le diagnostic tait sans appel il s agissait l d un b timent particuli rement nerg tivore L installation d une simple climatisation ne r solvait pas le probl me bien au contraire Nous leur avons donc propos une r novation thermique globale qui diminuerait leur co t d exploitation et augmenterait significativement le confort des occupants pr cise Jean Baptiste Fleurant Une proposition d autant plus accept e que ce b timent entrait dans ses 30 ans et donc une s rie de travaux de r
8. hermographie IR et l identification de d fauts sur le pr c dent chantier les techniques de pose d isolant ont t modifi es Les chutes ne sont plus utilis es afin de garantir la continuit de l isolation Ce b timent d j tr s performant apr s r novation inaugure ainsi de belles am liorations pour les futurs projets Con u comme un mode d emploi le carnet de maintenance r pond toute une s rie de pr occupations en termes de maintenance et fait le lien entre la conception et l exploitation Ce document qui jusqu pr sent n existait pas fait l inventaire quasi exhaustif des particularit s techniques d un b timent Partant du constat qu il y avait un v ritable manque dans ce domaine l Universit ma tre d ouvrage exploitant l quipe de ma trise d uvre AZ architecture Sogeti Ing nierie et la soci t Softloft charg e de la coordination technique et ditoriale ont conjointement r dig une nouvelle forme de document pour r pondre aux situations courantes de maintenance Il ne s agit pas seulement d une compilation de documents techniques inutilisable mais d un outil tr s op rationnel Faciliter l exploitation Pour le passage de march s la r alisation de travaux ce document facilite l exploitation du b timent gr ce aux informations tr s pr cises qu il L universit est en effet d j engag e dans un projet encore plus performant la r novation du B4 le fu
9. lonnant de 1886 2001 Il devenait donc urgent d intervenir d autant plus que ses consommations nerg tiques repr sentent une charge financi re colossale en moyenne de 240 kWh ep m an plus de 1 3 M pour l lectricit et 1 2 M pour le chauffage chaque ann e Une d marche globale C est le b timent de biologie baptis Nicolas Lemery qui d s 2004 inaugure la r novation globale des b timents Le ma tre d ouvrage et le futur exploitant des b timents ne font qu un C est lui qui supporte les co ts d exploitation Seulement 25 des d penses d un b timent sont g n r es lors des phases de programmation conception r alisation Les 75 restants concernent l exploitation et la maintenance Voil qui explique la d cision de r nover au niveau BBC e Carnet de maintenance il fallait l inventer Et justifie les efforts consentis e Un Cep 41KWh ep mz an soit 44 9 de gain par rapport au Cep e isolation int rieure et ext rieure sauf RDC e la r alisation d une ventilation double flux partiel et la minimisation des d bits de compensation entr e d air additionnel li aux sorbonnes pour plus de confort e la valorisation des installations techniques air comprim serveur informatique pour r cup rer de la chaleur Faire mieux qu hier Gr ce ce projet les d marches et les savoir faire progressent et chacun apprend des erreurs du pass Par exemple gr ce la t
10. n de l air ext rieur afin de refroidir une pi ce pour les salles serveur et la limitation du rafra chissement aux p riodes les plus contraintes L utilisation d une notice d exploitation cf article carnet de maintenance kaa aiy modifications r alis es entre la conception et la r alisation Tous les points sp cifiques et atypiques de l Op ration peuvent ainsi tre retrouv s en un coup d il Enfin les prises de vues photographiques sont des l ments indispensables pour conserver la m moire du projet A Les points de vigilance de Franck Joyeux Universit de Rouen directeur des ressources Immobili res chaque r novation construction les exigences sont de plus en plus fortes ainsi toutes les solutions qui peuvent concourir am liorer la performance nerg tique sont mobilis es tant sur le plan technique que financier valorisation des CEE e La ma trise d uvre doit s approprier le b timent pour que les solutions soient int gr es dans l architecture notamment en r alisant un diagnostic renforc e Attention aux proc dures de march public adapter selon les projets en r novation la proc dure de dialogue comp titif peut tre plus pertinente pour aboutir une performance globale que la proc dure classique loi MOP e Attention aux approches trop cloisonn es car les interactions entre s curit accessibilit performance nerg tiqu
11. r une journ e technique organis e sur le campus de l universit de Rouen et consacr e la r novation des b timents tertiaires Un challenge pour la profession Avec son parc immobilier tertiaire vieillissant la France va devoir r aliser des travaux d conomie d f ergie sur presque 900 millions de m de b timents tertiaires chauff s d ici 2020 Un v ritable challenge pour la profession mais aussi une opportunit face un march gigantesque Journ e technique Mobiliser toutes les sources d conomie La ma trise des consommations d nergie ne peut reposer uniquement sur des mesures techniques remplacement d quipements et r novations C est pourquoi l universit de Rouen s est appuy e sur une strat gie globale en quatre axes 1 Am liorer la performance nerg tique des b timents Les tudes pr alables int grent pleinement la dimension nerg tique Les exigences sont lev es 2 Optimiser les contrats d exploitation et de fourniture d nergie La mobilisation des soci t s d exploitation des quipements de chauffage peut g n rer des conomies importantes cibles de consommations clauses int ressement et p nalit s Sur la p riode 2004 2007 5 ont t conomis s Pour le march 2007 2013 la pr vision atteint les 20 d conomie 3 Mettre en place un management de l nergie La cr ation d un p le maintenance l acqui sition d outil
12. tur b timent de lettre qui affichera une consommation de 32 KWhep m an soit BBC 2 Il s agit l d une premi re tape d exp rience vers les b timents passifs contient Rep rage localisation types de mat riels et caract ristiques le carnet de maintenance est en quelque sorte la bible du b timent pour l exploitant Un document m moire Ce document retrace l historique des choix et d cisions lors de la r novation y compris les options cart es pour viter que les raisons techniques qui ont motiv ce choix ne soient oubli es des ann es plus tard Ce document est ainsi la m moire des travaux Dans ce m me but y Seront mentionn es les descriptions chronologiques des travaux et les f e LOOM SUR les du projet La mise en place de la co responsabilit des lots entre corps d tat permet d identifier et de corriger au plus t t les ventuels d fauts par exemple le plaquiste et le responsable bardage avaient pour consigne de v rifier et signaler tout d faut de qualit isolation tanch it etc avant de refermer L tude approfondie des ordres de passages et les tests de faisabilit pour les l ments les plus complexes ont vit les erreurs irr parables La valorisation de surfaces en Sous sol difficilement utilisables avec l installation d un plateau technique syst mes de ventilation d lectricit La r alisation du free cooling utilisatio
Download Pdf Manuals
Related Search