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1. Y Adrenactive r une entreprise riche 45 en sensations fortes Ilya 60 ans ni nu x4 Le RMI et le RMA A La Haute Marne lib r e mode d emploi er ss B LE MAGAZINE DU CONSEIL G N RAL DE HAUTE MARNE ig NUM RO 74 SEPTEMBRE OCTOBRE 2004 DC T l phonie 227 mobile 2 2 4 Eo deux tech ologies qui font bouger Festival Le petit oiseau de la photo animali re et de nature sort Montier en Der Portrait Dani le ea Bour cajole Petit Ours Brun Patrimoine l glise de Provench res sur Meuse Musique la Route RE des Orgues Exposition Les Samourais en image Joinville e Agenda Adrenactive R unir sur un site web un maximum d offres dans le domaine des sports sensations tel est le concept d Adrenactive une soci t cr e par deux jeunes Haut Marnais Un v ritable catalogue en ligne pour sensations fortes Laissez vous gagner par la mont e d Adrenactive DL est d origine normande l autre ardennais Micka l Monguillon et Nicolas Hamel se sont rencontr s au cours de leurs tudes en Angleterre Apr s quelques ann es durant lesquelles chacun s est forg une solide exp rien ce professionnelle les deux comp res se sont retrouv s en Haute Marne Chaumont pour cr er une entreprise qui m le leurs deux passions com munes l Internet dont ils ont
2. LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 ment dans le domaine des nouvelles technolo gies de l information et de la communica tion la technologie haut d bit se d ploie sur tout le territoire Les Haut Marnais pourront bient t surfer sur Internet grande vitesse vos souris Too plus vite Ce pourrait tre la devise de tous les internautes Aujourd hui gr ce au haut d bit d im portants volumes d information circu lent de plus en plus rapidement sur le r seau mondial Pour se d velopper les territoires m me les plus ruraux peu vent miser sur le d veloppement du haut d bit Attractif pour les particu liers indispensable pour les entreprises il permet une large ouverture sur le monde et des gains de temps tr s appr ciables Le D partement de la Haute Marne a per u tout le potentiel conomique mais aussi p dagogique du haut d bit C est pourquoi le Conseil g n ral s est donc attach le promouvoir sur son territoire Mieux il s est assur que le d ploiement de cette technologie sera rapide et complet La Haute Marne parmi s les Departements 77 innovants Il y a un peu plus d un an en juin 2003 seules quatre villes haut marnaise dis posaient d un acc s haut d bit Langres Chaumont Joinville et Saint Dizier m mar lex LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 Le a DEIER
3. Mais la performance de Pun des s 1 Lacan est ce jour Xe seul Ch Le WF d rati ON pou la tre arriv dans les 10 premiers d une cour se lite explique Lo c Lirot le pr si dent de l association Vainqueur de comp tition Cette performance confirme la mon t e en puissance de PECAC Fort aujourd hui de 67 membres le club s appuie depuis 1997 sur une cole de triathlon anim e par l emploi jeune Xavier Vichard Employ par le comit d partemental de triathlon il partage son temps entre les trois associations haut marnaises ECAC le Club omni sports de Saint Dizier et Poissons Tri athlon A Chaumont il forme 24 jeunes pousses Cette politique a permis l ECAC d obtenir le label club for mateur d s 1998 de remporter le chal lenge interr gional des clubs formateurs en n 2003 et ai encha ner les bons r sultats int grer l h rm liciter 2 mpter dans nos lleurs duathl tes du pay t PECAC p pa 1 G en si bon cl bc ores et d j 1 a des pige O F a France pd souligne fi rem nt L o c Lirot avant d ajouter OUS por n Pas question simplement de viser le maintien les Haut Marnais esp rent atteindre la 10 place d un champion nat qui compte 17 clubs Apr s 3 courses ECAC se classe 11 Le 19 sep tembre et le 10 octobre dans le Pas de Calais l ECAC disputera les deux der ni res courses de la saison E
4. conse Circonmseniption D ACTION totale Hat rant FE PA Humaro d aitocataite Anha tiatru mu AMI CONTRAT D INSERTION Etat civil de l allocataire RMA tremplin pour le salari et aide financiere pour l employeur Autre point fort de la loi de d centrali sation la cr ation du revenu minimum d activit RMA Il vient renforcer les comp tences du D partement en cr ant un nouvel outil d insertion Le RMA se veut un palier dans le parcours d inser tion Il doit permettre aux personnes qui per oivent le RMI de trouver un emploi apr s une p riode de formation pratique Le RMA est un double engagement Un premier volet lie l entreprise et le b n ficiaire du RMA travers un contrat de travail le contrat d insertion revenu minimum d activit CI RMA Un second volet pr cise par convention sign e entre le Conseil g n ral et Pen treprise les engagements de employeur en termes de formation du salari et de p rennisation de l emploi Une aide financi re est vers e l employeur pour le poste cr Cette aide correspond au montant maximal du RMI allou pour une personne seule En contrepartie l entreprise verse le RMA la personne sous contrat pendant la dur e de son engagement Le RMA est au moins qui valent au SMIC horaire pour un temps de travail hebdomadaire minimum de 20 heures W du contrat Etat civil du conjoint de i c Fin o biata C v lun aii biase gu i g
5. faire pas ser les communications des trois op rateurs par une seule et m me antenne Chacun des sites haut marnais est confi pour son quipement de trans mission aux soins d un op rateur Ce dernier permettra ses concurrents d utiliser l antenne qu il aura install e Du coup les zones blanches nouvelle ment quip es seront parfaitement cou vertes mieux que les zones grises plus anciennes et desservies par un ou deux op rateurs Pour l usager cela signi fie que quel que soit le prestataire choisi pour son mobile s il se trouve dans une zone quip e en itin rance locale ses appels seront relay s dans des conditions optimales Par opposition dans le secteur de Prau thoy trois pyl nes seront quip s en mutualisation Dans ce cas de figure une seule infrastructure sera quip e de trois antennes une pour chaque op rateur Gr ce cette technique les zones b n ficieront l aussi d une cou verture incluant les r seaux des trois op rateurs 1 Financement de l op ration par le Conseil g n ral avec le concours de l Etat de l Europe et de la R gion 2 Les zones blanches sont caract ris es par l impossibilit de t l phoner avec un portable depuis la mairie A l inverse une zone blanche est consid r e comme r sorb e d s lors que les appels sont possibles depuis le parvis de la maison commune Pour les communes associ es c est la mairie de la commune centre qui est prise en comp
6. VOUS POUVEZ CONTACTER L INTERPROFESSION VALEUR BOIS BP 2106 ROUTE DE NEUILLY 52904 CHAUMONT CEDEX 9 T L 03 25 02 07 66 Fax 03 25 02 06 27 Site internet www valeur bois com LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 nai net LIGNE DIRECTE HAUTE MARNE PINO 77 L instruction d un dossier de subvention Il y a 60 ans la Haute Marne lib r e Le RMI et le RMA tremplins pour l insertion Diab te mieux vivre au quotidien Le maillage num rique du territoire Adrenactive com catalogue en ligne pour sensations fortes La biblioth ques des biblioth ques Le bois une richesse valoriser Prestige et myst re des armoiries Les triathl tes chaumontais grandes enjamb es D mocratie de proximit LIGNE DIRECTE Bimestriel e num ro 74 septembre octobre 2004 Directeur de la publication Bruno SIDO Co directeur Michel BOZEK R daction service communication R alisation conception ex cution photogravure IPPAC groupe graphycom e Direction de la communication 03 25 32 88 13 e Fax 03 25 32 88 32 e Cr dits photos Erwan Troizel Fr d ric Th venin Eric Horg Etienne Cl ment AFPAN Club M moire 52 le Ch teau du Grand Jardin Service communication Illustrations Ga lle Bel Association Fran aise des Diab tiques Site Internet www haute marne fr e Conseil g n ral de la Haute Marne 1 rue du commandant Hugueny 52011 Chaumont Cedex Tirage 88
7. dit par le Conseil g n ral Archives D partementales et le Pythagore Cet ouvrage est pr par par Philippe Palasi Professeur d h raldique l cole du Louvre et sp cialiste incon test de l h raldique fran aise et inter nationale il s est int ress la Haute Marne la suite de la d couverte au Mus e du Louvre d une uvre d art un mod le pour le tombeau d un membre d une famille haut marnaise R alis partir de plusieurs manuscrits anciens conserv s aux Archives d parte mentales notamment celui de l rudit Arthur Daguin cet armorial est le fruit de longues recherches et enqu tes effec tu es sur le territoire de la Haute Marne Une r f rence historique Abondamment illustr en couleurs lar morial de la Haute Marne pr sente un panorama complet des anciennes familles et institutions haut marnaises Plus de 1 000 armoiries sont d crites avec un historique des index de des criptions h raldiques de lieux et de per sonnes en tout pr s de 400 pages Gr ce plus de 500 photographies d ar moiries diverses et vari es l ouvrage s impose ind niablement comme un outil pr cieux pour tous les chercheurs historiens locaux et les amoureux du patrimoine en g n ral Fran ois PETRAZOLLER Retrouvez au dos de ce magazine le bon de souscription qui vous permettra de recevoir LArmorial de la Haute Marne Les triathletes n t Organisateur
8. la qualit de vie En mul tipliant les moyens de toucher le public c est Pamour de la lecture et des belles lettres que l on contribue d velopper Alors aux livres citoyens Sylviane BARRAND Thomas ROUSSEZ LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 Fili re bois nes La Haute Marne est l un des d partements fran ais les plus bois s Cette richesse a longtemps t sous exploit e et sous valoris e mais depuis quelques ann es des structures et des d marches se mettent en place pour redynamiser la fili re Pr sentation de plusieurs d entre elles bois est une formidable mati re premi re Avec 40 de son terri toire recouverts par les for ts la Haute Marne en est richement dot e Mais comme toutes les mati res premi res sans le travail de l Homme le bois ne vaut pas grand chose Sans innova tion technologique les activit s de la fili re bois ne pourraient tre sauve gard es d o la cr ation en 2001 d une plate forme bois au lyc e Charles de Gaulle Chaumont F d rant toutes les nergies du secteur des professionnels comme des tudiants voir encadr elle renforce le poten tiel de la fili re bois r gionale et de l in terprofession Valeur Bois dont le si ge est install en Haute Marne Une plate forme de recherche d di e au bois Pour son activit la plate forme a pris deux orien
9. lections de mars dernier En utilisant l article 49 3 le premier Ministre impose une r forme dite de d centralisation qui va contraindre les collectivit s territoriales des choix ayant de fortes cons quences sur les politiques publiques et fiscales D s le 1er janvier 2005 le D partement de la Haute Marne devra donc assumer les routes nationales les per sonnels non enseignants des coll ges le Fond de Solidarit Logement Ces transferts vont s op rer sans les moyens financiers suf fisants pour r pondre aux besoins de la population dans ces domaines les cr dits de l Etat sont en constante diminution depuis 2 ans Une fois de plus les contribuables feront les frais de la politique ultra lib rale du Gouverne ment Avec cette loi les fon dements de la solidarit natio nale volent en clats L clate ment des services publics et les privatisations soumettront aux seuls crit res financiers de champs entiers d activit li s la vie quotidienne L id e de d centralisation est fond e sur les valeurs d galit de proxi mit et de citoyennet Elle s appuie sur la coop ration ter ritoriale et la coh sion sociale Elle ne peut se r duire la caricature lib rale qu en fait le Gouvernement Groupe Communiste Ils protestent en Haute Marne contre ce qu ils ont vot au S nat En Haute Marne le Pr sident s nateur du Conseil g n ral et son comp re s nate
10. villain le 24 17 hommes sont ex cut s Jusqu la veille de la lib ration des patriotes sont arr t s et d port s comme Andr Guignard chef de la R sistance au nord est de Chaumont Au fur et mesure que les parachutages leur parviennent essentiellement compter du 27 ao t les maquis voient leurs effectifs augmenter consid rable ment Un officier am ricain le lieute nant Louis Hyde se r v lera ainsi d un pr cieux concours pour obtenir les armes si pr cieuses Les FFT s enhardis sent multipliant les embuscades occu pant au grand jour l abbaye d Auberive o leur chef le colonel Emmanuel de Grouchy alias Michel tablit son tat major Le 30 ao t les premiers chars am ricains font leur entr e dans le d partement dans leur progression en direction des fronti res de l est ils lib rent sans diffi La foule accueille les lib rateurs Chaumont cult Saint Dizier o sont galement entr s les FFI de la compagnie du Val L affaire est plus rude Chancenay o des Panzergrenadiers se sont retranch s deux soldats am ricains neuf maqui sards un civil trouvent la mort lors d un violent combat Le lendemain d autres l ments de la 4 Division blind e am ricaine lib rent la majeure partie de la moiti nord du d partement Chau mont o les Allemands ont d truit le 31 ao t une partie du viaduc croit une lib ration imminente Ande lo
11. n ral de la Na jte mname M me si le r le du D partement est majeur dans le domaine de Pin sertion les mairies travers les centres communaux d action socia le CCAS restent comp tentes dans l instruction des demandes En effet le demandeur peut choisir de d poser sa demande soit aupr s des services du Conseil g n ral les formulaires de demande de RMI peuvent tre retir s dans les circonscriptions d action sociale soit aupr s du CCAS de son lieu de domicile Si la demande est faite aupr s des services du Conseil g n ral un avis sera demand au Maire de la commune de r sidence Il sera ensuite inform de lou verture du droit pour ses ressortissants Les r f rents RMI accompagnent et conseillent les allocataires dans leurs d marches La personne en contrat RMA profite de conditions de formation int ressantes et d un acc s vers un emploi durable objec tif qui explique les aides accord es avec la volont que le salari quitte le disposi tif RMI L entreprise b n ficie d une aide financi re et s assure les services d une personne motiv e par un projet profes sionnel Diff rent des autres contrats aid s le RMA est une bonne solution pour les entreprises qui souhaitent embau cher tout en minimisant le co t de for mation des nouveaux employ s Le Conseil g n ral attentif et vigilant Soucieux de pr server l efficacit de ce syst me le Conseil g n ra
12. sera la hauteur de ceux observ s dans les plus grandes agglom rations Des solutions adapt es sont l tude pour les 3 non desservis Le pari lanc par le D partement pour un d veloppement dynamique est en passe d tre gagn Qui a dit que la Haute Marne n tait pas branch e LIGNE DIRECTE ao t septembre 2003 Petit lexique A nouvelles technologies nouveau vocabulai re Le haut d bit et ses instruments ont appor t un ensemble de mots qui semblent parfois barbares aux n ophytes Ligne Directe joue les petits dictionnaires Traduction La DSL qu est ce que c est Diff rentes technologies permettent de desservir un territoire en haut d bit Parmi les plus r pandues l acc s satel litaire et l acc s t l phonique Les op rateurs proposent essentiellement l acc s t l phonique qui offre les co ts d abon nement les plus faibles ainsi qu une tr s large gamme de d bits Cette technologie est connue sous le terme de DSL sigle signifiant Digital subscriber line ligne d abonn t l phonique L int r t de la technologie DSL r side essentiellement dans sa vites se de transmission Les lignes t l phoniques offrent au mieux un d bit de 64 kilobits par secon de Kbps le bit tant l unit de base de transmission de l information Le DSL permet de multiplier par 32 ce d bit pour les particuliers offre
13. 000 Exemplaires D p t l gal N 206 ISSN N 1166 729 X e Impression Imprimeries de Champagne La rentr e est un moment de l an n e important dans la vie quoti dienne de chacun d entre nous et notamment des jeunes Elle mar que entre autres un nouveau d part dans la vie scolaire Pour faciliter cette rentr e le Conseil g n ral mobilise de nombreux moyens en faveur des coll ges dont il a en charge l entretien Dans ce num ro de Ligne Directe un suppl ment hors s rie se propose de mesurer tat d avancement du plan coll ges mis en uvre par le Conseil g n ral depuis 2001 Programme pluriannuel de reconstruction et de r babilita tion des coll ges cet engagement s inscrit dans une des missions premi res du Conseil g n ral qui est de donner tous nos coll giens et au personnel enseignant un cadre de travail adapt moderne et performant Autre action essentielle du Conseil g n ral tant elle rev t une dimension struc turante pour lavenir de notre territoire le d veloppement des technologies de l information et de la communication Cette d marche concerne tous les Haut Marnais ma s en particulier les coll giens et les jeunes Ne nous trompons pas de plus en plus d changes culturels commerciaux et cono miques passent d sormais par la toile Internet Conscientes que les moyens de communication ont toujours t un signe tangible d ouverture sur lex t rieur les g n rations pr c dent
14. 15 juin celui de Voisines est an anti le 30 quinze maqui sards tu s au combat ou ex cut s Durant deux longs mois les groupes ayant chapp cette r pression subsis teront tant bien que mal d m nageant bien souvent pour chapper aux griffes de l occupant exemple le maquis Mauguet qui traverse la Marne pour se fixer pro visoirement dans le d partement de la Meuse Pertes civiles L arriv e progressive d agents am ri cains britanniques ou fran ais va per mettre peu peu d armer dans un futur proche les maquisards car la majorit des maquis n ont pas encore t mis LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 sur pied Ce sera chose faite compter du 23 ao t 1944 lorsque l tat major de la R gion D de la R sistance dont fait partie la Haute Marne donne l ordre de gu rilla g n rale C est alors que naissent les camps dans les for ts d Arc en Barrois de Bussi res l s Bel mont du Der du Val au sud de Saint Dizier de Varennes sur Amance etc Mais auparavant patriotes et civils auront encore pay un lourd tribut la cause de la libert la ferme de Suxy Prauthoy le 9 ao t seize habitants sont abattus en for t de Mathons le lendemain ce sont quatre maquisards de m me qu un enfant le 11 qui connaissent un destin tragique Colombey les deux Eglises le 22 ao t 22 habitants sont emmen s Chau mont comme otages et Ch teau
15. ainsi qu un local pour stocker ses documents Objectif ouvrir deux antennes de l association en Haute Marne afin d tre plus proche des dia b tiques et de leurs familles et ainsi de mieux r pondre leur attente ateliers th mes Des conf rences sont aussi propos es Saint Dizier et Langres Ces ateliers et conf rences sont ouverts gratuitement au public Les sujets sont vari s di t tique et diab te sexualit et diab te diab te et cardiologie le pied diab tique et les soins en p dicurie Ils sont tous trait s par des profession nels habitu s g rer les pathologies li es la maladie Ceci garantit une information efficace Autre point fort de l association le conseil Recettes res pectant les imp ratifs d un r gime dia b tique petits trucs pour mieux vivre le diab te envoi de documenta tion l association a le sens du contact Enfin puisque mieux vaut pr venir que gu rir l Association haut marnaise des diab tiques pro pose aux volontaires de tester leur taux de sucre gratuitement Ce test indolore peut se r v ler tr s utile dans la pr vention des risques diab tiques N h sitez pas Fran oise BERTRAND LES PROCHAINES CONF RENCES LE 23 OCTOBRE SAINT DIZIER LE 27 NOVEMBRE CHAUMONT LE 11 D CEMBRE LANGRES POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES R UNIONS ATELIERS ET INITIATIVES DE L ASSOCIATION HAUT MARNAISE DES DIAB TIQUES
16. cette ann e encore du championnat de France de duathlon le club de Triathlon et Duathlon de Chaumont fait partie de P lite nationale Une place que l association entend d fendre durant les derni res courses de l ann e 2004 Pr t L club de l Entente chaumontaise athl tique cheminots ECAC Tri athlon Duathlon existe depuis juillet 1992 En 12 ans il s est impos comme un des meilleurs clubs fran ais de duathlon discipline qui allie course pied et cyclisme Organisateur de courses Au niveau national le club s est d abord fait remarquer par sa capacit orga niser des courses De 1998 2002 PECAC a en effet g r des manches du championnat de France des clubs Impressionn e par l efficacit du club haut marnais la F d ration fran aise de triathlon a d cid de lui confier l or ganisation de l preuve reine le cham pionnat de France de duathlon deux ann es cons cutives Les ditions 2003 et 2004 ont remport de vifs succ s chaque fois plus de 400 duathl tes ont pris le d part En juillet dernier on a m me not la pr sence titre indivi duel de tous les membres de 1 F EES Wnh ampion Mond en Belgique quelc LS ka ise 5 Prd ON Wi aval EARS q sextup e duathlon es i L reuve tait rel club Eont is Une nouve l e icit par qualit de son org ani atio at aussi di satisfaction de PE CI ens Fabie
17. chets sur des chantiers de construc tion de route notamment La Haute Marne s est distingu e dans ce concours en obtenant le prix sp cial du jury gr ce l initiative du Conseil g n ral et de la soci t Eurovia ensemble ils ont labor une solution permettant de recycler les sables de fonderie Le premier chantier avoir utilis ce pro c d cologique s est tenu sur la route d partementale 113 proximit de Sommevoire Les premi res statistiques de fr quentation du site Internet du Conseil g n ral de la Haute Marne sont tomb es Du 1 au 30 juillet le site www haute marne fr a t consult par 14420 visiteurs 32809 pages ont t visualis es durant cette p riode Les pages les plus visit es sont 1 la page d accueil 2 L annuaire des communes 3 Les Elus 4 Le Conseil g n ral recrute 5 Le Conseil g n ral m aide 6 Le Conseil g n ral Les statistiques r v lent galement d o viennent les inter nautes Autrement dit partir de quel site ils sont arriv s sur celui de la Haute Marne et sur quel lien ils ont cliqu 1 www conseil general com 2 www pagesjaunes fr 3 http lessites service public fr 4 www google fr En 5 me position on trouve un site de camping n erlandais Qui a dit qu Internet n tait pas un m dia plan taire On peut tre qualifi et comp tent sans pour autant avoir de dipl me La proc dure de Valorisati
18. compte 215 000 documents imprim s romans documentaires livres pour enfants revues 30 000 docu ments sonores CD cassettes 8 500 documents audiovisuels vid o DVD CD ROM Le r seau compte 190 points de des serte 5 biblioth ques municipales 40 biblioth ques relais 28 petites biblio th ques et 117 d p ts de livres Chaque ann e se sont pr s de 200 000 documents qui sont pr t s aux com munes Les biblioth ques du r seau desser vent une population de 91 313 habitants soit 71 15 de la population totale desservir contre 62 4 au niveau natio LEUR Plus de 300 personnes uvrent au ser vice des biblioth ques du r seau d par temental pr s de 90 d entre elles sont b n voles d velopper des quipements dont le multim dia et Internet ainsi que des animations diversifi es Et si l engagement des collectivit s locales ne cesse de se renforcer de grandes disparit s demeurent cepen dant l chelle du d partement La BDP uvre quotidiennement la r duction de ces in galit s Elle r fl chit notamment des nouveaux moyens d actions qui permettraient des publics peu mobiles tels que les personnes g es d acc der aux livres et la culture Au del d une vidente dimension culturelle qui permet un individu de se construire la lecture est d sormais per ue comme une contri bution majeure l am nagement du territoire et
19. d insertion et de retour Pemploi Explications toujours une allocation un minimum social vers en fonction des ressources et de la composition familiale Le RMI un contrat Pe pour S Imserer Pour faire face sa nouvelle mission et augmentation du nombre d alloca taires le Conseil g n ral a d cid d em ployer plus de travailleurs sociaux Il s agit de rechercher toutes les solutions pour permettre aux allocataires de quit ter leur situation pr caire D sormais 23 personnes r parties sur le territoire haut marnais accompagneront tous les b n ficiaires du RMI dans leur projet d insertion Ces personnes sont gale ment charg es de v rifier que les allo cataires respectent bien leurs engage ments En effet le versement du RMI est conditionn par la signature d un contrat d insertion pass entre le b n Document d orientation produit par les services d partementaux avec le concours actif des Circonscriptions d action sociale CAS antennes d centralis es du Conseil g n ral le programme d partemental d insertion constitue le support de la politique d partementale d insertion Il traite des probl mes d exclusion sociale li s l emploi au logement et la sant Sur la base de ses orientations les r f rents RMI et les assistantes sociales aident individuellement tous les Haut Marnais qui rencontrent des difficult s d insertion LIGNE DIRECTE septembre
20. e se dote de nouveaux pouvoirs politiques et la population r serve fin octobre un accueil enthousiaste l un de ses plus illustres concitoyens le g n ral de Gaulle Lionel FONTAINE pr sident du club M moires 52 L loi pr voit que d sormais l attri bution et la gestion de l allocation du RMI incombent aux D partements Elle leur confie l organisation et la mise en uvre du dispositif d insertion accompagnement des personnes coor dination des instances et des actions En outre elle cr e un Revenu minimum d activit RMA qui doit permettre aux b n ficiaires d op rer un retour vers un emploi durable Depuis le 1 janvier dernier c est le bud get du D partement et non plus celui de l Etat qui alimente l enveloppe n ces saire au financement du RMI Pour les allocataires ce changement est transpa rent puisque les organismes payeurs demeurent inchang s Quant aux cri t res d attribution de l allocation ils n ont en rien t modifi s le RMI est RMI et RMA a des tremplins pour i D sertig Ji Depuis le d but de l ann e avec l application des nouvelles lois de d centralisation la comp tence sociale du Conseil g n ral a pris une nouvelle ampleur Transfert de la gestion du Revenu minimum d insertion RMI cr ation du Revenu minimum d activit RMA le Conseil g n ral joue plus que jamais un r le essentiel dans le dispositif
21. fait leur m tier et les sports extr mes qu ils pra tiquent avec passion Une entreprise d di e aux loisirs de plein air L histoire de la cr ation d Adrenactive ressemble celle de bien d autres entre prises D abord il y avait le souhait latent d tre son compte et puis il y a eu l id e le d clic Nous cherchions un stage pour nous initier au kite surf et nos recherches sur Internet ont t vaines Aucun site ne f d rait l ensemble des offres existantes sur le march explique Mic ka l Monguillon Difficile dans ces conditions de comparer et de choisir un stage adapt son niveau et son budget La non utilisation d Internet pour promouvoir l ensemble des offres d di es aux sports extr mes est appa rue aux deux cofondateurs d Adrenac tive comme une aubaine mieux comme une niche conomique dans laquelle leur entreprise pourrait s pa A Adrenactive www acrenactive com Micka l Monguillon et Nicolas Hamel nouir Le principe devait encore s affi ner mais le projet avait bel et bien germ dans leurs esprits Et en mai 2004 Adrenactive a vu le jour Aux services des prestataires et des internautes La mise en r seau sur un m me site d offres commerciales issues de diff rents prestataires constitue d sormais un classique sur le web Pourtant Adre nactive est une entreprise originale dans son concept c est la premi re soci
22. i pa An ECLARON ALL LEQUE vie Si i A s ipg LE ri AIN T Be i mr Depuis les efforts fournis par le D partement portent leurs fruits notamment gr ce la signature le 20 f vrier 2004 de la charte D partements innovants par le Pr sident du Conseil g n ral Bruno Sido et Thierry Breton Pr sident de France T l com Cette charte constitue un l ment majeur de la strat gie de d ploiement de la technologie haut d bit galement appel e DSL lire page 14 en Haute Marne Elle comporte deux dispositions essentielles D abord elle pr voit la mise en place d armoires informatiques ou DSLAM lire page 14 dans les cen traux t l phoniques comprenant plus de mille lignes aux seuls frais de Fran Le haut debit pour tous En Haute Marne le haut d bit ne fait pas d bat Autre grand projet du D parte MARCHE HAUT DEBIT E Er MU D cembre 2004 MZ D cembre 2005 Non desservi y _ ati oies L fau ce T l com Douze cen traux t l phoniques ou r par titeurs sont concern s en Haute Marne Ceux de Bologne Bourbonne les Bains Chalindrey Eclaron Eurville Bienvil le Montier en Der Nogent Wassy ont t quip s d s le mois de juin 2004 Ceux de Biesles Fayl Billot Longeau et Montigny le Roi b n ficieront du haut d bit avant la fin de l ann e 2004 La seconde disposition inscrite dans la charte pr voit que les autres centraux sero
23. les documents r unis Choignes peuvent en effet tre pr t s ou mis en circulation au sein des biblioth ques partenaires de son r seau Les deux bibliobus et son musibus tou jours tr s attendus dans les villages qui ne b n ficient pas de biblioth ques parcourent chaque ann e des milliers de kilom tres pour assurer le renouvel lement des documents dans les com munes Une navette par v hicule l ger permet en outre une rotation et une livraison des demandes ponctuelles des lecteurs Les personnes avides de savoir de litt rature et de bons mots peuvent ais ment tancher leur soif Il suffit de demander La formation La BDP exerce galement ses comp tences dans le domaine de la forma tion En effet les points de desserte sont majoritairement g r s par des per sonnes b n voles Celles ci se voient proposer une formation de base mais aussi une formation continue sous forme de stages journ es th me et de rencontres avec des libraires autour de l actualit litt raire Les bonnes volon t s et les lecteurs assidus y sont tou jours les bienvenus L animation Et puis l animation figure aussi au rang des missions de la BDP Elle met gra tuitement disposition des biblio th ques qui profitent de locaux suffi sants des expositions itin rantes et des s lections de livres autour d un th me La BDP assure m me la livraison de ses colis du savoir Une belle occasion sa
24. octobre 2004 ficiaire et le Conseil g n ral Ce contrat vient rappeler que le RMI n est pas vers de fa on automatique Le contrat donne aux b n ficiaires des objectifs simples mais indispensables pour se rapprocher de emploi et s ins rer Insistant sur la recherche d un emploi le contrat peut galement demander que le b n ficiai re cherche se former r soudre ses probl mes de logement ou pourquoi pas am liorer sa pr sentation Si une personne pr tendant au RMI refuse de signer le contrat ou si le b n ficiaire ne respecte pas les engagements d finis le versement de l allocation peut tre sus pendu Le Conseil g n ral entend res ponsabiliser les allocataires et viter un enlisement des personnes dans le dis positif Car le RMI doit constituer une aide transitoire permettant son b n ficiaire de retrouver une place dans la vie active et la soci t Le RMI en chiffres Au 31 d cembre 2003 la Haute Marne comptait 2 779 allocataires du RMI En 2004 suite la pr carisation du mar ch de l emploi une augmentation nationale tait pr vue Ainsi en Haute Marne on d nombrait au 30 juin 2 989 allocataires dans le d partement et avec l ensemble des membres des foyers concern s un total de 5 340 personnes couvertes P d4 KA f HAUTE MARNI Nom Nom de jeune tiii Pr nom Date de nmasance CLUe LULU Motit s d entr e dans le dispositif R M
25. ra teur historique France T l com car il tait le seul proposer dans sa r ponse l appel d offre europ en une solution permettant d apporter le haut d bit dans toute la Haute Marne un co t raison nable Pour assurer cette prestation Fran ce T l com s appuie en effet sur son propre r seau d j existant De plus gr ce l investissement personnel des maires et des conseillers g n raux ainsi qu aux nombreuses intentions d abon nement enregistr es les co ts ont pu tre nn ki oci s avec l op rateur et minimis s Conseil g n ral qui engagera 2 d euros dans ce de 1 Charge l intercon a des r parti Linterconnexion permet d en r les informations haut marnaises collect es vers le r seau mondial Inter net et peut n cessiter des investisse ments lourds tels que la pose de fibre optique ou la cr ation de faisceaux hertziens Le d ploiement du haut d bit consti tue un des plus importants projets du Conseil g n ral D ores et d j les garan ties obtenues pour la couverture du ter ritoire repr sentent un v ritable succ s pour la Haute Marne Il y a peu de temps encore il fallait supplier les op rateurs de s int resser la Haute Marne Aujourd hui deux op rateurs France T l com et Neuf T l com sont pr sents et investissent fortement sur notre d partement terme le r sultat 97 de la population desservie
26. t de ce type sur le march des sensations fortes Assurant la mise en ligne d offres de prestataires professionnels dont les comp tences et le s rieux sont certifi s Adrenactive n est ni une agence de voyage ni un guide Adrenactive c est d abord un site Internet facile consulter confie Nicolas Hamel Nous avons voulu mettre en relation les professionnels de parachutisme de rafiing de surf de ski et de bien d autres disciplines avec les nom breux sportifs qui cherchent de nouvelles sen sations ou le moyen de se perfectionner Adrenactive c est galement une soci t sp cialis e dans la recherche et la mise en place de s minaires sportifs adapt s aux besoins des entreprises Les prestataires r f renc s b n ficient des tarifs d fiant toute concurrence d un vecteur de publicit suppl mentaire Quant aux internautes ils peuvent effec tuer toutes leurs d marches sur un sup port unique Pour une lisibilite optimale Pour la conception adrenactive com a fait l objet d une intense r flexion Nous avons imagin des univers N D L R l eau la terre lair dans lesquels en fonction de son l ment de pr dilection l internaute peut consulter des offres explique Nicolas Hamel Et Micka l Monguillon de ren ch rir Chaque offre est retravaill e avant d tre mise en ligne Les informations sont d coup es et bi rarchis es L objectif est de faci l
27. un d bit descendant de l Internet vers l abonn nettement sup rieur au d bit montant de l abonn vers J Internet La r ception des donn es sef Ce tableau pr sente les d lais de t l chargement de quelques applications courantes mail photographie musique ou vid o en fonction de l abonnement choisi c est dire du d bit Inter net souscrit Il pourra vous aider dans le choix de votre formule d abonnement internet NATURE MODEM 28 Kbit s DE L APPLICATION 20 Ko 1 e mail 2 pages de texte 100 Ko 1 photo de type jpeg 5 Mo 1 mn de musique qualit CD 50 Mo 5 mn de vid o Technoman Ing nierie LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 RNIS ADSL 1 ADSL 2 64 Kbit s 912 Kbit s 2048 Khit s fectue tr s rapidement L internaute conserve toute sa libert pour le choix de son fournisseur d acc s et de son for fait Les entreprises quant elles disposeront d une palette d offres plus importante Elles pourront opter pour une connexion de type ADSL avec une garantie de d bit Mais elles pourront galement choisir le SDSL ou Symetric digital subscriber line qui se caract rise par des d bits mon tants et descendants identiques Ce ser vice est particuli rement adapt aux entre prises disposant de plusieurs tablisse ments devant travailler sur une m me application Les diff rentes filiales peu vent ainsi changer leurs donn es en temps r el
28. BP 10957 52008 CHAUMONT CEDEX SE E le maillage numerique de la Haute Marne y A S accelere t l communmi Hier le t l phonefixeret le fax taient des l ments incontournables Affjourd ul p a la t l mobile et l Internet haut d bit Ces deux v ritable enjeu d am nagement et ded conomique pour tous les territoires En investissant massivement dans les infrastructures des r seaux et en initiant des d marches partenariales l rent le d ploiement des nouvelles o 0 gui acce logies tout comme les coll giens dans Ssements scolaires Dans un avenif proche ee gt JS PA essentiels de la lutteontre les in galit s e tre i D A CES mn deux nouvelles technologies dans le d parte aus CT i LIGNE DIRECTE 9 Pour couvrir toutes les zones blanches et fournir un acc s aux r seaux de t l communication mobiles les op ra teurs ont recours le plus souvent au principe de l itin rance locale Ce mode de fonctionnement a t propos au S nat par Bruno Sido Pr sident du Conseil g n ral lors de l examen de la loi sur la confiance dans l conomie num rique Il permet de mettre les moyens de transmission en commun de minimiser les co ts li s aux qui pements et d acc l rer la couverture pour tous les utilisateurs de t l pho ne mobile L itin rance locale consiste
29. LE BUSSON LEURVILLE CHAMBRONCOURT LE VAL D ESNOMS LE VAL D ESNOMS LEZEVILLE LEZEVILLE MANOIS HUMBERVILLE MANOIS MARANVILLE RENNEPONT VAUDREMONT MARANVILLE MIRBEL MARBEVILLE MIRBEL MONTESSON ANROSEY BIZE MONTHERIES MONTHERIES LAVILLENEUVE AU ROI MONTOT SUR ROGNON SIGNEVILLE ROCHES BETTAINCOURT MONTREUIL SUR THONNANCE MONTREUIL SUR THONNANCE NULLY TREMILLY NULLY TREMILLY BLUMERAY ORBIGNY AU MONT ORBIGNY AU MONT CHATENAY VAUDIN ORQUEVAUX ORQUEVAUX OSNE LE VAL OSNE LE VAL PAROY SUR SAULX PAROY SUR SAULX PAUTAINES AUGEVILLE DOMREMY LANDEVILLE PAUTAINES AUGEVILLE PIERREFAITES PIERREMONT SUR AMANCE PISSELOUP PISSELOUP VELLES PLESNOY PLESNOY MARCILLY EN BASSIGNY ANDILLY EN BASSIGNY LAVERNOY RANCONNIERES CELLES EN BASSIGNY POISEUL POISSONS NONCOURT SUR LE RONGEANT PARNOY LE CHATELET SUR MEUSE RAVENNEFONTAINES RIVIERE LES FOSSES RIVIERE LES FOSSES ROBERT MAGNY LANEUVILLE ROBERT MAGNY LANEUVILLE A REMY SAILLY SAINT URBAIN MACONCOURT SAINT URBAIN SAULXURES SOMMEVOIRE SOMMEVOIRE MERTRUD VARENNE SUR AMANCE TERRE NATALE VAUX SOUS AUBIGNY VAUX SUR SAINT URBAIN VICQ VICQ VIEVILLE VIEVILLE VILLARS EN AZOIS VILLARS EN AZOIS VOISEY VOISEY NEUVELLE LES VOISEY MELAY VOUECOURT VOUECOURT VIGNORY VOILLECOMTE VOILLECOMTE Liste tablie partir des l ments disponibles au ler sept 2004 Sous r serve d ajustement VAUX SOUS AUBIGNY VAUX SUR SAINT URBAIN
30. a plate forme la fili re bois t moigne d un dynamisme tonnant Pour Jean Marie Mouton animateur de la structure Va fili re bois en Haute Marne se d veloppera par le biais de la com p tence et la cr ation de produits sp cifiques La plate forme s adapte donc aux vo lutions de la demande et r agit rapide ment aux nouvelles exigences de qualit des bureaux de contr le et des clients Une inqui tude demeure n anmoins Celle de ne pas pouvoir r pondre toutes les demandes des entreprises faute de moyens et de personnels Les carnets de commande des entreprises du secteur sont pleins Bois certifie et qualite 7 de l environnement La r ussite de la fili re bois haut mar naise passe par limage et les caract ris tiques du bois Alors que le cours du p trole ne cesse de grimper et que les pr occupations cologiques prennent de plus en plus d ampleur le bois appa ra t plus que jamais comme une valeur s re dans la construction Et chacun sait d sormais qu il contribue au d velop pement durable de la plan te Les qua lit s environnementales du bois vien nent du carbone qu il absorbe et de sa contribution naturelle dans la lutte contre l effet de serre Le bois est un mat riau chaleureux et parfaitement iso Lei Les stocks sont issus d exploitations labellis es PEFC lant au niveau acoustique et ther mique il permet des conomies d ner gie offre un
31. able val Issues du contrat de plan Etat R gion de 2000 les plates formes technologiques ont t con ues pour assister les entre prises d un secteur conomique particu lier travers les partenariats cole entreprise elles favorisent galement l insertion des jeunes et valorisent les fili res de l enseignement technique La plate forme bois implant e Chaumont fait partie de ces plates formes technologiques Gr ce elle les moyens humains et mat riels existants au lyc e Charles de Gaulle sont mis la disposition des petites et moyennes entreprises leur offrant ainsi un premier niveau de prestations technologiques et de recherche d veloppement Les pro fesseurs du lyc e imaginent de nou veaux proc d s de fabrication pour les entreprises Depuis sa cr ation la plate forme bois a men bien une tren taine de projets Actuellement cinq projets sont l tude Le Conseil gen ral d passant ses comp tences s est largement impliqu dans le financement de cette structure de formation profes sionnelle A noter que dans le cadre de la forma tion continue les professeurs tra vaillant sur la plate forme assurent la formation des personnels des entre prises qui ont fait appel aux services de la structure que les entreprises obtiennent des solu tions de construction innovantes et acc dent gr ce l embauche de jeunes dipl m s de nouvelles comp tences Gr ce l
32. arge par France T l com desservent 390 communes soit 70 du territoire 72 000 habitants et 1 300 entreprises Pour le Conseil g n ral il n tait pas envisageable de privil gier certains espaces au d triment des autres L objectif avou est de desservir tous les cantons haut marnais d ici fin 2005 en pla ant une armoire informa tique dans chaque central t l phonique Le vote de la loi de confiance dans l conomie num rique LCEN dont Bruno Sido tait le rapporteur au S nat a offert aux Conseils g n raux la possi ut d bit de leur d parte T net en effet aux col subventions aux T hen Et la Haute Marne s est naturellement engag e dan cette vole L installation des quipe A tuera sur une p riode de 18 tat Au 31 d cembre 2005 lus de 500 communes haut marnaises soit 97 b de la population disposeront d un acc s Internet haut d bit Il ne restera plus aux particuliers haut marnais qu choisir leur fournisseur d acc s et s quiper d un modem pour surfer sur Internet grande vitesse Le 30 juin dernier le Conseil g n ral a attribu le march permettant de desser vir l ensemble du d partement en haut d bit Se doter d un tel r seau peut engendrer des co ts tr s importants Cer tains d partements engagent des dizaines de millions d euros pour r ussir ce pari La Haute Marne pour sa part a fait le choix raisonn de s appuyer sur l op
33. bitants desservis inscrits en biblioth que 19 6 est sup rieur la moyenne nationale 18 2 o La BDP particuli rement bien implan t e gr ce son vaste r seau apporte un soutien appr ci tant en termes de pr ts d ouvrages que d animations Elle aide les communes assumer leur comp tence dans le domaine culturel et Programme des formations destination N r des partenaires du reseau de la BDP 52 L y f z septembre decembre 2004 De septembre d cembre 2004 la BDP organise des formations destination des b n voles qui animent les points de dessertes du r seau d partemental des biblioth ques 1 octobre B b lecteur d velopper un fonds sp cifique 14 octobre Visite au Salon du Livre Jeunesse de Troyes D part en bus de Chaumont 21 22 octobre Les musiques actuelles techno rap hip hop ragga 5 novembre BD Dans le cadre de l exposition Samoura s des mangas pr sent e au Ch teau du Grand Jardin Joinville pr sentation du manga 15 16 novembre S initier aux CD ROM et Internet 2 d cembre Equipement et petites r parations des livres Renseignements Mme Sylviane Barrand directrice BDP de la Haute Marne Rue du Lyc e Agricole 52000 Choignes T l 03 25 03 29 19 E mail bibliotheque departementale haute marne fr H PTT OR Des chiffres au service les lettres La BDP
34. confort de vie incompa rable et peut tre recycl Gr ce tous ces avantages il se r v le une excellente mati re premi re pour la construction et il entre parfaitement dans la d marche de Haute qualit environnementale HQE qui a par exemple pr pos la r habilitation du coll ge de Fayl Billot Encore faut il ne pas se tromper sur ses origines L utilisation de bois des for ts tropicales est proscrire en faveur de celui des for ts d Europe En effet si les quantit s de bois europ ens mises sur le march ont doubl en un si cle cela s est op r sans nuisance sur Pen vironnement forestier gr ce un suivi pr cis des surfaces bois es La consommation du bois comme de bien d autres produits r pond aujour d hui des exigences et des pr occupa tions d ordre cologique Les d marches de qualit se sont donc multipli es d montrant ainsi aux consommateurs toute l attention dont fait l objet cette ressource Valeur Bois l association pro fessionnelle de la fili re en Champagne Ardenne pr sente deux d entre elles la certification PEFC et For t Qualit Le programme de reconnaissance des certifications foresti res PEFC impose aux propri taires forestiers de s engager sur un cahier des charges environne mental respect du patrimoine des essences des cours d eaux pendant 5 ans Il permet en outre de contr ler les quantit s de bois qui sont produite
35. de dialogue Le Conseil G n ral dans le cadre de sa politique de d veloppe ment du haut d bit a t t com pris opportunit d Internet comme moyen de stimuler la participation des Haut Mar nais la vie publique locale Le nouveau site Internet mis en place site portail de tout un territoire la Haute Marne et pas seulement celui du Conseil G n ral offre de nou velles possibilit s de commu nication 1l encourage la libre expression de chacune et de chacun et veut faciliter le contact avec les lus gr ce une boite aux lettres con ue pour chacun d entre nous Cette relation interactive va permettre d accro tre la parti cipation des citoyens au d bat public local dans un souci de transparence et d efficacit et s inscrit aussi dans le prolon gement des Assises du d ve loppement Alors n h sitez pas entrer en contact avec nous dans la rubrique Contacter vos lus sur le site www haute marne fr Nous sommes l pour tre votre coute et tenter de r pondre du mieux possible vos pr occupations LIGNE DIRECTE ao t septembre 2004 Groupe de r flexion ind pendants Les nouvelles techniques de l information et de la com munication constituent indis cutablement un enjeu de d veloppement mais aussi un enjeu de communication au sens anglo saxon du terme La lecture de Dialogue a revue de France T l com et la consultation des sites Internet de dif
36. e dossier revient au servi ce administratif qui se charge de notifier la r ponse au demandeur et d ex cuter les d cisions de l Assembl e POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE CONSEIL G N RAL SON FONCTIONNEMENT ET SES MISSIONS www haute marne fr le conseil general LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 I y a 60 ans an Haute Mare la liberte En une quinzaine de jours les troupes fran aises et am ricaines ont rendu leur libert aux Haut Marnais avec la coop ration active des Forces fran aises de l int rieur du d partement C tait il y a 60 ans Les maquis s organisent Lorsque les Haut Marnais apprennent le d barquement alli en Normandie le 6 juin 1944 les maquis sont quasiment inexistants en d pit de importance de la for t dans le d partement La faute notamment un armement tr s faible cette date la R sistance haut marnaise n a r ceptionn que trois parachutages d armes Faisant fi de cette carence des patriotes d cident de passer l action Des maquis certes effectifs r duits une trentaine dhommes au maximum voient le jour Lafert sur Aube Puel lemontier Vivey Autant d initiatives qui sont imm diatement r prim es par les troupes d occupation le maquis de ra 4 y a is E m zi e d pea F p 2m Le maquis haut marnais se structure et s toffe partir de juin 44 se Lafert est dispers le
37. e octobre 2004 mieux vivre au quotidien En France le diab te touche 2 de la population Avec quelques efforts cette maladie permet aux malades de bien profiter de la vie Parfois pourtant le d couragement se fait sentir L Association haut marnaise des diab tiques apporte alors son soutien D 1984 l Association haut marnaise des diab tiques ma nation locale de l Association fran aise des diab tiques s est engag e dans un combat contre le diab te Sz la maladie est chronique et qu il faut savoir vivre avec expliquent Christiane Maldem la pr sidente et Claudine Grosmaire la secr taire ce n est pas une raison pour se laisser aller il faut se prendre en main Le diabe te c est s rieux P Toutes deux atteintes pas cette maladie Christiane et Claudi ne connaissent bien le probl me Aussi mettent elles un point d honneur aider les personnes touch es par la maladie ainsi que leur entourage Une discipline pour lutter efficacement La vie d un diab tique est pleine de contraintes Mesure journali re du taux de glyc mie injections r guli res d in suline r gime alimentaire contrai gnant Les personnes se d couragent par fois raconte Christiane Maldem Alors nous sommes l pour les soutenir leur donner de petits conseils pour leur sant et leur remettre le moral au beau fixe Avec un peu de volont le diab
38. ers nouveaux pyl nes va d marrer L implantation des antennes relais par Bouygues Orange et SFR sui vra tr s rapidement Et d s lors nous le r seau Osne le Val premier site fran ais qui p en itin rance locale La coop ration entre le D partement et COMMUNES D IMPLANTATIONS COMMUNES COUVERTES AIGREMONT LARIVIERE ARNONCOURT AIGREMONTee SITE IMPLANT DANS LES VOSGES AILLIANVILLE MORIONVILLIERS ANNONVILLE ANNONVILLE MACONCOURT ARBIGNY SOUS VARENNES ARBIGNY SOUS VARENNES CHAMPIGNY SOUS VARENNES ARC EN BARROIS ARC EN BARROIS ARNANCOURT CIREY SUR BLAISE ARNANCOURT AUTREVILLE SUR LA RENNE AUTREVILLE SUR LA RENNE BAILLY AUX FORGES BAILLY AUX FORGES BEAUCHARMOY BEAUCHARMOY BEURVILLE BEURVILLE Jean Marie BONNET Thomas ROUSSEZ BOUZANCOURT BOUZANCOURT DAILLANCOURT CIREY SUR BLAISE CHARMES LA GRANDE BRACHAY CHARMES EN L ANGLE CIRFONTAINES EN AZOIS AIZANVILLE CIRFONTAINES EN AZOIS COUPRAY COUPRAY COUR L EVEQUE AUBEPIERRE SUR AUBE AUBEPIERRE SUR AUBE DANCEVOIR COURCELLES SUR BLAISE VILLE EN BLAISOIS BAUDRECOURT DOULEVANT LE CHATEAU DOULEVANT LE CHATEAU DOMMARTIN LE SAINT PERE FLAMMERECOURT FLAMMERECOURT FRESNES SUR APANCE FRESNES SUR APANCE GERMAY HARRICOURT COLOMBEY LES DEUX EGLISES HAUTE AMANCE LANEUVELLE LANEUVELLE COIFFY LE BAS COIFFY LE HAUT DINTEVILLE ORMOY SUR AUBE LANTY SUR AUBE LATRECEY LATRECEY LESCHERES SUR LE BLAISERON BLECOURT AMBONVILLE LEURVIL
39. es se sont efforc es avec beaucoup d obsti nation de rendre notre d partement plus accessible par le d veloppement du r seau routier Cet effort se poursuit toujours Il en est de m me aujour d hui pour les nouvelles technologies et particuli rement l Internet Comment pourrions nous pr tendre accueillir de nouvelles entreprises et tous ceux qui choisissent la Haute Marne pour y cr er des activit s ou s y installer en famille si nous ne leur offrons pas ces facilit s de communication deve nues indispensables pour travailler tudier ou se divertir Aussi dans ce domaine le Conseil g n ral a pris les devants Il a voulu tre parmi l un des d partements pr curseurs de ce que l on appelle la diffusion haut d bit A cet effet le Conseil g n ral a fait jouer la concurrence entre op rateurs et sign des march s pour assurer une couverture du d partement en r seau haut d bit de mani re rapide et performante Le Conseil g n ral a appliqu la m me m thode pour resorber les zones blanches en mati re de t l phonie mobile Beaucoup s interrogent l gitimement sur l avancement de ces nouveaux quipements Vous pourrez donc en prendre connaissance dans les pages de ce magazine et vous rendre compte quel point l am nagement num rique et GSM de notre territoire a avanc et avancera encore Gr ce ces technologies la Haute Marne fait parler d elle Ainsi vivre et travailler en Haute Marne sont une r alit lo
40. et par exemple g rer en par tenariat un m me projet des kilom tres de distance L encore le choix du four nisseur demeurera parfaitement libre A noter galement que les zones de r f rence conomique du d partement Chaumont Langres et Saint Dizier seront quip es par Neuf T l com d in frastructures tr s haut d bit dont la vites se de transmission sera de 150 1 500 fois sup rieure celle d une ligne t l phonique classique de 10 000 100 000 kbps Un outil professionnel tr s appr ci indispensable et un atout suppl mentaire au d veloppement des affaires des entreprises de la Haute Marne Hugues ES NAULT Thomas ROUSSET 1 Ce t l chargement doit se faire dans le cadre des textes de loi r gissants ce droit
41. et FFI taillent en pi ces le groupe ment du g n ral von Brodowski Le 16 les spahis alg riens s installent Bour bonne les Bains r alisant la liaison avec la 2 DB Chaumont et Clef mont D sormais soldats alli s venus de Normandie et ceux venus de Provence ne for ment plus qu un unique front Dans l attente ean Marie Chirol nilitant de la m moire n aurait t mieux qualifi que Jean Marie Chirol pour brosser cette rapide a ion de la lib ration de la Haute Marne qu il a tudi e pendant une ving ine d ann es Tri tot disparu en novembre 2002 cet historien natif de r A E ET olontiers militant de la m moire C est dans cet tat d esprit qu il a fond Bettancourt x E Fa m m fa fa man a rerree E aJ E VU g w L l gt 2 une association qui s est fix pour os Ie PA IP PPS Lun enm ccnmil AVS JUL de collecter et 0e transmettre tes documents concernant l histoire du d partement depuis la guerre de 1870 E annA nn an nn Fe squ nos jours Depuis treize ans le gulieremer un dos ES EC LS ST EN 7 e Hnmnimnea CONTrIDUTION a paraitre Gu CIUD Memoires PPS PP VA ES 9 SFA 5 l 11 d CUGAICHIC Li AUCUN d Id I Ca PS lt ES D A nreliunes nanennanr Pn ES dLlLIUI U JGUGI UNI CUNSAUIC d Id NCSIS Lalitc cl nda el LLC LEA du retour de ses prisonniers et de ses d port s la Haute Marne totalement lib r
42. et un guide unique pour mieux conna tre les richesses de la Haute Marne Cet ouvrage est dit par le Pythagore et le Conseil g n ral de la Haute Marne Archives d partementales 50 jusqu au 10 octobre Profitez en 60 apr s le 10 octobre lair RIAL DE L C il l t A Conseil g n ral deux types de dossiers sont trait s d une part ceux qui viennent de l ext rieur tels que les demandes de subventions manant des collectivit s territoriales des entreprises des associations d autre part les dossiers conduits de bout en bout par le D partement Dans cette cat gorie on trouve les grands projets d partementaux comme le plan coll ges la couverture en t l phonie mobile ou en haut d bit U ath El Quant aux dossiers de subvention chacun est instruit de fa on identique afin d assurer une parfaite galit de traitement La simplification des d marches admi nistratives et la souplesse se sont accrues ces derni res ann es Il n en demeure pas moins que chaque dos sier doit passer par quelques tapes incontournables Il subit diff rents examens qui permettent de s assurer que la d cision finale est bien celle que l int r t g n ral dicte Le D partement ne peut r pondre favorablement toutes les demandes car il se doit de g rer strictement un budget vot par les conseillers g n raux Il doit en outre respecter les sec teurs d interve
43. f rents d partements nous am nent faire deux r flexions De nombreux d partements et en particulier la totalit des d partements ruraux s investissent dans ces nouvelles technologies au tra vers de la convention D par tement innovant de France T l com Thierry Breton le Pr sident de France T l com est aussi l auteur de deux ouvrages le t l travail en France publi en 1993 et la fin des illusions le mythe des ann es high tech en 1992 Les douze ann es de recul par rapport la publication de ces deux livres doivent nous faire comprendre que les v ritables cl s du d veloppement sont les hommes et non pas les techniques qui ne sont que des outils certes indispen sables mais jamais suffisants pour assurer la d veloppement d un territoire Nous nous r jouissons que la Haute Marne comme l ensemble des d partements ruraux soit pr sente sur ces nouvelles tech nologies mais contrairement ce qu crivent nos coll gues de la majorit ces nouvelles technologies ne sont pas une activit en devenir mais seu lement un outil de d velop pement au service de chacun particuliers associations et entreprises Groupe socialiste Coup de force du gouverne ment pour transf rer ses res ponsabilit s aux collectivit s locales Jean Pierre RAFFARIN n a pas voulu entendre les Fran aises et les Fran ais qui ont condamn ses projets de r for me lors des
44. idence Le plan de r sorption des zones blanches qui comprend deux phases rendra le t l phone portable utilisable dans la quasi totalit des communes haut marnaise d ici la fin 2006 Pour cela les op rateurs que sont Bouygues T l com Orange et SFR vont implan ter au moins une antenne relais sur chaque secteur jusqu alors non desservi Dans tous les cas la transmission des communications se fera parfaitement quel que soit l op rateur choisi par l usa ger pour son t l phone personnel La technique de l itin rance locale per mettra en effet de faire transiter les appels des abonn s d un op rateur en utilisant les quipements de ses concur rents Pour les usagers ce syst me est donc parfaitement viable bien qu invi sible sauf sur l cran de leur t l phone o s affiche le mot contact pour signi fier le passage dans une zone en itin rance locale terme toute la Haute Marne sera donc couverte par au moins un op rateur m me si quelques diff rences persisteront entre les anciennes zones blanches et les zones grises des servies par un ou deux op rateurs U agi d t h t Pour assurer le fonctionnement correct du syst me d itin rance locale sur un territoire large et faciliter ainsi la main tenance des quipements lectroniques install s l Etat et l Autorit de r gula tion des t l coms ART ont attribu chacun des op rateurs des grappes de sites les op rateu
45. is de d centralisation de 1982 Sa mis sion promouvoir la lecture et assurer un gal acc s de tous aux ouvrages les plus vari s La BDP n accueille pas de public dans ses locaux car elle repr sente avant tout un centre de ressources qui constitue et g re une collection raisonn e de documents sur des supports tr s diff rents En plus des 215 000 supports imprim s dans ses murs sont en effet rassembl s 30 000 CD et cassettes ainsi que 8 500 vid os DVD et CD Rom Alimenter les bibliotheques relais La biblioth que d partementale repr sente bien plus qu une simple r serve documentaire Elle assure aupr s des communes diff rentes missions qui visent toujours promouvoir la lectu re sur tout le territoire aupr s des petits et des grands Car si elle n est pas en relation directe avec le public le tra vail de la biblioth que d partementale n en est pas moins important pour les LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 particuliers haut marnais puisqu au final les uvres collect es sont mises leur disposition dans 190 points de des serte Toutes ces biblioth ques et tous ces d p ts de livres constituent un v ri table r seau de partenaires Ils lui per mettent de d velopper une grande proximit avec les lecteurs jeunes et moins jeunes citadins et ruraux Le pr t Bien entendu la premi re des missions de la BDP est le pr t des ouvrages et supports culturels Tous
46. isir pour animer les villages Autre composant du volet animation la biblioth que de Choignes appuie un certain nombre de spectacles assur s par des intervenants professionnels et propose leur diffusion au sein du r seau Elle contribue galement l accueil d auteurs conteurs ou conf renciers qui am nent avec eux divertissements et animations dans les campagnes Dans tous les points du r seau les spectacles Pheure du conte font le bonheur des tout petits Le conseil Enfin la BDP exerce un r le d expert aupr s des communes Elle apporte ses conseils dans le domaine de l ing nie rie culturelle Elle assure aupr s des communes qui en font la demande une assistance technique pour l am nagement l extension ou la construc tion des biblioth ques la constitution des collections l tude et mise en forme de projet d informatisation l instruc tion des dossiers de subvention En outre la BDP participe aux jurys de recrutement des personnels de biblio th ques Une garantie de s rieux et de comp tence Assurer l galit face aux supports culturels Pour mesurer l efficacit de ses services la BDP a effectu un diagnostic au cours du premier trimestre Il montre que le d partement dispose d atouts vidents dans le domaine de la lecture commencer par l int r t r el des habi tants pour les livres et la fr quentation de biblioth ques Le taux d ha
47. iter la lecture Nous avons m me ajout une touche personnelle une barre dont la cou leur variant du vert au rouge permet de clas ser les activit s selon le niveau d adr naline qu elles procurent Le catalogue virtuel mis Jour quotidiennement permet ainsi aux internautes de trouver instan tan ment la formule qui leur conviendra Alors si vous cherchez des sensations uniques avant de vous lancer dans le parachutisme ou le kite surf surfez donc un moment sur adrenactive com Thomas ROUSSEZ CONTACT www adrenactive com 1 Le kite surf est une discipline qui consiste se faire tracter sur une planche de surf par un cerf volant de grande taille LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 C est en Haute Marne La Bibliotheque Depuis 1986 la Biblioth que d partementale de pr t contribue au d veloppement de la lecture pour tous Son fonds constitu de plus de 200 000 ouvrages alimente les biblioth ques situ es dans les communes haut marnaises de moins de 10 000 habitants Le bibliobus et les nombreuses activit s propos es sont centr s autour d un objectif faire partager l amour de la lecture au plus grand nombre Grands ou petits L Biblioth que d partementale de pr t est un des services culturels du Conseil g n ral de la Haute Marne Ins tall e Choignes la Biblioth que d partementale de pr t BDP est rat tach e au Conseil g n ral depuis les lo
48. ivre Haute Marne mille visages d couvrir Philippe MASSOTTE de Bourg Am lie DEMANCHE de Courtanoux et Dominique PERNEY de Rougeux gagnent un sac de sport Christian DIDIER de Bleurville Patricia RICHARD d Arc en Barrois Raymond QUENTIN d Odival et Patrick GILIBERT gagnent un kit randonn e R gis WARGNIEZ de Vouarces Pascal DEFONTIS d Eur ville et Anthony BENTZ de Champigneulles gagnent un CD de musique d Orgues Catherine COMBEAU de Blessonville et G rard LENE de Thol les Milli res gagnent un t shirt et une casquette Les lots seront adress s aux gagnants par courrier LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 L ARMORIAL DE LA HAUTE MARNE PAR PHILIPPE PALASI PROFESSEUR D HERALDIQUE A L ECOLE DU LOUVRE AVEC LE CONCOURS DU CONSEIL G N RAL DE LA HAUTE MARNE ET DE SON SERVICE ARCHIVES D PARTEMENTALES UN LIVRE EXCEPTIONNEL Pour la premi re fois les blasons et armoiries des plus anciennes familles haut marnaises sont pr sent es dans un ouvrage unique d une grande qualit e plus de 1000 armoiries expliqu es d crites avec un historique e 400 pages e plus de 500 photographies en couleur G e un index de descriptions RELI LPI PALAS E p h raldiques de lieux et REVI O RI AL de personnes HISTOR iri L ATi u IQUEET MONUMENTAL DE LA HAUTE MARNE ALA STECLI Une r f rence historique que tout amoureux du patrimoine haut marnais se doit de poss der
49. l sera attentif aux propositions des entreprises sou haitant recourir au RMA Il favorisera les dossiers qui garantissent la p rennisa tion de l emploi Ainsi le D partement dessine les contours d une politique volontariste d insertion par le haut Objectif permettre un grand nombre de Rmistes de retrouver un emploi durable et une stabilit professionnel le en partenariat avec les entreprises Qui est concern par le RMA La signature d un Contrat d insertion RMA est soumise quelques condi tions Le salari doit obligatoirement avoir b n fici du RMI ou de l Alloca tion sp cifique de solidarit ASS pen dant 12 des 24 mois pr c dant la signa ture du contrat L employeur qui ne peut tre un particulier ne devra pas avoir proc d un licenciement co nomique au cours des 6 mois pr c dant la signature de la convention Le contrat d une dur e de 6 mois peut tre renou vel 2 fois sans exc der une dur e tota le de 18 mois A l issue de chaque p rio de de CI RMA l entreprise peut embau cher la personne ce qui est l objectif recherch Si le RMA ne se concr tise pas par une embauche le b n ficiaire est r int gr au dispositif RMI Denis JUNG Nicolas POMPON POUR TOUT RENSEIGNEMENT VOUS POUVEZ CONTACTER LA DIRECTION DE LA SOLIDARIT D PARTEMENTALE SERVICE INSERTION 03 25 02 89 75 ou 03 25 32 88 77 OU 03 25 32 87 19 LIGNE DIRECTE septembr
50. lles seront d cisives Gageons que les duathl tes chaumontais allongeront davantage encore leur foul e et appuieront plus fort sur les p dales Bonne chance Thomas ROUSSEZ CONTACT ECAC TRIATHLON DUATHLON 26 AVENUE VICTOR HUGO 52000 CHAUMONT 03 25 32 31 39 Email Ilirot netcourrier com SITE INTERNET http perso wanadoo fr ecactriathlon Le 17 octobre l ECAC organise Chau mont le Bike and Run Formule plus 2 originale que le duathlon il rassemble des quipes de deux concurrents et est ouvert tous Chaque quipe ne dispo T se que d un seul v lo Tandis qu un des membres de l quipe court l autre roule CE Le v lo change de main tout au long des 12 kilom tres du parcours l objectif l tant de franchir la ligne ensemble gt 4 er LIGNE DIRE septembre octobre 2004 maa Expression d lus Democratie de proximite Groupe Majorit d partementale Avec Pacte II de la d centrali sation qui va contribuer rap procher l action publique au plus pr s du quotidien des citoyens le Conseil g n ral devient plus encore un acteur de proximit Cette proximit va de pair avec notre volont au sein de la majorit d partementale d tre en permanence coute des Haut Marnais A cet gard l usage d Internet offre des perspectives accrues d change et
51. nt quip s d s lors qu au moins 100 demandes d abonnement haut d bit sont enregistr es sur des lignes desservies par ces r partiteurs U d l i t it d h t d bit Sous impulsion du Conseil g n ral et gr ce aux interventions techniques de France T l com le nombre de centraux t l phoniques offrant le haut d bit a tri pl depuis et le d ploiement de cette technologie va se poursuivre De nom breuses intentions de souscription lIn ternet haut d bit ont en effet t r colt es pour des r partiteurs plus modestes Dans ce domaine l action des lus de terrain s est r v l e d terminante Conseillers g n raux et maires ont su se mobiliser leurs administr s ont imm diatement per u les avantages du haut d bit et ont fait conna tre leur volont de b n ficier de cette technologie en Haute Marne Pr s de 200 demandes ont t recueillies dans le canton d Arc en Barrois 140 dans le canton de Saint Blin et plus de 130 dans le canton d Auberive Ces demandes ont conduit les op rateurs investir en Haute Marne et implanter les quipements n cessaires Le co t d quipement des r partiteurs sera pris en charge par France T l com Au total pas moins de 22 r partiteurs seront int gralement financ s par l op rateur Objectif 97 de la population couverte La Haute Marne comporte 92 centraux t l phoniques Les 70 r partiteurs qui ne seront pas pris en ch
52. ntion des autres collec tivit s Chaque dossier pr sent doit avoir un caract re d partemental Linstruction i de Subvention Apr s la pr sentation de l Assembl e et des commissions Ligne Directe revient sur la fa on dont les dossiers sont trait s par le Conseil g n ral Si les services administratifs instruisent les dossiers les commissions les examinent et donnent un avis et l Assembl e d partementale d cide D couvrez le c ur du syst me Pr paration par les personnels administratifs Afin de mieux saisir le processus d ci sionnel prenons l exemple d une deman de de subvention pr sent e par une asso ciation socio ducative organisatrice d un v nement l chelle d partementale son arriv e au Conseil g n ral le dos sier fait l objet d un examen attentif Il est remis entre les mains du service habilit le g rer Ici le service Sports et ducation Celui ci s assure que toutes les pi ces figu rent au dossier Puis 1l labore un rapport qui tayera la demande aupr s de la com mission d lus qui examinera ensuite D bat en commissions Seconde tape le passage devant la commission d lus comp tente sur ce sujet Cet examen se fait obligatoire ment dans le mois qui suit la r ception du dossier par le Conseil g n ral Dans le cas d une demande de subven tion par une association sportive ou socio ducative l examen se fait en IVe c
53. ommission Culture sports et loisirs Les lus d battent et examinent l int r t qu elle repr sente pour le d partement et les Haut Marnais A l issue des dis cussions les membres de la commis sion se prononcent sur les suites don ner ce dossier c est dire en l esp ce sur le montant de la subvention qu ils envisagent d accorder l association _ d un dossier SALLES DES COMMISSIONS Cette proposition qui prend la forme d un avis est ensuite transmise soit Assembl e d partementale soit la Commission permanente en fonction des dossiers pour lesquels elle a re u d l gation de l Assembl e D parte mentale Dans le cas de l exemple rete nu la Commission permanente peut attribuer une subvention en respectant l enveloppe globale fix e par l Assem bl e d partementale lors des s ances budg taires en faveur des associations socio ducatives Decision de l Assembl e d partementale En r gle g n rale et afin de raccourcir les d lais d instruction les dossiers sont donc pr sent s en Commission perma nente Celle ci se r unit en effet une fois par mois l Assembl e d partementale se r unit en s ance pl ni re au moins une fois par trimestre La Commission per manente ou l Assembl e d partementale par vote d cide d ent riner ou non la proposition faite par la commission Cul ture sports et loisirs Une fois le vote enregistr l
54. on des acquis de l exp rience VAE permet de faire reconna tre des comp tences et d obtenir des dipl mes Elle facilite l insertion et l volution professionnelle en favorisant l acc s un cursus de formation sans avoir justifier du niveau d tudes normalement requis De nombreux publics sont concern s par la VAE les salari s et les non salari s les agents de la fonction publique les demandeurs d emploi les b n voles uvrant en association Les frais de la formation et de l valuation sont assur s par dif f rents organismes en fonction de la situation personnelle Pour tout renseignement vous pouvez contacter Le CIO de Chaumont au 03 25 03 28 59 Le CIO de Langres au 03 25 87 22 05 L AFPA Saint Dizier service d orientation professionnel le au 03 25 56 08 98 Le 12 juillet dernier la base a rienne 113 a rendu hommage l illustre avia RSR teur qui a donn son nom au site Les militaire de Saint Dizier Une statue l effigie d Antoine de Saint Exup ry a en effet t inaugur e au c ur de la base Le Conseil g n ral a par ticip au financement de cette uvre command e un artis te de renom Jean Marc De Pas Au cours de l t le Conseil g n ral a organis deux jeux concours Le premier paru dans Ligne Directe n 73 mettait en jeu des entr es gratuites pour Aventure Parc Guyon velle Le second organis lors du Salon des plaisirs de la chasse de Ch teauvillain avait pou
55. r els ou fabuleux des symboles parfois myst rieux des motifs d coratifs Lessor consid rable des armoiries A partir du XIII si cle le port du bla son se d mocratise et s tend Pen semble de la soci t Le roi de France se cr e le fameux blason d azur aux fleurs de lys d or A partir de 1790 une v ritable chasse aux armoiries s organise Paris et dans les grandes villes de province Un cer LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 tain nombre d entre elles sont alors effa c es ou d truites R volution oblige La Haute Marne est un des d parte ments fran ais receler le plus d ar moiries On les d couvre peintes lin t rieur d une glise sculpt es sur une statue grav es sur un calice reproduites sur un vitrail mais aussi peintes sur un tableau Le Bassigny le Vallage et le Langrois sont les r gions qui en comp tent le plus Les ravages des ann es 1790 ont pargn quelques belles pi ces Aujourd hui pour retrouver les armoiries des anciennes familles il faut n cessai rement se tourner vers l h raldique qui est la science historique des armoiries et plus pr cis ment vers les armoriaux recueils de description d armoiries Une entreprise scientifique exemplaire Aucun armorial n avait encore jamais t publi en Haute Marne mais le 16 octobre 2004 cette lacune sera com bl e avec la parution de l Armorial de la Haute marne co
56. r premier prix une journ e de chasse en battue au domaine d Arc en Barrois En voici les r sultats Pauline THIVET de Bourbonne les Bains Jes sica PIERRET de Montier en Der Marine ROSSELLE de Neuilly l Ev que Elise BOU gt TEILLE de Poinson les Fayl Edwige FER RARI de Condes Dominique CLERC de Corgirnon Sophie DEBELLEMANIERE de Vieux Moulin Corinne CARRE de Laver noy Dominique MICHEL de Chalindrey teurs Geoffroy CAMUS d Arc en Barrois Karine ANTOINE d Ancerville Eva DEMONGEOT de Villiers le Sec Val rie MOREL de Prauthoy Aziz OUS SIDANE de Joinville Benjamin SARREY de Vesaignes sous Lafauche Fabrice MICHELOTTI de Froncles Mor gane JOBERT d Eclaron Jo l HENRI de Marault Agn s VIARD de Langres Suzanne LEGER de Voisey Michel TEINTURIER de Rolampont Jennifer LUGNIER de Chantraines Patrick DUFOUR et Dominique BERNIER de Saint Dizier Alexis SALEUR VIDAL St phanie GEOF FROY Guillaume KERENFLECH Teddy GUIERREIRO et Chantal MATHIEU de Chaumont Gr gory JEANJAN d Eurville gagne une journ e de Chas se en Battue Sophie ROYER de Dinteville gagne une journ e en bateau sur le canal de la Marne la Sa ne Daniel CHARPRON de Coupray gagne un bapt me de l air Marc MASSELU de Ville sur Saulx M lanie MONOT de Dancevoir et Fran ois MOISSON de Is en Bassigny gagnent un panier garni Jean Michel MICAUTIT d Euffigneix et Am lyne COL LOMBERT d Arc en Barrois gagnent un l
57. rs auront en charge l installation et la gestion des antennes sur plusieurs zones blanches voisines bref sur un secteur g ographique coh rent Ainsi Bouygues s est vu confier le secteur Nord Est du d partement avec notamment les cantons de Pois sons ou Saint Blin Orange prend en charge le secteur Nord Ouest couvrant par exemple les communes du canton de Doulevant le Ch teau SFR obte nant quant lui les secteurs Sud Ouest englobant les cantons d Arc en Barrois et de Ch teauvillain et Sud Est com prenant les territoires de Terre Natale et Lafert sur Amance La premi re phase du plan de couverture est de loin la plus importante En Haute Marne gr ce une soixantaine de nouveaux quipements elle aboutira couvrir 104 nouvelles communes soit 20 000 nouveaux utilisateurs avant la fin du premier semestre 2005 Cette premi re phase se met en place particuli rement vite car elle s appuie sur une coop ra tion entre le Conseil g n ral et les op rateurs le premier mettant disposi tion des sites pour l implantation des quipements et les seconds installant leurs antennes relais La deuxi me phase quant elle sera int gralement finan c e par les op rateurs D j pour la premi re phase le D par tement a tudi les besoins en quipe ment et vot les cr dits n cessaires la construction ou l adaptation des infra structures passives c est dire des pyl nes ou de toute a
58. rsque l on a la volont de se donner les r els moyens de ses ambitions Aujourd hui plus qu hier nous devons compter sur nous m mes pour impulser un d veloppement homog ne et rapide du territoire renverser les fatalit s et avancer vers l avenir avec confiance Bonne rentr e tous Bruno Sido S nateur Pr sident du Conseil G n ral de la Haute Marne Fruit d un long travail de recherche men gr ce la collaboration de nombre de Haut Marnais Armorial de la Haute Marne va enfin tre publi Livre rare dense et extr mement riche il fait honneur l histoire du d partement et devrait ravir les amoureux des belles pierres Une v ritable plong e dans le Moyen ge ER e gt T 9 PA M gt Les mille et une facettes des armoiries Destin es indiquer l origine et l ap partenance d un objet ou d un b timent glise ch teau les armoiries sont des embl mes propres une famille une institution une ville ou une province Elles sont apparues d s le XII si cle Leur origine est avant tout chevale resque les seigneurs locaux prouvent alors le besoin de se doter d un signe de reconnaissance en rapport avec leur famille leur terre et leur arm e Ils se mettent d corer leurs armements Au fil du temps les armoiries voluent et se diversifient On ne se contente plus d une simple bande fasce ou che vron on y m le des animaux
59. s 2 048 Kbps et par 64 pour les entreprises offres 4 096 Kbps Il acc l re donc consid rablement la r ception et l en voi de donn es Pour acheminer des informations en haut d bit via les lignes de t l phone il est tout d abord n cessaire d quiper les centraux t l phoniques Un D S L A M ou Digital subscriber line access multi plexer est install dans chaque central t l phonique et permet d apporter le haut d bit sur chaque ligne Cette armoi re informatique permet de s parer les fr quences transitant sur la ligne de t l phone Les basses fr quences sont r ser v es au transport de la voix alors que les hautes fr quences sont d di es Pacheminement des donn es Inter net telles que les courriers lectroniques les images et les sons Ce filtre permet ainsi de se connecter l Internet tout en gardant sa ligne t l phonique dis ponible pour des appels ventuels A Pautre bout du fil un modem s pare les fr quences et les r partit entre t l phone et ordinateur Une offre adaptee a toutes les demandes Particuliers et entreprises n ont pas les m mes usages du haut d bit car leurs besoins sont radicalement diff rents D o des offres multiples Les particuliers souhaitent surtout consul ter des sites et t l charger de la musique ou des images Ils se verront alors pro poser une offre de type ADSL LADSL ou Asymetric digital subscriber line se caract rise par
60. s et consomm es Un peu l image de ce Les professionnels aussi optent pour des constructions en bois qui a t r alis pour les productions animales telles que la viande bovine un syst me de tra abilit de la produc tion a t instaur Dans la r gion d j 220 000 hectares sont certifi s soit un quart des for ts ainsi que 30 entreprises Si cette d marche PEFC int ressait l origine uniquement les propri taires et les entreprises sylvicoles les exploitants qui plantent coupent et d bardent sont depuis peu partie prenante dans cette d marche de certification Et puis parall lement une particularit champardennaise s est d velopp e Le label For t qualit concerne en pre mier lieu les exploitants Il correspond un code de bonnes pratiques pour le b cheronnage l lagage et les planta tions Label attestant du respect des r gles thiques de production 1l permet de valoriser le travail en for t de changer l image de la fili re en mettant en avant des comp tences sp cifiques et de par ticiper la lutte contre le travail ill gal Et a marche Les entreprises du secteur s engagent sur la qualit Depuis avril 2003 pas moins de 25 entreprises haut marnaises ont choisi d adopter le label For t qualit D autres suivront sans doute Fr d ric THEVENIN Thomas ROUSSEZ POUR TOUT RENSEIGNEMENT CONCERNANT LA FILI RE BOIS ET LES LABELS DE QUALIT
61. t aussi o les FFT passent l attaque C est un chec les Allemands renfor cent la garnison et retiennent la popu lation masculine D en otages x CT o rRe a RU 4 d a a nt Quand la Normandie retrouve la Provence Jusqu au 11 septembre aucune op ra tion d envergure n est men e par les alli s faute de carburant ceux qui tien nent la Marne entre Joinville et Bologne se contentent de couvrir le flanc sud de la 3 Arm e am ricaine alors au combat en Lorraine Un r pit que mettent pro fit les Allemands pour organiser une ligne de r sistance sur l axe Langres Chau mont Andelot Neufch teau Les v nements se pr cipitent le 11 lorsque le 15 Corps am ricain passe l offensive Le 12 dans un bref mais violent com bat il r duit la garnison d Andelot et entre dans les Vosges D bord e au nord la garnison de Chaumont n a d autre choix que de se replier au matin du 13 en direction de Bourbonne les Bains Le chef lieu du d partement f te les FFI venus de tout le d partement et m me de l Aube et de la Marne et la 2 Division blind e Au sud c est la 1 Arm e fran aise d barqu e en Provence qui entre en Haute Marne d s le 11 septembre et qui s empare de Langres le 13 o les Allemands n avaient laiss qu une gar nison de 300 hommes De violents com bats se d roulent alors jusqu au 15 dans la r gion de Fayl Billot o soldats fran ais
62. tations principales La pre mi re est la recherche dans le domaine de la construction ossature bois Cet outil professionnel repr sente un v ritable laboratoire pour les techniques de construction en bois On r alise en effet sur le site de la plate forme de multiples LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 La construction ossature bois cr e pour des tests grandeur nature a t sub ventionn e par le Conseil R gional et le Conseil g n ral de la Haute Marne la hauteur de 260 000 essais d assemblage La p rennit et le vieillissement des b timents y sont test s et observ s Les tests serviront ensuite l ensemble de la fili re pour d velopper l utilisation du bois dans la construction Seconde orientation de la plate forme laxe production Dans ce domaine aussi des recherches sont men es pour concevoir des syst mes qui serviront aux entreprises La plate forme assiste ainsi des scieries pour des actions de d veloppement Le but tant de r dui re les co ts de revient et d am liorer les marges des professionnels Formation emploi et marches En d finitive la plate forme constitue un trait d union entre les entreprises les tudiants et les centres de recherche Ce partenariat enregistre un r el succ s Et pour cause les jeunes en formation se frottent tr s t t la r alit du terrain et trouvent rapidement du travail alors Le DOIS une ri im
63. te LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 G HE la zone blanche Les utilisateurs haut marnais de t l phone portable pourront bient t utiliser leur mobile de n importe quelle commune de Haute Marne Gr ce un plan en deux phases la couverture en t l phonie mobi le du d partement va se compl ter Les zones blanches seront bient t aux abonn s absents i n y a pas si longtemps en Haute Marne recevoir ou passer un appel depuis un t l phone portable n tait pas ais Les quipements de transmissions faisaient cruellement d faut en de mul tiples endroits Heureusement gr ce l impulsion du D partement d ici la fin 2007 les zones blanches seront toutes r sorb es et le jeu de cache cache entre les usagers et le r seau cessera Fini le temps o l on cherchait le point le plus haut d une commune pour t l phoner 178 communes a couvrir Pour la Haute Marne la couverture en t l phonie mobile repr sente un v ri table enjeu d am nagement du territoi re et de d veloppement conomique En effet sur les 1250 infrastructures cr er pour couvrir l ensemble des com munes fran aises 123 se situent en Haute Marne Dans 178 communes hors communes associ es aucun appel ne peut tre re u ou effectu depuis le parvis de la Mairie Concr tement encore 30 000 Haut Marnais taient dans l impossibilit de t l phoner avec leur portable depuis leur commune de r s
64. te n est pas un obstacle une vie normale argumente avec force Clau dine Grosmaire Pratiquer une activit physique faire attention son quilibre alimentaire pratiquer r guli rement les examens prescrits autant de petits efforts qui peuvent viter de gros tracas En effet les risques de complications li s au diab te sont r els Une alimentation trop riche grasse ou sucr e et les veines LIGNE DIRECTE septembre octobre 2004 risquent de se boucher avec au final la n cessit d amputer certains orteils voire le pied Chaque ann e 10 000 amputa tions li es au diab te sont pratiqu es Un chiffre loquent Des incidents car diaques d coulent galement d un tat diab tique Et les reins souffrent eux aussi de complications li es au diab te Les diab tiques peuvent mener une vie normale malgr la maladie La dialyse peut alors devenir n cessai re Enfin la c cit partielle ou totale demeure l une des cons quences les plus fr quentes de la maladie Aide et conseils precieux Pour permettre chaque personne mala de ou non de savoir ce que diab te signifie l Association haut marnaise des diab tiques multiplie les initiatives Pre mier objectif informer et sensibiliser les personnes diab tiques Pour mener bien cette mission l association organi se deux fois par mois Chaumont des L association recherche ardemment des b n voles
65. ur et conseiller g n ral d noncent les mesures de fermeture regroupements r duction des horraires d ouverture prisent par La Poste Ils ne trompe ront personne Qui donc a vot au S nat la nouvelle loi r organisant La Poste remet tant gravement en cause la qualit du service public en milieu rural B Sido et C Gu n En fid les soutiens du gouverne ment Chirac Raffarin ils sont personnellement complices de ce mauvais coup contre notre d partement La Col re gron de dans nos communes Mal gr les deux claques lectorales re ues le gouvernement conti nue m prisant le vote du peuple Petit petit la vie s en va de notre belle Haute Marne Ce n est plus d am nagement du territoire dont il faut parler mais plut t de d m nagement avec la com plicit de la majorit de droi te du Conseil g n ral Le seul avenir qu ils programment aux g n rations futures c est une poubelle nucl aire europ en ne Bure L heure de la r vol te a sonn pour d fendre le service public pour tous et par tout en Haute Marne et pour ne pas transformer notre belle terre de vie e d sert nucl aire Les Conseillers g n raux com munistes y prennent toute leur place Le Conseil g n ral de la Haute Marne a particip au concours Optimisation de la gestion des d chets sur un chantier de travaux publics Il s agissait de trouver des solutions non pol luantes de r utilisation de d
66. utre construction sur lev e glise silo ch teau d eau sur lesquels les op rateurs pourront d ployer les moyens technologiques indispensables l acheminement des appels A noter que le co t de cr ation d un site op rationnel est estim en moyenne 150 000 75 000 inves tis par le Conseil g n ral pour la construction du pyl ne et 75 000 engag s par l op rateur pour implanter une antenne relais Pour implanter les relais de t l phonie mobile il convient tout d abord de localiser les endroits susceptibles de les accueillir Et puis une fois les sites identifi s il faut mener diff rentes tudes concernant la transmission des ondes radio la structure des sols et l in t gration dans le paysage C est l la t che des ma tres d uvres Les empla cements deviendront propri t du Conseil g n ral gr ce la collabora tion de communes qui ont c d un terrain pour un euro symbolique et parfois de particuliers nn an de l ch ance fix e pour la phase 1 gr ce au travaux de rep rage et de prospection qui ont t men s par trois ma tres d uvres le Conseil g n ral a d j s lectionn les sites construi re et quiper pour chacune des zones couvrir Mieux deux sites appartenant T l diffusion de France TDE ont d j t quip s pour radiquer des zones blanches Il s agit de Laneuvelle et les op rateurs va bon train La construc tion des premi

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