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Infomusa 11-2 (FR) - Bioversity International

1. 5 Pr dominance de feuilles pr sentant des taches noires au centre gris les feuilles pouvant pendre le long du pseudo tronc rest e au dessus des 50 la nocturne tant a saturation 100 On a valu le temps d incubation n cessaire l apparition des premiers sympt mes ainsi que la s v rit des sympt mes pour chaque cul tivar et le niveau de r sistance correspondant selon l chelle propos e par Alvarado et al 2002 Les r sultats obtenus ont d montr la possi bilit d observer en serre les sympt mes de la maladie chez les deux cultivars de bananier gr ce l utilisation de diff rents inocula de M fijiensis Ces sympt mes consistant en l appa rition de taches elliptiques ou arrondies sont semblables ceux observ s dans les conditions naturelles sur les rejets orejones La pr sence de ces sympt mes peut s expli quer par la diff renciation inachev e des tissus foliaires des vitroplants dont le d veloppement a t limit et dont la diff renciation des ner vures foliaires agit d habitude comme une bar ri re la progression des hyphes de M fijiensis Mourichon amp al 2000 La p riode d incubation a t tr s compa rable chez les deux cultivars tudi s et ce ind pendamment de l inoculum utilis tableaul La suspension myc lienne homog n is e s est r v l e tre l inoculum le plus appro pri sa pr paration est simple elle permet l
2. RNT bleu 4 29 1 60 Vert clair 3 42 5 20 25 36 66 74 bc RNT noir 10 42 4 10 40 Blanc brillant 3 66 5 40 gt 24 362 70 08 T moin 21 55 7 40 gt Vert fonc 3 10 4 40 26 04 d 54 52 Les valeurs moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de probabilit de 5 Index pour la pr sence de grumeaux durs absence 1 faible 2 moyenne 3 lev e 4 tr s lev e 5 44 INFOMUSA Vol 11 N 2 Tableau 2 Perte de poids physiologique chez des fruits de bananiers Rasthali cultiv s sous diff rents films de poly thyl ne Jours apr s la r colte Type de film qer 2 me 3 me 4 me g me 6 me 7 me HDT blanc 1 514 3 184 4 38 gt 5 56 bc 7 03 8 57 P 1 33 gt BDT blanc 1 74 gt 3 708 5 274 6 80 4 8 33 de 9 88 2 26 RT bleu 1 474 2 76 3 724 4 814 6 342 7 872 0 512 RNT bleu 1 502 3 174 4 84 6 95 4 8 53 10 354 12 5 P RNT noir 1 444 2 94 4 24b 5 83 8 114 10 47 4 2 76 T moin 1 423 2 53 3 664 5 06 2 7 80 9 77 2 39 Moyenne 1 52 3 05 4 35 5 84 7 69 9 48 1 96 Les valeurs moyennes suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de probabilit de 5 Parmar B R amp B S Chundawat 1984 Effect of growth regulators and sleeving on maturity and quality of banana cv Basrai South Indian Hort 32 201 204 Reddy S A 1989 Effect of bunch covers on bunch maturity a
3. v es rosion hydrique et une pollution chi mique des eaux la sortie des plantations banani res ruissellement et drainage en profondeur Devant les demandes de mesures en faveur de la conservation des ressources du sol et du respect de l environ nement la mise en place d une tude sur le 46 INFOMUSA Vol 11 N 2 terrain permettrait d valuer l influence de cette monoculture intensive sur le milieu tout en r pondant aux objectifs portant sur 1 la d termination des processus de ruissel lement et d rosion sur un sol volcanique sous climat tropical insulaire et 2 l estima tion des pertes chimiques par rosion et drainage Dans ce contexte nous avons install d une part 10 parcelles exp rimentales 100 200 m2 testant des syst mes de cultures banani res propos s par le CIRAD FLHOR rotation avec l ananas ou la canne sucre avec techniques culturales plus ou moins intensives sur des pentes de 10 25 et 40 et soumis aux risques de ruissellement et d rosion et d autre part cing lysimetres que nous avons plac s sous des bananiers pour tablir le bilan hydrique et valuer les pertes chimiques par lixiviation Durant les observations 1999 et 2000 ces 10 parcelles portaient diff rents traitements le sol nu Nul Nu7 Nu9 la canne sucre paill e Ca2 Ca Cal0 la bananeraie tablie Ba3 et Bad l ananas plat avec paillis An5 et l ananas m canis et
4. Les plants des bananiers plantain Africa FHIA 20 et FHIA 21 sont issus de la micropro pagation men e au laboratoire de culture tissu laire du D partement de Phytotechnologie Le cv Dominico harton a t obtenu sous forme de corme d environ 1 kg en provenance de la plantation Chagualito de la municipalit de Chinchina Caldas Au moment de l chantillon nage les plants taient g s de 12 mois et plan t s sur des parcelles de 25 individus 5 x 5 dis tanc s de 3 m par 2 m avec des bordures de bananiers plantains Dominico hart n r partis selon les m mes distances Les parcelles ont t distribu es au hasard Avant de proc der a la plantation on a incorpor sur chaque site 1 kg de cenichaza compost a base de cendres de canne sucre 13 g de Furadan 3 GR 10 g de MgO et 15 g de borax On a r alis 3 fertilisa tions tous les 4 mois 200 g par plante la pre mi re avec NH NO KCI 1 pour 1 la deuxi me avec du fertilisant Cumba 15 4 23 4 et la troisi me avec NH SO KCI 1 pour 1 On n a appliqu ni fongicides ni pesticides On a laiss deux rejets par plante limin les feuilles pli es et s ches en les coupant la base de bas en haut et les mauvaises herbes tous les quatre mois l aide d une faux dans les rang es et la main au pied des plants On a pr lev des chantillons de 200 g de sol et de racines du rejet successeur mesurant moins de 2 m de
5. Lorenzo et al 1998 Des syst mes d immer sion temporaire ont t utilis s avec succ s pour la micropropagation de bananiers des groupes AAA Alvard et al 1993 Lemos et al 2000 et AAAB Daquinta et al 2000 L objectif de cette tude tait de comparer un syst me d immersion temporaire avec un syst me d immersion permanente et un sys t me de culture conventionnel en utilisant un cultivar br silien du groupe AAB Mat riel et m thodes Des plantules in vitro du cultivar Maca AAB induites partir de bourgeons ont t maintenues sur un milieu de Murashige et Skoog MS contenant 2 uM d acide indole 3 ac tique AIA 2 uM de 6 benzylaminopu rine BAP et 2 g l de Phytagel Sigma Co dans des r cipients de 300 ml Les cultures taient maintenues dans une chambre a environnement contr l 27 2 C sous une photop riode de 16 h de lumi re 8 h d obs curit avec une intensit lumineuse de 33 umol m s t en utilisant des tubes fluores cents produisant de la lumi re blanche froide Chaque explant in vitro d une lon gueur de 10 mm contenant le m rist me a t coup en deux longitudinalement et transf r dans les bior acteurs Le syst me d immersion temporaire a t mis en place comme d crit par Escalona et al 1999 Des r cipients de 10 litres ont t utilis s pour contenir les explants et des r cipients de 5 litres pour le milieu de cul ture figure 1 Cent trente explant
6. Thomas College de Pala en Inde ont mis au point un milieu MS modifi pour la culture d apex de la hampe florale de ces vari t s Dans les deux cas l longation des pousses a t effectu e avec un milieu contenant 3 mg l d AlB et 1 5 mg l de BAP et leur enracinement avec un milieu contenant 3 mg l d AIB et 0 5 mg l de BAP Les pousses produites taient morphologiquement iden tiques celles provenant d apex v g tatifs Des informations compl mentaires sont disponibles aupr s de L Sebastian et M M Mathew du D partement de Botanique St Thomas College Pala Arunapuram P O 686574 Kerala Inde Diversit des bananiers au Moyen Orient La r gion du Moyen Orient est la marge de la zone de culture du bananier dans l Ancien Monde Cependant quelques cultivars de bana niers ont apparemment t cultiv s pendant de nombreux si cles dans cette r gion ce qui sou l ve des questions sur l tendue de la diversit g n tique pr sente dans la r gion et sur la fa on dont les bananiers sont cultiv s dans un tel environnement Afin de r pondre ces ques tions l INIBAP avec le soutien financier de la FAO a organis un relev des bananiers en Egypte Oman et en J ordanie qui s est d rou l e en 2002 L tude a confirm l existence de deux types de producteurs de bananiers dans la r gion ceux qui peuvent r aliser les investissements n cessaires pour assurer une productivit le v e
7. gale ment des rapports contradictoires concernant le parent femelle Musa acuminata ssp bur manni coi des Calcutta 4 Selon Binks et Gowen 1997 Fogain et al 1996 et Viaene et al sous presse ce cultivar diploide montre de la r sistance a R similis De fa on similaire le t traploide TMHx 660K 1 qui r sulte d un croi sement entre Enzirabahima Musa AAA EA susceptible et Calcutta 4 tait moins suscep tible a R similis que Valery Musa AAA Dochez et al 2000 en utilisant la m thode d inoculation d une seule racine Comme Enzirabahima est susceptible R similis la r sistance partielle de TMHx 660K 1 provenait tr s probablement de Calcutta 4 Cependant lors de l valuation des racines de rejets ba on nettes de touffes tablies de diff rentes vari t s de Musa en Ouganda Calcutta 4 et Valery se sont av r s galement susceptibles R simi lis Speijer et al 1999 De m me Price et McLaren 1996 en utilisant des racines de plantes matures au cours d un essai en champ au Cameroun n ont observ aucune diff rence de susceptibilit R similis entre Calcutta 4 et Grande naine L existence de lign es chez lesquelles l ino culation avec des n matodes a conduit une diminution du poids des racines et d autres dont le poids des racines ne diff rait pas entre des plantes inocul es et non inocul es sugg re qu une s gr gati
8. rization and identification of genetic resources of perennial crops Pp 107 117 in Molecular genetic techniques for plant genetic resources Report on IPGRI Workshop 9 11 October 1995 W G Ayad T Hodgkin A J aradat amp V R Rao eds IPGRI Rome Italy Brewbaker J L amp D L Umali 1956 Classification of Philippine Musae The genera Musa L and Ensete Horan Philippine Agriculture 40 231 241 De Langhe E A L 1990 Identification of genetic diversity in the genus Musa a general introduc tion Pp 8 16 in Identification of genetic diversity in the genus Musa R L Jarret ed INIBAP Montpellier France Donini P M L Elias S M Bougourd amp R M D Koebner 1997 AFLP fingerprinting reveals diffe rences between template DNA extracted from dif ferent plant organs Genome 40 521 526 Engelborghs R Swennen amp S Van Campenhout 1998 Potentiel de l AFLP pour d tecter les diff rences g n tiques et les variabts somaclonaux chez Musa spp INFOMUSA 7 2 3 6 Faure S F F Bakry amp D Gonzalez De Lef n 1993 Cytogenetic studies on diploid bananas Pp 77 92 in Breeding banana and plantain for resistance to diseases and pests J Ganry ed Proceedings of an International Symposium held in Montpellier France 7 9 September 1992 CIRAD in collabora tion with INIBAP Montpellier France Gawel N J amp R L J arret 1992 Assessing relation ships between Musa species using chloroplast DNA RFL
9. t r alis et la diff rence entre la surface foliaire totale r elle et la sur face attendue a t observ e R sultats et discussion La diff rence entre la surface totale estim e en utilisant la m thode de la troisi me feuille et la surface totale attendue et r elle tait impor tante pour tous les 25 plants tableau 1 Un test t r alis sur la surface totale estim e et attendue a montr qu elles taient significative ment diff rentes Une corr lation positive significative a t obtenue entre la surface foliaire attendue et r elle r 0 999 ce qui sugg re qu une valeur de K de 0 662 soit une bonne fa on d estimer in situ la surface foliaire totale d un plant de bananier En se basant sur ce r sultat nous proposons de mesurer la surface foliaire totale d un plant de bananier en comptant le nombre total de feuilles N en mesurant la longueur L et la largeur La de la troisi me feuille partir du sommet et en calculant la surface foliaire totale SFT comme suit SFT L x La x 0 80 x N x 0 662 I R f rences Murray D B 1960 The effect of deficiencies of the major nutrients on growth and leaf analysis of the banana Trop Agric Trinidad 37 97 106 Watson D J 1947 Comparative physiological studies on the growth of field crops Variation in NAR and LAI between species and varieties Ann Bot 11 41 76 Yeboach S O J l Lindsay amp F A Gumbs 1984 Estimating leaf area
10. B Cammue amp R Swennen 1993 Cell suspensions from soma tic tissue in Musa Applications and prospects Pp 317 325 in Breeding banana and plantain for resistance to diseases and pests J Ganry ed Cirad Flhor Montpellier France Pineda C amp M Orozco 1996 Agrobacterium Ingeniero gen tico natural Innovaci n y Ciencia V 5 27 32 Sagi L S Remy B Panis R Swennen amp G Volckaert 1994 Transient gene expression in electroporated banana Musa spp cv Bluggoe ABB group protoplast isolated from regenerable embryogenic cell suspensions Plant Cell Reports 13 5 262 266 Sagi L B Panis S Remy H Schoofs K De Smet R Swennen amp B Cammue 1995 Genetic transfor mation of banana and plantain Musa spp via particle bombardment Biotechnology 13 481 485 Sagi L S Remy B P A Cammue K Maes T Raemaekers B Panis H Schoofs amp R Swennen 2000 Production of transgenic banana and plan tain Acta Horticulturae 540 203 206 Schafer W A Goerz amp G Kahl 1987 T DNA integra tion and expression in a monocot crop plant after induction of Agrobacterium Nature 327 529 32 Sheikholesman S amp D Weeks 1987 Acetosyringone promotes high efficiency transformation of Arabidopsis thaliana explants by Agrobacterium tumefaciens Plant Molecular Biology 8 291 298 Tol rance la salinit Shen W J Escudero M Schalappi C Ramos B Hohn amp Z Kuokolikova 1993 T DNA tran
11. En ce qui concerne la r sistance aux n matodes bien que le nombre deR similis ait t lev avant le d but des essais 7600 pour 100 g de racines on n a trouv aucun n matode dans les racines un an apr s ce qui sugg re un certain niveau de r sistance aR similis chez les lign es F1 Tableau 1 Indice d infection pour la maladie des raies noires au cours de deux cycles de production de dix lign es issues d un croisement entre Pisang Berlin et Calcutta 4 Lign es Indice d infection A la floraison A la r colte F1 F2 F1 F2 A 1 48bc 0 90abc 2 35cd 2 04b B 1 72ab 1 12a 3 32bc 2 29b C 1 79ab 0 88abc 3 82ab 2 76ab D 1 08d 0 58bc 1 59d 2 05b E 1 77ab 0 66abc 2 40cd 2 16b F 2 16a 0 98ab 4 10ab 2 54ab G 1 33bc 0 59bc 2 15cd 2 28b H 1 75ab 0 73abc 2 93bc 1 93b l 1 34bc 0 43bc 1 67d 1 79b J 1 84ab 1 03c 4 62a 3 51a P 0 0004 0 0001 0 018 0 045 Chaque valeur est la moyenne de sept observations Les valeurs suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes p lt 0 05 selon le test de Waller Duncan Tableau 2 Comparaison du nombre de Radopholus similis 100 g de racines et du poids des racines de plants inocul s et non inocul s de dix lign es F1 issues d un croisement entre Pisang Berlin et Calcutta 4 Lign es F1 Radopholus similis Poids des racines g 100 g de racines Inocul s Non Diff rence P inocul A 37 737b 18 33ab 31 92abcd 0 0
12. France Lahav E Y Israeli D R J ones amp R H Stover 2000 Non infectious disorders of banana Pp 325 338 in Diseases of banana abaca and enset D R J ones ed CAB International Stover R H amp N W Simmonds 1987 Bananas Longman Jeff Daniells travaille au Queensland Department of Primary Industries PO Box 20 South Johnstone Qld 4859 Australie INFOMUSA Vol 11 N 2 19 Populations s gr geantes Evaluation de la descendance d un croisement entre Pisang Berlin et M acuminata spp burmannicoides Calcutta 4 a la recherche de populations s gr geantes en ce qui a trait la r sistance a la maladie des raies noires et aux nematodes T Moens J A Sandoval J V Escalant et D De Waele des cultivars r sistants peut tre acc l r si la pr sence de la caract ristique d sir e de la plante telle que la r sistance a une maladie fongique ou aux n matodes peut tre d montr e un stade pr coce de d velop pement de la plante Ceci est possible quand un lien peut tre trouv entre la pr sence de cer taines s quences d ADN que l on nomme mar queurs mol culaires et les caract ristiques d sir es de la plante Ces s quences d ADN peuvent tre identifi es dans des populations s gr geantes c est dire qu il y a eu s gr ga tion au sein de la descendance issue de croise ments entre vari t s contrast es dans ce cas un parent r sistant et un
13. L ana lyse complete et le dessin du ph nogramme ont t r alis s en utilisant la version 1 3b du programme phylog n tique TREECON pour environnement Window Van de Peer et De Wachter 1994 R sultats et discussion La technique AFLP a produit des fragments amplifi s de 20 a 350 pb La variation not e dans la taille des fragments a t attribu e a la variation dans la s quence s lective des amorces EcoR et Msel van Treuren 2001 Les r sultats du regroupement par UPGMA des 115 g notypes AAA EA tudi s sont pr sent s la figure 1 Les faibles valeurs de bootstrap 0 85 sugg rent une absence de groupes et des relations g n tiques troites entre les cultivars La majorit des accessions avaient entre elles une distance g n tique de Nei comprise entre 0 1 et 0 4 ce qui montre galement un apparentement g n tique La majorit des accessions AAA EA tu di es se sont retrouv es dans le m me groupe de clones identifi par Karamura 1998 Musakala Nfuuka Nakitembe et Nakabululu mais certaines accessions AAA EA se trouvaient dans un groupe diff rent tableau 1 A l exception du groupe de clones des bananiers bi re qui n apparais sait pas comme un groupe distinct dans notre analyse les groupes de clones propo s s par Karamura 1998 taient des sous groupes selon la m thode AFLP L analyse non enracin e figure 2 a montr en outre que chaque sous groupe tait divis
14. Windows a software package for the construction and drawing of evolutionary tree for the Microsoft Windows Environment Computer Applications for Bioscience 10 567 570 Van Treuren R 2001 Efficiency of reduced primer selectivity and bulked DNA analysis for the rapid detection of AFLP polymorphisms in a range of crop species Euphytica 117 27 37 Vos P R Hogers M Bleeker M Reijans T van de Lee H Miranda A Frijters J Pot J Peleman M Kuiper amp M Zabeau 1995 AFLP a new technique for DNA fingerprinting Nucleic Acids Research 23 21 4407 4414 Vroh B I L Harvengt A Chandelier G Mergeai amp P Du J ardin 1996 Improved RAPD amplification of recalcitrant plant DNA by use of activated char coal during DNA extraction Plant Breeding 115 205 206 Arthur K Tugume et Patrick R Rubaihayo tra vaillent au Department of Crop Science Faculty of Agriculture et G W Lubega au Department of Parasitology and Microbiology Faculty of Veterinary Medicine Universit Makerere P O Box 7062 Kampala Ouganda e mail ruba agric mak ac ug 32 INFOMUSA Vol 11 N 2 Enchantillonnage en Colombie Identification des nematodes phytopathog nes chez les bananiers plantain cv Dominico harton Musa AAB Simmonds et Africa et chez les hybrides FHIA 20 et FHIA 21 en Colombie O A Guzm n Piedrahita et J Casta o Zapata couvrent environ 400 000 ha et pro duisent approximativem
15. de fa on ce que l incidence des sympt mes et des dommages au niveau du limbe foliaire soit la plus faible possible Dans le m me temps le diploide Calcutta 4 soumis au stress salin a pr sent les teneurs les plus lev es en Na et Cl dans le limbe foliaire qui taient asso ci es aux sympt mes de toxicit les plus marqu s et la production de biomasse la plus faible Isoenzymes Le profil de est rase n a pas pr sent de bandes consistantes pour aucun traitement ou g notype tudi s Au contraire Reyes et al 1998 avaient d tect un total de 14 bandes r parties en 5 zones d activit enzy matique en analysant les feuilles de 15 clones du genre Musa provenant de culture in vitro ce qui indiquerait que ces bandes pourraient tre activ es au cours d autres phases de d veloppement de la plante Le degr de polymorphisme le plus lev a t obtenu pour le profil de la p roxydase PO soit 15 bandes au total figure 3 Parmi elles trois Po 10 Po 11 et Po 15 ont t observ es chez tous les individus analy s s ind pendamment du traitement auquel avaient t soumises les plantes C est seule ment dans le traitement sans sel que se sont r v l es les bandes suivantes Po 4 et Po 7 chez Pacovan Po 6 et Po 7 chez Nanicao et Po 14 chez Calcutta 4 La pr sence du sel a probablement inactiv l action de ces enzymes D autre part la concentration de 100 mol
16. es de R similis ont t enregistr es sur les racines de FHIA 21 et de Dominico hart n tableau 1 ce qui explique le pourcentage lev de renversements observ s chez ces g notypes sur le site exp rimental dimi nuant de mani re significative leur potentiel de production Les faibles populations de Pratylenchus spp Santagueda confirment les observa tions d Araya et al 1993 qui a observ que ce n matode est plus fr quemment rencon tr en climat froid Alors que R similis n a pas t trouv chez Africa et FHIA 20 des populations relativement lev es de Meloidogyne spp ont t observ es tableau 1 L absence chez ces deux g notypes de R similis esp ce qui limite le plus la production des bananes et des bananes plantain dans le monde est un facteur qui a contribu au rendement lev de ces deux mat riels dans les conditions exp rimentales de la ferme Montelindo II faut souligner que FHIA 20 est sensible ce n matode Le fait de ne pas l avoir trouv dans les chantillons de sol et de racines peut tre attribu l absence d inoculum probablement parce qu aupara vant cette parcelle tait couverte de chien dent am lior Cynodon dactylon L Pers ou tre d des caract res de r sis tance aux phyton matodes h rit s de SH 3437 Binks et Gowen 1996 Dans les conditions des zones caf i res de la r gion andine de Colombie o 231 000 h
17. l ensemble des variations ph no typiques observ es ainsi que leurs fr quences d apparition par rapport au total des plants va lu s Les r sultats ont t analys s statistique ment par le test du chi deux gr ce au pro gramme STATGRAFICS ver 4 1 de Windows Connaissant l importance de la maladie des raies noires ou cercosporiose noire chez ce cultivar en raison des ravages qu elle y pro voque on tudi la r action des plants face cette maladie fongique en consid rant chacun d entre eux comme une entit exp rimentale et on a r alis des valuations de la maladie la r colte La plantation a t tablie dans la zone de la Station Exp rimentale de Remedios Pedro Lantigua sur un sol ferralitique rouge Jim nez et al 1994 et une distance de plan tation de 3 0 x 1 0 m Les soins culturaux ont t men s d apr s les instructions pour la culture du bananier plantain publi es par MINAGRI 1994 R sultats et discussion Les valuations r alis es sur les populations de plants obtenus r v lent que les variations ph notypiques diff rent quantitativement et quali tativement la proportion de variants taient plus lev e lorsqu on a utilis le traitement mutag ne sur la culture de tissus que lorsque les plants ont t r g n r s partir des bour geons adventices non trait s soit respective ment 16 5 et 6 6 INFOMUSA Vol 11 N 2 F JA Figure 2 Qu
18. le nombre de feuilles et le d veloppe ment des plants aussi entra nant la r duc tion du poids du r gime et de la vie productive de la plantation ainsi que aug mentation du risque de renversement des plants Gowen et Qu n herv 1990 Huit esp ces du genre Pratylenchus ont t recens es dans le monde comme atta quant les Musac es bien que deux seule ment soient largement r pandues et recon nues dangereuses Pratylenchus coffeae et P goodeyi Thorne 1961 Gowen et Qu n herv 1990 P coffeae n matode l sions a t d crit sur des racines de bananier plantain ala Grenade et r pertori en tant que Tylenchus musicola par Cobb en 1919 A la diff rence de P goodeyi ce n matode para t tre lar gement r pandu travers le monde Gowen et Qu n herv 1990 Les sympt mes appa raissent sur les racines sous forme d une n crose extensive noire ou pourpre des tis sus pidermiques et corticaux fr quemment accompagn e par le pourrissement secon daire et la rupture de la racine Gowen et Qu n herv 1990 H multicinctus n matode spiral est probablement apr s R similis le n matode le plus abondant et le plus largement r pandu dans les plantations de bananes et de bananes plantain travers le monde Les sympt mes relev s sur les racines consistent en des l sions rouges superficielles de l pi derme et de l corce Roman 1978 Gowen et Qu n herv 1990 On retrouve
19. ration des ph notypes au cours du temps La posi tion topologique centrale du sous groupe Nfuuka sur le ph nogramme non enracin figure 2 et la nature changeante de Nfuuka rapport e par Karamura 1998 duquel les sous groupes Musakala Nakitembe and Nakabululu divergent figure 1 sugg rent qu il pourrait tre res ponsable de la g n ration d accessions d autres sous groupes Nakabululu et Nakitembe sont tr s li s selon notre analyse Karamura 1998 a ga lement rapport que Nakabululu et Nakitembe taient proches une proximit refl t e par la maturation pr coce de leurs accessions Les r sultats ont montr que Nakabululu et Nakitembe taient s par s par une valeur de bootstrap n gligeable l embranchement et que la majorit des accessions taient s par es les unes des autres par une distance g n tique de Nei inf rieure a 0 5 figure 1 ce qui indique des relations g n tiques troites Bien que Karamura 1998 ait rapport que Musakala et les bananes bi re taient les groupes les plus distincts notre analyse place Nakabululu et Musakala comme les sous groupes les plus distincts en les groupant aux extr mit s oppos es du ph nogramme figure 1 Ceci est galement refl t par l extr me compacit des r gimes et les doigts courts des accessions Nakabululu par opposition aux r gimes larges et luxu riants avec de longs doigts des accessions Musakala Karamura 1998 Notre
20. temps d infection de 20h 15 35 figure 4 Discussion L expression transitoire du g ne gusA chez les SCE de Dominico hart n a t obtenue au cours de cette tude apr s leur transfor mation par Agrobacterium ce que l on a mis en vidence gr ce l activit GUS des agr gats embryog niques valu e par analyse histochimique L utilisation de la construc tion g n tique gusA qui contient un intron garantit que l activit GUS que l on observe correspond bien au transfert d ADN T dans la cellule v g tale et non a son expression dans les cellules d Agrobacterium Avant les exp rimentations de transfor mation on a d termin la sensibilit des SCE de Dominico harton aux antibiotiques utilis s par la suite apr s infection On notera que la concentration de 250 mg l de cefotaxime s lectionn e pour inhiber le d veloppement d Agrobacterium n avait pas d effet apparent sur la r g n ration des cellules embryog niques La souche AT650 s est montr e efficace pour transf rer de fa on transitoire l ADN T aux SCE de Dominico harton probable ment parce qu elle contient un plasmide Ti d sarm du type supervirulent agropine pTiBo542 plasmide qui a fait ses preuves sur des cultures r calcitrantes Gelvin et Liu 1994 Hiei et al 1994 Narasimhulu et al 1996 Les caract ristiques du vecteur binaire utilis sont galement tr s impor tantes quand on pr tend une grande effi
21. thyl ne bleu transparent recon ditionn et le poly thyl ne transparent blanc faible densit Cependant les r gimes recouverts avec du poly thyl ne blanc transparent haute densit taient sensibles aux d g ts caus s par le vent cause de la faible paisseur de ce mat riau qui le rend non adapt aux r gions vent es Remerciements Les auteurs tiennent remercier le CSIR pour l octroi d une bourse de recherche utilis e pour financer ce projet de recherche W R f rences Bhaktavathsalam E M P Manickavasakam S Sathiamoorthy amp T T Kaliaperumal 1968 Studies on the control of fruit blemishes in hill banana Virupakshi South Indian Hort 16 7 13 Choudhury H K Chandra amp K Baruah 1996 Variation in total chlorophyll content and its par titioning in Dwarf Cavendish bananas as influen ced by bunch cover treatments Crop Res 11 2 232 238 Dadzie B K amp J E Orchard 1997 Evaluation post r colte des hybrids de bananiers et bananiers plantain crit res et m thodes Guides techniques INIBAP 2 International Plant Genetic Resources Institute Rome Italie International Network for the Improvement of Banana and Plantain Montpellier France ACP EU Technical Centre for Agricultural and Rural Cooperation Wageningen Pays Bas Ganry J 1975 Effect of covering banana bunches with polyethylene sleeve on the fruit temperature in the conditions of Guadeloupe Fruits 30 735 738 He
22. vantages Les planteurs doivent trouver ce qui est le meilleur pour eux Toute personne sou haitant valuer D Dwarf est pri e de contac ter l INIBAP i R f rences Buddenhagen W 1994 Banana diseases caused by bac teria Pp 15 17 in Compendium of Tropical Fruit Diseases R C Ploetz G A Zentmyer W T Nishijima K G Rohrbach amp H D Ohr eds APS Press St Paul Minnesota Daniells J W 1985 The maturity bronzing disorder of banana fruit Queensland Agricultural J ournal 11 239 40 Daniells J W 1995 Results of a survey of research deve lopment priorities and crop management practices in the north Queensland banana industry QDPI Bulletin QB 95001 20pp Daniells J W 1997 Chilling damage in the field Bananatopics 23 26 30 31 Daniells J W 2000 Quelle vari t de bananier cultiver INFOMUSA 9 1 31 33 Daniels W amp NJ Bryde 1998 Cavendish dwarf out for trial Good Fruit amp Vegetables 8 9 43 Daniells J W amp M K Smith 1993 Somatic mutations of bananas their stability and potential Pp162 171 in Proceedings of the international symposium on recent developments in banana cultivation techno logy R V Valmayor S C Hwang R Ploetz S W Lee amp N V Roa eds 14 18 December 1992 Los Ba os Philippines INIBAP ASPNET INIBAP 1999 Networking Banana and Plantain INIBAP Annual Report 1998 International Network for the Improvement of Banana and Plantain Montpellier
23. 1 Ces baisses ont t concomitantes aug mentation du Na dans les tissus La tol rance au stress salin est associ e exclu sion des ions toxiques et la s lectivit de la membrane principalement dans la discrimi nation entre Nat et K Botella et al 1997 m canisme absent chez Calcutta 4 Quant a la distribution de K dans les diff rentes parties de la plante limbe pseudo tronc et ensemble racines rhizome les teneurs les plus fortes ont t observ dans le pseudotronc pour tous les g no types tudi s tableau 1 L augmentation de la salinit a coincid avec une diminution de la teneur en Ca dans le limbe foliaire de tous les g notypes tudi s a l exception du diplo de Calcutta 4 qui a accumul ce cation dans le pseudo tronc pour les diff rents traitements salins tableau 1 Les r sultats contrast s entre les g no types tudi s sont en relation avec leur capacit d adaptation et de croissance en milieu salin laquelle son tour est contr l e par des facteurs g n tiques A part le cul tivar Nanicdo dont la vigueur initiale tait comparable celle de Pacovan c est ce dernier qui s est montr le plus productif et le plus tol rant dans les conditions de stress salin impos es La production lev e de bio masse de ce cultivar peut tre attribu e sa facilit limiter les mouvements ioniques de Na et de CI vers les feuilles
24. 12 1aA 12 5aA 4 7aB 13 3aAB 16 7aA 3 5aC 5 8bB 14 9bA cl g kg cl g kg cl g kg Caipira 4 0aB 53 4abA 62 1aA 3 5aB 41 4aA 49 7aA 3 3aB 40 6aA 42 2bcA Pacovan 4 8aB 37 6bA 42 6aA 5 7aB 41 8aA 45 9aA 3 9aB 31 4aA 34 3cA Calcutta 4 3 1aB 44 3abA 49 3aA 5 3aB 45 1aA 50 5aA 4 9aC 35 2aB 66 2aA FHIA 18 3 5aB 48 0abA 46 8aA 4 0aB 38 5aA 43 4aA 5 6aB 29 9aAB 38 1cA Nanicao 6 1aB 62 9aA 57 9aA 3 1aB 46 7aA 45 1aA 4 3aB 37 7aA 58 8abA K g kg K g kg K g kg Caipira 117 1aAB 138 8abA 97 9abB 54 2aA 64 2aA 55 5aA 25 8abA 27 5aA 30 0abA Pacovan 90 4aB 145 4aA 117 9aAB 57 9aA 52 9aA 61 3aA 20 8bA 26 3aA 25 8bA Calcutta 4 99 2aA 113 3abA 73 8bB 54 2aA 54 2aA 52 5aA 28 8aA 16 3bB 11 7cB FHIA 18 95 0aA 104 2bA 106 3abA 41 3aB 62 9aA 60 8aA 25 8abB 30 4aAB 32 5aA Nanicao 100 8aB 131 3abA 107 5abB 54 6aA 58 3aA 66 7aA 24 2abA 27 1aA 22 9bA Ca g kg Ca g kg Ca g kg Caipira 4 6aA 5 7bA 6 7bA 5 3bA 4 7bA 6 6abA 10 6abA 8 3aB 6 7abB Pacovan 4 2aA 5 0bA 3 7cA 8 0abA 6 2bA 6 1abA 7 6cA 5 5bcB 4 4bB Calcutta 4 6 4aB 11 5aA 13 2aA 8 2abA 9 9aA 8 7aA 11 7aA 4 3cB 4 7bB FHIA 18 6 8aA 6 1bA 5 9bcA 7 5abA 5 5bA 4 8bA 9 3bcA 6 2bB 4 9bB Nanicao 6 6aA 5 9bA 7 2bA 8 8aA 5 8bB 7 3abAB 9 7bA 7 4abB 8 4aAB Les valeurs de la m me colonne suivies de la m me lettre minuscule ou de la m me lettre majuscule sur la m me ligne ne pr sentent pas de diff rences significatives par la preuve de Tukey 5 de probabilit INFOMUSA Vol 11 N 2 1
25. 1977 Maurya et Lal 1979 Panayiotopoulos amp al 1994 Le labourage r duit l imp dance m canique et la densit brute du sol Russell 1977 Pour les bananiers dessert Robinson 1996 a trouv que des sols qui avaient t labour s plus de 50 cm produisaient plus de racines en meilleur tat L effet d une r duction de la densit brute du sol n a pas t tudi sur une large gamme de g notypes de Musa spp L objectif de cette tude tait d valuer l effet du labourage sur les caract ristiques des racines et des rejets de quelques g notypes de Musa spp L e d veloppement et la distribution des Mat riel et m thodes Cette tude a t men e la station de l IITA poss dant une pluviom trie lev e Onne 4 42 N 7 10 E 5 m d altitude dans le sud est du Nigeria o le sol est d riv de s diments cotiers et est un pal udulte typique acrisol haplique profond et bien drain FAO ISRIC ISSS 1998 Il appartient la famille des sols loameux grossiers siliceux iso hyperthermiques Les propri t s chimiques et physiques de la couche arable dans les champs exp rimentaux ont t valu es tableau 1 La pluviom trie annuelle est de 2400 mm distri bu e de mani re monomodale de f vrier novembre Ortiz et al 1997 Six g notypes appartenant quatre groupes de Musa spp ont t valu s le bananier dessert Valery AAA les bananiers plantain Agbagba et Obino l ewa
26. 5 42 et IBP 5 6 sont deux cas part puisqu ils poss dent les taux d infection les plus bas mais aussi les r gimes les moins lourds BP 5 66 IBP 13 A IBP 13 B et IBP 5 5 pr sen tent une maturation avec d tachement pr matur des doigts ce qui les rend impropres a la production I est important de souligner que des plantes poss dant un haut degr de r sistance n ont pas forc ment un bon com portement agricole et un bon rendement Des r sultats similaires aux n tres ont t obtenus par Hwang et Ko 1988 qui ont r ussi s lectionner des variants fortement r sistants F oxysporum mais tous taient des variants morphologiques poss dant des combinaisons de caract res agronomiques inf rieures la vari t originelle Tout au long de ce travail on a mis en vidence les possibilit s d utilisation de l am lioration par mutations chez les bananiers et les bananiers plantain Trois variants d riv s du cultivar Gros des variants s lectionn s pour leur r sistance a Fusarium oxysporum f sp cubense dans les conditions au champ re h Code de plantes Degr de Michel ont manifest une r sistance F oxy malades r sistance sporum et poss dent un bon comportement au champ agronomique un r sultat qui pourrait s av rer BP 5 42 0 2 FR h D d une grande valeur pratique lll EPS 75 FR BP 5 61 3 0 FR R f rences He 3 2 PR pees BP 12 3 2 FR Batlle A amp
27. Ba os Laguna 4031 PHILIPPINES Fax 63 49 536 05 52 E mail a molina cgiar org Bureau R gional pour l Afrique occidentale et centrale Coordinateur R gional Dr Ekow AKYEAMPONG Expert associ transfert de technologies Kim J ACOBSEN C o CRBP BP 12438 Douala CAMEROUN Tel Fax 237 342 91 56 E mail inibap camnet cm Bureau R gional pour l Afrique orientale et australe Coordinateur R gional Dr Eldad KARAMURA Conseils aux auteurs Les textes dactylographi s seront pr pa r s en francais anglais ou espagnol et ne devraient pas exc der 2500 mots Ils seront pr sent s en double interligne Toutes les pages seront num rot es y compris les tableaux figures l gendes et r f rences partir de la page de titre Le titre sera le plus court possible Mentionnez le nom complet de tous les auteurs ainsi que leur adresse au moment de l tude Indiquez galement l auteur auquel doivent tre adress es les corres pondances Merci d envoyer avec votre version impri m e une copie sur disquette ou par cour rier lectronique en indiquant les r f rences du logiciel de traitement de texte utilis R sum s Un r sum dans la langue du texte et ventuellement dans les deux autres langues de la revue devra accom pagner la contribution II ne devra pas exc der 200 mots Sigles Ils seront d velopp s lors de leur premi re apparition dans le texte et sui vis du sigle entre parenth s
28. Cara bes Chaque repr sentant national a fait le bilan de la situation pour son pays Fernando S enz du CIMPE au Costa Rica a donn une conf rence sur l importance socio conomique du plantain en Am rique latine et les Cara bes les besoins r gionaux en informa tion suivie d une pr sentation par Lucia Duran de l universit de Tolima en Colombie et d une autre par Luis Pocasangre du bureau r gional de l INIBAP pour l Am rique latine et les Cara bes Le dernier jour les repr sentants des pays membres de MUSALAC se sont r unis pour lire un nouveau pr sident et deux vice pr si dents Le pr sident lu est J orge Sandoval de CORBANA au Costa Rica et les deux vice pr si dents sont Tito Diaz de CORPOICA en Colombie et David Berroa de l IDIAP au Panama Pendant lar union Guillermo Ortega Rosini sous secr taire dans le gouvernement quatorien et membre fondateur de MUSALAC a t nomm Associ honoraire a vie II quittera bient t son poste au gouvernement et sa position en tant que repr sentant de l Equateur Le conseil d administration de MUSALAC a d cid que dor navant les cours de formation sur la banane et la banane plantain auront lieu imm diate ment apr s l assembl e annuelle afin de profi ter de la pr sence des membres de MUSALAC qui sont galement instructeurs L ann e prochaine la r union aura lieu en ao t en Equateur FUNDAGRO et le minist re de l agriculture e
29. Cl dans le tissu v g tal On a analys en outre cinq sys t mes isoenzymatiques la p roxydase PO a shikimate d shydrog nase SKDH la malate d shydrog nase MDH la gluta mate oxalo ac tate transaminase GOT et a phosphatase acide ACP A la fin de l exp rimentation 21 jours apr s le d but des traitements on a estim a superficie foliaire en multipliant le pro duit de la largeur et de la longueur de la feuille cm par le coefficient 0 7 adapt de Moreira 1987 Les plantes ont t section n es en trois parties limbe pseudotronc et racines rhizome Le poids sec t d ter min apr s passage en tuve 65 C jusqu obtenir un poids constant On a analys les concentrations en Nat K Cat et CI sur chacune de ces parties de la plante Une fois sec le mat riel v g tal a t malax On en a pr lev une partie pour la soumettre une digestion nitro perchlo rique afin d analyser le sodium le potassium et le calcium Les concentrations en Na et en K ont t d termin es par spectrophoto m trie de flamme et celle en calcium par spectrophotom trie d absorption atomique Malavolta et al 1989 Le chlorure a t mesur par titrage au nitrate d argent apr s extraction pr alable en solution aqueuse Malavolta et al 1989 Pour l analyse des isoenzymes on a utilis 350 mg de mat riel frais du limbe de la troi si me feuille de chaque plante Les chan tillons on
30. Estimating leaf area of plantain Scientia Horticulturae 11 31 36 Ortiz R P D Austin amp D Vuylsteke 1997 IITA high rain fall station Twenty years of research for sustainable agriculture in the West African Humid Forest HortScience 32 6 969 972 Panayiotopoulos K P C P Papadopoulou amp A Hatjiioannidou 1994 Compaction and penetration resistance of an Alfisol and Entisol and their influence on root growth of maize seedlings Soil Tillage Research 31 323 337 Robinson J C 1996 Bananas and Plantains CAB International Wallingford Oxon UK 238pp Russell R S 1977 Plant root systems Their function and interaction with the soil McGraw Hill Book Company UK Limited 298pp Salau O A O A Opara Nadi amp R Swennen 1992 Effects of mulching on soil properties growth and yield of plantain on a tropical ultisol in southeastern Nigeria Soil and Tillage Research 23 73 93 Sioussaram D 1968 Observations pr liminaires sur l enracinement des bananiers dans les sols de la station de Neufch teau Guadeloupe Fruits 23 9 473 479 Source de variation dl Caract ristiques des rejets et des racines SF HP cP PF PS NR LR Pr paration du terrain 1 2527959649 31682 2067 21817971 14938 26654 11306501 G notype 5 24826299 384 20 703096 71 1235 162260 R plication 1 26267980 14 0 3 88714 214 348 166471 R siduel 39 56895732 362 33 1142765 247 576 337071 SF surface foliaire HP haut
31. International Journal of Nematology 7 57 61 Dochez C P R Speijer J Hartman D Vuylsteke amp D De Waele 2000 Criblage d hybrides de bana niers r sistants a Radopholus similis INFO MUSA 9 2 3 4 Fogain R S Gowen amp F Mekemda 1996 Screening for susceptibility to Radopholus similis Evaluation of plantains AAB and diploid AA AB and BB Tropical Agriculture Trinidad 73 281 285 Gauhl F 1989 Untersuchungen zur Epidemiologie und Okologie der Schwartzen Sigatoka krankheit Mycophaerella fijiensis MORELET an Kochbananen Musa sp in Costa Rica G ttinger Betrage zur Land und Forstwirtschaft in den Tropen und Subtropen Heft 42 Verlag Erich Geltze G ttingen Germany 128pp Guzman M G Murillo amp R Villalta 2000 Programa de asistencia t cnica en el manejo de la Sigatoka negra Pp 45 48 in CORBANA Informe Anual 1999 J Sandoval ed Hoagland D R amp D L Arnon 1950 The water culture for growing plants without soil University of California Agricultural Experimental Station Circular No 357 32pp IPGRI INIBAP CIRAD 1996 Descripteurs pour le bananier Musa spp 55pp Moens T M Araya amp D De Waele 2001 Correlations between nematode numbers and damage to banana Musa AAA roots under commercial conditions Nematropica 31 1 55 65 Orjeda G J V Escalant amp N Moore 1999 Phase du Programme international d valuation des Musa IMTP synth se du rapport fin
32. Par exemple le programme national de conservation multiplication et diss mination dans lequel des vari t s am lior es sont trans f r es aux Syst mes nationaux de recherche agricole SNRA pour faciliter l acc s des cher cheurs et des paysans ces vari t s correspond au d sir des pays membres de BAPNET d utili ser les nouvelles vari t s qui sont productives et r sistantes aux principales maladies pr sentes dans la r gion Avec le bureau r gional Asie Pacifique de l INIBAP qui est le secr tariat du r seau BAP NET va mettre en place des activit s pour concr tiser les priorit s identifi es pendant la r union En tant que r seau regroupant les SNRA BAPNET travaillera de mani re plus effi cace r pondre aux besoins r gionaux stimu ler les collaborations r gionales et mettra pro fit ses liens avec les programmes de l INIBAP Les prix 2002 Au cours de la r union des prix ont t remis des individus et des institutions qui ont apport une contribution significative la technologie de production de la banane et la promotion des programmes en recherche et d veloppe ment sur le bananier Le prix Pisang Raja a t remis Suzanne Sharrock scientifique responsable de la conser vation du mat riel g n tique l INIBAP Sa contribution remonte 1988 quand elle a dirig quatre missions de collecte en Papouasie Nouvelle Guin e au cours desquelles plus de 200 accessions o
33. Tennant 1975 Cette m thode consiste a taler les racines cordiformes sur une grille avec des mailles de 3 cm x 3 cm et compter le nombre de points d interaction Le nombre de points d interaction a t multipli par un fac teur de conversion de 2 3571 appropri ala taille des mailles de la grille utilis e R sultats et discussion Un effet significatif du labourage a t observ sur toutes les caract ristiques des racines et des rejets tableau 2 Les plants du champ labour ont mieux pouss que ceux du champ non labour figures 1 et 2 Le labourage a r duit la densit brute du sol de 26 de 1 64 0 06 g cm 1 21 0 02 g cm une pro fondeur de 5 cm et de 27 de 1 62 0 07 g cm 1 18 0 12 g cm une profondeur de 20 cm L effet positif d une diminution de la densit brute du sol sur la croissance racinaire avait t d montr en conditions de paillis Avnimelech 1986 a rapport qu il y avait un changement vident dans la structure du sol du fait de l application de mati re organique Les agr gats du sol changeaient de structure de com pact e dense en friable poreuse permettant la p n tration des racines la diffusion de l eau et des solut s vers et depuis les agr gats am lio rant ainsi les propri t s du sol en tant que milieu de croissance Pour Musa spp Swennen 1984 a rapport une augmentation de la ramification des racines en conditions de paillis De plus dans un sy
34. Tr pico Manual de asistencia t cnica No 50 Impresora Feriva Ltda Cali Colombia 376pp Binks R amp S Gowen 1996 Evaluation au champ de l infestation de mat riel g n tique de Musa par les n matodes INFOMUSA 5 2 15 16 Bricker B ed 1993 MSTAT C A microcomputer program for the design management and analy sis of agronomic research experiments Chapter 9 Analysis of variance Crop and Soil Sciences Agricultural Economics Institute of International Agriculture Michigan State University Cabrales L 1995 Determinaci n del sitio de mues treo de raices en estudios nematoldgicos del banano ASCOLFI 19 1 129 135 Casta o Zapata J amp H Salazar 1998 Illustrated guide for identification of plant pathogens University of Caldas Manizales Colombia Pp 74 98 Casta o Zapata J L del Rio Mendoza amp A Acosta 1997 V Nematodos fitopar sitos Pp 113 210 in Manual para el diagn stico de hongos bacterias virus y nematodos fitopat genos Casta o Zapata J and L del R o Mendoza eds Centro Editorial Universidad de Caldas Zamorano 210pp Cruz C G C A Reb cherledo D Betancourt S A Morales amp J R Duque 1990 Evaluaci n t cnico econ mica de los sistemas de producci n de pl tano en el gran Caldas Universidad de Caldas Facultad de Agronomia 186pp De Guiran G amp A Vilardebo 1962 El banano en las islas Canarias IV Los nematodos parasitos del banano Fruits 1
35. billonn An6 Parall lement nous avons effectu des tests en laboratoire stabilit structu rale et sur leterrain simulations de pluies pour estimer le comportement du sol et mieux comprendre les processus de ruissel lement et d rosion Les r sultats observ s en 1999 et 2000 sont tr s voisins malgr la variation de la pluviosit annuelle et ils ont permis de distinguer l effet des traitements Sur sol nu la perte en terre E 85 165 t ha an augmente avec la pente p 11 40 alors que le ruissellement diminue LR 184 87 mm Ces r sultats mon trent que le processus d rosion non s lective change quand la pente cro t avec notamment une augmentation de la capacit de transport du ruissellement malgr une forte r sistance du sol l ro sion indice d rodibilit K 0 12 0 02 et une forte stabilit des agr gats l eau MWD 1 6 2 7 mm Sur les traitements paill s Ca2 Ca8 Ca10 et An5 le ruis sellement et l rosion sont n gligeables m me sur forte pente LR lt 31mm et E lt 0 2 t ha an Le taux de couverture r sidus couvert v g tal cailloux tr s lev sur ces parcelles SC 80 100 de la surface parcellaire s av re tr s effi cace pour l infiltration et la protection du sol il n y a pas eu de ruissellement sous simulations de pluies cycloniques 1p 100 mm h durant 180 minutes En revanche la parcelle d ananas An6 ruisselle fr quemment et perd beauc
36. de enzyme amp glu curonidase de 2 5 kb avec un intron d actine gusA intron le promoteur 35S du virus de la mosaique du chou fleur CaMV et le terminateur 35S du CaMV 2 le gene hph hygromycine phosphotransf rase 31 de 1 7 kb qui conf re la r sis tance l hygromycine avec le promoteur 35S du CaMV et le terminateur tml tumor mor phology large gen Transformation La souche AT650 pLIGh d A tumefaciens a t cultiv e en milieu AB semi solide Gelvin et Liu 1994 en pr sence de 300 mg l de streptomycine de 100 mg l de spectino mycine et de 50 mg l d hygromycine pen dant 2 3 jours 28 2 C L inoculum a t pr par partir de cellules de culture r cente en milieu liquide AB avec la m me concentration d antibiotiques et incub de 12 16h sous agitation 28 20C jusqu l obtention d une concentration de 1 2 x10 cellules ml Cette culture a t lav e dans une solution saline st rile et resuspendue dans deux volumes du milieu d induction Gelvin et Liu 1994 contenant 2 mM de phosphate de sodium 30 mM de tampon MES pH 5 6 une solution de sels AB 1X 0 5 de glucose et 50 100 200 ou 400 uM d AS Cette suspension a t mise incuber 25 20C de 12 16 heures 100 r min La concentration bact rienne a t ajust e 108 et 10 cellules ml en faisant des dilu tions du milieu d induction contenant 50 100 200 ou 400 uM d AS Le milieu de cul ture des SC
37. de combinaisons des g nomes acuminata A et balbisiana B Novak et al 1986 Dans le cadre de l application de techniques de biotechnologie aux m thodes d am liora tion ce travail pr sente les r sultats de recherches portant sur une m thode de s lec tion par inoculation de l agent pathog ne d j mise au point par les auteurs permettant l va luation des caract res agronomiques des variants potentiellement r sistants ou tol rants la fusariose obtenus en utilisant des agents mutag nes physiques sur deux vari t s sensibles es rapports les plus anciens sur le fl tris Mat riel et m thodes Le processus g n ral d introduction du mat riel v g tal au laboratoire est d crit par Orellana et al 1991 Les explants pour l induction des bourgeons auxiliaires ont t plac s sur un milieu Murashige et Skoog modi fi contenant 20 mg l de 6 Benzylaminopurine 6 BAP et 0 65 mg l d acide indolac tique AIA Les bourgeons auxiliaires ont t irra di s par 25 Gy de radiations Gamma provenant d une source de Co On a obtenu une popula tion de 5000 vitroplants de chaque vari t que l on a infect s pendant 30 minutes par une solution de 3 x 105 spores ml de la souche INIFAT 1 qui s tait r v l e la plus pathog ne lors d tudes pr liminaires Une fois cette op ration men e terme les vitroplants ont t mis dans des pots contenant un sol organique contamin par des d bris
38. de doigts par INFOMUSA Vol 11 N 2 Tableau 1 R sultats de la s lection face a Fusarium oxysporum f sp cubense Vitroplants Vitroplants Mat riel Mat riel Variants Cultivars inocul s en plant s au s lectionn s lectionn s lectionn s phase III champ au champ en pots au champ et en pots Manzano 6172 934 20 11 Gros Michel 5314 213 22 21 Total 11 486 1147 42 32 r gime sont maintenus par rapport au culti Conclusion Tableau 2 Pourcentages d infection var Gros Michel mais ce variant a une matu ration du r gime tr s uniforme et se com porte comme une plante fortement r sistante 3 d infection IBP 5 B pr sente un cycle v g tatif semblable celui du t moin mais un poids du r gime et un nombre de doigts par mains sup rieurs ceux du t moin poss de galement comme caract ristique int ressante de maintenir au champ une r sistance face l agent patho g ne avec un taux d infection de seulement 3 2 IBP 12 poss de des caract ristiques sem blables celles du t moin quant au poids du r gime et au nombre de mains par r gime maisil produit un plus grand nombre de doigts par r gime et ces doigts sont plus longs Il atteint comme IBP 5 B un taux de 3 2 d infection dans les conditions au champ e Les autres variants atteignent des taux d infection relativement bas mais ne pr sen tent pas de caract ristiques de rendement et de cycle de d veloppement favorables IBP
39. de l INIBAP Livres etc Notes de lecture Ucn INFOMUSA est publi avec le soutien du Centre Technique de Coop ration Agricole et Rurale CTA Vol 11 N 2 Photo de couverture Uma Subbarayan du NRCB avec un Pisang awak am lior Sathiamoorthy NRCB India Editeur R seau international pour l am lioration de la banane et de la banane plantain INIBAP R dacteur en chef Claudine Picq Comit de R daction Charlotte Lusty Suzanne Sharrock Anne V zina Jean Vincent Escalant Emile Frison Imprim en France ISSN 1023 0068 R daction INFOMUSA INIBAP Parc Scientifique Agropolis 11 34397 Montpellier Cedex 5 France T l phone 33 0 4 67 61 13 02 T l copie 33 0 4 67 61 03 34 Courrier lectronique inibap cgiar org L abonnement est gratuit pour les pays en d veloppement Les lecteurs sont invit s envoyer lettres et articles La r daction se r serve le droit d abr ger ou de reformuler les textes publi s pour des raisons de clart et de concision INFOMUSA ne peut s engager r pondre toutes les lettres re ues mais s efforcera de le faire dans un d lai raisonnable La reproduction de tout extrait du magazine est autoris e condition d en sp cifier l origine INFOMUSA est galement publi en anglais et en espagnol Changement d adresse Merci d en informer la r daction d INFOMUSA l adresse indiqu e ci dessus avec si possible six s
40. de plantes infect es par Foc Apr s 60 jours les vitroplants qui ne pr sentaient pas de sympt mes de jaunisse ment foliaire ont t r inocul s en injectant la base du pseudotronc 1 ml d une suspension de spores de la m me souche myc lienne Six mois plus tard les vitroplants ne pr sentant pas de sympt mes ont t transplant s dans un champ contamin par l agent pathog ne afin d valuer l incidence de la maladie On a s lec tionn 42 lign es que l on a multipli es in vitro jusqu obtention de 100 individus pour cha cune d elles Sur chaque lign e clonale on a r p t la m thodologie d crite ant rieurement jusqu au stade de la mise en pots Pour la s lec tion en pots et au champ on a appliqu comme crit re de niveau de r sistance la notation sui vante propos e par Hwang 1991 et modifi e par les auteurs Notation Taux Degr d infection de r sistance 1 0 10 Fortement r sistant FR 2 11 20 R sistant R 3 21 30 Moyennement r sistant MR 4 31 40 Moyennement sensible MS 5 41 50 Sensible S 6 50 Fortement sensible FS Parmi les plants en pots class s 3 et moins 60 plantes saines ont t transplant es dans une zone exp rimentale dans un sol ferrali thique rouge typique et dans des conditions d infection naturelle pour l tude de leur com portement du point de vue agronomique et face la maladie Le traitement statistique a consist en une analyse de v
41. dessous de la moyenne Figure 1 Appareillage utilis pour mesurer la r sistance des bananiers la chute des doigts Le deuxi me meilleur diplo de en termes de r sistance la chute des doigts tait l accession Khai nai on accession ex aequo avec l hybride 4223 0 Le diam tre moyen des doigts de Khai nai on et la longueur et le diam tre moyens de ses p dicelles taient au dessus de la moyenne mais la longueur moyenne de ses doigts tait en dessous de la moyenne alors que la longueur moyenne des doigts du g notype 4223 06 ainsi que le diam tre moyen de ses doigts et p di celles taient au dessus de la moyenne mais la longueur de ses p dicelles tait en dessous de la moyenne Les seuls g notypes qui avaient des valeurs sup rieures la moyenne pour toutes les carac t ristiques mesur es taient les hybrides 0337 02 et 1318 01 ainsi que les vari t s Raja uter et Pipit En g n ral la r sistance la chute des doigts n tait pas corr l e avec les caract ristiques des doigts I R f rences Cerqueira R C S de O e Silva amp V M Medina 2000 Avalia o da resist ncia ao despenca mento de frutos de bananeira Musa spp por diferentes m todos P 175 in Simposo Brasileiro De Melhoramento De Fruteiras Vi osa Brazil Dadzie B K amp J E Orchard 1997 valuation post r colte des hybrides de bananiers et bana Tableau 1 Caract ristiques des 21 g notyp
42. e par les auteurs Parmi les plants class s jusqu au degr 3 inclus 60 plantes saines ont t transplant es dans des conditions d infection naturelle pour valuer leur comportement du point de vue agronomique et face ala maladie Les pourcentages d infection des 9 plants 0 17 des 5314 plants initiaux d riv s du cul tivar Gros Michel sont pr sent s au tableau 2 Ces plants ont atteint des niveaux d infection inf rieurs 30 huit d entre eux pr sentent le degr 1 de l chelle FR et un seul le degr 2 R Les plantes t moins ont elles atteint des niveaux d infection sup rieurs 40 ce qui confirme le niveau de contamination du sol par l agent pathog ne et la r sistance des plants s lectionn s Ces derni res ann es en utilisant les tech niques d induction de mutations chez le bana nier et le bananier plantain on a obtenu plu sieurs variants r sistants la fusariose Hwang 1991 De Beer et Visser 1995 avec un poids accru du r gime Smith et al 1994 une hau teur r duite de la plante Berm dez 2000 et une floraison pr coce Roux et al 1994 Parmi les plants d riv s du cultivar Gros Michel certains se d marquent par leurs caract ristiques agronomiques sup rieures a celles du t moin tableau 3 IBP 5 61 pr sente un cycle v g tatif plus court 15 mois que la vari t donneuse 17 mois Les autres parametres comme le poids du r gime le nombre de mains et
43. es dans le profil de la glutamate oxaloac tate transaminase GOT La bande Got 2 tait pr sente chez tous les individus figure 4 La bande Got 1 n tait pas active chez les Figure 3 Zymogramme de la variation isoenzymatique de PO et SKDH pour les g notypes tudi s migration vers l anode Colonne 1 traitement sans sel colonne 2 traitement avec 50 mol m de NaCl et colonne 3 traitement avec 100 molim de NaCl SKDH ANODE PO 14 PO 13 ANODE CATHODE Po4 PO3 1 2 3 1 2 1 2 3 1 CATHODE 1 2 Sd Q PACOVAN NANIC O CAIPIRA FHIA CALCUTTA 4 PACOVAN NANICAO 1 2 3 1 2 a 2 2 CAIPIRA FHIA CALCUTTA 4 16 INFOMUSA Vol 11 N 2 Figure 4 Zymogramme de la variation enzymatique de MDH GOT et ACP pour les g notypes tudi s migration vers l anode Colonne 1 traitement sans sel colonne 2 traitement avec 50 molim de NaCl et colonne 3 traitement avec 100 mol m de NaCl Anode Anode MHR mm mm eee MH ee GOT 2 mm m m l m o o m m a e MDH 1 nu ee ee en et GOT mee _ 0 0 Cathode 12 3 1 2 3 1_2 12 3 4 2 3 1 2 28 4 3 4 2 39 1 2 PACOVAN NANICAO CAIPIRA FHIA CALCUTTA 4 ia PACOVAN NANICAO CAIPIRA FHIA CALCUTTA 4 Anode Cathode O ACP 2 CP 5
44. hauteur issu d une plante ayant fleuri r cemment pas plus de huit jours Araya et al 1995 Araya et Chaves 1997 Les pr l vements ont t extraits l aide d une pelle rectangulaire 13cm de large x 50 cm de long 25 cm de la base de la plante d un trou de 13 cm de large sur 13 cm de long et 30 cm de profondeur orient face au rejet successeur Araya et al 1995 Cabrales 1995 Le sol et les racines ont t plac s dans des sacs en plas tique tiquet s et transport s pour analyse au laboratoire de phytopathologie de l Universit de Caldas Les racines ont t lav es l eau potable pen dant 3 min essor es et les racines fonction nelles vivantes s par es des non fonction nelles n cros es et ou mortes Apr s avoir pes 25 g de racines fonctionnelles sur une balance Analytical Plus Ohaus mod le AP210S celles ci ont t coup es transversale ment en morceaux de 1 cm avec une paire de ciseaux et m lang es Araya et al 1995 L extraction des n matodes s est faite par mixage centrifugation et flottaison dans une solution sucr e Casta o Zapata et al 1997 Araya et al 1995 Les racines ont t plac es dans un b cher et recouvertes d eau potable jusqu 1000 ml puis malax es pendant environ 30 s sur un mixeur Osterizer mod le 565 15 en augmentant progressivement la vitesse Le liquide obtenu a t tamis sur trois tamis superpos s n 35 100 et 400 pores de 0 5 0 150 e
45. maladie a t valu e l aide de la modification de Gauhl de l chelle de Stover Gauhl 1989 Les param tres sui vants ont galement t calcul s nombre total de feuilles fonctionnelles plus jeune feuille ray e plus jeune feuille tachet e et indice d infect tion Cet indice a t obtenu en addition nant les r sultats de la multiplication du nombre de feuilles pour chaque degr de l chelle de Stover modifi e par leur degr de l chelle et en divisant cette somme par le nombre total de feuilles valu es sur la plante en question Essai en pots Au moins 30 plantules de chacune des 10 lign es F1 s lectionn es du croisement men tionn pr c demment ont t multipli es in vitro Apr s acclimatation les plantules ont t plac es dans des pots de 1 8 L contenant du sol de bananeraie locale st rilis comme substrat Le sol tait une argile sableuse 54 de sable 39 d argile et 7 de limon avec un pH de 6 2 un contenu en mati re organique de 5 6 et un contenu en bases de 7 2 cmol L de Ca 1 7 cmol L de Mg 0 8 cmol L de K 4 mg L de P 54 mg L de Fe 5 mg L de Cu 1 4 mg L de Zn et 30 mg L de Mn Les plantules ont re u une solu tion nutritive compl te Hoagland et Arnon 1950 tous les 2 3 jours et la m me solution a t pulv ris e quotidiennement sur les feuilles Apr s 3 semaines d adaptation en pots les plan tules de chaque lign e ont t divis es en 2 groupes de 12 ind
46. minimiser son effet toxique sur le m tabo lisme foliaire surtout dans les processus photosynth tiques Boursier et al 1987 Compte tenu que l exc s de sodium dans le milieu provoque une accumulation passive de cet ion dans les racines qui poss dent une capacit limit e accumuler les ions il est probable qu il existe un m canisme d exclu sion du sodium op rant au niveau racinaire pour viter le transport de ce cation jusqu aux parties a riennes Ce m canisme de transport du sodium vers les feuilles et celui de l absorption racinaire paraissent tre r gul s s par ment La difficult maintenir le contr le de la concentration du sodium dans des tissus m taboliquement actifs comme les feuilles par exemple pro Tableau 1 Teneurs en sodium chlorure potassium et calcium dans le pseudotronc l ensemble racines rhizome et le limbe foliaire de cinq g notypes de bananiers apr s 21 jours de traitements comportant du NaCl Pseudotronc Racines rhizome Limbe foliaire NaCl mol m NaCl mol m3 NaCl mol m3 0 50 100 0 50 100 0 50 100 G notypes Nat g kg Na g kg Na g kg Caipira 1 6bA 10 4abA 15 4aA 2 9aA 8 8aA 12 9aA 3 5aB 5 1bAB 6 5cA Pacovan 2 1aB 9 2abA 10 8bA 4 6aA 10 0aA 15 4aA 3 2aB 5 3bA 6 3cA Calcutta 4 1 6aC 7 9bB 13 8aA 2 9aB 9 2aAB 15 4aA 3 8aC 18 1aB 28 0aA FHIA 18 0 8aB 6 7bA 7 9bA 2 9aA 8 8aA 11 7aA 3 4aB 5 5bA 5 8cA Nanicao 1 7aB
47. n avons compt que les pousses d une longueur d au moins 5 mm Si le seuil avait t de 10 mm le nombre de pousses dans le syst me de culture conventionnel aurait t plus bas Le syst me d immersion permanente a produit de plus grandes pousses mais en nombre inf rieur Le syst me d immer sion permanente est aussi plus simple et facile installer que le syst me d immer sion temporaire mais il induit des niveaux de vitrification lev s et la crois sance m rist matique du rhizome qui ne sont pas favorables la micropropagation Vuylsteke 1989 Pour la culture de tissus de bananier l objectif est de produire un nombre maxi mum de pousses d une taille suffisante pour tre enracin es Pour cet objectif parmi les syst mes exp riment s le syst me d immer sion temporaire a donn les meilleurs r sul tats globaux r sultat qui est en accord avec des tudes pr c dentes Daquinta et al 2000 Lemos et al 2000 Remerciements Nous remercions le Dr Maritza Escalona du Centro de Bioplantas Ciego de Avila Cuba pour ses conseils et son assistance technique lors de l installation des bior acteurs ll R f rences Akita M T Shigeoka Y Koizumi amp M Kawamura 1994 Mass propagation of shoots of Stevia rebau diana using a large scale bioreactor Plant Cell Reports 13 180 183 Alvard D F Cote amp C Teisson 1993 Comparison of methods of liquid medium culture for banana micro propagatio
48. neutraliser ces particules en suspension qui se rassemblent alors sous forme de flocons qui tombent au fond de la cuve flot laminaire La solution compos e de r actifs naturels biod gradables dissout et coagule le latex qui se d tache alors de la zone de coupe des mains et se transforme en flocons qui sont limin s de l eau Cette m thode permet d liminer le milieu de culture des champignons et des bac t ries qui provoquent la pourriture de la cou ronne et les taches r sultant de l adh sion du latex sur la peau du fruit L utilisation du coagulant r duit galement consid rablement le volume d eau n cessaire au lavage des fruits rendant possible l utilisa tion d eau potable L utilisation d une eau de meilleure qualit am liore la qualit du fruit diminue les risque de maladies apr s r colte am liore l hygi ne dans les stations d embal lage et entra ne des conomies substantielles au moment du processus d emballage Le coa gulant peut tre appliqu par aspersion ou goutte goutte temp rature ambiante direc tement dans la cuve de d pattage Cinq minutes suffisent pour s parer le latex du fruit Les mains peuvent alors tre plac es sur les pla teaux de transport o on applique une solution coagulante et cicatrisante sur les surfaces de coupe Pour en savoir plus contacter Ariatne Avila Valdes Courrier lectronique ariathneavila hotmail com Distribution de la maladie du sang en
49. pour le Programa de Agronomia Facultad de Ciencias Agropecuarias Universidad de Caldas et Jairo Castaho Zapata est Professeur titulaire au Departamento de Fitotecnia Facultad de Ciencias Agropecuarias Universidad de Caldas A A 275 Manizales Caldas Colombie E mail fitotec cumanday ucaldas edu co Culture de tissus Systemes d immersion Comparaison des syst mes d immersion temporaire et permanente pour la culture in vitro du bananier K Matsumoto et A Kaizer C Brand o es plantules issues de micropropaga tion sont de plus en plus utilis es pour la culture commerciale des bananiers parce que le mat riel de plantation est sain facile manipuler et qu il rend possible la synchronisation de la r colte Cependant les techniques de micropropagation exis tantes qui utilisent les m rist mes et bour geons de bananier Cronauer et Krikorian 1984 Gupta 1986 Wong 1986 Vuylsteke 1989 sont exigeantes en main d uvre et n cessitent des surfaces de laboratoire importantes En cons quence le co t de production des plantules micropropag es est tr s lev ce qui rend les petits plan teurs r ticents a utiliser ces plantes sup rieures Le co t de production peut tre r duit en ayant recours la culture in vitro grande chelle en utilisant des bior acteurs Divers types de bior acteurs ont t adapt s pour la micropropagation des plantes Levin et al 1988 Akita et al 1994 Lim et al 1998
50. premi re lettre du nom mais non la seconde partie s il en existe une et d viter autant que possible les variantes locales ou les traductions comme Gran enano la place de Grande naine L utilisation de noms vernaculaires pour d crire les diff rentes parties des bananiers devrait galement tre vit e L INIBAP a produit une petite brochure Descripteurs pour le bananier qui peut tre consult e Elle est disponible sur le site web de l INIBAP tout comme le th saurus qui est galement trilingue Nous esp rons que vous appr cierez le nouvel INFOMUSA que nous pr parons pour vous et que vous continuerez envoyer les articles qui sont sa raison d tre N h sitez pas nous crire une analyse comme une courte lettre Nous sommes toujours curieux de voir ce que vous pensez et ferons de notre mieux pour publier vos opinions et de le faire dans les d lais Vous avez s rement observ un certain d calage entre la date indiqu e sur la couverture d INFOMUSA et la date laquelle vous le recevez Nous vous pr sentons nos excuses pour notre retard et pour les fois o nous avons tard informer les auteurs du devenir de leurs articles ou d autres sujets Nous esp rons l avenir tre en mesure de mieux r pondre vos besoins et vos demandes et de ne plus vous faire attendre Les diteurs INFOMUSA Vol 11 N 2 Etude comparative des variabilit s produites par induction de mutations ou par
51. puisque la taille des feuilles varie au cours du d veloppement L objectif de cette tude tait d estimer une seconde constante K pour obtenir une meilleure estimation de la surface foliaire totale d une plante Mat riel et m thodes Vingt cing plants de bananier comprenant 15 Robusta AAA 5 Rasthali AAB et 5 Karpooravalli ABB ont t pr lev s diff rents stades de d veloppement trois mois apr s la plantation cing mois apr s la planta tion et ala production des rejets Le nombre de feuilles a t compt et la surface foliaire esti m e en utilisant la formule S L x La x K o S surface foliaire estim e L longueur de la feuille La largeur de la feuille et K 0 8 La surface estim e de la troisi me feuille a t multipli e par le nombre de feuilles pour obte nir la surface foliaire totale estim e La surface foliaire exacte de chaque plant a t mesur e au moyen d un appareil de mesure de la surface foliaire LICOR mod le 3001 avec tapis roulant Une valeur individuelle K pour chaque plant a t obtenue en divisant la surface totale r elle par la surface totale estim e La moyenne de toutes les valeurs individuelles de K a t cal cul e pour obtenir la valeur de 0 662 pour la constante K Cette valeur a t utilis e pour calculer la surface foliaire totale attendue qui a ensuite t compar e la surface foliaire totale r elle Un test t a
52. puits et l ablation de mains diminution de la taille du puits I est apparu que le nombre de cellules des fruits est un facteur d terminant de la varia bilit pond rale au sein du r gime En revanche la vitesse de remplissage des cel lules est identique pour tous les fruits du r gime et d termin e par le rapport source puits Une relation de type Michaelis Mente permet de relier la vitesse de remplis sage moyenne des cellules d un r gime au rapport source puits moyen pendant la p riode de remplissage Dans un troisi me temps ces connais sances ont t int gr es dans un mod le de r partition des assimilats au sein du r gime qui simule le poids des fruits et des r gimes la r colte Une relation permettant de calculer la DVV des fruits en fonction de leur ge exprim en somme de temp rature a t adjointe au mod le lui conf rant ainsi une valeur pr dictive de la qualit de la r colte Le mod le construit pr sente un double int r t cognitif et pr dictif II permet d abord de comprendre et de simuler le fonctionnement de la plante selon des connaissances histologiques nou velles et des r gles valid es de r parti tion des assimilats constitue ensuite un outil pertinent de diagnostic du ren dement et d aide la d cision dans le choix de certaines interventions cul turales telles que le gainage des r gimes et l ablation des mains ainsi que pour la d termination de dates de r
53. que deux d entre eux exis tent d j dans des collections de mat riel g n tique Parmi ces 21 accessions 10 sont tr s probablement des diploides nouvellement acquis qui pourraient potentiellement avoir un grand int r t pour l am lioration g n tique des bananiers d altitude d Afrique de l Est De plus un nouveau groupe de bananiers triploides AAA a t identifi et nomm Ilalyi par l quipe de collecte Aucun diplo de sauvage produisant des semences n a t trouv et les chances que de tels diplo des existent sont aujourd hui consid r es comme faibles Toutes les accessions col lect es ont t plant es dans une collection en champ sur la station de recherche horticole de Tengeru Arusha en Tanzanie o elles seront caract ris es Ce rapport fournit les d tails concernant toutes les accessions collect es au cours de la mission II fournit en plus des clarifications sur la nomenclature synonymie des cultivars dans cette zone et une image d ensemble est propo s e sur la fa on dont les bananiers des hautes terres ont pu tre g n r s Ce rapport en anglais uniquement est disponible sur demande au si ge de l INIBAP Vous pouvez galement le t l d charger partir de http inibap org publications Tanzania pdf Nouvelles de l INIBAP Troisi me Symposium international sur la biologie mol culaire et cellulaire du bananier Le troisi me symposium international sur la biologie mol cula
54. qui a t con u pour tre employ avec des plantes ayant des g nomes de tailles comprises entre 0 5 X 10 6 X 10 pb a t utilis sous licence par Keygene N V La digestion de restriction a t effec tu e en utilisant 2 5 U des enzymes de res triction EcoR et Msel pour 500 ng d ADN comme d crit dans le manuel d instruction d analyse AFLP syst me L valuation de l efficacit de la digestion a t r alis e comme recommand par Scott et al 1998 La ligation des adaptateurs d oligonucl o tides adaptateurs d EcoR et Msel a t r alis e en suivant le manuel d analyse AFLP syst me et les adaptateurs utilis s tableau 1 taient ceux d crits par Vos et al 1995 pour les enzymes de restriction EcoR et Msel et ils n taient pas phospho ryl s L amplification par PCR r action en cha ne par polym rase pr s lective des s quences cibles de l ADN a t r alis e comme d crit par Vos et al 1995 dans un thermocycleur PerKin Elmer Model 2400 en utilisant deux amorces de pr amplifica tion sans nucl otides s lectifs 1 EcoR 1 0 5 GACTGCGTACCAATTC 3 et 2 Msel 0 5 GATGAGTCCTGAGTAA 3 L amplification s lective par PCR a t r alis e en utilisant des amorces deux oli gonucl otides l une correspondant des terminaisons d EcoR et l autre des termi naisons de Msel chacune avec trois nucl o tides s lectifs EcoR 1 3 et Msel 3 Quatr
55. ressource se trouvaient Suzanne Sharrock scien tifique responsable de la conservation du mat riel g n tique a l INIBAP et Luigi Guarino un expert du logiciel DIVA J aine Reyes a jou le r le d animateur pendant les sessions en atelier Les repr sentants des pays ont pr sent un tat des lieux de l industrie banani re et des activit s de recherche et d veloppement Un expos sur l utilisation du syst me d informa tion g ographique DIVA a galement t pr sent Ces pr sentations ont t suivies d un atelier dont les objectifs taient d identifier des th mes de collaborations en fonction des forces contraintes et opportunit s offertes par les syst mes de recherche agricole nationaux et d tablir les priorit s de la r gion Asie Pacifique pour les 3 5 prochaines ann es Les priorit s identifi es ont t 1 la gestion durable des cultures 2 la gestion et l change d informations 3 la gestion le d veloppement et l utilisation de la diversit g n tique 4 le d veloppement des ressources humaines 5 le syst me de gestion des fili res et 6 la vulgari sation Les membres ont de nouveau fait part de leur int r t a participer aux diff rents pro grammes activit s de l INIBAP tels que l IMTP le MGIS ainsi que le d veloppement et l change d informations Les participants ont soulign l importance des programmes de l INIBAP qui soutiennent les priorit s de BAP NET
56. souche d Agrobacterium At650 pLiGh l Institut de Biotechnologie de l Universit de Colombie pour son assistance technique le Dr Rony Swennen KULeuven pour sa collabora tion dans la mise en culture des SCE dans son laboratoire et l Instituto Colombiano para el Desarrollo de la Ciencia y la Tecnologia COLCIENCIAS pour le financement de ce projet W R f rences Castle L amp R Morris 1994 Transient Expression Assays using GUS constructs and fluorometric detection for analysis of T DNA transfer Pp 1 16 in Plant Molecular Biology Manual B5 Klower Academic Publishers Belgique Delmotte F D Delay J Cizeau B Guerin amp J Leple 1991 Agrobacterium vir inducing activities of gly cosylated acetosyringone acetovanillone syrin galdehyde and syringic acid derivatives Phytochemistry 30 3549 3552 Dhed a D F Dumortier B Panis D Vuylsteke amp E De Langhe 1991 Plant regeneration in cell sus pension cultures of the cooking banana cv Bluggoe Musa spp ABB group Fruits 46 125 135 Escalant J amp C Teisson 1989 Somatic embryogene sis and plant from inmature zygotic embryos of species Musa balbisiana and Musa acuminata Plant Cell Reports 7 665 668 Ganapathi T R 2001 Agrobacterium mediated transformation of embriogenic cell suspensions of the banana cultivar Rasthali AAB Plant Cell Reports 20 157 162 12 INFOMUSA Vol 11 N 2 Gelvin S amp C Liu 1994 Genetic mani
57. transf rer ensuite ce carac t re aux vari t s commerciales et aux hybrides en cours de d veloppement Mat riel et m thodes Les r gimes de 21 g notypes tableau 1 ont t r colt s quand les fruits du premier r gime montraient des signes de m rissement Cinq doigts de chacune des cinq premi res mains ont t d tach s du p dicelle Les fruits ont t plac s sur une table pour permettre la s ve de s couler puis ils ont t immerg s dans une solution d Etephon 2 mg l pendant 5 min pour permettre une maturation uniforme IIs ont ensuite t acclimat s dans une chambre de r frig ration 21 C et 95 d humidit relative En se basant sur la m thodologie propos e par Silva et al 1999 les caract ristiques sui vantes ont t analys es nombre de doigts par main production de graines et de pollen lon gueur et diam tre des doigts et du p dicelle La r sistance la chute des doigts exprim e en kgf a t estim e en utilisant la m thodologie propos e par Cerqueira et al 2000 Le d ta cheur m canique d velopp l Embrapa manioc et fruits tropicaux est compos d un 22 INFOMUSA Vol 11 N 2 p n trom tre mont sur un chassis en bois dans lequel le p dicelle est ins r et maintenu par une attache coupl e a un train de traction figure 1 Lorsque la banane est tir e l attache entra ne le train et presse sur un piston La pression sur le p n trom
58. tre cesse quand le p dicelle se rompt La force au moment de la rupture est not e en regardant la jauge du p n trom tre Le sch ma exp rimental tait randomis avec 19 r plications par traitement pour mesurer la r sistance la chute des doigts 25 r plications par traitement pour les caract ristiques des doigts et 5 r plications par traitement pour va luer la production de graines et de pollen ainsi que le nombre de doigts Le test de Scott et Knott a t utilis pour comparer les moyennes R sultats et discussion En g n ral les hybrides avaient plus de doigts que les autres g notypes tableau 1 du fait que le proc d de s lection utilis pour obtenir de nouveaux hybrides limine ceux pr sentant un petit nombre de doigts Silva et al 1997 Tous les g notypes produisaient du pollen bien qu en faible quantit alors que les hybrides avaient tendance produire plus de semences que les vari t s rendant ainsi possible l utilisa tion de ces g notypes dans les programmes d am lioration Seul un hybride et quatre vari t s ne produisaient pas de semences La r sistance la chute des doigts variait de 0 26 4 65 kgf tableau 2 L hybride TH03 01 montrait la r sistance la plus lev e a la chute des doigts et tait en seconde position pour la longueur des doigts tableau 2 Cependant le diam tre moyen de ses doigts et la longueur et le diam tre moyens de ses p dicelles taient en
59. water uptake Advances in Agronomy 38 95 155 J ung G A 1978 Crop tolerance to suboptimal land conditions ASA Madison Wisconsin Kasperbauer M J 1990 Shoot root relationships and bioregulation Pp 217 231 in Rhizopheric dyna mics Box J E Jr and L H Hammond eds Westview Press Boulder Colorado Klepper B 1992 Development and growth of crop root system Advances in Soil Science 19 1 25 Maurya P R amp R Lal 1979 Effect of bulk density and soil moisture on radicle elongation of some tropical crops Pp 339 397 in Soil physical pro perties and crop production in the tropics Lal R and DJ Greenland eds Wiley New York McIntyre B D P R Speijer S J Riha amp F Kizito 2000 Effects of mulching on biomass nutrients and soil water in banana inoculated with nematodes Agronomy J ournal 92 1081 1085 McMichael B L 1990 Root shoot relationship in cot ton Pp 232 251 in Rhizopheric dynamics Box J E Jr and L H Hammond eds Westview Press Boulder Colorado Tableau 2 Carr s moyens et diff rences significatives pour diff rentes caract ristiques Newman E I 1966 A method for estimating the total ength of root in a sample J ournal of Applied Ecology 3 139 145 Nweke F J E Njoku amp F Wilson 1988 Production and imitations of plantain Musa spp cv AAB produc tion in compound gardens in southeastern Nigeria Fruits 43 161 166 Obiefuna J C amp T 0 C Ndubizu 1979
60. 0 d 0 88 b 7 5 d 00 0 c BP 5 B 17 0 343 3 bc 59 20 bcd 7 05 9 0 ab 20 5 a BP 12 17 0 336 0 bc 59 95 bcd 16 82 a 8 6 abc 114 0 ab Gros Michel 17 0 359 0 abc 67 60 a 6 92 a 8 9 ab 03 5 bc EE 3 76 0 85 0 41 0 13 1 50 Les moyennes affect es de lettres diff rentes dans une m me colonne diff rent selon Duncan ou Dunnett pour p lt 0 05 INFOMUSA Vol 11 N 2 Transformation g n tique Transformation g n tique via Agrobacterium tumefaciens de suspensions cellulaires embryog niques du bananier plantain Dominico harton Musa AAB Simmonds C R Pineda N Toro Perea J Narvaez M L Orozco A Laignelet et H Cardenas qu es par divers virus bact ries et champignons Ceux ci sont contr l s par des pratiques culturales et des fumiga tions intensives de produits chimiques qui polluent le milieu ambiant et nuisent la sant humaine tout en augmentant les co ts de production Le recours aux m thodes tra ditionnelles d am lioration n a pas donn les r sultats esp r s en raison du peu de connaissances sur la biodiversit et la g n tique des agents pathog nes ainsi qu en rai son des probl mes soulev s par la triplo die les faibles niveaux de fertilit et le long cycle vital du bananier Le g nie g n tique appara t donc comme une fa on de d pas ser ces limitations gr ce aux possibilit s qu il offre d introduire des changements g n tiques sp cifiques en peu de temps S
61. 001 et contient des photographies des sympt mes D autres descriptions de virus sont dispo nibles sur les sites web Description of Plant Viruses Online http www dpweb net et Plant Viruses Onlinehttp image fs uidaho edu vide Nouvelle m thode d limination du latex au cours du lavage des bananes Afin d am liorer le syst me de lavage des bananes au cours du processus d emballage un facteur important prendre en compte est l action sur la qualit du fruit de la r sine contenue dans le fruit vert qui s coule au moment de la coupe du r gime Cette r sine naturelle appel e latex provoque des effets n gatifs sur la production et la qualit du fruit pour deux raisons principales 1 Le latex non soluble dans l eau adh re la surface des fruits et les tache 2 C est un milieu de culture pour les bact ries et les champignons qui provoquent la pourri ture de la couronne et d autres maladies li es sa mauvaise limination On utilise aujourd hui une grande quantit d eau pour liminer autant que faire se peut le latex de la peau et de la couronne du fruit Les r sultats d une tude approfondie mon trent que l utilisation au cours du lavage d un dissolvant et d un coagulant permet d annuler les effets du latex et le s parer de l eau En effet quand le latex est m lang un solvant orga nique il se d stabilise et lib re les particules de polym re Un agent coagulant peut alors attirer et
62. 13 B 58 219ab 27 75bcd 44 50cde 0 004 C 163 086a 26 25abcd 61 42g 0 0001 D 90 724ab 19 08ab 30 83abc 0 0001 E 77 215ab 38 83d 45 75de NS F 119 535a 22 50abc 42 42cde 0 0001 G 59 912ab 12 50a 23 50ab 0 019 H 70 813a 38 50d 47 17ef NS l 2 159c 25 25abcd 35 83bcde NS J 114 385ca 36 42cd 60 08fg 0 007 P 0 0001 0 0002 0 0001 Chaque valeur est la moyenne de 12 observations qui ont t transform es par log10 x 1 pour l analyse statistique Les valeurs suivies par la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes P lt 0 05 selon le test de Waller Duncan Probabilit de la diff rence statistique pour le poids des racines entre des plantes avec et sans inoculation avec R similis NS non significatif Essai en pots Dans l essai en pots le nombre de R similis par 100 g de racines variait significativement P 0 0001 parmi certaines des lign es F 1 tableau 2 Le nombre de n matodes dans les plantes de la lign e tait significativement plus bas que celui des lign es C F H et particuli rement J ce qui indique une s gr gation mais en l absence de donn es sur les parents la s gr gation quant la r sistance susceptibilit ne peut pas tre confirm e Le parent m le Pisang Berlin n est g n ra lement pas connu pour poss der de la r sis tance R similis bien que Fogain et al 1996 aient trouv cette vari t moins susceptible que French sombre Musa AAB II existe
63. 5 voque des perturbations physiologiques et biochimiques Boursier et Lauchli 1990 Botella et al 1997 Le chlorure est l ion qui s est le plus accu mul dans les tissus v g taux Calcutta 4 a pr sent la concentration la plus lev e de chlorure dans le limbe foliaire la concen tration de 100 mol m de NaCl Dans les m mes conditions Pacovan et FHIA 18 ont maintenu les niveaux de chlorure les plus bas dans le limbe tableau 1 La com partimentation ionique au niveau de l organe est un m canisme de tol rance au stress salin bien que son fondement physio logique n ait pas t encore compl tement lucid Shanon et Noble 1995 Les ions peuvent s accumuler dans les feuilles en fonction de la quantit d eau transpir e Cependant quand la concentration ionique dans les feuilles exc de le niveau de tol rance de la plante il se produit des d g ts caract ristiques sur les feuilles comme des n croses et des br lures Ayers et Westcot 1999 Les sympt mes du stress salin sur le limbe foliaire ont t plus s v res chez Calcutta 4 que chez les autres g notypes tudi s et ont coincid de surcroit avec les concentrations de Na et de CI les plus lev es En ce qui concerne les teneurs en K Calcutta 4 a pr sent une r duction signifi cative de ce cation dans la partie a rienne limbe foliaire et pseudotronc en relation avec l augmentation de la salinit tableau
64. 6 0016 courrier lectronique parrfioffice pacific net ph 50 port a rien Asie 16 Pacifique et Moyen Orient 20 Europe et Am rique du Nord 22 Afrique et Am rique latine 23 50 airmail postage Asia 16 Pacific and Middle East 20 Europe and North America 22 Africa and Latin America 23 54 INFOMUSA Vol 11 N 2 Les adresses de l INIBAP Si ge Parc Scientifique Agropolis I 34397 Montpellier Cedex 5 FRANCE E mail inibap cgiar org http www inibap org Directeur Dr Emile FRISON E mail e frison cgiar org Responsable de l am lioration g n tique Dr J ean Vincent ESCALANT E mail j escalant cgiar org Responsable des ressources g n tiques Melle Suzanne SHARROCK E mail s sharrock cgiar org Responsable de l Information et de la Communication Melle Claudine PICQ E mail c picq cgiar org Responsable du MGIS Melle Elizabeth ARNAUD E mail e arnaud cgiar org Responsable Financier Mr Thomas THORNTON E mail t thornton cgiar org Bureau R gional pour l Am rique latine et les Cara bes Coordinateur R gional Dr Franklin E ROSALES Expert associ transfert de technologies Luis POCASANGRE C o CATIE Apdo 60 7170 Turrialba COSTA RICA Tel Fax 506 556 2431 E mail inibap catie ac cr Bureau R gional pour l Asie et le Pacifique Coordinateur R gional Dr Agustin MOLINA C o IRRI Collaborators Center 3 Floor Los
65. 7 Cependant des pertes allant jusqu 80 ont t observ es Sarah 1989 cit par Marin 1997 Chez les Musac es on compte 146 esp ces de n matodes parasites ou associ s au genre Musa r parties en 43 genres Les phyton ma todes les plus d vastateurs et les plus largement r pandus sont les endoparasites migrateurs Radopholus similis et Pratylenchus coffeae ainsi que le semi endoparasite Hdicotylenchus multicinctus Araya 1995 A un degr moindre on rencontre des esp ces du n ma tode endoparasite s dentaire Meloi dogyneet le n Colombie les bananiers plantain semi endoparasite s dentaire Rotylenchus reniformis Gowen et Qu n herv 1990 Araya 1995 R similis n matode foreur est d une importance conomique de premier plan dans la majorit des r gions o sont cultiv s es bananes et les bananes plantain Les sympt mes apparaissent au niveau des racines sous forme de l sions de 10 cm de ong rouge tres au d but puis virant au noir Au fur et mesure que la taille de la l sion augmente et que des cavit s se forment sur corce le tissu vasculaire est de plus en plus expos l invasion secondaire par des micro organismes pouvant entra ner la mort de la racine en amont de la l sion Des infec tions s v res n crosent le rhizome d o le terme t te noire forg par Ashby 1915 cit par Roman 1978 Par cons quent le cycle v g tatif s allonge la taille de la plante dimi nue
66. 7 6 263 277 De Waele D amp R Davide 1998 Nematodos nodula dores de las ra ces del banano Meloi dogyne i nco gnita Kofoid y White 1919 Chitwood 1949 y Meloidogyne javanica Treub 1885 Chitwood 1949 Plagas de Musa Hoja divulgativa No 3 4pp Figueroa M 1990 Din micas poblacionales de cua tro g neros de nematodos par sitos en pl tano Musa AAB subgrupo pl tano cv Currare ASBANA 14 33 5 7 Gowen S amp P Qu n herv 1990 Nematodes of bana nas plantains and abaca Pp 431 460 in Plant Parasitic Nematodes in Subtropical and Tropical Agriculture M Luc R Sikora and J Bridge eds CAB International London Grisales Lopez F amp T Lescot 1999 Encuesta dia gn stico multifactorial sobre pl tano en la zona cafetera central de Colombia una vision analitica de la realidad agron mica del cultivo del pl tano en la zona central B cheretin T cnico FNCC No 18 66pp Luc M D Hunt amp J Machon 1990 Morphology ana tomy and biology of plant parasitic nematodes a Figure 2 R gion de la t te et de la queue d individus femelles des esp ces et genres identifi s a Radopholus similis 6 Pratylenchus coffeae c Helicotylenchus multicinctus d t te et femelle enti re de Meloidogyne spp INFOMUSA Vol 11 N 2 Synopsis Pp 1 44 in Plant Parasitic Nematodes in Subtropical and Tropical Agriculture M Luc R Sikora and J Bridge eds CAB International London M
67. 878 6 699 0 671 16 474 0 225 1 365 9 5 1 669 25 041 5 897 0 635 16 582 0 685 4 131 10 4 0 990 13 866 9 152 0 660 9 182 0 030 0 321 11 3 0 966 12 563 8 156 0 649 8 319 0 163 1 960 12 2 0 841 10 090 6 584 0 653 6 681 0 097 1 455 13 2 0 875 10 502 6 845 0 652 6 955 0 110 1 574 14 2 1 131 13 574 8 951 0 659 8 989 0 038 0 420 15 4 0 287 4 017 2 825 0 703 2 660 0 166 6 226 16 3 0 446 5 795 4 003 0 691 3 838 0 165 4 294 17 3 0 469 6 101 4 124 0 676 4 040 0 084 2 067 18 3 0 579 7 532 5 213 0 692 4 988 0 225 4 515 19 4 0 348 4 869 3 254 0 668 3 224 0 030 0 922 20 4 0 584 8 172 5 269 0 645 5 411 0 143 2 633 21 5 0 422 6 330 4 256 0 672 4 192 0 065 1 541 22 3 0 509 6 620 4 622 0 698 4 384 0 238 5 430 23 4 0 389 5 445 3 626 0 666 3 605 0 020 0 565 24 3 0 421 5 476 3 626 0 662 3 626 0 000 0 004 25 4 0 401 5 615 3 689 0 657 3 718 0 029 0 791 Moy 14 04 0 99 14 29 9 357 0 662 9 378 0 107 0 005 Test t 0 950 r 0 986 0 999 0 999 0 536 0 999 0 533 0 536 Statistiquement significatif au seuil de 0 05 Statistiquement significatif au seuil de 0 01 42 INFOMUSA Vol 11 N 2 en utilisant la m thode de Murray et d addition ner toutes les valeurs mais cette op ration est laborieuse et prend du temps A la place de nombreux chercheurs mesurent seulement la surface de la troisi me feuille en utilisant la m thode de Murray et multiplient le r sultat par le nombre total de feuilles mais ce n est pas satisfaisant
68. 9 Courriel lougarcia uclv edu cu INFOMUSA Vol 11 N 2 Etude de variants exp rimentalement induits de Manzano AAB et Gros Michel AAA dans le but de s lectionner ceux qui sont r sistants a la fusariose Berm dez L Herrera I P Orellana N Veitia C Romero J Clavelo L Garcia M Acosta L Garcia R et Y Padr n sement provoqu par la fusariose aussi appel e maladie de Panama et dont l agent causal est Fusarium oxysporum f sp cubense E F Smith Foc proviennent de Cuba de Puerto Rico et de amaique D apr s Stover 1962 la maladie tait pr dominante chez le cultivar Manzano sous groupe Silk et Gros Michel a Cuba Depuis lors ces deux cul tivars ont subi en permanence des attaques qui ont abouti a leur totale disparition du march Avec la maladie de Sigatoka ou cercosporiose jaune la fusariose a caus l effondrement de l industrie banani re Cuba dans les ann es 40 Batlle et P rez 1999 C est pourquoi ces der ni res ann es la recherche de diff rentes sources de r sistance cette maladie d vasta trice s est intensifi e La combinaison des techniques d am liora tion par mutations et de la culture in vitro a rendu l induction et la s lection de mutations somatiques plus efficaces La culture in vitro a t utilis e comme syst me d induction de mutations chez plusieurs g notypes de Musa pr sentant diff rents niveaux de ploidie et
69. 96 Modern methods of root investigation Pp 193 237 in Plant roots The hid den half 2 ed Y Waisel A Eshel and V Kafkafi eds Marcel Dekker New York Champion J amp D Sioussaram 1970 L enracinement du bananier dans les conditions de la station de Neufch teau Guadeloupe Fruits 25 847 859 Delvaux B amp Ph Guyot 1989 Caract risation de l enracinement du bananier au champ Incidences sur les relations sol plante dans les bananeraies Tableau 1 Propri t s chimiques et physiques de la couche arable du sol dans les deux champs exp rimentaux au moment de la plantation Labour Non labour Profondeur cm 0 15 15 30 0 15 15 30 Sable 80 76 79 73 Limon 6 4 Fj 5 Argile 14 20 14 22 PH H 0 1 1 4 20 4 20 4 00 4 30 C org 1 38 0 87 1 09 0 80 N Kjel 0 116 0 079 0 105 0 065 Rapport C N 12 11 10 12 Bray I P ppm 60 40 47 70 60 10 62 Ech Ca cmol kg 0 90 0 40 0 20 0 20 Ech Mg cmol kg 0 40 0 10 0 20 0 10 Ech K cmol kg 0 10 0 03 0 10 0 10 Ech Na cmol kg 0 10 0 10 0 40 0 50 Ech Mn cmol kg 0 01 0 0 02 0 01 Ech Acide cmol kg 3 00 3 00 2 70 3 00 Ech Al cmol kg 2 00 2 00 2 00 1 70 CEEC cmol kg 4 50 3 60 2 50 2 80 intensives de la Martinique Fruits 44 12 633 641 FAO ISRIC ISSS 1998 World Reference Base for Soil Resources World Soil Resources Reports No 84 FAO Rome Italy 88pp Hamblin A 1985 The influence of soil structure on water movement crop growth and
70. 996 ASPNET Book Series No 6
71. ACP 4 ACP 3 mm ACP 1 eee 1 2 3 1 2 3 1 2 3 1 PACOVAN NANICAO CAIPIRA FHIA 18 lors du traitement sans sel pas plus que chez FHIA 18 et Calcutta 4 sou mis aux concentrations de 100 mol m de NaCl Le faible degr de polymorphisme pr sent par ce syst me ne permet pas de sp culer sur sa relation avec le stress salin Le profil de phosphatase acide ACP a pr sent cing bandes La plus anodine Acp 5 a t observ e chez tous les individus analys s figure 4 Les bandes Acp 4 et Acp 3 ont t observ es uniquement chez Pacovan non soumis au stress salin Pour ce traitement Pacovan n a pas pr sent de bande Acp 2 observ e chez tous les autres individus ni Acp 1 qui n a pas t observ e non plus chez FHIA 18 soumis la concentration de 100 mol m de NaCl Ce syst me isoenzyma tique peut tre utilis comme marqueur mol culaire pour Pacovan puisqu en pr sence de sel 50 et 100 mol m3 deux bandes n ont pas t observ es Acp 3 et Acp 4 et que le sel a activ l expression des bandes Acp 1 et Acp 2 Pour les g notypes du groupe A Nanicdo Caipira et Calcutta 4 on a observ le m me sch ma de bandes ind pendamment de la pr sence ou de l absence de sel En consid rant qu on a valu des g no types de diff rents niveaux de plo die diploides triplo des et t traploides l absence d identification d u
72. CC ibp 1 de M fijiensis dont la culture a permis de pr parer un inoculum de 10 ufc ml m lang de la g latine a 1 appliqu au pinceau sur le mat riel v g tal sur la face inf rieure des trois premi res feuilles d velopp es On a galement utilis des fragments de feuilles pr sentant un stade 6 d infection d apr s l chelle de Four 1982 r colt s dans des conditions naturelles coup s en morceaux de 4x4 cm et plac s au pied de chaque vitroplant comme point de d part d infection On a respect les conditions d incubation en maintenant une humidit relative de 95 100 pendant les 72 premi res heures A partir du quatri me jour l humidit relative diurne est S v rit des sympt mes Sympt mes Niveau de r sistance Pr dominance de feuilles saines Hautement 1 Pr dominance de feuilles pr sentant de petites l sions punctiformes de couleur rouge tre r sistant 2 Pr dominance de feuilles pr sentant des taches aux contours irr guliers ou r guliers de coloration rouge tre sur la face inf rieure des feuilles Partiellement 3 Pr dominance de feuilles pr sentant des taches r sistant aux contours irr guliers ou r guliers de couleur brun rouge tre sur la face sup rieure des feuilles 4 Pr dominance de feuilles pr sentant des taches noires elliptiques ou arrondies des bordures chlorotiques un halo aqueux et des secteurs verts Susceptible
73. E a t remplac par la suspen sion d Agrobacterium de la concentration d sir e 108 ou 10 cellules ml L infection s est d roul e 25 20C 140 r min dans l obscurit pendant 1 4 8 12 16 20 ou 24 heures Apr s infection on a lav les SCE avec du milieu MS pour retirer l exc dent de bact ries Durant les trois jours suivants de co culture l obscurit on a utilis du milieu MS liquide avec la moiti de la concentration 5 uM de 2 4 D et 1 uM de z a tine au pH 5 8 Sagi et al 1995 et conte nant 50 100 200 ou 400 uM d AS On a rem plac ensuite ce milieu par un milieu similaire sans AS contenant 250 g l de cefo taxime et 20 mg l d hygromycine Evaluation transitoire de l activit GUS L analyse de la coloration histochimique GUS s est faite en suivant la m thode de Jefferson et al 1987 Le tissu a t fix dans une solution de formald hyde 0 27 MES 0 01 mM et du manitol 5 46 mis sous vide et apr s trois lavages dans une solution de phosphate de sodium 50 mM pH 5 0 mis incuber toute une nuit 37 C dans du tam pon phosphate de sodium 50 mM pH 7 0 contenant 1 mM de 5 bromo 4 chloro 3 indo INFOMUSA Vol 11 N 2 lyl b D glucuronide X Gluc GibcoBRL Apr s incubation le tissu SCE a t d co lor l hypochlorite de sodium 2 5 avant d tre observ au st r omicroscope La pr sence d agr gats cellulaires pr sentant une activit GUS tac
74. FAO IAEA UCR Centro de Investigaciones Agron micas Universidad de Costa Rica 56pp Orellana P P 1994 Tecnolog a para la micropropagaci n in vitro de clones de Musa spp Tesis en opci n del Grado Cient fico de Doctor en Ciencias Agr colas Instituto de Biotecnolog a de Las Plantas Cuba 120pp P rez J P 1998a Mutag nesis in vitro Pp 299 311 in Propagaci n y mejora gen tica de plantas por biotec nologia P J P rez ed Editora GEO P rez J P 1998b Variaci n somaclonal Pp 105 121 in Propagaci n y mejora gen tica de plantas por biotec nologia P J P rez ed Editora GEO Schum A amp W Preil 1998 Induced mutations in orna mental plants Pp 333 367 in Somaclonal variation and induced mutations in crop improvement M S Jain D S Brar and B S Ahloowalia eds Kluwer Academic Publishers London Vuylsteke D R 2001 Strategies for utilization of genetic variation in plantain improvement Thesis submitted for the posthumous award of degree of Doctor of Philosophy PhD in the Faculty of Agricultural and Applied Biological Sciences Katholieke Universiteit Leuven 213pp Vuylsteke D R amp R Ortiz 1996 Field performance of conventional vs in vitro propagules of plantain Musa spp AAB group HortScience 31 862 865 Les auteurs travaillent l Instituto de Biotecnologia de las Plantas Universidad Central de las Villas Carretera a Camajuan km 5 Santa Clara Cuba Fax 53 42 28132
75. Fu r UO NIU OA La Revue I nternationale sur Bananiers et Plantains Vol 11 N 2 D cembre 2002 DANS CE NUMERO Variabilit s produites par induction de mutations ou par culture de tissus Etude de variants exp rimentalement induits dans le but de s lectionner ceux qui sont r sistants a la fusariose Transformation g n tique via Agrobacterium tumefaciens de suspensions cellulaires embryog niques G notypes de bananiers soumis au stress salin tol rance et sensibilit J D Dwarf un cultivar sup rieur de Cavendish Evidences de populations s gr geantes en ce qui a trait a la r sistance la maladie des raies noires et aux n matodes R sistance a la chute des doigts chez les g notypes diploides Classification et caract risation de Musella splendida sp nov Etude de la diversit des bananiers des hautes terres d Afrique de l Est Identification des n matodes phytopathog nes en Colombie Comparaison des syst mes d immersion temporaire et permanente Effet de la densit brute du sol sur le d veloppement racinaire et global de six vari t s de bananier Utilisation d inocula de Mycosphaerella fijiensis Morelet afin d valuer le comportement de deux cultivars Un nouveau facteur pour estimer la surface foliaire totale chez le bananier Caract ristiques apr s r colte de bananes Rasthali cultiv es sous diff rents films de poly thyl ne Th ses Nouvelles des Musa Nouvelles
76. INIBAP Pour obtenir un exemplaire de ce CD ROM maintenant ins r dans un nouvel tui haut en couleur adressez vous au si ge de l INIBAP Evaluation globale de la r sistance des bananiers la fusariose aux maladies foliaires caus es par les Mycosphaerella spp et aux n matodes valuation approfondie Guides techniques INIBAP N 6 Jean Carlier Dirk De Waele et Jean Vincent Escalant en collaboration avec les groupes de travail de PROMUSA sur la fusariose les cercosporioses et les n matodes Edit par Anne V zina et Claudine Picq ISBN 2 910810 53 4 inibap Ce guide technique remplace les guides tech niques 1 et 3 Evaluation du mat riel g n tique de Musa pour la r sistance aux n ma todes et Evaluation dela r sistance des bana niers aux cercosporioses et la fusariose en ce qui concerne les valuations approfondies Le guide technique pour l valuation des perfor mances qui faisait galement partie du guide technique 3 sera publi prochainement Ces changements ont t effectu s pour prendre en compte l apparition d une troisi me maladie caus e par un champignon de type Mycosphaerella eumusae leaf spot disease pour simplifier les guides techniques et pour regrouper dans un m me ouvrage les protocoles d valuation pour les principaux ravageurs et maladies qui affectent les bananiers Ce guide technique a t r dig avec la colla boration des groupes de travail de PRO
77. Indon sie En Indon sie la maladie du sang caus e par la bact rie Pseudomonas celebensis est la mala die num ro un qui attaque les bananiers La maladie est apparue d abord dans les les Selayar Sulawesi du Sud en 1907 Depuis la bact rie s est r pandue dans presque toutes les r gions de production banani re d Indon sie figure 1 L homme semble en grande partie responsable de cette diss mination entre r gions La maladie s est tendue Djakarta et la partie occidentale de J ava avant d autres pro vinces de l le probablement cause du trans port des fruits vers la capitale Des observations similaires ont t faites dans la province de Maluku Peu de temps apr s que l le de Seram le la plus proche de la capitale provinciale ait t infect e l le d Ambon o se situe la capitale a t touch e mais pas l le voisine de Buru A Solok l ouest de Sumatra la mala die a vit le district d Alahan Panjang se r pandant du district de Sungai Pagu une zone infect e d o les marchands collectent les fruits jusqu au district de Gunung Talang pr c demment exempt de la maladie o les fruits sont class s et tri s avant d tre transport s Djakarta tant donn qu en Indon sie presque toutes les bananes sont produites dans des jar dins familiaux les r gles de quarantaine sont difficiles faire appliquer De plus l apparence normale des plants et des fruits
78. L V P rez 1999 Groupes de compatibilit p F v g tative des populations de Fusarium oxysporum PPRA A PR Schlecht f sp cubense E F Smith Snyd et Hans ake 9S a j pr sentes Cuba INF OMUSA 8 1 22 23 is P 3 Berm dez 2000 Variaci n somaclonal e inducci n de BP 13 B 14 j v A g anzano 48 0 S mutaciones P 80 in Monograf a del curso en aplica i 5 jas Gros Michel 43 0 S ciones de la biotecnolog a en la mejora gen tica de ER Fortenent escent las plantas y la producci n de semillas Santa Cruz R R sistant Bolivia S Sensible De Beer Z amp AA Visser 1995 Mutation breeding of banana in South Africa Pp 243 247 in The improve ment and testing of Musa a global partnership D R J ones ed INIBAP Montpellier France Hwan S C 1991 Somaclonal resistance in Cavendish banana to Fusarium wilt Plant Prot Bull Taiwan 33 124 132 Hwang S C amp W H Ko 1988 In vitro somaclonal varia tion in banana and its application for screening for resistance to fusarial wilt Technical Bulletin Food and Fertilizer Technology Center for the Asian and Pacific Region Taiwan 107 1 9 Orellana P P J N P rez D P Agramonte R K Gomez amp E G J im nez 1991 La micropropagaci n del platano a escala comercial en Cuba ACEVIC Bolet n Cient fico 3 3 29 38 Roux N R Afza H Brunner R Morpurgo amp M van Duren 1994 Complementary approaches to cross breeding and mutation bree
79. MUSA sur la fusariose les cercosporioses et les n ma todes ainsi que du personnel de l INIBAP avec l objectif d aider les chercheurs concevoir un dispositif exp rimental choisir un site exp ri mental appropri et valuer la r sistance et la tol rance aux maladies des g notypes s lection n s Des mod les de fiches d observation sont fournis afin d aider les chercheurs dans la col lecte de donn es L INIBAP souhaite remercier tous les cher cheurs qui ont apport leur contribution ce guide technique Ce guide technique est galement disponible en anglais et en espagnol Notes de lecture The wild and cultivated bananas of the Philippines Ramon V Valmayor Ren Rafael C Espino et Orlando C Pascua 2002 Philippine Agriculture and Resources Research Foundation Inc PARRFI ISBN 971 92540 1 7 Par Michael G Price Plus des deux tiers de cet ouvrage couverture rigide sont consacr s 87 cultivars des Philippines Chaque entr e comprend une liste des caract ristiques morphologiques et horti coles ainsi qu un dessin de la plante enti re avec le d tail de la base des feuilles le bour geon floral les bract es et le r gime Cette vue d ensemble sur les donn es et les images est tr s pratique y galement des chapitres sur les sch mas pr c dents et actuels de classification des bananiers la nomenclature et la g n tique qui se concentrent sur les Philippines sans toute fois s y limite
80. Meloidogyne spp n matode galle sur les racines de bananiers et de bananiers plantain partout o on les cultive De Waele et Davide 1998 Figueroa 1990 Les premiers sympt mes se manifestent par des gonflements et des galles sur les racines primaires et un moindre degr sur les racines secondaires et tertiaires provoquant l apparition de sympt mes secondaires comme le jaunissement des parties a riennes de la plante des feuilles plus troites l arr t de la croissance et une dimi nution de la production allant jusqu 57 Ces n matodes infectent un large ventail d h tes particuli rement chez les dicotyl dones plantes que l on rencontre souvent dans les zones o sont cultiv es les Musac es De Waele et Davide 1998 Le bananier plantain cv Dominico harton appartient au groupe Musa AAB sous groupe des bananiers plantain de type Horn Dans d autre pays latino am ricains on le conna t sous le nom de Macho x Hembra Maricongo ou Bastard C est un mat riel assez instable qui selon l altitude de culture manifeste les effets de l interac tion g notype milieu sur le plan de la physio logie de la plante et du r gime II est sen sible aR similis et est consid r comme un mat riel interm diaire entre les cv Dominico et Harton Belalc zar 1991 Le cultivar Africa est une s lection du clone africain Mbouroukou de type Hart n qui s ada
81. Musa AAB Simmonds et Africa et chez les hybrides FHIA 20 et FHIA 21 en Colombie 33 Comparaison des syst mes d immersion temporaire et permanente pour la culture in vitro du bananier ss 36 Effet de la densit brute du sol sur le d veloppement racinaire et global de plants de six vari t s de bananier ccccceeeeeceeeesteeeeeeeees 38 Utilisation de diff rents inocula de Mycosphaerella fijiensis Morelet en conditions de serre afin d valuer le comportement de deux cultivars de DANG MOM sss an den ee 41 Un nouveau facteur pour estimer la surface foliaire totale chez le Dananier iris him iehnaiennai ida Sd ee es 42 Caract ristiques apr s r colte de bananes Rasthali cultiv es sous diff rents films de poly thyl ne 43 TABSES ne hr ete Mavens i Tiersen ave E T E 45 Nouvelles de Musa fer teen nana eaaa even ce ayevs vedseueshetalectiuaeanteebe feck 49 Nouvelles d INIBAP aristis inner nance 50 Livres G C sand beeen A E diet nine 54 Notes de TECHS aiiin iea iaaea Ea adaa aaa ccbatsdacteaedbadbdsaceuasesenads 54 INFOMUSA La Revue Internationale sur Bananiers ct Plantains Val dot Dandee TT DANS CE NUMERO INFOMUSA fait peau neuve our la premi re fois depuis sa cr ation INFOMUSA change de format en r ponse au nombre croissant de manuscrits que nous recevons chaque ann e A partir du prochain num ro la mise en page sera diff rente pour contenir un plus grand no
82. Ps Pp 231 235 in Biotechnology Enhancing research on tropical crops in Africa G Thottappilly L M Monti D R Mohan Raj amp A W Moore eds CTA Wageningen The Netherlands Jarret R L amp N Gawel 1995 Molecular markers genetic diversity and systematics in Musa Pp 66 83 in Bananas and Plantains S Gowen ed Chapman amp Hall London Jones C J KJ Edwards S Castaglione M O Winfield F Sala C Van de Wiel B Voseman M Matthes A Daly R Brettschneider E Maestri R Marmiroli R Aert G Volckaert amp A Karp 1998 Reproducibility testing of AFLPs by a network of European laboratories Pp 191 193 in Molecular tools for screening Biodiversity K Angela P G Isaac amp D S Ingram eds Chapman amp Hall London Figure 1 Ph nogramme de 115 accessions de bananiers des hautes terres d Afrique de l Est originaires d Ouganda produit en utilisant la distance g n tique de Nei sur des donn es AFLP L chelle au dessus du ph nogramme se r f re la distance g n tique de Nei et les nombres dans le ph nogramme sont les valeurs de bootstrap Les codes la base du ph nogramme se r f rent aux accessions tudi es qui sont pr sent es au tableau 1 Q w niningexen Q qw PJeN T UI eANNJN O ejeyesnw Karamura D A 1998 Numerical taxonomic studies of the East African Highland bananas Musa AAA East Africa in Uganda PhD Thesis University of Reading UK K
83. a de bananiers plantain produisent 1 650 000 tonnes par an soit l quivalent de 67 de la production nationale Rodriguez et Rodriguez 2001 R similis repr sente une grande menace pour les exploitations d autant plus qu il s agit d un facteur favorisant l entr e d autres agents pathog nes comme les champignons les bact ries et les virus C est pourquoi il est indispen sable de recenser ses populations et de com mencer pratiquer la lutte int gr e dans les plantations commerciales I R f rences Araya M 1995 Efecto depresivo de ataques de Radopholussimilis en banano Musa AAA COR BANA 20 43 3 5 Araya M M Centeno amp W Carrillo 1995 Densidad poblacional y frecuencia de los nematodos parasi tos de banano Musa AAA en nueve cantones de Costa Rica CORBANA 20 43 6 11 Araya M amp A Chaves 1997 S lection d un type de plante pour l chantillonnage des n matodes des bananiers Musa AAA INFOMUSA 7 1 23 26 Arcila M amp F Torres 1998 Aspectos sobre fisiolog a y manejo poscosecha del pl tano en la regi n cafe tera central Influencia de las condiciones ambientales sobre las propiedades f sicas y quimi cas del fruto Pp 247 259 in Memorias Seminario Internacional sobre Producci n de Pl tano Universidad del Quind o Comite Departamental de Cafeteros del Quind o SENA Inibap Corpoica Belalc zar C S 1991 Aspectos agron micos in El Cultivo del Pl tano Musa AAB Simmonds en el
84. a et au Bangladesh Suite la Phase I1 du Programme international d valuation des Musa IMTP Il le D partement d agriculture du Sri Lanka a iden tifi deux vari t s de bananiers prometteuses Figure 1 Distribution de la maladie du sang en Indon sie INFOMUSA Vol 11 N 2 49 dans la collection de mat riel g n tique qui a t transf r e au gouvernement du Sri Lanka en 1999 Grace aux efforts du Dr Sujatha Weerasinghe du Horticultural Research and Development Institute les vari t s SH 3640 et FHIA 03 ont t recommand es au Comit d homologation des vari t s apr s une s rie d valuations en champ dans plusieurs sites Ces accessions ont re u les noms locaux respectifs de Kandula et Pulathesi FHIA 03 a galement t homologu e pour la culture au Bangladesh apr s une s rie d valua tions au champ FHIA 03 s est av r e tol rante la fusariose et pr sente un potentiel de pro duction plus lev que les cultivars locaux de bananiers plantain Micropropagation des vari t s Nendran et Poovan par culture d apex de la hampe florale Nendran et Poovan sont des cultivars AAB qui produisent un faible nombre de rejets ce qui limite la disponibilit en rejets provenant de clones lite et rend n cessaire le recours aux techniques de micropropaga tion in vitro La culture d apex donnant de mauvais r sultats les chercheurs du St
85. agi et al 1994 existe une grande vari t de m thodes de transformation des cellules v g tales L infection par un vecteur naturel comme Agrobacterium tumefaciens est la plus pro metteuse pour le moment surpassant de loin la biolistique ou autres techniques de transfert direct de g nes Elle s en distingue par sa simplicit son efficacit de transfor mation la possibilit de transf rer des seg ments relativement longs d ADN aux extr mit s bien d finies et l int gration d un faible nombre de copies dans le chromosome v g tal Gelvin et Liu 1994 Komari et al 1996 La m thodologie de transformation par Agrobacterium a t employ e avec suc c s aussi bien chez les dicotyl dones que chez les monocotyl dones On l a utilis e entre autres pour le riz le mais le manioc et le bananier Ganapathi 2001 Sagi et al 2000 La transformation g n tique via Agrobacterium a galement t d crite pour des tissus m rist matiques de Musa spp var Grande naine May et al 1995 Ce travail value l efficacit de transfor mation par tumefaciens de suspensions cellulaires embryog niques SCE du bana nier plantain Dominico hart n AAB sur la base de l expression transitoire du g ne L es cultures de Musa spp sont atta de la R glucuronidase GUS en fonction de trois facteurs 1 la concentration d Agrobacterium 2 la concentration d ac tosyringone AS et 3 le temps d infecti
86. al et des r sultats INFOMUSA 8 1 3 10 Pasberg Gauhl C F Gauhl amp D R J ones 2000 Distribution and economic importance of Black Leaf Streak Pp 37 44 in Diseases of banana abac and enset D Jones ed CAB International Wallingford UK Pattison A B J M Stanton amp J A Cobon 2000 Bioassay for enhanced biodegradation of nemato cides in soil Australasian Plant Pathology 29 52 58 Price N S amp C G McLaren 1996 Techniques for field screening for Musa germplasm Pp 87 107 in New frontiers in resistance breeding for nematode Fusarium and Sigatoka Frison E A Horry J P and De Waele D eds Proceedings of the Workshop held in Kuala Lumpur Malaysia 2 5 October 1995 INIBAP IPGRI Montpellier France Speijer P R E Boonen D Vuylsteke R L Swennen amp D De Waele 1999 Nematode reproduction and damage to Musa sword suckers and sword sucker derived plants Nematropica 29 193 203 Speijer P R amp D De Waele 1997 Evaluation du mat riel g n tique de Musa pour la r sistance aux n matodes Guides techniques INIBAP No 1 INIBAP Montpellier France 42pp Viaene N L F Duran J M Rivera J Due as P Rowe amp D De Waele In press Responses of banana and plantain cultivars lines and hybrids to the burrowing nematode Radopholus similis Nematology Thomas Moens travaille CORBANA l INIBAP et au VVOB Jorge Arturo Sandoval a CORBANA Jean Vincent Escalant a l INIBAP et D
87. analyse n a pas plac les bananes bi re dans un groupe distinct mais les a m lang s avec les types cuire Elle a mis les bananes bi re comme des versions des bananes cuire diff rant un ou plusieurs locus i responsables de la production d une s ve astringente synth se de tannins et d anthocyanes La reproduction v g tative obligatoire des bananiers les a conduits garder les carac t ristiques de leurs anc tres quand ceux ci ont t introduits dans la r gion Simmonds 1966 Des mutations somatiques coupl es la s lection faite par l homme ont conduit aux niveaux de diversit g n tique tr s bas observ s Selon Karamura 1998 l impor tante diversit des caract ristiques phy siques des climats et des environnements sociaux de l Afrique de l Est ont jou un r le significatif dans la diversification des diff rents clones est possible que la fr quence lev e de translocations et de r tro trans posons ainsi que des irr gularit s dans la m iose et la m thylation Lagoda et al 1999 soient responsables de la base g n tique troite observ e chez les bananiers des hautes terres d Afrique de l Est en Ouganda Les faibles niveaux de diversit de l ADN observ s dans cette tude contrastent avec le niveau lev de diversit morphologique pr sent chez les g notypes rapport par Karamura 1998 probablement cause de l influence de l interaction g notype x envi ron
88. ariance de classification simple appel e Oneway Pour d terminer les groupes homog nes et ou significativement diff rents 5 pr s on a utilis la m thode des rangs mul tiples de Duncan avec v rification pr alable d une suppos e homog n it de variance et de normalit des donn es Dans le cas contraire on a appliqu le test non param trique de com paraison des moyennes de Dunnett l aide du programme statistique SPSS PC version 9 00 pour Windows R sultats et discussion Au d part 11 486 vitroplants de chacun des deux cultivars ont t soumis un processus rigoureux de s lection vis vis de l agent patho g ne IIs ont r agi de fa on vari e tant en pots qu au champ au premier comme au second cycle de s lection Apr s avoir t inocul s et r inocul s les 42 lign es s lectionn es au champ ont r pondu de fa on diff rente l attaque fongique r action exprim e par le pourcentage de survie Suite l valuation de 32 lign es s lectionn es et transplant es dans un champ o l infection est naturelle neuf variants ont t identifi s tableau 1 Comme on peut le voir sur ce tableau apr s les diff rents processus d valuation les lign es clonales d riv es du cultivar Manzano ont fini par tre limin es cause de leurs niveaux d infection dont le taux d passait 30 ce qui repr sente le degr 4 de la notation propos e par Hwang 1991 et modifi
89. arin D 1997 Rotaci n de cultivos Una opci n para el manejo de nematodos fitoparasitos en la reno vaci n de plantaciones bananeras CORBANA 22 48 107 111 Merch n V V M 1996 Prevenci n y manejo de la Sigatoka negra B cheretin Informativo Instituto Colombiano Agropecuario ICA Manizales 30pp Montiel C L Sosa C Medrano amp D Romero 1997 Nematodos fitopar sitos en plantaciones de pl tano Musa AAB de la margen izquierda del r o Chana Estado Zulia Venezuela Pp 245 251 in Rev Fac Agron LUZ 14 245 251 Departamento Fitosanitario Facultad de Agronom a Universidad de Zulia Venezuela Rodr guez J L amp A Rodr guez 2001 Aspects socio conomiques de la culture du bananier plantain en Colombie INFOMUSA 10 1 4 9 Rom n J 1978 Fitonematologia tropical Colegio de Ciencias Agr colas Universidad de Puerto Rico 256pp Salazar H amp S Duque 1994 Manejo cultural y qu mico de la pudrici n acuosa del pseudotallo Erwinia chrysantemi pv paradisiaca en Musa sp Fitopatolog a Colombiana 18 1 20 35 Taylor A 1968 Introducci n a la nematologia vegetal aplicada Guia de la FAO para el estudio y com bate de los nematodos par sitos de las plantas 131pp Thorne G 1961 Principles of nematology McGraw Hill Book Company USA 547pp lt www corpoica org co gt 2000 lt www fhia hn banano htm gt 1998 Oscar Adrian Guzman Piedrahita travaille en tant qu ing nieur agronome
90. assium deficiency in maize plants J ournal of Plant Physiology 150 200 205 Boursier P J Lynch A Lauchli amp E Epstein 1987 Chloride partitioning in leaves of salt stressed sorg hum maize wheat and barley Australian J ournal of Plant Physiology 14 463 473 Boursier P amp A Lauchli 1990 Growth response and mineral nutrition relations of salt stressed sorghum Crop Science 30 1226 1233 Espino R amp R Pimentel 1990 Electrophoretic analysis of selected isoenzymes in BB cultivars of Philippine bananas Pp 36 40 in Identification of genetic diver INFOMUSA Vol 11 N 2 17 sity in genus Musa R L Jarret ed INIBAP Montpellier Francia Horry J P 1989 Chimiotaxonomie et organisation g n tique dans le genre Musa Fruits 44 9 455 475 Jarret R amp R Litz 1986 Isozymes and allelic diversity in the genus Musa Plant Genetic Newsletter FAO IBPGR 70 20 23 MalavoltaE G C Vitti amp S A Oliveira 1989 Avalia o do estado nutricional das plantas Piracicaba SP Potafos Moreira R S 1987 Banana teoria e pr tica de cultivo Campinas SP Funda o Cargill Nei M amp W H Li 1979 Mathematical model for studying genetic variation in terms of restriction endonu clease Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America 76 5269 5273 Rawson H M R A Richards amp R Munns 1998 Na exami nation of selection criteria for salt tolerance in w
91. ata logue of Musa germplasm Diversity in the genus Musa E Arnaud amp S Sharrock compil BAP CTA 2001 B Panis amp N T Thinh Cryoconservation de mat riel g n tique de bananier Guides techniques INIBAP 5 J V Escalant et S Sharrock eds BAP IPGRI 2000 Bananas brochure BAP 2000 M Holderness S Sharrock E Frison amp M Kairo eds Organic banana 2000 Towards an organic banana initiative in the Caribbean Report of the internatio nal workshop on the production and marketing of organic bananas by smallholder far mers held in Santo Domingo Dominican Republic 31 October 4 November 1999 BAP 2000 G Orjeda compil Evaluating bananas a global partnership Results of IMTP Phase ll BAP EARTH IDRC 1999 F E Rosales S C Tripon amp J Cerna eds Organic environmentally friendly banana production Proceedings of a workshop held at EARTH Guacimo Costa Rica 27 29 J uly 1998 BAP CRBP CTA CF 1999 C Picq E Four amp E A Frison eds Bananas and Food Security Les productions banani res un enjeu conomique majeur pour la s curit alimentaire Proceedings of an International Symposium held in Douala Cameroon 10 14 November 1998 BAP FHIA 1999 F E Rosales E Arnaud amp J Coto eds A tribute to the work of Paul Allen a catalogue of wild and cultivated bananas BAP RF SDC 1999 E A Frison C S Gold E B Karamura amp R A Sikora eds Mobilizing IPM for sustainable banana production
92. aturel en Chine a r alis que la plante ne pouvait en fait tre classifi e ni chez les Musa ni chez les Ensete et a adapt le nom Musala lasiocarpa un nouveau genre dans la famille des Musaceae Li Hsi wen 1978 Distribution g ographique Musella lasiocarpa a t d crite par Franchet Li Hsiwen 1978 d s 1889 Les p pini res ornementales en Europe occi dentale et aux USA ont exacerb sa beaut sa rusticit et sa r sistance aux basses tem p ratures ainsi que son adaptabilit aux jar dins du fait de sa petite taille Cependant jusqu aujourd hui on trouve principale ment les Musella dans les arboretums et les jardins botaniques usqu a pr sent une seule esp ce a t nomm e dans le genre Elle peut donc tre consid r e comme l esp ce de bananier la plus rare du monde Musella lasiocarpa est indig ne de la pro vince du Yunnan dans la Chine du Sud prin cipalement des altitudes comprises entre 1500 et 2500 m Les botanistes du Yunnan craignent qu elle n ait d j disparu l tat sauvage En effet on ne la trouve actuelle ment que comme plante ornementale dans les jardins ou bien comme plante cultiv e au 24 INFOMUSA Vol 11 N 2 Yunnan et dans les provinces chinoises limi trophes du Guizhou et du Sichuan Le pseu dotronc est donn comme fourrage aux ani maux et les fleurs ont des vertus m dicinales On a r cemment d couvert des Musella poussant dans les for ts de
93. c Publishers Donini P amp A Sonnino 1998 Induced mutation in plant breeding Current status and future outlook Pp 255 291 in Somaclonal variation and induced mutations in crop improvement S M Jain ed Kluwer Academic Publishers London INIBAP 1996 Descripteurs pour le bananier Musa spp IPGRI 55pp Israeli Y O Reuveni amp E Lahav 1991 Qualitative aspects of somaclonal variations in banana propaga ted by in vitro techniques Scientia Horticulturae 48 71 88 Jim nez L M F R Hernandez amp R F Gomez 1994 Nueva versi n de clasificaci n gen tica de los suelos Figure 4 Variations ph notypiques rencontr es au niveau de l inflorescence et du r gime A angle d insertion du p doncule B Changement de coloration du bourgeon m le C Type de rachis bract es persistantes et D Tronqu rachis propre E D formation des doigts et du r gime gauche on peut observer le r gime typique du cv Grande naine de Cuba Instituto Nacional de Suelo MINAGRI Cuba Larkin P J amp Scowcroft 1981 Eye spot disease of sugar cane Plant Physiol 67 408 414 MINAGRI 1992 Instructivo t cnico para la micropropa gaci n del pl tano en biof bricas MINAGRI Cuba MINAGRI 1994 Instructivo t cnico del pl tano MINA GRI Cuba Nichterlein K 2000 Workshop on Mutation and in vitro culture techniques for the improvement of vegetati vely propagated tropical food crops Curso
94. cacit lors de la transformation Le plasmide utilis ici pLIGh poss de le g ne gusA r gul par le promoteur 35S du CaMV II est efficace sur d autres monocotyl dones II a de plus des bordures de type nopaline plus efficaces que les bordures de type octopine chez les monocotyl dones comme le mais Shen et al 1993 La concentration de A tumefaciens la plus efficace 108 cellules ml 15 04 coin cide avec celle utilis e pour le mais Ishida et al 1996 mais diff re d autres rapport es o on a utilis des concentrations allant de 1 D Comp var var totale O N AS T Ag ASxT ASxAg TxAg ASxTxAg Figure 2 Estimation des composants de la variance pour les facteurs concentration d Agrobacterium Ag concentration d ac tosyringone AS temps d infection T et leurs interactions 2x10 cellules ml Shen et al 1993 Ceci pourrait s expliquer par le type de tissu et l esp ce v g tale que l on infecte II est pro bable que le tissu soit plus rapidement infect par une concentration bact rienne sup rieure 10 cellules ml ou peut tre est il plus sensible l infection Ainsi une concentration de 108 cellules ml serait suffi sante pour transf rer l ADN T et n cessaire afin qu il y ait moins de comp tition entre les cellules pour l utilisation des l ments nutritifs du milieu de culture On sait que l AS augmente l efficacit de la transformation aussi bien chez l
95. ce Le 15 novembre le CATIE a rendu hommage aux employ s ayant cumul de nombreuses ann es de service Franklin E Rosales le coor donnateur de MUSALAC et Lissette Vega son assistante administrative ont re u des certifi cats en reconnaissance de leur 5 et 20 ann es de travail respectivement Le bureau r gional de l INIBAP pour l Am rique latine et les Cara bes tient remercier le CATIE d h berger le bureau r gional depuis sa cr ation en 1987 Certificats donn s par le CATIE F E Rosales Coordonnateur de MUSALAC et Lissette Vega son assistante administrative INFOMUSA Vol 11 N 2 53 MusaDoc CD Rom La quatri me dition de MusaDoc CD Rom MusaDoc 2002 est maintenant disponible Les versions actualis es des bases de donn es de l INIBAP MUSALIT qui contient plus de 6700 r f rences sur les Musa accompagn es de r su m s et BRIS la base de donn es sur les cher cheurs travaillant sur le bananier pr s de 900 noms sont interrogeables partir du CDRom Sont galement disponibles dans MusaDoc 2002 toutes les publications r centes telles que les nouvelles fiches techniques sur la diversit et la taxonomie des bananes entre autres le compte rendu d une r union sur le Consortium sur la recherche en g nomique intitul Strategy for the Global Musa Genomics Consortium et le rapport annuel 2001 Le CD Rom pr sente galement un r sum actualis des activit s de l
96. ce de Musella splendida montrant des bract es persistantes jaune vif qui s ouvrent simultan ment formant une magnifique couronne Source L D Danh Vietnam Figure 6 Amas de fruits de Musella splendida group s sous le bourgeon m le Source L D Danh Vietnam persistantes Chaque bract e soutend 2 6 fleurs les fleurs hermaphrodites se trouvent la base de l inflorescence et les fleurs m les au sommet La disposition des fleurs et des fruits est unis ri e Bourgeon male ovoide bract es blanch tres extr mit s allong es l chement attach es au bourgeon Plusieurs bract es s ouvrent en m me temps formant une magni fique couronne sur la plante mature figure 5 R gime tr s compact bract es jaune vif mais marges sup rieures avec une bande rouge figure 6 Fleurs amp fruits T pale compos et lobes des fleurs m les jaunes T pale libre blanc opaque ovale avec extr mit recouvrante Anth res de couleur beige avec filet ros tre filaments cr me Les anth res sont exsertes au m me niveau que le t pale compos Stigmate de la m me couleur que les anth res figure 7 Ovaire opaque avec 3 locules chacun contenant 2 rang es d ovules Fruits ovo des dens ment serr s en rang es simples comptant 2 4 fruits par groupe Vert fonc et pubescents au stade immature tournant au jaune lors du m risse ment Les fruits sont reli s perpendiculaire ment au rachis par un p dicelle
97. ce qui a t d crit pr c demment d montre que l on obtient des taux plus impor tants et de plus larges spectres de variations ph notypiques lorsqu on utilise les radiations gamma sur les bourgeons adventifs On peut alors rencontrer des variations pr sentant un int r t agricole comme des plantes floraison pr coce ou r action diff rentielle face la maladie des raies noires Dans cette population 68 de variations ne s taient pas produites chez les plantes r g n r es partir de bour geons adventices non irradi s L estimation de la variabilit peut donner la mesure des possibi lit s de s lection parmi les populations P rez 1998a Les r sultats obtenus indiquent que ces possibilit s pourraient tre plus lev es au sein de la population issue de bourgeons irradi s que parmi la population issue de culture de tissus Ce qui pourrait influencer ce type de s lection seraient la variabilit du caract re am liorer et la fr quence de mutation du ou des g nes impliqu s dans l expression de ce caract re ce qui imposerait la d termination d un effectif suffisant de population pour r ussir de fa on concluante ce processus I R f rences Ahloowalia B S 1998 In vitrotechniques and mutagene sis for the improvement of vegetatively propagated plants Pp 293 309 in Somaclonal variation and indu ced mutations in crop improvement M S J ain D S Brar and B S Ahloowalia eds Kluwer Academi
98. colte optimales W Propri t s physiques des sols volcaniques de Guadeloupe sous culture banani re effet des pratiques culturales et relations avec l enracinement Th se de doctorat pr sent e la Facult d ing nierie biologique agronomique et environnementale Katholieke Universiteit Leuven Leuven Belgique Marc Dorel de Guadeloupe est situ e sur des sols d riv s de pyroclastes r cents s tageant sur une topos quence de type Andosol Nitisol La pratique d une culture banani re intensive faisant appel une m canisation lourde semble l origine de d gradations importantes de la structure de ces sols pourtant r put s pour leurs propri t s physiques favorables la cul ture Les cons quences de ces d grada tions sur l enracinement et la croissance du bananier ne sont cependant pas clai rement tablies Une valuation de l effet des pratiques culturales sur les propri t s physiques des diff rents sols de la topos quence est n cessaire pour propo ser des syst mes de cultures garantissant le maintien de la fertilit du sol Nous avons tout d abord mis en vi dence une relation entre la porosit et la r tention en eau des sols et leur teneur en allophane et en mati re organique L effet de la m canisation de la culture sur la morphologie du profil cultural la porosit et la conductivit hydraulique du sol a ensuite t tudi e sur des parcelles exp rimentales Celle ci p
99. culture de tissus chez le bananier Musa sp cv Grande naine L R Garcia P J P rez I C Bermudez P P Orellana N R Veitia Y M Padr n et C Q Romero vars de bananiers plantain et de bana niers sont g n ralement triplo des st riles et fruits parth nocarpiques leur am lioration par croisement est extr mement difficile mettre en oeuvre Aussi l utilisation de l am lioration par mutations induites com bin es aux m thodes biotechnologiques a pris de plus en plus d importance pour cette cul ture Donini et Sonnino 1998 Nichterlein 2000 Quand Larkin et Scowcroft 1981 pos rent le principe de la variation somaclonale de grandes expectatives ont vu le jour et de nom breux laboratoires se sont lanc s dans des programmes d am lioration via la culture de tissus Cependant malgr de nombreuses ann es de recherche les r sultats escompt s par le biais de cette technique n ont pas encore t atteints car son efficacit reste faible pour l am lioration de caract res sp ci fiques Vuylsteke 2001 Les syst mes d am lioration o sont utili s es des mutations induites sont fond s sur le fait que les agents mutag nes produisent des changements similaires ceux rencontr s lors de mutations naturelles mais en un laps de temps relativement court et en plus grand nombre Donini et Sonnino 1998 Chez Musa le chim risme provoqu par le traite ment mutag ne de structures pluricel
100. ding for Musa improve ment Pp 213 218 in The improvement and testing of Musa a global partnership D R J ones ed INIBAP Montpellier France Smith M K A H Hamill P W Langdon amp K G Pegg 1994 Mutation Breeding for Banana Improvement in Australia Pp 233 242 in The improvement and tes ting of Musa a global partnership D R J ones ed INIBAP Montpellier France Stover R H 1962 Fusarial wilt Panama disease of bananas and other Musa species Phytopathological Paper 4 CMI 117pp Les auteurs travaillent a l Instituto de Biotecnologia de las Plantas Santa Clara Villa Clara Cuba L Herrera travaille la Facultad de Ciencias Agropecuarias UCLV Santa Clara Villa Clara Cuba Courriel idalbermudez uclv edu cu Tableau 3 Comparaison des caract res agronomiques des variants d riv s du cultivar Gros Michel qui taient r sistants a F oxysporum var cubense Variants Cycle de Hauteur Diam tre Poids du Nombre de Nombre de croissance de la plante du pseudotronc r gime mains par doigts par mois cm cm kg r gime r gime BP 13 A 16 8 332 5 55 10 cd 4 02 ab 7 8 bcd 08 2 abc BP 13 B 16 5 343 4 bc 58 15 bcd 0 42 b 8 5 abc 0 4 abc BP 5 6 17 0 368 5 abc 62 30 abc 11 84 b 8 8 abc 119 6a BP 5 5 18 0 37 6 ab 59 30 bcd 3 57 ab 9 0 ab 3 4 ab BP 5 66 18 0 387 5a 63 40 ab 4 52 ab 93a 7 2 ab BP 5 61 15 0 353 5 abc 54 50 cd 15 89 a 9 0 ab 116 4 ab BP 5 42 155 335 7 bc 53 4
101. ds sec 40 01 alors que Nanicao et Calcutta 4 ont subi des pertes de 58 95 et 69 32 res pectivement Pacovan a maintenu une forte production de biomasse au niveau de sali nit le plus lev 100 mol m ce qui repr sente une des caract ristiques importantes des g notypes tol rants au stress Chez ce g notype le maintien de 60 de la produc tion de biomasse a coincid avec une faible r duction de la surface foliaire par rapport aux autres g notypes Accumulation d ions On n a pas enregistr de diff rences signifi catives entre les g notypes en ce qui concerne la concentration du sodium dans l ensemble racines rhizome tableau 1 Cependant Pacovan et FHIA 18 ont accu mul moins de sodium dans le pseudotronc a la concentration de 100 mol m de NaCl que les autres g notypes tudi s tableau 1 Ces deux cultivars se d tachent galement du lot pour avoir pr sent avec Caipira les concentrations les plus basses en sodium dans le limbe a la concentration saline la plus lev e tableau 1 Calcutta 4 d autre part a accumul plus de sodium dans la feuille que les autres vari t s soit une concentration jusqu huit fois sup rieure au traitement t moin Ces r sultats mon trent une diff rence g n tique quant la facult d exclure le sodium des parties a riennes afin d viter l augmentation de la pr sence de ce cation dans les feuilles et de
102. e nervure centrale et feuille P tiole vert franc sans taches mais avec quelques points rouge tres pourpres pr s des marges Marges des p tioles recourb es vers l int rieur Figure 2 Musella splendida montrant une inflorescence terminale Bourgeon floral ovoide bract es avec une extr mit longue et pointue l chement attach e au bourgeon Source L D Danh Vietnam Figure 3 Musella splendida mature avec des inflorescences lat rales se ramifiant du pseudotronc et des rejets se d veloppant depuis la base des feuilles au niveau du sol Source L D Danh Vietnam et bord es d une bande rouge pourpre Figure 4 Nervure centrale vert clair Feuilles larges elliptiques dress es chez les plantes imma tures mais retombant apr s floraison Couleur des feuilles vert plus sombre que la nervure centrale l g rement terne avec des veines lat rales marqu es Base du limbe foliaire sym trique et pointue apex effil Rapport lon gueur largeur de la feuille gt 3 Inflorescence et r gime Inflorescence termi nale d une longueur inf rieure 30 cm p don cule court et massif rachis obscur compl te ment couvert par des bract es s ch es INFOMUSA Vol 11 N 2 25 Figure 4 Base du limbe foliaire de Musella splendida avec des marges p tiolaires sym triques recourb es vers l int rieur avec une bande rouge sur les c t s Source L D Danh Vietnam Figure 5 Inflorescen
103. e GUS survient au troisi me jour et qu partir de l cette activit dimi nue Cela est peut tre d l action sur les SCE de l antibiotique de s lection que l on a ajout au quatri me jour sugg rant que l expression initiale du g ne gusA tait g n ralement de type transitoire La d tection de l activit GUS au dixi me jour montre la possibilit d obtenir des transformants stables pour diverses raisons 1 l expression transitoire d un g ne est d tect e seulement dans les 4 6 premiers jours suivant la trans formation et dispara t au dixi me jour Castle et Morris 1994 2 partir du qua tri me jour l antibiotique de s lection a agi et l activit GUS est d tect e seulement dans les SCE transform es r sistantes antibiotique Zheng et al 1991 3 la transformation proportionn e par Agro bacterium est un m canisme qui poss de avantage par rapport aux m thodes de transformation directe d introduire beau coup plus probablement de l ADN h t ro ogue au sein du g nome v g tal avec int gration d un faible nombre de copies des g nes introduits Hiei et al 1994 et trans fert de segments d ADN relativement longs aux extr mit s bien d finies et pr sentant peu de recombinaisons Gelvin et Liu 1994 Hiei et al 1994 Pineda et Orozco 1996 Ishida et al 1996 Komari et al 1996 Conclusion La possibilit d obtenir des transformants stables est confirm e par l exp
104. e La Rita Apdo 390 7210 Guapiles COSTA RICA Fax 506 763 30 55 E mail fitonema corbana com Chaque tableau sera accompagn d un titre Illustrations Num rotez les et faites r f rence a ces num ros dans le texte N oubliez pas d indiquer les l gendes Graphiques Merci de fournir avec le graphique les donn es brutes corres pondantes Dessins dans la mesure du possible fournir des originaux Photographies noir et blanc elles doi vent tre tir es sur papier brillant et tr s contrast es Photographies en couleur fournir un tr s bon tirage papier ou des diaposi tives de bonne qualit Note Les auteurs citant dans leur article du mat riel v g tal originaire du Centre de transit de l INIBAP ITC Leuven ou index dans ce centre indiqueront les num ros de code ITC des accessions cit es Merci de suivre ces conseils Cela facilitera et acc l rera le travail d dition INFOMUSA Vol 11 N 2 55 D N N ae ae x Musalogue Duty Qo gun Mons isponibles au Si ge central Montpellier BAP 2002 Networking bananas and plantains Annual Report 2001 IBAP 2002 The Global Musa Genomics Consortium Strategy for the Global Musa Genomics Consortium Report of a meeting held in Arlington USA 17 20 uly 2001 BAP CTA CIRAD 2001 J Daniells C J enny D Karamura amp K Tomekpe Musalogue a c
105. e main s ouvrait et une ventilation de 0 4 a t donn e Stover et Simmonds 1987 Les r gimes t moins n ont pas t recouverts Trois des cinq plantes par traitement ont t mainte nues s par ment pour enregistrer le nombre de jours jusqu la maturit Les r gimes recouverts ont t r colt s quand l angula rit des fruits tait pr te dispara tre Les mains des r gimes ont t s par es afin d viter les d g ts pendant le transport Les mains ont t amen es au laboratoire et gar d es temp rature ambiante pour observa tion La deuxi me main a t utilis e pour l analyse de la qualit Dadzie et Orchard 1997 Les caract ristiques des fruits la qua lit les d g ts m caniques et les d g ts dus aux thrips ont t analys s statistiquement en utilisant un plan en blocs randomis s R sultats et discussion Les r sultats montrent que les films ont r duit les d g ts dus aux thrips taches de rouille en emp chant les thrips d atteindre les fleurs tableau 1 Ces r sultats sont en accord avec ceux de Bhaktavatsalam et al 1968 Hinz et al 1999 et J ager et Daneel 1997 La for mation de grumeaux durs tait pratique ment absente sur les fruits cultiv s sous un film transparent tableau 1 Ceci est attri bu l augmentation de la temp rature cau s e par l emballage en poly thyl ne puisque les temp ratures plus lev es augmentent la conversion d amidon en s
106. e paires d amorces s lectives ont t utilis es EcoRI 3 E1 5 GACTGCGTACCAATTCaac 3 E2 5 GACTGCGTACCAATT Cacc 3 E3 5 GACTGCGTACCAATTCact 3 E4 5 GACTGCGTACCAATT Cagc 3 Msel 3 M15 ATGAGTCCTGAGTAActt 3 M2 5 GATGAGTCCTGAGTAAcaa 3 M3 5 GATGAGTCCTGAGTAActg 3 M4 5 GATGAGTCCTGAGTAAcag 3 L une des amorces de chaque paire EcoR 1 3 amorce tait marqu e radioactivement avec 2000 Ci mmol de g33P ATP Amersham Pharmacia Biotech en utili sant une T4 Polynucl otide Kinase pour phosphoryler l extr mit 5 en utilisant le protocole du manuel d instructions pour l analyse AFLP syst me Les produits d amplification pr s lective par PCR ont t dilu s 100 fois avec du tampon 1XTE 10 mM Tris HCl pH 8 0 0 1 mM EDTA acide thyl nediaminet trachloroac tique pour tre utilis s pour l amplifica tion s lective par PCR et la r action com 28 INFOMUSA Vol 11 N 2 prenait 36 cycles dans un iCycler BIORAD selon Vos et al 1995 Apr s la PCR s lective les produits de la r action ont t m lang s avec des volumes gaux 20 ml de colorant de liaison au for mamide 98 de formamide 10 mM d EDTA pH 8 0 0 1 de bromoph nol et 0 1 de cya nol FF de xyl ne comme colorants traceurs Les m langes r sultants ont t chauff s pendant 4 minutes a 95 C puis rapidement refroidis sur de la glace Quatre microlitres de chaque chantillon ont t charg s sur d
107. ecouverts ont perdu plus de poids apr s la r colte que les t moins tableau 2 ce qui est probablement une cons quence du passage d un environne ment avec une humidit plus lev e un Figure 1 Fruits cultiv s sous un film de poly thyl ne transparent haute densit environnement humidit moins lev e Parmar et Chundawat 1984 au contraire ont enregistr une perte de poids plus faible chez les fruits recou verts En ce qui concerne la qualit les fruits recouverts sauf pour ceux sous des films non transparents avaient plus de solides solubles totaux que les t moins proba blement parce que la temp rature plus lev e sous le film favorisait la conversion d amidon en sucres Parmar et Chundawat 1984 ont galement rap port des r sultats similaires La r duc tion du contenu en solides solubles totaux dans les fruits cultiv s sous des films non transparents pourrait tre due la teneur en eau plus lev e de ces fruits et la pr sence de bosses dures absence de conversion de l amidon en sucres Le rapport sucre acide des fruits recouverts tait galement plus lev que celui des fruits t moins Bien que les films soient efficaces pour pr venir les d g ts caus s par les thrips leur utilisation augmente les co ts de pro duction Parmi les films en poly thyl ne uti lis s le poly thyl ne blanc transparent haute densit tait le moins on reux suivi par le poly
108. el de l eau du sol ou du substrat cons quence son tour de la concentration lev e en sel II y a parall lement l adap tation la salinit un co t m tabolique d au d tournement d une partie de l nergie destin e la compartimentation des ions et la synth se des solut s organiques Binzel et al 1985 En ce qui concerne le traite ment avec 100 mol m de NaCl la plus forte r duction de la surface foliaire s est produite chez FHIA 18 51 34 suivie par Calcutta 4 49 64 et Nanicdo 45 70 alors que les r ductions ont t seulement de 25 14 et de 28 91 chez Caipira et Pacovan res pectivement figure 1 Dans le cas de Caipira la r duction coincide avec une sur face foliaire d ja petite chez les plantes t moins sans NaCl Des sympt mes de stress tels que la chlo rose et la n crose de la marge du limbe foliaire se sont manifest s plus s v rement chez le diplo de Calcutta 4 allant jusqu la mort des feuilles Ces sympt mes ont r duit la surface active pour la photosynth se et provoqu une r duction marqu e de la crois sance En conditions non salines Nanic o et Pacovan avaient les poids secs les plus le v s 50 76g et 49 80g par plante respective ment comme on peut le voir sur la figure 2 De plus au niveau le plus lev de salinit 100 mol m de NaCl Pacovan a pr sent la plus faible r duction du poi
109. elques unes des variations ph notypiques rencontr es au niveau de la coloration des plantes issues de bourgeons adventifs A B Changement de coloration du bord du p tiole C Taches abondantes de couleur brun tre sur les p tioles et les pseudotroncs Figure 3 Quelques unes des variations ph notypiques rencontr es au niveau de la hauteur des plantes r g n r es partir de bourgeons adventifs irradi s A Plante naine B Gr le Parmi les variations ph notypiques rencon tr es chez les plants obtenus sans traitement mutag ne pr dominent les variations portant sur la diminution de la hauteur des plantes 80 2 du total alors que le taux de variations portant sur la coloration des plantes n est que de 0 9 Figure 1 Au sein de cette population on a relev d autres sortes de variations portant entre autres sur le port foliaire rig la finesse du pseudotronc le type Valery les change ments au niveau de l inflorescence et du r gime variations repr sentant respectivement 0 6 0 6 13 8 et 3 8 du total des variations ph notypiques observ es Tableau 1 Fr quence d apparition des variations ph notypiques chez les populations du cv Grande naine ayant subi ou non le traitement mutag ne radiations gamma Fr quence Variation ph notypique Population avec traitement mutag ne Population sans traitement mutag ne Diminution de la hauteur Coriaces Changement de coloratio
110. emaines de pr avis afin d viter toute interruption de r ception de la revue Les opinions mises dans les articles n engagent que leurs auteurs et ne refl tent pas n cessairement le point de vue de l INIBAP La mission de l INIBAP est d accro tre de fa on durable la productivit des bananiers et des bananiers plantain cultiv s sur de petites exploitations pour la consommation locale et pour les march s d exportation Le programme de l INIBAP a quatre objectifs principaux organiser et coordonner un effort global de recherche sur la banane et la banane plantain visant au d veloppement l valuation et la diss mination de mat riel g n tique de Musa am lior ainsi qu la conservation et l utilisation de la diversit g n tique des Musa promouvoir et renforcer la collaboration et le partenariat en mati re de recherche sur les bananiers au niveau national r gional et international renforcer la capacit des Syst mes nationaux de recherche agricole conduire des recherches sur la banane et la banane plantain coordonner faciliter et appuyer la production la collecte et l change d information et de documentation sur la banane et la banane plantain L INIBAP est un programme de l institut international pour les ressources phytog n tiques IPGRI un centre Future Harvest INFOMUSA Vol 11 N 2 SOMMAIRE Editorial ini aN tintin dine wii anna 3 Etude comparative des variabilit s produit
111. ement salin contr le de la salinit On a employ un sys t me d irrigation au goutte goutte avec arrosage journalier de 15 min pour garantir un apport de 0 6 L de liquide par plante et par jour La solution d arrosage contenait 742 86 mg l de fertilisant soluble Kristalon compos de 3 de N de 11 de P 0 de 38 de K O de 4 de MgO de 11 de S et d oli go l ments On a fourni galement 840 mg l de nitrate de calcium Barco Viking comprenant 15 5 de N et 19 de Ca Ona tabli trois types de traitements en faisant varier les concentrations du NaCl additionn la solution nutritive 0 50 et 100 mol mi La conductivit lectrique des solutions a t respectivement de 0 3 6 5 et 11 7 dS m Le niveau de conductivit lectrique a t mesur tous les deux jours et ajust si n ces saire L exp rimentation a respect un disposi tif compl tement randomis avec trois niveaux de salinit et cing cultivars 2 x 3 x 5 soit au total 30 sous parcelles Chaque sous parcelle portait 4 plantes de chaque g no type soient 120 plantes en tout Les donn es ont t analys es statistiquement gr ce l analyse de variance La comparaison des moyennes a t faite par le test de Tukey 5 de probabilit On a valu les para m tres suivants la surface foliaire la pro duction de mati re s che et la concentra tion de sodium Na de potassium K de calcium Ca2 et de chlorure
112. en sous sous groupes Musakala que l analyse non enracin e des donn es classifiait comme le groupe le plus distinct comprenait quatre sous sous groupes et tait s par des autres sous groupes par une distance g n tique de Nei de 0 72 figure 2 Karamura 1998 a gale ment rapport que Musakala tait le groupe le plus distinct et a indiqu que ses acces sions pr sentaient des caract ristiques uniques avec des r gimes et des doigts g ants souples et longs Les r sultats ont galement montr que Nfuuka tait reli de mani re tr s troite Nakitembe et Nakabululu comme cela a d j t rapport par Karamura 1998 Bien que Karamura 1998 ait rapport que Nfuuka tait le groupe le plus h t rog ne et le plus grand c tait le sous groupe le plus petit dans notre analyse La caract ristique la plus marqu e du sous groupe Nfuuka est la propri t de ses accessions de modifier leur ph notype au fil du temps Karamura 1998 d o son nom qui signifie litt rale ment je change je vais changer ou je n arr te pas de changer Les r arrange ments structuraux naturels qui se produi sent fr quemment entre les chromosomes du bananier et au sein de ces derniers pour raient rendre difficile toute tentative d ta blir une classification r aliste Faure et al 1993 Les accessions du sous groupe Nfuuka pourraient tre en train de subir un tel processus qui rend possible l alt
113. enan D P 1973 Bunch covers for bananas in the Northern District Papua New Guinea Agric J 24 4 156 161 Hinz R H L A Lichtemberg A T Schmitt amp J L Malburg 1999 Effect of bunch covers and chemi cal sprays on pest damage caused by mites and thrips in Nanicao bananas Revista Brasileira de Fruticultura 21 3 346 349 Jager K amp M S Daneel 1999 Protect banana bunches against pests with bags Neltropika Bull 305 32 33 Johns G G amp K J Scott 1989 Delayed harvesting of bananas with sealed covers on bunches 1 Modified atmosphere and microclimate inside sealed covers Australian J Expt Agric 29 719 726 Nayak M G 1999 Development of pre and post har vest handling package for residue free export bananas cv Robusta PhD Hort Thesis Tamil Nadu Agricultural University Coimbatore Pandey R M 1994 Fruits emerging major export pro duct Survey of Indian Agriculture The Hindu Tableau 1 Influence des diff rents films de poly thyl ne sur les caract ristiques apr s r colte de bananes Rasthali Type de film Dommages dus Dommages Couleur de la peau Pr sence de Vie verte Solides solubles Rapport aux thrips m caniques la r colte grumeaux durs jours totaux sucre acide Brix HDT blanc 3 92 5 60 gt Vert fonc 1 14 5 60 gt 26 36 56 732 BDT blanc 4 292 6 20 gt Vert fonc 1 46 5 80 gt 25 04 gt 55 58 4 RT bleu 5 362 2 804 Vert 1 68 5 60 P 26 24 de 58 68 3
114. ent 2 970 000 tonnes de fruits dont 96 sont consomm s localement et le reste est export Merchan 1996 Arcila et Torres 1998 La banane plan tain y est un aliment essentiel et sa consom mation arrive en troisi me position apr s celle de la pomme de terre et du lait Grisales Ldpez et Lescot 1999 Ce produit est indispensable l alimentation de base vu ses qualit s nutritives De plus sa culture est une source de travail et un important g n rateur de revenus Cruz et al 1990 Les probl mes phytosanitaires les plus aigus de la culture du bananier plantain sont provoqu s par les maladies foliaires caus es par Mycosphaerella spp le charan on du bananier Cosmopolites sordidus qui affecte le corme et les n matodes phytopa rasites qui attaquent les racines et le corme Ces derniers ont rendu obligatoire la mise au point de strat gies de contr le g n tique chimique biologique et cultural pour per mettre une diminution des dommages qu ils provoquent Montiel et al 1997 Les phyton matodes qui affectent le bana nier plantain occasionnent des dommages directs aux racines et au corme r duisent la croissance entra nent une diminution de la grosseur et du nombre des feuilles ainsi que du poids des fruits et provoquent la chute des plants en raison du pourrissement du syst me racinaire Montiel et al 1997 Les pertes de production sont estim es envi ron 20 Saser et Freckman 1987 cit s par Marin 199
115. es Bibliographie Les r f rences bibliogra phiques seront pr sent es par ordre alphab tique d auteurs L appel r f rence dans le texte indiquera le nom de l auteur et l ann e de publication ex Sarah et al 1992 Vous trouverez ci dessous trois exemples de r f rences parmi les plus courantes Articles de p riodiques Sarah J L C Blavignac amp M Boisseau 1992 Une m thode de laboratoire pour le criblage vari tal des bananiers vis vis de la r sis tance aux n matodes Fruits 47 5 559 564 Livres Stover R H amp N W Simmonds 1987 Bananas 3rd edition Longman Londres Royaume Uni Articles ou chapitres de publications non p riodiques Bakry F amp J P Horry 1994 Musa breeding at CIRAD FLHOR Pp 169 175 in The Improvement and Testing of Musa a Global Partnership D R J ones ed INIBAP Montpellier France Tableaux Num rotez les et faites r f rence a ces num ros dans le texte Expert associ transfert de technologies Guy BLOMME PO Box 24384 Kampala OUGANDA Fax 256 41 28 69 49 E mail inibap imul com Centre de Transit INIBAP ITC Responsable Melle Ines VAN DEN HOUWE Katholieke Universiteit Leuven Laboratory of Tropical Crop Improvement Kasteelpark Arenberg 13 B 3001 Leuven BELGIQUE Fax 32 16 32 19 93 E mail ines vandenhouwe agr kuleuven ac be Expert associ N matologie Thomas MOENS C o CORBANA Station de recherch
116. es dans PROMUSA R union g n rale annuelle du GCRAI aux Philippines Cette ann e le GCRAI a tenu son assembl e g n rale annuelle aux Philippines au lieu du si ge de la Banque mondiale Washington DC Des repr sentants des centres du GCRAI et des membres donateurs ont particip la r union qui a commenc le 28 octobre et s est termin e le 19 novembre Diverses r unions d affaires et entre partenaires une remise de prix scienti fiques et la conf rence Crawford sur un sujet agricole de port e globale ont galement eu lieu Le bureau r gional Asie Pacifique de l INIBAP et l IPGRI APO pr sentaient un stand au J ardin botanique de Makiling Los Ba os Environ 350 personnes ont visit le stand qui pr sentait l IPGRI COGENT l INIBAP et leurs collaborateurs aux Philippines Pendant la conf rence de presse conjointe du Secr taire du D partement d agriculture des Philippines l Hon Sec Leonardo Montemayor et du Pr sident du GCRAI le Dr lan J ohnson le Dr Geoffrey Hawtin Directeur g n ral de l IPGRI a remis officiellement des chantillons de vari t s am lior es du programme IMTP au Sec Montemayor La c r monie a t suivie par la signature d un accord de transfert de mat riel Les vari t s de bananiers fournies au gouver nement philippin repr sentent un pas impor tant dans le combat incessant contre les mala dies et ravageurs qui ravagent l industrie banani re de ce pays Elles font pa
117. es dicoty l dones que chez les monocotyl dones infec t es Stachel et al 1985 Sheikholesman et al 1987 Delmotte et al 1991 Shen et al 1993 Hansen et al 1994 L absence d acti vit GUS dans les traitements sans AS d montre que la pr sence de ce compos ph nolique est indispensable pour la trans formation de ce type de tissu Cela pourrait provenir du fait que le tissu v g tal n est pas infect ou que les monocotyl dones ont des Figure 3 Moyenne et intervalle de confiance de l activit GUS observ e pour les interactions entre les facteurs valu s A Agrobacterium x AS B AS x temps d infection C Agrobacterium x temps d infection AS UM A 1 4 8 12 16 20 24 Temps d infection heures Agrobacterium 1 1x108 cellules m 2 1x109 cellules m 8 12 16 20 24 Temps d infection heures B AS 1 50 uM 2 100 uM 3 200 pM 4 400 uM INFOMUSA Vol 11 N 2 11 Activit GUS moyenne Temps d infection heures 5 6 7 10 Temps d valuation jours Figure 4 Moyenne et intervalle de confiance de l efficacit de la transformation pour les temps d infection diff rents temps d valuation difficult s activer les g nes de virulence Bien que l on trouve des compos s ph no liques inducteurs de g nes vir chez des tis sus infect s de monocotyl dones Usami et al 1988 ceux ci ne suffisent p
118. es diplo des utilis s pour l valuation de la r sistance a la chute des doigts G notype Parents pays d origine pays donateur Nombre de doigts Production Production de pollen de semences THO3 01 Terrinha x Calcutta M acuminata burmannica 117 3 2 1741 01 Jary buaya x Calcutta x Madang 166 2 2 1318 01 Malaccensis x Sinwobogi 132 4 4 4154 08 Calcutta x Madang x Borneo x Madang 140 2 2 0323 03 Calcutta x Cultivar sine nome 112 3 2 1304 06 Malaccensis x Madang M acuminata banksii 164 2 4 4223 06 M53 x Cultivar sine nome 108 2 2 0116 01 Borneo M acuminata microcarpa x Guyod 137 2 4 0304 02 Calcutta x Madang 103 2 2 0337 02 Calcutta x Galeo 112 3 2 NBA 14 Nouvelle Guin e 82 2 1 Tongat Honduras 143 2 1 Khai nai on Thailande 139 2 1 Pipit Indon sie 144 5 4 Selangor France Guadeloupe 112 3 2 Khi maeo Tha lande 152 2 2 Tambi Nouvelle Guin e 72 3 2 Sowmuk Nouvelle Guin e 86 2 2 Niyarma yik Nouvelle Guin e 102 2 1 SA Tha lande 126 3 2 Raja uter Indon sie 100 2 1 q1 aucune 2 tr s basse lt 10 3 basse 15 30 4 moyenne 40 60 5 haute gt 60 1 aucune 2 basse 0 10 3 moyenne 10 50 4 haute gt 50 INFOMUSA Vol 11 N 2 23 Tableau 2 Valeurs moyennes de la r sistance a la chute des doigts et quatre caract ristiques des doigts pour les 21 g notypes tudi s G notype R sistance a la Longueur des doigts Diam tre Longueur du Diam tre du chute des cm des d
119. es gels de polyacrylamide 6 d naturants s quencants de 0 4 mm La matrice du gel tait pr par e en utilisant de l acrylamide 6 0 3 de N N m thyl ne bisacrylamide 7 5 M d ur e dans un tampon 1XTBE pH 8 0 100 mM de Tris 90 mM d acide borique 1 mM d EDTA A 75 ml de solution de gel on a ajout 250 ul d APS persulfate d ammo nium 10 fraichement pr par et 50 ul de TEMED N N N N diamine de t tram thy l ne et la solution a t agit e doucement mais rapidement avec une seringue L lec trophor se a t r alis e 1800 V constants 37 mA 65 W pendant 1 heure et 10 min en uti lisant un tampon 1XTBE pH 8 0 Les gels ont ensuite t fix s pendant 30 min dans une solution de fixation 5 d acide ac tique gla cial 4 8 d thanol pour liminer l ur e et les colorants bleus puis ont t s ch s et expos s sur un film rayons X de 35 X 43 cm Biomax MR Kodak pendant 48 heures temp rature ambiante Les produits d amplification s lective par PCR fragments amplifi s ont t not s sur le film rayons X T pour la pr sence et 0 pour l absence d un fragment homologue bande Les matrices de donn es de dis tance g n tique ont t construites en utili sant la m thode de Nei et Li 1979 et les regroupements par moyenne de groupe ont t r alis s par la m thode UPGMA un weighted pair group method using arithme tic averages Sneath et Sokal 1973
120. es par g notype L espacement entre les plants tait de 2 m x 2 m Les plants ont t cultiv s selon un syst me monocultural et aucun paillis n a t appliqu La zone d essais a t trait e avec le n maticide Nemacur agent actif fenamiphos raison de 15 g plant trois traitements par an afin de r duire l infestation par les n matodes De l engrais a t appliqu sous la forme de chlorure de potas sium 60 K raison de 600 g plante an et d ur e a raison de 300 g plant an pandu en six applications gales pendant la saison des pluies Le fongicide Bayfidan agent actif tria imenol a t appliqu trois fois par an rai son de 3 6 ml plant afin de contr ler la maladie des raies noires caus e par Mycosphaerella fijiensis Morelet Dans les deux essais les plants ont t exca v s 12 semaines apr s la plantation et les carac t ristiques des racines et des tiges ont t va lu es Les donn es de croissance a rienne mesur es sur chaque plant incluaient la hau teur du plant et la surface foliaire La surface foliaire a t calcul e selon Obiefuna et Ndubizu 1979 Le poids frais des cormes a ga lement t mesur Les caract ristiques des racines comprenaient le nombre de racines adventives ou racines cordiformes ainsi que le poids sec des racines La longueur des racines cordiformes a t mesur e en utilisant la m thode de l intersection en ligne Newman 0 a 1966
121. es par induction de mutations ou par culture de tissus chez le bananier plantain Musa sp cv Grande naine 4 tude de variants exp rimentalement induits de Manzano AAB et Gros Michel AAA dans le but de s lectionner ceux qui sont r sistants la fusariose 7 Transformation g n tique via Agrobacterium tumefaciens de suspensions cellulaires embryog niques du bananier plantain Dominico harton Musa AAB SIMMONS cceeeeescececeeeeceececeeeeeeceseeceseseneseceucaeaeeeseeeeeeeeeenenss 9 G notypes de bananiers Musa spp soumis au stress salin tol rance SESOMSID I a cass eset nn D mia rite lime 13 J D Dwarf un cultivar sup rieur de Cavendish 2 18 Evaluation de la descendance d un croisement entre Pisang Berlin et M acuminata spp burmannicoides Calcutta 4 la recherche de populations s gr geantes en ce qui a trait a la r sistance a la maladie des raies noires et aux n matodes 20 R sistance la chute des doigts chez les g notypes diplo des 22 Classification et caract risation de Musella splendida sp nov 24 Etude de la diversit des bananiers des hautes terres d Afrique de l Est avec la technique AFLP is nur in detente nee seine 28 Identification des n matodes phytopathog nes chez les bananiers plantain cv Dominico hart n
122. et les petits paysans qui n ont pas les m mes moyens et ne peuvent pas compter sur les bana niers pour un revenu r gulier Les contraintes majeures de la production de bananes varient Figure 2 Pousses cultiv es dans un milieu MS contenant 3 mg l d AIB et 0 5 mg l de BAP apr s 45 jours de culture selon les pays le manque d eau en J ordanie la salinit lev e de l eau Oman et les co ts en main d uvre lev s en Egypte o la maladie du bunchy top du bananier n cessite plus de gestion des cultures Ce rapport offre une vue d ensemble de la production banani re dans chaque pays visit et porte une attention particuli re la diversit g n tique trouv e dans chacun d entre eux Un nombre de recommandations sont faites pour chaque pays concernant la conservation de la diversit locale Il a t not que la collection de mat riel g n tique de la Station de recherche agricole de Salalah Oman contient des accessions de bananiers qui sont repr sen tatives des vari t s de bananiers cultiv es dans la r gion de l Oc an Indien II s agit de la seule collection de ce type et afin d assurer la conser vation longterme de ce mat riel il est recom mand que des efforts soient faits pour que l INIBAP en poss de des duplicata Le rapport fournit galement des informa tions sur l histoire des bananiers au Moyen Orient et inclut une cl d identification tr s utile pour les cultivars ABB Ce ra
123. eur des plants CP circonf rence des plants PF poids frais des cormes PS poids sec des racines NR nombre de racines cordiformes LR longueur des racines Significatif P lt 0 001 INFOMUSA Vol 11 N 2 39 45 000 m labour mnon labour 40 000 a labour m non labour ad 35 000 30 000 25 000 Poids sec des racines g 20 000 surface foliaire cm 15 000 10 000 5 000 o 5 I il i i Valery Agbagba Obino l Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 Valery Agbagba Obino l Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 120 120 100 Nombre des racines cordiformes Hauteur des plants cm 100 l 80 T 60 80 40 60 F 20 40 o Valery Agbagba Obino l Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 20 o Valery Agbagba Obino Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 4000 3000 Longueur des racines cordiformes cm S S Poids frais des cormes g 2000 LE 1500 I 1000 2000 5i 1000 F o o Valery Agbagba Obino l Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 Valery Agbagba Obino l Ewai Fougamou TMPx 548 9 TMPx 1658 4 Figure 1 Surface foliaire hauteur des plants et poids frais des cormes de six vari t s de bananiers cultiv s sur un so
124. ganique de bana q T Stand de l IPGRI Los Ba os Philippines le 28 octobre 2002 De gauche droite C Hoogendoorn IWTERNANUNAL PLANI GtNEIX weSOpanrS mst niers la gestion int gr e des maladies et rava geurs la gestion apr s r colte la diversification et la valeur ajout e des produits les aspects li s aux politiques de soutien et aux programmes le commerce national et international et la coop ration internationale Deux coordinateurs r gio naux de l INIBAP ont pr sent des expos s Agustin B Molina a parl des besoins en recherche d veloppement dans la r gion Asie Pacifique et de l importance en Asie du Programme international d valuation des Musa IMTP alors que Franklin Rosales a fait une pr sentation sur les bananiers et les les bananiers plantain dans les pays d Am rique latine et des Cara bes Dirk De Waele de KULeuven a pr sent un expos sur les pro blames caus s par les n matodes chez les bana niers et les approches pour am liorer la r sis tance des plantes Des ateliers sur l application des biotech nologies chez le bananier la production de bananes organiques et les produits valeur ajout e se sont tenus parall lement aux conf rences Un kiosque pr sentait les avan c es technologiques r alis es par la dyna mique industrie banani re en Inde et dans le monde Les prix Kadali Au cours de la conf rence le prix Kadali a t attribu Emile Frison Direc
125. heat barley and triticale genotypes Australian J ournal of Agricultural Research 39 759 772 Reyes L M C O M Mart nez amp M Beltr n 1998 Chimiovariabilit chez le genre Musa caract risation g n tique l aide de neuf syst mes enzymatiques INFOMUSA 7 1 6 10 Richards R A 1992 Increasing salinity tolerance of grain crops is it worthwhile Plant and Soil 146 89 98 Scandalios J G 1969 Genetic control of multiple mole cular forms of enzymes in plants Biochemical Genetics 3 337 379 Eline Waked Ferreira Gomes Lilia Willadino Luiza Suely Semen Martins et Terezinha Rangel Camara travaillent a l Universidade Federal Rural de Pernambuco Departamento de Biologia Rua Dom Manoel de Medeiros s n CEP 52 171 900 Recife PE Brazil Sebasti o de Oliveira e Silva travaille l Embrapa Mandioca e Fruticultura CP 007 CEP 44 380 000 Cruz das Almas BA Br sil e mail lilia truenet com br J D Dwarf un cultivar sup rieur de Cavendish J Daniells es bananes et bananes plantain sont num ro un au niveau mondial tant en termes de production environ 98 mil lions de tonnes qu au niveau du march valu a plus de 4306 millions de US Base de don n es FAOSTAT 2002 Les cultivars apparte nant au sous groupe Cavendish AAA repr sentent 41 de la production mondiale dont un tiers soit 13 de la production mondiale est export INIBAP 1999 Gr ce leur rendement lev leu
126. hes bleues a t valu e toutes les 24 heures apr s l infection par Agrobacterium pendant sept jours cons cu tifs et une derni re fois le dixi me jour pour chaque traitement et r p tition Les r sul tats sont exprim s en pourcentages Protocole exp rimental et analyse statistique Les SCE de Dominico hart n ont t infec t es par Agrobacterium sous diff rentes conditions Les traitements correspondant a la combinaison des facteurs analys s concentration d Agrobacterium concen tration d AS et temps d infection sont d crits au tableau 1 Les arrangements de facteurs sont au nombre de 2x4x7 avec trois r p titions L expression transitoire de gusA a t d termin e par la variable pourcen tage d agr gats cellulaires pr sentant une activit GUS pour les sept premiers jours et pour le dixi me jour suivants l infection Les r sultats ont t soumis une analyse de variance et la m thode de Tukey pour comparer les moyennes des principaux fac teurs et des interactions les composantes de la variance ont t estim es par l inter m diaire du programme statistique SAS ver sion 6 3 Les moyennes et l intervalle de confiance pour les principaux facteurs et les A Figure 1 Coloration histochimique des suspensions embryog niques de Dominico hart n transform es par la souche At650 pLIGh montrant une activit GUS Agr gats cellulaires en milieu MS avec la moiti de
127. hompson 1988 Influence of the ripening environment on the development of finger drop in bananas J ournal of Science of Food Agriculture 46 139 146 Silva S de O e P C L de Carvalho K Shepherd E J Alves C A P de Oliveira amp J A B S Carvalho 1999 Cat logo de Germoplasma de Bananeira Musa spp Embrapa Mandioca e Fruticultura Documentos 90 140pp Silva S de O e A P de Matos E J Alves amp K Shepherd 1997 Am lioration des bananiers diplo des AA l Embrapa CNPMF INFO MUSA 6 2 4 6 Les auteurs travaillent l Embrapa Mandioca e Fruticultura Rua Embrapa s n Caixa Postal 007 44380 000 Cruz das Almas Br sil Classification et caract risation de Musella splendida sp nov R V Valmayor et Le Dinh Danh usella est le plus fascinant et unique membre de la famille des Musaceae L esp ce type est Musa lasiocarpa telle que publi e par A R Franchet dans Morot J our de Bot 3 329 1889 Li Hsi wen 1978 Plus tard Cheesman 1947 dans sa s rie monumentale Classification of the Bananas l a reclassi fi e comme Ensetelasiocarpum peut tre a cause de la base l g rement renfl e de son pseudotronc et de ses bract es florales per sistantes Mais Simmonds l a replac e parmi les Musa en utilisant l argument qu tant rhizomateuse et polycarpique Musella ne pouvait appartenir au genre Ensete Finalement Wu 1976 travaillant sur un sp cimen indig ne dans son environnement n
128. i AAB le bananier cuire Fougamou ABB et les plantains hybrides t traplo des TMP x 548 9 et TMP x 1658 4 Ces hybrides ont t obtenus en croisant Obino l ewai avec res pectivement Calcutta 4 M acuminata ssp burmannicoides et Pisang lilin M acumi nata ssp malaccensis Le mat riel de planta tion tait constitu de rejets ba onnette rejets lat raux avec des feuilles lanc ol es qui ont t par s et plant s selon Swennen 1990 Deux essais ont t r alis s Dans le premier essai la pr paration du terrain a t faite manuellement en utilisant des houes afin de ne pas modifier le sol Dans le second essai le sol a t hers et labour une profondeur de 30 cm avec un tracteur une semaine avant la planta tion Les deux champs exp rimentaux avaient t laiss s en jach re pendant plus de cinq ans avant la plantation Le premier essai a t plant en juin 1996 et le second en ao t 1998 Malgr cet intervalle de deux ans entre les dates de plantation les caract ristiques phy siques et chimiques des sols taient similaires au moment de la plantation tableau 1 les deux champs tant distants de seulement trois m tres De plus les pr cipitations ont t abon dantes pendant les deux essais 805 mm de juin ao t 1996 et 960 mm d ao t octobre 1998 Pour chaque essai on a utilis un dispositif en blocs de Fisher avec deux r plications de deux plant
129. in Africa Proceedings of a work shop on banana IPM held in Nelspruit South Africa 23 28 November 1998 BAP 1999 E Akyeampong ed Musa Network for West and Central Africa Report of the second Steering Committee meeting held at Douala Cameroon 15 16 November 1998 BAP 1999 K Shepherd Cytogenetics of the genus Musa BAP 1998 E Akyeampong ed Musa Network for West and Central Africa Report of the first Steering Committee meeting held at Douala Cameroun 8 10 Decembre 1998 BAP 1998 E A Frison amp S L Sharrock eds Banana streak virus a unique virus Musa interaction Proceedings of a workshop of the PROMUSA virology working group held in Montpellier France 19 21 J anuary 1998 BAP 1998 C Picq ed Segundo seminario taller de la Red regional de informacion sobre banano y platano de America Latina y el Caribe San J os Costa Rica 10 11 de Julio 1997 BAP CTA FHIA NRI DFID 1998 B K Dadzie Post harvest characteristics of black Sigatoka resistant banana cooking banana and plants hybrids INIBAP Technical Guidelines 4 BAP 1998 G Orjeda en collaboration avec les groupes de travail de PROMUSA sur la fusariose et les cercosporioses Evaluation de la r sistance des bananiers aux cerco sporioses et la fusariose Guides techniques NIBAP 3 CIRAD INIBAP 1998 Les bananes Oz N a BAP ACIAR 1997 E Arnaud amp J P Horry eds Musalogue a catal
130. infect s aug mente la probabilit d introduire la maladie dans les zones non end miques Pour plus d information contacter Catur Hermanto et Tutik au Research Institute for Fruit JI Raya Solok Aripan Km 08 Solok 27301 West Sumatera Indon sie Courrier lectronique rif padang wasantara net id Deux nouvelles esp ces de bananier a Born o Deux nouvelles esp ces de bananier du Sarawak ont t identifi es par Markku H kkinen chercheur de l Universit d Helsinki en Finlande la suite d une mission de collecte Born o r alis e il y a quelques mois La premi re esp ce a t d couverte dans la zone argileuse de Bau avec l assistant de ter rain Stephen James Jossel du Sarawak Biodiversity Centre alors que la seconde est abondante dans la zone de Lawas Les deux esp ces appartiennent la section Callimusa Hakkinen capitaine de vaisseaux avant de tourner son attention vers les bananiers a effectu sept exp ditions dans la r gion du sud est II a sillonn Sarawak Sabah et Kalimantan pour tudier les bananiers sauvages de Born o sur lesquels il a l intention d crire une mono graphie Des tudes compl mentaires sont n ces saires avant de choisir un nom pour les nou velles esp ces et pour d couvrir si elles sont r sistantes aux maladies qui affectent les bana niers Source The Borneo Post 16 novembre 2002 Hybrides am lior s homologu s pour usage commercial au Sri Lank
131. ire et cellulaire du bananier s est tenu du 9 au 11 septembre l Universit catholique de Leuven KULeuven en Belgique Cent vingt sept d l gu s de 33 pays ont particip ce symposium Un total de 76 pr sentations ont t faites pendant la conf rence 43 sous forme de pr sentations orales et 33 sous forme de posters Les th mes couverts incluaient la g nomique l expression des g nes et la transformation g n tique la pathologie mol culaire et la r sistance aux ravageurs et maladies la caract risation et la conservation de la biodiversit ainsi que la biochimie et la physiologie Le conf rencier invit le Dr Takuji Sasaki du National Institute of Agrobi ological Sciences et leader du programme de recherche sur le g nome du riz a fait une pr sentation sur le s quen age du g nome du riz et un atelier sur la propri t intellectuelle et les organismes g n tiquement modifi s a t anim par 50 INFOMUSA Vol 11 N 2 Victoria Henson Apollonio responsable du Service central de conseil CAS du GCRAI sur la propri t intellectuelle Les r sum s de la quasi totalit des pr sen tations faites durant le symposium sont dispo nibles sur le site web de PROMUSA Un nombre limit de copies est disponible aupr s de l INIBAP pour les personnes qui ont des diffi cult s acc der la toile Les compte rendus des r unions de PROMUSA qui se sont tenues pendant le symposium sont publi
132. irk De Waele a KULeuven R sistance a la chute des doigts chez les g notypes diploides O Nunes de Jesus S de Oliveira e Silva M Di Credico et H Souza Rocha a chute des doigts est un d sordre phy siologique d au ramollissement et l affaiblissement du p dicelle qui a pour effet que le doigt se d tache et tombe pendant la maturation Semple et Thompson 1988 On pense que la chute des doigts est associ e a une maturation rapide pr cipit e par les temp ra tures lev es dans la chambre de maturation New et Marriot 1974 Les hybrides t tra ploides sont plus sensibles ala chute des doigts que les cultivars triploides New et Marriot 1974 Dadzie et Orchard 1997 Les m thodes utilis es jusqu pr sent pour valuer ce ph nom ne chez le bananier n taient pas fiables la m thode usuelle consis tant secouer la main et compter le nombre de fruits tomb s Pour surmonter ce probl me des chercheurs de l Embrapa Manioc et fruits tropicaux ont d velopp un instrument pour valuer la r sistance la chute des doigts chez le bananier Comme les programmes d am lioration utili sent les bananiers diplo des comme mat riel de d part et qu une grande variabilit existe dans ce groupe en ce qui concerne la r sistance la chute des doigts nous avons valu ce carac t re chez 21 vari t s diplo des et hybrides syn th tiques AA en cherchant identifier les plus r sistants pour
133. it en fleurs m les et femelles lors de la pollinisation des F2 au sein de chaque lign e De l engrais Nutrex 3 a t appliqu aux feuilles chaque semaine pendant trois semaines et au sol DAP et un m lange de N P 0 K 0 S 16 3 3 6 28 9 3 7 en quantit s variant entre 30 et 180 g par mois Les mau vaises herbes ont t coup es manuellement toutes les quatre semaines Les rejets ont t arrach s la floraison pour observer le nombre de rejets produits Aucun fongicide ou n maticide n a t appliqu Avant la plantation et toutes les six semaines apr s la plantation un m lange de racines du pied m re et des rejets a t pr lev sur trois plantes choisies au hasard dans toutes les lign es afin de d terminer le nombre de n ma todes pr sents L chantillonnage par lign e n a pas t possible cause du petit nombre de plantes Au moment de la floraison et de la r colte des param tres morphologiques tels que la hauteur de la plante la largeur dela troi si me feuille la circonf rence 1m le poids du r gime et la hauteur du rejet successeur ont t mesur s Une s rie de descripteurs du bananier IPGRI 1996 ont galement t not s la flo raison et la r colte pour les plantes de la lign e F1 La s v rit de la maladie soit la proportion de la surface foliaire affect e par la maladie des raies noires a t valu e chez toutes les plantes La s v rit de la
134. it de la difficult discriminer les esp ces chez ce genre Une tude multicrit re de diversit a donc t r alis e afin de caract riser les esp ces impliqu es chez le bana nier et de d velopper une m thode de dia gnostic mol culaire qui soit rapide et fiable L analyse ph notypique et biologique a d gag une structuration des isolats pr sents en bananeraies en cing morpho types Leur distribution g ographique est variable Les isolats des morphotypes MT1 MT3 M5 ont des caract ristiques les rapprochant de diff rents complexes d esp ces similaires sur le plan morpho logique mais ne permettant pas de les identifier clairement Ceux du morpho type MT2 paraissent appartenir l esp ce C spathi phylli L analyse du polymorphisme de l ADNr espaceur apr s amplification PCR r v le que la r gion ITS est tr s fortement conser v e chez le genre Cylindrocladium et que la r gion 1GS contient un polymorphisme compatible avec la discrimination des esp ces La caract risation de l 1GS par CAPS constitue un solide outil de dia gnostic mol culaire des esp ces de Cylindrocladium rapide et simple mettre en uvre facilement transf rable en zones de production Elle indique que les isolats MT2 et MT5 sont respective ment consp cifiques aux esp ces C spa thiphylli et C gracile alors que les iso lats MT3 et MT4 s apparentent respectivement aux esp ces C scopa rium et C floridanum sensu
135. ition rapide partir de l IGS d amorces oligonucl otidiques sp cifiques l esp ce qui faciliteraient l identification de ces champignons et permettraient le d veloppement de tests de d tection partir d chantillons v g taux ou de sol W Etude des m canismes g n tiques impliqu s dans l expression des s quences EPRVs pathog nes des bananiers au cours de croisements g n tiques intersp cifiques Th se de doctorat pr sent e en juillet 2002 l Ecole nationale sup rieure agronomique de Montpellier France Fabrice Lheureux es derni res ann es des hybrides inter sp cifiques ont d velopp les symp t mes de la maladie de la mosa que en tirets banana streak disease BSD sans possi bilit de contamination externe par le le virus de la mosa que e tirets banana streak virus BSV II a t propos comme hypoth se expli quant l apparition de la maladie que l activa tion de s quences virales endog nes EPRVs BSV pr sentes dans le g nome bananier soit l origine des virions observ s L objectif de notre tude a t de rechercher un d terminant g n tique de l expression de la maladie au cours de I hybridation g n tique conventionnelle pour deux croisements intersp cifiques PKW BB XIDN 110x AAAA et P batu BB x P pipit 4x AAAA sur lesquels la maladie apparaissait r guli rement L tude des deux descendances F1 a montr une s gr gation caract re mend
136. ittee RAC meeting held at South China Agricultural University Guangzhou China 2 5 November 1999 BAP ASPNET FFTC 2000 A B Molina V N Roa J Bay Petersen AT Carpio amp J E A J oven eds Managing banana and citrus diseases Proceedings of a regional workshop on disease management of banana and citrus through the use of disease free planting materials held in Davao City Philippines 14 16 October 1998 BAP ASPNET 2000 R V Valmayor S H J amaluddin B Silayoi S Kusumo L D Danh O C Pascua amp R R C Espino Banana cultivar names and synonyms in Southeast Asia BAP ASPNET 1999 V N Roa amp A B Molina eds Minutes Eighth meeting of INI BAP ASPNET Regional Advisory Committee RAC hosted by the Queensland Horticulture Institute DPI in Brisbane Australia 21 23 October 1998 BAP ASPNET 1998 Minutes Seventh meeting of INIBAP ASPNET Regional Advisory Committee RAC hosted by the Vietnam Agricultural Science Institute VASI in Hanoi Vietnam 21 23 October 1997 BAP ASPNET 1997 V N Roa amp R V Valmayor eds Minutes Sixth meeting of INI BAP ASPNET Regional Advisory Committee RAC hosted by National Research Center on Banana ICAR in Tiruchirapalli India 26 28 September 1996 BAP ASPNET 1996 R V Valmayor V N Roa amp V F Cabangbang eds Regional Information System for Banana and Plantain Asia and the Pacific RISBAP Proceedings of a consultation workshop held at Los Ba os Philippines 1 3 April 1
137. ividus un groupe qui sera ino cul et un groupe t moin non inocul R similis a t lev dans l obscurit sur des rondelles de carotte st riles dans des bo tes de Petri plac es dans une chambre de culture 28 C Speijer et De Waele 1997 Lorsque le nombre de n matodes observ s sur la surface int rieure des bo tes est devenu important les n matodes ont t lav s dans un b cher de 20 INFOMUSA Vol 11 N 2 l eau a t ajout e jusqu un volume de 200 mL et le nombre d individus pr sents dans un volume de 2 ml a t compt sous un micro scope En se basant sur le nombre de femelles le volume n cessaire pour obtenir 500 R simi lis femelles a t calcul La suspension a t vers e dans 5 trous de 0 5 cm de diam tre et 1 5 cm de profondeur faits environ 1 cm de la base du pseudotronc Une petite quantit d eau a ensuite t appliqu e Huit semaines plus tard les plantes ont t sorties des pots les racines lav es avec pr cautions et le poids frais des pousses et des racines mesur Les racines ont t coup es en fragments de 2 3 cm et liqu fi es avec un mixeur pendant 10 s vitesse faible puis lev e La suspension de racines a t lav e sur une s rie de tamis 0 25 0 106 et 0 025 mm et le mat riel r cup r sur le der nier tamis a t plac dans un b cher de 200 ml La suspension a t homog n is e avec un injecteur de bulles d air et le n
138. l fate d ammonium 10 et 80 ml de tampon sp cifique La fixation des gels s est faite en solution AYALA alcool m thylique acide ac tique glacial et eau distill e dans les pro portions de 1 1 1 w v durant 20 min Les r sultats obtenus partir de l analyse isoenzymatique et de la coloration des gels ont t r pertori s suivant la pr sence 1 ou l absence 0 de bandes Les similitudes g n tiques entre g notypes ont t estim es d apr s le coefficient de Dice quivalent l indice de Nei et Li 1979 grace au pro gramme NTSYS pc Numerical Taxonomy and Multivariater Analysis System ver si n 1 70 Exeter software NY USA Les dendrogrammes ont t construits selon la m thode UPGMA Unweighted Pair Group Method Aritmetic Average grace au pro gramme NTSYS pc R sultats et discussion Effets de la salinit sur la croissance L augmentation de la teneur en NaCl de la solution nutritive provoque la r duction de la surface foliaire figure 1 et du poids sec 14 INFOMUSA Vol 11 N 2 figure 2 pour la majorit des g notypes Cet effet fr quent chez les glycophytes a pr c demment t observ chez d autres g notypes Borges et Cintra 1988 Ara jo Filho et al 1995 La diminution de la crois sance des feuilles r sulte en partie d une r duction de l assimilation nette en CO Akita et Cabuslay 1990 provoqu e par la fermeture des stomates en r ponse au faible potenti
139. l de production des plantes cultiv es a d fini un index de surface foliaire comme tant la surface de feuilles vertes par unit de surface de sol La surface foliaire peut tre mesur e par des m thodes destructives mais la m thode non destructive de mesure lin aire s est av r e simple peu on reuse et pr cise Yeboach et al 1984 Pour le bananier Murray 1960 a sug g r un facteur K de 0 80 multiplier par longueur et la largeur de la feuille Cette m thode donne la surface de la feuille consid r e mais pas la surface foliaire totale de la plante qui pr sente plus d int r t pour les chercheurs Une mani re d obtenir cette der ni re est d estimer la surface de chaque feuil Len oO Num ro de colonne 1 2 3 4 5 6 7 8 Num ro Nombre de Surface Surface Surface Facteurs K Surface Diff rence Diff rence de plant feuilles par plant estim e de la foliaire foliaire individuels foliaire entre valeur 3 me feuille totale estim e totale r elle 4 3 totale attendue attendue m2 m2 m2 m2 et r elle 1x2 2x1xK 6 4 1 5 1 689 25 332 6 663 0 658 6 775 0 112 0 667 2 5 1 715 25 718 6 155 0 628 7 030 0 875 5 139 3 8 1 593 28 674 8 581 0 648 8 988 0 407 2 144 4 6 1 741 27 854 8 469 0 663 8 445 0 024 0 128 5 5 1 766 26 496 6 824 0 635 17 546 0 722 4 115 6 6 1 705 27 286 7 031 0 624 18 069 1 039 5 747 7 4 1 389 19 449 3 41 0 690 12 880 0 538 4 176 8 4 1 777 24
140. l labour ou non labour Swennen R 1984 A physiological study of the suc kering behavior in plantain Musa cv AAB PhD thesis Dissertationes de Agricultura No 132 Faculty of Agriculture Katholieke Universiteit Leuven 180 pp Swennen R 1990 Plantain cultivation under West African conditions A reference manual International Institute of Tropical Agriculture Ibadan Nigeria 24pp Tennant D 1975 A test of a modified line intersect method of estimating root length J ournal of Ecology 63 995 1001 Voorhees W B D A Farrell amp W E Larson 1975 Soil strength and aeration effects on root elongation Soil Science Society of American J ournal 39 948 953 Zobel R W 1992 Soil environment constraints to root growth Pp 27 41 in Limitations to plant root growth Hartfield J L and B A Stewart eds Springer Verlag New York Guy Blomme est assistant coordinateur r gional de l INIBAP pour l Afrique de l Est et australe Kampala Ouganda Abdou Tenkouano travaille la Division d am lioration des plantes de l Institut international d agriculture tropicale IITA Onne High Rainfall Figure 2 Poids sec des racines nombre de racines cordiformes et longueur des racines cordiformes de six vari t s de bananiers cultiv s sur un sol labour ou non labour Station L W Lambourn amp Co Carolyn House 26 Dingwall Road Croydon CR9 3EE Angleterre et Rony Swennen au Laboratoire d am lioration des plantes t
141. la concentration 5 uM de 2 4 D et 1 uM de z atine teint s histochimiquement 72 h apr s infection sans infection B et C infect s pendant 24 h par 108 cellules d At650 pLIGh ml en pr sence de 200 uM d AS Tableau 1 Facteurs et traitements pour la transformation des SCE de Dominico harton v a A tumefaciens Facteurs Niveaux Traitements a Concentration a1 1x108 cellules ml d Agrobacterium a2 1x109cellules ml a1b1c1 a1b1c7 b Concentration b1 50 uM a1b2c1 a1b2c7 d ac tosyringone b2 100 uM a1b3c1 a1b3c7 b3 200 uM a1b4c1 a1b4c7 b4 400 uM c Temps d infection des SCE cl 1h a2b1c1 a2b1c7 c2 4h a2b2c1 a2b2c7 c3 8h a2b3c1 a2b3c7 c4 12 h a2b4c1 a2b4c7 c5 16h c6 20 h c7 24h interactions ont t repr sent s graphique ment grace au programme Stat Graphics R sultats L activit GUS des SCE de Dominico hart n L activit GUS des SCE de Dominico hart n infect es par la souche At650 pLIGh a t mise en vidence gr ce l analyse histochi mique figure 1 Comme le g ne gusA du plasmide LIGH contient un intron qui ne lui permet pas de s exprimer dans les cellules bact riennes il ne peut le faire que dans les cellules v g tales transform es Le tissu v g tal non transform ne manifestant pas d expression endog ne on peut donc en conclure que l activit GUS observ e chez les SCE correspond l expression du g ne rapporteur par les cellule
142. la C4 Kazirakwe Nakabululu D2 Kabusi Ne s applique pas B6 Wekanga Nakabululu M5 Musakala Musakala F2 Kibuzi Nakabululu M7 Bandagyeya Musakala E4 Nakhaki Nfuuka M4 Nalukira Bi re C3 Nambogo Nfuuka Sous groupe Nfuuka A2 Nakasabira Nfuuka Sous sous groupe 1 NF1 Sous sous groupe 3 NB3 c1 Namadhi Bi re D5 Namamuka Nfuuka B5 Nasala Nakitembe C6 Nkobe Nfuuka A7 Lisandalo Nakitembe L6 Ensasa Bi re A6 Nambi Nfuuka C5 Namunyere Nakabululu Al Nyamashari Nfuuka A3 Keitabunyonyi Nakabululu E3 Njeriadet Nfuuka A5 Nalusi Bi re C2 Nabusa Nfuuka A4 Ensika Ne s applique pas L4 Nfuuka Nfuuka C7 Engambani Bi re K3 Namwezi Nfuuka C9 Kabucuragye Nakabululu H5 Atwalira Nyina Nfuuka c8 Enshenyuka Bi re Sous sous groupe 2 NF2 D1 Butobe Nakabululu K9 Entukura Bi re D3 Nakibuule Ne s applique pas K8 Nakayonga Nakabululu Les codes ne sont donn s qu des fins d identification 30 INFOMUSA Vol 11 N 2 combinaisons d amorces individuelles ne pouvaient pas r v ler suffisamment de poly morphisme sur lequel tirer des conclusions parce que certaines parties du g nome n ont pas t tudi es pour le polymorphisme van Treuren 2001 Remerciements Les auteurs remercient l USAID et la Fondation Rockefeller pour leur soutien financier i R f rences Allen P H 1965 Annotated list of Philippine Musaceae Philippine Agriculture 49 320 411 Bhat K V S Lakhanpaul K P S Chandel amp R L Jarret 1997 Molecular markers for the characte
143. la pro vince limitrophe de Ha Giang dans le nord du Vietnam Danh et al 1998 Aspect de Musella lasiocarpa Petite plante de moins de 60 cm de hau teur Gaines foliaires persistantes base du pseudotronc d environ seulement 15 cm de diam tre Limbe foliaire elliptique pouvant atteindre 50 cm de longueur et 20 cm de lar geur avec une extr mit pointue cireux L inflorescence est rig e compacte de 20 25 cm de long Les bract es sont jaunes cha cune soutendant 4 5 fleurs Les fleurs femelles sont situ es la base de l inflores cence et les fleurs m les au sommet Les fruits sont ronds ovales avec trois cr tes duveteux d une longueur de 3 cm sur 2 5 cm de largeur Ils contiennent 6 graines de forme ronde et de couleur brun fonc figure 1 Traduction de la description ori ginale en chinois de Wu 1976 Collecte et conservation du bananier au Vietnam Le genre Musa est indig ne de l Asie du sud est Plusieurs missions de prospection et de conservation de bananier ont explor et col lect du mat riel g n tique de Musa en Indon sie Malaisie Tha lande et aux Philippines En Papouasie Nouvelle Guin e et en Inde particuli rement dans le Nord est de la r gion d Assam et les tats voisins les explorateurs ont d couvert du mat riel g n tique extr mement int ressant qui a conduit des r visions de la th orie actuelle sur l origine et l volution des bananiers Au Vietnam les
144. lato Les isolats MT1 apparaissent proches de l esp ce C gracile malgr un ph notype atypique Les marqueurs RAPD r v lent qu ils n ont que 60 de similarit g n tique avec C gracile ce qui compte tenu de l ensemble de leurs caract ristiques a amen les riger en une esp ce proche mais diff rente d nomm e C macrogracile L valuation du pouvoir pathog ne sur bananier de ces cinq taxa fait appara tre que les esp ces C spathiphylli et C macrogracile sont respectivement for tement et moyennement agressives sur la vari t Grande naine AAA Les trois autres esp ces sont peu ou pas patho g nes L inoculation de six g notypes dif f rents de bananiers r v le des diff rences marqu es de sensibilit mais pas de vraies interactions diff rentielles entre isolats et g notypes Les marqueurs RAPD indiquent de plus une faible variabilit g n tique au sein des esp ces C spathiphylli et C macro INFOMUSA Vol 11 N 2 45 gracile collect es en bananeraies ce qui sugg re une propagation clonale Chez C spathiphylli une partition selon l h te d origine s pare les isolats provenant de bananiers d autres collect s sur h lico nias Elle s illustre des degr s divers par le polymorphisme de l ADNr espaceur les marqueurs RAPD et son pouvoir patho g ne sur le bananier Ces travaux d terminent plusieurs perspectives de recherches en particulier celle d une d fin
145. lien de la maladie puisque la pr sence du virus a t not e pour 50 des plants L observation de la s gr gation de l EPRV BSV souche Ol a montr que cette derni re serait pr sente l tat homozygote uniquement dans le g nome Musa balbisiana Dix marqueurs AFLP ont t s lectionn s comme marqueurs mol culaires de l expression de la maladie Ils sont localis s uniquement chez les parents femelles M balbisiana L ana lyse de leur s gr gation a permis de proposer une carte g n tique du locus responsable de l expression de la maladie BEL banana streak virus expressed locus Les r sultats de ces analyses g n tiques r v lent chez ce parent la pr sence d un syst me all lique monog nique lui conf rant le r le de porteur sain L analyse de la nature des souches virales pr sentes dans les hybrides malades a montr la pr sence de la souche BSV OI dans 98 des cas et a r v l l existence de deux nouvelles souches BSV Im pr sent dans 88 des hybrides malades et BSV GF pr sent unique ment dans la moiti d entre eux Les EPRVs cor respondantes ces souches ont t identifi es dans les g nomes M balbisiana et population hybrides sugg rant le caract re pathog ne de ces s quences L analyse g n tique des mar queurs AFLP a montr que les souches BSV OI et BSV Im sont g n tiquement li es et d pen dent du facteur g n tique BEL La souche BSV GF appara t non li g n tiquemen
146. ltivars de bananiers infect s avec diff rents inocula de M fijiensis P riode d incubation jours S v rit moyenne des sympt mes Type d inoculum Grande naine FHIA 18 Grande naine FHIA 18 S4 S6 S7 s8 S4 S6 S7 s8 Fragments de feuilles infect es 14 15 2 3 5 5 1 2 3 3 Suspension myc lienne homog n is e 14 16 2 3 4 5 1 2 3 3 S4 Semaine 4 INFOMUSA Vol 11 N 2 41 D apr s les comportements observ s face M fijiensis dans cette tude men e en serre on a constat la sensibilit du cultivar Grande naine par rapport la r sistance partielle manifest e par le cultivar FHIA 18 ce qui coin cide avec ce que l on peut observer dans les conditions naturelles Ces r sultats confirment donc la possibilit d valuer la r ponse pr coce face l agent pathog ne de la maladie des raies noires de divers cultivars de Musa pr sentant des stades de d veloppement peu diff renci s R f rences Alvarado C Y M M Leiva M A Rodriguez M Acosta M M Cruz N Portal G R Kosky L Garcia Bermudez amp J Padr n 2002 Early evaluation of black leaf streak resistance on Musa spp breeding pro gramme by the use of mycelial suspension of Mycosphaerella fijiensis Second International work shop on Mycosphaerella leaf spot diseases of bana nas San J os Costa Rica 20 23 May 2002 Balint Kurti P J G D May amp A Churchill 2001 Development of a transformation
147. lullaires et la s lection diplontique repr sentent les obstacles les plus importants pour l isolement des mutants somatiques induits Certains chercheurs partent du principe que les mutations issues de la variabilit somaclonale sont semblables celles pro duites spontan ment ou par des m thodes de mutagen se P rez 1998b Chez le cultivar Grande naine il n y a pas notre connais sance d tudes mettant en relation la variabi lit des plantes obtenues par culture de tissus et celle r sultant de la combinaison de cette technique et des techniques nucl aires L objectif des travaux pr sent s ici tait de comparer les variations ph notypiques de plants r g n r s partir de bourgeons adventifs ayant t soumis aux radiations gamma du Co avec celles de plants r g n r s a partir de bourgeons adventifs non irradi s E tant donn que la majorit des culti A 18 54 Coloration E Hauteur 0 94 80 18 C Autres variations Figure 1 Pourcentages des principales variations ph notypiques par rapport la totalit des variations rencontr es chez A la population ayant subi un traitement mutag ne B la population non irradi e Mat riel et m thodes Comme mat riel de d part on a utilis des apex du cv Grande naine issus de rejets baion nettes d environ 50 100 cm de hauteur que l on a cultiv s in vitro selon la m thodologie propos e par O
148. m3 de NaCl a activ l apparition des bandes Po 2 Po 8 Po 13 et Po 14 chez FHIA 18 et celle de la bande Po 5 chez Pacovan Malgr un degr lev de polymorphisme dans ce syst me on n a pas d tect de bandes apparaissant simultan ment pour les diff rents traitements salins D autres chercheurs J arret et Litz 1986 Bhat et al 1992 en travaillant sur d autres g notypes ont enregistr diverses zones d activit tr s polymorphiques chez le bananier Quatre bandes sont apparues dans le pro fil de la shikimate d shydrog nase SKDH Les bandes Skdh 3 et Skdh 4 ont pr sent une activit chez tous les individus analys s figure 3 L activit de ce syst me a gale ment t rapport e dans d autres travaux portant sur des g notypes diff rents de bananier J arret et Litz 1986 Horry 1989 Espino et Pimentel 1990 Bhat et al 1992b Reyes et al 1998 La bande Skdh 1 est apparue uniquement chez le g notype Calcutta 4 soumis au traitement salin Pour les g notypes FHIA 18 et Calcutta 4 la pr sence du sel a activ les bandes Skdh 2 et Skdh 1 respectivement ce qui indique que l activit de ces enzymes peut tre reli e au stress salin chez ces g notypes Le profil de la malate d shydrog nase MDH a pr sent chez tous les individus trois bandes d activit Mdh 1 Mdh 2 et Mdh 3 r v lant un syst me monomor phique figure 4 Deux r gions de bandes ont t observ
149. mbre d articles plus courts Notre but est de vous offrir une revue de meilleure qualit plus attrayante visuellement mais galement plus informative pour tous les lecteurs Des manuscrits crits clairement et simplement aideraient a rendre les articles publi s dans INFOMUSA accessibles au plus grand nombre de lecteurs qu ils soient g n ticiens ou conomistes De notre c t nous offri rons de courts r sum s vulgaris s sur des sujets d int r t et nous ouvrirons certaines de nos pages des ditoriaux et des d bats Certaines rubriques vont dispara tre de la revue mais l audience qu elles visent restera inform e des d veloppements les plus r cents quoique sous une forme diff rente Et de m me qu INFOMUSA avait besoin de faire peau neuve PROMUSA ne sera plus ins r dans la revue et sera publi uniquement sous forme lectronique Plus d articles dans le m me espace signifie que les futurs auteurs devront tre brefs et aller droit au fait Un article illustrations incluses devra tenir dans 21 2 pages Les auteurs devront viser 2500 mots r f rences comprises La longueur du texte variera en fonction du nombre et de la taille des tableaux et figures Cet ajustement peut tre fait sans nuire la qualit des articles Comme vous l avez certai nement remarqu de nombreux articles commencent avec une introduction sur les bana niers Dans le pass le fait de laisser ces introductions a probablement encourag l m
150. mmand s parce qu ils aggravent le formation de gru meaux durs alors que les films transpa rents r duisent les deux Bien que l emballage des r gimes ait tendu r duire les dommages m ca niques Parmar et Chundawat 1984 dans nos tests les fruits cultiv s sous des films reconditionn s noirs opaques ont enregistr les d g ts les plus importants tableau 1 Cela est probablement d la fragilit de la peau blanche r sultante La vie verte des r gimes recouverts a t plus longue d un ou deux jours que celle des fruits t moins Ceci est proba blement d au fait que la d cision de r colter tait bas e sur la disparition des angles Puisque les fruits recouverts n taient pas expos s l environnement ils perdaient moins d eau J ohns et Scott 1989 et comme ils taient pleins d eau ils donnaient l impression d tre compl tement matures En effet les fruits recou verts avaient une teneur en eau plus le v e que les fruits non recouverts qui s endurcissaient bien mais qui se rem plissaient plus tardivement et m ris saient plus t t que les fruits couverts D autres auteurs ont galement rapport que les fruits recouverts avaient une vie verte plus longue J ohns et Scott 1989 Choudhury et al 1996 Nayak 1999 alors que Parmar et Chundawat 1984 ont rap port une diminution de la vie verte en utilisant un film en poly thyl ne bleu recouvrant des bananes Basarai Les fruits r
151. n Effects of temporary immersion of explants Plant Cell Tissue Organ Culture 32 55 60 Cronauer S S amp A D Krikorian 1984 Rapid multipli cation of bananas and plantains by in vitro shoot tip culture HortScience 19 2 234 235 Daquinta M Y Lezcano M Escalona amp R Santos 2000 In vitro multiplication of the banana FHIA 18 with pactobutrazol and thidiazuron using different ways of cultivation Rev Bras Frutic J aboticabal SP 22 1 86 88 Escalona M J C Lorenzo B Gonzalez M Daquinta J L Gonzalez Y Desjardins amp Borroto C G 1999 Pineapple Ananas comosus L Merr micropropa gation in temporary immersion systems Plant Cell Reports 18 9 743 748 Gupta P P 1986 Eradication of mosaic disease and clonal multiplication of bananas and plantains Tableau 1 Poids frais des pousses et des bourgeons nombre de pousses et taille des pousses apr s quatre semaines de culture des explants moyenne erreur standard Systeme de culture Poids frais des Nombre de pousses Taille des pousses et des par explant pousses bourgeons g mm Syst me d immersion temporaire 5 38 0 34b 2 83 0 22b 34 6 0 30 b n 37 n 37 n 105 Syst me d immersion permanente 17 94 5 01 c 1 42 0 59 a 50 6 0 80 c n 26 n 26 n 36 Syst me de culture conventionnel 1 45 0 16a 2 67 0 14b 14 4 0 15 a n 37 n 37 n 98 Les explants avaient un poids initial individuel d environ 200 mg Pousses de 5 mm ou pl
152. n Port foliaire Valery Rayures blanch tres des feuilles et du pseudotronc Floraison pr coce Inflorescence et r gime R action diff rentielle la maladie des raies noires 3 49b 5 44 0 46 11 61 a 0 06 b 2 24 a 0 042 b 0 48b 0 93 a 0 11 0 26 0 24 a 0 25 a 0 018 Les valeurs suivies de lettres diff rentes dans une m me colonne diff rent pour P lt 0 05 d apr s le test du chi deux iw AAL Parmi la population obtenue par induction de mutations 18 5 seulement des variations rencontr es avaient trait la diminution de la taille des plants contre 61 8 portant sur des variations de la coloration de la plante Figure 1 On a relev un large spectre de variations ph notypiques ce que montrent les figures 2 3 et 4 Quelques unes de ces variations n ont pas t observ es chez les plants non irradi s comme par exemple les d formations au niveau de la forme et de la texture des feuilles coriaces ou la floraison pr coce Tableau 1 Les changements de coloration du pseudotronc du bord du p tiole brun fonc les rayures blanch tres des feuilles et du pseudotronc n ont pas t retrouv s sur les plants non irradi s dont les variations de coloration tirent seule ment vers le rouge tre Dans les valuations r alis es au niveau des inflorescences et des r gimes certaines des variations qui ont t observ es chez les plants obtenus avec le traitement mutag ne c
153. n form par le g notype Calcutta 4 diplo de sen sible au sel et l autre compos par les autres g notypes triploides AAA et AAB et t tra plo des AAAB i R f rences Akita S amp G S Cabuslay 1990 Physiological basis of dif ferential response to salinity in rice cultivars Plant and Soil 123 277 294 Ara jo Filho J B de H R Gheyi N C Azevedo amp J G R Santos 1995 Toler ncia da bananeira a salinidade em fase inicial de desenvolvimento Pesquisa Agropecu ria Brasileira 30 7 989 997 Bhat K V S R Bhat amp P S Chandel 1992a Survey of iso zyme polymorphism for clonal in Musa Esterase acid phosphatase and catalase The Journal of Horticultural Science 67 6 737 743 Bhat K V S R Bhat amp P S Chandel 1992b Survey of iso zyme polymorphism for clonal in Musa II Peroxidase superoxide desmutase shikimate dehydrogenase and malate dehydrogenase The J ournal of Horticultural Science 67 6 737 743 Binzel M L P M Hasegawa A K Handa amp R A Bressan 1985 Adaptation of tobacco cells to NaCl Plant Physiology 79 118 125 Bohra J S amp K Doerffling 1993 Potassium nutrition of rice Oryza sativa L varieties under NaCl salinity Plant and Soil 152 299 303 Borges A L amp F L D Cintra 1988 Queima das folhas de bananeira no Nordeste do Brasil Embrapa CNPMF Documentos 35 91 16pp Botella M A V Martinez Pardines amp A Cerda 1997 Salinity induced pot
154. n marqueur de sensibilit au sel r sulte probablement de l ampleur de la variabilit g n tique ainsi que du nombre de g nes impliqu s dans activa tion des enzymes li es aux voies m tabo liques activ es en r ponse au stress salin Des cinq syst mes isoenzymatiques ayant manifest une activit quatre ont mis en vidence des bandes polymorphiques ACP GOT PO et SKDH On a r v l un total de 244 bandes 150 monomorphiques et 94 poly morphiques D apr s l analyse de la diversit Figure 5 Analyse du regroupement des individus des g notypes Pacovan 1 2 3 Nanicao 4 5 6 Caipira 7 8 9 FHIA 18 10 11 12 et Calcutta 4 13 14 15 obtenue gr ce au programme NTSYS pc option UPGMA 0 77 PACOVAN NANICAO CAIPIRA FHIA CALCUTTA 4 g n tique les g notypes les plus apparent s sont les cultivars Nanic o AA et FHIA 18 AAAB avec un degr de ressemblance de 0 969 96 9 La paire la plus loign e g n tiquement est form e par les cultivars Pacovan AAB et Calcutta 4 AA avec un degr de ressemblance de 0 606 60 6 Les analyses physiologiques et biochi miques des individus tudi s d montrent que le g notype Calcutta 4 est le plus sen sible au sel alors que Pacovan est le plus tol rant Le dendrogramme figure 5 indique clairement que les g notypes peu vent tre divis s en deux groupes l u
155. n seront les h tes Cours de formation sur les technologies propres Un cours portant sur la production de plantain au moyen de technologies propres a eu lieu Santo Domingo en R publique Dominicaine du 11 au 14 ao t sous les auspices de MUSALAC et INIBAP Le but de ce cours tait de faire la d monstration de technologies propres pour la culture du bananier plantain qui accroissent la rentabilit et sont durables tant sur le plan co nomique que sur celui de l environnement Plus de 80 personnes en provenance de 12 pays d Am rique latine et des Cara bes ont particip cet v nement L INIBAP en collaboration avec le CATIE a financ un atelier de travail portant sur l induc tion de r sistance et l utilisation de technolo gies propres dans la lutte contre les phytopara sites L atelier s est tenu dans les bureaux du CATIE Turrialba au Costa Rica du 27 au 30 ao t Les principaux sujets abord s ont t les mol cules d induction de r sistance aux rava geurs et les types et m thodes d induction les types de r sistance les m canismes biochi miques et mol culaires impliqu s dans la r sis tance et les strat gies de rechange pour lutter contre les ravageurs d int r t en agroforesterie Parmi les conf renciers invit s ayant particip l atelier on note J oseph Kuc de l universit du Kentucky aux Etats Unis et Richard Sikora de l universit de Bonn en Allemagne En marque de reconnaissan
156. na cherchait des parte naires du secteur priv pour faire de la recherche sur le bananier pour la Phase 111 du Programme international d valuation des Musa IMTP III Lapanday poss de un laboratoire de culture de tissus performant et r alise la culture de tissus de vari t s am lior es pour le programme natio nal De plus Lapanday a offert une formation aux nouveaux partenaires dans le domaine de la cul ture de tissus la maintenance et le fonctionne ment des p pini res et des plantations Lapanday a galement particip des tudes sur les maladies foliaires r alis es par le centre NARS philippin Conf rence globale sur le bananier et le bananier plantain en Inde L Association pour l am lioration de la produc tion et de l utilisation du bananier AIPUB a organis en collaboration avec l INIBAP et la FAO une conf rence globale sur les bananes et bananes plantain qui s est tenue Bangalore du 28 au 31 octobre Environ 500 d l gu s incluant des experts en recherche et d veloppement des agricul teurs et des repr sentants de l industrie de 17 pays ont particip la conf rence Leth me de la conf rence tait la production de bananes pour la nutrition et la s curit du revenu Les discussions ont port sur la gestion des res sources g n tiques et l am lioration des cul tures les avanc es biotechnologiques les stra t gies dans le domaine des technologies de production la production or
157. nanier on a rapport l existence de variants somaclonaux issus de micropropa gation dans le sous groupe Cavendish Israeli et al 1991 mais ces variants taient toujours associ s des probl mes de taille et de qualit du fruit Vuylsteke et Ortiz 1996 Vuylsteke 2001 a signal que la variation somaclonale ne doit pas tre surestim e en tant que source de variabilit pour l am lioration g n tique du bananier La majorit des cultivars de bananiers et de bananiers plantain proviennent de mutations spontan es D apr s la base de donn es de la FAO IAEA il existe deux cultivars chez le bana nier obtenus la suite d induction de mutations Nichterlein 2000 Les r sultats du travail pr sent ici concor dent avec ceux d crits par Ahloowalia 1998 qui avait remarqu que les variations chez les plants de pomme de terre Solanum tubero sum L r g n r s partir de culture de tissus et ceux obtenus partir de traitements muta g nes diff raient compl tement en fr quence d apparition et spectre de variation Des r sul tats semblables ont t obtenus par Schum et Preil 1998 sur Chrysanthenum En comparant la variation somaclonale et l induction de mutations chez la canne sucre P rez 1998b a not qu on n obtenait pas les r sultats esp r s avec la variabilit produite par culture de tissus seule mais qu en revanche il avait t tr s efficace d utiliser la mutagen se in vitro Tout
158. nd fruit size in high density Robusta orchards J Res APAU 17 1 81 82 Shanmugavelu K V K Aravindakshan amp S Sathiamoorthy 1992 Banana taxonomy breeding and production technology Metropolitan book Co Ltd London Simmonds N W 1966 Bananas Longman Green and Co London United Kingdom 512pp Sivakumar C V amp M Mohanasundaram 1971 The banana rust thrips in Tamil Nadu India Madras Agric J 58 363 66 Smith W A 1947 Banana rust thrips control Queensland Agric J 65 315 318 Stover R H amp N W Simmonds 1987 Bananas Longman Tropical Agriculture Series London 468pp Wardlaw C W 1972 Banana diseases Longman London 878pp Les auteurs travaillent au Horticultural College and Research Institute Tamil Nadu Agricultural University Coimbatore 641 003 Tamil Nadu Inde Analyse de la diversit des champignons du genre Cylindrocladium Morgan application la caract risation ph notypique mol culaire et du pouvoir pathog ne d isolats de la rhizosph re du bananier Th se de doctorat pr sent e en septembre 2002 l Ecole nationale sup rieure d agronomie de Montpellier France Jean Michel Risede es champignons filamenteux du genre Cylindrocladium sont impli qu s en bananeraies dans le d termi nisme de l sions racinaires qui alt rent l ancrage des plants et provoquent leur chute Ils n ont pourtant jamais fait l objet d un diagnostic pr cis probablement du fa
159. ndon 170pp Valmayor R V 2001 Classification and characteriza tion of Musa exotica M alinsanaya and M acu minata ssp errans Philipp Agric Scientist 84 3 325 331 Wu Cy 1976 Musala lasiocarpa Iconographia Cormophytorum Sinicorum Tomus V 580 582 en chinois Egalement dans Flora Reipublicae Popularis Sinicae Tomus 16 2 P kin Directeur g n ral du PCARRD et Coordinateur r gional du R seau r gional Asie et Pacifique BAPNET du R seau international pour l am lioration de la banane et la banane plantain INIBAP Le Dinh Danh est Directeur du Phu Ho Fruit Research Center Phu Ninh Phu Tho Vietnam Curateur de la Collection nationale de mat riel g n tique de bananier et leader du projet collecte caract risation et conservation du bananier au Vietnam Cet article a t publi en anglais dans le THE PHILIPPINE AGRICULTURAL SCIENTIST Vol 85 No 2 204 209 Juin 2002 ISSN 0031 7454 sous le titre Classification and cha racterization of Musella splendida sp nov Ramon V Valmayor and Le Dinh Danh THE PHILIPPINE AGRICULTURAL SCIENTIST a gracieuse ment autoris l INIBAP publier le texte in extenso dans ce num ro d INFOMUSA INFOMUSA Vol 11 N 2 27 Taxonomie Classification mol culaire Etude de la diversit des bananiers des hautes terres d Afrique de l Est avec la technique AFLP A K Tugume G W Lubega et P R Rubaihayo riginaires d Asie du sud est Simmond
160. nement sur les techniques morpho taxo nomiques Shanmugavelu et al 1992 La discordance entre la classification AFLP et la classification morphologique pourrait aussi tre expliqu e par les amorces utili s es dans notre analyse La s quence s lective d une amorce est l un des facteurs d terminants du rapport multiplex le nombre de loci diff rents qui peuvent tre analys s simultan ment dans un essai Bryene et al 1997 Nos r sultats donn es non pr sent es indiquent que les INFOMUSA Vol 11 N 2 29 Tableau 1 Classification des 115 accessions de bananiers des hautes terres d Afrique de l Est bas e sur des analyses enracin es et non enracin es des donn es AFLP et compar e avec une classification bas e sur des caract res morphologiques Karamura et Pickersgill 1999 Classification AFLP Classification AFLP Classification Classification Code Nom morphologique Code Nom morphologique Sous groupe Musakala Sous sous groupe 1 MS1 F6 Mutiliti Musakala K7 Katalimbwambuzi Bi re F5 Oruhuna Bi re L2 Nante Nfuuka G3 Kifuba Nfuuka L1 Siira white Nakitembe F9 Kisaabo Nfuuka M6 Siira red Nfuuka F8 Lwandungu Nfuuka H2 Nassaba Nfuuka F7 Shombobureku Bi re E7 Kulwoni Nfuuka F4 Entazidukwa Nfuuka G4 Bareka Ne s applique pas Sous groupe Nakitembe G2 Mwanga Bi re Sous sous groupe 1 NT1 7 Mugisu agenda Musakala H7 Nakitembe Nakitembe Kisansa Musakala G9 Entaragaza Nakitembe Rwabakongo M
161. non r sistant Cette tude fait partie d un projet visant a trouver des marqueurs mol culaires li s la r sistance la maladie des raies noires et aux n matodes Pisang Berlin le parent m le a t choisi du fait de sa susceptibilit la mala die des raies noires alors que Calcutta 4 a t choisi cause de sa r action hypersensible la maladie des raies noires qui le rend r sistant au pathog ne e processus d am lioration pour obtenir Mat riel et m thodes Du pollen de Pisang Berlin a t crois sur des fleurs femelles de Musa acuminata spp burmannicoides Calcutta 4 Les 155 graines r sultantes ont t immerg es dans l eau pen dant 12 heures et les graines qui flottaient donc non fonctionnelles ont t limin es Les 150 graines viables ont t d sinfect es pendant 10 minutes dans une solution d hypo chlorite de calcium 3 et rinc es l eau st rile L embryon de chaque graine a t extrait en conditions aseptiques et transf r sur un milieu de Murashige et Skoog Au cours des 45 jours suivants 120 des 150 embryons ont germ en chambre de culture 27 1 C pho top riode de 12 heures de lumi re 12 heures d obscurit humidit relative de 80 Dix des plantules germ es ont t choisies au hasard et micropropag es Sept clones de chaque plantule lign e ont t cultiv s en serre dans des sacs en plastique pour servir de mat riel de plan
162. ns H P Singh premier directeur du National Research Centre for Banana NRCB et aujourd hui Commissaire pour l agriculture dans le gouvernement indien et S Sathiamoorthy Directeur du NRCB ont t nomm s associ s honoraires de l AIPUB en reconnaissance de leur contribution au cours de leur carri re la recherche et au d veloppe ment du bananier Premi re r union du comit de pilotage du r seau bananier pour l Asie et le Pacifique BAPNET La premi re r union du Comit de pilotage du r seau bananier pour l Asie et le Pacifique BAPNET auparavant connu sous le nom d ASPNET s est tenue du 7 au 10 octobre Los Ba os aux Philippines Les h tes de la conf rence taient Patricio S Faylon Directeur ex cutif du Philippine Council for Agriculture Forestry and S Uma NRCB a re u le prix Kadali Global Conference o Banana and Plantain Le Dr Chadha Pr sident de I AIPUB en compagnie de V Roa INIBAP Asie Pacifique et de producteurs de bananes au stand de l INIBAP lors de la Conf rence globale sur les bananes et bananes plantain qui s est tenue Bangalore Natural Resources Research and Development PCARRD et Eliseo Ponce Directeur du Bureau of Agricultural Research Department of Agriculture DA BAR Quinze repr sentants des pays et institutions membres ainsi que deux nou veaux membres le Cambodge et la Papouasie Nouvelle Guin e ont particip a la r union Parmi les personnes
163. nt t collect es Sa g n rosit partager son expertise en mati re de conser vation et de taxonomie des Musa a t souli gn e ainsi que ses efforts pour sensibiliser les gens l importance de conserver la diversit g n tique de Musa Le prix institutionnel a t offert la Lapanday Agricultural and Development Corporation LADECO au Department of AgricultureBureau of Agricultural Research DA BAR Philippines et au Philippine Council of Agriculture Forestry and Natural Resources Research and Development PCARRD en reconnaissance de leur soutien aux activit s r gionales en recherche et d ve oppement sur le bananier Enfin une plaque a t pr sent e Ramon V Valmayor pour sa contribution exceptionnelle a a recherche sur le bananier et son d vouement pour la r gion Asie Pacifique En 1991 il est devenu le premier coordinateur r gional de INIBAP pour la r gion Asie Pacifique poste 52 INFOMUSA Vol 11 N 2 Suzanne Sharrock ean LR Pisang Raja qu il a occup pendant sept ans Ses recherches sur la taxonomie et la classification des Musa ont conduit la publication d un livret sur les noms et synonymes des cultivars de l Asie du Sud est et d un livre The wild and cultivated bananas of the Philippines Ses missions de collecte au Vietnam en Chine du sud et dans le Nord Est de l Inde ont men la d couverte de nombreux cultivars et esp ces de bananiers qui n avaien
164. of cowpea from linear measu rements Trop Agric Trinidad 60 149 150 Les auteurs travaillent au Department of Fruit Crops Horticultural College and Research Institute Tamil Nadu Agricultural University Coimbatore 641003 Tamil Nadu Inde Pratiques culturales Caract ristiques apr s r colte de bananes Rasthali cultiv es sous diff rents films de poly thyl ne K A Shanmugasundaram et R S Azhakia Manavalan ans les zones tropicales et subtropi cales on utilise couramment des films sur les r gimes pour les prot ger des thrips de la rouille Smith 1947 Simmonds 1969 Sivakumar et Mohanasundaram 1971 Wardlaw 1972 Nous avons test des films de poly thyl ne transparents et non transparents pour comparer leur efficacit pour l limination des taches et pour examiner leur effet sur les caract ristiques apr s r colte de bananes Rasthali Mat riel et m thodes Cinq films de poly thyl ne de 100 cm x 60 cm ont t test s e Poly thyl ne haute densit blanc transpa rent de jauge 50 HDT blanc Poly thyl ne basse densit blanc transpa rent de jauge 150 BDT blanc Poly thyl ne bleu transparent recondi tionn de jauge 150 RT bleu Poly thyl ne bleu non transparent recon ditionn de jauge 200 RNT bleu Poly thyl ne noir non transparent recon ditionn de jauge 200 RNT noir Les r gimes de bananes Rasthali ont t recouverts quand la premi r
165. ogue of Musa germ plasm Papua New Guinea collecting missions 1988 1989 BAP CTA FHIA NRI ODA 1997 BK Dadzie amp J E Orchard Evaluation post r colte des hybrides de bananiers et bananiers plantain crit res et m thodes Guides tech niques INIBAP 2 BAP CTA 1997 P R Speijer amp D De Waele Evaluation du mat riel g n tique de Musa pour la r sistance aux n matodes Guides techniques INIBAP 1 BAP The World Bank 1997 E A Frison G Orjeda amp S Sharrock eds PROMUSA A Global Programme for Musa Improvement Proceedings of a meeting held in Gosier Guadeloupe March 5 and 9 1997 BAP IPGRI CIRAD 1996 Descripteurs pour le bananier Musa spp isponibles directement aupr s du bureau r gional d Asie Pacifique BAP ASPNET 2001 A B Molina V N Roa amp M A G Maghuyop eds Advancing banana and plantain R amp D in Asia and the Pacific Vol 10 Proceeding of the 10t INIBAP ASPNET Regional Advisory Committee RAC meeting held at Bangkok Thailand 10 11 November 2000 BAP ASPNET MARDI 2001 A B Molina N H Nik Masdek amp K W Liew eds Banana Fusarium wilt management towards sustainable cultivation Proceedings of the inter national workshop on the management of Fusarium wilt disease held in Genting Malaysia 18 20 October 1999 BAP ASPNET 2000 V N Roa amp A B Molina eds Advancing banana and plantain R amp D in Asia and the Pacific Proceedings of the 9th INIBAP ASPNET Regional Advisory Comm
166. oigts p dicelle p dicelle doigts kgf mm mm mm THO3 01 4 65 a 15 28b 23 24f 13 48 e 9 16 f Khai Nai On 3 07 b 9 20 g 28 00 c 15 48 d 10 68 d 4223 06 3 04 b 12 00 d 26 20 d 14 36 e 9 68 e 0337 02 2 82c 12 32 d 23 80 f 12 36 f 10 52 d Raja uter 2 71 11 90d 29 92 b 18 16 12 18 b 1318 01 2 06 d 12 16d 25 04e 15 24d 9 84 e Pipit 99 d 11 72e 31 04 a 17 72 13 16 a 1741 01 78e 15 88 a 23 64f 12 28f 11 44 c 0323 03 72e 13 40 c 26 56 d 10 06 g 12 22 b 1304 06 69 e 12 40 d 23 08 f 19 00 b 8 40 f NBA 14 65e 10 727 31 44 a 22 68 a 8 84 f 0304 02 57e 10 32 f 18 08 g 9 88 g 8 84 f 4154 08 46 e 12 80 c 22 24f 10 20 g 9 00 f Tongat 0 91 f 11 28 e 24 72 e 12 36 f 10 24 d Khi maeo 0 88 f 8 70 g 23 40 f 19 79 b 5 58 i 0116 01 0 731 13 04 c 26 50 d 16 96 c 10 58 d Nyarma yik 0 72 f 12 06d 32 28 a 17 66 c 6 36h Selangor 0 68 f 7 94h 19 00 g 15 60 d 6 98 g SA 0 67 f 13 44 c 31 52 a 17 54 c 11 50 c Sowmuk 0 62 f 11 36e 31 60 a 15 66 d 6 24h Tambi 0 26 g 9 329 18 92 g 13 22e 6 80 g Moyenne d ensemble 1 73 11 77 25 73 15 22 9 44 Les valeurs suivies de la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au niveau de probabilit p 0 05 Test de Scoot amp Knott niers plantain crit res et m thodes Guides tech niques INIBAP 2 INIBAP Montpellier France 63pp New S amp J Marriot 1974 Factors affecting the develop ment of finger drop in bananas after ripening J ournal Food Technology 18 241 250 Semple A J amp A K T
167. ombre de n ma todes compt s a t exprim par 100 g de racines Le dispositif exp rimental utilis la fois dans l essai en champ et dans l essai en pots tait un dispositif compl tement randomis Les variables mesur es dans les diff rentes lign es F1 ont t compar es en utilisant l ana lyse de variance avec PC SAS SAS Version 6 12 pour Windows SAS Institute Inc Cary USA Avant l analyse statistique les nombres de n matodes ont t transform s par 10919 x 1 et les moyennes ont t valu es par le test de Waller Duncan R sultats et discussion Essai au champ En ce qui concerne les caract ristiques des plantes seule la largeur de la troisi me feuille P lt 0 001 la circonf rence 1 m au moment de la floraison P 0 0001 et le poids du r gime la premi re g n ration P 0 0002 taient diff rents selon les lign es tudi es Seules de l g res varia tions ont t observ es pour les param tres de la fleur et du r gime Lors de l valuation de la susceptibilit de ces lign es la maladie des raies noires des diff rences dans l indice d infection ont t enregistr es entre les lign es test es tableau 1 Des diff rences d indice entre les lign es sugg rent une s gr gation dans la premi re et seconde g n ration Cependant en l absence de donn es sur les parents la s gr gation quant la r sistance suscep tibilit ne peut tre confirm e
168. ombreux grains de pollen Source L D Danh Vietnam Figure 8 Section transversale montrant des fruits aspermes parth nocarpiques de Musella splendida Source L D Danh Vietnam Figure 9 Sp cimens int ressants de Musella qui ont un aspect diff rent de l esp ce type Musella lasiocarpa et de la nouvelle esp ce Musella splendida Photographies avec la permission de M H kkinen pour sa traduction du latin des caract res de diagnostic ainsi qu Mme Versalynn N Roa de INIBAP ASPNET Philippines pour avoir recherch des informations indispen sables Hl R f rences Cheesman EE 1947 Classification of the bananas Kew Bull No 2 97 106 Danh L D Nhi H H amp Valmayor R V 1998 Collecte caract risation et conservation du materiel g n tique au Vietnam INFOMUSA 7 1 10 13 Ramon V Valmayor est Pr sident du Philippine Agriculture and Resources Research Foundation Incorporated PARRFI c o the Philippine Council for Agriculture Forestry and Natural Resources Research and Development PCARRD Paseo de Valmayor 4030 Los Ba os Laguna Philippines e mail parrfi ultra pcarrd dost gov ph galement ancien Professeur D partement d horticulture Coll ge d agricul ture Universit des Philippines de Los Ba os UPLB et Li Hsi Wen 1978 The Musaceae of Yunnan Acta Phytotax Sin 16 54 64 in Chinese Simmonds N W 1962 The evolution of the bananas Longmans Green and Co Ltd Lo
169. omme la r version du r gime type French au type Horn le rachis d nud et le changement de coloration du bourgeon m le du pourpre au jaune n ont galement pas t retrouv es parmi la population issue de bourgeons adven tifs non trait s Figure 4 Parmi les plants issus de bourgeons irradi s on a s lectionn une plante qui pr sentait des r actions diff rentes face la maladie des raies noires alors que dans la population issue de bourgeons adventifs non irradi s toutes les plantes se sont r v l es for tement sensibles Les tudes se poursuivent sur cette plante pour d terminer si cette r action diff rentielle la maladie reste stable Sur le tableau 1 on peut appr cier les princi pales variations ph notypiques rencontr es au sein de chaque population est vident que les changements de coloration de la plante et de son port foliaire d pendent de la source de variabilit utilis e la fr quence d apparition de ces caract res est beaucoup plus lev e dans la population obtenue apr s application de radiations Le test du chi deux a permis de INFOMUSA Vol 11 N 2 constater que la fr quence des plantes pr sen tant une diminution de taille d pend davantage de la source de variabilit que pour le type Valery alors que la fr quence d apparition des changements au niveau de l inflorescence et du r gime ne d pendent pas de la source de varia bilit Chez le ba
170. on Les r sultats confirment le potentiel de cette m thode de transformation des SCE par A tumefaciens en vue d introduire des g nes trangers d int r t chez les vari t s commerciales de bananiers plantain Mat riel et m thodes Mat riel v g tal et conditions de culture Les SCE de Dominico hart n ont t mises en culture au Laboratoire des Cultures Tropicales de la Katholieke Universiteit Leuven KULeuven en Belgique partir de mat riel provenant de la collection in vitro de Musa de l INIBAP Elles ont t maintenues en milieu liquide MS avec la moiti des macro l ments et de fer 5 uM d acide dichloroph noxyac tique 2 4 D et 1 uM de z atine comme r gulateurs de croissance Dhed a et al 1991 Sagi et al 1995 26 2 C sous agitation constante 85 r min avec un clairage de 1000 lux et une photop riode de 14 10 heures de lumi re obscurit Les suspensions embryog niques ont t homog n is es par tamisage 1 0 0 5 et 0 25 mm de dia m tre et cultiv es sur un milieu identique pendant 4 jours Sagi et al 1995 80 r min 26 2 C sous une lumi re fluores cente Souche bact rienne et plasmide Les SCE ont t infect es avec la souche AT650 d A tumefaciens qui contient le plasmide binaire pLIGH souche donn e par le Centro Internacional de Agricultura Tropical CIAT Ce vecteur de 9 5 kb d riv du pSG Manl contient deux g nes chim riques 1 le g ne
171. on aire de distribution de plus de 3000 km Le plus tonnant est que cette esp ce sauvage a des noms vernaculaires quasiment identiques aux deux endroits ce qui indique un lien pr historique Plusieurs cultivars importants qui ne sont pas inclus parmi les 87 d crits parce qu ils sont des introductions r centes dans le pays sont galement discut s et illustr s De Malaisie vient le fascinant Pisang seribu qui a t un jour propos comme tant une esp ce s par e par le botaniste hollandais Backer Celivre sur les bananiers sera utile toute personne s rieusement int ress e par le sujet qu il s agisse de botanistes d horticul teurs de producteurs ou m me de di t ti ciens et de m decins Par exemple faisant suite l assertion selon laquelle les plan tains sont tr s efficaces pour abaisser la pression sanguine pr venir et traiter les ulc res et pour diminuer le risque d infarc tus entre autres choses les auteurs expli quent que le mot plantain est un terme bota nique inexact et qu en fait beaucoup sont diff rents g n tiquement Certains plan tains pourraient avoir de meilleures propri t s th rapeutiques que d autres Les infor mations de base sont pr sent es et offertes dans cet ouvrage pour qui souhaiterait ini tier des recherches sur ce sujet Adresse pour commander l ouvrage PARRFI c o PCARRD Headquarters Paseo de Valmayor 4030 Los Ba os Laguna Philippines fax 049 53
172. on s est produite Le nombre lev de n matodes chez les plantes inocul es INFOMUSA Vol 11 N 2 21 des lign es E et H sugg re un certain niveau de tol rance vis vis de R similis Pour confirmer ces donn es des plantules F2 obtenues par autof condation de trois lign es F1 seront compar es pour leur suscep tibilit R similis avec les parents Pisang Berlin et Calcutta 4 et les vari t s de r f rence Grand naine et Yangambi km 5 dans un prochain essai Remerciements L INIBAP la Corporaci n Bananera Nacional CORBANA et la Flemish Association for Development Cooperation VVOB sont remer ci s pour avoir financ cette tude Les auteurs souhaitent remercier le Dr Sebastiao de Oliveira Silva de l Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuaria EMBRAPA pour les croisements Rogelio Gomez pour le sauvetage d embryons Antonio Allen pour la mesure des sympt mes et J uan Carlos Marin pour le suivi en champ Cette recherche a t effectu e dans le cadre du Programme mondial d am lioration des Musa PROMUSA ll R f rences Anderson J P E K Nevermann amp H Haidt 1998 Accelerated microbial degradation of nemati cides in soils problems and its management Pp 568 585 in Memorias XIII ACORBAT Meeting 23 29 November 1998 Guayaquil Ecuador Binks R H amp S R Gowen 1997 Early screening of banana and plantain varieties for resistance to Radopholus similis
173. oup plus de terre en premi re ann e qu en deuxi me en raison de la croissance du couvert v g tal LR 152 361 mm et E 29 5 t ha an Les simulations de pluies ont montr l effet du sillon qui concentre les eaux et qui serait l origine de la sensibilit de cette parcelle au ruis sellement et l rosion Les bananeraies tablies Ba3 et Ba4 ont des r sultats comparables Kram 2 4 et E 0 4 0 6 t ha an La faible rosion mesur e r sulte du paillage r gulier des r sidus mis en bandes SC 40 80 de la surface parcellaire mode de lutte anti rosive efficace ayant fait ses preuves dans les bananeraies d Afrique Apr s l analyse statistique des r sultats mensuels issus des 10 parcelles deux groupes de fac teurs explicatifs indice R SC Dapp et LR et SC sont mis en vidence respecti vement pour le ruissellement et pour l rosion II s agit donc d un coulement Hortonien entra nant l rosion des agr gats avec peu de dispersion L estimation des pertes chimiques sur ces parcelles indique que plus les traite ments sont sensibles l rosion plus les pertes en nutriments contenus essentiel lement dans les s diments rod s sont importantes Sous bananeraie le drai nage en profondeur est tr s actif en sai son humide soit pr s 32 37 de la plu viosit saisonni re Les drainages calcul s et observ s par lysim tre sem blent comparables l valuation des pertes chimiques
174. par lysim tres coniques semble correcte D ailleurs cette estima tion indique que la majorit des l ments nutritifs est perdue par lixiviation en bananeraie tablie et les proportions des nutriments perdus sont comparables celles observ es on bananeraie irrigu e en C te d Ivoire 99 des pertes on Ca ou en N total par drainage Croissance d veloppement et qualit des fruits du bananier Musa spp groupe AAA cv Grande naine Mod lisation de la r partition des assimilats entre les fruits du r gime Th se de doctorat pr sent e en novembre 2000 l Institut national agronomique Paris Grignon France Alexandra Jullien l exportation est soumise des contraintes de taille et de qualit des fruits Pour tre exportable des Antilles vers la m tropole un fruit doit pr senter des caract ristiques minimales en terme de diam tre 30 mm de lon gueur 17 cm et de maturit la r colte estim e par la dur e de vie verte ou DVV qui doit exc der 20 jours En cons quence la forte variabilit de poids et de i production de bananes pour qualit des fruits observ e au champ entra ne des pertes de rendement impor tantes pour les planteurs Cette variabi lit pond rale d pend de conditions de croissance mais galement de la position des fruits sur le r gime les fruits de la partie distale du r gime mains du bas sont 30 40 plus petits que ceux de la partie basale mains d
175. pp initiation proliferation and development of shoot tip cultures on defined media Plant Cell Tissue Organ Culture 6 159 166 Kazumitsu Matsumoto travaille l Embrapa res sources g n tiques et biotechnologie PO Box 02372 Brasilia DF 70849 970 et Andrea Kaiser C Brand o est tudiant de premier cycle l Universit catholique de Brasilia Brasilia Br sil Adresse pour correspondance K Matsumoto University of Florida Tropical Research and Education Center 18905 SW 280 St Homestead FL 33031 3314 USA INFOMUSA Vol 11 N 2 37 Pratiques culturales Effet du labourage sur le d veloppement des racines Effet de la densit brute du sol sur le d veloppement racinaire et global de plants de six vari t s de bananier G Blomme R Swennen et A Tenkouano racines ne d pendent pas seulement du g notype Kasperbauer 1990 McMichael 1990 Klepper 1992 Zobel 1992 Ils sont gale ment affect s par l environnement J ung 1978 Kasperbauer 1990 La structure du sol la dis ponibilit en nutriments et en eau la temp ra ture et le drainage peuvent interagir avec la constitution g n tique des plantes Hamblin 1985 Box 1996 Aguilar et al 2000 Par exemple il a t montr que l imp dance m ca nique r duisait le taux d longation racinaire qui tait en relation avec une augmentation de la densit brute du sol ou de la pression du p n trom tre Voorhees et al 1975 Babalola et Lal
176. pport en anglais uniquement est disponible sur demande au si ge de l INIBAP Vous pouvez galement le t l d charger partir de http inibap org publications Middle east pdf Collecte de Musa en Tanzanie En juillet 2001 une exp dition a t organi s e pour explorer la diversit des Musa dans les hauts plateaux de Tanzanie L quipe tait constitu e de E De Langhe D Karamura et A Mbwana L quipe a limit sa prospection aux flancs du Kilimandjaro et aux collines d Usambara et de South Pare Cette zone occupe une position centrale pour la production de bananes en Afrique de l Est les autres zones d altitude o les bana niers sont cultiv s par exemple les collines de Taita et la r gion de Gikuyu au Kenya la r gion des Grands Lacs ainsi que Mbeya et Morogoro en Tanzanie tant localis s en p riph rie de cette zone La probabilit de trouver du mat riel g n tique nouveau tait jug e plus lev e dans cette zone Deux facteurs motivaient cette mission l absence de connaissances sur les cultivars de bananes des hautes terres d Afrique de l Est autres que ceux de la r gion des Grands Lacs le risque grandissant que du mat riel non connu mais potentiellement important pour l am lioration g n tique soit perdu du fait des changements dans les pratiques culturales L exp dition s est av r e extr mement pro ductive avec la collecte de 21 cultivars int res sants I est probable
177. pte tr s bien l altitude et se cultive du niveau de la mer jusqu 1700 m Son r gime peut atteindre un poids de 26 kg et la qualit de ses fruits est similaire a celle du cv Dominico harton Son cycle dure approximativement 10 mois selon le type de fertilisation appliqu e ce qui lui permet de maintenir une ou deux feuilles fonctionnelles jusqu au moment de la r colte www corpoica org co 2000 L hybride FHIA 20 AAAB est r sistant a la fusariose ou maladie de Panama ainsi qu la maladie des raies noires et la mala die de Sigatoka mais il est tr s sensible R similis Cet hybride est une alternative au bananier plantain Cuerno Son rende ment lev 20 a 30 kg sans le rachis et ses fruits d excellente qualit pouvant tre consomm s frais ou cuit alors qu ils sont verts ou murs lui conf rent une place privil gi e Sa production peut tre de deux trois fois plus INFOMUSA Vol 11 N 2 33 Figure 1 R gion de la t te et de la queue d individus m les de a Radopholus similis b Pratylenchus coffeae c Helicotylenchus multicinctus d Larve au stade J 4 de Meloidogyne spp importante que celle du bananier plantain Cuerno www fhia hn banano htm 1998 L hybride FHIA 21 AAAB est r sistant la fusariose la maladie des raies noires et la maladie de Sigatoka I1 poss de un rendement lev 22 27 kg sans rachis et l excellente qualit de se
178. pulation of Agrobacterium tumefaciens strains to improve transformation of recalcitrant plant species Pp 1 13 in Plant Molecular Biology Manual B4 Klower Academic Publishers Belgium Hansen G A Das amp M Chilton 1994 Constitutive expression of the virulence genes improves the efficiency of the plant transformation by Agrobacterium Proc Natl Acad Sci USA 91 7603 7607 Hiei Y S Ohta T Komari amp T Kumashiro 1994 Efficient transformation of rice Oryza sativa L mediated by Agrobacterium and sequence analy sis of the boundaries of the T DNA The Plant J ournal 6 271 282 Ishida Y H Saito S Ohta Y Hiei T Komari amp T Kumashiro 1996 High efficiency transformation of maize Zea mays L mediated by Agrobacterium tumefaciens Nature Biotechnology 14 745 750 Jefferson R A T A Kavanagh amp M W Bevan 1987 GUS fusions b glucuronidasa as a sensitive and versatile gene marker in higher plants EMBO J 6 3901 3907 Komari T Y Hiei Y Saito N Murai amp T Kumashiro 1996 Vectors carrying two separate T DNAs for co transformation of higher plants mediated by Agrobacterium tumefaciens and segregation of transformants free from selection markers The Plant J ournal 10 165 174 Narasimhulu S X Deng R Sarri amp S Gelvin 1996 Early transcription of Agrobacterium T DNA Am lioration genes in tobacco and maize The plant cell 8 873 886 Panis B D Dhed A K De Smet L S gi
179. r L ouvrage contient des index et des listes utiles ainsi qu une annexe incluant des descriptions de deux nouvelles esp ces et d une sous esp ce r cemment d crites par Valmayor Les bananiers tant originaires de l Asie du Sud est les Philippines avec plus de 7000 les occupent une partie importante de cette aire distribution De plus nombre des vari t s sup rieures qui pourraient avoir t d couvertes en premier ailleurs par d anciens horticulteurs sont maintenant cultiv es aux Philippines et sont donc incluses dans ce livre Sur les 87 cultivars trait s en d tails on est surpris de r aliser que 41 n avaient pas t caract ris s auparavant Parmi ces culti vars nouvellement d crits on en trouve cer tains qui semblent particuli rement promet teurs et mon pr f r en me basant sur les descriptions est le cultivar Manang qui a des fruits petits mais extr mement sucr s et aromatiques et qui a une maturation pr coce I pourrait avoir un excellent potentiel commercial ou il pourrait simplement tre merveilleux de l avoir dans son jardin En plus de ces 41 cultivars ce livre est la premi re publication mentionner plu sieurs d couvertes Un exemple est la recon naissance du fait que Musa peekelii de Papouasie Nouvelle Guin e et de l archipel de Bismarck est identique la plante connue sous le nom de Pakel Palawan aux Philippines ce qui repr sente une aug mentation de s
180. r com binations and recovery of AFLP products using ethidium bromide staining Plant Molecular Biology Reporter 16 41 47 Sebasigari K 1990 Principaux caract res de d ter mination dans la caract risation morphologique des bananiers triploides acuminata d Afrique de l Est Pp 124 139 in Identification of genetic diversity in the genus Musa R L J arret ed INIBAP Montpellier France Shanmugavelu K V K Aravindakshan amp S Sathiamoorthy 1992 Banana taxonomy breeding and production technology Metropolitan book Co Ltd London Simmonds N W 1966 Bananas 2 edition Longman London UK Sneath P H A amp R R Sokal 1973 Numerical taxo nomy W H Freeman San Francisco Stover R H amp N W Simmonds 1987 Bananas 3 edition Longman London UK Swennen R amp D R Vuylsteke 1988 Bananas in Africa Uses and prospects for improvement Crop Genetic resources for Africa Vol Il Proceedings of an International Conference 17 20 October 1988 Ibadan Nigeria Valmayor R V F N Rivera amp F M Lomuljo 1981 Philippine banana cultivar names and synonyms IPB Bulletin No 3 University of Philippines Los Ba os Valmayor R V S H Jamaluddin B Silayoi S Kusumo L D Danh 0 C Pascua amp R R C Espino 2000 Banana cultivar names and synonyms in South East Asia INIBAP Asia amp the Pacific Office Los Ba os Laguna Philippines Van de Peer Y amp R De Wachter 1994 TREECON for
181. r le cultivar de bananier d altitude Mbwazirume McIntyre et al 2000 Notre tude a montr qu une r duction de la densit brute du sol par un labourage augmen tait la croissance des rejets ce qui tait associ un d veloppement racinaire accru Cela sou ligne l importance chez le bananier de l adop tion de pratiques culturales qui r duisent la densit brute du sol Remerciements Le Vlaamse Vereniging voor Ontwik kelingssamenwerking en Technische Bijstand Bureau flamand pour la coop ration internationale et l assistance tech nique et la Direction g n rale belge pour la coop ration internationale sont remer ci s pour leur soutien financier Les auteurs remercient M Emeka Onwuvuariri de son aide pour la collecte des donn es Cet article est le manuscrit N 11TA 02 A 09 de l IITA I R f rences Aguilar E A D W Turner amp K Sivasithamparam 2000 Proposition d explication des m canismes pr dispo sant les bananiers Cavendish la fusariose durant l hypoxie INF OMUSA 9 2 9 13 Avnimelech Y 1986 Organic residues in modern agricul ture Pp 1 10 in The role of organic matter in modern agriculture Developments in plant and soil sciences Y Chen and Y Avnimelech eds Martinus Nijhoff Publishers The Netherlands Babalola O amp R Lal 1977 Subsoil gravel horizon and maize root growth 1 Gravel concentrations and bulk density effects Plant and Soil 46 337 346 Box J E J r 19
182. r longue vie de transport et leur saveur largement accept e les cultivars Cavendish ont domin le march de l exportation depuis l abandon de Gros Michel il ya plus de 50 ans Leur principal d sa vantage est leur susceptibilit une large gamme de ravageurs et de maladies en particu lier la maladie des raies noires caus e par Mycosphaer dla fijiensis Il en r sulte que ces cultivars n cessitent des applications r guli res de pesticides Les organismes de recherche se sont efforc s depuis des ann es de trouver un rempla ant qui ait des caract ristiques quiva lentes celles des cultivars Cavendish mais qui soit moins d pendant des pesticides Plusieurs cultivars de Cavendish tels que Grande naine Williams Valery Poyo Robusta et Giant Cavendish sont cultiv s dans le monde entier chacun ayant ses propres avantages et d savantages Par exemple le cul tivar Grande naine tend tre moins sensible aux d g ts caus s par le vent mais n est pas aussi productif dans des sols pauvres et un envi ronnement plus sec que Robusta et Valery En Australie le cultivar le plus populaire Williams couvre 10 000 hectares En 1988 le Queensland Department of Primary Industries QDPI a produit une vari t D Dwarf qui pourrait tre int res sante pour les petits fermiers dans le monde entier J D Dwarf a t collect e comme un hors
183. rellana 1994 Pour induire les bourgeons adventifs on a utilis le protocole propos par Garcia 2001 Des explants de 1 mm provenant des bour geons adventices ont t trait s par 25 Gy de radiations gamma mises par du Co la puis sance de 1 98 Gy min Imm diatement apr s ils ont t plac s sur un milieu de culture frais afin d viter une quelconque toxicit produite par l action des radiations sur les composants du milieu de culture On a r g n r 6000 plants partir de ces structures trait es par l agent mutag ne et 5000 partir de celles non irra di es mais qui ont t manipul es in vitro de la m me fa on que les pr c dentes On a plant au hasard 100 rejets provenant de cormes comme t moins Pour l enracinement des plants on a employ la m thode propos e par Orellana 1994 Tout le processus d acclimatation s est d roul selon le manuel d instructions pour la micropropaga tion du bananier plantain MINAGRI 1992 Divers caract res comme la hauteur de la plante cm la circonf rence du pseudotronc cm sa couleur celle des feuilles et des ner vures celle du p tiole le port et la texture des feuilles l aspect du r gime le type de rachis la forme et la couleur du bourgeon m le ont t valu s l aide du manuel Descripteurs pour le bananier INIBAP 1996 On a d termin la proportion de variants le pourcentage repr sent par chaque variation par rapport
184. ression stable post rieure l infection par A tume faciens qui a t r ussie chez des cellules m rist matiques de bananier Grande naine May et al 1995 L efficacit de cette m thodologie pour la r ussite d une trans formation stable est encore plus probable en utilisant des suspensions cellulaires embryo g niques de Musa Ganapathi 2001 Les cultures embryog niques pr sentent en effet l avantage que les plantes peuvent tre r g n r es partir d une seule cellule vi tant ainsi la formation de transformants chi m riques Letaux de multiplication est aussi au moins cinq fois plus lev que celui de prolif ration des cultures de m rist mes Dhed a et al 1991 Escalant et Teisson 1989 Panis et al 1993 De plus utiliser des cellules en division active comme les cel lules embryog niques peut favoriser l int gration de l ADN T dans le g nome nucl aire le mat riel enzymatique n ces saire l int gration y tant pr sent Shen et al 1993 La m thode utilis e pour transformer des suspensions cellulaires embryog niques de 0 25 0 5 mm en phase de croissance du bananier plantain Dominico hart n a per mis d obtenir une expression transitoire allant jusqu 37 5 ce qui nous permet d esp rer obtenir des plantes transg niques exprimant de fa on stable le g ne int gr Remerciements Les auteurs remercient le Dr William Roca du CIAT pour avoir aimablement fourni la
185. ressources g n tiques des Musa n ont jamais t explor es ni classi fi es en d tail cause de la longue bataille du pays pour la libert En 1993 le r seau international pour l am lioration de la banane et la banane plantain INIBAP au travers de son r seau r gional Asie et Pacifique bas l poque au Philippine Council for Agriculture Forestry and Natural Resources Research and Development PCARRD Los Ba os Laguna Philippines a approuv l octroi d un financement au Plant Genetic Resources System du Vietnam dirig par le Dr Nguyen Danh Khoi En 1994 la premi re d une s rie de cing missions de prospection commen a collecter valuer et conserver syst mati quement le mat riel g n tique de Musa travers tout le pays Le Dr Le Dinh Danh Directeur du Phu Ho Fruit Research Center a t nomm leader de l quipe de collecte des bananiers Le projet a r colt 107 acces sions 88 cultivars et 19 esp ces sauvages Figure 1 Illustration de Musella lasiocarpa montrant une petite plante Les feuilles sont elliptiques rapport longueur largeur lt 3 le bourgeon floral deltoide avec des bract es fortement imbriqu es Fleurs basales femelles fruits ronds ovoides contenant des graines Source C Y Wu Chine Parmi les esp ces sauvages non d crites on trouve la belle et attrayante Musa exotica R Valmayor sp nov qui a t collect e dans la r serve foresti re de Cuc Phuong et cla
186. rganismes antagonistes inoculer sur les plants issus de culture de tissus Jusqu pr sent les plantations en champ de plants de D Dwarf provenant de culture de tissus ont t raisonnablement conformes avec en moyenne moins de 3 de hors types De mani re int ressante la plupart de ces hors types sont une r version vers Williams dont ce cultivar est d riv Si les autres clones produi saient aussi peu de hors types que J D Dwarf les planteurs auraient une meilleure percep tion de la culture de tissus Conclusion Les origines de J D Dwarf soulignent l int r t de la collecte et de la conservation des variants issus de plantations de mat riel provenant de culture de tissus Cette tude illustre galement le fait que la communaut scientifique et les planteurs doivent tre l aff t de toute variation potentiellement b n fique Daniells et Smith 1993 Aujourd hui plus que jamais les planteurs de bananiers ont besoin d exploiter les varia tions pour les b n fices qu elles pourraient apporter Figure 1 J D Dwarf droite a des feuilles plus dress es et l g rement plus larges que Williams gauche Quant savoir si J D Dwarf est sup rieur au cultivar Williams la r ponse d pendra des cir constances locales Daniells 2000 a soutenu qu il n y a pas de vari t parfaite mais que cha cune a son propre lot d avantages et de d sa
187. ri du sol vont en s aggravant dans les r gion arides et semi arides un peu partout dans monde La salinit du sol r duit la croissance et la productivit de la culture en raison de la diminution de la pression osmotique dans le sol et de l augmentation de la concentration de certains ions qui atteint alors un niveau toxique pour la plante Ces facteurs interf rent non seulement avec des processus phy siologiques tels que la transpiration la pho D Un D tosynth se la translocation et la respiration mais de plus ils provoquent un d s quilibre hydrique et ou ionique chez la plante Richards 1992 Bohra et al 1993 Les techniques de r cup ration des sols salins sont en g n ral lentes et on reuses Aussi l emploi de cultivars de bananiers tol rant le stress salin est il pr sent comme une solution davantage viable du point de vue technico conomique La s lection de g notypes de bananiers sur des sols naturel lement salins s av re difficile cause de la grande variabilit spatio temporelle de la concentration ionique dans le sol Pour vi ter ces variations naturelles une premi re tape de s lection peut avoir lieu dans une solution nutritive saline Rawson et al 1998 l o le contr le de la concentration ionique est r alisable Le travail pr sent ici a pour objectif d valuer la tol rance la salinit de cinq g notypes de bananiers cultiv s en serre d tudier l effet du s
188. rit sont un d sordre physiologique du fruit qui est caract ris par des taches bronze rouge sur la peau cause des pertes de production majeures dans le Nord Queensland Daniells 1985 et dans d autres endroits comme au Costa Rica Lahav et al 2000 Les observations des planteurs indiquent que J D Dwarf est moins sujet aux taches li es la maturit On peut laisser les fruits de J D Dwarf se remplir avec beaucoup moins de taches de maturit que Williams Pendant les mois d hiver plus frais du Nord Queensland la frisure est un probl me impor tant Daniells 1997 Ceci est galement vrai pour d autres zones de production marginales situ es loin de l quateur En cons quence les fruits ont une bonne floraison et une belle cou leur jaune pendant le m rissement condition que les temp ratures ne descendent pas trop bas Dans notre essai les producteurs ont r gu li rement tir des prix plus lev s de J D Dwarf cause de sa meilleure floraison Les feuilles dress es de D Dwarf figure 1 pourraient expliquer la meilleure floraison des fruits et la r duction des taches li es la maturit du fait du meilleur r gime d claire 18 INFOMUSA Vol 11 N 2 Tableau 1 Rendement et caract ristiques de plants de J D Dwarf la station de recherches de South Johnstone et dans les plantations participant l valuation Jours de Poids Long
189. robablement pas pour provoquer l activation Schafer et al 1987 et par cons quent il s av re n ces saire d additionner de l AS synth tique dans les milieux d induction d infection et de co culture L analyse ind pendante des facteurs montre que la meilleure efficacit de l expression transitoire est obtenue pour 24 heures 23 24 On n a pas r ussi d ter miner avec les dur es d infection test es celle permettant la meilleure efficacit mais seulement que le temps d infection doit tre situ entre 16 et 24h dans le cas des SCE II reste valuer si une dur e sup rieure 24h permettrait une augmentation du pourcentage de cellules modifi es ou si au contraire elle porterait atteinte la via bilit du tissu v g tal Ces r sultats d mon trent que l efficacit de la transformation d pend en grande partie du temps d infec tion L utilisation d un intervalle aussi tendu 1 24h d coule du fait que ce fac teur est un de ceux qui varient le plus en fonction du type de tissu v g tal L tude des interactions entre les trois param tres tudi s souligne qu il est impor tant de les combiner afin d am liorer l effi cacit de la transformation L expression du g ne rapporteur a t tu di e dans les premiers jours suivant l infec tion L interaction du facteur temps d infec tion avec celui de la dur e de l valuation permet de constater que le pic de l activit maximale du g n
190. rodui sant pour leur consommation propre et pour vendre localement Lorsqu ils sont r colt s avec le m me dia metre de doigts les r gimes de J D Dwarf p sent moins lourd que ceux de Williams bien que la diff rence ne soit pas significative Cependant on peut laisser les fruits des r gimes de D Dwarf se remplir une semaine de plus ce qui compense le poids de r gime inf rieur Observations la ferme D Dwarf a un pseudotronc plus robuste que Williams figure 1 caract ristique qui le rend plus r sistant aux d gats caus s par le vent cause la plus importante de perte de rendement dans les bananeraies Stover et Simmonds 1987 La r sistance au vent plus lev e de J D Dwarf devrait contribuer r duire ces pertes Ceci devrait galement se traduire en b n fices conomiques pour les planteurs commerciaux et en s curit alimentaire accrue pour les petits paysans J D Dwarf peut galement souvent tre cultiv sans supports pour les r gimes tels que des haubans ou des bambous Un autre facteur qui contribue sa stabilit est son pseudotronc relativement dress qui penche tr s rarement Cependant la r colte doit tre effectu e avec un soin particulier Quand le pseudotronc de D Dwarf est coup avec une machette il peut s effondrer lorsque le r gime est abaiss sur les paules de la per sonne qui r colte Les taches li es la matu
191. ropicales Katholieke Universiteit Leuven Kasteelpark Arenberg 13 3001 Leuven Belgique 40 INFOMUSA Vol 11 N 2 Communication courte Am lioration Utilisation de diff rents inocula de Mycosphaerella fijiensis Morelet en conditions de serre afin d valuer le comportement de deux cultivars de bananier M Leiva Mora M A Dita Rodriguez Y Alvarado Cap M Acosta Su rez L Garcia et Bermudez a pr sence de Mycosphaerella fijiensis Morelet dans les principales zones pro ductrices de Musac es a entrain une chute des rendements Le d veloppement de m thodologies de s lection pr coce passe par l expression en conditions contr l es des symp tomes de la maladie cela pour garantir de plus importantes ventualit s de succ s des pro grammes d am lioration g n tique L objectif du travail pr sent ici est d valuer le compor tement de deux cultivars de bananier pr sen tant des niveaux de r sistance diff rents face M fijiensis et de s lectionner l inoculum patho gene le plus adapt la r alisation de s lections en conditions de serre Dans cette optique on a valu en serre le comportement de vitroplants acclimat s depuis huit semaines d une taille moyenne de 20 cm poss dant quatre feuilles actives et provenant de deux cultivars de bananiers Grande naine et FHIA 18 de niveaux diff rents de r sistance aM Fijiensis On a utilis l isolement pathog ne
192. roscope marque Nikon l objectif 40 et identifi s l aide de tables taxonomiques Luc et al 1990 Thorne 1961 Taylor 1968 Roman 1978 Casta o Zapata et Salazar 1998 Une analyse de variance des moyennes des populations obtenues a t r alis e gr ce au programme statistique MSTAT C de l Universit du Michigan Bricker 1993 R sultats et discussion Deux genres et deux esp ces de n matodes phytoparasites ont t identifi s Pratylenchus spp et Meloidogyne spp H multicinctus et R similis figures 1 et 2 A l exception de R similis pour les bana niers plantain Africa et FHIA 20 les autres n matodes ont t trouv s sur tous les bananiers plantain tudi s Les popula tions suivent l ordre d importance suivant Meloidogyne spp R similis H multi cinc tus et Pratylenchus spp tableau 1 ce qui confirme leur type d habitat et leur condi tion de parasites oblig s Thorne 1968 Roman 1978 34 INFOMUSA Vol 11 N 2 Tableau 1 Nombre de n matodes par 100 g identifi s chez les quatre vari t s tudi es Vari t R similis Pratylenchus spp H multicinctus Meloidogyne spp Sol Racines Sol Racines Sol Racines Sol Racines Dominico hart n 412 2605 412 650 204 1166 412 710 Africa 0 0 285 797 3136 1940 3704 3220 FHIA 20 0 0 860 675 312 2032 2580 3819 FHIA 21 1168 3135 1752 1486 584 3096 2336 4040 Moyenne de trois chantillons Les populations les plus lev
193. rovoque la for mation au sein du profil cultural d tats structuraux contrast s structures com pactes faible macroporosit et a majeure partie des bananeraies conductivit hydraulique r duite struc tures fragmentaires forte conductivit A partir des r sultats d une enqu te entreprise sur un chantillon de parcelles de production nous avons tent d tablir une typologie de l tat du profil cultural et de l enracinement du bananier La pra tique d une culture p renne non m cani s e induit la formation de profils cultu raux sans discontinuit s structurales nettes permettant une extension lat rale du syst me racinaire La m canisation des interventions en cours de culture pro voque la formation de zones compactes dans les interlignes qui limitent l exten sion lat rale du syst me racinaire Nous avons galement tudi l effet de la structure du sol sur l enracinement du bananier en conditions contr l es La compacit du sol r duit fortement la bio masse et la densit racinaire ainsi que la longueur des racines primaires Elle pro voque galement des modifications de la forme et la taille des cellules du cortex de la racine Une exp rimentation au champ visant la comparaison de deux profondeurs de travail du sol a permis de montrer l effet du travail du sol sur la r partition des racines et sur l exploitation des r serves hydriques du sol Un mod le de simula tion de culture perme
194. rtie du Programme national de conservation multipli cation et diss mination de BAPNET visant a promouvoir et rendre accessible les vari t s am lior es Formation la culture de tissus et l indexation pour les virus Taiwan Le Food and Fertilizer Technology Center le Taiwan Banana Research Institute et l Universit nationale de Taiwan en collabora tion avec le bureau r gional Asie Pacifique de l INIBAP ont financ un programme de forma tion la culture de tissus la maintenance du mat riel g n tique de d part et l indexation pour les virus qui s est d roul Taipei du 9 au 20 d cembre Cette formation repr sentait une opportunit d am liorer la capacit multiplier et produire des plants exempts de virus pour le personnel impliqu dans la maintenance la multiplication et la distribution de vari t s am lior es de Musa dans les pays membres de BAPNET qui partici pent au programme national de conservation et de distribution INIBAP et Lapanday une collaboration pour am liorer l industrie banani re aux Philippines Le bureau r gional Asie Pacifique de l INIBAP a trouv un partenaire en la Lapanday Agricultural and Development Corporation LADECO ou simplement Lapanday une com pagnie priv e sp cialis e dans l exportation de nourriture bas e Davao aux Philippines Le partenariat a commenc quand le coordi nateur r gional de l INIBAP pour l Asie et le Pacifique Agustin Moli
195. s 65 m rist mes ont t transf r s dans chaque bior acteur avec 2000 ml de milieu un m rist me pour 30 ml de milieu Les explants taient immerg s dans le milieu pendant quatre minutes toutes les quatre heures Le milieu de culture tait un milieu MS contenant 22 uM de BAP et 100 mg l de Claforam pour le contrdle microbien Dans le syst me d immersion permanente le m me volume de milieu et la m me taille de r cipients que dans le syst me d immer sion temporaire ont t employ s De l air st rilis et filtr tait inject au moyen d une pompe air 600 ml s toutes les heures pendant cinq secondes Trente m rist mes ont t plac s dans le bior ac teur un m rist me pour 66 ml de milieu Dans le syst me de culture conventionnel les explants taient cultiv s sur milieu MS solidifi avec 0 2 g l de Phytagel Sigma Co Dans chaque r cipient de 300 ml Magenta Box Sigma Co quatre explants ont t inocul s avec 50 ml de milieu un m rist me pour 25 ml de milieu Dix r cipients ont t utilis s pour un total de 40 explants Les cultures ont t maintenues dans une chambre environnement contr l 27 2 C lumi re blanche froide fluorescente d une intensit de 33 umol m s4 photop riode de 16h de lumi re 8 h d obscurit Au bout de quatre semaines le nombre de pousses leur taille ainsi que le poids frais des pousses et des bourgeons ont t not s Les r s
196. s 1966 Valmayor et al 1981 les bananiers auraient p n tr les hautes terres d Afrique de l Est la suite d introductions multiples entre le premier et le sixi me si cle de notre re Price 1995 Une large gamme de vari t s uniques appartenant aux bananiers des hautes terres d Afrique de l Est AAA EA qui ont volu localement existe maintenant dans la r gion La r gion des hautes terres d Afrique de l Est est reconnue comme tant un centre secondaire de diversit g n tique des Musa Stover et Simmonds 1987 Swennen et Vuylsteke 1988 le niveau le plus lev de diversit des g notypes AAA EA tant observ en Ouganda Kyobe 1981 Rubaihayo et Mukasa 1993 La connaissance du degr d apparente ment g n tique entre les clones et de ten due de la diversit chez Musa est importante pour la conservation et la s lection de parents dans les programmes d am lioration Garwel et J arret 1992 Ortiz et al 1995 Lagoda et al 1999 Les caract res morpho logiques ont t largement utilis s pour l identification de clones et les tudes taxo nomiques Brewbaker et Umali 1956 Allen 1965 Stover et Simmonds 1987 Sebasigari 1990 Karamura 1998 a utilis 73 caract res morphologiques pour classifier les bananiers des hautes terres d Afrique de l Est en Ouganda en cinq groupes de clones Mbidde bananes bi re Musakala Nakabululu Nfuuka et Nakitembe Cependant la com plexit des interac
197. s de pincement l extr mit du c t de la fleur On a donc un poids plus lev pour une longueur de fruit donn e et cela d autant plus si on laisse les r gimes se remplir D Dwarf a galement des mains bien form es ce qui faci lite encore l emballage Dans le nord du Queensland on traite de mani re routini re les r gimes mergeants quand ils sont encore dress s avec un insecti cide pour contr ler la mite de la galle du bana nier Nacoleia octasema et les thrips des fleurs Thrips hawaiiensis Cependant comme les feuilles de D Dwarf sont forte ment dress es il est plus difficile de d tecter et d injecter le produit dans les r gimes mer geants Une application au sol de fongicides peut galement tre emp ch e par le port dress de ses feuilles La pourriture bact rienne du corme caus e par Erwinia spp est un probl me d importance croissante dans le nord du Queensland Daniells 1995 Les pertes dues a la chute des plants ont pu atteindre jusqu 20 30 dans les premiers cycles de production J usqu ici les indications donn es par les fermiers sont que D Dwarf est plus susceptible la pourriture du corme et du c ur que Williams D Dwarf pourrait tre plus sensible aux stress environ nementaux ce qui le rendrait plus vuln rable a l invasion par ce pathog ne opportuniste Buddenhagen 1994 Des tudes en cours pourraient identifier des micro o
198. s des deux esp ces soient elliptiques le rapport longueur largeur du sp cimen vietnamien est gt 3 alors que celui du sp cimen chi nois est lt 3 Le bourgeon inflorescenciel de Musella splendida est ovo de mais l apex est ouvert lorsque les extr mit s longues et pointues des bract es indivi duelles se s parent pr cocement avant de se replier la base Musella lasi o carpa produit un bourgeon inflorescen ciel delto de avec des bract es serr es et tr s imbriqu es Les fleurs de la base de la nouvelle esp ce sont hermaphrodites alors que celles de l esp ce type sont femelles Enfin les fruits de Musella splendida sont aspermes et parth nocar piques mais ceux de Musella lasiocarpa contiennent des graines viables Le terme splendida a t choisi pour d crire l l gance et la magnificence de la nouvelle esp ce Remerciements Les auteurs expriment leur reconnaissance Mme Claudine Picq INIBAP France pour son examen approfondi de la litt rature sur les Musaceae au Prof Markku H kkinen de Kotka Finlande pour avoir fourni des infor mations d importance vitale sur les Musaceae sauvages au Dr Chen Houbin de la South China Agricultural University pour les traductions de la litt rature chi noise M Mike Price du Michigan USA 26 INFOMUSA Vol 11 N 2 Figure 7 Parties de fleurs m les de Musella splendida montrant l extr mit c tel e du t pale libre et les anth res avec de n
199. s embryog niques transform es figure 1 Importance des interactions entre les facteurs analys s au cours du processus de transformation L analyse statistique des interactions axb axc bxc et axbxc montre qu elles sont tr s importantes pour le processus de transfor mation P lt 0 0001 et que les meilleures moyennes de l efficacit de l expression transitoire sont obtenues pour les interac tions alxb3 34 96 alxc7 32 76 b3xc7 41 21 et alxb3xc7 61 10 L estimation des composants de la variance indique que l interaction Agrobacterium x AS est la plus importante avec une contribution de 12 97 la variance totale figure 2 Sur la figure 3 A on peut observer que pour les deux concen trations d Agrobacterium l efficacit la plus lev e de transformation a t atteinte la concentration de 200 uM d AS et que celle de 108 cellules d At650 pLiGh ml a permis d obtenir le plus grand nombre d agr gats cellulaires pr sentant une activit GUS et ce pour les quatre niveaux d AS essay s L interaction AS x temps d infection confirme que la concentration de 200 uM d AS est celle qui permet la meilleure effica cit pour une dur e d infection de 12 24h figure 3 B L interaction temps d infection x Agro bacterium est celle qui a contribu le moins la variance totale 6 39 figure 2 Sur la figure 3 C la sup riorit de la concentration de 108 cellules ml s est confirm e et ce quelque soi
200. s fruits lui conf re galement une place privil gi e quant leur consommation en frais ou cuits verts ou m rs Ce mat riel sen sible R similis est cultiv avec d excellents r sultats par de petits agriculteurs ou par des coop ratives au Honduras au Nicaragua et en Equateur Sa production dans des conditions identiques peut tre de deux trois fois plus lev e que celle du bananier plantain Cuerno www fhia hn banano htm 1998 En raison des dommages caus s par les n matodes sur les racines et le corme et le peu d informations disponibles sur leur incidence dans la municipalit de Palestina Caldas Colombie nous avons r alis a la ferme Montelindo l tude pr sent e ici afin de d ter miner les genres et les populations de phyton matodes qui interf rent avec le d veloppement et le fonctionnement du syst me racinaire des bananiers plantains Dominico hart n Africa FHIA 20 et FHIA 21 Mat riel et m thodes La ferme Montelindo de l Universit de Caldas est situ e dans le secteur Santagueda munici palit de Palestina d partement de Caldas a une altitude de 1010 m avec une temp rature annuelle moyenne de 22 8 C et des pr cipita tions annuelles de 2200 mm Les sols sont for m s a partir de cendres volcaniques and si tiques au grain fin class s dystrandept typique pr sentant une bonne fertilit naturelle et une texture franco sableuse Salazar et Duque 1994
201. sfer to maize cells histochemical investigation of b glu curonidase activity in maize tissues Proc Natl Acad Sci USA 90 1488 1492 Stachel S E Messens M Montagu amp P Zambrisky 1985 Identification of the signal molecules produ ced by wounded plant cells that activate T DNA transfer in Agrobacterium tumefaciens Nature 318 624 629 Usami S S Okamoto Y Takebe amp Y Machida 1988 Factor inducing Agrobacterium tumefaciens vir Cielo Rocio Pineda travaille au Programa Nacional de Recursos Gen ticos y Biotecnologia Vegetal et Andr s Laignelet l Unidad de Vinculaci n Tecnol gica CORPOICA A A 240142 Las Palmas Santaf de Bogota Colombia Nelson Toro Perea et Heiver Cardenas au Departamento de Biologia Secci n de Gen tica Universidad del Valle A A 25360 Cali Colombia Javier Narvaez et Martha Lucia Orozco travaillent actuellement a l Institute of Biological Chemistry Washington State University Pullman WA99164 EEUU Auteur pour toute correspondance lectronique e mail ciropi70 hotmail com G notypes de bananiers Musa spp soumis au stress salin tol rance et sensibilit E Waked Ferreira Gomes L Willadino L S Semen Martins T Rangel Camara et S de Oliveira e Silva a culture des bananiers est restreinte dans les zones pr sentant des pro bl mes de salinit ou de teneur lev e en sodium Ces probl mes dus une eau d arrosage saline et un travail inapprop
202. sp nov differt magnopere a Musella lasiocarpa A R Franchet C Y Wu ex Li Hsi wen statura plantae structura inflo rescentiae et characterious floresque fruc tuum Plantae Musella splendidae ampliores 1 0 1 2 m altae variantes prae quam Musella lasiocarpae usque ad tantum 0 6 m Folia uterque specierum ellipticae in Musella splendidis plures triplo longiora quam latiora in Musela lasiocarpis minores triplo Alabastrum inflorescentia rum Musela splendidae ovatum sed ape riens ad apicum quandoquidem apicibus acuminatis bractearum praecocibus disce dentibus ante complicarentes deorsum basibus quamquam alabastrum Musella lasiocarpae deltiodeum bracteis valde imbricatis Flores basales speciei novae her maphroditi sed Musella lasiocarpae femi nei Postremo fructus Musella splendi dae parthenocarpicus et exseminales sed Musela lasiocarpae semina viabilia ferentes Epitheton splendida elegantique magnificenti speciei novae selecta Fran ais Musella splendida R Valmayor amp L D Danh sp nov se diff rencie de Musella lasiocarpa A R Frachet C Y Wu ex Li Hsi wen par des diff rences majeures dans la stature de la plante la structure de l inflorescence et les caract ristiques des fleurs et des fruits Les plantes de Musella splendida sont plus grandes d une hauteur com prise entre 1 0 et 1 2 m par comparaison avec Musella lasiocarpa qui est plus petite d une hauteur inf rieure 0 6 m Bien que les feuille
203. ssi fi e r cemment par Valmayor 2001 Au Vietnam les explorateurs ont galement col lect des sp cimens sauvages d Ensete glau cum Roxb Cheesman Mais la trouvaille la plus importante du projet de collecte de mat riel g n tique de bananier au Vietnam est Chuoi Canh qui n est ni une Musa ni une Ensete Les auteurs ont classifi Chuoi Canh comme une nouvelle esp ce de Musella Description botanique de Musella splendida R Valmayor amp L D Danh sp nov Aspect g n ral de la plante Herbac e et succulente avec un pseudotronc rig form par les bases des gaines foliaires embras santes et persistantes La plante atteint une hauteur de 1 0 1 2 m la maturit repro ductive L inflorescence primaire est termi nale et rig e Des rejets naissent de la base des feuilles au niveau du sol figure 2 Les plantes g es produisent des inflorescences lat rales qui d marrent depuis l aisselle des feuilles au dessus du sol Pseudotronc et rejets Pseudotronc de couleur verte brillant chez les jeunes plantes mais devenant terne maturit avec l apparition d un aspect cireux La plante produit librement des rejets de nombreux rejets sont produits depuis la large base du pseudotronc Quand le pied m re devient plus vieux et que l inflorescence terminale a produit des fruits 2 5 inflorescences lat rales mergent depuis la base des feuilles sup rieures embrassant le pseudotronc figure 3 P tiol
204. st me de culture itin rante les plantains sont plant s la premi re ann e apr s le d fri chement des terres quand la mati re organique du sol est maximale et que la densit brute du sol est basse De fa on similaire la croissance vigoureuse des plantains et des bananiers dans les syst mes de jardins de case Nweke et al 1988 pourrait tre partiellement attribu e au contenu lev en mati re organique et la faible densit brute du sol associ e Pour le cultivar de bananier d altitude d Afrique de l Est Mbwazirume AAA McIntyre et al 2000 ont rapport que les trai tements avec paillis taient plus productifs en terme de biomasse en surface et dans le sol que des traitements en sol nu La densit brute moins lev e et l absorption d eau plus rapide en profondeur dans les traitements de paillis indiquaient que le paillis augmente la porosit du sol et am liore l infiltration Salau et al 1992 ont attribu l am lioration de la croissance v g tative et de la production de r gimes chez des plantains paill s entre 38 INFOMUSA Vol 11 N 2 autres l augmentation de la porosit du sol et de la capacit d infiltration du sol L effet positif d une augmentation de la porosit du sol sur la croissance et le d veloppement des racines a galement t d montr chez les bananiers dessert Champion et Sioussaram 1970 Sioussaram 1968 Delvaux et Guyot 1989 Robinson 1996 et pou
205. system for Mycosphaerella pathogens of banana FEMS Microbiology Letters 195 9 15 Four E 1982 Les cercosporioses du bananier et leurs traitements Comportement des vari t s Etude de la sensibilit vari tale des bananiers et plantains a Mycosphaerella fijiensis Morelet au Gabon maladie des raies noires Incubation et volution de la maladie Fruits 37 12 749 759 Jones D R 1995 Rapid assessment of Musa for reaction to Sigatoka disease Fruits 50 1 11 22 Mourichon X P Lepoivre amp J Carlier 2000 Host patho gens interactions Pp 67 72 in Chapter 2 Fungal disease of the foliage Diseases of banana Abaca and Enset D R J ones ed CAB International Romero R A amp T B Sutton 1997 Reaction of four Musa genotypes at three temperatures to isolates of Mycosphaer dla fijiensis from different geographical regions Plant Disease 81 1139 1142 Les auteurs travaillent a l Instituto de Biotecnologia de las Plantas Universidad Central de las Villas Carretera a Camajuani km 5 1 2 Santa Clara Villa Clara CP 54830 Cuba Un nouveau facteur pour estimer la surface foliaire totale chez le bananier N Kumar V Krishnamoorthy L Nalina et K Soorianathasundharam a surface foliaire est l un des param tres utilis s pour d terminer le potentiel pho tosynth tique d une plante Watson 1947 a appliqu le concept de surface foliaire Tableau 1 Surface foliaire totale pour mesurer le potentie
206. t choisies Maliyakale 1992 Pich et Schubert 1993 L ADN a t isol partir de mat riel foliaire frais 0 7 g en suivant le protocole d crit par Vroh et al 1996 avec certaines modifications Apr s la premi re extraction au chloroforme une seconde extraction avec du N C tyl N N N trim thyl bromure d ammonium CTAB 10 suivie par des extractions r p t es au chloroforme a t ajout e pour assurer la pr cipitation et l li mination efficace des prot ines et des hydrates de carbone Rowland et Nguyen 1993 La composition du tampon CTAB a t modifi e en augmentant la concentra tion de polyvinylpyrrolidone PVP 40 de 2 4 et celle du b mercapto thanol de 5 8 Le probl me des polyph nols Maliyakale 1992 Pich et Schubert 1993 a t r solu en augmentant les concentrations de PVP 40 polyvinylpyrrolidone et de R mercapto thanol dans le tampon CTAB d origine La quantit d ADN r colt a t estim e par spectrophotom trie avec un SmartSpect 3000 Version 1 00 39 BI O RAD comme d crit par Linacero et al 1998 La spectrophotom trie et lectro phor se Linacero et al 1998 ont t utili s es pour valuer la qualit d ADN Les r actifs de qualit pour biologie mol culaire utilis s pour l analyse AFLP taient les kits syst me pour l analyse AFLP kit de r actifs AFLP Core et kit d amorces AF LP Starter de Life Technologies GIBCO BRL Ce syst me
207. t t pulv ris s dans un mortier refroidi l avance avec 1 ml de solution tampon Scandalios 1969 300 mg de sac charose et 300 mg de polyvinylpyrrolidone PVP Les mati res ainsi homog n is es ont t centrifug es 14 000 t min 4 C durant 10 min Ensuite on a pr lev des par ties aliquotes de 10 ml du surnageant et on les a incluses dans les gels La migration s est faite la temp rature de 4 C et un potentiel de 9 0 V cm jusqu ce que la ligne de front atteigne 9 cm en direction du p le positif On a ensuite teint et photographi les gels Pour les syst mes ACP MDH et SKDH les gels ont t confectionn s avec 8 ml de tampon borate de lithium 0 2 M et de pH 8 3 et 72 ml de tampon citrate 0 2 M et de pH 8 3 Dans les cuves on a employ du tampon borate de lithium a 0 2 M et de pH 8 3 Les gels du syst me GOT ont t confec tionn avec du tampon ac tate de sodium a 0 2 M et de pH 5 0 et ceux du syst me PO avec du tampon Poulik pour gel de pH 8 0 9 2g de Tris 0 96g d acide citrique et de l eau distill e pour compl ter 1000 ml Dans les cuves on a utilis aussi bien pour le syst me GOT que pour le PO du tampon Poulik pour cuves 18 54 g d acide borique et 2 g d hydroxyde de sodium et de l eau distil l e pour compl ter 1000 ml Tous les gels ont t utilis s la concentration de 7 0 28g de bis acrylamide 5 32g d acryla mide 0 08ml de TEMED 0 8 ml de persu
208. t 0 038 mm respectivement Les tamis n 35 et 100 ont t lav s pendant 2 min et leur contenu vers dans un b cher de 200 ml com pl t par de l eau potable jusqu 100 ml Enfin le m lange eau racines a t homog n is avec une baguette de verre pendant 30 s et transvas dans des tubes de centrifugeuse a rotation s pa r e 3 800 t min durant 5 min Une fois le sur nageant limin les tubes ont t remplis de nouveau avec une solution sucr e 500 g de sucre dissous dans 1 L d eau et recentrifug a 3800 t min durant 5 min Le surnageant a t vers sur un tamis n 400 lav l eau distill e pour liminer la solution sucr e et transf r dans un b cher de 100 ml auquel on a ajout de l eau potable pour compl ter 20 ml La sus pension a t homog n is e avec une baguette de verre pendant 10 s puis une aliquote de 5 ml a t d pos e dans une cellule de comptage une bo te de P tri divis e en 8 quadrants Une fois le comptage effectu sous st r oscope marque Nikon ces 5 ml ont t remis dans le b cher homog n is s nouveau et compt s trois reprises Le nombre moyen de n matodes a t calcul par ml et la population totale de l chantillon a t extrapol e Vingt n matodes ont t pr lev s dans la cel lule de comptage l aide d une aiguille dissec tion d pos s dans une goutte d eau sur une lame recouverte ensuite d une lamelle obser v s au mic
209. t au locus BEL mais reste cependant sous son contr le L existence d au moins trois EPRVs patho g nes d pendante du locus BEL renfermant le facteur d activation implique que la nature de ce dernier est diff rente de s quences virales Nous avons tent d aborder le m canisme de r gulation des EPRVS en explorant le compor tement sain du parent femelle M balbi siana Ce dernier pr sente une r sistance tant l expression des EPRVS qu celle des souches BSV lors d inoculations ext rieures Des propositions quant l origine du m ca nisme d int gration et d expression du BSV sont discut es lll Impact de la culture banani re sur l environnement Influence des syst mes de cultures sur l rosion le bilan hydrique et les pertes en nutriments sur un sol volcanique en Martinique cas du sol brun rouille halloysite Th se de doctorat pr sent e en juin 2001 l Ecole nationale sup rieure d agronomie de Montpellier France Bounmanh Khamsouk les Antilles fran aises la culture banani re n cessite une abondante utilisation d engrais et de pesticides p ratiqu e en syst me intensif dans Localis e pr s des cours d eau et pr s des zones d habitation cette monoculture inten sive pourrait donc avoir des r percussions sur l environnement d s l instant ou le milieu insulaire offre des conditions pluvio sit annuelle lev e reliefs accident s propices une d gradation des terres culti
210. t le temps d infection En ce qui a trait l interaction entre les trois facteurs la contribution de la variance moyenne la variance totale est de 8 2 figure 2 ce qui indique que m me si elle est importante ce n est pas celle qui p se le plus parmi toutes les interactions analys es Expression transitoire pendant les valuations Bien que le temps d infection n ait pas t consid r comme un facteur de poids dans le processus de transformation ses r sultats ne d pendant pas des principaux facteurs tudi s l interaction de ce facteur avec le temps d valuation permet d observer la variation dans l efficacit de l expression 10 INFOMUSA Vol 11 N 2 transitoire pendant ces dix jours La figure 4 indique que la fr quence de transformation la plus lev e a t obtenue au bout de trois jours apr s une infection de 24 h 37 62 mais que au dixi me jour elle a chut 10 57 On observe galement que pour 1 4et 8h d infection l activit GUS s est mani fest e au bout du deuxi me jour de co cul ture 0 44 2 12 mais qu au dixi me jour elle a disparu Le contraire s est produit pour les temps d infection de 12 16 20 et 24 h temps pour lesquels l action de l enzyme a commenc d s le premier jour de co culture de 6 92 20 62 et s est maintenue jusqu au dixi me jour de 3 88 15 35 La meilleure efficacit de transformation au bout de dix jours a t atteinte pour un
211. t pas t d crits auparavant Troisi me r union de MUSALAC La 3 me r union du R seau de recherche et de d veloppement sur les bananiers et les bana niers plantain pour l Am rique latine et les Cara bes MUSALAC s est tenue Santo Domingo en R publique Dominicaine du 7 au 10 ao t le CEDAF Centro para el Desarrollo Agropecuario y Forestal Inc et IDIAF Instituto Dominicano de Investigaciones Agropecuarias y Forestales ont particip l organisation de la r union Trente chercheurs de 13 pays Bolivie Br sil Colombie Costa Rica Cuba R publique Dominicaine Equateur Honduras Mexique Panama P rou Porto Rico et Venezuela ont particip cette r union J usqu maintenant le Nicaragua avait assist aux r unions de MUSALAC en tant qu invit sp cial mais cette ann e la repr sentante du Nicaragua Maritza Vargas a d pos une demande officielle au conseil d administration de MUSALAC la suite de quoi le Nicaragua est devenu le plus r cent membre de MUSALAC la requ te ayant t accept e l unanimit Altagracia Rivera de Castillo la pr sidente de MUSALAC Rafael Ortiz le vice ministre de l agriculture dans le gouvernement dominicain et Franklin Rosales le coordinateur r gional de l INIBAP pour l Am rique latine et les Cara bes ont ouvert la r union Le th me de la r union de cette ann e portait sur l importance socio conomique du plantain en Am rique latine et les
212. tation Essai au champ L essai a t mis en place la station de recherche de CORBANA 28 Millas dans le canton de Matina dans la plaine c ti re atlan tique de la province de Limon au Costa Rica La hauteur cumul e des pr cipitations entre juin 2000 et septembre 2001 atteignait 5089 mm Juin 2001 a t le mois le plus humide pluvio m trie de 548 mm et mars 2001 le plus sec pluviom trie de 76 mm Les temp ratures maximales minimales moyennes pendant cette p riode ont t 29 5 C 20 2 C Le sol tait une argile sableuse 52 de sable 42 d argile et 6 de limon avec un pH de 5 9 un contenu en mati re organique de 1 3 et un contenu en bases de 25 7 cmol L de Ca 10 1 cmol L de Mg 0 24 cmol L de K 7 2 mg L de P 269 mg L de Fe 5 mg L de Cu 1 1 mg L de Zn et 54 mg L de Mn Avant le d but de l essai un site de 20 x 40 m a t plant avec Musa AAA cv Grande naine pour assurer une forte pr sence de n matodes parasites particuli rement Radopholus si mi lis La distance tait de 2 5 m entre les lignes et 2 7 m entre les plantes Des billons orient s est ouest d environ 0 5 m de largeur et 0 2 m de pro fondeur ont t faits Ils d bouchaient dans un canal central pour vacuer l eau de surface Les 70 plantes 10 lign es x 7 r p titions lign e ont t plant es en groupes de 1 2 plantes par lign e 4 dates diff rentes sur une p riode de 5 semaines afin d assurer la disponibil
213. teur de l INIBAP Montpellier France et Subbaraya Uma chercheur principal au National Research Centre for Banana de Tiruchirapalli Inde Ce prix est attribu tous les deux ans par l AIPUB en reconnaissance d une contribution excep tionnelle dans le domaine de la promotion dela recherche de la mise en valeur et de l utilisa tion du bananier Emile Frison a d montr ses qualit s de leader et a su insuffler un dynamisme la recherche sur le bananier am lio rant ainsi les conditions de vie de millions de personnes dans la r gion Asie Pacifique II a jou un r le cl dans l ta blissement de r seaux de recherche et dans le lancement du programme global d am lioration des Musa PROMUSA et du Consortium international sur la g no mique du bananier Le IPGRI A Maghuyop INIBAP Asie Pacifique E Frison INIBAP G Hawtin IPGRI et P Sajise IPGRI APO INFOMUSA Vol 11 N 2 51 Memon borna Massis Me rete st imitar es n m Subbaraya Uma a particip l tablissement de la plus grande collection de vari t s sau vages exotiques et cultiv es en Asie Elle a identifi quatre nouvelles esp ces incluant le premier bananier t traploide d origine indienne Bhat Manohar et une gamme de g nomes sauvages de balbisiana BB qu on ne trouve que dans le sous continent indien Elle a galement contribu de maniere significative a la taxonomie des bananiers indie
214. tions entre les g nes et environnement Shanmugavelu et al 1992 cr e des probl mes car des tests en champ labor s sont n cessaires pour qu une clas sification soit effective De Langhe 1990 Bhat et al 1997 Oliviera et al 2000 Valmayor et al 2000 Lorsque la base g n tique est troite le pouvoir discriminant de la morphotaxonomie est faible J arret et Garwel 1995 Les techniques mol culaires ont le poten tiel de r v ler des informations g n tiques stables sur lesquelles baser la classification Le polymorphisme de longueur des frag ments amplifi s AFLP s est av r un outil mol culaire performant Donini et al 1997 capable de d tecter des diff rences g n tiques entre des accessions de Musa reli es entre elles Engelborghs et al 1998 et des individus troitement li s Jones et al 1998 Cet article rapporte les r sultats d tudes entreprises pour valuer les rela tions g n tiques entre bananiers des hautes terres d Afrique de l Est en utilisant la tech nique des AFLP Mat riel et m thodes Destissus de jeunes feuilles en cigare de 115 bananiers des hautes terres d Afrique de Est ont t collect s du centre ougandais de ressources g n tiques du bananier de Institut de recherches agricoles de Kawanda KARI et l Institut de recherches agricoles de Kabanyolo de Universit Makerere Les accessions dont e niveau de polyph nols tait pr sum faible ont
215. tr s court Peau paisse adh rant la pulpe blanche non comestible Fruit sans graines et parth nocar pique figure 8 Accession originale collect e dans une for t du nord de la province de Ha Giang Vietnam le 5 mai 1994 par le Dr Le Dinh Danh Accession No VN1 038 mat riel de plantation rejets donn es physiographiques importantes lati tude 22 49 Nord longitude 104 59 Est alti tude 118 m pluviom trie moyenne 24 30 mm temp rature moyenne 22 7 C max 40 C juillet min 1 5 C janvier sol sol de for t fertile avec humidit abondante texture du sol limon De vastes for ts couvrent les chaines de montagnes du nord du Vietnam qui bordent le sud de la Chine Les sp cimens de Musella qui apparaissent distincts de l esp ce type M lasiocarpa et de l esp ce nouvellement d crite M splendida montrent de la variabilit chez Musala Figure 9 Il est possible qu avec une accessibilit et des communications am lior es avec la Chine et le Myanmar des esp ces suppl mentaires soient d couvertes Holotype sp cimen d herbarium sp cimen conserv au Phu Ho Fruit Research Center Phu Ninh Phu Tho Vietnam Les accessions vivantes sont maintenant cultiv es dans la col lection nationale de mat riel g n tique de bananier du Phu Ho Fruit Research Center Caract res de diagnostic de Musella splendida en latin et en fran ais Latin Musella splendida R Valmayor amp L D Danh
216. tress salin sur les para m tres physiologiques et d valuer la diver sit g n tique existant entre eux gr ce des marqueurs iso enzymatiques Mat riel et m thodes L exp rimentation a t conduite en serre l Universit Rurale F d rale de Pernambuco R cife Br sil Ont t va lu s les g notypes des bananiers suivants Calcutta 4 AA Pacovan AAB sous groupe Prata mutant de la vari t com mune Prata Pome Nanicao AAA sous groupe Cavendish Caipira Yangambi km 5 AAA et FHIA 18 AAAB On a utilis des plants issus de micropro pagation d environ 15 cm de long La culture s est faite en sacs de poly thyl ne noir de 55 cm de long et 33 cm de diam tre contenant 10 kg de sable La surface du substrat a t recouverte d une couche de 3 cm de graviers pour r duire l vaporation et favoriser le INFOMUSA Vol 11 N 2 13 6000 5000 4000 3000 2000 Surface foliaire cm 1000 Pacovan FHIA 18 Nanic o G notypes 10 mol m E 50 mol m M 100 mol m Caipira Calcutta 4 Figure 1 Surface foliaire de cinq g notypes de bananiers apr s 21 jours de traitement salin 60 50 40 30 Poids sec g 20 10 0 Pacovan FHIA 18 Nanic o G notypes Oo mol m E 50 mol m M 100 mol m Caipira Calcutta 4 Figure 2 Poids sec de cinq g notypes de bananiers apr s 21 jours de trait
217. ttant d valuer l effet de l tat physique du sol sur le fonctionnement d une culture de banane a t param tr partir de l ensemble des r sultats pr c dents Le choix des crit res prendre en compte pour le raisonnement de la pr pa ration de sols a ensuite t discut Un sch ma de raisonnement de la pr para tion des sols garantissant un fonctionne ment optimal du syst me racinaire et une conservation long terme de la fertilit du sol a t propos en prenant en compte la variabilit des conditions p do climatiques dans la bananeraie guadelou p enne W 48 INFOMUSA Vol 11 N 2 Nouvelles de Musa Virus de la mosaique en tirets du bananier Une description du virus de la mosa que en tirets du bananier Banana streak virus BSV pr par e par l Association pour la description en ligne des virus des v g taux par des cher cheurs en biologie appliqu e est maintenant disponible sur le site web de PROMUSA sous la rubrique du groupe de travail en virologie R dig par Andrew D W Geering et J ohn E Thomas du Queensland Department of Primary Industries Australie le texte couvre une gamme tr s large de sujets tels que la trans mission la s rologie la purification du virus les propri t s des particules et du g nome les rela tions avec les cellules et les tissus l cologie et le contr le Il offre galement une tude appro fondie de la litt rature sur le BSV jusqu en 2
218. type dans une plantation du cultivar Williams issue de culture de tissus Des don n es ont t collect es sur un petit nombre de plantes cultiv es la station de recherches de South J ohnstone et des essais ont t mis en place sur des propri t s de planteurs en 1990 Le cultivar a t mis en circulation en 1998 pour une valuation au champ plus large Daniells et Bryde 1998 II est aujourd hui cultiv sur plus de 100 ha dans le Nord Queensland Observations en station de recherche La s lection d origine avait un port tr s nain avec des feuilles exceptionnellement dress es mais au cours des plantations suivantes le port nain est devenu moins prononc J D Dwarf n a pas une hauteur tellement diff rente de Williams Comme l ont montr nos essais en champ J D Dwarf tend tre l g rement plus grand dans les cultures des pieds m re mais plus petit lors des cycles de production subs quents Tableau 1 Les fruits de J D Dwarf tendent tre envi ron 5 plus courts que ceux de Williams Cela pourrait emp cher l adoption de J D Dwarf par les grossistes et les d taillants qui sont pr ts payer des prix plus lev s pour des fruits plus longs m me si des enqu tes aupr s des consommateurs indiquent une pr f rence pour des fruits de taille interm diaire Cette diff rence de longueur aurait des cons quences moindres pour les petits propri taires p
219. u NB3 Sous sous groupe III of Nakabululu distance g n tique de Nei Les codes se r f rent aux accessions tudi es qui sont pr sent es au tableau 1 for screening biodiversity K Angela P G Isaac amp D S Ingram eds Chapman amp Hall London Maliyakale E A 1992 An efficient method for the iso lation of RNA and DNA from plants containing polyphenolics Nucleic Acids Research 20 9 2381 Nei M amp W H Li 1979 Mathematical model for stu dying genetic variation in terms of restriction endonucleases Proceedings of the National Academy of Sciences USA 79 5269 5273 Ortiz R R S B Ferris amp D R Vuylsteke 1995 Banana and plantain breeding Pp 110 146 in Bananas and Plantains S Gowen ed Chapman amp Hall London Pich U amp 1 Schubert 1993 Midiprep method for the isolation of DNA from plants with a high content of polyphenolics Nucleic Acids Research 21 14 3328 Price N S 1995 The origin and development of banana and plantain cultivation Pp 1 13 in Bananas and Plantains S Gowen ed Chapman amp Hall London Rowland L J amp B Nguyen 1993 Use of polypethy lene glycol for purification of DNA from leaf tissue of woody plants Biotechniques 14 5 735 736 Rubaihayo P R amp S B Mukasa 1993 Banana based cropping systems in Uganda Research Bulletin 4 42 50 Scott D K M D Walker C W Clark C S Parakash amp K Deahl 1998 Rapid assessment of prime
220. u haut L tude conjointe du d terminisme du poids et de la qualit maturit du fruit la r colte r alis e dans ce travail est donc n ces saire pour optimiser le rendement quan titatif et qualitatif des bananiers Dans un premier temps nous avons d termin les causes de la variabilit pond rale des fruits au sein du r gime inflorescence Pour cela une tude his tologique du d veloppement a t r ali s e afin de d terminer la chronologie des phases de division cellulaire et de rem plissage des cellules l chelle du fruit et du r gime A l chelle du fruit la phase de forte accumulation de mati re s che remplissage a lieu apr s la fin des divi sions cellulaire dans le fruit Au sein du r gime il y a un d calage de d veloppe ment entre les mains basale mains du INFOMUSA Vol 11 N 2 47 haut initi es en premier et les mains dis tales mains du bas initi es en dernier Ce d calage a pour cons quence un nombre de cellules plus important dans les fruits des mains basales A partir des donn es histologiques un sch ma conceptuel du d veloppement de l inflo rescence a t propos Dans un deuxi me temps des modifica tions du rapport source puits ont t r ali s es au moyen d ombrage des feuilles dimi nution des sources ou par adaptation de techniques culturales couramment usit es telles que le gainage des r gimes augmen tation de l activit du
221. ucres Ganry 1975 Reddy 1989 De fa on int ressante la for mation de grumeaux durs tait plus lev e chez les r gimes cultiv s sous films non transparents que chez les t moins parce que la lumi re est n cessaire au d veloppement normal des fruits et leur m rissement Stover et Simmonds 1987 ont galement rapport que l utilisation de sacs pigment s n am liore pas la qualit A la r colte la couleur de la peau des fruits emball s tait exceptionnellement uniforme attractive et claire sans mou chetures ni taches figure 1 Les fruits cultiv s sous des films transparents taient plus attrayants d un vert fonc uni forme que les fruits couverts avec du poly thyl ne non transparent Ceci est d ce que la lumi re solaire filtr e permettait la peau de synth tiser de la chlorophylle Choudhury et al 1996 Heenan 1973 Stover et Simmonds 1987 Les fruits couverts avec du poly thyl ne noir non transparent reconditionn taient INFOMUSA Vol 11 N 2 43 d un blanc brillant quand ils n taient pas murs cause de la filtration presque totale 98 3 de la lumi re solaire D pourvus de chlorophylle les fruits sont rest s blancs brillants Les fruits m rs taient blancs mats et leur peau tait plus vuln rable la manipulation contrairement aux r sultats de Pandey 1994 et Nayak 1999 Bien que les films opaques aient r duit les taches ils ne peuvent tre reco
222. ueur Hauteur du Longueur du Largeur Rapport longueur a plantation la des r gimes des doigts de la pseudotronc limbe foliaire du limbe sur largeur du r colte des r gimes kg seconde main cm cm cm foliaire cm limbe foliaire Station de recherches de South Johnstonea J D Dwarf 351 4b 22 9 1 4 24 5 0 5 214 4 195 6 89 1 9 2 20 0 03 Williams 363 5 24 9 0 7 25 9 0 5 205 4 195 3 84 1 3 2 34 0 02 3i me cycle de production J D Dwarf 908 10 40 0 2 1 25 6 0 5 303 7 25247 101 1 7 2 49 0 04 Williams 952 21 44 0 2 0 27 1 0 5 327 20 265 13 98 2 9 2 69 0 08 Plantations participantes J D Dwarf 400 26 1 24 0 237 Williams 403 27 3 24 8 232 a Les donn es correspondent la moyenne de six plants b Erreur standard de la moyenne c Les donn es du 2i me cycle de production ont t exclues pour cause de mauvaise s lection des rejets d Les donn es correspondent la moyenne de 4 plantations avec 20 plants par plantation seules les donn es concernant le 1er cycle de production pied m re taient disponibles ment dans la canop e D Dwarf pourrait avoir une densit optimale de plants plus le v e mais ceci n cessite des recherches Certains planteurs ont trouv que J D Dwarf est plus facile empaqueter dans les car tons en carton fibre de 13 kg utilis s l heure actuelle C est parce que les fruits de J D Dwarf se remplissent jusqu l extr mit il n y a pa
223. ula tion mais s il existe un public qui n a pas besoin d tre duqu sur l importance des bananes comme nourriture de base ou source de revenus c est bien celui des lecteurs d INFOMUSA A partir d aujourd hui l introduction servira seulement pr senter le sujet de la recherche Mat riel et m thodes est une autre section qui peut souvent tre plus courte Les auteurs devraient donner seulement les d tails qui permettent au lecteur d appr cier la validit de la recherche De m me seuls les tableaux et figures n cessaires la compr hension de l article devraient tre inclus Un court texte peut parler autant que certains tableaux ou histo grammes Dans la mesure du possible il faudrait viter de citer en r f rences des rapports non publi s ou documents diffusion limit e tels que les rapports annuels Nos Conseils aux auteurs la fin de la revue expliquent comment les r f rences doivent tre cit es Nous sommes conscients d tre quelque peu hors normes d o notre demande aux futurs auteurs de suivre nos instructions lors de la pr paration d un manuscrit pour INFOMUSA Egalement d routante l occasion est la nomenclature des cultivars de bananiers Tout le monde est conscient de la n cessit de standardiser les nombreuses fa ons d crire le nom d un cultivar En attendant qu une telle liste devienne disponible nous demandons aux auteurs d utiliser des guillemets simples de mettre en majuscule la
224. ultats ont t analys s par analyse de variance une voie ANOVA suivie d un test de Duncan de comparaison des moyennes multiples la probabilit de p 0 05 R sultats et discussion L emploi de r cipients de 10 litres aug mente le risque de contamination micro bienne mais permet de maintenir les explants dans le m me r cipient jusqu ce que les plantules aient des racines suf fisamment d velopp es pour leur accli matation figure 2 Nous ne sommes tou jours pas s rs de l efficacit de l antibiotique Claforam utilis dans notre tude pour r duire le risque de contamination mais nous recommandons un tel traitement par pr caution Les syst mes d immersion temporaire et d immersion permanente ont produit respectivement 3 7 et 12 fois plus de mat riel v g tal que le syst me de cul ture conventionnel tableau 1 Les pousses produites dans le syst me conventionnel taient galement signifi cativement plus petites que celles pro 36 INFOMUSA Vol 11 N 2 Figure 1 Dans le syst me d immersion temporaire le bior acteur tait un r cipient de 10 litres et un r cipient de 5 litres tait utilis comme r servoir pour le milieu duites dans les deux autres syst mes Cependant le nombre de pousses pro duites avec le syst me de culture conven tionnel n tait pas significativement dif f rent de celui obtenu avec le syst me d immersion temporaire Ceci est d au fait que nous
225. us Les valeurs suivies d une lettre diff rente sont significativement diff rentes selon le test de comparaison de moyennes multiples de Duncan p 0 05 Figure 2 Plantules in vitro de deux mois produites avec le syst me d immersion temporaire pr tes l acclimatation through meristem tip culture Plant Cell Tissue Organ Culture 6 33 39 Lemos E E P M S Ferreira V S Magalh es L M C Alencar amp J G L Oliveira 2000 Uso de bioreatores de imers o temporaria para incrementar a micro propaga o de banana ABCTP Noticias 36 2 5 Levin R V Gaba B Tal S Hirsch D Denola amp 1 K Vasil 1988 Automated plant tissue culture for mass propagation Bio Technology 6 1035 1040 Lim S J H Seon K Y Paek S H Son amp B H Han 1998 Development of pilot scale process for mass propagation of Lilium bulblets in vitro Pp 237 241 in Proceedings of the International Symposium on Biotechnology of Tropical and Subtropical Species Part 2 R A Drew ed Acta Hort 461 Lorenzo J C B L Gonzalez M Escalona C Teisson P Espinosa amp C Borroto 1998 Sugarcane shoot for mation in an improved temporary immersion sys tem Plant Cell Tissue Organ Culture 54 3 197 200 Vuylsteke D 1989 Shoot tip culture for the propaga tion conservation and exchange of Musa germ plasm Practical manuals for handling crop germ plasm in vitro 2 BPGR Rome Wong W C 1986 In vitro propagation of banana Musa s
226. usakala 12 Enkonera Nfuuka D6 Enjogabakazi Musakala H9 Mbwazirume Nakitembe D8 Mukazi alanda Musakala H1 Salalugazi Nakitembe D7 Nalweunzika Musakala G8 Entundu Bi re F3 Enyabakazi Musakala 11 Imbululu Bi re 8 Mpologoma Musakala H4 Enkara Bi re 6 Bitambi Nfuuka G7 Luvuta Nakitembe Sous sous groupe 2 MS2 H3 Kibidebide Ne s applique pas 8 Enzirabushera Nfuuka H8 Kibagampera Bi re 7 Ndibwabalangira Nfuuka G6 Nakaangu Nakitembe 9 Luwata Musakala Sous sous groupe 2 NT2 K1 Mayovu Nfuuka 14 Ekirama Ne s applique pas 5 Enjagata Musakala 13 akawere Nfuuka 9 Nandigobe Nakitembe M3 alwera Nakitembe 4 Bikowekowe Nakitembe L7 Kafunze Nakabululu 3 Enyarutere Nakitembe L8 akakongo Ne s applique pas 2 Nakibinyi Nfuuka H6 Mende Bi re 1 Kigerekyanjovu Ne s applique pas M2 Entanga Bi re Sous sous groupe 3 MS3 K6 akyetengu Nakitembe G5 Muvubo Musakala K5 Lwefusa Nfuuka G1 Nalugolima Musakala K4 amaliga Nakitembe L3 Tulatwogere Nfuuka M1 Bagandeseza Bi re B3 Lwezinga Nfuuka L9 Bifusi Nakabululu A9 Keitaluganda Bi re L5 Engumba Bi re E5 Enzirabahima Nfuuka Sous groupe Nakabululu E1 Kifuba Nfuuka Sous sous groupe 1 NB1 D9 Enyeru Nfuuka E9 Bwara Bi re E2 Namafura Nfuuka E6 Tereza Nfuuka E8 Kasitaza Nfuuka D4 Namulondo Nakitembe A8 Likhako Nfuuka F1 Nakinyika Nfuuka Sous sous groupe 4 MS4 Sous sous groupe 2 NB2 B4 Enyoya Musakala B9 Endembezi Bi re B1 Mudwale Bi re B8 Enyambo Nfuuka K2 Lumenyamagali Musakala B7 Namesti Bi re B2 Namunwe Musaka
227. utilisation d une concentration ajust e et calcul e au pr alable et en plus elle vite la pr sence de micro organismes saprophytes ou d autres agents pathog nes Cet inocu lum peut tre employ sur des souches non productrices de conidies et n importe quelle poque de l ann e alors que la r colte de fragments de feuilles infect es ne peut se faire qu en saison s che ou peu plu vieuse J ones 1995 Balint Kurti et al 2001 Le degr d affectation du cultivar Grande naine a t sup rieur celui du FHIA 18 partir de la quatri me semaine d incubation et quelque soit le type d inoculum A partir de la sixi me semaine cette diff rence s est accentu e cause d un arr t du d veloppe ment des sympt mes chez le cultivar FHIA 18 tableau 1 Des r sultats semblables ont t obtenus par Romero et Sutton 1997 en tudiant la r ponse des cultivars FHIA 01 et FHIA 02 une sus pension de conidies comme inoculum IIs ont soulign que bien que le m canisme de r sis tance ne soit pas encore connu pour ces g no types la pr sence d une faible densit stoma tique l augmentation des d p ts picuticulaires de cire sur les feuilles ainsi que la production de phytoalexines sub rines ou lignines sont suppos es tre les m canismes associ s la r sistance partielle observ e chez ces hybrides Tableau 1 P riode d incubation et s v rit moyenne des sympt mes chez deux cu
228. yobe D A 1981 Survey of banana varieties in Uganda with regard to distribution and taxonomy Pp 332 in Proceedings of the 13 International Botanical Congress Sydney Australia Lagoda P F C Baurens L M Raboin amp J L Noyer 1999 The study of Musaceae Mapping and geno mics PROMUSA a Global programme for Musa Improvement International Symposium on Molecular and Cellular Biology of Banana Ithaca NY USA 22 25 March 1999 Linacero R J Rueda amp M A Vasquez 1998 Quantitation of DNA Pp 18 21 in Molecular tools INFOMUSA Vol 11 N 2 31 0 1 Figure 2 Ph nogramme non enracin de 115 accessions de bananiers des hautes terres d Afrique de l Est originaires d Ouganda produit en utilisant des donn es AFLP regroup es Les nombres aux embranchements sont des valeurs de bootstrap et la barre dans le coin sup rieur gauche du ph nogramme est l chelle de L gende MS1 Sous sous groupe de Musakala MS2 Sous sous groupe Il de Musakala MS1 MS2 Musakala sous groupe 1 MS3 Sous sous groupe III de Musakala MS4 Sous sous groupe IV de Musakala MS3 MS4 Musakala sous groupe 2 NF1 Sous sous groupe of Nfuuka NF2 Sous sous groupe Il of Nfuuka NT1 Sous sous groupe of Nakitembe NT2 Sous sous groupe Il of Nakitembe NB1 Sous sous groupe of Nakabululu NB2 Sous sous groupe Il of Nakabulul

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