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Télécharger le n°1 des Cahiers de la retraite

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1. 11 216 millions 2 487 millions d allocataires Agirc en 2009 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 06 Actualites Qualit de service Comment rem dier a l insatisfaction du client Traiter dans les meilleurs d lais les r clamations d pos es par les clients de la retraite complementaire aupres de leur caisse de retraite est un objectif que fixent les f d rations Agirc et Arrco ces dernieres n 2008 un groupe de travail a t constitu pour assurer un suivi du traitement des r clamations inscrit dans les contrats d objectifs 2008 2010 des institutions Ses missions recenser les usages en la mati re et faire remonter les probl matiques et dysfonctionnements qui peuvent tre li s aux outils et process de production par exemple La premi re tape pour le groupe de travail a consist r unir les bonnes pratiques et proposer une d finition de la r clamation La r clamation d un client est l expression justifi e ou non d une insatisfaction l gard d une prestation de service non conforme ses attentes Aujourd hui le groupe de travail a pos les bases d une proc dure minimale et commune de suivi dans les groupes Ainsi la r solution d une r clamation doit intervenir dans les 15 jours calendaires au maximum Une typo logie des motifs d insatisfaction a t retenue afin de faciliter leur ex
2. L enjeu 17 Mieux comprendre nos d penses informatiques En 2009 les co ts informatiques se sont lev s 483 millions d euros Soit une augmentation de 43 millions d euros par rapport 2008 15 millions pour la construction des briques et 21 pour le d ploiement Un r sultat d cevant pour Dominique Poussin secr taire g n ral de la DSI RC Certes nous sommes en phase d investissement mais en toute logique les charges li es aux applications qui doivent prochainement dispara tre devraient diminuer Pour y voir plus clair des groupes de travail associant les contr leurs de gestion des groupes ont t constitu s en 2009 afin d appliquer ces d penses une m thode d analyse des co ts bas e sur les activit s et non plus seulement sur les moyens ou ressources Gr ce cette d marche communautaire nous savons maintenant quoi correspondent les d penses constat es analyse Dominique Poussin et nous pouvons par exemple estimer qu environ 10 du total des co ts correspondent des investissements sur d anciens applicatifs Prochaine tape approfondir ces informations aupr s des groupes et les convaincre de structurer les outils de gestion de leur plate forme informatique selon la m me m thode d analyse normalis e Sch ma directeur Au del de la convergence informatique Le sch ma directeur informatique 2011 2014 donne une perspective l volution de l info
3. Forum de l investissement Cette ann e encore les visiteurs du Forum de l investissement de l pargne et du placement qui s est tenu Paris les 8 et 9 octobre ont pu s informer sur leur retraite compl mentaire de salari et en simuler le montant gr ce aux repr sentants de l Agircet de l Arrco pr sents sur le salon Salon des micro entreprises Les 12 13 et 14 octobre derniers l Agirc et l Arrco taient pr sentes sur le stand Protection sociale et emploi du Salon des micro entreprises au Palais des congr s Paris aux c t s de l Urssaf du RSI de P le Emploi et de la CCVRP Les conseillers ont informe les futurs cr ateurs ou repreneurs d entreprises de leurs droits et obligations en mati re de protection sociale d allocataires Arrco en 2009 Actualites 05 La loi de r forme des retraites Le projet de loi de r forme des retraites de base a t adopt par le S nat le 26 octobre puis par l Assembl e nationale le 27 octobre Saisi le 2 novembre par les parlementaires de l opposition le Conseil constitutionnel a 30 jours pour se prononcer sur la validit de la r forme Une fois le texte d finitif promulgu par le pr sident de la R publique la loi entrera en vigueur apr s sa publication au Journal officiel PRINCIPAUX POINTS RETENUS En r ponse la probl matique du financement des retraites le l gislateur a introduit des mesures d ge
4. Impression CIA D p t l gal Octobre 2010 No ISSN 0 998 2940 2 Bernard Van Craeynest dito 03 Avenir de la retraite compl mentaire Des lois des syst mes et des hommes avenir de notre syst me de retraite est au c ur de notre actualit La p riode est importante tant pour les r gimes de base en attente des d cisions l gislatives que pour les r gimes que nous repr sentons Sit t boucl e la r forme du r gime g n ral ce sera au tour des partenaires sociaux gestionnaires des r gimes compl mentaires d entrer en n gociation Au del de tout d bat partisan ce sera l occasion pour eux de rappeler leur attachement la gestion paritaire de ces r gimes qui a largement fait la preuve de son efficacit depuis plus de soixante ans Le pass en t moigne Au cours de ces r unions ils devront prendre la mesure du contexte conomique l gislatif et r glementaire qui p se sur nos ressources ainsi que des cons quences de la nouvelle loi Les r flexions porteront sur les param tres d quilibre l architecture des r gimes compl mentaires leurs modalit s de gestion En tant que gestionnaires des r gimes notre devoir est de garantir la p rennit du syst me et de maintenir le pacte social entre les g n rations Pour cela il faut non seulement bien g rer mais aussi s curiser les ressources Au del de ces enjeux d importance la retraite compl mentaire poursuit avec su
5. Piloter et g rer la pile m N 1 3 trimestre 2010 de la Retraite UUCTS L enjeu Convergence informatique r ussir ensemble Tour d horizon des r alisations et nouveaux defis le point sur Gouvernance tat des lieux Sommaire N1 10 Premier bilan un an apr s la signature de l accord sur la gouvernance des groupes de protection sociale 04 Actualit s gt Du nouveau sur le site www agirc arrco fr gt RIS lectronique accessible en direct gt Une feuille de route pour les accords de branche gt Pas d ElG en 2010 gt La loi de r forme des retraites gt Forum de l investissement gt Salon des micro entreprises gt Qualit de service rem dier l insatisfaction gt AISS tendances mergentes gt La bourse de l emploi volue gt Vers la norme 4DS en janvier 2012 08 Tendances Activit des femmes quelles volutions depuis 1975 10 Le point sur Gouvernance tat des lieux 12 venir Un nouveau site pour l action sociale Tour d horizon des r alisations et nouveaux d fis pour le programme de convergence informatique 3 Entretien avec Philippe Durance professeur associ au Conservatoire national des arts et m tiers 14 L enjeu Convergence informatique r ussir ensemble gt Revisiter notre organisation pour r ussir les d ploiements gt Les d fis de l apr s d marrage
6. 10 Le point sur Accord national Apres un an de mise en uvre de l accord sur la gouvernance des groupes paritaires de protection sociale l heure est a un premier bilan Revue de d tail Gouvernance tat des lieux vec la signature le 8 juillet 2009 de l accord sur la gouvernance des groupes paritaires de protection sociale les parte naires sociaux ont exprim l unanimit leur volont d exercer pleinement leur r le dans le pilotage et le contr le des groupes Depuis au rythme d une r union par tri mestre l instance de coordination Agirc Arrco Ctip charg e de mettre en place le cadre de cette gouvernance a men les mis sions qui lui ont t confi es par l article 16 en fixant les premiers l ments phares de la gouvernance des groupes paritaires de pro tection sociale GPS Les statuts de r f rence des groupes modifi s par un groupe de travail ad hoc et en lien avec le Ctip ont t arr t s afin de prendre en compte les dispositions de l accord Ces nouveaux statuts mettent notamment fin la notion de groupe simple l ensemble Questions Bernard Devy Pr sident de l instance de coordination Une gouvernance qui s est complexifiee Quel bilan faites vous au terme de pr s d un an de fonctionnement de l instance de coordination Un bilan positif dans la mesure o cette instance qui s est r unie pour la premi re fo
7. gt Partager les exp riences accompagner le changement 22 Regards crois s Formation des administrateurs changer et mieux comprendre 25 RC mode d emploi Le point sur les formations r serv es aux administrateurs 26 Droit et r glementation Comment s appliquent les dates d effet 28 Jurisprudence D cristallisation des pensions d cision du Conseil constitutionnel 30 Enqu tes et analyses Premier barom tre des m tiers de la retraite compl mentaire et de la pr voyance 32 L entretien Philippe Durance de la transaction la relation client 34 Europe L information des actifs en Europe N 1 3 TRIMESTRE 2010 LES CAHIERS DE LA RETRAITE COMPLEMENTAIRE T l 01 71 72 12 00 Fax 01 44 67 61 23 Www agirc arrco fr wWww agirc fr www arrco fr 16 18 rue Jules C sar 75592 Paris Cedex 12 Directeur de la publication Jean Jacques Marette R dacteur en chef Catherine Favre R dacteurs en chef adjoints Anne Pascale Dicque Nathalie Reboul R daction Rajae Khalid p 4 Nathalie Reboul p 4 5 7 25 Caroline Mille p 5 Martine Atrax p 6 Brigitte Briard p 7 Fr d rique Nortier p 8 9 Pierre Chaperon p 10 11 Anne Pascale Dicque p 12 13 Yann Cabaret p 14 21 Philippe Artru p 22 24 Laurence Nicolas et Betty Sanchez p 26 27 Sophie Michas p 28 29 Ga lle Vacher p 5 30 31 Conception et r alisation UNEDITE
8. d achat Concr tement quels sont les grands changements pr visibles des dix prochaines ann es M L Le barom tre d gage plusieurs grandes tendances au premier rang desquelles la place pr minente qu occupera la Relation clients De plus en plus les clients exigent d acc der facilement aux donn es qui les concernent et l information dispens e par leur groupe paritaire de protection sociale tant dans le domaine de la retraite compl mentaire que dans celui de la pr voyance De m me ils r clament plus d accompagne ment et de conseils personnalis s Les m tiers du conseil et de la vente sont donc appel s se renforcer et se professionnaliser dans les ann es venir Deuxi me grande piste d volution qui d coule de la premi re l utilisation amplifi e d Internet comme canal part enti re de la relation avec le client D o un besoin accru concernant les m tiers li s aux nouvelles technologies la d mat rialisation l automar tisation bref aux syst mes d information des m tiers de la Retraite compl mentaire et de la Pr voyance Interview de Mika l Louadoudi responsable de l Observatoire Des metiers en mouvement On peut imaginer que l accompagnement de ces changements impactera les m tiers de l organisation M L C est en effet la troisi me piste d vo lution Les m tiers de l analyse du pilotage et du contr le comme actuair
9. est la grande responsabilit dont chacun fait preuve en commission Le d bat est certes trop court mais il est toujours orient vers la recherche du consensus J ai trouv cette formation tr s compl te En deux jours on aborde toutes les th mati ques les fondements du r gime le volet r glementaire la gestion les grands d fis d mographiques etc Gr ce l intervenant sur l informatique l Usine Retraite n a plus de secrets pour moi J ai appr ci de pouvoir rencontrer les Pr sidents des caisses qui nous ont donn une feuille de route tr s claire pr server cet esprit de confiance qui a b ti le r gime par r parti tion faire vivre le pacte g n rationnel avec un r le d alerte et de vigilance permanente e Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Philippe Pihet FO Indispensable pour un administrateur Secr taire g n ral de l Union d partemen tale Force ouvri re du Rh ne Philippe Pihet 54 ans est galement tr sorier g n ral du syndicat national FO des cadres et orga nismes sociaux Je suis en charge du dossier des retraites compl mentaires au SNFOCOS J ai t form par ma conf d ration En toute logique il y a un an au renouvellement elle ma d sign comme administrateur Arrco Bien s r je suis d j un peu fami liaris avec le sujet Mais en suivant ce stage de deux jours j ai mesur la diff rence entre
10. voyance des Bourse de Internet La bourse de l emploi volue En cette rentr e 2010 la bourse de l emploi de la branche retraite compl mentaire et pr voyance a t totalement r nov e Avec un design plus actuel plus dynamique et proche des principaux sites de recherche d emploi la consultation des offres d emploi est d sormais plus conviviale facilit e mais devient surtout accessible tous et notamment aux personnes handicap es S inscrivant dans une logique de politique globale de promotion des m tiers de la branche la bourse de l emploi est depuis le mois de septembre accessible via le site de l Observatoire des m tiers http obsmetiers rcp pro fr Son ouverture au grand public devrait par ailleurs contribuer a attirer de nouveaux talents au sein des groupes paritaires de protection sociale Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Actualites O D clarations sociales Vers la norme 4DS en janvier 2012 La norme DADS U qui permet toute entreprise de d clarer les donn es sociales de l ann e civile pr c dente aupres des organismes de protection sociale volue u nouveau en mati re de d clarations sociales d mat rialis es L arr t interminist riel du 9 juillet 2010 art 3 annon ant la substitution au l janvier 2012 de la norme 4DS N4DS la norme DADS U a t publi au Journal Officiel le 7 ao t derni
11. 9 4 y NY SUR Conseil et pilotage 3 3 D 7 6 Finance Management Quels sont les m tiers qui recrutent comparaison recrutement effectif chiffres 2009 Source Profil de branche 2010 ACTION SOCIALE 31 662 BE 3 3 0 E e r GESTION a 22 o salaries E o o Ar B dans la branche a EE O __ retraite SEM DIREORRETON r EE Le recrutement compl mentaire N A par familles 7 6 7 de joe et prevoyance L ti D VELOPPEMENT PE e i _ en 2009 BE 132 FINANCE BE 4 5 D 3 3 MANAGEMENT RS 6 5 2 6 CONSEIL ET PILOTAGE BE 5 D 51 Ce graphique fait appara tre les m tiers qui se renforcent au sein de la branche Aux premiers rangs desquels le d veloppement mais aussi le pilotage les fonctions informatiques Un mot de m thodologie L laboration du barom tre s est faite en deux temps Premi re phase l analyse des volutions pass es et en cours des activit s des secteurs de la retraite compl mentaire et de la pr voyance mais aussi de domaines connexes tels que la banque l assurance la mutualit ou le social Deuxi me phase la synth se de ces l ments par un groupe Prospective m tiers compos d une dizaine de directeurs Retraite et Pr voyance et de DRH des groupes la cl l inventaire de facteurs d volution externes et internes qui serviront de base une monographie sur l volution des m tiers des familles Gestion parution c
12. D CRISTALLISATION PAR TAPES Dans le cadre de la toute nouvelle proc dure de question prioritaire de constitutionnalit le Conseil constitutionnel a rendu une d cision historique Celle ci consacre un processus de d cristallisation amorc au d but des ann es 2000 avec une d cision tr s Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Le Conseil constitutionnel valide le crit re de r sidence mais sanctionne le crit re de nationalit comme tant l origine des discriminations importante du Conseil d tat Par un arr t du 30 novembre 2001 la Haute juridiction administrative a en effet estim contraire la Convention europ enne des droits de l homme la loi de finances pour 1960 source juridique de ce gel des pensions Elle met ainsi en cause le crit re de nationalit qui fonde ces dispo sitions La diff rence de situation existant entre d anciens agents publics de la France selon qu ils ont la nationalit fran aise ou sont ressortissants d tats devenus ind pen dants ne justifie pas eu gard l objet des pensions de retraite une diff rence de traitement la suite de cette d cision le l gislateur a adopt des mesures modifiant les conditions de calcul des prestations pour tenir compte des diff rences de niveau de vie selon les tats Ainsi le montant des pensions est il devenu tributaire du lieu de r sidence de l all
13. a troubl le plus ce sont tous ces acronymes ces abr viations Il faudrait un glossaire a serait aussi tr s utile d avoir une r union avec sa caisse de retraite avant m me de prendre son mandat J ai appris beaucoup dans cette formation Pour autant je ne me sens pas encore totale ment au point Il me faudra d autres formations sp cifiques Sur le plan humain aussi les chan ges entre les administrateurs ont t tr s enri chissants Car chaque question apporte des r ponses Cela fait bouger les choses Ce qui m a frapp c est la profonde conviction des directeurs du GIE Agirc Arrco et des pr sidents que le syst me de retraite par r partition est le meilleur et qu il ne peut que perdurer Je suis confiant dans l avenir car j ai r alis qu on ne pourra pas remettre en cause ce syst me Au contraire il faudrait exporter ce mod le e Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Ghislaine Fruit CFTC Regards crois s 23 Une autre vision sur la continuit des retraites Ghislaine Fruit 55 ans vendeuse technique est d l gu e syndicale d l gu e du personnel et lue au comit d entreprise de Brico D p t B thune 62 J ai t nomm e administrateur la suite de la d mission d un suppl ant C est une mission exigeante Ce que je retiens de ces deux jours d abord c est que tous les admi nistrateurs ont un grand
14. apparition de pratiques participatives fortes telle que la co conception par exemple Ce passage d un sch ma un autre t moigne d un v ritable renversement des relations au sein de la soci t elle m me Dans tous les domaines conomiques technologiques politiques l appropriation devient une condi tion de r ussite Les entreprises ont elles pris la mesure de ces volutions Dans quel tat d esprit doivent elles se mettre pour s adapter P D Je crois la n cessit de renouveler r guli rement le regard que nous portons sur notre environnement Il ya bien souvent dans Beaucoup d entreprises restent malheureusement enferm es dans des visions fig es du pass Philippe Durance philippe durance cnam fr http phdurance blogspot com les organisations un certain conformisme qui conduit refuser de voir le changement Il para t toujours plus simple de modifier la r alit pour l adapter au mod le utilis par l entreprise que de prendre le temps et la peine de le reconsid rer Mais pourtant c est bien de mod le qu il faut changer Pour cela il faut accepter de s interroger de remettre en ques tion les habitudes les routines Pourquoi faisons nous de cette mani re Comment pouvons nous faire autrement Ce question nement est une condition incontournable de l innovation sortir du cadre aller au del Beaucoup d entreprises restent malheureu sem
15. cessation d indemnisation ou l incapacit EXEMPLE gt Date de cessation d activit le 31 janvier 2010 e Date de la demande de retraite compl mentaire le 30 juin 2010 au plus tard pour b n ficier d une date d effet au 1 f vrier 2010 e Date de la demande de retraite compl mentaire le 15 septembre 2010 gt date d effet le 1 octobre 2010 DATE D EFFET EN CAS DE PR AVIS NON EFFECTU La date d effet de la retraite compl men taire ne peut tre ant rieure au premier jour du mois civil suivant la date de la rupture du contrat de travail corres pondant au terme d une p riode de pr a vis non effectu si le participant qui se trouve dans une situation quivalant celle d un cotisant atteint l ge de la retraite au cours de cette p riode EXEMPLE gt Pr avis non effectu du 1 novembre 2010 au 31 janvier 2011 gt Rupture du contrat de travail le 31 janvier 2011 gt ge de la retraite le 15 novembre 2010 Date d effet dela retraite compl men taire le 1 f vrier 2011 si la demande a t d pos e dans les d lais R TROACTIVIT AU 65 ANNIVERSAIRE La date d effet de la retraite compl mentaire est fix e au premier jour du mois civil suivant le 65 anniversaire de l ancien salari sans activit cet ge lorsque la demande de liquidation est d pos e dans le courant du trimestre civil suivant son 65 anniversa
16. concitoyens Pour faire le point de ce chantier nous avons le plaisir de vous inviter parcourir les pages de votre magazine d infor mation nouvelle formule dont vous avez en main le premier num ro Nous vous en souhaitons une bonne lecture e G rard M n roud Pr sident de l Arrco Bernard Van Craeynest Pr sident de l Agirc G rard M n roud i PEA CPP AE 1 4 04 Actualites Www agirc arrco fr Du nouveau Sur Internet Le site Internet Agirc Arrco volue pour mieux s adapter aux besoins des internautes faciliter l acc s l information et donner plus de visibilit Le site de l Agirc et celui de l Arrco ont t all g s d une partie de leur contenu au profit des pages consacr es chacune des f d rations sur www agirc arrco fr 1 Fr quentation du site de janvier juin 2010 27 par rapport 2009 Nombre de pages vues 15 L cran d accueil a t repens D s l ouverture davantage Un espace est d di la presse de visibilit est donn e la diversit des contenus Gr ce Les derniers communiqu s un format largi 1 024x768 r solution d cran majoritaire sont mis en ligne des internautes l organisation se fait sur trois colonnes A9 ITCer al TCO Votre retraite on y travaille Demaenger apm ha par ds one sore 4 jp E YECIEINETE pE AEDs a DATE VOTE cE i E E W w FE i raa Bi H a HA
17. d atta chement adh rer c est tre d accord avec une id e par exemple c est tre adepte ou partisan Ces deux termes mettent l accent Parcours gt Philippe Durance est professeur associ au Conservatoire national des arts et m tiers d partement Management innovation prospective gt Ses recherches convoquent la fois la philosophie et l histoire pour renouveler le questionnement sur les organisations reconsid rer leurs repr sentations par les acteurs et leur apporter ainsi une vision innovante destin e d passer les contradictions sur lesquelles butent traditionnellement les d cisions et les actions collectives L entretien 33 Le mot client a aujourd hui une connotation avant tout commerciale mais cela n a pas toujours t le cas sur des aspects diff rents le premier semble souligner davantage l institution dans laquelle je place ma confiance le second l esprit de l institution auquel je souscris Il peut y avoir l mati re d bats notamment dans une perspective de changement important L conomiste le prospectiviste que vous tes est il confiant P D Oui je suis confiant parce que nous vivons une poque formidable dans laquelle il nous faut tout repenser certes pleine d incertitudes mais qui laisse l homme libre la possibilit de choisir Mais avant de faire des choix il faut r fl chir aux valeurs qui nous conduisent L
18. encore beaucoup de choses restent faire 1 Sontintervenus Jean Louis Bancel pr sident du Cr dit Coop ratif Philippe Durance conomiste professeur associ au Cnam Christian Dutertre professeur d cono mie l Universit Paris Diderot V ronique Ferrouillat sp cialiste du marketing ex membre de la direction Marketing international du groupe DHL Boston EN SAVOIR gt Le M mento de l administrateur n 72 est enti rement consacr la Rencontre des pr sidents et directeurs d institutions Agirc et Arrco Pour aller plus loin Vous avez dit co conception La co conception d signe l activit de conception de produit ou de service dans laquelle le client consommateur joue un r le actif Ce faisant l entreprise esp re minimiser le risque du lancement d un produit innovant recentrer le d veloppement du produit sur le client satisfaire le besoin et r inventer un mod le industriel et conomique Le lien cr entre l entreprise et le client lors de la co conception du produit permet une fid lisation et un partage d informations et de valeurs Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 34 Europe Information des actifs en Europe Gip Info Retraite relev de situation individuelle estimation indicative globale Ces l ments constitutifs de l information des actifs Sur leurs droits retraite sont d sormais connu
19. le lendemain Il pourra alors le consulter pendant quinze jours Aujourd hui on peut recevoir son RIS par courrier en le demandant au gestionnaire de l un de ses r gimes d affiliation Num ro de S curit sociale Une feuille de route pour les accords de branche En 2009 deux accords ont t conclus au sein de la branche retraite compl mentaire et pr voyance L un consacr la diversit et l galit des chances l autre l emploi des seniors Pour les mettre en uvre l Association d employeurs a tabli une feuille de route pour trois ans les actions visent la promotion de la diversit l galit professionnelle hommes femmes la gestion de la diversit des ges et l emploi des personnes en situation de handicap Pour coordonner l ensemble des actions la branche s est dot e d un coordinateur diversit Il agit en relation avec les correspondants diversit et les directions des ressources humaines des groupes de protection sociale ainsi qu avec des partenaires ext rieurs destinataires d une O en 2010 Le cap du million ogge e information retraite dans d entreprises ayant effectu D millions d actifs le cadre de la campagne al 1 2 0 leur DADS U sur du droit l information en 2010 net entreprises fr est franchi 1 080 268 Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Droit l information Pas d EIG en 2010
20. sur la constitutionnalit des dispositions l gislatives relatives la cristal lisation des pensions Sur le fond le Conseil constitutionnel fait droit l argumentation des requ rants en estimant les mesures incri min es contraires au principe d galit nonc par l article 6 de la D claration des droits de l homme et du citoyen de 1789 Les disposi tions en cause ont pour objet de garantir aux titulaires de pensions civiles ou militaires de retraite selon leur lieu de r sidence l tran ger au moment de louverture de leurs droits des conditions de vie en rapport avec la dignit des fonctions exerc es au service de l tat en pr voyant des conditions de revalorisation diff rentes de celles pr vues par le code des pensions civiles et militaires de retraite elles laissent subsister une diff rence de traitement avec les ressortissants fran ais r sidant dans le m me pays tranger si le l gislateur pouvait fonder une diff rence de traitement sur le lieu de r sidence en tenant compte des diff rences de pouvoir d achat il ne pouvait tablir au regard de l objet de la loi de diff rence selon la nationalit entre titulaires d une pension civile ou militaire de retraite et r sidant dans un m me pays tranger dans cette mesure lesdites dispositions l gislatives sont contraires au principe d galit En substance le Conseil constitutionnel l instar du Conseil d t
21. t g n ral de la retraite compl mentaire et int r t particulier des groupes lors du d veloppement des briques comme du d ploiement gt Renforcer la place des r gimes Agirc et Arrco dans le monde de la protection sociale en pr sentant une offre de service unifi e appuy e sur un syst me commun Renforcer la productivit de la gestion par la ma trise des co ts et l homog n isation des syst mes et outils Les objectifs gt Ramener les co ts informatiques 16 des charges de gestion en 2014 gt Enrichir le produit Retraite compl mentaire par de nouveaux services et une qualit sans cesse am lior e 60 c est la proportion de l UR qu il restera d ployer entre 2012 et 2013 Nous devons d ployer l Usine Retraite pour pouvoir encha ner d s 2013 avec d autres chantiers qui permettront d harmoniser nos outils et nos m thodes de r duire nos co ts mais aussi de faire voluer nos outils informatiques pour r pondre de nouveaux besoins m tier Fr d ric Coutard directeur du cadrage strat gique Le calendrier gt Les groupes pr curseurs font tourner des parties de l UR en corrigeant les bugs et en pr parant les versions que d ploieront les groupes utilisateurs de la vague 2 gt Apr s la production des briques les enjeux se d portent sur l industrialisation de la maintenance corrective et volutive et sur la capitalisation des premiers d pl
22. CORRECTIVE ET VOLUTIVE LA PRESSION MONTE Sur le terrain malgr ces r els motifs de fier t l heure n est pas au rel chement Nous sommes entr s dans une phase de gestion de progiciel explique le directeur de la DOP Nous devons la fois maintenir la version exis tante et ajouter des fonctionnalit s Les ver sions des briques qui tournent d j ne seront en effet pas celles que les groupes de la vague 2 pourront int grer Les pr curseurs doivent les faire voluer en int grant les particularit s r glementaires principalement des groupes utilisateurs Avec la cl sur le terrain une probl matique de gestion des ressources bien r elle Les chefs de projets ontnaturellement tendance se laisser aspirer par la correction des bugs qui g nent le bon fonctionnement des VI dans les groupes qui les exploitent d j au d triment de la pr paration des V2 constate Thierry Dim glio Or le timing est contraignant car les parti cularit s doivent tre instruites identification des besoins et sp cifications des fonctionna lit s avant la fin mars 2011 les six huit mois suivants tant consacr s au codage Il faut donc rapidement d passer ce palier et organi ser les quipes car si nous ne nous y prenons pas maintenant nous risquons de rater la deuxi me vague de d ploiement pr vient Thierry Dim glio COURIR ET PARTIR POINT Pour r duire les d lais de livraison et tro
23. Cette situation illustre d ailleurs les limites de notre organi sation actuelle pour relever les prochains d fis C est pourquoi il nous faut engager de profondes r flexions sur notre gouvernance au plus haut niveau Le sch ma directeur informatique 2011 2014 r pond il cette question D L La r flexion men e par la communaut informatique RC dans le cadre du sch ma directeur nous permet d ordonner les probl matiques et de pr ciser nos besoins comme la gestion globale du patrimoine de comp tences informatiques Le sch ma directeur offre donc des pistes de r flexion sur la gouvernance l affirme par exemple notre HT m a D Es 250 collaborateurs issus des groupes ou des plates formes informatiques ont t mobilis s pendant une ann e dans 24 groupes de travail par l laboration du sch ma directeur informatique 2011 2014 objectif de r duire sensiblement notre recours aux prestataires ext rieurs Pour une raison de co ts bien s r mais aussi pour conserver la ma trise technique de nos op rations dans le contexte de la sophistication de nos syst mes D ici la fin de l ann e nous allons donc lancer un projet prestataires visant notamment internaliser certain nombre de t ches nouveau un Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 E Aaa Sr 2a pi Fe Dre x D Fa 1 M
24. E core rovnte mr ka panpp dp PONT E Samua viin mirai D Contacter votre conteilor rabraiie rar Les CCE rat clou ae Mi R forme cos retraites Rionateur Cobra MEME RCHIO Pr sent ce Pour bien Gomprence les principaus pr s LANDES GROS ANNE 8 60e Mia Ma Bu Digjet Dor dent Tiiger iiig enea gu CHE Irc Fe qe Mabina Ent Qu Si Sobi be 5 r s Cons iniy r formes dea Tiisa nka R sultats 2009 des r gimes da Pour tout savoir par le cumul G na Ea a e a a a rotrai be compiiimarnimir emploient or mendre son a Pr Er noie connalne Les G rath MUDES SDAL TEMARI ATEI Acidia rT ai j La pension de r version Salon des micro antreprises A010 u peut en pintig Eu llel dore Los veus Souris Geer u epinar ja nwe F 4 Ati srl En zrni qu y LE TUTSA COUR g Lu palais poterie Jiini votre voirie s vous G C GEE en DETE ALT PO Ors EH RE MT re A PRE cbbga ores en mater d prof cion nn AA Sociie T A ro ver du Son Gus eg anirecrses l 12 136 14 marha pei es Rs LL Valeurs annuelles das points da _ a TT ea iibe comphiementabne mu Tarf coude cp Ma Se Pii Emploi l avri Ar p de la COVRP Dus conceers n on i s f muina vo Questions Mo LIDH Apin 0 4715 F te om ementaire Arge Agie m FAEG les groupes de prosection potio agent pour otre robrale compimetane Fan css ACODE mA Agra Arao ECT Jeu itm Les DS 2a a ah LEPRETEPRENS Les blocs consacr s aux actualit s aux dossiers Trois nouvel
25. L ge l gal de d part la retraite passe graduellement de 60 62 ans il aug mentera de quatre mois par an selon l ann e de naissance partir du 1 juillet 2011 pour atteindre 62 ans en 2018 L ge de d part la retraite taux plein actuellement fix 65 ans sera progressivement port 67 ans Cependant le droit au d part en retraite 60 ans est maintenu pour toute personne dont l tat de sant serait d grad suite des contraintes profes sionnelles physiques importantes des rythmes de travail parti culier etc Le taux d incapacit au dessus duquel s appliquera cette mesure sera arr t par d cret Deux nouvelles dispositions d information des actifs sont introduites dont les modalit s d application seront pr ci s es par d cret un document d information sur le syst me de retraite par r partition sera envoy aux assur s qui valident pour la premi re fois un trimestre et un rendez vous retraite sera ouvert 45 ans Enfin un comit de pilotage des organismes de retraite est cr Il veillera au respect des objectifs fix s dans l optique d un retour l quilibre des r gimes de base horizon 2018 Un d cret para tre en pr cisera la compo sition et les modalit s d organisation EN SAVOIR gt Lire Le M mento de l administrateur n 74 gt Consulter les sites Internet www observatoire retraites org rubrique Dossiers et www retraites2010 fr
26. Le 27 ao t le Gip Info Retraite et les 35 r gimes qui le composent ont lanc leur campagne annuelle d information Retraite Cette ann e ce sont quelque 5 millions de personnes qui recevront directement dans leur bo te aux lettres un courrier r capitulant l ensemble des droits retraite obtenus depuis le d but de leur carri re Pour autant 2010 ne sera pas exactement une ann e comme les autres R forme des retraites oblige les actifs n s en 1954 ou 1955 ne recevront pas d estimation indicative globale FIG Les nouvelles mesures venant tout juste d tre vot es par le Parlement le Gip Info Retraite en accord avec le minist re du Travail et de la Solidarit a d ci d de reporter l envoi de ces documents 2011 En attendant les actifs concern s rece vront une estimation indicative globale sans estimation autrement dit l quivalent d un relev de situation individuelle RIS Sont galement touch es par cette dispo sition les EIG rectificatives adress es partir du mois de juillet 2010 aux personnes n es entre 1950 et 1953 et ayant re u leur EIG dans le cadre des campagnes 2008 et 2009 En revanche pas de changement pour les actifs n s en 1960 1965 1970 et 1975 Leur relev de situation individuelle leur sera envoy entre le 27 ao t et le 3 d cembre Comme pr vu 17 529 millions de cotisants la retraite compl mentaire en 2009 dont 3 737 millions de cadres
27. amen e attente manifeste d lai trop long ou non respect silence etc e d saccord du client e incompr hension apr s une relation crite ou orale avec une institution e qualit du contact La recevabilit et les modalit s de traitement des insatisfactions restent bien entendu de la comp tence de chaque groupe qui remonte chaque fin d ann e le volume de ses r clama tions la direction des objectifs et de la qualit Agirc Arrco Celle ci se charge d tablir une photographie annuelle pour la retraite compl mentaire voir colonne de droite e 1 Courrier mail t l phone fax ou plainte oraleaupr s de Paccueil physique d un groupe b llestcompos de repr sentants des groupes paritaires de protection sociale de la direction des objectifs et de la qualit et de la direction de la r glementation ABirc Arrco 3 Outils communautaires degestion relev actualis de points de retraite rap etc Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Photographie 2009 gt La majorit des r clamations 54 sont effectu es par des retrait s et demandeurs de retraite gt Canal principal le t l phone 45 8 gt Pr s de 86 des r clamations sont trait es dans un d lai de 15 jours gt Le d lai d attente pour une r ponse attente manifeste est un motif d insatisfaction r current Les r clamations et le GIE Agirc Arrc
28. ance de r flexion d analyse et de proposi tion compos e des directeurs g n raux des GPS traitant des grands th mes aff rents au fonction nement des groupes de protection sociale Les GPS ont t inform s le 19 juillet 2010 par une lettre commune Agirc Arrco Ctip sign e du pr sident et du vice pr sident de l instance de coordination des r sultats de cette premi re ann e de travail faisant suite l accord Pour clore sa premi re ann e de mandat l instance de coordination va comme le pr voit l article 16 de l accord tablir une premi re version du rapport annuel sur les groupes de protection sociale et mettre jour la cartographie des groupes labor e lors des travaux pr paratoires de l accord e 1 Lire Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 23 25 6126 2 Ensemble de textes adopt s par les groupes qui posent les objectifs et les r gles de fonctionnement 3 Ce type de groupe compos d organismes paritaires et ou d organismes but non lucratif est constitu en une association ayant un double r le politique et de gestion 4 Structure unique de pilotage et de contr le alat te du groupe paritaire de protection sociale 5 Cest ainsi que le projet de partenariat entre le groupe Malakoff M d ric et la CNP Assurances a t examin par l instance de coordination qui a transmis l association sommitale du groupe un avis favorable en juin 2010 12 venir R
29. at valide le crit re de r sidence mais contrairement la juri diction administrative il sanctionne la condi tion de nationalit comme tant l origine de discriminations En abrogeant les dispo sitions l gislatives sources d in galit de trai tement le Conseil constitutionnel impose au l gislateur de supprimer un r gime d ro gatoire au droit commun et ce faisant de mettre enfin un terme aux disparit s persis tantes entre anciens combattants En cela cette d cision la premi re rendue dans le cadre de la question prioritaire de constitu tionnalit m rite d tre salu e e 1 Donn es issues du Rapport public annuel 2010 de la Cour des Comptes 2 Article 29 de la loi constitutionnelle n 2008 724 de juillet 2008 entr e en vigueurle 1 mars 2010 Lireaussi La Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 25 p 27 3 Conseil d tat Assembl e minist re de la D fense c M Diop 30 112001 4 Loi n 2002 1576 du 30 12 2002 de finances rectificative pour 2002 5 Loi n 2006 1666 du 21 12 2006 de finances pour 2007 6 En l esp ce une m re et son fils se sont vu refuser larevalorisation de leur pension militaire d ayants cause compter de 1962 30 Enqu tes et analyses Branche retraite compl mentaire et pr voyance Le 18 juin dernier l Observatoire des m tiers et des qualifications a communiqu les r sultats de son tout premier barom tre prospectif ourqu
30. cc s les efforts qu elle a engag s pour rendre aux entreprises et aux participants le service qu ils sont en droit d attendre trois ans du d ploiement complet de l Usine Retraite dans l ensemble des groupes paritaires de protection sociale le chemin parcouru est immense Toutes les briques sont ce jour produites et d ploy es dans l un ou Notre devoir est de garantir la p rennit du syst me et de maintenir le pacte social entre les g n rations l autre des groupes pr curseurs Et cette ann e l int gralit des briques va tre progressivement d ploy e au sein d un premier groupe Cette mise en fonctionnement grandeur na ture permettra de tester la coh sion et la viabilit de l ensem ble des composantes du syst me informatique unique de la retraite compl mentaire Le succ s de ce chantier consid rable entam en 2004 conditionne l avenir m me de la retraite compl mentaire Des investissements financiers lourds auront t consentis au fil de l avanc e du programme de convergence informatique dont nous attendons court terme un retour sur investisse ment modernisation de notre image et de nos outils informatiques am lioration de la qualit de notre service rationalisation de nos co ts de gestion Gr ce aux efforts d ploy s nous sommes d j en mesure de jouer un r le majeur dans la sph re de la protection sociale et de r pondre au service global attendu par nos
31. conna tre un sujet et le conna tre en profondeur Cette formation dispens e par la f d ration apporte un autre clairage notamment technique C estun stage indis pensable pour un administrateur car on ne peut pas tenir le mandat sur le plan politique si l on n est pas techniquement au point Par ailleurs nous sommes dans un domaine o par essence il faut avoir une perspective historique Sinon on ne comprend pas pourquoi le r gime a t cr ni comment il fonctionne Un arbre sans racine a ne pousse pas C est l un des points forts de cette formation qui a t soulign par de nombreux coll gues Nous avons besoin de cette mise en perspective quilibr e Au final ce stage n a permis de valider ce que j avais d j appr hend et d approfondir certains aspects notam ment la partie financi re Syndicat national Force ouvri re des cadres des organismes sociaux Administrateurs RC mode d emploi 25 des institutions Agirc et Arrco Des formations vous sont destin es Formations initiales gt Administrateurs des institutions Arrco e mardi 29 et mercredi 30 mars gt Administrateurs des institutions Agirc e mardi 24 et mercredi 25 mai Formations th matiques gt l action sociale Agirc et Arrco e mardi 8 mars e mercredi 5 octobre e jeudi 17 novembre gt La gestion financi re et les m canismes de compensation e jeudi 13 janvier e mercre
32. di 11 mai gt Informatique activit s d une institution et enjeux strat giques e mardi 1 f vrier et vendredi 11 f vrier e mardi 22 mars et mardi 5 avril gt Les outils de pilotage et la qualit de gestion e mardi 15 mars e mercredi 19 octobre gt La retraite compl mentaire et les enjeux europ ens e mercredi 2 f vrier e mercredi 8 juin Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 T En 2010 15 sessions de formation 617 participants dont 115 en formation initiale En 2009 16 sessions de formation 599 participants dont 87 en formation initiale ous tes r cent dans vos fonctions Les f d rations Agirc et Arrco proposent une formation initiale vous permettant d aborder les fondamentaux de la retraite Vous connaissez d j les principaux roua ges de la retraite Vous pouvez dans ce cas approfondir vos connaissances dans le cadre d un stage th matique Chaque ann e les f d rations proposent une s rie de stages adapt s aux administra teurs voir programme 2011 ci contre UNE PERCEPTION POSITIVE Consult s en 2008 la demande des f d ra tions Agirc et Arrco les administrateurs ayant suivi une formation se sont d clar s plut t satisfaits Ces formations contribuant selon eux donner aux administrateurs les moyens d exercer activement leur mission Ils mettaient en avant notamment la qualit des intervenants et le contenu riche et
33. e auditeur conseiller qualit ou organisation ou encore contr leur de gestion ont de beaux jours devant eux Les m tiers du conseil et du pilotage sont d ailleurs ceux o les recrutements ont le plus augment ces derni res ann es Derni re piste d volution M L Les activit s m tiers de l action sociale et de l assurance de personnes Le vieillisse ment de la population et l incertitude quant la politique que m nera l tat en la mati re laissent pr sager des besoins accrus en prestations perte d autonomie et services d aide la personne ce qui ne manquera pas de soulever de nouvelles questions dans les groupes de protection sociale quel r le jouer Quelles prestations quels services proposer aux clients L encore les m tiers devraient bouger 1 Application unique commune aux groupes paritaires de protection sociale qui couvre l ensemble des proces sus de gestion de la retraite compl mentaire EN SAVOIR PLUS gt http obsmetiers rcp pro fr rubriques Etudes Prospective M tier Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Enqu tes et analyses 31 8 familles de m tiers Chiffres cl s 2009 comment sont repartis les effectifs en euros Chiffres 2009 Source Profil de branche 2010 95 2 4 1 3 7 D 43 2 30 142 salari s 1 228 Salari s Action sociale Gestion en CDI en CDD 1 13 2 AO 2 D veloppement 1
34. ennes et nationales terme nous ne pouvons pas exclure que obli gation d changes lectroniques de donn es dans le cadre de la coordination europ enne ne s tende l information des assur s Pour nos r gimes cette contrainte offre l opportunit d une mise jour permanente des dossiers les assur s pouvant signaler les erreurs sans attendre le moment de leur d part la retraite Elle ouvre aussi le champ une relation de conseil L assurance pension alle mande s est organis e en ce sens Nos r gimes Agirc et Arrco amorcent cette volution avec les Cicas C est aussi un objectif pour la Cnav Le contact humain entre les caisses de retraite et les assur s aujourd hui concentr sur le temps fort du d part la retraite pourrait demain quasiment dispara tre avec une liquidation purement lectronique mais se d velopper dans des relations de conseil plus en amont 1 Centres d information de conseil et d accueil des salari s Europe 1 35 Le recours Internet se g n ralise Pour aller plus loin Pourquoi Comment et avec quelles cons quences La lettre de l Observatoire des retraites n 17 parue en avril 2010 fait le tour de la question de l information des actifs en Europe et explique pourquoi ce mouvement est devenu irr versible Consultez la en ligne sur le site www observatoire retraites org Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3
35. ens de ma fonction c est que nous sommes l pour pr server et faire avan cer le r gime de retraite par r partition autour de la table nous d fendons des int r ts communs Avec pour ma part des interroga tions comment offrir un meilleur service aux b n ficiaires des prestations Comment mieux informer les salari s jeunes et moins jeunes Roger Piskorek CGT L unanimite sur la r partition d informations mais il est difficile de s y retrou ver Les anciens sont souvent de bon conseil La premi re fois que j ai assist un conseil J ai surtout cout car je ne comprenais pas tous les enjeux Puis peu peu on approfondit ses connaissances et on avance Cette formation a t tr s utile J ai d couvert beaucoup de choses Je ne savais pas par exem ple que l on allait aussi loin en mati re de pr vention et d accompagnement social que l on menait une r flexion aussi approfondie sur la probl matique du vieillissement Il n a peut tre manqu un temps d changes mais il est vrai que le format de cette session s y pr te peu Ce qui ressort des r flexions de ces deux jours c est l unanimit sur les retraites par r partition C est une cause entendue et partag e par tous M me si en tant que syn dicaliste je suis interpell par certaines ques tions en phase avec l actualit et qui ne sont pas du ressort des caisses Ce qui est remarquable c
36. ent enferm es dans des visions fig es du pass incapables d int grer les volutions de la soci t Il ne faut jamais oublier que les Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 hon la taille tif des s mod les ne sont qu une repr sentation de la r alit mais pas la r alit elle m me et que par cons quent si l une change l autre doit obligatoirement changer Parmi les m thodes qui permettent cette conversion du regard la prospective a une place privil gi e Elle offre aux organisations les moyens de questionner leurs repr sentations du monde de se poser les bonnes questions et de prendre en consi d ration cette dimension souvent ignor e dans les r flexions strat giques qu est l avenir L utilisation du qualificatif client que certains se refusent employer lui pr f rant les noms d abonn d adh rent de membre est elle r v latrice de ces volutions P D Les mots sont tr s importants D une mani re g n rale l volution du langage est r v latrice de l volution de la soci t Le mot client a aujourd hui une connotation avant tout commerciale mais cela n a pas toujours t le cas Au sens originel il s agit de quelqu un qui se met volontairement sous la protection de quelqu un d autre et qui obtient ainsi un statut de prot g Le mot adh rent quant lui fait plus ressortir une id e
37. er La norme 4DS a l avantage d tre plus simple Elle pourrait devenir terme celle de la future d claration sociale nominative DSN Pour pr parer l ch ance de 2012 une collaboration avec des diteurs de logiciels de paie qui doivent fournir une mise jour de leur logiciel d s le d but de l ann e 2011 et des entreprises volontaires a t lanc e par les orga nismes nationaux de protection sociale D avril mi juin 2010 cette phase pilote a permis de s assurer de la bonne compr hension du cahier technique N4DS qui servira de r f rence aux d veloppements informatiques Ce cahier a t publi le 16 juillet Prochaine tape pour la retraite compl mentaire s assurer que les outils et les circuits essentiels pour le traitement des tats nominatifs annuels ENA d mat rialis s seront op rationnels pour l ch ance de janvier 2012 sans que cela repr sente une r volution au sein de notre organisation tout en all ceant les processus de traitement e 1 D claration automatis e des donn es sociales unifi e 2 Lire La Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 25 p 9 08 Tendances Activit des femmes L activit des femmes qui n avait cess d augmenter au cours des quarante derni res ann es marque le pas Mais de mani re in gale selon le niveau d tudes l ge et le nombre d enfants Eclairage epuis le milieu des ann es 1970 les femmes sont de
38. est de 84 pour les femmes g es de 35 49 ans il tait de 58 en 1975 ces ges le taux d activit des femmes de plus de 35 ans est donc sup rieur celui des femmes 1993 78 80 82 84 77 79 80 81 PER re Es AE oS 35 49 ans 35 49 ans 1998 2003 2008 plus jeunes sch ma 1 Tandis que dans les ann es 1970 1980 les femmes jeunes se sont massivement port es sur le march du travail et continuent de travailler alors qu elles ont atteint la quarantaine celles qui arrivent depuis quinze ans sur le march interrom pent plus facilement leur carri re au moment de la maternit sch ma 2 UNE PLUS GRANDE PR CARIT Les femmes g es de 25 49 ans sont gale ment plus souvent au ch mage que les hom mes en 2008 6 3 de ces femmes taient au ch mage contre 5 5 des hommes Et leurs conditions d emploi ne sont pas non Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 27 c est l cart de salaire horaire entre les hommes et les femmes Sch ma 2 l activit des femmes d pend fortement du nombre de leurs enfants et de leur ge il 43 90 des femmes sans des femmes ayant au enfant sont en moins 3 enfants dont activit le plus jeune a moins contre 94 de 3 ans travaillent des hommes contre 96 des hommes plus les m mes les femmes travaillent davan tage temps partiel 30 d entre elles contre 4 de
39. esur s entre les fem mes n ayant pas interrompu leur activit et l ensemble des hommes en se limitant aux 39 49 ans Dans ce cas et alors m me que les femmes de cette cat gorie sont plus dipl m es ont la m me exp rience professionnelle et un peu plus d anciennet dans l emploi les hommes per oivent en moyenne 17 de plus que les femmes Et l essentiel de cet cart n est pas expliqu par des caract ristiques indi viduelles ou professionnelles observables e 1 L allocation parentale d ducation APE taitattribu e jusqu aux 3 ans de l enfant compter de la troisi me naissance de 1985 1994 puis du deuxi me de 1994 2003 Elle a t remplac e par le compl ment de libre choix d activit CLCA attribu d s le premier enfant depuis le 1 janvier 2004 2 Ined Institut national d tudes d mographiques Insee Institut national de la statistique et des tudes conomiques Sources Activit f minine et composition familiale depuis 1975 C Minniet Moschion Paris minist re de l conomie de l industrie et de l Emploi Dares Analyses n 27 Mai 2010 Enfants interruptions d activit et cartdesalaire entre les sexes D Meurs A Pailh et S Ponthieux in Les discriminationsentreleshommesetles femmes Revue de POFCE n 114 juillet 2010 EN SAVOIR gt L tude compl te est consultable sur Wwww observatoire retraites org rubrique Dossiers
40. eurs des groupes pr curseurs Vis ma vie lors des r unions de pr sentation et de sensibilisation des gestionnaires practices d appropriation des m thodes et des outils mutualisation des m thodes Pour renforcer ces changes de nouveaux outils ont galement t d velopp s Nous avons lanc le r seau social bluekiwi en juin 2009 pour permettre aux porteurs d changer entre eux et de travailler distance Cet outil collaboratif est utilis par les porteurs pour des changes intergroupes Prochainement toutes les quipes de conduite du changement devraient se retrouver sur bluekiwi pour partager leurs bonnes pratiques expli que V ronique Kr mer en charge de la P Une Jirc post d marrage La 6 journ e de l informatique retraite compl mentaire qui s est tenue le 9 septembre la maison de la Chimie Paris a r uni pr s de 600 participants Pour la premi re fois elle n tait pas tourn e exclusivement vers les quipes projets informatiques mais galement vers les gestionnaires et in fine les clients Objectif faire le bilan de l ann e coul e et dresser le panorama des diff rents chantiers en cours Invit sp cial de cette dition le directeur technique et du d veloppement de l entreprise Eiffel qui a notamment conduit le chantier du viaduc de Millau Il a pu d livrer quelques cl s du succ s de chantiers aussi complexes des quipes tr s ex
41. ffet sur les comportements La r forme su doise s accompagne d un effort consid rable pour montrer aux assur s dans quelle mesure leur niveau de vie la retraite d pendra de l ge auquel ils s arr teront de travailler avec l espoir qu ils choisiront de s arr ter des ges plus lev s L envoi cha que ann e aux assur s allemands d une esti mation de leur future retraite a pour but de les sensibiliser la baisse programm e du taux de remplacement dans la retraite de base et l int r t de la compl ter par un effort personnel d pargne retraite Les r percussions sur les r gimes ont elles t les m mes d un pays l autre A Y Les r gimes sont oblig s de disposer de moyens informatiques de plus en plus puissants Voyez l Usine Retraite pour nos r gimes Agirc et Arrco Il faut aussi g rer l information en continu c est dire pouvoir la fournir tout moment Pour certains r gimes qui m avaient pas besoin de conna tre les r mun rations et les cotisations mais seulement les dur es de car ri re et la r mun ration finale c est un v ri table bouleversement qui oblige cr er des comptes individuels C est le cas par exem ple pour les r gimes des fonctionnaires fran ais et belges et cela l a t pour la plupart des nouveaux tats membres La complexit plus ou moins grande du syst me de retraite joue galement Les r gimes de retraite fran a
42. fl chir et agir pour demain Mis en ligne le 5 octobre dernier le nouveau site agircarrco actionsociale fr propose un tour d horizon tres complet des activit s de l Agirc et de l Arrco dans le domaine de l Action sociale Un nouveau site pour l Action sociale gt La partie gauche du site renvoie vers les valeurs et les actes fondateurs de l action sociale Partie gauche esiteest destin aux principaux acteurs sociaux partenaires delaretraite compl mentaire les partenaires sociaux les administrateurs les groupes de protection sociale ainsi qu toutes les personnes et entit s qui constituent l en vironnement de la protection sociale les pouvoirs publics les organismes par tenaires les chercheurs les universitaires les experts les associations Rechercher Construire notre d marche R FLEXION Afin de d velopper des r ponses adapt es l action sociale de l Agirce et l Arrco s engage dans une r flexion li e un triple contexte d mographique sociologique et M gistatif D CISION La volont de l action sociale Agire et Arrco est de faire voluer les actions d j existantes et de structurer de nouvebux mod les ORIENTATIONS Pour le p riode 2009 2013 les administrateurs de l Agire et de l Arrco ont d fini trois orientations GE NOS PUBLICATIONS Liens vers plus de 80 documents d information compl mentaire textes officiels car
43. int ressant des stages 26 Droit et r glementation Droits retraite compl mentaire Cette fiche pratique rappelle les r gles applicables pour fixer des dates d effet des allocations tant en ce qui concerne la retraite que la r version Principes g n raux DROITS DIRECTS La date d effet des allocations est fix e au premier jour du mois civil qui suit celui de la demande de retraite d s lors que les conditions d ouverture des droits sont r unies DROITS DE R VERSION Lorsque la demande de r version est d pos e dans l ann e suivant le d c s la date d effet est fix e au premier jour du mois civil qui suit le d c s de l ancien salari non allocataire et au premier jour du trimestre civil qui suit le d c s de l ancien salari allocataire d s lors que les condi tions d ouverture des droits sont r unies EXEMPLE les conditions d ouverture des droits sont remplies au d c s gt D c s de l ancien salari non allo cataire le 18 f vrier 2010 e Si d p t de la demande de r version avant le 18 f vrier 2011 gt date d effet le 1 mars 2010 e Si d p t de la demande de r version le 15 avril 2011 gt date d effet Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 le 1 mai 2011 1 jour du mois civil qui suit le d p t de la demande gt D c s de l ancien salari allocataire le 18 f vrier 2010 e Si d
44. ions dues depuis la date d effet delaretraite Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 27 28 Jurisprudence D cristallisation des pensions Le Conseil constitutionnel a rendu le 28 mai dernier une d cision historique en abrogeant les dispositions l gales qui fondaient le gel des pensions des ressortissants des tats anciennement sous souverainet ou tutelle de la France Une d cision historiq ue du Conseil constitutionnel ans le domaine des retraites l accession l ind pendance mondiales ou lors du conflit indochinois des pays autrefois sous souverainet de la France s est traduite par l adoption d un arse nal l gislatif complexe organisant la cristal lisation des pensions Autrement dit le montant des pensions des fonctionnaires et militaires ressortissants de ces tats a t fig au fur et mesure de leur mancipation de la tutelle fran aise Ce r gime sp cial a donn lieu de nom breuses contestations car il est source de discriminations pour les b n ficiaires de pensions militaires de retraite cristallis es qui pour la plupart ont servi sous le drapeau fran ais lors des Premi re et Seconde Guerres titre dexemple grade quivalent un sergent fran ais re oit 7 5 12 euros annuels contre 643 euros pour un Marocain 2 681 euros pour un S n galais ou 3 279 euros pour un Djiboutien UNE
45. ique Les utilisateurs disposent ainsi d une plus grande visibilit sur les fonctionnalit s de PUR disponibles en phase de lancement CAPITALISER SUR LES PREMIERS D PLOIEMENTS En post d marrage l enjeu principal de l accompagnement du changement trans verse ACT est de renforcer le partage des exp riences des pr curseurs pour renseigner les groupes qui se pr parent d ployer Au del de l analyse des impacts sur l organisation et les m tiers de la qualification du change Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Un dispositif communautaire par nature En plus de l quipe interne au GIE charg e de la formation de la mesure des carts de la communication et de l appui au d marrage param trage m tiers des applications l accompagnement du changement transverse s appuie sur un r seau de 18 porteurs assurant le lien entre le dispositif transverse GIE Agirc Arrco et le chantier de conduite du changement propre leur groupe i ment et de l adaptation des actions d accom pagnement dans des groupes qui ne se sont pas encore mobilis s nous devons maintenant cap ter l exp rience des groupes pr curseurs pour capitaliser et diffuser insiste Guy Brisson Depuis le d but des d ploiements les por teurs du changement int grent ainsi dans leurs rencontres trimestrielles de plus en plus d changes intergroupes t moignage de por t
46. ire LIQUIDATION L ISSUE DE LA RETRAITE PROGRESSIVE La liquidation compl te des droits retraite compl mentaire doit interve nir au premier jour du mois civil qui suit la cessation de l activit temps partiel exerc e au cours de la retraite progressive COORDINATION EUROP ENNE La date d effet de la retraite compl mentaire est fix e en tenant compte de la date de d p t de la premi re demande de retraite aupr s de l un des r gimes coordonn s cette disposition est ga lement applicable pour des demandes de r version 3 Et ce quelle que soit la date d effet retenue parle r gime de base 4 L ge de 65 ans est susceptible d tre modifi alasuite des r formes de la retraite 5 Lire La retraite compl mentaire Agirc Arrco n 26 p 34 Droit et r glementation Les dispositions sp cifiques nonc es ci dessus ainsi que la r troactivit syst matique d un an pour la r version permettent d viter la perte des droits Cependant chaque fois que l appli cation de la r glementation ne permet pas de verser un rappel d arr rages la date laquelle les conditions d ouverture des droits taient satisfai tes les anciens salari s ou leurs ayants droit ont la possibilit de soumettre leur situation particuli re l examen des institutions 6 Sommes dues par une caisse de retraite un retrait ou un ayant droit et repr sentant le montant des allocat
47. is en d cem bre 2009 a tr s rapidement pris ses marques montrant toute l utilit de cr er au del des questions qui concernent la retraite et la pr voyance stricto sensu une structure de suivi des groupes de protection sociale eux m mes Quel point de la gouvernance vous para t fondamental pour l exercice en cours Nous avons clairer de nombreu ses questions et je ne m inqui te pas pour l activit de l instance de coordination en 2011 Cette instance est une concr tisation de l attachement des partenaires sociaux aux groupes paritaires de protection sociale structures originales dont nous avons coutume de dire qu elles marchent sur deux jambes l activit d int r t g n ral avec la retraite compl mentaire l activit concurrentielle avec la pr voyance et plus largement l assurance de personnes Les groupes ob issent aujourd hui une gouvernance qui s est complexifi e et il est essentiel qu au travers de forma tions adapt es nous puissions aider les administrateurs d associations sommitales bien comprendre leur r le et leurs responsabilit s dans les diff rentes instances de gouvernance des GPS devant d sormais tre dot d une association sommitale et de structures de moyens plac es sous une direction unique Les statuts introduisent de surcro t les dispositions de l accord r visant le r gime des incompatibilit s appliqu aux pr side
48. is r alisent une belle performance en rassemblant une Strat gies et tendances souvent apparaissent pour les assur s des possibilit s voire des obligations de choix Arnauld d Yvoire adyvoire agirc arcco fr information issue de 35 r gimes obligatoi res Aux Pays Bas o les droits acquis dans le r gime de base et les fonds de pension com pl mentaires devraient tre accessibles en 2011 ce sera l assur de rassembler toutes les informations qui le concernent Courant 2011 les assur s fran ais pourront obtenir leur relev de situation individuelle par voie lectronique Cette utilisation d Internet est elle une tendance largement partag e en Europe A Y Le recours Internet se g n ralise Le manque de moyens peut retarder ce mouve ment mais il para t m luctable En revanche il est int ressant de constater qu un pays comme la Finlande qui avait commenc mettre en place une information via Internet a continu le faire par courrier Pourquoi Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Parce que la mise disposition de l informa tion sur Internet ne touche que les assur s qui sont demandeurs Or si l on veut toucher ceux qui ne demandent rien il faut leur crire et qu ils lisent le courrier re u Les assur s europ ens ont ils aujourd hui de meilleures connaissances sur leurs droits aretraite qu auparavant L informa
49. les rubriques ont t ou aux documents multim dias sont modulables cr es Comprendre sa retraite en fonction des besoins et de la ligne ditoriale compl mentaire Demander sa retraite compl mentaire La retraite compl mentaire votre service La rubrique Documentation et multim dia En un clic elles donnent acc s des accessible par onglets a t r organis e pour informations pratiques les cotisations mettre en valeur l information et offrir une comment a marche Vos d marches meilleure lisibilit Une biblioth que de vid os etc ou des services annuaires sur la retraite compl mentaire est disponible calculer votre retraite etc gt LIRE AUSSI l article sur le site Internet de l action sociale p 12 et 13 RIS lectronique Accessible en direct Au second semestre 2011 tout assur quel que soit son ge aura la possibilit d acc der en temps r el gr ce son identifiant et un mot de passe son relev de situation individuelle RIS via le site Internet de l un de ses r gimes de retraite d affiliation Par exemple aupr s des r gimes Agirc et Arrco en se connectant sur le site de son groupe de protection sociale Le RIS contient l ensemble des droits retraite constitu s tous r gimes confondus Si le document ne peut tre compos imm diatement l int ress sera averti par courriel d s que son RIS sera en ligne en principe
50. mitale des organes communs de gestion et de chacun des membres du groupe La signature de la convention de fonction nement par un nouveau partenaire du GPS ind pendamment de son appartenance l association sommitale marque son adh sion aux principes de fonctionnement sp cifiques au groupe l association sommitale pouvant disposer ainsi des l ments les plus complets sur la cartographie les activit s les comptes et les risques au sein du groupe L article 16 de l accord a par ailleurs confi l instance de coordination Agirc Arrco Ctip le soin d clairer les conseils d administra tion des associations sommitales en laborant une m thode permettant d analyser la l gi timit d inscrire dans le p rim tre d un GPS un partenariat une participation ou plus g n ralement une activit du champ concurrentiel et d en assurer le contr le paritaire Ainsi sous r serve de r unir un certain nom Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 bre de crit res les partenariats engag s au sein du groupe dans son champ concurrentiel doi vent tre soumis l approbation de l association sommitale et faire l objet d une lettre d inten tion pr alable l instance de coordination Agirc Arrco Ctip Une m thode d analyse s appuyant sur la recommandation du Ctip publi e en octobre 2009 sur l volution du champ d activit d une institution de
51. nces des institutions de retraite compl mentaire incompatibles avec une pr sidence ou vice pr sidence d une entit du m me groupe ainsi que l appellation des institutions qui peut d sormais associer le nom du groupe Install e en d cembre 2009 l instance de coordination compos e des pr sidences de l Agirce de l Arrco et du Ctip ainsi que des repr sentants des partenaires sociaux non d j repr sent s et associant les directions g n rales de l Agirc de l Arrco et du Ctip a r alis les travaux command s par l accord L instance a port sa pr sidence Bernard Devy par ailleurs vice pr sident de l Arrco voir interview ci contre et Bernard Lem e par ailleurs pr sident du Ctip Ces nouveaux Statuts mettent notamment fin la notion de groupe simple Bernard Devy Pr sident de l instance de coordination Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 CONVENTION TYPE Le mod le type de convention de fonctionne ment des GPS a t approuv par les instances de l Agirc de l Arrco et du Ctip et transmis aux pr sidences et aux directions g n rales des groupes Il a t soumis aux conseils respectifs de l Agirc de l Arrco et du Ctip L article 3 de l accord stipule que la convention engage chaque membre vis vis du groupe et de ses r gles de fonctionnement et nonce clairement les attributions respectives de l association som
52. nformatiques De 66 syst mes d information SI et 44 plates formes informatiques en 2000 nous sommes descendus 12 SI et 6 plates formes gt Plusieurs traitements pour compte commun le Collecteur Sud par Pro BTP Simplifications administratives et Editique Cicas par Malakoff M d ric Appels Indirects ACOSS par Ircem gt L Usine Retraite est une r alit Depuis un an des sous ensembles de l UR sont entr s en exploitation et la derni re brique Allure a t d ploy e en octobre chez R unica Les groupes pr curseurs AG2R Aprionis D amp O R unica pr parent d ja les versions 2 des briques pour un d but de d ploiement fin 2011 1 SMR ADSI GICR GIPS Cigma GCA Mornay G3C Malakoff Sicap AG2R Isica Convergence 2 Alcire Aramice SI2M Amicap AG2R lsica Systalians 3 Elle permet le versement des retraites etla gestion du dossier du retrait Les Cahierdd la retrait ompl mentaire N 1 3 trimestre 2010 16 L enjeu Comprendre En modernisant son image et en lui donnant plus de poids les progr s de la convergence informatique renforcent la retraite compl mentaire Pour aboutir l informatique de la retraite comp mentaire doit encore harmoniser ses m thodes et ses outils mais aussi repenser le pilotage de ses ressources et de ses co ts Les explications de Daniel Lefebvre directeur de la DSI RC Revisiter notre organisa
53. nnues Pour des administrateurs qui sont dans les r gions c est aussi une mani re de mieux appr hender le fonctionnement d instances un peu trop parisiennes dans leur rayon d action Je pense suivre d autres formations car je souhaite m impliquer de plus en plus dans le travail du conseil d administration C est faire et refaire dans le sens o il y a des volutions permanentes au sein de l Agirc et de l Arrco J ai rencontr des gens qui avaient d j suivi cette formation et taient contents de la refaire C est un tour d horizon qu il faut ensuite approfondir Comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Patrick Bravo CFE CGC Confiance dans l avenir Patrick Bravo 60 ans est retrait depuis peu d Adia filiale du groupe Adecco J y ai fait l essentiel de ma carri re dans la technique d abord puis rapidement aux ressources humaines Je m occupais des commissions sociales et j avais galement des fonctions dans le comit d entreprise mon d part la retraite on m a propos de devenir administrateur de la caisse J ai toujours t int ress par le c t social tout naturellement j ai accept Malgr toute la documentation on d bar que un peu en terrain inconnu l n y a pas de mode d emploi pour devenir administra teur Ce qui m
54. o La direction de la r glementation Agirc Arrco re oit elle aussi des r clamations Elles sont enregistr es sur le logiciel Ennov selon la m me typologie des motifs C est l instance d arbitrage de la direction de la r glementation qui traite les r clamations caract re r glementaire et plus g n ralement les demandes d information 4 Un m contentementsurles p riodes de carri res non prises en compte par exemple AISS Tendances mergentes Plus de 300 chercheurs d cideurs politiques administrateurs et membres de la communaut internationale de la S curit sociale se sont r unis du 29 septembre au 1 octobre 2010 au Luxembourg dans le cadre de la Conf rence internationale d analyse et de recherche organis e par l Association internationale de S curit sociale AISS Elle avait pour th me Tendances mergentes dans un monde instable nouveaux d fis et opportunit s pour la S curit sociale S inscrivant dans une d marche prospective les participants ont pu changer sur la mani re dont la S curit sociale pourrait s adapter aux nouveaux d fis qui se pr sentent elle notamment aux transformations structurelles de la population ou encore aux crises multiples qui frappent le monde aujourd hui EN SAVOIR gt http wwvw issa int fre Breves et evenements Events Conference internationale d analyse et de recherche en securite sociale Retraite compl mentaire et pr
55. ocataire Par une d cision et un avis du 18 juillet 2006 le Conseil d tat avait estim ce nouveau dispositif compatible avec la Convention euro p enne des droits de l homme compte tenu de la marge d appr ciation traditionnel Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 lement reconnue aux tats signataires de la Convention pour adapter leur l gislation aux exigences du droit europ en Une tape suppl mentaire a t franchie en 2007 avec la d cristallisation totale des pensions d invalidit et de retraite du combattant dites prestations du feu Pour ces cat gories de pension seulement les condi tions de nationalit et de r sidence ont t supprim es compter du 1 janvier 20070 Les lois de 2002 et 2006 ont donc laiss subsister de nombreuses disparit s entre les titulaires de prestations du feu et titulaires trangers d autres prestations de retraite entre allocataires trangers r sidant l tranger et allocataires trangers r sidant en France entre les pensionn s r sidant l tranger et entre retrait s trangers et fran ais r sidant dans le m me pays tranger l exception pour ces trois derni res cat gories de discriminations des prestations du feu depuis 2007 METTRE UN TERME AUX DISPARIT S C est dans ce contexte que le Conseil consti tutionnel a t saisi par le Conseil d tat d une question
56. oi une analyse prospective M L Parce que notre secteur est engag depuis quelques ann es dans une dynamique de changements internes comme externes Or ces volutions ont un impact sur la branche etses m tiers Ce barom tre qui sera actualis r guli rement permet de pointer ces volu tions d identifier ce qui va changer dans les activit s les m tiers ainsi que les comp tences n cessaires pour les exercer C est un outil que l Observatoire des m tiers propose aux d cideurs etaux responsables des ressources humaines de la branche pour leur donner la possibilit d anticiper sur le moyen comme sur le long terme Vous parlez de facteurs d volution internes et externes Pouvez vous les pr ciser M L Quatre facteurs environnementaux nous semblent d terminants e les avanc es technologiques avec un recours accru aux nouvelles technologies et la d ma t rialisation la mise en place de l Usine Retraite e les donn es soci tales parmi lesquelles la d mographie les politiques sociales les modes de vie et de consommation e les donn es r glementaires l volution des cadres l gislatifs r glementaires et juridiques l chelle de la France et de l Union euro p enne en mati re de protection sociale par exemple ou encore de fiscalit e et enfin les facteurs conomiques comme l volution des march s et de la concurrence de la demande des clients et du pouvoir
57. oiements 22 Regards crois s Formation des administrateurs Six nouveaux administrateurs ont suivi r cemment la formation initiale des administrateurs des institutions Arrco Deux journ es d immersion totale pour se familiariser avec les rouages et le fonctionnement du r gime l issue de leur formation ils voquent leur parcours yO premiers pas dans la fonction et leurs impressions de stage Echanger et mieux comprendre Nathalie Deschamps CFDT Des volutions permanentes Secr taire d agence du journal Ouest France Nathalie Deschamps 45 ans travaille Dinan dans l une des r dactions d localis es du quotidien Je suis d l gu e du personnel de Ouest France depuis deux ans et lue du CHSCT depuis mars 2010 Quand la CFDT m a contact e pour un poste d administrateur de PIRPS Institution de retraite de la presse et du spectacle fin 2009 j ai r pondu pr sente Je n tais pas vraiment pr te pour cette mission mais a m int ressait beaucoup Aujourd hui encore je suis peu peu tous les dossiers Ma d marche personnelle c est d abord d couter de voir comment a fonc tionne puis de me confronter chaque dossier Cette formation initiale permet de balayer tout le domaine de la retraite compl mentaire l ext rieur on sait peu par exemple que le r gime est g r par des caisses cat gorielles leurs actions sociales sont par exemple peu co
58. ourant 2011 et D veloppement EN SAVOIR gt Voir le r pertoire des m tiers sur le site de l Observatoire des m tiers Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 L entretien Entreprises clients Le statut de client commencement ou finalit tel tait le th me de la table ronde organis e le 30 juin dernier l occasion de la rencontre annuelle des pr sidents vice pr sidents et directeurs d institutions Agirc Arrco Interview de l un des intervenants Philippe Durance qui nous apporte son clairage sur l volution des relations entre entreprises et clients 32 De la transaction anrelation es derni res ann es nous assistons a des volutions importantes dans les relations entreles entreprises et leurs clients Quelles sont pour vous les plus significatives P D Je crois que nous sommes pass s d un sch ma transactionnel purement conomi que dans lequel la relation avec le client tait bas e exclusivement sur le bien ou le service chang et ses principales caract ristiques prix qualit etc un sch ma relationnel qui est global et qui int gre de nouvelles dimen sions dans cette relation l image l adh sion au projet de l entreprise la durabilit de la relation l usage la fonction rendue etc autant d l ments constitutifs de l intensit de la relation Le sch ma relationnel a donn lieu l
59. p R TROACTIVIT LA DATE D EFFET DE LA PENSION DE S CURIT SOCIALE Lorsque la demande de retraite est d po s e dans les trois mois suivant la date de la notification d attribution de la pen sion d assurance vieillesse du r gime g n ral de la S curit sociale ou du r gime des assurances sociales agricoles la date d effet de la retraite compl men taire est la m me que celle retenue pour la pension vieillesse du r gime de base EXEMPLE gt Date de notification de la pension vieillesse du r gime de base le 15 mars 2010 gt Date d effet de la pension vieillesse le 1 f vrier 2010 e Date de d p t de la demande de retraite compl mentaire le 15 juin 2010 au plus tard pour b n ficier d une date d effet au 1 f vrier 2010 e Date de d p t de la demande de retraite compl mentaire le 15 juillet 2010 gt date d effet dela retraite compl men taire le 1 ao t 2010 R TROACTIVIT LA CESSATION D ACTIVIT Lorsque la demande de retraite est pr sent e dans le courant du trimestre civil qui suit celui au cours duquel la cessa tion d activit est intervenue ou la cessation d indemnisation au titre du ch mage ou une incapacit de travail pour maladie ou invalidit la date d effet de la retraite compl mentaire est fix e au premier jour du mois civil cifiques suivant la cessation de la derni re acti vit professionnelle salari e ou non ou la
60. p riment es et une cha ne de commandement ultra courte Message re u Utilisation de l UR des avis globalement positifs D apr s le 9 Barom tre D marrage Aprionis D amp O l appr ciation des gestionnaires devient globalement positive Depuis louverture des fonctionnalit s de rectification des carri res les avis positifs deviennent majoritaires concernant le fonctionnement de l Usine Retraite la manipulation le vocabulaire la r alisation des actes de gestion et le dispositif d assistance Les r sultats sont en revanche plus mitig s concernant la facilit trouver l information et les r ponses apport es aux questions communication DSI RC Enfin en octobre un Market Place a r uni 110 partici pants cette occasion les groupes pr curseurs et pilote ont pu encore plus largement partager leurs pratiques et leur vision avec les groupes de la vague 2 1 Lieu d changes sur chaque stand une id e action mise en uvre par un groupe pr curseur ou pilote est pr sent e 2 Audiens Mornay Novalis Taitbout pour les briques BREF BAC BST dites briques BBB R unica pour la brique Allure Malakoff M d ric pour la brique DROITS Aprionis D amp O pour la brique DN et enfin AG2R Isica et Mornay pour la brique GRECCO Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 enjeu 21 Ce qu il faut retenir Les enjeux Faire converger int r
61. p t de la demande de r version avant le 18 f vrier 2011 date d effet le 1 avril 2010 e Si d p t de la demande de r version le 15 avril 2011 gt date d effet le 1 mai 2011 1 jour du mois civil qui suit le d p t de la demande au titre du r gime Arrco et du r gime Agirc lors que les droits directs ont t liquid s apr s le 1 janvier 1992 le 1 juillet 2011 1 jour du trimestre civil qui suit le d p t de la demande au titre du r gime Agirc lorsque les droits directs ont t liquid s avant le 1 janvier 1992 Lorsque l ayant droit ne remplit pas les conditions n cessaires pour b n fi cier de sa r version au d c s de l ancien salari la date d effet de ses droits est fix e au premier jour du mois civil qui suit celui au cours duquel les condi tions d ouverture des droits sont rem plies sans tre ant rieure au premier jour du trimestre civil suivant le d c s lorsqu il s agit d un ancien salari allo cataire Bien entendu la demande de r version doit tre d pos e dans l an n e qui suit la date laquelle les condi tions d ouverture des droits sont r unies 1 Fiche pratique Droits de r version Retraite compl mentaire Agirc Arrco n 23 2 Ou du trimestre civil lorsque les droits directs ont t liquid s avantle 1 janvier 1992 r gime Agirc Comment s appliquent les dates d effet Droits directs dispositions s
62. ploiement bien s curis gt La brique Allure est la derni re tre d ploy e Elle est aussi sans doute la plus attendue car elle remplace le syst me GICR Allocataire utilis par de nombreux groupes Elle peut galement tre impl ment e ind pendamment des autres L enjeu est fort vis vis des retrait s et particuli rement sensible car cette brique traite le paiement des allocataires fallait donc un processus de d ploiement s curis maintenant les deux SI pour garantir la continuit de service dans tous les cas Mais aussi op rer trois bascules blanc sept recettes en volum trie r elle d marrer avec trente gestionnaires avant de l tendre l ensemble Avec pour limiter encore les risques un d marrage report de juillet septembre nze mois apr s le d ploiement des premi res briques dans les groupes pr curseurs un premier bilan s impose Et il est plut t encourageant pour Aprionis et D amp O par exemple qui ont d marr les briques DN Droits BBB l ann e derni re le retard par rap port l applicatif d origine s est limit trois ou quatre mois et la majorit des processus de gestion sont aujourd hui ouverts Compte tenu du bouleversement que constitue laban don du syst me pr c dent ce r sultat est plut t satisfaisant estime Thierry Dim glio res ponsable de la direction op rationnelle des programmes DOP de la DSI RC MAINTENANCE
63. plus en plus pr sentes sur le march du travail En 2008 83 des fem mes g es de 25 49 ans taient actives en emploi ou au ch mage Elles n taient que 60 en 1975 Pour cette m me tranche d ge 95 des hommes sont actifs un taux en baisse de deux points sur les 35 derni res ann es Cette volution notable cache cependant des disparit s importantes LE POIDS DES ENFANTS Alors que le taux d activit des jeunes fem mes 25 34 ans progresse r guli rement jusqu au milieu des ann es 1990 o il atteint Quelles volutions depuis 1975 Sch ma 1 le taux d activit des femmes de 35 49 ans d passe pr sent celui des femmes plus jeunes En pourcentage Source Insee enqu tes emploi de 1975 2008 calculs Agirc Arrco 67 72 76 49 66 72 ler EE RRE Hommes 25 34 ans 100 80 Femmes 25 34ans ee 606 AORE AORERE 7777777777777777 0 1976 1983 1988 80 il se stabilise lors de l largissement de l allocation parentale d ducation APE Selon les tudes entre 100 000 et 150 000 m res sur les 300 000 m res de deux enfants b n ficiant de cette mesure ne se seraient pas arr t es de travailler la naissance de leur deuxi me enfant si cette mesure n avait pas exist Apr s 35 ans et alors que les enfants ont grandi et vont l cole les femmes repren nent le chemin du march du travail et leur taux d activit augmente Actuellement il
64. pr voyance fournit les outils d aide l analyse de la fiabilit et de la coh rence du projet C est l aune de son int r t strat gique de sa logique financi re ou r glementaire de sa valeur ajout e sur l offre de services de sa prudence et de sa lisibilit qu un projet de partenariat sera examin II le sera aussi sur sa compatibilit avec l identit du membre et avec la gestion paritaire du groupe UNE ANN E PRODUCTIVE Autre l ment d clairage labor par l instance de coordination et arr t par les trois conseils d administration la d finition du processus de d cision de regroupement de GPS qui associe les f d rations Agirc et Arrco et le Ctip Soumis in fine l autorisation des f d ra tions Agirc et Arrco le dossier de regroupement de GPS doit tre examin par l instance de coordination et faire l objet d un avis consul tatif du conseil d administration du Ctip L objectif de m thodologie et de normes Le point sur 11 confi par l accord du 8 juillet 2009 l ins tance de coordination est ainsi en passe d tre atteint La mise en place de modules de forma tion sp cifiques aux administrateurs si geant dans les conseils d associations sommitales constitue un l ment suppl mentaire pr vu l agenda 2010 L instance de coordination a galement d cid en accord avec les instances de l Agirc de l Arrco et du Ctip de s appuyer sur une inst
65. rateur par hasard Ils ont besoin de conna tre l essentiel des informations pour mieux comprendre les dossiers et cerner les enjeux Tous se sentent guid s dans leur fonction par la recherche de l int r t g n ral et la d fense du syst me des retraites par r partition Tous enfin reconnaissent les m rites de cette formation qui leur permet de revisiter les fondamentaux 2 Regards crois s C est la suite logique d un parcours syndical qui a conduit Roger Piskorek d l gu au comit d entreprise d une soci t de transport urbain de 530 salari s au conseil d administration de sa caisse En tant que partenaires sociaux nous som mes l pour faire avancer les choses Et ce que chacun apporte son niveau est un plus M me apr s deux ann es je me sens encore nouveau Il est difficile de comprendre tous les rouages avant d avoir accompli au moins un mandat Bien s r nous recevons beaucoup V ronique Dransart Medef La d fense d int r ts communs Nomm e par le Medef V ronique Dransart 36 ans travaille aux ressources humaines du Groupe L Or al Clichy 92 Elle exerce ses fonctions d administrateur depuis un an Je suis en charge du dossier retraite pour l ensemble du groupe en France J ai pris la succession de mon pr d cesseur ce poste d administrateur Apr s quelques r unions je commence d crypter Ce que je reti
66. respect mutuel et essaient d aller dans le m me sens On juge sur pi ces pour le bien tre des gens et pour que les retraites perdurent Cette formation nous donne une vision d ensemble sur l his torique du r gime la l gislation la gestion C est important Mais j attends encore beau coup Je ne me suis pas sentie l aise dans la partie financi re qui est complexe En revanche j en sais plussur l aide sociale l aide m nag re les allocations en cas de d c s ou les bourses pour les orphelins Les questions viendront apr s coup On nous a d ailleurs laiss les num ros des intervenants pour que nous puissions les contacter ult rieur rement Quoi qu il en soit je me sens plus forte et j ai une autre vision sur la continuit des retraites Quand on visualise les courbes d volution jusqu en 2050 on se rend bien compte des enjeux Administrateurs Des traits communs Engag s sous des couleurs diff rentes ces six administrateurs ont aussi de nombreux points communs la question Vous sentiez vous pr ts pour cette mission tous r pondent non Ils arrivent en terre inconnue Ce qui justifie cette formation Ils en repartent confiants dans les r gimes par r partition Par ailleurs il ny a pas de g n ration spontan e tous se situent dans la rel ve d un pr d cesseur ou dans la continuit d un engagement syndical ou social On ne devient pas administ
67. rmatique RC travers quatre enjeux er aliser le d ploiement del UR e r duire les co ts informatiques r pondre aux besoins m tier renforcer informatique RC Pour Fr d ric Coutard directeur du cadrage strat gique il s agit d aller plus loin que le programme de convergence informatique Les orientations du sch ma directeur d passent la mise en place de l Usine Retraite ou m me le programme de convergence Seule la convergence informatique ne garantit en effet ni harmonisation des m thodes et des outils ni la r duction des co ts ni enfin la construction d un syst me d information industriel et p renne susceptible de r pondre aux nouveaux besoins m tier Les objectifs Une retraite compl mentaire plus forte Une image plus moderne La mise en place de la Plate forme retraite compl mentaire PRC permet aujourd hui un traitement unique des dossiers de retraite Agirc et Arrco Par ailleurs avec la mise en ligne sur Internet du relev actualis de points Agirc et Arrco les salari s disposent d une vision compl te de leurs droits Aux yeux de tous la RC est d sormais capable de d livrer une qualit de service homog ne tout au long de la carri re d un salari quel que soit son groupe d adh sion Un poids renforc dans la retraite Gr ce au programme de convergence informatique la RC peut mobiliser l ensemble des res
68. roupes des r ponses sur le produit final les chantiers de migrations la recette tant sur les aspects organisationnels que fonctionnels un niveau d centralis dans chaque quipe projet o certains membres se consacrent d sormais exclusivement trouver les r ponses aux questions du terrain Novalis Taitbout L Usine Retraite de A Z gt Chez Novalis Taitbout le programme de d ploiement se nomme Azur l UR de A Z Une jolie trouvaille pour le groupe pilote qui partir de 2011 d ploiera l UR dans son int gralit et dont l objectif est de valider le bon fonctionnement de la solution globale Pour la premi re fois les briques BBB DN Droits et Grecco seront progressivement mises en place au fur et mesure des besoins li s aux actes m tier majeurs Et la diff rence des groupes pr curseurs les quipes se focaliseront sur les process inter briques 20 L enjeu Comprendre responsable accompagnement du changement transverse Avec les premiers d ploiements de l Usine Retraite le dispositif d accompagnement du changement transverse met l accent sur les changes entre les gestionnaires des groupes pr curseurs et les autres Au programme enqu tes et partage d exp riences Partager les exp riences Ci contre Guy Brisson de la DSI RC accompagner le changement lus de 1800 gestionnaires r partis dans quatre groupes de protection sociale pr cur
69. s de syst me et les transformations de la structure des donn es En outre certains concepts propres PUR comme la notion de catalogue produit sont parfaitement inconnus des syst mes natifs de certains groupes Il faut anticiper le plus t t possible ce travail pr paratoire de conver sion de qualification et de r habilitation Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 des donn es insiste Carlos Lemos respon sable du chantier d ploiement la DOP D autant que dans un projetcommunautaire les param trages sont nombreux et les d lais pour obtenir une assistance plus longs Il n est jamais trop t t pour monter des quipes etse lancer car ily a un monde entre la litt ra ture sur le sujet et l exp rimentation des vraies difficult s conseille Carlos Lemos e 1 R f rentiel des conditions d adh sion contractuelles permettant la gestion des adh sions pass es et futures Carlos Lemos responsable du chantier d ploiement la direction op rationnelle de la DSI RC Allure DN Droits Grecco DN Droits Gretco MN DN Droits Droits DN Droits DN Grecco Un support renforc La direction op rationnelle des programmes va mettre en place un dispositif pour accompagner les d ploiements dans la dur e et r pondre plus rapidement aux demandes Il comportera deux niveaux un niveau central transverse capable d apporter l ensemble des g
70. s des Fran ais Mais qu en est il en Europe Arnauld d Yvoire secr taire g n ral de l Observatoire des retraites r pond nos questions artout en Europe la volont d informer les actifs sur leurs droits a retraite s est impos e Et ce malgr des difficult s de mise en uvre videntes si l on tient compte de l exp rience fran aise Comment l expliquer A Y La pr occupation de l information des assur s n a jamais t absente dans les r gi mes de retraite mais au fond le besoin d in formation tait tr s limit tant que les r gles taient stables et simples Aujourd hui face un vieillissement sans pr c dent et une volution conomique incertaine le pass ne garantit plus l avenir et partout en Europe les r gles des r gimes de retraite changent Cela va de l am nagement de l existant comme en France au changement complet de syst me de retraite comme en Su de en Italie et dans la plupart des nouveaux tats membres Ces changements engendrent lin certitude et une complexit accrue avec par exemple la prise en compte de conditions propres chaque g n ration Souvent aussi apparaissent pour les assur s des possibilit s voire des obligations de choix Tout ceci g n re un besoin croissant d information Mais il y a aussi de la part des pouvoirs publics et de l Union europ enne une volont d informer pour que les r formes produisent leur plein e
71. s hommes entre 30 et 49 ans et occu pent plus souvent des emplois pr caires 10 contre 7 des hommes IN GALIT SALARIALE Entre 39 et 49 ans les hommes gagnent en moyenne 27 de plus par heure que les fem mes Or la mont e du niveau d ducation des femmes aurait d d boucher sur une forte r duction des in galit s salariales voire sur leur inversion La persistance de cette discrimina tion pourrait elle aussi tre due aux enfants Cette hypoth se a t test e par trois chercheurs Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 09 Tendances 3 Vo C est le taux d activit des femmes g es de 25 49 ans Il tait de 60 en 1975 de l Ined et de l Insee voirarticle paru dans la revue de POFCE gt Une comparaison entre les salaires horai res des femmes g es de 39 ans 49 ans n ayant pas interrompu leur activit professionnelle et celles du m me ge ayant interrompu leur activit pour s occuper de leurs enfants soit 42 des femmes de ce groupe d ge a t tablie En moyenne le salaire des premi res est plus lev de 23 que celui des secon des Cet cart s explique tr s largement par des caract ristiques observables moindre exp rience professionnelle due l interrup tion d activit niveau de dipl me et condi tions d emploi gt Dans un deuxi me temps les carts de salaire horaire ont t m
72. seurs utilisent actuellement l Usine Retraite Des utilisateurs qu il a fallu sensibiliser rassurer et former Depuis 2008 les quipes d accompagnement du changement des f d rations et des groupes ont multipli les modules de formations les supports de com munication affiches newsletter cogito capio films ou les outils d aide au d marrage L COUTE DES NOUVEAUX BESOINS Dans ce processus d accompagnement un Barom tre UR d marrage a t lanc fin 2009 Il nous a par exemple permis de constater qu apr s une premi re p riode glo balement satisfaisante l opinion de certains gestionnaires d Aprionis s tait d grad e Il leur manquait en faitun retour de la part du mana gement dans certaines d l gations locales Gr ce au barom tre des actions correctives ont pu tre men es tr s rapidement pr cise Guy Brisson responsable accompagnement du changement transverse de la DSI RC Ces enqu tes r guli res ont galement per mis d identifier d autres sources d irritation chezles 210 gestionnaires interrog s chez Aprio nis et D amp O Dans les premiers temps du d marrage par exemple certains utilisateurs avaient t surpris de ne pas disposer imm diatement de toutes les fonctionnalit s C est pourquoi en d but d ann e 2010 la direction op rationnelle des programmes a labor des tableaux de bord en collabora tion avec les groupes et leur plate forme infor mat
73. sources informatiques des groupes et des f d rations Une condition indispensable pour s associer de grands projets nationaux des missions transverses ou d int r t g n ral comme ce fut le cas pour la mise en place du droit l information des actifs loi Fillon Pro BTP avait alors d velopp l outil Collecteur Sud et ainsi renforc la place des r gimes au sein de la protection sociale et au del Enfin la retraite compl mentaire peut participer plus activement au service global de la protection sociale travers l Usine Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Retraite qui permet d afficher une image homog ne de la retraite compl mentaire et d en am liorer la lisibilit avec la production des briques AIACOSS et Simplifications Administratives qui profitent l ensemble des organismes de protection sociale La retraite compl mentaire fait d sormais figure d acteur majeur du service global de la protection sociale aux c t s de l Un dic de la Cnav et de l Acoss 18 L enjeu Comprendre Anticiper et soigner les migrations ne pas se faire aspirer par la correction des bugs au d triment de la pr paration des deuxi mes versions des briques tels sont les principaux d fis des quipes projets depuis le d marrage de l Usine Retraite D ploiements les d fis de l apres d marrage Em Un d
74. tes tudes articles LES GROUPES DE PROTECTION SOCIALE Liste et coordonn es des groupes de protection sociale GLOSSAIRE DE ACTION SOCIALE D finitions et sigles la valeur fondatrice des syst mes de retraite Au del du service de la retraite les principes de solidarit mis en uvre par les r gimes Agirc et Arrco s expriment au travers de l action sociale des caisses de retraite compl mentaire Agirc Arrco Page d Construire Conn notre d marche l Agirce aglr Cet La solidarit est EN 5 R fl chi Dour di L action sociale de par r partition Les groupes de protection sociale a PET Contact Glossaire Pian d 3 LAGIRCET L ARRCO Informations g n rales sur les f d rations leurs missions leur fonctionnement s inrormer gt les annuaires caisses de retraite centres de pr vention r sidences gt l agenda les inaugurations les salons les v nements li s l action sociale gt les contacts Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 13 Notre objectif accro tre la visibilit des actions men es sur le terrain par les groupes dans le prolongement des orientations d finies par les f d rations Anne Saint Laurent Directrice de l action sociale Agirc Arrco POUR L ACTION SOCIALE LA R FLEXION PR C DE L ACTION Suivant ce principe le site propose une navigation hori
75. tion en est le programme de convergence informatique D L Toutes les briques sont produites et de puis octobre elles sont toutes d ploy es Le d ploiement avance bien gr ce la forte im plication des quipes informatiques dans les groupes producteurs et des gestionnaires dans les groupes pr curseurs Il reste videmment beaucoup faire pour corriger les anomalies sur ces premi res versions des briques et les faire voluer pour qu elles int grent les sp cificit s r glementaires des groupes qui vont se lancer Dans les prochains mois l effort portera moins sur les aspects techniques que sur l accompagnement des gestionnaires afin d amortir le choc du d marrage Quels seront les facteurs cl s du succ s demain D L l faut que notre mobilisation soit aussi forte dans la phase de d ploiement que dans celle de production Pour les prochains d ploiements nous allons pouvoir capitaliser sur les exp riences des groupes pr curseurs cet gard nous allons avoir un besoin crois sant de mutualiser nos ressources Il faut que les groupes en prennent conscience et qu ils acceptent de mettre leurs sachants la disposition de ceux qui vont en avoir besoin Sans cela nous pourrions nous retrouver en grande difficult dans la phase de d ploiement Le programme d pend en la mati re de la pour r ussir les deploiements EX g ES x AZ bonne volont des groupes
76. tion qui leur est d livr e modifie t elle leur comportement Il n est pas s r que le niveau de connais sance progresse au m me rythme que la com plexit croissante entra n e par le mouvement de r forme En France les enqu tes men es par le Gip Info Retraite montrent que les destinataires de l enveloppe bleue connais sent bien les conditions pour obtenir le taux plein mais beaucoup moins les possi bilit s de d cotes et surcotes de rachats de cumul Les r gimes finlandais qui avaient t d us par le faible nombre d assur s allant v rifier leur compte en ligne ont galement t d us par le peu de r actions l envoi d un courrier Pr s des trois quarts des Su dois g s de 45 ans et plus regardent la projection de leurs droits retraite lorsqu ils re oivent leur enve loppe orange contre un quart seulement des moins de 30 ans Ces informations modifient elles les com portements En 2009 11 des Fran ais destinataires de l enveloppe bleue ont d clar souhaiter reporter leur ge de d part au vu de leur montant estim de retraite et 3 l avancer Ce n est pas n gligeable Demain quelles pourraient tre les perspec tives d volution L information des assur s ne peut aller qu en se d veloppant du fait des possibilit s techniques croissantes et des exigences des consommateurs ventuellement relay es par les l gislations europ
77. tous les documents utiles sur le th me de l action sociale textes officiels tudes rapports bilans notices d information articles parus dans les publications de l Agirc et de l Arrco gt RUBRIQUES POUR LES TROIS GRANDES ORIENTATIONS DE L ACTION SOCIALE gt la pr vention les centres de pr vention le bilan de pr vention le service Sortir Plus les tudes Bien vieillir d urgence le conseil logement en ergoth rapie l aide aux aidants gt l accompagnement de la perte d autonomie dans des tablissements sp cialis s le plan m dico social et sanitaire la bientraitance QO DES EXEMPLES CONCRETS D ACTION Pour chaque type d action des exemples concrets sont donn s et mis jour r guli rement inauguration d un nouveau Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 centre de pr vention extension du dispositif Sortir Plus d marrage du conseil logement en ergoth rapie 9 BILANS DE L AGIRC ET DE L ARRCO Les rapports d activit de l Action sociale la y L enjeu Comprendre Ann e apres ann e le programme de convergence informatique lanc en 2004 par les partenaires sociaux am liore concr tement le service de la retraite compl mentaire Tour d horizon des r alisations et nouveaux d fis Convergence informatique reussir ensemble egroupement des plates formes informatiques mise en place de traitement po
78. trimestre 2010 Les rapport i apports d activite 2 de l Agirc et de l Arrco sont AA Un engagement collectif 1 n en gagement collectif RAPPORT D ACTIVIT 2009 RAP PORT D ACTIVIT 2009 brique Documentation
79. ur compte commun construction des briques de l Usine Retraite par les groupes producteurs d but des d ploiements dans les groupes pr curseurs m me si en termes de co ts informatiques le temps du retour sur investissement n est pas encore venu les acquis du programme de convergence permettent d j de r pondre la forte demande de service global manant des salari s et des entreprises Jean Jacques Marette directeur g n ral de l Agirc et de l Arrco se dit plus que jamais confiant dans la capacit de la communaut informatique de la retraite compl mentaire relever les prochains d fis Nous pouvons tre fiers du formidable travail accompli jusqu ici Nous avons su d passer les difficult s d une phase complexe de production et l implication que nous pouvons observer dans les groupes constitue aujourd hui la meilleure garantie de r ussite pour les prochains d ploiements et accompagne ment des gestionnaires sur le terrain Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 L enjeu IB 24 C est compte tenu du poids des briques et des groupes l avancement relatif du d ploiement de l Usine Retraite en 2010 Il sera de 40 en 2011 72 en 2012 et 98 en 2013 Les acquis de la convergence Les trois volets du programme de convergence informatique se mettent progressivement en place gt Stabilisation des regroupements de plates formes i
80. uver les ressources n cessaires la construction des versions suivantes la DOP a engag une d marche d industrialisation des process de maintenance corrective fond e sur la convergence des m thodes de travail et la capitalisation de l exp rience Mais ce sont les groupes qui d tiennent v ritablement la cl du respect des d lais Notamment en prenant conscience de la com plexit des projets de migration des donn es eten les anticipant On imagine mal la com Les Cahiers de la retraite compl mentaire N 1 3 trimestre 2010 Calendrier du d ploiement NS enjeu Entre 2012 et 2013 il faudra r aliser plus de 60 du d ploiement de l UR Passer d un d fi technique de coproduction des briques un d fi organisationnel u ulel ele nele ee e enee ae e Aprionis D amp O DN Droits Pr malliance DOM ex Taitbout Cirsic Cirsia ex Taitbout Cre Ircafex Pro BTP Agrica Amap O audiens SM METEL ONA TA Dates l tude confirmer Aramice Grecco Grecco Allure DN Droits Gr cco DN Droits Droits DN Droits Grecco Allure Grecco Allure Premi re phase de d ploiement Seconde phase E Derni re phase L Usine Retraite est compl te eff D ploiement en big bang plexit des chantiers de r habilitation et de mi gration des donn es Certains groupes ont pendant quarante ans empil les couches r glementaires les modification
81. zontale autour de la page d accueil accueil gt La partie droite pr sente les actions dans les trois domaines d intervention de l action sociale la pr vention du vieillissement le soutien domicile ja tre Orienter 5 l accompagnement en tablissement t l Arrco nos actions cn aiii Aai LE gt OMPLEMENTAIRE If vor Partie droite aArrco pour demain D VELOPPER LA PR VENTION Exemple d action ouverture fin 2010 d un D velopper Prolonger Accompagner a i i gt et a f nouveau centre de Pr vention Lille la pr vention l autonomie domicile la perte d autonomie g PROLONGER L AUTONOMIE Aaiun communes amaa are eo PR Actions communes Exemple d action lancement de la prestation LVONIL UN SCCOMPEHNEMENE AIUCEUrOr una ECO SE omaln d aide domicile d urgence scie professionele EJ un accompagnement gt EJ ACCOMPAGNER LA PERTE D AUTONOMIE Actions sp cifiques des l A irc et l ArFCO Exemple d action acc s g n ralis aux soins UE e tard g bucco dentaires pour les tablissements du parc en propri t Un acc s g n ralis aux soins Lancement de la bucco dentaires d aide domicile d urgence 9 Ouverture fin 2010 8 Lille d un nouveau Centre de Pr vention L Agirc ot Atto F Ami 11 LE CES QUR na iu site Mentions l gales Espace Pro gt e soutien domicile l aide domicile SE DOCUMENTER Acc s

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